Les Conférences
1 ... temps d’écouter vos témoignages, et rentrer après avoir été dans les champs missionnaires, et entendre quelqu’un témoigner. Je suis certainement heureux de voir là frère Jeffries (Je l’appelle Creechy.). Je ne savais pas qu’il était présent à la réunion. Et je sais que cela représente beaucoup pour vous aussi, revenir du champ de bataille, où les lumières sont faibles, et revenir dans cette… sous cette belle atmosphère des chrétiens, et les gens sont tous ensemble et libres dans l’Esprit. Je – j’aime ceci, là où les gens sont libres, se sentent libres. Et cela fait quelque chose. Nous n’essayons pas d’avoir un comportement guindé. Ils sont simplement – simplement... On avait l’habitude de dire : « Débarrassez-vous de votre col et sentez-vous chez vous. » J’aime cela. Je suis certain que nous tous, nous le faisons, n’est-ce pas ?
2 Je... Je réfléchissais, quand j’ai regardé ma fille Rebecca par ici; je me souviens d’une fois où j’étais en voyage pour une série de réunions. Et elle était petite à l’époque, sa... Et elle a une petite soeur de quatre ans plus jeune. Et donc Becky a des yeux bleus et elle est plutôt grande, et Sara a des yeux bruns et elle était plutôt petite de taille. Elles étaient donc toutes des filles à papa. Et j’aime vraiment les enfants, et le Seigneur m’a donné de bons enfants.
Et ainsi, elles attendaient pour me voir. A mon retour, elles voulaient jouer un peu avec moi. Alors, le marchand de sable est passé par là, et elles ont dû aller dormir vers minuit ou une heure. Et ce n’est que vers deux ou trois heures du matin que l’avion a atterri. Et je suis entré pour me coucher, mais je n’arrivais pas à dormir. Et je suis allé au salon, je me suis assis dans le fauteuil. Et c’est en quelque sorte une petite plaisanterie que je raconte à leur sujet. Et c’était un...
3 Quelque temps après, le jour s’est levé, et Rebecca que voici s’est réveillée et – et elle savait que je devais être à la maison. Et – et elle a jeté un coup d’oeil et a vu Sara encore endormie. Alors elle a regardé et m’a vu assis dans la pièce, et la voici qui vient aussi vite que possible. Et elle a sauté sur mes genoux, les deux bras [autour de moi]. Et à ce moment-là, Sara, sa petite soeur, s’est réveillée. Eh bien, elle a regardé, et… mais Becky l’avait déjà devancée auprès de moi. Je compare donc en quelque sorte ceci à l’église qui existe depuis longtemps. Et Becky était plutôt mince, avec de longues jambes, et elle pouvait se tenir très facilement sur mes genoux et ses deux pieds touchaient le plancher. Elle était très bien en équilibre, vous savez. Je dis ceci plutôt à notre frère méthodiste qui est ici, c’est depuis longtemps qu’il est là, vous savez, et il a grandi un peu.
Eh bien, Sara était un peu petite de taille. Et je ne sais pas si vos enfants le font ou pas (les miens le font), l’un va... Si le plus âgé reçoit quelque chose de neuf, après, cela ira au suivant, et puis au suivant. Et – et Sara portait le pyjama de Becky. Et c’était ce pyjama aux pattes de lapin qu’elles avaient dans le temps, vous savez. C’était un peu grand, et ses petits pieds nageaient dedans. Elle a donc traversé la maison.
4 Et Rebecca m’a entouré de ses bras, puis elle s’est retournée et a regardé en arrière vers Sara, et elle a dit : « Sara, ma soeur, je veux que tu saches que je suis arrivée ici la première. » Elle a dit : « Et j’ai pris papa tout entier et il ne reste rien pour toi. »
Eh bien, Sara s’est sentie un peu délaissée, vous savez. Alors ses petites lèvres se sont rabattues.
Et cela me rappelle un peu les églises qui sont peut-être sur la route depuis longtemps, vous savez. Elles connaissent tous les tenants et aboutissants de la chose, et elles peuvent s’asseoir avec toute la théologie et vous l’expliquer, et en parler en grec, et ainsi de suite. Je compare cela à Rebecca.
Ainsi donc, Sara a regardé tout autour, avec ses petites lèvres rabattues, elle s’est retournée et s’est mise à rentrer en chambre. Je lui ai fait en quelque sorte un clin d’oeil et je lui ai fait signe comme cela, et je lui ai tendu mon autre jambe. C’est justement ce qu’elle attendait. La voici venir, elle a sauté sur cette jambe. Et elle était… ses petites jambes étaient courtes, vous savez, et elle ne pouvait pas toucher le plancher. Elle était plutôt confuse. Je l’ai donc entourée de mes bras pour l’empêcher de tomber, je l’ai fortement étreinte. Elle a mis sa tête sur ma poitrine et y est restée un peu, puis s’étant tournée vers Rebecca, elle a dit : « Et, Rebecca, ma soeur (Voyez-vous ?), a-t-elle dit, je veux que tu comprennes aussi quelque chose. Il est peut-être vrai que tu es arrivée la première et que tu as papa tout entier. Mais je veux que tu saches que papa m’a prise tout entière. »
Il en est donc – donc ainsi. Je... Vous savez, je peux ne pas connaître tous les tenants et aboutissants, mais aussi longtemps qu’Il m’a pris tout entier, c’est tout ce qui nous préoccupe. Qu’Il nous prenne et nous utilise comme Il le veut.
5 J’apprécie certainement mon séjour de cette fois, et cette belle communion fraternelle parmi ces bons frères ministres, toute la collaboration des ouvriers indépendants, et tout ce qui a été fait, le Ramada, et leur précieuse collaboration. Seulement, je suis désolé que ce soit juste – juste quatre jours. Voyez-vous, à peine vous commencez à connaître les gens, et les gens commencent à vous connaître, et c’est alors – c’est alors que vous devez partir, juste au moment où quelque chose peut réellement être fait pour – pour que Dieu soit vraiment magnifié. Et les choses qui se déroulent, il se pourrait que ça soit nouveau pour beaucoup d’entre vous, et vous ne comprenez peut-être pas cela. On ne peut pas expliquer la chose juste en une ou deux soirées. Et puis, après que vous vous êtes familiarisé, bien sûr, vous pourrez le faire.
Bien des choses se sont produites. Vous les pasteurs, retenez que dans vos églises, dans les prochaines semaines, des femmes viendront vous dire : « Vous savez, j’avais un trouble féminin. C’est – c’est parti. » Une dira : « J’avais une gastrite. C’est parti. » Je ne pouvais pas citer tous les cas. C’est simplement partout, la foi monte en flèche simplement partout.
6 Par exemple, il y a quelques instants un homme est venu ici et – et il a posé sa main sur mon épaule et a dit... J’ai regardé l’homme ; je me suis dit : « Je dois – je dois connaître cet homme. » Je l’avais vu quelque part.
Et il a dit : « Vous souvenez-vous de moi? »
Et j’ai dit : « Je ne pense pas. »
Ainsi donc, il a dit : « J’étais à votre réunion à Saskatoon, dans le Saskatchewan, dans les années 40, aux environs de 42, ou à peu près cela. » Cela fait très longtemps, plusieurs années.
Et j’ai dit : « Oui. » Je me suis dit : « J’ai vu cet homme quelque part, mais je n’arrive pas à situer cela. »
Et alors, nous... Il a continué à parler. Après quelques instants, j’ai commencé à me rappeler que, quelques soirées plutôt, pendant la série de réunions, il y avait une – une dame plutôt grisonnante, je pense, debout sur l’estrade. Et si je faisais face à l’est, c’est vraiment une tradition, j’aime simplement faire face à l’est, parce qu’Il vient de l’est... Et quand je baptise, d’habitude je baptise les gens de cette façon-là. Et c’était comme si la… toujours à ma droite, parce que chaque fois que cette Lumière vient, Elle vient par la droite. Et c’est pour cela que j’essaie toujours d’amener les gens à venir vers moi par la droite. Et je me tenais plutôt comme ceci, je pense, côté position donc, tel que ce bâtiment-là est orienté.
7 Et j’ai remarqué qu’à ma gauche se tenait près de moi une femme beaucoup plus jeune que celle qui se tenait devant moi. Et elle portait des vêtements roses. C’était différent de ceux de la femme qui se tenait là. J’ai continué à observer, puis je suis tombé, et je... Il n’y a pas moyen d’expliquer cela; vous devez simplement croire cela; c’est tout.
Et j’ai baissé les yeux. Il y avait une dame assise juste ici, juste à ma gauche, et elle était plutôt... Quelque chose n’allait pas chez elle. Et j’ai regardé en arrière, et alors un homme se tenait ici à côté d’elle. Je me suis dit : « Il y a quelque chose d’étrange. » Et j’essayais de garder à l’esprit cette femme à qui je parlais, parce que, voyez-vous, peut-être que si vous voyez arriver quelque chose, voyez-vous, cela pourrait révéler à cette femme ce qu’elle a. Vous voyez? Donc, vous... C’est très... Et Satan se met juste là pour chaque occasion qu’il peut saisir. C’est simplement la grâce de Dieu, vous voyez, qu’Il laisse cela arriver.
8 Et alors, je – j’ai regardé et j’ai vu cette femme un peu... L’une était beaucoup plus jeune que l’autre. Et une femme était un peu… avait un... Elle était déchirée, mentalement troublée. Et l’autre femme avait en quelque sorte une très profonde affliction. Et alors, cet homme...
Et j’ai compris finalement ce matin, pendant que je me tenais ici, que c’était cet homme. Et j’ai dit : « N’avez-vous pas une femme malade, qui est – qui est troublée mentalement, en quelque sorte dérangée ? »
Et il a dit : « Si. »
Et j’ai dit : « Etait-elle à la réunion d’avant-hier soir, et était-elle assise à ma gauche, habillée d’une certaine robe rose, ou quelque chose comme ça? »
Il a dit : « Oui. »
Et c’était elle. Et c’est comme ça que j’ai reconnu cet homme. Eh bien, je crois que je... Je crois que j’ai noté son nom. Je deviens... Je n’arrive pas à me rappeler très bien, un certain pasteur M-a-c-k ; il est assis ici quelque part. Et c’était juste, n’est-ce pas? Et il m’a parlé et a dit : « Il y a plusieurs années, ma femme était à votre réunion, et elle a été instantanément guérie par un miracle dont vous lui parliez et alors que vous lui révéliez ses troubles. Et elle a été instantanément guérie, une...?... deux fois, d’une rare maladie de sang et des ulcères et tout comme cela. »
9 Voyez-vous donc ce qui s’est passé ? Si je pouvais essayer de vous faire voir ce que je veux dire ! La dame avait la foi. Voyez? Dans sa foi elle croyait, mais probablement sans carte de prière ni rien. Mais elle croyait, et peut-être plus fermement que la dame qui était assise devant moi.
Et maintenant, je pense qu’il a dit que sa femme est venue. Et si je ne me trompe pas, c’est elle qui est assise juste là à côté de l’homme en question. Et c’est bien la femme. C’est bien la femme. A la voir, c’est – c’est bel et bien la dame.
Maintenant, voyez-vous la grâce de Dieu là-dedans? La dame croyait effectivement, vraiment de tout son coeur. Et sa foi était beaucoup plus grande que celle de la personne qui se tenait ici ; cela est allé vers elle. Evidemment donc, et alors l’homme m’a demandé, il a dit : « Frère Branham, y a-t-il quelque chose de très grave chez ma femme? Va-t-elle se rétablir ou quoi? »
J’ai dit : « Monsieur, je ne sais pas. »
Voyez-vous, c’est vous qui faites que la vision se produise. C’est votre propre foi qui fait cela. Voyez? C’est votre foi qui le fait, pas la mienne. Il s’agit de vous. Voyez? Jésus se tenait là, devant ces gens, et cette femme a touché Son vêtement. Il ne savait même pas qui L’avait touché. Il a dit : « Qui M’a touché? » Or, Jésus ne dirait rien juste pour le dire. Lui… réellement Il ne savait pas qui L’avait fait. Et Il a parcouru l’auditoire de yeux jusqu’à ce qu’Il eût trouvé cette femme. Voyez? Et alors, Il lui a parlé de la foi qu’elle avait.
10 Eh bien, moi je – je ne sais pas, et puis des fois... Voyez-vous, cela n’a pas été expliqué, je pense. Mais maintenant, voyez-vous, ce que vous – ce que vous êtes – ce que vous avez comme problème, c’est le Saint-Esprit qui le révèle. Et quelquefois, j’observe cela, cela devient sombre, comme une ombre. Je ne dis rien, parce que c’est peut-être la mort. Et ainsi, je dis simplement : « Partez, que le Seigneur vous bénisse. »
Et peut-être que si vous restez assez longtemps… Attendez simplement là, voyez ce que le Seigneur dit. Et alors, il s’agit de ce qu’Il dit. Maintenant, c’est ce que – que la vision a montré comme votre problème ou ce que vous avez fait. Toutefois, restez alors tranquille et attendez. Je remarque que les gens s’en vont tout simplement. Voyez? Restez tranquille; tenez-vous simplement là, et attendez, et voyez ce qu’Il dit, et alors vous verrez.
Si cela revient et que je voie une vision de ce que vous allez être... Cela montre ce que vous avez été. Si donc je vois ce que vous allez être, vous le remarquerez, c’est toujours AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et alors, notez alors cela, et voyez si cela n’arrive pas exactement comme tel. Cela ne faillira jamais.
11 Si une vision... Voici une chose dont je suis certain. Si une vision m’apparaissait ce matin, où il m’est dit que George Washington va ressusciter du cimetière présidentiel, que je dois aller là pour l’appeler, j’inviterais le monde à venir voir cela s’accomplir. C’est juste. Cela ne pourrait pas faillir. Cela ne peut pas faillir. Cela n’a jamais failli et ne faillira jamais, tant que vous n’essayez pas d’utiliser vos propres impressions.
Et maintenant, bien des fois... Je pense que tous nous sommes des pentecôtistes ici ce matin, n’est-ce pas? Bien des fois, là où je pense que les gens deviennent enthousiasmés, vous voyez, c’est quand vous avez l’impression que le Seigneur a dit ceci ou cela, et vous dites la chose alors qu’en fait ce n’est pas ça. Et ce serait faux de dire cela. Voyez? Attendez jusqu’à ce que vous soyez certain que Dieu a sûrement parlé, et ce sera chaque fois parfait. Mais si vous êtes simplement poussé à dire cela, vous pouvez le dire, mais... Et quand vous le faites, cela provoque quelque chose comme une imitation charnelle et cela... Vous... Franchement, frère, soeur, cela n’aide pas Dieu; cela fait obstacle à Dieu. Voyez? Et peut-être que Dieu vous appelle à être un témoin ou quelque chose d’autre. Alors, restez fidèle à ce que Dieu vous dit de faire. Soyez un véritable témoin.
12 Eh bien, ceci a été une grande série de réunions, l’un des plus beaux amas de foi derrière moi, de ces ministres avec lesquels je suis jamais resté. Et les gens dans l’auditoire ont été merveilleux. Et je suis seulement désolé qu’on doive clôturer si vite comme cela. Mais j’espère revenir un jour, si c’est la volonté du Seigneur.
Je pense que l’organisateur ici présent, frère Borders, a été présenté aux gens et j’aimerais qu’il se lève tout simplement. Frère Roy Borders a été avec moi dans beaucoup de grands combats. Voulez-vous vous tenir debout, Frère Borders. Il est très humble. Frère Borders ne sait pas ceci, mais cela m’a encore frappé. Je vais le lui dire maintenant. Et... Frère Borders est malade. Je dois le rencontrer pour partir – partir avec lui après le service de ce matin. Frère Borders, j’espère que cela ne vous cause pas un choc. Mais il faut que le Seigneur touche frère Borders immédiatement. Il a une valve qui se bouche dans son coeur. C’est tout à fait juste. Je ne lui ai jamais parlé à part ce que vous me voyez faire sur l’estrade, mais c’est la vérité.
13 Et maintenant, je vais dire à cette femme, pendant que le Saint-Esprit est sur moi, et je dois donc arrêter, voyez-vous, parce que cela commence à agir. Cette dame qui est assise ici maintenant et qui regarde par ici, au sujet de laquelle l’homme a posé la question. Il n’y a rien de grave; c’est le retour d’âge, juste la ménopause, un état d’épuisement, elle se sent morne et toute déboussolée. Tout ira bien ; ne craignez rien. Il s’agit juste de cela. Maintenant, le Glorieux Saint-Esprit dans Sa Présence...
