Tournez Les Regards Vers Jésus
Tournez Les Regards Vers Jésus - VGR
1 Amen. Merci George, Becky et Soeur Ungren pour ce beau cantique. C’est vrai. Tout change quand Jésus vient. Il dissipe les ténèbres et répand la Lumière. Nous en sommes reconnaissants.
Maintenant, je... C’est la première fois que Becky joue ici à l’église. Ainsi, c’était un cantique très approprié: «Quand Jésus vint.»
2 Nous sommes donc reconnaissant d’être de nouveau ici ce soir, et si content de la – de votre aimable présence ce matin. Et maintenant, ce soir, c’est un… J’ai un petit sujet dont je voudrais parler dans quelques instants; mais juste avant cela, j’ai quelques annonces à faire et tout. Et je suis un tout petit peu enroué. Je pense que c’est simplement le fait de trop parler. Je prêche longtemps, et si j’enregistre ces bandes d’une heure ou deux, quand je reviens ici, c’est parce que je le fais pour le monde entier. Je vous remercie donc d’avoir été si patients avec nous ce matin.
3 Eh bien, il y a quelques points que j’aimerais mentionner ici, c’est premièrement, demander quelque chose à l’église que j’ai – j’ ai fait, et que je – je veux demander si je puis modifier cela ce soir. Nous ne sommes pas... Je ne fais pas de voeux pour la nouvelle année. Et puis, je suis... Nous devons rentrer chez nous demain ; ainsi, nous ne serons pas ici pour le nouvel an, mais nous penserons à vous. Je crois qu’il y aura une réunion ici la nuit du nouvel an. Oui, c’est vrai, une veillée comme on en a toujours eu la nuit du nouvel an. Nous aurions aimé rester, mais alors nous ne pourrions pas arriver à temps pour – pour envoyer les enfants à l’école. Et en plus, mon épouse doit laver leurs habits. Vous savez ce que c’est.
4 Ainsi, j’aimerais remercier chacun d’entre vous pour toutes les bonnes choses que vous avez faites pour nous à Noël. Et vous les femmes qui êtes venues là-bas et qui nous avez apporté de la nourriture à la maison et différentes choses, si bien que, lorsque nous sommes arrivés là, il y avait – la nourriture était déjà préparée et prête à être mangée. Je vous en remercie sincèrement. Puisse Dieu toujours vous bénir, ainsi que l’église, pour leur petit bon me permettant d’aller là prendre des habits, si j’en voulais, un complet. On m’offre un complet chaque année. Et certains de mes gentils amis viennent de m’acheter un complet. Aussi, je pense que, si ça ne dérange pas, j’ai besoin d’autres choses telles que des chemises, des maillots de corps et autres. J’aimerais utiliser l’argent pour cela, si l’église est d’accord pour le moment, j’ai plus besoin de cela que je ne... beaucoup plus que je n’ai besoin d’un complet.
5 Eh bien, ce jeune homme qui vient de chanter pour nous, frère George Smith, vient de Tucson. C’est leur église que nous fréquentons là-bas, l’Eglise Baptiste du Nouveau Testament. Son père est un missionnaire. Je pense qu’il a environ sept églises à Old Mexico. Et il y a assurément des gens bien là-bas. Son père et sa mère et tous les autres sont des gens bien, et George est un jeune homme très bien. J’ai vraiment regretté qu’il ne nous ait pas donné, avant de s’asseoir, quelques paroles de témoignage sur la grâce salvatrice de Christ dans sa vie.
6 Et maintenant, les – les messages... J’ai promis ici, il n’y a pas longtemps, concernant les messages, qu’avant d’aller tenir des réunions ailleurs, je viendrai d’abord ici pour les enregistrer, et après j’irai ailleurs. C’était dans le but de faire parvenir les bandes aux gens; donc je viendrai ici pour enregistrer un message et puis j’irai le prêcher ailleurs. Cela donnera aux gens l’occasion de – de... à ceux qui font les bandes de les préparer pour que nous les amenions.
7 Maintenant, je suis sur le point d’effectuer une longue tournée d’évangélisation. C’est pourquoi, je – je ne saurai donc pas le faire dorénavant. Voyez-vous? Et celui qui enregistre sur bandes aura simplement à les prendre au fur et à mesure que nous nous déplaçons. Et je pense, après tout... N’auront-ils pas une réunion qui traitera des bandes cette semaine? Il y a l’une ou l’autre chose au sujet de – quelque chose au sujet des bandes, cette semaine. De toute façon, je pense que frère Sothmann est ici et il représente frère Maguire. Je ne sais pas s’il est là. Je pense que frère Fred est là. Quelqu’un a dit qu’il était là. Et il... Je pense qu’ils auront une réunion cette semaine, peut-être demain soir, ou l’un de ces jours au sujet des bandes. Nous en avons parlé l’autre soir dans cette pièce-là. Je pense que le moment est arrivé pour faire quelque chose. Ils prennent et arrêtent des dispositions là-dessus. Ainsi, dès maintenant, je vais probablement donner, dans les réunions d’ailleurs, des messages que je n’aurai pas abordé ici au tabernacle.
8 Et maintenant, j’ai – je veux être reconnaissant à Dieu pour le témoignage de frère Blair. Il se trouve que frère et soeur Blair sont assis ici même ce soir, ici même devant nous, ceux qui avaient un petit garçon. Je me souviens quand le Seigneur m’a dit, quand il était... frère Blair était tout abattu, il pleurait. Son petit garçon avait eu le visage écrasé comme ceci par une voiture qui avait capoté, et il était très mal en point. Mais alors que je priais, je vis le petit garçon guéri. Et frère Blair, bien sûr, me demanda, disant: «Frère Branham, est-ce un AINSI DIT LE SEIGNEUR»?
