Pourquoi?
1 [L’assemblée chante Crois seulement et un frère introduit frère Branham. – N.D.E.] Merci, Frère Johnson. Bonsoir, mes amis. C’est vraiment un grand privilège d’être ici ce soir, d’une part, de me retrouver en Arkansas et, d’autre part, d’être sur le terrain de camping. Je pense que ce sont les premières réunions sous tente que je tiens depuis longtemps. Et j’ai reçu l’invitation de venir commencer avec vous. Et j’ai appris, depuis que nous sommes ici, que vous passez un merveilleux moment ici à cette série de réunions. Je suis très reconnaissant pour cela.
2 Et, moi, en route vers ici, il y a quelques instants, j’étais avec mon fils, et nous parlions de ce qui s’était passé il y a quelques années, quand j’étais venu ici en Arkansas ; c’étaient mes premières réunions. Mes tout débuts, c’était en Arkansas, les réunions d’évangélisation, de toute façon. Et depuis lors, j’ai fait sept fois le tour du monde, et maintenant je suis de retour en Arkansas. C’est comme la mauvaise monnaie, ça retourne toujours. Partout où j’ai été, j’ai… je pense, aux Etats-Unis d’Amérique, j’ai demandé : « Y a-t-il ici quelqu’un de l’Arkansas ? » J’ai toujours eu des amis de l’Arkansas, presque partout. Et j’ai toujours dit : « Certains de coeurs les plus sincères, à mon avis, qui aient jamais battu, étaient sous ces vieilles chemises bleues, ici en Arkansas. » Des gens très gentils ! Je vous aime.
3 Et je–je suis reconnaissant à Dieu pour l’occasion de revenir ce soir en Arkansas et d’être avec vous. Et je pense donc qu’il nous reste trois soirées, dans la convention, et j’ai l’occasion de revenir exprimer mon amour pour Jésus-Christ et de communier avec vous et le bon groupe de nos frères ici. Il y en a beaucoup parmi eux que je ne connais pas. Et je viens de promener mon regard, et j’ai vu quelqu’un que je connais bien, frère Jack Moore ; il m’est juste arrivé de le voir, ainsi que soeur Moore ; il m’est arrivé de les identifier tout à l’heure. Nous sommes certainement heureux d’être ici.
4 Eh bien, je sais, toute la journée, vous devez être fatigués, vous savez, fatigués dans le corps. Nous ne sommes jamais assez… nous ne nous fatiguons pas de louer et d’adorer Dieu pour Sa bonté, de ce qu’Il est merveilleux. Et, mais, toute la journée, et puis, une fois la nuit tombée, alors, me voici donc arriver ici. Et je suis plutôt un de ces prédicateurs qui ont à l’esprit de parler longtemps. Mais je ne pense pas que c’est ce que nous ferons maintenant, à cause de cette pression de la convention. Vous avez entendu de grands orateurs, sans doute, tout au long de la journée et tout au long de la convention. Et puis, le fait que je me tienne ici sur l’estrade, eh bien, devant ces grands orateurs, là, je pense, je me sens vraiment petit de me tenir ici.
5 L’un des prédicateurs, je venais de lui serrer la main, il m’a dit que c’étaient vos premières réunions ici dans ce tabernacle, je l’appellerai ainsi ; je ne sais pas exactement ce que c’est, ce temple ou je ne sais quoi. Et nous sommes–nous sommes certainement reconnaissants une fois de plus pour l’occasion que nous avons d’entrer dans une nouvelle église, un bâtiment érigé pour la gloire et l’honneur de Dieu. Comme c’est merveilleux !
6 Et nous avons juste reculé, ou plutôt pas reculé… Nous venons de rentrer de… pour les vacances scolaires des enfants. Nous habitons Tucson, en Arizona, présentement. Et il y fait horriblement chaud, mais nous trouvons qu’il fait plus chaud ici que là à cause de cette terrible humidité. Et ça nous abat, après nous être habitués à l’air de là.
7 Nous sommes rentrés chez nous et nous avons tenu la première réunion le dimanche passé, et nous avons vu le Seigneur Jésus continuer Sa glorieuse oeuvre d’amour et de puissance parmi les gens. Et le même Evangile que je vous ai prêché il y a quinze ans, ici en Arkansas, je continue à Le croire. Je ne Le change absolument pas. C’est Christ.
8 Quelque chose s’est passé à l’église le dimanche. Il m’est simplement arrivé de promener mon regard et de voir un gentleman sur qui un–un miracle s’était opéré.
9 Remarquez, nous aimons tous vanter le Seigneur Jésus. Nous–nous aimons faire ça. Une fois, j’ai eu une femme qui m’a dit, elle a dit que l’unique faute qu’elle pouvait trouver en moi, c’était que je vantais trop Jésus. J’ai dit : «J’irai certainement au Ciel si c’est tout ce que j’ai comme faute : vanter Jésus. » Et alors, elle–elle ne pensait pas que Jésus était Dieu. Elle essayait de soutenir qu’Il n’était qu’un homme et un philosophe, ou un prophète, ou quelque chose de ce genre. Mais je disais qu’Il était Dieu. Et alors, nous…
Et elle a dit : «Je peux vous prouver qu’Il n’était pas Dieu. »
J’ai dit : «Oh ! je ne crois pas que vous puissiez le faire. »
Elle a dit : «Oh ! je peux prouver qu’Il était seulement humain. »
10 J’ai dit : «Eh bien, je vais bien accepter qu’Il était humain, mais il était à la fois humain et Divin. »
Elle a dit : «Il ne pouvait pas être Divin. »
Et j’ai dit : «Oh ! Il était Divin, et Il est Divin. »
11 Elle a dit : «Oh ! Il ne pouvait pas l’être. » Elle a dit : «Je vais vous le prouver par votre propre Bible. »
J’ai dit : «Ça va. »
12 Et elle a dit : «Dans Saint Jean, chapitre 11, quand Il se dirigeait à la tombe de Lazare, la Bible dit : ‘Jésus pleura.’ »
J’ai dit : « Eh bien, qu’est-ce que cela a à faire ? »
13 Elle a dit : «Eh bien, si–s’Il pleure, c’est la preuve qu’Il n’est pas Divin. »
14 J’ai dit : «Madame, votre argument est plus mince qu’un bouillon fait à base de l’ombre d’une poule crevée de faim. » J’ai dit : «Vous savez mieux que ça. » J’ai dit : «Il était–Il était humain pendant qu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, en train de pleurer, c’est vrai. Mais quand Il a redressé Ses petites épaules et qu’Il a dit : ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est tenu sur ses pieds et a vécu une fois de plus ; ça, C’était plus qu’un homme, ce qui pouvait faire ça. » Je crois toujours qu’Il est Cela.
15 Dimanche, pendant que je parlais, nous… je demandais aux gens de se retourner, au tabernacle, et de se serrer la main les uns aux autres. Et il y avait un–un cher ami, j’ai simplement appris à l’aimer. Il fréquente l’église, il n’y a pas longtemps, sa femme et lui. Sa femme est une infirmière diplômée. Et lui-même, c’est un Anglais. Sa femme est Norvégienne. Oh ! comment est-ce donc arrivé ? Je ne sais pas. Mais–mais, toutefois, tous les deux sont de braves gens. Et ce–ce frère avait quelque chose qui n’allait pas plutôt au coeur. C’est un très bon chrétien, un intellectuel aussi, il a un travail profane de comptable et tout. Alors, il s’est retourné. Et alors, il a eu une crise cardiaque et il est tombé mort par terre, la tête en avant.
16 Et sa femme, une infirmière, le saisit vite, préleva le pouls sur le coeur : « Il est parti. » Alors, j’ai vu son visage, très noir, et ses yeux révulsés. Non seulement il avait les yeux fermés, mais ses yeux étaient ressortis par devant. Et il était… Je suis monté à l’estrade, j’ai cherché à calmer l’auditoire, beaucoup de gens cherchaient à aider la soeur, évidemment dans pareille situation, avec son mari. Quelqu’un avait déposé quelque chose sur sa tête, ou plutôt sous sa tête.
17 J’ai tenu son coeur, pour… son pouls au bras, il n’y avait pas plus de pouls qu’il n’y en a sur ce morceau de bois. Et alors, je me suis agenouillé et j’ai prié : « Seigneur Jésus, je Te prie, redonne à notre frère Way la vie. » Alors, son coeur a battu quatre ou cinq fois et s’est remis à battre normalement. Et il s’est relevé et a essayé de parler. Il n’arrivait pas à parler, il était… Le sang s’arrête, vous savez, quand le coeur s’arrête. Et ça a pris un peu de temps avant que son sang se remette à circuler bien normalement. Et je l’ai entendu m’appeler par mon nom, et alors, je suis retourné à l’estrade.
18 Frère Way, je me demande si vous aimeriez bien vous lever afin que les gens voient qui était cet homme. [L’assemblée se réjouit et loue Dieu. – N.D.E.] Voilà l’homme qui était tombé mort, le dimanche matin, à la suite d’une crise cardiaque. [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Soeur Way, sa femme, une infirmière qui se tenait là pour prélever le pouls, pour voir, et veiller à ce qu’il… Ainsi, je…
19 Cela a l’air très étrange peut-être pour les gens qui ne croient pas ces choses. Mais j’ai vu le Seigneur Jésus ressusciter les morts plusieurs fois. Et ce n’est pas du neuf pour nous, de la sorte, nous ne pourrions pas… Je pense que c’est bien de vanter Jésus, mais je pense que ça devrait être pour une chose vraie, ce pour quoi vous Le vantez. Alors, nous L’avons vu, je L’ai vu pendant les quinze dernières années, dans plusieurs cas infaillibles, ressusciter les morts.
20 Surtout un cas au Mexique, là où frère Moore et moi étions, à Mexico City ; un petit enfant était mort de pneumonie un matin à 9h, au cabinet d’un médecin. Et la petite femme, on n’arrivait pas à la retenir pour… Eh bien, on avait distribué toutes les cartes de prière, et il nous fallait bien compter les gens au fur et à mesure qu’ils avançaient. Il n’y avait plus de cartes de prière. Et cette jeune soeur espagnole d’environ, je pense, vingt-cinq ans, avait un petit enfant mort ; et il pleuvait, elle le tenait sous une couverture.
21 Et la veille, il y avait eu un homme aveugle qui était, oh ! probablement, était aussi vieux que l’aurait été mon père, probablement soixante-dix ans, aveugle, il avait recouvré la vue pendant que je priais pour lui. Et ce soir-là, l’estrade, qui était pratiquement aussi large qu’ici, avait un tas de..., oh ! très haut, deux ou trois pieds [60 ou 91 cm], rien qu’avec des châles et des chapeaux, et de vieux vêtements qu’on avait entassés là.
22 Et cette petite femme cherchait à arriver là. Et Billy Paul, mon fils, est venu me dire : «Papa, j’ai pratiquement trois cents huissiers là, et tous les trois cents n’arrivent pas à retenir cette petite femme. » Elle avait un petit enfant mort sous une petite couverture bleue.
J’ai dit : «Eh bien,» j’ai dit à frère Jack Moore: «Vas-y. »
23 Frère Jack Moore et moi avons beaucoup de choses en commun. Je ne veux pas dire que nous nous ressemblons, parce que lui est un bel homme. Mais une chose au sujet de frère Moore, c’est que nous tous, nous séparons nos cheveux de la même façon. [Frère Branham et l’assemblée rient. – N.D.E.] Nous avons beaucoup de choses en commun. Je me suis dit : « Elle ne m’a jamais vu », et on avait dû me faire descendre avec des cordes et tout, pour entrer là. Alors, je l’ai envoyé prier pour le petit enfant. Je me suis dit : « Eh bien, ils ne vont pas, elle ne saura pas… faire la distinction. »
24 Et alors, je voulais reprendre à parler quand… Frère Espinosa (Beaucoup parmi vous les frères le connaissent, il vient de la Côte Ouest.) m’interprétait. Et c’était là, à côté du ring des taureaux, à Mexico City. Et j’ai regardé au-dessus de l’assistance et j’ai eu une vision d’un petit enfant mexicain assis en train de me sourire. Alors, j’ai dit : « Faites venir la petite dame ici. » J’ai donc imposé les mains au corps froid, raide et mort du petit. Ses pieds se sont mis à gigoter, et il s’est mis à crier, et–et il était là, vivant.
25 Alors, j’ai envoyé un coursier, c’est Espinosa qui l’a fait, vérifier chez le médecin, avoir une attestation avant que nous puissions écrire à ce sujet. Le médecin a écrit un affidavit, selon lequel cet enfant était mort ce matin-là dans son bureau, vers 9h, et il était 21h 30’. Et cet enfant vit aujourd’hui, en bonne santé, pour l’honneur et la gloire de Dieu.
26 Ayant donc vu beaucoup de choses se passer, nous ne devrions dire au sujet de notre frère Way là que la vérité, rien que la vérité. Dieu ne fait pas ces choses rien que pour… Il veut que cela soit connu et que les gens sachent qu’Il les aime. Et par la grâce de Dieu, frère Way est assis parmi nous ce soir, vivant. Nous en sommes reconnaissant.
27 Je me suis dit en venant que, comme on est sur un terrain de camping, je ne voudrais simplement pas interrompre ce bon moment. Billy me parlait cet après-midi, disant : « Vous parlez de la vraie Pentecôte à l’ancienne mode, a-t-il dit, attendez simplement que vous arriviez là ! » Il a dit : « Ils chantent comme s’ils avaient eu cette expérience depuis cinquante ans. »
J’ai dit : « Je pense qu’il y en a qui l’ont depuis cinquante ans , oui. »
28 Et j’aime vraiment entrer dans une réunion comme celle-là, je pense que c’est le cas pour tout le monde parmi nous, là où on entre directement dans la chose.
29 C’est comme une petite histoire que j’avais l’habitude de raconter sur la pêche. C’était là, dans le nord de New Hampshire, je pêchais la truite. Et là loin, au sommet de la montagne, j’avais dressé une petite tente là, oh ! ce genre de petite tente en forme de A, de petite tente portable du gouvernement. J’avais découvert un lieu où il y avait beaucoup de truites, c’était en-dessous d’un buisson. Et là–et là, il y avait beaucoup de saules. Chaque fois que je cherchais à tremper ma ligne, eh bien, ça s’enroulait dans le saule. Alors, ce matin-là, je me suis levé, et je suis allé là tôt, et je me suis dit que j’allais couper ces saules… Je… si je tuais un poisson, alors je le mangeais, autrement je le relâchais. J’avais donc toute la semaine, tout ce que je pouvais pour mes besoins, et j’étais là seul.
30 Et ce matin-là, pendant j’étais parti ce…, à mon retour, il y avait une vieille ourse avec ses deux oursons qui étaient entrés dans ma tente. Et vous parlez d’abîmer les choses, ils avaient vraiment très bien abîmé cela. Ils avaient tout détruit. Et je–je me suis dit… A mon retour, j’ai entendu du bruit, et j’ai regardé les petits buissons que je contournais. Et la vieille mère ourse et tous les autres passaient vraiment un moment, ils avaient fouillé partout.
31 Et elle m’a vu, elle a fui en grognant à l’intention de ses petits. L’un des petits est venu, mais l’autre n’est pas venu. Le tout petit, souple, avait cette taille-ci. Il était assis comme ça. Alors, je me suis dit : « Eh bien, qu’est-ce qui intéresse tant ce petit animal ? »
32 Et j’ai fait un tour et j’ai regardé. Je lui ai dit : « Sors de là ! Sors de là ! » Et il est resté simplement assis là. Je me suis dit… Et je surveillais la vieille mère ; en effet, vous savez, si vous vous amusez avec ses petits, elle peut vous griffer, vous savez. Alors, je–je–j’ai observé ; il y avait un arbre tout près, vous savez. J’avais un vieux pistolet rouillé qui se trouvait là dans la tente, c’était probablement brisé en ce moment-là. Et, de toute façon, je n’aurais pas voulu tirer sur cette vieille mère et laisser deux orphelins dans les bois. Alors, je continuais à surveiller cet arbre, tout en contournant, pour voir ce qui fascinait tant ce petit animal.
33 Et, vous savez, je–je–j’aime les crêpes. Nous, nous sommes tous des gens du Sud, n’est-ce pas ? [L’assemblée dit : «Amen. » – N.D.E] Ici, ce sont les flap jacks [crêpes], c’est comme ça qu’on les appelle par ici, vous savez. Alors, j’aime vraiment cela, et je–et je–je sais… il n’y a pas beaucoup de méthodiste en moi ; j’aime vraiment déverser du miel dessus. J’aime vraiment les baptiser très bien, déverser tout cela dessus. Je n’en veux vraiment pas un peu aspergé comme on en trouve par ici, une petite chose. J’aime aller là où on en déverse vraiment dessus, vous savez, et ça devient bien épais.
34 J’avais un seau d’un demi-gallon [21] du bon sorgho. Ce petit ourson avait enlevé le capuchon, il se réjouissait vraiment du miel. J’ai continué à l’observer au coin. Il prenait sa petite patte et l’enfonçait dans le seau, vous savez. Et il ne savait pas comment prendre du miel, il ne faisait qu’enfoncer sa petite patte dans mon miel, et puis la relever et lécher, une fois cela posé par terre.
35 Je vous assure, quand je me suis finalement approché et que j’ai attiré son attention, il m’a regardé. Il n’arrivait pas à me voir, il avait du miel de la tête au pied, partout. Son petit ventre était complètement couvert de miel. Et ses yeux, il n’arrivait même pas à les ouvrir pour me regarder, vous savez, pendant qu’il essayait de le faire.
36 Je me suis dit : «C’est bien. Il n’y a pas de condamnation pour ceux qui mangent. » Ça me rappelle une bonne réunion de la Pentecôte, où nous plongeons nos mains dans un pot de miel, aussi profondément que ça, vous savez, du miel de la Pentecôte.
37 Vous savez, chose étrange à ce sujet, c’est qu’après que son petit ventre était plein, et que mon seau était vide, il est allé auprès de sa maman et de son jeune frère, et sa maman s’est mise à le lécher.
38 Alors, vous savez, j’espère que nous en aurons assez sur nous ici, au point qu’une fois rentrés chez nous, ceux qui ne sont pas venus lécheront un peu de notre expérience ; nous leur raconterons les glorieuses choses que le Seigneur a faites ici à Hot Springs. Que le Seigneur vous bénisse.
39 Et maintenant, je pense, on m’a dit qu’on n’a pas été informé à temps, ou quelque chose comme cela, pour annoncer la distribution des cartes de prière, afin de prier pour les malades ; certains numéros sur des cartes, nous les appelons et nous prions pour eux. Et alors, comme ça, cela me donne une soirée pour me familiariser. Alors, demain soir, je pense qu’on va distribuer des cartes de prière, à un moment donné de l’après-midi. Est-ce cela ? Oui, vous avez déjà… A 18h ? 18h, demain soir.
