Les Conférences
1 ... temps d’écouter vos témoignages, et rentrer après avoir été dans les champs missionnaires, et entendre quelqu’un témoigner. Je suis certainement heureux de voir là frère Jeffries (Je l’appelle Creechy.). Je ne savais pas qu’il était présent à la réunion. Et je sais que cela représente beaucoup pour vous aussi, revenir du champ de bataille, où les lumières sont faibles, et revenir dans cette… sous cette belle atmosphère des chrétiens, et les gens sont tous ensemble et libres dans l’Esprit. Je – j’aime ceci, là où les gens sont libres, se sentent libres. Et cela fait quelque chose. Nous n’essayons pas d’avoir un comportement guindé. Ils sont simplement – simplement... On avait l’habitude de dire : « Débarrassez-vous de votre col et sentez-vous chez vous. » J’aime cela. Je suis certain que nous tous, nous le faisons, n’est-ce pas ?
2 Je... Je réfléchissais, quand j’ai regardé ma fille Rebecca par ici; je me souviens d’une fois où j’étais en voyage pour une série de réunions. Et elle était petite à l’époque, sa... Et elle a une petite soeur de quatre ans plus jeune. Et donc Becky a des yeux bleus et elle est plutôt grande, et Sara a des yeux bruns et elle était plutôt petite de taille. Elles étaient donc toutes des filles à papa. Et j’aime vraiment les enfants, et le Seigneur m’a donné de bons enfants.
Et ainsi, elles attendaient pour me voir. A mon retour, elles voulaient jouer un peu avec moi. Alors, le marchand de sable est passé par là, et elles ont dû aller dormir vers minuit ou une heure. Et ce n’est que vers deux ou trois heures du matin que l’avion a atterri. Et je suis entré pour me coucher, mais je n’arrivais pas à dormir. Et je suis allé au salon, je me suis assis dans le fauteuil. Et c’est en quelque sorte une petite plaisanterie que je raconte à leur sujet. Et c’était un...
3 Quelque temps après, le jour s’est levé, et Rebecca que voici s’est réveillée et – et elle savait que je devais être à la maison. Et – et elle a jeté un coup d’oeil et a vu Sara encore endormie. Alors elle a regardé et m’a vu assis dans la pièce, et la voici qui vient aussi vite que possible. Et elle a sauté sur mes genoux, les deux bras [autour de moi]. Et à ce moment-là, Sara, sa petite soeur, s’est réveillée. Eh bien, elle a regardé, et… mais Becky l’avait déjà devancée auprès de moi. Je compare donc en quelque sorte ceci à l’église qui existe depuis longtemps. Et Becky était plutôt mince, avec de longues jambes, et elle pouvait se tenir très facilement sur mes genoux et ses deux pieds touchaient le plancher. Elle était très bien en équilibre, vous savez. Je dis ceci plutôt à notre frère méthodiste qui est ici, c’est depuis longtemps qu’il est là, vous savez, et il a grandi un peu.
Eh bien, Sara était un peu petite de taille. Et je ne sais pas si vos enfants le font ou pas (les miens le font), l’un va... Si le plus âgé reçoit quelque chose de neuf, après, cela ira au suivant, et puis au suivant. Et – et Sara portait le pyjama de Becky. Et c’était ce pyjama aux pattes de lapin qu’elles avaient dans le temps, vous savez. C’était un peu grand, et ses petits pieds nageaient dedans. Elle a donc traversé la maison.
4 Et Rebecca m’a entouré de ses bras, puis elle s’est retournée et a regardé en arrière vers Sara, et elle a dit : « Sara, ma soeur, je veux que tu saches que je suis arrivée ici la première. » Elle a dit : « Et j’ai pris papa tout entier et il ne reste rien pour toi. »
Eh bien, Sara s’est sentie un peu délaissée, vous savez. Alors ses petites lèvres se sont rabattues.
Et cela me rappelle un peu les églises qui sont peut-être sur la route depuis longtemps, vous savez. Elles connaissent tous les tenants et aboutissants de la chose, et elles peuvent s’asseoir avec toute la théologie et vous l’expliquer, et en parler en grec, et ainsi de suite. Je compare cela à Rebecca.
Ainsi donc, Sara a regardé tout autour, avec ses petites lèvres rabattues, elle s’est retournée et s’est mise à rentrer en chambre. Je lui ai fait en quelque sorte un clin d’oeil et je lui ai fait signe comme cela, et je lui ai tendu mon autre jambe. C’est justement ce qu’elle attendait. La voici venir, elle a sauté sur cette jambe. Et elle était… ses petites jambes étaient courtes, vous savez, et elle ne pouvait pas toucher le plancher. Elle était plutôt confuse. Je l’ai donc entourée de mes bras pour l’empêcher de tomber, je l’ai fortement étreinte. Elle a mis sa tête sur ma poitrine et y est restée un peu, puis s’étant tournée vers Rebecca, elle a dit : « Et, Rebecca, ma soeur (Voyez-vous ?), a-t-elle dit, je veux que tu comprennes aussi quelque chose. Il est peut-être vrai que tu es arrivée la première et que tu as papa tout entier. Mais je veux que tu saches que papa m’a prise tout entière. »
Il en est donc – donc ainsi. Je... Vous savez, je peux ne pas connaître tous les tenants et aboutissants, mais aussi longtemps qu’Il m’a pris tout entier, c’est tout ce qui nous préoccupe. Qu’Il nous prenne et nous utilise comme Il le veut.
5 J’apprécie certainement mon séjour de cette fois, et cette belle communion fraternelle parmi ces bons frères ministres, toute la collaboration des ouvriers indépendants, et tout ce qui a été fait, le Ramada, et leur précieuse collaboration. Seulement, je suis désolé que ce soit juste – juste quatre jours. Voyez-vous, à peine vous commencez à connaître les gens, et les gens commencent à vous connaître, et c’est alors – c’est alors que vous devez partir, juste au moment où quelque chose peut réellement être fait pour – pour que Dieu soit vraiment magnifié. Et les choses qui se déroulent, il se pourrait que ça soit nouveau pour beaucoup d’entre vous, et vous ne comprenez peut-être pas cela. On ne peut pas expliquer la chose juste en une ou deux soirées. Et puis, après que vous vous êtes familiarisé, bien sûr, vous pourrez le faire.
Bien des choses se sont produites. Vous les pasteurs, retenez que dans vos églises, dans les prochaines semaines, des femmes viendront vous dire : « Vous savez, j’avais un trouble féminin. C’est – c’est parti. » Une dira : « J’avais une gastrite. C’est parti. » Je ne pouvais pas citer tous les cas. C’est simplement partout, la foi monte en flèche simplement partout.
6 Par exemple, il y a quelques instants un homme est venu ici et – et il a posé sa main sur mon épaule et a dit... J’ai regardé l’homme ; je me suis dit : « Je dois – je dois connaître cet homme. » Je l’avais vu quelque part.
Et il a dit : « Vous souvenez-vous de moi? »
Et j’ai dit : « Je ne pense pas. »
Ainsi donc, il a dit : « J’étais à votre réunion à Saskatoon, dans le Saskatchewan, dans les années 40, aux environs de 42, ou à peu près cela. » Cela fait très longtemps, plusieurs années.
Et j’ai dit : « Oui. » Je me suis dit : « J’ai vu cet homme quelque part, mais je n’arrive pas à situer cela. »
Et alors, nous... Il a continué à parler. Après quelques instants, j’ai commencé à me rappeler que, quelques soirées plutôt, pendant la série de réunions, il y avait une – une dame plutôt grisonnante, je pense, debout sur l’estrade. Et si je faisais face à l’est, c’est vraiment une tradition, j’aime simplement faire face à l’est, parce qu’Il vient de l’est... Et quand je baptise, d’habitude je baptise les gens de cette façon-là. Et c’était comme si la… toujours à ma droite, parce que chaque fois que cette Lumière vient, Elle vient par la droite. Et c’est pour cela que j’essaie toujours d’amener les gens à venir vers moi par la droite. Et je me tenais plutôt comme ceci, je pense, côté position donc, tel que ce bâtiment-là est orienté.
7 Et j’ai remarqué qu’à ma gauche se tenait près de moi une femme beaucoup plus jeune que celle qui se tenait devant moi. Et elle portait des vêtements roses. C’était différent de ceux de la femme qui se tenait là. J’ai continué à observer, puis je suis tombé, et je... Il n’y a pas moyen d’expliquer cela; vous devez simplement croire cela; c’est tout.
Et j’ai baissé les yeux. Il y avait une dame assise juste ici, juste à ma gauche, et elle était plutôt... Quelque chose n’allait pas chez elle. Et j’ai regardé en arrière, et alors un homme se tenait ici à côté d’elle. Je me suis dit : « Il y a quelque chose d’étrange. » Et j’essayais de garder à l’esprit cette femme à qui je parlais, parce que, voyez-vous, peut-être que si vous voyez arriver quelque chose, voyez-vous, cela pourrait révéler à cette femme ce qu’elle a. Vous voyez? Donc, vous... C’est très... Et Satan se met juste là pour chaque occasion qu’il peut saisir. C’est simplement la grâce de Dieu, vous voyez, qu’Il laisse cela arriver.
8 Et alors, je – j’ai regardé et j’ai vu cette femme un peu... L’une était beaucoup plus jeune que l’autre. Et une femme était un peu… avait un... Elle était déchirée, mentalement troublée. Et l’autre femme avait en quelque sorte une très profonde affliction. Et alors, cet homme...
Et j’ai compris finalement ce matin, pendant que je me tenais ici, que c’était cet homme. Et j’ai dit : « N’avez-vous pas une femme malade, qui est – qui est troublée mentalement, en quelque sorte dérangée ? »
Et il a dit : « Si. »
Et j’ai dit : « Etait-elle à la réunion d’avant-hier soir, et était-elle assise à ma gauche, habillée d’une certaine robe rose, ou quelque chose comme ça? »
Il a dit : « Oui. »
Et c’était elle. Et c’est comme ça que j’ai reconnu cet homme. Eh bien, je crois que je... Je crois que j’ai noté son nom. Je deviens... Je n’arrive pas à me rappeler très bien, un certain pasteur M-a-c-k ; il est assis ici quelque part. Et c’était juste, n’est-ce pas? Et il m’a parlé et a dit : « Il y a plusieurs années, ma femme était à votre réunion, et elle a été instantanément guérie par un miracle dont vous lui parliez et alors que vous lui révéliez ses troubles. Et elle a été instantanément guérie, une...?... deux fois, d’une rare maladie de sang et des ulcères et tout comme cela. »
9 Voyez-vous donc ce qui s’est passé ? Si je pouvais essayer de vous faire voir ce que je veux dire ! La dame avait la foi. Voyez? Dans sa foi elle croyait, mais probablement sans carte de prière ni rien. Mais elle croyait, et peut-être plus fermement que la dame qui était assise devant moi.
Et maintenant, je pense qu’il a dit que sa femme est venue. Et si je ne me trompe pas, c’est elle qui est assise juste là à côté de l’homme en question. Et c’est bien la femme. C’est bien la femme. A la voir, c’est – c’est bel et bien la dame.
Maintenant, voyez-vous la grâce de Dieu là-dedans? La dame croyait effectivement, vraiment de tout son coeur. Et sa foi était beaucoup plus grande que celle de la personne qui se tenait ici ; cela est allé vers elle. Evidemment donc, et alors l’homme m’a demandé, il a dit : « Frère Branham, y a-t-il quelque chose de très grave chez ma femme? Va-t-elle se rétablir ou quoi? »
J’ai dit : « Monsieur, je ne sais pas. »
Voyez-vous, c’est vous qui faites que la vision se produise. C’est votre propre foi qui fait cela. Voyez? C’est votre foi qui le fait, pas la mienne. Il s’agit de vous. Voyez? Jésus se tenait là, devant ces gens, et cette femme a touché Son vêtement. Il ne savait même pas qui L’avait touché. Il a dit : « Qui M’a touché? » Or, Jésus ne dirait rien juste pour le dire. Lui… réellement Il ne savait pas qui L’avait fait. Et Il a parcouru l’auditoire de yeux jusqu’à ce qu’Il eût trouvé cette femme. Voyez? Et alors, Il lui a parlé de la foi qu’elle avait.
10 Eh bien, moi je – je ne sais pas, et puis des fois... Voyez-vous, cela n’a pas été expliqué, je pense. Mais maintenant, voyez-vous, ce que vous – ce que vous êtes – ce que vous avez comme problème, c’est le Saint-Esprit qui le révèle. Et quelquefois, j’observe cela, cela devient sombre, comme une ombre. Je ne dis rien, parce que c’est peut-être la mort. Et ainsi, je dis simplement : « Partez, que le Seigneur vous bénisse. »
Et peut-être que si vous restez assez longtemps… Attendez simplement là, voyez ce que le Seigneur dit. Et alors, il s’agit de ce qu’Il dit. Maintenant, c’est ce que – que la vision a montré comme votre problème ou ce que vous avez fait. Toutefois, restez alors tranquille et attendez. Je remarque que les gens s’en vont tout simplement. Voyez? Restez tranquille; tenez-vous simplement là, et attendez, et voyez ce qu’Il dit, et alors vous verrez.
Si cela revient et que je voie une vision de ce que vous allez être... Cela montre ce que vous avez été. Si donc je vois ce que vous allez être, vous le remarquerez, c’est toujours AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et alors, notez alors cela, et voyez si cela n’arrive pas exactement comme tel. Cela ne faillira jamais.
11 Si une vision... Voici une chose dont je suis certain. Si une vision m’apparaissait ce matin, où il m’est dit que George Washington va ressusciter du cimetière présidentiel, que je dois aller là pour l’appeler, j’inviterais le monde à venir voir cela s’accomplir. C’est juste. Cela ne pourrait pas faillir. Cela ne peut pas faillir. Cela n’a jamais failli et ne faillira jamais, tant que vous n’essayez pas d’utiliser vos propres impressions.
Et maintenant, bien des fois... Je pense que tous nous sommes des pentecôtistes ici ce matin, n’est-ce pas? Bien des fois, là où je pense que les gens deviennent enthousiasmés, vous voyez, c’est quand vous avez l’impression que le Seigneur a dit ceci ou cela, et vous dites la chose alors qu’en fait ce n’est pas ça. Et ce serait faux de dire cela. Voyez? Attendez jusqu’à ce que vous soyez certain que Dieu a sûrement parlé, et ce sera chaque fois parfait. Mais si vous êtes simplement poussé à dire cela, vous pouvez le dire, mais... Et quand vous le faites, cela provoque quelque chose comme une imitation charnelle et cela... Vous... Franchement, frère, soeur, cela n’aide pas Dieu; cela fait obstacle à Dieu. Voyez? Et peut-être que Dieu vous appelle à être un témoin ou quelque chose d’autre. Alors, restez fidèle à ce que Dieu vous dit de faire. Soyez un véritable témoin.
12 Eh bien, ceci a été une grande série de réunions, l’un des plus beaux amas de foi derrière moi, de ces ministres avec lesquels je suis jamais resté. Et les gens dans l’auditoire ont été merveilleux. Et je suis seulement désolé qu’on doive clôturer si vite comme cela. Mais j’espère revenir un jour, si c’est la volonté du Seigneur.
Je pense que l’organisateur ici présent, frère Borders, a été présenté aux gens et j’aimerais qu’il se lève tout simplement. Frère Roy Borders a été avec moi dans beaucoup de grands combats. Voulez-vous vous tenir debout, Frère Borders. Il est très humble. Frère Borders ne sait pas ceci, mais cela m’a encore frappé. Je vais le lui dire maintenant. Et... Frère Borders est malade. Je dois le rencontrer pour partir – partir avec lui après le service de ce matin. Frère Borders, j’espère que cela ne vous cause pas un choc. Mais il faut que le Seigneur touche frère Borders immédiatement. Il a une valve qui se bouche dans son coeur. C’est tout à fait juste. Je ne lui ai jamais parlé à part ce que vous me voyez faire sur l’estrade, mais c’est la vérité.
13 Et maintenant, je vais dire à cette femme, pendant que le Saint-Esprit est sur moi, et je dois donc arrêter, voyez-vous, parce que cela commence à agir. Cette dame qui est assise ici maintenant et qui regarde par ici, au sujet de laquelle l’homme a posé la question. Il n’y a rien de grave; c’est le retour d’âge, juste la ménopause, un état d’épuisement, elle se sent morne et toute déboussolée. Tout ira bien ; ne craignez rien. Il s’agit juste de cela. Maintenant, le Glorieux Saint-Esprit dans Sa Présence...
14 J’ai une fillette ici dont cet homme vient de parler, j’ai des choses écrites ici. Une – une fillette a subi une opération hier à Phoenix, un rein a été enlevé ou quelque chose de ce genre ; elle est de l’église de frère Outlaw, un homme qui est partout où je vais, si c’est dans un rayon de cent ou deux cents miles [161 ou 322 km – N.D.T.], cet homme assiste à chaque réunion. Et l’un des membres de son assemblée est ici ce matin. Et une fillette a été opéré d’une tumeur au rein, et cette tumeur est maligne. Seul Dieu peut sauver la vie de cette enfant.
Une petite fille sourde dont frère Jenkins a parlé... Oh ! il y a tant de gens qui sont malades et nécessiteux.
Et maintenant, juste avant que nous passions à la partie prédication du service, je – j’aimerais que nous priions juste un moment. Inclinons la tête. Et s’il y a d’autres requêtes, levez simplement la main.
15 Notre Père céleste, les glorieuses Ecritures divines, les Paroles inspirées de Dieu sous forme imprimée, nous enseignent que nous serons assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Et nous sentons cela ce matin, en voyant un – un groupe de gens à destination du ciel, formé de toutes les différentes dénominations, assis ensemble, en les regardant et en voyant des hommes qui sont plus âgés que moi, des jeunes gens qui viennent... Et juste comme les feuilles, les fleurs et toute la nature travaille, les vieilles feuilles et les vieilles fleurs tombent et les jeunes poussent... Père céleste, nous Te remercions pour le Saint-Esprit qui nous donne cette glorieuse assurance qu’un certain glorieux jour nous nous reverrons.
Nous Te remercions pour Sa glorieuse puissance. Il nous aide dans notre faiblesse. Et nous prions pour cette fillette à qui – à qui on a enlevé cette tumeur du rein, et c’est cancéreux. Seigneur Dieu, sois miséricordieux envers cette fillette. Je me dis : et si c’était mon enfant ? C’est la chouchoute de quelqu’un. Je Te prie de la guérir. Que la puissance de Satan soit ôtée d’elle. Que cette enfant vive pour la gloire de Dieu.
16 Je Te prie ce matin de bénir la petite fille sourde dont on a parlé. Je Te prie de rendre l’ouïe à cette petite fille, la petite Jenkins. Je prie, Père céleste, pour frère Borders, mon précieux frère, alors que nous voyons Satan chercher à l’ôter du champ missionnaire. Ô Dieu, nous le réclamons à cause du Royaume.
Et nous prions pour toutes ces requêtes spéciales. Et pour cette dame qui se tenait là l’autre soir, avec cette foi grandissante, maintenant Tu lui as expliqué la chose, Seigneur, et maintenant tout ira bien. Nous Te remercions pour cela. Nous Te prions de continuer d’être avec nous.
Bénis ces ministres. Bénis tous ceux qui ont aidé : les musiciens, ce petit quatuor qui a chanté, et le quatuor de cette église là-bas (ces braves jeunes gens), car la dame a chanté pour nous les cantiques spéciaux. Et toutes ces choses, Seigneur, il y en a trop pour que nous nous en souvenions, mais Toi Tu les connais toutes. Pour cette Auberge Ramada, pour ce brave homme qui s’est tenu ici il y a quelques instants, et qui a dit : « Que Dieu vous bénisse. », ô Dieu, nous prions que cela lui soit rendu, ô Seigneur, et qu’il soit rempli du Saint-Esprit, qu’il devienne un grand témoin de Jésus-Christ dans le monde, c’est la plus grande chose qui puisse se faire, Père.
17 Maintenant, nous Te prions de bénir frère Tony, et ces braves hommes qui sont ici, même les membres laïcs de l’église. Et ils… une fois encore, ils essaient de (les Hommes d’affaires) – de s’organiser ensemble pour rendre un autre témoignage. Que Dieu agrée leurs efforts, qu’ils soient remplis de l’Esprit et de discernement pour savoir ce qu’il faut faire, et comment le faire, pour agir au Nom du Seigneur Jésus.
Seigneur, bénis le message de ce matin, alors que je parle. Et je Te prie d’oindre cela de Tes bénédictions ; et lorsque nous nous en irons puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : « Nos coeurs ne brûlaient-ils pas en chemin ? »
Et puis, Père, s’il y a quelqu’un ici qui n’est pas sauvé, quelqu’un qui ne Te connaît pas, qui est juste un membre d’église, que la glorieuse puissance du Saint-Esprit lui révèle qu’il a besoin du salut aujourd’hui à travers la voie appropriée de Dieu, la seule voie, Jésus-Christ, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
18 Je vous remercie une fois de plus. Tout à l’heure, j’ai oublié de mentionner une chose, ils... Frère Tony, en sortant de la voiture hier soir, il a dit... J’ai dit : « Je ne regarde jamais à... » Cela fait maintenant environ trente-trois ans que je suis dans le ministère. Et j’ai été pasteur du Tabernacle à Jeffersonville pendant dix-sept ans, sans jamais recevoir un centime comme salaire. Et je n’ai jamais prélevé d’offrande, de toute ma vie. Je n’en ai jamais prélevé et je n’en ai jamais eu l’intention. Et hier soir, frère Tony a dit qu’ils étaient... J’ai dit : « Avez-vous couvert toutes les dépenses ? »
L’entente qu’il y avait quand j’ai rencontré ce brave frère Brock et (Ai-je prononcé cela correctement? Brock?), et frère Gilmore, et quelques autres frères là-bas l’autre soir. J’ai dit : « Eh bien... » Ils ont demandé la situation financière. J’ai dit : « Juste tout ce que représentent les dépenses, c’est tout ce qu’il faut. »
« Eh bien, a-t-il dit, nous voulons prélever une offrande pour vous. »
J’ai dit : « Non, non, ne faites pas cela. Je – je – je reçois – je reçois de mon église cent dollars par semaine et cela suffit. » Et j’ai dit : « Je... tout ce dont j’ai besoin. » Je – je ne manque de rien. Vous voyez? Je – je pense à l’autre côté là-bas, à quelque chose là de l’autre côté. Et je sais que – que j’ai essayé de garder mon ministère... Tant de gens sont venus, ainsi que l’organisateur, en disant : « Frère Branham, cela devrait être sous des lumières étincelantes. »
19 Et la présidente de la Distillerie de Quatre Rose était ici chez nous il y a quelque temps, et elle a amené sa fille. Et elle a dit, oh, que la petite fille voulait être guérie. Et elle a dit : « Elle en avait entendu parler, et elle devait subir une opération. » Et alors, elle a dit : « Oh, elle voulait venir. Elle ne voulait pas subir une opération. »
Eh bien, elle est entrée en courant pendant que je parlais et voulait qu’on prie pour elle immédiatement, il fallait que ce soit sur-le-champ. Eh bien alors, elle ne pouvait pas attendre; sa mère la suivait. La mère est donc entrée au fond de la salle et s’est assise avec cet air arrogant. Ainsi donc, nous sommes allé là, nous avons prié pour la petite fille puis nous sommes rentré.
Eh bien, quelques jours après que le médecin avait dit, qu’il avait dit : « Très bien. C’est un tas de sottises. » Il a dit : « Mais... »
Elle a dit : « Non, je me sens bien. Je n’ai pas d’appendicite. Je vais très bien. »
Ainsi donc ils ont continué, quatre ou cinq jours. Quelque temps après... Vous voyez, juste comme je l’ai expliqué, environ soixante-douze heures après, ce symptôme réapparaît, si vous êtes réellement guéri (Voyez?), la guérison. Je ne parle pas des miracles. Et cela a réapparu parce que l’appendice a commencé à enfler. Et le médecin a dit : « Maintenant, vous voyez? Maintenant, vous feriez mieux d’aller chercher encore ce saint exalté de prédicateur. »
20 Ainsi donc, il n’a pas voulu opérer. Mais, évidemment, puisqu’environ mille cinq cent dollars étaient en jeu, il – il – il a pu le faire. Il avait dit qu’il ne voulait pas le faire. Mais il l’a fait. Il s’est fait qu’un ami faisait partie de cette équipe-là, quand on a fait l’ablation, quand ils ont opéré la fille pour enlever l’appendice, il n’y avait aucun problème. Vous voyez ? Ils ont opéré pour rien. Ils ont tout simplement laissé l’appendice là, parce que ce n’était même pas du tout affecté. Et le médecin est venu m’en parler, un ami qui faisait partie de cette équipe, et qui a assisté à cette opération.
21 Maintenant, vous voyez ce que c’était? Elle était toute excitée et ne savait pas comment s’en tenir à cette foi. Voyez? Et là, nous n’avons pas l’occasion d’expliquer cela. Cela a donc fait le... Mon ami médecin a parlé à la mère, et a dit : « L’appendice est toujours là. » Ils ont dit : « Elle avait besoin de cet appendice, et il n’était pas infecté. Il n’avait rien du tout, il était tout à fait normal, rose. Juste, oh, tel qu’il devait être. »
Et la mère est devenue une croyante. Alors elle m’a dit : « Ce qu’il y a à faire, c’est que votre ministère ne doit pas rester dans un coin avec juste un groupe de gens ordinaires. Il devrait être amené partout à travers le pays, il devrait figurer sur les panneaux d’affichage. » C’est donc ça que le diable veut. C’est juste. Voyez? Mais non ; moi je ne le veux pas comme cela. Je – je le veux de façon à pouvoir aller partout, faire tout... Où que le Seigneur appelle, c’est là que je veux aller, juste là où Il... Juste garder cela humble, et laisser le Seigneur nous amener où Il veut.
22 Et maintenant, à vous, si vous… pour qui on a prié, si vous... Après soixante-douze heures environ, la corruption s’installe. Nous savons que la mortification se produit après soixante-douze heures. Rien ne réapparaît. Si vous croyez vraiment cela de tout votre coeur, rien n’arrêtera cela. Croyez cela de toute façon. Tenez-vous-en juste à cela. Ça ira bien. Ne... pas. Mais vous ne pouvez pas juste en donner l’impression. Vous devez vraiment en être certain, que c’est fait. Il y a une grande différence entre l’espérance et la foi. L’espérance espère simplement la chose ; la foi, elle, est certaine que c’est fait. Voilà la différence.
