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Chicago, Illinois, USA

E-23 Eh bien, vous pouvez vous demander ce qui se passe à l’estrade quand un–un–un patient... ou je ne dirais pas cela comme ça; ça serait trop en des termes médicaux. Puis-je le dire, quand un ami se tient devant moi, ayant besoin d’assistance, voici ce qui se passe. Le... Je n’ai rien à faire avec cela, rien. C’est ce patient-là lui-même qui fait opérer ce don divin. Je n’ai rien du tout à faire avec cela. Je continue simplement à m’abandonner, m’abandonner, jusqu’à ce que son esprit et l’Esprit qui est–qui est sur moi, quand je me suis abandonné à... au point que le Saint-Esprit... (Je peux L’appeler comme ça, expliquer plutôt cela comme ceci, afin que vous compreniez.) Voici, le Saint-Esprit est ici en haut, et alors, je continue simplement à m’abandonner moi-même à Lui jusqu’à ce que je sois sûr qu’Il est–qu’Il est là. Alors, je parle à la personne jusqu’à ce que je puisse attirer son attention. Avant cela, je ne sais rien d’autre; et le Saint-Esprit, par mon esprit qui est abandonné, me montre sa vie. Et quand cela se passe, cela édifie la foi du patient à un niveau comme ceci; et souvent, après, je me mets à dire autre chose; et cela m’arrêtera. Alors, je dis: «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Eh bien, observez cela. C’est parfait à chaque coup. Cela ne faillit jamais. Cela lui dira juste exactement ce qui est sur le point d’arriver, et ça sera comme ça. Notez-le et voyez si ce n’est pas comme ça. Eh bien, c’est–c’est le patient qui fait cela.


Chicago, Illinois, USA

E-24 Eh bien, je peux présenter cela sous une petite forme amateur afin que vous compreniez. Disons qu’il y a–il y a un immense... Nous sommes tous de petits garçons et de petites filles, nous sommes ici au... dans notre tendre enfance, et il y a un immense mur de clôture, et il se déroule un carnaval à l’intérieur. Et il se fait que je–je–je suis un peu plus élancé que vous. Peut-être que vous, vous êtes plus fort que moi, mais moi, je suis plus élancé. Voyez, Dieu crée des gens de différentes façons pour différentes oeuvres. Eh bien alors, là-haut, ici, juste par où je peux regarder, il y a un trou au mur. Eh bien, maintenant, je peux tenir au sommet, parce que je suis un peu plus élancé, je peux me tirer sur mes doigts, et regarder au travers de ce trou; je peux redescendre et vous dire ce que j’ai vu. Avez-vous une idée? Maintenant, me suivez-vous?


Chicago, Illinois, USA

E-26 Or, hier soir, je disais qu’un homme était à l’estrade (Frère Joseph m’a dit après qu’il m’a rencontré.), que cet homme était... je... Pour commencer, quand il est monté, je pensais qu’il était sourd-muet. J’ai dit: «Bonsoir, monsieur.» Quelque chose de ce genre. (Je ne peux pas répéter cela exactement. Je parle de ce qu’on m’a rapporté. Je n’ai point encore entendu la bande.) Et il a dit que l’homme est resté simplement là debout, et j’ai dit: «Eh bien, peut-être qu’il est sourd-muet.»

Et maintenant, observez la grâce souveraine. Voyez? C’est comme le fou à l’estrade. C’est comme le sorcier en Afrique qui se tient là avec les os entre les doigts pour vous lancer un défi. Voyez-vous? La grâce de Dieu s’en est alors emparée. Vous n’avez pas à vous inquiéter...?... Il n’y a pas de quoi se soucier. La grâce s’en occupe.


Chicago, Illinois, USA

E-32 C’est comme nous disons, parfois, vous dites: «La femme assise là en chapeau vert», ou quelque chose comme cela, «vous souffrez de telle ou telle chose. Vous venez de telle ville.» Vous écoutez cela. Voyez, on est juste en vision, on observe ce qui se passe; et puis, peut-être, vous la voyez se redresser et tout est clair autour d’elle et tout, eh bien, alors, vous dites: «Bien, elle est guérie. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Voyez? Le Seigneur, qui montre la vision, est juste... Votre foi en Lui m’utilise comme porte-parole pour vous dire ce que vous désirez qu’Il vous dise. Voyez-vous ce que je veux dire?