40 Eh bien, je me disais que ce soir, nous prendrions juste un petit passage des Ecritures ici et que nous lirons Cela, et nous verrons si nous pouvons trouver ce que le Seigneur aura à nous dire. Et alors, juste avant que nous ouvrions le Livre, parlons à l’Auteur du Livre, alors que nous inclinons la tête.
41 Avant que nous priions, avec vos têtes inclinées, mettons donc maintenant tout de côté, les amusements de la journée, le petit sens d’humour que nous avions, parce que nous nous approchons du Roi. Y a-t-il des requêtes spéciales, dont on aimerait qu’on se souvienne ? Levez simplement la main pour dire : «Seigneur ! » Au plus profond de votre coeur, retenez bien votre requête.
42 Notre Père céleste, nous estimons ceci comme un grand privilège, ô Dieu Tout-Puissant, d’entrer dans l’assemblée du Seigneur, communier ensemble, témoigner, parler de glorieuses choses que Tu as faites et des endroits où nous avons été. Cela me rappelle bien Actes 4, dans la Bible, quand ils étaient revenus et qu’ils parlaient de ce que le Seigneur avait fait. Et ils ont tous prié, et l’endroit où ils étaient assemblés fut secoué.
43 Ô Dieu, ce soir, nous ne désirons pas tant voir ce bâtiment être secoué, mais nous voulons que Toi, Tu nous secoues, Seigneur. Secoue notre entendement. Secoue notre être, nos émotions, le coeur de notre entendement, afin que nous puissions partir d’ici ce soir, plus déterminés que jamais auparavant à Te servir, que nous puissions ressentir la Présence de cette nouvelle Pentecôte fraîche du Saint-Esprit, se déversant sur nous, encore et encore comme là, dans ces bois et sur ces collines de l’Arkansas, il y a cinquante ans, quand nos aïeux étaient venus ici, montés sur des chevaux et à bord des wagons, prêchant cet Evangile. Bien-aimé Seigneur, puissions-nous, nous qui portons cette grande cause noble que Tu as envoyée ici, puissions-nous ne pas avoir honte de cette glorieuse Chose, mais puissions-nous marcher sur les traces de ceux qui nous ont précédés, Seigneur, portant la bannière du Seigneur Jésus.
44 Que les autres, ceux qui n’ont pas encore accepté ce glorieux plan du salut que Dieu a élaboré pour nous dans les Ecritures, annoncé depuis les temps anciens dans l’Ancien Testament, et dont nous nous réjouissons aujourd’hui, qu’il y ait une grande secousse parmi nous, Seigneur, et un renouvellement de la foi et–et un renouvellement des efforts.
45 Je Te remercie pour cette convention, pour ce groupe de gens qui tiennent encore ferme, Seigneur. En cette heure d’épreuve qui est venue sur la surface de la terre, pour éprouver ceux qui confessent être chrétiens, puissions-nous être trouvés à la fin dignes d’entrer dans les joies du Seigneur, qui ont été préparées pour les rachetés, depuis la fondation du monde. Bénis Ta Parole.
46 Seigneur, souviens-Toi de chaque main qui a été levée. Tu connais l’objectif, Tu connais le motif, Tu connais la requête qui est derrière cette main. Je Te prie, ô Dieu, d’accorder cela à tout le monde. Que tout homme qui… ou toute femme, jeune garçon ou jeune fille, qui a levé la main, qui voulait plus de salut, ou une marche plus intime, ou Te connaître comme son Sauveur, qu’il ne quitte point les lieux sans que cette requête soit exaucée.
47 Pour ceux qui sont malades et nécessiteux, nous prions, ô Dieu, qu’il y ait une telle vague de guérison à cet endroit qu’il n’y aura personne de faible qui quittera ce lieu telle qu’elle était venue. Toi qui peux ressusciter un homme d’entre les morts et nous le présenter, cela montre que Tu es le même Dieu qui s’était tenu à la tombe de Lazare, qui l’avait appelé à sortir d’entre les morts. Père, que l’on sache que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voici parmi nous, ce soir, quelqu’un qui, il y a quelques jours, a été rappelé à la vie, depuis le pays qui est hors de la portée de la connaissance de l’homme. Combien nous T’en sommes reconnaissants !
48 Bénis-nous ensemble maintenant pendant que nous étudions Ta Parole, car, en vérité, Ta Parole est la Vérité. Toi et Ta Parole, Vous êtes Un. Ils ne peuvent pas être séparés. Nous implorons donc Tes bénédictions sur nous, Père, alors que nous nous attendons à ce que Tu nous parles ce soir, par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.
Maintenant, s’il vous plaît, j’aimerais prendre les Ecritures, et autres.
49 Je m’étais un peu couché sur le lit et je me suis endormi. Tout d’un coup, vous savez, Billy est venu et a dit : «Allons. »
J’ai dit : «Veux-tu dire qu’il est temps d’aller à l’église ? » Et j’ai dû prendre quelques passages des Ecritures que j’avais utilisés auparavant pour–pour m’en servir dans la prédication de ce soir.
50 Et je me suis dit que peut-être on aurait distribué les cartes de prière et qu’on priera pour les malades et autres. J’ai remarqué, depuis que je suis arrivé ici, qu’il y a deux personnes couchées sur des civières, peut-être qu’elles sont venues pour qu’on prie pour elles ce soir.
51 Eh bien, et–et Billy est revenu, il a dit : «Je ne suis simplement pas arrivé à temps, papa. » J’en ai parlé. Il a dit : «Nous allons–nous allons essayer cela demain soir. »
52 J’ai dit : «Très bien, voyez si vous pouvez amener les frères à distribuer quelques cartes. »
53 Ainsi donc, j’aimerais que vous preniez avec moi le–le deuxième Livre des Rois, chapitre 1. Et puis, j’aimerais aussi que vous preniez Jérémie, chapitre 8, verset 22. Lisons juste un passage de ces Ecritures. Moab se révolta contre Israël, après la mort d’Achab. Or, Achazia tomba par le treillis de sa chambre haute à Samarie, et il en fut malade. Il fit partir des messagers, et leur dit : Allez, consulter Baal-Zebub, dieu d’Ekron, pour savoir si je guérirai de cette maladie. Mais l’Ange de l’Eternel dit à Elie, le Thischbite : Lève-toi, monte à la rencontre des messagers du roi de Samarie, et dis-leur : Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël que vous allez consulter Baal-Zebub, dieu d’Ekron ? C’est pourquoi ainsi parle l’Eternel : Tu ne descendras pas du lit sur lequel tu es monté, car tu mourras. Et Elie s’en alla.
54 Et aussi, dans le Livre de Jérémie, chapitre 8, verset 22 : N’y a-t-il point de baume en Galaad ? N’y a-t-il point de médecin ? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas ?
55 J’aimerais parler, si nous pouvons l’appeler sujet, sur : Pourquoi ? C’est une–c’est une question, et c’est Dieu qui pose cette question.
56 Et Dieu est Eternel. Nous savons qu’Il l’est. Il est Eternel. Il n’a jamais eu de début, ou Il ne peut jamais avoir de fin. L’éternité n’a jamais commencé, elle ne se terminera jamais, car c’est éternel.
57 Et Dieu ne peut pas changer d’avis ni de procédé. C’est pourquoi nous, en tant que peuple, nous n’accepterons jamais des credo, si cela est contraire à la Parole, parce que nous croyons que Dieu et Sa Parole, c’est la même chose. Nous croyons que la Bible dit, dans Saint Jean, chapitre 1 : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous. » Par conséquent, quand Dieu dit quelque chose, Il ne peut pas, demain ou à un autre moment, revenir sur cela ; si jamais Dieu a été appelé à entrer sur scène pour prendre une décision, Son unique décision est éternelle. Elle ne peut jamais être changée.
58 Et Dieu a été appelé à prendre une décision pour la race humaine, dans le jardin d’Eden, après que le premier péché avait été commis. Pouvait-Il donc racheter Son enfant perdu pour le ramener dans la communion avec Lui une fois de plus ? Alors, Il a élaboré un programme. Cela n’a jamais changé, et c’est par le sang. Et suivez les Ecritures, cela n’a jamais varié ni changé, et cela ne le peut jamais, parce que c’est la décision de Dieu, c’est par le Sang. Mais nous, nous avons essayé de changer ça. Nous avons essayé d’en faire une instruction. Nous avons essayé d’en faire une dénomination. Nous avons essayé de faire tout ce qui relève du pouvoir de l’homme, essayer de changer Cela, comme Adam avait fait avec les feuilles de figuier et autres. Mais cela subsiste toujours. Le Sang, c’est l’unique lieu de communion.
59 C’est pourquoi nous pouvons nous rassembler ce soir, non pas comme une dénomination, peut-être beaucoup parmi nous se réunissent... Mais nous ne pouvons pas nous tenir ici pour représenter une dénomination, nous devons nous tenir ici dans cette communion, sous le Sang de Jésus-Christ. Nous pouvons tous être des frères et des soeurs. Dieu fraye une voie pour l’homme, et puis l’homme refuse de suivre cette voie-là, alors Dieu a le droit de demander : «Pourquoi avez-vous fait cela ? » Et c’est ce qu’Il avait alors demandé, et c’est ce qu’Il demande aujourd’hui, et c’est pourquoi Il… c’est ce qu’Il demandera au Jugement. Il a demandé : «Pourquoi ? »
60 Eh bien, notre passage des Ecritures a commencé juste après la mort d’Achab, un mauvais roi, un croyant frontalier, un homme qui connaissait ce qui était bien à faire, et qui cependant n’avait pas le courage de s’avancer pour faire ce qu’il savait être bien.
61 Je me demande bien si ce–ce monde n’est pas contaminé aujourd’hui avec des Achab. Ce christianisme dans lequel nous vivons, il est contaminé avec des Achab, avec des hommes qui savent que c’est bien de consacrer sa vie pour être… à Dieu, et être remplis de l’Esprit, et suivre les enseignements de cette Bible, et qui cependant n’ont pas le courage de se lever et de faire cela. Ça me rappelle une situation identique à Sodome.
62 La Bible dit : «Les péchés de Sodome vexaient journellement l’âme du juste Lot. » Et comment l’âme de cet homme juste, qui voyait les péchés du pays et savait que c’était faux et que ces gens agissaient mal, et cependant n’avait pas le courage de prendre position pour ses convictions…
63 Il n’est pas étonnant que le monde entier soit devenu une Sodome et Gomorrhe, et que les Lot d’aujourd’hui, à travers le pays et à travers le monde, se tiennent dans des églises, convaincus que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que Sa puissance est aussi réelle aujourd’hui qu’elle l’a toujours été, ils n’ont pas le courage de se tenir à la chaire et de dénoncer le péché, à cause d’une barrière qui les excommunierait d’une communauté à laquelle ils ont adhéré. On en revient toujours au Sang de Jésus-Christ, l’unique remède.
« Pourquoi ? Pourquoi ? »
64 Achazia était–était le fils d’Achab, il avait grandi dans une espèce de foyer qui–qui était tiède. Il n’était pas tout à fait chrétien. Sa mère était une païenne. Et son père l’avait épousée en dehors de la communauté, il avait épousé une femme qui n’était pas une croyante.
65 Et cela a toujours formé un mauvais foyer où grandir pour n’importe quel enfant, là où l’incrédulité et la foi cherchent à se mélanger.
66 Et, alors, si le père pouvait être un homme très fort dans sa foi, cet enfant aurait eu une meilleure possibilité, mais il–il n’en a pas eu. Il n’en a pas eu. Il savait que Dieu existait. Il savait que Jéhovah existait. Et alors, il… les dieux de sa mère et autres. Il était tout embrouillé. Puis, après la mort de son père, ce garçon, se retrouvant dans cette situation, était un peu embrouillé, d’une façon ou d’une autre.
67 Et si ce n’est pas là le tableau du pays aujourd’hui ! En famille, l’un est comme ceci, l’autre dans l’autre sens ; l’un va dans telle direction, l’autre dans telle autre. Il n’est pas étonnant que nous produisions tant de délinquance juvénile et toutes espèces de sottises, au nom du christianisme. C’est par manque d’unité. Il n’y a pas de véritable appel à sortir et de prise de position pour Dieu.
68 Nous voyons donc que cet homme avait hérité le trône de son père. Un jour, il était quelque part là, au balcon, en train de marcher, il–il est tombé par le–le treillis. Peut-être qu’il s’était enivré et il est tombé par le treillis, probablement qu’il est tombé par terre, qu’il a cogné un banc ou quelque chose comme cela, il s’est fracturé quelques côtes ou il s’est meurtri. Et la maladie avait dû commencer une infection quelque part, ou une contusion, et cela lui a causé une fièvre. Et il était très malade.
69 Evidemment, en ces jours-là, il n’y avait pas de médicaments qu’on a aujourd’hui. Peut-être que les médecins étaient venus et avaient fait tout leur possible pour cet homme, mais ce n’était pas suffisant. Alors, il a reconnu que la seule chose qui pouvait marcher, c’était de recourir à une puissance plus élevée que ce que le médecin pouvait produire suivant la terminologie de leur médecine. Alors, il s’est donc dit qu’il irait… qu’il se référerait à sa mère.
70 Quelle leçon ça devrait être pour les mères ! Un enfant écoutera généralement sa maman.
71 Et il est allé auprès de son… il a envoyé consulter le dieu de sa mère, Baal-Zebub, là à Ekron, là où se trouvait sa statue, son monument. Il a dit : «Allez consulter les prêtres qui sont là-bas, qu’ils consultent la statue de Baal-Zebub, pour savoir si je vais me rétablir de cette maladie ou pas. »
72 Mais, vous savez, cet homme-là, en fait, pouvez-vous vous l’imaginer ? Les gens qui étaient censés craindre Dieu, qui laissent un tel homme les diriger, c’était à cause de la tiédeur. C’était l’état dans lequel l’église était plongée, qui avait amené un tel homme au pouvoir, ou le lui avait permis. Je ne pense pas que le temps ait beaucoup changé ; les gens semblent toujours être, dans tous les cas, les mêmes. Laisser un tel homme régner, avoir de l’autorité dans le pays, quelqu’un qui consulte une statue faite suivant une conception païenne, au sujet de son état.
73 Et alors, vous savez, mais derrière tout cela, peu importe combien on dirait que Dieu avait détourné Son visage du peuple, Il fait de fois cela pour voir quel genre d’attitude vous affichez. Chaque fils qui vient à Dieu doit être éprouvé et châtié.
74 Et alors, il y a un petit point dans un homme, ou une femme, une fois qu’il est né de l’Esprit de Dieu, qui est éternel.
75 Et on en arrivera de fois à ce que chaque… Tout ce qu’il y a d’humain en vous, le raisonnement, le diable peut vous dissuader par le raisonnement. Mais une fois que tout cela écroulé, alors, si cette Vie Eternelle n’est pas là, vous allez aussi tomber, parce que vous pouvez vous éloigner de Dieu par des raisonnements.
76 Mais un homme qui prétend être un chrétien, il n’a pas le droit d’être à la chaire, ou il n’a pas le droit d’exercer un office, d’être un conducteur quelque part, à moins qu’il ait d’abord gravi les marches jusqu’à atteindre le niveau où il est né de l’Esprit de Dieu, rempli du Saint-Esprit, au point que personne ne peut l’en dissuader.
77 Quand Dieu a envoyé Moïse en Egypte pour libérer le peuple, premièrement, Il l’a amené derrière le désert. Il l’a dépouillé de toute sa théologie, pendant quarante ans, et puis, Il lui est apparu. Il a su plus au sujet de Dieu dans cinq minutes, en étant dans la Présence de ce buisson ardent, qu’il n’en savait pendant quarante ans d’instruction qu’il avait reçue.
78 C’est ce dont l’église a besoin ce soir, d’une autre expérience du buisson ardent, là les gens avec des langues fendues… là, les Ecritures disent : «Les deux esprits seront si proches dans les derniers jours, que cela séduirait les élus si c’était possible. »
79 Un homme devrait premièrement se retrouver sur cette terre sacrée avec Dieu ; là, tous les théologiens, tous les docteur en théologie, tous les raisonnements, tous les athées, rien d’autre ne peut jamais l’en dissuader. Il a était là quand Dieu est arrivé, il sait ce qui est arrivé. Vous ne pouvez pas en dissuader ; il était là quand la chose était arrivée. C’est de ce genre d’homme dont nous avons besoin aujourd’hui au gouvernement, dans l’église, partout ailleurs, en des temps comme ceux-ci. Pour le leadership, nous avons besoin d’un homme qui est rempli du Saint-Esprit.
80 C’est ce dont l’église a besoin aujourd’hui ; non pas d’un théologien, mais d’un homme né de nouveau, rempli de l’Esprit, rempli du Saint-Esprit. Je vous assure, si nous en avions plus, l’église paraîtrait un état un peu différente ce qu’elle est présentement. Les choses seraient différentes si seulement nous avions plus d’hommes remplis de l’Esprit de Dieu, qui ne suivent pas les traditions des anciens et autres.
81 Eh bien, nous voyons que cet homme a envoyé se renseigner auprès du dieu d’Akron, Baal-Zebub.
82 Mais, tout le temps, Dieu savait qu’il faisait ça. Alors, il avait un prophète là, du nom d’Elie, Il a donc parlé à Elie et a dit : « Va là sur une certaine route, et tiens-toi sur le chemin. Des messagers arrivent. » Vous savez, vous ne pouvez rien cacher à Dieu, voyez, peu importe ce que vous faites. Eh bien, peu cet homme savait-il que Dieu parlait à Elie là très loin, quelque part dans le désert, où il y avait un peu de boue, mais quelque part, qu’il pouvait lui dire : « Va te tenir au coin de la route là, et parle à ces hommes, dis-leur : Rentrez auprès de lui, et dites-lui : AINSI DIT LE SEIGNEUR, il ne descendra pas de ce lit là. »
83 Et Il a dit : « Demande-lui : ‘Pourquoi as-tu fait ça ? Qu’est-ce qui te fait faire cela ? Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël ? Est-ce parce qu’Il n’a pas de prophète ? Est-ce pour cette raison que tu as fait cela ? Eh bien, vous savez ce qui est arrivé. Vous connaissez les Ecritures. Vous les avez dans votre propre palais. Ces prêtres sont là. Sans doute que vous avez lu cela depuis votre jeunesse. Et pourquoi avez-vous fait une chose aussi insensée que ça ?’ »
84 Ce soir, je me demande si Christ entrait en scène, ou dans le pays, aujourd’hui, et qu’Il amenait cette nation en jugement, si cette même question ne serait pas posée. Pourquoi ça – ça ? Pourquoi faisons-nous ces choses ? Pourquoi nous disputons-nous au gouvernement, si nous devions lire la Bible en public, et, eh bien, alors que nous lisons tous ces non-sens ? N’est-ce pas nos aïeux qui ont élaboré cette constitution ? Cette nation n’est-elle pas née sur base des principes de la Bible ? Ne sommes-nous pas ici pour la liberté de religion, pour agir vis-à-vis de Dieu selon ce que nous trouvons convenable, selon que nous sommes convaincus que c’est la Vérité ?