14 J’ai une fillette ici dont cet homme vient de parler, j’ai des choses écrites ici. Une – une fillette a subi une opération hier à Phoenix, un rein a été enlevé ou quelque chose de ce genre ; elle est de l’église de frère Outlaw, un homme qui est partout où je vais, si c’est dans un rayon de cent ou deux cents miles [161 ou 322 km – N.D.T.], cet homme assiste à chaque réunion. Et l’un des membres de son assemblée est ici ce matin. Et une fillette a été opéré d’une tumeur au rein, et cette tumeur est maligne. Seul Dieu peut sauver la vie de cette enfant.
Une petite fille sourde dont frère Jenkins a parlé... Oh ! il y a tant de gens qui sont malades et nécessiteux.
Et maintenant, juste avant que nous passions à la partie prédication du service, je – j’aimerais que nous priions juste un moment. Inclinons la tête. Et s’il y a d’autres requêtes, levez simplement la main.
15 Notre Père céleste, les glorieuses Ecritures divines, les Paroles inspirées de Dieu sous forme imprimée, nous enseignent que nous serons assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Et nous sentons cela ce matin, en voyant un – un groupe de gens à destination du ciel, formé de toutes les différentes dénominations, assis ensemble, en les regardant et en voyant des hommes qui sont plus âgés que moi, des jeunes gens qui viennent... Et juste comme les feuilles, les fleurs et toute la nature travaille, les vieilles feuilles et les vieilles fleurs tombent et les jeunes poussent... Père céleste, nous Te remercions pour le Saint-Esprit qui nous donne cette glorieuse assurance qu’un certain glorieux jour nous nous reverrons.
Nous Te remercions pour Sa glorieuse puissance. Il nous aide dans notre faiblesse. Et nous prions pour cette fillette à qui – à qui on a enlevé cette tumeur du rein, et c’est cancéreux. Seigneur Dieu, sois miséricordieux envers cette fillette. Je me dis : et si c’était mon enfant ? C’est la chouchoute de quelqu’un. Je Te prie de la guérir. Que la puissance de Satan soit ôtée d’elle. Que cette enfant vive pour la gloire de Dieu.
16 Je Te prie ce matin de bénir la petite fille sourde dont on a parlé. Je Te prie de rendre l’ouïe à cette petite fille, la petite Jenkins. Je prie, Père céleste, pour frère Borders, mon précieux frère, alors que nous voyons Satan chercher à l’ôter du champ missionnaire. Ô Dieu, nous le réclamons à cause du Royaume.
Et nous prions pour toutes ces requêtes spéciales. Et pour cette dame qui se tenait là l’autre soir, avec cette foi grandissante, maintenant Tu lui as expliqué la chose, Seigneur, et maintenant tout ira bien. Nous Te remercions pour cela. Nous Te prions de continuer d’être avec nous.
Bénis ces ministres. Bénis tous ceux qui ont aidé : les musiciens, ce petit quatuor qui a chanté, et le quatuor de cette église là-bas (ces braves jeunes gens), car la dame a chanté pour nous les cantiques spéciaux. Et toutes ces choses, Seigneur, il y en a trop pour que nous nous en souvenions, mais Toi Tu les connais toutes. Pour cette Auberge Ramada, pour ce brave homme qui s’est tenu ici il y a quelques instants, et qui a dit : « Que Dieu vous bénisse. », ô Dieu, nous prions que cela lui soit rendu, ô Seigneur, et qu’il soit rempli du Saint-Esprit, qu’il devienne un grand témoin de Jésus-Christ dans le monde, c’est la plus grande chose qui puisse se faire, Père.
17 Maintenant, nous Te prions de bénir frère Tony, et ces braves hommes qui sont ici, même les membres laïcs de l’église. Et ils… une fois encore, ils essaient de (les Hommes d’affaires) – de s’organiser ensemble pour rendre un autre témoignage. Que Dieu agrée leurs efforts, qu’ils soient remplis de l’Esprit et de discernement pour savoir ce qu’il faut faire, et comment le faire, pour agir au Nom du Seigneur Jésus.
Seigneur, bénis le message de ce matin, alors que je parle. Et je Te prie d’oindre cela de Tes bénédictions ; et lorsque nous nous en irons puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : « Nos coeurs ne brûlaient-ils pas en chemin ? »
Et puis, Père, s’il y a quelqu’un ici qui n’est pas sauvé, quelqu’un qui ne Te connaît pas, qui est juste un membre d’église, que la glorieuse puissance du Saint-Esprit lui révèle qu’il a besoin du salut aujourd’hui à travers la voie appropriée de Dieu, la seule voie, Jésus-Christ, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
18 Je vous remercie une fois de plus. Tout à l’heure, j’ai oublié de mentionner une chose, ils... Frère Tony, en sortant de la voiture hier soir, il a dit... J’ai dit : « Je ne regarde jamais à... » Cela fait maintenant environ trente-trois ans que je suis dans le ministère. Et j’ai été pasteur du Tabernacle à Jeffersonville pendant dix-sept ans, sans jamais recevoir un centime comme salaire. Et je n’ai jamais prélevé d’offrande, de toute ma vie. Je n’en ai jamais prélevé et je n’en ai jamais eu l’intention. Et hier soir, frère Tony a dit qu’ils étaient... J’ai dit : « Avez-vous couvert toutes les dépenses ? »
L’entente qu’il y avait quand j’ai rencontré ce brave frère Brock et (Ai-je prononcé cela correctement? Brock?), et frère Gilmore, et quelques autres frères là-bas l’autre soir. J’ai dit : « Eh bien... » Ils ont demandé la situation financière. J’ai dit : « Juste tout ce que représentent les dépenses, c’est tout ce qu’il faut. »
« Eh bien, a-t-il dit, nous voulons prélever une offrande pour vous. »
J’ai dit : « Non, non, ne faites pas cela. Je – je – je reçois – je reçois de mon église cent dollars par semaine et cela suffit. » Et j’ai dit : « Je... tout ce dont j’ai besoin. » Je – je ne manque de rien. Vous voyez? Je – je pense à l’autre côté là-bas, à quelque chose là de l’autre côté. Et je sais que – que j’ai essayé de garder mon ministère... Tant de gens sont venus, ainsi que l’organisateur, en disant : « Frère Branham, cela devrait être sous des lumières étincelantes. »
19 Et la présidente de la Distillerie de Quatre Rose était ici chez nous il y a quelque temps, et elle a amené sa fille. Et elle a dit, oh, que la petite fille voulait être guérie. Et elle a dit : « Elle en avait entendu parler, et elle devait subir une opération. » Et alors, elle a dit : « Oh, elle voulait venir. Elle ne voulait pas subir une opération. »
Eh bien, elle est entrée en courant pendant que je parlais et voulait qu’on prie pour elle immédiatement, il fallait que ce soit sur-le-champ. Eh bien alors, elle ne pouvait pas attendre; sa mère la suivait. La mère est donc entrée au fond de la salle et s’est assise avec cet air arrogant. Ainsi donc, nous sommes allé là, nous avons prié pour la petite fille puis nous sommes rentré.
Eh bien, quelques jours après que le médecin avait dit, qu’il avait dit : « Très bien. C’est un tas de sottises. » Il a dit : « Mais... »
Elle a dit : « Non, je me sens bien. Je n’ai pas d’appendicite. Je vais très bien. »
Ainsi donc ils ont continué, quatre ou cinq jours. Quelque temps après... Vous voyez, juste comme je l’ai expliqué, environ soixante-douze heures après, ce symptôme réapparaît, si vous êtes réellement guéri (Voyez?), la guérison. Je ne parle pas des miracles. Et cela a réapparu parce que l’appendice a commencé à enfler. Et le médecin a dit : « Maintenant, vous voyez? Maintenant, vous feriez mieux d’aller chercher encore ce saint exalté de prédicateur. »
20 Ainsi donc, il n’a pas voulu opérer. Mais, évidemment, puisqu’environ mille cinq cent dollars étaient en jeu, il – il – il a pu le faire. Il avait dit qu’il ne voulait pas le faire. Mais il l’a fait. Il s’est fait qu’un ami faisait partie de cette équipe-là, quand on a fait l’ablation, quand ils ont opéré la fille pour enlever l’appendice, il n’y avait aucun problème. Vous voyez ? Ils ont opéré pour rien. Ils ont tout simplement laissé l’appendice là, parce que ce n’était même pas du tout affecté. Et le médecin est venu m’en parler, un ami qui faisait partie de cette équipe, et qui a assisté à cette opération.
21 Maintenant, vous voyez ce que c’était? Elle était toute excitée et ne savait pas comment s’en tenir à cette foi. Voyez? Et là, nous n’avons pas l’occasion d’expliquer cela. Cela a donc fait le... Mon ami médecin a parlé à la mère, et a dit : « L’appendice est toujours là. » Ils ont dit : « Elle avait besoin de cet appendice, et il n’était pas infecté. Il n’avait rien du tout, il était tout à fait normal, rose. Juste, oh, tel qu’il devait être. »
Et la mère est devenue une croyante. Alors elle m’a dit : « Ce qu’il y a à faire, c’est que votre ministère ne doit pas rester dans un coin avec juste un groupe de gens ordinaires. Il devrait être amené partout à travers le pays, il devrait figurer sur les panneaux d’affichage. » C’est donc ça que le diable veut. C’est juste. Voyez? Mais non ; moi je ne le veux pas comme cela. Je – je le veux de façon à pouvoir aller partout, faire tout... Où que le Seigneur appelle, c’est là que je veux aller, juste là où Il... Juste garder cela humble, et laisser le Seigneur nous amener où Il veut.
22 Et maintenant, à vous, si vous… pour qui on a prié, si vous... Après soixante-douze heures environ, la corruption s’installe. Nous savons que la mortification se produit après soixante-douze heures. Rien ne réapparaît. Si vous croyez vraiment cela de tout votre coeur, rien n’arrêtera cela. Croyez cela de toute façon. Tenez-vous-en juste à cela. Ça ira bien. Ne... pas. Mais vous ne pouvez pas juste en donner l’impression. Vous devez vraiment en être certain, que c’est fait. Il y a une grande différence entre l’espérance et la foi. L’espérance espère simplement la chose ; la foi, elle, est certaine que c’est fait. Voilà la différence.
23 Eh bien, ce matin je ne – je ne veux pas vous retenir. Il est déjà presque 10 h 00’, d’après cette montre que Billy m’a offerte. Et maintenant, je veux lire un verset du chapitre 1 du livre d’Esaïe pour un petit commentaire. Et j’ai noté ici quelques Ecritures auxquelles je pourrais me référer. Et nous ne vous garderons que trente minutes, et alors nous serons prêts pour partir, le Seigneur voulant. Esaïe chapitre 1 verset 18: Venez et plaidons! dit l’Eternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Et je voudrais parler sur ce sujet : « Les Conférences », tenir une conférence. Seigneur, bénis maintenant la Parole, et que les semences tombent dans nos coeurs, là où il y a un besoin. Et, Seigneur, que le mien soit ouvert, ainsi que ceux de tous ceux qui sont ici, afin que nous puissions comprendre l’heure dans laquelle nous vivons et ce que nous devons faire. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
24 A propos des conférences, nous – nous en entendons beaucoup parler ces jours. Pour tout, il y a une conférence. Et, franchement, c’est dans une conférence que nous nous trouvons ici ce matin. Et nous en entendons tellement parler, et il y a tant de différents endroits où elles se tiennent ; tant de choses sont accomplies à partir des conférences. Je pense que s’il y a une chose que nous devrions faire, c’est tenir une conférence. Et, généralement, quand… elles sont tenues quand il y a une urgence. Généralement, quand il y a une urgence, on tient alors une conférence, on convoque vite une conférence. Et c’est sous ce rapport-là que nous y pensons.
25 Eh bien, beaucoup d’entre vous ici peuvent se rappeler la… par exemple, la conférence qu’on a eue lors de la crise mondiale, quand l’Allemagne et le reste du monde étaient en guerre, quand le Président Roosevelt était président des Etats-Unis, et – et qu’il y avait eu les autres Quatre Grands, comme on les appelle. Ils ont tenu ce qu’on appelle la Conférence des Quatre Grands, avec Churchill et... Ils se sont rencontrés, ils devaient avoir ce qu’ils appelaient la Conférence des Quatre Grands du monde libre, parce qu’ils devaient se rencontrer et mettre en commun leurs idées pour en arriver à une certaine stratégie, vu que l’ennemi avançait, et il fallait le – l’arrêter.
26 Et ainsi, ils – ils devaient se réunir afin de pouvoir... Toujours le plus sage du groupe... Et alors, l’un avait son idée, et l’autre une idée, et alors ils mettaient cela ensemble, pour voir à quoi ils allaient aboutir. C’était la Conférence des Quatre Grands. Et là où ils devaient contre-attaquer, là où ils devaient placer leurs armées, la… une certaine…, par exemple la Cinquième Armée, la Quatrième Armée, la Dixième Armée, et ainsi de suite, et comment ils pouvaient travailler ensemble, et où l’ennemi avait sa forteresse.
Et si vous faites bien attention, ils essaient toujours de frapper cette moelle épinière. C’est le point vital. Et il s’agit toujours de frapper l’ennemi... Si vous voulez le tuer, vous devez le frapper à un point vital. Sinon, vous ne le tuerez pas. Et alors par conséquent, il n’y aura qu’une chose à faire.
27 C’est comme préparer une réunion. Si nous pouvions… Considérer le – le Royaume de Dieu, comme bien des fois des hommes dans le ministère l’ont dit... Et par exemple, pour citer encore la femme, elle a dit : « Si vous preniez et réunissiez les grands hommes, les grands cerveaux, et mettiez cela ensemble, puis frappiez la chose juste à partir de là... » Mais, vous voyez, vous ne frappez pas la chose qu’il faut. Voyez?
Si je peux réunir des ministres, si je peux réunir un groupe d’hommes sauvés par Dieu et les laisser voir la puissance qui est en Jésus-Christ, montrant que – montrant qu’Il vit réellement dans nos coeurs, et qu’Il peut connaître les pensées de l’esprit, prédire, annoncer, et – et faire que cela soit parfait, alors ces ministres seront inspirés, et ils apporteront cela à leurs fidèles, et... Voyez-vous ce que je veux dire? C’est là qu’il faut frapper, là où se trouvent les armes.
28 Bon, et ils ont tenu cette grande conférence entre les Quatre Grands. Puis on a eu une autre conférence qu’on a appelée la Conférence de Genève. Je suis certain que beaucoup d’entre vous se souviennent du moment où ils devaient tenir la – la Conférence de Genève. Et il y en a eu une autre appelée la Conférence de Paris, quand ils se sont rencontrés à Paris. Cela se fait constamment, tout le temps, les conférences succèdent aux conférences, parce qu’il y a un grand besoin dans la vie de nations. Le – le cerveau du monde semble si embrouillé que – qu’on ne sait où… que faire. Et le monde entier a terriblement peur en ce moment même.
Cela me rappelle un petit garçon qui rentre à la maison en pleine nuit, qui traverse le cimetière en sifflant. Il siffle aussi fort que possible ; en effet, il fait juste semblant. Il – il ne veut pas penser qu’il a peur, mais il siffle pour essayer de se détendre. Mais, au fond de lui-même, il a peur que derrière chaque pierre tombale il y ait un petit esprit maléfique, ou – ou... Voyez-vous, il a peur et il siffle juste pour se tranquilliser un peu.
29 Et c’est la raison pour laquelle nous avons tant de bêtises aujourd’hui à la radio et à la télévision, des hommes… par exemple des hommes qui ont des talents, des chanteurs comme Ernie Ford, et Elvis Presley, ces garçons qui vendent leurs droits d’aînesse pour un plat de potage. Ils vont là-bas, et tout ce que vous devez être c’est un plaisantin, ou faire une plaisanterie, ou – ou quelque chose comme cela pour faire rire le public américain ; quand vous savez que vous essayez seulement de les calmer, et vous savez que derrière cela nous sommes tous conscients que le jugement est proche. C’est juste.
Autant mieux regarder cela en face. Nous sommes au bout du chemin, frères. Et toutes les plaisanteries d’Ernie Ford, le rock and roll et toute cette histoire d’Elvis Presley, c’est une autre fête de Nebucadnetsar. Ça ne fera aucun bien. Le jugement va frapper.