Je dis : «Frère Blair, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
9 Et frère Blair est ici ce soir, et nous sommes certainement reconnaissants d’avoir frère Blair parmi nous. Il a un peu souffert des troubles nerveux; et Satan lui a donné ici, il n’y a pas longtemps, un grand coup pour essayer de l’amener à ne pas me croire. Et pendant que Satan faisait cela, le Seigneur est venu là et le lui a révélé, lui en a parlé, pour couper court à cela avant que vienne le moment pour cela. Frère Blair est un brave homme. Et, je veux que vous vous souveniez de lui. Il est en quelque sorte devant une alternative quant à ce qu’il doit faire. Il ne sait donc pas de quel côté se tourner. Mais je crois, Frère Blair, que Dieu... Vous êtes un grand serviteur de Christ et Celui-ci a beaucoup de travail pour vous aussi, les lumières s’éteignent. Etiez-vous ici ce matin? Eh bien, c’est très bien.
10 Eh bien, maintenant, je pense que la prochaine fois que je vous verrai, ce sera peut-être pour un peu de temps au printemps; et d’ici là nous saurons peut-être si nous allons tenir les réunions ici à Jeffersonville ou pas, pendant le temps où je suis censé être en Norvège et dans les pays scandinaves.
11 Maintenant, juste avant que nous prenions un texte, car nous aurons une ligne de prière et beaucoup sont debout dans les salles et le long des murs et partout; et je sais que vous – que c’est très pénible pour vous, je suis moi-même resté très souvent debout, et alors que je passais il y a quelques instants, en amenant ma femme, j’ai remarqué les gens aux portes, et j’ai pensé : «Qui dit que l’Evangile n’est plus la chose la plus attrayante au monde?» Il l’est assurément. Il – Il attire ceux qui s’y intéressent. Ceux qui ne sont pas intéressés, bien sûr, ils ne... ce ne sera pas le cas pour eux. Mais Jésus, si je... a dit : «Quand J’aurai été élevé de la terre, J’attirerai tous les hommes à Moi.» Comme c’est vrai!
12 Et quand j’arrive ici, il y a tellement à dire que je dois, pour ainsi dire, prendre des notes sur ce que je vais dire ici pendant un moment, sinon je... Il y a tellement à dire que vous oubliez tout simplement ce que vous vouliez dire.
13 Bon, je crois comprendre que le père de frère Ungren a été baptisé ce matin au Nom de Jésus-Christ. Et si soeur Ungren et les autres sont ici, je suis sûr que c’est quelque chose d’important pour eux, car cela a été leur prière constante pendant de nombreuses années. Et frère Ungren, où que vous soyez, que Dieu vous bénisse richement, mon frère. Et si ce n’est pas correct, Dieu m’en tiendra pour responsable au jour du jugement. Vous voyez? Je sais que c’est correct. Je – j’en prends la responsabilité. C’est tout à fait juste, parce que c’est la vérité. Vous dites: «Cela change-t-il quelque chose?» Cela a changé quelque chose à Paul. Il demanda comment ils avaient été baptisés. Ils répondirent qu’ils avaient déjà été baptisés par Jean, l’homme qui avait baptisé Jésus. Paul leur dit de venir et d’être rebaptisés au Nom de Jésus-Christ. Et pas une seule personne dans la Bible ne fut baptisée au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Personne ne fut baptisé de cette manière-là jusqu’à l’organisation de l’Eglise catholique au Concile de Nicée, à Nicée, à Rome. C’est là que, pour la première fois, on utilisa les titres pour baptiser une personne.
14 Quelqu’un m’a dit l’autre jour... J’ai dit: «Eh bien, si le Seigneur Jésus...» C’est cela Son Nom.
Il a dit: «Eh bien... »
J’ai dit: «Si quelqu’un venait vers vous... »
Il a dit: «Je ne pense pas que cela fasse une différence.» Je l’ai simplement eu dans sa propre doctrine.
J’ai dit: «Si un homme venait vers vous et qu’il vous disait: «J’ai été baptisé au Nom de la Rose de Saron, du Lys de la vallée et de l’Etoile du matin, diriez-vous amen à cela?»
Il a répondu : «Non, monsieur.»
J’ai dit : «Comment... Le rebaptiseriez-vous?»
Il a dit : «Oui, monsieur.»
J’ai dit : «Comment le baptiseriez-vous?»
Il a dit : «Je le baptiserais au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.»
Et j’ai dit : «C’est ainsi que je le baptiserais : au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.» J’ai dit : «Eh bien, Rose de Saron, Lys de la vallée et Etoile du matin ne sont pas un nom.»
Il a dit : «C’est vrai. C’est un titre.»
J’ai dit : «C’est pareil pour Père, Fils et Saint-Esprit.
15 Eh bien, je le baptiserais au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Et le Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, c’est le Seigneur Jésus-Christ.» Exactement. Ainsi, je dis... Et il comprit cela…?… C’est frère Joseph Mattsson Boze de Chicago, l’homme le plus difficile à convaincre que j’aie jamais eu. Je pense que j’aurai donc environ trois ou quatre mille autochtones à baptiser quand j’irai avec lui en Afrique... à rebaptiser.
