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Sturgis, Michigan, USA

E-15 Vous savez, en promenant le regard... Et hier soir, après avoir perçu l’atmosphère qui régnait parmi les gens, je–j’ai demandé là que les gens viennent. J’ai eu quatre ou cinq mains qui s’étaient levées, ce qui est très bien. Nous apprécions cela. Et pour la guérison divine, tout le monde voulait être guéri, environ trois ou quatre mains s’étaient levées. Alors, je pense donc que le Seigneur voulait bien que je passe un peu de temps de communion là-dessus.

J’ai dit à frère Jackson de ne pas accorder à cela une grande publicité, de le dire simplement à son église et tout. Mais un jour, j’aimerais revenir ici pour environ une semaine ou dix jours de réunions à l’ancien temps, ici même, occuper ce petit auditorium si nous le pouvons et rassembler ici les églises des alentours, nous le pouvons, un groupe d’entre eux pour parrainer, collaborer, ou collaborer dans des réunions et avoir...


Sturgis, Michigan, USA

E-17 Il y a quelque temps, quelqu’un me parlait de termes grecs et de toutes sortes de termes hébreux. Je disais: «Je–je n’en sais rien.» Il disait... Je disais: «Je–je peux ne pas très bien connaître le Livre, mais j’En connais très bien l’Auteur. C’est l’essentiel.» Je disais: «Je–je préférerais connaître l’Auteur plutôt que Son Livre.» C’est donc le...

Mais c’est bien. Si vous connaissez l’Auteur, Il vous révélera Son Livre. Ne le pensez-vous pas? Parlez-Lui. Nous allons donc lire juste un verset de Sa Parole, et puis Lui demander de nous aider.

Maintenant, comme sujet, comme nous l’intitulerions... Je n’aimerais pas vous garder longtemps ce soir, car je sais que vous irez à l’école du dimanche le matin. J’aimerais que chacun de vous aille à son poste de devoir. Et où que soit votre église, allez à l’église et réjouissez-vous dans le Seigneur, et–et dites à votre pasteur que le service aura lieu demain après-midi. Nous serons contents que vous veniez. Nous n’avons pas de dénomination. Et nous ne croyons pas au fait de séparer les gens. Nous croyons au fait de prêcher l’Evangile et de sauver les âmes pour servir le Seigneur. C’est tout.

Et puis, demain après-midi, comme c’est le service de clôture, à dix heures, ou plutôt à quatorze heure trente.


Sturgis, Michigan, USA

E-19 Il y a quelques soirées, j’ai reçu un appel d’urgence auprès d’une jeune fille qui se mourait à l’hôpital Memorial de Comté de Clark. Et on disait qu’elle avait–qu’elle avait été membre du–du tabernacle où j’ai été pasteur il y a des années. Et quand je suis arrivé auprès de cette jeune fille pour lui parler, elle était sous une tente à oxygène. J’ai dit: «On me dit qu’autrefois vous fréquentiez le tabernacle?»

Elle a dit: «Oui, Frère Branham, je venais.»

J’ai dit: «Savez-vous que vous êtes mourante?»

Elle a dit: «Oui, Frère Branham.» Elle a dit qu’elle était mère d’un seul enfant. Elle avait dix-neuf ou vingt ans. Et elle avait un enfant de quatre mois qui avait... Les adultes peuvent lire entre les lignes et comprendre. Elle était atteinte d’une urémie et, oh! beaucoup de choses. Et il n’y avait rien que les médecins pouvaient faire, mais elle était étalée là sur le dos, attendant la mort. C’est tout. Rien ne pouvait être fait pour elle dans le domaine médical.

Et elle allait à la rencontre de Dieu, juste une enfant. Et j’ai dit: «Soeur, vous souvenez-vous que, dès la naissance, vous avez été inscrite dans un registre, vous avez été baptisée et vous êtes entrée dans une communauté, inscrite dans un registre dès la naissance?» J’ai dit: «Quel a été le problème?»