Chicago, Illinois, USA

E-36 Maintenant, par exemple, parfois je suis chez moi à la maison. (Gene, Léo, et les autres, je parlais de cela hier soir, on était assis ici; frère Beeler et beaucoup d’autres, et ceux qui me connaissent...) Chez moi, je parcours la maison sans penser à quoi que ce soit; peut-être que je suis assis dans une chambre, une vision apparaîtra. Peut-être que cela restera tranquille un bon petit moment. Cela dira... Il dira: «Maintenant, il va y avoir un coup de téléphone dans quelques instants et tu iras dans telle ville. Et quand tu arriveras dans cette ville-là, tu iras à tel endroit. Ça sera comme ceci. Tu entreras dans une pièce, tu déposeras ton chapeau, ou une dame déposera son chapeau sur le lit, mais ce n’est pas là qu’il est censé être déposé. Il est censé être déposé sur la table, une autre dame entrera de ce côté ici.» Tu verras tout cela se passer exactement tel que cela est censé se passer; et si je manque sur l’une de ces choses, cela n’arrivera pas. Ça doit être tout à fait au moment, au temps, tout, côté position, de même, car c’est une vision. Cela–cela doit se matérialiser parfaitement. Et alors, une fois, cela en place, ça doit arriver. Cela n’a jamais failli.


Chicago, Illinois, USA

E-37 Eh bien, c’est alors que Dieu utilise Son don. Cela ne m’affaiblit pas. Cela ne me dérange pas. Eh bien, quand Jésus avait ressuscité Lazare de la tombe, c’était de loin plus un miracle par rapport à la femme qui avait touché Son vêtement et qui avait été guérie de la perte de sang. Acceptez-vous cela? Il n’a jamais dit un seul mot au sujet de s’affaiblir ou que la vertu était sortie de Lui, parce que c’était Dieu qui utilisait Son don. Voyez? C’est ce genre de visions. C’est ce genre de visions. Mais quand les gens utilisent le don de Dieu... et ce qui m’affaiblit et tout à l’estrade, c’est vous, vous-mêmes. C’est ce qui fait cela. C’est vous-mêmes qui faites le travail, vous faites opérer. C’est la raison pour laquelle ça tire. C’est soit vous qui utilisez le don, soit Dieu qui utilise Son don.
(38) Maintenant, à titre de comparaison, j’aimerais dire... Si vous me demandez: «Qu’est-ce qui se passe à l’intérieur?»

«Eh bien, il y a une–une girafe.»

«Quoi d’autre avez-vous vu?»

«Qu’est-ce? On est fatigué.» Voyez? Il y a quelque chose d’autre que vous voyez.

Mais maintenant, quand Dieu veut vous faire savoir ce qui se passe, et... Il vous soulève simplement, vous élève au-dessus de toute la chose et Il dit: «Voici tout le cirque. (Voyez?) Voici tout le tableau. Vous allez faire ceci, et faire ceci, et faire ceci, et cela», et Il vous fait redescendre. C’est Lui qui vous a élevé avec Ses bras éternels et Ses ailes, il n’y a rien au monde... Vous redescendez, et vous avez envie de crier victoire, mais c’est cela.


Chicago, Illinois, USA

E-42 (43) Alors, je suis allé en Californie, j’ai eu environ–environ quinze mille dollars de dettes à la réunion. Et cette nuit-là, quand j’ai quitté, j’ai demandé à Billy de m’en parler; et les bien-aimés qui parrainaient cela avaient souscrit de payer cela et c’était très, très bien. Mais ce n’était pas là la promesse. J’avais promis à Dieu ce que je ferais. Et quand un bien-aimé frère m’a ramené à la maison cette nuit-là, à la petite cabane où je restais, je suis allé sur la montagne, seul, vers deux heures du matin, et nous devrions quitter vers quatre heures trente. Alors, j’ai prié. Et la lune brillait fort, je pouvais bien voir cela. C’était l’automne passé.

