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Owensboro, Kentucky, USA

E-61 Ce soir-là, quand cette petite fille allemande, portant une petite robe, avec son petit visage blanc... Je ne l'avais jamais remarquée, j'ai entendu crier les gens, et je suis allé et me suis retourné comme ceci, et personne n'essayait de la conduire... Dans ce pays, ils étaient obligés de prendre un homme qui parlait leur langue pour leur distribuer des cartes de prière.

Et donc, cet homme n'était pas très bien expérimenté, et il a laissé la petite fille, au lieu de s'éloigner d'elle, il l'a simplement fait monter là sur l'estrade. Elle était à peu près la troisième ou la quatrième personne sur l'estrade. Et j'ai regardé, et elle était près du bord de l'estrade qui était beaucoup plus élevée que le plafond; elle a gravi plusieurs marches pour y arriver.

Et quand j'ai regardé, elle était... J'ai tendu la main et je l'ai saisie comme cela et l'interprète a commencé à lui parler. Et elle marmonnait quelque chose. Elle a dit: "Je veux rencontrer l'homme qui va prier pour moi"; une petite aveugle. Et il...

L'interprète a dit: "C'est bien celui qui te tient." Et elle a bougé ses petites mains. A propos, je portais ce même costume qu'on m'avait offert à Oslo il y a environ six ans. Elle a alors mis ses petits bras autour de moi, comme ceci, puis elle a posé sa petite tête sur mon épaule. Je me suis dit: "C'est comme ma petite Becky." Et j'ai caressé sa longue petite tresse comme cela, et j'ai pensé: "Pauvre petite créature." Et je l'ai entendue sangloter comme une enfant sur ma poitrine. J'ai soulevé sa petite tête et ses yeux étaient blancs, en regardant son petit visage, alors qu'elle était penchée vers l'arrière comme cela sur mon bras.


Owensboro, Kentucky, USA

E-62 Et là, par la grâce de Dieu, j'ai vu une vision apparaître. J'ai vu la petite fille couchée dans les bras de sa mère, pendant que son médecin la consultait, et elle a dit qu'elle était aveugle de naissance. Sa mère était grande, mince, avec des cheveux blonds; j'ai vu son père, un homme de petite taille, costaud, avec des cheveux noirs, et l'endroit où ils se trouvaient, et la... disait la vision. Et la mère était assise là dans l'auditoire et le père se trouvait tout au fond, parmi des milliers et des milliers de gens; il était assis là-derrière. Et quand j'ai regardé en arrière, j'ai dit: "Eh bien, évidemment je n'ai aucun pouvoir." Qu'était-ce? C'était l'atmosphère. C'était la Shekinah qui donnait la chose.

Et j'ai regardé, j'ai vu la petite fille s'en aller comme une ombre, partant de cette petite fille, marchant les mains en l'air, regardant tout autour et parlant en désignant les choses du doigt. Je savais que le Dieu du Ciel était vivant et régnait...?... prié pour elle, je l'ai soulevée et elle me regardait, et ses petits yeux étaient grand ouverts et brillaient. Elle a marmonné quelque chose.

Et l'interprète a baissé les yeux; il a dit: "Frère Branham, elle voit."

J'ai dit: "Gardez cela pour vous juste un instant." J'ai dit: "Que dit-elle?"

Il a dit: "Elle demande ce que sont ces - ces choses-là?" C'étaient des lumières. Et quand l'interprète... Elle était assez proche de sa mère et elle avait entendu sa voix et celles des autres. Et elle a levé les yeux et a commencé à pleurer très fort. Et sa mère, si excitée...

L'influence a gagné toute la salle; le tout était sous l'influence céleste. Le diable s'en allait à toute vitesse. L'influence... Sa mère a laissé échapper un cri et elle a couru si vite au point qu'elle a perdu ses chaussures; elles se sont envolées derrière elle. Elle s'est précipitée sur l'estrade; elle a jeté ses bras autour de l'enfant, et l'enfant a dit: "Es-tu ma mère?" C'était la première fois qu'elle la voyait, elle a dit: "Oh! maman, tu es si belle! Tu es si belle, maman."


Georgetown, Indiana, USA

E-2 Je suis content ce soir de voir mon ami docteur Cauble là. Je ne sais pas si on l’a déjà présenté ou pas, il vient de Church Of The Open Door [Eglise de la Porte Ouverte], à Louisville. Avez-vous été présenté, Frère Cauble? Voudriez-vous vous lever juste un instant? Simplement je... Je n’aimerais pas l’embarrasser, mais c’est le docteur Cauble, de Church Of The Open Door. Presque tout le monde le connaît, je pense, par ici, car il exerce un ministère par radio et c’est un ministère très remarquable.

