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Indianapolis, Indiana, USA

E-19 Et sur l’estrade... Il a couru droit vers moi. Et il a haleté, un très grand homme comme une oie, il bombait le torse, il avait de très gros bras. Je pesais environ cent vingt livres [54,4 kg] à l’époque; lui pesait environ deux cent cinquante [113,3 kg], il mesurait environ six pieds [1,82 m], ou plus, et–six pieds et quatre pouces [1,95 m] ou quelque chose de ce genre.

Et il a dit: «Espèce d’hypocrite! Faux jeton! Tu te tiens ici te donnant pour un serviteur de Dieu. Je vais te mettre en pièces sur cette estrade même.» Oh! je... Vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez lorsqu’il s’agit d’un fou. Je suis simplement resté tranquille, je l’ai regardé. Il a dit: «Tu te dis un homme de Dieu...» Il a roulé ses manches, il a dit: «Je vais envoyer ta petite carcasse par-dessus cette assistance d’un coup de poing; tu seras complètement en miettes quand tu toucheras le sol.»

Je savais qu’il était bien capable d’exécuter sa menace. Je l’ai simplement regardé. Aucun prédicateur n’a dit un mot; ils avaient disparu. Et j’ai regardé, et voici venir deux policiers. Je venais de les conduire tous les deux à Christ. La mère de l’un d’eux avait été guérie le soir précédent: une brave presbytérienne. Et ils ont couru là pour l’arrêter.

J’ai dit: «Ceci ne concerne pas la chair et le sang; frère. Un instant. Merci.» Les deux petits hommes ont reculé. Je me suis tenu là pendant un instant, je suis resté très tranquille. Et je voulais lui dire, j’allais dire: «Monsieur, qu’est-ce qu’il y a?» Et il a fait [Frère Branham produit le son de quelqu’un qui crache.–N.D.E.], il m’a craché en plein visage. Et il a dit: «Faux jeton!» Il a dit: «Ce soir, je vais briser chaque os de ton corps.»

Et je voulais dire: «J’espère que tu ne le feras pas.» Et alors que j’allais dire cela, Dieu, dans Sa souveraineté... Le Saint-Esprit est descendu, et Il a dit, Il a simplement parpar ma... Je... Les gens pensaient que c’était moi qui parlais, mais ce n’était pas moi, pas plus que lorsque c’est dans une vision.

Il a dit: «Parce que tu as défié l’Esprit de Dieu ce soir, tu tomberas sur mes pieds.» C’était en même temps une prophétie. Cela devait donc s’accomplir.

Il a dit: «Tomber sur tes pieds?» Il a dit: «Espèce d’hypocrite! a-t-il dit, je vais te montrer sur les pieds de qui je vais tomber.» Il a levé le bras, et il a foncé sur moi de toutes ses forces, et il s’apprêtait à me frapper.

J’ai dit: «Satan, sors de cet homme!»

Et tandis qu’il avait le bras levé, il a fait: «Hmm, hmm», il a tournoyé comme cela et est tombé juste en travers de mes pieds, et il m’a cloué là au point que les policiers ont dû le retirer de mes pieds en le roulant.

Les gens ont dit: «Cet homme est-il mort?»

J’ai dit: «Pas du tout. Il adore cet esprit-là.»

Et on l’a emporté.


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E-21 Eh bien, vous pourriez... J’espère que vous ne me détesterez pas à partir de ce moment, mais j’aimerais vous raconter une petite chose qui est arrivée. Après ceci vous pourriez dire que frère Branham est un fanatique. Mais il n’y a pas de problème; vous allez le dire de toute façon. Vous pourriez tout aussi bien dire plus que ça. Ainsi donc, un jour là à la ferme Burke, ici dans l’Indiana, d’où je viens, à Jeffersonville, il y avait là un grand taureau qui avait tué un homme de couleur. On l’avait vendu là près d’Henryville: un grand taureau Guernsey, qui avait de très longues cornes.