23 Eh bien, ce matin je ne – je ne veux pas vous retenir. Il est déjà presque 10 h 00’, d’après cette montre que Billy m’a offerte. Et maintenant, je veux lire un verset du chapitre 1 du livre d’Esaïe pour un petit commentaire. Et j’ai noté ici quelques Ecritures auxquelles je pourrais me référer. Et nous ne vous garderons que trente minutes, et alors nous serons prêts pour partir, le Seigneur voulant. Esaïe chapitre 1 verset 18: Venez et plaidons! dit l’Eternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Et je voudrais parler sur ce sujet : « Les Conférences », tenir une conférence. Seigneur, bénis maintenant la Parole, et que les semences tombent dans nos coeurs, là où il y a un besoin. Et, Seigneur, que le mien soit ouvert, ainsi que ceux de tous ceux qui sont ici, afin que nous puissions comprendre l’heure dans laquelle nous vivons et ce que nous devons faire. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
24 A propos des conférences, nous – nous en entendons beaucoup parler ces jours. Pour tout, il y a une conférence. Et, franchement, c’est dans une conférence que nous nous trouvons ici ce matin. Et nous en entendons tellement parler, et il y a tant de différents endroits où elles se tiennent ; tant de choses sont accomplies à partir des conférences. Je pense que s’il y a une chose que nous devrions faire, c’est tenir une conférence. Et, généralement, quand… elles sont tenues quand il y a une urgence. Généralement, quand il y a une urgence, on tient alors une conférence, on convoque vite une conférence. Et c’est sous ce rapport-là que nous y pensons.
25 Eh bien, beaucoup d’entre vous ici peuvent se rappeler la… par exemple, la conférence qu’on a eue lors de la crise mondiale, quand l’Allemagne et le reste du monde étaient en guerre, quand le Président Roosevelt était président des Etats-Unis, et – et qu’il y avait eu les autres Quatre Grands, comme on les appelle. Ils ont tenu ce qu’on appelle la Conférence des Quatre Grands, avec Churchill et... Ils se sont rencontrés, ils devaient avoir ce qu’ils appelaient la Conférence des Quatre Grands du monde libre, parce qu’ils devaient se rencontrer et mettre en commun leurs idées pour en arriver à une certaine stratégie, vu que l’ennemi avançait, et il fallait le – l’arrêter.
26 Et ainsi, ils – ils devaient se réunir afin de pouvoir... Toujours le plus sage du groupe... Et alors, l’un avait son idée, et l’autre une idée, et alors ils mettaient cela ensemble, pour voir à quoi ils allaient aboutir. C’était la Conférence des Quatre Grands. Et là où ils devaient contre-attaquer, là où ils devaient placer leurs armées, la… une certaine…, par exemple la Cinquième Armée, la Quatrième Armée, la Dixième Armée, et ainsi de suite, et comment ils pouvaient travailler ensemble, et où l’ennemi avait sa forteresse.
Et si vous faites bien attention, ils essaient toujours de frapper cette moelle épinière. C’est le point vital. Et il s’agit toujours de frapper l’ennemi... Si vous voulez le tuer, vous devez le frapper à un point vital. Sinon, vous ne le tuerez pas. Et alors par conséquent, il n’y aura qu’une chose à faire.
27 C’est comme préparer une réunion. Si nous pouvions… Considérer le – le Royaume de Dieu, comme bien des fois des hommes dans le ministère l’ont dit... Et par exemple, pour citer encore la femme, elle a dit : « Si vous preniez et réunissiez les grands hommes, les grands cerveaux, et mettiez cela ensemble, puis frappiez la chose juste à partir de là... » Mais, vous voyez, vous ne frappez pas la chose qu’il faut. Voyez?
Si je peux réunir des ministres, si je peux réunir un groupe d’hommes sauvés par Dieu et les laisser voir la puissance qui est en Jésus-Christ, montrant que – montrant qu’Il vit réellement dans nos coeurs, et qu’Il peut connaître les pensées de l’esprit, prédire, annoncer, et – et faire que cela soit parfait, alors ces ministres seront inspirés, et ils apporteront cela à leurs fidèles, et... Voyez-vous ce que je veux dire? C’est là qu’il faut frapper, là où se trouvent les armes.
28 Bon, et ils ont tenu cette grande conférence entre les Quatre Grands. Puis on a eu une autre conférence qu’on a appelée la Conférence de Genève. Je suis certain que beaucoup d’entre vous se souviennent du moment où ils devaient tenir la – la Conférence de Genève. Et il y en a eu une autre appelée la Conférence de Paris, quand ils se sont rencontrés à Paris. Cela se fait constamment, tout le temps, les conférences succèdent aux conférences, parce qu’il y a un grand besoin dans la vie de nations. Le – le cerveau du monde semble si embrouillé que – qu’on ne sait où… que faire. Et le monde entier a terriblement peur en ce moment même.
Cela me rappelle un petit garçon qui rentre à la maison en pleine nuit, qui traverse le cimetière en sifflant. Il siffle aussi fort que possible ; en effet, il fait juste semblant. Il – il ne veut pas penser qu’il a peur, mais il siffle pour essayer de se détendre. Mais, au fond de lui-même, il a peur que derrière chaque pierre tombale il y ait un petit esprit maléfique, ou – ou... Voyez-vous, il a peur et il siffle juste pour se tranquilliser un peu.
29 Et c’est la raison pour laquelle nous avons tant de bêtises aujourd’hui à la radio et à la télévision, des hommes… par exemple des hommes qui ont des talents, des chanteurs comme Ernie Ford, et Elvis Presley, ces garçons qui vendent leurs droits d’aînesse pour un plat de potage. Ils vont là-bas, et tout ce que vous devez être c’est un plaisantin, ou faire une plaisanterie, ou – ou quelque chose comme cela pour faire rire le public américain ; quand vous savez que vous essayez seulement de les calmer, et vous savez que derrière cela nous sommes tous conscients que le jugement est proche. C’est juste.
Autant mieux regarder cela en face. Nous sommes au bout du chemin, frères. Et toutes les plaisanteries d’Ernie Ford, le rock and roll et toute cette histoire d’Elvis Presley, c’est une autre fête de Nebucadnetsar. Ça ne fera aucun bien. Le jugement va frapper.
30 Cette nation est arrivée au même point que Sodome et Gomorrhe. Et le Dieu juste laisserait ce pays s’en tirer avec ce qu’il fait maintenant... Etant un Dieu juste, Il se trouvera dans l’obligation morale de ressusciter Sodome et Gomorrhe, et de s’excuser pour les avoir brûlées, c’est juste, si nous nous en tirons sans être jugés. Mais rappelez-vous simplement que cela s’approche de nous. Fuyez vers le Rocher aussi vite que possible. Ne remettez pas cela à plus tard. Ne regardez pas à toutes ces choses consistant juste à adhérer à l’église et aux crédos et ainsi de suite. Faites comme ces frères méthodistes qui sont ici ; fuyez vers le Rocher jusqu’à ce que quelque chose fasse écho que vous voyez Christ reflété.
31 Il se peut que vous devriez être un peu battu par cela. Dans les anciens temps bibliques, quand les gens, les... De nos jours, ici dans cet Etat de l’or d’Arizona, dans l’ancien... Ils ont maintenant des hauts fourneaux pour fondre le fer et la pyrite, ce qui est appelé la chalcopyrite, et on extrait cela du vrai or par fusion au moyen de haut fourneau. Autrefois, le seul moyen qu’ils avaient pour séparer cela, c’était que le batteur battait l’or à l’aide d’un marteau, comme le battent les Indiens. Et le seul moyen par lequel le batteur savait que l’or était prêt, c’est lorsqu’il en avait ôté toutes les scories en le battant. Et il le battait puis le retournait, et le battait sans cesse jusqu’à ce que toutes les scories en étaient éliminées. Quand il voyait son propre reflet dans le – l’or, il savait alors que toute la saleté, le fer, et les matières étrangères étaient sorties de l’or.
32 Et ce que Dieu essaie de faire avec Son église, c’est la battre jusqu’à en faire sortir tous les crédos, les absurdités, et, oh, toute la mondanité, en la battant, jusqu’à ce qu’elle reflète la Vie de Jésus-Christ. Rappelez-vous, l’église... Je sors d’une série de glorieuses réunions chez moi, où les six sceaux... Et ce sixième sceau... ou plutôt les sept sceaux, et ce sixième portait sur la purification de l’Eglise. L’Eglise passe bien sûr par la période de tribulations pour être purifiée. Mais l’Epouse est enlevée. Il y a une différence entre l’Epouse et l’Eglise.
33 J’espère qu’ici je n’entre pas dans la doctrine maintenant, ou plutôt… Si je dis quelque chose que vous ne croyez pas, eh bien, faites comme moi quand je mange la tarte aux cerises. Je – j’aime la tarte aux cerises. Mais quand je tombe sur un noyau, je ne jette pas la tarte; je jette simplement le noyau. Faites donc la même chose. En mangeant le poulet, quand vous tombez sur un os, vous ne jetez pas le poulet, vous jetez simplement l’os. Si je dis quelque chose que vous ne croyez pas, jetez simplement l’os. Voyez-vous?
Maintenant, il y a cependant une urgence, et il y a une crise. Et on convoque constamment le Président, le – le… final – les conférences, et ils doivent se rencontrer pour ceci ou cela. Et que Cuba apparaisse, ils doivent alors convoquer une conférence. Et que quelque chose d’autre apparaisse, ils doivent convoquer une conférence. Pratiquement tout ce dont on entend parler, c’est des conférences. Que font-ils dans une conférence? Comment est-elle organisée?
34 Premièrement, ils se réunissent, et ensuite ils choisissent un certain endroit. A Genève... J’y ai été, c’est une très belle ville. Et généralement, ils essaient de trouver un lieu qui, en quelque sorte, inspire, afin de s’y retrouver, et ils choisissent cet endroit, et y invitent tous les grands hommes, et ils font une… Je n’ai pas noté cela ici. Quelle est cette ville en Suisse où nous nous sommes rendus, Billy, là où ils ont tenu… C’était à – à Genève, n’est-ce pas? Et je pense que c’est un beau pays. Je n’ai pas écrit le – le nom de cette conférence, mais je me souviens avoir été à cet endroit-là. Et ils se rencontrent et ils obtiennent ces endroits, ils choisissent le meilleur endroit possible et ils travaillent à cela.
35 Maintenant, ça c’est pour les choses du monde. Et tout ce qui est faux, tout ce qui est du monde, si c’est faux, c’est un type de ce qui est juste. Or, le péché en soi n’est que la justice pervertie. Eh bien, il n’y a qu’un seul Créateur, et c’est Dieu. Et Satan n’est pas un créateur. Il a simplement perverti la création originale. Un mensonge est une vérité déformée. L’adultère est un acte correct dont on a fait un mauvais usage. Chaque chose est toujours une perversion de ce qui est juste. Satan peut pervertir, mais il ne peut pas créer. Voyez-vous? Et – et, souvenons-nous-en, le mal, le mensonge, ou tout ce qui est péché, c’est la justice pervertie.
36 Et nous voyons donc que Satan tire toujours un type de ce que Dieu a fait, pour ce qu’il va faire. Par exemple, beaucoup de gens (voyez-vous ?) dans les réunions disent : « C’est de la télépathie. » Ou bien : « C’est un... Cet homme est un... » On m’a traité de ce que… de Simon le magicien, et de quelque chose comme cela. Voyez? Pourquoi? Quand vous voyez un acte spirite ou démoniaque, c’est juste une perversion d’une chose véritable et authentique de Dieu. C’est juste. Voyez-vous, il... Et les gens devraient être – devraient être avisés et assez spirituels pour être capables de discerner le vrai du faux.
Avez-vous déjà entendu parler d’un spirite qui chasse les démons, guérit les malades et prêche l’Evangile ? « On les reconnaît à leurs fruits. » Voyez? Ils ont un petit poste quelque part là dans un coin et lisent la paume de votre main, et devinent quatre ou cinq choses, tandis qu’une dizaine de choses sont fausses. Et vous y êtes. Voyez? C’est juste une perversion, en essayant de plonger les esprits des gens dans le trouble, en les éloignant du véritable et authentique Saint-Esprit, où nous pouvons nous asseoir ensemble dans les lieux célestes pour que Christ nous révèle ce que nous devons faire.
37 C’est ainsi que les églises devraient être. Les gens qui parlent en langues... Je – je veux dire ceci parce que je suis votre père, pour ainsi dire, et je vais me comporter comme tel ce matin. Voyez? Nous avons reçu une chose glorieuse. Mais c’est – c’est... Je crois qu’elle n’est pas bien présentée. Voyez? Et elle se vendra toute seule si elle est très bien présentée. Maintenant, je pense qu’il y a beaucoup de méthodistes, de baptistes, et de presbytériens qui aimeraient avoir ceci. Mais cela dépend de la façon dont cela leur est présenté. Voyez?
38 Maintenant, supposons que vous voyiez un homme qui construit une maison et qui utilise un marteau pour enfoncer des clous dans la maison, et vous vous amenez là. Et vous avez un appareil dans lequel vous pouvez charger un demi-tonnelet de clous et « br-r-r-r », et vous enfoncez simplement cela, deux fois plus vite, et obtenez un meilleur travail. Si vous vous approchez de cet homme et lui dites : « Oh ! que faites-vous ? Vous êtes vieux jeu. Vous ne devez pas faire cela. Ce n’est pas une bonne façon de faire. Voici un appareil que j’ai pour faire cela. » Aussitôt vous aurez gâché votre marché. Vous les hommes d’affaires, vous savez cela. Vous aurez gâché votre marché. La chose à faire, c’est d’aller là et de le vanter, combien – combien il est capable de bien construire, et ensuite présenter le produit. S’il est bon, il se vendra. Vous les vendeurs, vous savez cela.
Et vous savez qu’il n’y a rien de mieux que le baptême du Saint-Esprit. Il n’y a rien de mieux dans le Ciel, qui ait été donné à l’homme en dehors du Saint-Esprit. Mais, vous voyez, nous – nous essayons de jeter l’autre à terre. Essayons de le relever un peu, et de mettre notre bras autour de lui, et qu’il… que nous sachions que la couverture s’étend d’un bout à l’autre du lit. Voyez? Et qu’on tienne ce genre de conférence. Vous voyez? Faites-lui un peu de place aussi. Mais après tout il a lutté.
39 Maintenant... mais, vous voyez, bien des fois dans nos églises, on permet aux gens de se mettre debout même quand on prêche, et de parler en langues; et pendant qu’on fait un appel à l’autel, quelqu’un parle en langues, et quelqu’un… et il donne l’interprétation, simplement... L’un d’eux, je crois... Je crois que cette personne parle réellement en langues. Mais je crois que l’autre prophétise plus ou moins ; en effet, l’un parle en langues peut-être pendant cinq minutes, et l’autre donne quatre mots d’interprétation. Voyez? Cela doit être le même son, la même inflexion de la voix. Et puis, de plus, s’ils disent la chose, et qu’elle ne s’accomplit pas, alors éloignez de vous ce mauvais esprit. Vous n’en avez pas besoin.
40 Dans mon tabernacle, quand quelqu’un parle comme cela, il ferait mieux d’avoir la chose. La chose est notée. Si cela ne s’accomplit pas, on va chasser de lui ce mauvais esprit. Il doit en être ainsi, il ne doit pas s’agir d’une répétition. Jésus a dit : « Ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens. » Cela doit être quelque chose directement destiné à quelqu’un, ou – ou pour aider l’église, ou pour soutenir la cause. La chose est notée, et si cela n’est pas...
Et les gens qui parlent en langues, et ceux qui ont de grands dons pour aider le Corps de Christ se rencontrent des heures avant que nous arrivions là. Et le Saint-Esprit agit à travers eux, et alors cela est déposé sur la chaire. Et nous annonçons ici ce qu’ils ont dit. Et si cela ne s’accomplit pas exactement tel que cela avait été annoncé, alors ils ne pourront plus le faire jusqu’à ce que ce mauvais esprit sorte d’eux.
Vous dites : « Eh bien, Frère Branham, ce... »
Eh bien, suivez. Je dois me tenir ici. Je n’ai pas peur, parce que c’est Dieu. Cela doit toujours être juste, ici. Et cela doit toujours être juste, là-bas. Puis quand les gens voient ces choses arriver, alors ils croient.
41 Ce dont l’Eglise pentecôtiste a besoin ce matin, c’est une bonne conférence. C’est tout à fait juste. Toutes les dénominations : les – les unitaires, les binitaires, les trinitaires, les quatretaires, et nous autres, ainsi que l’Eglise de Dieu, les Assemblées de Dieu, tous unissons-nous et plaidons au sujet de ces choses (C’est juste.), et faisons avancer l’Eglise.
Aussi longtemps que Satan peut faire que vous continuiez à vous tirer dessus, il s’installe confortablement dans un fauteuil et dit : « Frère, je n’ai même pas besoin de combattre. »
Mais si seulement nous pouvions nous mettre ensemble et – et lever les yeux vers Dieu comme des frères, puis marcher la main dans... dans l’unité. Vous n’avez pas besoin de changer, et que l’un aille à une église et... Faites comme vous voulez. Ces petites différences que vous établissez ne changent rien de toute façon. Dieu donne à chacun de vous le Saint-Esprit. C’est pourquoi la Bible dit que Dieu donne le Saint-Esprit à ceux qui Lui obéissent. C’est donc sûrement celui qui a obéi à Dieu.
42 Mais le problème est que tant que Satan peut maintenir les petits différends, c’est ce qui fait que l’église soit dans un tel désordre aujourd’hui. Oublions cette chose et rassemblons-nous. Et, rappelez-vous, l’autre frère est tout autant en Christ que nous. Il n’y a pas de grands hommes, de petits hommes, de supérieurs. Nous sommes des enfants. Nous sommes un en Christ. Et nos petites différences ne changent rien. Que Becky désire une robe bleue et que Sara désire une rouge, elles reçoivent toutes deux des robes. Cela – cela... Voyez-vous ce que je veux dire? Elles ne doivent donc pas se disputer là-dessus. Je pense donc que c’est vraiment ce que nous – nous devrions faire.
43 Bon, à propos des conférences du monde, au moment des crises dans le monde... Vous savez, Dieu a tenu aussi des conférences. Nous pensons à la Conférence de Paris, à celle de Genève, à celle des Quatre Grands, et à beaucoup d’autres conférences. Pensons maintenant à quelques conférences que Dieu a tenues ; en effet, celles-là étaient un type de – de celles que Dieu a tenues. Je – je pense que la première conférence dont je me souviens maintenant, du point de vue scripturaire, je vais l’appeler la Conférence de Dieu en Eden. « Dieu fit l’homme à Son image, Il le créa à l’image de Dieu, Il les créa mâle et femelle. » Ils étaient Ses enfants bien-aimés. Et on les a placés sur la base du libre arbitre.
Bien des fois, le vieil incroyant a dit : « Pourquoi un Dieu juste ferait-Il une chose comme cela, qu’on connaisse toute cette souffrance qu’on a endurée à travers les âges? » Dieu n’a pas fait cela. C’est l’homme lui-même qui a fait cela. Dieu ne voulait pas qu’il fasse cela. « Eh bien, alors si Dieu était omnipotent, pourquoi a-t-Il permis que cela arrive? Pourquoi n’a-t-Il pas fait l’homme parfait? »
44 En fait, au commencement, il n’y avait rien en dehors de Dieu. Et en Dieu il y avait des attributs, Il avait un attribut de Sauveur. Nous savons que c’est vrai, Il est un Sauveur, et c’était en Lui. Et il n’y avait rien de perdu qu’il fallait sauver. En Lui il y avait des attributs de Père, mais il n’y avait rien dont Il pouvait être le Père. En Lui il y avait l’attribut de Guérisseur. Rien n’était perdu, rien n’était malade. Donc, la seule chose qu’Il pouvait faire, c’était créer l’homme et le laisser sur la base du libre arbitre, sachant qu’il ferait la chose. Dieu n’a pas Lui-même fait la chose; c’est l’homme lui-même qui a fait cela.
Et c’est pareil pour vous ce matin. Vous pouvez accepter la vie ou la rejeter. Mais c’est ainsi que Dieu a fait l’homme, pour qu’il ait… sachant qu’il le ferait, sans vouloir qu’il le fasse, mais sachant qu’il le ferait, afin que cela manifeste Ses attributs. Il n’y a donc rien qui soit hors du temps. Tout marche exactement selon la grande horloge de Dieu. Voyez? Et cela ne fait que manifester Ses attributs, de choisir Ses enfants qui L’aiment vraiment et qui croient en Lui. Et tous les hommes ont les mêmes droits.
Dieu, étant infini, savait dès le commencement ce qui serait et ce qui ne serait pas, ainsi donc Il ne voulait pas que quiconque... Mais, étant infini, Il devait savoir. Par conséquent, Il pouvait donc dire qu’Il aurait une église sans tache ni ride, parce qu’Il savait qu’Il l’aurait. Il est Dieu.
45 Maintenant, dans ce bel endroit, dans le jardin d’Eden, (oh !) où les hommes et les femmes vivaient ensemble... Dieu est un grand Entrepreneur. Eh bien, vous en avez beaucoup ici à – à Tucson, comme c’est en construction. Il y a quelques années, quand j’étais ici, c’était juste une toute petite ville. Et bien, là-bas où j’habite, eh bien, les coyotes et les Papagos se promenaient là quand j’étais ici, il y a quelques années. Mais maintenant, il y a... Eh bien, c’est un… de grands projets, des maisons, et des bâtiments s’érigent sans cesse et partout. Eh bien, que se passe-t-il? Voyez-vous, les entrepreneurs arrivent et achètent un terrain, ils en font un lotissement, et érigent des maisons.
46 Eh bien, Dieu a fait cela. Voyez? Il – Il a préparé tous les matériaux pour faire nos corps pendant que ce monde était en formation. Or, nous sommes constitués de seize éléments. Notamment la potasse, le calcium, le pétrole, la lumière cosmique, et ainsi de suite. Et c’est tout cela mis ensemble qui forme l’homme. Mais c’était ici avant qu’il y ait un homme sur la terre. Voyez? Dieu a fait nos corps et a déposé ici les matériaux avant que la terre existe. Eh bien, c’est Dieu qui vous a mis là-dedans et c’est Lui qui vous amène ici. Et maintenant, vous avez l’occasion de vivre éternellement si vous faites ce choix. C’est exactement ce qu’Adam et Eve avaient devant eux. Chaque... Dieu ne peut pas changer. Il doit rester le même, donner à chaque homme la même occasion.
Eh bien, nous voyons que Dieu... Cela Lui a plu quand Il a fait l’homme. Il a regardé Sa – Sa fille et Son fils, et Il était très content d’eux. Et puis, nous voyons que dès qu’Adam et Eve ont péché, et que la nouvelle est parvenue à Dieu, notre Père : « Ton enfant est déchu de la grâce. Il s’est éloigné de Toi... » Oh ! la la ! comme cela a dû alarmer Son coeur !
47 Et maintenant, observez la nature. Quand Adam s’est rendu compte qu’il était perdu, quand il a compris qu’il avait mal agi, et que c’était rendu manifeste devant lui qu’il était tombé dans le mal, au lieu d’appeler : « Ô Père, viens à moi. Je suis perdu. J’ai mal agi. J’ai été séduit. Viens à moi. » Il s’est caché. C’est plutôt Dieu qui parcourait le jardin, en criant : « Adam, où es-tu? »
N’est-ce pas la même chose aujourd’hui? Vous pouvez montrer à l’homme avec la Parole de Dieu quand il a failli. C’est exact. Adam savait qu’il avait failli. Il avait abandonné la Parole de Dieu. Et, rappelez-vous, cela ne demande pas beaucoup. Savez-vous ce qui a été à la base de toutes ces maladies, de tous ces problèmes, de la mort et de la peine pendant ces six mille ans? C’est parce qu’une femme n’avait pas cru à une petite sphère, à un petit point de la Parole de Dieu, juste un petit iota. Elle croyait presque toute la Parole. Satan lui a dit presque toute la vérité sur la chose. « Vous ferez ces choses, et ce... » Et puis, il a dit : « Vous ne mourrez certainement pas. » Mais, douter juste d’un petit iota fut à la base de tous ces problèmes. Est-ce juste?
Pensez-vous que douter d’un iota vous ramènera après que cela a causé tout ceci? Non, non. Nous devons venir à la Parole. C’est la seule... Et c’est Dieu. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. »
48 Et voyez, quand Dieu a fait l’homme, quand Il s’est mis à couver la terre, les fleurs des Pâques sont apparues, l’herbe a poussé, des espèces sont apparues, en montant de plus en plus. Le Glorieux Saint-Esprit, en couvant... « Couver » signifie « pouponner, roucouler ». « Coucou, coucou. » Les fleurs sont apparues. Le Père a dit : « C’est merveilleux. Continuez à monter avec cela. » Et Il a couvé, et peu après, des oiseaux sont apparus. Et ensuite sont apparus des animaux. Il a continué à monter de plus en plus et de plus en plus. Et finalement, la terre a reflété l’image de Celui qui couvait: Dieu. Et il était à l’image de Dieu. Il n’y a jamais eu quelque chose de plus élevé que l’homme, même pour nos bien-aimées soeurs, la femme. Elle n’est pas dans la création originale. Elle est un sous-produit de l’homme, une partie de lui. Et ils sont un en Christ. Oh ! quelle grande leçon nous avons maintenant ici juste devant nous, qui nous prendrait des heures, pour apporter la lumière là-dessus !
49 Remarquez, nous voyons donc qu’ensuite, quand cet homme a reflété Dieu, alors Dieu est descendu dans Son propre reflet sous la forme d’un Homme, Jésus-Christ. Et Dieu était en Christ, le... Dieu en Christ, reflétant Lui-même au monde ce qu’Il était : un Sauveur, un Dieu, un Guérisseur, Dieu manifestant Ses vrais attributs au travers d’un Homme qui était Son reflet. Et Dieu, pour être… parvenir à ceci, ne pouvait pas venir par le sexe, ce qui, au départ, a commencé à faire rouler la balle. Mais Il a amené cela par une naissance virginale. Ne pouvez-vous pas voir ce – ce qu’était le premier péché ? Plusieurs n’acceptent pas cela, et on crie contre la semence du serpent. Mais la chose est bien là. Voyez ?
50 Maintenant, le reflet, Dieu qui se reflétait en Christ. Mais alors, quand cet homme était perdu... Aujourd’hui, quand on montre à l’homme par la Parole qu’il ne devrait pas faire ces choses, quelquefois il est fidèle à une église. Si mes amis catholiques sont ici ce matin, pardonnez-moi un instant pour ceci. Toute ma famille est aussi catholique, vous savez, de l’Eglise catholique romaine.
Maintenant, remarquez. Quand ce prêtre est venu me voir au sujet de beaucoup de grandes guérisons, il a dit : « Vous êtes issu d’une famille catholique. Comment se fait-il que vous n’êtes pas catholique? »
J’ai dit : « Je suis catholique. »
Et il a dit : « Oh ! je ne peux pas croire cela. »
J’ai dit : « Votre église n’enseigne-t-elle pas que cette Bible, que c’est Jésus-Christ qui a établi la première Eglise catholique, et que ces apôtres étaient catholiques? »
« Oui. »
J’ai dit : « Alors, je crois simplement ce qu’ils ont écrit. »
Il a dit : « Mais, Monsieur Branham, a-t-il dit, l’église continue à changer. Il a donné à Pierre le pouvoir de – de détenir les clefs. Et il a le pouvoir de lier ainsi que la succession apostolique des papes », et ainsi de suite.