Et puis, je pense, nous avons eu de très bonnes réunions à Louisville, dans le Kentucky, chez docteur Cauble. C’est toujours un plaisir de l’avoir dans les réunions. Puis aussi, ces autres ministres ici, je pense que certains d’entre eux sont des églises locales. Et, frères, je peux ne pas vous connaître, mais je suis content que vous soyez ici et que vous anticipiez pour ce petit moment de communion d’ensemble. Ça a plutôt été une annonce rapide. Je ne le savais pas jusqu’avant hier, je pense que c’était ça, que je descendais.

Et frère Arganbright, votre... un de vos jeunes gens d’ici sur place des environs, eh bien, vous savez comment il oeuvre en un laps de temps; juste selon que l’Esprit semble le conduire, eh bien, il se met à agir.

Récemment, j’étais, oh! il y a de cela quelques six à huit mois, j’étais assis chez moi un jour. Et je me préparais pour aller à Denver, dans le Colorado, à une convention. Et ce jeune homme est entré dans la maison. Il a dit: «Frère Branham, j’ai une grande révélation de la part du Seigneur.»

J’ai dit: «Oui, monsieur.»

Il a dit: «Le Seigneur m’a mis à coeur d’aller à Zurich, en Suisse.» Il a dit: «Voudriez-vous aller avec moi?»

J’ai dit: «Eh bien, j’ai une soirée là à Denver; ensuite, j’irai à une autre réunion.» J’ai dit: «Ce n’est pas trop important. Pourquoi?» Plus j’y pensais, eh bien, il m’a semblé que si je savais que frère Arganbright avait une révélation pour quelque chose, c’était bien, et cela venait de Dieu.

Et nous sommes allés en Suisse, et le Seigneur nous a donné cinquante mille âmes. De là, nous sommes allés à Karlsruhe, en Allemagne, et Il nous a donné environ cinquante autre mille âmes. Cela faisait cent mille âmes au cours de cette petite campagne. Comme Il nous a bénis! Et–et maintenant, nous envisageons rentrer cet été, ou au début de cet automne, en Afrique, en Suisse, en Inde, et beaucoup de tournées à travers le pays.


Georgetown, Indiana, USA

E-3 Je vais maintenant à Minneapolis, dans le Minnesota, là-bas dans une arène pour les prochaines réunions, et ensuite nous irons à Sioux Falls, puis nous irons dans l’ancienne Mexique, à l’ancienne Mexico City, là dans une arène. A notre retour, nous irons sur la Côte Est; et ensuite, de là, à Anchorage, en Alaska. Puis, nous aurons des réunions en Amérique. Nous aurons une nouvelle tente d’une capacité d’accueil de plusieurs milliers de gens, des camions, et autres, pour quelques réunions en Amérique avant de retourner outre-mer.

Nous sollicitons certainement vos prières, de vous par ici. Ceux-ci sont les gens de la maison, vous savez, comme je suis de nouveau de retour à la maison. Et nous apprécions certainement vos prières. Et quand nous venons dans ces petites réunions inter-évangéliques, nous ne venons pas représenter une quelconque église, une quelconque dénomination, des groupes spéciaux de gens. Nous venons uniquement parce que nous aimons Jésus, et nous savons que vous L’aimez aussi. Et nous venons en ces endroits pour un temps de communion, pour communier autour de Sa Parole et autour de Sa bénédiction promise. Et je suis... C’est l’unique motif que nous avons, c’est pour ces réunions.

Et nous sommes content ce soir d’avoir frère Tommy Nickelson parmi nous ici. Il est... Je suis sûr qu’il a été présenté par frère Arganbright, c’est lui le–l’éditeur de La Voix des Hommes Chrétiens, sur le plan international, un groupe d’hommes auquel je suis fier d’appartenir. C’est un... Ce sont des hommes d’affaires chrétiens qui ont formé leur organisation, et c’est devenu une affaire internationale. Ils me parrainent dans la plupart de mes réunions à travers le monde. Et c’est lui l’éditeur de La Voix des Hommes Chrétiens.