85 Mais, vous voyez, nous avons agi comme eux autrefois. Nous avons simplement laissé tout, la politique, nous engloutir, plutôt que respecter notre foi dans notre Dieu, et un homme qui a pris position pour la Vérité. Et nous laissons notre politique régner sur cela, voter pour pareille sottise qui souille ce pays, pendant que nous allons à un jugement. Dieu entrera en scène un jour, avec un puissant prophète, Il parlera à cette génération et–et dira aux gens, et ils verront que c’est Dieu qui parle, mais ils ne se repentiront pas. Ça sera exactement comme autrefois.
86 Il a dit : «N’y a-t-il point de Dieu en Israël ? Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu ? » C’est la même chose que Jérémie a dit : «N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de médecin là ? » Alors, ils ne pouvaient pas donner des réponses à cela. Evidemment, il y en avait. Bien, Il a dit : «Alors, pourquoi, pourquoi avez-vous fait cela ? Pourquoi la fille de mon peuple n’est-elle pas guérie ? »
87 Eh bien, c’est ce que nous nous demandons ce soir. Pourquoi ? N’y a-t-il pas de Bibles ? N’y a-t-il point de Dieu ? N’y a-t-il pas de changement ? Si Dieu va amener les gens en Jugement, Il doit avoir quelque chose par lequel les juger. Il doit y avoir un étalon.
88 S’Il va les juger par l’Eglise catholique, si donc Il les juge par l’Eglise romaine, l’Eglise grecque est perdue, les autres églises catholiques sont perdues. S’Il jugeait cela par les Grecs, les Romains seraient perdus. S’Il jugeait cela par les luthériens, les méthodistes seraient perdus. S’Il jugeait cela par les méthodistes, les luthériens seraient perdus. Il ne peut pas juger cela par une église ; il y a beaucoup de différentes organisations.
89 Mais Dieu jugera le monde, a-t-Il dit, par Jésus-Christ. Et Jésus-Christ est la Parole, et la Parole est Dieu. Et Il les jugera par cette Bible, car ceci est la Parole. C’est l’étalon de Dieu. Nous devons prendre ce que la Bible dit comme notre unité de mesure.
90 Et nous nous demandons pourquoi nous avons tant de confusion, tant d’organisations, tant de divergences, tant de division parmi les frères, et–et tout. Est-ce parce qu’il n’y a pas de baume en Galaad ? Est-ce parce qu’il n’y a pas de médecin là ? Je me demande si Dieu nous posait cette question-là.
91 Eh bien, ce n’était pas–ce n’était pas exactement qu’ils n’avaient pas un médecin. Ils en avaient. C’est Dieu qui était le Médecin. Et ce n’est pas parce qu’il n’y avait pas de Dieu en Israël. Dieu était là. Et ils avaient un prophète à consulter, pour savoir ce qu’étaient ces choses. Mais c’était l’entêtement du roi. C’est exact.
92 Et c’est ça le problème dans le pays aujourd’hui. c’est l’entêtement des gens. Ce n’est pas que nous n’avons pas le même Dieu qui avait fait traverser la mer Rouge à Son peuple, qui les avait nourris pendant quarante ans dans le désert. Ce n’est pas que nous n’avons pas le même Dieu qu’on avait au commencement. C’est l’entêtement des gens. Ils ne veulent pas s’humilier. Ils ne veulent pas avoir à faire avec la sainteté, la manière pure de vivre selon la Bible. Ils préfèrent être membres d’église, inscrire leurs noms dans un registre, vivre comme le reste du monde plutôt que de s’incliner devant les promesses et les commandements du Dieu Tout-Puissant. C’est ça le problème aujourd’hui. C’est pourquoi les choses se passent telles qu’elles se passent, les gens s’éloignent de la Parole. Vous ne pourrez jamais être en mesure de vous mettre en ordre tant que vous ne reviendriez pas sur le bon chemin.
93 Si en construisant ce bâtiment, on plaçait cet angle quelque part ici, on n’aurait jamais construit ce bâtiment. Vous devez vous reposer sur la fondation. Et la fondation, c’est la Bible, la doctrine des apôtres et des prophètes, et des autres, dans la Bible.
94 L’entêtement du roi. Il ne voulait vraiment pas envoyer là. Ce n’était pas très populaire.
95 Le véritable mode de Vie de Dieu n’a jamais été populaire. Il ne sera jamais populaire. « Car la prédication de l’Evangile, c’est de la folie pour ceux qui périssent. » Paul a dit : « Je n’ai point honte de l’Evangile de Jésus-Christ, car c’est une puissance de Dieu pour le salut de ceux qui croient. »
Eh bien, nous voyons ici que le roi était obstiné.
96 C’est comme aujourd’hui, un patient qui se couchera juste sur un… Qu’arriverait-il si un patient allait chez un médecin, se couchait sur les marches, alors qu’il a attrapé une espèce de fièvre qui allait le tuer et que le médecin venait à la porte et disait : «Monsieur, j’ai des médicaments ici à l’intérieur? »
Il dit : «Ah ! Je n’en veux pas. »
« Entrez, je vous donnerais une piqûre, une inoculation… »
« Je ne veux pas de vos médicaments. »
97 Et dites donc : «Monsieur, je–je peux bien vous aider si seulement vous entrez. »
« Eh bien, je ne vais pas entrer. »
98 Et cet homme reste étendu là sur les marches, de chez le médecin et il meurt ; il meurt sur les marches de chez le médecin, parce qu’il n’a pas voulu d’une inoculation contre la fièvre typhoïde ou quoi que ce soit, qu’il avait. Il n’a pas accepté une inoculation contre cela, cet homme meurt là même sur les marches de chez le médecin. Eh bien, cet homme… on ne peut pas blâmer le médecin, s’il a le–le médicament qui va–qui va soigner la maladie, le médecin est disposé à le donner, et il y a été pourvu. Et cet homme reste assis là, il est arrivé jusque sur les marches de chez le médecin, il s’est assis là et il est mort ; on ne peut pas blâmer le médecin. On ne peut pas condamner le médicament. C’est l’homme qu’il faut condamner ; il est mort sur les marches de chez le médecin, d’une maladie contre laquelle il y avait des médicaments, qui pouvait être soignée, à l’intérieur. Eh bien, ce n’est qu’une parabole.
99 Mais, vous savez, Dieu a le médicament dans Son Royaume, qui guérira chaque maladie du péché qu’il y a au monde, et les gens restent assis juste sur les marches de l’église. Non seulement cela, mais ils restent assis juste dans le banc et meurent, ils sont perdus et vont en enfer, parce qu’ils refusent d’accepter les médicaments du médecin. Amen. C’est vrai. Ils refusent catégoriquement d’accepter les médicaments du médecin, par conséquent, ils meurent de fièvre.
100 Et les gens s’assoient à l’église, écoutent les messages de Dieu, les croient, mais ils ne les acceptent pas. Ils ne diraient pas : «Eh bien, là je ne crois pas que c’est vrai. » Certains parmi eux viendront, diront qu’ils acceptent Cela, disant : «Je crois que c’est vrai », mais vous ne le ferez pas. Voyez, vous mourrez. Mourir sur les bancs de l’église, parce qu’ils ne veulent pas accepter le remède. Ils n’en veulent pas. Voyez, ce que ça fait, ça ôté un peu de–de popularité. Et cela le désarçonne un peu.
101 Ils ont peur de cette nouvelle naissance. Vous savez, toute naissance est un gâchis, peu m’importe où elle a lieu. Que ça soit dans un enclos des cochons, ou dans une chambre d’hôpital peinte en rose, c’est un gâchis, et c’est pareil pour la Nouvelle Naissance. Cela vous fera faire des choses que vous ne pensez pas faire. Cela vous redressera. Mais avant que vous puissiez donc vous mettre en ordre, il vous faut passer par ce gâchis-là. C’est vrai. Amen. Avant qu’une semence puisse renaître, elle doit mourir et pourrir. Et c’est ça le problème avec les gens aujourd’hui, ils ne veulent pas mourir et pourrir au monde, afin qu’ils puissent naître de nouveau du Saint-Esprit. Voyez, c’est vrai. Ils ont peur de cette Nouvelle Naissance. Ils ont–ils ont peur.
102 Cela les amène à faire des choses qu’ils ne veulent pas faire. Cela les dépouille de la popularité. Cela fait qu’ils ne soient plus raides. Oh ! Je vous assure, je suis content qu’il y ait une inoculation ce soir, qui vous dépouillera de cela, frère, qui vous dépouillera du monde. Cela rendra des gens des frères, cela les unira peu importe les divergences dénominationnelles. Cela va–cela va faire que quelqu’un en salopette passe son bras autour de celui qui est en smoking et crie : « Frère, je suis content de te voir ! »Amen. Assurément ! Mais vous… Ils ont peur de cette inoculation. Oh ! la la !
103 C’est dangereux de refuser le médicament que donne le médecin, vous savez, si vous–si vous êtes allé le voir. Et on a peur de… Si vous refusez le médicament, c’est dangereux, vous pouvez mourir. Mais cela, cela, vous allez simplement mourir dans le corps, pour n’avoir pas pris le médicament du médecin. Mais combien plus dangereux de refuser l’inoculation de Dieu contre le péché !–E-
104 Il y a quelque temps, j’avais attrapé une petite maladie, quelqu’un me parla, disant : « Eh bien, Billy, dit-il, avez-vous gardé votre religion pendant que vous étiez malade ? » Il a dit : « Vous savez, vous croyez dans la guérison divine, avez-vous gardé votre religion ? »
105 J’ai dit : « Non, c’est elle qui m’a gardé. Je n’ai même pas eu à l’esprit de la garder ; c’est elle qui me garde. »
106 Quand le Sang de Jésus-Christ a été versé au Calvaire, Dieu a fait des préparatifs. Quand l’homme avait péché pour la première fois, il s’est fait un grand gouffre, qu’il avait traversé, se privant de la possibilité de retourner. Dieu, riche en miséricorde, a accepté un substitut, c’était le sang d’un agneau ou d’un bouc, et ce substitut a duré pendant des années.
107 Moïse se tenait sous l’inspiration de Dieu, alors que le péché n’était même pas séparé, il n’était que couvert par le sang des taureaux et des boucs. Et il avait sur lui la–la gloire de Dieu, au point qu’il pouvait faire venir les mouches à l’existence par la parole, il pouvait faire venir des grenouilles à l’existence par la parole. En effet, une parole est une pensée exprimée, et Dieu avait placé Ses pensées en Moïse, et Moïse les exprimait en paroles. Et quand la Parole a été proclamée, le monde entier avait été formé par la Parole de Dieu.
108 Il y eut un temps, quand j’allais à l’école, j’attrapais de l’encre noire sur ma chemise. Maman m’enlevait la chemise et disait : « Donne-moi ça vite, mon chéri. » Et elle appliquait le kérosène de charbon là-dessus. Et tout ce que ça faisait, c’était juste éparpiller cela, et ça formait une tache en forme d’un très grand anneau, là où elle avait appliqué le kérosène de charbon sur l’encre. C’est tout ce qu’elle savait. C’était le meilleur qu’elle avait.
109 Mais aujourd’hui, c’est différent. On a fabriqué un produit appelé le décolorant. Et vous… C’est un produit chimique tel que n’importe quand qu’une goutte d’encre tombe dans ce clorox, ce décolorant, je ne sais quoi, quand ça le touche, on ne peut plus retrouver cette tache noire, pas du tout. Qu’arrive-t-il à cela ? Laissez tomber une goutte d’encre noire dans un bassin de décolorant, eh bien, vous n’avez rien. Vous ne pouvez pas retrouver de gaz.
110 Si j’étais un chimiste, ces–ces mots peuvent ne pas être tout à fait vrais selon la science, mais je dirais, qu’est-ce ? « C’est un H2O, l’eau ; ça, c’est une chose. Ensuite, il y a des produits chimiques là-dedans, c’est ce qui a rendu cela noir. » Il n’y a qu’une seule couleur originelle, c’est le blanc. Toutes les autres couleurs sont ses dérivées. Et maintenant, je dirais… Et alors, si vous décomposez cela à partir de là, et peut-être que vous diriez : « Eh bien, cela s’est transformé en acide après que ça a touché le décolorant. C’est devenu un acide. » Très bien. Alors, où est allé cet acide ? « L’acide est retourné… »
Eh bien, c’est du colorant qui est là dedans dont on parle, le colorant.
111 Disons : « Cela est redevenu des molécules. Eh bien, disons, molécule 4 x 6 + 9, ça donne molécule H. » Et si c’était 4 + 6 + 8, qu’est-ce que ça donnerait ? Rose plutôt que noire. Puis, cela a changé de cet état et c’est devenu des atomes. Ensuite, atomes + 1 + B2 + 3, ça donne 4. Ajoutez à cela la molécule H, ça fait quoi ? Alors, vous retournez au noir. Et puis, quand vous allez au-delà de ça, vous pouvez atteindre les électrons.
112 Où allez-vous à partir de là ? Il vous faudra remonter. En effet, c’est une création, ça a dû provenir d’un Créateur. Il vous faut faire ça. Par conséquent, cela est retourné tout droit à son Créateur. Ce colorant qui était dans cette encre-là, ça ne peut jamais revenir.
113 Eh bien, Dieu avait vu que le sang des taureaux et des boucs ne pouvait pas ôter le péché. Il n’a jamais fabriqué, mais Il a créé un produit chimique dans le Sang de Jésus-Christ. Amen ! Une fois le péché correctement confessé, vous–vous n’avez même pas à jeter un pont sur ce gouffre-là, vous ôtez complètement le gouffre, et Dieu ne sait même pas que vous ayez jamais péché. C’est vrai. Il a dit qu’Il les placera dans la Mer de l’oubli, pour ne plus s’en souvenir à votre charge. Alors, les hommes et les femmes se tiennent dans la Présence de Dieu, comme des fils et des filles de Dieu, avec la nature même de Dieu dans leurs coeurs.
114 Où est l’Eglise aujourd’hui, mon frère ? Qu’est-il arrivé à l’Eglise ? Alors que nous pouvons voir que le Sang de Jésus-Christ a ôté les péchés, au point que Dieu ne peut même pas se souvenir que nous avions péché. Puis : « Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai. » Quel est le problème ? C’est parce que quelqu’un a tellement embrouillé ces passages des Ecritures pour les gens. C’est tout ce qui se passe, à mon avis. En effet, le remède de Dieu demeure toujours le même. Eh bien, s’il est dangereux de rejeter l’inoculation du médecin, à combien plus forte raison l’est-il pour celle de Dieu !
115 Eh bien, comment l’homme trouve-t-il donc le médicament après tout, comme il l’expérimente sur un être humain ? Vous savez ce que font les chimistes, ou–ou les hommes de science ? Ils prennent une maladie, ils découvrent le genre de microbe qu’il y a là-dedans, ensuite ils prennent une espèce de poison, l’antidote et autres, assez de poison pour vous tuer, assez d’antidote, pour l’empêcher de vous tuer, et ils injectent cela premièrement dans un cobaye. Ils contaminent le cobaye d’une maladie que vous, vous avez. Et ensuite, ils injectent le médicament dans le cobaye, et si ce cobaye survit à cela, alors on vous l’administre. C’est bien une chose, vous savez ; donner cela au cobaye pour voir s’il peut supporter cela et, si le cobaye ne meurt pas, alors on vous l’administre. Ce n’est pas que tout–que tout le monde soit comme le cobaye, vous savez, cela–cela peut donc tuer quelqu’un et–et aider l’autre.
116 Mais il y a une seule chose au sujet de cette inoculation que Jésus-Christ administre, cela aide tout le monde. Ce n’est pas un remède ; c’est une cure.
117 Vous avez entendu les gens dire aujourd’hui : « Le tueur numéro un, c’est la maladie du coeur. » Je–je suis en désaccord avec eux ; non pas pour être particulier, je suis simplement en désaccord parce que je sais que ce n’est pas vrai. Le tueur numéro un, c’est la maladie du péché. Exact, pas–pas du tout la maladie du coeur, c’est la maladie du péché.
118 Vous savez, certaines personnes disent : « Eh bien, maintenant, Frère Branham, je crois que vous avez un peu étendu la couverture là, maintenant, laissez-moi vous poser une question. Un homme doit pécher ; je dois simplement pécher un peu chaque jour. » C’est parce que vous n’avez jamais été inoculé. C’est tout. Voyez ? Oui, oui. Oui. Vous n’avez jamais essayé le remède de Dieu. C’est vrai. Si vous l’aviez fait, vous ne feriez donc pas cela.
119 Disons : « Il me faut bien fumer. Quelque chose me pousse à fumer. » Essayez une fois l’inoculation, et voyez si–si ça marche ou pas. Vous direz : « Je–je n’arrive simplement pas à m’en abstenir. Je–je… » Eh bien, prenez une fois juste–juste la toxine de Dieu et voyez comment ça agit chez vous.
120 Une femme m’a dit, il n’y a pas longtemps, je m’en prenais à elle à cause du port de ces petits habits scandaleux. Et elle a dit : « Eh bien, Frère Branham, laissez moi vous le dire, vous n’avez pas le droit de dire cela. Nous avons le droit de porter les habits courts si nous le voulons. »
121 J’ai dit : « Je pense que c’est vrai. Mais si vous étiez une chrétienne, vous n’aimeriez pas les porter. » Elle a dit, elle a dit…
122 Et elle a dit : « Eh bien, attendez donc, Frère Branham. » Elle a dit : « Vous savez, on ne fabrique plus ce genre de tissus ; il n’y a que ces habits sexy, et autres comme cela. »
123 J’ai dit : « On produit toujours des rouleaux des tissus et on fabrique des machines à coudre. Il n’y a pas d’excuse. » C’est vrai.
124 C’est parce qu’on ne veut pas prendre cette inoculation des remplissages par le Saint-Esprit avec une sainteté à l’ancienne mode des sauvés de Dieu. Amen. C’est vrai.
125 Autrefois, c’était mal de faire ces choses. C’est toujours mal ! C’est vrai. Mais le problème, c’est que quelque chose est arrivé. Autrefois, les gens qui agissaient comme cela étaient même excommuniés de la société ; aujourd’hui, on ne peut pas les intégrer dans la société à moins qu’ils fassent cela. Et alors, vous voyez, ça dépend de là où est votre coeur, c’est là aussi que se trouvent vos trésors ; ou plutôt là où se trouve votre trésor, c’est aussi là que se trouve votre coeur. Vous devez vous souvenir que, si vous aimez le Seigneur de tout votre coeur, vous mènerez une vie pure et nette.
