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Columbia, SC, USA

E-1 Merci, frère. Prions. Notre Père céleste, nous entrons dans Ta Présence avec des actions de grâce dans nos coeurs, car Tu nous as rachetés par Ton amour immuable. Et nous en sommes très contents aujourd’hui, de savoir que nous ne sommes pas abandonnés à nous-mêmes, mais alors que nous étions étrangers à Dieu, nous étions dans le monde, retranchés sans miséricorde... Nous pouvons nous rappeler ces jours-là, comment nous avions passé notre jeunesse dans les plaisirs. Nous regrettons beaucoup cela, Seigneur. Nous avons honte de notre passé. Nous Te prions de nous accorder un vif désir pour servir davantage d’exemple pour Toi et faire Ta volonté dans l’avenir.

Nous sommes ici aujourd’hui par Ta grâce, sachant ceci que beaucoup parmi ceux qui sont assis ici maintenant, si Tu me permets de revenir l’année prochaine, quelques-uns parmi ceux-ci seront partis. Ils auront à Te rencontrer. Peut-être beaucoup d’entre eux sont jeunes. D’autres peuvent être vieux, mais nous ne savons pas quand Tu vas nous appeler à répondre là. Sois miséricordieux envers nous, ô Dieu. Et que ce jour-ci soit un temps de décision pour plusieurs, qu’ils prennent la décision aujourd’hui de Te servir.

Nous le demandons pour la gloire de Dieu, au Nom de Son Fils, le Seigneur Jésus. Amen.


Columbia, SC, USA

E-2 Notre bref séjour parmi vous ici à Columbia a certainement été une grande bénédiction pour Billy et moi, ainsi que Gene et Léo, les jeunes gens chargés des enregistrements. Nous regrettons seulement de n’avoir que ces quelques jours que–que nous pouvons passer avec vous. Vous avez été très gentils envers nous. Et je vous suis très reconnaissant ainsi qu’à notre cher pasteur. Je prie que Dieu bénisse cette petite église, ainsi que chaque église qui collabore ici, tous ces frères, et non seulement ceux-là, mais toutes les églises qu’il y a ici à travers le pays aujourd’hui.

Et j’espère qu’avec l’aide de Dieu, en avril prochain, je pense, frère Bigby m’a dit qu’il aimerait que je revienne, comme on a la pleine collaboration et la communion avec toutes les autres églises, toutes étant ensemble, elles collaborent dans la réunion. Nous aimerions apporter une grande tente qui offre quinze mille places assises, et la dresser ici dehors pendant environ quatre à six semaines, afin que nous puissions enseigner.

Et souvent, les gens, pour leur guérison, disons, dans quelques jours, ils ne savent simplement pas comment résister à l’ennemi. Ils pourront toujours avoir une occasion de revenir alors, et puis on traitera encore avec eux pour voir là où a été leur erreur et ce qui est arrivé le long du chemin.

Et nous projetons cela, si c’est la volonté de Dieu, pour l’année prochaine. Merci à vous tous.


Columbia, SC, USA

E-4 Je me rappelle une fois que... Vous savez, comme il vous arrive parfois, vous n’arrivez pas à joindre les deux bouts. Nous avons tous connu ces situations-là. Je me rappelle, avoir dit à ma femme: «Je vais prélever une offrande ce soir.»

Elle a dit: «J’aimerais voir la mine que tu afficheras pendant que tu seras en train de le faire.»

Alors, j’ai dit à l’un des diacres... Eh bien, non pas qu’ils ne feraient pas quoi que ce soit pour moi, mais je–je pouvais donc travailler, j’étais jeune, je ne voyageais pas; alors, pourquoi donc dépendre de l’église? Et c’étaient des temps durs. Alors, j’ai demandé au diacre d’aller prendre mon chapeau. On n’avait même pas de plateau d’offrande. Et il a commencé. J’ai dit: «Maintenant, je viens de connaître l’une de ces situations-là où il me faut donc vous demander, peut-être, une contribution avec une pièce de cinq cents, ou dix cents, l’une ou l’autre chose pour aider un peu à nous en tirer, je connais une situation que j’arrive à peine à traverser.» Et j’ai dit: «Voudriez... Si vous voulez être assez gentils pour faire cela, je l’apprécierais.» Le diacre est allé prendre le chapeau. Il y avait une vieille petite mère là que j’avais toujours appréciée, une petite femme très pieuse, une mère à l’ancienne mode. Elle portait un petit tablier, comme les femmes en portaient autrefois. Alors, elle a fait sortir un petit portemonnaie, juste à peu près long comme ça, elle l’a ouvert, elle s’est mise à fouiller là pour faire sortir ces pièces de cinq cents.


