Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Jeffersonville, Indiana, USA

E-62 Vous devez prendre une décision. Votre Kadès, vous le voyez durer bien plus longtemps; pourquoi clochez-vous des deux côtés? Pourquoi l’Eglise n’est-elle pas en feu? Pourquoi cet endroit n’est-il pas bondé? Pourquoi de grands miracles et de grands prodiges ne sont pas accomplis? N’imputez pas la faute au pasteur; c’est vous le coupable. On a une multitude de gens de toute espèce, l’un tire d’un côté et l’autre de l’autre côté.

Vous devez en arriver à un temps de décision. Si c’est le pasteur, démettez-le, faites-le partir et mettez quelqu’un d’autre à sa place. Si c’est un diacre, faites-le partir du comité et mettez quelqu’un d’autre à sa place pour le remplacer. Qu’allez-vous faire, frère? Dieu vous a confié cette responsabilité. Voilà. Et chacun de nous devra rendre compte de ses péchés et répondre au jour du Jugement.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-66 Si vous êtes malade ce soir, vous devez prendre une décision si vous allez accepter Christ comme Celui qui vous guérit ou pas. Vous ne pouvez pas être indécis et tergiverser là-dessus. Vous devez dire: «Je crois en Lui», ou «Je ne crois pas en Lui.» «Je vais me rétablir», ou «Je ne peux pas me rétablir; je n’ai pas assez de foi pour me rétablir.» Vous devez prendre une décision. Si vous êtes un pécheur ce soir, vous devez prendre une décision. Vous êtes à Kadès-Barnéa; vous êtes au lieu du siège du jugement.

Ces petites sources ou églises représentaient le lieu où commence le jugement, c’est-à-dire la maison de Dieu; c’est ce qu’a dit Jésus; la–la Bible le dit. Le jugement commence par la maison de Dieu. Nous sommes dans la maison de Dieu ce soir, et vous devez prendre une décision. Vous devez prendre votre décision, si vous allez venir à Christ, ou Le rejeter ce soir. Chaque pécheur ici doit prendre cette décision à l’instant même. Soit vous quitterez ce lieu un meilleur homme ou une meilleure femme par rapport à ce que vous étiez quand vous êtes venu, soit vous partirez étant pire que quand vous êtes venu. Ce soir, vous ne pouvez pas rester au milieu; vous devez prendre la décision.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-67 Ceci était sur mon coeur; maintenant, c’est sur... C’était sur mon coeur; maintenant c’est entre vos mains. Vous devez prendre votre décision. Et vous devez prendre une décision. Vous êtes un–peut-être un bon membre d’église. Peut-être que vous avez toujours eu le grand désir de cela, et que vous désiriez avoir plus de Dieu. Il est possible que vous désiriez faire quelque chose pour Dieu. Souvenez-vous, vous ne serez mortel qu’une seule fois, et cette seule fois est la seule fois où vous serez mortel. Et ceci peut être la fois où vous devrez prendre votre décision: soit vous allez monter avec Dieu, soit vous allez rester là où vous êtes. Il vous faut peut-être prendre votre décision ce soir. Si c’est le cas, je vous prie de vous débarrasser de tout. Souvenez-vous, peu m’importe ce que c’est; qu’il s’agisse de l’emploi, qu’il s’agisse de la famille, qu’il s’agisse des bien-aimés, qu’il s’agisse des associés, qu’il s’agisse de vos partenaires, quoi que ce soit, débarrassez-vous de tout. «Celui qui met la main à la charrue et qui se tourne même pour regarder en arrière n’est pas digne de labourer.» C’est exact.

«Rejetez tout fardeau, et le péché qui vous enveloppe si facilement.» Qu’est-ce? Rejetez tout fardeau et l’incrédulité qui vous enveloppe si facilement, et courez avec persévérance dans la carrière qui vous est ouverte. Prions.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-73 Y a-t-il quelqu’un ici ce soir qui est malade depuis longtemps? Et peut-être que vous, à ce qu’il semble, qu’on a prié pour vous, mais vous n’avez pas la foi pour vaincre. Mais maintenant même, vous allez prendre votre décision en disant: «Seigneur Dieu, à partir de cette heure même, je vais Te servir. Et je vais sortir d’ici en témoignant de la grâce de Dieu, que c’est par Ses meurtrissures que je suis guéri. Et je vais croire cela à partir de ce soir.» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Vous. C’est merveilleux. C’est juste. Je vais prier pour vous dans quelques minutes, je vais demander à Dieu de vous l’accorder.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-2 Maintenant, nous avons encore une semaine, une semaine donc à partir du lundi prochain, avant le début des réunions au Cadle Tabernacle, à Indianapolis. Et nous espérons que le Seigneur nous bénira là-bas, en nous accordant une très très grande réunion. J'attends cette réunion avec l'impatience d'un enfant qui attend la Noël. Je... Vous...