30 Cette nation est arrivée au même point que Sodome et Gomorrhe. Et le Dieu juste laisserait ce pays s’en tirer avec ce qu’il fait maintenant... Etant un Dieu juste, Il se trouvera dans l’obligation morale de ressusciter Sodome et Gomorrhe, et de s’excuser pour les avoir brûlées, c’est juste, si nous nous en tirons sans être jugés. Mais rappelez-vous simplement que cela s’approche de nous. Fuyez vers le Rocher aussi vite que possible. Ne remettez pas cela à plus tard. Ne regardez pas à toutes ces choses consistant juste à adhérer à l’église et aux crédos et ainsi de suite. Faites comme ces frères méthodistes qui sont ici ; fuyez vers le Rocher jusqu’à ce que quelque chose fasse écho que vous voyez Christ reflété.
31 Il se peut que vous devriez être un peu battu par cela. Dans les anciens temps bibliques, quand les gens, les... De nos jours, ici dans cet Etat de l’or d’Arizona, dans l’ancien... Ils ont maintenant des hauts fourneaux pour fondre le fer et la pyrite, ce qui est appelé la chalcopyrite, et on extrait cela du vrai or par fusion au moyen de haut fourneau. Autrefois, le seul moyen qu’ils avaient pour séparer cela, c’était que le batteur battait l’or à l’aide d’un marteau, comme le battent les Indiens. Et le seul moyen par lequel le batteur savait que l’or était prêt, c’est lorsqu’il en avait ôté toutes les scories en le battant. Et il le battait puis le retournait, et le battait sans cesse jusqu’à ce que toutes les scories en étaient éliminées. Quand il voyait son propre reflet dans le – l’or, il savait alors que toute la saleté, le fer, et les matières étrangères étaient sorties de l’or.
32 Et ce que Dieu essaie de faire avec Son église, c’est la battre jusqu’à en faire sortir tous les crédos, les absurdités, et, oh, toute la mondanité, en la battant, jusqu’à ce qu’elle reflète la Vie de Jésus-Christ. Rappelez-vous, l’église... Je sors d’une série de glorieuses réunions chez moi, où les six sceaux... Et ce sixième sceau... ou plutôt les sept sceaux, et ce sixième portait sur la purification de l’Eglise. L’Eglise passe bien sûr par la période de tribulations pour être purifiée. Mais l’Epouse est enlevée. Il y a une différence entre l’Epouse et l’Eglise.
33 J’espère qu’ici je n’entre pas dans la doctrine maintenant, ou plutôt… Si je dis quelque chose que vous ne croyez pas, eh bien, faites comme moi quand je mange la tarte aux cerises. Je – j’aime la tarte aux cerises. Mais quand je tombe sur un noyau, je ne jette pas la tarte; je jette simplement le noyau. Faites donc la même chose. En mangeant le poulet, quand vous tombez sur un os, vous ne jetez pas le poulet, vous jetez simplement l’os. Si je dis quelque chose que vous ne croyez pas, jetez simplement l’os. Voyez-vous?
Maintenant, il y a cependant une urgence, et il y a une crise. Et on convoque constamment le Président, le – le… final – les conférences, et ils doivent se rencontrer pour ceci ou cela. Et que Cuba apparaisse, ils doivent alors convoquer une conférence. Et que quelque chose d’autre apparaisse, ils doivent convoquer une conférence. Pratiquement tout ce dont on entend parler, c’est des conférences. Que font-ils dans une conférence? Comment est-elle organisée?
34 Premièrement, ils se réunissent, et ensuite ils choisissent un certain endroit. A Genève... J’y ai été, c’est une très belle ville. Et généralement, ils essaient de trouver un lieu qui, en quelque sorte, inspire, afin de s’y retrouver, et ils choisissent cet endroit, et y invitent tous les grands hommes, et ils font une… Je n’ai pas noté cela ici. Quelle est cette ville en Suisse où nous nous sommes rendus, Billy, là où ils ont tenu… C’était à – à Genève, n’est-ce pas? Et je pense que c’est un beau pays. Je n’ai pas écrit le – le nom de cette conférence, mais je me souviens avoir été à cet endroit-là. Et ils se rencontrent et ils obtiennent ces endroits, ils choisissent le meilleur endroit possible et ils travaillent à cela.
35 Maintenant, ça c’est pour les choses du monde. Et tout ce qui est faux, tout ce qui est du monde, si c’est faux, c’est un type de ce qui est juste. Or, le péché en soi n’est que la justice pervertie. Eh bien, il n’y a qu’un seul Créateur, et c’est Dieu. Et Satan n’est pas un créateur. Il a simplement perverti la création originale. Un mensonge est une vérité déformée. L’adultère est un acte correct dont on a fait un mauvais usage. Chaque chose est toujours une perversion de ce qui est juste. Satan peut pervertir, mais il ne peut pas créer. Voyez-vous? Et – et, souvenons-nous-en, le mal, le mensonge, ou tout ce qui est péché, c’est la justice pervertie.
36 Et nous voyons donc que Satan tire toujours un type de ce que Dieu a fait, pour ce qu’il va faire. Par exemple, beaucoup de gens (voyez-vous ?) dans les réunions disent : « C’est de la télépathie. » Ou bien : « C’est un... Cet homme est un... » On m’a traité de ce que… de Simon le magicien, et de quelque chose comme cela. Voyez? Pourquoi? Quand vous voyez un acte spirite ou démoniaque, c’est juste une perversion d’une chose véritable et authentique de Dieu. C’est juste. Voyez-vous, il... Et les gens devraient être – devraient être avisés et assez spirituels pour être capables de discerner le vrai du faux.
Avez-vous déjà entendu parler d’un spirite qui chasse les démons, guérit les malades et prêche l’Evangile ? « On les reconnaît à leurs fruits. » Voyez? Ils ont un petit poste quelque part là dans un coin et lisent la paume de votre main, et devinent quatre ou cinq choses, tandis qu’une dizaine de choses sont fausses. Et vous y êtes. Voyez? C’est juste une perversion, en essayant de plonger les esprits des gens dans le trouble, en les éloignant du véritable et authentique Saint-Esprit, où nous pouvons nous asseoir ensemble dans les lieux célestes pour que Christ nous révèle ce que nous devons faire.
37 C’est ainsi que les églises devraient être. Les gens qui parlent en langues... Je – je veux dire ceci parce que je suis votre père, pour ainsi dire, et je vais me comporter comme tel ce matin. Voyez? Nous avons reçu une chose glorieuse. Mais c’est – c’est... Je crois qu’elle n’est pas bien présentée. Voyez? Et elle se vendra toute seule si elle est très bien présentée. Maintenant, je pense qu’il y a beaucoup de méthodistes, de baptistes, et de presbytériens qui aimeraient avoir ceci. Mais cela dépend de la façon dont cela leur est présenté. Voyez?
38 Maintenant, supposons que vous voyiez un homme qui construit une maison et qui utilise un marteau pour enfoncer des clous dans la maison, et vous vous amenez là. Et vous avez un appareil dans lequel vous pouvez charger un demi-tonnelet de clous et « br-r-r-r », et vous enfoncez simplement cela, deux fois plus vite, et obtenez un meilleur travail. Si vous vous approchez de cet homme et lui dites : « Oh ! que faites-vous ? Vous êtes vieux jeu. Vous ne devez pas faire cela. Ce n’est pas une bonne façon de faire. Voici un appareil que j’ai pour faire cela. » Aussitôt vous aurez gâché votre marché. Vous les hommes d’affaires, vous savez cela. Vous aurez gâché votre marché. La chose à faire, c’est d’aller là et de le vanter, combien – combien il est capable de bien construire, et ensuite présenter le produit. S’il est bon, il se vendra. Vous les vendeurs, vous savez cela.
Et vous savez qu’il n’y a rien de mieux que le baptême du Saint-Esprit. Il n’y a rien de mieux dans le Ciel, qui ait été donné à l’homme en dehors du Saint-Esprit. Mais, vous voyez, nous – nous essayons de jeter l’autre à terre. Essayons de le relever un peu, et de mettre notre bras autour de lui, et qu’il… que nous sachions que la couverture s’étend d’un bout à l’autre du lit. Voyez? Et qu’on tienne ce genre de conférence. Vous voyez? Faites-lui un peu de place aussi. Mais après tout il a lutté.
39 Maintenant... mais, vous voyez, bien des fois dans nos églises, on permet aux gens de se mettre debout même quand on prêche, et de parler en langues; et pendant qu’on fait un appel à l’autel, quelqu’un parle en langues, et quelqu’un… et il donne l’interprétation, simplement... L’un d’eux, je crois... Je crois que cette personne parle réellement en langues. Mais je crois que l’autre prophétise plus ou moins ; en effet, l’un parle en langues peut-être pendant cinq minutes, et l’autre donne quatre mots d’interprétation. Voyez? Cela doit être le même son, la même inflexion de la voix. Et puis, de plus, s’ils disent la chose, et qu’elle ne s’accomplit pas, alors éloignez de vous ce mauvais esprit. Vous n’en avez pas besoin.
40 Dans mon tabernacle, quand quelqu’un parle comme cela, il ferait mieux d’avoir la chose. La chose est notée. Si cela ne s’accomplit pas, on va chasser de lui ce mauvais esprit. Il doit en être ainsi, il ne doit pas s’agir d’une répétition. Jésus a dit : « Ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens. » Cela doit être quelque chose directement destiné à quelqu’un, ou – ou pour aider l’église, ou pour soutenir la cause. La chose est notée, et si cela n’est pas...
Et les gens qui parlent en langues, et ceux qui ont de grands dons pour aider le Corps de Christ se rencontrent des heures avant que nous arrivions là. Et le Saint-Esprit agit à travers eux, et alors cela est déposé sur la chaire. Et nous annonçons ici ce qu’ils ont dit. Et si cela ne s’accomplit pas exactement tel que cela avait été annoncé, alors ils ne pourront plus le faire jusqu’à ce que ce mauvais esprit sorte d’eux.
Vous dites : « Eh bien, Frère Branham, ce... »
Eh bien, suivez. Je dois me tenir ici. Je n’ai pas peur, parce que c’est Dieu. Cela doit toujours être juste, ici. Et cela doit toujours être juste, là-bas. Puis quand les gens voient ces choses arriver, alors ils croient.
41 Ce dont l’Eglise pentecôtiste a besoin ce matin, c’est une bonne conférence. C’est tout à fait juste. Toutes les dénominations : les – les unitaires, les binitaires, les trinitaires, les quatretaires, et nous autres, ainsi que l’Eglise de Dieu, les Assemblées de Dieu, tous unissons-nous et plaidons au sujet de ces choses (C’est juste.), et faisons avancer l’Eglise.
Aussi longtemps que Satan peut faire que vous continuiez à vous tirer dessus, il s’installe confortablement dans un fauteuil et dit : « Frère, je n’ai même pas besoin de combattre. »
Mais si seulement nous pouvions nous mettre ensemble et – et lever les yeux vers Dieu comme des frères, puis marcher la main dans... dans l’unité. Vous n’avez pas besoin de changer, et que l’un aille à une église et... Faites comme vous voulez. Ces petites différences que vous établissez ne changent rien de toute façon. Dieu donne à chacun de vous le Saint-Esprit. C’est pourquoi la Bible dit que Dieu donne le Saint-Esprit à ceux qui Lui obéissent. C’est donc sûrement celui qui a obéi à Dieu.
42 Mais le problème est que tant que Satan peut maintenir les petits différends, c’est ce qui fait que l’église soit dans un tel désordre aujourd’hui. Oublions cette chose et rassemblons-nous. Et, rappelez-vous, l’autre frère est tout autant en Christ que nous. Il n’y a pas de grands hommes, de petits hommes, de supérieurs. Nous sommes des enfants. Nous sommes un en Christ. Et nos petites différences ne changent rien. Que Becky désire une robe bleue et que Sara désire une rouge, elles reçoivent toutes deux des robes. Cela – cela... Voyez-vous ce que je veux dire? Elles ne doivent donc pas se disputer là-dessus. Je pense donc que c’est vraiment ce que nous – nous devrions faire.
43 Bon, à propos des conférences du monde, au moment des crises dans le monde... Vous savez, Dieu a tenu aussi des conférences. Nous pensons à la Conférence de Paris, à celle de Genève, à celle des Quatre Grands, et à beaucoup d’autres conférences. Pensons maintenant à quelques conférences que Dieu a tenues ; en effet, celles-là étaient un type de – de celles que Dieu a tenues. Je – je pense que la première conférence dont je me souviens maintenant, du point de vue scripturaire, je vais l’appeler la Conférence de Dieu en Eden. « Dieu fit l’homme à Son image, Il le créa à l’image de Dieu, Il les créa mâle et femelle. » Ils étaient Ses enfants bien-aimés. Et on les a placés sur la base du libre arbitre.
Bien des fois, le vieil incroyant a dit : « Pourquoi un Dieu juste ferait-Il une chose comme cela, qu’on connaisse toute cette souffrance qu’on a endurée à travers les âges? » Dieu n’a pas fait cela. C’est l’homme lui-même qui a fait cela. Dieu ne voulait pas qu’il fasse cela. « Eh bien, alors si Dieu était omnipotent, pourquoi a-t-Il permis que cela arrive? Pourquoi n’a-t-Il pas fait l’homme parfait? »
44 En fait, au commencement, il n’y avait rien en dehors de Dieu. Et en Dieu il y avait des attributs, Il avait un attribut de Sauveur. Nous savons que c’est vrai, Il est un Sauveur, et c’était en Lui. Et il n’y avait rien de perdu qu’il fallait sauver. En Lui il y avait des attributs de Père, mais il n’y avait rien dont Il pouvait être le Père. En Lui il y avait l’attribut de Guérisseur. Rien n’était perdu, rien n’était malade. Donc, la seule chose qu’Il pouvait faire, c’était créer l’homme et le laisser sur la base du libre arbitre, sachant qu’il ferait la chose. Dieu n’a pas Lui-même fait la chose; c’est l’homme lui-même qui a fait cela.
Et c’est pareil pour vous ce matin. Vous pouvez accepter la vie ou la rejeter. Mais c’est ainsi que Dieu a fait l’homme, pour qu’il ait… sachant qu’il le ferait, sans vouloir qu’il le fasse, mais sachant qu’il le ferait, afin que cela manifeste Ses attributs. Il n’y a donc rien qui soit hors du temps. Tout marche exactement selon la grande horloge de Dieu. Voyez? Et cela ne fait que manifester Ses attributs, de choisir Ses enfants qui L’aiment vraiment et qui croient en Lui. Et tous les hommes ont les mêmes droits.
Dieu, étant infini, savait dès le commencement ce qui serait et ce qui ne serait pas, ainsi donc Il ne voulait pas que quiconque... Mais, étant infini, Il devait savoir. Par conséquent, Il pouvait donc dire qu’Il aurait une église sans tache ni ride, parce qu’Il savait qu’Il l’aurait. Il est Dieu.
45 Maintenant, dans ce bel endroit, dans le jardin d’Eden, (oh !) où les hommes et les femmes vivaient ensemble... Dieu est un grand Entrepreneur. Eh bien, vous en avez beaucoup ici à – à Tucson, comme c’est en construction. Il y a quelques années, quand j’étais ici, c’était juste une toute petite ville. Et bien, là-bas où j’habite, eh bien, les coyotes et les Papagos se promenaient là quand j’étais ici, il y a quelques années. Mais maintenant, il y a... Eh bien, c’est un… de grands projets, des maisons, et des bâtiments s’érigent sans cesse et partout. Eh bien, que se passe-t-il? Voyez-vous, les entrepreneurs arrivent et achètent un terrain, ils en font un lotissement, et érigent des maisons.
46 Eh bien, Dieu a fait cela. Voyez? Il – Il a préparé tous les matériaux pour faire nos corps pendant que ce monde était en formation. Or, nous sommes constitués de seize éléments. Notamment la potasse, le calcium, le pétrole, la lumière cosmique, et ainsi de suite. Et c’est tout cela mis ensemble qui forme l’homme. Mais c’était ici avant qu’il y ait un homme sur la terre. Voyez? Dieu a fait nos corps et a déposé ici les matériaux avant que la terre existe. Eh bien, c’est Dieu qui vous a mis là-dedans et c’est Lui qui vous amène ici. Et maintenant, vous avez l’occasion de vivre éternellement si vous faites ce choix. C’est exactement ce qu’Adam et Eve avaient devant eux. Chaque... Dieu ne peut pas changer. Il doit rester le même, donner à chaque homme la même occasion.
Eh bien, nous voyons que Dieu... Cela Lui a plu quand Il a fait l’homme. Il a regardé Sa – Sa fille et Son fils, et Il était très content d’eux. Et puis, nous voyons que dès qu’Adam et Eve ont péché, et que la nouvelle est parvenue à Dieu, notre Père : « Ton enfant est déchu de la grâce. Il s’est éloigné de Toi... » Oh ! la la ! comme cela a dû alarmer Son coeur !
