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Jeffersonville, Indiana, USA

E-20 Et j’avais prédit que l’Amérique, son dieu numéro un serait la femme. C’est ce qu’il en est. Tout est façonné à la Hollywood. J’ai des renseignements tirés des archives du FBI, qui vous choqueraient rien qu’à vous indiquer l’endroit exact et le scandale au sujet de ces vedettes de cinéma. Il n’y en a pas une parmi elles, pratiquement pas, qui ne soit pas une prostituée. Et le FBI a tout récemment rendu cela public, j’ai tiré cela de leurs propres archives. Ainsi donc, eux tous habitent là, même ces vedettes de cinéma; il est prouvé qu’ils sont allés là et les ont prises, et elles vivent avec des hommes, 25 et 50 dollars par nuit, des hommes, partout à Hollywood et ailleurs, elles ont des maisons particulières, avec des hommes là-dedans, là où on les envoie à ces gens.

Et c’est ce que nous regardons, la télévision, et–et ici sur ces écrans et tout, nous laissons nos enfants appeler cela une idole. Et puis, appeler cela mère ? Elle est loin d’être une mère. C’est une souillure. C’est exact. Et pourtant, ce sont eux qui donnent le ton. Eh bien, laissez-les, le genre d’habits qu’elles portent, observez comment s’habillent les femmes américaines, c’est juste comme elles, et tout. Assurément. Et le dieu de l’Amérique, c’est une femme. Pas Jéhovah ; ils se sont détournés de Lui. Ce n’est donc pas adressé à la mère, là, épargnez celle-là, c’est une créature sacrée, nous allons en parler ; mais je parle de la femme.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-32 Je vous assure, j’ai effectivement rencontré un brave homme là, un vrai homme qui croit en Dieu et qui place sa confiance là. Savez-vous quoi ? Je vais vous le dire, je trouve plus de médecins que de prédicateurs qui croient dans la guérison divine. C’est vrai. Parlez-leur. J’ai dit : «Certainement.» Et quand il… quand j’allais partir, il m’a tenu par la main, il a dit : «Frère Branham, vous faites plus pour l’humanité que je ne le pourrai jamais.» Il a dit : «C’est vrai.» Il a dit : «Vous pouvez aider les gens que moi je ne pourrai même pas toucher.» Il a dit : «C’est vrai.»


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E-35 Maintenant, le problème en est que, à mon avis, si nos motifs sont bons et que nos coeurs sont droits pour les gens, nous devrions tous travailler ensemble pour aider notre prochain, pour rendre la vie plus aisée. Et alors, vos motifs ne sont pas égoïstes, vous rendrez gloire à Dieu qui donne tout gratuitement. Amen. Oui, oui. Oh, nous ne devrions manifester nulle part de l’égoïsme, en rien ; cela devrait être parfait.


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E-53 Frère et soeur Wood étaient avec moi, je pense, là à la–la dernière réunion ; je parlais au petit déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens. Et j’ai raconté une petite scène sur Zachée dans le... en haut, dans le sycomore, et quand Jésus est passé par là, et comment Zachée s’est servi d’une poubelle, vous savez (et j’ai présenté cela sous forme d’une scène), il est monté dans un arbre pour voir Jésus. Et cet homme d’affaires était assis dans l’arbre, vous savez, se cachant à la vue de Jésus. Et Jésus ne savait pas où il était, pour ainsi dire, vous savez. Et alors, il a dit : «Oh, on me dit que cet Homme sait des choses et qu’Il peut prédire des choses, et Il sait où était le poisson qui avait une pièce de monnaie. Je ne crois pas çaAlors Jésus est passé droit sous l’arbre. Et il a dit : «Oh ! Il ne peut pas me voir ; me voici assis en haut dans un arbre.»


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E-64 Tenez, enfants, nous venons de lire un verset. Voudriez-vous tous le répéter avec moi ? Voudriez-vous tous répéter ce verset avec moi ? Bon, il se trouve dans Saint Matthieu, chapitre 16, verset 25, ce dont nous allons parler. Eh bien, ces petits… chaque petit garçon et chaque petite fille, ce matin, répétez ceci avec moi maintenant. Dites : «Saint Matthieu [Les petits garçons et les petites filles disent : Saint Matthieu.–N.D.E.] chapitre 16 [chapitre 16] verset 25 [verset 25]. Maintenant, répétez cela avec moi : Car celui qui voudra sauver sa vie [Car celui qui voudra sauver sa vie] la perdra [la perdra], mais celui qui la perdra à cause de Moi, la trouvera [mais celui qui la perdra à cause de Moi, la trouvera] la trouvera.» Oui, répétons encore cela : «Celui [Celui] qui perdra sa vie [qui perdra sa vie] à cause de Moi [à cause de Moi] la trouvera [la trouvera].» Merveilleux !