Elle a dit: «Frère Branham, je vais vous dire quoi, a-t-elle dit, J’aime toujours le Seigneur Jésus. Mais, a-t-elle dit, je–je trouve très difficile de Le servir.»


Sturgis, Michigan, USA

E-22 Et Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire premièrement.» Il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. Et Jésus n’est pas alau Calvaire pour mourir dans un but aléatoire. Il n’est pas allé là pour dire: «Eh bien, peut-être que Ma mort paraîtra si pathétique à certaines personnes qui verront que Je suis mort, et peut-être qu’ils viendront et serviront le Seigneur. Jésus est venu dans un but spécifique: racheter ceux que Dieu avait élus par prescience pour venir à Lui. C’est exact. Si vous êtes des érudits, qui connaissent la Bible, vous savez que même les patriarches étaient un exemple. Abraham, c’est l’élection de Dieu. Dieu a appelé Abraham quand il n’était rien, pas quelqu’un. Il était juste un homme ordinaire. Ce n’est pas parce qu’il était un homme de bien, mais c’est par la prescience de Dieu qu’Il avait élu Abraham. Abraham, c’est l’élection; Isaac, la justification; Jacob, la grâce; Joseph, la perfection. Cela a mis fin à la chose. Joseph était le parfait (Voyez?), le prince–le prince de la prospérité.


Sturgis, Michigan, USA

E-26 Le christianisme, ce n’est pas quelque chose, Dieu n’est pas Quelqu’Un auprès de qui vous devez quémander, pleurer, argumenter, jeûner, crever de faim, et tout comme cela pour accéder auprès de Lui. Certainement pas. Ce n’est pas que je dénigre le jeûne.

Mais il n’y a pas longtemps, un homme a écrit un livre sur le jeûne. Oh! la la! Des femmes sont arrivées aux réunions, des hommes aussi, fous, pour avoir observé ces jeûnes. Ils s’y sont mis juste parce que le livre disait de jeûner quarante jours. Certains avaient des prothèses dentaires, elles étaient tombées. Et leurs yeux étaient enfoncés là en bas. Et des femmes grosses, enceintes, leurs petits, comme vous comprenez, ils perdaient complètement la tête, elles ont été amenées dans des hôpitaux psychiatriques. Beaucoup, beaucoup d’entre eux ont connu cet état-là. Je crois aux jeûnes. Certainement. Mais lorsque vous jeûnez, vous n’avez pas faim. Jésus, après qu’Il eut terminé le jeûne, dit la Bible, eut faim. C’est Dieu qui vous amène à jeûner. Vous ne vous y forcez pas. Il a certainement captivé des femmes, l’homme qui a écrit ce livre-là, quand il a dit, il a placé la photo d’une femme là; elle paraissait vingt ans plus jeune, a-t-il dit, après le jeûne. Vous auriez dû la voir alors, juste un an plus tard, son aspect, après ça. Voyez? Certainement.

Ne faites pas ça. Ne faites pas des choses par des oeuvres. C’est par la grâce. Dieu, dans Sa grâce souveraine...


Sturgis, Michigan, USA

E-27 Eh bien, le problème... Eh bien, pour rendre ceci si simple que les–les petits enfants pourraient comprendre, nous allons retourner dans l’Ancien Testament, prendre l’Ancien Testament afin que... Il peut y avoir des érudits versés dans la Bible qui peuvent utiliser des méthodes plus élaborées pour ça, mais j’aime toujours analyser quelque chose au point que les gens qui ne fréquentent même pas l’église, les gens qui ne sont pas de très grands érudits versés dans la Bible, ou des petits enfants, pourront comprendre. En effet, beaucoup... Je suis devenu un typologue. J’aime donner des types, afin que nous puissions comprendre.

Or, un type de ce message dont nous parlons ce soir, La Vie cachée, nous pourrons le tirer de la manne dans l’Ancien Testament, ainsi que des parvis, le voile entre le lieu très saint et le lieu saint, et comment Dieu travaillait avec cela.