47 Et maintenant, observez la nature. Quand Adam s’est rendu compte qu’il était perdu, quand il a compris qu’il avait mal agi, et que c’était rendu manifeste devant lui qu’il était tombé dans le mal, au lieu d’appeler : « Ô Père, viens à moi. Je suis perdu. J’ai mal agi. J’ai été séduit. Viens à moi. » Il s’est caché. C’est plutôt Dieu qui parcourait le jardin, en criant : « Adam, où es-tu? »
N’est-ce pas la même chose aujourd’hui? Vous pouvez montrer à l’homme avec la Parole de Dieu quand il a failli. C’est exact. Adam savait qu’il avait failli. Il avait abandonné la Parole de Dieu. Et, rappelez-vous, cela ne demande pas beaucoup. Savez-vous ce qui a été à la base de toutes ces maladies, de tous ces problèmes, de la mort et de la peine pendant ces six mille ans? C’est parce qu’une femme n’avait pas cru à une petite sphère, à un petit point de la Parole de Dieu, juste un petit iota. Elle croyait presque toute la Parole. Satan lui a dit presque toute la vérité sur la chose. « Vous ferez ces choses, et ce... » Et puis, il a dit : « Vous ne mourrez certainement pas. » Mais, douter juste d’un petit iota fut à la base de tous ces problèmes. Est-ce juste?
Pensez-vous que douter d’un iota vous ramènera après que cela a causé tout ceci? Non, non. Nous devons venir à la Parole. C’est la seule... Et c’est Dieu. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. »
48 Et voyez, quand Dieu a fait l’homme, quand Il s’est mis à couver la terre, les fleurs des Pâques sont apparues, l’herbe a poussé, des espèces sont apparues, en montant de plus en plus. Le Glorieux Saint-Esprit, en couvant... « Couver » signifie « pouponner, roucouler ». « Coucou, coucou. » Les fleurs sont apparues. Le Père a dit : « C’est merveilleux. Continuez à monter avec cela. » Et Il a couvé, et peu après, des oiseaux sont apparus. Et ensuite sont apparus des animaux. Il a continué à monter de plus en plus et de plus en plus. Et finalement, la terre a reflété l’image de Celui qui couvait: Dieu. Et il était à l’image de Dieu. Il n’y a jamais eu quelque chose de plus élevé que l’homme, même pour nos bien-aimées soeurs, la femme. Elle n’est pas dans la création originale. Elle est un sous-produit de l’homme, une partie de lui. Et ils sont un en Christ. Oh ! quelle grande leçon nous avons maintenant ici juste devant nous, qui nous prendrait des heures, pour apporter la lumière là-dessus !
49 Remarquez, nous voyons donc qu’ensuite, quand cet homme a reflété Dieu, alors Dieu est descendu dans Son propre reflet sous la forme d’un Homme, Jésus-Christ. Et Dieu était en Christ, le... Dieu en Christ, reflétant Lui-même au monde ce qu’Il était : un Sauveur, un Dieu, un Guérisseur, Dieu manifestant Ses vrais attributs au travers d’un Homme qui était Son reflet. Et Dieu, pour être… parvenir à ceci, ne pouvait pas venir par le sexe, ce qui, au départ, a commencé à faire rouler la balle. Mais Il a amené cela par une naissance virginale. Ne pouvez-vous pas voir ce – ce qu’était le premier péché ? Plusieurs n’acceptent pas cela, et on crie contre la semence du serpent. Mais la chose est bien là. Voyez ?
50 Maintenant, le reflet, Dieu qui se reflétait en Christ. Mais alors, quand cet homme était perdu... Aujourd’hui, quand on montre à l’homme par la Parole qu’il ne devrait pas faire ces choses, quelquefois il est fidèle à une église. Si mes amis catholiques sont ici ce matin, pardonnez-moi un instant pour ceci. Toute ma famille est aussi catholique, vous savez, de l’Eglise catholique romaine.
Maintenant, remarquez. Quand ce prêtre est venu me voir au sujet de beaucoup de grandes guérisons, il a dit : « Vous êtes issu d’une famille catholique. Comment se fait-il que vous n’êtes pas catholique? »
J’ai dit : « Je suis catholique. »
Et il a dit : « Oh ! je ne peux pas croire cela. »
J’ai dit : « Votre église n’enseigne-t-elle pas que cette Bible, que c’est Jésus-Christ qui a établi la première Eglise catholique, et que ces apôtres étaient catholiques? »
« Oui. »
J’ai dit : « Alors, je crois simplement ce qu’ils ont écrit. »
Il a dit : « Mais, Monsieur Branham, a-t-il dit, l’église continue à changer. Il a donné à Pierre le pouvoir de – de détenir les clefs. Et il a le pouvoir de lier ainsi que la succession apostolique des papes », et ainsi de suite.
J’ai dit : « J’ai tous vos écrits, ou plutôt la plupart, là-bas, Les Actes de notre foi, et ainsi de suite. » Mais j’ai dit : « Ecoutez. Si ces hommes qui ont écrit cette Bible avaient marché côte à côte avec Jésus (Disons que c’étaient des catholiques) et ils ont écrit cette Bible, ne pensez-vous pas qu’ils en savaient plus sur la volonté de Dieu et sur les commandements de Dieu que ce groupe de gens modernes d’aujourd’hui? » Et j’ai dit : « Remarquez, si c’est une église, alors quand ils obéissaient à ce que Dieu avait dit au commencement, et c’est la Parole de Dieu, considérez les prodiges et les miracles et autres qu’ils avaient. Et vous, vous n’en avez pas du tout aujourd’hui. C’est une preuve que Dieu n’est pas avec vous. »
Il a dit : « Monsieur Branham, nous ne sommes pas censés discuter. »
J’ai dit : « Monsieur, je ne voudrais discuter avec personne. Je vous pose simplement une question. » Alors j’ai fait mention du Concile de Nicée et ainsi de suite.
Il a dit : « Nous ne devons pas discuter. » Il a dit : « Vous essayez de parler de la Bible, de la Parole. » Il a dit : « Dieu est dans Son église. Là, c’est ce que l’église était. Ceci, c’est ce qu’elle est aujourd’hui. Nous sommes censés écouter l’église aujourd’hui. »
J’ai dit : « Dieu est dans Sa Parole. »
Il a dit : « Dieu est dans Son église. »
J’ai dit : « Il est dans Sa Parole. Et si la Parole n’est pas dans l’église, alors Dieu n’est pas dans l’église, parce que la Parole c’est Dieu. » Et j’ai dit : « En outre, croyez-vous l’Apocalypse? » Ce qui veut dire Révélations, c’est en grec. Croyez-vous que l’Apocalypse est inspiré? »
Il a dit : « Certainement. »
J’ai dit : « Alors, Jésus-Christ a dit Lui-même dans Apocalypse que quiconque retranchera une seule Parole ou Y ajoutera une seule parole, sa part sera retranchée du Livre de Vie. Comment donc pouvez-vous dire que vous avez le pouvoir de retrancher, ajouter ou faire ce que vous voulez, alors que le Fondateur de l’Eglise chrétienne, Jésus-Christ, vous a défendu de le faire ? Vous ne pouvez pas faire cela. » Voyez?
51 Oh ! cette heure, ce temps terrible dans lequel nous vivons ! Et quand on montre aux hommes leurs erreurs, au lieu de chercher à revenir en disant : « Père, j’ai tort, pardonne-moi », ils se cachent quand même derrière les feuilles de figuier. Ce sont des feuilles de figuier qu’ils ont cousues. Et ils ont essayé de... Le mot « religion » veut dire « une couverture ». Et ils ont essayé de se confectionner une couverture à la main. Et jusqu’aujourd’hui l’homme n’a pas encore changé.
Dieu a donc dû convoquer une conférence. Et Il devait rencontrer Son homme, Son enfant. Et, rappelez-vous, Ses commandements disaient : « Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras. » Et Dieu ne peut pas enfreindre Ses propres lois et être juste. Alors Il a fait un grand abîme entre Lui et l’homme. Ainsi quand ils... Il voulait racheter Son enfant. Il ne voulait pas qu’ils s’en aillent comme cela. Il devait donc le racheter. Alors Ils ont convoqué une conférence, et ce fut la première conférence où Dieu a rencontré l’homme, la Conférence d’Eden.
52 Comment va-t-Il sauver cet homme? Que peut-Il faire pour ramener à Lui Ses enfants perdus? Et, rappelez-vous, Sa première décision est parfaite, toujours. Si c’était des crédos, des feuilles de figuier, Il aurait dit : « Adam, tu as bien agi. Sors de derrière les arbres. Je pense que tu es un homme sage. Tu me reflètes parce que tu es sage. Tes feuilles de figuier sont tout à fait en ordre. »
L’homme continue à essayer cette feuille de figuier, mais Dieu a pris une décision. Et la décision, c’était que quelque chose devait mourir ; en effet, cela parlait de Lui, de Sa sainteté, de Sa justice, vis-à-vis de Sa propre loi. « Le jour où tu prendras cela, tu mourras. » Et il fallait un substitut qui éprouvait des sensations. Les végétaux n’éprouvent pas de sensation. Il devait donc tuer quelque chose pour avoir les peaux afin de les couvrir. Et c’était la décision de Dieu sur la façon de sauver l’homme, de ramener l’homme à la communion avec Lui en Eden. Et cela est resté à jamais ainsi.
53 Aucun homme... Je ne sais pas pendant combien de temps on a essayé d’instruire l’homme, et de lui dire qu’un programme éducatif fera l’affaire. Combien de fois les églises ont-elles essayé cela? Chaque fois cela a failli, et cela faillira. Nous essayons d’organiser, chacun a... Eh bien, je ne suis pas contre l’instruction. Je ne suis pas non plus contre l’organisation. Mais l’organisation et les programmes éducatifs, ainsi que tout le reste que nous avons fabriqué de nos mains, ce sont des feuilles de figuier. Il faut revenir à la décision originelle de Dieu lors de la première conférence en Eden ; revenir au sang.
54 Les Juifs, dans les temps anciens... Maintenant, j’en arrive à nous pour la Pentecôte, juste pour quelques minutes. Dans les temps anciens, quand Dieu agréait ce substitut, le Juif venait sur la route avec son taureau splendide. Et il disait : « Tu sais, je suis un pécheur. Jéhovah exige que j’offre le sang. » Il va donc chercher son agneau ou son taureau. Il l’amène au souverain sacrificateur, au temple, et il pose ses mains sur son sacrifice. Qu’est-ce que cela fait? Cela identifie l’adorateur à son sacrifice. Et le sacrificateur vient et tue le taureau, ensuite il recueille le sang et l’asperge sur... Et cet adorateur, ce Juif, reconnaît avec sincérité que c’est ce que Jéhovah lui a exigé.
L’homme rentrait chez lui avec un sentiment de bien-être, après avoir senti le tremblement, le frémissement de cet agneau, le sang qui se répandait sur ses mains, et ainsi de suite ; et il a vu ce petit animal gigotant et mourant pendant qu’on lui tranchait la gorge. Il savait que ça devait être lui. Il considérait son sacrifice. Il s’identifiait à cela en posant ses mains dessus, en disant : « Ce devrait être moi. » Et alors, quand on lui tranchait la gorge, et qu’il mourait, il bêlait et continuait ainsi, le petit animal tremblait puis devenait inerte, et l’adorateur qui se tenait là disait : « Ô Jéhovah, Tu l’as accepté à ma place. J’ai honte de moi-même. » Et l’homme rentrait chez lui justifié, parce qu’il avait fait exactement ce que Jéhovah avait exigé.
55 C’était bien. Mais bien vite, c’est devenu une tradition familiale. Eh bien, l’homme prend son sacrifice et dit : « Eh bien, voyons donc. Oh, oui, ce sera la fête de la nouvelle lune. Je pense que je ferais mieux de commencer par purifier le tabernacle. C’est la fête de la Pentecôte. Je pense que je ferais mieux d’aller offrir un agneau pour moi. » Il va là-bas et le tue sans rien sentir du tout, il le place… rentre avec la même pensée qu’il avait en arrivant là. Et qu’a-t-Il fait alors? Parlant de cela un peu plus tard, Jéhovah a dit ici dans Esaïe, Il a dit : « Vos fêtes solennelles sont devenues une puanteur dans Mes narines. »
Nous ne devons pas nous approcher comme une bande de Rickys et de Rickettas. Nous ne devons pas nous approcher comme une bande de gens formalistes, et tout ce qu’on a aujourd’hui, de ces religions traditionnelles. Nous sommes des pentecôtistes. Venons avec une sincérité profonde, posons nos mains sur notre Sacrifice là au Calvaire, et sentons Jésus-Christ saigner et souffrir, alors que nous nous identifions comme étant morts aux choses du monde et à ces idées modernes d’aujourd’hui.
56 Nous sommes comme Sodome et Gomorrhe, et nous vivons en plein là-dedans. Que l’esprit juste en nous... Ces péchés tourmentent tous les jours notre âme. Que les péchés du monde et les modes d’Hollywood, et tout cet évangile d’Hollywood et toutes ces absurdités, tout ce maquillage, et la musique qui est jouée, on sautille, puis quand la musique s’arrête, vous devenez calme. Quand un homme est lavé dans le Sang de l’Agneau, il n’a pas besoin de musique ni de rien d’autre. La puissance de Dieu agit sur lui, et il peut crier, hurler, louer Dieu, ou faire n’importe quoi d’autre, qu’il y ait de la musique ou pas. Le Saint-Esprit est en lui. Il est identifié à Jésus-Christ.
Mais aujourd’hui, nous voulons simplement... Il nous faut sauter un peu comme les pentecôtistes, parce que nos ancêtres l’ont fait. Ils avaient quelque chose qui les poussait à sauter, c’est ce Saint-Esprit qui les faisait sauter. Et puis, quand vous descendez, vivez toujours aussi haut que vous sautez. Sinon, ne sautez pas du tout. Nous descendons aujourd’hui et menons toutes sortes de vie. Nous jetons le discrédit sur la chose même que nous soutenons.
57 Et nos organisations deviennent mondaines. Elles en arrivent là et laissent nos frères pentecôtistes aller là dans ces grandes écoles. Elles sont très bien, je n’ai rien contre elles, mais j’essaie seulement de montrer un point. Elles les instruisent et leur enseignent la psychologie, et leur donnent un diplôme de licence, juste comme le font les autres, puis elles les envoient là-bas. Et ce qu’ils sont, ils sont absolument... Ce ne sont pas des pentecôtistes.
Dieu n’a pas de petits-fils; Dieu a des fils. Nous essayons de penser que notre mère était pentecôtiste, notre papa était pentecôtiste et tout; ils nous ont amenés à l’école du dimanche et, automatiquement, nous sommes des pentecôtistes. Ça, ce sont des petits-fils. Dieu n’a pas de petits-fils; Il a des fils et des filles de Dieu. Et tout homme doit payer le même prix que le premier homme. Il doit venir sous le Sang versé de Jésus-Christ. C’est ce qu’il doit faire.
58 Eh bien, nous voyons maintenant que c’est ce qui... Au début, la sincérité... Maintenant, nous essayons de penser que parce que nous avons un jeune homme ici qui veut être instruit... Il fréquente les écoles et tout ; il en sort instruit. Il s’exprime avec éloquence ; il sait se tenir sur l’estrade; il a du charme. Eh bien, c’est ça Hollywood. Ils veulent quelque chose qui brille. On veut avoir un homme cultivé, avec une instruction raffinée. On veut avoir malgré tout un homme qui est large d’esprit, pour qu’il voie... Que les femmes se coupent les cheveux, cela lui est égal. La Bible dit qu’elle ne doit pas le faire. Cela lui est égal que le… du moment qu’un diacre vient à l’église, qu’il est un homme de bien, qu’il peut très bien payer, cela lui est égal que l’homme soit marié plusieurs fois. « C’est en ordre, c’est un homme de bien. » Mais la Bible rejette cela. Exactement.
59 Nous n’entrons pas dans l’Eglise par la théologie; nous y entrons par la genouologie. C’est juste. Nous entrons en Christ. Mais, vous voyez, aujourd’hui nous avons – nous avons cette idée selon laquelle il nous faut faire comme les autres. C’est cela qui a créé des ennuis à Israël, il a voulu faire comme les autres. Notre fête solennelle de la Pentecôte est devenue juste une adoration formaliste. Nous savons tous cela. Et nous voyons cela devenir... Nous ne devons pas faire cela. La chose que nous devons faire, c’est revenir et nous identifier à Jésus-Christ. Suivons Sa voie et laissons-Le agir à travers nous. Alors les hommes suivront avec joie Celui qui a enseigné autrefois : « J’attirerai tous les hommes à Moi. » Comme nous aimerions continuer un peu et dire d’autres choses sur cette Conférence d’Eden. Mais j’ai d’autres conférences auxquelles je voudrais en venir.