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E-22 J’étais garde-chasse ici pendant des années, lorsque j’étais un prédicateur baptise. Je faisais des patrouilles. Je n’ai jamais prélevé une offrande dans ma vie; je n’ai jamais prélevé une seule offrande dans ma vie.

Une fois, un frère m’a donc demandé si je pouvais lui prélever une offrande. J’ai dit: «Vous allez mourir de faim la semaine prochaine.» En effet, je me souviens qu’une fois, je me suis dit que j’allais prélever une offrande dans mon église, et j’en ai parlé à ma femme. Nous étions arrivés à un point où nous n’arrivions pas à joindre les deux bouts. Etes-vous déjà arrivé à un tel point? Certainement.

Et j’ai dit: «Chérie, je vais prélever une offrande ce soir.»

Elle a dit: «Je vais bien t’y voir.»

Alors, je suis allé là-bas, et j’ai dit... Bon, en effet les gens ne voudraient pas... Ils me donneraient tout ce qu’ils avaient, mais j’étais jeune et pourquoi ne pouvais-je pas travailler comme n’importe qui d’autre? Alors, je suis monté, et j’ai dit: «Frères, je...» Nous n’avions même pas un plateau de collecte. J’ai dit: «Je–je vais... Je suis un peu coincé, je vais prélever une offrande ce soir.» Et j’ai dit: «Quelqu’un voudrait-il prendre mon chapeau?»

Et un des vieux diacres est allé prendre mon chapeau. Et j’ai regardé, une vieille petite mère était assise là sous... un petit tablier à carreaux. Et je ne sais pas si vous avez déjà vu la poche qui est à l’intérieur du tablier. Elle a plongé la main là-dedans et a sorti un de ces–c’était pendant la grande crise, de toute façon (Vous savez?), ce petit portefeuille avec un bouton-pression au-dessus, et elle s’est mise à fouiller pour trouver ces pièces de cinq cents, et oh! la la! je ne pouvais pas supporter cela. «Oh! ai-je dit, je vous taquinais tout simplement. Je ne parlais pas sérieusement.» C’est la seule fois que j’ai failli prélever une offrande. Et monsieur Ryan, un vieil ami qui venait de Dowagiac, dans le Michigan, qui portait de longs cheveux, roulait sur une bicyclette pour venir là, il me l’a offerte, et j’ai acheté une boîte de peinture à dix cents et je l’ai retapée, puis je l’ai vendue à cinq dollars. Je n’étais plus du tout obligé de prélever cette offrande-là.


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E-23 C’était donc ça. Je faisais des patrouilles, et je travaillais dans la conservation de la nature. Et je me suis rendu là où se trouvait un–un ruisseau, et je me souviens qu’un frère qui se trouvait de l’autre côté du ruisseau était malade, et il m’avait envoyé chercher pour que j’aille prier pour lui. Je me disais tout simplement que c’était un bon moment, alors je me suis mis à gravir la colline. Il y avait une petite brousse dans une sorte de prairie. Et lorsque je suis arrivé au milieu de cette prairie qui s’étendait là sur environ cinq cents yards [457 m] ou plus, qu’ai-je vu se dresser là sinon ce même taureau qui avait tué cet homme de couleur? Et il se tenait là à environ trente ou quarante pieds de moi [9 ou 12 m]. Et vous–il... Quelques vaches étaient couchées là. Il s’est dressé, a renâclé, et il m’a regardé, et j’ai reconnu le taureau.

Eh bien, j’étais censé avoir une arme, mais, hélas, je n’en avais pas. Alors j’ai regardé derrière vers la clôture; elle était trop éloignée pour courir, et il n’y avait pas un arbre sur lequel grimper. Alors, je me suis donc dit que c’était probablement ma fin. Alors, je l’ai regardé, et vous savez... Eh bien, ce n’est pas une plaisanterie. Lorsque j’ai regardé ce taureau, et qu’il a baissé sa tête, il a gratté le sol de ses cornes, il a jeté la poussière derrière lui, et il s’est mis à venir ... Eh bien, au lieu de haïr ce taureau, j’étais heureux de ne pas avoir de fusil. Je l’ai aimé. Eh bien, cela semble étrange. Je–j’aimerais que vous vous souveniez de ceci. J’ai aimé cet animal. Je me suis dit: «Pauvre animal, je suis dans son domaine. Je suis sur son territoire. Il dormait et je l’ai réveillé, je l’ai simplement irrité.»