J’ai dit : « J’ai tous vos écrits, ou plutôt la plupart, là-bas, Les Actes de notre foi, et ainsi de suite. » Mais j’ai dit : « Ecoutez. Si ces hommes qui ont écrit cette Bible avaient marché côte à côte avec Jésus (Disons que c’étaient des catholiques) et ils ont écrit cette Bible, ne pensez-vous pas qu’ils en savaient plus sur la volonté de Dieu et sur les commandements de Dieu que ce groupe de gens modernes d’aujourd’hui? » Et j’ai dit : « Remarquez, si c’est une église, alors quand ils obéissaient à ce que Dieu avait dit au commencement, et c’est la Parole de Dieu, considérez les prodiges et les miracles et autres qu’ils avaient. Et vous, vous n’en avez pas du tout aujourd’hui. C’est une preuve que Dieu n’est pas avec vous. »
Il a dit : « Monsieur Branham, nous ne sommes pas censés discuter. »
J’ai dit : « Monsieur, je ne voudrais discuter avec personne. Je vous pose simplement une question. » Alors j’ai fait mention du Concile de Nicée et ainsi de suite.
Il a dit : « Nous ne devons pas discuter. » Il a dit : « Vous essayez de parler de la Bible, de la Parole. » Il a dit : « Dieu est dans Son église. Là, c’est ce que l’église était. Ceci, c’est ce qu’elle est aujourd’hui. Nous sommes censés écouter l’église aujourd’hui. »
J’ai dit : « Dieu est dans Sa Parole. »
Il a dit : « Dieu est dans Son église. »
J’ai dit : « Il est dans Sa Parole. Et si la Parole n’est pas dans l’église, alors Dieu n’est pas dans l’église, parce que la Parole c’est Dieu. » Et j’ai dit : « En outre, croyez-vous l’Apocalypse? » Ce qui veut dire Révélations, c’est en grec. Croyez-vous que l’Apocalypse est inspiré? »
Il a dit : « Certainement. »
J’ai dit : « Alors, Jésus-Christ a dit Lui-même dans Apocalypse que quiconque retranchera une seule Parole ou Y ajoutera une seule parole, sa part sera retranchée du Livre de Vie. Comment donc pouvez-vous dire que vous avez le pouvoir de retrancher, ajouter ou faire ce que vous voulez, alors que le Fondateur de l’Eglise chrétienne, Jésus-Christ, vous a défendu de le faire ? Vous ne pouvez pas faire cela. » Voyez?
51 Oh ! cette heure, ce temps terrible dans lequel nous vivons ! Et quand on montre aux hommes leurs erreurs, au lieu de chercher à revenir en disant : « Père, j’ai tort, pardonne-moi », ils se cachent quand même derrière les feuilles de figuier. Ce sont des feuilles de figuier qu’ils ont cousues. Et ils ont essayé de... Le mot « religion » veut dire « une couverture ». Et ils ont essayé de se confectionner une couverture à la main. Et jusqu’aujourd’hui l’homme n’a pas encore changé.
Dieu a donc dû convoquer une conférence. Et Il devait rencontrer Son homme, Son enfant. Et, rappelez-vous, Ses commandements disaient : « Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras. » Et Dieu ne peut pas enfreindre Ses propres lois et être juste. Alors Il a fait un grand abîme entre Lui et l’homme. Ainsi quand ils... Il voulait racheter Son enfant. Il ne voulait pas qu’ils s’en aillent comme cela. Il devait donc le racheter. Alors Ils ont convoqué une conférence, et ce fut la première conférence où Dieu a rencontré l’homme, la Conférence d’Eden.
52 Comment va-t-Il sauver cet homme? Que peut-Il faire pour ramener à Lui Ses enfants perdus? Et, rappelez-vous, Sa première décision est parfaite, toujours. Si c’était des crédos, des feuilles de figuier, Il aurait dit : « Adam, tu as bien agi. Sors de derrière les arbres. Je pense que tu es un homme sage. Tu me reflètes parce que tu es sage. Tes feuilles de figuier sont tout à fait en ordre. »
L’homme continue à essayer cette feuille de figuier, mais Dieu a pris une décision. Et la décision, c’était que quelque chose devait mourir ; en effet, cela parlait de Lui, de Sa sainteté, de Sa justice, vis-à-vis de Sa propre loi. « Le jour où tu prendras cela, tu mourras. » Et il fallait un substitut qui éprouvait des sensations. Les végétaux n’éprouvent pas de sensation. Il devait donc tuer quelque chose pour avoir les peaux afin de les couvrir. Et c’était la décision de Dieu sur la façon de sauver l’homme, de ramener l’homme à la communion avec Lui en Eden. Et cela est resté à jamais ainsi.
53 Aucun homme... Je ne sais pas pendant combien de temps on a essayé d’instruire l’homme, et de lui dire qu’un programme éducatif fera l’affaire. Combien de fois les églises ont-elles essayé cela? Chaque fois cela a failli, et cela faillira. Nous essayons d’organiser, chacun a... Eh bien, je ne suis pas contre l’instruction. Je ne suis pas non plus contre l’organisation. Mais l’organisation et les programmes éducatifs, ainsi que tout le reste que nous avons fabriqué de nos mains, ce sont des feuilles de figuier. Il faut revenir à la décision originelle de Dieu lors de la première conférence en Eden ; revenir au sang.
54 Les Juifs, dans les temps anciens... Maintenant, j’en arrive à nous pour la Pentecôte, juste pour quelques minutes. Dans les temps anciens, quand Dieu agréait ce substitut, le Juif venait sur la route avec son taureau splendide. Et il disait : « Tu sais, je suis un pécheur. Jéhovah exige que j’offre le sang. » Il va donc chercher son agneau ou son taureau. Il l’amène au souverain sacrificateur, au temple, et il pose ses mains sur son sacrifice. Qu’est-ce que cela fait? Cela identifie l’adorateur à son sacrifice. Et le sacrificateur vient et tue le taureau, ensuite il recueille le sang et l’asperge sur... Et cet adorateur, ce Juif, reconnaît avec sincérité que c’est ce que Jéhovah lui a exigé.
L’homme rentrait chez lui avec un sentiment de bien-être, après avoir senti le tremblement, le frémissement de cet agneau, le sang qui se répandait sur ses mains, et ainsi de suite ; et il a vu ce petit animal gigotant et mourant pendant qu’on lui tranchait la gorge. Il savait que ça devait être lui. Il considérait son sacrifice. Il s’identifiait à cela en posant ses mains dessus, en disant : « Ce devrait être moi. » Et alors, quand on lui tranchait la gorge, et qu’il mourait, il bêlait et continuait ainsi, le petit animal tremblait puis devenait inerte, et l’adorateur qui se tenait là disait : « Ô Jéhovah, Tu l’as accepté à ma place. J’ai honte de moi-même. » Et l’homme rentrait chez lui justifié, parce qu’il avait fait exactement ce que Jéhovah avait exigé.
55 C’était bien. Mais bien vite, c’est devenu une tradition familiale. Eh bien, l’homme prend son sacrifice et dit : « Eh bien, voyons donc. Oh, oui, ce sera la fête de la nouvelle lune. Je pense que je ferais mieux de commencer par purifier le tabernacle. C’est la fête de la Pentecôte. Je pense que je ferais mieux d’aller offrir un agneau pour moi. » Il va là-bas et le tue sans rien sentir du tout, il le place… rentre avec la même pensée qu’il avait en arrivant là. Et qu’a-t-Il fait alors? Parlant de cela un peu plus tard, Jéhovah a dit ici dans Esaïe, Il a dit : « Vos fêtes solennelles sont devenues une puanteur dans Mes narines. »
Nous ne devons pas nous approcher comme une bande de Rickys et de Rickettas. Nous ne devons pas nous approcher comme une bande de gens formalistes, et tout ce qu’on a aujourd’hui, de ces religions traditionnelles. Nous sommes des pentecôtistes. Venons avec une sincérité profonde, posons nos mains sur notre Sacrifice là au Calvaire, et sentons Jésus-Christ saigner et souffrir, alors que nous nous identifions comme étant morts aux choses du monde et à ces idées modernes d’aujourd’hui.
56 Nous sommes comme Sodome et Gomorrhe, et nous vivons en plein là-dedans. Que l’esprit juste en nous... Ces péchés tourmentent tous les jours notre âme. Que les péchés du monde et les modes d’Hollywood, et tout cet évangile d’Hollywood et toutes ces absurdités, tout ce maquillage, et la musique qui est jouée, on sautille, puis quand la musique s’arrête, vous devenez calme. Quand un homme est lavé dans le Sang de l’Agneau, il n’a pas besoin de musique ni de rien d’autre. La puissance de Dieu agit sur lui, et il peut crier, hurler, louer Dieu, ou faire n’importe quoi d’autre, qu’il y ait de la musique ou pas. Le Saint-Esprit est en lui. Il est identifié à Jésus-Christ.
Mais aujourd’hui, nous voulons simplement... Il nous faut sauter un peu comme les pentecôtistes, parce que nos ancêtres l’ont fait. Ils avaient quelque chose qui les poussait à sauter, c’est ce Saint-Esprit qui les faisait sauter. Et puis, quand vous descendez, vivez toujours aussi haut que vous sautez. Sinon, ne sautez pas du tout. Nous descendons aujourd’hui et menons toutes sortes de vie. Nous jetons le discrédit sur la chose même que nous soutenons.
57 Et nos organisations deviennent mondaines. Elles en arrivent là et laissent nos frères pentecôtistes aller là dans ces grandes écoles. Elles sont très bien, je n’ai rien contre elles, mais j’essaie seulement de montrer un point. Elles les instruisent et leur enseignent la psychologie, et leur donnent un diplôme de licence, juste comme le font les autres, puis elles les envoient là-bas. Et ce qu’ils sont, ils sont absolument... Ce ne sont pas des pentecôtistes.
Dieu n’a pas de petits-fils; Dieu a des fils. Nous essayons de penser que notre mère était pentecôtiste, notre papa était pentecôtiste et tout; ils nous ont amenés à l’école du dimanche et, automatiquement, nous sommes des pentecôtistes. Ça, ce sont des petits-fils. Dieu n’a pas de petits-fils; Il a des fils et des filles de Dieu. Et tout homme doit payer le même prix que le premier homme. Il doit venir sous le Sang versé de Jésus-Christ. C’est ce qu’il doit faire.
58 Eh bien, nous voyons maintenant que c’est ce qui... Au début, la sincérité... Maintenant, nous essayons de penser que parce que nous avons un jeune homme ici qui veut être instruit... Il fréquente les écoles et tout ; il en sort instruit. Il s’exprime avec éloquence ; il sait se tenir sur l’estrade; il a du charme. Eh bien, c’est ça Hollywood. Ils veulent quelque chose qui brille. On veut avoir un homme cultivé, avec une instruction raffinée. On veut avoir malgré tout un homme qui est large d’esprit, pour qu’il voie... Que les femmes se coupent les cheveux, cela lui est égal. La Bible dit qu’elle ne doit pas le faire. Cela lui est égal que le… du moment qu’un diacre vient à l’église, qu’il est un homme de bien, qu’il peut très bien payer, cela lui est égal que l’homme soit marié plusieurs fois. « C’est en ordre, c’est un homme de bien. » Mais la Bible rejette cela. Exactement.
59 Nous n’entrons pas dans l’Eglise par la théologie; nous y entrons par la genouologie. C’est juste. Nous entrons en Christ. Mais, vous voyez, aujourd’hui nous avons – nous avons cette idée selon laquelle il nous faut faire comme les autres. C’est cela qui a créé des ennuis à Israël, il a voulu faire comme les autres. Notre fête solennelle de la Pentecôte est devenue juste une adoration formaliste. Nous savons tous cela. Et nous voyons cela devenir... Nous ne devons pas faire cela. La chose que nous devons faire, c’est revenir et nous identifier à Jésus-Christ. Suivons Sa voie et laissons-Le agir à travers nous. Alors les hommes suivront avec joie Celui qui a enseigné autrefois : « J’attirerai tous les hommes à Moi. » Comme nous aimerions continuer un peu et dire d’autres choses sur cette Conférence d’Eden. Mais j’ai d’autres conférences auxquelles je voudrais en venir.
60 Prenons par exemple cette autre conférence, la Conférence du Buisson Ardent, que j’appellerais le Buisson Ardent. Eh bien, Dieu avait un prophète fugitif. Quand Dieu appelle un homme à faire quelque chose, celui-ci ferait mieux d’y aller, sinon il sera malheureux le reste de ses jours. Moïse est entré en action. Dieu l’avait appelé. Il était ordonné pour un travail. Et alors, quand il s’est mis à agir, les gens ne l’ont pas cru, alors il a simplement laissé les gens tranquilles.
Il s’est enfui et a épousé une belle éthiopienne et a reçu en héritage… a hérité un troupeau de moutons. Et le voilà là, et il a perdu toute la vision concernant le peuple, concernant l’Eglise du Dieu vivant. Mais Dieu l’avait ordonné à faire la chose. Il l’avait suscité, il est sorti du sein de sa mère un bel enfant, et Dieu l’avait suscité dans ce but-là. Il est inutile d’essayer d’y échapper, vous allez le faire de toute façon.
61 Et vous qui n’êtes que des membres d’église et qui sentez qu’il y a quelque chose de plus profond dans votre coeur, vous serez misérable et malheureux jusqu’à ce que vous acceptiez ce Christ comme cela. Vous avez vu le Véritable et Authentique Saint-Esprit à l’oeuvre dans les gens. Vous serez misérable jusqu’à ce qu’Il vienne à vous. C’est Dieu qui vous appelle. Abandonnez-vous, sortez de derrière les buissons. C’est une affaire réglée, Dieu a tracé Sa voie. C’est par le Sang.
Vous dites : « Eh bien, je suis membre de l’église. » Cela ne veut rien dire de plus que si vous étiez membre du rodéo, rien du tout. Je n’ai rien contre l’organisation, mais... Je ne suis pas contre les gens qui sont dans l’organisation, mais il s’agit du système.
62 Maintenant, remarquez ceci. Eh bien, nous voyons ce buisson ardent. Dieu savait que ce prophète menait une vie facile. Alors Il a décidé qu’Il devrait parler à ce prophète. Il a donc choisi un lieu. Il y avait urgence : « J’ai entendu les cris de Mon peuple. Et voilà l’homme que j’ai envoyé pour les délivrer, et il est faible et amorphe. »
Ô Dieu, j’espère qu’Il en appelle un ici ce matin, les ministres pour qu’ils soient en feu. Considérez la vision. Nous mourons. Le monde est perdu. L’église est rétrograde. Dieu essaie d’appeler une Epouse à sortir.
Il a donc choisi un lieu, un lieu vraiment drôle pour nous; c’était un buisson au sommet de la montagne. Mais cela a attiré l’attention du prophète. Et Il l’a appelé là pour une conférence.
63 Observez, il devait y obéir à la lettre. « Ôte tes souliers, Moïse. La terre sur laquelle tu te tiens est sainte. »
Qu’en serait-il si Moïse avait dit : « Eh bien, maintenant, Seigneur, je viens de recevoir de l’instruction. Pour témoigner du respect, on ôte son chapeau ; donc je vais ôter ce chapeau. » Cela n’aurait jamais marché. Quand Dieu a dit souliers, Il voulait dire souliers.
Quand Dieu a dit naître de nouveau, Il voulait dire naître de nouveau. Il ne veut pas dire une poignée de main ou réciter un credo. Tout le monde a peur de cette nouvelle naissance. Le diable a remplacé cela par une poignée de main ou une espèce d’affaire psychique qui vous ferait reconnaître : « Oui, je suis né de nouveau. » Mais votre vie révèle ce que vous êtes, la vie qui est en vous.
Si vous dites que vous êtes né de l’Esprit de Dieu et que vous reniiez une seule Parole de cette Bible, cela montre que vous ne l’êtes pas. Vous essayez de renvoyer cela à une époque révolue sur quelque chose d’autre, cela montre que ce n’était pas le Saint-Esprit ; en effet, Il ne renie jamais Sa propre Parole. Vous dites : « Eh bien, c’est ce que mon église enseigne. » Là, cela montre que vous ne l’êtes pas. Vous êtes né de l’église, pas de Dieu. Ça c’est Dieu, Sa Parole.
Le voici, Moïse, l’oint. « Ôte tes souliers. La terre sur laquelle tu te tiens est sainte. »
« Eh bien, mon chapeau ne ferait-il pas autant l’affaire? »
Il a dit « souliers ». Et Il voulait bien dire « souliers ». Si Dieu dit de naître de nouveau, cela veut dire « naître de nouveau. »
64 Maintenant, écoutez. Eh bien, je suis dans un groupe mixte, et il y a des jeunes enfants. Mais vous écoutez votre médecin. Vous écoutez... J’espère que vous m’écoutez et me comprenez. Toute naissance est un gâchis. Que ce soit dans une porcherie ou – ou dans une chambre d’hôpital décorée au rose, toute naissance – naissance est un gâchis. Et il en est ainsi de la nouvelle naissance. C’est un gâchis. Elle vous fera faire des choses que vous ne pensiez pas pouvoir faire. Mais de cette mort et de cette corruption sort la vie. Et aucune semence ne peut produire sa vie si elle n’est pas morte et n’a pas pourri. Et de ce gâchis pourri, quand il ne reste plus rien à faire pourrir, c’est seulement la vie qui vit.
65 Quand un fils vient à Dieu, il est soumis à des épreuves. Quand je me suis tenu là ce jour-là, je me souviens que je passais mon épreuve. Alors que j’avais passé des jours et des jours, des mois et des mois, et des années, quatre ou cinq années aux coins des rues, prêchant l’Evangile pour essayer de faire ce qui était juste aux yeux de Dieu, mais Il a laissé ma femme m’être carrément ôtée, mon bébé étendu là, en train de mourir. Et je suis descendu là auprès du bébé. J’ai dit : « Seigneur Dieu, ne laisse pas mon bébé mourir. » Un pauvre petit bébé âgé de huit mois – neuf mois...
J’ai levé les yeux, et c’était comme si un drap noir descendait. Il a même refusé de m’écouter. Il n’a même pas voulu me regarder. Je me suis levé, j’avais environ vingt-trois ans. Ma femme gisait là à la morgue. Il a refusé de m’écouter à propos d’elle. Alors que tout ce que j’avais fait... J’ai dit : « Ô Dieu, dis-moi ce que j’ai fait. Si j’ai mal agi, punis-moi, pas elles. » J’ai dit : « Qu’ai-je fait? Je travaille toute la journée, et je prêche toute la nuit, et je me tiens aux coins des rues et jamais... Qu’ai-je fait? Dis-moi ce que j’ai fait. » Il n’a même pas voulu me parler.
66 Alors Satan s’est approché de moi. Il a dit : « Et puis, tu vas Le servir, alors qu’une seule parole changerait toute la situation? Une seule parole sauvera ton bébé, mais Il refuse de le faire. Il ne veut pas le faire, alors qu’une seule parole pourrait... Puis tu vas continuer à Le servir ! »
Tout le raisonnement humain... C’est juste. Pourquoi devrais-je Le servir s’Il ne veut même pas ne fût-ce que baisser les regards vers mon bébé? C’est tout ce qu’il fallait, et avec tout ce que je pensais avoir fait pour Lui, et puis Il ne voulait même pas écouter pour mon propre bébé. C’était la tentation la plus dure. Tous les raisonnements humains avaient cédé. « Pourquoi devrais-je Le servir s’Il ne peut pas faire autant pour moi? Et je travaille jour et nuit pour Lui. Et Il refuse même de me dire ce que j’ai fait. »
67 Eh bien, les raisonnements humains ont disparu. Mais, oh, quand un homme est né de nouveau, quelque chose là-dedans tient bon ! Cela en est arrivé à ce point-là, quand je me suis dit : « Où l’ai-je eue? D’où est-elle venue? Qui suis-je de toute façon? D’où suis-je venu? » Voyez? Tout ce qui est de l’homme s’était envolé. Alors ce Véritable et Authentique Esprit de Dieu était là.
Je suis allé vers elle et j’ai posé mes mains sur sa tête. Elle souffrait tellement que ses petits yeux louchaient. J’ai dit : « Chérie, dans quelques instants, je vais te prendre pour te déposer dans les bras de Maman, là à la – à la morgue. Je vais vous enterrer ici sous les pins. Et un jour, papa vous reverra. » Et j’ai levé les yeux; j’ai dit : « Ô Dieu, même si Tu me tues, cependant j’aurai confiance en Toi. Tu l’as donnée, Tu l’as reprise. Que le Nom du Seigneur soit béni ! »
En effet, à ce moment-là tous mes raisonnements humains avaient disparu. Je me trouvais au bout du rouleau. Mais quand vous vous trouvez au bout du rouleau, c’est alors là que ce Véritable Esprit de Dieu prend le dessus, à ce moment-là, et vous relève.
68 Il vous faut naître de nouveau. Tout doit mourir. Toute votre théologie, toute votre pensée, tout ce que vous avez jamais été ou que vous espérez être, votre vie et tout le reste meurent. Et alors le Saint-Esprit vient. C’est alors que vous ôtez les chapeaux, les souliers, que vous vous tenez devant Dieu. « Je ne porte rien dans mes mains, je m’attache simplement à Ta croix. » C’est là que Moïse a dû en arriver, là où il pouvait obéir à ce que Dieu a dit de faire : la Conférence du Buisson Ardent. Alors Dieu a dit : « Je vais te montrer Ma gloire maintenant », après qu’il fut disposé à aller. Et il est descendu en Egypte.
69 Il y a la Conférence d’Eden ; il y a la Conférence du Buisson Ardent. Prenons-en une autre rapidement. Prenons la Conférence de la mer Rouge. Vous savez, des fois, juste quand on est en plein dans la ligne du devoir, Satan croise notre chemin. Frères ministres, vous tous savez cela. Chrétiens, vous savez cela. Juste ...
Voici Moïse ; il est allé montrer les signes à Israël, ceux à qui il avait montré premièrement n’avaient pas voulu écouter. Il revient dans la ligne du devoir, étant sous l’onction de Dieu, avec la voix même de Dieu pour appeler même des choses à l’existence par la Parole. Il pouvait appeler des mouches. Il a utilisé la voix de Dieu. Il a dit : « Que des mouches viennent. » Et il n’y avait même pas une mouche dans le pays. Il s’est retiré.
Il savait que cela arriverait, parce qu’il avait prononcé la Parole de Dieu. Il s’est retiré, et directement une vieille mouche verte a commencé à décrire des cercles. Et après, il y en avait deux livres [environ 907 gr – N.D.T.] sur chaque mètre carré.
L’oeuvre de la création relève aujourd’hui de l’Eglise de Jésus-Christ, sous le Sang de Jésus-Christ, par Sa Parole qui nous met en contact avec Lui. Aucune différence. La Parole que nous entendons est ici. Et c’est Dieu. Nous Le voyons debout là. Nous savons que c’est Lui qui nous parle, la même chose. J’ai vu cela être fait et je sais que c’est juste. C’est en accord avec la Bible.
70 Moïse a reçu l’autorité là, il est parti et il a montré les signes à Israël. Et Israël est sorti avec lui. Et les voici bien dans la ligne du devoir, et il y a la mer Rouge qui leur barre la route. Moïse a convoqué une conférence. Dieu a dû choisir un lieu derrière le rocher. Moïse y est allé et a dit : « Eternel... »
Si vous marchez dans la ligne du devoir, vous avez le droit de convoquer une conférence. C’est pour cela que nous venons prier. C’est pour cela qu’on nous envoie à l’hôpital. C’est pour cela que nous nous approchons du lit des malades : pour convoquer une conférence. Oh ! la la ! Je me sens religieux maintenant ! Convoquer une conférence. C’est ce dont les pentecôtistes ont besoin aujourd’hui, convoquer une conférence. Quel est le problème ? Nous avons ralenti. Il y a un lingot quelque part dans le camp. Convoquez une conférence.
71 Moïse a convoqué une conférence, il a dit : « Eternel, j’ai fait exactement ce que Tu m’as dit, et nous voici dans un piège. La mort vient, elle fond sur nous », comme un malade atteint d’un cancer. « La mort fond sur nous. » Et Moïse s’est tenu là jusqu’à ce qu’il ait obtenu une audience avec Dieu. Il est resté là jusqu’à ce que Dieu ait parlé. Il connaissait Sa voix, il était un prophète.
Il a dit : « Pourquoi cries-tu à Moi, Moïse? Je t’ai donné l’autorité pour amener ces gens là-bas, et J’ai dit que c’est toi qui le ferais. Parle au peuple et allez de l’avant. » Amen.
La mer Rouge a commencé à se retirer, et tout le reste, quand Dieu a prononcé la Parole, quand il avait été décidé de ce qu’il devait faire. « Me voici en face de cela, que dois-je faire ? »
« Parle et va de l’avant. » Et la mer Morte s’est retirée.
Notre temps s’envole, et je – j’ai tellement… d’autres passages auxquels j’aimerais me référer. Allons vite. J’en ai encore beaucoup : David et les autres.
72 Mais ici, rappelez-vous, une fois il y eut la Conférence de Gethsémani, où Dieu et Son Fils devaient se réunir. Après tout, il n’y avait personne d’autre qui pouvait mourir pour les péchés du monde. Personne n’était digne de mourir, aucun homme. Chaque homme de ce monde était né par un désir sexuel. Et c’est ce qui a été à la base du chaos au commencement. C’est ce qui a coupé cela, c’est ce qui a fait de nous des créatures hybrides. Nous sommes nés du sexe, par un désir humain. C’est hybride. Quelque chose était... C’est la raison pour laquelle la mort y est attachée, comme je l’ai dit hier soir.
Mais lorsque Dieu créa Son premier homme, Il n’a jamais demandé à la femme et à l’homme de s’unir. Il l’a créé à partir de la terre. Il était une plante authentique. C’est son péché qui l’a rendu hybride. C’est ça le problème aujourd’hui, c’est la raison pour laquelle nous avons tant de pentecôtistes hybrides. Vous écoutez le raisonnement au lieu de la Parole. Revenez, frères; revenez.
73 Remarquez, là dans les groupes mélangés, je ne dis pas ceci. C’est entre vous, vous pentecôtistes qui êtes ici, et nous. Nous ne venons pas ici pour être entendu. Je viens ici pour essayer d’aider. Je viens... Si je – si je me tiens ici pour dire que je – j’ai parlé d’un certain sujet ce matin, cela fait de moi un hypocrite. Je viens ici avec la vérité, et une vérité que je veux que vous connaissiez, quelque chose que je crois que Dieu a mis sur mon coeur pour vous aider, afin que nous voyions l’heure dans laquelle nous vivons. Voyez?