Il - il y a quelque chose en rapport avec le service du Seigneur. Des fois, on est tellement fatigué qu'on dirait qu'on ne peut aller plus loin. Et puis, quand on se repose, juste un jour ou deux, quelque chose vous frappe et - et il vous faut tout simplement repartir. C'est... Ainsi, aujourd'hui, nous sommes ici dans un seul but: servir le Seigneur.

Et avant de prier et de lire la Parole, j'aimerais m'excuser publiquement auprès de frère Neville. Hier, n'étant pas allé dans le Kentucky, je suis resté expressément à la maison hier, pour prêcher à sa place à l'émission radiodiffusée.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-4 Je peux en retour lui faire ce compliment [Frère Branham rit. - N.D.E.], en disant: "C'est quelqu'un d'optimiste." Ce qui m'a bouleversé, c'était le fait que, très tôt ce matin, on m'a appelé au téléphone pour aller chez frère Lyle et chez les autres, à New Albany. Et je... Il était presque neuf heures moins dix, et j'ai dit: "Oh! dans dix minutes, je suis censé être à l'émission radiodiffusée." Et me voici ici à Jeffersonville, et lui est là-bas en train de m'attendre. Ainsi, je...

Frère Wood lui a téléphoné hier, et je me suis dit que je demanderais à frère Wood de présenter d'abord mes excuses, vous savez. Il m'a donc infligé une peine pour cela, en m'amenant à prêcher ce matin, [Frère Branham rit - N.D.E.] et à venir ici. Nous voici donc ici. Et ainsi, il... nous sommes...

Nous espérons que - que Dieu va - va être dans nos réunions. Je n'ai rien de prémédité; je ne sais même pas par où commencer dans les Ecritures; j'ai simplement pris ma Bible, il y a quelques instants, et je suis venu en toute hâte.

J'ai dû prendre ma Bible Collins parce qu'Elle a des caractères un peu plus grands. Et j'ai dépassé quarante ans, vous savez. Ainsi, lorsque vous atteignez l'âge de quarante ans, tout ce qui est près de vous, vous ne le voyez plus comme autrefois, vous savez et... Combien savent que cela est vrai?...?... Eh oui.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-5 Il n'y a pas longtemps, je me disais: "Dites donc, j'ai un problème, je ne peux pas porter des lunettes vertes ou brunes." Je ne le pourrais jamais; ça m'écoeure. Ainsi, j'ai dit: "Il y a quelque chose qui cloche." J'ai appelé le Dr. Adair au téléphone et je lui ai demandé: "Doc, quelle couleur... Pouvez-vous examiner mes yeux pour me dire la couleur des lunettes qu'il me faut?"

Il m'a répondu: "Moi, je pourrais bien vous dire ce qu'il y a." Il dit: "Je vous le dirai. Je vous enverrai simplement à - là à Louisville auprès d'un spécialiste en la matière, de là."

"Eh bien, ai-je dit, je n'ai pas besoin d'un examen d'yeux." J'ai dit: "J'ai encore de bons yeux. Je peux me tenir là et voir un cheveu qui est là sur le plancher."

Il a dit: "Mais il vaudra mieux qu'il vous examine, quand même; il vous dira alors quelle couleur il vous faut."

Alors, je m'y suis rendu. Et j'ai fini par découvrir que c'était un frère chrétien; il aimerait retourner en Afrique avec moi pour faire quelques opérations. Il a dit: "Eh bien, ces indigènes sont très drôles, voyez. Ils ne veulent donc pas qu'on les incise à l'aide d'un bistouri. Toutefois, ils vous aiment. Et j'aimerais consacrer six mois de service bénévole en faveur des indigènes, à ôter les cataractes et des choses semblables." Il m'a aussi dit: "Lorsque vous irez là-bas, a-t-il dit, j'aimerais consacrer six mois de ma vie au service du Seigneur."

Je lui ai demandé: "Doc, croyez-vous à la guérison divine?"

Il a répondu: "Chaque parole en rapport avec cela." Et il m'a donné un témoignage du temps où il était laryngologiste et ophtalmologue. Il a dit qu'on lui avait téléphoné. Un petit enfant avait avalé une espèce de sifflet, et celui-ci avait calé dans sa gorge. Il a dit: "Je me suis rendu là, et le petit enfant était vraiment en train de partir."

On l'a vite acheminé à l'hôpital. Et on n'y pouvait rien. Il a dit: "Je ne savais que faire. Ainsi, a-t-il dit, je veux juste - je suis sorti de la salle et j'ai dit: 'Bien-aimé Père céleste, aide-moi à savoir, d'une manière ou d'une autre, ce que je dois faire pour ce pauvre enfant qui se meurt. Et je n'ai rien par ici pour éjecter cela, et je ne sais que faire.'" Et il a dit: "Et l'enfant a toussé [Frère Branham tousse - N.D.E.]. Et le sifflet sortit et tomba sur le plancher." Il a dit: "Comment pourrais-je m'empêcher de croire?" La prière change les choses. C'est vrai.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-9 Après dimanche après-midi... dimanche matin, je me mettais en-dessous pour astiquer toutes les petites pièces et autres du compresseur d'air et je le nettoyais complètement. Dimanche après-midi, j'astiquais cette vieille petite Ford, au point qu'on avait l'impression que la peinture allait presque s'enlever.

