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Cleveland, Ohio, USA

E-6 Eh bien, écoutez ça. C’est comme j’ai expliqué l’autre soir. Si quelque chose bloquait la circulation au niveau de ma main... Eh bien, il n’y a qu’un seul moyen de débloquer cela, c’est de libérer cela. Et alors, la nature prendra soin de ça tant que ce lien est défait.

Eh bien, c’est pareil quand une force invisible lie les oreilles, ou la langue, ou un membre de quelqu’un. Maintenant, prenez la personne liée. Eh bien, c’est difficile de distinguer pareille personne. C’est peut-être un chrétien de renom, plein de l’Esprit de Dieu, mais cependant lié. Maintenant, le...


Cleveland, Ohio, USA

E-7 Quelqu’un a fait un commentaire dans un journal il n’y a pas longtemps, disant: «Eh bien, les gens vont à la campagne de guérison de Branham, et ils sont exorcisés.» Il a dit: «Il prend... Il–il détecte tous les démons et les chasse tous.»

Eh bien, c’était une chose vraiment terre à terre à dire pour quelqu’un. Mais c’est par ignorance que cet homme l’a fait. Si seulement il s’asseyait et lisait un instant la Bible, il découvrirait. Eh bien, il a fait cela... il a juste dit cela ne sachant pas mieux.

Et s’il était mieux avisé, que Dieu vienne en aide à son âme; en effet, il a donc blasphémé contre le Saint-Esprit. Il n’y aura jamais de pardon pour cela. Voyez: «Celui qui blasphème contre le Saint-Esprit...» C’est un péché impardonnable. Cela ne peut jamais être pardonné, pas du tout. Durant toute l’éternité, vous êtes toujours perdu, pour toujours. Dire cela... vous ne faites que parler contre le Saint-Esprit. Voyez? Faites donc attention. Si vous ne comprenez pas cela, ne dites rien, allez simplement de l’avant. Voyez? Laissez cela tranquille, parce que...

Oh! la la! Ce que j’ai vu se produire, amis, en rapport avec cela.


Cleveland, Ohio, USA

E-16 J’allais le demander à Londres, en Angleterre, en Suède; partout où vous allez, vous trouvez les gens de l’Arkansas. Là où j’étais sur la côte ouest, et j’ai dit là un soir, alors que je tenais des réunions, là où Charles Fuller, à l’auditorium municipal de Long Beach... Frère Fuller a dit: «Frère Branham, les gens d’ici ne viendront jamais écouter pareil fanatisme.»

J’ai dit: «Oh! C’est vrai?»

«Non, a-t-il dit, vous feriez mieux de prêcher l’Evangile pendant que vous êtes ici.»

J’ai dit: «C’est ce que je fais.»

Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, c’est la guérison divine.»

J’ai dit: «Frère Fuller, je suis aussi membre de l’Eglise baptiste. Je sais le sentiment que vous éprouvez en rapport avec cela. Mais, ai-je dit, permettez-moi de vous dire quelque chose.»

Il a dit: «Frère Branham, tout ici, c’est la guérison divine.» Il a dit: «Les gens ne sortiront pas.» Il a dit: «Premièrement, c’était ce mouvement de McPherson. Ensuite, il y a eu ces fanatiques de la pentecôte.» Il a dit: «D’un bout à l’autre de cette rue, ici, et tout, c’est la guérison divine.» Et il a dit: «Les gens ne sortiront pas. Vous allez louer cet auditorium pour pratiquement mille dollars.» Il a dit: «On va vous laisser seul.»

J’ai dit: «Ecoutez, Frère Fuller, ai-je dit, Dieu reconnaîtra Son don même s’il était en plein enfer.» Voyez? J’ai dit: «Ne vous en faites pas.»

Il a dit: «Eh bien, je ne pourrais pas annoncer cela

J’ai dit: «Je ne vous ai jamais demandé de le faire, Frère Fuller. Je vous parle simplement.»

Il a dit: «Venez et mettez-vous sur les rangs.»

J’ai dit: «Je serai là.»

Mais il a dit: «Je vous préviens que vous serez abandonné dehors.»

Nous sommes descendus là cet après-midi-là, frère Moore et un groupe d’entre nous. On a eu environ mille huit cents, deux mille personnes assises là. Quand son groupe est sorti, il avait apporté son sermon...


Cleveland, Ohio, USA

E-17 Eh bien, rappelez-vous, Charles Fuller est un merveilleux homme envoyé de Dieu, un vrai chrétien. Je ne sais pas si vous avez déjà suivi son émission ou pas. Il anime L’heure du réveil à l’ancienne mode, qui est une très bonne émission. C’est un merveilleux et magnifique enseignant, un homme de bien, avancé en âge, et il avance vraiment en âge. Mais c’est un homme de bien. Je crois que c’est un vrai chrétien.

