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Sturgis, Michigan, USA

E-88 Une fois, à l’époque où on vendait les esclaves, on allait troquer des esclaves et tout. Et c’est ce que vous êtes ce soir, beaucoup parmi vous ici. Beaucoup parmi vous en ville, dans la campagne, vous n’êtes que des esclaves des églises, rien que des esclaves par rapport au christianisme, alors que vous devriez être libres. Amen. C’est vrai.

Il y eut une fois, un vieux négociant est passé par une grande plantation vers le sud de là où j’habitais. Cela fait des années et des années que j’ai entendu parler de cette histoire. Il y avait un groupe d’esclaves. Et ils étaient très inquiets. Ils étaient loin de chez eux. Ils ne savaient que faire. Ils savaient qu’ils ne retourneraient jamais. Les Hollandais les avaient amenés ici et ils les avaient vendus comme esclaves. Ils étaient loin de l’Afrique. Leurs amis étaient là-bas ainsi que leurs bien-aimés. Ils ne pouvaient plus jamais retourner. Ils étaient si démoralisés. On devait les pousser. Souvent, on prenait le fouet et on les fouettait et tout pour les faire travailler.

Et on a remarqué là-bas un jeune homme qu’on n’avait pas à fouetter. Il avait les épaules hautes. Si on le fouettait, il n’en faisait pas cas, il continuait à marcher comme cela. Il avait toujours des manières distinguées. Il cherchait à encourager les autres. Alors, un négociant a dit: «J’aimerais acheter cet esclave-là.»

On lui a dit: «Celui-là n’est pas à vendre.»

Il a dit: «Pourquoi ça?» Il a dit: «Pourquoi est-il si encouragé? Et pourquoi est-il si courageux?» Il a dit: «Pourquoi est-il si différent des autres?» Il a dit: «Avez-vous fait de lui le chef des autres?»

On lui a dit: «Non.» On lui a dit: «C’est juste un esclave.»

Il a demandé: «Le nourrissez-vous un peu mieux que les autres?»

On lui a dit: «Non, c’est juste un esclave.»

Il a demandé: «Qu’est-ce qui le fait agir comme cela

On lui a dit: «Je me suis moi-même posé des questions jusqu’à ce qu’un jour, je–j’ai découvert. Il est le fils du roi d’une tribu. Et quand bien même il est un étranger, loin de la maison, il se conduit toujours comme–comme le fils du roi, pour garder le moral des autres haut.»


Sturgis, Michigan, USA

E-91 Je vais vous poser une question. Ceci peut être notre toute dernière rencontre sur terre. Je ne suis pas tellement un prédicateur; je suis une roue de secours, pour un prédicateur. Généralement, mes services, c’est dans les lignes de prière et autres. Mais je sais bien de quoi je parle, amis. Je sais qu’un homme sans la nouvelle naissance est étranger à Dieu; il ne connaît pas Dieu. Je sais que vous devez accepter cette expérience si jamais vous allez au Ciel.

Jésus a dit: «Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit...» Il a dit: «Le vent souffle où il veut, et vous ne pouvez dire d’où il vient ni où il va; il en est de même de tout celui qui est né de l’Esprit.» S’il n’a pas cette expérience, il n’entrera en aucun cas dans le Royaume.


Sturgis, Michigan, USA

E-93 Et pendant que la soeur nous donne un accord sur le piano, j’aimerais voir combien ici aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière, afin que vous receviez cette expérience. Voudriez-vous lever la main pour dire: «Que Dieu soit miséricordieux envers moi. J’aimerais entrer dans la Présence de Dieu»? Voulez-vous lever la main?

Voulez-vous me dire que sur environ trois cents personnes, alors que je me tiens ici en tant que serviteur de Dieu, oint du Saint-Esprit, et je connais votre coeur, vous ne pouvez pas cacher votre vie s’il vous le fallait, voulez-vous me dire que vous êtes assis là avec votre main baissée, tout en sachant que Dieu vous parle, disant: «Je suis cette personne-là»? Et vous ne voulez pas, vous, vous ne voulez pas lever la main? Qu’allez-vous faire au Jugement? N’avez-vous pas honte de la façon dont vous L’avez traité? N’avez-vous pas honte? Que Dieu vous bénisse, madame. Il faut du courage pour lever la main. Je suis sûr que Dieu vous accordera cela, ce que vous demandez. Que Dieu bénisse votre vaillant coeur.


Sturgis, Michigan, USA

E-96 Ô Dieu, je n’ai pas confiance dans ma prière, mais j’ai confiance dans Ta promesse, peu importe combien elle est moindre, ce qu’elle est, combien faible est notre prière, Tu l’as promis, Christ. Et j’amène ces gens dans Ta Présence maintenant. Je Te les présente pour le désir qui est dans leur coeur. C’est un désir juste et pieux, de marcher près de Toi et d’être caché sous la puissance de la Gloire de la Shekinah, que ce qui est du monde soit enfermé loin d’eux, comme je le leur ai prêché ce soir.