Ainsi donc, nous sommes allés aujourd’hui réunir quelques témoignages des anciens cas, pour voir si la guérison divine dure ou pas. Nous sommes allés chez Madame Carter. J’espère qu’ils sont ici ce soir, Georgie et madame Carter, et... Georgie est l’un des cas de ceux qui ont été guéris, je pense, il y a environ quatorze ou quinze ans.

Et l’un de vos hommes d’ici sur place, monsieur Hall, c’était l’un de mes convertis à l’Eglise baptiste de Milltown, dont j’étais pasteur... Et il a été guéri de cancer ici il y a quelques années, il était abandonné à Louisville par les médecins, à travers le pays. Et il est bien portant ici, ce soir, en bonne santé et bien portant. Je le vois assis ici présent.


Georgetown, Indiana, USA

E-4 Nous sommes allés à un endroit où l’Ange du Seigneur était descendu et Il m’a dit quoi faire. Et maintenant, mes amis chrétiens, sur ce point, nous en venons à cette chose. Nous ne prétendons pas être capables d’accomplir n’importe quelle guérison; comme nos prédicateurs, le ministère ne se caractérise pas par la guérison divine, mais nous croyons à la guérison divine, car c’est l’Evangile.

Et aucun homme ne peut guérir quelqu’un. La guérison ne relève pas du pouvoir de l’homme. La guérison relève du pouvoir de Dieu. Et Dieu ne donne pas aux hommes le pouvoir de guérir. C’est uniquement à Christ que Dieu a donné la–la mission de venir sur la terre pour mourir à notre place pour nos péchés et nos maladies. Les Ecritures déclarent: «Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été (avons été, c’est au passé), nous avons été guéris.» Nous croyons que, sur base de notre confession de foi, Jésus, notre Souverain Sacrificateur, est mort et Il est ressuscité pour ôter le péché du monde, et Il est assis à la droite de Dieu, le Père, là, intercédant sur base de notre confession.

Et quand Il est mort pour nos péchés, Il ne pouvait pas mourir pour les péchés sans mourir pour la maladie. La maladie est un attribut du péché. Eh bien, peut-être que vous n’avez pas commis de péché, comme ce qui est à la base de votre maladie, mais pour commencer, c’était le péché qui était la cause, qui a introduit la maladie dans le monde. Avant d’avoir donc commis un péché, nous ne connaissions pas de maladie. Mais comme la maladie faisait partie du péché, c’en est un attribut. Ainsi donc, vous ne pouvez pas traiter avec le péché de n’importe quelle manière, sans traiter avec la maladie ou chaque attribut que le péché a produit. Le péché, quand nous traitons avec le péché, nous traitons avec la mort. Quand nous traitons... Et la maladie est la–la–la première étape de la mort, quand la maladie s’empare de votre corps.

Au cours d’une soirée comme celle-ci, avec un petit rassemblement, une annonce de deux jours pour que vous veniez vous rassembler dans la salle ce soir, ce serait difficile d’essayer d’entrer en détails, ce que nous ferions dans les campagnes où nous durons des semaines et des semaines, pour expliquer ce qu’est la maladie, d’où elle vient. Et il n’existe qu’une raison pour cela et il existe une cause. Et vous ne pouvez pas trouver le remède avant d’avoir trouvé la cause.

C’est ce que je disais ici il n’y a pas longtemps. Si j’allais chez un médecin... Je ne suis certainement pas contre les médecins, contre les chirurgiens, les interventions chirurgicales, les hôpitaux; ce sont tous des programmes de Dieu. Mais si j’allais chez un médecin et que je lui disais que je souffre des maux de tête persistants, qu’il me donnait une aspirine et qu’il disait: «Eh bien, allez-vous-en, Billy, ce sera en ordre», eh bien, cet homme se débarrasse de moi. Voyez? Il... le... Un vrai médecin ferait le diagnostic de mon cas pour voir ce qui cloche chez moi. Et alors, il remontera à l’origine, là où ça se trouve, et ensuite il se mettra à travailler à partir de là. Eh bien, maintenant, c’est ainsi qu’il nous faut travailler dans le domaine de–dans le domaine de la guérison divine, ou dans le domaine du salut de l’âme. Si un homme vient et qu’il dit être vraiment dérangé pour son–son salut, la première chose à faire, que vous les prédicateurs vous faites, vous remontez la piste jusqu’à trouver là dans le passé, là où il a dévié ou ce qui s’est passé. De là, vous faites cela. C’est pareil avec la guérison divine. En effet, la guérison divine ne consiste pas en une puissance que Dieu a donnée à un homme, la guérison réside uniquement dans l’expiation.