Et je lui ai parlé sans m’en rendre compte, j’ai dit: «Créature de Dieu, je suis le serviteur de Dieu. Je suis en route pour prier pour un enfant de Dieu qui est malade. Maintenant, ne me dérange pas, parce que je suis un serviteur de Dieu. Eh bien, je regrette de t’avoir dérangé. Au Nom de Jésus, va te coucher.»

Et ce taureau, je n’avais pas du tout peur de ce taureau, pas plus que je n’avais peur de cet homme ce soir-là ou de mes frères qui sont assis ici. Et ce taureau a chargé droit sur moi, jusqu’à environ dix pieds [3 m] de moi, et je n’avais pas peur, pas plus que je n’ai peur maintenant. Il est arrivé tout près de moi, et il s’est arrêté, et il a regardé de ce côté-ci et de ce côté-là, étant tout dégonflé. Et je l’ai simplement regardé; je me suis dit: «Pauvre créature.» Il a fait carrément demi-tour, il s’est éloigné, et s’est couché, et je suis passé juste à côté de lui.

L’amour vaincra tout. Les langues cesseront. Les prophéties disparaîtront. Mais lorsque l’amour vient, il conquiert tout. Dieu a tant aimé le monde. C’est là que vous échouez, mes amis. Ne vous appliquez pas tellement à savoir si vous avez des dons ou pas, mais exercez ce seul véritable don d’amour, alors ça ira mieux pour vous.


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E-26 Maintenant, nous voyons qu’Abraham... Ensuite, Lot s’est séparé de lui et il a eu des ennuis. Et voici une belle image de l’amour de Dieu, j’aimerais que vous voyiez cela: Christ qui va à la recherche du rétrograde et du pécheur. Des rois, des ennemis sont venus et ont emporté la femme de Lot, ils ont emporté les rois de Sodome et sont partis. Et Abraham, dès qu’il a appris que son neveu Lot avait été pris par l’ennemi (Considérez cela.), Abraham a rassemblé tous ses serviteurs, et il a poursuivi l’ennemi, il l’a capturé, et il a ramené Lot. Quelle image de nous la race déchue d’Adam! L’ennemi nous avait capturés, et Dieu le Père a rassemblé l’armée des Cieux et a poursuivi le diable, jusqu’à ce qu’Il l’a vaincu et nous a ramenés sains et saufs. Quelle image du salut!

Et Dieu... J’aurais souhaité que nous ayons beaucoup de temps; j’aurais souhaité que nous puissions simplement... que le réveil puisse continuer pendant environ deux semaines, afin que nous puissions juste entrer carrément dans cette Parole et nous mettre à creuser dedans, et ce faisant produire la foi. On a une grande tente qui arrive, d’une capacité d’environ douze mille personnes. Nous allons la dresser et rester pendant quatre–six semaines d’affilée, ainsi nous pouvons carrément continuer.


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E-27 Et maintenant, remarquez autre chose; ensuite après celaaprès la destruction de Sodome et de Gomorrhe... nous devons sauter plusieurs de ces passages importants. Et ensuite, nous voyons donc que la chose suivante qui s’est produite, c’est qu’Abraham était assis là dans la terre aride. Dieu ne nous a jamais promis que tout serait rose, mais Dieu nous a promis la grâce pour supporter. Dieu ne nous a jamais promis de nous amener à la maison sur un lit fleuri d’aisance. Considérez la patience de Job et les disciples, et tout au long des âges, comment des hommes et des femmes ont souffert pour la cause de Christ. Et voici Abraham assis dans des terres arides, sous son chêne, sa petite tente; son troupeau était très maigre, parce que Lot avait choisi les meilleures terres. Et lui et Sara étaient assis là; un après-midi pendant qu’Abraham regardait, s’en tenant toujours à la promesse de Dieu... Il a vu debout à côté de l’arbre, trois hommes qui se tenaient là près de... Abraham est allé à leur rencontre, il est tombé à Ses pieds les trois hommes et il a dit: «Si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, arrêtez-Vous juste un moment; asseyez-Vous sous ce chêne, sous l’arbre, à l’ombre, il fait chaud aujourd’hui.» La courtoisie. Il a dit: «Je vais chercher un peu d’eau pour Vous laver les pieds, je vais faire cuir un morceau de pain pour Vous. Reposez-Vous, et ensuite, Vous pourrez continuer Votre chemin.» Voilà comment recevoir les étrangers.


