La Dislocation du monde

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Date: 63-1115 | La durée est de: 1 hour and 37 minutes | La traduction: Shp
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1 Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement ,
Tout est possible, crois seulement.

2 Inclinons la tête pour un mot de prière. Notre Père céleste, nous T'exprimons encore ce soir, Toi le grand Tout-Puissant, combien nous sommes reconnaissants d'être rassemblés ici, d'être en vie et de pouvoir T'adorer ce soir. Et c'est dans ce but que nous nous sommes rassemblés, être assis ensemble dans les lieux célestes, comme frères et soeurs, citoyens du Royaume de Dieu, attendant que le Saint-Esprit vienne sur nous, afin qu'Il puisse nous révéler ce qu'il nous faut faire, le plan de notre vie. Nous voulons marcher conformément à Sa volonté.

3 Et nous Te prions, Seigneur, de commencer à partir de la fondation et de bien nous purifier, Seigneur, et faire de nous de nouvelles créatures, afin que nous puissions être en état de Te servir. Sachant que cela nous est totalement impossible, Père ; en effet, nous ne pouvons pas nous purifier nous mêmes, pas plus qu'un léopard ne peut enlever ses taches en les léchant, il ne fera que les rendre brillantes en cherchant à déployer ses propres efforts. Mais : " Il y a une Fontaine remplie du Sang tiré des veines d'Emmanuel. " C'est cela qui ôte les taches du léopard. Je Te prie, Père céleste, d'accorder, ce soir, que chacun de nous puisse se plonger Là-dedans, abandonnant tous nos doutes derrière, tous les doutes sur l'amour de Dieu et la promesse de Dieu envers nous en ces jours-ci. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

4 Chantons ceci pendant que nous nous asseyons. Au lieu de dire : " Crois seulement ", levons simplement les mains et chantons : " Maintenant, je crois. " Oui, tout le monde maintenant. Maintenant, je crois, maintenant, je crois,
Tout est possible, maintenant, je crois ;
Maintenant, je crois, maintenant, je crois,
Tout est possible, maintenant, je crois.

5 Que le Seigneur vous bénisse, pendant que vous êtes assis. Oh, ça a l'air si approprié, après avoir demandé à Dieu, de Lui dire ensuite : " Maintenant, je crois ", après Lui avoir demandé.

6 Aujourd'hui, ça a été une journée très difficile pour moi. Je… Il y a beaucoup de choses à faire, et peut-être soixante-quinze entrevues sont sur la liste d'attente, et vous ne pouvez simplement pas les prendre toutes, c'est tout. C'est totalement impossible. Et aujourd'hui, j'ai reçu quatre invitations, de quitter la ville par avion ; l'une pour Beaumont, au Texas ; et l'autre pour Houston ; et l'autre pour Campbellsville, dans le Kentucky ; et l'autre pour Little Rock, en Arkansas, des urgences pour des malades. Et juste avant de quitter, on m'a téléphoné, me demandant de partir d'ici par avion, le dimanche soir, aussitôt après le service, pour me rendre loin, quelque part près de la Côte Ouest, pour prêcher à un service funèbre. Et je - On ne peut simplement pas satisfaire à toutes ces invitations. Là, ce sont juste celles qui viennent ici, ce qu'on voulait savoir ici ; qu'en est-il de ce qui se passe chez moi, au bureau ? Voyez-vous ? Et ces gens-ci sont gentils. Ce sont des chrétiens, beaucoup parmi eux. Et ils… Mais on ne peut simplement pas être partout à la fois, ainsi on essaie simplement de faire de notre mieux pendant qu'on est là. Ça vous rend vraiment nerveux. Mais vous savez, des fois, il faut des gens nerveux pour aboutir à quelque chose, vous savez, et qui atteignent un certain niveau de nervosité.

7 Savez-vous que très souvent ces gens inspirés sont considérés comme des névrosés ? C'est vrai. Citez juste un de ces prophètes qui n'a pas été considéré comme un névrosé. Voyez ? Même Jésus, on Lui a dit : " Tu es toqué ", ce qui veut dire fou, voyez. Et Paul a dit : " Je sers Dieu selon la voie qu'ils appellent une folie " Voyez, hérésie, folie…

8 Et considérez les poètes. Par l'inspiration, ils montent à un niveau où les gens ordinaires n'arrivent pas. Je pense à - à Stephen Foster, qui a donné à l'Amérique ces célèbres chansons populaires. Eh bien, je pense qu'il avait cela dans sa pensée, et non dans son coeur. J'habitais juste de l'autre côté de la rivière, dans "ma vieille patrie du Kentucky." Vous savez, après avoir composé cette célèbre chanson populaire, il est allé s'enivrer. Et il ne pouvait simplement pas supporter cela. Et en fin de compte, un jour, pendant que l'inspiration le quittait, il fit venir un serviteur, pris une lame de rasoir et se suicida. Voyez, vous - vous êtes…

9 Lorsque vous êtes là-haut, tout va bien, aussi quand vous êtes ici en bas. C'est - c'est quand on est entre les deux, quand l'inspiration quitte. Vous devriez demander à l'organisateur et à certains de ceux qui essayent de me promener le soir, après l'une de ces lignes de discernement. Oh ! la la ! Vous ne savez pas si tout est vision, ou ce qui se passe. Voyez, ce - c'est dans tout. Tout ce que vous voyez, vous - vous ne savez pas si c'est vraiment une vision ou quoi. Seulement vous … Et c'est vous qui faites cela. Voyez ? C'est vous - vous qui tirez cela.

10 Aujourd'hui, j'expliquais cela au pasteur. C'est comme un petit garçon qui cherche à regarder à travers un trou d'un mur, pour voir un cirque. Il se soulève à l'aide de ses mains et regarde à travers, et il peut peut-être voir, par exemple, un girafe ou un chameau, et il redescend. Et on lui demande : " Quoi d'autre as-tu vu ? " Eh bien, ça le tue pratiquement de remonter pour voir cela. Mais si donc, après un moment, quelqu'un pouvait venir là, le soulever, l'élever, et lui dire : " Regarde ce qui se passe. La - la guirlande commence par-ici, et le grand, c'est par ici, et ça se termine par ici. " Il le fait descendre. Eh bien, cela ne le dérangera pas.

11 C'est comme ça que Dieu était en Christ. Eh bien, la femme qui avait touché Son vêtement, juste une petite femme dans la ménopause, avait une perte de sang. Et elle n'arrivait pas… Les médecins n'arrivaient pas à arrêter cela. Alors, elle a touché Son vêtement. Et Jésus s'est retourné et a dit : " Qui M'a touché ? Une force est sortie de Moi. " Voyez, là, c'était la femme utilisant le don de Dieu. Elle a exercé une traction sur Dieu à travers Lui. C'était la femme qui a fait cela. Elle a tiré profit du don de Dieu, en l'utilisant.

12 Mais, quand Lazare était mort, Jésus a dit qu'Il ne faisait rien avant que le Père le Lui ait montré. Et après, Il s'est éloigné pour un temps, et - et on L'a envoyé chercher pour qu'Il vienne prier pour Lazare. Il n'est pas venu ; Il est allé à un autre endroit. Et puis, on L'a encore envoyé chercher. Et Il n'est pas venu ; et Il a reporté cela, Il est allé à un autre endroit. Et finalement, Il s'est retourné, Il a dit à Ses disciples : " Lazare dort. "
Eh bien, ils ont dit : " Il fait bien."

13 Puis, Il a parlé dans leur langage : " Il est mort. A cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n'étais pas là. " Voyez, le Père Lui avait déjà révélé le temps que ça prendrait ; en effet, Il disait qu'Il ne faisait rien avant que le Père le Lui ait montré ; et puis, le temps que cela prendrait et ce qui se passerait, pour qu'Il revienne. Ecoutez donc : " Mais Je vais le réveiller. " Voyez ?

14 Et quand Il est arrivé à la tombe de Lazare, Il a prié. Il a dit : " Père, Je Te rends grâces de ce que Tu M'as déjà exaucé ; mais je dis ceci juste à cause de ceux qui m'entourent, " Il savait ce qui allait se passer, alors Il a appelé Lazare de la tombe. On n'a point parlé de la force qui serait sortie de Lui. Là, c'était Dieu utilisant Son don, tandis que dans l'autre cas, c'était la femme utilisant le don de Dieu.

15 Or, vous ne pouvez pas produire une vision. Elle doit provenir de Dieu.

16 C'est donc votre foi qui produit cela. La foi est l'unique chose que Dieu reconnaîtra chez l'individu, c'est la foi dans Sa Parole de promesse, et c'est vous-même qui faites cela. C'est votre foi qui fait cela. Mais alors, quand une vision se produit, parfois une vision que Dieu donne, disant d'aller quelque part, eh bien, des fois, elle prend des heures, elle ne me dérange vraiment pas. Mais, c'est cet autre genre de visions qui dérange, alors vous revenez et vous vous demandez où vous êtes.

17 Je pense à William Cowper, je pense que c'est ça son nom, le compositeur de : Il y a une Fontaine remplie de sang. Je me suis tenu à sa tombe, il n'y a pas longtemps, à Londres. J'ai eu à pleurer un peu, en effet j'ai eu de la compassion pour cet homme. C'était un poète. Et il… quand il a été ravi par l'inspiration, et qu'il a composé ces cantiques… Eh bien, lorsqu'il en est sorti, il - il a cherché à … Il a fait venir un - un chauffeur et il a cherché une rivière pour se suicider, et c'était si brumeux qu'ils n'ont pas pu retrouver cela. Voyez, il était - il était perdu, l'inspiration l'avait quitté, il était retourné sur terre.

18 Que signifie tout cela, ami ? Qu'il y a certainement un Pays au-delà de la rivière, on n'a qu'à monter pour Le voir. Nous savons donc qu'il arrivera un jour où nous irons dans ce Pays. C'est cela notre grand espoir.

19 Bon, ce soir, je n'ai point dit à mon fils de distribuer les cartes de prière. Mais chaque soir, le Seigneur guérit les malades dans l'assistance, en les appelant simplement, ceux qui ont la foi. Ecoutez attentivement ce qu'Il dit donc, voyez, quand Il - quand Il parle.

20 Mais je pense que demain soir, eh bien, nous allons changer le - le déroulement de la réunion. Et, combien aimeraient donc qu'on prie juste pour eux, juste - juste prier pour eux, les malades ? Eh bien, très bien. J'enverrai Billy, juste un peu tôt, si notre bien-aimé pasteur est bien d'accord, alors nous distribuerons des cartes de prière, à vous tous, une carte de prière, à celui qui en veut, et puis, nous ferons simplement venir les gens, et nous passerons prier pour eux.

21 Je ne peux pas prendre tout le monde dans l'une de ces lignes de discernement. Cela je - je… On me fera sortir, et ça sera vous qui serez en train de prier pour moi. Et - et pensez-y donc, si une femme a touché Son vêtement…

22 Et Il était le Divin Fils de Dieu. Si le fait qu'une femme a touché Son vêtement L'a affaibli, qu'est-ce que cela ferait à moi, un pécheur sauvé par Sa grâce ? On n'irait jamais au-delà d'une personne, ou peut-être ça, s'Il n'avait pas dit : " Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez davantage. " En effet, voyez, Il a dit, le Roi Jacques dit : " De plus grandes ", mais le mot qui convient, c'est " davantage ", si vous consultez Cela, " davantage ". En effet, personne ne peut accomplir des oeuvres plus grandes que ça : Il a ressuscité les morts, Il a arrêté la nature. Il a tout fait. La seule chose donc, l'Eglise… Là, c'est tout Dieu qui était dans un Homme, et cette grande Colonne de Feu qui avait conduit Israël est devenu chair et a habité parmi nous.

23 Mais après la crucifixion, Il est ressuscité et est monté vers Dieu ; le jour de la Pentecôte, Il est revenu sous la forme de cette Colonne de Feu, et Il s'est divisé, des langues de Feu se posèrent sur chacun d'eux. C'était Dieu se divisant Lui-même dans Son Eglise ; en effet, c'était Son Epouse. Le mari et la femme sont un, ensemble. Dieu et l'Eglise sont un, ensemble. Dieu en vous ! C'était Dieu au-dessus de nous, Dieu avec nous, Dieu en nous, le même Dieu tout le temps ; juste trois manifestations, attributs, ou offices, ou je ne sais comment vous aimeriez appeler cela. C'est comme Père, Fils, et Saint-Esprit, c'est toujours le même Dieu. Voyez ?

24 Et là, c'était Dieu au-dessus de nous, qui ne pouvait pas être touché. Du fait même de toucher la montagne sur laquelle Il se trouvait, on devait être transpercé de flèche, car il n'y avait pas encore eu d'expiation du péché.

25 Mais après, Dieu est venu et s'est manifesté parmi nous : " Nous L'avions touché de nos mains, dit-il, Dieu ! " I Timothée 3.16 : " Et, sans contredit, le mystère de la piété est grand : Dieu a été manifesté en chair, vu des Anges, … et cru dans le monde, élevé dans la gloire. " Voyez ? Voyez, eh bien, c'était Dieu avec nous.

26 Dieu au-dessus de nous, Dieu avec nous, maintenant Dieu en nous. Tout ce que Dieu était, Il l'a déversé en Christ ; tout ce que Christ était, Il l'a déversé dans l'Eglise. " En ce jour-là, vous connaîtrez que Je suis dans le Père, le Père en Moi, Moi en vous, et vous en Moi. " C'est donc Dieu sur toute la ligne, voyez, Ses mêmes oeuvres. L'église a reçu l'ordre à de continuer Son oeuvre, par le même Esprit. Vous ne pouvez pas continuer la même oeuvre sans le même Esprit. C'est vrai. Le même Esprit continue l'oeuvre.

27 Ainsi donc, ça a été agréable de vous parler, je - je dépasse l'heure, chaque soir. Et je - je n'aime pas faire cela.

28 Mais je pense, de tout mon coeur, que nous sommes au temps de la fin. Je - je ne - je ne le dis pas juste parce que c'est une déclaration courante parmi les gens. Je le crois. Je crois cela de tout mon coeur, et d'un coeur sincère. C'est la raison pour laquelle je ne cherche pas à construire de grandes choses, à construire de très grandes choses, et construire de grandes flèches et autres. Et je - je crois que Christ vient. Je - je … Tout, Fai - faisons cela maintenant même, car il se peut qu'il n'y ait pas de lendemain, voyez. Faisons cela aujourd'hui, si possible, tout ce que nous pouvons.

29 Ainsi, je n'ai jamais permis, ou je ne pense pas que le Saint-Esprit voudrait que j'aie de très grandes choses, où on aura de très grand… Bon, c'est bien en ordre pour ceux qui veulent faire cela. Je ne les condamne pas. C'est bien. Mais quant à avoir, par exemple, des émissions télévisées, qui couvrent tout le pays, avoir à demander de l'argent aux gens, et pour faire cela, ils doivent faire cela, car il leur faut payer pour cela. Les émissions radiodiffusées, c'est - c'est bien, c'est en ordre, mais cela ne m'est pas destiné. Tout ce que j'aime… Eh bien, je me gênerais à mort, pour ça. Et je ne pourrais pas le faire. Je ne peux pas.

30 Une fois dans ma vie, je m'étais mis à prélever une offrande. Je pense que vous en avez entendu parler. Je - je m'étais mis à prélever une offrande. Nous étions vraiment dans une situation si difficile que j'en étais pratiquement obligé. Je - j'avais des dettes, et je travaillais. J'ai pris mon chapeau et j'ai déversé mon salaire et nous ne pouvions simplement pas nous en sortir. Et jamais je n'avais prélevé une offrande au tabernacle. J'ai été pasteur pendant dix-sept ans, sans un sou. Et j'ai dit à mon épouse, j'ai dit : " Il nous - nous faut simplement le faire… J'irai là et je prélèverai une offrande. "

31 Elle a dit : " Je vais t'observer, voyez. " Voyez ? Elle est allée s'asseoir là.

32 Et ce soir-là, je - après… C'étaient des gens aimables. Que leurs coeurs soient bénis. J'ai dit : " Je - je déteste plutôt dire ceci. " J'ai dit : " Ça fait longtemps que je suis avec vous. Jamais je - je ne vous ai demandé quelque chose, ai-je dit, mais je - j'ai des factures à payer. J'ai besoin d'environ six dollars. " Et j'ai dit : " Je - je n'en ai vraiment pas. Je n'en ai vraiment pas, et cela doit être payé le samedi ", ai-je dit. Et je - je n'en ai vraiment pas pour payer. Et j'ai dit : " Si vous tous, si quelqu'un parmi vous a environ dix cents, ai-je dit, si vous voulez donner une petite assistance, j'apprécierai cela. " Et - et tout le monde s'est mis à pleurer. Il y avait une vieille femme assise là… Et un diacre s'est levé, nous n'avions même pas de plateau d'offrande et je - j'ai dit : " Vous pouvez prendre mon chapeau. " Et il est parti prendre mon chapeau.

33 Alors, j'ai regardé là. Et une soeur un peu âgée, qui priait toujours pour moi, avait un… l'une de ces mères du Sud, à l'ancienne mode, qui avaient l'un de ces petits… les petits porte-monnaie que l'on ferme avec un bruit sec par le dessus. Elle l'a ouvert avec un bruit sec, et, oh ! la la ! J'ai vu ça. Je ne pouvais pour rien dépenser cela. J'ai dit : " Je - je taquinais simplement. Je voulais voir ce que vous alliez dire. Je ne voulais vraiment pas dire cela. " Je ne pouvais pas faire cela. C'est aussi loin que je suis donc allé dans le prélèvement de l'offrande. Voyez ?

34 Il y avait un vieil homme qui avait l'habitude de venir chez moi. Il - il, je pense qu'il était membre de la Maison de David, ou quelque chose comme cela. Il portait une longue barbe ainsi qu'une longue chevelure. Il m'a fait don d'une vieille bicyclette, qui était délabrée ; mais pas délabrée, juste usée. Ça - ça avait probablement fait son travail, mais c'était…Ainsi, je - je suis allé à un bazar et j'ai acheté deux boîtes de peinture, à vingt cents, je l'ai peinte et je l'ai vendue à six dollars. Je n'ai donc pas eu à prélever une offrande, voyez. C'est donc aussi loin que je sois allé. Je - je… Voyez ?

35 Que serait-il arrivé si je me trouvais ici avec toute cette grande charge, et que le Saint-Esprit m'appelait là, quelque part dans une petite église, là où peut-être il me faudrait avoir des centaines de dollars par jour, pour gérer cela ? On ne peut pas faire cela. Mais, vous voyez, je n'ai besoin que de plus de Dieu. Voyez ? Je - je n'en ai pas besoin. S'Il m'appelle donc quelque part, peu importe où, qu'il y ait dix personnes ou… Et j'ai prêché à cinq cents mille personnes à la fois. Ainsi, eh bien, chaque fois qu'on arrive à de tels moments, quelqu'un met juste… Dieu place cela sur son coeur, il vient et dit : " Vous savez, le Seigneur a dit que vous alliez à tel endroit, et voici un chèque pour y aller. " C'est ça, par la foi, vous voyez, car Il sait de quoi nous avons besoin. Voyez ? Et j'aime donc vivre comme cela.

36 Et puis, autre chose, vous savez, je pense, nous nous rendons à certains endroits, beaucoup de gens qui viennent à mes réunions sont pauvres comme moi, et je veux rester juste comme eux. Serait-ce donc correct pour un prédicateur d'aller ça et là, avec tout un grand quelque chose, vous savez, comme ça, et des dizaines de milliers de dollars, affectant cela à ceci, à cela ; alors que - alors qu'une pauvre femme transporte un sac de coton sur le dos, qui ramasse des cotons pour à peu près trois dollars par jour, et prend du lard gras avec du pain de maïs ? Non. Je ne peux pas, je ne peux pas m'imaginer cela, voyez. Christ était le maître de la terre, et Il n'avait pas de place où reposer Sa tête ; " Les renards ont des tanières. " Et Il était notre modèle. Il était ce qu'Il était censé être.

37 Bon, ce n'est pas que je cherche cependant à condamner cela. Je ne cherche qu'à vous parler de moi. Donc, n'ayant pas d'argent, je n'ai donc jamais essayé de commencer quelque chose de grand, vous savez. Et - et vous ne pouvez pas commencer quelque chose de grand, après tout. La plus grande chose qui existe, nous allons l'aborder, voyez donc, et c'est Dieu. Et je pense que nous sommes tous semblables, et restons juste comme - comme cela. Nous sommes des enfants de Dieu.

38 Eh bien, je - j'aime vraiment lire cette Bible. Et je n'arrive pas à La lire très bien et parfois, je prononce mal les mots, mais vous me supporterez là-dessus. Je - je - je…

39 Je me rappelle une fois, j'étais à Fort Wayne, je prêchais. Et il y avait là une Assemblée de Dieu qui avait publié un article sur une petite fille, et puis le Who's Who l'a reproduit. Peut-être que vous l'avez lu, ça fait environ dix ans. Ils avaient… Elle avait été… on lui avait opéré les yeux et elle avait perdu la vue. Et - et on me l'avait amenée, alors le Saint-Esprit lui avait tout révélé à ce sujet et l'avait guérie sur-le-champ ; elle pouvait lire la Bible ou n'importe quoi. Alors, le Who's Who a publié cela. Ce livre-là, vous savez, le Who's Who, sur la médecine et que sais-je encore, disant qu'elle voyait.

40 Et - et je me rappelle, quelques soirées après cela, je suis allé au fond, là où Paul Rader avait composé ce cantique Crois seulement. Et j'étais assis là, j'entendais cela venir. Il y avait là un - un homme qui était très instruit, il devait l'être, et alors, il est venu au fond, il a dit : " Monsieur Branham, puis-je vous parler ? "
J'ai dit : " Oui, monsieur. "

41 Et il s'est présenté, et - et il a dit : " J'aimerais juste vous corriger sur certaines choses. "
J'ai dit : "Très bien, monsieur. "
Et il a dit : " Votre grammaire. " Voyez ?

42 J'ai dit : " Oui, monsieur, je sais ça. " J'ai dit : " Je n'ai qu'une instruction de l'école primaire. " J'ai dit : " Nous étions dix enfants. Mon Père était maladif et j'étais obligé de travailler. J'ai dû quitter l'école, encore petit garçon. "
Il a dit : " Cette excuse-là n'est plus valable aujourd'hui. "

43 Et j'ai dit : " Ce - c'est vrai. " J'ai dit : " Je pense que ça ne l'est pas. Mais alors, depuis que je me suis mis à servir le Seigneur, je n'ai pas le temps d'apprendre quoi que ce soit là-dessus. "

44 Il a dit : " Eh bien, votre… " Il a dit : " Ces gens, là… " Il a dit : " Hier soir, j'ai constaté que vous aviez dit : " Vous tous qui montez ici près de cette chaire, a-t -il dit, descendez… "

45 Et j'ai dit : " Eh bien, quoi ? Je ne voyais pas de différence. " Et il a dit… J'ai dit : " Qu'y a-t-il de faux là ?

46 Il a dit : " Ce n'est pas chaire [ polepit], a-t-il dit, c'est chaire. [pulpit] " Il a dit : " Votre assemblée vous appréciera davantage si vous prononcez chaire [pulpit].