Columbia, SC, USA

E-9 Maintenant, nous allons lire juste une portion de Sa Parole. Nous devons nous dépêcher, tout de suite. Nous devons conduire pratiquement toute la nuit ce soir pour arriver à la maison demain. Et puis, nous retournerons dans l’une de vos belles cités, en Caroline du Nord, à Spindale, pour commencer mercredi soir. Et nous prêcherons jusque dimanche. Je pense que ça sera dans une église de la place. La grande partie de cela, ça devra être le service de prédication. Et puis, de là, nous irons à Charlotte, en Caroline du Nord. Et puis, je pense qu’il y a là un auditorium. On commencera le mercredi prochain jusque dimanche. Et ça sera probablement tout, chaque soir, la guérison des malades, si le Seigneur le permet.

Il y aura donc beaucoup de places assises, les gens n’auront pas à rester debout là et tout. Je comprends qu’ils ont un grand auditorium là dans la ville. Et nous prêcherons à ces deux endroits dans votre bel Etat.


Columbia, SC, USA

E-10 C’est la première fois de ma vie de poser donc les pieds sur ce sol, ici; j’ai parcouru le monde et je suis revenu. Et donc... Mais c’est la première fois de jamais être en Caroline du Nord, ou en Caroline du Sud. Ce sont les seuls deux Etats où je n’avais jamais été de ma vie, jusqu’à présent. Je ne dis pas cela pour blesser (à l’intention des autres ici venus d’autres Etats), mais vous savez, comme je le disais, le Seigneur a dit une fois, quand Il avait changé l’eau en vin, Il avait gardé le meilleur pour la fin. Je ne dis pas cela pour blesser, au détriment des autres endroits; en effet, les gens ont été très gentils, mais vous êtes un peuple gentil, car vous aimez le Seigneur Jésus.

Maintenant, en lisant Sa Parole aujourd’hui, juste pour un court message, et consacrer bien beaucoup de temps... J’ai instruit les jeunes gens de me laisser ici debout aussi longtemps que je pourrai subsister aujourd’hui pour prier pour les malades.

Vous pouvez vous demander pourquoi ça. On a tellement posé des questions là-dessus que je ferais mieux de parler à ces braves frères prédicateurs. J’aurais bien voulu avoir le temps d’aller à la maison avec chacun de vous, parler avec vous; vous êtes un groupe de gentils frères. Je ne dis pas cela juste parce que vous êtes assis ici. Chaque soir, quand l’onction du Saint-Esprit vient, je sens votre esprit, et je sais que vous êtes... C’est alors qu’Il vous connaît. Et je vous apprécie. Je pense que grâce à votre petite collaboration ensemble, au Nom du Seigneur, je crois que Dieu ajoutera au nombre de la bergerie ici à Columbia plusieurs milliers de gens lors du prochain réveil.


Columbia, SC, USA

E-13 Considérons les prophètes. Le prophète Elie, après qu’il eut fait descendre le feu du ciel, qu’il eut fait pleuvoir la pluie du ciel le même jour, et les cieux avaient été fermés pendant trois ans et six mois... Après cela, il a erré dans le désert, après que l’inspiration l’eut quitté, il a erré quarante jours et quarante nuits, sans même savoir où il était. Et savez-vous là où Dieu l’a trouvé? Il s’était retiré dans une caverne. Il lui a demandé: «Que fais-tu ici?» L’inspiration l’avait quitté. Pendant qu’il était sous l’inspiration, ça allait bien. Mais regardez ça. Il avait tué quarante prêtres sur la colline, il est redescendu, fuyant la menace d’une femme, Jézabel; en effet, elle menaçait sa vie. Après qu’il s’était tenu là... En effet, l’onction était sur lui, mais après que l’onction l’eut quitté, c’était différent.

Avez-vous considéré Jonas? Après que Dieu eut accompli un miracle en le gardant dans le poisson, il est entré dans une ville de la dimension de Saint Louis, dans le Missouri, il a donné une prophétie alors qu’il parcourait les rues: «Encore quarante jours et cette ville périra.» Il a donné sa prophétie avec une si grande force que les gens ont même fait porter des sacs à leurs animaux. Et avez-vous remarqué quand l’inspiration l’avait quitté? Il s’est assis sous ce petit ricin, priant Dieu de lui ôter la vie. Voyez?


Columbia, SC, USA

E-15 Dans l’Evangile selon Luc, chapitre 2, verset 25, voici ce que nous lisons comme texte et nous prions que Dieu nous accorde le contexte juste pendant quelques instants, car nous allons vous laisser sortir, vous pourrez retourner à vos églises respectives ce soir.

