Pourquoi?
1 [L’assemblée chante Crois seulement et un frère introduit frère Branham. – N.D.E.] Merci, Frère Johnson. Bonsoir, mes amis. C’est vraiment un grand privilège d’être ici ce soir, d’une part, de me retrouver en Arkansas et, d’autre part, d’être sur le terrain de camping. Je pense que ce sont les premières réunions sous tente que je tiens depuis longtemps. Et j’ai reçu l’invitation de venir commencer avec vous. Et j’ai appris, depuis que nous sommes ici, que vous passez un merveilleux moment ici à cette série de réunions. Je suis très reconnaissant pour cela.
2 Et, moi, en route vers ici, il y a quelques instants, j’étais avec mon fils, et nous parlions de ce qui s’était passé il y a quelques années, quand j’étais venu ici en Arkansas ; c’étaient mes premières réunions. Mes tout débuts, c’était en Arkansas, les réunions d’évangélisation, de toute façon. Et depuis lors, j’ai fait sept fois le tour du monde, et maintenant je suis de retour en Arkansas. C’est comme la mauvaise monnaie, ça retourne toujours. Partout où j’ai été, j’ai… je pense, aux Etats-Unis d’Amérique, j’ai demandé : « Y a-t-il ici quelqu’un de l’Arkansas ? » J’ai toujours eu des amis de l’Arkansas, presque partout. Et j’ai toujours dit : « Certains de coeurs les plus sincères, à mon avis, qui aient jamais battu, étaient sous ces vieilles chemises bleues, ici en Arkansas. » Des gens très gentils ! Je vous aime.
3 Et je–je suis reconnaissant à Dieu pour l’occasion de revenir ce soir en Arkansas et d’être avec vous. Et je pense donc qu’il nous reste trois soirées, dans la convention, et j’ai l’occasion de revenir exprimer mon amour pour Jésus-Christ et de communier avec vous et le bon groupe de nos frères ici. Il y en a beaucoup parmi eux que je ne connais pas. Et je viens de promener mon regard, et j’ai vu quelqu’un que je connais bien, frère Jack Moore ; il m’est juste arrivé de le voir, ainsi que soeur Moore ; il m’est arrivé de les identifier tout à l’heure. Nous sommes certainement heureux d’être ici.
4 Eh bien, je sais, toute la journée, vous devez être fatigués, vous savez, fatigués dans le corps. Nous ne sommes jamais assez… nous ne nous fatiguons pas de louer et d’adorer Dieu pour Sa bonté, de ce qu’Il est merveilleux. Et, mais, toute la journée, et puis, une fois la nuit tombée, alors, me voici donc arriver ici. Et je suis plutôt un de ces prédicateurs qui ont à l’esprit de parler longtemps. Mais je ne pense pas que c’est ce que nous ferons maintenant, à cause de cette pression de la convention. Vous avez entendu de grands orateurs, sans doute, tout au long de la journée et tout au long de la convention. Et puis, le fait que je me tienne ici sur l’estrade, eh bien, devant ces grands orateurs, là, je pense, je me sens vraiment petit de me tenir ici.
5 L’un des prédicateurs, je venais de lui serrer la main, il m’a dit que c’étaient vos premières réunions ici dans ce tabernacle, je l’appellerai ainsi ; je ne sais pas exactement ce que c’est, ce temple ou je ne sais quoi. Et nous sommes–nous sommes certainement reconnaissants une fois de plus pour l’occasion que nous avons d’entrer dans une nouvelle église, un bâtiment érigé pour la gloire et l’honneur de Dieu. Comme c’est merveilleux !
6 Et nous avons juste reculé, ou plutôt pas reculé… Nous venons de rentrer de… pour les vacances scolaires des enfants. Nous habitons Tucson, en Arizona, présentement. Et il y fait horriblement chaud, mais nous trouvons qu’il fait plus chaud ici que là à cause de cette terrible humidité. Et ça nous abat, après nous être habitués à l’air de là.
7 Nous sommes rentrés chez nous et nous avons tenu la première réunion le dimanche passé, et nous avons vu le Seigneur Jésus continuer Sa glorieuse oeuvre d’amour et de puissance parmi les gens. Et le même Evangile que je vous ai prêché il y a quinze ans, ici en Arkansas, je continue à Le croire. Je ne Le change absolument pas. C’est Christ.
8 Quelque chose s’est passé à l’église le dimanche. Il m’est simplement arrivé de promener mon regard et de voir un gentleman sur qui un–un miracle s’était opéré.
9 Remarquez, nous aimons tous vanter le Seigneur Jésus. Nous–nous aimons faire ça. Une fois, j’ai eu une femme qui m’a dit, elle a dit que l’unique faute qu’elle pouvait trouver en moi, c’était que je vantais trop Jésus. J’ai dit : «J’irai certainement au Ciel si c’est tout ce que j’ai comme faute : vanter Jésus. » Et alors, elle–elle ne pensait pas que Jésus était Dieu. Elle essayait de soutenir qu’Il n’était qu’un homme et un philosophe, ou un prophète, ou quelque chose de ce genre. Mais je disais qu’Il était Dieu. Et alors, nous…
Et elle a dit : «Je peux vous prouver qu’Il n’était pas Dieu. »
J’ai dit : «Oh ! je ne crois pas que vous puissiez le faire. »
Elle a dit : «Oh ! je peux prouver qu’Il était seulement humain. »
10 J’ai dit : «Eh bien, je vais bien accepter qu’Il était humain, mais il était à la fois humain et Divin. »
Elle a dit : «Il ne pouvait pas être Divin. »
Et j’ai dit : «Oh ! Il était Divin, et Il est Divin. »
11 Elle a dit : «Oh ! Il ne pouvait pas l’être. » Elle a dit : «Je vais vous le prouver par votre propre Bible. »
J’ai dit : «Ça va. »
12 Et elle a dit : «Dans Saint Jean, chapitre 11, quand Il se dirigeait à la tombe de Lazare, la Bible dit : ‘Jésus pleura.’ »
J’ai dit : « Eh bien, qu’est-ce que cela a à faire ? »
13 Elle a dit : «Eh bien, si–s’Il pleure, c’est la preuve qu’Il n’est pas Divin. »
14 J’ai dit : «Madame, votre argument est plus mince qu’un bouillon fait à base de l’ombre d’une poule crevée de faim. » J’ai dit : «Vous savez mieux que ça. » J’ai dit : «Il était–Il était humain pendant qu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, en train de pleurer, c’est vrai. Mais quand Il a redressé Ses petites épaules et qu’Il a dit : ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est tenu sur ses pieds et a vécu une fois de plus ; ça, C’était plus qu’un homme, ce qui pouvait faire ça. » Je crois toujours qu’Il est Cela.
15 Dimanche, pendant que je parlais, nous… je demandais aux gens de se retourner, au tabernacle, et de se serrer la main les uns aux autres. Et il y avait un–un cher ami, j’ai simplement appris à l’aimer. Il fréquente l’église, il n’y a pas longtemps, sa femme et lui. Sa femme est une infirmière diplômée. Et lui-même, c’est un Anglais. Sa femme est Norvégienne. Oh ! comment est-ce donc arrivé ? Je ne sais pas. Mais–mais, toutefois, tous les deux sont de braves gens. Et ce–ce frère avait quelque chose qui n’allait pas plutôt au coeur. C’est un très bon chrétien, un intellectuel aussi, il a un travail profane de comptable et tout. Alors, il s’est retourné. Et alors, il a eu une crise cardiaque et il est tombé mort par terre, la tête en avant.
16 Et sa femme, une infirmière, le saisit vite, préleva le pouls sur le coeur : « Il est parti. » Alors, j’ai vu son visage, très noir, et ses yeux révulsés. Non seulement il avait les yeux fermés, mais ses yeux étaient ressortis par devant. Et il était… Je suis monté à l’estrade, j’ai cherché à calmer l’auditoire, beaucoup de gens cherchaient à aider la soeur, évidemment dans pareille situation, avec son mari. Quelqu’un avait déposé quelque chose sur sa tête, ou plutôt sous sa tête.
17 J’ai tenu son coeur, pour… son pouls au bras, il n’y avait pas plus de pouls qu’il n’y en a sur ce morceau de bois. Et alors, je me suis agenouillé et j’ai prié : « Seigneur Jésus, je Te prie, redonne à notre frère Way la vie. » Alors, son coeur a battu quatre ou cinq fois et s’est remis à battre normalement. Et il s’est relevé et a essayé de parler. Il n’arrivait pas à parler, il était… Le sang s’arrête, vous savez, quand le coeur s’arrête. Et ça a pris un peu de temps avant que son sang se remette à circuler bien normalement. Et je l’ai entendu m’appeler par mon nom, et alors, je suis retourné à l’estrade.
18 Frère Way, je me demande si vous aimeriez bien vous lever afin que les gens voient qui était cet homme. [L’assemblée se réjouit et loue Dieu. – N.D.E.] Voilà l’homme qui était tombé mort, le dimanche matin, à la suite d’une crise cardiaque. [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Soeur Way, sa femme, une infirmière qui se tenait là pour prélever le pouls, pour voir, et veiller à ce qu’il… Ainsi, je…
19 Cela a l’air très étrange peut-être pour les gens qui ne croient pas ces choses. Mais j’ai vu le Seigneur Jésus ressusciter les morts plusieurs fois. Et ce n’est pas du neuf pour nous, de la sorte, nous ne pourrions pas… Je pense que c’est bien de vanter Jésus, mais je pense que ça devrait être pour une chose vraie, ce pour quoi vous Le vantez. Alors, nous L’avons vu, je L’ai vu pendant les quinze dernières années, dans plusieurs cas infaillibles, ressusciter les morts.
20 Surtout un cas au Mexique, là où frère Moore et moi étions, à Mexico City ; un petit enfant était mort de pneumonie un matin à 9h, au cabinet d’un médecin. Et la petite femme, on n’arrivait pas à la retenir pour… Eh bien, on avait distribué toutes les cartes de prière, et il nous fallait bien compter les gens au fur et à mesure qu’ils avançaient. Il n’y avait plus de cartes de prière. Et cette jeune soeur espagnole d’environ, je pense, vingt-cinq ans, avait un petit enfant mort ; et il pleuvait, elle le tenait sous une couverture.
21 Et la veille, il y avait eu un homme aveugle qui était, oh ! probablement, était aussi vieux que l’aurait été mon père, probablement soixante-dix ans, aveugle, il avait recouvré la vue pendant que je priais pour lui. Et ce soir-là, l’estrade, qui était pratiquement aussi large qu’ici, avait un tas de..., oh ! très haut, deux ou trois pieds [60 ou 91 cm], rien qu’avec des châles et des chapeaux, et de vieux vêtements qu’on avait entassés là.
22 Et cette petite femme cherchait à arriver là. Et Billy Paul, mon fils, est venu me dire : «Papa, j’ai pratiquement trois cents huissiers là, et tous les trois cents n’arrivent pas à retenir cette petite femme. » Elle avait un petit enfant mort sous une petite couverture bleue.
J’ai dit : «Eh bien,» j’ai dit à frère Jack Moore: «Vas-y. »
23 Frère Jack Moore et moi avons beaucoup de choses en commun. Je ne veux pas dire que nous nous ressemblons, parce que lui est un bel homme. Mais une chose au sujet de frère Moore, c’est que nous tous, nous séparons nos cheveux de la même façon. [Frère Branham et l’assemblée rient. – N.D.E.] Nous avons beaucoup de choses en commun. Je me suis dit : « Elle ne m’a jamais vu », et on avait dû me faire descendre avec des cordes et tout, pour entrer là. Alors, je l’ai envoyé prier pour le petit enfant. Je me suis dit : « Eh bien, ils ne vont pas, elle ne saura pas… faire la distinction. »
24 Et alors, je voulais reprendre à parler quand… Frère Espinosa (Beaucoup parmi vous les frères le connaissent, il vient de la Côte Ouest.) m’interprétait. Et c’était là, à côté du ring des taureaux, à Mexico City. Et j’ai regardé au-dessus de l’assistance et j’ai eu une vision d’un petit enfant mexicain assis en train de me sourire. Alors, j’ai dit : « Faites venir la petite dame ici. » J’ai donc imposé les mains au corps froid, raide et mort du petit. Ses pieds se sont mis à gigoter, et il s’est mis à crier, et–et il était là, vivant.