74 Il y a la Conférence de Gethsémané, où Celui-là qui, seul, pouvait mourir en était arrivé à l’heure cruciale. Alors quand ce grand moment est venu, c’est là qu’Il a dû prendre Sa dernière décision. Sans doute que le Père a dit : « Es-tu toujours disposé à faire cela, Mon Fils? »
Il a dit : « Est-il possible, Père, que Tu puisses trouver quelqu’un d’autre quelque part? J’aime Mon peuple. J’aime les frères que Tu m’as donnés. Est-il possible que quelqu’un d’autre puisse... »
« Non, Tu es le Seul qui peut faire cela. Tu es le seul qui est né d’une vierge. Tu es le seul qui est né en dehors du sexe. Aucun autre homme, aucun évêque, aucun pape, aucun cardinal, personne ne peut T’aider. C’est Celui-là. Tu es le Seul qui puisse faire cela. » Alors la conférence était...
Satan se tenait là, prêt à réclamer la race humaine. Il a dit qu’il en avait le droit parce qu’ils avaient péché.
75 Comme vous avez ici les bandes sur les Sept Sceaux, quand l’Agneau s’est avancé pour réclamer Sa rédemption, ce qu’Il avait racheté, le temps était alors terminé. Il est à l’oeuvre maintenant, faisant l’oeuvre de la rédemption. Mais un jour, Il quittera le sanctuaire pour prendre le Livre de la rédemption qu’Il a acquis au prix de Son propre Sang. Alors il n’y a plus de temps. Il vient donc pour réclamer ce qu’Il a racheté.
Il se tenait là à Gethsémané, dans cette grande souffrance. Le péché de chaque homme était sur Lui. Tout ce qui soit jamais mort, la mort de tout cela était mise sur Lui. Et Il était innocent, mais Il devait devenir péché. « Peux-Tu, saint Fils de Dieu, accepter le péché d’adultère? Peux-Tu accepter le péché, la peine d’adultère? Peux-Tu accepter le péché, la peine du mensonge? Peux-Tu accepter le péché de toutes ces choses et porter celles-ci sur Toi, quoique Tu sois innocent? » Il était le seul. La conférence s’est tenue. Qu’a-t-Il dit? « Non pas Ma volonté, que Ta volonté soit faite. » Ô Dieu, puissions-nous tous arriver à une Conférence de Gethsémané, à ce contrôle final.
76 Puis un jour il y a eu une autre conférence. Quelques jours après cela, environ quarante jours, il y a eu une conférence après Sa mort, Son ensevelissement, et Son ascension. L’Eglise chrétienne allait être organisée. Les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les luthériens, nous tous. Ecoutez maintenant juste un instant, pour terminer.
Il vint un temps où Dieu n’envisageait pas prendre seulement un peuple, tel qu’Israël est Son peuple. Israël sera sauvé en tant que nation (C’est la Bible qui le dit.), et naîtra en un seul jour. Dieu traite avec Israël en tant qu’un pa… en tant que – en tant qu’un peuple. Mais Il traite avec l’Eglise comme des individus. Il a appelé du milieu des Gentils un peuple qui portât Son Nom.
Maintenant, nous voyons que le moment est donc arrivé. Comment cette église doit-elle être dirigée? On leur a défendu, bien qu’ils avaient prêché, bien qu’ils avaient guéri (Ecoutez-moi.), bien qu’ils – ils avaient prêché, bien qu’ils avaient guéri, bien qu’ils avaient vu de grands miracles et prodiges, et bien qu’ils étaient témoins qu’Il était le Fils de Dieu, cependant Il leur avait défendu de prêcher jusqu’à ce qu’ils auraient tenu cette conférence.
« Attendez là dans la ville de Jérusalem. Je vous ferai savoir comment l’Eglise chrétienne doit être dirigée. Je vous le ferai savoir, si Je dois avoir un évêque, ou un cardinal, ou un pape, ou tout ce que je vais avoir. Je vous le ferai savoir. Je m’en vais au Ciel tenir une conférence, et vous, attendez là jusqu’à ce que vous entendiez les conclusions. » Amen, amen.
77 Je me souviens que lorsqu’ils tenaient cette Conférence de Genève, mon vieil ami prédicateur, Dr. Pettigrew, à Louisville, a dit qu’il suivait la radio, il suivait. Le sort de la nation était en jeu. Il voulait savoir ce que serait la décision, ce qu’ils allaient faire. Et un hippie est venu à la porte avec ses cheveux qui lui tombaient sur le visage, et il a dit : « Dr. Pettigrew, si je comprends bien, vous êtes un – un homme très – très influent. » Il a dit : « Je – j’ai quelques chansons du rock and roll que... Les – les gens ne m’écouteront pas. Si vous voulez bien me donner un petit coup de pouce... »
Il a dit : « Fiston, reste là juste un instant. » Il a dit : « Je suis – je suis en train de suivre pour voir ce que seront les conclusions. »
Il a dit : « Mais Dr. Pettigrew, a-t-il dit, ceci est très important. » Il a dit : « Ça représente beaucoup pour moi. » Comme si cela était plus important que suivre les conclusions de la Conférence des Quatre Grands.
C’est ainsi que sont les gens aujourd’hui. Un petit hippie, ou quelque chose comme ça, vient tout autour au nom de la – de la religion et cherche à détourner votre attention pour que vous ne suiviez pas les véritables conclusions. Une petite poule mouillée minable, mesquine, religiosité (s’il existe un tel mot dans l’usage), qui a plus de membres et de meilleurs gens, qui a une plus grande église et une grande foule derrière, essayant d’attirer votre attention. Frères, ne l’écoutez pas. Nous avons les conclusions écrites ici.
78 Comme à la Conférence de la Pentecôte, il a été dit : « Ne chantez plus de cantiques. Ne prêchez plus. Mais allez là-bas et attendez jusqu’à ce que cette conférence sera terminée ; Je vais vous envoyer les nouvelles. Je vais vous dire qui est le plus grand parmi vous. Je vais vous dire exactement ce que vous devez faire, si vous devez avoir une organisation, si vous devez avoir un pape, ou un évêque, ou quoi que ce soit que vous êtes censés avoir. Je vais vous dire quoi. Mais attendez jusqu’à ce que vous entendiez les conclusions. Nous allons au Ciel pour en décider. » Et Il est monté en haut, Il a emmené des captifs, Il s’est assis à la droite de Dieu, et Il a envoyé des dons aux hommes.
Alors le jour de la Pentecôte, ils attendaient. Oh ! que serait-il arrivé si c’était... Et si – si André avait dit, environ six jours après : « Vous savez, frères, je crois que nous ne devons plus attendre. Je crois que c’est par la foi que nous recevons notre ministère. Nous devrions aller de l’avant, commencer carrément et exercer déjà notre ministère, tout de suite. » C’est là le problème d’un grand nombre de ministres. Ils ne restent pas là assez longtemps, jusqu’à ce qu’ils entendent les conclusions, qu’ils reçoivent leur commission.
79 « Eh bien, vous savez... » Peut-être qu’il y aurait eu un autre du nom de Philippe, qui se serait levé et qui aurait dit : « Vous savez, je me sens très bien. Après tout, nous connaissons ceci, ce qu’Il veut faire. »
Ça pourrait être ça, frères. Vous pouvez avoir une licence ès lettres, un doctorat en théologie, un doctorat en droit, et que sais-je encore, et cela ne veut rien dire. Votre connaissance ne signifie rien. Tous vos séminaires ne veulent simplement rien dire. Vous devez attendre les conclusions pour voir ce que Dieu dit. Aucun homme n’a le droit de prêcher l’Evangile sans avoir rencontré – premièrement rencontré Jésus-Christ comme une Personne, pas comme un certain théolog… – théolo…(Eh bien, vous savez ce que je veux dire.), un certain diplôme en théologie, diplôme en théologie. Il n’a aucun droit de le faire sur base de cela. Peu importe combien il est capable d’expliquer cela, ce n’est pas ça.
80 C’est tout à fait comme Moïse. Il pouvait enseigner la sagesse aux Egyptiens. Il était l’homme le plus intelligent du pays, mais il a dû aller en conférence avec Dieu. Et aucun homme n’a le droit de prétendre être un chrétien, aucune femme, aucun enfant, aucun prédicateur surtout, à moins qu’il ait été en personne sur ces sables sacrés où il a rencontré Dieu. Tous les théologiens du monde, tous les infidèles du monde ne peuvent pas lui ôter cela à force d’explications. Il était là; cela est arrivé. Cela lui est arrivé. Il sait où il se tient.
Ils sont allés là le jour de la Pentecôte. Et nous n’avons pas vu un... Maintenant, je ne suis pas... Je fais juste une remarque. Nous ne voyons pas cela là-bas, là où l’évêque s’amène avec son cartable en main, pour dire : « Eh bien, c’est le Seigneur qui m’a envoyé. Je veux vous imposer les mains, frères, et vous envoyer. » Ça, c’est la version 1963 de la chose : l’évêque et son staff.
Pendant que nous pensons à eux, prenons simplement cela, avec le respect qu’on doit à nos amis catholiques. Disons qu’un prêtre s’amène là avec les soi-disant derniers sacrements. « Faites sortir la langue et prenez l’hostie, et moi, je vais boire le vin. Et alors vous deviendrez membre. » Si c’était cela, c’est ce qui aurait été au début. Dieu est infini. Sa décision est juste comme c’était dans le jardin d’Eden. Il... Sa première décision règle la question.
81 Eh bien, qu’ont-ils fait? Ils ont attendu, et attendu, et ils n’étaient pas satisfaits. Ils ont attendu jusqu’à ce qu’il vint du Ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux. Cela a rempli toute la maison où ils se trouvaient. Des langues semblables à des langues de feu se posèrent sur eux, et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
Un groupe de poltrons qui avaient peur d’évangéliser, un groupe de poltrons qui avaient peur de faire face aux dignitaires et aux célébrités de la ville ainsi qu’aux critiqueurs religieux, était dehors dans la rue, témoignant : « C’est ça la chose. » C’était la décision de Dieu.
Quelques jours après que les Samaritains... Philippe est allé là, il leur a prêché et les a baptisés au Nom de Jésus-Christ, bien que le Saint-Esprit n’était encore tombé sur aucun d’eux. Alors ils ont envoyé chercher Pierre et l’ont amené là. Ils savaient... Ils étaient dans une grande joie. Ils étaient heureux et se réjouissaient, et ils ont passé de grands moments. Et ils ont eu de grandes guérisons et tout. Maintenant, vous les frères nazaréens, pèlerins de la sainteté, méthodistes, écoutez. Il ne s’agit pas de la guérison. Il ne s’agit pas de la joie. Il s’agit d’une expérience. Il s’agit du Saint-Esprit, de Christ Lui-même qui entre en vous en tant qu’une Personne.
82 Ils ont envoyé chercher Pierre et Jean qui sont venus leur imposer les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux. Dans Actes 10.49, nous voyons que pendant que Pierre parlait aux païens : « Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient cela. Car ils les entendaient parler en langues et glorifier Dieu. »
Et Pierre a dit : « Peut-on refuser l’eau à ceux qui ont – ont reçu le Saint-Esprit aussi bien que nous au commencement? »
Paul, dans Actes 19, parlait à un groupe de baptistes, après avoir parcouru les hautes provinces d’Ephèse. Il rencontra quelques disciples. Ils étaient heureux. Ils avaient là un grand prédicateur baptiste du nom d’Apollos. Et c’était un avocat qui s’était converti. Et il disait qu’il était prouvé dans la Bible que Jésus était le Christ.
83 Et Aquilas et Priscille, qui faisaient des tentes avec Paul, ont dit : « Notre frère Paul est en prison là-bas. » Quel endroit pour un prédicateur ! Il était en prison pour avoir chassé le démon d’une diseuse de bonne aventure. Et il a dit : « Il – il est en prison, mais il nous visitera bientôt, et il t’expliquera plus exactement la Parole de Dieu. »
Et ils ont passé de bons moments, comme tous les bons baptistes, en criant, en louant Dieu, ayant des guérisons, des miracles et tout. Mais quand Paul, un apôtre, est arrivé et qu’il les a écoutés, il a dit : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit après avoir cru ? » Ils pensaient L’avoir. Voyez? « Après avoir cru. » Nous pensons que nous L’avons quand nous croyons. C’est faux. Il a dit : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit après avoir cru ? »
Ils ont dit : « Nous ne savons pas ce que c’est, ou qu’il y en ait Un. »
Il a dit : « De quel baptême avez-vous été baptisés ?
Ils ont dit : « De Jean. »
Il a dit : « Cela ne peut plus marcher. Vous devez être rebaptisés. »
Alors il les a baptisés au Nom de Jésus-Christ, il leur a imposé les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux, et ils ont parlé en langues et ont glorifié Dieu. Comment? Juste comme les autres l’avaient fait au commencement. C’est la même formule qui a été appliquée.
84 Lorsqu’un médecin fait une prescription, ne laissez aucun de ces pharmaciens charlatans essayer de s’amuser avec cela. S’il vous donne trop d’antidotes, cela ne pourra pas faire de mal… vous aider. Et s’ils mettent trop de poison, cela vous tuera. Ne vous amusez pas avec la formule de Dieu ; appliquez-la telle qu’elle a été donnée à la conférence. C’était là les ordres. Amen. Je L’aime.
Cela me rappelle les parents de Jésus. Ils sont allés à la fête de la Pentecôte. Sur leur chemin du retour, ils se sont rendu compte… Ils avaient fait trois ou quatre jours, et ils ont remarqué qu’Il n’était pas avec eux. Ils ont commencé à se poser des questions. C’est ce qu’il en est aujourd’hui. Nos églises commencent à se rendre compte : « Où est parti Jésus ? Qu’est-il arrivé ? Nous sommes des pentecôtistes, mais qu’est-il arrivé ? Nous sommes des méthodistes, mais qu’est-il arrivé ? Où est parti Jésus ? »
Ils ont commencé à chercher parmi leurs membres de famille. C’est ce que… Nous nous mettons à penser à ce que Moody a dit, à ce que Sankey a dit, à ce que Finney a dit. Ça, c’était leur jour. Nous sommes plus loin sur la route.
85 Si nous nous mettons à chercher derrière comme eux… Ils sont allés auprès de leurs membres de famille et ils ne L’ont pas trouvé. Ils sont allés auprès de tous leurs membres de famille, des évêques, et ainsi de suite. Ils ne L’ont pas trouvé. Finalement, ils L’ont trouvé juste à l’endroit où ils L’avaient laissé. Où L’avaient-ils laissé ? A la fête de la Pentecôte. Ils devaient rentrer jusque-là où ils L’avaient laissé avant de Le trouver.
Et, église, c’est ce que nous devons faire : rentrer là où nous L’avons laissé. Il nous faut nous éloigner de certaines de nos traditions, retourner à l’endroit où nous L’avons laissé. Si vous voulez savoir où vous L’avez laissé, tenez une petite conférence biblique et sans mettre des gants. Dites simplement la vérité.
Nous allons attendre maintenant jusqu’à ce que nous voyions comment c’était. Aucun évêque, ni rien, seul le Saint-Esprit était censé conduire l’Eglise. C’est le seul conducteur que nous avons, le Saint-Esprit. Et Il conduit conformément à la Parole. Vous dites : « Eh bien, j’ai le Saint-Esprit », et vous reniez la Parole. Alors, ce n’est pas le Saint-Esprit, parce que c’est le Saint-Esprit qui a écrit la Bible. C’est juste. Ce n’est donc pas le Saint-Esprit.
86 Ecoutez, alors que nous terminons. Dans les conférences du monde, que font les gens ? Ils mangent ensemble, ils parlent ensemble, ils font des histoires ensemble, ils se racontent des mensonges l’un à l’autre à la conférence du monde, à la conférence du monde des nations.
Mais ce que… Quand Dieu convoque une conférence, qu’arrive-t-il ? Les gens se rencontrent. Ils ne festoient pas, mais ils font le jeûne. Ils ne font pas des histoires, mais ils prient. Ils attendent de recevoir des ordres pour aller de l’avant. C’est ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui, aller de l’avant. Recevoir des ordres. Et vous dites : « Eh bien, comment puis-je trouver les ordres ? » Les voici. Voici les ordres.
« Comment le savez-vous, Frère Branham ? »
La manière dont Dieu avait conçu la rédemption au départ, c’était par le sang, et Il ne changera jamais cela. Quand Dieu prend une décision… C’est la raison pour laquelle vous pouvez accrocher votre âme à cette Bible, à chaque point de ce qu’Elle déclare, parce que c’est la Parole de Dieu. Et Dieu, étant infini, ne peut pas dire : « Eh bien, je m’étais trompé il y a deux mille ans. » Dieu est éternel. Il n’a jamais eu de commencement. Il n’aura jamais de fin. Et le seul moyen pour vous de pouvoir être comme Lui, c’est d’être une partie de Lui.
87 Le jour de la Pentecôte… Cette glorieuse Colonne de Feu qui avait suivi Israël, ou plutôt qu’Israël avait suivie dans le désert, voyez-vous, cette glorieuse Colonne de Feu était Dieu, l’Ange de l’Alliance, Jésus-Christ. Moïse a regardé l’opprobre de Christ comme un trésor plus grand que ceux de l’Egypte. Alors il a abandonné l’Egypte et a suivi Christ. Remarquez, qu’est-ce que Dieu a fait le jour de la Pentecôte ? Il a pris cette grande Colonne de Feu et L’a divisée. C’était Lui-même. Des langues de feu, des langues divisées, des langues séparées les unes des autres, sont descendues, des langues divisées, et se sont posées sur chacun d’eux.
Oh ! ne pourrions… Nous devrions avoir honte de laisser nos organisations nous diviser, alors que Dieu s’est divisé Lui-même parmi nous afin que nous soyons un. « A ceci tous connaîtront que vous êtes Mes disciples. » Entendez-vous cela, frères et soeurs ? Dieu s’est divisé. Nous ne sommes jamais divisés, l’un et l’autre, parce que nous faisons parti de Dieu.
88 Laissez simplement ce feu se joindre à ce feu-ci, un moment après vous verrez que cela va se mettre en marche. C’est passé par Luther, Wesley, la Pentecôte. Et nous verrons que la pyramide sera coiffée l’un de ces jours. Vous savez qu’elle n’a jamais été coiffée, la pyramide qui se trouve au verso de votre dollar. « Le grand sceau », comme on l’appelle. Et nous, en Amérique,… Voici le sceau américain de ce côté-ci, mais pourquoi appelle-t-on le grand sceau, celui qu’Enoch a construit ? Maintenant, il ne s’agit pas de la doctrine sur la pyramide, car je ne crois pas dans ce genre d’histoires.
Mais ils n’ont jamais coiffé la pyramide. Pourquoi ? La – la Pierre de faîte a été rejetée. Mais un de ces jours, Elle reviendra. Dieu soit loué ! Et, voyez-vous, dans cette Pyramide, j’y ai été, les pierres sont taillées de manière si correspondante que vous ne pouvez même pas y faire passer une lame de rasoir, il n’y a pas de mortier entre elles. Elles s’assemblent si parfaitement que c’est comme si c’était une même pierre. Et quand cette église sera taillée et amenée à l’image parfaite de Jésus-Christ, Il viendra, Il ressuscitera tous les saints quand Il viendra et Il les amènera avec Lui. L’Eglise du Dieu vivant sera enlevée.
89 Mais, frères, nous ne serons pas comme Eve, l’un ayant ceci et l’autre ayant cela, un corps défiguré. Ce sera littéralement ce que Dieu a dit. Vous dites : « Frère Branham, qu’a-t-Il dit alors ? Il ne nous l’a jamais dit. »
Très bien, Pierre l’a dit. Quand les gens ont voulu savoir : « Comment entre-t-on dans ceci ? » Qu’est-il arrivé ? Il nous a donné la formule.
Eh bien, s’Il avait dit de serrer la main et de se joindre à l’église, ce serait cela la chose. Et s’Il avait dit de se tenir sur la tête, ce serait cela la chose. S’Il avait dit, nous allons instituer un grand homme, et établir un grand corps, un grand pape, un grand ceci, cela, ce serait cela la chose.
Mais qu’a-t-Il dit ? « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
90 Et tant que Dieu appelle, ça doit être la même formule, pas serrer la main, réciter un credo, mais être baptisé du Saint-Esprit pour former le Corps de Jésus-Christ. C’est ainsi que l’Eglise chrétienne doit être dirigée, pas par des crédos, pas par une dénomination, pas par l’instruction, pas par la théologie, mais par le baptême du Saint-Esprit, afin de conduire des hommes et des femmes. Et Il ne vous conduira jamais en dehors de la Parole de Dieu. Il vous conduira droit à la Parole de Dieu, parce que « l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu ».
Avez-vous encore deux ou trois minutes, quatre ? J’ai une autre conférence que j’aimerais évoquer pour vous. J’ai mentionné cela ici, c’est Actes 4 qui en parle, et je sais ce que cela signifie.
Actes 4, après que les disciples eurent commencé à prêcher, les églises se mirent à les critiquer. Elles ont commencé à leur faire… Les églises disaient : « Eh bien, attendez un instant. Vous pouvez aller de l’avant et accomplir vos miracles. Vous pouvez faire toutes ces choses. Mais ne prêchez plus au Nom de Jésus-Christ. » Ils les ont frappés jusqu’à… meurtrissures et tout le reste. Qu’ont-ils donc fait ? Il fallait que quelque chose soit fait. Ils étaient frappés d’une interdiction ; la loi déclarait qu’ils ne pouvaient plus prêcher comme cela.
91 Oh ! frère, j’aurais souhaité avoir juste un peu plus de temps. L’heure vient où soit vous ferez entrer votre organisation dans le conseil mondial des églises, vous allez… Si vous faites cela, vous recevez l’image de la bête ; en effet, vous avez un pouvoir exactement comme c’était à Rome. Et si vous ne le faites pas, vous serez une église isolée, indépendante. Et alors, l’image de la bête va fermer vos portes, et vous serez frappé d’interdiction. Et alors, vous aurez besoin d’une conférence. Voyez-vous ?
« Les gens nous disent que nous ne pouvons plus, que nous ne pouvons pas prêcher au Nom de Jésus. Consultons Dieu et voyons si nous le pouvons ou pas. » Ils sont donc montés tenir une conférence. Eh, oh, oh, oh ! excusez-moi. Il nous en faut une comme celle-là ce matin. « Est-il convenable pour nous d’obéir à l’homme ou à Dieu ? », a dit l’apôtre.
92 Ils ont tenu une conférence sur ce que nous avons eu ce matin. Ils se sont levés et ont donné la… leur… « L’église nous dit que nous ne pouvons pas prêcher, à moins de nous joindre à leur groupe », et ainsi de suite. « Et nous ne pouvons pas avoir ce ministre, à moins que l’organisation le déclare. Et peu importe combien c’est oint, nous devons faire ceci, cela », et vous savez comment ça se passe, chaque groupe et ainsi de suite.
« Qu’allons-nous faire ? » Ils ont tenu une conférence, ils se sont agenouillés et ont commencé à prier. C’est la Conférence d’Actes 4. Et alors, tous d’un commun accord : « Seigneur, pourquoi de vaines pensées parmi les peuples, ou plutôt ce tumulte parmi les nations, et ces vaines pensées parmi les peuples ? Etends la main de Ton Saint Fils, Jésus, pour guérir les malades. On nous a interdit de faire ceci. » Et tous priaient d’un commun accord.
93 Vous parlez… Certains nous critiquent parce que tout le monde prie au même moment. Comment auriez-vous voulu être dans ce groupe-là, tous d’un commun accord ? Quelqu’un a dit : « Comment Dieu peut-Il entendre cela ? »
Combien de prières pensez-vous qu’Il entend à la fois de toute façon ? Vous oubliez une chose : Il n’est pas limité ; Il est infini. Voyez-vous ?
Et quand ils ont tous prié d’un commun accord, la Bible dit que la maison où ils s’étaient assemblés trembla. Amen. Les conclusions étaient envoyées. Et ils sont allés prêcher Jésus-Christ partout, Dieu oeuvrait avec eux, confirmant la Parole. La conférence d’Actes 4 – 4.
94 Oh ! frère, juste une minute. Il y a une autre conférence. Il se peut que vous n’ayez pas assisté à l’une de ces conférences ; il se peut que vous n’ayez pas assisté à ces conférences du monde. Rappelez-vous, il se peut que vous n’y ayez pas assisté ; mais, rappelez-vous, il y a une conférence dont je vais parler maintenant, et à laquelle vous allez assister. Peu importe qui vous êtes, vous allez y assister. Vous étiez excusable jusqu’à maintenant. Mais à partir de cet instant, vous ne le serez pas. C’est la conférence qui se tiendra au Jugement. C’est juste. Vous allez tous être là, chacun de nous. Et nous allons rendre compte de ce que nous avons fait et dit sur cette terre. C’est une conférence à laquelle vous allez assister.
Chaque fois que vous entendez une sirène passer dans la rue, rappelez-vous, cela vous interpelle. Vous n’êtes pas ici pour très longtemps. Quand vous voyez un cheveu gris apparaître, des épaules se voûter, quand vous voyez un hôpital, une tombe, qu’est-ce ? C’est un témoignage que vous n’êtes pas ici pour toujours, et vous vous dirigez vers cette conférence. Et nous allons tous y être.
95 Nous allons devoir rendre compte de ce que nous avons fait de Jésus-Christ. Est-ce juste ? Et qui est Jésus-Christ ? La Parole. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous ; Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Dieu oeuvrant dans les trois dispensations.
C’est la raison pour laquelle Il a dit qu’Il s’appelle Père, Fils et Saint-Esprit. Voyez-vous ? Non pas trois Dieux différents. C’est là que vous vous embrouillez. Il ne s’agit pas de trois Dieux différents, il s’agit d’un seul Dieu dans trois manifestations (Voyez-vous ?) de – d’un seul Dieu. Nous n’avons qu’un seul Dieu. Nous ne sommes pas des païens. Voyez-vous ? Mais nous avons un seul Dieu, et trois manifestations. C’est la raison pour laquelle Matthieu a dit : « Baptisez-les au Nom du Père, Fils et Saint-Esprit », parce que, voyez-vous, c’était un… un… Ce même Dieu qui était dans l’Ancien Testament, c’était le même Dieu qui a été rendu manifeste, et c’est le même Dieu qui est ici aujourd’hui. Jésus-Christ, le même pour lequel Moïse a abandonné le monde en Egypte, le même qui était alors est ici aujourd’hui. Et ce sera éternellement le même : Jésus-Christ, et Il est la Parole. Amen.
96 Dieu doit juger l’Eglise par quelque chose. Dieu doit juger le monde par un certain standard. Croyez-vous cela ? Eh bien, s’Il va le juger par l’église, quelle église ? S’Il le juge par l’Eglise catholique romaine, les grecs sont perdus. S’Il le juge par les grecs, les romains sont perdus. S’Il le juge par les méthodistes, les baptistes sont perdus. S’Il le juge par les baptistes, les méthodistes sont perdus, et vice versa. S’Il le juge par les unitaires, les binitaires sont perdus. S’Il le juge par les binitaires, les trinitaires sont perdus. S’Il le juge par les trinitaires, les autres sont tous perdus. Vous y êtes.