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E-29 Maintenant, Abraham s’est assis et Les a observés, probablement qu’il s’était procuré une petite branche et qu’il chassait les mouches pendant qu’Eux mangeaient. Avez-vous déjà fait cela? Nous étions obligés de faire cela à la maison; on avait une petite branche pour les mouches, à la campagne, avant que nous ayons des rideaux aux portes ou que nous soyons en mesure d’en acheter. Et là, il observait les Anges et Dieu pendant qu’ils mangeaient, et Dieu avait tourné le dos à la porte, et Il a dit: «Abraham, où est Sara?»Il a dit: «Elle est dans la tente.»Il a dit: «A cette même époque, selon le temps de la vie, Je vais–le temps de la vie, Je vais te visiter.» Sara avait presque cent ans... Il a dit: «Je vais te visiter selon le temps de la vie.»Et Sara (Tenez. Maintenant, observez.), Sara, dans la tente, a ri, à l’intérieur de la tente, derrière Dieu, l’Homme qui était assis là dans une chair humaine, mangeant du veau, buvant du lait et mangeant du beurre qui provenait de la vache, mangeant du pain de maïs... Et Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?» (Elle était là derrière Lui à ce moment-là.) Comment allez-vous appeler cela, vous les sceptiques? De la télépathie? Lisait-Il la pensée de Sara? De toute façon, c’est ce que Dieu a fait. Sara a eu peur; elle a dit: «Non, je–je–je n’ai pas ri.» Il a dit: «Oh! si, tu as ri aussi.» Il savait de quoi je parlais–de quoi Il parlait. Amen. N’est-ce pas merveilleux? La Parole est si réelle et si simple. Après avoir mangé, Il a dit: «Cacherais-je un secret à Abraham, Me garderais-je de lui révéler ce que Je vais faire?» Et Il lui a révélé que les péchés de Sodome avaient déjà atteint les Cieux. Leurs cris étaient grands; Il était descendu pour la détruire. Pensez-y, ce... Et ensuite, Il est monté, Il a disparu de devant Abraham. Les Anges ont continué leur chemin.


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E-32 Dieu a simplement tendu la main et Il a pris une poignée d’atomes, une poignée de calcium, une poignée de lumière cosmique, et Il a simplement rassemblé cela en soufflant, et Il a créé trois corps, et Lui et les deux Anges sont entrés dedans et ils ont mangé. Voilà notre Dieu!

Qu’est-ce que vous... Pourquoi alors la résurrection est-elle tellement un mystère? Si le Dieu qui peut sortir de tout l’espace, qui remplit l’espace du système solaire et au-delà... Amen. Eh bien, cela ne représente rien pour Lui de parler et que quelque chose se produise. Alors, s’Il vous connaît par votre nom...

Ecoutez. C’est comme je le disais l’autre soir au sujet de ce que ma femme me disait, à savoir que je devenais chauve. Et je lui ai dit que je n’avais perdu aucun de mes cheveux. Elle a dit: «Où sont-ils?»