47 Eh bien, je pense qu'il avait mal peigné ces quelques cheveux. J'ai dit : " Frère, ai-je dit, Je n'aimerais pas être en désaccord avec vous. Mais je ne pense pas que ces gens-là en font un problème, que je dise chaire [polepit] ou chaire [pulpit], c'est juste, tant que je prêche la Parole de Dieu et que je mène la Vie qui est en Elle. "… ?… l'essentiel. Amen.
Le jeune homme a dit : " Mais vous ne connaissez pas votre Bible. "

48 J'ai dit : " Mais j'En connais très bien l'Auteur, et Il - Il me bénit. Je préfère connaître… Le connaître, c'est la Vie. " Voyez ?

49 Bon, demain soir, venez un peu tôt. En effet, quand je suis arrivé, il y a quelques instants, à bord d'un taxi, là, il y avait juste des files de gens, déçus, certains pleuraient, quittant le lieu, et on les avait renvoyés. Ainsi je…Venez aussi tôt que possible recevoir votre carte de prière.

50 Maintenant, juste avant d'examiner la Parole, parlons à l'Auteur, juste un instant.

51 Père céleste, Ceci est Ta Parole. Et nous lisons dans la Bible : " Nous sommes purifiés par le lavage d'eau de la Parole. " Et nous savons, dans l'Ancien Testament, qu'on prenait une génisse, une génisse rousse et on l'immolait, toute l'assemblée, puis on la brûlait. Et puis, on en gardait la cendre en dehors de la cour, pour en faire les eaux de séparation, que-que les mains qui tenaient cela devaient être pures. Et je - je Te prie, ô Dieu, pour ces eaux de séparation, la Parole qui nous sépare de la mort et nous amène à la vie ; purifie nos pensées, nos coeurs, Seigneur. Et si Tu trouve quelque chose en nous qui n'est pas tout à fait correct, ôte-le ce soir, Seigneur, par cette eau de séparation. Ôte nos péchés, Père. Nous - nous désirons nous tenir devant Toi chaque jour, mourir à nous-mêmes, afin de pouvoir vivre en Christ. Bénis la Parole alors que nous La lisons. Et Tu as promis que Cela ne retournerait pas à vide, mais qu'Elle - Elle accomplirait ce qu'Elle était censée accomplir. Et nous Te prions de nous accorder cela au Nom de Jésus. Amen.

52 Dans le Livre de la révélation de Jésus-Christ, nous voyons… Je vais lire juste une petite portion, sur le sixième Sceau. Dans le livre de l'Apocalypse, ça se trouve au chapitre 6 de l'Apocalypse, et, nous commencerons donc au verset 12. Et puis, j'aimerais aussi lire dans Hébreux 12.25 jusqu' à… pour un autre petit passage de référence, pour quelques passages des Ecritures que j'ai notés ici. Et des - des choses dont j'aimerais parler, le Seigneur voulant. Et maintenant, Apocalypse 6.12
Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, Et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu'un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes. Les cieux… se retira comme un livre qu'on roule ; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places. Les rois de la terre, les grands, et les riches… les chefs militaires, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l'agneau ; Car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ?

53 Maintenant, dans l'Epître aux Hébreux, chapitre 12, à partir du verset 25
Gardez-vous de refuser d'entendre celui qui parle ; car si ceux-là qui refusèrent d'entendre celui qui publiait des oracles sur la terre n'ont pas échappés combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle du haut des cieux, Lui, dont la voix alors ébranla la terre, et qui maintenant a fait cette promesse : Une fois encore j'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel. Ces mots : Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent. C'est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte, Car notre Dieu est aussi un feu dévorant.

54 Maintenant, voici un - un petit sujet que j'aimerais tirer de là, en tirer un sujet, si je devais ainsi l'intituler. Et j'espère que je ne vous retiens pas trop longtemps. Et, n'oubliez donc pas demain soir, là, de venir tôt recevoir les cartes de prière. Et nous formerons une ligne de prière, nous prierons pour tous ceux qui ont des cartes de prière. Eh bien, alors mon sujet ce soir est La dislocation du monde. C'est un sujet très étrange.

55 Mais, je pensais aujourd'hui, alors qu'il m'était donné une glorieuse occasion et un grand privilège de me promener avec frère Vick, cet honorable et noble serviteur de Christ ; avec frère Joseph, mon précieux ami, aussi. Nous avions… Eh bien, pour moi c'était un dîner. Je pense que pour vous tous ici, c'est un déjeuner. Mais si cela est un dîner, alors ceci est un dîner ce soir, et cela est un déjeuner et un petit déjeuner, à quand mon souper ? Voyez, j'ai l'impression d'avoir raté quelque chose. Et alors, pendant que nous allions prendre le dîner, et sur le chemin de retour, nous remarquions qu'on installait, qu'on commençait à installer les objets de Noël. Nous nous approchons de la période de Noël, c'est juste dans un mois, et tous les magasins exposent tous leurs articles de Noël.

56 Oh, combien ils ratent la signification de Noël ! C'est devenu - juste un acte commercial. C'est ce que sont devenus toutes les fêtes. La fête des mères, la fête des pères. Et chaque jour devrait être un jour de la mère et un jour du père. Et -et ils ont, oh, Pâques… Père Noël a pris la - a pris la place de la naissance. Un lapin, et un poulet, et un petit canard, ont pris la place de la résurrection. Tout est devenu poulets, canards et oeufs, et qu'est-ce que cela a à faire avec la résurrection ? Voyez ? Et c'est vraiment dommage que nous… qu'on expose cela devant nos enfants.

57 Beaucoup de petits garçons ici, ce soir, peuvent vous raconter beaucoup plus d'histoires sur Davy Crockett qu'ils ne le peuvent sur Jésus-Christ, assurément, assurément, en effet c'est une très grande activité commerciale. Ils se procurent des habits comme ceux d'un cow-boy ou d'un héros, et, ou quelque chose comme ça, d'un hors la loi ou quelque chose comme cela, et - et ils vendent le même style d'habits que le sien, et - et puis, tous les petits enfants savent cela et ils en lisent l'histoire. Si seulement nous pouvions faire comprendre le programme de Christ aux gens, comme cela. Vous avez généralement tendance à imiter ce que vous lisez, vous les lecteurs.

58 Je me souviens, c'était toujours ainsi pour moi. Je me rappelle une fois, j'étais un petit garçon d'environ douze ans, là dans une bibliothèque publique, j'ai pris le - un des livres de Zane Grey intitulé The Lone Ranger. Je - j'ai chevauché à mort le balai de ma maman, comme un cheval de bois, tout autour de la maison, au point que je l'avais cassé. Plus tard, j'ai lu l'histoire de Edgar Rice Burroughs Tarzan et le grand singe, et j'ai dormi dans un arbre, car je - je - j'avais lu cela. C'est ce qui occupait mon esprit.

59 Et, oh, un jour, je me suis emparé de quelque chose de réel, une Vérité, pas une fiction. Et depuis lors, je veux que ma vie soit comme la Sienne. J'ai trouvé quelque chose de réel, quand j'ai lu la Bible et sur la vie de Jésus-Christ.

60 Eh bien, comme nous nous approchons de cette période, c'est bien connu. Le monde est vraiment dans la même condition où il était il y a deux mille ans, quand Jésus était venu sur la terre, lors de Sa première venue. Quand Il est venu sur la terre, la terre avait accompli son temps.

61 De temps en temps, la terre connaît une situation chaotique telle qu'il n'y a rien qui puisse lui venir en aide. Nous avions connu cela plusieurs fois, ces préludes. Et nous - nous voyons que chaque fois que la terre connaît cette situation, et, cela amène les gens à-à se mettre à prier. Ils sentent que tout est fini, comme tous nos systèmes et tout ce que nous avons, ça arrive à la fin. Cela s'est passé dans le monde antédiluvien et ainsi de suite. La politique et - et les autres choses arrivent simplement à leur fin, il n'y a plus rien là. Et je - je pense que tout ce que Dieu fait, c'est dans un but, pour en quelque sorte rajeunir, ou pour restaurer. Cela a un moyen de se renouveler. Et je pense que c'est juste une - une loi de Dieu, que ces choses en arrivent là.

62 Lors de la première Venue de Christ, je - je pense, nous pouvons dire que le monde se disloquait. C'était un temps de corruption pour la politique, un temps de corruption pour - pour la religion. Tous les systèmes étaient corrompus. Ils avaient mélangé, injecté d'autres choses, ainsi que des théories élaborées par des hommes, dans des religions et autres, au point que tout était corrompu. Et le monde se disloquait.

63 En ce temps-là, le monde priait pour avoir un messie. Eh bien, les Romains priaient pour avoir un messie ; les Grecs voulaient avoir un messie, les Juifs voulaient avoir un messie. Et Dieu leur a donné le Messie, mais ils ne le voulaient pas tel qu'Il L'avait envoyé.

64 Et je me demande aujourd'hui, dans ce temps chaotique, que nous connaissons, si nous ne sommes pas tous une fois de plus là, alors que nous nous approchons de Noël, que nous voyons que le monde est à peu près dans la même situation : dépravation des moeurs, et la politique est tombée en ruine, la vie religieuse est - est relâchée, le dénominationisme est en ruine, et tout est simplement corrompu. Et nous tous, nous attendons - quelque chose pour nous aider à en sortir. Nous tous, nous attendons un messie.

65 Je me demande, si Dieu nous envoyait le Messie, si nous ne ferions pas pratiquement la même chose que les autres dans le passé. Nous ne Le reconnaîtrions pas, nous ne saurions pas qui Il est. Je ne pense pas que le monde Le reconnaîtrait, pas du tout.

66 Et, remarquez pourquoi. A mon avis, en voici la raison : Les Romains avaient leur conception de ce que devrait être le messie. Chacun de nous a sa propre conception ; chaque dénomination a la sienne. Nous avons appris, nous avons fait des croquis aux tableaux et tout, sur ce que devrait être le Messie, comment ça va être : " C'est notre église qui va Le recevoir. " Eh bien, les Juifs, les Pharisiens pensaient de même, les Saducéens, de leur côté, pensaient de même, la même chose. Vous voyez. Les esprits ne meurent pas ; c'est seulement l'homme qui en était possédé qui meurt. Voyez ? Ce… le diable ne retire pas son esprit, il ne retire que l'homme. Et ce qu'il y a de bien à ce sujet, c'est que Dieu non plus ne retire pas Son Esprit, voyez, Cela demeure ; Il ne retire que l'homme. Le même Esprit qui était sur Christ est sur le croyant aujourd'hui, le vrai croyant.

67 Remarquez donc, en ce temps-là les Romains attendaient un - un messie, un - un politicien. Ils voulaient quelqu'un qui descendrait de la part de Jupiter, ou quelqu'un qui descendrait à bord d'un char de feu, avec - avec le soleil derrière sa tête, et qui parcourrait les cieux à bord de chars. Et ils voulaient que Jupiter descende et qu'il leur donne une astuce, un secret militaire pour savoir comment dominer le monde entier. C'est ce qu'ils voulaient faire. Ils voulaient vaincre les Grecs, et - et dominer le monde entier. C'est le genre de Messie qu'ils voulaient.

68 Eh bien, les Grecs voulaient que ce genre de messie vienne et qu'il leur dise exactement le genre de stratégie qu'ils pouvaient utiliser pour vaincre les Romains. Voyez, en voilà le genre.

69 Et les Juifs, ils attendaient un général, un homme qui viendrait avec une verge en fer en main, un lion de la tribu de Juda, et qui dominerait toutes les nations, et précipiterait Rome dans le fleuve et les noierait, alors - alors - alors Israël dominerait. Voilà la raison. Alors qu'Il était venu exactement comme les Ecritures disaient qu'Il viendrait, mais eux L'attendaient autrement.

70 Je me demande si ce ne serait pas la même chose aujourd'hui, s'Il venait, si nous n'en aurions pas la même conception. Nous avons notre propre conception sur ce qu'Il doit être, l'aspect qu4il doit avoir, comment Il devrait s'habiller, mettre une raie dans Ses cheveux, et tout. Si ce n'est pas exactement à notre goût, eh bien, nous ne recevrons pas cela, voyez ; je veux dire, nous, le monde aujourd'hui, voyez. Très bien.

71 Ils - ils… Les Juifs, ils avaient rejeté le Messie parce qu'Il n'était pas à leur goût. Il ne l'était pas.

72 Il y a quelques jours, à Tucson, un bon tailleur était en train de faire pour moi la coupe d'un pantalon. Et c'est un Juif. J'avais suivi son mauvais anglais, et - et j'ai demandé : " Qu'êtes-vous, Juif ? "

73 Il a dit : " Oui, oui. " Et il a dit : " Je suppose que vous êtes chrétien ? "

74 J'ai dit : " Oui, oui. " Alors, il a continué à confectionner mon pantalon. Et je me suis dit : " Je vais le laisser faire le prochain pas. "

75 Et il a dit : " Eh bien, a-t-il dit, je n'ai rien contre vous les chrétiens. "

76 J'ai dit : " Merci, monsieur. Je n'ai rien contre vous. " Et il a dit, il a dit que le… J'ai dit : " Que pensez-vous de Christ ? "

77 Il a dit : " Il était venu trop tôt, et on dit qu'Il était trop jeune pour le travail. "
Et j'ai dit : " Oui, oui. "

78 Il a dit : " Il était juste un peu trop jeune pour Son travail. " Il a dit aujourd'hui, Christ : " Si Lui, Jésus, venait aujourd'hui… " Pas Christ ; Ils ne croient pas cela. Il a dit : " Si Jésus venait aujourd'hui, Son programme serait opportun. " Il a dit : " C'est quelque chose comme Rockefeller et Goldwater, a-t-il dit, ils se combattent au sein d'un même parti. " Et il a dit : " Vous voyez, ils - ils ne devraient pas faire cela. "
J'ai dit : " C'est exact. "

79 Il a dit : " Quand Jésus était venu, a-t-il dit, Il s'est mis à combattre les gens de Son propre parti. "

80 J'ai dit : " Oh, non ! Il est venu chez les Siens, et les Siens ne l'ont point reçu. " J'ai dit : " Ce - c'était ça. Vous voyez ? "

81 Je le laisserai donc se reposer jusqu'à mon retour (voyez ?), plutôt un peu à la fois. En effet, je me souviens que Dieu l'avait aveuglé pour que moi, je voie, (voyez), ainsi je - je suis très reconnaissant envers cette race. Certainement. Ne vous en faites pas, Israël, si vous êtes assis ici, votre temps est très proche. Voyez ? Assurément.

82 Eh bien, souvent nous disons : " Jésus était Juif. " Non. Il ne l'était pas. Non, Il n'était pas Juif. Il n'était ni Juif ni Gentil. Il est Dieu. Voyez, c'est dans l'hémoglobine que se trouve la cellule de vie, et la cellule de vie était une cellule créée par Dieu. Il n'y avait pas - pas eu d'acte sexuel entre Dieu et Marie. Il n'y avait même pas de sensation. Il a créé les deux germes, c'est vrai, l'ovule et la cellule. Et Il n'était ni Juif ni Gentil. Il était cette brèche, entre les deux. Il était Dieu. Et s'Il avait le sang juif, c'est que nous sommes perdus ; s'Il avait le sang des Gentils, c'est que nous sommes perdus. Il avait le Sang de Dieu, créé en dehors du désir sexuel. C'est - c'est la raison pour laquelle notre foi peut regarder Là et être sûre que c'est Cela la chose. Il est donc mort pour les deux.

83 Eh bien, nous voyons cependant que quand Il est venu, Il n'est pas venu selon le goût des Juifs, aussi L'avaient-ils condamné. Et aujourd'hui, nous - nous ne pouvons rien dire à ce sujet, car nous agissons de même.

84 Quelle en était la cause ? Je pense qu'il y avait une cause à cela. Et je pense que c'est parce qu'ils avaient pris la Parole de Dieu et qu'ils L'avaient rendue sans effet par leurs traditions. C'est ce que Jésus a dit. Il a dit : " Par vos traditions, vous avez rendu la Parole de Dieu sans effet. " C'est ça. Elle n'était plus efficace, parce qu'ils Y avaient ajouté, et ils Y avaient mêlé leurs traditions. Et quand…

85 Vous ne pouvez rien Y ajouter. Vous ne pouvez rien En retrancher. C'est… C'est juste tel quel. C'est ainsi que Dieu L'a préservée. Nous ne pouvons pas ajouter des crédos, des dogmes et autres, Y injecter. Elle n'en a pas besoin. Ce - c'est Lui, c'est Lui sous forme des lettres.

86 Et la Parole est une semence. Et une semence, dans un bon genre de sol, poussera, si vous ne la déterrez pas chaque matin pour vérifier si elle a poussé ou pas. Plantez-la simplement, confiez-la à Dieu, laissez-la là-bas. C'est ainsi qu'il faut la laisser pousser, en la laissant telle quelle dans le sol. Et c'est là qu'elle est censée se trouver, dans le sol de votre coeur. La foi arrose Cela, constamment, disant : " Eh bien, c'est… Si Dieu l'a dit, ça m'appartient ! " C'est comme ça qu'il faut s'y prendre.

87 Ainsi, le monde entier était alors en train de se disloquer comme c'est le cas aujourd'hui, chaque nation attendait quelqu'un qui - qui la préserverait de cette tragédie qui était sur le point de frapper le monde, et qui chercherait à les faire subsister. Les nations cherchaient quelque chose, et - et chaque nation cherchait cela, mais on dirait qu'ils ne voulaient pas accepter ce que Dieu leur avait envoyé. Ils cherchaient un homme, un messie, qui vaincrait les autres nations, et Dieu leur a donné un Bébé. Ils demandaient un général, et ils ont reçu un Bébé ! Dieu savait ce dont ils avaient besoin. Voyez, Il les avait humiliés.

88 C'est ainsi que Dieu s'y prend, Il nous humilie quand nous pensons savoir quelque chose. C'est comme Il avait dit à Job : " Tu es si - tu as une si grande intelligence, où étais-tu quand Je fondais la terre, quand les étoiles du matin chantaient ensemble et que les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? Où étais-tu, Job ? " Eh bien, c'en était fini de son intelligence, voyez. Et Dieu nous humilie quand nous nous mettons à penser que nous sommes quelque chose de grand. Quand nous pensons que notre organisation est l'unique, Dieu reviendra avec quelque chose qui n'est rien, Il suscite quelque chose et Il nous humilie par cela. C'est vrai. C'est ainsi qu'Il s'y prend toujours. Oui.

89 Voyez, ils demandaient un général, et ils ont eu un Bébé. Dieu savait ce dont ils avaient besoin. C'est vrai. Ils demandaient un général, et ils ont eu un Sauveur. Quoi qu'ils pensaient être sauvés, cependant la visitation de Dieu auprès d'eux a démontré qu'ils ne l'étaient pas.

90 C'est peut-être là tout le problème aujourd'hui. Le monde pense qu'il est sauvé, en adhérant à l'église, mais ils ont malgré tout besoin d'un Sauveur, aujourd'hui. Si ce n'est pas là le tableau du monde actuel, c'est que je ne connais pas le monde.

91 C'est pratiquement ainsi à cette Noël, nous retrouvons la même chose, la dislocation du monde. Si vous fréquentez ceci, c'en est fini. Si vous fréquentez cela, c'en est fini. C'est devenu ainsi pour que nous venions à Ceci. Voyez, il - il nous faut perdre tous nos fondements, afin que nous puissions - que nous puissions être obligé de venir à l'unique source qu'il y a, et c'est la Vie Eternelle.

92 Aujourd'hui, on cherche donc comme à l'époque, un système pour faire subsister cela. Et comme autrefois, cela est de nouveau en train de se disloquer. Et le monde religieux de l'époque attendait un Messie promis pour que Celui-ci accomplisse cela.

93 Et Dieu tient Sa promesse. Dans tous les âges, Il ne faillit jamais de tenir Sa promesse. Quand le monde se disloquait du temps de Noé, Dieu leur a envoyé un puissant prophète. Qu'ont-ils fait de lui ? Ils l'ont rejeté. Qu'est-ce qu'un prophète ? C'est celui à qui la Parole vient, il est aussi la Parole de Dieu. Du temps de - de Noé, il fut envoyé. Du temps de Moïse, tout le système se disloquait, un prophète fut envoyé ; du temps d'Elie, tout le système se disloquait, un prophète fut envoyé. Chaque fois que le monde se retrouve dans ce chaos, un prophète lui est envoyé. Et puis, lors de cette première Noël, Il a envoyé la Parole dans Sa plénitude, voyez, la Parole ! Dans un prophète, il y a une portion de la Parole, le prophète avait le message pour un âge, et il s'en allait.

94 Il donnait un prophète, et qu'est-ce qu'on faisait d'eux chaque fois ? On les lapidait (ils ne s'accordaient pas avec leurs systèmes) et on les tuait. Jésus a dit : " Vous ornez les murailles des prophètes, les tombeaux, et ce sont vos pères qui les y ont mis. Et vous rendez témoignage que - que vous êtes leurs enfants. " Voyez, c'est ce qu'ils font. C'est vraiment dommage, mais c'est ça - c'est ça le monde. Voyez, il arrive toujours que Dieu envoie Sa Parole, et la sagesse cherche à s'opposer à la Parole.

95 C'était ainsi au commencement. La chose même qui est à la base de tout le système du péché, c'était que quelqu'un, Eve… Satan avait élaboré un plan meilleur que celui de Dieu ; il avait produit la sagesse. Ils ont mangé de l'arbre de la connaissance.

96 La sagesse vous éloigne toujours de Dieu. La foi vous ramène à Dieu. Ce n'est pas par votre grande sagesse que vous connaissez Dieu. Vous… Ça ne vaut pas la peine. Elle est du monde. C'est de la folie aux yeux de Dieu. " Mais il a plu à Dieu de sauver les perdus par la folie de la prédication de Sa Parole. " Voyez ? Dieu s'est donc toujours servi de quelque chose d'insensé et de simple.

97 Quand Il a appelé Ses disciples, s'Il avait choisi Caïphe et les grands sacrificateurs qu'on avait formés à l'époque, il y aurait eu de quoi se vanter. Ils avaient leurs doctorats et tout. Mais Il est allé là et s'est choisi des ignorants, des pêcheurs qui ne savaient même pas lire ni écrire leurs propres noms, afin qu'Il prenne un rien pour en faire quelque chose.