Qu'en serait-il, ce matin, si j'essayais de retrouver une seule pièce de cette Ford? Qu'en serait-il si j'essayais de retrouver l'un de ces accessoires venant de ce compresseur d'air? Au moment même où j'astiquais ma Ford, j'aurais pu gagner des âmes. Je me demande où est la valeur.

Les dimanches matin, je travaillais là-bas, tant qu'on me libérait. J'ai apprécié cela, parce que j'étais endetté. Et je... Mais où - où cela m'a-t-il amené? Quel en a été le gain?

Frère Ledford, qu'en serait-il si quelqu'un venait vers vous et vers moi, et vers frère Neville, ce matin, vers nous tous ici présents, nous trois plutôt, et disait: "Pasteurs, je vais vous remettre à chacun un million de dollars"? Quelqu'un de for - de fortuné qui le ferait...

Et je dirais: "Eh bien, Frère Ledford, Frère Neville, je vais vous dire ce que nous allons faire. Allons chercher tous les pauvres que nous pouvons trouver. Faisons que chaque petit foyer soit heureux, en procurant des vêtements aux petits enfants, en remboursant l'emprunt logement, ou en achetant ce petit endroit. Ainsi, nous ne le manquerions point. Un million de dollars à chacun! Eh bien, les intérêts qui en proviendraient, nous en prendrions soin autant que possible, en les investissant dans quelque activité rentable ou quelque chose de ce genre. Et que ferions-nous ensuite?

Ce serait formidable. Ce... on ne le dirait à personne. Nos coeurs seraient satisfaits. Mais, maintenant, d'ici cent ans... Frères, il faudrait un miracle de Dieu, si nous sommes encore en vie d'ici cent ans, vous le savez bien. Eh bien, nous serions dans l'Eternité. A quoi aura servi ce million de dollars, ou toute la nourriture qu'on aura donnée aux pauvres et les autres choses que nous aurions faites? Voyez-vous? Cela ne vaudrait pas grand-chose. Si j'avais un milliard, ce matin, quel bien cela nous ferait-il après que nous serons partis?


Jeffersonville, Indiana, USA

E-14 Eh bien, prions maintenant. Notre Père céleste, nous venons en toute humilité auprès de Toi ce matin. Ô Dieu! je suis heureux d'être conscient depuis environ vingt-cinq ans, que - que le bonheur ne consiste pas dans les biens de ce monde. Le bonheur consiste dans les choses éternelles. C'est ce qui nous rend heureux dans nos âmes. Et, combien je Te rends grâces ce matin! Combien je Te suis reconnaissant pour Ton salut et Ta grâce, qui m'ont permis, Seigneur, de voir près d'un million d'âmes agenouillées à l'autel.

Ô Dieu! un glorieux jour, lorsque je serai passé de l'autre côté, j'espère les voir tous là, brillant comme les étoiles. Chacun de mes frères et chacune de mes soeurs qui sont ici ce matin sent la même chose. Ils auront participé à cela, Seigneur, par leurs prières, leurs supplications, et en s'attachant à Dieu, en priant, en parlant aux autres, et en exaltant les choses de Dieu. Et nous espérons aujourd'hui, ô Dieu! que s'il y a quelqu'un ici, qui n'est pas tout à fait à sa place, ou qui n'a pas encore accepté Christ comme il le devrait, que ceci soit le jour où sa décision immortelle et éternelle sera prise pour Te servir. Accorde-le, Père.

Puisse chaque chrétien, ici présent, puisse son coeur brûler au-dedans de lui d'aller quelque part, le long des haies et dans les chemins, faire entrer les âmes perdues, peu importe combien cela est infime. Ils peuvent faire entrer une âme qui pourrait en faire entrer un million par la suite. Nous ne savons pas ce que nous faisons, jusqu'à ce que, parfois, ces petites mères se posent des questions, Seigneur. Mais elles ne sont pas du tout conscientes de ce dont elles parlent, lorsqu'elles s'adressent à un jeune, ou à un vieux, ou quelque chose de ce genre concernant leur âme. Accorde-le, Seigneur.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-19 Maintenant, je pensais peut-être à... J'ai demandé à frère Neville, ou plutôt... Vous n'avez pas de leçon de l'école du dimanche, ainsi nous allons simplement donner un enseignement en partant de n'importe quel passage, quelque part dans la Bible. Et ce matin, en venant, avant d'entrer dans la salle, je pensais enseigner sur le Livre de l'Apocalypse. Alors je me suis rappelé qu'une émission de radio fait passer une - une série d'enseignements sur le Livre de l'Apocalypse. Charles Fuller, je pense, est en train de parcourir un livre. Et frère Fuller lui-même est un "typologue". Et je craignais qu'on ne puisse en quelque sorte connaître d'interférence là-dessus, et vous avez déjà entendu une partie de cela.


Up