Georgetown, Indiana, USA

E-6 Si... J’ai souvent fait cette déclaration, que vous ne pourriez queue vous ne pourriez en aucun cas... Si un serpent ou un animal m’enfonçait ses pattes au flanc et qu’il me blessait au flanc, et qu’il me tuait, point n’est besoin pour moi de chercher de lui couper la patte; frappez-le simplement à la tête. Détruisez sa tête; cela tue tout le corps.

Eh bien, c’est pareil avec la guérison divine. Quand Jésus traitait avec la maladie ou le péché au Calvaire, Il avait eu à traiter avec la tête de cela, ce qui était le péché. Et en faisant cela, Il a traité avec la maladie qui accompagne cela. Il n’avait pas juste à couper la patte; Il a simplement tué la tête et cela a pris soin du reste. Jésus est donc venu ramener à la race humaine tout ce que... tout ce que la race d’Adam était, tout ce que le péché d’Adam a détruit au jardin d’Eden. Ainsi donc, nous avons les attributs ou le gage de notre salut éternel quand nous acceptons Christ comme notre Sauveur, ou Christ comme notre Guérisseur. Nous avons cet acompte de notre rédemption totale lorsqu’Il vient.

Nous sommes tentés. Nous tous, nous sommes tentés. Nous tous, nous péchons. Il n’y a personne qui est sans péché. Chaque jour, vous péchez. Paul a dit qu’il devait mourir chaque jour. Et si nous disons que nous péchons... que nous n’avons pas de péché, alors la Bible déclare que nous faisons Dieu menteur. Et nous ne pouvons pas faire cela. Nous péchons donc chaque jour. Et c’est la grâce, la grâce de Dieu, qui nous sauve.

Et aussitôt que nous confessons nos fautes, Dieu est juste pour nous les pardonner. Et votre–votre confession, tant qu’elle tient bon, votre salut est parfait, c’est pareil pour la guérison divine. Il s’agit de votre foi personnelle dans le Seigneur Jésus ressuscité.

Ainsi, ce soir, je pensais qu’en prenant ce peu de temps de communion avec vous, en cet endroit où toutes les églises peuvent... ce petit groupe de gens peut simplement se rassembler ici dans cette petite ville de–de Georgetown, et nous...


Georgetown, Indiana, USA

E-8 Notre Bienveillant Père céleste, nous sommes assemblés ici au Nom de Ton Bien.-.Aimé Fils, le Seigneur Jésus, qui est mort librement pour nos péchés et nos offenses. Il est mort afin qu’Il puisse nous sauver de la vie du péché et nous amener au Ciel un glorieux jour, à Sa Venue. Il est mort aussi pour que, par Ses meurtrissures, nous soyons guéris de nos maladies. «Et Il était blessé pour nos transgressions; Il était brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris», a dit le prophète.

Maintenant, nous Te prions, Père céleste, d’être miséricordieux envers nous, afin que nous ayons juste cette seule soirée de rassemblement ici dans cette ville. Nous Te prions de bénir ceux qui ont rendu ceci possible pour la réunion, et aussi ceux qui se sont rassemblés avec nous pour communier autour de la Parole. Nous Te prions, Père, de bénir aussi tout celui qui est dans la Présence Divine. Que celle-ci soit une soirée dont on se souviendra longtemps. Que celle-ci soit une soirée comme une réunion apostolique d’autrefois, quand les gens se rassembleraient, en petits groupes.

Un soir, pendant que Saint Paul prêchait, tard dans la nuit, un jeune homme, selon ce qu’on nous rapporte, tomba de la chambre haute et mourut. Et Paul posa son corps sur le jeune garçon, et Dieu le ramena à la vie.

Nous sommes reconnaissants d’avoir ce soir le même Evangile à prêcher aux gens, que Dieu soit toujours vivant et qu’Il règne. Il guérit les malades. Il pardonne tous nos péchés.

Et Père, nous Te prions ce soir de nous bénir en tant qu’un peuple. Et maintenant, Tu as dit ceci dans Ton humble Parole: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Et nous croyons que ce que nous demandons, nous le recevons, car c’est conformément à Sa Parole.