16 Maintenant... Ainsi, nous sommes reconnaissants pour la Lumière de l’Evangile. Et ainsi, donc, Jésus a dit, quand Il était ici sur la terre: «Je... Ce que J’entends, Je le dis.» Et maintenant, je vais parler pendant les dix ou quinze prochaines minutes, avant de prendre mon texte, un très court texte, et ensuite, nous aurons la ligne de prière.
17 J’en suis arrivé à un point de mon ministère où je suis – je dois dire quelque chose. Et je... Jésus a dit que ce qu’Il entendait, c’est ce qu’Il disait. Et Il a ajouté: «Je vous ai appelés Mes amis, et un ami dit tout à son ami.»
18 Paul a dit dans Actes 20.27 : «Je vous ai annoncé tout le conseil de Dieu, sans en rien cacher.» Vous voyez? Et puis-je dire ce soir la même chose en m’associant à ce grand saint d’autrefois. Au mieux de ma connaissance, je vous ai annoncé tout le conseil de Dieu, sans en rien – sans en rien cacher.
19 Quelqu’un jouait l’une de ces bandes, l’autre jour; et juste parce que cela a énervé quelqu’un, on lui a tiré dessus par la fenêtre et une femme a été blessée. Ainsi, peut-être qu’un jour je scellerai mon témoignage. Mais quand ce moment viendra, je serai alors prêt à m’en aller. Jusqu’à ce que mon temps arrive, rien ne pourra me faire de mal avant ce temps-là.
20 Bon, nous croyons le même Evangile, la Bible telle qu’elle est écrite. Cela pointe vers le but. Et – et si le fusil pointe exactement le but et qu’il est bien réglé, et qu’il atteigne la cible la première fois, il l’atteindra la deuxième fois et toutes les fois.
21 Si sur un arbre ou sur une grosse branche ou sur un cep pousse un sarment, et que ce sarment porte un certain fruit, la prochaine fois que ce – ce cep poussera un sarment, ce dernier portera la même espèce de fruit.
22 Et si Jésus est le Cep et que nous sommes les sarments, le premier sarment, à la première Eglise qu’a produit ce Cep, on écrivit un Livre des Actes à partir de Celui-ci… Ce premier sarment baptisait au Nom de Jésus-Christ. Et le Dieu vivant était au milieu d’eux, accomplissant les mêmes choses qu’Il avait accomplies lorsqu’Il était sur la terre. C’est ainsi que les gens remarquèrent qu’ils avaient été avec Jésus, bien que ceux-ci fussent des hommes du peuple et sans instruction, car Sa vie était manifestée en eux.
23 Comme je l’ai dit: «Si j’avais l’esprit de – de Beethoven en moi, je composerais des chants.» Si – se… si Beethoven vivait en moi, je serais Beethoven. Voyez-vous? Si Shakespeare vivait en moi, je serais Shakespeare. Je – j’écrirais des poèmes et – et des pièces, etc., si Shakespeare vivait en moi. Et si Christ vit en moi, je ferai les oeuvres de Christ. Il doit en être ainsi. Et qui est Christ? La Parole. Il a dit: «Si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous, demandez alors ce que vous voudrez et cela vous sera accordé», car la Parole est là, Elle a simplement besoin de la Lumière; et c’est la Lumière qui La vivifie.
24 Ainsi, maintenant, je vais donc vous dire quelque chose que je n’ai pas dit jusqu’ici. Et c’est la chose que nous avons attendue si longtemps, du moins pendant beaucoup d’années, quatre ou cinq ans, ou peut-être plus. Le Troisième Pull a maintenant été confirmé, et je suis sûr que vous savez tous ce que c’est.
25 Eh bien, souvenez-vous, il ne sera jamais imité, il ne peut pas l’être, Il ne peut l’être. Présentement, il existe, et j’ai eu – j’ai été averti de ceci, bientôt, maintenant même, (cela vient d’arriver) afin que cela puisse identifier sa Présence parmi vous. Voyez-vous? Mais il ne sera pas utilisé dans une large mesure avant que ce conseil commence à serrer la vis. Et quand il le fera, quand il le fera... Les Pentecôtistes et tout le reste peuvent imiter presque tout ce qui a pu être fait. Mais quand ce temps-là viendra, quand la pression viendra, alors vous verrez se manifester dans la plénitude de sa puissance ce que vous avez vu temporairement. Voyez?…?… Voyez?
26 A présent, je dois continuer avec l’évangélisation, juste tel que j’en avais reçu la commission au début; je dois continuer. C’est pourquoi vous avez eu la Parole et vous savez à quoi vous attendre et quelle position prendre. Je dois continuer avec l’évangélisation. Et, mes amis, restez tranquilles et continuez à avancer, car l’heure approche rapidement (vous voyez) où quelque chose va être accompli.
27 Eh bien, vous verrez peut-être de petites choses étranges arriver de mon côté, il ne s’agit pas d’un péché, ce n’est pas ce que je veux dire, mais je veux dire quelque chose d’étrange par rapport à la tendance habituelle, à cause du niveau que j’ai atteint maintenant dans mon ministère; je connais là un déclin, je suis en train d’observer ce point, attendant le moment pour l’utiliser. Et il sera utilisé! Et chacun sait qu’aussi certainement que le premier fut identifié, le deuxième l’a été aussi. Et si vous considérez les choses très minutieusement, vous qui êtes spirituels (comme la Bible le dit: «A celui qui a de la sagesse.»), le troisième est correctement identifié. Vous voyez? Nous savons où il est. Ainsi, le Troisième Pull est là.