25 Alors, j’ai envoyé un coursier, c’est Espinosa qui l’a fait, vérifier chez le médecin, avoir une attestation avant que nous puissions écrire à ce sujet. Le médecin a écrit un affidavit, selon lequel cet enfant était mort ce matin-là dans son bureau, vers 9h, et il était 21h 30’. Et cet enfant vit aujourd’hui, en bonne santé, pour l’honneur et la gloire de Dieu.
26 Ayant donc vu beaucoup de choses se passer, nous ne devrions dire au sujet de notre frère Way là que la vérité, rien que la vérité. Dieu ne fait pas ces choses rien que pour… Il veut que cela soit connu et que les gens sachent qu’Il les aime. Et par la grâce de Dieu, frère Way est assis parmi nous ce soir, vivant. Nous en sommes reconnaissant.
27 Je me suis dit en venant que, comme on est sur un terrain de camping, je ne voudrais simplement pas interrompre ce bon moment. Billy me parlait cet après-midi, disant : « Vous parlez de la vraie Pentecôte à l’ancienne mode, a-t-il dit, attendez simplement que vous arriviez là ! » Il a dit : « Ils chantent comme s’ils avaient eu cette expérience depuis cinquante ans. »
J’ai dit : « Je pense qu’il y en a qui l’ont depuis cinquante ans , oui. »
28 Et j’aime vraiment entrer dans une réunion comme celle-là, je pense que c’est le cas pour tout le monde parmi nous, là où on entre directement dans la chose.
29 C’est comme une petite histoire que j’avais l’habitude de raconter sur la pêche. C’était là, dans le nord de New Hampshire, je pêchais la truite. Et là loin, au sommet de la montagne, j’avais dressé une petite tente là, oh ! ce genre de petite tente en forme de A, de petite tente portable du gouvernement. J’avais découvert un lieu où il y avait beaucoup de truites, c’était en-dessous d’un buisson. Et là–et là, il y avait beaucoup de saules. Chaque fois que je cherchais à tremper ma ligne, eh bien, ça s’enroulait dans le saule. Alors, ce matin-là, je me suis levé, et je suis allé là tôt, et je me suis dit que j’allais couper ces saules… Je… si je tuais un poisson, alors je le mangeais, autrement je le relâchais. J’avais donc toute la semaine, tout ce que je pouvais pour mes besoins, et j’étais là seul.
30 Et ce matin-là, pendant j’étais parti ce…, à mon retour, il y avait une vieille ourse avec ses deux oursons qui étaient entrés dans ma tente. Et vous parlez d’abîmer les choses, ils avaient vraiment très bien abîmé cela. Ils avaient tout détruit. Et je–je me suis dit… A mon retour, j’ai entendu du bruit, et j’ai regardé les petits buissons que je contournais. Et la vieille mère ourse et tous les autres passaient vraiment un moment, ils avaient fouillé partout.
31 Et elle m’a vu, elle a fui en grognant à l’intention de ses petits. L’un des petits est venu, mais l’autre n’est pas venu. Le tout petit, souple, avait cette taille-ci. Il était assis comme ça. Alors, je me suis dit : « Eh bien, qu’est-ce qui intéresse tant ce petit animal ? »
32 Et j’ai fait un tour et j’ai regardé. Je lui ai dit : « Sors de là ! Sors de là ! » Et il est resté simplement assis là. Je me suis dit… Et je surveillais la vieille mère ; en effet, vous savez, si vous vous amusez avec ses petits, elle peut vous griffer, vous savez. Alors, je–je–j’ai observé ; il y avait un arbre tout près, vous savez. J’avais un vieux pistolet rouillé qui se trouvait là dans la tente, c’était probablement brisé en ce moment-là. Et, de toute façon, je n’aurais pas voulu tirer sur cette vieille mère et laisser deux orphelins dans les bois. Alors, je continuais à surveiller cet arbre, tout en contournant, pour voir ce qui fascinait tant ce petit animal.
33 Et, vous savez, je–je–j’aime les crêpes. Nous, nous sommes tous des gens du Sud, n’est-ce pas ? [L’assemblée dit : «Amen. » – N.D.E] Ici, ce sont les flap jacks [crêpes], c’est comme ça qu’on les appelle par ici, vous savez. Alors, j’aime vraiment cela, et je–et je–je sais… il n’y a pas beaucoup de méthodiste en moi ; j’aime vraiment déverser du miel dessus. J’aime vraiment les baptiser très bien, déverser tout cela dessus. Je n’en veux vraiment pas un peu aspergé comme on en trouve par ici, une petite chose. J’aime aller là où on en déverse vraiment dessus, vous savez, et ça devient bien épais.
34 J’avais un seau d’un demi-gallon [21] du bon sorgho. Ce petit ourson avait enlevé le capuchon, il se réjouissait vraiment du miel. J’ai continué à l’observer au coin. Il prenait sa petite patte et l’enfonçait dans le seau, vous savez. Et il ne savait pas comment prendre du miel, il ne faisait qu’enfoncer sa petite patte dans mon miel, et puis la relever et lécher, une fois cela posé par terre.
35 Je vous assure, quand je me suis finalement approché et que j’ai attiré son attention, il m’a regardé. Il n’arrivait pas à me voir, il avait du miel de la tête au pied, partout. Son petit ventre était complètement couvert de miel. Et ses yeux, il n’arrivait même pas à les ouvrir pour me regarder, vous savez, pendant qu’il essayait de le faire.
36 Je me suis dit : «C’est bien. Il n’y a pas de condamnation pour ceux qui mangent. » Ça me rappelle une bonne réunion de la Pentecôte, où nous plongeons nos mains dans un pot de miel, aussi profondément que ça, vous savez, du miel de la Pentecôte.
37 Vous savez, chose étrange à ce sujet, c’est qu’après que son petit ventre était plein, et que mon seau était vide, il est allé auprès de sa maman et de son jeune frère, et sa maman s’est mise à le lécher.
38 Alors, vous savez, j’espère que nous en aurons assez sur nous ici, au point qu’une fois rentrés chez nous, ceux qui ne sont pas venus lécheront un peu de notre expérience ; nous leur raconterons les glorieuses choses que le Seigneur a faites ici à Hot Springs. Que le Seigneur vous bénisse.
39 Et maintenant, je pense, on m’a dit qu’on n’a pas été informé à temps, ou quelque chose comme cela, pour annoncer la distribution des cartes de prière, afin de prier pour les malades ; certains numéros sur des cartes, nous les appelons et nous prions pour eux. Et alors, comme ça, cela me donne une soirée pour me familiariser. Alors, demain soir, je pense qu’on va distribuer des cartes de prière, à un moment donné de l’après-midi. Est-ce cela ? Oui, vous avez déjà… A 18h ? 18h, demain soir.
40 Eh bien, je me disais que ce soir, nous prendrions juste un petit passage des Ecritures ici et que nous lirons Cela, et nous verrons si nous pouvons trouver ce que le Seigneur aura à nous dire. Et alors, juste avant que nous ouvrions le Livre, parlons à l’Auteur du Livre, alors que nous inclinons la tête.
41 Avant que nous priions, avec vos têtes inclinées, mettons donc maintenant tout de côté, les amusements de la journée, le petit sens d’humour que nous avions, parce que nous nous approchons du Roi. Y a-t-il des requêtes spéciales, dont on aimerait qu’on se souvienne ? Levez simplement la main pour dire : «Seigneur ! » Au plus profond de votre coeur, retenez bien votre requête.
42 Notre Père céleste, nous estimons ceci comme un grand privilège, ô Dieu Tout-Puissant, d’entrer dans l’assemblée du Seigneur, communier ensemble, témoigner, parler de glorieuses choses que Tu as faites et des endroits où nous avons été. Cela me rappelle bien Actes 4, dans la Bible, quand ils étaient revenus et qu’ils parlaient de ce que le Seigneur avait fait. Et ils ont tous prié, et l’endroit où ils étaient assemblés fut secoué.
43 Ô Dieu, ce soir, nous ne désirons pas tant voir ce bâtiment être secoué, mais nous voulons que Toi, Tu nous secoues, Seigneur. Secoue notre entendement. Secoue notre être, nos émotions, le coeur de notre entendement, afin que nous puissions partir d’ici ce soir, plus déterminés que jamais auparavant à Te servir, que nous puissions ressentir la Présence de cette nouvelle Pentecôte fraîche du Saint-Esprit, se déversant sur nous, encore et encore comme là, dans ces bois et sur ces collines de l’Arkansas, il y a cinquante ans, quand nos aïeux étaient venus ici, montés sur des chevaux et à bord des wagons, prêchant cet Evangile. Bien-aimé Seigneur, puissions-nous, nous qui portons cette grande cause noble que Tu as envoyée ici, puissions-nous ne pas avoir honte de cette glorieuse Chose, mais puissions-nous marcher sur les traces de ceux qui nous ont précédés, Seigneur, portant la bannière du Seigneur Jésus.
44 Que les autres, ceux qui n’ont pas encore accepté ce glorieux plan du salut que Dieu a élaboré pour nous dans les Ecritures, annoncé depuis les temps anciens dans l’Ancien Testament, et dont nous nous réjouissons aujourd’hui, qu’il y ait une grande secousse parmi nous, Seigneur, et un renouvellement de la foi et–et un renouvellement des efforts.
45 Je Te remercie pour cette convention, pour ce groupe de gens qui tiennent encore ferme, Seigneur. En cette heure d’épreuve qui est venue sur la surface de la terre, pour éprouver ceux qui confessent être chrétiens, puissions-nous être trouvés à la fin dignes d’entrer dans les joies du Seigneur, qui ont été préparées pour les rachetés, depuis la fondation du monde. Bénis Ta Parole.
46 Seigneur, souviens-Toi de chaque main qui a été levée. Tu connais l’objectif, Tu connais le motif, Tu connais la requête qui est derrière cette main. Je Te prie, ô Dieu, d’accorder cela à tout le monde. Que tout homme qui… ou toute femme, jeune garçon ou jeune fille, qui a levé la main, qui voulait plus de salut, ou une marche plus intime, ou Te connaître comme son Sauveur, qu’il ne quitte point les lieux sans que cette requête soit exaucée.
47 Pour ceux qui sont malades et nécessiteux, nous prions, ô Dieu, qu’il y ait une telle vague de guérison à cet endroit qu’il n’y aura personne de faible qui quittera ce lieu telle qu’elle était venue. Toi qui peux ressusciter un homme d’entre les morts et nous le présenter, cela montre que Tu es le même Dieu qui s’était tenu à la tombe de Lazare, qui l’avait appelé à sortir d’entre les morts. Père, que l’on sache que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voici parmi nous, ce soir, quelqu’un qui, il y a quelques jours, a été rappelé à la vie, depuis le pays qui est hors de la portée de la connaissance de l’homme. Combien nous T’en sommes reconnaissants !
48 Bénis-nous ensemble maintenant pendant que nous étudions Ta Parole, car, en vérité, Ta Parole est la Vérité. Toi et Ta Parole, Vous êtes Un. Ils ne peuvent pas être séparés. Nous implorons donc Tes bénédictions sur nous, Père, alors que nous nous attendons à ce que Tu nous parles ce soir, par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.