97 Qu’est-ce ? Qu’est-ce, frère ? C’est un tas d’absurdités. Dieu doit avoir un certain standard. Si je devais me joindre à une église, à laquelle vais-je me joindre ? Il n’y en a qu’une seule, et on ne s’y joint pas. Je suis dans la famille Branham depuis cinquante-quatre ans, et je ne me suis jamais joint à cette famille. Je suis né un Branham. Je suis un Branham parce que mon père est un Branham. Je suis un chrétien parce que mon Père un… est Dieu. Amen. Nous sommes des chrétiens sur cette base-là. Nous sommes des chrétiens. Nous sommes nés de Son Esprit. Et l’Esprit de mon Père étant en moi, j’ai les attributs de Dieu en moi, et ils se manifestent comme ils se sont manifestés dans Son Fils Jésus-Christ. Vous y êtes. « Sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise. Non par… La chair et le sang ne t’ont pas révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux qui l’a révélé. Sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise. »
98 Si Dieu juge le monde par l’Eglise catholique, les protestants sont perdus. S’Il le juge par – par les protestants, par quelle église protestante sera-ce ? S’Il juge par l’Eglise catholique… Il existe plusieurs différentes peurs de… sphères de l’Eglise catholique. Alors laquelle sera-ce ? Vous voyez, quelqu’un peut être dans la confusion ; il ne saurait que faire.
Mais voici par quoi Dieu va le juger : la Parole. C’est ça le standard. « Le ciel et la terre passeront mais Ma Parole ne faillira pas. » C’est sur ça que je me tiens. Tout autre terrain n’est que sable mouvant, tout autre terrain n’est que sable mouvant. Sur Christ, le Roc solide, je me tiens. Tout autre terrain n’est que sable mouvant.
Je compte là-dessus. Je ne me fie pas à ce que je suis. Je me fie à ce qu’Il est. Je ne peux pas – je ne peux pas aller au Ciel. Jésus a dit que je dois être parfait pour y aller. « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » Comment pouvez-vous l’être ? Mais quand vous avez… Ne regardez pas à vous-même, mais à votre sacrifice.
99 Eh bien, au temps de l’Ancien Testament, si un petit mulet naissait avec les oreilles rabattues, les genoux cagneux, qu’il louchait, eh bien, il savait qu’on lui briserait la tête. Il ne valait rien. Mais si la mère pouvait lui dire : « Fiston, tu es né avec un droit d’aînesse. Puisque tu es donc né ainsi, tu vivras, mais celui qui meurt pour toi devra être un agneau parfait, il devra être offert afin que toi, tu puisses vivre. » On brisait le cou du – du – du cheval s’il ne valait rien. Et il ne vaut rien. Mais, voyez-vous, mais un agneau parfait doit mourir pour que lui puisse vivre.
Si vous dites que vous ne valez rien… « Je ne suis pas digne d’être guéri, Frère Branham. Je ne suis pas digne de venir à Christ. » Ne regardez pas à vous-même, regardez à votre Sacrifice. Je ne vaux rien. Il n’y a rien de bon en moi, pas même une pensée. Il n’y a rien de bon, rien de bon en vous. Aucun d’entre nous ne mérite quoi que ce soit sinon l’enfer. C’est exact.
100 Mais, oh, regardez ce qui se tient là pour nous représenter. Regardez ce qui se tient là pour nous représenter. Et voici Sa Vie sous forme imprimée, essayant d’être manifestée à travers nous. Et puis, à cause d’un petit credo quelconque, nous la rejetons. Oh ! il nous faut une conférence. Oui. C’est la raison pour laquelle je peux monter sur l’estrade, sans avoir peur que quelque chose arrive, se passe de cette façon-ci, de cette façon-là, ou faillisse, ou que quelque chose ne marche pas. Non, je regarde à mon Sacrifice.
« Billy, qu’as-tu fait cette semaine ? » J’ai fait assez pour mourir dans une heure. Pour commencer je – je suis un pécheur. Mais je regarde à Celui qui m’a fait la promesse. Je regarde à Celui qui a dit ceci. « N’aie pas peur. Tiens-toi là. C’est dans ce but que tu es né. Je t’ai suscité dans ce but. » Alors tous les démons de l’enfer ne peuvent pas m’ébranler. Je me tiens là sur Christ, ce Roc solide.
101 Quelqu’un parmi vous se souvient-il de Paul Rader ? Un grand guerrier de Dieu. Quand j’étais petit, je m’asseyais à ses pieds… Il est mort ici en Californie, il n’y a pas longtemps. Quand il mourait… Lui et son frère Luc étaient attachés l’un à l’autre, comme moi et mon fils ici présent. Ils partaient ensemble, la main dans la main, comme des frères, juste comme un père et son fils. Et Paul est arrivé à la fin de la route.
L’Institut Biblique Moody avait envoyé chanter là un petit quatuor. Et ils avaient baissé tous les stores de l’hôpital. Et Luc avait une espèce de… Je veux dire, Paul avait le sens de l’humour, vous savez. Et il s’est tourné vers ce petit quatuor, et ils chantaient Mon Dieu, plus près de Toi. Il a dit : « Qui est mourant, vous ou moi ? » Il a dit : « Relevez ces rideaux-là et chantez-moi de bons et chauds cantiques évangéliques. » Et ils se sont mis à chanter :
Là à la croix où mourut mon Sauveur.
Là j’ai crié pour être purifié du péché ;
Là le sang fut appliqué à mon coeur ;
Gloire à Son Nom !
Il a dit : « Ça sonne mieux. » Il a dit : « Où est Luc, celui qui m’est resté fidèle envers et contre tout ? »
Ce dernier ne supportait pas de voir son frère mourir. Il était dans la pièce à côté. On est allé le chercher. Paul a levé son énorme main vers Luc, et Luc a saisi sa main. Les larmes coulaient sur ses joues.
Il a dit : « Luc, penses-y. Nous sommes ensemble depuis longtemps. Nous avons attrapé des tas d’épines à travers beaucoup de fossés. Mais penses-y, dans cinq minutes, je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice. » Voilà !
102 Paul m’a raconté… Il a dit qu’il… Quand il était jeune, il est venu de l’Oregon. Il était un – un forestier, et il abattait les arbres. Et il a dit que pendant qu’il était dans l’une de ces îles… J’oublie où c’était ; en Amérique du Sud, c’était là. Et il oeuvrait comme missionnaire là-bas. Et il a contracté la fièvre bilieuse hémoglobinurique. Vous savez – vous savez ce que c’est. Cela vous tue aussitôt. Tout au fond de la jungle, à des kilomètres d’un médecin. Paul était un grand croyant de la guérison divine, comme vous le savez.
Ainsi donc, il – il a parlé à sa femme, il a dit… On est allé chercher un médecin. Il a dit : « Cela ne changera rien. Je ne pourrais pas tenir jusqu’alors. »
Alors sa femme a dit : « Chéri, agenouille-toi ici à côté du lit et parle à notre Médecin. Appelons-Le sur la scène. »
Alors sa femme a commencé à prier : « Ô Dieu, ne laisse pas mourir mon bien-aimé mari. Il est ici dans les champs missionnaires pour Toi. Ne le laisse pas mourir. »
103 La fièvre faisait rage, il était presque inconscient, partant et revenant. Il a dit : « Chérie, il fait de plus en plus sombre. Je ne pourrais tenir encore qu’un petit moment. » Il a dit : « Continue simplement à prier, chérie. »
Et il est entré dans le coma. Il a dit qu’il a eu un songe. Il a dit que dans le songe, il était rentré dans l’Oregon, un jeune homme. Et il a dit qu’il avait un patron dans le camp des bois de charpente. Ce dernier a dit : « Paul, monte là au sommet de la colline, et abats pour moi un arbre de telle dimension, ensuite apporte-le-moi. »
Il a dit : « D’accord, Patron. »
Et il est monté jusqu’au sommet de la colline, et il a dit qu’il a vu cette hache… Vous savez, plus vous allez au nord, eh bien, plus le bois devient tendre ; et plus vous allez au sud, plus il devient dur, le même bois. Il est donc monté là, et il a dit qu’il a commencé à voir la hache s’enfoncer davantage, le morceau dans l’arbre, alors qu’il abattait l’arbre. Il l’a élagué, et il l’a arrangé, il a enfoncé la hache dans le tronc, jusqu’au tronc de l’arbre, la grande partie, et vous savez, en soulevant, il devait mettre ses genoux ensemble pour le soulever. Il a dit qu’il était un homme fort. Vous savez comment Paul était : un homme petit de taille et fort.
Il s’est donc mis à soulever l’arbre, et il n’y arrivait simplement pas. Il a dit : « Je me suis battu et j’ai essayé, et je me suis senti très… Je devais amener ce rondin au patron là en bas. » Il a dit : « Je n’arrivais simplement pas à le soulever. » Il a dit : « J’ai tiré fort – tiré fort et j’ai essayé de traîner, et j’ai tiré fort et j’ai essayé de traîner, a-t-il dit, jusqu’à ce que j’ai perdu toutes mes forces. » Et il a dit : « Je me suis assis contre l’arbre, et je me suis dit : ‘Je suis tellement épuisé que je n’arrive même plus à bouger.’ » Il a dit : « Directement, j’ai entendu la voix la plus douce que j’aie jamais entendue. C’était mon patron. Et il a dit : ‘Paul, pourquoi te débats-tu avec cela ?’ »
Il a dit : « Patron, je – je – je n’arrive simplement pas à le soulever. C’est trop grand. Le fardeau est trop lourd pour que je le transporte. Je n’arrive pas à aller plus loin avec ça. »
Il a dit : « Paul, il y a un ruisseau qui coule juste à côté de toi. Pourquoi ne le jettes-tu pas dans le ruisseau, et ne sautes-tu pas dessus pour descendre les courants ? Et il passe juste à côté du camp. »
Il a dit : « Je n’avais pas du tout pensé à cela. »
Et quand il a jeté cela dans les courants, il s’est retourné, et son Patron c’était Jésus. Et il a dit qu’il a carrément sauté sur le tronc et il a descendu les courants, faisant clapoter l’eau, criant : « Je chevauche cela ! je chevauche cela ! je chevauche cela ! » Et il a dit qu’il a repris connaissance, et qu’il se tenait juste au milieu de la pièce, les deux mains en l’air, disant : « Je chevauche cela ! je chevauche cela ! je chevauche cela ! »
104 « Je ne porte rien dans mes mains, je m’attache simplement à Ta Parole. » Frère, soeur, il n’y a rien de bon dans n’importe quel homme. Il n’y a rien de bon dans qui que ce soit d’autre que Jésus-Christ. Et je chevauche chaque promesse ici ce matin. Et un jour, je compte chevaucher, jusque dans Sa Présence, le Sang versé du Seigneur Jésus-Christ.
Inclinons la tête.
Je chevauche cela. Je chevauche cela. Non pas mon adhésion ni ma dénomination, ni ma propre justice, mais je chevauche la Parole de Dieu. Je crois que par le Sang juste de Jésus-Christ, je Le verrai un jour. Je serai changé et rendu semblable au corps de Sa gloire. Je serai à Son image. Je Le verrai tel qu’Il est.
105 Alors que je me vois prendre peu à peu de l’âge, ma petite chevelure grisonne, mes épaules se voûtent, je n’en ai plus pour longtemps. Je suis derrière la chaire depuis une trentaine d’années. J’aurais souhaité avoir mille vies à vivre pour Lui. J’aurais souhaité avoir cela. J’aime Son peuple.
Sur quoi comptez-vous ce matin ? Sur une quelconque bonne oeuvre que vous avez faite ? Sur une église que vous fréquentez ? Vous tenez-vous vraiment sur la Parole de Dieu ? Avez-vous réellement fait une expérience ? Avez-vous entendu que… Avez-vous tenu une conférence personnelle avec Dieu, et les conclusions sont-elles retournées comme à la Pentecôte ? Pas sur base d’une substitution, pas sur base d’une poignée de mains, pas sur base d’une confession mentale, mais sur base du Feu du Saint-Esprit qui vient dans votre vie et change tout ce que vous faites et dites ? Si vous n’avez pas connu cela, je vous prie de lever la main et de dire simplement : « Priez pour moi, Frère Branham. Je ne suis pas… » Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! les mains !
106 Et vous les pentecôtistes ? Certains d’entre vous qui… Vous connaissez cela juste d’après la tradition, vous allez à l’église, vous aimez la musique, et vous pouvez vous comporter comme un pentecôtiste. Mais en fait, tout au fond de vous, vous savez qu’il manque quelque chose. Vous savez qu’il manque quelque chose. Ce matin, à cette table de petit-déjeuner, si vous voulez vraiment…
Vous savez qu’il peut se faire que je ne vous revoie plus jamais à un autre petit-déjeuner, mais je veux vous voir à un souper, quand tout sera terminé. Vous qui n’avez jamais fait cette expérience, voulez-vous lever la main et dire : « Priez pour moi, Frère Branham. Maintenant, je veux devenir… » Que Dieu vous bénisse. C’est juste. Vous dites : « Cela fait-il quelque chose de lever la main ? » Si, si vous êtes sincère. Il vous verra.
Maintenant, croyez-vous que je suis Son serviteur ? Beaucoup m’ont appelé prophète. Je ne prétends pas être un prophète. Non. Mais si vous croyez que Dieu me parle, écoutez-moi maintenant. Sincèrement, quand vous levez la main et croyez cela, observez ce qui vous arrivera.
107 Maintenant, s’Il me permet de savoir ce qu’il y a dans votre coeur… S’il peut me dire ce pour quoi vous avez prié avant de quitter chez vous et ce que vous avez fait, les paroles que vous avez prononcées, ce que vous avez fait dans votre vie, qui vous êtes, d’où vous venez, ce qui va vous arriver après, et que cela arrive, alors certainement qu’Il me parle maintenant.
Tenons… Faisons de ceci une conférence, ce matin. Qu’en pensez-vous, méthodistes, baptistes, presbytériens, pentecôtistes, unitaires, binitaires (Oh ! ce que…), Eglise de Dieu, Assemblées de Dieu, qui que vous soyez ? Tenons simplement une conférence. Voyons si nous n’avons pas besoin d’un peu d’amour les uns pour les autres. Voyons si cela ne va pas plutôt guérir la chose, si nous avons simplement un peu plus d’amour et de considération les uns pour les autres. Allez-vous le faire ? Très bien.
108 Tenons-en une comme celle d’Actes 4, et confessez tout mal que vous avez commis. Et juste par-dessus cette table où vous vous trouvez, cet autel où nous demandons la bénédiction… C’est un autel familial, la table, là où vous remerciez Dieu pour le pain quotidien. Et, rappelez-vous, quand vous mangez… Pour que vous mangiez, quelque chose doit mourir, afin que vous puissiez vivre physiquement. Le savez-vous ? Si vous mangez de la viande, un animal est mort. Si vous mangez du pain, le blé est mort. Si vous mangez des légumes, des légumes sont morts. C’est une forme de vie. Et le seul moyen pour que vous viviez physiquement, il faut que quelque chose meure, afin que vous viviez physiquement.
N’est-ce pas la chose, mes amis, pour vous montrer que les feuilles de figuier et les idées humaines ne peuvent pas marcher ? Quelque chose a dû mourir afin que vous viviez éternellement. Quelque chose a dû mourir. Pas une église, pas… Vous… C’est – c’est Christ qui est mort pour vous. Recevez cela, maintenant, je vous prie. Alors que nous avons la tête inclinée, que chacun de vous garde dans son coeur ce dont il a besoin. Au revoir, et que Dieu vous bénisse.
109 Père céleste, j’ai retenu cet aimable auditoire de gens, car je ne sais pas, Toi, Tu le sais, ceci pourrait être la dernière fois. Une chose est vraie, Tu peux revenir avant la tombée de la nuit. Tu peux revenir avant mon retour. Une chose est certaine : Tu reviens. Il se peut que je meure. Il se peut que je doive quitter la terre. Il y en a beaucoup ici. Si je dois revenir ici dans un an, sans doute qu’il y a des gens ici qui ne seront plus là. Ils seront partis. Cette occasion est la dernière, Seigneur, où nous nous rencontrons. Certains d’entre nous ici savent que ceci sera notre dernière réunion ici sur la terre. La prochaine fois que je les rencontrerai, ce sera là au Jugement. Et il me faudra répondre pour tout ce que je leur aurai dit ce matin en tant que ministre. Je leur ai présenté cette Parole, Père. C’est tout ce que je pouvais faire.
110 Maintenant, il y a beaucoup de gens qui ont dit, à cette conférence ce matin, qu’ils veulent en parler avec Toi. C’est ce qu’ils font maintenant, Seigneur ; ils ont levé la main. Ils témoignent qu’ils – ils – ils… Ils sont fatigués, Seigneur ; ils sont épuisés, et ils savent que les conférences du monde ne peuvent plus rien donner.
Il n’y a plus d’espoir. Nous ne pouvons rien bâtir. Toutes les nations ont des bombes atomiques, à hydrogène, des bombes à poison, des astronautes et tout, Seigneur. La terre entière frémit et tremble. Elle sera bientôt purifiée et apprêtée pour un glorieux Millénium. Elle aura des secousses comme un… oh ! et voler en éclats. Elle titube donc comme un homme ivre rentrant chez lui à minuit, en chancelant dans les ténèbres, et elle ne sait pas où elle va.
111 Ô Père, mais il y a un fondement. Il y a une assurance. Car nous recevons un Royaume inébranlable. Je prie, ô Père, que chacun se hâte pour venir dans ce Royaume ce matin, en Jésus-Christ. Bénis-les, Père, pendant qu’ils ont la tête et le coeur inclinés. Ils attendent la réponse maintenant. Nous sommes dans une conférence. Envoie la réponse maintenant même , ô Père, à tout le monde.
Certains ont besoin du salut. D’autres, c’est pour eux la première fois, d’autres c’est… C’est… Ils vont – ils vont simplement oublier leurs crédos. Ils – ils veulent trouver cette… la manière dont Cela est descendu la première fois. Ils ont besoin de Ta décision, pas de la décision de l’église, pas de la décision d’un certain credo, mais de la décision de la Bible, de la décision que Dieu a prise dans Actes 2, lorsqu’Il a envoyé le Saint-Esprit et le Feu sur l’Eglise. C’était la décision qu’Il avait prise, sur la manière dont l’Eglise devrait vivre et ce que les gens devraient faire. En laissant de côté tout le reste, Père, nous nous attendons à cette décision. Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même, et baptise tout le monde.
112 Pendant que nous avons la tête inclinée,
Ils étaient dans la chambre haute,
Ils étaient tous d’un commun accord,
Quand le Saint-Esprit est descendu,
Comme l’avait promis notre Seigneur. (C’est Sa Parole de la promesse.)
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même, (Priez maintenant)
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
Ô Seigneur, envoie Ta puissance … même,
Je vois des prédicateurs faire tourner les gens vers la table pour prier avec eux. C’est juste.
… la puissance… même…
Ne pensez pas que nous nous tenons simplement ici en train de parler, Il est ici.
Ô Seigneur…
Si vous êtes… Ne regardez pas à quelqu’un d’autre. Fermez vos yeux et regardez à Lui par la foi.
… baptise tout le monde. (Rappelez-vous)
Ils étaient dans la chambre haute,
Ils étaient tous d’un commun accord,
Quand le Saint-Esprit est descendu
Comme l’avait promis notre Seigneur.
Nous y voilà, tous les différents crédos.
Ô Seigneur… (Nous sommes dans une… nous sommes dans l’unité maintenant.) maintenant. (Croyez maintenant.)
Ô Seigneur, envoie Ta puissance…
Considérez comment Il est venu vers nous cette semaine. Le voici ici même maintenant, juste à côté de vous, si vous voulez bien croire cela.
… maintenant,
Et baptise tout le monde.
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta…
Je Te donne mon coeur, Seigneur. Je Te donne tout. Voici ma main ; je – je me consacre à Toi maintenant. Envoie Ta puissance sur moi maintenant.
Et baptise tout le monde. (Encore.)
Ô Seigneur…
Chantez-le jusqu’à ce que cela devienne une réalité pour vous. Voyez ? Maintenant, fermez vos yeux, fermez vos coeurs à toutes les folies et à tout ce qui est du dehors.
… maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô (priez maintenant ; demandez-Lui cela.) puissance maintenant même,
Ô (Confessez vos péchés.) Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
113 Maintenant, Père, je Te prie de purifier chaque coeur. Nous confessons nos péchés. Nous confessons nos torts. Nous avons tort, Seigneur, nous tous ensemble. Nous sommes tous coupables. Nous sommes privés de la gloire de Dieu. Ô Dieu, ne veux-Tu pas, dans Ta miséricorde et Ta compassion, poser Ton regard sur nous, Seigneur ? Nous sommes un peuple nécessiteux, et nous voyons la vision de la Venue du Seigneur. Il foule la vendange, là où les raisins de la colère sont emmagasinés. Il a lâché le fatal éclair de Sa terrible et rapide épée. Sa vérité, la Bible, est toujours en marche, en marche. Elle marche sur les crédos ; elle marche sur les dénominations ; elle marche sur tout. Ta vérité est toujours en marche.
… envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
Ô Seigneur, envoie Ta puissance… même (Je le crois, Seigneur, je le crois.)
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Ô Seigneur, envoie Ta puissance maintenant même,
Et baptise tout le monde.
114 Pendant que la musique continue de jouer et que vous êtes en prière, maintenant si vous purifiez à fond votre coeur, que tout est confessé, que vous avez vraiment déposé cela sur l’autel maintenant… Eh bien, Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession. Il ne peut – ne peut vous aider que si vous croyez cela. Si vous avez confessé vos péchés, vous avez confessé vos torts, vous avez fait tout, vous avez confessé que vous avez été trop lent, quoi que vous ayez confessé, cela repose à présent sur l’autel du sacrifice. Maintenant, posez vos mains sur Jésus et identifiez-vous. Identifiez-vous par la foi. Posez vos mains sur Jésus. Et alors, levez les yeux vers Lui et dites : « J’accepte cela, Seigneur. Je crois en Toi maintenant. »
Je le peux, je le veux, je le crois ;
Je le peux, je le veux, je le… (Croyez cela de tout votre coeur maintenant.)
Je le peux, je le veux, je le crois;
Que Jésus me sauve maintenant.
115 Oh ! croyez-vous cela maintenant, avec votre sacrifice sur l’autel… ? Sur l’autel, ce que vous avez déposé, tous vos différends ; vous avez déposé cela sur l’autel. Maintenant, par la foi, posez vos mains sur votre Sacrifice, Jésus, qui est assis à la droite de Dieu pour intercéder pour vous sur base de votre confession, selon laquelle vous croyez de tout votre coeur qu’Il a agréé ce que vous Lui avez offert. Si vous croyez que Jésus-Christ a agréé ce que vous Lui avez offert ce matin : « Je Te donne ma vie, Seigneur. J’ai été froid, j’ai été indifférent. Je – j’ai fait des choses que je n’aurais pas dû faire. Mais dès cet instant, je veux me rapprocher de Toi, et je crois que je reçois cela. Je pose mes mains sur Toi maintenant, pendant que je fais ma confession. »
Croyez-vous cela ? Croyez-vous que Dieu a écouté votre prière ? Si oui, levez la main vers Dieu, et dites : « Je crois que Tu as écouté ma prière. J’ai fait ma confession, et je crois que tu écoutes ma prière. Maintenant, je vais me lever et Te louer pour cela. Je vais Te rendre grâces. »
Levez-vous maintenant et dites : « Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Je crois en Toi, je Te loue maintenant de m’avoir donné l’assurance dans mon coeur. » Maintenant, levez simplement les mains et louez Dieu à l’ancienne manière, tel que Dieu voudrait que vous le fassiez.
E-1 ... time to hear your testimonies, and come in after being on the field and hear someone testify. I'm certainly happy to see Brother Jeffries (I call him Creechy.) there. I didn't know he was in the meeting. And I know this means a lot to you too, from coming from the battlefield, from where the lights are low, and come in this--under this nice atmosphere of Christians and people all together and free in the Spirit. I--I like this, where people are free, have a free feeling. And it's something about it. We just don't try to act starchy. They're just--just... They used to say take off your collar and feel at home. I like that. I'm sure we all do, don't we?
E-2 I just... I was thinking when I looked over here at my daughter Rebekah; I remember one time being off in a meeting. And she was a little fellow then, her... And she's got a little sister four years smaller. And so Becky's blue-eyed and kinda tall, and Sarah was brown-eyed and kinda short. So they was both daddy's girls. And I really love children, and the Lord gave me some fine children.
And so, they was waiting to see me. When I come in, they wanted to play with me a little bit. So the sandman got in their eyes and they had to go to sleep along about twelve or one o'clock. And the plane didn't get in till around maybe two or three in the morning. And I went in to lay down, and couldn't sleep. And I just got out in the living room, set down in the chair. And it's a little joke kind of, I tell on them. And it was a...
E-3 After while daylight come, and Rebekah, here, woke up and--and she knew that I should be home. And--and she looked over and seen Sarah still asleep. So she looked down and seen me setting in the room, and here she come just as hard as she could. And jumped up on my lap, both arms. And about that time Sarah, her little sister, woke up. Why, she looked, and--but Becky had already beat her to me. So kind of comparing this with the church that's been a long time. And Becky was kind of thin, long-legged, and she could set on my lap real good and both feet hit the floor. She was balanced up pretty well, you know. I say this kinda for our Methodist brother over here, been a long time around, you know, and growed up a little.
Well, Sarah was a little short. And I don't know whether your children does or not (mine does), one'll... The oldest one will get something new, and then it'll go down to the next one, and then down to the next one. And--and Sarah had on Becky's pajamas. And it was these rabbit-feeted pajamas they used to have, you know, kind of big, and her little feet couldn't pack it very well. So she started through the house.
E-4 And Rebekah threw her arms around me, and she turned around, looked back to Sarah, and she said, "Sarah, my sister, I want you to know that I got here first." She said, "And I've got all of daddy and there's nothing left for you."
Well, Sarah kinda felt a little stepped on, you know. So her little lips turned down.
And kinda reminds me of maybe the churches that's been on the road a long time, you know. They've got all the ins-and-outs of it, and they can set down with all the theology and explain it, and speak it in Greek, and so forth. I compare that with Rebekah.
So then Sarah looks around, her little lips dropped, and she turned and started back in the room. I kind of winked my eye at her and motioned like that, and stuck my other leg out. That's just what she was waiting for. Here she come, jumped up on this leg. And she was--little legs was short, you know, and she couldn't hit the floor. She was kind of topsy-turvy. So I just threw my arms around her to keep her from falling, hugged her up close to me. She put her head upon my chest and laid there a little bit, and she looked around to Rebekah. She said, "And Rebekah, my sister," (See?), said, "I want you to understand something too. It may be so that you were there first, and you may have all of daddy. But I want you to know; daddy's got all of me."
So--so that's about the way it is. I... You know, I may not know all the ins-and-outs, but as long as He's got all of me, that's all we care about. Just let Him take us and use us the way He wishes to.