28 Il est si sacré que je ne dois pas beaucoup en parler, comme Il me l’a dit au début. Il avait dit: «Ne dis rien au sujet de celui-ci.» Vous en souvenez-vous, il y a des années? Cela parle de Soi-même. Voyez-vous? Mais pour... J’avais essayé d’expliquer les autres et j’avais commis une erreur. Ce sera la chose qui, à mon avis (je ne dis pas que c’est le Seigneur qui me l’a dit) – ce sera la chose qui engendrera la foi de l’enlèvement pour le départ. Voyez-vous? Voyez-vous? Maintenant, et cela... Je dois rester tranquille juste un petit moment.
29 Maintenant, souvenez-vous (et vous qui êtes à l’écoute de cette bande), vous verrez peut-être tout à coup un changement dans mon ministère, un déclin. Pas une ascension, mais un déclin. Nous sommes exactement dans l’âge en question, et que cela soit – ne peut pas aller plus loin. Pour rattraper le retard, nous devons attendre ici juste un instant jusqu’à ce que cela arrive, alors le moment viendra. Mais c’est entièrement identifié.
30 Le temps viendra pour cette nation où elle exercera toute l’autorité que la bête avait auparavant (laquelle était la Rome païenne quand elle devint la Rome papale); voyez-vous, c’est ce que cette nation fera. Apocalypse 13 l’explique clairement. L’agneau sortit de la terre. L’autre bête sortit de l’eau, des peuples et des foules. Cet agneau, lui, monta d’un endroit où il n’y avait pas de gens.
31 Un agneau représente une religion – l’Agneau de Dieu. Et souvenez-vous qu’il parla comme un agneau; c’était un agneau, ensuite, peu après il reçut l’autorité et parla comme un dragon, et exerça toute l’autorité que le – le dragon – l’autorité que le dragon avait avant lui. Et, le dragon représente toujours Rome. Ainsi, ne voyez-vous pas ; la dénomination romaine, une dénomination protestante avec une marque, une image de la bête, constituant une puissance qui forcera tous les protestants à vouloir rechercher l’union. Vous devrez être dans ce Conseil des églises, sinon vous ne pourrez pas fraterniser ni... Eh bien, c’est pratiquement ainsi maintenant. Vous ne pouvez pas aller prêcher dans une église à moins d’avoir une carte de membre, ou une certaine identification.
32 Et alors, les personnes comme nous seront complètement retranchées de tout cela. C’est exact, car elles ne pourront pas le faire. L’étau se resserre. Et quand ce temps viendra, et que la pression sera telle que vous serez acculés, alors faites attention à ce que (je vais vous dire dans quelques minutes), observez alors le Troisième Pull. Il sera absolument adressé à ceux qui sont totalement perdus, mais il – il sera en faveur de l’Epouse, de l’Eglise.
33 Eh bien, on en est plus proche que cela ne parait. Je ne sais pas quand, mais c’est très très proche. Je construis peut-être une estrade pour que quelqu’un d’autre y monte. Je serai peut-être repris avant ce moment-là. Je ne sais pas. Peut-être que ce sera la semaine prochaine, ce moment où le Saint-Esprit viendra avec... et ramènera Jésus-Christ. Il viendra peut-être la semaine prochaine. Il peut cependant venir ce soir. Je ne sais pas quand Il viendra. Il ne nous le dit pas. Mais je crois vraiment que nous en sommes si proches que je pourrais ne pas mourir de vieillesse. Bien que j’aie cinquante-quatre ans, je pourrais ne pas mourir de vieillesse avant Sa Venue. Voyez? A moins que je ne sois abattu, tué, l’une ou l’autre chose, tué d’une façon ou d’une autre, la vieillesse comme telle ne me tuera pas avant Sa Venue. Et je crois que... Mais je voudrais dire ceci; je ne l’ai jamais dit auparavant, mais selon l’Ecriture, selon ce qu’Il a dit il y a trente ans, il y a trente-trois ans, là-bas à la rivière, en 1933 plutôt, ce qu’Il a dit, tout s’est accompli à la lettre Il se peut que je ne le fasse pas, mais ce Message présentera Jésus-Christ au monde.
«Car de même que Jean-Baptiste fut envoyé comme précurseur de la première venue, ce Message doit aussi être le précurseur de Sa seconde venue.» Et Jean a dit : «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.» Voyez-vous? Ainsi, cela – cela concorde en tous points avec cela, ça se passera ainsi. Ce Message ira de l’avant.
34 Eh bien, de grandes choses sont arrivées tout au long du chemin. Ce matin, j’avais des entretiens dans cette pièce-là, et un jeune homme du nom d’Autry, il est probablement encore ici ce soir, il est de San Antonio, au Texas. Il est venu et a demandé si, en allant à Dallas (en venant de la Californie), nous pouvions nous arrêter un soir à leur tabernacle, juste pour une soirée. On examine cela pour voir si d’ici un ou deux jours, si nous pouvons le faire. Et il me parlait de... Je n’étais jamais retourné à San Antonio depuis cette première réunion.
35 Eh bien, lors de cette première réunion, lors de mon passage à San Antonio, j’étais là, je crois, avec frère Coots et le – et ceux de l’Ecole Biblique Internationale, mais j’ai oublié dans quel auditorium nous avons tenu la réunion. C’était lors de ma première ou deuxième soirée (je pense que c’était la première soirée) que, pendant que je gagnais l’estrade, quelqu’un s’est levé dans le bâtiment, tout au fond, et a parlé en langues, comme une – une mitrailleuse en action. Et à peine s’était-il assis (juste une seconde après deux) que quelqu’un s’est levé sur l’estrade et en a donné l’interprétation. Et en raison de ce qu’il a dit, je me suis arrêté pour écouter ce qu’il disait, et j’ai demandé à cet homme-là: «Connaissez-vous cet homme?»