Et merci à tous vos pasteurs, à chacun ici, et soyez... Je suis désolé pour vous, mes chers amis, qui êtes debout là dehors aujourd’hui. Je suis désolé que vous ayez à rester debout, mais... et rester debout là derrière. Mais c’est parce que cette salle est petite. La prochaine fois, peut-être, nous aurons de la place. Maintenant, le verset 25:

Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.

Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta Parole.

Car mes yeux ont vu ton salut,

Salut que tu as préparé devant tous les peuples,

Lumière... éclairer les nations, et gloire d’Israël, ton peuple.

Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa plus sacrée Parole.


Columbia, SC, USA

E-16 Au moment de la naissance du Seigneur Jésus, comme nous venons de lire tout à l’heure, les nouvelles ne se répandaient pas alors comme aujourd’hui. Ils n’avaient pas de presse, ni de radio, ni de télévision, comme nous en avons aujourd’hui. Mais l’unique moyen qu’ils avaient de répandre des nouvelles, c’était de bouche à oreille. Jésus est né à Bethléhem de Judée, huit jours avant ceci. Mais cela n’était connu dans le pays que de peu de gens: Les mages qui étaient venus L’adorer, c’étaient des astrologues; les bergers aussi qui étaient sur les collines, là où les anges étaient venus et avaient chanté à ces bergers et leur avaient annoncé que dans la ville de David était né Christ le Sauveur; Siméon, un homme avancé en âge, un vieux sage, avec une longue barbe qui flottait, des cheveux grisonnants, et il était dans la quatre-vingtaine, jouissant d’un très grand privilège parmi tous comme un érudit et un docteur de son époque. Il occupait une bonne position dans le sanhédrin, mais un jour, pendant qu’il était là à prier, il était l’un des élus, ceux qui étaient choisis.

Et maintenant, j’aimerais vous faire voir cela. Dieu, toujours, tout le temps, depuis que la terre existe, Il a quelqu’un sur qui Il peut mettre la main et dire: «Celui-ci est Mon serviteur.»


Columbia, SC, USA

E-18 Alors, ce vieux sacrificateur, ce jour-ci, il était allé prier, il devait avoir été inspiré. Croyez-vous dans l’inspiration? Que les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu? La Bible déclare qu’ils sont conduits par l’Esprit. Et David a dit qu’il y a quelque chose lorsque vous êtes sous l’inspiration, ou que vous avez un ardent désir, et que vous atteignez cela... J’ai constaté ce matin en parlant... Et je regrette de vous avoir gardés si longtemps dans le message.

J’ai donc constaté, en parlant, que quand on avait atteint un certain point, les gens avaient rougi; d’autres se sont mis à pleurer avec des larmes. Qu’est-ce? C’est nourrir le troupeau du Saint-Esprit. Voyez? L’inspiration. Les hommes de Dieu, les serviteurs de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu, divinement conduits.

Eh bien, beaucoup de gens disent que c’est de la psychologie. Récemment, je parlais avec un médecin qui me disait, il a dit: «Oh! Ces gens-là sont excités.»

J’ai dit: «Eh bien, docteur, vous savez qu’avant que quelqu’un soit excité, il doit y avoir quelque chose qui l’excite.» Et dans ce cas ici, s’il n’y a rien... Vous ne pouvez pas parcourir l’allée et rencontrer une ombre noire, ou quelque chose comme cela, ou quelque chose là qui vous amène à être tout agité: «Qu’est-ce qui se tient là?» Dans ce cas-ci, lorsque vous ne voyez rien et qu’il y a de l’excitation, ce n’est pas simplement de l’excitation, mais c’est une sensation glorieuse, qui amène les gens à se lever...


Columbia, SC, USA

E-21 Récemment, je lisais, ou il y a quelque temps, sur un petit garçon. Il mangeait les gommes des crayons à l’école. Et sa mère l’a attrapé en train de manger le caoutchouc d’une pédale de bicyclette. On ne savait donc pas ce qui clochait chez le petit garçon. On l’a amené à une clinique, et le médecin a examiné son sang et tout. On a découvert que son corps avait besoin de soufre. Et le caoutchouc contient du soufre.

Maintenant, regardez. Il a dû y avoir du soufre pour répondre à cet appel-là, sinon il n’y aurait pas eu d’appel là-bas. S’il n’y avait pas de soufre pour répondre à cet appel-là, cet appel n’aurait jamais été là. Et alors, aussi certainement qu’il y a une–une foi qui croit en Dieu, et qui veut plus de Dieu, il doit y avoir un Dieu quelque part pour répondre à cet appel qui est dans le coeur.


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