126 Ma femme et moi, nous allions à un super-marché, ici, il y a quelque temps. Nous avons vu une chose étrange, une femme en robe. C’était une chose étrange dans notre contrée. Alors Meda m’a dit, elle a dit : « Bill, je sais que certaines de femmes chantent dans des chorales ici dans les églises. » Et elle a dit : « Je les connais. » Et elle a dit : « Eh bien, eh bien, qu’est-ce qui les prend? »
127 J’ai dit : « Eh bien, tu vois, chérie, ai-je dit, étant un missionnaire moi-même, ai-je dit, nous–nous sommes d’un autre pays. »
Elle a dit : « Quoi ? »
J’ai dit : « Nous venons d’un autre pays, d’une autre nation. »
Elle a dit : « Ne sommes-nous pas Américains ? »
128 J’ai dit : « Nous habitons ici, mais ceci n’est pas notre maison. Nous sommes des pèlerins. Nous cherchons une cité dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. Je suis allé en Finlande, j’ai vu comment ils agissaient en Finlande. Je suis allé en Allemagne, j’ai vu comment est l’esprit allemand. Je suis allé en Suisse, les gens ont l’esprit suisse. Je suis venu en Amérique, ils ont un esprit américain. »
Elle a dit : « Eh bien, alors, qu’en est-il de nous ? »
129 J’ai dit : « Nous sommes nés d’En Haut, du Ciel, là où il y a la pureté, la sainteté, la justice et l’honnêteté. » Oui. J’ai dit : « C’est pourquoi ceux qui confessent cela ne comptent pas sur les choses du monde. Mais nous déclarons ouvertement, de par notre vie et notre mode de vie, que nous avons un Dieu, nous avons un Royaume, nous avons un lieu où nous nous rendons. Et ceci n’est pas notre demeure. » Amen.
130 Oh ! la la ! J’aime ça ! Je commence à me sentir très religieux maintenant même. Oui, oui. Je crois dans ce salut à l’ancienne mode par le Saint-Esprit. Oh ! frère, soeur, ça vous fait quelque chose. Le même Dieu qui a vécu autrefois vit toujours aujourd’hui. Sa même–Sa même doctrine de sainteté, est tout aussi vivante ce soir que jamais, exactement la même chose. Oui, oui. Remarquez, les gens se sont éloignés de la doctrine sur ce Point, c’est tout. Oui. Eh bien, oui, oui.
131 Notre maladie numéro un, la maladie du coeur, ce n’est pas la cause principale de la mort des gens aujourd’hui. C’est le numéro un, la maladie du péché. Et le péché, c’est l’incrédulité. L’incrédulité à quoi ? A la Bible. C’est vrai. Oui, c’est la maladie du péché qui est le numéro un, qui tue les gens aujourd’hui, tant spirituellement que… Et cela les tuera évidemment physiquement, parce que c’est déjà prouvé que l’homme qui garde rancune, et la femme qui s’agite et se met dans tous ses états, qui se querelle et se dispute, ils en meurent. Cela cause le cancer, une infection fongus et tout le reste qui s’établit, les ulcères.
132 Voyez, vous avez été créés pour être heureux et libres. Vous avez été créés pour vivre comme des enfants devant votre Père, sachant que chaque jour, Il fait bien marcher tout pour vous chaque jour. Oui, oui.
133 Les gens ont tout simplement peur de cette Nouvelle Naissance. C’est tout. Ils ont peur de la recevoir, parce qu’elle les remettrait en ordre. Elle vous fera cesser le jeu de loto, elle vous fera cesser de jouer à ces machines à sous. Elle mettra fin au fait pour vous de rester à la maison le mercredi soir sans aller à la réunion de prière, pour suivre Nous aimons Suzie et toutes ces autres histoires insensées qu’Hollywood a, et ces sales plaisanteries qu’ils débitent là. Ça fera… ça vous fera pousser les cheveux. Ça vous fera agir comme une dame. Ça amènera un homme à cesser de fumer la cigarette, puis à devenir diacre à l’église. Cela amènera les gens à cesser de mentir, de voler. Cela fera quelque chose pour vous. Cela vous purifiera et vous accordera un salut que rien au monde ne peut vous arracher par dissuasion, parce que vous savez que vous étiez là quand cela a eu lieu. Oui, oui.
134 Eh bien, comme je l’ai dit il y a quelques instants, quand Dieu… Quand l’homme découvre un médicament, ce qu’il fait, ce sont des recherches pour ce remède. Alors il découvre cette maladie, puis il injecte cela à un cobaye pour voir si le cobaye survivra à cela.
135 Eh bien, quand Dieu allait amener cette inoculation dont je parle ce soir, ce baume de Galaad, Il n’a pas cherché un cobaye. Il est venu Lui-même. Amen. L’unique moyen pour Lui de pouvoir faire cela, c’était de venir sous la forme de Son Fils, alors, Il a été fait chair et Il a habité parmi nous afin d’ôter l’aiguillon de la mort. Il est venu mourir. L’unique moyen pour Lui de mourir… Il ne pouvait pas mourir en tant qu’Esprit, en tant qu’Homme. Alors, Il s’est formé un corps appelé Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et Dieu a habité dans ce corps, se faisant Emmanuel sur la terre, pour ôter le péché de l’homme. C’était ce produit chimique qui se trouvait dans ce Sang-là.
136 Quelqu’un a dit : « Il était Juif. » Il n’était pas Juif. Certains ont dit : « Il était un Gentil. » Il n’était pas un Gentil.
137 Il n’était rien d’autre que Dieu. La Bible dit cela : « Nous sommes sauvés par le Sang de Dieu. » Le sang vient du sexe mâle, nous le savons. L’hémoglobine vient du mâle ; la femme, c’est uniquement l’ovule. C’est vrai.
138 C’est comme je l’ai dit là, par exemple, le printemps. Les vieilles mères oiseaux construisent des nids ici et pondent des oeufs. Certaines vont couver un nid plein d’oeufs qui ne vont jamais éclore, non plus. Pourquoi ? Elle–elle peut couver un nid plein d’oeufs, elle peut s’asseoir là-dessus et être très loyale. Elle peut retourner ces oeufs chaque jour, et rester là, se privant de nourriture, jusqu’à s’affaiblir tellement qu’elle ne peut s’envoler du nid. Peu importe combien elle leur accorde des soins maternels, combien les choye, combien elle leur est loyale, ils ne vont jamais éclore. Pourquoi ? Elle n’a pas été avec un mâle, et ils ne sont pas fécondés, par conséquent ils resteront simplement là et pourriront.
139 C’est ça le problème avec beaucoup de nos assemblées. C’est ça le problème avec nos réunions sous tente, beaucoup d’entre elles aujourd’hui, ainsi que nos assemblées. Qu’obtenons-nous ? Un tas de prédicateurs efféminés et apprivoisés qui devraient… Eh bien, c’est une disgrâce. Et il y est entré à cause d’un peu de prestige, ou un peu d’instruction, on le fait monter au-dessus de quelque chose. Je voudrais, oh ! la la !... Tout ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un… Nous avons un nid plein d’oeufs pourris.
140 Ce dont nous avons besoin, c’est d’un bon vieux moment de nettoyage du nid, d’un bout à l’autre, ce qui va ôter la chose, jusqu’à ce qu’on ait des hommes et des femmes remplis du Saint-Esprit, qui ont été avec le Mâle, Jésus-Christ, et qui sont remplis de l’Esprit, dont Il était baptisé. C’est vrai. Alors, nous aurons la Vie dans le camp. Oui, oui. La toxine, c’est de Cela dont ils ont peur.
141 Jésus-Christ, le Fils de Dieu, quand Il est né, certains parmi eux ont dit : « Eh bien, alors, Il était, Il–Il provenait de l’ovule de Marie. » Il ne l’était pas. Si Marie avait eu à faire descendre cet ovule par les trompes jusqu’à l’utérus, ce qu’il devait y avoir eu une sensation. Voyez-vous donc ce que vous faites faire à Dieu ? Il n’était pas cela, ni une partie de cela.
142 Dieu, le Créateur, avait couvert la vierge Marie Son ombre, et Il a créé des cellules dans son sein et a engendré un Homme qui était Emmanuel, Dieu Lui-même fait chair parmi nous, sans le secours de quelqu’un. C’est Lui le Créateur du premier homme. Amen ! Oh ! la la ! Le voila. Il se tient là. Oui, oui. Et puis, Il a fait cela afin qu’Il puisse recevoir cette inoculation.
143 Tout véritable homme de science, tout bon médecin qui découvre une maladie, certains parmi eux se rendent en prison où ils vont prendre un homme sur qui expérimenter cela, celui qui passe sa vie en prison. S’il survit à cette inoculation, eh bien, alors le poison ne le tuera pas, il peut retrouver la liberté s’il avait accepté de recevoir cette inoculation. Les prisonniers attendent cela. Oh ! là, c’est un médecin qui a peur de son médicament.
144 Mais, vous savez, Dieu n’a pas eu peur de Son propre médicament. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] … dans une mangeoire, un Homme se tenait sur le rivage du Jourdain. Quand cette Inoculation est descendue là, il a vu cela sous forme d’une colombe descendre du Ciel et Il a été inoculé. Et une Voix a dit : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis toute mon affection. » Amen. Dieu dans l’homme. C’est ça l’Inoculation. Dieu dans l’homme. Le monde L’a observé. A chaque tentation, cela a subsisté. Quand on Lui a craché au visage, qu’on Lui a arraché la barbe et qu’on a craché sur Lui, Cela a enduré la tentation. A l’heure des épreuves, Cela a enduré la tentation. Cela a tenu bon ! L’Inoculation qu’Il avait reçue au Jourdain a tenu bon. Cela a tenu bon au temps de la popularité.
145 Quel est le problème de beaucoup de–d’églises aujourd’hui ? Dès que Dieu les bénit, elles se mettent… et c’est ça qui cause du ravage chez nos pentecôtistes. Ils–ils devraient revenir comme nos aïeux, avec une boîte métallique ou un tambourin, là quelque part dans un coin, en train de battre un tambourin, plutôt que d’être assis dans ces grandes morgues que nous construisons aujourd’hui, essayant de prendre les autres pour modèle. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne effusion du Saint-Esprit à l’ancienne mode qui vous purifiera, y compris vos pasteurs de l’Eglise pentecôtiste. C’est vrai.
146 Eh bien, le fait est que quand le Saint-Esprit était descendu sur Jésus, le jour de Son baptême, Il a été inoculé. Nous L’avons vu à l’heure de l’épreuve. Quand le diable a cherché à Lui céder tous les royaumes du monde, qu’a-t-Il fait ? Il est resté fidèle à la Parole. Amen.
147 Ce que je me demande aujourd’hui, c’est que beaucoup de frères sur le champ de travail, depuis ce réveil du dernier jour… Pourquoi, quand vous avez un peu d’argent ou un peu d’habits de rechange, devenez-vous trop grands pour aller quelque part, aussi, pour une chose ou une autre, il vous faut avoir quelque chose de plus grand que quelqu’un d’autre ? C’est devenu une foire d’empoigne ordinaire. C’est une honte. Dieu veut un homme qui s’humilie, qui s’abaisse, quelqu’un à qui Il peut parler. Mais c’est devenu vraiment une foire d’empoigne, tout le monde cherche à avoir quelque chose de plus grand que l’autre. C’est un… et, voyez, ils ne peuvent pas supporter ce prestige, lors de la tentation de Satan.
148 Mais notre Seigneur avait supporté la tentation. Cette inoculation avait tenu bon. Un temps arriva où il y eut un débat sur les Ecritures, Il resta bien fidèle à la Parole. Satan dit : « Il est écrit. »
Il a dit : « Il est aussi écrit. » Oh ! C’est… Gloire ! Dieu dans l’homme, voyez ?
149 Qu’a-t-Il obtenu ? Il avait en Lui quelque chose qui soutenait chaque Parole qu’Il prononçait. Il a dit : « Si je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si vous ne pouvez pas Me croire, croyez–croyez les oeuvres qu’Il fait par Moi. » Oh ! la la ! Vous y êtes.
150 Ce dont nous avons besoin, ce sont de tels hommes et femmes aujourd’hui, qui peuvent fermer la bouche au monde, par les signes du Saint-Esprit. Nous avons besoin d’une réunion sous tente comme celle-ci. Nous avons besoin d’un bouleversement, d’une secousse, que beaucoup de choses du monde et autres sortent de l’Eglise, ce qui est entré dans ces derniers jours. L’argent se répand dans le pays, et de grandes choses, l’esprit des gens est fixé sur de grandes choses plutôt que sur Dieu. Faire des compromis, faire des compromis avec les Ecritures ! Tout frère qui s’est engagé dans cette voie-là, quoiqu’il soit devenu populaire dans une organisation, a fait des compromis sur ce qu’il croyait.
151 Si le Sang ne coule pas dans un homme authentique né du Saint-Esprit... Tous les démons de l’enfer ne peuvent pas l’embrouiller sur cette Parole-là. Il se reposera sur cette Parole, advienne que pourra. Amen ! Paul a dit : « Il n’y a rien dans le présent ni dans le futur qui puisse arriver, ni rien qui puisse nous séparer de l’amour de Dieu. » Cette véritable naissance authentique par le Saint-Esprit entre dans un homme, il devient un fils de Dieu. Il n’y a pas de gouffre entre Dieu et lui. Il est Son fils dans Sa Présence. Amen. J’aime ça. Je sais que c’est vrai. Très bien.
152 Nous voyons qu’à l’heure de la tentation, pour des choses mondaines, l’Inoculation avait tenu bon. Au temps où Il a été taxé de saint exalté, ou–ou on s’est moqué de Lui, on a placé un lambeau autour de Son visage, de Ses yeux, on L’a frappé à la tête avec un bâton, disant : « Eh bien, si Tu es prophète, dis-nous qui T’a frappé. » Ces soldats romains, ils L’avaient vu faire le discernement des pensées des gens. S’avancer et…
153 S’Il se tenait ici aujourd’hui, Il promènerait Son regard et révélerait à cette femme ce qui clochait en elle, ce qu’étaient telle et telle choses. C’est ainsi qu’Il avait fait cela. C’est ainsi qu’Il le fait encore, parce qu’Il ne change pas. Amen. N’êtes-vous pas contents ? C’est un Dieu vivant. Ainsi, un homme peut tomber d’un toit et perdre la vie, et un autre se tenant là, avec Dieu en lui, se couche sur lui et le ramène. Ce même Dieu vit ce soir. Amen ! Il est le Dieu Immuable. L’Eglise a besoin d’une Inoculation. C’est vrai.
154 Comme David duPlessis l’a dit une fois, Dieu n’a pas de petits-fils. C’est vrai. C’est là qu’en arrivent nos frères pentecôtistes, leurs enfants entrent dans l’église et disent simplement : « Eh bien, nous sommes pentecôtistes parce que papa l’était. » Si papa était pentecôtiste et qu’il a eu le baptême du Saint-Esprit, il vous faudra recevoir cela tout comme papa. Dieu n’a pas de petits-fils. Il n’a que des fils et des filles, pas de petits-fils et des petites-filles, juste–juste des fils et des filles. C’est vrai.
155 Ainsi, il vous faut faire la même chose qu’eux le jour de la Pentecôte. Il vous faut avoir la même expérience. Il vous faut avoir la même chose qu’eux autrefois. Dieu ne change jamais Son programme. Il ne change jamais de procédés. Il fait exactement la même chose tout le temps. Tel qu’Il a élaboré Son programme, cela doit s’y conformer chaque fois. Ça doit être la même chose. Et si vous faites la même chose, il y aura les mêmes résultats. Amen ! C’est vrai.
156 Eh bien, nous le voyons, cela avait tenu bon au temps de la tentation. Cela avait tenu bon quand tout allait mal. Cela avait tenu bon quand tous Ses amis L’avaient abandonné. Il avait toujours tenu bon, l’inoculation avait tenu bon. Alors, le diable s’est dit : « Cette fois-ci, je L’ai eu. » Il s’est mis à monter au Calvaire, le Sang coulait de Son corps. Les vêtements qu’Il portait avaient une grande tache de Sang. Le diable doit avoir dit : « Cette fois-ci, je L’ai eu. Ça ne peut pas être Dieu. Non, non. Ça ne peut pas être Lui, puisqu’Il a laissé ces soldats Lui cracher au visage, Il les a laissés Lui arracher une poignée de barbe au visage, Il les a laissés Le défier d’avoir une vision et Il n’a pas fait cela. Eh bien, Le voici gravir la colline, portant cette croix ; je vais L’avoir dans quelques minutes. »
157 Cette abeille de la mort est descendue, tournoyant, pour Le piquer. Vous savez, comme n’importe quelle abeille, elle a un aiguillon. Mais, vous savez, Dieu avait cette fois là préparé une chair, c’était la chair de Dieu. Quand il a ancré cet aiguillon dans ce Fils de Dieu, dans Emmanuel, quand il s’est retiré, il n’avait plus d’aiguillon. Il a directement arraché cet aiguillon de la mort. Il n’est pas étonnant que Paul ait dit : « Mort, où est ton aiguillon ? Mort, où est ta victoire ? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. »
158 Il avait pu piquer Elie et ce dernier était mort ; il a pu piquer Elie et conserver son aiguillon. Mais, vous savez, si une abeille… si jamais une abeille enfonce assez profondément son aiguillon, elle ne peut plus piquer, elle a fait sortir son aiguillon. Il n’y avait donc pas de chair humaine où il pouvait l’ancrer. Oh ! la la ! Personne en qui il pouvait l’ancrer. Mais quand il l’a enfoncé cette fois-là dans Emmanuel, il a perdu son aiguillon. Grâces soient rendues à Dieu ! Oui, oui, il a échoué sur Celui-là. Oui, oui.
159 On a trouvé que la toxine a tenu bon. On a dit : «Si Tu es Fils de Dieu, descends de la croix. » Le souverain sacrificateur, le grand dignitaire de l’église, a dit : «Dis-nous clairement maintenant. Si Tu es le Fils de Dieu, descends de la croix et sauve-Toi Toi-même », et tout. « Fais-nous voir si Tu es le Fils de Dieu. » Il n’a point ouvert la bouche pour dire un mot.
160 Eh bien, nous voyons qu’Il est mort. Il était effectivement mort. Il était mort au point que le soleil et la lune avaient confirmé qu’Il était mort. Toute la nature avait confirmé qu’Il était mort. La terre avait tremblé, saisie de frissons de nerfs en voyant le Dieu même qui avait créé la terre être suspendu au-dessus la terre, et le Sang d’Emmanuel tomber sur terre. Il n’est pas étonnant qu’Il soit mort. Il est mort au point que tout confirmait qu’Il était mort.
161 Et alors, nous allons voir qu’avant de mourir, Il a dit : « Détruisez ce temple, Je le ressusciterai le troisième jour. Vous ne pourrez pas le garder par terre. Détruisez-le, et Je le relèverai le troisième jour. »
162 On a placé une garde là pour voir si l’Inoculation allait tenir bon. Ils ont vu que cela avait tenu bon lors de la tentation par le péché. Cela avait tenu bon dans la pauvreté. Cela avait tenu bon dans la richesse. Cela avait tenu bon dans toutes sortes de tentations. Cela tenait toujours bon. Mais cette fois-là, c’est dans la mort. Qu’est-ce que cela allait donc faire ?