98 Même le grand saint Paul a dit qu'il avait dû oublier tout ce qu'il avait donc appris, afin de pouvoir trouver Christ. Il a dit à l'église de Corinthe : " Je ne suis point venu auprès de vous avec une supériorité de langage ou de la sagesse de ce monde, de peur que votre foi ne soit fondée sur cela. "

99 Et observez, aujourd'hui, les gens ne veulent pas d'un pasteur qui ne parle pas très bien et qui ne prononce pas correctement ses noms et ses pronoms. Et si c'était le cas, je ne pourrais pas monter en chaire, en effet, je ne sais même pas faire la différence entre un nom et un pronom. Et tout ce que je sais, c'est que je Le connais. Et c'est tout ce dont je me soucie de connaître, car Il est mon - Il est mon Nom et mon Pronom, Il est ma Vie. Bon, ce que nous voulons connaître, c'est Lui. Mais, voyez, notre système religieux a adopté le système d'instruction, et a pris la place du Saint-Esprit. Et c'est ce qui s'est passé.

100 Eh bien, du temps de Noé, du temps de Moïse, des prophètes leur ont été envoyés, et qu'ont-ils fait ? Ils les ont lapidés, ils les ont tués, sciés, brûlés et ils ont utilisé n'importe quel moyen pour se débarrasser d'eux, se débarrasser d'eux.

101 Jésus a très bien enseigné, Il a donné une parabole, disant : " Il y avait un homme, un grand homme qui a fait une… qui avait une vigne et qui l'afferma aux vignerons. Et il envoya un serviteur, et les vignerons le tuèrent. Il envoya un autre serviteur, et ils le tuèrent, et ainsi de suite. " Et Il a dit : " Finalement, il s'est dit : 'Je - j'enverrai mon fils, et ils auront du respect pour lui. Et les - les vignerons se dirent : 'Voici l'héritier, tuons-le.' " C'était le Fils de Dieu qu'Il avait envoyé.

102 Envoyer des prophètes ! Envoyer Sa Parole ; la Parole, Dieu ! Rappelez-vous, chaque génération se disloque, il n'y a qu'une seule chose qui puisse faire subsister ce monde, c'est la Parole de Dieu !

103 Ce monde a été créé par la Parole de Dieu. Il a été formé par la Parole de Dieu. C'est l'unique chose qui puisse donc le faire subsister, la Parole de Dieu, en effet, Hébreux dit : " Nous reconnaissons que le monde a été formé par la Parole de Dieu. " Les gens doutent de la Parole de Dieu, mais la terre même sur laquelle vous êtes assis, c'est la Parole de Dieu rendue manifeste. Les sièges mêmes sur lesquels vous êtes assis, c'est la Parole de Dieu rendue manifeste. Dieu proclame cela, et cela doit s'accomplir, parce que c'est la - la Parole de Dieu.

104 Eh bien, l'unique chose qui puisse faire subsister cela, ça ne sera jamais un système politique, ça ne sera jamais les Nations-Unies, ça ne sera jamais l'une de ces organisations. Ça sera la Parole de Dieu qui fera subsister le - le monde. L'unique chose que je puisse recommander aujourd'hui, pour empêcher que ce monde se disloque maintenant même, c'est le retour à la Parole de Dieu. C'est toujours ça le programme de Dieu.

105 Dans le jardin d'Eden, Satan est venu et a dit à Eve, il a dit : " Tu devrais manger du fruit de l'arbre. "
Et elle a dit : " Mais le Seigneur a dit de ne pas manger. "

106 Il a dit : " Eh bien, oh, assurément que tu ne mourras pas. " Voyez, il savait que tant que les gens demeuraient derrière la forteresse…

107 Voici ce qui est censé être notre forteresse permanente : la Parole. Voyez, nous sommes environnés par la Parole. La Parole est en vous ; Dieu en vous, autour de vous. Où que vous alliez, c'est la Parole, la Parole ! Gardez Dieu toujours sous les yeux. Rappelez-vous, soyez conscient de Lui partout. Eh bien, tant qu'Adam et Eve marchaient comme cela, il n'y avait pas de mort. L'homme ou la femme qui marche comme cela, aujourd'hui ne connaît pas de mort, il a la Vie Eternelle quand on est - on est environné et gardé par la Parole.

108 Maintenant, observez, la sagesse vint s'opposer à la Parole, et alors, Eve brisa cette barrière. Et, comme que Satan avait découvert que c'était par là qu'il pouvait frapper la race humaine, c'est exactement par là qu'il le frappe chaque fois. Même pour le cas de l'esprit anti-christ, il est si proche qu'il séduirait même les élus dans les derniers jours, il se présente sous forme de la religion. Eh bien, une chose comme le parti communiste séduire quelqu'un, ça n'existe pas ; ils sont - ils sont anti-Dieu, pour commencer, mais ce n'est pas ça l'anti-Christ. L'anti-christ, c'est la religion, elle est si proche qu'elle séduirait même les élus.

109 Considérez Judas Iscariote, il a bien évolué avec l'Eglise, il a confessé Christ. Il a fait tout ce que les autres faisaient, il est allé, il a même chassé les démons, puis il est revenu, se réjouissant avec eux. C'est exact, Matthieu 10. Mais quand on en est arrivé à la Pentecôte pour recevoir la Vie Eternelle, il montra ses couleurs.

110 Et c'est là qu'on en arrive aujourd'hui. Le diable vous laisse avoir toutes les adhésions à l'église que vous voulez ; mais quand on en arrive au moment de recevoir le Saint-Esprit, il va vraiment crier à tue-tête : " C'est une bande de saints exaltés ", ou quelque chose comme cela. Il - il ne voudra rien avoir à faire avec cela. Et Judas et son système peuvent bien suivre jusqu'à ce moment-là. En effet, c'est là que Judas avait séduit le monde, à ce niveau-là, mais il ne pouvait pas Le recevoir. Là, c'est bien l'Elu. Eh bien, lui peut s'approcher jusqu'à ce point-là, mais il - mais il ne peut pas aller jusqu'au bout. En effet, s'il le pouvait, il deviendrait alors votre frère, il ne peut donc pas le faire.

111 Quelqu'un a dit : " Vous savez, le diable m'a eu. " Non, jamais. C'est vous qui êtes allé après lui. Il n'est jamais entré pour vous avoir. En effet : " Vous êtes mort, et votre vie est cachée en Dieu, et scellée par le Saint-Esprit. " L'unique voie par laquelle il peut jamais entrer Là, c'est là même que vous aviez empruntée. Il vous a juste invité, et vous êtes sorti pour aller auprès de lui. C'est tout. Voyez ? Ce n'est pas qu'il vous ait pourchassé jusqu'à l'intérieur. Il ne peut pas entrer Là, car vous êtes en Christ, mort à vous-même. Voyez ? Amen. Je ne suis pas en train de dire Amen à moi-même, mais cela signifie ainsi soit-il. Et je - je - je sais que c'est vrai. Je l'ai expérimenté et je sais que c'est vrai. Il s'agit de passer de la mort à la Vie, recevoir Christ en vous. Très bien.

112 Bon, nous trouvons donc que le - le monde religieux de l'époque se disloquait, et c'est ce qui leur - leur est toujours arrivé auparavant. Et pourquoi ? C'est parce que les prophètes qui venaient et le Messie qui était venu ne répondaient pas à leur spécification, à leur entendement théologique de cela. Ils… Non.

113 Et ce sera pareil aujourd'hui. C'est pourquoi, je pense, aujourd'hui, nous - nous ne progressons pas aujourd'hui, en fait, dans - dans ce que Dieu est en train de faire, à cause de cela, même dans les églises, ça n'arrive pas exactement selon ce qu'ils s'étaient représentés. Ils se représentent qu'un temps arrivera où telle et telle chose se passeront. Et - et puis, quand la chose principale arrive, eh bien, alors ils - ils rejettent Cela. Voyez ?

114 Et à quoi sert-il d'installer des câbles électriques si vous rejetez le dynamo ? Voyez, ils ne pourront pas faire passer le courant électrique, c'est tout simplement un câble sans vie. C'est ça le problème de l'église aujourd'hui. Nous avons tous les câbles en place, et on presse le bouton, pas de Vie. C'est qu'il nous faut faire, c'est d'être connecté. C'est tout, maintenant même. C'est vrai. Etre connecté à Christ, nos émotions, notre pensée, connectées à Lui.

115 Vous direz : " Eh bien, je - je vous assure, je - je - je pense que je… " Vous n'avez aucune… Vous n'avez aucune pensée qui vient. Et c'est vrai. Vous direz : " Voici ce que je pense. Et je… " Vous n'avez pas de pensée. Moi non plus.

116 La Bible dit : " Ayez en vous la pensée qui était en Christ. " Et Il était toujours occupé aux affaires du Père. C'est donc l'unique pensée qu'il vous faudra avoir, ce que Dieu dit à ce sujet, pas ce que quelqu'un d'autre dit. Mais ce que Dieu a dit, c'est tout ce qui compte. Il a dit : " Que toute parole d'homme soit reconnue comme mensonge, et la Mienne la Vérité. " Voyez ?

117 Voilà la chose qui fait subsister le monde, mais ils ne recevront pas Cela. Eh bien, nous savons qu'ils ne recevront pas Cela, parce qu'ils ne L'ont jamais reçu. Très bien. Nous nous posons alors la question, si la réponse à lieu aujourd'hui, au cri que le Messie vienne au secours, et parfois je pense que si nous allons - s'Il nous L'envoyait, je me demande si nous n'agirions pas comme les autres à l'époque.

118 Toute notre po - politique, tant dans la religion que - que dans la communauté fédérale, et autres, est souillée. Nous avons souillé notre adoration avec des modèles conçus par l'homme, conçus et façonnés par l'homme pour s'adapter à chaque culte qui est sur la surface de la terre. Chacun a de nouveau sa propre conception. Cela doit encore se passer comme du temps où Dieu suscita un puissant prophète, Esaïe, qui avait dit : " Vos sacrifices et autres sont devenus une puanteur à Mes narines. "

119 Voyez, Israël, au départ, quand Dieu leur avait dit de prendre un sacrifice et d'aller l'offrir, eh bien, c'était une grande chose. Vous pouvez vous représenter un Juif descendant la rue, avec un - un agneau, un petit agneau gras ou un taureau, ou je ne sais quoi. C'était la Pâque, et il s'incline, pose les mains sur le - le sacrifice, établissant un contact avec lui-même, il s'identifie au sacrifice, en posant sa main sur lui. Le sacrificateur immolait la - la bête, le petit agneau, ou je ne sais quoi. Et quand le petit animal se mourait, gigotant et bêlant, le sang se répandait sur les mains de l'adorateur. Et en toute sincérité, l'adorateur reconnaissait que ça devrait être son sort, mais que l'agneau avait pris sa place. C'est ce que Jéhovah avait exigé, en effet, c'était un type de Christ. Mais une fois cette pratique continué, on est allé de l'avant jusqu'à ce que c'est devenu une tradition de routine. Ils offraient l'agneau malgré tout, mais il n'y avait plus de sincérité là. Dieu dit : " Cela pue à Mes narines. "

120 Et aujourd'hui ! Il y a des années nous trouvions des gens qui adoraient en toute sincérité. Mais aujourd'hui, c'est devenu un vif éclat de Hollywood, juste une espèce de musique à laquelle on s'est exercé ; et les femmes sur l'estrade en habits assez serrés, la peau pratiquement dehors, et elles dansent partout sur l'estrade ; sans sincérité, et sans… faisant pratiquement… c'est devenu carrément une honte, c'est ridicule, et on confesse le christianisme. Je me demande si nos offrandes ne sont pas devenues une fois de plus une espèce de puanteur à Ses narines, nos divergences !

121 C'est vraiment une honte que l'ennemi se soit emparé de nos femmes américaines et les ait déshabillées là dans les rues. Et, eh bien, c'est - c'est une disgrâce. Il n'est pas étonnant que les petits garçons et les petites filles, et autres se retrouvent dans la condition où ils sont aujourd'hui ! Ils cherchent toujours à imiter une femme ici, à Hollywood, qui a été mariée quatre ou cinq fois. Et elle va apparaître en une espèce de - d'habits qui la laisse nue, et toutes les petites filles du pays imiteront cela. Quel dommage ! C'est vraiment dommage. Oui, oui. C'est vraiment dommage, et cela est entré dans l'église. La précieuse vertu que Dieu a donnée à une femme, d'être une mère, a été gâchée.

122 Et c'est ça la colonne vertébrale du pays. Si vous détruisez la maternité, vous avez tout de suite détruit le pays. C'est l'unique chose qui aide à faire subsister cela, des véritables et authentiques parents.

123 En venant, je parlais à un chauffeur de taxi. Nous parlions des enfants délinquants là. Et il a dit : " Je pense que ce sont des parents. "

124 J'ai dit : " Amen. Mon ami, je ne sais qui vous êtes, mais vous êtes sur la bonne voie. " Et j'ai dit : " C'est vrai. " J'ai dit : " C'est vraiment dommage qu'ils aient ôté la - la Bible du foyer et qu'ils leur aient donné un jeu de cartes. "

125 Et cela a commencé dans l'église. Il y a quelques instants, j'étais dans un ascenseur ; et une certaine femme qui était là parlait à une autre, disant : " Eh bien, vous savez, a-t-elle dit, ceci est une merveilleuse chose, notre église organise un jeu de cartes ", et qu'ils allaient avoir une espèce de dindon d'actions de grâce, c'est là qu'elles allaient, elles sont membres de l'Eglise protestante. Oh ! la la ! Le jeu d'argent, la loterie, le jeu d'arnaque, les soirées dansantes, oh, quand on en arrive à être obligé de faire des histoires comme celles-là pour divertir l'église !

126 L'Eglise, les nés de nouveau, c'est le Saint-Esprit qui divertie l'Eglise, avec la Vie Eternelle. Voyez ?

127 Mais - mais les gens n'aiment pas Cela, parce qu'ils sont épris du plaisir. C'est vraiment dommage que les choses se passent telles que ça se passent. Ça fait longtemps, très longtemps, que la précieuse vertu des femmes, et leurs belles robes se sont prosternées devant l'autel de la déesse de Hollywood. C'est la vérité. C'est vraiment dommage que le monde en soit arrivé là. La colonne vertébrale du pays est brisée. L'attrait du sexe est bien des fois considéré comme une mode, comme étant moderne ; les gens s'habillent, sortent dans la rue. Savez-vous ce que la Bible dit ?

128 Je vais vous le dire, j'en parlais une fois, et un éminent prédicateur m'a dit, il a dit : " Pourquoi ne laissez-vous pas ces femmes, en arrêtant de faire et de dire cela ? " Et je lui ai parlé, j'ai dit... Il a dit : " Vous devriez leur enseigner comment devenir des prophétesses et autres, comme cela. "

129 J'ai dit : " Comment vais-je leur enseigner l'algèbre alors qu'elles ne veulent même pas apprendre leur ABC ? " [Always believe Christ : Croire Toujours Christ. - N.D.T.], vous savez, ABC. Et alors, j'ai dit : " Comment peut-on faire cela ? "

130 Toutes ces choses ne sont qu'un grand fatras qui s'est infiltré dans l'église. C'est vraiment dommage que cela se glisse parmi nous les pentecôtistes. Oh, peuple, arrêtez-vous ! Réfléchissez. Il se peut que vous me traitiez de fanatique aujourd'hui, mais au Jour du Jugement, vous me serrerez la main. Et je - je vous aime d'un - d'un amour divin. Et j'aimerais que vous soyez en ordre, mes amis. A quoi sert-il de courir un risque sur pareilles choses ?

131 Une dame m'a dit, elle a dit : " Eh bien, monsieur Branham, on - on ne… on… c'est l'unique genre d'habits qu'on confectionne pour les femmes. "

132 J'ai dit : " On continue à fabriquer des tissus, et à vendre des machines à coudre. " Vous - vous… il n'y a pas d'excuse, voyez. C'est vrai.

133 Regardez, laissez-moi dire encore une chose, comme suite. Vous savez, si vous vous habillez comme cela, et qu'un pécheur, dans la rue, vous regarde avec de mauvaises intentions, vous allez répondre au Jour du Jugement pour avoir commis adultère avec ce pécheur-là. Vous pouvez être aussi vertueuse que possible devant votre mari, vous pouvez être aussi vertueuse, aussi loyale que vous savez l'être devant votre ami, mais aux yeux de Dieu, vous êtes une prostituée de la rue.

134 Vous dites : " Est-ce vrai ? Prouvez-le par la Parole, Frère Branham. Vous avez dit qu'on vous pose n'importe quelle question, du moment que c'est la Parole. " Oui, oui.

135 Jésus a dit : " Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur. " Et si vous vous exposez comme cela, c'est vous qui êtes à la base. C'est exact. Quand bien même vous seriez innocente, vous-même, c'est vous qui vous êtes exposée devant ce pécheur comme cela. Quand il répondra pour cela, c'est vous qui serez coupable. Oh, procurez-vous des habits et couvrez-vous, agissez comme des dames. C'est exact.

136 Et vous les hommes, vous qui laissez vos femmes faire une telle chose, porter ce genre d'habits, n'avez-vous pas de considération pour vous ou pour elle, pour l'un ou pour l'autre ? Oh ! la la ! vous laissez votre femme s'asseoir et fumer la cigarette dans la maison, et souffler cela ! Qu'êtes-vous ? Et puis, vous dire chrétien ? Oh, je ne peux pas le comprendre.

137 Vous dites : " Eh bien, attendez donc une minute : ' C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.' " C'est ce dont je parle, voyez. C'est exact, si vous aimez le Seigneur de tout votre coeur…

138 Vous direz : " Eh bien, il me faut simplement fumer. C'est ça mon plaisir. " Votre plaisir ?

139 Mon plaisir, c'est dans le Seigneur. Votre plaisir, c'est dans le Seigneur, si vous mourez au monde. Dieu est ma joie. Il est ma Paix. Il est mon Sacrifice. Il est mon Dieu. Il est mon amour. Il est Tout, et tout ce dont j'ai besoin, je le trouve en Christ. La soif ! Oh ! la la !

140 [ Une soeur parle en langue. Frère Branham marque une pause. - N.D.E.] Soyez respectueux. Nous sommes censés nous attendre à ces choses, vous savez. Quand l'Esprit parle, dit un message et parle comme cela, il doit y avoir quelque chose d'important qui est sur le point d'arriver, voyez. [Pause. Une soeur donne l'interprétation - N.D.E.] Amen. Amen. Et les gens ont dit : " Amen. " [L'assemblée dit : " Amen. "] Voyez ? Voyez ?

141 Eh bien, souvenez-vous, si j'ai bien compris l'interprétation, il nous faut avertir les gens, voyez, sur la Venue du Seigneur. Et avertissons-les par un bon genre de vie derrière cela. En effet, vous ne pouvez pas parler à un homme, tout en vivant n'importe comment, et puis vous vous mettez à lui dire. Il sait qu'il mène la même vie que vous, voyez. Mettons-nous en ordre et préparons-nous, car je crois que le Saint-Esprit veut que nous sachions ces choses pour être prêts pour ce grand événement qui est sur le point d'arriver. Oui. Oui, oui.

142 L'heure, aujourd'hui le monde est en dislocation. Tous les systèmes sont en dislocation. Pourquoi cela ? C'est ainsi que ça - ça doit se passer. Voyez ? C'est… Nous attendons une cité dont le Constructeur et l'Architecte est Dieu, et toutes ces choses terrestres doivent céder à Cela.

143 Eh bien, nous voyons que Dieu a promis de satisfaire à tous nos besoins, ce dont nous avons besoin, pendant ce pèlerinage. Est-ce vrai ? [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.] Mais, rappelez-vous, Il ne les satisfait que sous condition. Il nous faut d'abord remplir Sa condition. Si nous ne remplissons pas Sa condition, Il ne va pas remplir - remplir notre condition. Il nous faut d'abord faire ce qui est correct, descendre à la fondation et bâtir. C'est exact. Nous ne pouvons pas commencer par le sommet, puis descendre. Il nous faut descendre à la fondation pour bâtir. Allons à la fondation. Eh bien, Il remplira notre condition. Toutes Ses promesses sont sous condition.

144 Mais nous, nous essayons de renverser Cela par nos traditions. Nous cherchons à faire de Dieu quelque chose d'autre. " Nous nous mettons à Y injecter notre tradition et nous disons que c'est un peu mieux ", ou c'est ainsi que les gens essayent d'y penser.

145 Eh bien, ce n'est pas uniquement à cette église ici présente, que je m'adresse, à ce groupe de gens-ci. Je m'adresse au monde. C'est enregistré ici et ça va dans le monde entier, ce que nous disons.

146 Nous voulons que nos désirs soient satisfaits, mais Lui satisfait nos besoins. Voilà - voilà la différence. Nous voulons nos désirs, et Lui satisfait nos besoins. Mais Il sait ce dont nous avons besoin. Et nous voulons très certainement, le monde aujourd'hui voudra accepter Cela, si Ça vient selon notre tradition. Oh, les baptistes aimeraient dire : " C'est tel que nous Le croyions. Vous voyez, vous tous, vous étiez dans l'erreur. " Les méthodistes disent : " Bon, vous les baptistes, vous êtes dans l'erreur. C'est d'après ce que… C'est arrivé tel que nous Le croyions. " Mais, je m'imagine que Cela arrivera différemment de ce que nous tous, nous En pensons. C'est vrai. Cela va s'accomplir tel que Dieu a ordonné que Ça s'accomplisse, ça ne relève simplement pas de l'homme de pouvoir retrancher telle chose et dire que ça sera ainsi. Eh bien, voudriez-vous…

147 Aujourd'hui, nous nous demandons, ce que, pourquoi les dons et autres n'opèrent pas dans l'église comme ils les devraient. Eh bien, le dons sont placés dans l'église pour séparer et ôter le péché, pour garder l'église pure. C'est - c'est la toxine de Dieu qui a été administrée à l'Eglise. C'est… de Dieu… aussi Son désinfectant qu'Il place dans l'Eglise, pour tuer tous les - les parasites qui - qui détruisent l'église. Et - et - et Dieu asperge Sa Parole sur Son Eglise. Et cela tient à distance tous les - tous les termites, vous savez, de sorte que l'Eglise puisse croître, une plante. Et Dieu sait ce qu'il faut pour faire cela. Eh bien, vous dites…

148 C'est juste comme un - un petit enfant qui réclame de - votre lame de rasoir, pendant que vous vous rasez. Donc, votre - votre petit enfant crie à tue- tête : " Papa, donne-moi cette lame de rasoir ! Donne-moi cette lame de rasoir ! " Votre fiston de deux ou trois ans, qui ne fait que crier, sautiller par terre : " Donne-moi la lame de rasoir ! " Eh bien, vous êtes mieux avisé pour faire ça. Eh bien, vous ne donnerez pas cette lame de rasoir à cet enfant. Il ne sait pas manipuler cela.