J’ai dit: «Où étaient-ils avant que je les aie? Ils sont là-bas, attendant que je les rejoigne.» Et ainsi en est-il de ce corps qui dépérit, mais un jour, il n’en restera plus rien, cependant chaque atome qui le constitue, chaque goutte de pétrole, toute la lumière cosmique, Dieu avait cela lorsqu’Il créait le monde, et Il ramènera le corps dans un état immortel au jour de la résurrection lorsqu’Il appellera d’entre les morts. Amen. Alors, pourquoi avez-vous peur? Vous devriez être les gens les plus heureux de la terre. Oh! la la! Dieu qui contrôle tous les éléments... Ils Lui appartiennent tous. Il les a créés avant qu’Il ne vous crée. Vous êtes juste une partie de Sa création lorsqu’Il a créé toutes ces choses. Ensuite, Il en a simplement pris une petite portion et a façonné cela et vous a créé...?...


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E-33 Remarquez, Dieu montrait là par Sara et par Abraham quelque chose qu’Il va faire pour tout le monde. Croyez-vous cela? Ceci c’est juste une autre petite parenthèse pendant une minute.

J’aimerais vous demander quelque chose. Papa, vous souvenez-vous de l’aspect de maman lorsque vous l’avez épousée? Et vous maman, vous souvenez-vous de l’aspect de papa lorsque vous l’avez épousé? Il était élégant, beau, et ces cheveux étaient ramenés vers l’arrière. Combien les yeux de maman étaient beaux! Vous vous êtes avancés vers l’autel; vous saliviez abondamment en la regardant.

Je me souviens lorsque je me suis marié, j’ai regardé ma femme et mon coeur battait la chamade et... Je n’arrivais pas, j’étais un peu timide, je n’arrivais pas à lui demander la main, alors je lui ai écrit une lettre et je la lui ai demandée, et elle a accepté. Et ainsi donc, lorsque nous... Je me souviens combien elle était jolie lorsque je l’ai épousée. Mais vous savez quoi? Vous allez vous réveiller un matin, et dire: «Mère, il y a une ride sous ces beaux yeux.» «Papa, il y a quelques cheveux gris qui apparaissent à la tête.» La mort s’installe. Elle va–va vous prendre–prendre.

Dieu a peint ce tableau, Il a dit: «Les voilà! Ne sont-ils pas beaux? C’est Mon oeuvre. Maintenant, mort, viens, tu peux prendre le corps.»


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E-35 Observez ceci juste un instant. Nous allons peut-être y revenir à un moment donné; j’aimerais simplement prendre cette lettre d’amour, et que le Seigneur puisse nous la révéler. Vous savez? Alors, observez. Abraham! Savez-vous ce que Dieu a fait là pour Abraham et Sara? Cela pourrait sembler étrange; vous pourriez ne pas vous le représenter, mais non seulement Il les a bénis, mais Il les a ramenés à l’état d’un jeune homme et d’une jeune femme. Le savez-vous? C’est ce qu’Il a fait. Assurément.

Maintenant, remarquez. Je peux simplement m’imaginer Abraham qui, le matin suivant, se lève et dit: «Eh bien, Sara, tu sais quoi? Tiens, dis donc, tes–tes–tes–tes–tes–tes–tes rides disparaissent de ton visage.»

Et elle a dit: «Eh bien, papa, regarde–regarde, tu sais quoi? Cette bosse sur tes épaules disparaît.»

Ils redevenaient jeunes. Dieu peut faire toutes choses. Observez. Ils sont partis de là et sont allés à Guérar. Voyez à quelle distance cela se trouve. C’est à une distance d’environ 300 miles [480 km]. C’est un long voyage pour un vieil homme et une petite grand-mère, portant un petit bonnet sur la tête, marchant là, tremblant tout le long de la route. Et maintenant, la chose étrange, c’est lorsqu’ils sont arrivés là au pays des Philistins: le roi Abimélec était en quête d’une chérie. Et alors que toutes ces jolies filles philistines étaient là, lorsqu’il a vu Sara, une grand-mère, venir s’appuyant sur une canne, il est tombé amoureux d’elle. C’est absurde. Il a dit: «Voilà celle que j’attendais.» Et Abraham a dit: «Oh! tu es belle de figure, SaraA cent ans! Voyez-vous? Vous devez lire entre les lignes. Elle était très belle. Elle était redevenue une jeune femme.


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