Eh bien, si vous remarquez bien, après qu’Israël avait vaincu les Egyptiens, en traversant par la grâce la mer Rouge, et Dieu avait noyé les Egyptiens après cela, ce qui était le type de passer par le Sang du Seigneur Jésus, et tous les chefs de corvées qui autrefois vous poussaient vers les choses des péchés du monde, cela est mort derrière vous.

Il y a une Fontaine remplie du Sang

Tiré des veines d’Emmanuel,

Une fois les pécheurs plongés dans ce flot

Perdent toutes les taches de leur culpabilité.


Sturgis, Michigan, USA

E-32 Il y a quelque temps, un vieux prédicateur méthodiste et moi étions assis en train de prendre ensemble une petite glace. Et c’était à l’heure de l’émission radiophonique de 4-H Club. Et on parlait d’un appareil qui avait été mis au point. Il y a peut-être des membres du groupe 4-H Club assis ici maintenant.

Et alors, on disait qu’on avait mis au point un appareil qui pouvait produire du maïs si parfait. Qu’on pouvait en prendre une poignée d’un sac qui était... produit par cet appareil mis au point, et une poignée d’un sac de ce qui avait poussé dans le champ, ils étaient si parfaits. On les mélange, on les met au laboratoire, et on ne pouvait pas les distinguer: tous les deux faisaient le même genre de pain de maïs, les flocons de maïs. Chaque... La même quantité de calcium, la même quantité d’humidité, tout; ce qui était dans l’un était dans l’autre, tout aussi parfait. Et l’unique moyen pour vous de pouvoir les distinguer et de savoir qui est quoi, c’est de les planter, et tous les deux vont pourrir. Mais celui que l’homme a fabriqué périra tandis que celui que Dieu a créé, ayant un germe de vie, revivra.

J’ai dit: «Frère Spurgeon, vous feriez mieux de me tenir la main, car je risque de vous embarrasser.» J’ai dit: «Cela fait venir l’Esprit de Dieu sur un croyant.» Un homme peut vivre dans une église, professer être un chrétien, et tout. S’il n’a pas de germe de vie en lui, il restera là à la résurrection. Mais cet homme qui a la vie, qui est né de nouveau, ressuscitera aussi certainement que Jésus est ressuscité d’entre les morts. Absolument. Oh! Ces manières à moitié, une vie qui crève de faim.


Sturgis, Michigan, USA

E-34 Eh bien, quand Miriam, Moïse et les Israélites avaient vaincu, alors Dieu avait promis de pourvoir à tout ce dont ils avaient besoin au cours du pèlerinage. Quand Dieu fait une promesse, Dieu tiendra Sa Promesse.

Moïse ne s’inquiétait pas de ce que Pharaon avait dit, tout comme ses parents n’avaient pas non plus eu peur des instructions de Pharaon. Moïse savait, et Abraham savait, le prophète d’autrefois. Abraham était... savait que Dieu était capable de tenir ce qu’Il avait promis. Aussi n’avait-il pas peur de dire, alors qu’il avait soixante-quinze ans, que Sara allait avoir un enfant alors qu’elle en avait soixante-cinq. Et quand il a atteint cent ans, et Sara, quatre-vingt-dix, il rendait toujours louange à Dieu, devenant de plus en plus fort tout le temps.


Sturgis, Michigan, USA

E-35 Oh! Si on priait pour vous ce soir et que le matin vous n’étiez pas guéri, vous vous en iriez, disant: «Eh bien, je vous l’avais dit, il n’y a rien là.» Voyez? C’est la raison pour laquelle vous n’arrivez nulle part. Voyez? Mais Abraham, je peux le voir, après que Dieu lui eut donné la promesse, et Sara, à soixante-cinq ans, environ quinze ans depuis la ménopause; il avait vécu avec elle depuis qu’elle était une jeune fille... Et voici qu’il avait soixante-quinze ans, avant que Dieu l’ait donc appelé. Eh bien, il est allé, il a apprêté toutes les couches, les épingles et tout le reste. L’enfant allait venir. Dieu l’avait dit. Le premier mois passa: «Sara, qu’en est-il?»

