Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Jeffersonville, Indiana, USA

E-32 Ecoutez un peu, j’aimerais que vous écoutiez cela. Il n’y a qu’une chose qui peut vaincre le diable. C’est l’amour pur, l’amour divin. L’amour vaincra toute chose. Dieu a tant aimé le monde... Cela a vaincu le problème du péché. Cela a vaincu le problème de la maladie. Cela vaincra les différends dans l’église. Cela vaincra tout ce qu’il y a d’injuste à vaincre. C’est ce que l’amour fera si vous le laissez faire cela.

Mon ami, quand ce gros animal s’est dirigé vers moi, au lieu de haïr cet animal, Frère Mike, je l’ai aimé. Et je me suis dit: «Tu es une créature de Dieu. Qui d’autre pouvait te créer, sinon Dieu? Et tu es couché là en paix, et je suis venu sur ton territoire malgré les pancartes là-bas dans le champ comme quoi cela en fait partie. J’ai simplement pris un raccourci, mon terrain habituel, pour aller prier pour un homme malade.» Et là j’ai vu ce taureau venir, sa tête simplement penchée comme cela, et il s’est dirigé vers moi pour me tuer; et je le savais, mais l’amour divin a commencé à se manifester. J’ai dit: «Pauvre créature. Une brute muette n’en sait pas mieux. Tu étais couché là, et je t’ai dérangé. Ainsi donc, je suis serviteur de Dieu. Tu es une créature de Dieu. Au Nom de Jésus-Christ, rentre te coucher, car je vais prier pour un enfant de Dieu qui est malade. Rentre, ai-je dit, te coucher,» et ce taureau s’est approché de moi impétueusement. Je n’ai eu aucune crainte. Je n’ai pas du tout eu peur, pas plus que je n’ai peur de frère Neville qui est assis juste ici. Juste la peur du saint amour dans mon coeur.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-35 Descendant la rue avec un tas de lettres en main, je me dirigeais vers la poste quand j’ai senti quelque chose d’étrange. Vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas? C’est juste comme si tout se calmait... Oh! quelle sensation! Je me suis dit: «Oh! la la! n’est-ce pas si merveilleux?»

Eh bien, Doc autrefois chantait un petit cantique: «Laisse-moi marcher avec la Colombe céleste, remplis chaque jour mon chemin d’amour.» Je pensais à cela, et cet amour a commencé à se déverser, davantage d’amour. Nous avons l’amour, mais nous avons besoin d’un amour en abondance, d’un amour qui déborde. Vous direz: «Eh bien, j’aime les pécheurs.» Mais, oh! frère, soeur, les aimez-vous suffisamment pour aller leur parler et les attirer à Christ? Voyez-vous ce que je veux dire?

Vous direz: «J’aime le Seigneur, mais pouvez-vous Lui faire confiance même si le médecin secoue la tête [en signe de désespoir]? Pouvez-vous Lui faire confiance lorsque toute autre chose est perdue? Vous avez besoin d’un baptême d’amour qui déborde, de l’amour divin. Lorsque vous avez l’impression qu’après avoir prié, votre prière n’a pas été exaucée, L’aimerez-vous toujours? Y a-t-il quelque chose qui continue de vous épurer? C’est la grâce souveraine de Dieu qui doit intervenir. Il le faut. C’est la nature de Dieu. Dieu ne peut que faire cela.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-38 Et je suis allé là, et je lui ai imposé les mains. Jai dit: «Cher Père céleste, c’est Toi qui m’as donné cette enfant. Elle T’appartient. Moi, je l’ai seulement élevée.» Je lui ai imposé les mains. Quelque chose a commencé à se mouvoir dans mon coeur. Cela a arrêté les vomissements. Elle n’a plus jamais vomi depuis ce jour-là.