149 Et c'est la raison pour laquelle nous ne trouvons pas plus de dons divins que ce que nous voyons. Ils ramènent cela à une espèce de tradition, là dans une certaine dénomination. Ils ne savent pas l'utiliser. Dieu sait quoi faire avec cela. Eh bien, vous pouvez dire…

150 Le petit garçon peut vous dire, vous lui avez refusé la lame de rasoir, il dit : " Je vous vois utiliser cela, papa. " Mais, voyez, vous êtes plus âgé, vous savez quoi faire avec.

151 Et c'est ce qui se passe quand l'église quitte l'état d'un - d'un petit enfant qui fait ses premiers pas, vers celui de vrais fils et filles de Dieu vertueux, alors les choses vont changer. Oui, oui. L'église devrait être en train d'agir comme des fils et des filles. Alors que nous devrions être des maîtres, il nous faut être enseignés.

152 Ça me rappelle (Que mes amis de couleur qui sont ici ce soir, mes frères et mes soeurs, veuillent bien me pardonner cette expression.) il y a des années, là dans le Sud, on vendait des gens, quand l'esclavage sévissait dans le Sud. Et on prenait ces pauvres gens, on les sortait, et on les exposait comme dans une espèce de parking des voitures d'occasion. Et vous pouviez obtenir un acte de vente.

153 La vie humaine. Cela n'a jamais été la volonté de Dieu qu'un homme domine l'autre. L'homme a fait… Dieu a créé l'homme, et l'homme a fait des esclaves. Nous descendons tous d'un même arbre. L'un peut donner à l'autre son sang pour une transfusion, qu'on soit jaune, noir, brun, rouge ou quoi que ce soit. Nous sommes tous de la race d'Adam. C'est le pays que nous habitons qui a - c'est cela qui a changé notre teint, cela n'a rien à faire avec la chose, pas du tout. Jésus est mort pour sauver le pécheur, peu importe qui il est.

154 Et il y avait des négociants qui passaient et achetaient ces gens. Juste comme on achèterait une - une voiture, vous passez et vous achetez beaucoup de voitures d'occasion ; vous les emportez et vous les vendez ailleurs. Ils passaient dans des plantations, et trouvaient ces pauvres gens, là, ils les examinaient, pour voir ceux qui étaient de bons travailleurs, des hommes et des femmes très forts. Et ils les vendaient, ils prenaient des hommes très forts et les croisaient à des femmes très fortes, comme on croiserait le bétail ou quelque chose comme cela, pour avoir des esclaves costaux et forts. Je me demande ce que… L'enfer sera rempli de ce genre, une - une chose pareille ! Et ils étaient là, une pauvre petite mère avec ses enfants en train de pleurer, son mari a été vendu aux enchères. C'était terrible.

155 Puis, la chose suivante, vous savez, un jour, ce négociant est passé dans une plantation dont on lui avait parlé, et il examinait les esclaves. Et il a demandé : " Combien en avez-vous ? "
On lui a répondu : " Oh, nous en avons environ deux cents, là. "

156 Et il les examinait donc, et ils étaient tristes. Ils étaient loin de leurs foyers, de leurs bien-aimés. Les Boers les avaient déportés depuis là, en Afrique jusqu'ici, c'étaient les Boers qui les avaient déportés et ils avaient été vendus ici dans le Sud, et ils - ils savaient qu'ils ne retourneraient plus jamais chez eux. C'en était fini pour eux - eux. Ils n'arrivaient jamais à rentrer. Alors, ils étaient tristes. Et vous… C'est à peine qu'on arrivait à les faire travailler. Non. On devait les fouetter, et tout le reste, pour les faire travailler ; en effet, ils savaient qu'ils ne retourneraient jamais chez eux. Leur papa était là, peut-être la maman ici, et peut-être les enfants ici, et leur père ailleurs. Oh, c'est terrible.

157 Et un jour, ce négociant est passé et il a observé ce groupe d'esclaves, et il a remarqué qu'il y avait là un de ces jeunes esclaves qu'on n'avait pas à fouetter. Il avait le torse bombé, le menton relevé ; il allait ça et là, il était bien au point. Et le négociant a dit : " Dites donc, j'aimerais acheter celui-là. "
Le propriétaire a répondu : " Mais, il n'est pas à vendre. "
Il a dit : " Pourquoi ? "
Il a dit : " Je dois le garder. "
Il a dit : " Ça doit être lui le chef des autres. "
Il a dit : " Non, non. Ce n'est pas lui le chef. "
" Eh bien, a-t-il dit, peut-être que vous le nourrissez mieux. "
Il a dit : " Non, ils mangent tous ensemble à la cuisine. "

158 Il a dit : " Eh bien, qu'est-ce qui le rend si différent des autres esclaves ? "

159 Il a dit : " Je m'étais moi-même posé cette question bien des fois, jusqu'à ce que je l'ai découvert un jour. " Il a dit : " Là, dans sa partie d'origine, son père est roi d'une tribu. Et quand bien même il est étranger, il se reconnaît toujours fils d'un roi. Il se comporte comme tel. "

160 Oh, si nous sommes des fils et des filles du Roi, du Roi des rois, comportons-nous comme des chrétiens, de par notre caractère. C'est exact. Oui, nous sommes étrangers, nous sommes pèlerins et nous sommes étrangers ici. Ceci n'est pas notre monde. Nous cherchons un Royaume à venir. Ceci n'est pas notre patrie. Quand bien-même nous sommes ballottés, et raillés par le monde, taxés de ceci, cela et autre, et de " démodés, " et de tout comme cela, de quoi vous souciez-vous ? Vous n'avez pas à prendre pour modèle une - une espèce de vedette du cinéma, ou une star de la télévision, ou quelque chose comme cela. Vous êtes une fille de Dieu. Vous êtes un fils de Dieu. Agissons comme Dieu. Nous sommes les enfants de Dieu ; nous le savons, et nous sommes des fils et des filles du Roi. Que notre caractère reflète Sa Présence, peu importe combien ça devient difficile. Une tente ou une cabane, pourquoi devrais-je me faire des soucis ?
On me construit un palais là !
Des rubis et des diamants, de l'argent et de l'or,
Ses coffres en sont pleins, Il a des richesses ineffables.
Nous sommes les enfants du Roi !
Par Jésus notre Sauveur,
Je suis l'enfant du Roi !

161 Comportons-nous comme notre Père, sachant qu'un jour, nous retournerons à la Maison pour être avec Lui. Oui. Oui.

162 Ils - ils ont besoin d'un Messie, mais ils Le veulent suivant leurs propres conditions. Oui, ils veulent un Sauveur ; ils Le veulent, ils Le veulent tout autant aujourd'hui, pour la même raison : les dénominations et la politique ont pris la place du Saint-Esprit. Les prédicateurs, plutôt que d'être… Beaucoup d'entre eux sont conduits par la - la politique religieuse, au lieu de laisser le Saint-Esprit les conduire. Voyez ? Une église leur fera une offre un peu meilleure, ou une chose ou une autre, et les voilà partis pour obtenir une plume à leur chapeau, ou quelque chose comme cela. Mais, ce - c'est vraiment dommage. Nous devrions être conduits par le Saint-Esprit. Dieu a envoyé le véritable Conducteur de l'Eglise, et c'est le Saint-Esprit.

163 Notre système d'instruction, dans nos églises, nous a éloignés de la Présence de Dieu. C'est vraiment dommage que nous mettions nos jeunes gens (Je parle maintenant des pentecôtistes) dans des séminaires et autres, qui les font éclore comme des poulets de couveuse. C'est vrai. J'ai toujours eu pitié d'un poulet de couveuse, il a - n'a pas été bien éclos. Il gazouille, il n'a pas de maman auprès de laquelle aller, il a été simplement produit par une grande machine d'un système. C'est ainsi, on dirait, qu'on produit des prédicateurs aujourd'hui, avec une espèce de diplôme de doctorat, et on l'envoie dans une église. Et parfois, il ne sait pas plus au sujet de Dieu qu'un Hottentot n'en sait au sujet d'un chevalier égyptien.

164 Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est d'une bonne religion à l'ancienne mode, de fond des bois, à ciel bleu, qui tue le péché, et du retour du baptême du Saint-Esprit une fois de plus à l'église ; une religion qui nettoie, au canon de fusil bien dressé, à ciel bleu. Nous avons besoin d'un nettoyage, et d'un nouveau départ, partout. C'est la vérité.

165 Eglise, je ne suis pas hors de moi. Peut-être que je suis fou, comme je l'ai dit hier soir, mais je - je me sens bien comme ça. Je ne m'étais jamais senti comme ça de l'autre côté, ainsi je - j'aimerais bien rester de ce côté-ci. Oui, oui. J'ai renoncé à ma pensée ; il me le fallait pour recevoir la pensée de Christ. Tout autre croyant doit le faire, c'est vrai, il doit recevoir la pensée de Christ, en renonçant à sa propre pensée.

166 Le système d'instruction nous a éloignés. J'habite dans une ville où il y a une université, l'université d'Arizona. Et je disais, je pensais à ceci : qu'est-ce que la science peut faire pour vous ? Ils peuvent prendre quelque chose et dire : " Ceci a existé depuis autant de centaines d'années ", aujourd'hui on a découvert que ça n'a pas existé depuis autant de centaines d'années. Ils n'ont pas encore eu une seule chose qui ait scientifiquement prouvé que la vie sur la terre a donc existé, bien avant six mille ans. Ils déterrent les os, et ils prélevaient diverses mesures, et déterminaient leur durée. Aujourd'hui, ils ne confesseraient pas cela. L'autre soir, un grand professeur là, en Arizona, disait : " Ils ne le diront pas tout haut, non, mais ils ont découvert que l'âge de l'os a été déterminé à partir des effets de chlorure et d'une matière qui était dans l'eau, et aussi des effets du sel qui ont changé cela comme ça, et avaient rendu cela vieux. Ce n'était absolument pas le temps qui était à la base de cela. " Amen.

167 La Parole de Dieu demeure toujours la même, hier, aujourd'hui et éternellement. Ils ne peuvent jamais L'infirmer. C'est la chose qui fera subsister le monde ; pas un système d'instruction. Tout ce que vous adoptez à la place de Cela, c'est un mouvement antichrist ; c'est tout à fait vrai, c'est contre les principes de Christ. Retournez à la Parole, et Christ est la Parole ! Oui, oui. Il est la Parole faite chair et qui avait habité parmi nous.

168 L'instruction ne peut jamais nous donner la Vie. L'instruction ne le peut jamais. La science ne peut pas nous donner la Vie. Le monde ne peut pas nous donner la Vie. L'église ne peut pas nous donner la Vie. La théologie ne peut pas nous donner la Vie. Il n'y a qu'une seule chose qui peut vous donner la Vie, c'est Christ. Il est la Vie, la Vie en abondance !

169 Il y a quelque temps, dans une ville au Canada, je montais dans un ascenseur. Il y avait là un groupe d'Américains, et il y avait - il y avait une espèce de réunion. Je n'en mentionnerai pas le nom, en effet, il se peut qu'il y ait un membre de cette loge ici, et je n'aimerais pas blesser ses sentiments. Mais ils montaient dans un - un - un ascenseur d'un grand hôtel. Et je tenais une série de réunions là. Et c'est à peine si on pouvait entrer dans l'ascenseur à cause des bouteilles de Whisky et autres. Et j'ai dit au - au liftier, j'ai dit : " C'est quoi, tout ça ? "

170 Il a dit : " Ce sont les Américains qui nous ont rendu visite ce soir. " Oh, bonté divine ! ils sont nombreux ! Et puis, je suis descendu.

171 Alors que nous sortions de - de cet étage ou du - du petit escalier roulant, ou plutôt de l'ascenseur, et en sortant, on débouche sur un hall, et là, se trouvaient deux jeunes femmes qui n'avaient que leur sous-vêtement. Elles tenaient une bouteille de Whisky en main, et elles buvaient. Et quand elles voulaient descendre, un homme ivre est sorti de la maison, très ivre, ou plutôt de chambrettes, il a essayé de les attraper et de faire descendre leurs habits. Et c'était horrible à voir. Et elles sont descendues, et je me suis retiré dans un petit hall et j'ai attendu qu'elles passent, une petite porte, et elles se sont arrêtées devant moi. Et de belles femmes, elles se tenaient là juste en petits jupons, c'est tout ce qu'elles avaient comme habits. Elles tenaient cette bouteille, et cherchaient à se l'asperger l'une sur l'autre. L'une a soulevé son sous-vêtement aussi haut que possible, elle a lancé la jambe en l'air et a crié : " Youpi, c'est ça la vie ! "

172 Je ne pouvais plus en supporter davantage. Je suis sorti et j'ai dit : " Soeur, excusez-moi. C'est la mort. C'est la mort. "
Elle a dit : " Viens prendre un verre. "

173 Et j'ai dit : " Attendez juste une minute. " J'ai dit : " Vous avez dit que c'était la vie. " J'ai dit : " C'est une vie pervertie. Pourquoi cherchez-vous à faire pareille chose ? " J'ai fini par découvrir… J'ai dit : " Je suis prédicateur de l'Evangile. Je suis aussi Américain. Mais j'ai honte de vous. J'ai honte de vous, vous vous dites Américaines, et vous vous retrouvez ici dans cet état." J'ai fini par découvrir que l'une d'elles était une enseignante de l'école du dimanche, alors elle s'est mise à pleurer.

174 Premièrement, elles voulaient fuir, je les ai saisies toutes les deux par la main. Elles étaient tellement ivres qu'elles ne pouvaient pas s'échapper. J'ai dit : " Attendez, nous allons prier ici même. "
" Telle voie paraît droite. "

175 Eh bien, vous dites : " Elles se tapent juste un petit divertissement innocent. " Un petit divertissement innocent ? Rien du tout ! Cette chose-là ne… Peu m'importe à quel point vous êtes enseignante de l'école du dimanche. Si c'est cela qui est dans votre coeur, Dieu ne peut pas demeurer dans un tel lieu impur. Ce dont nous avons besoin, c'est d'un réveil de la sainteté à l'ancienne mode pour balayer l'église, d'un bout à l'autre. Oui, oui. Nous ne faisons pas cela. On ne devrait pas permettre cela. Mais ce sont les Américains qui se tapent un petit divertissement innocent, donnant un modèle comme nation chrétienne. Oh ! la la ! Le système d'instruction, ce n'est pas ça la vie. C'est la mort.

176 Qu'est ce qui amène une personne à faire cela ? Pourquoi fait-on cela ? Qu'est-ce qui fait agir le monde comme ça ? C'est parce qu'ils rejettent Ceci. Il y a un petit endroit dans le coeur de l'homme qui a soif de Dieu. Un petit endroit, un homme a été créé pour avoir soif. C'est ainsi que vous êtes constitué. Ce qui vous fait boire, ce qui vous amène à faire de telles choses, c'est quelque chose en vous qui a besoin d'être satisfait, la soif. A Dieu ne plaise qu'un homme cherche à satisfaire et étancher cette sainte vocation de Dieu avec un substitut que le diable lui donnerait ! Vous n'avez pas le droit de faire cela. Ça, c'est un appel que Dieu vous adresse. Cette chose-là, c'est la soif de la mort. Et si vous ne recevez pas Christ là, pour qu'Il remplisse cela, le diable vous donnera un substitut de la mort là-dedans. C'est vrai. Vous n'avez pas le droit de faire cela. Comment un homme ou une femme peut-il oser étancher cette sainte vocation qui est là, de l'appel de Dieu ? Et puisque vous ne voulez pas recevoir Cela, alors le diable veillera à ce que cela soit satisfait par autre chose.

177 Voici ce qui apporte une satisfaction à cela. " Je serre la Parole de Dieu dans mon coeur, afin de ne pas pêcher contre Lui. " C'est vrai. C'est Dieu dans le coeur qui règle la question. Oui, oui.

178 La science ne peut pas vous donner la Vie. L'instruction ne peut pas vous donner la Vie. La dénomination ne peut pas vous donner la Vie. Les écoles ne peuvent pas vous donner la Vie. La nation ne peut pas vous donner la Vie. L'église ne peut pas vous donner la Vie. Il n'y a que Dieu qui peut vous donner la Vie. C'est Lui seul qui peut le faire.

179 Eh bien, nous voyons exactement ce que le prophète a dit qu'il se passerait en ce jour-ci. Le prophète, Paul, dans 2 Timothée 3, nous voyons qu'il viendra un temps où l'église sera : " hautains, enflés d'orgueil (un je sais tout, voyez), enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants, ennemies des gens de bien. "
Vous dites : " Là, ce sont les communistes. " Non. Non.

180 Ce sont ceux qui confessent être chrétiens. Ecoutez, lisons le verset suivant : " Ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force ; éloigne-toi de tels hommes. " On est averti de s'éloigner de tels hommes qui renient la puissance de la résurrection, qui renient que Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement. C'est exact ! Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement.

181 Pierre a dit le jour de la Pentecôte : " Cette promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. " C'est la raison d'être du Saint-Esprit. Tant que Dieu continue à appeler, le Saint-Esprit est toujours là pour remplir chaque coeur affamé que Dieu a appelé.

182 Mais nous Y substituons autre chose. Nous cherchons à satisfaire ce désir en - en adhérant à l'église. Vous ne faites qu'étouffer ce désir en agissant ainsi. Vous n'obtenez pas de satisfaction avec ça. Cela ne satisfera pas.

183 Il n'y a qu'une seule chose qui satisfera, c'est quand Christ entrera dans la vie d'un homme, car Il a été créé à l'image de Dieu, et il a été créé à la stature de Dieu. Et Dieu ne vous a pas accordé ce voyage, ici sur terre, pour être ceci, cela ou autre, mais pour être fils et fille de Dieu. Et il n'y a rien d'autre qui apportera satisfaction. C'est l'unique chose qui fera subsister notre - notre monde. Et ne prenez pas notre économie faite par des hommes, mais prenez l'économie de Dieu et Sa façon de s'y prendre par Sa Parole. C'est ce qui fera subsister la chose.
C'est la puissance qui lie
Nos coeurs dans l'amour chrétien ;
La communion des âmes soeurs ,
Est comme celle d'En haut.

184 C'est vrai. Ce dont le monde a besoin aujourd'hui, c'est d'un bon réveil de l'ancien temps, à la saint Paul ; et de la Bible, et du retour du Saint-Esprit ; là où l'Esprit de Dieu se déverse parmi les gens, les signes et les prodiges apparaissent, comme les étincelles échappant d'une enclume. Oui, oui, c'est ce dont nous avons besoin, pour préserver cela. C'est ce qu'il nous faut avoir pour le faire subsister.

185 Alors, nous nous attendons à ce que Dieu nous rencontre dans nos traditions. Oh ! pour empêcher le monde de se disloquer, nous nous attendons à ce qu'Il vienne à notre système.

186 Eh bien, c'est exactement ce que les gens pensaient jadis : " Eh bien, si le Messie vient dans cet âge-ci, nous avons un bon souverain sacrificateur, Caïphe. Nous avons Lavinski, tous ces sacrificateurs par ici, voyez, de braves hommes. Nous les avons instruits, nous les avons instruits. Ils savent de quoi ils parlent. "

187 Mais quand Il est venu, Il a contourné chacun d'eux. Il n'a même pas touché à leur système. En plus de cela, Il a dit : " Vous êtes de votre père, le diable, et ce sont ses oeuvres que vous accomplissez. Vous race de serpents dans l'herbe, a-t-Il dit, qui vous a appris à fuir la colère à venir ? " Observez la Parole de Dieu sortir sous forme de réprimande. Oh, cela ne rencontrait certainement pas leur goût théologique. Et ça ne le rencontrerait pas non plus aujourd'hui. Non.

188 Quand ils L'ont vu se tenir là et accomplir le signe du Prophète, montrer qu'Il était le Messie, qu'ont-ils dit ? " Il est Belzébul. Il y a un mauvais esprit sur Lui. "

189 Jésus a dit : " C'est un blasphème. Et quand le Saint-Esprit viendra, si vous parlez contre Cela, il ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir. "

190 Mais voyez-vous le système d'aujourd'hui ? C'est la même chose. Nous avons formé notre propre système, c'est pourquoi notre système ne fera jamais subsister ce monde. Ils peuvent élire un président ou un Abraham Lincoln dans chaque comté des Etats-Unis, cela ne le fera jamais subsister, jusqu'à ce que nous retournions à la Parole de Dieu, que nous retournions à la vieille Bible à la couverture noire qui contient la Vérité. L'unique moyen pour nous de jamais connaître Dieu et de faire subsister notre monde, c'est de retourner aux principes de Jésus-Christ, retourner à Sa doctrine, retourner une fois de plus au Saint-Esprit qui conduit l'Eglise.

191 La raison pour laquelle la vérité a été si mal manipulée dans ces derniers jours, c'est que, quand Dieu cherche à commencer Son programme, les gens se sont déjà organisés en dénomination dans pareille chose. Ils érigent une clôture, de telle manière que le Saint-Esprit ne peut pas y accéder, on Le garde dehors. Nous voulons que Dieu nous sauve étant dans la - la condition même où nous sommes. C'est ainsi que je pense…

192 Vous pentecôtistes, par où avez-vous commencé ? Avez-vous déjà lu au sujet de la Rue Azusa, une mission ? Avez-vous déjà lu ce qui se passait avant que le Concile Général soit donc tenu ? Les pentecôtistes étaient identifiés par le fait qu'ils étaient sortis de ces dénominations, et qu'ils s'étaient séparés. C'est ce qu'ils étaient. " Sortez du milieu d'eux ", c'est ce qu'ils prêchaient tout le temps : " Séparez-vous, dit Dieu. Eloignez-vous de ces traditions d'hommes. " Et qu'a-t-Il fait ? Ils ont aussitôt fait demi-tour et sont retournés dans cette souillure d'où ils étaient sortis. Aujourd'hui, vous êtes divisés ; l'une, c'est une église de Dieu ; et l'autre… vous êtes ceci et cela, ceci et cela. Vous êtes divisés, et vous vous faites des histoires les uns aux autres. Brisez cela !

