Indianapolis, Indiana, USA
E-44 Alors, je suis sorti, je lui ai donné de petits coups et, on dirait, il ne bougeait pas. Et j’ai essayé un tout petit peu, j’ai vu qu’il était encore vivant de toute façon. Mais, oh! la la! cette grande jambe était toute enflée, et il était tout recouvert d’asticots et des mouches. Et j’ai dit: «Pauvre vieille créature!» Je suis rentré dans la pièce latérale, mon bureau. Je me suis simplement assis là où les malades viennent pour qu’on prie pour eux, je me frottais la tête comme ceci. Et je me suis dit: «Eh bien, que vais-je faire avec cet opossum? Je dois faire quelque chose. C’est une honte.»
Et quelque chose... Maintenant, je ne sais pas si vous allez croire cela, c’est entre vous et Dieu. J’ai entendu Quelque Chose dire: «Eh bien, elle a attendu à ta porte vingt-quatre heures comme une dame. Tu as prêché sur elle hier et tu as tiré un sujet, tu as dit qu’elle était une vraie mère; elle tenait à élever ses petits. Je l’ai amenée à se coucher à ta porte pendant vingt-quatre heures. Tu n’as rien dit à son sujet.»
Eh bien, j’ai dit: «Je ne savais pas. Que veux-Tu dire?»
Il a dit: «Elle est venue pour qu’on prie pour elle. Elle attend son tour.»
J’ai dit: «Eh bien, je ne savais pas qu’elle était venue...» Je me suis dit: «Qu’est-ce qui se passe avec moi? Suis-je en train de me parler?» Eh bien, je me suis dit: «Qu’est-ce?» Alors, j’ai reconnu la Présence du Saint-Esprit. J’ai ouvert la porte, je suis sorti là, et je me suis tenu à côté d’elle. J’ai dit: «Père céleste...» Becky la regardait. J’ai dit: «Père céleste, ai-je été si stupide à Te connaître, dans Ta grâce divine...» J’ai dit: «Maintenant, attends une minute. Oui, Tu connais les oiseaux de l’air; Tu connais toutes choses, Tu connais tout... et... Eh bien, ai-je dit, la... que voici, alors cette opossum sait plus au sujet de la guérison divine que beaucoup de prédicateurs.» Et j’ai dit: «Elle est ici.» Et maintenant, il n’a pas d’âme, cela m’a donc encouragé. «Tu m’as dit d’aller prier pour les malades, et j’ai souvent vu des malades être conduits. Mais si Tu as eu assez de considération pour ce vieil opossum afin qu’il élève ses petits, Tu as eu à tirer... le Saint-Esprit l’a amené. En effet, il n’a pas d’âme; c’est un animal, il est venu, il s’est couché là comme une mère, mourante, attendant son tour pour qu’on prie pour elle?» J’ai dit: «Ô Dieu, pardonne-moi d’avoir été si stupide.» J’ai dit: «Maintenant, Père céleste, je Te prie, si tel est le cas, de guérir ce vieil opossum. Je le demande au Nom de Jésus, si c’est Toi qui as envoyé cette vieille créature depuis la route ou je ne sais où elle a été mâchonnée, et elle est couchée là... et elle tient à élever ses petits et Tu l’as envoyée ici pour qu’on prie pour elle, Tu l’as conduite ici. Eh bien, ai-je dit, je regrette de n’avoir pas compris cela. Je prie donc qu’elle soit guérie, au Nom de Jésus.»
Aussitôt que j’avais dit cela, le vieil opossum s’est retourné et m’a regardé, il s’est levé, il a pris ses neuf petits, et il les a remis dans son sein comme ceci, il a levé les yeux vers moi comme pour dire: «Merci, gentil monsieur.» Il a dressé cette queue en l’air et il a descendu la route, il s’est dirigé vers les bois, il est allé à toute vitesse. C’est vrai...?...