Maintenant, s’il vous plaît, j’aimerais prendre les Ecritures, et autres.
49 Je m’étais un peu couché sur le lit et je me suis endormi. Tout d’un coup, vous savez, Billy est venu et a dit : «Allons. »
J’ai dit : «Veux-tu dire qu’il est temps d’aller à l’église ? » Et j’ai dû prendre quelques passages des Ecritures que j’avais utilisés auparavant pour–pour m’en servir dans la prédication de ce soir.
50 Et je me suis dit que peut-être on aurait distribué les cartes de prière et qu’on priera pour les malades et autres. J’ai remarqué, depuis que je suis arrivé ici, qu’il y a deux personnes couchées sur des civières, peut-être qu’elles sont venues pour qu’on prie pour elles ce soir.
51 Eh bien, et–et Billy est revenu, il a dit : «Je ne suis simplement pas arrivé à temps, papa. » J’en ai parlé. Il a dit : «Nous allons–nous allons essayer cela demain soir. »
52 J’ai dit : «Très bien, voyez si vous pouvez amener les frères à distribuer quelques cartes. »
53 Ainsi donc, j’aimerais que vous preniez avec moi le–le deuxième Livre des Rois, chapitre 1. Et puis, j’aimerais aussi que vous preniez Jérémie, chapitre 8, verset 22. Lisons juste un passage de ces Ecritures. Moab se révolta contre Israël, après la mort d’Achab. Or, Achazia tomba par le treillis de sa chambre haute à Samarie, et il en fut malade. Il fit partir des messagers, et leur dit : Allez, consulter Baal-Zebub, dieu d’Ekron, pour savoir si je guérirai de cette maladie. Mais l’Ange de l’Eternel dit à Elie, le Thischbite : Lève-toi, monte à la rencontre des messagers du roi de Samarie, et dis-leur : Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël que vous allez consulter Baal-Zebub, dieu d’Ekron ? C’est pourquoi ainsi parle l’Eternel : Tu ne descendras pas du lit sur lequel tu es monté, car tu mourras. Et Elie s’en alla.
54 Et aussi, dans le Livre de Jérémie, chapitre 8, verset 22 : N’y a-t-il point de baume en Galaad ? N’y a-t-il point de médecin ? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas ?
55 J’aimerais parler, si nous pouvons l’appeler sujet, sur : Pourquoi ? C’est une–c’est une question, et c’est Dieu qui pose cette question.
56 Et Dieu est Eternel. Nous savons qu’Il l’est. Il est Eternel. Il n’a jamais eu de début, ou Il ne peut jamais avoir de fin. L’éternité n’a jamais commencé, elle ne se terminera jamais, car c’est éternel.
57 Et Dieu ne peut pas changer d’avis ni de procédé. C’est pourquoi nous, en tant que peuple, nous n’accepterons jamais des credo, si cela est contraire à la Parole, parce que nous croyons que Dieu et Sa Parole, c’est la même chose. Nous croyons que la Bible dit, dans Saint Jean, chapitre 1 : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous. » Par conséquent, quand Dieu dit quelque chose, Il ne peut pas, demain ou à un autre moment, revenir sur cela ; si jamais Dieu a été appelé à entrer sur scène pour prendre une décision, Son unique décision est éternelle. Elle ne peut jamais être changée.
58 Et Dieu a été appelé à prendre une décision pour la race humaine, dans le jardin d’Eden, après que le premier péché avait été commis. Pouvait-Il donc racheter Son enfant perdu pour le ramener dans la communion avec Lui une fois de plus ? Alors, Il a élaboré un programme. Cela n’a jamais changé, et c’est par le sang. Et suivez les Ecritures, cela n’a jamais varié ni changé, et cela ne le peut jamais, parce que c’est la décision de Dieu, c’est par le Sang. Mais nous, nous avons essayé de changer ça. Nous avons essayé d’en faire une instruction. Nous avons essayé d’en faire une dénomination. Nous avons essayé de faire tout ce qui relève du pouvoir de l’homme, essayer de changer Cela, comme Adam avait fait avec les feuilles de figuier et autres. Mais cela subsiste toujours. Le Sang, c’est l’unique lieu de communion.
59 C’est pourquoi nous pouvons nous rassembler ce soir, non pas comme une dénomination, peut-être beaucoup parmi nous se réunissent... Mais nous ne pouvons pas nous tenir ici pour représenter une dénomination, nous devons nous tenir ici dans cette communion, sous le Sang de Jésus-Christ. Nous pouvons tous être des frères et des soeurs. Dieu fraye une voie pour l’homme, et puis l’homme refuse de suivre cette voie-là, alors Dieu a le droit de demander : «Pourquoi avez-vous fait cela ? » Et c’est ce qu’Il avait alors demandé, et c’est ce qu’Il demande aujourd’hui, et c’est pourquoi Il… c’est ce qu’Il demandera au Jugement. Il a demandé : «Pourquoi ? »
60 Eh bien, notre passage des Ecritures a commencé juste après la mort d’Achab, un mauvais roi, un croyant frontalier, un homme qui connaissait ce qui était bien à faire, et qui cependant n’avait pas le courage de s’avancer pour faire ce qu’il savait être bien.
61 Je me demande bien si ce–ce monde n’est pas contaminé aujourd’hui avec des Achab. Ce christianisme dans lequel nous vivons, il est contaminé avec des Achab, avec des hommes qui savent que c’est bien de consacrer sa vie pour être… à Dieu, et être remplis de l’Esprit, et suivre les enseignements de cette Bible, et qui cependant n’ont pas le courage de se lever et de faire cela. Ça me rappelle une situation identique à Sodome.
62 La Bible dit : «Les péchés de Sodome vexaient journellement l’âme du juste Lot. » Et comment l’âme de cet homme juste, qui voyait les péchés du pays et savait que c’était faux et que ces gens agissaient mal, et cependant n’avait pas le courage de prendre position pour ses convictions…
63 Il n’est pas étonnant que le monde entier soit devenu une Sodome et Gomorrhe, et que les Lot d’aujourd’hui, à travers le pays et à travers le monde, se tiennent dans des églises, convaincus que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que Sa puissance est aussi réelle aujourd’hui qu’elle l’a toujours été, ils n’ont pas le courage de se tenir à la chaire et de dénoncer le péché, à cause d’une barrière qui les excommunierait d’une communauté à laquelle ils ont adhéré. On en revient toujours au Sang de Jésus-Christ, l’unique remède.
« Pourquoi ? Pourquoi ? »
64 Achazia était–était le fils d’Achab, il avait grandi dans une espèce de foyer qui–qui était tiède. Il n’était pas tout à fait chrétien. Sa mère était une païenne. Et son père l’avait épousée en dehors de la communauté, il avait épousé une femme qui n’était pas une croyante.
65 Et cela a toujours formé un mauvais foyer où grandir pour n’importe quel enfant, là où l’incrédulité et la foi cherchent à se mélanger.
66 Et, alors, si le père pouvait être un homme très fort dans sa foi, cet enfant aurait eu une meilleure possibilité, mais il–il n’en a pas eu. Il n’en a pas eu. Il savait que Dieu existait. Il savait que Jéhovah existait. Et alors, il… les dieux de sa mère et autres. Il était tout embrouillé. Puis, après la mort de son père, ce garçon, se retrouvant dans cette situation, était un peu embrouillé, d’une façon ou d’une autre.
67 Et si ce n’est pas là le tableau du pays aujourd’hui ! En famille, l’un est comme ceci, l’autre dans l’autre sens ; l’un va dans telle direction, l’autre dans telle autre. Il n’est pas étonnant que nous produisions tant de délinquance juvénile et toutes espèces de sottises, au nom du christianisme. C’est par manque d’unité. Il n’y a pas de véritable appel à sortir et de prise de position pour Dieu.
68 Nous voyons donc que cet homme avait hérité le trône de son père. Un jour, il était quelque part là, au balcon, en train de marcher, il–il est tombé par le–le treillis. Peut-être qu’il s’était enivré et il est tombé par le treillis, probablement qu’il est tombé par terre, qu’il a cogné un banc ou quelque chose comme cela, il s’est fracturé quelques côtes ou il s’est meurtri. Et la maladie avait dû commencer une infection quelque part, ou une contusion, et cela lui a causé une fièvre. Et il était très malade.
69 Evidemment, en ces jours-là, il n’y avait pas de médicaments qu’on a aujourd’hui. Peut-être que les médecins étaient venus et avaient fait tout leur possible pour cet homme, mais ce n’était pas suffisant. Alors, il a reconnu que la seule chose qui pouvait marcher, c’était de recourir à une puissance plus élevée que ce que le médecin pouvait produire suivant la terminologie de leur médecine. Alors, il s’est donc dit qu’il irait… qu’il se référerait à sa mère.
70 Quelle leçon ça devrait être pour les mères ! Un enfant écoutera généralement sa maman.
71 Et il est allé auprès de son… il a envoyé consulter le dieu de sa mère, Baal-Zebub, là à Ekron, là où se trouvait sa statue, son monument. Il a dit : «Allez consulter les prêtres qui sont là-bas, qu’ils consultent la statue de Baal-Zebub, pour savoir si je vais me rétablir de cette maladie ou pas. »
72 Mais, vous savez, cet homme-là, en fait, pouvez-vous vous l’imaginer ? Les gens qui étaient censés craindre Dieu, qui laissent un tel homme les diriger, c’était à cause de la tiédeur. C’était l’état dans lequel l’église était plongée, qui avait amené un tel homme au pouvoir, ou le lui avait permis. Je ne pense pas que le temps ait beaucoup changé ; les gens semblent toujours être, dans tous les cas, les mêmes. Laisser un tel homme régner, avoir de l’autorité dans le pays, quelqu’un qui consulte une statue faite suivant une conception païenne, au sujet de son état.
73 Et alors, vous savez, mais derrière tout cela, peu importe combien on dirait que Dieu avait détourné Son visage du peuple, Il fait de fois cela pour voir quel genre d’attitude vous affichez. Chaque fils qui vient à Dieu doit être éprouvé et châtié.
74 Et alors, il y a un petit point dans un homme, ou une femme, une fois qu’il est né de l’Esprit de Dieu, qui est éternel.
75 Et on en arrivera de fois à ce que chaque… Tout ce qu’il y a d’humain en vous, le raisonnement, le diable peut vous dissuader par le raisonnement. Mais une fois que tout cela écroulé, alors, si cette Vie Eternelle n’est pas là, vous allez aussi tomber, parce que vous pouvez vous éloigner de Dieu par des raisonnements.
76 Mais un homme qui prétend être un chrétien, il n’a pas le droit d’être à la chaire, ou il n’a pas le droit d’exercer un office, d’être un conducteur quelque part, à moins qu’il ait d’abord gravi les marches jusqu’à atteindre le niveau où il est né de l’Esprit de Dieu, rempli du Saint-Esprit, au point que personne ne peut l’en dissuader.
77 Quand Dieu a envoyé Moïse en Egypte pour libérer le peuple, premièrement, Il l’a amené derrière le désert. Il l’a dépouillé de toute sa théologie, pendant quarante ans, et puis, Il lui est apparu. Il a su plus au sujet de Dieu dans cinq minutes, en étant dans la Présence de ce buisson ardent, qu’il n’en savait pendant quarante ans d’instruction qu’il avait reçue.