Le deuxième jour, Becky est tombée sérieusement malade, on dirait un virus, et elle vomissait. La petite avait vomi toute la nuit. Le lendemain, Meda a dit: «Nous allons lui donner du Pepto-Bismol.» On en a versé deux cuillérées et on lui en a donné. La petite a vomi cela aussitôt. Nous sommes passés par le Massif du Grand Teton. Quand nous sommes sortis de cette contrée chaude en montant, elle voulait contempler les belles montagnes. Elle n’a pas pu le faire. Elle était tellement malade.

J’ai dit: «Chérie, regarde ici. J’aimerais prendre... Papa voudrait te photographier afin que nos voyions les montagnes là-bas.»

Elle a dit: «Oh! papa. Je sens comme si je mourrais.» Et nous lui avons alors administré un autre Pepto-Bismol. Nous avons offert une prière ce matin- là.

J’ai dit: «Seigneur, aie pitié.» Et, oh! cela n’a fait aucun bien. Alors je me suis levé là, et je l’ai sortie. J’ai dit: «Chérie, sors au grand air.» Elle avait froid, elle portait une petite veste, il y avait de la neige partout sur le sol. Alors je suis sorti et elle s’est efforcée. Elle a dit: «Oui, papa.» [Frère Branham donne une illustration.–N.D.E.] Et la salive coulait simplement de sa petite bouche. J’ai regardé, et ses petits yeux étaient enfoncés, et sa bouche tout autour était pâle au possible. Je suis allé là-bas et j’ai levé mes yeux vers la montagne. J’ai dit: «Je lève mes yeux vers les montagnes... d’où me viendra le secours? Le secours me viendra de l’Eternel.» Alors, tout à coup, quelque chose a commencé à faire le nettoyage en moi. Oh! j’aurais souhaité avoir constamment cela. Je suis allé là-bas du côté de la voiture, j’ai ouvert la portière, j’ai dit: «Regarde ton papa, chérie.» Oh! la la! cela a arrêté les vomissements pendant...?... quand même. Après cinq minutes, elle courait çà et là, jouant avec Sara. Qu’est-ce? Quand l’amour divin est projeté, la grâce souveraine prend la relève. Obligatoirement.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-41 J’ai simplement continué de marcher; quelque temps après, j’ai regardé, et une tante Jemima se tenait à un portail comme ceci; elle était appuyée contre le portail, avec ses grosses joues. Elle avait enroulé une chemise d’homme autour de la tête comme ceci et c’était noué par derrière. Je marchais comme cela, et je suis arrivé jusqu’à son niveau, des larmes coulaient sur ses grosses joues comme cela. Elle m’a regardé et a dit: «Bonjour, parson.»

Et j’ai dit: «Madame, ai-je dit, bonjour.»

Elle a plutôt ri à belles dents et m’a regardé, les larmes aux yeux. Je me suis dit: «Elle m’a appelé ‘parson.’» C’est ainsi qu’ils appellent un prédicateur dans le Sud, vous savez. Et j’ai dit: «Comment savez-vous que je suis un pasteur?»

Elle a dit: «Je savais que vous veniez.»

«Comment?»

Elle a dit: «Je savais que vous veniez.»

J’ai dit: «Je ne comprends pas, tantine. Voudriez-vous me l’expliquer?»

Elle a dit: «Vous savez, avez-vous déjà lu cette histoire au sujet de la Sunamite qui n’avait pas d’enfant, et elle avait demandé au Seigneur de lui donner un enfant, et, a-t-elle dit, et Elie est venu et l’a bénie, et elle a eu un enfant?»

J’ai dit: «Oui, madame. Je me souviens de cela

Elle a dit: «J’étais ce genre de femme.» Elle a dit: «Je n’avais pas d’enfant, et j’ai prié le Seigneur; et j’ai dit au Seigneur que s’Il me bénissait et me donnait un enfant, alors je l’élèverais pour Lui.» Et elle a dit: «Il m’a donné un enfant, et, a-t-elle dit, j’ai fait de la lessive sur la planche à lessive (Il y avait là sur le côté son coin de travail.), a-t-elle dit, j’ai fait la lessive là sur la planche à lessive pour élever cet enfant.»


