Georgetown, Indiana, USA
E-4 Nous sommes allés à un endroit où l’Ange du Seigneur était descendu et Il m’a dit quoi faire. Et maintenant, mes amis chrétiens, sur ce point, nous en venons à cette chose. Nous ne prétendons pas être capables d’accomplir n’importe quelle guérison; comme nos prédicateurs, le ministère ne se caractérise pas par la guérison divine, mais nous croyons à la guérison divine, car c’est l’Evangile.
Et aucun homme ne peut guérir quelqu’un. La guérison ne relève pas du pouvoir de l’homme. La guérison relève du pouvoir de Dieu. Et Dieu ne donne pas aux hommes le pouvoir de guérir. C’est uniquement à Christ que Dieu a donné la–la mission de venir sur la terre pour mourir à notre place pour nos péchés et nos maladies. Les Ecritures déclarent: «Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été (avons été, c’est au passé), nous avons été guéris.» Nous croyons que, sur base de notre confession de foi, Jésus, notre Souverain Sacrificateur, est mort et Il est ressuscité pour ôter le péché du monde, et Il est assis à la droite de Dieu, le Père, là, intercédant sur base de notre confession.
Et quand Il est mort pour nos péchés, Il ne pouvait pas mourir pour les péchés sans mourir pour la maladie. La maladie est un attribut du péché. Eh bien, peut-être que vous n’avez pas commis de péché, comme ce qui est à la base de votre maladie, mais pour commencer, c’était le péché qui était la cause, qui a introduit la maladie dans le monde. Avant d’avoir donc commis un péché, nous ne connaissions pas de maladie. Mais comme la maladie faisait partie du péché, c’en est un attribut. Ainsi donc, vous ne pouvez pas traiter avec le péché de n’importe quelle manière, sans traiter avec la maladie ou chaque attribut que le péché a produit. Le péché, quand nous traitons avec le péché, nous traitons avec la mort. Quand nous traitons... Et la maladie est la–la–la première étape de la mort, quand la maladie s’empare de votre corps.
Au cours d’une soirée comme celle-ci, avec un petit rassemblement, une annonce de deux jours pour que vous veniez vous rassembler dans la salle ce soir, ce serait difficile d’essayer d’entrer en détails, ce que nous ferions dans les campagnes où nous durons des semaines et des semaines, pour expliquer ce qu’est la maladie, d’où elle vient. Et il n’existe qu’une raison pour cela et il existe une cause. Et vous ne pouvez pas trouver le remède avant d’avoir trouvé la cause.
C’est ce que je disais ici il n’y a pas longtemps. Si j’allais chez un médecin... Je ne suis certainement pas contre les médecins, contre les chirurgiens, les interventions chirurgicales, les hôpitaux; ce sont tous des programmes de Dieu. Mais si j’allais chez un médecin et que je lui disais que je souffre des maux de tête persistants, qu’il me donnait une aspirine et qu’il disait: «Eh bien, allez-vous-en, Billy, ce sera en ordre», eh bien, cet homme se débarrasse de moi. Voyez? Il... le... Un vrai médecin ferait le diagnostic de mon cas pour voir ce qui cloche chez moi. Et alors, il remontera à l’origine, là où ça se trouve, et ensuite il se mettra à travailler à partir de là. Eh bien, maintenant, c’est ainsi qu’il nous faut travailler dans le domaine de–dans le domaine de la guérison divine, ou dans le domaine du salut de l’âme. Si un homme vient et qu’il dit être vraiment dérangé pour son–son salut, la première chose à faire, que vous les prédicateurs vous faites, vous remontez la piste jusqu’à trouver là dans le passé, là où il a dévié ou ce qui s’est passé. De là, vous faites cela. C’est pareil avec la guérison divine. En effet, la guérison divine ne consiste pas en une puissance que Dieu a donnée à un homme, la guérison réside uniquement dans l’expiation.