78 C’est ce dont l’église a besoin ce soir, d’une autre expérience du buisson ardent, là les gens avec des langues fendues… là, les Ecritures disent : «Les deux esprits seront si proches dans les derniers jours, que cela séduirait les élus si c’était possible. »
79 Un homme devrait premièrement se retrouver sur cette terre sacrée avec Dieu ; là, tous les théologiens, tous les docteur en théologie, tous les raisonnements, tous les athées, rien d’autre ne peut jamais l’en dissuader. Il a était là quand Dieu est arrivé, il sait ce qui est arrivé. Vous ne pouvez pas en dissuader ; il était là quand la chose était arrivée. C’est de ce genre d’homme dont nous avons besoin aujourd’hui au gouvernement, dans l’église, partout ailleurs, en des temps comme ceux-ci. Pour le leadership, nous avons besoin d’un homme qui est rempli du Saint-Esprit.
80 C’est ce dont l’église a besoin aujourd’hui ; non pas d’un théologien, mais d’un homme né de nouveau, rempli de l’Esprit, rempli du Saint-Esprit. Je vous assure, si nous en avions plus, l’église paraîtrait un état un peu différente ce qu’elle est présentement. Les choses seraient différentes si seulement nous avions plus d’hommes remplis de l’Esprit de Dieu, qui ne suivent pas les traditions des anciens et autres.
81 Eh bien, nous voyons que cet homme a envoyé se renseigner auprès du dieu d’Akron, Baal-Zebub.
82 Mais, tout le temps, Dieu savait qu’il faisait ça. Alors, il avait un prophète là, du nom d’Elie, Il a donc parlé à Elie et a dit : « Va là sur une certaine route, et tiens-toi sur le chemin. Des messagers arrivent. » Vous savez, vous ne pouvez rien cacher à Dieu, voyez, peu importe ce que vous faites. Eh bien, peu cet homme savait-il que Dieu parlait à Elie là très loin, quelque part dans le désert, où il y avait un peu de boue, mais quelque part, qu’il pouvait lui dire : « Va te tenir au coin de la route là, et parle à ces hommes, dis-leur : Rentrez auprès de lui, et dites-lui : AINSI DIT LE SEIGNEUR, il ne descendra pas de ce lit là. »
83 Et Il a dit : « Demande-lui : ‘Pourquoi as-tu fait ça ? Qu’est-ce qui te fait faire cela ? Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël ? Est-ce parce qu’Il n’a pas de prophète ? Est-ce pour cette raison que tu as fait cela ? Eh bien, vous savez ce qui est arrivé. Vous connaissez les Ecritures. Vous les avez dans votre propre palais. Ces prêtres sont là. Sans doute que vous avez lu cela depuis votre jeunesse. Et pourquoi avez-vous fait une chose aussi insensée que ça ?’ »
84 Ce soir, je me demande si Christ entrait en scène, ou dans le pays, aujourd’hui, et qu’Il amenait cette nation en jugement, si cette même question ne serait pas posée. Pourquoi ça – ça ? Pourquoi faisons-nous ces choses ? Pourquoi nous disputons-nous au gouvernement, si nous devions lire la Bible en public, et, eh bien, alors que nous lisons tous ces non-sens ? N’est-ce pas nos aïeux qui ont élaboré cette constitution ? Cette nation n’est-elle pas née sur base des principes de la Bible ? Ne sommes-nous pas ici pour la liberté de religion, pour agir vis-à-vis de Dieu selon ce que nous trouvons convenable, selon que nous sommes convaincus que c’est la Vérité ?
85 Mais, vous voyez, nous avons agi comme eux autrefois. Nous avons simplement laissé tout, la politique, nous engloutir, plutôt que respecter notre foi dans notre Dieu, et un homme qui a pris position pour la Vérité. Et nous laissons notre politique régner sur cela, voter pour pareille sottise qui souille ce pays, pendant que nous allons à un jugement. Dieu entrera en scène un jour, avec un puissant prophète, Il parlera à cette génération et–et dira aux gens, et ils verront que c’est Dieu qui parle, mais ils ne se repentiront pas. Ça sera exactement comme autrefois.
86 Il a dit : «N’y a-t-il point de Dieu en Israël ? Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu ? » C’est la même chose que Jérémie a dit : «N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de médecin là ? » Alors, ils ne pouvaient pas donner des réponses à cela. Evidemment, il y en avait. Bien, Il a dit : «Alors, pourquoi, pourquoi avez-vous fait cela ? Pourquoi la fille de mon peuple n’est-elle pas guérie ? »
87 Eh bien, c’est ce que nous nous demandons ce soir. Pourquoi ? N’y a-t-il pas de Bibles ? N’y a-t-il point de Dieu ? N’y a-t-il pas de changement ? Si Dieu va amener les gens en Jugement, Il doit avoir quelque chose par lequel les juger. Il doit y avoir un étalon.
88 S’Il va les juger par l’Eglise catholique, si donc Il les juge par l’Eglise romaine, l’Eglise grecque est perdue, les autres églises catholiques sont perdues. S’Il jugeait cela par les Grecs, les Romains seraient perdus. S’Il jugeait cela par les luthériens, les méthodistes seraient perdus. S’Il jugeait cela par les méthodistes, les luthériens seraient perdus. Il ne peut pas juger cela par une église ; il y a beaucoup de différentes organisations.
89 Mais Dieu jugera le monde, a-t-Il dit, par Jésus-Christ. Et Jésus-Christ est la Parole, et la Parole est Dieu. Et Il les jugera par cette Bible, car ceci est la Parole. C’est l’étalon de Dieu. Nous devons prendre ce que la Bible dit comme notre unité de mesure.
90 Et nous nous demandons pourquoi nous avons tant de confusion, tant d’organisations, tant de divergences, tant de division parmi les frères, et–et tout. Est-ce parce qu’il n’y a pas de baume en Galaad ? Est-ce parce qu’il n’y a pas de médecin là ? Je me demande si Dieu nous posait cette question-là.
91 Eh bien, ce n’était pas–ce n’était pas exactement qu’ils n’avaient pas un médecin. Ils en avaient. C’est Dieu qui était le Médecin. Et ce n’est pas parce qu’il n’y avait pas de Dieu en Israël. Dieu était là. Et ils avaient un prophète à consulter, pour savoir ce qu’étaient ces choses. Mais c’était l’entêtement du roi. C’est exact.
92 Et c’est ça le problème dans le pays aujourd’hui. c’est l’entêtement des gens. Ce n’est pas que nous n’avons pas le même Dieu qui avait fait traverser la mer Rouge à Son peuple, qui les avait nourris pendant quarante ans dans le désert. Ce n’est pas que nous n’avons pas le même Dieu qu’on avait au commencement. C’est l’entêtement des gens. Ils ne veulent pas s’humilier. Ils ne veulent pas avoir à faire avec la sainteté, la manière pure de vivre selon la Bible. Ils préfèrent être membres d’église, inscrire leurs noms dans un registre, vivre comme le reste du monde plutôt que de s’incliner devant les promesses et les commandements du Dieu Tout-Puissant. C’est ça le problème aujourd’hui. C’est pourquoi les choses se passent telles qu’elles se passent, les gens s’éloignent de la Parole. Vous ne pourrez jamais être en mesure de vous mettre en ordre tant que vous ne reviendriez pas sur le bon chemin.
93 Si en construisant ce bâtiment, on plaçait cet angle quelque part ici, on n’aurait jamais construit ce bâtiment. Vous devez vous reposer sur la fondation. Et la fondation, c’est la Bible, la doctrine des apôtres et des prophètes, et des autres, dans la Bible.
94 L’entêtement du roi. Il ne voulait vraiment pas envoyer là. Ce n’était pas très populaire.
95 Le véritable mode de Vie de Dieu n’a jamais été populaire. Il ne sera jamais populaire. « Car la prédication de l’Evangile, c’est de la folie pour ceux qui périssent. » Paul a dit : « Je n’ai point honte de l’Evangile de Jésus-Christ, car c’est une puissance de Dieu pour le salut de ceux qui croient. »
Eh bien, nous voyons ici que le roi était obstiné.
96 C’est comme aujourd’hui, un patient qui se couchera juste sur un… Qu’arriverait-il si un patient allait chez un médecin, se couchait sur les marches, alors qu’il a attrapé une espèce de fièvre qui allait le tuer et que le médecin venait à la porte et disait : «Monsieur, j’ai des médicaments ici à l’intérieur? »
Il dit : «Ah ! Je n’en veux pas. »
« Entrez, je vous donnerais une piqûre, une inoculation… »
« Je ne veux pas de vos médicaments. »
97 Et dites donc : «Monsieur, je–je peux bien vous aider si seulement vous entrez. »
« Eh bien, je ne vais pas entrer. »
98 Et cet homme reste étendu là sur les marches, de chez le médecin et il meurt ; il meurt sur les marches de chez le médecin, parce qu’il n’a pas voulu d’une inoculation contre la fièvre typhoïde ou quoi que ce soit, qu’il avait. Il n’a pas accepté une inoculation contre cela, cet homme meurt là même sur les marches de chez le médecin. Eh bien, cet homme… on ne peut pas blâmer le médecin, s’il a le–le médicament qui va–qui va soigner la maladie, le médecin est disposé à le donner, et il y a été pourvu. Et cet homme reste assis là, il est arrivé jusque sur les marches de chez le médecin, il s’est assis là et il est mort ; on ne peut pas blâmer le médecin. On ne peut pas condamner le médicament. C’est l’homme qu’il faut condamner ; il est mort sur les marches de chez le médecin, d’une maladie contre laquelle il y avait des médicaments, qui pouvait être soignée, à l’intérieur. Eh bien, ce n’est qu’une parabole.
99 Mais, vous savez, Dieu a le médicament dans Son Royaume, qui guérira chaque maladie du péché qu’il y a au monde, et les gens restent assis juste sur les marches de l’église. Non seulement cela, mais ils restent assis juste dans le banc et meurent, ils sont perdus et vont en enfer, parce qu’ils refusent d’accepter les médicaments du médecin. Amen. C’est vrai. Ils refusent catégoriquement d’accepter les médicaments du médecin, par conséquent, ils meurent de fièvre.
100 Et les gens s’assoient à l’église, écoutent les messages de Dieu, les croient, mais ils ne les acceptent pas. Ils ne diraient pas : «Eh bien, là je ne crois pas que c’est vrai. » Certains parmi eux viendront, diront qu’ils acceptent Cela, disant : «Je crois que c’est vrai », mais vous ne le ferez pas. Voyez, vous mourrez. Mourir sur les bancs de l’église, parce qu’ils ne veulent pas accepter le remède. Ils n’en veulent pas. Voyez, ce que ça fait, ça ôté un peu de–de popularité. Et cela le désarçonne un peu.
101 Ils ont peur de cette nouvelle naissance. Vous savez, toute naissance est un gâchis, peu m’importe où elle a lieu. Que ça soit dans un enclos des cochons, ou dans une chambre d’hôpital peinte en rose, c’est un gâchis, et c’est pareil pour la Nouvelle Naissance. Cela vous fera faire des choses que vous ne pensez pas faire. Cela vous redressera. Mais avant que vous puissiez donc vous mettre en ordre, il vous faut passer par ce gâchis-là. C’est vrai. Amen. Avant qu’une semence puisse renaître, elle doit mourir et pourrir. Et c’est ça le problème avec les gens aujourd’hui, ils ne veulent pas mourir et pourrir au monde, afin qu’ils puissent naître de nouveau du Saint-Esprit. Voyez, c’est vrai. Ils ont peur de cette Nouvelle Naissance. Ils ont–ils ont peur.
102 Cela les amène à faire des choses qu’ils ne veulent pas faire. Cela les dépouille de la popularité. Cela fait qu’ils ne soient plus raides. Oh ! Je vous assure, je suis content qu’il y ait une inoculation ce soir, qui vous dépouillera de cela, frère, qui vous dépouillera du monde. Cela rendra des gens des frères, cela les unira peu importe les divergences dénominationnelles. Cela va–cela va faire que quelqu’un en salopette passe son bras autour de celui qui est en smoking et crie : « Frère, je suis content de te voir ! »Amen. Assurément ! Mais vous… Ils ont peur de cette inoculation. Oh ! la la !