163 Mais, le matin de Pâques, oh ! la la ! juste avant le lever du soleil, cette Inoculation avait tenu bon. Et alors, la mort brisa ses barrières, la tombe s’ouvrit et Il ressuscita le troisième jour et monta en haut. Cela montre que cette inoculation est l’inoculation de la Vie Eternelle. Vous ne pouvez pas la détruire. Même le sein de l’enfer ne peut pas retenir cela. La tombe ne peut pas retenir cela. La mort ne peut pas retenir cela. Rien ne peut retenir cela. Cela ressuscitera.
164 Jésus-Christ a dit : «Tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi, et Je les ressusciterai au dernier jour. » Alléluia ! Un homme ou une femme qui a été inoculée avec ceci, ne peut rester dans la tombe. Il n’y a pas de tombe qui puisse retenir le juste. Il n’y a pas de séjour des morts qui puisse retenir cela ; il n’y a pas de tombe, il y a rien d’autre. Jésus-Christ a promis de ressusciter cela en ce jour-là. Amen ! Oh ! je suis très content de cela, de cette Inoculation. Vous savez, cela s’est confirmé le matin de Pâques.
165 Savez-vous ce que c’était ? C’était une Chose si glorieuse que cent vingt personnes ont cherché à En être inoculées. Eh bien, s’Il a pu subsister dans la tentation, il y avait cent vingt personnes qui Le connaissaient très bien, qui voulaient être inoculées. Alors, en ce moment-là même, Il a dû monter au laboratoire pour apprêter le sérum ; alors Il a dit : « Allez là dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que J’obtienne Cela, que J’apprête toute la formule. Je vais vous L’envoyer. » Ils sont donc allés attendre.
166 Comment l’Eglise chrétienne devrait être conduite ? Quel genre d’inoculation fallait-il ? Que–que serait l’inoculation ? Comment devraient-ils s’y prendre ? Que se passerait-il ? Devraient-ils tous aller au séminaire apprendre pour décrocher un doctorat en philosophie et un doctorat en droit ? Fallait-il qu’un prêtre remonte la route avec un pain kasher en main et qu’eux tendent la langue pour prendre la communion, et c’est ça ?
167 « Mais il vint du ciel un bruit (L’Inoculation était en route.) comme un vent impétueux, cela remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues semblables à des langues de feu, séparées les unes des autres, se posèrent sur eux. Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer. »
168 Avez-vous déjà vu un vieux temple sur photo ? Il y avait une petite porte latérale qui donnait sur l’extérieur, on gravissait les marches qui conduisaient à la chambre haute. Ils avaient fermé les portes et s’y étaient enfermés, parce qu’ils avaient peur.
169 Mais je vous assure, après qu’ils furent inoculés comme un veau qui vient d’être marqué, on n’arrivait pas à les contenir. Absolument pas. Il est sorti de cette chambre-là, il a parcouru les rues. Il était inoculé. Que ce soient la mort, le séjour de mort, la persécution, les moqueries, les railleries, cela ne changeait rien pour lui, il était inoculé. Amen. Oh ! la la !
170 Ecoutez Pierre, il se lève là, les gens commencent à demander : « N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de médecin là ? » Oh ! oui, nous avons beaucoup de baume en Galaad. Nous avons beaucoup de médecins.
171 En ce jour-là, docteur Simon Pierre (c’était lui le médecin) a dit : «Je vais vous prescrire une ordonnance. Je vais vous dire cela. Et voici, c’est une ordonnance éternelle, car elle sera pour vous, et pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin. Franchement, c’est pour tout celui qui invoquera, le Seigneur ton Dieu, qui L’invoquera : Je vais le lui donner. »
172 Il a dit : «Que pouvons-nous faire pour être inoculés ? » ça y est. « Que pouvons-nous faire pour être inoculés ? »
173 Il a dit : « Je vais vous prescrire une ordonnance. » Il a dit : «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car cette ordonnance est pour vous, pour vos enfants et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Oh ! la la !
174 Vous savez quoi ? Quand un médecin trouve un remède contre une maladie et qu’il prescrit une ordonnance, et qu’un charlatan s’en empare et se met à y ajouter un peu de ceci, retranche un peu de cela, il va soit tuer le patient, soit–soit faire quelque chose à cela. L’ordonnance n’aura même pas assez de médicaments pour faire du bien. Sinon, ça va être trop dilué pour aider le patient.
175 Et c’est ça le problème pour beaucoup de ces pharmaciens du séminaire aujourd’hui. Ils prennent l’ordonnance, y substituent autre chose, et on a tout un tas de morts dans des morgues.
176 Cette ordonnance demeure toujours la même. Quand les Samaritains l’ont reçue, ils ont été inoculés, ils avaient reçu la même chose. Quand les Gentils l’ont reçue, ils avaient la même ordonnance. Dans Actes 19, Paul a rencontré un groupe qui avait une partie de cette ordonnance, pas l’entièreté, il a dit : « Cela ne marchera pas. Vous allez tout tuer. » Alors, il leur a prescrit cela, il leur a indiqué le mode d’emploi. Ils ont reçu cela de la même façon.
177 Et c’est ça le problème aujourd’hui. Il y a beaucoup de baume en Galaad, et nous avons beaucoup de médecins, mais les gens ont peur de l’ordonnance. Gloire ! Gloire à Dieu. N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de puissance du Saint-Esprit ? Où est-ce donc ?
178 Cette Inoculation ait chez tout le monde, voyez. Elle a agi chez les Juifs. Elle a agi chez les Samaritains. Elle a agi chez les Gentils. Elle agit mêmement chez tout le monde.
179 Je suis un missionnaire. Je vais à des endroits où les gens ne savent même pas distinguer la main droite de la main gauche, et ils se tiennent là. Savez-vous ce qu’ils font quand ils reçoivent le Saint-Esprit ? La même chose que vous, la même chose.
180 Oh ! Qu’est-ce ? « C’est pour vous, pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Cette même ordonnance produit les mêmes résultats.
181 Et l’Eglise accomplira les mêmes oeuvres qu’au commencement. Tout à fait. Jésus est le Cep. Nous sommes les sarments, et nous sommes inoculés de cette Vie qui était dans le Cep. L’Eglise qui est allée, étant inoculée ; on a écrit le Livre des Actes après cela.
182 Aujourd’hui, nous avons des substituts. Nous avons des fruits greffés. Cela–cela vit de la vie de l’arbre, mais cela ne produira pas des fruits. C’est exact.
183 Je me tenais chez un ami à moi, John Sharrit, là à Phoenix, il n’y a pas longtemps. Il a là un arbre, un oranger, qui portait environ cinq ou six différentes sortes des fruits.
J’ai dit : « Je n’ai jamais vu pareille chose. »
Il a dit : « Ils sont greffés. »
J’ai dit : « Quel genre d’arbre est-ce ? »
Il a dit : « L’oranger. »
184 J’ai dit : « Eh bien, il y a des citrons, des limes, des mandarines, des tangelots, et–et des pamplemousses, diverses espèces. »
J’ai dit : « Tout cela pousse sur ce même arbre ? »
Il a dit : « Oui, c’est un agrume. »
185 J’ai dit : «Eh bien, c’est donc une chose étrange. » J’ai dit : « Eh bien, cette année, après que tous ces fruits auront disparu, l’année prochaine il portera l’orange ? »
186 Il a dit : « Oh ! Non. Non, non. Non. » Il a dit : « Il produira des fruits selon la nature de la branche. »
187 Et j’ai dit : « Alors, cet arbre-là s’est transformé de… vous voulez dire, de l’oranger en ce que… »
188 Il a dit : « Non, non, non. Si jamais il produisait une autre branche, elle produira des oranges. »
J’ai dit : « Je vois. » Amen.
189 Frère, nous avons des choses telles que les églises dénominationnelles ont injectées dans Ceci, et elles en vivent, se disent chrétiennes. Mais si jamais la vraie vie de cet arbre-là portait d’elle-même sa propre branche, il y aura un autre Livre des Actes à la suite de cela, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ce qu’il en est du monde et de ses trésors, ils n’en savent rien. Les gens lisent cette Bible. Si vous La lisez du point de vue dénominationnel, vous n’En tirerez pas grand-chose. Mais regardez seulement ce qu’Elle dit et ensuite obéissez à ce que dit l’ordonnance. Lisez Cela, obéissez à Cela, et Cela fera de vous une autre personne.
190 Il n’y a pas longtemps je suis revenu de l’Inde. J’ai entendu parler d’une femme ici, elle était très pauvre, son fils était allé en Inde apprendre pour devenir médecin. Et quand il est arrivé là, il a abandonné l’art de guérir pour embrasser un autre métier. Et je pense qu’il était devenu un ingénieur en électricité ou quelque chose comme cela. Et cette femme était devenue très pauvre. Elle n’avait vraiment rien, et alors les oeuvres de bienfaisance essayaient de venir s’occuper d’elle. Et alors, on a mené des enquêtes sur son cas et, cela fait, on a découvert que cette femme avait un soutien, c’était un fils qui était un homme très riche en Inde. Et on a dit : « Eh bien, pourquoi votre fils ne vous assiste-t-il pas ? »
191 Elle a dit : « Oh ! je ne peux simplement pas lui demander. » Elle a dit : « Je suis sa mère, a-t-elle dit, je préférerais vivre des oeuvres de bienfaisance plutôt que de demander à mon fils. »
On a dit : «N’avez-vous jamais de ces nouvelles ? »
192 Elle a dit : « Oh ! j’ai de ses nouvelles au moins une ou deux fois par mois. » Elle a dit : « Il m’écrit les lettres les plus gentilles que l’on puisse jamais lire. »
193 On lui a demandé : « Eh bien, on dirait que s’il aimait assez sa mère, et comme il a beaucoup d’argent, il devrait chercher à s’occuper d’elle plutôt que de la laisser vivre des oeuvres de bienfaisance. »
194 Elle a dit : « Eh bien, peut-être que s’il savait que j’étais dans cette situation, a-t-elle dit, il–il prendrait soin de moi. Mais, a-t-elle dit, vous savez, il ne le sait pas, et je–je me sentirais vraiment embarrassée de le dire à mon fils, comme cela. »
Et on lui a demandé : « Et il vous écrit toujours des lettres gentilles ? »
195 Elle a dit : « Oh ! les lettres les plus gentilles. » Et elle a ajouté : « Il m’envoie les meilleures photos qu’on ait jamais vues. »
On lui a demandé : « De meilleures photos ? Faites-nous-en donc voir quelques-unes. »
196 Elle a ouvert sa Bible, elle les a fait sortir. Vous savez ce que c’était ? Des billets de banque. L’Inde met des photos sur ces billets de banque, vous voyez, de belles photos. Elle avait des milliers des dollars, en convertissant la monnaie indienne à la monnaie américaine. Qu’était-ce ? C’était dans les pages de sa Bible, elle avait des trésors, elle pensait que ce n’était que des photos, mais elle a fini par découvrir que cela avait vraiment de la valeur pour elle.
197 Et, frère, quand vous essayez de lire un feu peint de la Pentecôte, et que quelqu’un ose vous dire que le Saint-Esprit n’est pas le même aujourd’hui qu’autrefois, quelqu’un ose vous dire que les jours des miracles sont passés, que Jésus-Christ n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’on ose vous le dire, ne croyez pas cela. Ce ne sont pas des photos. Le Dieu Tout-Puissant vous a envoyé ce Message, c’est vrai : « C’est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Dieu reste toujours Dieu. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
198 Il est ici même, ce soir, pour sauver les perdus, guérir les malades, remplir du Saint-Esprit ceux qui désirent être remplis. Vous croyez cela, n’est-ce pas ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Oui, oui. Si vous le croyez, alors, vous voyez, ce sont les promesses de Dieu dans cette Parole-ci, vous pouvez directement y entrer et trouver chaque promesse. La promesse est pour vous. Pierre a dit : « La Promesse est pour vous, pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin. » N’ayez pas peur d’encaisser cela. Ce sont des billets de la banque céleste. C’est vrai. Jésus-Christ est le même hier et éternellement !
199 Qu’arriverait-il s’Il se tenait ici ce soir et qu’Il voyait cette femme couchée là, malade ? Elle a l’air très malade, étant estropiée, probablement paralytique ou quelque chose comme cela. Deux femmes… Une femme, un homme de couleur et une femme de couleur qui cherchent à travailler pour un petit enfant. Que pensez-vous qu’Il ferait s’Il se tenait ici, regardant ces deux patients, Lui étant un Guérisseur ? Pensez-vous qu’Il peut les guérir ? Il l’a déjà fait, vous voyez. Il l’a fait en mourant au Calvaire. Croyez-vous cela, malades ? Croyez-vous que c’est vrai ? Vous là, avec la petite dame de couleur, là avec l’enfant, croyez-vous que Jésus-Christ, en mourant au Calvaire, a acquis le salut pour votre enfant ?
200 Vous là, sur la civière, si vous êtes… Vous avez l’air très malade. Vous êtes paralysé, ou je ne sais quoi, croyez-vous que Jésus-Christ est mort au Calvaire pour vous sauver de votre maladie ? Croyez-vous cela ? Croyez-vous que ce que j’ai dit ce soir est vrai ? Croyez-vous que cette ordonnance est vraie ? Croyez-vous cela ?
201 S’Il se tenait ici ce soir et que vous Lui demandiez : « Veux-Tu guérir mon enfant ? » Savez-vous ce qu’Il dirait ? « Je l’ai déjà fait. » Voyez, croyez simplement cela. Voyez ? Si vous disiez : « Seigneur, je suis estropié, je ne peux pas marcher », ou je ne sais quoi. « Je–je ne peux pas marcher. Je–je me meurs (ou quelque chose comme cela), veux-Tu me sauver ? » Il dirait : « Je l’ai déjà fait. » Voyez ?
202 Eh bien, comment reconnaîtriez-vous Sa Voix ? En effet, Il accomplirait quelque chose comme ce qu’Il avait fait autrefois. Il peut vous révéler quelque chose sur vous-même, vous dire ce que vous étiez, ou ce qui clochait en vous, ou quelque chose comme cela, comme Il l’a fait du temps de la Bible. Cela prouvera qu’Il est le même. Mais quant à la guérison, il vous faudrait accepter cela vous-même. « Il a été blessé pour nos transgressions, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » Croyez-vous cela ?
203 Croyez-vous qu’Il peut me révéler votre maladie ce soir, ou l’une ou l’autre chose pour laquelle vous êtes couchée là ? Accepteriez-vous cela ? Et croiriez-vous que je suis Son prophète ? Allez-vous le faire ?
204 Qu’en est-il de vous, la dame là à côté d’elle, avec la main sur votre enfant, croyez-vous cela ? …?...
205 Combien croiront cela ? [L’assemblée se réjouit et dit : « Amen. » – N.D.E.]
206 Maintenant, Père céleste, voici Ton serviteur. J’ai… Je ne suis responsable que de prêcher Ta Parole. Maintenant, je sais que ceci est inhabituel. Mais je Te prie de l’accorder ce soir, afin que les gens sachent que–que ceci est la Vérité.
207 Très bien. Regardez dans cette direction. Votre enfant a une espèce de maladie des os. C’est vrai. ça a beaucoup fait gonfler la jambe. Est-ce vrai ? Gardez votre main là-dessus, répétez et dites : « Seigneur Jésus, guéris mon enfant, je Te servirai toute ma vie. » Si vous n’avez jamais reçu cette Inoculation, croyez cela de tout votre coeur. Placez une corde autour de la jambe de l’enfant ce soir, et prélevez la mesure. Et puis, ramenez cette corde-là demain, voyez à partir de là où vous l’avez découpée combien ça s’est rétréci entre maintenant et demain soir. Allez-vous le faire ?
208 Vous qui êtes couchée là, à côté, croyez-vous que je suis Son serviteur ? Je ne vous ai jamais vue, de ma vie. Mais vous êtes couchée là, couverte de l’ombre de la mort. Il y a une ombre noire sur cette femme. Elle souffre, elle se meurt du cancer. C’est tout à fait vrai. Et croyez-vous que Dieu vous rétablira ? Pouvez-vous croire cela ? Alors, pourquoi restez-vous couchée là jusqu’à la mort ? Le médecin ne peut pas guérir cela. Levez-vous, au Nom de Jésus-Christ, prenez votre lit et rentrez chez vous.
209 [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Croyez-vous ? Que tous ceux qui veulent croire et accepter leur guérison se lèvent et rendent grâces à Dieu. Voyez ? Voyez ? Tenez-la par la main, mon frère.
210 Disons : « Gloire au Seigneur », tout le monde. Croyez-vous en Lui ? [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Levez maintenant les mains vers Dieu et louez-Le. [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Croyez-vous ? [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] N’y a-t-il pas de baume en Galaad ? La puissance de Dieu peut faire cela.
211 Levons-nous, tout le monde maintenant, avec foi pour croire cela. Levez-vous, tout le monde, et acceptez la délivrance, au Nom du Seigneur. Amen. [L’assemblée continue à se réjouir. – N.D.E.]
1 Thank you Brother Johnson. Good evening, friends.
It's really a grand privilege to be here tonight and, one thing, to be back in Arkansas, and another thing, to be on the campgrounds. I believe this is my first camp meetings that I have attended for a long time. And I had the invitation to come, and--and to begin with you. And I've heard, since we've just come in, you've been having a wonderful time here at this meeting. I'm so thankful for that.
And I... Coming up along the road, a few moments ago with my son, and we were talking about years ago when I first come down here to Arkansas, was the first of my meetings. When I first started off, it was in Arkansas, in the evangelistic type of the meetings anyhow. And since then, been seven times around the world, and now back in Arkansas. It's like bad money: always returns it. I have... Everywhere I've been, I suppose, in the United States, I've asked, "Any people here from Arkansas?" I've always had friends from Arkansas, pretty near everywhere. And I've always said: some of the truest hearts, I believe, that ever beat, was under them old blue shirts down here in Arkansas: real fine people. I love you.
3 And I--I'm grateful to God for the opportunity to be back tonight in Arkansas, be here with you. And so I think we got three nights yet left in the convention, and to have the opportunity to come in and express my love to Jesus Christ, and have fellowship with you people and our fine bunch of brethren here, who's many of them I don't know. I just looked around and seen one that I do know, Brother Jack Moore; I just happened to see Sister Moore, happened to recognize them then. And we're certainly happy to be in.
Now, I know, all day long you must get tired, you know, physically tired. We never get enough of--get tired praising and blessing God, for His goodness, how wonderful He is. And... But all day long, and then when night time comes, then here I come in. And I kind of one of those ministers that's been given the idea of speaking a long time. But I don't think we'll do it now, because of this squeeze in the convention. You've heard great speakers, no doubt, all through the day and through the convention. And then to stand up here on the platform before all these fine speakers, that I feel pretty small, and stand here...
5 One of the ministers I just shook hands with told me this is your first services to have in this tabernacle, I would call it; I don't know just exactly what, this temple or whatever it is. And we're--we're certainly thankful again for the opportunity to come into a new church, something that's erected to the praise and honor of God. How wonderful.