Jeffersonville, Indiana, USA

E-45 Frère, j’ai été dans les palais des rois, j’ai été dans les maisons des gens les plus riches qu’il y a au monde, j’ai été dans certaines maisons des multimillionnaires valant vingt... valant vingt-huit millions de dollars. J’ai marché sur leurs tapis, et c’était de la soie d’un bout à l’autre, alors que je pouvais m’étendre là et dormir confortablement sur le paillasson de belles maisons. Mais là, il n’y avait même pas de tapis sur le plancher, et il se trouvait là un vieux petit lit en fer avec une affiche...?... une vieille petite couverture couvrait ce garçon et un écriteau sur la porte disait: «Que Dieu bénisse notre maison.» Je savais que j’étais devant la maison d’une chrétienne. Je savais que j’étais quelque part où un appel avait été fait, il n’y avait pas de photos des filles nues au mur, pas de photos vulgaires, mais la Bible était ouverte sur la vieille petite table en marbre qui se trouvait là. Et un grand garçon était étendu là sur le lit, tenant la couverture dans sa main, faisant: «Ummmmm, ummmmm. [Frère Branham fait une illustration.–N.D.E.]»Je me suis dit: «Oh! la la!» J’ai touché ses pieds; ils étaient moites et froids. La mort était sur le garçon.

Et il ne cessait de dire: «Oh! il fait très sombre. Il fait très sombre.»

Et j’ai dit: «De quoi parle-t-il?»

Elle a dit: «Pasteur, a-t-elle dit, il pense depuis plusieurs jours maintenant qu’il est perdu sur une grande mer, perdu.» Elle a dit: «Il ne sait pas où il va.» Et elle a dit: «Mon coeur saigne.» Elle a dit: «Il s’en va, il est perdu en mer, et il ne sait où il va.» Elle a dit: «Pasteur, j’ai prié. J’ai fait tout, j’ai fait tout. Je ne veux pas qu’il soit perdu, pasteur.» Et elle a dit: «Hier soir j’étais en prière.»


Jeffersonville, Indiana, USA

E-48 Et le garçon, quelques... Environ deux ans plus tard, quand je me suis rendu là, je voyageais par train. Je suis descendu du train, et je suis allé quelque part là me procurer un hamburger. Ça se vendait à à peu près 70 ou 80 cents dans l’avion, et... dans le train, et je pouvais l’acheter à environ 20 cents dans un petit shop. Je suis descendu du train et j’ai commencé à marcher. Il y avait là un portier qui a dit: «Bonjour, Pasteur Branham.»

J’ai regardé tout autour et j’ai dit: «Bonjour, fiston.»

Il s’est approché et a dit: «Ne me reconnaissez-vous pas?»

J’ai dit: «Non, je ne crois pas.»

Il a dit: «Vous rappelez-vous, il y a environ quelques années, quand vous êtes venu et que vous avez prié pour moi et ma maman?»

J’ai dit: «Es-tu ce garçon-là?»

Il a dit: «Oui, bien sûr, Pasteur Branham.» Il a dit: «Non seulement j’ai été guéri, mais maintenant je suis sauvé. Je suis un chrétien.»

La grâce souveraine... Certainement, frère. Je vous assure, quand la grâce... quand Dieu voit l’amour projeté, la grâce doit prendre la relève.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-52 Mon frère, ma soeur...?... Vous n’avez qu’une chose à faire dans votre vie: c’est d’aimer l’Eternel votre Dieu de tout votre coeur, de toute votre âme, de toute votre force, de toute votre pensée, et de croire à chaque Parole qu’Il a prononcée comme étant la vérité. Et quand vous serez dans une impasse, là où vous ne pourrez plus aller plus loin, alors la grâce souveraine divine sera projetée. Comment pouvais-je parler, étant étendu là-bas, quand les Frères Mayo m’avaient abandonné, j’étais assis du côté de la véranda par là, avec frère Cox à côté de moi? Je voulais savoir ce que...?... Je ne pouvais même plus supporter cela, mais...?...