60 Prenons par exemple cette autre conférence, la Conférence du Buisson Ardent, que j’appellerais le Buisson Ardent. Eh bien, Dieu avait un prophète fugitif. Quand Dieu appelle un homme à faire quelque chose, celui-ci ferait mieux d’y aller, sinon il sera malheureux le reste de ses jours. Moïse est entré en action. Dieu l’avait appelé. Il était ordonné pour un travail. Et alors, quand il s’est mis à agir, les gens ne l’ont pas cru, alors il a simplement laissé les gens tranquilles.
Il s’est enfui et a épousé une belle éthiopienne et a reçu en héritage… a hérité un troupeau de moutons. Et le voilà là, et il a perdu toute la vision concernant le peuple, concernant l’Eglise du Dieu vivant. Mais Dieu l’avait ordonné à faire la chose. Il l’avait suscité, il est sorti du sein de sa mère un bel enfant, et Dieu l’avait suscité dans ce but-là. Il est inutile d’essayer d’y échapper, vous allez le faire de toute façon.
61 Et vous qui n’êtes que des membres d’église et qui sentez qu’il y a quelque chose de plus profond dans votre coeur, vous serez misérable et malheureux jusqu’à ce que vous acceptiez ce Christ comme cela. Vous avez vu le Véritable et Authentique Saint-Esprit à l’oeuvre dans les gens. Vous serez misérable jusqu’à ce qu’Il vienne à vous. C’est Dieu qui vous appelle. Abandonnez-vous, sortez de derrière les buissons. C’est une affaire réglée, Dieu a tracé Sa voie. C’est par le Sang.
Vous dites : « Eh bien, je suis membre de l’église. » Cela ne veut rien dire de plus que si vous étiez membre du rodéo, rien du tout. Je n’ai rien contre l’organisation, mais... Je ne suis pas contre les gens qui sont dans l’organisation, mais il s’agit du système.
62 Maintenant, remarquez ceci. Eh bien, nous voyons ce buisson ardent. Dieu savait que ce prophète menait une vie facile. Alors Il a décidé qu’Il devrait parler à ce prophète. Il a donc choisi un lieu. Il y avait urgence : « J’ai entendu les cris de Mon peuple. Et voilà l’homme que j’ai envoyé pour les délivrer, et il est faible et amorphe. »
Ô Dieu, j’espère qu’Il en appelle un ici ce matin, les ministres pour qu’ils soient en feu. Considérez la vision. Nous mourons. Le monde est perdu. L’église est rétrograde. Dieu essaie d’appeler une Epouse à sortir.
Il a donc choisi un lieu, un lieu vraiment drôle pour nous; c’était un buisson au sommet de la montagne. Mais cela a attiré l’attention du prophète. Et Il l’a appelé là pour une conférence.
63 Observez, il devait y obéir à la lettre. « Ôte tes souliers, Moïse. La terre sur laquelle tu te tiens est sainte. »
Qu’en serait-il si Moïse avait dit : « Eh bien, maintenant, Seigneur, je viens de recevoir de l’instruction. Pour témoigner du respect, on ôte son chapeau ; donc je vais ôter ce chapeau. » Cela n’aurait jamais marché. Quand Dieu a dit souliers, Il voulait dire souliers.
Quand Dieu a dit naître de nouveau, Il voulait dire naître de nouveau. Il ne veut pas dire une poignée de main ou réciter un credo. Tout le monde a peur de cette nouvelle naissance. Le diable a remplacé cela par une poignée de main ou une espèce d’affaire psychique qui vous ferait reconnaître : « Oui, je suis né de nouveau. » Mais votre vie révèle ce que vous êtes, la vie qui est en vous.
Si vous dites que vous êtes né de l’Esprit de Dieu et que vous reniiez une seule Parole de cette Bible, cela montre que vous ne l’êtes pas. Vous essayez de renvoyer cela à une époque révolue sur quelque chose d’autre, cela montre que ce n’était pas le Saint-Esprit ; en effet, Il ne renie jamais Sa propre Parole. Vous dites : « Eh bien, c’est ce que mon église enseigne. » Là, cela montre que vous ne l’êtes pas. Vous êtes né de l’église, pas de Dieu. Ça c’est Dieu, Sa Parole.
Le voici, Moïse, l’oint. « Ôte tes souliers. La terre sur laquelle tu te tiens est sainte. »
« Eh bien, mon chapeau ne ferait-il pas autant l’affaire? »
Il a dit « souliers ». Et Il voulait bien dire « souliers ». Si Dieu dit de naître de nouveau, cela veut dire « naître de nouveau. »
64 Maintenant, écoutez. Eh bien, je suis dans un groupe mixte, et il y a des jeunes enfants. Mais vous écoutez votre médecin. Vous écoutez... J’espère que vous m’écoutez et me comprenez. Toute naissance est un gâchis. Que ce soit dans une porcherie ou – ou dans une chambre d’hôpital décorée au rose, toute naissance – naissance est un gâchis. Et il en est ainsi de la nouvelle naissance. C’est un gâchis. Elle vous fera faire des choses que vous ne pensiez pas pouvoir faire. Mais de cette mort et de cette corruption sort la vie. Et aucune semence ne peut produire sa vie si elle n’est pas morte et n’a pas pourri. Et de ce gâchis pourri, quand il ne reste plus rien à faire pourrir, c’est seulement la vie qui vit.
65 Quand un fils vient à Dieu, il est soumis à des épreuves. Quand je me suis tenu là ce jour-là, je me souviens que je passais mon épreuve. Alors que j’avais passé des jours et des jours, des mois et des mois, et des années, quatre ou cinq années aux coins des rues, prêchant l’Evangile pour essayer de faire ce qui était juste aux yeux de Dieu, mais Il a laissé ma femme m’être carrément ôtée, mon bébé étendu là, en train de mourir. Et je suis descendu là auprès du bébé. J’ai dit : « Seigneur Dieu, ne laisse pas mon bébé mourir. » Un pauvre petit bébé âgé de huit mois – neuf mois...
J’ai levé les yeux, et c’était comme si un drap noir descendait. Il a même refusé de m’écouter. Il n’a même pas voulu me regarder. Je me suis levé, j’avais environ vingt-trois ans. Ma femme gisait là à la morgue. Il a refusé de m’écouter à propos d’elle. Alors que tout ce que j’avais fait... J’ai dit : « Ô Dieu, dis-moi ce que j’ai fait. Si j’ai mal agi, punis-moi, pas elles. » J’ai dit : « Qu’ai-je fait? Je travaille toute la journée, et je prêche toute la nuit, et je me tiens aux coins des rues et jamais... Qu’ai-je fait? Dis-moi ce que j’ai fait. » Il n’a même pas voulu me parler.
66 Alors Satan s’est approché de moi. Il a dit : « Et puis, tu vas Le servir, alors qu’une seule parole changerait toute la situation? Une seule parole sauvera ton bébé, mais Il refuse de le faire. Il ne veut pas le faire, alors qu’une seule parole pourrait... Puis tu vas continuer à Le servir ! »
Tout le raisonnement humain... C’est juste. Pourquoi devrais-je Le servir s’Il ne veut même pas ne fût-ce que baisser les regards vers mon bébé? C’est tout ce qu’il fallait, et avec tout ce que je pensais avoir fait pour Lui, et puis Il ne voulait même pas écouter pour mon propre bébé. C’était la tentation la plus dure. Tous les raisonnements humains avaient cédé. « Pourquoi devrais-je Le servir s’Il ne peut pas faire autant pour moi? Et je travaille jour et nuit pour Lui. Et Il refuse même de me dire ce que j’ai fait. »
67 Eh bien, les raisonnements humains ont disparu. Mais, oh, quand un homme est né de nouveau, quelque chose là-dedans tient bon ! Cela en est arrivé à ce point-là, quand je me suis dit : « Où l’ai-je eue? D’où est-elle venue? Qui suis-je de toute façon? D’où suis-je venu? » Voyez? Tout ce qui est de l’homme s’était envolé. Alors ce Véritable et Authentique Esprit de Dieu était là.
Je suis allé vers elle et j’ai posé mes mains sur sa tête. Elle souffrait tellement que ses petits yeux louchaient. J’ai dit : « Chérie, dans quelques instants, je vais te prendre pour te déposer dans les bras de Maman, là à la – à la morgue. Je vais vous enterrer ici sous les pins. Et un jour, papa vous reverra. » Et j’ai levé les yeux; j’ai dit : « Ô Dieu, même si Tu me tues, cependant j’aurai confiance en Toi. Tu l’as donnée, Tu l’as reprise. Que le Nom du Seigneur soit béni ! »
En effet, à ce moment-là tous mes raisonnements humains avaient disparu. Je me trouvais au bout du rouleau. Mais quand vous vous trouvez au bout du rouleau, c’est alors là que ce Véritable Esprit de Dieu prend le dessus, à ce moment-là, et vous relève.
68 Il vous faut naître de nouveau. Tout doit mourir. Toute votre théologie, toute votre pensée, tout ce que vous avez jamais été ou que vous espérez être, votre vie et tout le reste meurent. Et alors le Saint-Esprit vient. C’est alors que vous ôtez les chapeaux, les souliers, que vous vous tenez devant Dieu. « Je ne porte rien dans mes mains, je m’attache simplement à Ta croix. » C’est là que Moïse a dû en arriver, là où il pouvait obéir à ce que Dieu a dit de faire : la Conférence du Buisson Ardent. Alors Dieu a dit : « Je vais te montrer Ma gloire maintenant », après qu’il fut disposé à aller. Et il est descendu en Egypte.
69 Il y a la Conférence d’Eden ; il y a la Conférence du Buisson Ardent. Prenons-en une autre rapidement. Prenons la Conférence de la mer Rouge. Vous savez, des fois, juste quand on est en plein dans la ligne du devoir, Satan croise notre chemin. Frères ministres, vous tous savez cela. Chrétiens, vous savez cela. Juste ...
Voici Moïse ; il est allé montrer les signes à Israël, ceux à qui il avait montré premièrement n’avaient pas voulu écouter. Il revient dans la ligne du devoir, étant sous l’onction de Dieu, avec la voix même de Dieu pour appeler même des choses à l’existence par la Parole. Il pouvait appeler des mouches. Il a utilisé la voix de Dieu. Il a dit : « Que des mouches viennent. » Et il n’y avait même pas une mouche dans le pays. Il s’est retiré.
Il savait que cela arriverait, parce qu’il avait prononcé la Parole de Dieu. Il s’est retiré, et directement une vieille mouche verte a commencé à décrire des cercles. Et après, il y en avait deux livres [environ 907 gr – N.D.T.] sur chaque mètre carré.
L’oeuvre de la création relève aujourd’hui de l’Eglise de Jésus-Christ, sous le Sang de Jésus-Christ, par Sa Parole qui nous met en contact avec Lui. Aucune différence. La Parole que nous entendons est ici. Et c’est Dieu. Nous Le voyons debout là. Nous savons que c’est Lui qui nous parle, la même chose. J’ai vu cela être fait et je sais que c’est juste. C’est en accord avec la Bible.
70 Moïse a reçu l’autorité là, il est parti et il a montré les signes à Israël. Et Israël est sorti avec lui. Et les voici bien dans la ligne du devoir, et il y a la mer Rouge qui leur barre la route. Moïse a convoqué une conférence. Dieu a dû choisir un lieu derrière le rocher. Moïse y est allé et a dit : « Eternel... »
Si vous marchez dans la ligne du devoir, vous avez le droit de convoquer une conférence. C’est pour cela que nous venons prier. C’est pour cela qu’on nous envoie à l’hôpital. C’est pour cela que nous nous approchons du lit des malades : pour convoquer une conférence. Oh ! la la ! Je me sens religieux maintenant ! Convoquer une conférence. C’est ce dont les pentecôtistes ont besoin aujourd’hui, convoquer une conférence. Quel est le problème ? Nous avons ralenti. Il y a un lingot quelque part dans le camp. Convoquez une conférence.
71 Moïse a convoqué une conférence, il a dit : « Eternel, j’ai fait exactement ce que Tu m’as dit, et nous voici dans un piège. La mort vient, elle fond sur nous », comme un malade atteint d’un cancer. « La mort fond sur nous. » Et Moïse s’est tenu là jusqu’à ce qu’il ait obtenu une audience avec Dieu. Il est resté là jusqu’à ce que Dieu ait parlé. Il connaissait Sa voix, il était un prophète.
Il a dit : « Pourquoi cries-tu à Moi, Moïse? Je t’ai donné l’autorité pour amener ces gens là-bas, et J’ai dit que c’est toi qui le ferais. Parle au peuple et allez de l’avant. » Amen.
La mer Rouge a commencé à se retirer, et tout le reste, quand Dieu a prononcé la Parole, quand il avait été décidé de ce qu’il devait faire. « Me voici en face de cela, que dois-je faire ? »
« Parle et va de l’avant. » Et la mer Morte s’est retirée.
Notre temps s’envole, et je – j’ai tellement… d’autres passages auxquels j’aimerais me référer. Allons vite. J’en ai encore beaucoup : David et les autres.
72 Mais ici, rappelez-vous, une fois il y eut la Conférence de Gethsémani, où Dieu et Son Fils devaient se réunir. Après tout, il n’y avait personne d’autre qui pouvait mourir pour les péchés du monde. Personne n’était digne de mourir, aucun homme. Chaque homme de ce monde était né par un désir sexuel. Et c’est ce qui a été à la base du chaos au commencement. C’est ce qui a coupé cela, c’est ce qui a fait de nous des créatures hybrides. Nous sommes nés du sexe, par un désir humain. C’est hybride. Quelque chose était... C’est la raison pour laquelle la mort y est attachée, comme je l’ai dit hier soir.
Mais lorsque Dieu créa Son premier homme, Il n’a jamais demandé à la femme et à l’homme de s’unir. Il l’a créé à partir de la terre. Il était une plante authentique. C’est son péché qui l’a rendu hybride. C’est ça le problème aujourd’hui, c’est la raison pour laquelle nous avons tant de pentecôtistes hybrides. Vous écoutez le raisonnement au lieu de la Parole. Revenez, frères; revenez.
73 Remarquez, là dans les groupes mélangés, je ne dis pas ceci. C’est entre vous, vous pentecôtistes qui êtes ici, et nous. Nous ne venons pas ici pour être entendu. Je viens ici pour essayer d’aider. Je viens... Si je – si je me tiens ici pour dire que je – j’ai parlé d’un certain sujet ce matin, cela fait de moi un hypocrite. Je viens ici avec la vérité, et une vérité que je veux que vous connaissiez, quelque chose que je crois que Dieu a mis sur mon coeur pour vous aider, afin que nous voyions l’heure dans laquelle nous vivons. Voyez?
74 Il y a la Conférence de Gethsémané, où Celui-là qui, seul, pouvait mourir en était arrivé à l’heure cruciale. Alors quand ce grand moment est venu, c’est là qu’Il a dû prendre Sa dernière décision. Sans doute que le Père a dit : « Es-tu toujours disposé à faire cela, Mon Fils? »
Il a dit : « Est-il possible, Père, que Tu puisses trouver quelqu’un d’autre quelque part? J’aime Mon peuple. J’aime les frères que Tu m’as donnés. Est-il possible que quelqu’un d’autre puisse... »
« Non, Tu es le Seul qui peut faire cela. Tu es le seul qui est né d’une vierge. Tu es le seul qui est né en dehors du sexe. Aucun autre homme, aucun évêque, aucun pape, aucun cardinal, personne ne peut T’aider. C’est Celui-là. Tu es le Seul qui puisse faire cela. » Alors la conférence était...
Satan se tenait là, prêt à réclamer la race humaine. Il a dit qu’il en avait le droit parce qu’ils avaient péché.
75 Comme vous avez ici les bandes sur les Sept Sceaux, quand l’Agneau s’est avancé pour réclamer Sa rédemption, ce qu’Il avait racheté, le temps était alors terminé. Il est à l’oeuvre maintenant, faisant l’oeuvre de la rédemption. Mais un jour, Il quittera le sanctuaire pour prendre le Livre de la rédemption qu’Il a acquis au prix de Son propre Sang. Alors il n’y a plus de temps. Il vient donc pour réclamer ce qu’Il a racheté.