And we are--have just moved back, or not moved back, just come back from the--for the school vacation for the children. We live in Tucson, Arizona, now. And it's been awfully hot out there, but we find it's a little bit hotter here at home than it was out there, because of the tremendous humidity. And it kind of puts us down, after getting kind of used to the air there.
7 We got in home and had the first service last Sunday, and we seen the Lord Jesus continuing His great work of love and power among the people. And the same Gospel that I preached to you fifteen years ago here in Arkansas, I still believe the same thing. I just don't change It. It's Christ.
Sunday there was something taken place at the church. Just happened to look around and see the gentleman on which the--the miracle was performed.
9 Know that we all love to brag on--on the Lord Jesus. We--we love to. I had a woman one time to tell me, she said that's the only fault she could find with me, I brag too much about Jesus. I said, "I'm sure go to heaven if that's all the faults I had, bragging on Jesus." And so she--she was--just didn't think He was Divine. She tried to say He was just a man and philosopher, a prophet, or something on that order. But I said He was God. And so we...
And she said, "I can prove to you that He wasn't God."
And I said, "Oh, I don't believe you can do that."
She said, "I can prove He was only human."
I said, "Now, I'll admit He was human, but He was both human and Divine. "
She said, "He couldn't be Divine."
And I said, "Oh, He--He was Divine, and He is Divine."
She said, "Oh, He couldn't be." Said, "I'll prove it by your own Bible."
I said, "All right."
12 And she said, "On Saint John the 11th chapter, on the road down to the grave of Lazarus, the Bible said, 'Jesus wept.'"
I said, "Well, what's that got to do with it?"
She said, "Well, if He--if He weeps, it proves He is not Divine."
I said, "Lady, your argument's thinner than the broth made out of a shadow of a chicken that starved to death." I said, "You know better than that." I said, "He was--He was human as He went to the grave of Lazarus, crying. That's right. But when He straightened His little shoulders up and said, 'Lazarus, come forth," and a man that been dead for four days stood on his feet and lived again, that was more than a man...?..." I still believe Him to be that.
15 Sunday, while speaking, we... I was asking the people to turn around in the Tabernacle and shake hands with each other. And there was a--a dear friend; I've just learned to love him. He just come into the church, he and his wife. His wife's a registered nurse. And he himself is an Englishman. She's a Norwegian. How that ever happened, I don't know. But, however, they're both fine people. And this--this brother has had a little something wrong, kind of in his heart. And very fine Christian man, and an intellectual man too; he does secular work for accountants and so forth. And he turned around, and, when he did, a heart attack struck him, and he pitched over on the floor, dead.
And his wife, being a nurse, she grabbed him quickly, and grabbed his pulse over his heart, "He's gone." And I looked at his face, real dark; his eyes was turned back, not just closed his eyes, but his eyes pushed out in front. And he was... I'd come over the platform, tried to get the audience quietened, many people was trying to help the sister, of course, in that condition, with her husband. Someone laid something over his head, or under his head, rather.
17 I took ahold of his heart, to--his pulse at his arm, and no more pulse than there is on that piece of wood. And then I knelt down and prayed, "Lord Jesus, I pray Thee, give back our Brother Way his life." And his heart beat four or five times, and started off beating regular again. And he jumped back up again, and he was trying to talk. He couldn't talk; he was... The blood stops, you know, when the heart stops. And it was quite some time before his blood got circulating just right. And I heard him call my name, and then I got back in the platform.
Brother Way, I wonder if you'd just stand up so the people would see who the man was. That's the man that dropped dead, Sunday morning of a heart attack. [The congregation rejoices--Ed.] Sister Way, his wife, a nurse who's standing there to take his pulse to see, and see that he... So I...
That sounds very strange, maybe, to people who wouldn't believe these things. But I have seen the Lord Jesus raise the dead many times. And that's not new to us, so we wouldn't... I think it's fine to brag on Jesus, but I think it ought to be some truth, what you're bragging about. So we've seen Him... I've seen Him, in the last fifteen years, of many infallible cases, raise up the dead.
20 Especially one in Mexico, where Brother Moore and I was standing in Mexico City, a little baby died one morning at nine o'clock with pneumonia in the doctor's office. And the little woman, we couldn't get her to the... Well, the man had give out all the prayer cards, and we just had to number them as they would come up. There was no more prayer cards. And this little Spanish sister about, I guess, twenty-five years old, had a little, dead baby; and it was raining, and she had it under a blanket.
And the night before that, there'd been a blind man that was, oh, probably as old as my father would be, probably seventy years old, blind, and he received his sight when I was praying for him. And that night, platform practically as wide as this is across here, was just ricks of, oh, way high, two or three feet, with just shawls and hats, and old garments that they'd laid up there.
22 And this little woman was trying to get up there. And Billy Paul, my son, came and said, "Dad, I got pretty near three hundred ushers there, and all three hundred can't hold that little woman." She had a dead baby under a little blue blanket.
I said, "Well," I said to Brother Jack Moore, "go down."
Brother Jack Moore and I have a lot of things in common. I don't want to say we look alike, because he's such a handsome man. But one thing about Brother Moore, we both part our hair the same way. We have a lot of things in common. I thought, "She never did know me," had to let me down on some ropes or things, to get in. So I sent him down to pray for the little baby. I thought, "Well, they won't... She'll never know the difference."
24 And so I was started to speak again, when... Brother Espinosa, many of you brethren know him, from the west coast, was doing the interpreting. This was out there by the bull ring in--in Mexico City. And I looked out over the audience and I seen a vision of a little Mexican baby setting, smiling at me. So I said, "Bring the little lady here." So laid hands upon the little, dead, stiff, cold form. His feet begin to kick, and he begin to scream, and--and there he was, alive.
And I sent a runner, Espinosa did, to check with the doctor, to get a statement before we could write it out. The doctor wrote an affidavit, that that baby died that morning in his office about nine o'clock, and this was about ten-thirty that night. And the baby's living today, enjoying good health, to the honor and glory of God.
26 So seeing many things take place, we wouldn't have to say about our Brother Way there, but truth is truth. And God doesn't do those things just to... He wants it to be known and people to know that He loves them. And by the grace of God Brother Way sits among us tonight living. We're thankful for that.
I thought, being on the campground, coming in, just don't want to interrupt the great time. Billy was telling me, this afternoon, said, "You talk about real old fashion Pentecost," said, "you wait till you get up there." Said, "They sing like they'd had the experience for fifty years."
I said, "I guess some of them has, yeah, for fifty years."
And I just love to get into a meeting like that, I believe every one of us do, where we just get right into it as...
28 Like I used to tell a little story about fishing. Up in northern New Hampshire, I was fishing for trout. And way up at the head of the mountain, I had a little tent setting up there; oh, those little A-tent, little pup tent from the government. And I'd found a place where there was many trout was back under a bush. And there--and there was moose willow there, and every time I tried to whip my fly, why, it'd catch in the willow. So that morning I got up, and went up there early, and I thought, I'll cut them willows down. I'd just... If I killed a fish, then I would eat it, otherwise I'd turn it loose. So I had all week, all I could take care of, and I was up there by myself.
30 And while I was gone that morning, on my road back, an old sow bear and two little cubs had got in my tent. And you talk about wrecking things, they really had wrecked it right. And they had tore everything up. And I--I thought... When I come back, I heard a noise, and I looked around some little bushes I was coming around. And the old mother bear and all of them was just having them a time raking through everything.
And she saw me, and she run off and cooed to her cubs. One of the cubs come, and the other one didn't come. Little bitty fellow, spring, he was just so high. He was sitting like this. And I thought, "Well, what's the little fellow so interested in?"
32 And I got around and looked. I said for, "Get out of there! Get out of there!" And he just set there. I thought... And I watched the old mother, because you know, to fool with her cubs, she would scratch you, you know. So I--I--I watched; there was a tree pretty close, you know. I had an old rusty pistol laying over there in the tent, was probably broke up then. And, anyhow, I wouldn't want to shoot the old mother and leave two orphans in the woods. So I kept watching this tree, getting around to see what the little fellow was so fascinated.
And, you know, I--I--I like pancakes. I... We--we're all Southerners, aren't we? Flapjacks is what they are down here, you know, so... And I really love them, and I--and I--I know... Not much Methodist about me; I really like to pour on the molasses. I really baptize them right, pour it all over them. So I don't like just a little bitty sprinkle like you get in these places here, a little thing. I like to get where you really pour it on, you know, and get them mixed good and heavy.
34 I had me a half a gallon bucketful of--of good old sorghum. This little bear had got the top off, and he was really enjoying my molasses. And I kept watching him around the corner. And he'd take his little paw and stick down in this bucket, you know. And he didn't know how to get the molasses out, so he--he'd just stick his paw down in my molasses, and then rake it up and lick when it come down.
I tell you, when I finally got around and got his attention, he looked at me. He couldn't see me; he was molasses from the top of his head, all the way down, his little belly just as full of molasses. And his eyes, he couldn't even open his eyes to look at me, you know, trying.
I thought, "That's right. There's no condemnation to them that's eating." Puts me in mind of a good old Pentecostal meeting, when we get our arms down in that honey jar, about that deep, you know, of that Pentecostal Honey.
37 You know, the strange thing about it, after he got his tummy full, and my bucket sopped out, he went over to his mammy and his little brother, and the mammy licked him.
So, you know, I hope we get so much on us here, that when we go home, those who didn't come will lick off of us, a little of our experience, tell them about what great things the Lord did down here in--at Hot Springs. The Lord bless you.
And now, I believe, they told me that they didn't get it in time, or something another, to announce to give out some prayer cards, to pray for the sick: some numbers on cards, we call them and pray for them. And I like that, 'cause it give me one night to kinda get acquainted. And so tomorrow night I think they're going to give out their prayer cards, sometime in the afternoon. Is that? Yeah, you've already... Six o'clock? Six o'clock tomorrow evening.
40 Now, I thought tonight we'd take just a little portion of the Scripture here and read It, and see if we could find what the Lord would have to tell us. And now, just before we open the Book, let's speak to the Author of the Book, as we bow our heads.
Before we pray, and your heads bowed; and all the cares now, and frolic of the day, and little sense of humors we've had, let's just push it aside now, because we're approaching the King. Is there any special requests, like to be remembered, just would you raise your hand and say, "Lord..." Right down in your heart, just hold your request.
42 Our heavenly Father, we deem this such a privilege, God Almighty, to come into the congregation of the Lord, to fellowship together, testifying, telling of the great things that You've done, and the places that we have been. And it just reminds me of Acts 4, in the Bible, when they returned and was speaking of what the Lord had done. And they all prayed, and the place was shook where they were assembled together.
God, we're not so anxious tonight to see the building shook, but we would like for You to shake us, Lord. Shake our understanding. Shake our being, our emotions, our hearts of understanding, that we might leave here tonight more determined than ever to serve You, that we might feel the Presence of a new fresh Pentecost of a Holy Spirit pouring out upon us afresh and anew, like down in these woods and hills in Arkansas, fifty years ago, when the forefathers come through here in horses and wagons, a preaching this Gospel. And here, Lord, may we, the bearers of this great worthy cause that You sent to the earth, may we not be ashamed of this great thing; but may we walk in the footsteps of those who went before us, Lord, packing the banner of the Lord Jesus.
44 May others, who have not yet accepted this great plan of salvation that God laid down for us in the Scripture, foretold all the way down through the Old Testament, and today we're enjoying it, may there be a great shaking among us, Lord, and a renewing of faith and--and a renewing of efforts.
I thank You for this convention, for this bunch of people who's still holding on, Lord. In this hour of trial that's come upon the earth, to try those who are professing to be Christians, may we be found, at the end, worthy to enter into the joys of the Lord, that's been prepared for the Redeemed since the foundation of the world. Bless Thy Word.
46 Lord, remember every hand that went up. You know the objective; You know the motive; You know the request behind that hand. I pray, God, that You'll grant it to each one. May every man that--or woman, boy or girl, that put up a hand, that--that wanted more salvation, or a closer walk, or to know You as their Saviour, may they never leave this ground till that request is answered.
To those who are sick and needy, we pray, God, there'll be such a wave of healing cross this place, that there'll not be a feeble person that comes on this ground will leave in the way that they come on. You Who can raise a man up from the dead, and present him here before us, it shows that You're the same God that stood there by the grave of Lazarus, called him out from among the dead, Father, let them know that You're the same yesterday, today, and forever. Here stands one among us tonight, just a few days ago, called back from the land beyond the shadow of man's knowing in this life. How we thank Thee for this.
Bless us together now as we study Your Word, for truly Thy Word is Truth. Thou and Thy Word are One. They cannot be separated. So we ask Your blessings upon us, Father, as we wait upon You to speak to us tonight through Jesus Christ our Lord. Amen.
49 Now, if you will, I'd like to turn to Scriptures, and so forth. I kinda laid down on the bed and went to sleep; the first thing you know, Billy come up and said, "Let's go."
Said, "You mean it's church time?" I had to pull out a little bunch of Scriptures I'd used before to--to speak on tonight. And I thought maybe it'd be give out some cards and be praying for the sick and so forth. I've noticed since I've come in here, two people laying on cots, perhaps come to be prayed for tonight.
Now, and--and Billy come back, said, "I just didn't get in in time, daddy." Talked about it. Said, "We'll--we'll try it tomorrow night."
I said, "All right, see if you can get the brethren to give some cards out."
53 So now, I want you to turn with me to the--the Book of II Kings and the 1st chapter. And then also I want you to turn in there to Jeremiah the 8th chapter and 22nd verse. Let's read just a portion of this Scripture.
Then Moab rebelled against Israel after the death of Ahab.
And Ahaziah fell down through the lattice in his upper chamber that was in Samaria, and was sick: and he sent messengers, and said unto them, Go, and enquire of Baal-zebub the god of Ekron whether I shall recover of this disease.
But the angel of the LORD said unto Elijah the Tishbite, Rise, and go up and meet the messengers of the king of Samaria, and say unto them, Is it not because there's not a God in Israel, that you go to enquire of Baal-zebub the god of Ekron?
Now therefore thus saith the LORD God, Thou shalt not come down from the bed on which thou has gone up, but thou shall surely die. And Elijah departed.
And then in the Book of Jeremiah the 8th chapter and the 22nd verse...
Is there no balm in Gilead; is there no physician there? why then is... the health of the daughter of my people not recovered?
55 I want to speak, if we would call it, on the subject: "Why?" It's a--it's a question, and God's asking this question.
And God is eternal. We know He is. He's everlasting. He never had a beginning or He can never have an end. Eternity never started; it never ends, because it's eternal.
And God cannot change His mind nor His ways. That's why that we, as people who will not accept creeds if it's contrary to the Word, because we believe that God and His Word is the same. We believe that the Bible says in Saint John the 1st chapter, that, "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us." Therefore, when God says anything, He cannot, tomorrow or any other time, ever take it back when God's ever called on the scene to make a decision. And His one decision is eternal. It can never be changed.
58 And God was called to make a decision for the human race in the garden of Eden, when the first sin was committed... Could He ever be able to redeem His lost child back into fellowship with Him again? And He fixed one program. It's never changed: by the way of the blood. And follow the Scriptures; it never did alter or change, and it never can, because it's God's decision, by the Blood. Although, we tried to alter it. We've tried to educate it. We tried to denominate it. We tried to do everything there is in man's law, to try to change That, like Adam did by fig leaves and so forth. But it still ever remains; the Blood is the only place of fellowship.
59 Therefore, together tonight we can stand, not as one denomination, maybe many of us together. But we can't stand here to represent one denomination; we have to stand here in this fellowship under the Blood of Jesus Christ. We can all be brethren and sisters. God makes a way for a man, and then man refuses to walk in that way, then God's got a right to ask, "Why didn't you do it?" And that's what He did then, and that's what He does now. And that's why He'll--what He'll ask at the judgment. They've asked "why?"
60 Now, our Scripture reading started off, just immediately after the death of Ahab, a bad king, a borderline believer, a man who knowed what was right to do, and yet did not have the courage to step out and do what he knowed was right to do.
I just think, if this--if this world isn't contaminated today with Ahabs, this Christendom that we live in, it's contaminated with Ahabs, with men who really know that it's right to give your life and be--to God, and be filled with the Spirit, and to follow the teachings of this Bible, and yet without the courage to stand and do it. Reminds me again of another situation like that in Sodom.
62 The Bible said the sins of Sodom vexed the righteous soul of Lot daily. And how that the man's soul was righteous, and he looked out upon the sins of the land, and he knowed that what was wrong, that they were doing wrong, and yet without the courage to stand for his conviction.
No wonder the whole world has become a Sodom and Gomorrah, and how that the Lots today, across the nation and around the world, standing in churches, who is convinced that Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever, and that His power is just as real today as it ever was, without the courage to stand in the pulpit and to denounce sin, because of some barrier that would excommunicate them from a fellowship that they had joined into. Still comes back to the Blood of Jesus Christ, the only remedy.
"Why? Why?"
64 Ahaziah was a--was the son of Ahab, had been brought up in the kind of a home that--that was a--a lukewarm home. It wasn't altogether Christian. His mother was a heathen. And his father had married out of fellowship, married a woman that was not a believer. And that always makes a bad home for any kid to be raised in, that when unbelief and faith tries to mix together.
And now, if the father would've been a real strong man in his faith, the child might've had a better opportunity, but he--he didn't. He didn't have. He knew that there was God. He knew that there was a Jehovah. And then he--his mother's gods, and so forth. He was all confused. Then after the death of his father, this boy in this condition, kind of a mixed up, one way and another...
And if that ain't a picture of the lands today. One in the family is this a way, and one another, and one going this way and one going that way. No wonder we're producing so much juvenile delinquency, and all other kinds of stuff, under the name of Christianity. It's because there's no unity. There's no real call out and stand for God.
68 Now, we find that this fellow falling heir to his father's throne. One day, up in the top of his balcony somewhere, walking around, he--he fell through the--the lattice. Might've been over intoxicated and fell through the lattice, down probably on the bottom floor, struck a bench or something, and broke a few ribs or bruised him up. And the sickness must've started an infection somewhere, or the bruise, and caused him to have fever. And he was pretty sick.
'Course, them days they didn't have the remedies that they have now. Perhaps the doctors came and done what they could for the fellow, but they didn't have the sufficiency. Then he knowed his only thing that he could do would be to go to a higher power than what the doctors could produce in their terminology of medicine. And he thought he would go then; and he sent to his mother.
70 What a lesson that ought to be to mothers. A kid will usually listen to his mama. And he went to his--sent to his mother's god, Baalzebub, over to Ekron, where his statue was, his monument. And said, "Go consult the priests over there, and let them consult their statue of Baalzebub, whether I will recover of this sickness that I have or not."
72 But you know, that man, really, could you imagine, a people who was supposed to be a god-fearing people, would let such a man rule over them, is because a lukewarm condition. It was the condition that the church had got into, that put such a person in power, or permitted it. I don't think times have changed very much; and they still seem to be a whole lot the same way. And let this man rule, have the say-so over the country, that would consult some statue of some pagan idea about his condition.