Et quand nous sortirons d’ici ce soir, en différents groupes et que nous retournerons à nos maisons respectives, voudrais-Tu nous visiter de telle manière que nous aurons un témoignage dans notre coeur et que notre conversation, alors que nous sortirons d’ici, sera comme celle de ceux qui revenaient d’Emmaüs lors de la première résurrection, quand ils avaient rencontré le Seigneur Jésus ressuscité pour la première fois? Ils ont dit: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Puisses-Tu parler à chaque coeur ce soir, car nous le demandons au Nom de Ton Bien.-.Aimé Fils, le Seigneur Jésus. Amen.


Georgetown, Indiana, USA

E-12 Hébreux 13... 8.13, 13.8 plutôt déclare que Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui et éternellement. C’est-à-dire le même quant au principe, le même quant à la puissance, le même quant à la résurrection, le même quant à l’omnipotence, le même quant à l’omniprésence, le même en–en–en tout. Il est–Il est juste le même qu’Il était autrefois. Et tout ce qu’Il était autrefois, Il l’est aujourd’hui, les Ecritures déclarent que c’est vrai. Tout, en ce qui Le concerne, reste le même.

Eh bien, ainsi si nous... Tout le monde aimerait croire cela, mais pourtant Le limiter à un credo. Eh bien, nous dirons: «Je suis membre de l’Eglise baptiste.» Je dis baptiste, parce que c’est l’église dans laquelle j’ai été ordonné. Dites donc, je–je... Eh bien, les baptistes disent: «Eh bien, notre credo est vrai.» Les méthodistes veulent que leur credo soit vrai. Mais si nous limitons Dieu ... Ce credo-là, je n’ai rien contre cela; et tout cela, c’est en ordre. Mais si nous limitons Dieu à ce credo-là, alors nous limitons Dieu. Et nous essayons de dire que c’est aussi loin qu’on peut marcher.


Georgetown, Indiana, USA

E-15 Et l’évêque de l’Eglise méthodiste a dit: «Frère Branham, nous ne nous attendons pas à ce que vous fassiez le missionnaire, a-t-il dit, parce que nous ne voulons pas entendre parler du mot missionnaire, a-t-il dit, car vous, les Occidentaux, avec votre instruction occidental, vous ne comprenez pas les Ecritures sous l’angle d’un Livre de l’Orient.» Et c’est vrai.

Avec toute notre théologie, si jamais vous allez à Jérusalem, ou dans un pays de l’Orient, là où cette Bible a été écrite, Elle deviendra un nouveau Livre pour vous. Nos idées de l’Occident sont très éloignées des manières orientales. Vous n’allez pas... Vous ne pouvez pas comprendre les paraboles, et tout, l’enseignement, à moins que vous alliez là et que vous voyiez ces mêmes traditions être vécues aujourd’hui.

Et beaucoup de gens enverraient... Je n’ai rien contre les séminaires, les étudiants, les monastères et tout, mais tout cela, ils ne connaîtront jamais Dieu. Cela consiste uniquement à connaître le catéchisme et autres comme cela. Connaître Dieu, c’est connaître la Personne, Christ Lui-même, et Le connaître Lui, c’est la Vie. Il ne s’agit pas de connaître votre manuel, ou de connaître votre credo, ou de connaître votre catéchisme, ce n’est pas ça la Vie. C’est connaître Christ, la Personne, c’est la Vie Eternelle. Et c’est ce que nous voudrions connaître.


Georgetown, Indiana, USA

E-16 Eh bien, cet évêque m’a dit, il a dit: «Révérend Branham, concernant la théologie, a-t-il dit, nous avons reçu la Bible mille sept cents ans avant que vous soyez une nation.» C’est vrai. Saint Thomas est allé là et... Je me suis tenu dans une église et j’ai prêché là où saint Thomas... l’église originelle, qu’il a établie en Inde, lorsqu’il a quitté Jérusalem pour aller en Inde, et il a établi une église.

Il a dit: «Nous avons donc eu la Bible depuis lors. Et nous avons reçu le christianisme depuis lors, mais, a-t-il dit, il est très bas en Inde.» Et il a dit: «Nous avons entendu parler du docteur Reidhead, l’homme qui est venu auprès de vous, qui était le–le président de Grandes Missions Soudanaise», les plus grandes au monde. Il est venu vers moi. Et il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, j’ai assez de diplômes pour plâtrer un mur avec: Docteur en théologie, diplôme de licence, et toutes sortes de diplômes.» Il a dit: «J’ai étudié depuis l’âge d’environ huit ans. Mais, a-t-il dit, Frère Branham, où est Christ dans tout cela?» Il a dit: «Les enseignants étaient-ils en erreur.»


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