Et quand nous quittions, frère Fuller sortait: frère Moore et moi, nous nous tenions là. Et son auditoire sortait après qu’il eut apporté un bon sermon. Et une dame était allée lui serrer la main pour donner son coeur à Christ, ce qui est merveilleux.

Il allait sortir. Et là, après que toute sa foule était sortie, des gens bien habillés, vous savez, de très haut niveau d’instruction. Il se tenait là, il leur disait: «Croyez simplement maintenant même, et soyez sauvés. C’est tout.» Voyez? Alors, quand sa foule est venue... est partie, ma foule est entrée... sur des fauteuils roulants, en camisoles de force.

Et, frère, c’est différent quand votre foi doit affronter quelque chose comme cela. Rien que prêcher, parler à une foule, leur dire de lever la main et d’accepter Christ. Il était devenu pâle.

Ce soir-là, il y avait beaucoup de gens là-bas, ils étaient debout, jusque du côté de la plage. Un auditorium pour cinq mille cinq cents n’offrirait même pas des sièges à la moitié d’entre eux. Ils étaient debout partout dehors.

Je vous assure, là où est le corps, là s’assembleront les aigles. Vous pouvez compter...


Cleveland, Ohio, USA

E-21 Et je la regardais simplement. Et cela est apparu. Une vision a commencé à apparaître. Eh bien, rappelez-vous, il a été révélé à cette femme, debout là, son infidélité à son voeu de mariage quatre jours avant cela, devant l’assistance, vingt mille personnes ou plus suivaient.

Alors, elle s’est mise à pleurer. L’homme derrière elle, c’était son mari, il l’a retournée d’une secousse et a dit: «C’est quoi?» (Vous voyez pourquoi je dois souvent prier?) «C’est quoi?»

Elle a dit: «Chéri, je regrette.»

Alors, Cela... Je me suis simplement détendu. Cela est allé sur lui, et Ça lui a révélé le même acte qu’il avait commis avec sa comptable, et la voiture à bord de laquelle ils étaient, et le lieu où ils étaient. Il était devenu pâle. Il a dit: «Frère, que dois-je faire?» J’ai regardé...

Il l’a regardée, il a tendu sa main et a dit: «Chérie, j’ai été un rat.» Il a dit: «Si tu me pardonnes, je vais te pardonner. Et nous commencerons une nouvelle vie ici même devant le peuple de Dieu.»

Elle a dit: «Je te pardonne.»

Et ils ont placé le petit enfant au milieu d’eux, ils se sont étreints, ils se sont agenouillés par terre et ils ont donné leurs coeurs à Dieu.

Et révérend Richard T. Reed, de Jonesboro, dans l’Arkansas, les a baptisés dans la foi chrétienne. Le lendemain matin, ils ont été ajoutés à l’église. C’est ainsi que le Seigneur opère. Exact.


Cleveland, Ohio, USA

E-22 Eh bien, pendant qu’ils étaient à l’estrade, cette fillette regardait. J’ai levé les yeux vers elle, plutôt j’ai baissé les yeux vers elle. Et elle avait les yeux levés vers moi. Je continuais à voir quelqu’un là debout à ma droite, continuant à faire signe de la main, comme ceci. J’ai regardé là en bas, et j’ai vu des gens se réjouir.

Il y avait un aveugle qui venait de Kennett, qui avait été guéri ce soir-là avant cela. Il était en route vers chez lui à la maison, il avait bénéficié d’une pension pour aveugle pendant douze ans. Et il avait été guéri. J’avais demandé à Dieu de le bénir. J’ai dit: «Croyez-vous?»

Il a dit: «De tout mon coeur.»

J’ai dit: «Allez de l’avant, en vous réjouissant, en témoignant de votre guérison.»

On l’a conduit à une vieille Ford. Il montait la route, sur une distance d’environ cent et quelques kilomètres, vers Kennett, dans le Missouri. Et il remontait la route, en louant Dieu pour sa vue, tout aussi aveugle que possible. Tout d’un coup, il s’est écrié, disant: «Arrêtez le véhicule. Je vois les lumières.» Il a sauté du véhicule, il a parcouru la route de long en large, bondissant et poussant des cris.

Il est allé à Kennett, juste... ou à l’église catholique où on célébrait la messe, il a levé sa canne en l’air et son chapeau dessus. Il a parcouru l’église catholique en criant: «Je suis guéri. Je suis guéri par la gloire de Dieu.» Il est entré dans l’Eglise méthodiste. Il parcourait les rues...?... la contrée là. Il témoignait partout de sa guérison.


Cleveland, Ohio, USA

E-23 Quand j’ai regardé d’un côté, j’ai vu un homme faire signe de la main, comme ceci. Et je me suis dit que ça ressemblait à un conducteur d’ambulance. Il portait un uniforme bleu.

J’ai dit: «Me faites-vous signe, monsieur?»