Il se tenait là à Gethsémané, dans cette grande souffrance. Le péché de chaque homme était sur Lui. Tout ce qui soit jamais mort, la mort de tout cela était mise sur Lui. Et Il était innocent, mais Il devait devenir péché. « Peux-Tu, saint Fils de Dieu, accepter le péché d’adultère? Peux-Tu accepter le péché, la peine d’adultère? Peux-Tu accepter le péché, la peine du mensonge? Peux-Tu accepter le péché de toutes ces choses et porter celles-ci sur Toi, quoique Tu sois innocent? » Il était le seul. La conférence s’est tenue. Qu’a-t-Il dit? « Non pas Ma volonté, que Ta volonté soit faite. » Ô Dieu, puissions-nous tous arriver à une Conférence de Gethsémané, à ce contrôle final.
76 Puis un jour il y a eu une autre conférence. Quelques jours après cela, environ quarante jours, il y a eu une conférence après Sa mort, Son ensevelissement, et Son ascension. L’Eglise chrétienne allait être organisée. Les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les luthériens, nous tous. Ecoutez maintenant juste un instant, pour terminer.
Il vint un temps où Dieu n’envisageait pas prendre seulement un peuple, tel qu’Israël est Son peuple. Israël sera sauvé en tant que nation (C’est la Bible qui le dit.), et naîtra en un seul jour. Dieu traite avec Israël en tant qu’un pa… en tant que – en tant qu’un peuple. Mais Il traite avec l’Eglise comme des individus. Il a appelé du milieu des Gentils un peuple qui portât Son Nom.
Maintenant, nous voyons que le moment est donc arrivé. Comment cette église doit-elle être dirigée? On leur a défendu, bien qu’ils avaient prêché, bien qu’ils avaient guéri (Ecoutez-moi.), bien qu’ils – ils avaient prêché, bien qu’ils avaient guéri, bien qu’ils avaient vu de grands miracles et prodiges, et bien qu’ils étaient témoins qu’Il était le Fils de Dieu, cependant Il leur avait défendu de prêcher jusqu’à ce qu’ils auraient tenu cette conférence.
« Attendez là dans la ville de Jérusalem. Je vous ferai savoir comment l’Eglise chrétienne doit être dirigée. Je vous le ferai savoir, si Je dois avoir un évêque, ou un cardinal, ou un pape, ou tout ce que je vais avoir. Je vous le ferai savoir. Je m’en vais au Ciel tenir une conférence, et vous, attendez là jusqu’à ce que vous entendiez les conclusions. » Amen, amen.
77 Je me souviens que lorsqu’ils tenaient cette Conférence de Genève, mon vieil ami prédicateur, Dr. Pettigrew, à Louisville, a dit qu’il suivait la radio, il suivait. Le sort de la nation était en jeu. Il voulait savoir ce que serait la décision, ce qu’ils allaient faire. Et un hippie est venu à la porte avec ses cheveux qui lui tombaient sur le visage, et il a dit : « Dr. Pettigrew, si je comprends bien, vous êtes un – un homme très – très influent. » Il a dit : « Je – j’ai quelques chansons du rock and roll que... Les – les gens ne m’écouteront pas. Si vous voulez bien me donner un petit coup de pouce... »
Il a dit : « Fiston, reste là juste un instant. » Il a dit : « Je suis – je suis en train de suivre pour voir ce que seront les conclusions. »
Il a dit : « Mais Dr. Pettigrew, a-t-il dit, ceci est très important. » Il a dit : « Ça représente beaucoup pour moi. » Comme si cela était plus important que suivre les conclusions de la Conférence des Quatre Grands.
C’est ainsi que sont les gens aujourd’hui. Un petit hippie, ou quelque chose comme ça, vient tout autour au nom de la – de la religion et cherche à détourner votre attention pour que vous ne suiviez pas les véritables conclusions. Une petite poule mouillée minable, mesquine, religiosité (s’il existe un tel mot dans l’usage), qui a plus de membres et de meilleurs gens, qui a une plus grande église et une grande foule derrière, essayant d’attirer votre attention. Frères, ne l’écoutez pas. Nous avons les conclusions écrites ici.
78 Comme à la Conférence de la Pentecôte, il a été dit : « Ne chantez plus de cantiques. Ne prêchez plus. Mais allez là-bas et attendez jusqu’à ce que cette conférence sera terminée ; Je vais vous envoyer les nouvelles. Je vais vous dire qui est le plus grand parmi vous. Je vais vous dire exactement ce que vous devez faire, si vous devez avoir une organisation, si vous devez avoir un pape, ou un évêque, ou quoi que ce soit que vous êtes censés avoir. Je vais vous dire quoi. Mais attendez jusqu’à ce que vous entendiez les conclusions. Nous allons au Ciel pour en décider. » Et Il est monté en haut, Il a emmené des captifs, Il s’est assis à la droite de Dieu, et Il a envoyé des dons aux hommes.
Alors le jour de la Pentecôte, ils attendaient. Oh ! que serait-il arrivé si c’était... Et si – si André avait dit, environ six jours après : « Vous savez, frères, je crois que nous ne devons plus attendre. Je crois que c’est par la foi que nous recevons notre ministère. Nous devrions aller de l’avant, commencer carrément et exercer déjà notre ministère, tout de suite. » C’est là le problème d’un grand nombre de ministres. Ils ne restent pas là assez longtemps, jusqu’à ce qu’ils entendent les conclusions, qu’ils reçoivent leur commission.
79 « Eh bien, vous savez... » Peut-être qu’il y aurait eu un autre du nom de Philippe, qui se serait levé et qui aurait dit : « Vous savez, je me sens très bien. Après tout, nous connaissons ceci, ce qu’Il veut faire. »
Ça pourrait être ça, frères. Vous pouvez avoir une licence ès lettres, un doctorat en théologie, un doctorat en droit, et que sais-je encore, et cela ne veut rien dire. Votre connaissance ne signifie rien. Tous vos séminaires ne veulent simplement rien dire. Vous devez attendre les conclusions pour voir ce que Dieu dit. Aucun homme n’a le droit de prêcher l’Evangile sans avoir rencontré – premièrement rencontré Jésus-Christ comme une Personne, pas comme un certain théolog… – théolo…(Eh bien, vous savez ce que je veux dire.), un certain diplôme en théologie, diplôme en théologie. Il n’a aucun droit de le faire sur base de cela. Peu importe combien il est capable d’expliquer cela, ce n’est pas ça.
80 C’est tout à fait comme Moïse. Il pouvait enseigner la sagesse aux Egyptiens. Il était l’homme le plus intelligent du pays, mais il a dû aller en conférence avec Dieu. Et aucun homme n’a le droit de prétendre être un chrétien, aucune femme, aucun enfant, aucun prédicateur surtout, à moins qu’il ait été en personne sur ces sables sacrés où il a rencontré Dieu. Tous les théologiens du monde, tous les infidèles du monde ne peuvent pas lui ôter cela à force d’explications. Il était là; cela est arrivé. Cela lui est arrivé. Il sait où il se tient.
Ils sont allés là le jour de la Pentecôte. Et nous n’avons pas vu un... Maintenant, je ne suis pas... Je fais juste une remarque. Nous ne voyons pas cela là-bas, là où l’évêque s’amène avec son cartable en main, pour dire : « Eh bien, c’est le Seigneur qui m’a envoyé. Je veux vous imposer les mains, frères, et vous envoyer. » Ça, c’est la version 1963 de la chose : l’évêque et son staff.
Pendant que nous pensons à eux, prenons simplement cela, avec le respect qu’on doit à nos amis catholiques. Disons qu’un prêtre s’amène là avec les soi-disant derniers sacrements. « Faites sortir la langue et prenez l’hostie, et moi, je vais boire le vin. Et alors vous deviendrez membre. » Si c’était cela, c’est ce qui aurait été au début. Dieu est infini. Sa décision est juste comme c’était dans le jardin d’Eden. Il... Sa première décision règle la question.
81 Eh bien, qu’ont-ils fait? Ils ont attendu, et attendu, et ils n’étaient pas satisfaits. Ils ont attendu jusqu’à ce qu’il vint du Ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux. Cela a rempli toute la maison où ils se trouvaient. Des langues semblables à des langues de feu se posèrent sur eux, et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
Un groupe de poltrons qui avaient peur d’évangéliser, un groupe de poltrons qui avaient peur de faire face aux dignitaires et aux célébrités de la ville ainsi qu’aux critiqueurs religieux, était dehors dans la rue, témoignant : « C’est ça la chose. » C’était la décision de Dieu.
Quelques jours après que les Samaritains... Philippe est allé là, il leur a prêché et les a baptisés au Nom de Jésus-Christ, bien que le Saint-Esprit n’était encore tombé sur aucun d’eux. Alors ils ont envoyé chercher Pierre et l’ont amené là. Ils savaient... Ils étaient dans une grande joie. Ils étaient heureux et se réjouissaient, et ils ont passé de grands moments. Et ils ont eu de grandes guérisons et tout. Maintenant, vous les frères nazaréens, pèlerins de la sainteté, méthodistes, écoutez. Il ne s’agit pas de la guérison. Il ne s’agit pas de la joie. Il s’agit d’une expérience. Il s’agit du Saint-Esprit, de Christ Lui-même qui entre en vous en tant qu’une Personne.
82 Ils ont envoyé chercher Pierre et Jean qui sont venus leur imposer les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux. Dans Actes 10.49, nous voyons que pendant que Pierre parlait aux païens : « Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient cela. Car ils les entendaient parler en langues et glorifier Dieu. »
Et Pierre a dit : « Peut-on refuser l’eau à ceux qui ont – ont reçu le Saint-Esprit aussi bien que nous au commencement? »
Paul, dans Actes 19, parlait à un groupe de baptistes, après avoir parcouru les hautes provinces d’Ephèse. Il rencontra quelques disciples. Ils étaient heureux. Ils avaient là un grand prédicateur baptiste du nom d’Apollos. Et c’était un avocat qui s’était converti. Et il disait qu’il était prouvé dans la Bible que Jésus était le Christ.
83 Et Aquilas et Priscille, qui faisaient des tentes avec Paul, ont dit : « Notre frère Paul est en prison là-bas. » Quel endroit pour un prédicateur ! Il était en prison pour avoir chassé le démon d’une diseuse de bonne aventure. Et il a dit : « Il – il est en prison, mais il nous visitera bientôt, et il t’expliquera plus exactement la Parole de Dieu. »
Et ils ont passé de bons moments, comme tous les bons baptistes, en criant, en louant Dieu, ayant des guérisons, des miracles et tout. Mais quand Paul, un apôtre, est arrivé et qu’il les a écoutés, il a dit : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit après avoir cru ? » Ils pensaient L’avoir. Voyez? « Après avoir cru. » Nous pensons que nous L’avons quand nous croyons. C’est faux. Il a dit : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit après avoir cru ? »
Ils ont dit : « Nous ne savons pas ce que c’est, ou qu’il y en ait Un. »
Il a dit : « De quel baptême avez-vous été baptisés ?
Ils ont dit : « De Jean. »
Il a dit : « Cela ne peut plus marcher. Vous devez être rebaptisés. »
Alors il les a baptisés au Nom de Jésus-Christ, il leur a imposé les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux, et ils ont parlé en langues et ont glorifié Dieu. Comment? Juste comme les autres l’avaient fait au commencement. C’est la même formule qui a été appliquée.
84 Lorsqu’un médecin fait une prescription, ne laissez aucun de ces pharmaciens charlatans essayer de s’amuser avec cela. S’il vous donne trop d’antidotes, cela ne pourra pas faire de mal… vous aider. Et s’ils mettent trop de poison, cela vous tuera. Ne vous amusez pas avec la formule de Dieu ; appliquez-la telle qu’elle a été donnée à la conférence. C’était là les ordres. Amen. Je L’aime.
Cela me rappelle les parents de Jésus. Ils sont allés à la fête de la Pentecôte. Sur leur chemin du retour, ils se sont rendu compte… Ils avaient fait trois ou quatre jours, et ils ont remarqué qu’Il n’était pas avec eux. Ils ont commencé à se poser des questions. C’est ce qu’il en est aujourd’hui. Nos églises commencent à se rendre compte : « Où est parti Jésus ? Qu’est-il arrivé ? Nous sommes des pentecôtistes, mais qu’est-il arrivé ? Nous sommes des méthodistes, mais qu’est-il arrivé ? Où est parti Jésus ? »
Ils ont commencé à chercher parmi leurs membres de famille. C’est ce que… Nous nous mettons à penser à ce que Moody a dit, à ce que Sankey a dit, à ce que Finney a dit. Ça, c’était leur jour. Nous sommes plus loin sur la route.
85 Si nous nous mettons à chercher derrière comme eux… Ils sont allés auprès de leurs membres de famille et ils ne L’ont pas trouvé. Ils sont allés auprès de tous leurs membres de famille, des évêques, et ainsi de suite. Ils ne L’ont pas trouvé. Finalement, ils L’ont trouvé juste à l’endroit où ils L’avaient laissé. Où L’avaient-ils laissé ? A la fête de la Pentecôte. Ils devaient rentrer jusque-là où ils L’avaient laissé avant de Le trouver.
Et, église, c’est ce que nous devons faire : rentrer là où nous L’avons laissé. Il nous faut nous éloigner de certaines de nos traditions, retourner à l’endroit où nous L’avons laissé. Si vous voulez savoir où vous L’avez laissé, tenez une petite conférence biblique et sans mettre des gants. Dites simplement la vérité.
Nous allons attendre maintenant jusqu’à ce que nous voyions comment c’était. Aucun évêque, ni rien, seul le Saint-Esprit était censé conduire l’Eglise. C’est le seul conducteur que nous avons, le Saint-Esprit. Et Il conduit conformément à la Parole. Vous dites : « Eh bien, j’ai le Saint-Esprit », et vous reniez la Parole. Alors, ce n’est pas le Saint-Esprit, parce que c’est le Saint-Esprit qui a écrit la Bible. C’est juste. Ce n’est donc pas le Saint-Esprit.
86 Ecoutez, alors que nous terminons. Dans les conférences du monde, que font les gens ? Ils mangent ensemble, ils parlent ensemble, ils font des histoires ensemble, ils se racontent des mensonges l’un à l’autre à la conférence du monde, à la conférence du monde des nations.
Mais ce que… Quand Dieu convoque une conférence, qu’arrive-t-il ? Les gens se rencontrent. Ils ne festoient pas, mais ils font le jeûne. Ils ne font pas des histoires, mais ils prient. Ils attendent de recevoir des ordres pour aller de l’avant. C’est ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui, aller de l’avant. Recevoir des ordres. Et vous dites : « Eh bien, comment puis-je trouver les ordres ? » Les voici. Voici les ordres.
« Comment le savez-vous, Frère Branham ? »
La manière dont Dieu avait conçu la rédemption au départ, c’était par le sang, et Il ne changera jamais cela. Quand Dieu prend une décision… C’est la raison pour laquelle vous pouvez accrocher votre âme à cette Bible, à chaque point de ce qu’Elle déclare, parce que c’est la Parole de Dieu. Et Dieu, étant infini, ne peut pas dire : « Eh bien, je m’étais trompé il y a deux mille ans. » Dieu est éternel. Il n’a jamais eu de commencement. Il n’aura jamais de fin. Et le seul moyen pour vous de pouvoir être comme Lui, c’est d’être une partie de Lui.
87 Le jour de la Pentecôte… Cette glorieuse Colonne de Feu qui avait suivi Israël, ou plutôt qu’Israël avait suivie dans le désert, voyez-vous, cette glorieuse Colonne de Feu était Dieu, l’Ange de l’Alliance, Jésus-Christ. Moïse a regardé l’opprobre de Christ comme un trésor plus grand que ceux de l’Egypte. Alors il a abandonné l’Egypte et a suivi Christ. Remarquez, qu’est-ce que Dieu a fait le jour de la Pentecôte ? Il a pris cette grande Colonne de Feu et L’a divisée. C’était Lui-même. Des langues de feu, des langues divisées, des langues séparées les unes des autres, sont descendues, des langues divisées, et se sont posées sur chacun d’eux.
Oh ! ne pourrions… Nous devrions avoir honte de laisser nos organisations nous diviser, alors que Dieu s’est divisé Lui-même parmi nous afin que nous soyons un. « A ceci tous connaîtront que vous êtes Mes disciples. » Entendez-vous cela, frères et soeurs ? Dieu s’est divisé. Nous ne sommes jamais divisés, l’un et l’autre, parce que nous faisons parti de Dieu.