E-5 I certainly appreciate this stay here, and this fine fellowship among these fine brethren, ministers, all the cooperation of the personal workers, and everything that's been done, for the Ramada, and for their fine cooperation. And I'm only sorry that it's just--just four days. See, you just get to knowing the people, and the people begin to know you, and then--then you have to leave, right when really something could be done to--to really magnify God. And the things that goes on, it might've been new to many of you, and you wouldn't understand it. You can't explain the thing in just a night or two. And then after you get settled down, of course, you could.
Many things went on. You pastors remember that in your churches, weeks to come, there'll be women coming to you saying, "You know I had a female disorder. It--it's gone." One, "I had a stomach trouble. It's gone." I couldn't call it all. It's just everywhere, the faith just jumping everywhere.
E-6 For instance, a few moments ago there was a man come up here and--and put his hand on my shoulder, and he said... I looked up at the man. I thought, "I ought to--ought to know that man." I'd seen him somewhere.
And he said, "You remember me?"
And, "I don't believe I do."
So then he said, "I was in your meeting in Saskatoon, Saskatchewan, in '40, about '42, or something like that." Way back, many years ago.
And I said, "Yes." I thought, "I've seen that man somewhere, but I can't place it."
And so we... He went ahead talking. In a few moments I begin to recognize that a few nights ago in the meeting there was a--a lady, I believe she was kind of gray-headed woman, standing on the platform. And if I would be facing the east, which is really a traditional, that I just like to face the east 'cause He's coming from the east. And when I baptize I usually baptize them that way. And looked like the--always to my right side because each time that this Light comes in, It comes from the right side. And so I always try to keep the people coming to me from the right side. And I'd be standing kind of this way, I suppose, positionally now, the way the building's seated up there.
E-7 And down to my left, I noticed standing by me a woman, much younger than the woman was standing before me. And she had pink clothes on. It was different from the woman standing there. I kept noticing, and I dropped down, and I... There's no way to explain it; you just have to believe it; that's all.
And I looked down. There was a lady setting down here, right to my left, and she was kind of a... Something was wrong with her. And I looked back, and then here stood a man by her. I thought, "There's something strange." And I was trying to keep my mind to the woman I was talking to, because (You see?) maybe if you watch something happen (See?), it might be telling this woman what this woman has. See? So, you... It's very... And Satan's laying right there for every opportunity he can. It's just grace of God (See?) that He lets that happen.
E-8 And then I--I looked and I seen this woman kind of... One was much younger than the other. And one woman was kind of a--had a... She was tore up, mentally disturbed. And the other woman had some kind of affliction really bad. And then this man...
And come to find out, this morning when I stood here, that was the man. And I said, "Haven't you got a wife that's sick, that's--that's mentally disturbed, oppressed like?"
And he said, "Yes."
And I said, "Was she in the meeting night before last, and set down to my left, wearing some kind of a pink dress or something?"
Said, "Yes."
And that was her. And that's how I recognized the man. I believe I... I believe I wrote his name down. I'm getting... I can't remember too well, a pastor M-a-c-k, he set down right here somewhere. And that was right, wasn't it? And he told me, said, "My wife, many years ago, was in your meeting, and was instantly healed by a miracle that you was telling her about, and telling her about her troubles. And she was instantly healed, a...?... a couple of times, a rare blood disease and ulcers and things like that.
E-9 Now, see what happened? If I could try to let you see what I mean. The lady had faith. See? In her faith she was believing, yet probably with no prayer card or nothing. But she was believing, and maybe stronger than the lady was setting before me.
And now, I believe he said that his wife come in. And if I'm not mistaken that's her setting right there by the man. And that is the woman. That's the woman. To look at her, that's--that's the lady all right.
Now, you see how the grace of God to that? The lady, actually, really believed with all of her heart. And her faith was so much greater than the person standing here, it went to her. 'Course now, and then the man asked me, he said, "Brother Branham, is there anything seriously wrong with my wife? Will she be well or something?"
I said, "Sir, I don't know."
See, you are the one who makes that vision. Your own faith does that. See? Your faith does it, not mine. It's you. See? Jesus standing there before those people, and this woman touched His garment. He didn't even know who touched Him. He said, "Who touched Me?" Now, Jesus wouldn't say anything just to be saying. He, really He didn't know who did it. And He looked around over the audience until He found that woman. See? And then He told her about what faith she had.
E-10 Now, I--I wouldn't know, and then sometimes... See, this wasn't explained, I suppose. But now, see what you, what a--you are... What's wrong with you, that's the Holy Spirit revealing that. And sometimes I watch it, it turns dark, shadowy. I just don't say nothing, because it's perhaps death. And so I just say, "Go, the Lord bless you."
And maybe if you stay long enough, just wait there, see what the Lord says. And then that's what He's saying. Now, that's what--that the vision has showed what's wrong with you or what you've done. But then stay still and wait. I notice the people just walk away. See? Stay still; just stand there, and wait, and see what He says, and then you find out.
If it comes back and I see a vision of what you are going to be... That shows what you have been. Then if I can see what you're going to be, you'll notice it, it's always THUS SAITH THE LORD. And then, then you mark that down, and see if that don't happen just like that. It'll never fail.
E-11 If a vision... Here's what I have confidence. If the vision come told me this morning that George Washington was going to rise out of the presidential graveyard, for me to go there and call him, I'd invite the world to come see it done. Right. It would not fail. It cannot fail. It never has, and it never will, as long as you don't try to use your impression.
And now many times... I think we're all Pentecostal here this morning, aren't we? Many times where I think that people get enthused (You see?), you get an impression that the Lord said so-and-so. And you say it when really it's not. And that would be wrong to say that. See? You wait until you know that God has definitely spoke, and it'll be perfect each time. But if you're just impressed to say that, you might say it, but... And when you do that, that causes something like a carnal impersonation and it... You... Really, brother, sister, it doesn't help God; it hinders God. See? And maybe God calls you to be a witness or something else. Then you stay true to what God tells you to do. Be a true witness.
E-12 Now, this has been a great meeting, one of the finest bunch of faith behind me of them ministers that I ever set with. And the people out in the audience has been wonderful. And I'm only sorry that we just have to close off so quick this way. But I hope someday, if it be the will of the Lord, to be back.
I guess the manager here, Brother Borders, was introduced to the people and I'd just like for him to stand up. Brother Roy Borders has been with me in a many great struggle. Would you just stand, Brother Borders. He's very humble. Brother Borders don't know this, but it hit me again. I'm going tell him now. And... Brother Borders is a sick man. I've just got to meet him and go--go with him after this service this morning. Brother Borders, I hope it don't shock you. But the Lord must touch Brother Borders right away. He's got a valve closing in his heart. That's exactly right. I've never spoke to him any more than what you see me on the platform, but that's true.
E-13 And I'm going to tell this woman while the Holy Spirit's on me and I got to quit then (See?), 'cause it's just beginning to move. This lady setting over here now looking this way, that man asked. It's nothing serious; it's the change of life, just a menopause, a weary, dreary feeling and all mixed-up. You'll be all right; don't fear. That's just what it is. Now, the great Holy Spirit in His Presence...
E-14 I got a little girl here that this man just spoke of, I've got some things written down here. A--a little girl was operated on at Phoenix yesterday, a kidney removed or something, from a Brother Outlaw's church, a man that's everywhere I go if it's in the range of a hundred or two miles, the man attends every meeting. And one of the members of his congregation is here this morning. And a little girl operated on for a tumor on the kidney, and it's malignant. Only God can save that child's life.
A little deaf girl that Brother Jenkins has spoke of... Oh, there's just so much that's sick and needy.
And now, just before we go to the speaking part of the service, I--I'd just like for us to pray a moment. Let us bow our heads. And if there's other requests, just raise your hand.
E-15 Our heavenly Father, we are taught in the great Divine Scriptures, inspired words of God put in print, that we would be seated together in heavenly places in Christ Jesus. And we feel that this morning, to see a--a heaven-bound group of people made up of all different denominations setting together, to look out upon them and see some of the men that's older than I, some young men coming on... And just as the leaves and the flowers and all nature works, the old moves off and the young moves in... Heavenly Father, we thank Thee for the Holy Spirit, that gives us this great assurance that some great day we'll meet again.
We thank Thee for His great power. He helps our infirmities. And we pray for this little girl that's--that's had this removed tumor out of the kidney, and it's cancerous. Lord God, be merciful to this little girl. I think, what if it was my child? It's somebody's darling. I pray that You heal it. May the power of Satan be taken from it. May that child live to the glory of God.
E-16 Bless, I pray this morning, the little deaf girl that was mentioned. Pray that You'll give the hearing back to that little girl, little Jenkins girl. I pray, heavenly Father, for Brother Borders, my precious brother, as we see Satan trying to take him off of the field. God, we claim him for the Kingdom's sake.
And we pray for all these special requests. And for this lady that the other night standing there, that faith moving up, now You have explained it to her, Lord, and now it'll be all right. We thank You for this. We pray that You'll continue to be with us.
Bless these ministers. Bless all that helped: the musicians, this little quartet that sang, and the quartet from the church over there (them fine young men), for the lady give us the specials. And all these things, Lord, they're too much to remember in our mind, but Thou knowest them all. For this Ramada Inn, for that fine man that stood here a few moments ago, and saying, "God bless you." God, we pray that it'll turn to him, and that he may, Lord, be filled with the Holy Spirit, become a great witness in the world of Jesus Christ, the greatest thing that could happen, Father.
E-17 Now, we pray that You'll bless Brother Tony, and these fine men here, even being of the lay members of the church. And they--yet, they're trying to (the Business Men) to organize themselves together to make another witness. God grant their efforts, be filled with the Spirit and the discerning of knowing what to do, and how to do, to act for the Lord Jesus.
Bless the message this morning, Lord, as I speak. And I pray that You'll anoint it with Your blessings, and when we go away we can say like those who came from Emmaus, "Our hearts burned along the way."
And then, Father, if there be an unsaved person in here, one who doesn't know You, or just a church member, may the great power of the Holy Spirit reveal to them their need today of salvation through God's appropriated way, the only way, Jesus Christ, for we ask it in His Name. Amen.
E-18 I thank you again. One thing I forgot to mention awhile ago, they... Brother Tony, as he stepped out to the car last evening, he said... I said, "I never look at..." I am--been in the ministry now some thirty-three years. And I pastored the Tabernacle at Jeffersonville for seventeen years, never had one penny salary. And I never took up an offering all the days of my life. Never did take, never intend to take one. And last night Brother Tony said that they was... I said, "Did you make the expenses?"
The understanding when I met with this fine Brother Brock and the... Did I pronounce that right? Brock? And Brother Gilmore, and some of the other brethren up there the other night. I said, "Now..." They asked about the finance condition. I said, "Just whatever the expenses are, that's all there is to it."
"Well," he said, "we want to take you an offering."
I said, "No, no, don't do that. I--I--I get--I get a hundred dollars a week from my church and that takes care of it." And I said, "I... What all I need." I--I don't need nothing. You see? I--I'm thinking about over on the other side there, something over there. And I know that--that I tried to keep my ministry... So many has come, and the manager saying, "Brother Branham, it ought to be in bright lights."
E-19 And the president of the Four Rose Whiskey was over to our place here some time ago, and she brought her daughter. And she said, oh, the little girl wanted to be healed. And she said... She'd heard about it, and she was going to have an operation. And so they said... Oh, she wanted to come over. She didn't wanted to be operated on.
Well, she run right in while I was speaking and wanted to be prayed for right then, had to be right then. Well now, she couldn't stay; her mother was after her. So mother come in the back of the room and set down with that arrogant look. So then we come up, prayed for the little girl and went back.
Well, a couple days after that the doctor had said, said, "All right. It's a bunch of foolishness." Said, "But..."
She said, "No, I feel fine. No appendicitis with me. I'm fine and dandy."
So then they went on, four or five days. After while... You see, just as I explained it, after about seventy-two hours that symptom reoccurs again if you really got healed (See?), healing. I'm not talking about miracles. And it reoccurred because the appendix begin to swell. And the doctor said, "Now, you see? Now you better go get that holy-roller preacher again."
E-20 So then, he wouldn't operate. But of course, when there was about fifteen hundred dollars involved he--he--he could do it. He said he wouldn't. But he did it. It happened to be a friend of mine on that staff that when they removed, opened the girl up to take the appendix out, there was nothing wrong. See? They operated for nothing. They just left the appendix there 'cause it wasn't even affected in no way. And the doctor come told me about it, a friend of mine on that staff that helped operate.
E-21 Now, you see what it was? She was all excited and didn't know just how to hold on to that faith. See? And there we don't get a chance to explain that. Then that made the... My doctor friend told the mother, and said, "The appendix is still there." They said, "She needed that appendix, and it wasn't infected. It was nothing to it all, just perfectly normal, pink. Just, oh, like it should be."
And the mother became a believer. Then she says to me, "What needs to be done is your ministry, is not sit down in the corner with a bunch of just ordinary people. It should be flashed across the country everywhere, should be on billboards." Now that's just what the devil wants. That's right. See? But, no, I don't want it like that. I--I want it so I can just visit anywhere, do any... Wherever the Lord calls, that's where I want to go, just where He... Just keep it humble, and let the Lord move us wherever He wishes to move us.
E-22 And now, to you people--if you--that's been prayed for, if you... After about seventy-two hours corruption sets in. We know that mortification sets in after seventy-two hours. It's nothing reoccured. If you really believe that with all your heart, there's nothing going to stop it. You believe it anyhow. Stay right with it. It'll be all right. Don't you... But you can't bluff it now. You've got to really know it, that it's done. There's a lot of difference between hope and faith. A hope just hopes for it--faith knows it's done. That's the difference.
E-23 Now, this morning I don't--I don't want to keep you. It's already ten o'clock, about six minutes after, by this watch that Billy give to me. And now, I want to read a verse out of the book of Isaiah the 1st chapter for just a little comment. And I got some Scriptures written down here that I might refer to. And just keep you about thirty minutes and then we'll be ready to go, the Lord willing. Isaiah the 1st chapter and the 18th verse:
Come now, and let us reason together, saith the Lord: though your sins be as scarlet, they shall be white as snow; though they be red like crimson, they shall be white like wool.
Now, the Lord add His blessings to the reading of His Word. And I want to speak on the subject of "Conferences," holding a conference.
Lord, bless the Word now, and may the seeds fall in our hearts where we have need. And Lord, may mine be open, with everyone here, that we might understand the hour that we're living and what we should do. In Jesus' Name we ask it. Amen.
E-24 Speaking of conferences, we--we hear of so much of it in these days. Everything is a conference. And frankly, that's what we're here this morning in, is a conference. And we hear so much of them, and so many different places they're held, so many things that's accomplished by conferences. I think that it's a thing we should do is to have a conference. And usually when--they're held in the times of emergencies. Usually when an emergency is on, then you hold a conference, you call a quick conference. And we think of it in that term.
E-25 Now, here many of you can remember the--for instance, the conference we had in the world crisis, when Germany and the rest of the world was at war, when President Roosevelt was president of the United States, and--and there was the other great four, they call it. They held what they call the Big Four Conference, of Churchill and... They met together and they had to have what they called the Big Four Conference of the free world, because that they had to come together and pool their ideas together and get in a strategy of somewhere because the enemy was advancing, and he--he must be stopped.
E-26 And then they--they was to get together so they could... Ever the wisest of the groups... And then one'd get one's idea, and the other's idea, and then pool it together, and see what they come out with. That was the Big Four Conference. And where they should strike back, where they should put their armies, the--certain, like the Fifth Army, and the Fourth Army, and the Tenth Army, and so forth, and how they could work together, and where the enemy had his stronghold.
And if you notice, they always try to hit that spinal cord. That's the lifeline. And it's always strike the enemy... If you want to kill it, you must strike it in a vital spot. If you don't, you don't kill it. And so therefore, just one thing to be done...
E-27 Just like setting a meeting. If we could take the--the Kingdom of God, as men has said many times in the ministry... And like, quoting back to the woman, said, "If you'd take and get the great people together, the great minds, and set it together, and then strike it from right there..." But you see, you're striking at the wrong thing. See?
If I can get ministers together, if I can get a group of God-saved men together and let them see the power that's in Christ Jesus, that--that He actually lives in our hearts, and can know the thoughts of the mind, and foretell, and tell forth, and--and make it be perfect--then those ministers will be inspired and they'll take it to their people, and... See what I mean? There's the place to strike, where the guns are setting.
E-28 Now. And in the Big Four they had that great conference. Then we had another conference that was called the Geneva Conference. I'm sure many of you remember when they had to have the--the Geneva Conference. And there was another one called the Paris Conference, when they met in Paris. It's just constantly, all the time, conference after conference after conference meeting together, because the need is great in national life. The--the brain of the world seems to be so entangled that--that you just don't know where--what to do. And the whole world is scared to death right now.
It reminds me of a little boy going home in a dark night, going through the graveyard, whistling. He just whistles as hard as he can, because he's merely calling a bluff to himself. He--he don't want to think that he's scared, but he's whistling to try to relax himself. But down in the bottom of it, he's scared behind every tombstone there's a goblin, or--or... See, he's scared and he's whistling just to kind of quieten himself.
E-29 And that's why we have so much tommyrot today on the radio and television, of men--like men who's got talent, singers like Ernie Ford, and Elvis Presley, those boys who's selling out their birthrights for a mess of pottage. They get out there, and all you have to be is a jokester, or turn some crack, or--or something like that to make the American public laugh; when you know you're only trying to quieten them, and you know behind it all we know that judgment is at hand. That's right.
Might as well face it. We're at the end of the road, brethren. And all the Ernie Ford jokes, and the Elvis Presley rock-and-rolls and all this stuff, is another Nebuchadnezzar's feast. It won't do a bit of good. Judgment is going to strike.
E-30 This nation has come to the same place like Sodom and Gomorrah. And the just God would let this country get by with what it's doing now... As a just God He'd be morally obligated to raise up Sodom and Gomorrah and apologize for burning them up (That's right.), if we get by without the judgment. But just remember, it's coming to us. You flee to the rock as quick as you can. Don't put it off. Don't notice what all these, just joining church and creed and so forth. Do like these Methodist brethren here: flee to the rock until something echoes back that you see Christ reflecting.
E-31 It might have to beat you a little. In the old Bible times when they, the... Nowdays, here in this gold state of Arizona, in the old... They got smelters now to smelt out the iron and the pyrite, what's called fool's gold, and smelt that out from the real gold by a smelter. In the old days the only way they had to separate it was the beater beat the gold with a hammer, like the Indians beat it. And the only way that the beater knew that he had the gold ready was when he beat all the dross out of it. And he'd beat it, and turn it over, and beat it, and beat it, until all the dross went out. When he seen his own self reflect back into the--the gold, he knew then that all of the dirt, and the iron, and the foreign matters was out of the gold.
E-32 And that's the way God is trying to do His church, is to beat it till all the creeds, and the nonsense, and, oh, all the world is beat out of it, till it reflects back the Life of Jesus Christ. Remember, the church... I've just come off of the great meeting at home where the six seals... And that sixth seal... Or, seven seals, and that sixth one was the purification of the church. The church, of course, goes through the tribulation period for its purifying. But the bride is raptured. There's a difference between the bride and the church.
E-33 I hope I don't get doctrinated here now, or... If I say anything that you don't believe, why, do it just like I do when I'm eating cherry pie. I--I love cherry pie. But when I hit a seed I never throw the pie away; I just throw the seed away. So you do the same thing. Eating chicken, when you hit the bone, you don't throw the chicken away, you just throw the bone away. If I say something you don't believe, just throw the bone away. You see?
Now, but, there's emergency, and crisis is on. And constantly it's calling the President the--the final--the conferences and they have to meet for this or that. And Cuba will fly up, and then they have to call a conference. And something else will fly up, and they have to call a conference. All we hear about, nearly, is conference. What do they do at a conference? How's it made up?
E-34 First thing, they call together, and then select a certain place. In Geneva... I've been there that's a great beautiful place. And they usually try to get to a place kinda inspiring, so that they can get there, and then select this place, call all the great men into this one place, and make a... I haven't got it wrote down here. Where was that place in Switzerland we went down there, Billy, where they had... That was at--at Geneva, wasn't it? And I think it was a beautiful country. I didn't write down the--the name of that conference, but I remember being there. And they meet and have these places, and they select the best they can and work upon it.
E-35 Now, that's of the world. And everything that's wrong, everything that's in the world, if it's wrong, is a type of the right. Now, sin itself is only righteousness perverted. Now, there's only one Creator and that's God. And Satan is not a creator. He's only a perverter of original creation. A lie is a truth misrepresented. Adultery is the right act misused. Everything is always a perversion of what's right. Satan can pervert but he cannot create. See? And--and we remember that, that the wrong, a lie, or anything that's sin, is righteousness perverted.
E-36 And so we find that Satan always takes a type, for what he's going to do, off of what God has done. For instance, like many people (See?) in the meeting, they say, "It's a telepathy." Or, "It's a... The man is a..." I was called what--Simon, the sorcerer, and something like that. See? Why? When you see a spiritualist, or a devil act, it's only a perversion of a real genuine thing that God has. That's right. See, he just... And men ought to be--ought to know enough, and spiritual enough, to be able to discern between what's right and wrong.
Did you ever hear of a spiritualist casting out devils, and--and healing the sick, and preaching the Gospel, and... "By their fruits they are known." See? They got some little stand over in a corner somewhere and read the palm of your hand, and guess at four or five things, and a dozen of it be wrong. And there you are. You see? That's just a perversion, trying to draw people's minds out of ease, away from the real genuine Holy Spirit, where we can set together in heavenly places, and Christ reveal to us what we should do.
E-37 The churches ought to be that way. The people that speaks in tongues... I--I just want to speak this because I'm your father, as it was, and I'm going to act as that this morning. See? We got a great thing. But it's--it's... I believe that it's not represented just right. See? And it'll sell itself if it's perfectly represented right. Now I think there's many of these Methodists, these Baptists, and Presbyterians would like to have this. But it's the way we present it to them. See?
E-38 Now, if you see a fellow out building a house, and got a hammer and he's putting nails in the house, and you walk up. And you got a machine that you can put a half-a-keg of nails in it and br-r-r-r, just nail it up like that, twice as quick, and a better job. If you walk up to him and tell him, "Ahh, what are you doing? You're old fashion. You don't want to do that. That's the wrong way. Here I got a machine that'll do this." Right quick you have ruined your sale. You businessmen know that. You've ruined your sale. The thing to do is go up and brag on him, how--how well he can build, and then just introduce the product. If it's any good it'll sell itself. You salesmen know that.
And you know there's nothing better than the baptism of the Holy Spirit. There's nothing better that was give to man out of heaven outside of the Holy Spirit. But you see, we--we try to knock the other fellow down. Let's try to pick him up a little bit, and put our arm around him, and let him--let us know that the blanket stretches all the way across the bed. See? And hold that kind of a conference. You see? Give him a little room too. But after all he's struggled.
E-39 Now... but you see, many times in our churches, we permit people just to raise up even when you're preaching, and speak in tongues; and making an altar call, somebody speak in tongues, and somebody just, and give interpretations, merely... One of them, I believe... I believe the person is genuinely speaking in tongues. But I believe the other is more or less prophesying, 'cause some will speak in tongues maybe for five minutes, and the other one give four words of interpretation. See? It has to be at the same sound, the same raise and fall of voice. And then again, if they say it, and it doesn't come to pass, then get that evil spirit away from you. You don't want that.
E-40 In my tabernacle when one speaks like that, he better have it. It's wrote down. If it doesn't come to pass, they'd get that evil spirit out of them. It's got to be, just not some repeating. Jesus said, "Don't use vain repetition as heathens do." It's got to be something directly to somebody, or--or to help the church, or to help the cause. That's wrote right down, and if it isn't...
And the people who speak with tongues, and them great gifts to help the body of Christ, they meet hours before we ever get there. And the Holy Spirit works through them, and then it's put on the desk. And we tell out what they've said here. And if doesn't happen right as it said it did happen, then they cannot do that no more till that evil spirit's out of them.
You say, "Well, Brother Branham, that..."
Well, look it. I have to stand up here. I wouldn't be afraid, because it's God. It has to be right every time here. And it has to be right out there every time. Then when people see those things come to pass, then they'll believe.
E-41 What the Pentecostal church needs this morning is a good conference. That's exactly right. All the denominations: the--the oneness, twoness, threeness, fourness, and all the rest of us, and the Church of God, Assemblies of God, all of us get together and reason these things out (That's right.), and get the church moving.
As long as Satan can keep you firing at one another, he just sits back and says, "Brother, I don't even have to fight."
But if we could just get together and--and look up to God as brethren, then step, arm in... united. You don't have to change, and one go to one church and... Do the--the way you want to. Them little differences you make is no difference anyhow. God give every one of you the Holy Ghost. So the Bible said God gives those the Holy Ghost who obeys Him. So surely somebody's obeyed God.
E-42 But the thing, as long as Satan can keep the little differences, that's what makes the church in such a commotion as it is today. Let's forget that thing and come together. And remember, the other brother's just as much in Christ as we are. There's no big men, no little men, no superiors. We're children. We're one in Christ. And our little differences doesn't make any difference. Whether Becky wants a blue dress and Sarah wants a red one, they're both getting dresses. That--that... See what I mean? So they mustn't argue about that. So I think that's what we--we really should do.
E-43 Now, talking about world conferences, at world crisis... You know, God's had some conferences too. We think about the Paris, and the Geneva, and the Big Four, and many other conferences. Let's think about some conferences now that God had, which these were a types off of--of what God has had. I--I think that the first conference that I can think of now, Scripturally speaking, I'm going to call it God's Eden conference. "God made man in His own image, in the image of God created He him; male and female created He them." They were His beloved children. And they were put on the basis of free moral agency.
The old infidel has said many times, "Why would a just God do a thing like that, and had all the suffering that's gone through the age?" God didn't do that. Man did that himself. God wasn't willing for him to do that. "Well then, if God was omnipotent, why did He let it even happen? Why didn't He make man perfect?"
E-44 Because in the beginning there was nothing but God. And in God was attributes, His attribute to be a Saviour. We know it's so, He is a Saviour, and that was in Him. And there was nothing lost to be saved. In Him was attributes to be Father, and there was nothing He could father. In Him was attributes to be a healer. There was nothing lost, nothing sick. So the only thing He could do was make man on the basis of free moral agency knowing that he would do it. God didn't do it Himself; man done it himself.
And you're the same way this morning. You can accept life or turn life down. But God made man thus, that he'd--knowing he would do it, not willing that he should do it, but knowing he would do it, that it would display His attributes. So there's nothing out of time. Everything's ticking just exactly according to God's great timepiece. See? And this only displays His attributes, to select His children who really love Him and believe Him. And every man has an equal right.
God being infinite, knew from the beginning what would be and what wouldn't be, so therefore He wasn't willing that any... But being infinite He'd have to know. So therefore, He could say that He would have a church without spot or wrinkle, because He knew He would have it. He's God.