Il a dit: «Oui, oui.» Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, j’ai amené ma patiente depuis Kennett, là où un aveugle a été guéri ce matin.» Il a dit: «Je dois effectuer un autre voyage ce soir depuis l’hôpital.» Il a dit: «Je pense que ma patiente est morte.» (Il nous fallait avoir un médecin de garde là. Il y avait trop de malades et autres; il vous faut avoir un médecin de garde. Nous ne pouvions le trouver nulle part.)

Il a dit: «Je pense que ma patiente est morte. Ne voudriez-vous pas venir auprès d’elle?»

Et j’ai dit: «Frère, j’aimerais y aller. Mais comment pourrais-je traverser cette foule? Il y a probablement deux ou trois mille personnes entre ici et là.»


Cleveland, Ohio, USA

E-24 Il y avait une rangée réservée aux ambulances là dehors. Beaucoup d’entre elles, dix-huit ou vingt d’entre elles, étaient parquées dans cette rangée-là. Et j’ai dit: «Eh bien, je–je ne pourrais pas arriver là.»

Quatre hommes sont descendus du balcon, ils ont dit: «Nous allons vous amener, Frère Branham, si vous le désirez.»

J’ai dit: «Eh bien, veuillez chanter un cantique, ou quelque chose comme cela, pendant que j’y vais?»

Un des prédicateurs s’est avancé au micro. On a commencé à me faire traverser la foule. Oh! la la! Je poussais, les gens pleuraient, imploraient. Oh! Vous savez. Nous sommes arrivés à l’ambulance; on a ouvert la portière. Il est venu à la portière. Et une scène que je n’oublierai jamais...


Cleveland, Ohio, USA

E-27 J’ai dit: «C’est en ordre.» J’ai dit... J’ai pris la main de la femme. Eh bien, je ne sais pas si la femme était morte ou pas. Dieu est mon... Je pense qu’elle était dans le coma. Je ne suis pas sûr. De toute façon, je ne pouvais pas sentir le pull de son coeur, ni rien.

Mais maintenant, suivez. J’ai alors placé ma main sur la sienne, elle était froide. J’ai placé ma main sur la sienne; c’était froid. On dirait qu’une matière boueuse lui coulait des yeux. Et ses–ses dents artificielles avaient été enlevées, ses lèvres s’étaient rétrécies et sa bouche était reculée comme cela, son visage était très mince. Et elle était... ses yeux étaient enfoncés comme cela, elle était couchée comme cela. Je l’ai saisie. Je l’ai secouée.

Apparemment, elle était morte; si elle l’était, je ne sais pas. Dieu est mon Juge, je ne peux pas le dire. Mais quand j’ai tenu sa main droite, ce cancer s’est manifesté. Eh bien, j’ai alors su; je pense donc que si la femme était morte, le cancer aurait aussi quitté. Eh bien, je–je pense qu’il l’aurait fait. Maintenant, c’est la raison pour laquelle je pense qu’elle était dans le–dans le coma. Je tenais donc sa main, et cela a frappé, je pouvais entendre... sentir cela frapper comme ça, tourner, frapper. Ainsi donc, j’ai dit: «Papa, prions.»

Et il a dit: «D’accord, Frère Branham.» Il s’est agenouillé, il s’est mis à invoquer, disant: «Ô Dieu, pourquoi l’as-Tu laissée partir comme cela? Pourquoi n’a-t-elle pas pu vivre encore un peu plus longtemps?»


Cleveland, Ohio, USA

E-30 Et le chauffeur était assis là, l’interniste, le chauffeur. Il a dit: «Frère Branham, vous ne pouvez pas sortir par cette portière-là.» Il a dit: «Ils se sont entassés là.» Il a dit: «Je vais vous dire ce que je ferai.» Il a dit: «J’ai envoyé ces hommes tout autour...»

au fond du parking, c’était plein de gens debout. Certains d’entre eux n’avaient pas quitté le lieu depuis huit jours. Il bruinait. Ainsi donc, ils avaient ce...

Ils restaient juste assis sur le siège. Tout le monde à l’intérieur restait là. Ils laissaient quelqu’un aller leur acheter un hamburger ou quelque chose comme cela, il revenait. Ils mangeaient là même. Ils ne se déplaçaient pas. Ils restaient là même, dormaient juste sur leurs sièges.

Et il–il s’est mis à déboutonner son manteau, comme ceci, et il l’a gardé à la portière, comme s’il enlevait son manteau. Il a dit: «Maintenant, quand je fais cela, vous, vous sortez de l’autre côté. Et ils vont vous rencontrer là-bas au bout.»

J’ai dit: «D’accord.» On dirait que c’était un procédé hypocrite, mais je ne pouvais simplement pas... J’ai dû faire cela. Je ne pouvais pas retourner dans l’auditorium.


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