193 Au début de mon ministère, je pensais que tous les pentecôtistes formaient un seul groupe. J'ai fini par découvrir qu'ils étaient tout aussi divisés que les baptistes. Et ce que j'ai fait, c'est me tenir en plein milieu d'eux tous et dire : " Nous sommes frères, c'est tout. " Exact. Tant que vous vous tirez dessus les uns sur les autres, Satan n'aura pas à tirer sur vous. Mais brisez cette chaîne, et étendez vos tentes jusque là loin, et faites entrer chaque frère, alors, je vous assure, la grande armée de Dieu s'élèvera dans la puissance de Jésus-Christ, retournera à la Bible. Et vous parlez d'une Eglise avec la grâce de l'enlèvement, cela s'accomplira quand nous arriverons à détruire nos traditions, à oublier toutes nos affaires dénominationnelles, et à revenir directement sur le fondement de la Parole de Dieu.

194 Mais nous, nous voulons que Dieu nous sauve dans la situation où nous sommes. Il nous faut remplir Sa condition. Voyez, nous ne - nous ne nous rencontrons pas sous les nôtres ; sous la Sienne ! Nous voulons que Dieu nous sauve tout en restant dans la chose même que - qu'Il… Cela est souillé. Que Dieu… Retournez à la Parole, et aimez-vous les uns les autres. C'est tout ce que je sais faire.

195 Dieu nous envoie des prophètes, et - et nous les tuons, exactement ce que Jésus avait dit qu'on ferait. Ensuite, nous voyons, un ou deux siècles après, ou une centaine d'années, ou cinquante ans, Dieu nous enverra un prophète, ou un messager, et, la chose suivante vous savez, nous le critiquerons et nous le tuerons. Puis, peu après, après sa mort, vous savez, après, l'église se réveillera. Que vont-ils faire. Ils diront : " Eh bien, nous allons former une dénomination à partir de cela. " C'est ce qui est arrivé aux méthodistes, aux baptistes, et à tous les autres parmi vous, ils ont formé une dénomination. Et le problème, c'est qu'après la mort de cet homme et après que son message est terminé, nous vivons déjà dans une autre période, c'est alors que vous retournez là, à son message pour ce jour-là, et vous cherchez à retourner là et à garnir sa tombe, alors que Cela est en cours ici même, tout le temps. Vous oubliez l'heure !

196 C'est ça l'homme. L'homme loue toujours Dieu pour ce qu'Il a fait, il Le loue pour ce qu'Il fera, et il ignore ce qu'Il est en train de faire. Ce - ce, c'est bien ainsi avec l'homme. C'est ce qu'il a toujours fait. Il pense à ce que Dieu a fait, et il Lui rend des actions de grâce ; il croit qu'Il va faire quelque chose ici ; mais il oublie qu'Il est en train de le faire, chaque fois, ici même ! Et il ne voit toujours pas ça. Ça, c'est l'affaire du diable d'agir ainsi. Oui, oui.

197 Nos traditions ! Oui, oui. " Le Messie, disent-ils, c'est pour une autre génération, quelque chose comme cela. Il a existé dans le passé. " Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement !

198 Lors de Sa première Venue, celle de Jésus, le monde entier était corrompu par la politique et la religion. Tous réclamaient un messie. Ils désiraient un oint. Israël désirait quelque chose, Rome désirait quelque chose, les autres aussi.

199 C'est pareil aujourd'hui. Nous tous, tout le monde veut un politicien. Nous voulons quelque chose aujourd'hui.

200 Eh bien, aujourd'hui, la Russie veut un messie. La Russie veut un messie qui les amènera très vite à la lune, qu'ils arrivent là avant les autres. C'est ce que la Russie veut. C'est le genre de messie qu'ils veulent, un génie, quelqu'un qui est un - qui est un - qui est un génie scientifique, et qui saura conquérir l'espace intersidéral, aller y planter le drapeau russe avant les Américains. Oh, ils sont… Ils veulent leur messie. Ils font de leur mieux pour en susciter un. Très bien.

201 Qu'a fait l'Amérique ? Que voulez-vous, Amérique ? C'est vous qui poussez les cris les plus forts. Que voulez-vous ? Vous voulez un - un génie de l'instruction. Vous voulez un génie de la politique. Vous l'avez eu. Même s'il vous a fallu inventer une - une machine pour truquer des élections, pour l'avoir, néanmoins vous l'avez eu. C'est vrai. Le monde veut… c'est ce qu'il veut, maintenant qu'allez-vous faire avec cela ? Vous vouliez montrer combien vous étiez intelligents. Vous l'avez même présenté à la télévision, pour montrer celui qui a pu dépasser l'autre par l'intelligence, et vous vous êtes laissés prendre par cela. Voyez ? Vous avez eu cela, maintenant où - où va-t-il vous amener ? Un retour droit vers Rome, assurément. Vous avez vu cela, aujourd'hui même.

202 Vous, église, vous voulez un génie. Que voulez-vous ? Qu'est-ce que vous… que veut l'église ? Que voulez-vous ? Vous voulez qu'un prédicateur intelligent, instruit, intellectuel soit suscité, un qui peut conquérir mieux que Billy Graham, ramener tous ces gens à votre dénomination. Vous avez des séminaires et tout, cherchant à les faire éclore. Voyez, c'est vrai. Vous pouvez ne pas penser que c'est vrai ; mais, écoutez, vos - vos actions parlent plus fort que vos paroles. Vous voulez un - vous voulez un génie religieux, qui peut vous amener, votre dénomination, à dominer tous les autres ; fouler les baptistes au pied, fouler les méthodistes au pied, fouler les unitaires au pied, fouler la trinité au pied, tout, et fouler tout cela au pied. Oh, vous ne faites que parcourir le monde à la recherche de celui-là ; c'est ce genre que vous voulez.

203 Mais savez-vous ce dont vous avez besoin ? Vous avez besoin d'un Sauveur, c'est exactement ça votre besoin. Et c'est ce que Dieu sait être votre besoin, c'est d'un Sauveur, et Il vous L'envoie. Mais veulent-ils cela ? Absolument pas. Ça ne correspond pas à leur - ne correspond pas à leur goût ecclésiastique. Cela ne marche simplement pas comme ça pour eux.

204 Mais le monde entier veut son génie. Qu'arriverait-il alors si la Russie recevait son messie ? Qu'en serait-il alors de nous ?

205 Vous savez, l'Allemagne a eu le sien, il n'y a pas longtemps, beaucoup parmi vous les jeunes gens qui êtes revenus de la Première Guerre mondiale, vous vous en souvenez très bien. Voyez, ils l'ont eu. Ce n'est pas ce genre de messie que vous voulez. Ce n'était pas de la bonne manière. C'était une mauvaise chose. C'était contraire à la Parole de Dieu.

206 Pensez-y bien, Napoléon, à l'âge de trente trois ans, avait conquis le monde, puis il est mort vaincu. Il est mort vaincu. Il était un prohibitionniste au départ, quand il a été suscité… et son grand succès l'avait emballé ; et il est mort alcoolique, avec sept mille prostituées dans les rangs de son armée. Et il est mort à l'âge de trente trois ans. Il a essayé de conquérir le monde, mais il s'y est mal pris.

207 Mais Jésus-Christ, à l'âge de trente trois ans, a conquis le monde, la mort, le séjour des morts, la tombe, et - et Il est monté En haut. Pourquoi ? Il était la Parole de Dieu rendue manifeste. Voilà notre Messie ! Amen. Assurément. Chaque fois, ils… Nous voulons un - nous voulons un messie, mais nous en voulons un suivant…

208 Je vais devoir omettre certaines choses que j'avais notées là, il se fait très tard pour nous. Il nous - nous faut en omettre certaines choses.

209 Mais le monde veut - veut son messie. Le monde en veut un. L'église en veut un. Et qu'arriverait-il si Dieu leur envoyait un Messie ? Si Dieu envoyait un Messie, que serait-t-Il ? Il ne serait pas un politicien religieux. Il ne serait pas un géant intellectuel, comme nous l'appellerions. Oh, non.

210 Que serait-Il ? Il serait identique à Hébreux 13.8, le même qu'Il était. Qu'Il a toujours été. Il serait la Parole de Dieu rendue manifeste. C'est exact. Il était la Parole de Dieu ; Il est la Parole de Dieu ; Il sera éternellement la Parole de Dieu. Même la - l'annonce de Sa Venue, ça a toujours été les prophètes à qui la Parole de Dieu venait. Ici la Parole était venue dans la Plénitude.

211 Et alors, s'Il revenait encore aujourd'hui, Il serait une - une Parole de Dieu, la Parole de Dieu rendue manifeste, la Parole de Dieu confirmée, Dieu vivant parmi nous. Voilà le Messie. Il l'a promis. Amen. Il serait une fois de plus cette Colonne de Feu. Il sera le même Messie qui avait conduit Israël. Amen. Il serait le même Messie. [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Assurément, les gens rejetteraient Cela comme toujours. Certainement. Oh, en effet, ils veulent bâtir une grande nation.

212 Nous voulons former une grande assemblée ecclésiastique. Aujourd'hui, nous y pensons, nous voulons une grande église avec plus de gens. Très bien, vous allez l'avoir. Vous vouliez une église unie. Vous allez l'avoir. Vous allez l'avoir. Pourquoi la veulent-ils comme cela ? Si le Messie venait, il n'établirait rien de ce genre-là. Il serait contre cela. Assurément. Mais pourquoi veulent-ils cela ? Pourquoi cela doit-il se passer ainsi ? Ils veulent un homme qui peut se lever et être un dictateur en tout. Vous allez l'avoir, c'est tout à fait vrai. Vous le recevrez, parce qu'il vient. " Un autre viendra, et vous le recevrez ", a dit Jésus. Et ils vont, ils vont le recevoir. Pourquoi veulent-ils faire cela ? C'est ce que les gens veulent, des choses à leur manière.

213 Le Messie viendra, Il vous déplumera. Vous parlez d'un prédicateur qui écorche ces femmes et ces hommes, Il va vraiment les écorcher. Il l'a fait quand Il était venu ; Il a dit : " Vous race de vipères, vous serpents dans l'herbe, vous êtes de votre père, le diable. " Si ce Messie revenait en ce temps de souillure, Il ferait de nouveau la même chose. Dieu confirmerait Son oeuvre exactement comme Il l'avait fait au commencement, avec le même genre de signes et de prodiges. Il le ferait certainement, s'Il revenait. Si nous recevons ce Messie-là, Il sera exactement comme Il était la première fois, car ça ne pourrait pas être autre chose. La Bible dit : " Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. " Il est toujours la Parole.

214 Mais que voulons-nous ? Nous ne voulons pas de ce genre de Messie. Non, non. Nous voulons ressembler au monde. Et ce que les gens cherchent à faire, ils veulent d'un Messie qui les laissera vivre et - et faire tout ce qu'ils veulent, et agir comme le monde et vivre dans le monde, et garder toujours leur confession d'être chrétien. C'est exact. Vous ne pouvez pas faire cela ! " Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l'amour de Dieu n'est même pas en vous ", a dit Jésus. Absolument pas. Mais c'est le genre de messie que le monde veut. C'est la raison pour laquelle ils ne recevront pas le Messie de Dieu. Ça ne se fera pas.

215 Voici Son Messie, exact, Sa Parole est Son Messie. Ce Messie-là en vous accomplit les oeuvres que la Parole dit qu'Il accomplira. Il reproduit Christ, car Christ est en vous. Sa vie est en vous, et Il fait exactement ce qu'Il est censé faire, comme Il l'a toujours fait ; de la même manière qu'Il le faisait, les mêmes oeuvres qu'Il avait faites, parce qu'Il est le même. Voilà le Messie que Dieu envoie.

216 Le Messie que le monde veut, c'est celui qui les laisse faire tout ce qu'ils veulent, et s'en tirer : " Oh, c'est en ordre. " Oh, ces femmes partout dans le pays ! C'est ce genre que vous voulez. Oui, vous - vous étiez… Vous voulez votre habillement à la française et toutes ces grandes choses. Vous avez eu cela. Vous avez eu un Achab et une Jézabel modernes, et cela a façonné l'église. C'est vrai. Je ne parle pas de la politique. Je parle de la Vérité. Savez-vous que cette nation est exactement comme Israël ? Elle a fait la même chose.

217 Israël a fait une invasion et a chassé les occupants de ce pays-là, et il s'en est emparé. Dieu le leur a donné. Et qu'ont-ils fait ? ils ont chassé les occupants de ce pays-là, et s'en sont emparé. Premièrement, ils ont eu de grands rois, comme David et Salomon. Et peu de temps après, il s'est levé un homme du nom de Jézabel… ou plutôt - ou plutôt d'Achab, et il a épousé Jézabel, et c'était l'une de ces jeunes filles dans le vent, au visage fardé. Et, alors, c'était elle qui le dirigeait. Elle lui disait quoi faire. Il était peut-être la tête, mais elle était le cou et elle lui disait quoi faire.

218 Et si cette nation n'a pas fait la même chose là, la même chose ! Nous avons envahi ce lieu, nous en avons chassé les Indiens. Nous avons eu un Washington et un Lincoln. Mais qu'avons-nous aujourd'hui, de par notre propre vote, notre politique et autres ? Nous avons mis en place le système que nous avions fui et nous en avons fait une nation ici, nous avons ramené cela ici même, à cause du désir du peuple. Exact. Eh bien, je ne suis ni démocrate ni républicain. Je suis chrétien. Tout est souillé.

219 J'ai voté pour Jésus-Christ. Amen. " Sur ce Roc je me tiendrai, tous les autres terrains ne sont que du sable mouvant. " Oui, oui.

220 Amis, on ne nous a pas promis un système. Jésus n'a rien à faire avec un système. On ne nous a pas promis un système. On nous a promis (qu'est-ce qu'on nous a promis ?) un Royaume ! Comment Y entre-t-on ? " Nous avons tous été baptisés par un seul Esprit pour former ce Royaume. " C'est le Royaume de Dieu, le Royaume de la Vie Eternelle, avec un Roi Eternel proclamant Sa Parole Eternelle, avec un Peuple éternel prédestiné à la Vie Eternelle. Il - Il est le Roi. Nous Y avons tous été baptisés, nous sommes assis dans la gloire céleste … Gloire.

221 " Nous sommes morts, notre vie est cachée en Dieu par Christ. " Et non seulement cela, mais " nous sommes ressuscités avec Lui ! " Ressuscité à quoi ? Dans un système, une dénomination, une organisation ? Nous sommes ressuscités dans le Royaume de Dieu ! " Le Royaume de Dieu est en vous. " Pourquoi ? Tous ces systèmes faits par les hommes doivent tomber. " Une fois encore J'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi les cieux. Et ces choses inébranlables, c'est ce qui subsistera. Et nous recevons un Royaume, nous recevons un Royaume qui ne peut pas être ébranlé ou bougé. " C'est le Royaume de Dieu ! Pas un système, pas un rouage politique, pas une dénomination, mais un Royaume ! Amen ! Et les sujets de ce Royaume sont morts aux systèmes de ce monde. Les sujets de ce Royaume sont morts à ces organisations. Ils sont morts à ces systèmes politiques, et sont vivants et ressuscités par la puissance du Roi.

222 Et maintenant nous sommes dans un Royaume, assis dans les lieux célestes avec le Roi Eternel, nous réjouissant de la Vie Eternelle par la Parole Eternelle, allant à un Ciel éternel, pour être éternellement avec Lui. Alléluia ! Vivant dans la Présence du Roi ! Oh, je L'aime. Ouf ! Je suis si heureux d'être l'un d'entre eux. Je suis si heureux d'être mort en Christ, vivant dans le Royaume de Dieu. Ceci n'est pas ma demeure ; nous cherchons un Royaume. Nous cherchons le Roi. Nous sommes déjà dans le Royaume. Nous attendons le Roi qui vient, et bientôt le Roi viendra à Son Royaume.

223 " Car nous recevons un Royaume inébranlable. " Toutes ces autres choses se disloquent. L'Amérique se disloque. L'Europe se disloque. L'Asie se disloque. Le monde entier se disloque. " Mais nous sommes dans un Royaume, un Royaume éternel, inébranlable ", amen, là où chaque jour est Noël, amen, vivant dans la Présence du Roi. Gloire ! On n'a pas à deviner cela. C'est la Vérité, la Vérité de Dieu, toute la Vérité de Dieu. Oh, combien je L'aime pour Cela ! Oh, qu'Il est bon !

224 Vous qui êtes assis là, me regardant, cette petite femme là en chapeau noir, en train de me regarder. Vous êtes dans un Royaume ( Croyez-vous cela ? ), dans la Présence du Roi. Vous venez de subir une intervention chirurgicale à cause d'une maladie intestinale. C'est vrai, n'est-ce pas ? [ La soeur dit : " Oui. " - N.D.E.] Et cela vous dérange, ça vous dérange ; oubliez ça. Ça va aller maintenant. Pourquoi ? Il y a la guérison dans la Présence du Roi, dans le Royaume : " Car c'est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. " Amen. Amen.

225 Ce vieux frère de couleur assis là au bout, celui qui a les mains levées, il regarde tout autour, cherchant à me repérer. Ce n'est pas moi que vous avez trouvé, mais Lui. Cette tumeur qui est dans votre flanc, si vous croyez de tout votre coeur, Dieu l'ôtera. Croyez-vous cela ? Très bien. Que Dieu vous bénisse. Amen.
Oh, n'est-t-Il pas merveilleux, merveilleux !

226 Pourquoi doutez-vous ? Ne doutez pas. Vous avez l'asthme, et vous avez une maladie de coeur, vous souffrez de l'arthrite, tout. Vous voulez que Dieu appelle numéro après numéro. Une fois qu'Il vous a parlé, c'est tout. Ne - ne doutez simplement pas. Souvenez-vous que c'est vrai. Croyez en Dieu, et vous aurez ce que vous vouliez. Amen.

227 Cet homme assis ici, souffrant d'asthme, ce jeune homme qui vient de la Norvège. Croyez-vous que Dieu guérira cet asthme et vous rétablira ? Si vous croyez, Dieu vous rétablira. Amen. Pourquoi ? Très bien, vous pouvez avoir cela, monsieur. Vous ne saviez pas que vous aviez une si grande foi, n'est-ce pas ? Mais le Royaume de Dieu est venu, et nous sommes assis avec le Messie, le Messie de Dieu.

228 " Pourquoi le dites-vous comme cela : " C'est le Messie ? Qu'est-Ce, Frère Branham ? "

229 La Bible dit : " La Parole de Dieu est plus puissante que n'importe quel royaume, plus tranchante qu'une épée à double tranchant ; Elle discerne les pensées de l'esprit et les intentions du coeur. " C'est le Royaume de Dieu ! Alléluia !

230 " Nous recevons un Royaume inébranlable. " Croyez-vous cela ? [ L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.] Allez-vous accepter le Roi pendant qu'Il est ici ? [" Amen. "] Mettons-nous alors debout et louons-Le simplement de tout notre coeur.

231 Seigneur Jésus, nous Te louons, ô grand Roi de Gloire ! " Nous recevons un Royaume inébranlable. " Puisse Ton peuple, Seigneur, debout en train d'être guéri, magnifier Ton grand Nom, Père. Accorde-le, Seigneur. Aie pitié des gens. Nous sommes reconnaissants pour ce Royaume : " Car nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un Royaume inébranlable. " Et maintenant, notre Roi est parmi nous, confirmant Sa Parole pour ces derniers jours ; la même Colonne de Feu, le même Jésus-Christ, avec les mêmes signes. La même Vie qui était en Lui est dans l'Eglise. " Nous recevons un Royaume. "

232 L'aimez-vous ? [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.] Louons-Le avec un chant : " Je L'aime, je L'aime parce qu'Il m'aima le premier. " Faisons bien retentir cela. Donnez nous en l'accord, frère. Tous ensemble maintenant, chantons cela, Je L'aime, alors que nous Le louons. Je L'aime, je L'aime,
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut,
Sur le bois du calvaire.

233 Oh ! la la ! n'est-ce pas comme au Ciel ? [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.] Oh ! la la ! je vais vous dire quoi, faisons connaissance avec nos citoyens de ce Royaume. Pendant que nous chantons cela une fois de plus, retournons-nous et serrons la main à quelqu'un à côté de nous, et disons : " Que Dieu vous bénisse, mon frère, ma soeur ", pendant que nous chantons cela, tous ensemble. Serrez-vous la main, vous tous. Car : " Nous avons tous,… dans un seul Esprit, pour former un seul corps ", et nous sommes assis dans le Royaume. Je L'aime, je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

234 Oh, n'est-Il pas merveilleux ? [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.] Amen. Chantons encore cela, maintenant. Je L'aime, je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire

235 Combien se sentent vraiment tout récurés ? Voyons. [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.] Oh ! la la ! La Parole est la Nourriture de notre âme. Oh ! la la ! Chantons encore cela. Je… (Que Dieu vous bénisse !) Je L'aime.

1 Only believe, only believe;
All things are possible, only believe
Only believe, only believe,
All things are possible, only believe.
Let us bow our heads for a word of prayer. Our heavenly Father, we are again tonight, expressing to Thee, the Great Almighty, how thankful we are to be assembled here together, alive and able to worship Thee tonight. And we've come together for that purpose, to set together in heavenly places as brothers and sisters, citizens of the Kingdom of God, waiting for the coming of the Holy Spirit upon us, that He might reveal to us what we should do, the program of our life. We want to walk according to His will.
And we pray, Lord, that You will start from the foundation and just cleanse us, Lord, and make us new creatures, that we might be fit for Thy service. Knowing this is totally impossible for us, Father; for no more could we cleanse ourself than a leopard could lick his spots clean; he only brightens it by trying to make his own effort. But "There is a Fountain filled with Blood, drawn from Emmanuel's veins." That's what cleanses the leper's spots. I pray Thee, heavenly Father, to grant, tonight, that each one of us can plunge beneath there, leaving all of our doubts behind, all the doubts of God's love and promise for us in these hours. We ask it in Jesus' Name. Amen.

4 Let us sing this as we set down. Instead of saying "Only believe," let's just raise our hands and sing "Now I believe." Yeah, everyone now.
Now I believe, now I believe,
All things are possible, now I believe;
Now I believe, now I believe,
All things are possible, now I believe.
The Lord bless you, as you be seated. Oh, it sounds so appropriate, after asking God, then tell Him, "Now I believe," after asking Him.

6 This has been a real hard day for me, I... There's so many things to do, and maybe seventy-five interviews waiting, and you just can't get to them all; that's all. It's just totally impossible. And I had four calls today to fly out of town: one to Beaumont, Texas; and one to Houston; and one to Campbellsville, Kentucky; and one to Little Rock, Arkansas, emergency sick. And just 'fore leaving, there come in a call for me to fly from here, Sunday night, as soon as service was over, to be way somewhere close to the west coast, to preach a funeral. And I... You just can't get to all of them. That's just what come in here, they wanted to know here; what about at home in the office? You see? And them's people that's nice people. And they're Christians, many of them. And they... But you just can't be everywhere at once, so you just try to do the best you can while you're there. It does make you nervous. But you know, it takes nervous people sometimes to get somewhere, you know, and they get keyed up into a spot.