Il a répondu: «Non, monsieur.»
Et il a dit... J’ai dit: «Comment êtes-vous venu ici?»
Il a répondu: «Les gens pour lesquels je travaille étaient à – étaient ici ce soir, et ce sont eux qui m’ont amené.» C’est un – c’était un cow-boy.
Et j’ai demandé: «Que faites-vous? Le connaissez-vous?»
Il a répondu: «Non, monsieur, je ne l’ai jamais vu.»
Et j’ai dit: «Que faites-vous?» Et c’était un commerçant de la ville. Et ce qu’ils ont dit dans le... Eh bien, j’étais toujours... Avant d’en savoir davantage, j’étais un peu sceptique au sujet du parler en langues. Je pensais qu’il y avait là beaucoup de charnel, et c’est peut-être le cas, mais quand ceci a été prononcé, cette interprétation correspondait exactement à ce que l’Ange du Seigneur avait dit à la rivière, onze ans avant: «De même que Jean-Baptiste fut envoyé comme précurseur de la Première Venue de Christ, tu es envoyé comme précurseur de la seconde Venue.» Voyez-vous? Et c’était cela. Quand cet Ange, cette Lumière qui a été parfaitement identifiée, à la fois par l’église, la Parole et la science, tout L’a identifiée; cette Lumière est apparue pour la première fois en public, et S’est tenue juste au-dessus de l’endroit où j’étais, vers quatorze heures de l’après-midi, au pied du pont, juste là - juste ici en bas de la rue Spring, dans l’eau. Eh bien, il y a de cela plusieurs, plusieurs années. Et ce qu’Il a dit s’est accompli à la lettre.
36 Ce frère me disait ce matin qu’il a épousé une jeune fille de cette église-ci, la fille de la soeur Noid. Eh bien, je ne sais pas, je pense que le jeune homme... Etes-vous ici, Frère Autry? Je ne sais pas, il est de San Antonio. Je ne sais pas s’il est ici ou non. Il était ici ce matin. Et il me disait... Je crois que c’était son grand-père qui fut amené là à cette réunion, il avait été épileptique toute sa vie.
37 C’était tout au début du ministère, quand il a été dit que si... Le discernement consistait à placer la main des gens sur la mienne, et ce qui serait dit correspondrait à la réalité. Et je vous ai dit, et beaucoup en sont témoins ce soir, que le jour viendrait où je connaîtrais les secrets mêmes des coeurs. Vous en souvenez-vous, avant même que cela n’arrive? Environ cinq ou six ans plus tard, cela se produisit au – au Canada, pour la première fois. Et cela s’est accompli. Puis Il a dit: «Si tu continues à être sincère, ça continuera tout simplement.» Et maintenant, la troisième chose s’est accomplie, vous voyez, ça ne fait qu’aller continuellement de l’avant.
38 Et il dit que son père a été amené dans la ligne de prière et que je lui ai parlé de cette épilepsie, et ainsi de suite, et qu’on a offert une prière pour lui. Et cela fait seize ans; je pense que c’est cela, environ seize ou dix-sept ans, et il m’a dit qu’il n’avait plus jamais eu de crise depuis ce moment-là. Et il a près de quatre-vingt-cinq ans. Il n’a plus jamais eu de crise depuis. Qu’est-ce? Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.
39 Margie Morgan est-elle dans le bâtiment? Soeur Margie Morgan, la dame qui était rongée par le cancer, l’infirmière. Combien se souviennent de soeur Morgan? Si elle est ici, c’est qu’elle ne peut pas entrer. Elle était une infirmière. Vous voyez? Sur la liste des cancéreux de Louisville, cette femme était censée être morte depuis seize ou dix-sept ans, sur la liste des cancéreux de Louisville. Quand Jim Tom Robinson, l’avocat (un avocat chrétien), en a entendu parler, il s’est rendu à l’hôpital baptiste pour vérifier et voir si c’était vrai, car son père faisait partie du conseil d’administration (Il était un administrateur à l’hôpital baptiste). Et ils examinèrent le cas, et la femme était censée être morte depuis des années; mais maintenant, elle est infirmière ici à Jeffersonville, dans un hôpital. Quand elle était tenue ici même, et qu’on devait la soutenir, elle n’en était même pas consciente, mais ce fut AINSI DIT LE SEIGNEUR, et elle est en vie.
40 Elle est allée travailler comme infirmière à Louisville et un homme d’ici... de la confiserie Schimpf... Monsieur Schimpf est-il ici ce soir? J’aimerais qu’il se signale, s’il est ici. Sonny Schimpf, un homme de haute stature, en bonne santé. Souvent, quand j’avais l’habitude de... Je n’aime pas dire ceci, mais c’est la vérité. Papa me donnait dix cents si j’avais travaillé toute la semaine, et j’allais en ville et je laissais ma bicyclette chez frère Mike Eagan (l’un des administrateurs d’ici), avec Jimmy Pool (je pense que son fils est ici ce soir) – Jim, Earnest Fisher et moi; et nous allions en ville, nous allions au cinéma et... pour cinq cents; et nous regardions les vieux films muets. Nous étions des enfants et nous voulions ... d’environ huit, dix ans. On avait ce vieux William S. Hart (beaucoup d’entre vous ne se souviennent pas de lui), de ce vieil acteur (du cinéma muet) et moi je ne pouvais pas lire; je devais me contenter de regarder ce qui se passait. Et il me fallait tout épeler, mais je n’y arrivais pas, j’observais simplement ce qu’il faisait. Et il me restait encore cinq cents. Combien se souviennent d’avoir acheté un cornet de crème glacée pour un cent? Très bien! Je pouvais acheter trois cornets de crème glacées, et pour deux cents des bonbons à la cannelle. Je ne pouvais pas tenir les cornets de crème glacée, alors je les mangeais, puis je m’achetais pour deux cents des bonbons à la cannelle, et cela faisait presque une demie livre de ces choses [226,8 g – N.D.T.]. Et on les faisait chez Schimpf. Et j’entrais là, m’asseyais et regardais William Hart à l’écran.