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E-76 Et peu après, la petite fille aux yeux brillants s’est mise à courir sur le pavement et à parler un peu à haute voix. On lui a dit : «Sh–sh–sh, ne fais pas ça. Tu vas réveiller papa. Et, oh, il est si fatigué qu’il–qu’il voulait en mourir. Il ne voulait plus vivre. Et si papa est fatigué à ce point-là, eh bien, nous devrions le laisser dormir un peu. Ne le réveillez pas.» Alors la petite Miriam est allée là et s’est assise pour rester très calme.


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E-81 «Oh, a-t-il dit, chérie, je–je n’arrive simplement pas à comprendre cela.» Il a dit : «J’ai vu… C’est… Eh bien, nous voyons cela chaque jour, mais aujourd’hui c’était particulier.» Il a dit : «Oh, je–j’ai vu la scène la plus horrible que j’aie jamais vue.» Il a dit : «Nos pauvres garçons, certains parmi eux n’ont pas plus de douze ans, ils étaient en train de tirer un vieux et grand wagon, avec des cordes attachées à leurs cous, comme ça. Et ces pauvres enfants ont tiré cela jusqu’à ce qu’ils n’en puissent plus, gravissant cette forte montée, ces grosses pierres là derrière, et ils ne pussent plus aller plus loin. Et peu après, le wagon a commencé à craquer et à aller très lentement; et peu après, ça s’est arrêté. Un homme descendait dans la rue, oh, c’était un fou. Il a vociféré : ‘Pourquoi arrêtez-vous ce wagon ?’ Wham ! Avec ces très gros fouets comme des serpents, il les fouettait au dos, et le sang coulait de leur dos et tombait comme cela. Et ces pauvres petits enfants rattachés simplement à cette corde, criaient.» Il dit : «Ô Jokébed, que pouvons-nous faire, maman ?» Il dit : «Nous sommes le peuple de Dieu. Dieu nous a bénis. Nous sommes les enfants d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Et pourquoi devons-nous être des esclaves ici pour de telles choses ? Oh! c’est horrible à voir comment ces pauvres petits garçons pleuraient ! Oh! Et je prie, et je prie, et je prie, Jokébed, et on dirait que Dieu ne m’entend même pas. Et je prie, et je prie, et on dirait qu’Il a fermé Son oreille, Il ne m’entend pas du tout. Et il semble simplement ne plus s’en occuper.»


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E-98 «Sh! sh! sh! je ne peux pas le dire, les enfants sont là. Attends après le souper, alors je t’en parlerai.»

«D’accord.»


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E-102 Ainsi donc, allons au palais du roi ; le roi pharaon les a tous rassemblés là-bas et a dit : «Très bien, vous tous les généraux, qu’est-ce qui se passe avec vous ici ? Je donne mes ordres par ici ; ce peuple augmente tout le temps. Qu’y a-t-il ? Ne pouvons-nous pas arrêter cela ?» Il a dit : «Un jour, une autre armée viendra ici. Et tous nos ennemis, que voilà, là à Goshen, ces Israélites, se joindront à cette armée-là, et ils nous vaincront. Et notre grand système économique sera détruit ; notre grand royaume sera détruit. Ils nous domineront. Qu’est-ce qui ne va pas avec vous ? Que quelqu’un parle. N’avez-vous pas quelque chose à dire ?» Oh! Il était méchant et haineux. Tous les généraux tremblaient. L’un d’eux s’est levé et a dit : «Que le roi Pharaon vive à jamais.»

«Eh bien, dis ce que tu vas faire.»


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E-109 «Eh bien, a-t-il dit, que le roi vive à jamais. Eh bien, je vais vous dire quoi. Chaque fois qu’une femme donnera naissance à un petit enfant mâle… Qu’on parcoure le pays ici et qu’on prenne des femmes, et qui–qui ne sont pas des mères (voyez ?), des femmes qui n’ont jamais eu d’enfants, des femmes qui ne veulent pas d’enfants et qui n’aiment pas les enfants, de vieilles sorcières au long nez (voyez ? Plus le nez est long, mieux ça va…)» Celles aux longs doigts, aux visages fardés, et prenez-les. Elles ne savent pas ce qu’est l’amour maternel. «Et alors, dès qu’un petit enfant mâle naîtra, eh bien, qu’elles aillent le prendre, qu’elles sortent avec lui et qu’elles fassent sauter sa tête contre le mur, qu’elles le jettent dans la maison auprès de sa mère, comme ça. Qu’elles le jettent dans un grand puits. Oh! mieux que ça, le faire sortir, lui lier les mains et les pieds, et le jeter pour engraisser les crocodiles ; c’est ainsi qu’on s’en débarrassera. Alors, ils ne se multiplieront pas beaucoup, parce qu’il ne restera plus d’hommes. On aura tué tous les petits enfants mâles.»


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