Et maintenant, ô Dieu, je crois que Tu entends ce que je demande. Et je crois que les Paroles de Jésus sont vraies; tout ce que je demanderai, je le recevrai. Ainsi donc, Père, je Te remercie pour cela.

Et je m’adresse à l’adversaire, Satan, et je dis: «Satan, nous prenons position en tant que représentant de Dieu. Nous prenons position, alors qu’une croix ensanglantée nous précède, représentant le Fils de Dieu qui est mort là pour te vaincre. Tu n’es qu’un bluffeur. «Car là, Il a été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Et tu n’es qu’un bluffeur, qui cherche à bluffer les gens. Mais ton bluff est repoussé maintenant. Tu ne peux plus les garder davantage. Je t’adjure par le Dieu vivant, le Seigneur Jésus-Christ, de les quitter ce soir et de ne plus les déranger. Je crois que nous avons ceci, et Jésus-Christ a dit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons.» Et c’est toi le tourmenteur qui les a troublés. Mais tu ne peux plus le faire. Ils seront libérés à partir de cette heure même et vivront dans la Présence de Dieu, jusqu’à ce que la mort les libère.


Sturgis, Michigan, USA

E-101 J’en ai connu en Afrique, où les gens se tenaient là, les sorciers se tenaient là et laaient un défi. Ne faites jamais une déclaration là si vous ne savez pas de quoi vous parlez. Ils boivent le sang dans un crâne humain, ils se font des entailles et tout. Ils se tenaient là et ils laaient un défi; et j’ai prononcé le Nom du Seigneur Jésus et je les ai vus se prosterner par terre. C’est vrai. On les a vus entrer, se tenir là, chercher à m’hypnotiser. Il allait là, et il allait me faire aboyer comme un chien, et pendant qu’il se tenait là, essayant de faire quelque chose comme cela, j’ai senti cet esprit étrange, pendant que l’onction était là; j’ai regardé. J’ai dit: «Toi enfant du diable, pourquoi fais-tu cela?» J’ai dit: «Maudit sois-tu; tu ne sortiras pas de ton siège, au Nom de Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu.» Et il est resté assis là, paralysé sur le siège, et on l’a fait sortir en le transportant. Voyez?

Vous devez faire attention à ce que vous faites. Ne faites plus de religion. C’est vrai.


Sturgis, Michigan, USA

E-102 Alors, pendant que nous étions assis sous la véranda en train de parler, il m’est arrivé de voir, à dix heures de la journée, un vieil opossum remonter la route. Je ne sais pas ce que vous... Je pense que vous en avez ici. Vous en avez certainement ici dans cet Etat. Eh bien, tout celui qui connaît la conservation de la nature le sait; l’opossum est aveugle la journée. Ils rôdent la nuit. Et là, on était à dix heures, il remontait en traînant sa patte, comme ça. Et j’ai dit: «Cet opossum-là», il a dépassé environ quatre ou cinq maisons, il sortait du bois, par rapport à chez moi, il remontait droit le sentier. Et j’étais l’unique à avoir une clôture, mais il est venu à mon portail, il est entré, et s’est mis à monter. J’ai dit: «Cet opossum a la rage.» Voyez? C’est... C’est ça le problème. Il est devenu fou. Et alors, il y avait là dans la cour un vieux râteau déposé là; monsieur Wood était assis là; madame Wood était là, présente; un laitier se tenait là, il me parlait, monsieur Gilmore, un ami à moi, et les deux jeunes gens, eux tous étaient là, on parlait. Et je les enseignais.

Une jeune fille de couleur, la veille, avait eu un enfant; elle l’a pris, l’a enveloppé, l’a étouffé à mort et l’a jeté dans la rivière, comme ça. Et nous parlions du coeur de cette jeune fille-là.


Sturgis, Michigan, USA

E-103 Et alors, je suis allé là, j’ai pris un râteau, je l’ai jeté sur l’opossum, et généralement ils font ce qu’on appelle «faire l’opossum», ils se couchent simplement et grimacent en montrant les dents. Au lieu de cela, il continuait à se tortiller. J’ai regardé ici. Ceci est un... Je ne veux pas vous soulever le coeur, mais il était couvert de mouches, il était couvert de vers, et sa patte était recroquevillée, juste enflée comme cela. Soit un véhicule l’avait cogné, soit les chiens l’avaient broyé.