And then, you know, but behind all of it, no matter how much it seems that God has turned His face from the people, He does that sometime to see what kind of an attitude you take. Every son that cometh to God's got to be tried and chastened.
74 And then there is a little spot in a man or woman, when they're born of the Spirit of God, that's eternal.
And you'll get into a place sometime to where every--everything that's human about you in reasoning, the devil can reason it away from you. But when it all breaks away, then if that Eternal Life isn't there, you'll fall also, because you can reason yourself away from God.
But a man that claims to be a Christian has no right in the pulpit, or has no right in the office or a leader anywhere, until first he's climbed them steps into a place to where he's born of the Spirit of God, filled with the Holy Ghost, in such a way that nobody can explain it away from him.
77 God, when He sent Moses down to Egypt to deliver the people, first He took him on the back side of the desert, and took all the theology he had in him out in forty years, and then appeared to him. He knowed more about God in five minutes in the Presence of that burning bush, than he knowed in the forty years of learning that he got.
That's what the church needs tonight is another burning-bush experience, where slick-tongued people... Where, the Scripture says that the two spirits in the last days will be so close, it'd deceive the very elected if possible...
79 A man ought to first get on that sacred ground with God, where all the theologians, all the doctors of divinity, all the reasonings, all the atheists, nothing else can ever explain that away from him. He was there when God come, and he knows what took place. You can't reason it out of him; he was there when it happened. That's the kind of man we need today in the government, in the church, and anywhere else in the times like this. For leadership, we need a man that's filled with the Holy Ghost.
That's what the church needs today; not a theologian, but a Spirit-filled, borned again man full of the Holy Ghost. I tell you, if we had more of that, the church would look a little different than it does in the present time. Things would be different if we just had more men filled with God's Spirit, not going after the traditions of the elders, and so forth.
81 Now, we find that this fellow sent up there to get this information from--from the--from the god of Ekron, Baalzebub.
But all the time, God knew he was doing it. So He had a prophet down there by the name of Elijah; so He spoke to Elijah and said, "Go up there to a certain road and stand in that way. Messengers are coming up." You see, you cannot hide nothing from God (See?), no matter what you're doing. Now, how little did that fellow know that God was speaking to Elijah way down there in the wilderness somewhere, in a little mud hut somewhere, and could tell him to "Go, stand on the corner of the road up there, and speak to these fellows, and tell them to 'Get back down to him, and tell him, THUS SAITH THE LORD, he's not coming off of that bed.'"
And He said, "Ask him, 'Why did you do it? What makes you do it? Is it because that there's no God in Israel? Is it because He doesn't have a prophet? Is that the reason you did it? Why, you know what's happened. You know the Scripture. You've got them in your own palace. The priests are around there. No doubt you've read them since a boy. And why did you do such a silly thing as that?'"
84 I wonder tonight, if Christ would come on the scene, or over the nation today, in drawing this nation to judgment, if that same question wouldn't been asked. Why is it, is it? Why is it we're doing these things? Why are we fussing in the government, whether we should read the Bible in public, and, why, if we're reading all this nonsense? Did not our forefathers set this constitution in order? Did not this nation be born upon the principles of the Bible? Aren't we here for freedom of religion, to act in God the way we feel fit to act, the way that we are convinced is truth?
85 But, you see, we have done something like they did then. We're just letting everything, politics swallow us up, in the stead of respecting our faith in our God, and men who has stood for truth. And we are letting our politics run over that, and voting in such stuff that's polluting this nation, and why, we are coming to a judgment. God will rise on the scene someday with a mighty prophet, speak in this generation, and--and tell people, and they'll see that it's God speaking, but they won't repent. It'll be just like it was then.
He said, "Is there no God in Israel? Is it because there is--is no God?" Same as Jeremiah said, "Is there no balm in Gilead? Is there no physician there?" Then they--they could not answer that. 'Course there was. Well, He said, "Then, why, why did you do it? Why is the daughter of My people not healed?"
87 Now, we wonder that tonight. Why? Is there no Bible? Is there no God? Is there no difference? If God is going to bring the people to judgment, He has got to have something to judge them by. There's got to be some standard.
If He's going to judge them by the Catholic church; then if they judge them by the Roman church, the Greek church is lost, the other Catholic churches are lost. If He judged it by the Greek, the Roman's lost. If He judged it by the Lutheran, the Methodist is lost. If He judged it by the Methodist, the Lutheran's lost. He can't judge it by a church; there's too many different organizations of it.
But God will judge the world, He said, by Jesus Christ. And Jesus Christ is the Word, and the Word is God. And He'll judge them by this Bible, for this is the Word. That is God's Standard. We must measure up to what the Bible says.
And we wonder why we got so much confusion, so many organizations, so much differences, separating brotherhood, and--and everything. It's because there is no Balm in Gilead? Is it because there's no physician there? I wonder if God would ask us that question?
91 Now, it wasn't the--it wasn't exactly they didn't have a Physician. They did. God was the Physician. And it wasn't because there wasn't a God in Israel. There was a God. And they had a prophet to consult, to find out what these things are. But it was the king's own stubborn will. That's exactly.
And that's what's the matter in the nation today. It's the people's own stubborn will. Not because we don't have the same God that crossed the Red Sea with His people, that fed them forty years in the wilderness. It's not because we don't have the same God that we had in the beginning. It's the people's own stubborn way. They don't want to bow down. They don't want to--to have anything to do with the holiness and purity of living the Bible way of living. They'd rather belong to a church and put their name on a book, and live like the rest of the world, than to bow down to the promises and the commandments of Almighty God. That's what's the matter today. That's the reason things are going the way they are; people get away from the Word. You'll never be able to get straightened out till we get back onto the right path.
93 They built this building, put that corner down here somewhere, you'd never get the building built. You've got to be laid on the foundation. And the foundation is the Bible, doctrine of apostles and prophets, and so forth, of the Bible.
The king's own stubborn way, He just didn't want to--to send down there. It wasn't very popular.
God's real true way of living has never been popular. It never will be popular, for the preaching of the Gospel is foolishness to them that perish. Paul said, "I'm not ashamed of the Gospel of Jesus Christ, for it's the power of God unto salvation to them that believe."
96 Now we find out here that the king was stubborn. Just something like today, a patient will lay right on a... What if a patient went to a doctor and laid down on his steps, and he had some kind of a--a fever that was going to kill him? And the doctor come to the door and said, "Sir, I've got the medicine in here."
He say, "Aw, I just ain't."
"Come on in; I'll give you the--the injection, the inoculation."
"I don't want your medicine."
And say now, "Sir, I--I can help you if you'll just come on in."
"Well, I'm not coming in."
And the man laid there on the doctor's steps and die, die on the doctor's steps because he won't accept the inoculation for typhoid fever or ever what it is that he had. He won't accept the inoculation for it, and the man dies right on the doctor's doorstep. Now, the man... You can't blame the doctor, if he has the--the medicine that will--that will cure the disease, and the doctor's willing to give it, and it's been provided. And the man set, come as close as the doctor's doorstep, and set down there and die, you can't blame the doctor. You can't blame the medicine. It's the man that's be to blame, dying on the doctor's doorstep, with a disease that there is a medicine to be cured, can cure it, on the inside. Well, that's just a parable.
99 But you know, God has the medicine inside of His Kingdom, that will cure every sin disease there is in the world, and the people set right on the church doorsteps. Not only that, but they set right in the pew, and die, and are lost, and go to hell, because they refuse to accept the Doctor's medicine. Amen. That's right. They absolutely refuse to take the doctor's medicine; therefore, they die with the fevers.
And the people set in the church and hear the messages of God, and believe them, and won't accept it. They wouldn't say, "Well, now I don't believe that's right." Some of them will come, say and agree with it, say, "I believe It's right," but you won't do it. See, you'll die. Dying in the pews of the church, because they won't accept the remedy. They won't. See, what it does, it takes a little bit of the--the popularity out of the people. It kinda beats them up a little bit.
101 They're afraid of that new birth. You know, any birth is a mess. I don't care what it is, if it's in a pig pen or a pink decorated hospital, it's a mess, and so is the new birth. It'll make you do things that you didn't think you would do. It'll straighten you up. But before you can ever get right, you have to come through that mess. That's right. Amen. Before a seed can ever be born, it has to die and rot. And that's what's the matter with people today; they don't want to die and rot out to the world, so they can be born again of the Holy Ghost. They're afraid of that new birth. They're--they're afraid.
It makes them do things that they don't want to do. It takes the popularity out of them. It takes the starch out of them. Oh, I tell you; I'm glad that there is inoculation tonight that'll take it out to you, brother, that'll take the world out. It'll make people, brotherhood, associate together regardless of denominational differences. It'll--it'll make a pair of overalls put a arms around a tuxedo suit and holler, "Brother, I'm glad to see you." Amen. Sure. But you... They're afraid of that inoculation. Oh, my.
It's dangerous to refuse the doctor's medicine, you know, if you--if you're going to him. And it's afraid of... If you refuse the medicine, it's danger. You may die. But that--that, you'll just die physically, from not taking the doctor's medicine. But how much more dangerous is it to refuse God's inoculation from sin.
104 Here sometime ago I had a little sick spell, and someone said to me, said, "Well, Billy," said, "did you keep your religion during your sickness?" Said, "You know, you believe in Divine healing; did you keep your religion?"
I said, "No, it kept me. Not having... Not the idea of me keeping it; it keeps me."
When the Blood of Jesus Christ was shed on Calvary, God made a preparation. When man first sinned, he left hisself a great chasm that he crossed, leaving hisself no way back. God, rich in mercy, accepted a substitute, and that was the blood of a lamb or a bullock, and that substitute lasted for years.
107 Moses stood under the inspiration of God, when sin was not even divorced, it was just simply covered by the blood of bulls and goats. And he had the--the glory of God upon him until he could speak flies into existence, he could speak frogs into existence. Because a word is a thought expressed, and God brought His thoughts to Moses, and Moses spoke them in words. And when the Word spoke, the whole world was framed by the Word of God.
There used to be a time when I'd get in school, get some black ink on my--on my shirt. Mama used to take my shirt off and say, "Hand it to me, quick, honey," and she would put some coal oil on it. And all it done was just scattered it, made a great big ring spot, where she put the coal oil in the ink. That's all she knowed about. That was the best she had.
109 But it's different today. They've manufactured a stuff called bleach. And you... It's a chemical that whenever that ink drops back into that Clorox, or bleach, whatever it is... When it strikes that, you cannot find that black no more at all. What happens to it? Drop a drop of black ink in a tub of bleach, why, you don't have nothing. You can't find any fumes.
If I was a chemist... These--these words may not be just exactly true to science, but I'd say, what is it? "It's an H2O, water, for one thing. Then there's a chemical in it and made it black." There is only one original color, and that's white. All other colors are perversions from that. But now I say... And then if you'd break it up from there, maybe you'd say, "Well, it turned into an acid when it hit the bleach. It turned to an acid." All right, then where did the acid go? "The acid went back..."
111 Now, it's coloring we're talking about in this, the coloring. Say, "It went back to molecules. Well," say, "molecule four times six plus nine makes molecule H." If it would come out four plus six plus eight, what would it come out? Pink instead of black. Then it went back from there to atoms. Then from atoms, plus one plus B2 Plus three, make four, which put it with molecule H, means what? Then you come back to black again. And then when you go beyond that, you might go to electrons.
Where do you go to from there? You'll have to go back. Because it is a creation, it had to come from a Creator. You have to make it. And therefore, it went all the way back to its Creator. That coloring that was in that ink, it can never return again.
113 Now, God, seeing that the blood of bulls and goats could not take away sin, He never manufactured, but He created a chemical in the Blood of Jesus Christ (Amen.), that sin once confessed in the...?... you--you don't even bridge that chasm; you take the chasm completely away, and God don't even know that you ever sinned. That's right. He said He put them in the Sea of Forgetfulness, to remember them no more at all against you. Then men and women stands in the Presence of God, as sons and daughters of God, the very nature of their God in their hearts.
Where is the church today, brothers? What's happened to the church? When, we can see that the Blood of Jesus Christ so remitted sins, that God don't even remember we sinned. Then, "Whatever you ask in My Name, that I'll do." What's the matter? It's because somebody's been indocumating these Scriptures from the people. This is the only thing that I can figure that's been doing, 'cause God's remedy is still the same. Now, it's dangerous to refuse the doctor's inoculation, how much more God's.
115 Now how does man ever find medicine anyhow to work on a human being? You know what chemists does, or--or scientists? They take a disease, and find out what kind of a germ is in it, then they get some kind of poison, antidote, and so forth, enough poison enough to kill you, and enough antidote to keep it from doing it, and they inject it first into a guinea pig. They give the guinea pig the disease that you've got. And then they put the medicine in the guinea pig, and if the guinea pig survives it, then they give it to you. So that's quite a thing, you know; give it to the guinea pig and see if he can take it, and if the guinea pig don't die, then they give it to you. Now all--not all people are made like guinea pigs, you know, and so it--it kills some and--and helps the other.
116 But there's one thing about this inoculation that Jesus Christ gives; it helps everybody. It's not a remedy; it's a cure.
You've heard people say today, "Number one killer is heart disease." I--I different with them; not to be different. I just different because I know it's wrong. Number one killer is sin disease. That's right. Not--not all heart disease, it's sin disease.
You know, some people say, "Well now, Brother Branham, I believe you stretched the blanket there a little bit. Now, let me ask you something. A man has to sin; I just have to sin a little bit every day." That's because you've never been inoculated. That's all. See? Uh-huh. Yeah. You never tried God's remedy. That's right. If you'd do that, then you wouldn't do it.
119 Say, "I just have to smoke. Something just makes me smoke." Try the inoculation one time and find out whether it--whether it works or not. You say, "I--I just can't keep from doing this. I--I..." Well, you just--you just take God's toxine one time and see how it does to you.
A woman said to me not long ago. I was getting onto her about wearing these little old scandal clothes. And she said, "Now, Brother Branham, let me tell you, you have no right to say that. We got a right to wear shorts if we want to."
I said, "I guess that's right. But if you was a Christian, you wouldn't want to wear them." She said--she said...
And she said, "Well, now wait, Brother Branham." She said, "You know, they don't make any other kind of clothes but just those sexy clothes and so forth like that."
I said, "They still got bolt goods and make sewing machines. There's no excuse." That's right.
It's because they don't want to take the inoculation of the fillings of the Holy Spirit, old fashion, God-saved, camp-meeting holiness. Amen. That's right.
125 It used to be wrong to do those things. It's still wrong. That's right. But what's the matter? There's something happened. It used to be that a--that a people that would act like that, they were even excommunicated from society; now they can't be brought into society until they do do it. And so (You see?), it depends on where your heart is, there your treasures are also; or where your treasure, your heart is also. You must remember that if you love the Lord with all your heart, you'll live clean and pure.
126 Wife and I went over to the supermarket, here some time ago. We seen a strange thing, a woman with a dress on. It was a strange thing in our country. And Meda said to me; she said, "Bill, I know that them, some of them women sing in choirs down here in the churches." She said, "Oh, I know them." And she said, "Now, why, what makes them?"
I said, "Well, you see, honey," I said, "being a missionary, as myself," I said, "we--well, we are of a different country."
She said, "A what?"
I said, "We are of a different country, a different nation."
She said, "Aren't we Americans?"
I said, "We live here, but this is not our home. We are pilgrims. We're seeking a City whose Builder and Maker is God.
I went into Finland; I seen the way they acted in Finland. I went in, and down into Germany; I seen the way they had their German spirit. I went down into Switzerland; they had the Switzerland spirit. I come to America; they got a American spirit."
She said, "Well then, what about us?"
I said, "We are born from above, heavenly, where purity, and holiness, and righteousness, and honesty." Yes. I said, "Therefore, those who profess that, look not upon the things of the world. But we plainly say by our lives and the way we live, that we have a God, we have a Kingdom, we have a place that we're going. And this is not our home." Amen.
My, I like that. I begin to feel pretty religious right now. Yes, sir. I believe in this old-time Holy Ghost salvation. Oh, brother, sister, it does something to you. The same God, lived one time, still lives today. His same, His same doctrine of holiness just lives tonight the same as it ever lived, just the same thing. Yes, sir. Notice, the people has got away from the doctrine of it, that's all. Yes. Now, yes, sir.
131 Our number one, heart disease, doesn't--the main thing that kills the people today, it's number one; sin disease. And sin is unbelief. Unbelief in what? The Bible. That's right. Yes, it's the number one sin disease, that kills the people today, both spiritually and... And that'll make them kill them physically, of course, 'cause they already can prove that man that holds grudges, and women who fuss and stew, and fight and argue, they die. It'll cause cancer, fungus, everything else will set in, ulcers.
See, you were made to be happy and free. You were made to live like children before your Father, and--and know that He makes every day, everything work right for you each day. Yes, sir.
133 The people's just afraid of this new birth. That's all. They're afraid to come to it, because it'll straighten them up. It'll make you quit playing bingo, quit playing these slot machines. It'll make you quit staying home on Wednesday night from prayer meeting, to watch "We Love Susie" and all those other crazy things that Hollywood's got, and them dirty jokes that's cracked over there. And it'll make--it'll make you let your hair grow out long. It'll make you act like a lady. It'll make a man quit smoking cigarettes and being in church as deacons. It'll make the people quit lying, stealing. It'll do something for you. It'll clean you up and give you a salvation that there's nothing in the world can explain it away from you, 'cause you know you were there when it happened. Yes, sir.
134 Now, as I said awhile ago, when God... When man finds medicine, the thing that they do, they search for this remedy. Then they find this disease, then they inject it into a guinea pig and see if the guinea pig survives it,
Now, when God was going to bring down this inoculation that I'm speaking of tonight, this Balm of Gilead, He didn't find a guinea pig. He come Hisself. Amen. Only way He could do, is come in the form of His Son, and was made flesh and dwelled among us, in order to take the sting of death. He come to die, and the only way He could die... He couldn't die as a Spirit, as a man. So He was formed a body called Jesus Christ, the Son of God, and God dwelt in this body, making Himself Emmanuel on earth to take away the sin of men. That was that chemistry that was in that Blood.
Somebody said, "He was a Jew." He was not a Jew. Some of them He was a Gentile." He was not a Gentile. He was nothing less than God. The Bible said that we are saved by the Blood of God. The blood comes from the male sex. We know that. The hemoglobin is out of the male; the female is only the egg. That's right.
138 Like I said to you, like springtime. These old mother birds are building nests out here and--and laying eggs. Some of them will lay a nest full of eggs that'll never hatch too. Why? She--she could lay a nest full of eggs, and she could set on them and just be so loyal. She could turn them eggs each day, and stay there away from food, until she gets so poor she couldn't hardly fly off the nest. No matter how much she babies them, and how much she pets them, and how loyal she is to them, they'll never hatch. Why? She hasn't been with the mate, and they're not fertile; therefore, they'll just lay there and rot.