E-45 Now, in this lovely place in the garden of Eden, oh, where men and women lived together... God's a great contractor. Now, you have a lot of it here in--in Tucson, as it's building. A few years ago when I was here it was just a little bitty city. And now, up there where I'm living, why, the coyotes and Papagos was going through there when I was here a few years ago. And now, there's... Why, it's a--big projects, and houses, and building on out, on out, on out, on out. Well, what's happening? See, contractors go in and buy a piece of land, and subdivide it, and build houses.
E-46 Now, God did that. See? He--He laid out all the material to make our bodies while this world was being formed. Now, we're made of sixteen elements. That's potash, and calcium, and petroleum, and cosmic light, and so forth. And all this goes together to make the man. But that was here before there was a man on the earth. See? God made our bodies and laid the material out here before there was an earth. Now, you're brought into it and you come here by God. And now, you have the opportunity to live eternally if you so choose. That's exactly what Adam and Eve had. Every... God cannot change. He has to remain the same, give every man the same opportunity.
Now, we find out, God... It pleased Him when He made man. He looked at His--His daughter and His son, and how pleased He was with them. And then we find out that as soon as Adam and Eve had sinned, and the message come up before God, our Father, "Your child has fallen from the grace. He's got away from You..." my, how that must've alarmed His heart.
E-47 And now notice the nature. When Adam realized that he was lost, when he knowed that he had done wrong and it was made manifest before him that he was in the wrong, instead of calling, "Oh, Father, come to me. I'm lost. I've done wrong. I've been deceived. Come to me." He hid. And it was God going up and down the garden screaming, "Adam, where are thou?"
Isn't that the same today? You can show man by the Word of God when he's failed. That's exactly. Adam knowed he'd failed. He had failed the Word of God. And you remember, it doesn't take a whole lot. You know what caused all this sickness, and all this trouble, and death and sorrow of six thousand years? Because one woman just failed to believe one little sphere, little phase of God's Word, just one little iota. She believed most of it. Satan told her the truth about most of it. "These things you'll do, and this..." And then said, "Surely you'll not die." But just to disbelieve one little iota caused all this trouble. Is that right?
Do you think disbelieving one iota will take you back after it's caused all this? No, sir. We've got to come to the Word. That's the only... And that is God. "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God."
E-48 And see, when God made man, when He begin to brood over the earth, up come like Easter flowers, up come grass, up come species rising higher and higher. The great Holy Spirit brooding... "Brooding" means "to be mothering, cooing." "Coo, coo." The flowers come up. The Father said, "That's wonderful. Just keep it up." And He brooded. And after while out come birds. And the next thing, out come animals. He kept getting greater, greater, greater, greater. And finally, the earth reflected the reflection of Him that was brooding: God. And he was in the image of God. Never did anything come higher than a man, even to our beloved sisters, a woman. She's not in the original creation. She's a byproduct of the man, a part of him. And they're one in Christ. Oh, what a great lesson we have here right before us now, that we could spend hours on, throw light upon.
E-49 Notice, now we find out that then, when this man reflected God, then God come down in His own reflection in the form of man, Jesus Christ. And God was in Christ the... God in Christ reflecting Himself to the earth, what He was: a Saviour, a God, a Healer, God displaying His real attributes through a Man, which was His reflection... And God, in order to be--get this, couldn't come through sex, which first started the ball rolling. But He brought it through a virgin birth. Can't you see that--that first sin, what it was? Many won't agree with that, and you holler about the serpent's seed. But there it is. See?
E-50 Now, the reflection, God reflecting Himself in Christ. But then, when this man was lost... Today when man's showed by the Word that he shouldn't do these things, sometimes he's loyal to a church. If there's any of my Catholic friends here this morning, pardon this just a moment. My people are all Catholic too, you know, Roman Catholic.
Now, notice. When this priest come to me about many great healings, and he said, "Your background is Catholic. Why is it you're not Catholic?"
I said, "I am Catholic."
And he said, "Oh, I can't believe that."
I said, "Don't your church teach that this Bible, that Jesus Christ established the first Catholic Church, and these apostles were Catholic?"
"Yes."
I said, "Then I believe just what they wrote."
He said, "But Mr. Branham," said, "the church keeps changing. He gave Peter the authority to--to have the keys. And he can bind and the apostolic succession of the popes," and so forth.
I said, "I got all your writings, or most of them, in there, 'Facts of our Faith,' and so forth." But I said, "Look. If those men who wrote that Bible walked side by side with Jesus... Say they were Catholic, and they wrote that Bible, don't you think they'd know more about the will of God, and the commands of God than what this modern bunch would do today?" And I said, "Notice, if it is a church, then when they obeyed what God said originally, and it is the Word of God, look at the miracles and signs, and so forth they had. And you don't have them at all today. It's a evidence that God's not with you."
He said, "Mr. Branham, we're not supposed to argue."
I said, "Sir, I wouldn't argue with nobody. I'm just asking you something." Then I brought up the Nicaea Council and so forth.
He said, "We're not to argue." He said, "You're trying to speak of a Bible, of a Word." Said, "God is in His church. That's what the church was. This is what it is today. We're supposed to listen to the church today."
I said, "God is in His Word."
He said, "God is in His church."
I said, "He's in His Word. And if the Word isn't in the church, then God isn't in the church, because the Word is God." And I said, "Besides, do you believe the Apocalypse?" Which means Revelations, it's the Greek. "You believe the Apocalypse is inspired?"
Said, "Certainly."
I said, "Then Jesus Christ said Himself in the Apocalypse that 'Whosoever shall take one word out of it, or add one word to it, his part will be taken out of the Book of Life.' Then how can you say that you have authority to take out, put in, or do what you want to, when you're forbidden to do it by the founder of the Christian Church, Jesus Christ. You can't do it." See?
E-51 Oh, the hour, the tremendous time, that we're living. And when men is told of their error, instead of trying to come back and say, "Father, I'm wrong, forgive me," they still hide behind the fig leaves. Fig leaves is what they sewed together themselves. And they tried to... The word "religion" means "a covering." And they tried to make themself a handmade covering. And man hasn't changed yet today.
So God had to call a conference. And He had to meet with His person, His child. And remember, His commandments was, "The day you eat thereof, that day you die." And God cannot defy His own laws and be just. So He made a great chasm between Him and man. So when they... He wanted to redeem His child. He didn't want them to go like that. So He had to redeem him. So they called a conference, and it was the first conference that God ever met with man, was the Eden Conference.
E-52 How is He going to save that man? What can He do to bring His lost children back to Him? And remember, His first decision is perfect always. If it would've been the creeds, the fig leaves, He'd have said, "Adam, you have done justly. Come on out from behind the trees. I think you're a wise man. You're reflecting Me because you're wise. Your fig leaves is just right."
Man's still trying that fig leaf, but God made a decision. And the decision was that something had to die because it spoke of Him, His holiness and righteousness, to His own law. "The day you have that, you die." And there had to be a substitute with a feeling. Botany life has no feeling. So He had to kill something in order to get skins to cover them up. And that was God's decision how to save man, to bring man back into fellowship with Him at Eden. And it has forever remained that way.
E-53 No man... I don't know how many times that they've tried to educate the man, they have tried to tell him that an educational program will do it. How many times has the churches tried that? It's failed every time, and it will. We try to organize, each fellow have... Now I'm not against education. Neither am I against organization. But the organization and educational programs, and all the other that we've manmade, is fig leaves. It's back to God's original decision at that first conference, Eden: back to the blood.
E-54 The Jew, in the old days... Now ,I'm coming down home for Pentecost just for a few minutes. In the old days when God accepted this substitute, how the Jew used to come down the road with his slick bullock. And he'd say, "You know, I'm a sinner. Jehovah requires me to offer blood." So he goes and gets his lamb or his bullock. He takes it down to the high priest, down to the temple, and he lays his hands upon his sacrifice. What does that do? That identifies the worshipper with his sacrifice. And the priest comes and kills the bullock and catches the blood and sprinkles it upon... And this worshipper, sincerely knowing, this Jew, that that's what Jehovah required of him.
The man went home with a good feeling, feeling the quivering, shaking, of that lamb, the blood spraying all over his hands, and so forth, and see that little fellow kicking and dying as its throat's cut. He knowed that he ought to be that one. He looked at his sacrifice. He identified himself by laying his hands upon it, "I should be that one." And then when they cut its throat, and it dying, and bleating, and going on, and the little fellow quivering and quieting down, and the worshipper standing there saying, "Oh, Jehovah, You've accepted that instead of me. I'm ashamed of myself." And the man went home justified, because he had done exactly what Jehovah required.
E-55 That was fine. But by and by it became a family tradition. Now, he takes his sacrifice, say, "Well, let's see, now. Oh, yes, it's getting to be new moon feast. I guess I'd better start cleansing the tabernacle. It's the feast of Pentecost. I guess I'd better go down, offer me a lamb." Go on down there and kill it with no feelings at all, put it--go on back with the same idea he had coming in there. And then what did He do? Jehovah said here in Isaiah, speaking a little later on, He said, "Your solemn feasts are become stink in My nose."
We must come not like a bunch of Rickys and Rickettas. We must come, not like a bunch of formal, or so forth, that they have today of these traditional religions. We are Pentecostals. Let's come with deep sincerity, lay our hands upon our Sacrifice yonder at Calvary, and feel the bleeding and suffering of Jesus Christ, as we identify ourselves that we're dead to the things of the world and this modern ideas of the day.
E-56 We're as Sodom and Gomorrah, and we're living in that. Let the righteous spirit in us... These sins vex our soul daily. Let the sins of the world and the fashions of Hollywood, and all this Hollywood evangelism and nonsense, all this makeup, and beat the music, and jump up-and-down, and the music stops, down you go... When a man's washed in the Blood of the Lamb he don't need music or nothing else. The power of God just works upon him, and he can shout, scream, praise God, or do anything else, whether there's music or not. The Holy Ghost is in him. He's identified with Jesus Christ.
But today, we just want to... We have to jump around a little bit as Pentecostals 'cause our forefathers did. They had something to jump around about, this Holy Spirit making them jump. And then when they come back down, always live as high as you jump. If you don't, don't jump at all. We come down today and live all kinds of lives. We bring a reflection upon the very thing that we're standing for.
E-57 And our organizations are getting worldly. They're getting out there and letting our Pentecostal brethren get out there in these great schools. They're all right, nothing against them, but I'm only trying to show a point. They educate them, and teach them psychology, and give them a B.A. and just like the rest of them does, and send them out there. And what they are, they're absolutely... They're not Pentecostal.
God don't have any grandsons; God has sons. We try to think our mother was Pentecost, and our daddy was Pentecost and all; we was brought up in Sunday school and automatically we're Pentecostals. That's grandchildren. God don't have grandchildren; He has sons of God and daughters of God. And every man must pay the same price the first man paid. He must come under the shed Blood of Jesus Christ. That's what he must do.
E-58 Now, we find out now, that that's what... In the beginning, the sincerity... Now, we try to think because we've got a young fellow here that wants an education... He goes out into the schools and so forth; he comes forth educated. He can speak real lovely; he can stand on the platform; he's a man of glamor. Well, that's Hollywood. They want something that shines. You want a man with a culture, with a fine education. You want a man, regardless, that's broad-minded, that he can see... He don't care for the women cutting their hair. The Bible said for her not to do it. Don't care for the--if a deacon comes in the church, if he's a good man, can pay pretty good, they don't care if he's been married a couple of times. "That's all right, he's a good fellow." But the Bible refuses it. Exactly.
E-59 We don't come into the church by theology; we come in by kneeology. That's right. We come into Christ. But you see, today we've--we've got this idea that we want to go like the rest of them. That's what got Israel in trouble, want to go like the rest of them. Our solemn feast of Pentecost has become just a formal worship. We all know that. And we see it getting... We mustn't do that. The thing we must do is get back and identify ourself with Jesus Christ. Take His way and let Him work through us. Then men will gladly follow Him who once taught, "I'll draw all men unto Me." How we'd like to go on for a little bit and express some more things on that Eden Conference. But I got some more conferences I want to go to.
E-60 For instance, let's have another conference: the Burning Bush Conference, I would call it, the Burning Bush. Now, God had a runaway prophet. When God calls a man to do something, he just might as well come to it or he'll be miserable the rest of his days. Moses started out. He was called of God. He was ordained for a job. And then when he started out, the people didn't believe him, so he just let the people go.
He run out and married some beautiful Ethiopian girl and got inherit--inherited a bunch of sheep. And there he was out there, and he lost all the vision of the people, of the church of the living God. And God had ordained him to do it. He raised him up, born from his mother's wombs a proper child, and He raised him up for this purpose. No need of trying to get out of it, you're going to do it anyhow.
E-61 And you just church members, and you feel that there's something deeper in your heart, you'll be a miserable wretch until you accept that Christ like that. You seen the real genuine Holy Spirit working in people. You'll be miserable until it comes to you. It's God calling you. Give yourself up, come out behind the bushes. It's already settled, God made His way. It's through the Blood.
You say, "Well, I belong to the church." That don't mean a bit more than if you belong to the rodeo, not a bit. Nothing against the organization, but... I'm not against the people in the organization, but it's the system.
E-62 Now, notice this. Now, we find this burning bush. God knew that that prophet was living in ease. So He decided that He'd have to speak to this prophet. So He selected a place. Emergency was on, "I have heard the cries of My people. And there's a man that I sent to deliver them, and he's weak and washy."
O God, I hope He calls one here this morning, the ministers to get on fire. Look at the vision. We're dying. The world's gone. The church is backslid. God's trying to call a bride out.
So He selected a place, very odd place to us; it was a bush up on top of the mountain. But that attracted the prophet's attention. And He called him up there for a conference.
E-63 Watch, he had to obey it word by word. "Take off your shoes, Moses. The ground whereon you stand is holy."
What if Moses said, "Well, now, Lord, I just had some schooling. Honor is take off your hat, so I'll take off the hat." That would never worked. When God said shoes, He meant shoes.
When God said borned again, He meant borned again. He don't mean a handshake or repeat a creed. Everybody's scared of that new birth. The devil substituted a handshake for it or some kind of a psychic affair that would make you acknowledge, "Yes, I'm borned again." But your life tells what you are, the life that's in you.
You say you're borned of the Spirit of God and deny one Word of that Bible, it shows you're not. You try to place it back on something else, that shows it wasn't the Holy Spirit, 'cause He'd never deny His own Word. You say, "Well, my church teaches that." There it shows you're not. You're borned of the church not of God. This is God, His Word.
Here he is, Moses, the anointed. "Take off your shoes. You're on holy ground."
"Well, wouldn't my hat do just as well?"
He said shoes. And that's what He meant was shoes. God says be borned again. It means borned again.
E-64 Now, listen. Well, I'm in a mixed multitude and young children. But you'd listen to your doctor. You'd listen... I hope you listen to me and understand. Any birth is a mess. I don't care if it's in the pigpen or--or it's in a pink decorated hospital room, any mirth--birth is a mess. And so is the new birth. It's a mess. It'll make you do things you didn't think you'd do. But out of that death and corruption comes forth life. And no seed can bring its life until it's dead and rotten. And out of that rotten mess, when there's nothing else left to rot it, it's only the life that lives.
E-65 When a son comes to God, he's given tests. When I stood there that day, I remember, as I took my test. When I'd been days after days, months after months, and years, four or five years on the street corners preaching the Gospel and trying to do that which was right in God's sight, and He'd let my wife go right out from under me, my baby laying there dying. And I got down to the baby. I said, "Lord God, don't let my baby die." Eight months--nine months old little baby...
I looked up, and it looked like a black sheet coming down. He even refused to hear me. He wouldn't even look at me. I raised up, about twenty-three years old. There laid the wife in the morgue. He refused to hear me for her. When all I'd done... I said, "God, tell me what I've done. If I've done wrong, punish me, not them." I said, "What have I done? Work all day, and preach all night, and stand on the street corners and ever... What have I done? Tell me what I've done?" He wouldn't even tell me.
E-66 Then Satan come up to my side. He said, "Then you'll serve him, when one word would change the whole situation? One word will save your baby, but he refuses to do it. He won't do it, when one word would... Then you'll go ahead and serve him?"
All the human reasoning... That's right. Why should I serve Him if He won't even as much as just look down at my baby? That's all it'd take, and as I much as I'd thought I'd done for Him, then He wouldn't even listen to my own baby. That was the hardest temptation. All human reasonings had broke away. Why should I serve Him if He can't do that much for me? And I go day and night for Him. And He even refuses to tell me what I done.
E-67 Well, human reasonings is gone. But, oh, when a man's borned again that's something in there that holds. It come down to that spot, when I thought, "Where did I get her? Where did she come from? What am I anyhow? Where did I come from?" See? All the human part had broke away. Then that real genuine Spirit of God laid there.
I walked over to her and put my hands on her head. She was suffering so bad till her little eyes was crossing together. I said, "Sweetheart, in a few minutes I'll take you and lay you on Mommy's arms out there in the--in the morgue. I'll bury you out here under the pine trees. And someday daddy'll see you again." And I looked up; I said, "God, though You slay me, yet I'll trust you. You gave her, You taken away. Blessed be the Name of the Lord."
For then all my human reasonings had vanished. I was at the end of my road. But when you come to the end of your road, then there's that real Spirit of God there to take over at that time and lift you up.
E-68 You must be born again. Everything has to die away. All your theology, all your thinking, all you ever was or ever expect to be, your life and everything else dies away. And then the Holy Spirit comes in. That's when you take off hats, shoes, stand before God. "Nothing in my arms I bring, simply to thy cross I cling." That's where Moses had to come, where he could obey what God said do: the Burning Bush Conference. Then God said, "I'll show you My glory now," after he was willing to go. And he went down in Egypt.
E-69 There is a Eden Conference; there's a Burning Bush Conference. Let's take another one right quick. Let's take the Red Sea Conference. You know, right in the line of duty sometimes, Satan crosses our path. Minister brothers, you all know that. Christians, you know that. Right...
Here's Moses: went down and showed the signs to Israel, the one that he showed the first to, and they wouldn't listen. He goes back in the line of duty under the anointing of God with the very voice of God to speak things even into existence. He could call for flies. He used the voice of God. He said, "Let flies come." And there wasn't even a fly in the country. He walked on back. He knowed it would happen because he'd spoke the Word of God. He walked back, and directly an old green fly began to circle. And then they were two pounds per square yard.
Creative work, that belongs in the church of Jesus Christ today, under the Blood of Jesus Christ, by His Word that we're in contact with Him. No difference... The Word that we hear is here. And it's God. We see Him standing there. We know it's Him speaking to us, same thing. I've seen it done and I know it's right. It's with the Bible.
E-70 There Moses given the authority, he went down and showed the signs to Israel. And Israel come out with him. And here they are right in the line of duty, and there's the Red Sea cutting them off. Moses called a conference. God must've selected a place over behind the rock. Moses goes over there and says, "Lord..."
If you're walking in the line of duty, you've got a right to call a conference. That's what we come to pray for. That's what we're sent to hospital for. That's what we go to the sick bed for: call a conference. Oh, my, I feel religious right now. Call a conference. That's what the Pentecostal people needs today, is call a conference. What's the matter? We've slowed up. There's a wedge in the camp somewhere. Call a conference.
E-71 Moses called a conference, said, "Lord, I've did just as You told me, and here we're in a trap. Death is coming, moving upon us," like a patient with a cancer. "Death is moving upon us." And Moses stood there till he had an audition with God. He stayed there till God spoke. He knowed His voice; he was a prophet.
Said, "Why are you crying to Me, Moses? I give you authority to take those people over there and told you you'd do it. Speak to the people and go forward." Amen.
Red Seas begin to move, and everything else, when God spoke the Word. When the decision come for what for him to do. "I'm here, I'm up against it, what must I do?"
"Speak and go forward." And the Dead Sea moved.
Our time's getting away and I--I got so much--different places I'd like to refer to. Let's hurry. Got several more: David and so forth...
E-72 But here, remember, there was a Gethsemane Conference come one time, when God and His Son had to get together. After all, there was no one else could die for the sins of the world. There was nobody worthy to die, no man. Every man in this world was born sexual desire. And that's what caused the turmoil at the beginning. That's what done it, made us a hybrid creature. We're borned of sex, human desire. It's hybrid. Something's been... That's the reason it's got death in it, as I spoke last night.
But when God made His first man, He never asked woman and man to get together. He created him out of the earth. He was a genuine plant. His sin's what brought him to a hybrid. That's what's the matter today, the reason we're getting so many hybrid Pentecostals. You're listening to reasoning and instead of the Word. Come back, people; come back.
E-73 Notice, out there in the mixed-up crowds I didn't say this. It's between you, you Pentecostals setting here, and us. We don't come here to be heard. I come here to try to help. I come... If I--if I'm just standing here to say I--I spoke on a certain subject this morning, that makes me a hypocrite. I come here with the truth, and a truth that I want you to know, something that I believe God puts on my heart to help you, that we can see the hour that we're living in. See?
E-74 There's a Gethsemane Conference, when the only One that could die come up to the hour. Then when that great time come, there He had to make His final decision. No doubt the Father said, "Are You still ready to go through with it, Son?"
He said, "Is it possible, Father, is there some other man You could find somewhere? I love My people. I love the brethren that You've give Me. Is it possible that some other man could..."
"No, You're the only One can do it. You're the only One that's virgin born. You're the only One that's born without sex. No other man, no bishop, no pope, no cardinal, no nothing can help You. It's that One. You're the only One can do it." Then the conference was...
Satan was standing there ready to claim the human race. He said he had rights because they had sinned.
E-75 As you people here's had the tapes on the Seven Seals, when the Lamb come forth to claim His redemption, what He'd redeemed, time was finished then. He's in the work now, doing the work of redemption. But someday He walks from the sanctuary to take up the Book of redemption that He's purchased with His own Blood. Then the hour's over. He comes forth then to claim what He has redeemed.
Here He was standing in Gethsemane, that great suffering. The sin of every man was upon Him. Everything that ever died, the death of that was placed upon Him. And He was innocent, but He had to become sin. "Can You, the holy Son of God, take the sin of adultery? Can you take the sin, the punishment of adultery? Can You take the sin, the punishment of a lie? Can You take the sin of all these things and can You bear them upon Yourself, yet innocent?" He was the only One. The conference was met. What did He say? "Not My will, Thine be done." O God, can we all hit a Gethsemane Conference, that final check up.
E-76 Then there come another conference one time. A few days after that, about forty days, there come a conference after His death, burial, and ascension. The Christian church was going to be organized. Methodists, Baptists, Presbyterian, Lutheran, all of us. Listen now just a minute, in closing.
There come a time when God was going to, not only take a people, like Israel is His people. Israel will be saved as a nation (The Bible said so.), be born in a day. God deals with Israel as a pa--as a--as a people. But He deals the church with a individual. He's called out of the Gentiles a people for His Name.
Now, we find out that the hour come now. How must this church be run? They were forbidden, though they had preached, though they had healed... Listen to me. Though he--they had preached, though they had healed, though they had seen great signs and wonders, and though they were a witness that He was the Son of God, yet He forbid them to preach until they held this conference.
"Wait up there at the city of Jerusalem. I'll send you word back how the Christian church should be operated. I'll let you know if I'm to have a bishop, or a cardinal, or a pope, or whatever I'm going to have. I'll send you back. I'm going to heaven to hold a conference, and you wait there till you hear the returns." Amen, amen.
E-77 I remember when they was holding that Geneva Conference, an old minister friend of mine, Dr. Pettigrew, in Louisville, said he was listening to the radio, listening. The nation was at stake. He wanted to see what the decision was, what they were going to do. And some beatnik come to the door with his hair hanging down in his face and said, "Dr. Pettigrew, I understand that you're a--that--that an influence man." Said, "I--I've got some rock-and-roll songs that... The--the people won't listen to me. If you'll just give me a little boost off..."
He said, "Son, stand out there just a little bit." Said, "I'm--I'm listening to see what the returns is going to be."
He said, "But Dr. Pettigrew," said, "this is a great thing." He said, "This means a lot to me." Like it meant any more than hearing the returns from the Big Four Conference.
That's the way the people are today. Some little beatnik, something or another, in the name of--of religion come around and try to attract your attention from hearing the actual returns. Some little sissified, pettified, religiousied (if there's such a word to use), getting more members and better people, getting a bigger church and a bigger following, trying to attract your attention, brethren, don't listen to them. We've got the returns wrote out here.
E-78 As a Pentecostal conference, said, "Don't you sing another song. Don't preach another word. But go out there and wait till this conference is over; I'll send you back the news. I'll tell you who's the greatest among you. I'll tell you exactly what you're to do--whether you're to have an organization, whether you're to have a pope, or a bishop, or whatever you're supposed to have. I'll tell you about it. But wait till you hear the returns. We're going to heaven to decide the thing." And He ascended on high, led captive captive, set down by the right hand of God, and sent gifts back to men.
Then when the day of Pentecost was fully come, they'd been waiting. Oh, what if it would been... What if--if Andrew would've said, after about six days, "You know, brethren, I believe we don't have to wait any longer. I believe that by faith we receive our ministry. We should go ahead, start right out and start on our ministry, right now." That's the trouble with a many a minister. He don't stay there long enough, till he hears the returns, till he hears his commission.
E-79 "Well, you know..." Maybe there would've been another named Philip, would've got up and said, "You know, I've been feeling pretty good. After all, we have a knowledge of this, what He wants to do."
That might be so, brethren. You might have a B.A., D.D., L.L., Q.U.S.T., and it won't mean a thing. Your knowledge don't mean nothing. All your seminaries just don't mean a thing. You've got to wait for the return to see what God says. No man's got a right to preach the Gospel without meet--first meeting Jesus Christ as a Person, not as some theolog--theolo--(Well, you know what I mean.), some theological degree, theological degree. He has no right to do it upon that. No matter how much he can explain it, that isn't it.
E-80 Just like Moses. He could teach the Egyptians wisdom. He was the smartest man in the land, but he had to go to the conference with God. And no man has a right to claim to be a Christian, no woman, no child, no preacher especially, until he himself has come upon that sacred sands where he met God. All the theologians in the world, all the infidels in the world can't explain that away from him. He was there; it happened. It happened to him. He knows where he stands.
There they went to the day of Pentecost. And we didn't see a... Now, I'm not... I'm just making a expression. We don't see it there, where the bishop come up the road with his satchel in his hand. And he said, "Now, I have been sent of the Lord. I want to lay hands upon you brethren and send you out." That's the 1963 version of it: the bishop and his staff.
While we think of them, let's just take it, with due regards, to our Catholic friends. Let's say there come a priest up the road with the last rites, so-called. "Lick out your tongue and take the wafer, and I'll drink the wine. And then you'll be a member." If that would've been, it would've been at the first place. God's infinite. His decision is just like it was in the garden of Eden. He... His first decision settles it.
E-81 Well, what did they do? They waited, and they waited, and they wasn't satisfied. They waited until there came a sound from heaven like a rushing, mighty, wind. It filled all the house where they were setting. Cloven tongues set upon them like fire, and they were all filled with the Holy Ghost and begin to speak with other tongues, as the Spirit gave them utterance.
