Spindale, NC, USA
E-78 Eh bien, amis canadiens, ne–ne soyez pas blessés. Mais nous avions une fois acheté au Canada de mauvais bonbons. Ils n’avaient pas d’ingrédients à y mettre, juste après la guerre. Et Howard m’a dit, il a dit: «Billy, tu parles de bonbon fade du Canada, goûte celui-ci.»
Il m’a donné deux petits bonbons. Eh bien, eux tous sont allés dans leurs chambres, et je suis allé dans la mienne. J’étais debout dans ma chambre, il y avait une très grosse table en marbre, et j’ai déposé... J’avais ma Bible sur le coeur. Et en ce temps-là, en mai, c’est à peine que le soleil se couchait. C’est le pays du soleil de minuit. Il y a juste une année. Toute l’année, ça fait juste un jour et une nuit. Vous pouvez donc lire un journal, pratiquement, dans la rue.
Alors, je regardais vers l’est, j’avais ma main levée à la fenêtre comme ceci. Je disais: «Ô Grand Jéhovah, un jour, Tu enverras Jésus. Il viendra des cieux, à l’est. Quel merveilleux moment!»
Et les soldats et tous parcouraient le parc, ils parlaient de ce qui s’était passé ce soir-là. Je me suis dit: «C’est beau, n’est-ce pas? Regarde-les, des chrétiens tout humbles.» Alors qu’ils avançaient en parlant, j’ai dit: «Ô Jésus, Tu es merveilleux.» Alors, j’ai entendu quelque chose faire... [Frère Branham tape du pied.–N.D.E.] Et j’ai regardé en bas, devant moi, et là était placé un grand vase long, d’à peu près cette grandeur, c’était déposé là, et il y avait deux... Nous les appelons des fleurs de Pâques. Je pense que vous les appelez jonquilles, ou ce que... Cela ressemble à une petite radio à l’ancienne mode ou les cornes d’un phonographe, on dirait, vous savez. Et certaines sont jaunes, d’autres blanches. Sont-ce les jonquilles, madame? Sont-ce les jonquilles ou la jong-... la jonquille? Je ne m’y connais pas beaucoup. De toute façon, elles sont petites, nous les appelons les fleurs de Pâques dans notre contrée.