That's what's the matter with a lot of our conferences. That's what's the matter with our camp meeting, many of them today, and our conferences. What do we get? A bunch of pets and sissified preachers that ought... Why, it's a disgrace. And come in there because he's got a little prestige, or a little education, push them up above something.
140 I'd, my, only thing we need today is a... We got a nest full of rotten eggs. What we need is a good old nest-cleaning time, all the way from there, that'll push it out, until we get men and women that's filled with the Holy Ghost, that's been with the Mate, Jesus Christ, and is filled with the Spirit that He was baptized with. That's right. Then we got Life in the camp. Yes, sir. Toxine, they're afraid of it.
Jesus Christ, the Son of God, when He was born, some of them said, "Well now, He was, He--He was the egg of Mary." He wasn't. If Mary had to get that egg down through the tube and to the womb, there'd to be a sensation, so you see what you put God doing? He was neither, no part of it.
142 God the Creator overshadowed the virgin Mary, and created the cells within her womb, and brought forth a Man which was Emmanuel, God Himself made flesh among us, with no help from anybody. He's the Creator Who made the first man. Amen. Oh, my. There He is; there He stands. Yes, sir. And then He did that so He could take the inoculation.
Any real good scientist, good doctor that finds a disease, some of them will go over to a prison camp and get some men to try it out, that's going to have life in prison. If he survives the inoculation, why, then the poison don't kill him, he can go free if he's ready to take the inoculation. Prisoners wait for that. Oh, that's a doctor that's afraid of his medicine.
144 But, you know, God wasn't afraid of His own medicine. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... in a manger, a man standing on the banks of the Jordan. When the inoculation fell down there, he seen it like a dove coming down from heaven, and He was inoculated. And a Voice said, "This is My beloved Son in Whom I'm pleased to dwell in." Amen. God in man, that's the inoculation: God in a Man.
The world watched Him. Every temptation, He stood it. When they spit in His face, pulled the beard out and spit on Him, It stood the temptation. In the hours of trial, it stood the temptation. It held. The inoculation that He received at Jordan, it held; it held in the time of popularity.
145 What's the matter with a lot of--of churches today: God will bless them, they get started... And that's what's hurting our Pentecostal people. They--they ought to be back like our grandfathers was with a tin pan or a tambourine, down on the corner somewhere, beating a tambourine, than it would been lay in these big morgues that we're building today, trying to fashion after other people. What we need's a good old fashion outpouring of the Holy Ghost, that'll clean you up...?... of the Pentecostal church. That's right.
Now, the thing of it was, that when the Holy Spirit came down upon Jesus, at the day of His baptism, He was inoculated. We've watched Him in the hour of trial. When the devil tried to give Him all the kingdoms of the world, what did He do? He stayed right with the Word. Amen.
147 What I'm wondering today, that many brethren out on the field since this last day revival... Why is it, when you get a few nickels or a change of clothes, you're too big to go somewhere...?... something another, and you have to have something bigger than the other one? It's become a regular rat race. It's a shame. God wants men that will humble himself, and get down there into a place, somebody He can speak to. But it's become such a rat race, everybody is trying to get something bigger than the other fellow as I... It's ... And, see, they can't stand that prestige of the temptation of Satan.
148 But our Lord stood the temptation. The inoculation held. When the time come, there was a debate on the Scripture, He stayed exactly with the Word. Satan said, "It's written."
He said, "It's also written." Oh, it's... Glory! God in man. See?
What did He have? He had something with Him to back up every Word He said. He said, "If I do not the works of My Father, then don't believe Me. But if you can't believe Me, believe--believe the works that He does through Me." Oh, my. There you are.
150 What we need is men and women like that today that can shut the mouth of the world by the signs of the Holy Ghost. We need a camp meeting like that. We need a turning upside down, a shaking out, a lot of the world and things out of the church, that's come in in these last days. Money is scattering out through the country and big things, that's got the people's minds on big things instead of on God. Compromising, compromising with the Scripture... Many brother who started out on that way, but they get popular in some organization, compromised on what he believed.
That blood doesn't run in a genuine Holy-Ghost-born men. All devils in hell can't upset him on that Word. He'll stand on That regardless of what. Amen. Paul said, "There's nothing present or future, can come, or anything can separate us from the love of God." That real genuine birth of the Holy Spirit comes into a man, he's a Son of God. There's no chasm between him and God. He's His son in His Presence. Amen. I like that. I know that's true. All right.
152 We find out that in the hour of temptation, for worldly things, the inoculation held. In a time of being called holy-roller, or--or made fun of, put a rag around His face and His eyes, and hit Him on the head with a stick, said, "Now, if you're a prophet, tell us who hit you." Them Roman soldiers, they seen Him discerning the thoughts of the people. To stand out and...
If He was standing here tonight, He could look around and tell that woman what was wrong with her, and what was this and that. That's the way He did it. That's the way He still does it, 'cause He doesn't change. Amen. Ain't you glad? That's a living God. That a man could fall out of a roof, and the life go out of him; and a man standing there with God in him, could lay hisself over that man, and he lived again. That same God lives tonight. Amen. He's the unchangeable God. The church needs an inoculation. That's right.
154 As David duPlessis once said, God don't have no grandchildren. That's right. Where our Pentecostal brethren are becoming, their children come into church and just say, "Well, we're Pentecostal 'cause papa was. "If papa was a Pentecostal and got the baptism of the Holy Ghost, you'll have to get it the same way papa did. He don't have grandchildren. He just has sons and daughters, not grandsons and granddaughters, just--just sons and daughters. It's true.
So you've got to do the same thing they did on the day of Pentecost. You got to have the same experience. You got to have the same thing that they had. God don't never change His program. He never changes His ways. He just does the same thing all the time. The way He lays down His program, you must toe to that each time. It's got to be the same thing. And if you'll do the same thing, the same results will come. Amen. That's right.
156 Now, we find out, it held in time of temptation. It held when everything was going wrong. It held when all of His friends forsook Him. He still held; the inoculation held. Then the devil thought, "I got him now." He started up Calvary, the Blood streaming out of His body, His garment wrapped around Him, one big splash of Blood. The devil must've said, "I got him now. That can't be God. No, no. That can't be him, if he'd let them soldiers spit in his face, if he'd let them jerk handfuls of beard out of his face, if he'd let them challenge Him to see a vision and he didn't do it... And now here he goes up the hill, packing that cross, I'll have him in a few minutes."
157 That bee of death come down, circling around, to sting Him. You know, like any bee has a stinger in it. But, you know, God had prepared a flesh that time; it was the flesh of God. When that stinger once anchored in that Son of God, into Emmanuel, when he pulled hisself out, he had no stinger left. He took the sting right out of death. No wonder Paul could say, "Death, where is thy sting? Grave, where is thy victory? But thanks be to God, Who gives us the victory through our Lord Jesus Christ."
He could sting Elijah and die; he could sting Elijah and remain his stinger. But, you know, if a bee--if a bee ever stings deep enough, he can't sting no more; he pulls his stinger out. So there was no human flesh that he could anchor in (Oh, my.), no one that he could anchor in. But when he put it in Emmanuel that time, he lost his stinger. Thanks be to God. Yes, sir, he failed on that one. Yes, sir.
159 They found out the toxine held. They said, "If You be the Son of God, come down off the cross." The high priest, the big dignitary of the church, said, "Tell us plainly now. If You're the Son of God, come down off the cross and save Yourself," and so forth, "Let us see if You're the Son of God." He never opened His mouth and said a word.
Now, we find out that He died. He really died. He died until the sun and moon said He died. All nature said He died. The earth quaked; it had a nervous chill run over it. And when they seen the very God that created the earth was hanging on top of the earth, and Emmanuel's Blood dropping upon the ground... No wonder He died. He died till everything said He was dead.
161 And then we're going to find out, before He died, He said, "You destroy this temple, and I'll raise it up again on the third day. You'll never be able to keep it down. Destroy it, and I'll bring it back up on the third day."
They put a guard around to find out if the inoculation was going to hold. They seen it held through temptation of sin. It held through poverty. It held through riches. It held through all kinds of temptation. It still held. But now, it's in death, what's it going to do now?
163 But on Easter morning, oh, my, just before that sun rose up, that inoculation took ahold. And when it did, death broke its barriers, the grave opened up, and He rose again on the third day and ascended on high. It shows that that inoculation is inoculation of Eternal Life. You can't destroy it. Even the belly of hell can't hold it. The grave can't hold it. Death can't hold it. Nothing can hold it. It'll rise again.
Jesus Christ said, "All the Father's given Me will come to Me, and I'll raise it up again at the last day." Hallelujah. A man or a woman that's been inoculated with This, cannot stay in the grave. No grave can hold the righteous. No hell can keep it; no grave, no nothing else. Jesus Christ promised to raise it up again on that day. Amen. Oh, I'm so glad of that, that inoculation. You know, on Easter morning it proved.
165 Do you know what it was? It was such a great thing, till a hundred and twenty people wanted to get inoculated. Now, if He can keep through temptation, there's a hundred and twenty people who knew Him real well, they wanted that inoculation. So right then He had to go up to the laboratory and fix the serum, so He said, "You go up there to the city of Jerusalem till I get it, all the formula fixed up. I'm going to send It down to you." So they went up to wait.
How the Christian church should be run, what kind of an inoculation would it take? What--what would be the inoculation? How would they do? What would take place? Should they all go away to the seminary and learn to have a Ph.D. and LL.D.? Should some priest come up the road with a kosher in his hands, and lick out and take the communion, and that's it?
167 But there came a sound from heaven; the inoculation was on its road like a rushing mighty wind, and It filled all the house where they were setting. Cloven tongues set upon them, like Fire. And they were all filled with the Holy Ghost, and begin to speak with other tongues, as the Spirit give them utterance.
If you ever seen the old temple, the picture of it? There was a little side door that went out, went up along the stairsteps, went up in the upper room. They closed the doors and went in because they was afraid. But I'm telling you, when they got inoculated like a fresh branded calf, they couldn't hold him. No, sir. Out of that room he come, out into the streets he went. He was inoculated. Death, hell, persecution, laughed at, made fun of, made no difference to him, he was inoculated. Amen. Oh, my.
170 Listen at Peter stand up there. They begin to ask, "Is there any more balm in Gilead? Is there any more balm in Gilead? Is there no physician there?" Oh, yeah, we got plenty of balm in Gilead. We got plenty of physicians.
That day, Doctor Simon Peter, he was the physician. He said, "I'm going to write you a prescription. I'm going to tell you. And this is an eternal prescription, because it's going to be for you, and for your children, and for them that's far off. Frankly, it's for every one will call upon, the Lord thy God shall call upon, 'I'm going to give it to him.'"
Said, "What can we do to get inoculated?" There's where she lays. "What can we do to be inoculated?"
He said, "I'll write the prescription." He said, "Repent, every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost. For this prescription is to you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." Oh, my.
174 You know what? When a doctor finds a remedy for a disease; and he writes out a prescription, and some quack druggist gets ahold of it, and goes to adding a little of this, and taking a little of this out of it, he'll either kill the patient or--or do something to it. The prescription doesn't even have any--enough medicine in it to do any good. If it don't, it's so weak you won't help the patient,
And that's what's the matter with a lot of these seminary druggists today. They take the prescription out, and add something else instead of it, and you got a bunch of dying morgues.
176 This prescription still remains the same. When the Samaritans received it, they get inoculated, they had the same thing. When the Gentiles received it, they got the same prescription. Paul met a bunch in Acts 19, who had part of the prescription, not all; he said, "That won't work. You're going to kill the whole thing." So he wrote it over for them, told them how to get it. And they got it the same way.
And that's what's the matter today. There's plenty of balm in Gilead, and we got plenty of physicians, but the people are afraid of the prescription. Glory. Praise be to God. Is there no balm in Gilead? Is there no power of the Holy Spirit? Now is there?
This inoculation works on all. See? It did on the Jews. It did on the Samaritans. It did on the Gentiles. It does on everybody the same way.
179 I'm a missionary. I go over into the land where the people there that don't even know which is right and left hand, and they stand there. You know what they do when they receive the Holy Ghost? Same thing you do: same thing.
Oh, what is it? "It's for you, and for your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." This same prescription works the same thing.
And the church will do the same thing it did at the beginning. Exactly right. Jesus is the Vine. We are the branches, and by being inoculated by that Life that was in the Vine... The church that went out, inoculated, they wrote a Book of Acts behind it.
Now, we got some substitutes. We got some grafted fruits. It--it lives off of the life of the tree, but it won't bear the fruits. That's right.
183 I was standing with a friend of mine, John Sharritt, over in Phoenix, here not long ago. He had a tree there, a orange tree, that had about five or six different kinds of fruit on it.
I said, "I never seen a thing like that."
He said, "They're grafted."
I said, "What kind of a tree?"
He said, "Orange."
I said, "Well, there's lemon, and there's lime, and there's tangerines, and tangelos, and--and grapefruit, many different kinds." I said, "And all of them raised off of that same tree?"
He said, "Yeah, it's all citrus fruit."
I said, "Well now, that's a strange thing." I said, "Now, this year, after all that fruit goes off, next year it'll bring forth a orange?"
He said, "Oh, no. Huh-uh. No." Said, "It'll bring forth the kind that the limb is."
And I said, "Then that tree turned from, you mean, from the--the orange tree to what it..."
He said, "No, no, no. If it ever puts forth another limb, it brings forth an orange."
I said, "I see." Amen.
189 Brother, we've got such things as church denominations injected into this, and living off of it, calling themselves Christians. But if the real Life of that tree ever puts forth another branch of its own, it'll be another Book of Acts behind it, for He is the same yesterday, today, and forever. What the world and their treasures, and they don't know nothing about. The people reading this Bible, if you'll read It from the denominational standpoint, you'll not get much from It. But if you'll just look to what It says, then obey what the prescription says... Read It; obey It; it'll make a different person,
190 I just come from India, here not long ago. I heard of a woman over here, she was poverty-stricken; her son had went to India to be a doctor. And he got over there, and he got away from his medical practice, and got into another; I believe he was an electrical engineer or something. And this woman got poverty-stricken. She just didn't have nothing, and so charity was trying to come and take care of her. And so they invested the case, and when they investigated, they found out that the woman had one support, and that was a son that was a very wealthy man in India. And said, "Well, why don't your son support you?"
Said, "Oh, I just couldn't ask him." Said, "I'm his mother," said, "I'd just rather take charity than to ask my son."
Said, "Don't you never hear from him?"
Said, "Oh, I hear from him at least once or twice a month." Said, "He writes some of the most sweetest letters that you ever read."
Said, "Well, look like if he loved his mother enough, and he had plenty of money, he'd be trying to take care of her, instead of her having to go to charity."
Said, "Well, perhaps if he knew I was this a way," said, "he would, he would take care of me. But," said, "you know, he doesn't know, and I--I just feel embarrassed to tell my son, like that."
And said, "And he still writes you sweet letters?"
Said, "Oh, some of the sweetest letters..." And said, "He sends me the prettiest pictures you ever seen."
Said, "The prettiest pictures? So let's see some of them."
She went to her Bible, and she pulled them out. You know what they was? Bank drafts. India puts pictures on their bank drafts (You see?), pretty pictures. She had thousands of dollars, converted from Indian money into American money. What was it? In the lids of her Bible, she had treasures that she thought was just pictures, but come to find out, it was real value to her.
197 And, brother, when you try to read of a painted fire of Pentecost, and somebody tries to tell you that the Holy Spirit isn't the same today as it was then, somebody tries to tell you the days of miracles is passed, that Jesus Christ isn't the same yesterday, today, and forever, that they try to tell you, don't you believe it. Them's not pictures. God Almighty sent that message to you (That's right.), "It's for you, and to your children, to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." God is still God. Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever.
He's right here tonight to save the lost, to heal the sick, to fill with the Holy Spirit, those who desire to be filled. You believe that, don't you? [Congregation, "Amen."--Ed.] Yes, sir. If you believe it, then (You see?), that's God's promises in this Word here; you can get right in there and find every promise. The promise is unto you. Peter said, "The promise is unto you, and to your children, and to them that's far off." Don't be afraid to cash that. That's a bank draft on heaven. That's right. Jesus Christ the same yesterday and forever...
199 What if He stood here tonight and seen that woman laying there sick? She looks like she's very sick, crippled, probably paralytic or something. Two women... A woman, and a colored man and a colored woman, trying to work with a little baby, what do you think He'd do if He stood looking at them two patients there, as a Healer? You think He can heal them? He's already done it. You see? When He died at Calvary, He done it. You believe that, patients? You believe that's right?
You there with the little, colored lady, there with the baby, you believe Jesus Christ, when He died at Calvary, He purchased the healing of your child?
You on the cot there, if--if you're... You look very sick. You're paralyzed, whatever it is, you believe Jesus Christ died at Calvary, to save you from your sickness? You believe that? Do you believe that what I've said tonight that it's true? Do you believe that prescription's true? You do?
201 If He stood here tonight and you asked Him, "Will You heal my child?" you know what He'd say, "I've already done that." See, you just believe it. See? If you'd say, "Sir, I am crippled, can't walk," or whatever it is. "I--I can't walk. I--I'm dying," or something, will You save me?" He'd say, "I've already done it." See?
Now, how would you know it was His voice? Because He would do something like He did then. He might be able to tell you something about yourself, tell you what you were, or what was wrong with you, or something like that, like He did in the Bible time. That would show He was the same. But for healing, you'd have to accept it yourself. "He was wounded for our transgressions; with His stripes we were healed." Do you believe that?
You believe He could tell me tonight what's your trouble, or something about you laying there? Would you accept it and believe me to be His prophet? You will?
What about you, the lady there next to her with your hand on your baby, do you believe that?
Well... How many will believe it? [Congregation says, "Amen."--Ed.]
206 Now, heavenly Father, this is Your servant. I've just... I'm just responsible for preaching Your Word. Now, I know this is unusual, but I pray that You'll grant it tonight, that the people might know that--that this is truth.
All right, look this a way. Your baby has some kind of a bone disease. That's right. It's got a big swelling in the leg. Is that right? Keep your hand on it, repeat and say, "Lord Jesus, heal my baby; I will serve You all my life." If you've never took this inoculation, believe It with all your heart. And put a string around that baby's leg tonight and measure it. And then bring the string back tomorrow, where you cut it off, how much it shrunk between now and tomorrow night. Will you do that?
208 You laying there next, you believe me to be His servant? I never seen you in my life. But you're laying there, shadowed with death. There's a dark shadow over the woman. She's suffering, dying with cancer. That's exactly right. And you believe that God will make you well? Could you believe it? Then why do you lay there till you die? The doctor can't heal that. Rise up, in the Name of Jesus Christ, and take up your bed, and go home.
You believe? All that wants to believe and accept your healing, stand up on your feet and thank God. See, see? Take it in your arm...?...
Let's say, "Praise the Lord," everybody now. You believe Him? Raise your hands now to God and praise Him. You believe? Is there no balm in Gilead? The power of God can do that.
Let's raise on our feet, everybody now...?... Stand up to your feet, everybody, and accept Jesus Christ. In the Name of the Lord Jesus Christ...?...