Jeffersonville, Indiana, USA

E-2 Eh bien, nous avons passé des moments merveilleux dans le Seigneur, et le Seigneur nous a bénis parpar la prière pour les malades et les affligés. Là à Saskatchewan, au Canada, d’où nous venons de rentrer, notre Bienveillant Père céleste a exaucé la prière d’une façon merveilleuse là-bas. Et nous avons eu une merveilleuse, merveilleuse réunion parmi les gens. Et beaucoup de gens ont été sauvés et il y en a qui avaient été égarés qui sont revenus au Seigneur. Et beaucoup de grands signes, que le Seigneur a accomplis parmi nous. Ainsi donc, nous sommes contents pour tout cela.

Eh bien, je venais de quitter un cas pathétique. Notre frère Burns qui venait ici au tabernacle, on a découvert l’autre jour un cancer dans son corps, et alors nous... On ne pensait pas qu’il allait s’en sortir, juste quelques jours de plus. Il sera là pour adorer avec nous, peut-être mercredi soir. Puis, il reviendra de nouveau au–au service du Seigneur.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-4 C’est donc une bonne chose. Et je–je pense que le Seigneur permettra que le petit garçon se réveille maintenant. Et c’est juste un petit garçon, il a regardé pendant qu’il était couché là, complètement affaissé. Il n’arrive pas à manger en effet. Il est inconscient ça fait dix semaines. Et ses jambes sont fracturées. On n’arrive même pas à fixer ses jambes ni rien, comme il n’est pas conscient pour s’asseoir.

Et c’est un cas pathétique. Et pensez-y, si c’était votre enfant. C’est quelque chose auquel nous devrions vraiment penser. Et nous prions. Et j’aimerais que vous vous associiez à moi maintenant. La mère a fait une promesse à Dieu, qu’elle Le chercherait de tout son coeur et va... Le petit garçon, aussitôt qu’il se lève, je lui ai dit de m’appeler. Et au cas où je ne serais pas ici, de me le faire savoir aussitôt à notre retour. J’aimerais aller auprès du petit garçon pour–pour lui parler.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-6 Maintenant, dans l’adoration de cet après-midi, nous... Je... Dimanche passé, j’étais ici, mais j’étais si fatigué que je ne pouvais guère descendre... Alors, je me suis dit que je viendrais ce soir. La semaine prochaine, nous irons donc en Californie, au rassemblement sur la vieille rue Azusa.

Et il y a deux ans, en Californie, quand nous étions à Cow Palace, là au... en Californie, à une réunion, eh bien, il m’est arrivé de penser que la pentecôte totalise cinquante ans cette année en Amérique. Ça sera cinquante ans de la pentecôte. Il y a cinquante ans, le Saint-Esprit était descendu premièrement sur la rue Azusa, dans la vieille mission de la rue Azusa, en Californie.

Et alors, le Seigneur voulant, je pense, peut-être, si le Seigneur veut bien m’accorder d’inaugurer ce service le–le seize prochain, ainsi donc, j’aurai les deux premières soirées. Et ensuite, Oral Roberts prendra les suivantes, et puis, je pense Jack Coe sera le suivant, et ainsi de suite. Ce sera donc ainsi, pendant plusieurs soirées.

Et je vais aller juste un peu tôt, parce que frère Espinosa qui est mon... qui était mon interprète là à Mexico il y a quelques semaines, là où vingt mille personnes étaient venues au Seigneur Jésus en une soirée il y a quelques semaines, suite à la résurrection d’un petit enfant mort, mort cet après-midi-là dans les bras de sa mère...


Up