103 C’est dangereux de refuser le médicament que donne le médecin, vous savez, si vous–si vous êtes allé le voir. Et on a peur de… Si vous refusez le médicament, c’est dangereux, vous pouvez mourir. Mais cela, cela, vous allez simplement mourir dans le corps, pour n’avoir pas pris le médicament du médecin. Mais combien plus dangereux de refuser l’inoculation de Dieu contre le péché !–E-
104 Il y a quelque temps, j’avais attrapé une petite maladie, quelqu’un me parla, disant : « Eh bien, Billy, dit-il, avez-vous gardé votre religion pendant que vous étiez malade ? » Il a dit : « Vous savez, vous croyez dans la guérison divine, avez-vous gardé votre religion ? »
105 J’ai dit : « Non, c’est elle qui m’a gardé. Je n’ai même pas eu à l’esprit de la garder ; c’est elle qui me garde. »
106 Quand le Sang de Jésus-Christ a été versé au Calvaire, Dieu a fait des préparatifs. Quand l’homme avait péché pour la première fois, il s’est fait un grand gouffre, qu’il avait traversé, se privant de la possibilité de retourner. Dieu, riche en miséricorde, a accepté un substitut, c’était le sang d’un agneau ou d’un bouc, et ce substitut a duré pendant des années.
107 Moïse se tenait sous l’inspiration de Dieu, alors que le péché n’était même pas séparé, il n’était que couvert par le sang des taureaux et des boucs. Et il avait sur lui la–la gloire de Dieu, au point qu’il pouvait faire venir les mouches à l’existence par la parole, il pouvait faire venir des grenouilles à l’existence par la parole. En effet, une parole est une pensée exprimée, et Dieu avait placé Ses pensées en Moïse, et Moïse les exprimait en paroles. Et quand la Parole a été proclamée, le monde entier avait été formé par la Parole de Dieu.
108 Il y eut un temps, quand j’allais à l’école, j’attrapais de l’encre noire sur ma chemise. Maman m’enlevait la chemise et disait : « Donne-moi ça vite, mon chéri. » Et elle appliquait le kérosène de charbon là-dessus. Et tout ce que ça faisait, c’était juste éparpiller cela, et ça formait une tache en forme d’un très grand anneau, là où elle avait appliqué le kérosène de charbon sur l’encre. C’est tout ce qu’elle savait. C’était le meilleur qu’elle avait.
109 Mais aujourd’hui, c’est différent. On a fabriqué un produit appelé le décolorant. Et vous… C’est un produit chimique tel que n’importe quand qu’une goutte d’encre tombe dans ce clorox, ce décolorant, je ne sais quoi, quand ça le touche, on ne peut plus retrouver cette tache noire, pas du tout. Qu’arrive-t-il à cela ? Laissez tomber une goutte d’encre noire dans un bassin de décolorant, eh bien, vous n’avez rien. Vous ne pouvez pas retrouver de gaz.
110 Si j’étais un chimiste, ces–ces mots peuvent ne pas être tout à fait vrais selon la science, mais je dirais, qu’est-ce ? « C’est un H2O, l’eau ; ça, c’est une chose. Ensuite, il y a des produits chimiques là-dedans, c’est ce qui a rendu cela noir. » Il n’y a qu’une seule couleur originelle, c’est le blanc. Toutes les autres couleurs sont ses dérivées. Et maintenant, je dirais… Et alors, si vous décomposez cela à partir de là, et peut-être que vous diriez : « Eh bien, cela s’est transformé en acide après que ça a touché le décolorant. C’est devenu un acide. » Très bien. Alors, où est allé cet acide ? « L’acide est retourné… »
Eh bien, c’est du colorant qui est là dedans dont on parle, le colorant.
111 Disons : « Cela est redevenu des molécules. Eh bien, disons, molécule 4 x 6 + 9, ça donne molécule H. » Et si c’était 4 + 6 + 8, qu’est-ce que ça donnerait ? Rose plutôt que noire. Puis, cela a changé de cet état et c’est devenu des atomes. Ensuite, atomes + 1 + B2 + 3, ça donne 4. Ajoutez à cela la molécule H, ça fait quoi ? Alors, vous retournez au noir. Et puis, quand vous allez au-delà de ça, vous pouvez atteindre les électrons.
112 Où allez-vous à partir de là ? Il vous faudra remonter. En effet, c’est une création, ça a dû provenir d’un Créateur. Il vous faut faire ça. Par conséquent, cela est retourné tout droit à son Créateur. Ce colorant qui était dans cette encre-là, ça ne peut jamais revenir.
113 Eh bien, Dieu avait vu que le sang des taureaux et des boucs ne pouvait pas ôter le péché. Il n’a jamais fabriqué, mais Il a créé un produit chimique dans le Sang de Jésus-Christ. Amen ! Une fois le péché correctement confessé, vous–vous n’avez même pas à jeter un pont sur ce gouffre-là, vous ôtez complètement le gouffre, et Dieu ne sait même pas que vous ayez jamais péché. C’est vrai. Il a dit qu’Il les placera dans la Mer de l’oubli, pour ne plus s’en souvenir à votre charge. Alors, les hommes et les femmes se tiennent dans la Présence de Dieu, comme des fils et des filles de Dieu, avec la nature même de Dieu dans leurs coeurs.
114 Où est l’Eglise aujourd’hui, mon frère ? Qu’est-il arrivé à l’Eglise ? Alors que nous pouvons voir que le Sang de Jésus-Christ a ôté les péchés, au point que Dieu ne peut même pas se souvenir que nous avions péché. Puis : « Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai. » Quel est le problème ? C’est parce que quelqu’un a tellement embrouillé ces passages des Ecritures pour les gens. C’est tout ce qui se passe, à mon avis. En effet, le remède de Dieu demeure toujours le même. Eh bien, s’il est dangereux de rejeter l’inoculation du médecin, à combien plus forte raison l’est-il pour celle de Dieu !
115 Eh bien, comment l’homme trouve-t-il donc le médicament après tout, comme il l’expérimente sur un être humain ? Vous savez ce que font les chimistes, ou–ou les hommes de science ? Ils prennent une maladie, ils découvrent le genre de microbe qu’il y a là-dedans, ensuite ils prennent une espèce de poison, l’antidote et autres, assez de poison pour vous tuer, assez d’antidote, pour l’empêcher de vous tuer, et ils injectent cela premièrement dans un cobaye. Ils contaminent le cobaye d’une maladie que vous, vous avez. Et ensuite, ils injectent le médicament dans le cobaye, et si ce cobaye survit à cela, alors on vous l’administre. C’est bien une chose, vous savez ; donner cela au cobaye pour voir s’il peut supporter cela et, si le cobaye ne meurt pas, alors on vous l’administre. Ce n’est pas que tout–que tout le monde soit comme le cobaye, vous savez, cela–cela peut donc tuer quelqu’un et–et aider l’autre.
116 Mais il y a une seule chose au sujet de cette inoculation que Jésus-Christ administre, cela aide tout le monde. Ce n’est pas un remède ; c’est une cure.
117 Vous avez entendu les gens dire aujourd’hui : « Le tueur numéro un, c’est la maladie du coeur. » Je–je suis en désaccord avec eux ; non pas pour être particulier, je suis simplement en désaccord parce que je sais que ce n’est pas vrai. Le tueur numéro un, c’est la maladie du péché. Exact, pas–pas du tout la maladie du coeur, c’est la maladie du péché.
118 Vous savez, certaines personnes disent : « Eh bien, maintenant, Frère Branham, je crois que vous avez un peu étendu la couverture là, maintenant, laissez-moi vous poser une question. Un homme doit pécher ; je dois simplement pécher un peu chaque jour. » C’est parce que vous n’avez jamais été inoculé. C’est tout. Voyez ? Oui, oui. Oui. Vous n’avez jamais essayé le remède de Dieu. C’est vrai. Si vous l’aviez fait, vous ne feriez donc pas cela.
119 Disons : « Il me faut bien fumer. Quelque chose me pousse à fumer. » Essayez une fois l’inoculation, et voyez si–si ça marche ou pas. Vous direz : « Je–je n’arrive simplement pas à m’en abstenir. Je–je… » Eh bien, prenez une fois juste–juste la toxine de Dieu et voyez comment ça agit chez vous.
120 Une femme m’a dit, il n’y a pas longtemps, je m’en prenais à elle à cause du port de ces petits habits scandaleux. Et elle a dit : « Eh bien, Frère Branham, laissez moi vous le dire, vous n’avez pas le droit de dire cela. Nous avons le droit de porter les habits courts si nous le voulons. »
121 J’ai dit : « Je pense que c’est vrai. Mais si vous étiez une chrétienne, vous n’aimeriez pas les porter. » Elle a dit, elle a dit…
122 Et elle a dit : « Eh bien, attendez donc, Frère Branham. » Elle a dit : « Vous savez, on ne fabrique plus ce genre de tissus ; il n’y a que ces habits sexy, et autres comme cela. »
123 J’ai dit : « On produit toujours des rouleaux des tissus et on fabrique des machines à coudre. Il n’y a pas d’excuse. » C’est vrai.
124 C’est parce qu’on ne veut pas prendre cette inoculation des remplissages par le Saint-Esprit avec une sainteté à l’ancienne mode des sauvés de Dieu. Amen. C’est vrai.
125 Autrefois, c’était mal de faire ces choses. C’est toujours mal ! C’est vrai. Mais le problème, c’est que quelque chose est arrivé. Autrefois, les gens qui agissaient comme cela étaient même excommuniés de la société ; aujourd’hui, on ne peut pas les intégrer dans la société à moins qu’ils fassent cela. Et alors, vous voyez, ça dépend de là où est votre coeur, c’est là aussi que se trouvent vos trésors ; ou plutôt là où se trouve votre trésor, c’est aussi là que se trouve votre coeur. Vous devez vous souvenir que, si vous aimez le Seigneur de tout votre coeur, vous mènerez une vie pure et nette.
126 Ma femme et moi, nous allions à un super-marché, ici, il y a quelque temps. Nous avons vu une chose étrange, une femme en robe. C’était une chose étrange dans notre contrée. Alors Meda m’a dit, elle a dit : « Bill, je sais que certaines de femmes chantent dans des chorales ici dans les églises. » Et elle a dit : « Je les connais. » Et elle a dit : « Eh bien, eh bien, qu’est-ce qui les prend? »
127 J’ai dit : « Eh bien, tu vois, chérie, ai-je dit, étant un missionnaire moi-même, ai-je dit, nous–nous sommes d’un autre pays. »
Elle a dit : « Quoi ? »
J’ai dit : « Nous venons d’un autre pays, d’une autre nation. »
Elle a dit : « Ne sommes-nous pas Américains ? »
128 J’ai dit : « Nous habitons ici, mais ceci n’est pas notre maison. Nous sommes des pèlerins. Nous cherchons une cité dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. Je suis allé en Finlande, j’ai vu comment ils agissaient en Finlande. Je suis allé en Allemagne, j’ai vu comment est l’esprit allemand. Je suis allé en Suisse, les gens ont l’esprit suisse. Je suis venu en Amérique, ils ont un esprit américain. »
Elle a dit : « Eh bien, alors, qu’en est-il de nous ? »
129 J’ai dit : « Nous sommes nés d’En Haut, du Ciel, là où il y a la pureté, la sainteté, la justice et l’honnêteté. » Oui. J’ai dit : « C’est pourquoi ceux qui confessent cela ne comptent pas sur les choses du monde. Mais nous déclarons ouvertement, de par notre vie et notre mode de vie, que nous avons un Dieu, nous avons un Royaume, nous avons un lieu où nous nous rendons. Et ceci n’est pas notre demeure. » Amen.