7 Did you know that most always that people under inspiration are considered neurotics? That is right. Just think of which one of the prophets wasn't considered a neurotic. See? Even Jesus, they said, "You're a mad," means "crazy." See? And Paul said, "In the way that's called crazy, that's the way I worship God." See? Heresy, crazy...

8 And you take poets. For the inspiration, they climb into a place where just ordinarily people doesn't get there. I think of--of Stephen Foster, who gave America its famous folk songs. Now, I think he had it in his mind, but not in his heart. And I used to live just across the river from my old Kentucky home. You know, after writing that famous folk song, he would go out and get on a drunk. And he just couldn't stand it. And finally while coming out from under that inspiration, one day he called a servant and got a razor, and committed suicide. See, you--you're...
When you're up there, everything's fine, and when you're down here. It's--it's in between, when you're coming out from under it. You ought to ask the manager and some of them who try to walk me around at night after one of those lines of discernment. Oh, my, you don't know whether it's everything's a vision, or what's taking place. It--it's in everything. Everything you look at, you--you don't know whether it's really a vision or what it is. You just... And you're the one that's doing that. See? You're--you're the very one that's pulling that.

10 I was explaining it to the pastor today. It's like a little boy trying to look through a hole in a wall to see a circus. He pulls up by his hands, and looks through, and can maybe see like a giraffe or a camel, and drop back down. They'd say, "What else did you see?" Well, it almost kills him to go up again to see it. But then, after while, if someone could come around and pick him up, raise him up, and say, "Here's the way it goes. The--the garland starts here, and the grand is this way, and it comes out over here." Sets him down, why, it doesn't bother him.

11 That's the way that God was in Christ. Now, the woman that touched His garment, just a little woman in the time of menopause, she was having a blood issue. And she couldn't... The doctors couldn't stop it. And she touched His garment. And He turned around and said, "Who touched Me? Virtue went from Me." See, that was the woman using God's gift. She pulled God through Him. That was the woman doing that. She took the privilege of using God's gift.

12 But when Lazarus died, He said He did nothing till the Father showed Him. And after, He went away for a while, and--and they sent for Him to come pray for Lazarus. He did not go; He went to another place. And then they sent again. And He didn't go; and put it off, went to another place. And finally turned, said to His disciples, "Lazarus sleepeth."
Well, they said, "He does well."
Then He talked in their language, "He's dead. For your sake, I'm glad I wasn't there." See, the Father done told Him how long it would be, 'cause He said He didn't do nothing till the Father showed Him; and then how long it would be, and what would take place, and for Him to go back. He's listening. "But I go wake him." See?
And when He got down to the grave of Lazarus, He prayed. He said, "Father, I thank Thee that Thou hast already heard; but I just say this for those who are standing by." He knew what was going to do, and He called Lazarus from the grave. There wasn't one thing said about virtue going from Him. That was God using His gift, and the other was the woman using God's gift.

15 Now, you can't manufacture a vision. It has to come from God. So your faith is what does it. Faith is the only thing that God will recognize in the being, is faith in His promised Word, and you do that yourself. It's your faith that does that. But then when a vision comes, sometimes, a vision that God would give about going somewhere, why, sometimes it lasts for hours, never does bother me. But it's these kind that hurts; then you come back and you wonder where you're at.

17 I think William Cowper, I believe, was his name, wrote "There Is A Fountain Filled With Blood." I stood by his grave not long ago in London. I just had to cry a little, because I felt sorry for the man. He was a poet. And he... When he went up in the inspiration and wrote them songs... Well, when he come out of that, he--he tried to... He got a--a driver and tried to find a river, to commit suicide, and it was so foggy they couldn't even find it. See, he was--he was lost; he had come from inspiration, back down to earth again.
What does it all mean, friend? That truly there is a land beyond the river, just have to climb up to see it. So we know it's going to be someday that we're going to go to that land. That's our great hope.

19 Now, tonight I never told my son to give out prayer cards. But each night the Lord's been healing the sick from the audience, and just calling to them, the ones that has faith. Listen close to what He says now (See?) and when He--when He speaks.
But I think tomorrow night now, that we will change the--the order of the meeting. And how many would like to just be prayed for, just--just be prayed for, the sick? Well, all right. I'll send Billy just a little early, if it's all right with our beloved pastor, and we will give out, all of you, a prayer card, that wants it, and then we'll just call the people up, and come by and pray for them.
I couldn't take everyone in one of those lines of discernment. It'd--I'd... They'd be taking me out, and you'd be praying for me.

22 And--and just think, if one woman touched His garment... And He was the Divine Son of God. If one woman touched His garment and it made Him feel weak, what would it do to me, a sinner saved by His grace? You would never get over one, or maybe that, if He hadn't said, "These things that I do, shall you do also; more than this shall you do." For (See?) He said, King James has "greater," but the right word is "more," if you look it up, "more." 'Cause no one could do greater than that; He raised the dead, and stopped nature. He done everything. So only thing, the Church... All God was in one Man there, but that big Pillar of Fire that led Israel became flesh and dwelt among us.

23 But when He was crucified, rose again, and ascended to God; on the day of Pentecost, He came back in the form of this Pillar of Fire, and separated Himself, tongues of Fire set upon each of them: God dividing Himself amongst His Church, 'cause that was His Wife. And a husband and wife is one with--together. And God and the Church is one together. God in you. That was God above us, God with us, God in us, same God all the time; just three manifestations, attributes, or offices, or whatever you want to call it. Like a Father, Son, and the Holy Spirit, It's the same God all the time. See?

24 And now that was God above us, could not be touched. Even the mountain that would be touched where He was on, they must be thrust through with a dart, 'cause sin had not had an offering yet.
But then God come and was manifested among us, "We handled Him with our hands," they said, "God..." I Timothy 3:16, "Without controversy great is the mystery of godliness; for God was manifested in the flesh, seen of Angels, and believed on in the world, received up into glory." See, see? Now, that was God with us.
God over us, God with us, now God in us. All that God was, He poured into Christ; all that Christ was, He poured into the Church. "At that day, you'll know that I'm in the Father, the Father in Me; I in you, and you in Me." So it's been God all along (You see?), His same works. The Church is ordained to carry on His work, with the same Spirit. You couldn't carry on the same work without the same Spirit. That's right. The same Spirit carries on the work.

27 So now, you're so nice to talk to, I--I get overtime every night. And--and I--I don't like to do that.
But I am thinking with all my heart that we're at the end time. I--I don't--I don't say that just because it's a common saying amongst the people. I believe it. I believe it with all my heart, and with the sincerity in my heart. That's the reason I don't try to build big things, do great big things, and build big spires. And I--I believe Christ is coming. I--I... And everything, let's get--do it right now, because there may not be no tomorrow. See? Let's get it done today if we can, everything that we can do.

29 Therefore, I never did permit, or don't think the Holy Spirit would want me to have great big things, where it'd have great big... Now, that's all right for those who to do that. I don't condemn them. That's fine. But to have like telecasts that takes the whole nation in, have to beg people for money; and to do that, they have to do it, 'cause they have to pay for it. Radio broadcasts, that's--that's all right; that's fine; but that wasn't for me. I just like... Why, I'd worry myself to death over that. And I--I couldn't do that. I couldn't.

30 I started to take up an offering one time in my life. I guess you heard about it. I--I started to take an offering, I... We just got in such a fix, till I almost had to have. I--I had some debts, and I was working. I took my hat and poured out my paycheck, and we just couldn't make it. And I never did take an offering at the Tabernacle. I pastored seventeen years without a penny. And I said to the wife; I said, "We--we just got to... I'm going over and take an offering."
She said, "I'm going to watch you." See? She goes over and sets down.
And that night, I--after... They're lovely people. Bless their hearts. I said, "I--I kinda hate to say this." I said, "I've been with you a long time. I--I never did ask you for anything," I said, "but I--I got some bills I got to meet. I need about six dollars." And I said, "I--I just haven't got it. I just haven't got it, and it's due," and I said, "Saturday. And I--I just haven't got it to pay." And I said, "If you all, any of you that have about a dime," I said, if you'd help a little on, I'd appreciate it." And--and everybody started to cry. There was an old woman setting down there... And the deacon got up, and we didn't even have a collection plate, and I--I said, "You can get my hat." And went and got my hat.
And I looked down there. And a little old sister is always praying for me, she had a... One of these old fashion southern mother that had one of these little, the little pocketbooks that snaps at the top. She unsnapped that, and, oh, my... I looked at that. I couldn't have spent that for nothing. I said, "I--I was just teasing. I wanted to see what you was going to say. I didn't really mean that." I couldn't do it. That's the closest I ever come to taking an offering. See?

34 There was on old man used to come down at my house. He--he, I think he belonged to the House of David, or something. He had a long beard and hair. He gave me an old bicycle, that it was backslid; but not backslid, just wore out. It--it had probably served its duty all right, but it was... So I--I went down to the ten-cent store and got me two cans of paint for twenty cents, and I painted it and sold it for six dollars. So I didn't have to take up an offering. And so that's the closest I come. I--I... See?
What if I'd be here with all that great obligation, and the Holy Spirit called me out somewhere to a little church, where maybe I'd have to have hundreds of dollars a day to take care of that? They couldn't do it. But, you see, I don't need nothing but just more of God. See? I--I don't. So if He calls me anywhere, no matter where it's at, if there's ten people or... And I've preached to five hundred thousand at one time. So, well, whenever it comes to that time, somebody just put... God puts it on their heart, and they come around and say, "You know, the Lord said you were going somewhere, and here's a check for it." That's it, by faith (You see?), for He knows what we have need of. See? And so I just like to live like that.

36 And then another thing, you know, I think we're going down in places. A lot of people that comes to my meetings are poor people just like I am, and I--I want to stay just like they are. Would it look right now for a minister to go around an all-great something, you know, like that, and tens of thousands of dollars, and throwing it this way and that way; and--and some poor woman pulling a cotton sack on her back, picking cotton for about three dollars a day, eating fat bacon and corn bread? No. I can't--can't see that. You see? Christ owned the earth, and didn't have a place to lay His head; "foxes has dens." And He was our Example. He was what He was supposed to be.
Now, not as I'm trying to...?... condemn that. I'm just trying to tell you about myself. Therefore, with no money, then I've never attempted to start anything big, you know. And--and you can't start nothing big anyhow. The biggest thing there is, we're going to it, so we're just... It's God. And I think we're all just the same size, and let's just stay like--like that. We're God's children.

38 Now, I--I just love to read this Bible. And I--I can't read it too well and I sometimes mispronounce my words, but you'll bear with me for that. I--I--I...
One time I remember was at Fort Wayne; I was preaching. And there'd been an Assemblies of God packed this article, and then the "Who's Who" had it of little girl. You might've read it about ten years ago. They had... She was been... Her eyes were operated and the sight was gone. And--and she was brought in to me, and the Holy Spirit told her all about it and healed her right there; she could read the Bible or anything. And "Who's Who" packed it. That book, you know, the "Who's Who," on medical science and whatevermore, achievements.

40 And--and I remember, a couple nights after that, I went back in the back where Paul Rader wrote that song, "Only Believe." And I was setting there and hearing that come in. There was a--a man who really had an education; he must have. And so he come back, he said, "Mister Branham, can I speak to you?"
I said, "Yes, sir."
And he introduced hisself, and--and he said, "I just want to correct you on some things."
I said, "All right, sir."
And he said, "Your grammar." See?
I said, "Yes, sir, I know that." I said, "I only got a seventh-grade education." I said, "We had ten children. My daddy was sickly and I had to go to work. I had to quit school, just a little boy."
He said, "That's no excuse now."
And I said, "That--that's right." I said, "I guess it isn't. But now, since I've got to serving the Lord, I haven't got time to--for any of it."
He said, "Well, your..." Said, "The people out there..." Said, "I noticed you last night, you said, 'All you people coming up here by this pulpit,' said, and 'go down...'"
And I said, "Well, what? I didn't know any different." And he said... I said, "What's wrong with that?"
Said, "It isn't pulpit," said, "it's pulpit." He said, "Your congregation would appreciate you more if you'd say pulpit."
Well, I think he kind of combed them few hairs the wrong way. I said, "Brother," I said, "I don't want to different with you. But I don't believe them people cares whether I say pulpit or pulpit, just so that I preach the Word of God, and live the life that's in This." ...?... the main thing. Amen.
The little fellow said, "But you don't know your Bible."
I said, "But I know the Author real well, and He--He blesses me. I'd rather know, "to know Him is Life." See?

49 Now, tomorrow night, come kinda early. Because when I come up, just a few moments ago in a cab out there, there were just strings of people, disappointed, some crying, leaving the place, and they was turned away. So I--come as early as you can, to get your prayer card.
Now, just before we look on the Word, let's speak to the Author just a minute.

51 Heavenly Father, this is Your Word. And we read in the Bible, that we're cleansed by the water of the Word. And we know in the Old Testament, how they took the heifer, the red heifer, and killed her, the whole congregation, and she was burned. And then the ashes was kept outside the courts, for a waters of separation, that--that the hands that handled this must be clean hands. And I--I pray Thee, God, as this waters of separation, the Word that separates us from death to Life; cleanse our thoughts, our hearts, Lord. And if there be anything You find in us that's not just right, cleanse it, Lord, by this water of separation tonight. Take our sins away, Father. We--we want to stand daily before You, dying to ourselves, that we might live in Christ. Bless the Word as we read It. And You promised that It would--would not return void, but It--it would accomplish that which It was purposed to do. And we pray that You'll grant this through Jesus' Name. Amen.

52 In the Book of the Revelation of Jesus Christ, we find I'm going to read just a little bit from the Sixth Seal. Out of the Book of Revelation, found in the 6th chapter of the Revelation, and then we'll begin with the 12th verse. And then I also want to read from Hebrews 12:25 to--for another little quotation, for some Scriptures I got written down here. And a--a few things I would like to speak on, if the Lord willing. And now on Revelations 6:12.
And I beheld when he had opened the sixth seal, and, lo, there was a great earthquake; and the sun became as black as sackcloth of hair, and the moon became as blood;
And the stars of heaven fell unto the earth, even as a fig tree casts her untimely figs, when she's shaken of a mighty wind.
... the heavens departed as a scroll when it's rolled together; and every mountain and every island were moved out of their places.
And the kings of the earth, and the great men, and the rich men,... the chief captains, and the mighty men,... every bondman, and every free man, hid themselves in... dens and in... rocks of the mountains.
And said to the mountains and rocks, Fall on us, and hide us from the face of him that setteth upon the throne, and from the wrath of the Lamb:
For the great day of his wrath is come; and who shall be able to stand?

53 Now, in the Book of Hebrews the 12th chapter, and beginning with the 25th verse.
See that you refuse not him that speaketh. For if they escaped not who refused him that spake on the earth, much more shall not we escape, if we turn away from that, from him that speaketh from heaven:
Whose voice then shook the earth: but now he has appointed, saying, Yea, once more I shake not the earth only, but also the heavens.
And this word, Yet once more, signifying... removing of those things which are shaken, as of things that are made, that those things which cannot be shaken may remain.
Wherefore we receive a kingdom which cannot be moved, let us have grace, whereby we may serve God acceptable with reverence and godly fear:
For our God is a consuming fire.

54 Now, this is a--a little text that I would like to draw from there, to make a text out of it, if I should call it. And I hope I don't hold you too long. And so don't forget tomorrow night now, to come early to get the prayer cards, and we'll have a prayer line where we pray for all the peoples which got the prayer cards. Now, and my text tonight is "The World Is Falling Apart." It's a very odd text.

55 But I was thinking today, as I had the glorious opportunity and the grand privilege to walk with Brother Vick, this honorable, noble servant of Christ, with Brother Joseph, my precious friend also. We had... Well, it was dinner, to me. I think it's lunch to you all here. But if that's dinner, then this is dinner tonight, and that's lunch and breakfast, where's my supper come in at? See, I feel like I've left out something. And then as we went to--to dinner and come back down the street, we were noticing they were putting up, starting to put up things for Christmas. We are approaching the Christmas season, and right on a month away, but all the stores is getting out all their Christmas sales.

56 How far they miss the meaning of Christmas. It's become a--just a commercial act. All the holidays have become that; Mother's Day, Father's Day. And every day ought to be mother and father's day. And--and they have, oh, Easter... Santa Claus took the--took the birth place. A rabbit and chicken, a little duck took the resurrection time. It's all chickens and ducks and eggs, and what's that got to do with the resurrection? See? And it's too bad we... That puts it before our children.

57 A many a little boy out here tonight can tell you more about Davy Crockett than he can tell you about Jesus Christ, sure, sure, because it's a great commercial thing. They take clothes like some cowboy or some hero, and, or something of some outlaw or something, and--and they sell clothes that looks like him, and--and then all the little children know about it and read the history of it. If we could just get the program of Christ over to the people, like that. You usually try to impersonate what you read, you--the readers.

58 I remember, it's been always been that way with me. I remember one time, as a little boy about twelve years old, down in the public library, I got ahold of the--one of Zane Grey's books called, "The Lone Ranger." I--I rode mama's broom to death, as a hobbyhorse, around and around the house, till I broke it up. Later on, I read Edgar Rice Burroughs' story of "Tarzan And The Apes," and I slept in a tree, because I--I--I was reading that. That was on my mind.
And, oh, one day I got ahold of something was real, a Truth, not a fiction. And ever since then, I want my life to be like His. I found something that was real when I read the Bible and the life of Jesus Christ.

60 Now, as we approach this season, it's very familiar. The world is just about the same condition it was two thousand years ago, when He come on earth on His first advent. When He came to the earth, the earth had met its time.
Every so often the world gets in such a chaotic condition until there's nothing can help it. We've had this several times, these preludes. And we--we find that each time when it meets this condition, and it causes people to--to start praying. And they feel that everything's played itself out, as all of our systems and everything that we have, play itself to the end. It did that in the antediluvian world, and so forth. Politics and--and other things just comes to its end; there's no more to it. And I--I think all that's done by God for a purpose, to kind of rejuvenate, to kind of bring back. It has a way of renewing itself. And I think it's just a--a law of God, that these things comes to that place.

62 The time of Christ's first advent, I--I believe we could say the world was falling apart. It was a corruptible time in politics, a corruptible time in--in religion. The whole systems had become corrupted. They'd mingled in, injecting other things and manmade theories into religions, and so forth, until the whole thing was corruptible. And the world was a falling apart.
And the world at that time, was praying for a messiah. Now, the Romans was praying for a messiah; the Greeks wanted a messiah; the Jews wanted a Messiah. And God gave them a Messiah, but they didn't want it the way He sent it.

64 And I wonder today in our chaotic time, that if all of us reaching this place again, as we approach Christmas, we find the world about in the same condition: morally decayed, and politics is decayed; religious life is--is decayed; denominationalism is decayed; and everything is just corrupted. And all of us are looking for a--something to help us out of it. All of us are expecting a messiah.
I wonder, if God sent us the Messiah, if we wouldn't just about do the same thing they done in the past. We wouldn't know Him, wouldn't know Who He was. I don't think the world would recognize Him at all.

66 And notice why. Here's my thought, the reason why. The Romans, they had their idea of what a messiah should be. Each one of us has got our own ideas; each denomination has its ideas. We've been taught, drawed out on charts and everything, what the Messiah should be, how it's going to be, "Our church is the one that's going to receive It." Well, the Jews, the Pharisees thought that, and so did the Sadducees thought their side and same thing. You see? Spirits doesn't die; just the man that's occupied. See? That... The Devil doesn't take his spirit; he only takes the man. And the good thing about it, God doesn't take His Spirit, neither (See?) It remains; just the man. Same Spirit that was upon Christ is upon the believer today, the true believer.

67 Now notice, the Romans in that day were looking for a--a messiah, a--a politician. They wanted somebody to come down from Jupiter, or someone to come down with a chariot of fire, and--and a sun behind his head, and he drove the chariots across the sky. And wanted Jupiter to come down and give them the gimmick, the military secret how they could stomp out the whole world. That's what they wanted to do. They wanted to beat down the Greeks, and--and master the whole world. That's the kind of messiah they wanted.
Well, the Greeks wanted that kind of a messiah to come and tell them just exactly the kind of a strategy that they could use to beat the Romans down. See, that's the kind.

69 And the Jews, they were looking for a general, some man that was coming with a rod of iron in His hand, and a Lion of the Tribe of Judah, and He was going to rule all nations; and run Rome out into the river and drown them, and--and--and Israel was going to take over. That's the reason. When He come exactly the way the Scripture said He would come, but they was looking for Him in a different way.
I wonder if it wouldn't be the same thing today, if He come, if we wouldn't think that. We have our own ideas about what He ought to be, and what He ought to look like, and how He should wear His clothes, and part His hair, and everything. If it isn't just our taste, why, we wouldn't receive it (You see.); I mean, we, the world today. You see? All right.
They--they... The Jews, they rejected the Messiah, because that He didn't fit their taste. He didn't.

72 A few days ago, a fine tailor out in Tucson was cutting some trousers for me. And he was Jewish. And I heard his broken English, and--and I said, "What are you, Jewish?"
He said, "Yes, sir." And he said, "I suppose you're a Christian?"
I said, "Yes, sir." So he went ahead fixing on my trousers. And I thought, "I'll let him lead next."
And he said, "Well," he said, "I have nothing against you Christians."
I said, "Thank you, sir. I have nothing against you." And he said--he said the... I said, "What's your opinion of Christ?"
He said, "He came too early, and they said He was too young for the job."
And I said, "Yes, sir."
He said, "He was just a little too young for His job." Said now, Christ, "If He, Jesus, would've come today..." Not Christ; they don't believe it. Said, "If Jesus would've come today, His program would've been all right." Said, "It's something, another, like Rockefeller and Goldwater," said, "they're fighting one another, and in the same party." And he said, "You see, they--they oughtn't to be doing that."
I said, "That's correct."
Said, "When Jesus came," said, "He come fighting His Own party of people."
I said, "Oh, no. He came to His Own, and His Own received Him not." I said, "That--that was it. You see?"
So I'll--I'll let him rest till I get back (You see?), kind of a little at a time. Because I remember God blinded his eyes so that I could see (See?), so I--I'm very grateful to the race. I certainly am. Don't you worry, Israel, if you're setting here, your time's soon at hand. See? Sure.

82 Now, many times we say that Jesus was Jewish. No. He wasn't. No, He was not Jew. He wasn't Jew nor Gentile. He's God. See, the hemoglobin is where the life cell is, and the life cell was a creative cell by God. There was no--no social life between God and Mary. There's not even a sensation. He created both germs (That's right.), egg and cell. And He was neither Jew nor Gentile. He was that breach between. He was God. And if He was Jewish blood, we're lost; if He was Gentile blood, we're lost. He was the Blood of God, created without sexual desire. That's--that's the reason our faith can look There and stand assure that's It. So He died for both.
Now, we find that when He came though, He didn't come in the taste of the Jew, so they condemned Him. And now, we--we can't say nothing about it, because we do the same thing.

