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PHOENIX AZ USA

E-42 Très bien. Billy, amène le... Bonsoir, monsieur. Bien, aussitôt que vous vous êtes approché - lorsque vous étiez assis là, vous étiez en train de vous dire ceci: "Eh bien, voici le moment où j'ai désiré être ici." N'est-ce pas vrai? Et lorsque vous étiez là, une sensation très étrange vous a parcouru pendant que vous étiez assis là sur la chaise. Est-ce vrai? C'est alors que votre maladie de coeur vous a quitté, mon frère. Vous pouvez aller de l'avant, rentrer à la maison maintenant, et remercier le Seigneur.

Disons: "Gloire au Seigneur Jésus."

Très bien. Maintenant, vous allez vous rétablir, frère. Allez tout simplement de l'avant. Croyez que la bénédiction de Dieu repose sur vous. Ayez foi. Louez-Le tout simplement. Oubliez tout à ce sujet. Allez tout simplement de l'avant. La promesse est pour vous maintenant. Elle est vôtre. Dieu a promis cela dans Son Livre, Il a promis cela par Son prophète - ou serviteur. Est-ce vrai? Amen. Ne l'oubliez pas, croyez.


Phoenix, Arizona, USA

E-1 Je demande seulement si tout le monde peut juste quitter l’estrade, laisser peut-être une ou deux personnes qui vont aider les gens. Si alors quelque chose arrive, je serai donc... nous sommes mieux préparés pour cela. Vous comprenez, n’est-ce pas? J’espère que vous comprendrez.

J’ai fait tout mon possible la semaine écoulée pour, ou les deux semaines, pour essayer de voir notre Seigneur vous aider, vous les bien-aimés ici. Il y a beaucoup de choses que je souhaitais voir s’accomplir, et même ce soir. Je prie que cela–que cela se produise. Et je–j’espère voir tout le monde être guéri du coup.

Puis, dans la réunion, je vois beaucoup de choses qui–qui se sont accomplies, beaucoup de choses que les gens... Je les vois assis parfois là dans l’assistance, me regardant, essayant de leur mieux. Et je pense: «Oh! J’ai vu qu’ils étaient guéris. Mais je vais les mettre à l’épreuve dans quelques minutes.» Mais cela–cela échappe à mon esprit. J’oublie ça. Et ils sont guéris.


Phoenix, Arizona, USA

E-4 Maintenant, cette soirée sera probablement la plus glorieuse de toutes les soirées. De grandes attentes, une grande pression, les gens poussent, cherchant à entrer, cherchant à être guéris. Ça sera le–le moment glorieux. Beaucoup seront guéris ce soir. Et j’ai juste le pressentiment que, ce soir, ça sera l’un des plus glorieux moments de guérison que nous ayons jamais eu de toutes les réunions. Et je–je crois que cela le sera ce soir.

Maintenant, comme nous allons parler aujourd’hui de l’Histoire de ma Vie, je... Pendant que je–je rapporte ma part des choses... Et je sais que j’ai ici beaucoup de concitoyens qui ont connu des choses semblables. Et tous...


Phoenix, Arizona, USA

E-9 Avez-vous déjà fait attention à une personne quand elle s’en va? Je me suis tenu à côté de plusieurs personnes, je les ai tenues dans mes bras, je les ai observées alors qu’elles s’en allaient. Je trouve cela très étrange.

S’il vous plaît, prédicateurs, pardonnez-moi ceci. Ce n’est pas une doctrine. Je n’aimerais pas que cette assemblée pense que ceci est une doctrine. Mais je me demande souvent si quand nous nous en allons... Je vais d’abord raconter mon histoire ici.


Phoenix, Arizona, USA

E-10 Je me suis tenu à côté d’un homme, il n’y a pas cinq ou six ans, alors qu’il s’en allait. Il venait d’être sauvé il n’y avait pas longtemps. Il était assis dans un fauteuil. Il était tout enflé suite à une maladie du coeur. C’était un membre d’une certaine église là dans la ville. Et j’ai dit... je suis alauprès de lui et j’ai dit: «Bonjour, monsieur Bledsow. Me reconnaissez-vous?»

Il a dit: «Oui. Je vous reconnais, Billy.» Il a dit: «Billy, je pense que je m’en vais.»

J’ai dit: «Etes-vous prêt, monsieur Bledsow?»

Il a dit: «Oh! Oui, Billy. J’ai–j’ai réagi à mon appel par Dieu. J’y ai répondu.» Il a dit: «Je suis prêt à partir s’Il m’appelle.» Et il a dit: «Je crois qu’Il m’appelle.»

J’ai dit: «Eh bien, si vous êtes prêt, monsieur Bledsow, êtes-vous disposé?»

Il a dit: «Oui, Billy, je suis disposé.»

J’ai offert une prière pour lui et je suis sorti. Je parlais à sa femme, qui était assise là. Et il parcourait la pièce du regard, en train de parler. Et nous venions à peine de prier, et le Saint-Esprit était dans la pièce, qu’il s’est levé, il a dit: «Maman, eh bien, je ne t’ai pas vue depuis des années.»

Madame Bledsow a dit: «Papa, est-ce que tu délires?»

Il a dit: «Eh bien, ne la voyez-vous pas? Elle est là.» Il a dit: «Soeur?»

Ça n’a pas fait longtemps qu’il était parti.


Phoenix, Arizona, USA

E-15 Et nous avions une source qui coulait en bas de notre maison. Et–et j’avais l’habitude d’y aller, et j’avais une calebasse. On s’en servait pour verser de l’eau dans ce vieux seau en bois de cèdre. Combien savent ce que c’est une calebasse? Dites donc, je ne suis pas le seul garçon de campagne par ici aujourd’hui, n’est-ce pas? Non, non. Je me sens mieux maintenant. Avec ça, mes habits me vont parfaitement bien. Je sais de quoi on parle.