J’ai dit: «Oh! Il est blessé.» Il m’est arrivé de voir qu’il cherchait à se lever. Et alors, j’ai vu qu’il avait neuf petits nus à peu près comme ça, des petits opossums. Et j’ai dit: «Elle est plus mère que ne l’était la jeune fille, quand bien même elle est une bête.» J’ai dit: «Elle n’a peut-être pas une demi-heure à vivre, mais elle passera la demi-heure à combattre pour protéger ces petits.» J’ai dit: «L’opossum a plus de moralité que cette jeune fille-là.» C’est vrai. Et j’enseignais les jeunes gens à partir de cela.

Et juste cela, aussitôt que j’avais ramassé le râteau, il est parti à toute vitesse, montant directement ma marche, directement à côté de ma marche par où on monte, et il s’est couché, fatigué.


Sturgis, Michigan, USA

E-107 Alors, je suis rentré et je me suis assis au bureau. J’étais assis là, comme ceci, me frottant la tête. Et j’ai dit: «Eh bien, je ne sais que faire.»

Et une Voix m’a parlé. Je ne sais pas; c’est à vous de croire cela, si vous le voulez. C’est à vous. Mais une Voix, une Voix audible a parlé, disant: «Elle est couchée à ta porte pendant vingt-quatre heures comme une dame, attendant son tour pour qu’on prie pour elle.»

J’ai dit: «Je ne savais pas ça

Et Il a dit: «Eh bien, elle est montée là, elle s’est couchée là, et tu n’as pas encore prié pour elle. Et elle a attendu et attendu.»

J’ai dit: «Eh bien, je ne savais pas.» Je me suis dit: «Où suis-je... Est-ce que je me parle à moi-même?» Je me suis dit: «Où est cette Voix-là.»

Je suis allé dehors, là où était l’opossum. J’ai dit: «Bien-Aimé Jésus, si Toi avec Ta puissance omnipotente, je sais que Tu T’intéresses même à un passereau, de sorte qu’il ne peut pas tomber dans la rue sans que Tu le saches. Et cet opossum n’a même pas d’âme; c’est un animal. Et si Tu as conduit cette vieille mère opossum ici...»

Et Il avait dit là à l’intérieur, aussi: «Tu t’es servi d’elle hier comme un sermon et tu as dit quelle vraie mère elle était. Et la voici, elle veut vivre pour ses petits. Et tu n’as pas prié pour elle.»


Sturgis, Michigan, USA

E-108 Et j’ai dit: «Ô Dieu, si–si c’est Toi qui parles, je regrette, c’est l’ignorance de Ton serviteur. Je ne savais pas que le–l’opossum était couché là pour cela.» J’ai dit: «Seigneur, si c’est... pour que Tu... pour que je fasse ceci, je prie donc au Nom de Jésus, Père, que Tu restitues la vie à l’opossum.» Et aussitôt que j’avais dit cela, et voici, c’est la vérité. Cet opossum s’est relevé et m’a regardé, il a rassemblé ses petits, il est retournée dans son petit... L’opossum et le kangourou sont les seuls deux animaux à avoir une–une poche où ils portent leurs petits. Il a rassemblé ses opossums, il est allé tout aussi bien que n’importe–n’importe quel opossum pouvait marcher, il s’est retourné vers moi, comme pour dire: «Merci, monsieur.» Il est directement descendu la rue, il est allé dans les bois, heureux de vivre avec ses petits.

Si le Dieu Tout-Puissant... Et c’est la vérité, la Bible est déposée devant moi, et témoignage après témoignage. Les journaux locaux ont publié cela et tout le reste. Regardez. Si Dieu s’intéresse assez pour avoir pitié d’un opossum ignorant, à combien plus forte raison se soucie-t-Il d’un fils ou d’une fille de Dieu qui est dans le besoin?

Voyez-vous, mon frère, ma soeur, Dieu vit toujours et règne. Ne croyez-vous pas cela? Si vous êtes sans Lui ce soir, acceptez-Le.


Sturgis, Michigan, USA

E-110 Voici ce que j’aimerais que vous fassiez. Maintenant, ceci, je n’aimerais pas que vous... Je vais dire une prière. Je n’aimerais pas que vous la récitiez simplement, j’aimerais que vous priiez. Et suivez-moi maintenant, alors que vous faites votre confession et que vous dites exactement ce que je dis.

Dieu Tout-Puissant [L’assemblée répète après frère Branham.–N.D.E.], Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, moi, Ton serviteur, j’ai un besoin. Je crois maintenant que Jésus-Christ, Ton Fils, est mort pour me sauver du péché, et j’accepte cela, mon salut. Je crois qu’Il a été blessé pour mes péchés, et que c’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri. Et je crois cela. Et j’accepte cela. Et je crois de tout mon coeur que Ses meurtrissures me guérissent maintenant. Et je vais accepter cela. Je témoignerai de cela. Je glorifierai Dieu par cela. Et à partir de ce soir, Je le louerai pour ma guérison, par Jésus-Christ, mon Seigneur.


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