130 Oh ! la la ! J’aime ça ! Je commence à me sentir très religieux maintenant même. Oui, oui. Je crois dans ce salut à l’ancienne mode par le Saint-Esprit. Oh ! frère, soeur, ça vous fait quelque chose. Le même Dieu qui a vécu autrefois vit toujours aujourd’hui. Sa même–Sa même doctrine de sainteté, est tout aussi vivante ce soir que jamais, exactement la même chose. Oui, oui. Remarquez, les gens se sont éloignés de la doctrine sur ce Point, c’est tout. Oui. Eh bien, oui, oui.
131 Notre maladie numéro un, la maladie du coeur, ce n’est pas la cause principale de la mort des gens aujourd’hui. C’est le numéro un, la maladie du péché. Et le péché, c’est l’incrédulité. L’incrédulité à quoi ? A la Bible. C’est vrai. Oui, c’est la maladie du péché qui est le numéro un, qui tue les gens aujourd’hui, tant spirituellement que… Et cela les tuera évidemment physiquement, parce que c’est déjà prouvé que l’homme qui garde rancune, et la femme qui s’agite et se met dans tous ses états, qui se querelle et se dispute, ils en meurent. Cela cause le cancer, une infection fongus et tout le reste qui s’établit, les ulcères.
132 Voyez, vous avez été créés pour être heureux et libres. Vous avez été créés pour vivre comme des enfants devant votre Père, sachant que chaque jour, Il fait bien marcher tout pour vous chaque jour. Oui, oui.
133 Les gens ont tout simplement peur de cette Nouvelle Naissance. C’est tout. Ils ont peur de la recevoir, parce qu’elle les remettrait en ordre. Elle vous fera cesser le jeu de loto, elle vous fera cesser de jouer à ces machines à sous. Elle mettra fin au fait pour vous de rester à la maison le mercredi soir sans aller à la réunion de prière, pour suivre Nous aimons Suzie et toutes ces autres histoires insensées qu’Hollywood a, et ces sales plaisanteries qu’ils débitent là. Ça fera… ça vous fera pousser les cheveux. Ça vous fera agir comme une dame. Ça amènera un homme à cesser de fumer la cigarette, puis à devenir diacre à l’église. Cela amènera les gens à cesser de mentir, de voler. Cela fera quelque chose pour vous. Cela vous purifiera et vous accordera un salut que rien au monde ne peut vous arracher par dissuasion, parce que vous savez que vous étiez là quand cela a eu lieu. Oui, oui.
134 Eh bien, comme je l’ai dit il y a quelques instants, quand Dieu… Quand l’homme découvre un médicament, ce qu’il fait, ce sont des recherches pour ce remède. Alors il découvre cette maladie, puis il injecte cela à un cobaye pour voir si le cobaye survivra à cela.
135 Eh bien, quand Dieu allait amener cette inoculation dont je parle ce soir, ce baume de Galaad, Il n’a pas cherché un cobaye. Il est venu Lui-même. Amen. L’unique moyen pour Lui de pouvoir faire cela, c’était de venir sous la forme de Son Fils, alors, Il a été fait chair et Il a habité parmi nous afin d’ôter l’aiguillon de la mort. Il est venu mourir. L’unique moyen pour Lui de mourir… Il ne pouvait pas mourir en tant qu’Esprit, en tant qu’Homme. Alors, Il s’est formé un corps appelé Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et Dieu a habité dans ce corps, se faisant Emmanuel sur la terre, pour ôter le péché de l’homme. C’était ce produit chimique qui se trouvait dans ce Sang-là.
136 Quelqu’un a dit : « Il était Juif. » Il n’était pas Juif. Certains ont dit : « Il était un Gentil. » Il n’était pas un Gentil.
137 Il n’était rien d’autre que Dieu. La Bible dit cela : « Nous sommes sauvés par le Sang de Dieu. » Le sang vient du sexe mâle, nous le savons. L’hémoglobine vient du mâle ; la femme, c’est uniquement l’ovule. C’est vrai.
138 C’est comme je l’ai dit là, par exemple, le printemps. Les vieilles mères oiseaux construisent des nids ici et pondent des oeufs. Certaines vont couver un nid plein d’oeufs qui ne vont jamais éclore, non plus. Pourquoi ? Elle–elle peut couver un nid plein d’oeufs, elle peut s’asseoir là-dessus et être très loyale. Elle peut retourner ces oeufs chaque jour, et rester là, se privant de nourriture, jusqu’à s’affaiblir tellement qu’elle ne peut s’envoler du nid. Peu importe combien elle leur accorde des soins maternels, combien les choye, combien elle leur est loyale, ils ne vont jamais éclore. Pourquoi ? Elle n’a pas été avec un mâle, et ils ne sont pas fécondés, par conséquent ils resteront simplement là et pourriront.
139 C’est ça le problème avec beaucoup de nos assemblées. C’est ça le problème avec nos réunions sous tente, beaucoup d’entre elles aujourd’hui, ainsi que nos assemblées. Qu’obtenons-nous ? Un tas de prédicateurs efféminés et apprivoisés qui devraient… Eh bien, c’est une disgrâce. Et il y est entré à cause d’un peu de prestige, ou un peu d’instruction, on le fait monter au-dessus de quelque chose. Je voudrais, oh ! la la !... Tout ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un… Nous avons un nid plein d’oeufs pourris.
140 Ce dont nous avons besoin, c’est d’un bon vieux moment de nettoyage du nid, d’un bout à l’autre, ce qui va ôter la chose, jusqu’à ce qu’on ait des hommes et des femmes remplis du Saint-Esprit, qui ont été avec le Mâle, Jésus-Christ, et qui sont remplis de l’Esprit, dont Il était baptisé. C’est vrai. Alors, nous aurons la Vie dans le camp. Oui, oui. La toxine, c’est de Cela dont ils ont peur.
141 Jésus-Christ, le Fils de Dieu, quand Il est né, certains parmi eux ont dit : « Eh bien, alors, Il était, Il–Il provenait de l’ovule de Marie. » Il ne l’était pas. Si Marie avait eu à faire descendre cet ovule par les trompes jusqu’à l’utérus, ce qu’il devait y avoir eu une sensation. Voyez-vous donc ce que vous faites faire à Dieu ? Il n’était pas cela, ni une partie de cela.
142 Dieu, le Créateur, avait couvert la vierge Marie Son ombre, et Il a créé des cellules dans son sein et a engendré un Homme qui était Emmanuel, Dieu Lui-même fait chair parmi nous, sans le secours de quelqu’un. C’est Lui le Créateur du premier homme. Amen ! Oh ! la la ! Le voila. Il se tient là. Oui, oui. Et puis, Il a fait cela afin qu’Il puisse recevoir cette inoculation.
143 Tout véritable homme de science, tout bon médecin qui découvre une maladie, certains parmi eux se rendent en prison où ils vont prendre un homme sur qui expérimenter cela, celui qui passe sa vie en prison. S’il survit à cette inoculation, eh bien, alors le poison ne le tuera pas, il peut retrouver la liberté s’il avait accepté de recevoir cette inoculation. Les prisonniers attendent cela. Oh ! là, c’est un médecin qui a peur de son médicament.
144 Mais, vous savez, Dieu n’a pas eu peur de Son propre médicament. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] … dans une mangeoire, un Homme se tenait sur le rivage du Jourdain. Quand cette Inoculation est descendue là, il a vu cela sous forme d’une colombe descendre du Ciel et Il a été inoculé. Et une Voix a dit : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis toute mon affection. » Amen. Dieu dans l’homme. C’est ça l’Inoculation. Dieu dans l’homme. Le monde L’a observé. A chaque tentation, cela a subsisté. Quand on Lui a craché au visage, qu’on Lui a arraché la barbe et qu’on a craché sur Lui, Cela a enduré la tentation. A l’heure des épreuves, Cela a enduré la tentation. Cela a tenu bon ! L’Inoculation qu’Il avait reçue au Jourdain a tenu bon. Cela a tenu bon au temps de la popularité.
145 Quel est le problème de beaucoup de–d’églises aujourd’hui ? Dès que Dieu les bénit, elles se mettent… et c’est ça qui cause du ravage chez nos pentecôtistes. Ils–ils devraient revenir comme nos aïeux, avec une boîte métallique ou un tambourin, là quelque part dans un coin, en train de battre un tambourin, plutôt que d’être assis dans ces grandes morgues que nous construisons aujourd’hui, essayant de prendre les autres pour modèle. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne effusion du Saint-Esprit à l’ancienne mode qui vous purifiera, y compris vos pasteurs de l’Eglise pentecôtiste. C’est vrai.
146 Eh bien, le fait est que quand le Saint-Esprit était descendu sur Jésus, le jour de Son baptême, Il a été inoculé. Nous L’avons vu à l’heure de l’épreuve. Quand le diable a cherché à Lui céder tous les royaumes du monde, qu’a-t-Il fait ? Il est resté fidèle à la Parole. Amen.
147 Ce que je me demande aujourd’hui, c’est que beaucoup de frères sur le champ de travail, depuis ce réveil du dernier jour… Pourquoi, quand vous avez un peu d’argent ou un peu d’habits de rechange, devenez-vous trop grands pour aller quelque part, aussi, pour une chose ou une autre, il vous faut avoir quelque chose de plus grand que quelqu’un d’autre ? C’est devenu une foire d’empoigne ordinaire. C’est une honte. Dieu veut un homme qui s’humilie, qui s’abaisse, quelqu’un à qui Il peut parler. Mais c’est devenu vraiment une foire d’empoigne, tout le monde cherche à avoir quelque chose de plus grand que l’autre. C’est un… et, voyez, ils ne peuvent pas supporter ce prestige, lors de la tentation de Satan.
148 Mais notre Seigneur avait supporté la tentation. Cette inoculation avait tenu bon. Un temps arriva où il y eut un débat sur les Ecritures, Il resta bien fidèle à la Parole. Satan dit : « Il est écrit. »
Il a dit : « Il est aussi écrit. » Oh ! C’est… Gloire ! Dieu dans l’homme, voyez ?
149 Qu’a-t-Il obtenu ? Il avait en Lui quelque chose qui soutenait chaque Parole qu’Il prononçait. Il a dit : « Si je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si vous ne pouvez pas Me croire, croyez–croyez les oeuvres qu’Il fait par Moi. » Oh ! la la ! Vous y êtes.
150 Ce dont nous avons besoin, ce sont de tels hommes et femmes aujourd’hui, qui peuvent fermer la bouche au monde, par les signes du Saint-Esprit. Nous avons besoin d’une réunion sous tente comme celle-ci. Nous avons besoin d’un bouleversement, d’une secousse, que beaucoup de choses du monde et autres sortent de l’Eglise, ce qui est entré dans ces derniers jours. L’argent se répand dans le pays, et de grandes choses, l’esprit des gens est fixé sur de grandes choses plutôt que sur Dieu. Faire des compromis, faire des compromis avec les Ecritures ! Tout frère qui s’est engagé dans cette voie-là, quoiqu’il soit devenu populaire dans une organisation, a fait des compromis sur ce qu’il croyait.
151 Si le Sang ne coule pas dans un homme authentique né du Saint-Esprit... Tous les démons de l’enfer ne peuvent pas l’embrouiller sur cette Parole-là. Il se reposera sur cette Parole, advienne que pourra. Amen ! Paul a dit : « Il n’y a rien dans le présent ni dans le futur qui puisse arriver, ni rien qui puisse nous séparer de l’amour de Dieu. » Cette véritable naissance authentique par le Saint-Esprit entre dans un homme, il devient un fils de Dieu. Il n’y a pas de gouffre entre Dieu et lui. Il est Son fils dans Sa Présence. Amen. J’aime ça. Je sais que c’est vrai. Très bien.