41 Et ce jeune homme (un peu plus âgé que moi) fut frappé d’une maladie pour laquelle cinq éminents spécialistes de Louisville l’examinèrent. Il pesait environ vingt kilos et il se mourait. Mlle Morgan le soignait et il était très malade. Il avait tant de choses; ses poumons étaient foutus, sa gorge était foutue, ses petits bras étaient à peu près gros comme ceci, et il était couché là, mourant. Et Mlle Morgan fut appelée à venir à son poste, ainsi elle lui dit: «J’ai autrefois souffert du cancer», et elle s‘est mise à lui raconter.
Il répondit: «Qui avez-vous dit, Billy Branham? Eh bien, dit-il, je lui ai vendu quantité de bonbons à la cannelle et des cornets de crème glacée!» Il a dit: «Je me demande s’il voudrait bien venir prier pour moi.»
42 Et je suis allé prier pour Junie Schimpf. Et maintenant, si vous voulez lui parler, c’est la confiserie Schimpf, par ici, juste à côté, ou la deuxième porte après le théâtre de Léo en descendant la rue, la confiserie Schimpf. Vous tous ici savez où elle se trouve. Oh! la la! C’est l’un des établissements les plus anciens de Jeffersonville. Et alors qu’il était couché là mourant, et que cinq spécialistes ne lui donnaient plus que quelques heures à vivre, ce fut «AINSI DIT LE SEIGNEUR, tu ne mourras pas, mais tu me vendras de nouveau des bonbons à la cannelle au comptoir».
43 Longtemps... J’ai su qu’il avait été guéri. Mais il y avait longtemps que je l’avais oublié. Ma femme et moi allions acheter des bonbons, quand nous étions ici à Noël, et je ne sais pas comment nous avons pensé à la confiserie Schimpf, parce qu’habituellement nous allons nous en procurer dans un de ces grands magasins [En anglais: « drugstores » – N.D.T.]. Mais, nous nous sommes arrêtés devant la confiserie Schimpf.
Quand je suis entré, sa soeur m’a regardé et a dit : «Eh bien! Frère Branham! » Puis elle a ajouté : «Vous souvenez-vous de Junie?»
J’ai répondu: «Oui.» Et c’était un homme très grand et fort en bonne santé. Et je me suis avancé vers le comptoir et j’ai regardé cela. J’ai baissé les yeux, comme ceci, et j’ai dit: «Je prendrai une livre [453,6 g – N.D.T.] de ces bonbons à la cannelle.»
Et il a répondu: «Oui, monsieur.» Sa soeur servait donc ma femme. Et ainsi il les a fait sortir et j’ai dit:
Et il a dit: «Oui » Il a dit: « beaucoup d’enfants en achètent. Ils en achètent toujours.» J’ai dit... Il a dit: «Mon père les faisait; il a fait cette recette.» J’ai dit: «Je les aime vraiment.» Eh bien, après qu’il les a eu préparés, il me les a tendus en disant: «Y a-t-il quelque chose d’autre?»
Et j’ai dit: «Je ne sais pas... » Et je me suis redressé... Oh! la la!
Il a dit: «Frère Branham!»
J’ai dit: «Voici les bonbons à la cannelle dont je vous avais dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», il y a environ cinq ans.»
Il a dit: «Frère Branham, je suis si parfaitement guéri, que je... Il n’en reste même plus une trace. Je suis seulement un tout petit peu dur d’une oreille.» Je pense qu’il est dans la cinquantaine. Il a dit: «Je suis un tout petit peu dur d’une oreille, à cause de tant d’antibiotiques qu’on m’a donnés quand j’étais là-bas.»
44 L’étonnante grâce de Jésus-Christ!
Je n’ai pas beaucoup de temps maintenant pour ajouter quelque chose, mais je – je – j’aimerais faire cette déclaration. Combien se souviennent des écureuils? Très bien. C’était un passage de l’Ecriture qui, de ma vie, m’a laissé perplexe et que je – je n’arrivais jamais à comprendre. Et il y en avait un autre qui m’intriguait. C’était quand Moïse avait pu suggérer à Dieu une meilleure manière de faire que celle à laquelle Lui avait pensé. Quand Moïse dit: «Les gens diront: «Votre Dieu a pu vous faire sortir, mais Il n’a pas pu vous garder.» Et Moïse se tint à la brèche. Et plus tard, je découvris que Moïse... que c’était Christ dans Moïse qui prenait position pour le peuple. Vous voyez? Ainsi, pour ce qui est donc de ce passage de l’Ecriture (je ne voulais jamais prêcher là-dessus) : «Si vous dites à cette montagne: «Ôte-toi de là...» Et vous connaissez l’histoire à ce propos, c’est pourquoi je laisserai cela de côté.