«Pas de changement.»

«Eh bien, que Dieu soit loué, nous allons l’avoir de toute façon.» Voyez?

Le deuxième mois passa: «Comment te sens-tu, Sara

«Pas de changement.»

«Que Dieu soit loué, nous l’aurons de toute façon.»

«Pourquoi?»

«Dieu l’a dit.»

Je m’imagine que le médecin a dit: «Vous savez, le vieil homme est un peu détraqué, par ici. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond en lui. Cet homme de soixante-quinze ans, avec Sara, à soixante-cinq ans, dire qu’ils vont avoir un enfant. Ouf! Quelque chose ne tourne pas rond.

Mais cela n’ébranla pas Abraham. Il continua à dire: «Dieu peut tenir Sa promesse. Apprête tout, Sara, Il sera là.» Dix ans s’écoulèrent.

«Qu’en est-il?»

«Que Dieu soit loué, nous allons l’avoir de toute façon.»

Quinze ans s’écoulèrent, vingt ans, vingt-cinq ans, toujours pareil: «Ils louaient Dieu, nous allons l’avoir de toute façon.»

Et la Bible déclare qu’au lieu de faiblir, du fait que cela n’était pas arrivé dès le départ, il fut de plus en plus fortifié. Amen.

Et vous êtes les enfants d’Abraham, c’est-à-dire, si vous avez ce genre d’esprit qui peut prendre Dieu à Sa promesse. Si vous ne le pouvez pas, eh bien, vous n’êtes pas les enfants d’Abraham; en effet, nous avons la même foi que le fidèle Abraham. Il avait fait la promesse, l’alliance sans condition à Abraham et à sa postérité. Et vous êtes la postérité d’Abraham si vous êtes mort en Christ. Vous revêtez la nature de la postérité d’Abraham et vous devenez héritiers selon la promesse. Voyez-vous cela? Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Maintenant, remarquez [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... vous vous dites la postérité d’Abraham? Vous avez besoin d’être un peu plus proche de Dieu, c’est ce qu’il y a. Vous avez besoin de mourir à tous ces vieux intellectualismes.


Sturgis, Michigan, USA

E-38 Il y a quelque temps, une femme habitait dans les parages, un membre d’une église dénominationnelle très en vue. Je vais vous raconter cette petite histoire. Et elle... Je... Nous avions toujours douté de son expérience. Elle habitait près de l’église. Elle était une pianiste. Elle jouait du piano, c’était une très bonne femme, mais avec une foi intellectuelle. Voyez? Elle pensait simplement qu’elle était en ordre.

Il y avait un brave jeune garçon qui fréquentait cette église-là, il avait vraiment eu une expérience avec Dieu. Ils sont pour ainsi dire tombés amoureux, et finalement il l’a épousée. Ils ont déménagé. Elle a continué son travail de pianiste. Et peu après, le jeune garçon avait changé de travail, ils étaient obligés d’aller directement dans une autre ville. Dans cette ville-là, elle est devenue la pianiste d’une certaine dénomination, une église dénominationnelle bien connue dans cette ville-là. Elle est devenue une éminente pianiste.

Et pendant qu’elle était là en train de jouer du piano, elle était... elle a commencé à observer que les jeunes filles du quartier, membres de la même église, portaient toutes ces petits... ces habits scandaleux, elles sortaient et tondaient la pelouse dans la cour en ces drôles de petits... Je suis convaincu que vous les femmes, vous ne faites pas cela, là. Elles le font là au sud dans l’Indiana. Je ne pense pas que vous le feriez ici dans le Michigan. Voyez? Je pense que vous avez trop de considération pour vous-mêmes pour ne pas... pour permettre à vos enfants de porter de telles choses. La Bible déclare que c’est une abomination aux yeux de Dieu de faire cela.

Et elles–elles sortent et tondent la cour. Elle s’est dit: «Eh bien, je peux aussi faire ça. Vous savez...»

«Pourquoi pas? Les autres jeunes filles le font.»


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