152 Nous voyons qu’à l’heure de la tentation, pour des choses mondaines, l’Inoculation avait tenu bon. Au temps où Il a été taxé de saint exalté, ou–ou on s’est moqué de Lui, on a placé un lambeau autour de Son visage, de Ses yeux, on L’a frappé à la tête avec un bâton, disant : « Eh bien, si Tu es prophète, dis-nous qui T’a frappé. » Ces soldats romains, ils L’avaient vu faire le discernement des pensées des gens. S’avancer et…
153 S’Il se tenait ici aujourd’hui, Il promènerait Son regard et révélerait à cette femme ce qui clochait en elle, ce qu’étaient telle et telle choses. C’est ainsi qu’Il avait fait cela. C’est ainsi qu’Il le fait encore, parce qu’Il ne change pas. Amen. N’êtes-vous pas contents ? C’est un Dieu vivant. Ainsi, un homme peut tomber d’un toit et perdre la vie, et un autre se tenant là, avec Dieu en lui, se couche sur lui et le ramène. Ce même Dieu vit ce soir. Amen ! Il est le Dieu Immuable. L’Eglise a besoin d’une Inoculation. C’est vrai.
154 Comme David duPlessis l’a dit une fois, Dieu n’a pas de petits-fils. C’est vrai. C’est là qu’en arrivent nos frères pentecôtistes, leurs enfants entrent dans l’église et disent simplement : « Eh bien, nous sommes pentecôtistes parce que papa l’était. » Si papa était pentecôtiste et qu’il a eu le baptême du Saint-Esprit, il vous faudra recevoir cela tout comme papa. Dieu n’a pas de petits-fils. Il n’a que des fils et des filles, pas de petits-fils et des petites-filles, juste–juste des fils et des filles. C’est vrai.
155 Ainsi, il vous faut faire la même chose qu’eux le jour de la Pentecôte. Il vous faut avoir la même expérience. Il vous faut avoir la même chose qu’eux autrefois. Dieu ne change jamais Son programme. Il ne change jamais de procédés. Il fait exactement la même chose tout le temps. Tel qu’Il a élaboré Son programme, cela doit s’y conformer chaque fois. Ça doit être la même chose. Et si vous faites la même chose, il y aura les mêmes résultats. Amen ! C’est vrai.
156 Eh bien, nous le voyons, cela avait tenu bon au temps de la tentation. Cela avait tenu bon quand tout allait mal. Cela avait tenu bon quand tous Ses amis L’avaient abandonné. Il avait toujours tenu bon, l’inoculation avait tenu bon. Alors, le diable s’est dit : « Cette fois-ci, je L’ai eu. » Il s’est mis à monter au Calvaire, le Sang coulait de Son corps. Les vêtements qu’Il portait avaient une grande tache de Sang. Le diable doit avoir dit : « Cette fois-ci, je L’ai eu. Ça ne peut pas être Dieu. Non, non. Ça ne peut pas être Lui, puisqu’Il a laissé ces soldats Lui cracher au visage, Il les a laissés Lui arracher une poignée de barbe au visage, Il les a laissés Le défier d’avoir une vision et Il n’a pas fait cela. Eh bien, Le voici gravir la colline, portant cette croix ; je vais L’avoir dans quelques minutes. »
157 Cette abeille de la mort est descendue, tournoyant, pour Le piquer. Vous savez, comme n’importe quelle abeille, elle a un aiguillon. Mais, vous savez, Dieu avait cette fois là préparé une chair, c’était la chair de Dieu. Quand il a ancré cet aiguillon dans ce Fils de Dieu, dans Emmanuel, quand il s’est retiré, il n’avait plus d’aiguillon. Il a directement arraché cet aiguillon de la mort. Il n’est pas étonnant que Paul ait dit : « Mort, où est ton aiguillon ? Mort, où est ta victoire ? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. »
158 Il avait pu piquer Elie et ce dernier était mort ; il a pu piquer Elie et conserver son aiguillon. Mais, vous savez, si une abeille… si jamais une abeille enfonce assez profondément son aiguillon, elle ne peut plus piquer, elle a fait sortir son aiguillon. Il n’y avait donc pas de chair humaine où il pouvait l’ancrer. Oh ! la la ! Personne en qui il pouvait l’ancrer. Mais quand il l’a enfoncé cette fois-là dans Emmanuel, il a perdu son aiguillon. Grâces soient rendues à Dieu ! Oui, oui, il a échoué sur Celui-là. Oui, oui.
159 On a trouvé que la toxine a tenu bon. On a dit : «Si Tu es Fils de Dieu, descends de la croix. » Le souverain sacrificateur, le grand dignitaire de l’église, a dit : «Dis-nous clairement maintenant. Si Tu es le Fils de Dieu, descends de la croix et sauve-Toi Toi-même », et tout. « Fais-nous voir si Tu es le Fils de Dieu. » Il n’a point ouvert la bouche pour dire un mot.
160 Eh bien, nous voyons qu’Il est mort. Il était effectivement mort. Il était mort au point que le soleil et la lune avaient confirmé qu’Il était mort. Toute la nature avait confirmé qu’Il était mort. La terre avait tremblé, saisie de frissons de nerfs en voyant le Dieu même qui avait créé la terre être suspendu au-dessus la terre, et le Sang d’Emmanuel tomber sur terre. Il n’est pas étonnant qu’Il soit mort. Il est mort au point que tout confirmait qu’Il était mort.
161 Et alors, nous allons voir qu’avant de mourir, Il a dit : « Détruisez ce temple, Je le ressusciterai le troisième jour. Vous ne pourrez pas le garder par terre. Détruisez-le, et Je le relèverai le troisième jour. »
162 On a placé une garde là pour voir si l’Inoculation allait tenir bon. Ils ont vu que cela avait tenu bon lors de la tentation par le péché. Cela avait tenu bon dans la pauvreté. Cela avait tenu bon dans la richesse. Cela avait tenu bon dans toutes sortes de tentations. Cela tenait toujours bon. Mais cette fois-là, c’est dans la mort. Qu’est-ce que cela allait donc faire ?
163 Mais, le matin de Pâques, oh ! la la ! juste avant le lever du soleil, cette Inoculation avait tenu bon. Et alors, la mort brisa ses barrières, la tombe s’ouvrit et Il ressuscita le troisième jour et monta en haut. Cela montre que cette inoculation est l’inoculation de la Vie Eternelle. Vous ne pouvez pas la détruire. Même le sein de l’enfer ne peut pas retenir cela. La tombe ne peut pas retenir cela. La mort ne peut pas retenir cela. Rien ne peut retenir cela. Cela ressuscitera.
164 Jésus-Christ a dit : «Tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi, et Je les ressusciterai au dernier jour. » Alléluia ! Un homme ou une femme qui a été inoculée avec ceci, ne peut rester dans la tombe. Il n’y a pas de tombe qui puisse retenir le juste. Il n’y a pas de séjour des morts qui puisse retenir cela ; il n’y a pas de tombe, il y a rien d’autre. Jésus-Christ a promis de ressusciter cela en ce jour-là. Amen ! Oh ! je suis très content de cela, de cette Inoculation. Vous savez, cela s’est confirmé le matin de Pâques.
165 Savez-vous ce que c’était ? C’était une Chose si glorieuse que cent vingt personnes ont cherché à En être inoculées. Eh bien, s’Il a pu subsister dans la tentation, il y avait cent vingt personnes qui Le connaissaient très bien, qui voulaient être inoculées. Alors, en ce moment-là même, Il a dû monter au laboratoire pour apprêter le sérum ; alors Il a dit : « Allez là dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que J’obtienne Cela, que J’apprête toute la formule. Je vais vous L’envoyer. » Ils sont donc allés attendre.
166 Comment l’Eglise chrétienne devrait être conduite ? Quel genre d’inoculation fallait-il ? Que–que serait l’inoculation ? Comment devraient-ils s’y prendre ? Que se passerait-il ? Devraient-ils tous aller au séminaire apprendre pour décrocher un doctorat en philosophie et un doctorat en droit ? Fallait-il qu’un prêtre remonte la route avec un pain kasher en main et qu’eux tendent la langue pour prendre la communion, et c’est ça ?
167 « Mais il vint du ciel un bruit (L’Inoculation était en route.) comme un vent impétueux, cela remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues semblables à des langues de feu, séparées les unes des autres, se posèrent sur eux. Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer. »
168 Avez-vous déjà vu un vieux temple sur photo ? Il y avait une petite porte latérale qui donnait sur l’extérieur, on gravissait les marches qui conduisaient à la chambre haute. Ils avaient fermé les portes et s’y étaient enfermés, parce qu’ils avaient peur.
169 Mais je vous assure, après qu’ils furent inoculés comme un veau qui vient d’être marqué, on n’arrivait pas à les contenir. Absolument pas. Il est sorti de cette chambre-là, il a parcouru les rues. Il était inoculé. Que ce soient la mort, le séjour de mort, la persécution, les moqueries, les railleries, cela ne changeait rien pour lui, il était inoculé. Amen. Oh ! la la !
170 Ecoutez Pierre, il se lève là, les gens commencent à demander : « N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de médecin là ? » Oh ! oui, nous avons beaucoup de baume en Galaad. Nous avons beaucoup de médecins.
171 En ce jour-là, docteur Simon Pierre (c’était lui le médecin) a dit : «Je vais vous prescrire une ordonnance. Je vais vous dire cela. Et voici, c’est une ordonnance éternelle, car elle sera pour vous, et pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin. Franchement, c’est pour tout celui qui invoquera, le Seigneur ton Dieu, qui L’invoquera : Je vais le lui donner. »
172 Il a dit : «Que pouvons-nous faire pour être inoculés ? » ça y est. « Que pouvons-nous faire pour être inoculés ? »
173 Il a dit : « Je vais vous prescrire une ordonnance. » Il a dit : «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car cette ordonnance est pour vous, pour vos enfants et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Oh ! la la !
174 Vous savez quoi ? Quand un médecin trouve un remède contre une maladie et qu’il prescrit une ordonnance, et qu’un charlatan s’en empare et se met à y ajouter un peu de ceci, retranche un peu de cela, il va soit tuer le patient, soit–soit faire quelque chose à cela. L’ordonnance n’aura même pas assez de médicaments pour faire du bien. Sinon, ça va être trop dilué pour aider le patient.
175 Et c’est ça le problème pour beaucoup de ces pharmaciens du séminaire aujourd’hui. Ils prennent l’ordonnance, y substituent autre chose, et on a tout un tas de morts dans des morgues.
176 Cette ordonnance demeure toujours la même. Quand les Samaritains l’ont reçue, ils ont été inoculés, ils avaient reçu la même chose. Quand les Gentils l’ont reçue, ils avaient la même ordonnance. Dans Actes 19, Paul a rencontré un groupe qui avait une partie de cette ordonnance, pas l’entièreté, il a dit : « Cela ne marchera pas. Vous allez tout tuer. » Alors, il leur a prescrit cela, il leur a indiqué le mode d’emploi. Ils ont reçu cela de la même façon.
177 Et c’est ça le problème aujourd’hui. Il y a beaucoup de baume en Galaad, et nous avons beaucoup de médecins, mais les gens ont peur de l’ordonnance. Gloire ! Gloire à Dieu. N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de puissance du Saint-Esprit ? Où est-ce donc ?