88 Laissez simplement ce feu se joindre à ce feu-ci, un moment après vous verrez que cela va se mettre en marche. C’est passé par Luther, Wesley, la Pentecôte. Et nous verrons que la pyramide sera coiffée l’un de ces jours. Vous savez qu’elle n’a jamais été coiffée, la pyramide qui se trouve au verso de votre dollar. « Le grand sceau », comme on l’appelle. Et nous, en Amérique,… Voici le sceau américain de ce côté-ci, mais pourquoi appelle-t-on le grand sceau, celui qu’Enoch a construit ? Maintenant, il ne s’agit pas de la doctrine sur la pyramide, car je ne crois pas dans ce genre d’histoires.
Mais ils n’ont jamais coiffé la pyramide. Pourquoi ? La – la Pierre de faîte a été rejetée. Mais un de ces jours, Elle reviendra. Dieu soit loué ! Et, voyez-vous, dans cette Pyramide, j’y ai été, les pierres sont taillées de manière si correspondante que vous ne pouvez même pas y faire passer une lame de rasoir, il n’y a pas de mortier entre elles. Elles s’assemblent si parfaitement que c’est comme si c’était une même pierre. Et quand cette église sera taillée et amenée à l’image parfaite de Jésus-Christ, Il viendra, Il ressuscitera tous les saints quand Il viendra et Il les amènera avec Lui. L’Eglise du Dieu vivant sera enlevée.
89 Mais, frères, nous ne serons pas comme Eve, l’un ayant ceci et l’autre ayant cela, un corps défiguré. Ce sera littéralement ce que Dieu a dit. Vous dites : « Frère Branham, qu’a-t-Il dit alors ? Il ne nous l’a jamais dit. »
Très bien, Pierre l’a dit. Quand les gens ont voulu savoir : « Comment entre-t-on dans ceci ? » Qu’est-il arrivé ? Il nous a donné la formule.
Eh bien, s’Il avait dit de serrer la main et de se joindre à l’église, ce serait cela la chose. Et s’Il avait dit de se tenir sur la tête, ce serait cela la chose. S’Il avait dit, nous allons instituer un grand homme, et établir un grand corps, un grand pape, un grand ceci, cela, ce serait cela la chose.
Mais qu’a-t-Il dit ? « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
90 Et tant que Dieu appelle, ça doit être la même formule, pas serrer la main, réciter un credo, mais être baptisé du Saint-Esprit pour former le Corps de Jésus-Christ. C’est ainsi que l’Eglise chrétienne doit être dirigée, pas par des crédos, pas par une dénomination, pas par l’instruction, pas par la théologie, mais par le baptême du Saint-Esprit, afin de conduire des hommes et des femmes. Et Il ne vous conduira jamais en dehors de la Parole de Dieu. Il vous conduira droit à la Parole de Dieu, parce que « l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu ».
Avez-vous encore deux ou trois minutes, quatre ? J’ai une autre conférence que j’aimerais évoquer pour vous. J’ai mentionné cela ici, c’est Actes 4 qui en parle, et je sais ce que cela signifie.
Actes 4, après que les disciples eurent commencé à prêcher, les églises se mirent à les critiquer. Elles ont commencé à leur faire… Les églises disaient : « Eh bien, attendez un instant. Vous pouvez aller de l’avant et accomplir vos miracles. Vous pouvez faire toutes ces choses. Mais ne prêchez plus au Nom de Jésus-Christ. » Ils les ont frappés jusqu’à… meurtrissures et tout le reste. Qu’ont-ils donc fait ? Il fallait que quelque chose soit fait. Ils étaient frappés d’une interdiction ; la loi déclarait qu’ils ne pouvaient plus prêcher comme cela.
91 Oh ! frère, j’aurais souhaité avoir juste un peu plus de temps. L’heure vient où soit vous ferez entrer votre organisation dans le conseil mondial des églises, vous allez… Si vous faites cela, vous recevez l’image de la bête ; en effet, vous avez un pouvoir exactement comme c’était à Rome. Et si vous ne le faites pas, vous serez une église isolée, indépendante. Et alors, l’image de la bête va fermer vos portes, et vous serez frappé d’interdiction. Et alors, vous aurez besoin d’une conférence. Voyez-vous ?
« Les gens nous disent que nous ne pouvons plus, que nous ne pouvons pas prêcher au Nom de Jésus. Consultons Dieu et voyons si nous le pouvons ou pas. » Ils sont donc montés tenir une conférence. Eh, oh, oh, oh ! excusez-moi. Il nous en faut une comme celle-là ce matin. « Est-il convenable pour nous d’obéir à l’homme ou à Dieu ? », a dit l’apôtre.
92 Ils ont tenu une conférence sur ce que nous avons eu ce matin. Ils se sont levés et ont donné la… leur… « L’église nous dit que nous ne pouvons pas prêcher, à moins de nous joindre à leur groupe », et ainsi de suite. « Et nous ne pouvons pas avoir ce ministre, à moins que l’organisation le déclare. Et peu importe combien c’est oint, nous devons faire ceci, cela », et vous savez comment ça se passe, chaque groupe et ainsi de suite.
« Qu’allons-nous faire ? » Ils ont tenu une conférence, ils se sont agenouillés et ont commencé à prier. C’est la Conférence d’Actes 4. Et alors, tous d’un commun accord : « Seigneur, pourquoi de vaines pensées parmi les peuples, ou plutôt ce tumulte parmi les nations, et ces vaines pensées parmi les peuples ? Etends la main de Ton Saint Fils, Jésus, pour guérir les malades. On nous a interdit de faire ceci. » Et tous priaient d’un commun accord.
93 Vous parlez… Certains nous critiquent parce que tout le monde prie au même moment. Comment auriez-vous voulu être dans ce groupe-là, tous d’un commun accord ? Quelqu’un a dit : « Comment Dieu peut-Il entendre cela ? »
Combien de prières pensez-vous qu’Il entend à la fois de toute façon ? Vous oubliez une chose : Il n’est pas limité ; Il est infini. Voyez-vous ?
Et quand ils ont tous prié d’un commun accord, la Bible dit que la maison où ils s’étaient assemblés trembla. Amen. Les conclusions étaient envoyées. Et ils sont allés prêcher Jésus-Christ partout, Dieu oeuvrait avec eux, confirmant la Parole. La conférence d’Actes 4 – 4.
94 Oh ! frère, juste une minute. Il y a une autre conférence. Il se peut que vous n’ayez pas assisté à l’une de ces conférences ; il se peut que vous n’ayez pas assisté à ces conférences du monde. Rappelez-vous, il se peut que vous n’y ayez pas assisté ; mais, rappelez-vous, il y a une conférence dont je vais parler maintenant, et à laquelle vous allez assister. Peu importe qui vous êtes, vous allez y assister. Vous étiez excusable jusqu’à maintenant. Mais à partir de cet instant, vous ne le serez pas. C’est la conférence qui se tiendra au Jugement. C’est juste. Vous allez tous être là, chacun de nous. Et nous allons rendre compte de ce que nous avons fait et dit sur cette terre. C’est une conférence à laquelle vous allez assister.
Chaque fois que vous entendez une sirène passer dans la rue, rappelez-vous, cela vous interpelle. Vous n’êtes pas ici pour très longtemps. Quand vous voyez un cheveu gris apparaître, des épaules se voûter, quand vous voyez un hôpital, une tombe, qu’est-ce ? C’est un témoignage que vous n’êtes pas ici pour toujours, et vous vous dirigez vers cette conférence. Et nous allons tous y être.
95 Nous allons devoir rendre compte de ce que nous avons fait de Jésus-Christ. Est-ce juste ? Et qui est Jésus-Christ ? La Parole. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous ; Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Dieu oeuvrant dans les trois dispensations.
C’est la raison pour laquelle Il a dit qu’Il s’appelle Père, Fils et Saint-Esprit. Voyez-vous ? Non pas trois Dieux différents. C’est là que vous vous embrouillez. Il ne s’agit pas de trois Dieux différents, il s’agit d’un seul Dieu dans trois manifestations (Voyez-vous ?) de – d’un seul Dieu. Nous n’avons qu’un seul Dieu. Nous ne sommes pas des païens. Voyez-vous ? Mais nous avons un seul Dieu, et trois manifestations. C’est la raison pour laquelle Matthieu a dit : « Baptisez-les au Nom du Père, Fils et Saint-Esprit », parce que, voyez-vous, c’était un… un… Ce même Dieu qui était dans l’Ancien Testament, c’était le même Dieu qui a été rendu manifeste, et c’est le même Dieu qui est ici aujourd’hui. Jésus-Christ, le même pour lequel Moïse a abandonné le monde en Egypte, le même qui était alors est ici aujourd’hui. Et ce sera éternellement le même : Jésus-Christ, et Il est la Parole. Amen.
96 Dieu doit juger l’Eglise par quelque chose. Dieu doit juger le monde par un certain standard. Croyez-vous cela ? Eh bien, s’Il va le juger par l’église, quelle église ? S’Il le juge par l’Eglise catholique romaine, les grecs sont perdus. S’Il le juge par les grecs, les romains sont perdus. S’Il le juge par les méthodistes, les baptistes sont perdus. S’Il le juge par les baptistes, les méthodistes sont perdus, et vice versa. S’Il le juge par les unitaires, les binitaires sont perdus. S’Il le juge par les binitaires, les trinitaires sont perdus. S’Il le juge par les trinitaires, les autres sont tous perdus. Vous y êtes.
97 Qu’est-ce ? Qu’est-ce, frère ? C’est un tas d’absurdités. Dieu doit avoir un certain standard. Si je devais me joindre à une église, à laquelle vais-je me joindre ? Il n’y en a qu’une seule, et on ne s’y joint pas. Je suis dans la famille Branham depuis cinquante-quatre ans, et je ne me suis jamais joint à cette famille. Je suis né un Branham. Je suis un Branham parce que mon père est un Branham. Je suis un chrétien parce que mon Père un… est Dieu. Amen. Nous sommes des chrétiens sur cette base-là. Nous sommes des chrétiens. Nous sommes nés de Son Esprit. Et l’Esprit de mon Père étant en moi, j’ai les attributs de Dieu en moi, et ils se manifestent comme ils se sont manifestés dans Son Fils Jésus-Christ. Vous y êtes. « Sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise. Non par… La chair et le sang ne t’ont pas révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux qui l’a révélé. Sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise. »
98 Si Dieu juge le monde par l’Eglise catholique, les protestants sont perdus. S’Il le juge par – par les protestants, par quelle église protestante sera-ce ? S’Il juge par l’Eglise catholique… Il existe plusieurs différentes peurs de… sphères de l’Eglise catholique. Alors laquelle sera-ce ? Vous voyez, quelqu’un peut être dans la confusion ; il ne saurait que faire.
Mais voici par quoi Dieu va le juger : la Parole. C’est ça le standard. « Le ciel et la terre passeront mais Ma Parole ne faillira pas. » C’est sur ça que je me tiens. Tout autre terrain n’est que sable mouvant, tout autre terrain n’est que sable mouvant. Sur Christ, le Roc solide, je me tiens. Tout autre terrain n’est que sable mouvant.
Je compte là-dessus. Je ne me fie pas à ce que je suis. Je me fie à ce qu’Il est. Je ne peux pas – je ne peux pas aller au Ciel. Jésus a dit que je dois être parfait pour y aller. « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » Comment pouvez-vous l’être ? Mais quand vous avez… Ne regardez pas à vous-même, mais à votre sacrifice.
99 Eh bien, au temps de l’Ancien Testament, si un petit mulet naissait avec les oreilles rabattues, les genoux cagneux, qu’il louchait, eh bien, il savait qu’on lui briserait la tête. Il ne valait rien. Mais si la mère pouvait lui dire : « Fiston, tu es né avec un droit d’aînesse. Puisque tu es donc né ainsi, tu vivras, mais celui qui meurt pour toi devra être un agneau parfait, il devra être offert afin que toi, tu puisses vivre. » On brisait le cou du – du – du cheval s’il ne valait rien. Et il ne vaut rien. Mais, voyez-vous, mais un agneau parfait doit mourir pour que lui puisse vivre.
Si vous dites que vous ne valez rien… « Je ne suis pas digne d’être guéri, Frère Branham. Je ne suis pas digne de venir à Christ. » Ne regardez pas à vous-même, regardez à votre Sacrifice. Je ne vaux rien. Il n’y a rien de bon en moi, pas même une pensée. Il n’y a rien de bon, rien de bon en vous. Aucun d’entre nous ne mérite quoi que ce soit sinon l’enfer. C’est exact.
100 Mais, oh, regardez ce qui se tient là pour nous représenter. Regardez ce qui se tient là pour nous représenter. Et voici Sa Vie sous forme imprimée, essayant d’être manifestée à travers nous. Et puis, à cause d’un petit credo quelconque, nous la rejetons. Oh ! il nous faut une conférence. Oui. C’est la raison pour laquelle je peux monter sur l’estrade, sans avoir peur que quelque chose arrive, se passe de cette façon-ci, de cette façon-là, ou faillisse, ou que quelque chose ne marche pas. Non, je regarde à mon Sacrifice.
« Billy, qu’as-tu fait cette semaine ? » J’ai fait assez pour mourir dans une heure. Pour commencer je – je suis un pécheur. Mais je regarde à Celui qui m’a fait la promesse. Je regarde à Celui qui a dit ceci. « N’aie pas peur. Tiens-toi là. C’est dans ce but que tu es né. Je t’ai suscité dans ce but. » Alors tous les démons de l’enfer ne peuvent pas m’ébranler. Je me tiens là sur Christ, ce Roc solide.
101 Quelqu’un parmi vous se souvient-il de Paul Rader ? Un grand guerrier de Dieu. Quand j’étais petit, je m’asseyais à ses pieds… Il est mort ici en Californie, il n’y a pas longtemps. Quand il mourait… Lui et son frère Luc étaient attachés l’un à l’autre, comme moi et mon fils ici présent. Ils partaient ensemble, la main dans la main, comme des frères, juste comme un père et son fils. Et Paul est arrivé à la fin de la route.
L’Institut Biblique Moody avait envoyé chanter là un petit quatuor. Et ils avaient baissé tous les stores de l’hôpital. Et Luc avait une espèce de… Je veux dire, Paul avait le sens de l’humour, vous savez. Et il s’est tourné vers ce petit quatuor, et ils chantaient Mon Dieu, plus près de Toi. Il a dit : « Qui est mourant, vous ou moi ? » Il a dit : « Relevez ces rideaux-là et chantez-moi de bons et chauds cantiques évangéliques. » Et ils se sont mis à chanter :
Là à la croix où mourut mon Sauveur.
Là j’ai crié pour être purifié du péché ;
Là le sang fut appliqué à mon coeur ;
Gloire à Son Nom !
Il a dit : « Ça sonne mieux. » Il a dit : « Où est Luc, celui qui m’est resté fidèle envers et contre tout ? »
Ce dernier ne supportait pas de voir son frère mourir. Il était dans la pièce à côté. On est allé le chercher. Paul a levé son énorme main vers Luc, et Luc a saisi sa main. Les larmes coulaient sur ses joues.
Il a dit : « Luc, penses-y. Nous sommes ensemble depuis longtemps. Nous avons attrapé des tas d’épines à travers beaucoup de fossés. Mais penses-y, dans cinq minutes, je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice. » Voilà !
102 Paul m’a raconté… Il a dit qu’il… Quand il était jeune, il est venu de l’Oregon. Il était un – un forestier, et il abattait les arbres. Et il a dit que pendant qu’il était dans l’une de ces îles… J’oublie où c’était ; en Amérique du Sud, c’était là. Et il oeuvrait comme missionnaire là-bas. Et il a contracté la fièvre bilieuse hémoglobinurique. Vous savez – vous savez ce que c’est. Cela vous tue aussitôt. Tout au fond de la jungle, à des kilomètres d’un médecin. Paul était un grand croyant de la guérison divine, comme vous le savez.