84 What had caused this? I believe there was a cause for that. And I think it is because they had took the Word of God and made It of no effect by their traditions. Jesus said so. He said, "You, by your traditions, has made the Word of God of no effect." That's right. It wasn't effective, because it added and projected into It their traditions. And when...
You can't add nothing to That. You can't take nothing from It. It's... That's just the way It is. That's the way God preserved It. We can't add creeds and dogmas and things, to inject in That. That don't need any help. That--that's Him, that's Him in letter form.
And the Word is a Seed. And the seed in the right kind of ground will grow, if you don't dig it up every morning to find out whether it's growed or not. You just plant it, commit it to God, and leave it there. That's the way to let it grow, just to leave It the way it's in the ground. And that's where It's supposed to be, the ground of your heart. Faith is watering It, hourly, saying, "Now, it's... God said so, it's mine." That's the way to do it.

87 So the whole world then was falling apart like it is today; every nation was looking for someone to--to hold them out of this tragedy that was about to strike the world, and trying to hold them together. The nations were looking for something, and--and each nation was looking for it; but they looked like they didn't want to accept what God sent them. They were asking for a man, a messiah, that would stomp out the rest the nations, and God give them a Baby. Asking for a general, and got a Baby. God knowed what they had need of. He humiliated them.
That's the way God does, He humiliates us when we think we know something. Like He said to Job, "You're so--got so much wisdom, where was you when I laid the foundation of the world, when the morning stars sang together and the sons of God shouted for joy? Where was you, Job?" Why, his wisdom was done. See? And God humiliates us when we get to thinking we're something great. When we think our organization is the only one, God will come back with something that's nowhere, rise up something and humiliate us by it. That's right. He always does it that way. Yes.

89 See, they asked for a general and got a Baby. God knowed what they had need of. That's right. They asked for a general, and got a Saviour. Although they thought they were saved, but God's visit to them showed that they wasn't.
Maybe that's a whole lot what's the matter today. The world thinks they're saved by joining church, but they need a Saviour just the same today. If that isn't the picture of the world today, I don't know the world.
That's just about the way it is at this Christmas again; we find the same thing, the world falling apart. If you go to this, that's gone. If you go to this, that's gone. It's got that way so that we will come to This. See, it--it takes all the props out from under us, so that we can--we can have to come to the only resource there is, and that's Eternal Life.
It's now looking today as it was then, for some system to hold it together. As it was then, it is now again falling apart. And the religious world then was looking for a promised Messiah to do this.

93 And God keeps His promise. He never fails to keep His promise in all ages. When the world was falling apart in the time of Noah, God sent them a mighty prophet. What did they do with it? Turn it down. What is a prophet? The one the Word comes to, is the Word of God again. In the time of--of Noah, they sent it. In Moses' time the whole system was falling apart, they sent a prophet. In Elijah's time the whole system was falling apart, they sent a prophet. Every time, when the world gets in this chaos, they send a prophet. And then at this first Christmas, He sent the Word in Its Fullness (See?) the Word. A portion of the Word in a prophet, prophet had the message for that age, and he went forth.

94 Giving a prophet, and what did they do with them each time? Stone them (They didn't agree with their systems.) and put them to death. Jesus said, "You do garnish the walls of the prophets, the tombs, and your--the fathers put them in there. And you testify that--that you're their children." See, they do it. It's just too bad, but that's--that's the world. You see, it's always, God sends His Word, and wisdom tries to verse the Word.
That's the way it was at the beginning. The very thing started the whole system of sin was because somebody, Eve... Satan produced a better plan than God; he produced wisdom. They eat from the tree of knowledge.
Wisdom always takes you away from God. Faith brings you back to God. You don't know God by your great wisdom. You... It's no good. It's of the world. It's foolishness to God. "But it pleased God through the foolishness of preaching His Word, to save the lost." See? So God always used something foolish and simple.

97 When He called His disciples, if He would've chosen Caiaphas and the great priests that they had trained for that hour, there'd been something to brag on. They had their doctor's degree and everything. But He goes down and gets ignorant men, fishermen who couldn't even read their own name or write their own name, that He might take nothing and make something out of it.
Even the great Saint Paul said he had to forget all he ever knowed that he might find Christ. He told the Corinthian church, "I never come to you with the excellency of words of wisdom of this world, because you'd build your faith in that."

99 And look, today, people don't want a pastor unless he can talk just proper and make all of his nouns and pronouns. And if that be so, I couldn't get in no pulpit, 'cause I don't even know what a difference between a noun and a pronoun. And the only thing that I know is, I know Him. And that's all that I care to know, for He's my--He is my Noun and Pronoun; He's my Life. Now, the thing we want to know is Him. But you see our religious system has adopted the educational system, and took the place of the Holy Spirit. That's what it's done.

100 Now, in the days of Noah, the days of Moses, they sent the prophets to them, and what did they do? Stone them, put them to death, saw them to pieces, burn them, any way to get rid of them, get them off of their hands.
Jesus taught the very fine, brought a parable, when He said, "There was a man, a great man made a--had a vineyard and put dressers in it. And he sent a servant, and they killed him. He sent another servant, and they killed him, and so forth." And said, "Finally he said, 'I--I'll send my son, and they'll regard him.' And the--the dressers of the vineyard said, 'This is heir, let's kill him.'" That was God's Son that He sent.
Sending the prophets, sending His Word, the Word, God... You remember, every falling generation, there's only one thing that can bridge this world together, that's the Word of God.

103 This world was made by the Word of God. It's framed together by the Word of God. That's the only thing that'll ever keep it together, is the Word of God, for Hebrews said, "We understand that the world was framed by the Word of God." People doubt the Word of God, and the very dirt that you're setting on is the Word of God made manifest. The very seats that you're setting in is the Word of God made manifest. God speaks it, and it has to happen, because it's the--the Word of God.
Now, the only thing that can keep it together, will never be a political system; it'll never be a U.N.; it'll never be any of these organizations. It'll be the Word of God that keeps the--the world together. That's the only thing that I can recommend today, to keep the world from falling apart right now, is back to the Word of God. That's God's program always.

105 In the garden of Eden, Satan come along and said to Eve; he said, "You should take the fruit of the tree."
And she said, "But the Lord said not."
He said, "Now, oh, surely you'll not die." See, he knowed as long as people stayed fortified...
This is what we're supposed to stay fortified by, is the Word. See? We are surrounded by the Word. The Word is in you, God in you, around you. Wherever you go, it's the Word, the Word. Keep Him always before you. Remember, be conscious of Him everywhere.
Now, when Eve and Adam walked like that, there was no death. The man or woman that walks like that now, there's no death to them; they got Eternal Life when you're--when you're surrounded and kept by the Word.

108 Now watch, wisdom comes up to verse the Word, and when it does, Eve broke that barrier. And when Satan found out that that was the place he could hit the human race, that's exactly where he's hit it every time. Even in an antichrist spirit, so close that it would deceive the very elected in the last days, he comes in the form of religion. Now, there's not no such a thing as the communistic party ever fooling anybody; they're a--they're anti-God, to begin with, but that's not the antichrist. The antichrist is religion, so close it would deceive the very elected.

109 Look at Judas Iscariot, walked right with the Church, and professed Christ. He done everything the rest of them did, went out and even cast out devils, and come back rejoicing with them. Correctly, Matthew 10. But when it come to the place at Pentecost to receive Eternal Life, he showed his colors.
And that's where it comes today. The Devil lets you have all the church joining you want to. But when it comes to the time that you receive the Holy Ghost, he'll just holler, "It's a bunch of holy-rollers," or something. He--he don't want nothing to do with That. And Judas and his system can follow right up to that hour. 'Cause that's where Judas deceived that world, up to that spot, but he couldn't do it there. That's the elected right there. Now, he can come that close, but he--but he can't come the rest the way. Because if he would, he'd be your brother then, so he can't do that.

111 Somebody said, "You know, the Devil got me." No, he never did. You went out after him. He never come in and got you. 'Cause "You are dead, and your life is hid in God, and sealed by the Holy Ghost." The only way he could ever get in there, is the same way you did. So he just invited you, and you walked out to him. That's all. See? It isn't that he come in after you. He can't come in there, for you are in Christ, dead to yourself. See? Amen. I'm not amening myself, but that means "so be it." And I--I--I know it's true. I experienced it and know that it's true. It's passing from death unto Life to receive Christ in you. All right.

112 Now we find then that the--the religious world in that day was falling apart, and they--they had always done it before. And why? Is because that the coming prophets, and the coming Messiah, did not meet their specification, their theological term for it. They... It didn't.
And that's the way it would be today. This is why, I believe, today that we're--we're stunted in this day, because in--in the move of God, because it, even in the churches, it doesn't exactly come to the terms of what they've got it figured out it should be. They figure out that, there should be a time that certain-certain things will happen, and--and then when the real kernel of it comes down, well, then they--they reject that. See?
And what's the use of putting up an electric wire if you refuse the dynamo? See, they can't get no current in it; it's just a dead wire. That's what's the matter with the church today. We got all the wires up; and press the button, there is no Life. What we need to do is get connected. That's all. That's right. Get connected with Christ, our lives of our emotions, the lives of our mind connected in Him.

115 You say, "Well, I--I tell you, I--I--I believe I..." You haven't got no... You ain't got no thought coming. And that's right. You say, "I think this. And I..." You haven't got a thought. I haven't either.
The Bible said, "Let the mind that was in Christ be in you." And He was always about the Father's business. So that's the only thought you ought to have, what God said about it, not what somebody else said. But what God said, that's all there is to it. He said, "Let every man's word be a lie, and Mine be the Truth." See?
That's the thing to connect the world back together, but they won't receive it. Now we know they won't, 'cause they never did. All right. We wonder then, if the answer is today, the cry today, is for help for the Messiah to come. And I believe sometimes if we would--if He would send it, I wonder if we wouldn't do the same thing they did then.

118 All of our po--politics, both in religion, and--and both in the federal life, and so forth, is polluted. We polluted our worship with manmade design fashions, fashioned and designed a manmade to fit every cult that's on the face of the earth. Every one's got their own idea again. It must become again like it was in the days when God rose up the mighty prophet Isaiah, said, "Your sacrifices and things has become a stench in My nose."
See, Israel, first, when God told them to take a sacrifice and go offer it, why, it was a great thing. You can imagine a Jew going down the road, with a--a lamb, a fat little lamb or a bullock, or whatever he was. It was the Passover, and he goes down, lays his hands upon the--the sacrifice that's connecting himself, identifying himself with the sacrifice, when he puts his hand on it. The priest killed the--the beast, the little lamb, whatever it was. And it was a little fellow died, kicking and bleating, the blood splashed upon his hands. And the worshipper in sincerity knowed that that should be him, but the lamb was taking his place. That's what Jehovah required, because it was a type of Christ. But one time that kept on, going on till it become a family tradition. They offered the lamb just the same, but there was no sincerity about it. God said, "They stink in my nostrils."

120 And today... Years ago we used to find the people in deep sincerity and worship. And today it's become a big glamor of Hollywood, just some kind of a trained music; and women up on the platform with their clothes tight enough, the skin on the outside almost, and dancing around over the platform; no sincerity, and not--almost making it just an outright ridiculous shame, and professing Christianity. I wonder if our offerings hasn't become kind of a stench in His nose again, our differences.

121 It's just a shame that the enemy has taken our American women and stripped them down out there on the streets. And, why, it's--it's a disgrace. No wonder the little boys and little girls, and things, are in such a shape as they are today. They're always trying to pattern after some woman out here in Hollywood, married four or five times. And she'll come out with some sort of a--a nude clothes on, and all the little girls in the country will pattern after that. What a pity. That's too bad. Yes, sir. It's too bad, and it got into the church. The beautiful virtue that God give a woman to be a mother has been marred.
And that's the backbone of the nation. You break motherhood, and you've broke the nation right then. That's one thing that helps hold it together, real genuine parenthood.

123 I was talking to the cab driver, coming down. We was talking about some delinquent children up there. And he said, "I think it's the parents."
I said, "Amen. Fellow, I don't know who you are, but you're on the right road." And I said, "That's right." I said, "It's too bad that they've took the--the Bible out of the home and give them a deck of cards."
And that started in the church. I was standing on the elevator, a few moments ago; and a certain woman on there, talking to another, said, "Well, you know," he said, "this is a wonderful thing, our church is giving a card party," and how they were going to have some kind of a Thanksgiving turkey affair, that they was going... Out of a Protestant church... Oh, my. Gambling, lottery, bunco, dances, oh, when it gets to a time that people have to do stuff like that to entertain the church...
The Church, born-again, the Holy Ghost entertains the Church with Eternal Life. See? But--but people, they don't want that, because they're pleasure stricken. It's too bad that the things happened the way they have.

127 Long ago, too long ago, has the beautiful virtue of women and their fine dress has bowed before the shrine of the goddess of Hollywood. It's the truth. It's such a pity that the world's got in a place like that. Nation's backbone is broken. Sex appeal is many times regarded as fashion, modern; people dressing, going out on the street. You know what the Bible said?
I'll tell you, I was speaking on that, one time, and there was a noted minister said to me; he said, "Why don't you leave away from them women doing that, saying that?" And I told him, I said... Said, "You ought to teach them how to become prophetesses, and so forth, like that."
I said, "How am I going to teach them algebra when they wouldn't even learn their abc's?" Always believe Christ, you know, ABC. And so I said, "How can you do that?"

130 All these things has just been a great conglomeration that's weeded into the church. It's too bad it's getting amongst we Pentecostal people. Oh, people, stop. Think. You may call me a fanatic now, but at the day of the judgment you'll shake my hand. And I--I love you with--with godly love. And I want you to be right, friends. What's the use of just taking any chance on such things as that?
A lady said to me, said, "Well, Mr. Branham, they--they don't, they... That's the only kind of clothes they make for women."
I said, "They still make goods and sell sewing machines." You--you, there's no excuse. See? That's right.

133 Look, and let me say one thing again, as this. You know, if you dress like that and some sinner on the street looks at you in the wrong way, you're going to answer at the day of judgment for committing adultery with that sinner. You might be as virtuous to your husband as you can be; you might be as virtuous to your boyfriend, as loyal as you know how to be; but in the sight of God you're a street harlot.
You say, "Is that right? Prove that by the Word, Brother Branham. You said ask you anything, if it was the Word." Yes, sir.
Jesus said, "Whosoever looketh upon a woman to lust after her, hath committed adultery with her already in his heart." And if you present yourself like that, you're a cause of it. That's exactly. Though you be innocent yourself, you presented yourself to that sinner like that. When he answers for it, you'll be the one to be guilty. Oh, get you some clothes and cover up, and act like ladies. That's right.

136 And you men, you that'll let your wives do a thing like that, wear them kind of clothes, don't you have no respect for you or her either one? My, let your wife set and smoke cigarettes in the house, and blow it... What are you? And then call yourself a Christian? Oh, I can't understand that.
You say, "Well, now wait a minute, 'By their fruits you shall know them.'" That's what I'm talking about. See? That's right, if you love the Lord with all your heart...
You say, "Well, I've just got to smoke them. That's my pleasure." Your pleasure?
My pleasure's in the Lord. Your pleasure's in the Lord, if you would die out to the world. God is my Joy. He is my Peace. He is my Sacrifice. He's my God. He's my Love. He's All, and all that I have need of, and I meet it in Christ. Thirsting... Oh, my.

140 [Someone speaks in tongues--Ed.] Be reverent. We're supposed to wait on them things, you know. When the Spirit speaks, breaks into a message and speaks like that, there must be something important fixing to happen. See? [Someone gives an interpretation--Ed.] Amen. Amen. And the people said, "Amen." [Congregation says, "Amen."] See, see?
Now, remember, if I got the interpretation right, we are to warn the people (See?) the coming of the Lord. And let's warn them with the right kind of a life behind it. 'Cause you can't talk to man, living any way, and then go tell him. He knows he's living as well as you are. See? Let's get right and get ready, because I believe the Holy Spirit wants us to know these things and to be ready for this great thing that's fixing to happen. Yes. Yes, sir.
The hour, the world is now falling apart. All systems are falling apart. Why is it? It's--it's got to come that way. See? It's.. We're looking for a City Whose Builder and Maker is God. And all these earthly things has to give away to it.

143 Now, we find out that God promised to supply all of our needs we had need of in this journey. Is that right? But, remember, He only supplies them on condition. We've got to meet His condition first. If we do not meet His condition, He will not meet--meet our condition. We've got to do the thing that's right first, got to go down to the bottom and build up. That's exactly. We can't start at the top and come down. We got to go to the bottom and build up. Go back to the bottom. Now, He'll meet our condition. All of His promises are on condition.
But we try to reverse this by our traditions. We try to make God something else. "We are going to inject our tradition and say it's just a little better," or that's the way the people try to think it.
Now, I'm not just speaking to this church right here, this group of people. I'm speaking to the world. It's being taped here and will go all around the world, what we say.

146 We want our wants supplied, but He supplies our needs. That--that's the difference. We want our wants and He gives us our needs. But He knows what we have need of. And we would most surely, the world would today, accept it if it come according to our tradition. Oh, the Baptists would like to say, "It's according to what we believed it. You see, you were all wrong." The Methodists say, "Now, you Baptists are wrong, It's according to what... It come the way we believed it." But I imagine it'll come different from what any of us think about it. That's right. It's going to come the way God has ordained it to come, and it's just not in man to be able to cut this thing out and say it's that way. Now, would be...

147 We wonder today, what, why the gifts and things are not in the church, operating the way they should be. Why, the gifts are put in the church to separate and take sin out, to keep the church clean. It's--it's God's toxin that's given to the church. It's God's... Also it disinfect that He puts into the church, to kill out all the--the parasites that--that tear up the church. And--and--and God sprays His church over with His Word. And that keeps all the--the termites out, you know, so the church can grow, a plant. And God knows what it takes to do it. Well, you say...

148 It's just like a--a little baby crying to--for your razor, when you were shaving. And your--your little baby's hollering, "Give me that razor, daddy. Give me that razor." Your little son, two or three years old, just screaming, jumping up-and-down on the floor, "Give the razor." Well, you know better than to do that. Well, you wouldn't give that baby that razor. He doesn't know how to handle it.
And that's the reason we don't find no more Divine gifts than what we do. They push it off on some kind of a tradition, over in some denomination. They don't know how to handle it. God knows what to do with it. Well, you might say...
The little boy might say to you, you refused him the razor, say, "I see you handling it, daddy." But, see, you're older, you know what to do with it.
And that's the way when the church becomes from a--a little baby toddling around, to a real virtue of--of sons and daughters of God, then things are going to be different. Yes, sir. The church ought to be acting as sons and daughters. When we ought to be teachers, we have to be taught.

152 Reminds me. If my colored friends here tonight, my brothers and sisters, will excuse this expression. Years ago, down in the south, they used to sell people, when the slavery was going on down in the south. And they took those poor people and would take them out and--and auction them off, like some kind of a used car lot. You'd have a bill of sale.
The human life... It never was God's will to have no man rule over another. Man made... God made man, and man made slaves. We're all off the same tree. One can give the other one a blood transfusion, whether we're yellow, black, brown, red, or whatever we are. We're all Adam's race. The country we lived in, did--changed our colors, has nothing to do with it, not at all. Jesus died to save the sinner, no matter who it was.

154 And there used to be a brokers came--come by and would buy them people. Just like you would buy a--a car, come by and buy so many used car, and take it, sell it somewhere else. They'd come by the plantations and find these poor people out there, and look around, and find out which one was good workers, and big strong men and women. And they would sell them, take the big strong men and breed them to big strong women, like you would cattle or something, to get a bigger, heavy slave. I wonder what... Hell will be full of that kind, a--a thing like that. And here they was, little old mother with her babies, crying, her husband auctioned off. It was terrible.

155 Then the first thing you know, this one broker came by a plantation he was told, one day, and he was looking over the slaves. And he said, "How many you got?"
Said, "Oh, we got about two hundred out there."
And so he watched him, and the people were sad. They were away from their home, their loved ones. They brought from Africa here, and brought in by the Boers, and sold down here in the south, and they--they knowed they'd never go back home. They--they were finished. They'd never get to go back. And they were sad. And you... They couldn't make them work hardly. They didn't. They'd have to whip them and everything else to make them work, because they know they'd never get back home. Their daddy was over there, maybe mother here and daddy over there, and--and maybe the children here and their father somewhere. Oh, it's terrible.

157 And one day this broker came by and looking at this bunch of slaves, and he noticed there was one of those young slaves out there that they didn't have to whip him. He had his chest out, and his chin up; he walked around; he was right on the spot. And the broker said, "Say, I want to buy that one."
And the owner said, "But he is not for sale."
Said, "Why?"
Said, "I have to keep him."
He said, "He must be the boss over the rest of them."
He said, "No, no. He ain't the boss."
"Well," said, "maybe you feed him better."
Said, "No, they all eat out there in the galley together."
He said, "Well, what makes him so much different from the rest of the slaves?"
He said, "I often wondered that myself till one day I found out." Said, "Over in the homeland where he come from, his father is the king of a tribe. And though he's an alien, he still knows he's a king's son. He conducts himself like one."

160 Oh, if we are the sons and daughters of the King, the King of kings, let's conduct our character as Christians. That's right. Yes, we are aliens; we're pilgrims and we're strangers here. This is not our world. We're seeking a Kingdom that is to come. This is not our home. Though we be tossed about and made fun of by the world, and called this, that, and the other, and "old fashion," and all like that, what do you care? You don't want to be patterning yourself after a--some kind of a movie star, or some television star, or something. You're a daughter of God. You're a son of God. Let's act like God. We are the children of God; we know that we're sons and daughters of the King. Let our character reflect His Presence, no matter how rough it gets.
A tent or a cottage, why should I care?
They are building a palace for me over There!
With rubies and diamonds, of silver and gold,
His coffers are full, He has riches untold.
We're the children of the King!
With Jesus our Saviour,
I'm a child of the King!
Let's conduct ourselves like our Father, knowing someday we will go home to be with Him. Yes. Yes.

162 They--they want a Messiah, but they want it under their own conditions. Yeah, they want a Saviour; they did, and want it now the same way, for the same reason, for the denominationals and politics has taken the place of the Holy Spirit. The ministers, instead of being... Too many of them are led by the--the religious politics, instead of letting the Holy Spirit lead them. See? Some church will give them a little better offering, or something another, and away they go to get a feather in their hat, or something like that But, that--that's too bad. We ought to be led by the Holy Spirit. God sent the real Leader of the Church, and that's the Holy Ghost.