178 Cette Inoculation ait chez tout le monde, voyez. Elle a agi chez les Juifs. Elle a agi chez les Samaritains. Elle a agi chez les Gentils. Elle agit mêmement chez tout le monde.
179 Je suis un missionnaire. Je vais à des endroits où les gens ne savent même pas distinguer la main droite de la main gauche, et ils se tiennent là. Savez-vous ce qu’ils font quand ils reçoivent le Saint-Esprit ? La même chose que vous, la même chose.
180 Oh ! Qu’est-ce ? « C’est pour vous, pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Cette même ordonnance produit les mêmes résultats.
181 Et l’Eglise accomplira les mêmes oeuvres qu’au commencement. Tout à fait. Jésus est le Cep. Nous sommes les sarments, et nous sommes inoculés de cette Vie qui était dans le Cep. L’Eglise qui est allée, étant inoculée ; on a écrit le Livre des Actes après cela.
182 Aujourd’hui, nous avons des substituts. Nous avons des fruits greffés. Cela–cela vit de la vie de l’arbre, mais cela ne produira pas des fruits. C’est exact.
183 Je me tenais chez un ami à moi, John Sharrit, là à Phoenix, il n’y a pas longtemps. Il a là un arbre, un oranger, qui portait environ cinq ou six différentes sortes des fruits.
J’ai dit : « Je n’ai jamais vu pareille chose. »
Il a dit : « Ils sont greffés. »
J’ai dit : « Quel genre d’arbre est-ce ? »
Il a dit : « L’oranger. »
184 J’ai dit : « Eh bien, il y a des citrons, des limes, des mandarines, des tangelots, et–et des pamplemousses, diverses espèces. »
J’ai dit : « Tout cela pousse sur ce même arbre ? »
Il a dit : « Oui, c’est un agrume. »
185 J’ai dit : «Eh bien, c’est donc une chose étrange. » J’ai dit : « Eh bien, cette année, après que tous ces fruits auront disparu, l’année prochaine il portera l’orange ? »
186 Il a dit : « Oh ! Non. Non, non. Non. » Il a dit : « Il produira des fruits selon la nature de la branche. »
187 Et j’ai dit : « Alors, cet arbre-là s’est transformé de… vous voulez dire, de l’oranger en ce que… »
188 Il a dit : « Non, non, non. Si jamais il produisait une autre branche, elle produira des oranges. »
J’ai dit : « Je vois. » Amen.
189 Frère, nous avons des choses telles que les églises dénominationnelles ont injectées dans Ceci, et elles en vivent, se disent chrétiennes. Mais si jamais la vraie vie de cet arbre-là portait d’elle-même sa propre branche, il y aura un autre Livre des Actes à la suite de cela, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ce qu’il en est du monde et de ses trésors, ils n’en savent rien. Les gens lisent cette Bible. Si vous La lisez du point de vue dénominationnel, vous n’En tirerez pas grand-chose. Mais regardez seulement ce qu’Elle dit et ensuite obéissez à ce que dit l’ordonnance. Lisez Cela, obéissez à Cela, et Cela fera de vous une autre personne.
190 Il n’y a pas longtemps je suis revenu de l’Inde. J’ai entendu parler d’une femme ici, elle était très pauvre, son fils était allé en Inde apprendre pour devenir médecin. Et quand il est arrivé là, il a abandonné l’art de guérir pour embrasser un autre métier. Et je pense qu’il était devenu un ingénieur en électricité ou quelque chose comme cela. Et cette femme était devenue très pauvre. Elle n’avait vraiment rien, et alors les oeuvres de bienfaisance essayaient de venir s’occuper d’elle. Et alors, on a mené des enquêtes sur son cas et, cela fait, on a découvert que cette femme avait un soutien, c’était un fils qui était un homme très riche en Inde. Et on a dit : « Eh bien, pourquoi votre fils ne vous assiste-t-il pas ? »
191 Elle a dit : « Oh ! je ne peux simplement pas lui demander. » Elle a dit : « Je suis sa mère, a-t-elle dit, je préférerais vivre des oeuvres de bienfaisance plutôt que de demander à mon fils. »
On a dit : «N’avez-vous jamais de ces nouvelles ? »
192 Elle a dit : « Oh ! j’ai de ses nouvelles au moins une ou deux fois par mois. » Elle a dit : « Il m’écrit les lettres les plus gentilles que l’on puisse jamais lire. »
193 On lui a demandé : « Eh bien, on dirait que s’il aimait assez sa mère, et comme il a beaucoup d’argent, il devrait chercher à s’occuper d’elle plutôt que de la laisser vivre des oeuvres de bienfaisance. »
194 Elle a dit : « Eh bien, peut-être que s’il savait que j’étais dans cette situation, a-t-elle dit, il–il prendrait soin de moi. Mais, a-t-elle dit, vous savez, il ne le sait pas, et je–je me sentirais vraiment embarrassée de le dire à mon fils, comme cela. »
Et on lui a demandé : « Et il vous écrit toujours des lettres gentilles ? »
195 Elle a dit : « Oh ! les lettres les plus gentilles. » Et elle a ajouté : « Il m’envoie les meilleures photos qu’on ait jamais vues. »
On lui a demandé : « De meilleures photos ? Faites-nous-en donc voir quelques-unes. »
196 Elle a ouvert sa Bible, elle les a fait sortir. Vous savez ce que c’était ? Des billets de banque. L’Inde met des photos sur ces billets de banque, vous voyez, de belles photos. Elle avait des milliers des dollars, en convertissant la monnaie indienne à la monnaie américaine. Qu’était-ce ? C’était dans les pages de sa Bible, elle avait des trésors, elle pensait que ce n’était que des photos, mais elle a fini par découvrir que cela avait vraiment de la valeur pour elle.
197 Et, frère, quand vous essayez de lire un feu peint de la Pentecôte, et que quelqu’un ose vous dire que le Saint-Esprit n’est pas le même aujourd’hui qu’autrefois, quelqu’un ose vous dire que les jours des miracles sont passés, que Jésus-Christ n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’on ose vous le dire, ne croyez pas cela. Ce ne sont pas des photos. Le Dieu Tout-Puissant vous a envoyé ce Message, c’est vrai : « C’est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Dieu reste toujours Dieu. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
198 Il est ici même, ce soir, pour sauver les perdus, guérir les malades, remplir du Saint-Esprit ceux qui désirent être remplis. Vous croyez cela, n’est-ce pas ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Oui, oui. Si vous le croyez, alors, vous voyez, ce sont les promesses de Dieu dans cette Parole-ci, vous pouvez directement y entrer et trouver chaque promesse. La promesse est pour vous. Pierre a dit : « La Promesse est pour vous, pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin. » N’ayez pas peur d’encaisser cela. Ce sont des billets de la banque céleste. C’est vrai. Jésus-Christ est le même hier et éternellement !
199 Qu’arriverait-il s’Il se tenait ici ce soir et qu’Il voyait cette femme couchée là, malade ? Elle a l’air très malade, étant estropiée, probablement paralytique ou quelque chose comme cela. Deux femmes… Une femme, un homme de couleur et une femme de couleur qui cherchent à travailler pour un petit enfant. Que pensez-vous qu’Il ferait s’Il se tenait ici, regardant ces deux patients, Lui étant un Guérisseur ? Pensez-vous qu’Il peut les guérir ? Il l’a déjà fait, vous voyez. Il l’a fait en mourant au Calvaire. Croyez-vous cela, malades ? Croyez-vous que c’est vrai ? Vous là, avec la petite dame de couleur, là avec l’enfant, croyez-vous que Jésus-Christ, en mourant au Calvaire, a acquis le salut pour votre enfant ?
200 Vous là, sur la civière, si vous êtes… Vous avez l’air très malade. Vous êtes paralysé, ou je ne sais quoi, croyez-vous que Jésus-Christ est mort au Calvaire pour vous sauver de votre maladie ? Croyez-vous cela ? Croyez-vous que ce que j’ai dit ce soir est vrai ? Croyez-vous que cette ordonnance est vraie ? Croyez-vous cela ?
201 S’Il se tenait ici ce soir et que vous Lui demandiez : « Veux-Tu guérir mon enfant ? » Savez-vous ce qu’Il dirait ? « Je l’ai déjà fait. » Voyez, croyez simplement cela. Voyez ? Si vous disiez : « Seigneur, je suis estropié, je ne peux pas marcher », ou je ne sais quoi. « Je–je ne peux pas marcher. Je–je me meurs (ou quelque chose comme cela), veux-Tu me sauver ? » Il dirait : « Je l’ai déjà fait. » Voyez ?
202 Eh bien, comment reconnaîtriez-vous Sa Voix ? En effet, Il accomplirait quelque chose comme ce qu’Il avait fait autrefois. Il peut vous révéler quelque chose sur vous-même, vous dire ce que vous étiez, ou ce qui clochait en vous, ou quelque chose comme cela, comme Il l’a fait du temps de la Bible. Cela prouvera qu’Il est le même. Mais quant à la guérison, il vous faudrait accepter cela vous-même. « Il a été blessé pour nos transgressions, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » Croyez-vous cela ?
203 Croyez-vous qu’Il peut me révéler votre maladie ce soir, ou l’une ou l’autre chose pour laquelle vous êtes couchée là ? Accepteriez-vous cela ? Et croiriez-vous que je suis Son prophète ? Allez-vous le faire ?
204 Qu’en est-il de vous, la dame là à côté d’elle, avec la main sur votre enfant, croyez-vous cela ? …?...
205 Combien croiront cela ? [L’assemblée se réjouit et dit : « Amen. » – N.D.E.]
206 Maintenant, Père céleste, voici Ton serviteur. J’ai… Je ne suis responsable que de prêcher Ta Parole. Maintenant, je sais que ceci est inhabituel. Mais je Te prie de l’accorder ce soir, afin que les gens sachent que–que ceci est la Vérité.
207 Très bien. Regardez dans cette direction. Votre enfant a une espèce de maladie des os. C’est vrai. ça a beaucoup fait gonfler la jambe. Est-ce vrai ? Gardez votre main là-dessus, répétez et dites : « Seigneur Jésus, guéris mon enfant, je Te servirai toute ma vie. » Si vous n’avez jamais reçu cette Inoculation, croyez cela de tout votre coeur. Placez une corde autour de la jambe de l’enfant ce soir, et prélevez la mesure. Et puis, ramenez cette corde-là demain, voyez à partir de là où vous l’avez découpée combien ça s’est rétréci entre maintenant et demain soir. Allez-vous le faire ?
208 Vous qui êtes couchée là, à côté, croyez-vous que je suis Son serviteur ? Je ne vous ai jamais vue, de ma vie. Mais vous êtes couchée là, couverte de l’ombre de la mort. Il y a une ombre noire sur cette femme. Elle souffre, elle se meurt du cancer. C’est tout à fait vrai. Et croyez-vous que Dieu vous rétablira ? Pouvez-vous croire cela ? Alors, pourquoi restez-vous couchée là jusqu’à la mort ? Le médecin ne peut pas guérir cela. Levez-vous, au Nom de Jésus-Christ, prenez votre lit et rentrez chez vous.
209 [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Croyez-vous ? Que tous ceux qui veulent croire et accepter leur guérison se lèvent et rendent grâces à Dieu. Voyez ? Voyez ? Tenez-la par la main, mon frère.
210 Disons : « Gloire au Seigneur », tout le monde. Croyez-vous en Lui ? [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Levez maintenant les mains vers Dieu et louez-Le. [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Croyez-vous ? [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? La puissance de Dieu peut faire cela.
211 Levons-nous, tout le monde maintenant, avec foi pour croire cela. Levez-vous, tout le monde, et acceptez la délivrance, au Nom du Seigneur. Amen. [L’assemblée continue à se réjouir. – N.D.E.]