J’ai dit: «Père céleste, maintenant, je–je quitte le champ de travail. Je rentre chez moi, tout ce que Tu veux que je fasse désormais, révèle-le-moi simplement.»


Chicago, Illinois, USA

E-43 (44) Et alors, je ne pouvais pas en parler à Billy et aux autres; je ne voulais pas leur en parler, je ne voulais pas en parler à ma femme, mais, oh! ai-je dit, je leur en parlerai une fois arrivés en Arizona. Eh bien, alors, j’ai dit: «Je vais attendre d’atteindre le grand et vieil Etat de Texas d’où est venue ma mère.» Je disais que je leur en parlerais là-bas; et puis, une fois arrivés là... je leur en ai parlé quand on est arrivé à Jeffersonville, dans l’Indiana.

Eh bien, Billy, il a dit: «Papa, tu ferais mieux de faire attention à ce que tu fais.» Il a dit: «La Bible ne dit-Elle pas: ‘Malheur à moi si je ne prêche pas l’Evangile?’»

J’ai dit: «Je n’ai jamais dit quoi que ce soit au sujet de prêcher l’Evangile, je veux dire le service d’évangélisation.» Et j’ai dit: «Regarde, Billy, ai-je dit, Dieu a des hommes partout sur le champ de travail. Il n’a pas besoin de moi là-bas. Je peux revenir reprendre mon travail et–et faire le pastorat, être pasteur du tabernacle ou quelque chose comme cela. Je peux descendre louer un ancien amphithéâtre là et avoir un rassemblement international un dimanche après-midi, une émission ou quelque chose comme cela.» J’ai dit: «Je ne peux pas arrêter du coup donc maintenant, à cause de mes dépenses qui s’élèvent à environ cent dollars le jour chez moi; alors, je–je ne le peux pas avec mon bureau et tout.» J’ai dit: «Je ne peux simplement pas arrêter cela, tout de suite, parce que je ne peux pas le faire.»


Chicago, Illinois, USA

E-44 (45) Et alors ma femme a dit: «Billy, j’espère que tu sais de quoi tu parles.»

J’ai dit: «Eh bien, je–je–je sais une seule chose.»

Je suis une fois arrivé ici à une convention, pour une convention... et vous connaissez l’histoire. En effet, j’avais promis à mon petit ami suédois, ici, frère Boze, que je viendrai prêcher deux jours pour lui dans l’Eglise de Philadelphie après la convention; et on m’a dit que si je ne le faisais pas... si je le faisais, je ne pourrais pas être un prédicateur. Je pouvais faire mon choix. J’ai dit: «Je m’en tiendrai à ma parole.» Je suis allé chez frère Joseph, exact, parce que je devais encore faire cela.

Un homme qui ne tient pas sa parole ne vaut vraiment pas la peine. C’est ainsi que je reçois Dieu. Il donne la Parole, et je crois chaque Parole de Cela, et s’Il ne tient pas Cela, pour moi, ça ne serait pas Dieu. Je... Il doit tenir Sa Parole; je le crois. Et Il fera cela. Et je sais qu’Il le fera.


Chicago, Illinois, USA

E-45 (46) Eh bien, alors, je... cette nuit-là, je suis alau lit quand nous sommes rentrés à la maison. Ma femme pleurait; elle a dit: «Billy, je crains que tu commettes une erreur.» Elle disait: «Tu sais, j’aimerais que tu restes à la maison avec les enfants et moi, mais, a-t-elle dit, Bill, regarde ce qui a été fait. Cela a déclenché un réveil à travers le monde, et je n’arrive pas à voir comment Dieu te retirerait du champ de travail.»

Et j’ai dit: «Eh bien, je le Lui avais promis.»

Elle a dit: «Mais–mais–mais Il ne te l’a jamais dit.»

J’ai dit: «Mais je le Lui avais promis. Voyez? C’est ça. Je le Lui avais promis; je vais tenir ma parole vis-à-vis de Lui. Si je la tiens vis-à-vis de mon frère, je la tiendrai assurément vis-à-vis de mon Sauveur.


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