Ainsi donc, il – il a parlé à sa femme, il a dit… On est allé chercher un médecin. Il a dit : « Cela ne changera rien. Je ne pourrais pas tenir jusqu’alors. »
Alors sa femme a dit : « Chéri, agenouille-toi ici à côté du lit et parle à notre Médecin. Appelons-Le sur la scène. »
Alors sa femme a commencé à prier : « Ô Dieu, ne laisse pas mourir mon bien-aimé mari. Il est ici dans les champs missionnaires pour Toi. Ne le laisse pas mourir. »
103 La fièvre faisait rage, il était presque inconscient, partant et revenant. Il a dit : « Chérie, il fait de plus en plus sombre. Je ne pourrais tenir encore qu’un petit moment. » Il a dit : « Continue simplement à prier, chérie. »
Et il est entré dans le coma. Il a dit qu’il a eu un songe. Il a dit que dans le songe, il était rentré dans l’Oregon, un jeune homme. Et il a dit qu’il avait un patron dans le camp des bois de charpente. Ce dernier a dit : « Paul, monte là au sommet de la colline, et abats pour moi un arbre de telle dimension, ensuite apporte-le-moi. »
Il a dit : « D’accord, Patron. »
Et il est monté jusqu’au sommet de la colline, et il a dit qu’il a vu cette hache… Vous savez, plus vous allez au nord, eh bien, plus le bois devient tendre ; et plus vous allez au sud, plus il devient dur, le même bois. Il est donc monté là, et il a dit qu’il a commencé à voir la hache s’enfoncer davantage, le morceau dans l’arbre, alors qu’il abattait l’arbre. Il l’a élagué, et il l’a arrangé, il a enfoncé la hache dans le tronc, jusqu’au tronc de l’arbre, la grande partie, et vous savez, en soulevant, il devait mettre ses genoux ensemble pour le soulever. Il a dit qu’il était un homme fort. Vous savez comment Paul était : un homme petit de taille et fort.
Il s’est donc mis à soulever l’arbre, et il n’y arrivait simplement pas. Il a dit : « Je me suis battu et j’ai essayé, et je me suis senti très… Je devais amener ce rondin au patron là en bas. » Il a dit : « Je n’arrivais simplement pas à le soulever. » Il a dit : « J’ai tiré fort – tiré fort et j’ai essayé de traîner, et j’ai tiré fort et j’ai essayé de traîner, a-t-il dit, jusqu’à ce que j’ai perdu toutes mes forces. » Et il a dit : « Je me suis assis contre l’arbre, et je me suis dit : ‘Je suis tellement épuisé que je n’arrive même plus à bouger.’ » Il a dit : « Directement, j’ai entendu la voix la plus douce que j’aie jamais entendue. C’était mon patron. Et il a dit : ‘Paul, pourquoi te débats-tu avec cela ?’ »
Il a dit : « Patron, je – je – je n’arrive simplement pas à le soulever. C’est trop grand. Le fardeau est trop lourd pour que je le transporte. Je n’arrive pas à aller plus loin avec ça. »
Il a dit : « Paul, il y a un ruisseau qui coule juste à côté de toi. Pourquoi ne le jettes-tu pas dans le ruisseau, et ne sautes-tu pas dessus pour descendre les courants ? Et il passe juste à côté du camp. »
Il a dit : « Je n’avais pas du tout pensé à cela. »
Et quand il a jeté cela dans les courants, il s’est retourné, et son Patron c’était Jésus. Et il a dit qu’il a carrément sauté sur le tronc et il a descendu les courants, faisant clapoter l’eau, criant : « Je chevauche cela ! je chevauche cela ! je chevauche cela ! » Et il a dit qu’il a repris connaissance, et qu’il se tenait juste au milieu de la pièce, les deux mains en l’air, disant : « Je chevauche cela ! je chevauche cela ! je chevauche cela ! »
104 « Je ne porte rien dans mes mains, je m’attache simplement à Ta Parole. » Frère, soeur, il n’y a rien de bon dans n’importe quel homme. Il n’y a rien de bon dans qui que ce soit d’autre que Jésus-Christ. Et je chevauche chaque promesse ici ce matin. Et un jour, je compte chevaucher, jusque dans Sa Présence, le Sang versé du Seigneur Jésus-Christ.
Inclinons la tête.
Je chevauche cela. Je chevauche cela. Non pas mon adhésion ni ma dénomination, ni ma propre justice, mais je chevauche la Parole de Dieu. Je crois que par le Sang juste de Jésus-Christ, je Le verrai un jour. Je serai changé et rendu semblable au corps de Sa gloire. Je serai à Son image. Je Le verrai tel qu’Il est.
105 Alors que je me vois prendre peu à peu de l’âge, ma petite chevelure grisonne, mes épaules se voûtent, je n’en ai plus pour longtemps. Je suis derrière la chaire depuis une trentaine d’années. J’aurais souhaité avoir mille vies à vivre pour Lui. J’aurais souhaité avoir cela. J’aime Son peuple.
Sur quoi comptez-vous ce matin ? Sur une quelconque bonne oeuvre que vous avez faite ? Sur une église que vous fréquentez ? Vous tenez-vous vraiment sur la Parole de Dieu ? Avez-vous réellement fait une expérience ? Avez-vous entendu que… Avez-vous tenu une conférence personnelle avec Dieu, et les conclusions sont-elles retournées comme à la Pentecôte ? Pas sur base d’une substitution, pas sur base d’une poignée de mains, pas sur base d’une confession mentale, mais sur base du Feu du Saint-Esprit qui vient dans votre vie et change tout ce que vous faites et dites ? Si vous n’avez pas connu cela, je vous prie de lever la main et de dire simplement : « Priez pour moi, Frère Branham. Je ne suis pas… » Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! les mains !
106 Et vous les pentecôtistes ? Certains d’entre vous qui… Vous connaissez cela juste d’après la tradition, vous allez à l’église, vous aimez la musique, et vous pouvez vous comporter comme un pentecôtiste. Mais en fait, tout au fond de vous, vous savez qu’il manque quelque chose. Vous savez qu’il manque quelque chose. Ce matin, à cette table de petit-déjeuner, si vous voulez vraiment…
Vous savez qu’il peut se faire que je ne vous revoie plus jamais à un autre petit-déjeuner, mais je veux vous voir à un souper, quand tout sera terminé. Vous qui n’avez jamais fait cette expérience, voulez-vous lever la main et dire : « Priez pour moi, Frère Branham. Maintenant, je veux devenir… » Que Dieu vous bénisse. C’est juste. Vous dites : « Cela fait-il quelque chose de lever la main ? » Si, si vous êtes sincère. Il vous verra.
Maintenant, croyez-vous que je suis Son serviteur ? Beaucoup m’ont appelé prophète. Je ne prétends pas être un prophète. Non. Mais si vous croyez que Dieu me parle, écoutez-moi maintenant. Sincèrement, quand vous levez la main et croyez cela, observez ce qui vous arrivera.
107 Maintenant, s’Il me permet de savoir ce qu’il y a dans votre coeur… S’il peut me dire ce pour quoi vous avez prié avant de quitter chez vous et ce que vous avez fait, les paroles que vous avez prononcées, ce que vous avez fait dans votre vie, qui vous êtes, d’où vous venez, ce qui va vous arriver après, et que cela arrive, alors certainement qu’Il me parle maintenant.
Tenons… Faisons de ceci une conférence, ce matin. Qu’en pensez-vous, méthodistes, baptistes, presbytériens, pentecôtistes, unitaires, binitaires (Oh ! ce que…), Eglise de Dieu, Assemblées de Dieu, qui que vous soyez ? Tenons simplement une conférence. Voyons si nous n’avons pas besoin d’un peu d’amour les uns pour les autres. Voyons si cela ne va pas plutôt guérir la chose, si nous avons simplement un peu plus d’amour et de considération les uns pour les autres. Allez-vous le faire ? Très bien.
108 Tenons-en une comme celle d’Actes 4, et confessez tout mal que vous avez commis. Et juste par-dessus cette table où vous vous trouvez, cet autel où nous demandons la bénédiction… C’est un autel familial, la table, là où vous remerciez Dieu pour le pain quotidien. Et, rappelez-vous, quand vous mangez… Pour que vous mangiez, quelque chose doit mourir, afin que vous puissiez vivre physiquement. Le savez-vous ? Si vous mangez de la viande, un animal est mort. Si vous mangez du pain, le blé est mort. Si vous mangez des légumes, des légumes sont morts. C’est une forme de vie. Et le seul moyen pour que vous viviez physiquement, il faut que quelque chose meure, afin que vous viviez physiquement.
N’est-ce pas la chose, mes amis, pour vous montrer que les feuilles de figuier et les idées humaines ne peuvent pas marcher ? Quelque chose a dû mourir afin que vous viviez éternellement. Quelque chose a dû mourir. Pas une église, pas… Vous… C’est – c’est Christ qui est mort pour vous. Recevez cela, maintenant, je vous prie. Alors que nous avons la tête inclinée, que chacun de vous garde dans son coeur ce dont il a besoin. Au revoir, et que Dieu vous bénisse.
109 Père céleste, j’ai retenu cet aimable auditoire de gens, car je ne sais pas, Toi, Tu le sais, ceci pourrait être la dernière fois. Une chose est vraie, Tu peux revenir avant la tombée de la nuit. Tu peux revenir avant mon retour. Une chose est certaine : Tu reviens. Il se peut que je meure. Il se peut que je doive quitter la terre. Il y en a beaucoup ici. Si je dois revenir ici dans un an, sans doute qu’il y a des gens ici qui ne seront plus là. Ils seront partis. Cette occasion est la dernière, Seigneur, où nous nous rencontrons. Certains d’entre nous ici savent que ceci sera notre dernière réunion ici sur la terre. La prochaine fois que je les rencontrerai, ce sera là au Jugement. Et il me faudra répondre pour tout ce que je leur aurai dit ce matin en tant que ministre. Je leur ai présenté cette Parole, Père. C’est tout ce que je pouvais faire.
110 Maintenant, il y a beaucoup de gens qui ont dit, à cette conférence ce matin, qu’ils veulent en parler avec Toi. C’est ce qu’ils font maintenant, Seigneur ; ils ont levé la main. Ils témoignent qu’ils – ils – ils… Ils sont fatigués, Seigneur ; ils sont épuisés, et ils savent que les conférences du monde ne peuvent plus rien donner.
Il n’y a plus d’espoir. Nous ne pouvons rien bâtir. Toutes les nations ont des bombes atomiques, à hydrogène, des bombes à poison, des astronautes et tout, Seigneur. La terre entière frémit et tremble. Elle sera bientôt purifiée et apprêtée pour un glorieux Millénium. Elle aura des secousses comme un… oh ! et voler en éclats. Elle titube donc comme un homme ivre rentrant chez lui à minuit, en chancelant dans les ténèbres, et elle ne sait pas où elle va.
111 Ô Père, mais il y a un fondement. Il y a une assurance. Car nous recevons un Royaume inébranlable. Je prie, ô Père, que chacun se hâte pour venir dans ce Royaume ce matin, en Jésus-Christ. Bénis-les, Père, pendant qu’ils ont la tête et le coeur inclinés. Ils attendent la réponse maintenant. Nous sommes dans une conférence. Envoie la réponse maintenant même , ô Père, à tout le monde.
Certains ont besoin du salut. D’autres, c’est pour eux la première fois, d’autres c’est… C’est… Ils vont – ils vont simplement oublier leurs crédos. Ils – ils veulent trouver cette… la manière dont Cela est descendu la première fois. Ils ont besoin de Ta décision, pas de la décision de l’église, pas de la décision d’un certain credo, mais de la décision de la Bible, de la décision que Dieu a prise dans Actes 2, lorsqu’Il a envoyé le Saint-Esprit et le Feu sur l’Eglise. C’était la décision qu’Il avait prise, sur la manière dont l’Eglise devrait vivre et ce que les gens devraient faire. En laissant de côté tout le reste, Père, nous nous attendons à cette décision. Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même, et baptise tout le monde.
112 Pendant que nous avons la tête inclinée,
Ils étaient dans la chambre haute,
Ils étaient tous d’un commun accord,
Quand le Saint-Esprit est descendu,
Comme l’avait promis notre Seigneur. (C’est Sa Parole de la promesse.)
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même, (Priez maintenant)
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
Ô Seigneur, envoie Ta puissance … même,
Je vois des prédicateurs faire tourner les gens vers la table pour prier avec eux. C’est juste.
… la puissance… même…
Ne pensez pas que nous nous tenons simplement ici en train de parler, Il est ici.
Ô Seigneur…
Si vous êtes… Ne regardez pas à quelqu’un d’autre. Fermez vos yeux et regardez à Lui par la foi.
… baptise tout le monde. (Rappelez-vous)
Ils étaient dans la chambre haute,
Ils étaient tous d’un commun accord,
Quand le Saint-Esprit est descendu
Comme l’avait promis notre Seigneur.
Nous y voilà, tous les différents crédos.
Ô Seigneur… (Nous sommes dans une… nous sommes dans l’unité maintenant.) maintenant. (Croyez maintenant.)
Ô Seigneur, envoie Ta puissance…
Considérez comment Il est venu vers nous cette semaine. Le voici ici même maintenant, juste à côté de vous, si vous voulez bien croire cela.
… maintenant,
Et baptise tout le monde.
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta…
Je Te donne mon coeur, Seigneur. Je Te donne tout. Voici ma main ; je – je me consacre à Toi maintenant. Envoie Ta puissance sur moi maintenant.
Et baptise tout le monde. (Encore.)
Ô Seigneur…
Chantez-le jusqu’à ce que cela devienne une réalité pour vous. Voyez ? Maintenant, fermez vos yeux, fermez vos coeurs à toutes les folies et à tout ce qui est du dehors.
… maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô (priez maintenant ; demandez-Lui cela.) puissance maintenant même,
Ô (Confessez vos péchés.) Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
113 Maintenant, Père, je Te prie de purifier chaque coeur. Nous confessons nos péchés. Nous confessons nos torts. Nous avons tort, Seigneur, nous tous ensemble. Nous sommes tous coupables. Nous sommes privés de la gloire de Dieu. Ô Dieu, ne veux-Tu pas, dans Ta miséricorde et Ta compassion, poser Ton regard sur nous, Seigneur ? Nous sommes un peuple nécessiteux, et nous voyons la vision de la Venue du Seigneur. Il foule la vendange, là où les raisins de la colère sont emmagasinés. Il a lâché le fatal éclair de Sa terrible et rapide épée. Sa vérité, la Bible, est toujours en marche, en marche. Elle marche sur les crédos ; elle marche sur les dénominations ; elle marche sur tout. Ta vérité est toujours en marche.
… envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
Ô Seigneur, envoie Ta puissance… même (Je le crois, Seigneur, je le crois.)
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
114 Pendant que la musique continue de jouer et que vous êtes en prière, maintenant si vous purifiez à fond votre coeur, que tout est confessé, que vous avez vraiment déposé cela sur l’autel maintenant… Eh bien, Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession. Il ne peut – ne peut vous aider que si vous croyez cela. Si vous avez confessé vos péchés, vous avez confessé vos torts, vous avez fait tout, vous avez confessé que vous avez été trop lent, quoi que vous ayez confessé, cela repose à présent sur l’autel du sacrifice. Maintenant, posez vos mains sur Jésus et identifiez-vous. Identifiez-vous par la foi. Posez vos mains sur Jésus. Et alors, levez les yeux vers Lui et dites : « J’accepte cela, Seigneur. Je crois en Toi maintenant. »
Je le peux, je le veux, je le crois ;
Je le peux, je le veux, je le… (Croyez cela de tout votre coeur maintenant.)
Je le peux, je le veux, je le crois;
Que Jésus me sauve maintenant.
115 Oh ! croyez-vous cela maintenant, avec votre sacrifice sur l’autel… ? Sur l’autel, ce que vous avez déposé, tous vos différends ; vous avez déposé cela sur l’autel. Maintenant, par la foi, posez vos mains sur votre Sacrifice, Jésus, qui est assis à la droite de Dieu pour intercéder pour vous sur base de votre confession, selon laquelle vous croyez de tout votre coeur qu’Il a agréé ce que vous Lui avez offert. Si vous croyez que Jésus-Christ a agréé ce que vous Lui avez offert ce matin : « Je Te donne ma vie, Seigneur. J’ai été froid, j’ai été indifférent. Je – j’ai fait des choses que je n’aurais pas dû faire. Mais dès cet instant, je veux me rapprocher de Toi, et je crois que je reçois cela. Je pose mes mains sur Toi maintenant, pendant que je fais ma confession. »
Croyez-vous cela ? Croyez-vous que Dieu a écouté votre prière ? Si oui, levez la main vers Dieu, et dites : « Je crois que Tu as écouté ma prière. J’ai fait ma confession, et je crois que tu écoutes ma prière. Maintenant, je vais me lever et Te louer pour cela. Je vais Te rendre grâces. »
Levez-vous maintenant et dites : « Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Je crois en Toi, je Te loue maintenant de m’avoir donné l’assurance dans mon coeur. » Maintenant, levez simplement les mains et louez Dieu à l’ancienne manière, tel que Dieu voudrait que vous le fassiez.