45 Eh bien, je ne savais pas grand chose sur ce à quoi cela aboutirait. Et je pense que frère Wood, frère Fred et les autres sont ici dans le bâtiment, ceux qui étaient présents quand cela arriva, ou juste après que cela fut arrivé là-bas. Frère Rodney et frère Charlie du Kentucky, le frère de la soeur Wood et les autres étaient présents quand cela arriva au Kentucky. C’était la deuxième fois que cela arrivait : créer tout simplement par la parole des choses qui n’existaient pas, vous voyez, tout le temps par la parole, confirmant les Ecritures en signe d’encouragement.
46 La troisième fois que cela arriva, c’était en faveur de Hattie Wright. Hattie est-elle ici ce soir? C’est la... d’Edith. Combien connaissent Hattie Wright? Frère Wood et moi étions assis là quand cela arriva. Quand le Saint-Esprit a dit: «Donne-lui ce qu’elle désire», et nous parlions de cela, comment ces écureuils avaient été crées. Et je dis: «Il s’agit tout simplement d’une chose: Il est Jéhovah-Jiré.»
47 Juste au moment où Abraham avait besoin d’un bélier, Dieu y pourvut. Et Il pourvut aux écureuils. Il a pu créer par la Parole un écureuil, parce qu’Il est le Créateur, de même qu’Il a pu créer le bélier par la parole. Abraham n’avait pas demandé cela. Il allait tout bonnement s’exécuter, mais cela montrait que Jéhovah-Jiré était là. Quand j’ai prononcé ces paroles, une humble petite femme... C’était la première fois que cela arrivait à un être humain (le Troisième Pull), et ce fut à une humble petite femme qui gagnait environ deux cents dollars par an pour survivre. C’est tout ce qu’elle tirait de sa petite ferme. Son mari était mort, et ses deux enfants étaient devenus un peu indisciplinés. Mais elle est venue et a fait un don de vingt dollars sur ce qu’elle possédait, pour la construction de ce tabernacle. Et Meda m’avait donné de l’argent, ce matin-là, pour des provisions, vingt dollars, et je désirais lui rendre cet argent ce jour-là, pendant que j’étais là, ainsi elle n’aurait pas à payer cela, mais elle refusa de le prendre. Et quand... Elle était assise dans un coin, et quand j’ai dit: «Tout ce que je sais, c’est qu’Il est toujours Jéhovah-Jiré», la petite Hattie dit la chose juste.
48 Elle a dit: «C’est absolument la vérité.» Et quand elle a dit cela, (frère Banks Wood que voici était l’un de ceux qui étaient là), on dirait que la pièce allait s’écrouler. Et le Saint-Esprit, la même Voix qui avait parlé des écureuils, dit: «Donne-lui ce qu’elle demandera.»
49 Je dis: «Soeur Hattie, comme témoin devant Dieu, c’est cela. Maintenant, si vous avez le moindre doute à l’esprit, demandez ce que vous voulez. Et si vous n’avez pas cela sur vos genoux, alors je suis un faux prophète.» Elle dit: «Frère Branham... » Tout le monde pleurait. Elle dit: «Que demanderai-je?»
50 Je dis: «Vous êtes pauvre et vous vivez là sur la colline, sans argent, vous pouvez demander cela. Vous avez assise ici une soeur infirme, Edith, pour qui nous avons prié pendant des années, vous pouvez demander sa guérison.» Je dis: «Votre père et votre mère sont âgés et affaiblis, vous pouvez demander quelque chose pour eux. Quoi que vous demandiez, Soeur Hattie, voyez maintenant si cela arrivera ou non, à l'instant même.» Et j’ai ajouté: «Il vient de me le dire.» La même Voix a dit «Donne-lui ce qu’elle demandera.» Elle regarda autour d’elle et dit: «Que vais-je dire, Frère Branham?»
Je dis: «Dites ce que vous désirez. Pensez à votre plus grand désir et dites-le.» Et ses garçons ricanaient même et riaient. Et elle dit: «Le plus grand désir que j'ai, c’est le salut de mes deux fils.»
51 Je dis: «Je vous les donne, au Nom de Jésus-Christ», et c’était parti ! Ils participent fidèlement à la communion dans cette église, ces petits amis sont là au lavage des pieds avec les hommes, et des choses comme cela. Nous en sommes tous témoins. Elle a fait un vrai choix. Sa mère doit mourir, elle-même aussi, eux tous, mais ce qu’elle a demandé sera éternel: le salut de ses enfants. C’était la troisième fois que cela s’est produit.
52 La quatrième fois que cela est arrivé (je l’ai expliqué la dernière fois que j’étais ici), c’était sur la montagne où cet orage sévissait. Combien en ont-ils entendu parler? Oh! vous tous. Très bien. Là où l’orage sévissait. Et Dieu est mon juge pendant que je me tiens ici. Je descendais la montagne avec David Wood (je pense qu’il est ici quelque part) qui m’avait préparé un sandwich; c’en était un véritable. Je pense qu’il cherchait à me rendre la pareille pour celui que j’avais préparé à son père, il y a quelques années. Il avait mélangé de la mortadelle, de la viande et tout; je l’avais enroulé sous ma chemise, (et il pleuvait) et c’était devenu simplement une grosse boule pâteuse. Et je descendais la montagne. Le temps était si orageux que je ne pouvais même pas voir ma main devant moi, ou à peine. Et je sais une chose, c’est que vous êtes désorienté à cause du vent qui tourbillonne. Maintenant, il y a ici des témoins de cela. L’un d’eux est l’un de nos fidèles diacres, il s’agit de frère Wheeler. Etes-vous ici, Frère Wheeler? Où est-il? Le voilà, frère Wheeler.
