
Je pense que c’est ça le problème aujourd’hui. Nous voulons ce chemin le plus populaire. Et quand Dieu fraye une voie... Les gens s’éloignent de Lui, et Dieu fraye une voie pour que ces gens retournent à Lui (comme je l’ai prêché hier soir), mais ils refusent de le faire ; alors, Dieu demande: «Pourquoi?» Il pose toujours cette question. «Pourquoi ne l’avez-vous pas fait?» Ainsi, s’Il fraye une voie et que nous refusons de la suivre, alors Il demande pourquoi nous ne l’avons pas suivie. Et je préférerais arranger cela ici plutôt que d’attendre qu’Il me demande au jugement pourquoi je ne l’ai pas fait. Les péchés de certaines personnes les précèdent, ceux des autres, les suivent. Je désire que les miens me précèdent, déjà confessés. Et puis, je veux être en ordre quand ce temps-là viendra.
C’est comme l’a dit un vieil homme de couleur: «Vous savez, il y a longtemps.» Il a dit: «J’ai parlé au Seigneur, je Lui ai dit que je voulais que mon chemin soit clair. Je ne voudrais pas d’ennuis, quand j’arriverai à la rivière.» Je pense donc que c’est presque ce que nous avons tous comme sentiments. Cela exprime plutôt la chose: nous ne voulons pas d’ennuis à la rivière, parce que ce sera un temps de bousculade, des secousses terribles, à ce moment-là. Ainsi, nous voulons être sûrs que nous sommes en ordre.
William Branham, Prédication «Le Chemin Du Retour»
https://branham.fr/sermons/bss-online/62-1123