163 Our educational system in our churches has led us far away from the Presence of God. It's too bad that we put our boys (I'm talking of Pentecostals now.) out into the seminaries and things, hatch them out like incubator chickens. That's right. I always felt sorry for an incubator chicken, it was--wasn't hatched right. He chirps, and he ain't got no mammy to go to, just turned out by a big machine of a regime. That's the way they seem to be turning out preachers today, with some kind of a doctor's degree, and send him into a church. And sometimes he knows no more about God than an Hottentot would know about an Egyptian knight.

164 What we need today is a good old fashion, backwoods, sky-blue, sin-killing religion, and the baptism of the Holy Ghost back into the church again: a cleaning out, gun-barrel straight, sky-blue religion. We need a cleaning out and a starting all over again. That's the truth.
Church, I'm not beside myself. I may be mad, as I said last night, but I--I feel good this way. I never did feel this way the other way, so I--I'd just like to stay this way. Yes, sir. I did lose my mind; I had to, to find the mind of Christ. Every other believer has to (That's right.) they have to find the mind of Christ by losing our own mind.

166 The educational system has taken us away. I live in a college town, where the University of Arizona is there. And I was saying, thinking this, what can science do for you? They can take something, and say, "This was so many hundred years ago," now they found out it wasn't so many hundred years ago. They haven't got one thing yet, scientifically proving that the world has ever had any life on it, any more than six thousand years. They pick up bones, and they used to take different measurements and say how it was. Now, they wouldn't confess it. A big professor the other night stood up there in Arizona, and said, "They won't profess it, no, but they found out that the age of the bone has been because of the chloride and stuff in the water, and also the salt turned it like that and aged it. It absolutely wasn't time that done it." Amen.

167 God's Word still ever remains the same, yesterday, today, and forever. They can never be able to disprove it. That's the thing that will hold the world together; not an educational system. Anything that you adopt instead of That is an antichrist move; that's exactly right; it's against the principles of Christ. Back to the Word, and Christ is the Word. Yes, sir. He's the Word made flesh and dwelled among us.
Education can never give us Life. Education can never... Science can't give us Life. The world can't give us Life. The church can't give us Life. Theology can't give us Life. There's only one thing can give you Life; that's Christ. He is Life, the abundant Life.

169 Some time ago in a city in Canada, I was going up on an elevator. And they was having a bunch of Americans up there, and it was--it was some kind of a meeting. I won't call the name of it, 'cause there might be someone in that certain lodge in here, and I wouldn't want to hurt your feelings. But they was going up on the--the--the elevator in a big hotel. And I was having a meeting there. And you couldn't get on the elevator hardly, for the whiskey bottles and things. And I said to the--to the elevator boy, I said, "What's all this?"
He said, "The Americans has visited us tonight." Oh, goodness, many of them... And then I went down.

171 As we got off of--of the stage or the--the little escalator, or elevator, rather, and started out, there was a hall, and there was two young women standing down there with just their underneath garment on. They had a bottle of whiskey in their hand, and they were drinking. And they started down, and drunk men coming out of the house, so drunk, or the little rooms, trying to catch them and pulling their clothes down. And it was horrible looking. And they come down, and I just ducked back in a little hall and waited till they passed by, a little door, and they stopped in front of me. And nice-looking women, and they were standing there just with their little underneath skirt on, all the clothes they had. They took this bottle, and trying to pour it on one another. One pulled up her underneath garment as high as she could pull it, throwed her leg up in the air, and holler, "Whoopee, this is life."

172 I couldn't stand no more of it. I stepped out, and I said, "Sister, I beg your pardon. That's death. That's death."
She said, "Come, have a drink."
And I said, "Wait just a minute." I said, "You said that was life." I said, "That's perverted life. Why do you try to do a thing like that?" Come to find out... I said, "I am a minister of the Gospel. I'm an American too. And I'm ashamed of you. I'm ashamed of you to call yourself an American, and up here like that." Come to find out, one of them was a Sunday school teacher, and she started crying.
First they started to run, and I grabbed both of them by the hand. They was so drunk they couldn't get away. I said, "Wait, we're going to pray right here."
"There is a way that seemeth right."

175 Well, you say, "They're just having a little clean fun." A little clean fun? Nothing. That thing doesn't... I don't care how much Sunday school teacher you are. If that thing's in your heart, God can't dwell in that unclean place. What we need is an old fashion holiness revival to sweep the church from one end to the other. Yes, sir. We don't do that. That should not be permitted. But it's Americans having a little clean fun, setting an example as a Christian nation. Oh, my. Educational system, that isn't Life. That's death.

176 What makes a person do that? Why do they do it? What makes the world do the way they do? Because they reject This. There's some little place in a man's heart that thirsts for God. A little place, a man was made to thirst. You're set up like that. That's what makes you drink; that's what makes you do these things, is because there's something in you that craves for satisfaction, thirsting. And God forbid that a man will try to satisfy and quench that holy call of God with the substitute that the Devil would give him. You have no right to do that. That's God calling to you. That stuff is a thirst of death. And if you won't take Christ in there to fill that up, the Devil will give you a substitute of death in there. That's right. You have no right to do that. How dare any man or woman to hush that holy call in there of God calling. And because you won't receive it, then the Devil will see it's satisfied with something else.
This is what satisfies it. "God's Word I've hid in my heart, that I sin not against Him." That's right. God in the heart is what settles the question. Yes, sir.

178 Science can't give you Life. Education can't give you Life. Denomination can't give you Life. Schools can't give you Life. Nation can't give you Life. Church can't give you Life. It's only God can give you Life. He's the only One that can do it.
Now, we see exactly that what the prophet said would come to pass in this day. The prophet, Paul, in the II Timothy 3, we find out that the time was coming when the church would be, "Heady, high-minded (know-it-all. See?), high-minded, lovers of pleasure more than lovers of God, trucebreakers, false accusers, incontinent, and despisers of those that are good."
You say, "That's communists."
No. No. That's professed Christians. Listen, read the next verse. "Having a form of godliness, but denying the power thereof; from such turn away." Warned to turn away from such that's denying the power of the resurrection, denying that Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. That's right. He is the same yesterday, today, and forever.

181 Peter said, on the day of Pentecost, "This promise is unto you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." That's what the Holy Ghost is for. As long as God still calls, the Holy Ghost is still here to fill every hungry heart that God called.
But we substitute something else. We try to satisfy that feeling by--by joining church. You just deaden that feeling by doing that. You ain't satisfied with that. That won't satisfy.
There's only one thing will satisfy, that's when Christ comes into a man's life, for He's made in the image of God, and he's made in the statue of God. And God didn't give you this trip here on earth to be this, that, or the other, but to be a son and daughter of God. And there's nothing else will satisfy. That's the only thing will hold our--our world together. And take not our manmade economy, but take God's economy and His way of doing it through His Word. That'll hold it together.
That's the tie that binds
Our hearts in Christian love;
The fellowship of kindred mind
Is like to that above.

184 That's right. What the world needs today is a good old-time, Saint Paul's revival, and the Bible, Holy Ghost back again; where the Spirit of God falls amongst the people, and signs and wonders appear, like sparks off of an anvil. Yes, sir, we need it. That's what we have to have to hold it together.
Then we expect God to meet us in our traditions. Oh. To keep the world from falling apart, we expect Him to come to our system.

186 Now that's exactly what they thought back there, "Now if the Messiah comes in this age, we got a fine high priest, Caiaphas. We got Lavinski, all these priests along here (See?) fine men. We schooled them, schooled them. They know what they're talking about."
But when He come, He bypassed every one of them. He didn't even touch their system. Besides that, He said, "You are of your father the Devil, and his works you do. You generation of snakes in the grass," He said, "who's warned you to flee from the wrath that is to come?" Watch the Word of God come out in that rebuke. Oh, it certainly didn't meet their theological taste. And it wouldn't today either. It doesn't.

188 When they seen Him standing there and perform the sign of the Prophet to show that He was Messiah, what'd they say? "He's Beelzebub. That's an evil spirit on Him."
Jesus said, "That's blasphemy. And when the Holy Ghost comes, and you speak against That, it'll never be forgiven in this world or the world to come."
But you see the system today? It's the same thing. We formed our own system; that's the reason our system win never hold this world together. They might elect a President or an Abraham Lincoln in every county in the United States, and it'll never hold it together, till we get back to the Word of God, back to the old fashion black-back Bible that's got the Truth. That's the only way we'll ever know God and keep our world together, is back to the principles of Jesus Christ, back to His doctrine, back to the Holy Ghost again leading the Church.

191 That's why the Truth has been so mishandled in this last days, is because that when the God trying to get His program in, and people have already denominated themselves off in such. They build up a fence so that the Holy Spirit can't get in there, keeping Him out. We want God to save us in the--the very condition we're in. That's the way that I think...
You Pentecostal people, what did you start out at? Did you ever read the Azusa Street, a mission; did you ever read before the General Council ever started? The Pentecostal people were known because they come out of those denominations and separated. That's what they was. "Come out from among them." They used to preach that all the time, "Be separated, saith God." Get away from them traditions of men. And what did they do? He turned right back around and went back in the same gaum you come out of. Now, you're separated; one's a Church of God; and the other one, you're this one or that one, this one or that. You're separated, fussing with one another. Break that down.

193 When I first come into the ministry, I thought everything was Pentecostal was one group. I come to find out, they was broke up as bad as the Baptists. The thing I did is stand right in the middle of both of them, say, "We are brothers; that's all." Right. As long as you're firing at one another, Satan don't have to fire at you. But let that bound be broke, and spread forth your tents way out yonder, and take in every brother, then I tell you, the great army of God will rise in the power of Jesus Christ, go back to the Bible. And you talk about a Church for the rapturing grace, it would come to pass when we can tear down our traditions, forget all of our denominational things, and come right back on the basis of God's Word.
But we want God to save us in the condition we are. We got to meet His condition. See, we don't--we don't meet us on ours; upon His. We want God to save us in the very thing that--that He... It's polluted. Let God... Get back to the Word and love one another. That's the only thing that I know to do.

195 God sends us prophets, and... when we put them to death, just exactly like Jesus said they would do. Then we find out, after a century or two, or a hundred years, or fifty years, God will send us a prophet, or a messenger, and, first thing you know, we'll criticize him and put him to death. Then after while, after he's dead, you know, awhile, the church will wake up. What'll they do? They'll say, "Why, we'll build a denomination upon that." That's what happened to the Methodists, Baptists, and all the rest of you, built a denomination. And the thing of it is, after he's done dead, and his message is over, we're done living over into another place. Then you go back there, his message for that day, and you're trying to go back there and garnish his tomb, when here it's going on right here all the time. You forget the hour.

196 Just like man... Man is always praising God for what He did do, and praise Him for what He will do, and ignoring what He's doing. That--that--that's just the way of man. He's always done that. He thinks of what He has done, gives Him thanks; believes He's going to do something out here; but forget He's doing it all the time right here. He always overlooks it. That's the devil's business for him to do it that way. Yes, sir.
Our traditions... Yes, sir. "The Messiah," they say, "is for another generation, something like that. He was back there." He is the same yesterday, today, and forever.

198 In His first advent, Jesus, the whole world was corrupted with politics and religions. All was crying for a Messiah. They wanted an anointed One. Israel wanted something, and Rome wanted something, and the rest of them.
It's the same thing today. We all, each one, want a politician. We want something today.
Now, today, Russia wants a messiah. Russia wants a messiah that'll take them to the moon right quick, get there before the rest of them will. That's what Russia wants. They want that kind of a messiah, some genius, some fellow that's a--that's a--that's a scientific genius, and he'll know how to conquer outer space and go over there and plant the Russian flag before the Americans can get there. Oh, they're... They want their messiah. They're trying their best to raise up one. All right.

201 What did America? What do you want, America? You're crying the loudest. What do you want? You've been wanting a--an educated genius. You've been wanting a political genius. You got it. Though you had to invent a--a crooked voting machine to get it, but you've got it. That's right. The world wants... That's what it wants. Now what you going to do with it? You wanted to show how smart you was. You even put them on television, to show that one could outsmart the other one, and you fell for it. See? You've got it, now where--where's he going to lead you? Right back to Rome, of course. You seen it, right now.

202 You, church, you want a genius. What do you want? What do you--what's the church want? What are you wanting? You are wanting a smart, educated, intellectual minister to raise up, that can conquer better than Billy Graham, to take them all back to your denomination. You got seminaries and things, trying to hatch them out. See, that's right. You might not think that's true; but, look, your--your action speaks louder than your words. You want a--you want a religious genius, one who can lead you, your denomination, over them all; stomp out the Baptists, stomp out the Methodists, stomp out the Oneness, stomp out the Trinity, everything, walk over all of it. Oh, you're just skimming the world down, trying to find him. That's the kind you want.

203 But you know what you need? You need a Saviour, just exactly what you need. And that's what God knows you need, is a Saviour, and He sends It to you. But do they want it? No, sir. That don't feet their--fit their ecclesiastical taste. It just doesn't work that way with them. But the whole world wants their genius.
Now, what if Russia got their messiah, then what about us? You know, Germany got theirs, not long ago, and many of you boys from the First World War remembers that very well. See, they got it. You don't need that kind of a messiah. It was in the wrong way. It was the wrong thing. It was contrary to God's Word.

206 Just think, Napoleon, at the age of thirty-three, he had conquered the world and died in defeat. He died in defeat. He was a prohibitionist when he first raised up, and his great success brought him; and he died, an alcoholic, seven thousand prostitutes following his army. And he died at thirty-three years old. And he tried to conquer the world, but he did it in the wrong way.
But Jesus Christ at the age of thirty-three had conquered the world, death, hell, grave, and--and ascended on high. Why? He was the Word of God made manifest. That's our Messiah. Amen. Sure. They always... We want a--we want a Messiah, but we want it in the way...
I'll have to omit some things I got wrote down now, we're getting too late. We--we have to omit some of it.

209 But the world wants--wants their messiah. The world wants one. The church wants one. And what if God sent them one? If God sent a Messiah, what would He be? He would not be a religious politician. He would not be an intellectual giant, as we'd call it. Oh, no.
What would He be? He'd be like Hebrews 13:8, the same that He was. He's always been. He'd be the Word of God made manifest. That's exactly. He was God's Word; He is God's Word; He'll forever be God's Word. Even the--the sounding forth of His coming was always the prophets who the Word came to. Here the Word come in Fullness.
And now if He'd come again today, He would be a--a Word of God, manifested Word of God, vindicated Word of God, God living among us. That's the Messiah. He promised it. Amen. He'd be that Pillar of Fire again. He'd be the same Messiah that led Israel. Amen. He'd be the same Messiah. [Blank.spot.on.tape--Ed.] Sure, they'd turn It down like they always did. Certainly. Oh, 'cause they want to build a great nation.

212 We want to build a great church body. Today we are thinking about, we want a great general church. All right, you're going to get it. You wanted a united church. You're going to get it. You're going to get it. Why do they want it like that? If the Messiah would come, He'd never set nothing like that in order. He'd be against it. Sure, He would. But what do they want it for, what's the reason it has to come that way? They want one man that can stand up and dictate the whole thing. You're going to get it. It's exactly right. You will receive him, because he's coming. "Another one will come, and you will receive him," Jesus said. And they will; they will receive him. Why do they want to do that? People are wanting to--things their own way.

213 The Messiah would come, He'd just shuck the feathers off of you. Talk about some preacher skinning down women and men, He would really skin them down. He did when He come; He said, "You generation of vipers, you snakes in the grass, you are of your father the Devil." If that Messiah would return in this polluted time, He'd do the same thing again. God would a-vindicate His work just like He did in the beginning, with the same kind of signs and wonders. He certainly would do it, if He returned again. If we got that Messiah, be just like He was in the first time, because it couldn't be nothing else. The Bible said, "He's the same yesterday, today, and forever." He is always the Word.

214 But what are we wanting? We wouldn't want that kind of a Messiah. No, no. We want to be something like the world. And what the people are trying to do, they want a Messiah that'll let them live and--and do anything they want to, and act like the world, and live in the world, and still hold their Christian profession. Right. You can't do that. "If you love the world or the things of the world, the love of God's not even in you," Jesus said. Yes, sir. But that's the kind of messiah the world wants. That's the reason they won't receive God's Messiah. It won't do it.
This is His Messiah, exactly; His Word is His Messiah. That Messiah in you does the works that the Word says it does. It reproduces Christ, 'cause Christ is in you. His Life is in you, and It does just exactly what He's supposed to do, like He always did it; same way He did it, the same things that He did, because He is the same. That's the Messiah that God sends.

216 The Messiah the world wants, is just let them do anything they want to and get by, "Oh, that's all right." Oh, these women across the country, these, you want it... Yeah, you--you--you want your French dressing and all the big things. You got it. You've got a modern Ahab and Jezebel, and it fashioned the church. That's right. I'm not talking politics. I'm talking truth. And you know this nation is just exactly like Israel? It done the same thing.
Israel come in and drove the occupants out of that nation, and took it. God gave it to them. And what did they do? They drove out the occupants of the nation and took it. First, they had great kings, like David and Solomon. And after while, there raised up a man, called Jezebel--or--or Ahab, and he married Jezebel, and she was one of these little painted-face flappers. And when he did, she was the one controlled him. She told him what to do. He might've been the head, but she was the neck and she told him what to do.

218 And if this nation hasn't done the very same thing, the same thing? We've come in here and drove out the Indians. We had a Washington and a Lincoln. But what have we got today, with our own voting, and politics and things? We set the system that we run from and made a nation out of it here, we've brought it right back in here because it's the desire of the people. Right. Now, I'm neither Democrat or Republican. I'm a Christian. The whole thing's polluted.
I cast my vote on Jesus Christ. Amen. "On this Rock I'll stand, all other grounds are sinking sand." Yes, sir.

220 Friends, we are not promised a system. Jesus wouldn't have nothing to do with a system. We wasn't promised a system. We were promised (What was we promised?) a Kingdom. How do you get into It? "By one Spirit we are all baptized into this Kingdom." It's the Kingdom of God, a Kingdom of Eternal Life, with an eternal King giving forth His eternal Word, with an eternal people predestinated to Eternal Life. He's--He's the...?... We're baptized into It, setting in heavenly... Glory.

221 "We are dead, our lives are hid in God through Christ." And not only that, but we're raised with Him. Raised up what, in a system, a denomination, organization? We are resurrected in the Kingdom of God. The Kingdom of God is within you. Why? All these manmade systems must fall. "Not once more I'll shake the world, but I'll shake heavens. And those things that cannot be shook, is what will remain. And we receive a Kingdom, receiving a Kingdom that cannot be shook or moved." That's the Kingdom of God, not a system, not a political wheel, not a denomination, but a Kingdom. Amen. And its subjects is dead to the systems of this world. Its subjects are dead to these organizations. It's dead to these political systems, and it's alive and resurrected by the power of the King.

222 And now, we're in a Kingdom, setting in heavenly places with the eternal King, enjoying Eternal Life by the eternal Word, going to an eternal heaven, forever to be with Him. Hallelujah. Living in the Presence of the King... Oh, I love Him. Whew. I'm so glad to be one of them. I'm so glad to be dead in Christ, alive in the Kingdom of God. This is not my home; we seek a Kingdom. We seek the King. We're already in the Kingdom. We're seeking the King to come, and the King quickly will come to His Kingdom.
For we receive a Kingdom that cannot be moved. All these other things are falling apart. America's falling apart. Europe is falling apart. Asia's falling apart. All the world's falling apart. But we are in a Kingdom, an eternal Kingdom, It cannot be moved (Amen.), where Christmas is every day (Amen.), living in the Presence of the King. Glory. Don't have to guess about that. It is the Truth, God's Truth, God's complete Truth. How I love Him for this. How good He is!

224 You setting there, looking at me, the little woman there with a black hat on, looking at me. You're in a Kingdom (You believe it?) in the Presence of the King. Just had an operation for a bowel trouble. That's right, isn't it? And that's been bothering you; it's been bothering you; forget it. It's going to be well now. Why? There's healing in the Presence of the King in the Kingdom, "For with His stripes we were healed." Amen. Amen.
The old colored brother setting over on the end there, had his hands up, looking around, trying to find me. You didn't find me; but you found Him. That tumor that's in your side, if you'll believe with all your heart, God will take it out. You believe it? All right. God bless you. Amen.

226 Oh, isn't He wonderful, marvelous. Why do you doubt? Don't doubt. You've got an asthma, and you got heart trouble, you got arthritis, everything. You want God to call number by number. When He speaks to you, that's it. Just don't--don't doubt it. Don't forget that that's true. Believe God, and you shall have what you wanted. Amen.
This man setting here with asthma, little fellow from Norway. Do you believe that God will cure that asthma and make you well? If you do, God will make you well. Amen. Why? All right, you can have it, sir. You didn't know you had that much faith, did you? But the Kingdom of God has come, and we are setting with the Messiah, God's Messiah.
"Why do you say it a it's Messiah? What is It, Brother Branham?"
The Bible said, "The Word of God is more powerful any kingdom, sharper than a two-edged sword; it's a Discerner of the thoughts that's in the mind, the intents of the heart." It's God's Kingdom. Hallelujah.
"We receive a Kingdom that cannot be moved." Do you believe it? Will you accept the King while He's here? Then let's stand on our feet and just praise Him with all of our heart.

231 Lord Jesus, we praise You, O great King of glory. "We receive a Kingdom that cannot be moved." May Your people, Lord, be healed, standing, magnify Your great Name, Father. Grant it, Lord. Have mercy upon the people. We're grateful for this Kingdom, "For by one Spirit we're all baptized into this unmovable Kingdom." And now our King is in the midst of us, vindicating His Word for the last days, the same Pillar of Fire, the same Jesus Christ with the same signs. The same Life that was in Him is in the Church. "We receive a Kingdom."

232 Do you love Him? [Congregation says, "Amen."--Ed.] Let's sing His praises, "I love Him, I love Him because He first loved me." Let's just make it ring out. Give us the chord, brother. Everybody now together, let's sing it, "I Love Him," as we praise Him.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.

233 Oh, my, doesn't that sound like heaven? Oh, my. I tell you what; let--let's get acquainted with our citizens of this Kingdom. While we sing it again, let's turn around and shake hands with somebody around us, and say, "God bless you, my brother, sister," while we sing it, all together. Shake hands, all of you. Because by one Spirit we're all in one Body, and are setting in the Kingdom.
I love Him, I love Him
Oh, because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Oh, isn't He wonderful? Amen. Let's sing it again now.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
How many feels just real all scoured out? Let's see. Oh, my. The Word is Food to our soul. Oh, my. Let's sing it again.
I... (God bless you.) I love Him.
Because He...

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