Très bien. On avait une vieille calebasse, on mettait cela sur la rivière. Oh! la la! Quel moment! Et là en dessous d’un rocher, on y plaçait du beurre, vous savez. Très bien. On ne pouvait pas conserver la crème là, parce qu’il y avait trop de petits Branham, et cela... Oui, oui. Nous aimions tous cela.


Phoenix, Arizona, USA

E-17 Je me rappelle quand papa gagnait soixante-quinze cents par jour, Il revenait à la maison... Eh bien, mon papa faisait quelque chose de mal. Il buvait. Il allait payer ses factures, et ce qui lui restait, il–il le consommait dans la boisson. Et je déteste le dire, et c’est... mais c’est la vérité. S’il me faut dire quelque chose, je–je dois dire la vérité. Peu importe que cela soit une tache noire pour moi, eh bien, c’est–c’est une tache noire. C’est tout. Voyez? Que ça soit quelque chose d’effrayant pour moi, eh bien, je ferais mieux d’en parler ici, car cela va être sur les toiles du Ciel un jour pour que tout le monde le voie. Non seulement j’ai eu... je dois le confesser, sinon je mentirais. Je préférerais donc aller directement de l’avant et dire juste la vérité à ce sujet, et laisser simplement cela être tel quel.

Papa buvait. Non seulement il buvait, mais il fabriquait du–du whisky. Et à son retour à la maison, après avoir tout payé pour l’épicerie et tout, il–il buvait, dépensant tout le reste dans la boisson. Mais peu m’importe ce qu’il a donc fait, je l’aime aujourd’hui même s’il est dans la tombe. C’est vrai. Il était mon papa.


Phoenix, Arizona, USA

E-20 Mon petit garçon maintenant, je l’ai retiré du col... de l’école secondaire. Je vais l’envoyer ici, si je le peux, chez les Assemblées de Dieu, ou quoi que ce soit ici, quelque part vers Dallas, pour qu’il termine son école secondaire, et qu’il continue l’université; l’envoyer parmi des chrétiens, là où il peut travailler, et parmi des gens qui ont le Saint-Esprit, qui l’aideront à évoluer et qui placeront la chose juste devant lui.

Et s’il prend une mauvaise voie, il aura à passer par-dessus la Bible, par-dessus le Saint-Esprit, et par-dessus la prière d’un papa qui a prié. C’est vrai. Il aura à passer par-dessus tout cela avant qu’il puisse jamais aller en enfer. Et je–je crois que si vous priez et que vous tenez bon, Dieu exaucera votre prière.


Phoenix, Arizona, USA

E-21 Et mon papa, juste avant de s’en aller, il–il–il m’a fait venir. Il était... Il avait... Pauvre vieil homme, je déteste le dire. Cela me tue pratiquement de le dire ici: il est mort affamé. C’est vrai. Mon papa est mort affamé. Et il... C’était pendant la crise. Nous travaillions... Nous ne pouvions pas travailler, ni rien trouver à faire comme travail, et il était maladif, et c’est à peine si nous pouvions nous en sortir. On partageait juste–juste ce que nous pouvions partager. Mais je sais qu’il était affamé, car nous n’avions pas mangé la veille.

Il a piqué une crise cardiaque, et je me suis tenu à son chevet. Je l’ai pris dans mes bras, comme cela, il m’a regardé, et il s’en est allé à la rencontre de Dieu. Je crois qu’un jour, je le reverrai.

Ma mère, elle avance en âge. Ça ne fera pas très longtemps. Chaque fois que je la quitte, ses vieilles lèvres tremblotent alors qu’elle m’embrasse, en disant: «Chéri, un jour, tu retourneras et maman ne sera plus.»

J’ai dit: «Alors, maman, un jour, j’irai là où tu seras.» C’est vrai. J’y serai.


Phoenix, Arizona, USA

E-23 Je me rappelle que nous avions l’habitude de descendre en ville le samedi soir, on y allait payer la facture de l’épicerie. Nous recevions tous un cadeau de bonbons. Vous vous rappelez quand on avait l’habitude de recevoir un cadeau? Oh! la la! Ces anciens bonbons à la menthe avec un bâtonnet, vous en souvenez-vous? Mon vieux, c’étaient de véritables bonbons, n’est-ce pas? Oh! la la!

Je me rappelle, nous entrions tous dans ce vieux wagon jersey, c’est comme ça que nous l’appelions là-bas. Vous tous ici, vous l’appelez calèche, je pense. Nous mettions de la paille derrière et tout un tas de couvertures piquées, et toute cette ribambelle d’enfants entrait. Nous avions là un vieux mulet. Nous le conduisions sur une distance d’environ sept miles [11,2 km] pour aller en ville et on s’arrêtait. Papa entrait, lui et maman, et ils achetaient des épices et ressortaient.

Et je me rappelle que nous avions d’habitude une boîte de deux galons [7,5 l] de pétrole. Nous allumions une lampe à pétrole. Vous avez fait cela, n’est-ce pas, beaucoup parmi vous, allumer une lampe à pétrole. Avez-vous déjà connu des moments où vous n’avez pas assez de pétrole pour permettre à la mèche de descendre jusque là? Alors, vous déversez de l’eau là-dedans, et vous faites remonter celaafin que vous... Oh! la la! C’est... On prend une grosse pomme de terre, on la place comme bouchon, de sorte qu’en rentrant à la maison, vous savez, cela empêche le pétrole de bouger et de sortir du bidon. On le mettait sur les épices. C’étaient des jours glorieux, n’est-ce pas? C’est vrai.


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