A bunch of cowards that was afraid of evangelism, a bunch of cowards, that was afraid to face the dignity and the celebrity of the city and the religious critics, was out in the street testifying, "This is that." That was God's decision.
A few days after that the Samaritans... Philip had went down and preached to them and baptized them in the Name of Jesus Christ, though the Holy Ghost hadn't fallen upon none of them yet. So they sent up to Peter and brought him down. They knowed... They'd had great joy. They was happy and rejoicing, and they'd had a great time. And they've had great healings and everything. Now, Nazarene, Pilgrim Holiness, Methodist, brethren, listen. Healing isn't it. Joy isn't it. It's the experience. It's the Holy Spirit, Christ Himself coming into you as a person.
E-82 They sent up and got Peter and John who came down and laid their hands upon them, and the Holy Ghost came on them. In Acts 10:49 we find that Peter, while he was speaking to the Gentiles, "While Peter yet spake these words, the Holy Ghost fell on them that heard it. For they heard them speak in tongues, and magnify God."
"And Peter said, 'Can we forbid water, seeing these has--has received the Holy Ghost like we did at the beginning?'"
Paul, talking to a bunch of Baptists in Acts 19, passed through the upper coast of Ephesus. He finds certain disciples. They were happy. They had a great Baptist preacher there by the name of Apollos. And he was a converted lawyer. And he said it was proven by the Bible that Jesus was the Christ.
E-83 And Aquila and Priscilla, tentmakers with Paul, said, "Our brother Paul's in prison down there." Ain't that some place for a preacher to be? He was in prison because he cast the devil out of a fortuneteller. And he said, "He--he's in prison, but he'll visit us pretty soon, and he'll explain the Word of God to you more perfect."
And they were having a good time, like all good Baptists do, shouting, praising God, having healings, and signs, and so forth. But when Paul come up and listened at them, an apostle, he said, "Have you received the Holy Ghost since you believed?" They thought they had it. See? "Since you believed?" We think when we believe we got it. That's wrong. He said, "Have you received the Holy Ghost since you believed?"
They said, "We know not what it be, or whether there be one."
He said, "Unto what was you baptized?"
Said, "Unto John."
He said, "That won't work no more. You got to be baptized over."
So he baptized them in the Name of Jesus Christ, laid his hands upon them, and the Holy Ghost came upon them, and they spoke in tongues and magnified God. How? Just like they did at the beginning. The same formula was carried out.
E-84 When a doctor writes a prescription, don't let none of these quack druggists try to mess with it. They give you too much antidote, it won't hurt--help you. And if they put too much poison, it'll kill you. Don't fool with God's formula; carry it out the way it was at the conference. That was the orders. Amen. I love Him.
Reminds me of Jesus' parents. They went up to the Pentecostal feast. On the road back they found out... They'd been three or four days, and they didn't find Him among them. They begin to wonder. That's about the way it is now. The churches are beginning to find, what become of Jesus? What happened? We're Pentecostals, but what happened? We're Methodists, but what happened? What become of Jesus?
They begin to look among their kindred. That's what... We begin to think of what did Moody say, what did Sankey say, what did Finney say? That was their day. We're on up the road.
E-85 If we start searching back like they did... They went to their kindred and they couldn't find Him. They went to all their kindreds, the bishops, and so forth. They couldn't find Him. Finally they found Him just where they left Him. Where did they leave Him? At the feast of Pentecost. They had to go all the way back where they left Him before they found Him.
And, church, that's what we got to do: go back where we left Him. Get away from some of our traditions, go back where we left Him. If you want to know where you left Him, have a little Bible conference and just don't pull any punches. Just tell the truth.
We're going to wait now till we see how it was. No bishops, no nothing, just the Holy Spirit was supposed to lead the church. That's the only Leader we have, is the Holy Ghost. And He leads according to the Word. You say, "Well, I got the Holy Ghost," and you deny the Word. It ain't the Holy Ghost then, 'cause the Holy Ghost wrote the Bible. That's right. So it isn't the Holy Ghost.
E-86 Listen, closing... In world conferences what do they do? They eat together, they talk together, they fuss together, they lie to one another at a world conference at a conference of the world of the nations.
But what... When God calls a conference, what's happened? They meet together. They don't feast, but they fast. They don't fuss, but they pray. They wait till they get orders and go forward.
That's what the church needs today, is a going forward. Get the orders. And you say, "Well, how can I find the orders?" Here they are. This is the orders.
"How do you know, Brother Branham?"
The way God first planned redemption was by the blood, and He'll never change it. When God makes a decision... That's the reason you can hang your soul on that Bible, any phase It says, because It is the Word of God. And God, being infinite, He cannot say, "Well, I was mistaken two thousand years ago." God's eternal. He never did begin. He never will end. And the only way you can ever be like Him is be part of Him.
E-87 On the day of Pentecost... That great Pillar of Fire that had followed Israel, or Israel had followed It through the wilderness (See?), that great Pillar of Fire was God, the Angel of the covenant, Jesus Christ. Moses esteemed the reproach of Christ greater treasures than that of Egypt. So he forsook Egypt and followed Christ.
Notice, on the day of Pentecost, what did God do? He taken that big Pillar of Fire and divided It. That was Himself. Tongues of fire, forked tongues, cloven tongues, come down, forked tongues, and set upon each one.
Oh, wouldn't... We ought to be ashamed to let our organizations divide us, when God divided Himself among us that we might be one. "This will all men know that you're My disciples." Do you hear that brother and sister? God divided Himself. We're never divided, one another, because we're parts of God.
E-88 Just let this fire come to this fire, and after while you'll find out it'll move that. It's come up through Luther, Wesley, Pentecost. And find out the pyramid will be capped one of these days. You know it never was capped, the pyramid on the back of your dollar. "The Great Seal," it says. And we in America... Here's the American seal on this side, but why'd they say the Great Seal, the one that Enoch made? Not pyramid doctrines now, 'cause I don't believe in that kind of stuff.
But they never did cap the pyramid. Why? The--the capstone was rejected. But it will come again someday. Praise the Lord. And see in that pyramid (I've been there.), it's honed so close till even you can't run a razor blade, there's no mortar between it. It just perfectly sets together like the same stone. And when that church gets honed into the perfect image of Jesus Christ, He will come, resurrect all the saints when He comes and take them with Him. The church of the living God will be caught up.
E-89 But, brethren, we'll not be like Eve, one had this and one have that, a disfigured body. It'll be word by word what God said. Say, "Brother Branham, what did He say then? He never told us."
All right, Peter spoke it. When they wanted to know, "How do we get into this?" what happened? He gave us the formula.
Now, if he said shake hands and join church, that's what it would've been. And if he said stand on your head, that's what it would've been. If he said, we'll organize a great man, and make a great body, and a great pope, and a great this, that, that's the way it would've been.
But what did he say? "Repent, every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost. For the promise is unto you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call."
E-90 And as long as God's calling, it's got to be the same formula, not shake hands, repeat a creed, but be baptized by the Holy Ghost into the body of Jesus Christ. That's the way the Christian church is to be run, not by creeds, not by denomination, not by education, not by theology, but by the baptism of the Holy Spirit to lead men and women. And He'll never lead you away from the Word of God. He'll lead you right to the Word of God, because "Man shall not live by bread alone, but by every word that proceeds out of the mouth of God."
Have you got about two or three more minutes, four? I got another conference I'd like to call to you. I got it wrote here, just Acts 4 it says, and I know what that means.
Acts 4, after the disciples began to preach, the churches begin to criticize. They begin to make them... The churches said, "Now wait a minute. You can go ahead and perform your miracles. You can do all these things. But don't you preach no more in the Name of Jesus Christ." They beat them into--stripes, and everything else. So what did they do? There's got to be something done. They're forbidden; the law says that they can't preach this way no more.
E-91 Oh, brother. I wish I had just a little more time. The time's coming when you're either going to put your organization into the World Council of Churches, you'll... If you do that you take the image of the beast, 'cause you got a power just like it was in Rome. And if you don't do it, you'll be an individual, independent church. And when you do, the image of the beast is going to close your doors, and you're going to be forbidden. And then you're going to need a conference. See?
"They tell us that we cannot no longer, we can't preach in the Name of Jesus. Let's consult God and find out whether we can or not." So they went up and had a conference. Oh, ho, ho, ho. Excuse me. We need one like that this morning. "Is it good for us to obey man or God?" said the apostle.
E-92 They had a conference, about what we got this morning. And they stood up and give the--their... "The church is telling us we can't preach unless we come to their group," and so forth. "And we can't have this minister 'less the organization says so. And no matter how much anointed it is, we have to do this, that," and you know how it is, each group and so forth.
"What are we going to do?" And they had a conference, and they got down and begin to pray. That's Acts 4 Conference. And when they did, all with one accord, "Lord, why did the people imagine a vain thing, or the heathens rage, and the people imagine a vain thing? Stretch forth the hand of Thy holy Child, Jesus, to heal the sick. We're forbidden to do this." And all of them praying with one accord...
E-93 You talk... Some people criticize us for everybody praying the same time. How'd you like to have been in that group, all in one accord? Somebody said, "How can God ever hear that?"
How many prayers you think He's hearing at one time anyhow? You forget. He's not finite; He's infinite. See?
And when they all prayed in one accord, the Bible said the building was shook where they were seated together. Amen. The returns come back. And they went forth preaching Jesus Christ everywhere, God working with them, confirming the Word. The Acts 4--4 Conference.
E-94 Oh, brother, just a minute, there's another conference. You might not attended any of these conferences; you might not attended these world conferences. Remember, you might not have done it; but remember, there's one conference I'm going to speak of now that you're going to attend. I don't care who you are, you're going to attend it. You might be excused up to this time. But from now on you're not. That's the conference at the judgment. That's right. You're all going to be there, every one of us. And we're going to give an account for what we've done and said on this earth. That's one conference you're going to attend.
Every time you hear a siren go down the street, remember, it marks you. You're not going to be here very long. Where you see a gray hair coming, stooping of the shoulders, see a hospital, a graveyard, what is it? Testimony you're not here for all the time, and you're moving up to that conference. And we're all going to be there.
E-95 We're going to have to give an account of what we have done with Jesus Christ. Is that right? And Who is Jesus Christ? The Word. "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us, Jesus Christ the same yesterday, today, and forever." God, working in three dispensations...
That's the reason He spoke about calling Him Father, Son, and Holy Ghost. See? Not three different Gods. That's where you get mixed up. It's not three different Gods; it's one God in three manifestations (See?) of--of the one God. We only got one God. We're not heathens. See? But we--we got one God, but three manifestations. That's the reason Matthew said, "Baptize them in the name of Father, Son, and Holy Ghost," because, see, it was a... One... That same God was in the Old Testament was the same God was made manifest, and the same God that's here today. Jesus Christ, the same that Moses forsook the world in Egypt, the same then was here today. And the same One it will be forever: Jesus Christ, and He is the Word. Amen.
E-96 God's got to judge the church by something. God's got to judge the world by some standard. You believe that? Well, if He's going judge it by the church, which church? If He judges it by the Roman Catholic, the Greek's gone. If He judges it by the Greek, the Roman's gone. If He judges it by the Methodists, the Baptist is gone. If He judges it by the Baptists, the Methodist is gone, vice versa. If He judges it by the oneness, the twoness is gone. If He judges it by the twoness, the threeness is gone. If He judges it by the threeness, they're both gone. There you are.
E-97 What is it? What is it, brethren? It's a bunch of nonsense. God has to have some standard. If I had to join a church, which one would I join? There's only one, and you don't join that. I've been in the Branham family fifty-four years and I never did join the family. I was borned a Branham. I'm a Branham because my father's a Branham. And I'm a Christian because my Fathers a--is God. Amen. We're Christians upon that basis. We are Christians. We're borned of His Spirit.
And the Spirit of my Father in me, I have the attributes of God in me, and they display theirself like they did in His Son Jesus Christ. There you are. "Upon this rock I build My church. Not by... Flesh and blood, hasn't revealed it to you, but My Father which is in heaven has revealed it." Upon this rock I build My church.
E-98 If God judges the world by the Catholic church, the Protestant's lost. If He joins it by--by the Protestants, which one? If He judge by the Catholic church... It's many different fears of the--spheres of the Catholic church. So which one is it going to be? You see, a person would be confused; you wouldn't know what to do.
But here's what God will judge them by: the Word. That's the standard. "Heavens and earth will pass away but My Word shall never fail." Upon this I take my stand. All other grounds is sinking sand, all other grounds is sinking sand. On Christ the solid rock I stand. All other grounds is sinking sand.
I'm depending on it. I'm not trusting in what I am. I'm trusting in what He is. I cannot--I cannot go to heaven. Jesus said I had to be perfect to get there. "Be ye therefore perfect even as your Father in heaven." How can you be? But when you got... Look not at you but at your Sacrifice.
E-99 Well, if a little mule was born in time of the Old Testament, he had broke down ears, and knock-kneed, and cross-eyed, why, he'd know he'd get knocked in the head. He's no good. But if the mother could tell him, "Son, you were born with a birthright. Because that you were born thus this way, you'll live, but the one that dies for you will have to be a perfect lamb, will have to be offered so you can live. They'll break the neck of the--of the--of the horse if he was no good. And he is no good. But you see, but a perfect lamb has to die so he can live.
If you say you're no good... "I ain't worthy to get healed, Brother Branham. I ain't worthy to come to Christ." Don't look at yourself; look at your Sacrifice. I'm no good. There's nothing good in me, not even a thought. There's nothing no good, nothing no good in you. There's none of us deserve anything but hell. That's exactly.
E-100 But oh, look what stands to represent us. Look what stands to represent us. And here's His Life in print trying to be manifested through us. And then through some little creed we turn it down. Oh, we need a conference. Yes. That's the reason I can walk to the platform, not being feared that something's going to come up, and going to happen this way, or that way, or it'll fail, or something go wrong. No, I look at my Sacrifice.
"Billy, what did you do this week?"
I done enough to die in an hour. I--I'm a sinner to begin with. But I'm looking Who give me the promise. I'm looking Who said so. "Don't you fear. Stand there. For this cause you were borned. I raised you up for this purpose." Then all devils in hell can't make me move. I'm standing there on Christ, that solid Rock.
E-101 Any of you remember Paul Rader? A great warrior of God. When I was a little boy setting at his feet... He died over here in California not long ago. When he was dying... He and his brother Luke stuck together, like me and my son here. They went together just hand in hand, like brother and brother, just as father and son. And Paul came to the end of the road.
Moody Bible Institute sent a little quartet down there to sing. And they had the blinds all pulled and shades down in the hospital. And Luke had a kind of a... I mean Paul had a sense of humor, you know. And he looked around to that little quartet, and they was singing "Nearer my God to Thee." He said, "Who's dying, me or you?" He said, "Raise them curtains there and sing me some good snappy Gospel songs." And they got to singing:
Down at the cross where my Saviour died,
Down there for cleansing from sin I cried;
There to my heart was the blood applied;
Glory to his name!
He said, "That sounds better." Said, "Where's Luke, the one that stuck by me through thick and thin."
He couldn't see his brother die. He was in the next room. They went and got him. Paul raised his big hand to Luke, and Luke took ahold of his hand. The tears ran off his cheeks.
Said, "Luke, think of it. We've been a long ways together. We've took many a briar pile and through many a ditch. But think of it; in five minutes from now I'll be standing in the Presence of Jesus Christ, clothed in His righteousness." That's it.
E-102 Paul's told me... He said he--when he was a young man he come from Oregon. He was a--a woodsman, and he would cut the trees. And he said when he was over in one of the islands... I forget where it was at: South America, that's where it was. And he was missionaring there. And he took this black fever--black-water fever. You know--you know what that is. That's death right away. Way back in the jungles, miles to a doctor. Paul was a great believer in Divine healing, as you know.
And so then he--he told his wife, he said... They was going for a doctor. He said, "It won't make any difference. I couldn't live that long."
So his wife said, "Honey, you get down here beside the bed and you talk to our Doctor...?... Let's call Him on the scene."
So his wife begin praying, "God, don't let my beloved husband die. He's here in the mission fields for You. Don't let him die."
E-103 Fever raging, out of his mind nearly, just going and coming. He said, "Honey, it's getting darker and darker. I can't last but a little bit longer." He said, "Just keep praying, honey."
And he dropped off into a coma. He said he had a dream. Said he dreamed he was back in Oregon, a young man. And said he had a boss in the lumber camp. He said, "Paul, go up to the top of the hill there, and fell me a tree of a certain size and bring it to me."
He said, "All right, boss."
And he went up to the top of the hill, and said he could just see that axe... You know the farther north you get, why, the softer the wood becomes: farther south, the harder, the same wood. So he went up there, and he said he begin to see the axe go way deep, the bit into the tree, as he felled the tree. He scraped it up, and fixed it, stuck the axe in the trunk, down to the trunk of the tree, the big part, and was, you know, lifting, to put his knees together to lift. Said he was a strong man. You know how Paul was, short, strong, man.
So he started to lift up the tree, and he just couldn't lift it. He said, "I tussled and I tried, and I felt so... I had to take that log down there to the boss." He said, "I just couldn't lift it." Said, "I tuggled, tugged, and pulled, and tugged, and pulled," he said, "until I--my strength was just all gone." And said, "I just set down against the tree and thought, 'I am so worn out I can't even move no more.'" Said, "Directly I heard the sweetest voice I ever heard. It was my boss. And he said, 'Paul, what are you struggling with it for?'"
He said, "Boss, I--I--I just simply can't pick it up. It's too great. The load's too great for me to carry. I can't go any farther with it."
He said, "Paul, there's a stream, going right by you. Why don't you just throw it in the stream, and jump on it, and ride right down the riffles. And it comes right by the camp."
He said, "I never thought of that."
And when he throwed it in the riffles, he looked back, and his Boss was Jesus. And said he just jumped on the log, and down on the riffles he went, splashing the water, hollering, "I'm a-riding on it; I'm a-riding on it; I'm a-riding on it." And said he come to, and he was standing right out in the middle of the floor throwing both hands in the air, saying, "I'm a-riding on it; I'm a-riding on it; I'm a-riding on it."
E-104 "Nothing in my arms I bring, simply to thy Word I cling." Brother, sister, there's no good thing in any man. There's no good thing in anything else but Jesus Christ. And I'm a-riding on every promise here this morning. And someday I expect to ride into His Presence upon the shed Blood of the Lord Jesus Christ. Let us bow our heads.
I'm a-riding on it. I'm a-riding on it. Not upon my affiliation, upon my denomination, upon my self-righteousness, but I'm riding upon the Word of God. I believe that through the righteous Blood of Jesus Christ, someday I shall see Him. I shall be changed and made like unto His own glorious body. I shall be in His image. I shall see Him as He is.
E-105 As I see the years creeping upon me, my little hair that I have, turning gray, my shoulders stooping, I haven't got much longer. Thirty-something years I've been behind the pulpit. I only wish I had a thousand lives I could give for Him. I wish I only had it. I love His people.
What are you trusting in this morning? Some good work that you've done? Some church that you belong to? Are you really standing on the Word of God? Are you really experienced? Have you heard that... Have you had a private conference with God, and the returns came back like it did on the day of Pentecost? Not some substitutionary, not some handshake, some mental confession, but upon the fire of the Holy Spirit coming into your life that changes all that you do and say? If you haven't had that, will you raise your hands and just say, "Pray for me, Brother Branham. I'm not..." God bless you. God bless you. My, at the hands.
E-106 How about you Pentecostals? Some of you people that... You know that just traditionally, you go to church, and you like the music, and you can act like a Pentecost. But actually, right down at the bottom of you, you know there's something missing. You know there's something missing. If you want to really, this morning at this breakfast table...
You know I may never see you again at another breakfast, but I want to see you at a supper when it's all over. You never had that experience, will you raise your hands, say, "Pray for me, Brother Branham. I now want to become..." God bless you. That's right. You say, "Does raising my hand do anything?" If you mean it, it does. He'll see you.
Now, you believe me to be His servant? Many people has called me a prophet. I don't claim to be a prophet. No. But if you believe that God speaks to me, you listen to me now. Sincerely, when you raise your hand believe that, and watch what happens to you.
E-107 Now, if He'll let me know what's in your heart... If He can tell me what you prayed about 'fore you left home and what you did, the words you said, what you've done in your life, and who you were, and where you come from, and what's going to happen to you hereafter, and it does, then surely He's speaking to me now.
Let's have--make this a conference this morning. What about it, Methodists, Baptists, Presbyterians, Pentecostals, oneness, twoness (oh, what...), Church of God, Assemblies of God, whatever you are? Let's just have a conference. Let's see if we don't need a little love one for another. Let's see if that wouldn't kind of cure the thing, if we just had a little love and respects more for one for another. Will you do it? All right.
E-108 Let's have one like Acts 4, and you confess everything that you've done that's wrong. And right over the table where you're at, that altar where we ask the blessing... That's a family altar, the table, where you thank God for the daily bread. And remember, when you eat... Because you eat, something has to die so you can live physically. Did you know that? If you eat meat, the animal died. If you eat bread, the wheat died. If you eat greens, the greens die. It's a form of life. And the only way you can live physically, something has to die so you can live physically.
Isn't it just the thing, friends, to show you that fig leaves and manmade ideas won't work? Something had to die so you can live eternally. Something had to die. Not a church, not... You... It's--it's Christ died for you. Accept it now, will you? While we bow our heads, each one keeping in your heart what you have need of. Till we meet, may God bless you.
E-109 Heavenly Father, I've held this lovely audience of people, because I don't know. You know, this may be the last time. One thing, You may come before night. You may come before I could get back again. There's one thing sure; You are coming. I may die. I may have to leave the earth. There's many in here. If I should come a year today from this day, there's no doubt people here that would not be here. They're gone on. This is our last time, Lord, we're going to meet. Some of us in here, we know that this will be our last meeting here on earth. The next time I meet them will be there at the judgment. And I'll have to answer for what I've told them as a minister this morning. I've put them to that Word, Father. That's all I know to do.
E-110 Now there's many people that's said, in this conference this morning, they want to talk it over with You. They're doing it now, Lord; they raised up their hands. They're witnesses that they--they--they... They're tired, Lord; they're weary, and they know the world's conferences has run out.
There's no more hopes. We can't build nothing. All the nations has atomic, hydrogens, and poison bombs, and astronauts, and everything, Lord. The whole world's quivering and shaking. It's going to be purified pretty soon and get ready for a great millennium. She's going to shake like a--oh, to pieces. She's tottering now like a drunk man staggering home at midnight in the dark, and she don't know where she's going.
E-111 O Father, but there is a foundation. There is assurance. For we receive a Kingdom that cannot be moved. I pray, Father, that each one will hurry to that Kingdom this morning, in Christ Jesus. Bless them, Father, as they've got their heads bowed, their hearts bowed. They're waiting now for the answer. We're in a conference. Send down the answer just now, Father, to every one.
Some of them need salvation. Some, their first time, some that's--it's... They're--they're just going to forget their creeds. They--they want to find that--the way it come down the first time. They want Your decision, not the church's decision, not some creed's decision, but the Bible decision, the decision that God made in Acts 2, when He sent the Holy Ghost and Fire upon the church. That was His decision how the church must live, and what they must do. Laying aside everything else, Father, We wait for that decision. O Lord, send Your power just now and baptize every one.
E-112 While we have our heads bowed,
They were in an upper chamber,
They were all with one accord,
When the Holy Ghost descended
That was promised by our Lord. (That's His Word promise.)
O Lord, send your power just now, (Pray now.)
O Lord, send your power just now,
O Lord, send your power just now,
And baptize every one.
O Lord, send your power just...
I see ministers turning people around to the table to pray with them. That's right.
... the power just...
Just don't think we're just standing here talking; He's here.
"O Lord...
If you're... Don't look up at somebody else. Close your eyes and look to Him by faith.
... baptize every one." (Remember,)
They were in an upper chamber,
They were all with one accord,
When the Holy Ghost descended
That was promised by our Lord.
Here we are, all different creeds.
O Lord... (We're in a--we're in unity now.) now. (Believe now.)
O Lord, send your power...
Look at how He's been coming to us this week. Here He is right here now, right by your side, if you'll just believe it.
... now,
And baptize every one.
O Lord, send your power just now,
O Lord, send your...
I give You my heart, Lord. I give You everything. Here's my hand; I--I consecrate myself to You right now. Send Your power upon me just now.
And baptize every one. (Again.)
O Lord...
Sing it till it becomes a reality to you. See? Now, close your eyes, close your heart to all foolishness and all outside.
... just now,
O Lord, send your power just now,
And baptize every one
O Lord send your power just now,
O (Pray now; ask Him for it.) power just now,
O (Confess your faults.) Lord, send your power just now,
And baptize every one.
E-113 Now, Father, I pray that You'll clean every heart. We confess our sins. We confess our wrongs. We've been wrong, Lord, all of us together. We're all guilty. We're short of the glory of God. O God, won't You in mercy and pity look upon us, Lord? We're needy people, and we see the vision of the coming of the Lord. He's tramping out the vintage where the grapes of wrath are stored. He's loosed the fateful lightning with His terrible swift sword. His truth, the Bible, keeps marching on, marching on. It marches over creeds; it marches over denominations; it marches over everything. Thy truth keeps marching on.
... send your power just now,
O Lord, send your power just now,
O Lord, send your power just now,
And baptize every one,
O Lord, send that power just... (I believe it, Lord, I believe it.)
O Lord, send your power just now,
O Lord, send your power just now,
And baptize every one.
E-114 While the music continues on, and you praying, now if you clean your heart all out, all's confessed, you really laid it on the altar now... Now, He's the High Priest of your confession. He can only, only help you as you believe it. If you've confessed your sins, if you confessed your wrongs, if you've done everything, confessed you been too dilatory, whatever you've confessed, now it's laid on the sacrifice altar. Now, put your hands upon Jesus and identify yourself. You identify yourself by faith. Lay your hands upon Jesus. And then when you do, look up to Him and say, "I receive it, Lord. I believe You now."
I can, I will, I do believe;
I can, I will, I do... (You believe it with all your heart now.)
I can, I will, I do believe
That Jesus saves me now.
E-115 Oh, do you believe it now, with your sacrifice on the altar... On the altar, what you've laid down, all your differences, you've laid it on the altar, now by faith, lay your hands upon your Sacrifice, Jesus, Who is setting at the right hand of God to make intercessions for you upon your confession that you believe with all your heart that He's accepted what you've offered to Him. If you believe that Jesus Christ has accepted what you've offered to Him this morning, "I give you my life, Lord. I've been cold; I've been indifferent. I--I've done things I oughtn't to have done. But from this hour I want to move up closer to You, and I believe that I receive it. I lay my hands upon You now as I make my confession."
Do you believe that? You believe that God heard your prayer? If you do, raise up your hands to God, say, "I believe You heard my prayer. I made my confession, and I believe You're hearing my prayer. Now, I'm going to stand up and praise You for it. I'm going to give You thanks."
Stand up on your feet now and say, "Thank You, Lord. Thank You, Lord. I believe You, I now give You praise for giving me the assurance in my heart." Now, just raise your hands and praise God in an old fashion way, the way that God would have you to do.