53 Frère Mann, un prédicateur méthodiste de New Albany, frère Mann est-il là ce soir? Je ne sais pas s’il est là.
54 Frère Banks Wood, êtes-vous ici, Frère Banks? Il est dans la salle d’enregistrement. Très bien. Et – et David Wood et frère Evans étaient là, je crois. Est-ce vrai, Frère Evans? Frère Evans, qui est debout là contre le mur, était là. Et on avait annoncé, deux jours avant, qu’une puissante tempête de neige balaierait la contrée.
55 Frère Tom Simpson est ici ce soir. Pendant... Alors qu’il venait du Canada, on lui demanda d’éviter cette région, parce qu’il n’allait pas pouvoir la traverser; une tempête de neige approchait. Frère Tom, êtes-vous là? Où êtes-vous? Le voici assis juste ici. Les nuages arrivèrent là, et j’ai dit: «Frères...» Tout le monde se dépêcha de quitter cet endroit. Et il n’est resté personne sur la centaine d’hommes qui s’y trouvaient; il n’est resté personne, sauf notre petit groupe et le cow-boy, le cavalier.
56 Pour nous, nous allions rester là. Je téléphonai à soeur Evans et lui demandai d’appeler ma femme pour lui dire d’avertir Tony que si je n’arrivais pas, qu’il prenne quelqu’un d’autre pour parler au déjeuner des Hommes d’Affaires. Et sur la montagne, ce – ce jour-là... Je dis: «Maintenant, quand les premières gouttelettes de pluie commenceront à tomber ou quoi que ce soit, retournez au camp.» Je dis: «Dans dix ou quinze minutes, vous ne pourrez pas voir votre main devant vous dans cette tempête de neige, et il tombera dans peu de temps environ six mètres de neige sur la montagne.»
57 Et c’est ainsi que les gens... Vous lisez dans le journal comment les gens se sont retrouvés là-bas, et ont péri et tout. Mais nous savions comment nous en sortir, et les gens savaient où nous étions. Et ainsi, nous nous sentîmes conduits à rester. Et ainsi, sur la montagne, quand cette tempête de neige a commencé, je me mis à descendre, et j’étais à environ 800 mètres de là où ça commença, quand la Voix de Dieu dit: «Fais demi-tour et retourne.» J’ai fait demi-tour comme Il me l’avait demandé.
58 Après avoir attendu quelques instants et mangé le sandwich que David m’avait donné, je suis remonté là-haut et me suis assis. Et pendant que j’étais assis là (le vent tournoyait et soufflait, les sommets des arbres se penchaient au loin; du grésil et de la neige volaient comme cela) une Voix dit: «Je suis le Dieu de la création.» J’ai levé les yeux et me suis dit: «D'où cela est-il venu? C’était peut-être le vent.» Il a dit: «J’ai créé les cieux et la terre. C’est moi qui ai apaisé les vents puissants sur les mers», et Il a continué à parler. Je me suis levé d’un bond et j’ai ôté mon chapeau. Il a dit: «Parle simplement à l’orage et il cessera. Tout ce que tu diras, c’est ce qui arrivera.»
59 Et j’ai dit: «Orage, arrête-toi. Et toi, soleil, brille normalement pendant quatre jours, jusqu’à ce que nous soyons partis d’ici.»
60 Aussitôt que j’ai dit cela le grésil, la neige et tout le reste ont cessé de tomber; en une minute ou deux, un soleil ardent a brillé dans mon dos. J’ai vu les vents souffler comme ceci, revenant du nord, et descendant... je veux dire venant de l’est, ça venait de l’est, cela venait de l’ouest. Les vents ont changé de direction et sont revenus de ce côté, et les nuages, comme une chose mystique, se sont élevés dans l’air, et dans l’espace de quelques minutes le soleil s’est mis à briller .
Puis, un peu plus tard, le Seigneur Jésus m’a parlé au sujet de ma femme qui se trouvait dans la vallée en bas, comme vous le savez. Vers l’endroit où j’étais monté, là-bas... Je n’ai jamais été à la maison pour un anniversaire. Nous sommes mariés depuis vingt-deux ans. Lors de notre premier anniversaire (le premier de notre mariage), eh bien, je l’ai emmenée dans une tournée de chasse, parce que je n’avais pas les moyens de faire à la fois une tournée de chasse et – et de partir pour une lune de miel. Ainsi, je – j’ai fait en quelque sorte d’une pierre deux coups. Et ainsi, depuis ce temps-là, je fais la chasse. Et je suis conscient de ce que je la fais subir.
61 Eh bien, c’est la quatrième fois que cela est arrivé. Maintenant, voici ce que je – je voudrais dire. Et je dois dire exactement la vérité. Il y a environ seize ans, j’étais en Californie avec frère John Sharritt, et je tenais une série de réunions, et Meda et moi, frère et soeur Sharrit et les autres, logions dans un hôtel, et un homme du nom de Paul Malicki (qui s’est souvent tenu juste ici dans ce tabernacle; c’est un Arménien fortuné), et sa femme avait mis au monde un enfant à Fresno, en Californie, où ils habitaient; il était... vint, amena sa femme et m’a téléphoné à l’hôtel, disant: «Puis-je faire monter mon épouse, Frère Branham?» J’ai répondu: «Oui, vous pouvez.» Le jour suivant, je suis allé à Catalina.
62 Ainsi, il a amené sa femme, et cette petite dame était si malade et elle... Je dis: «Posez votre main sur la mienne, Soeur Malicki», et j’ai dit: «Nous verrons si le Seigneur nous le révélera.» Et aussitôt qu’elle a posé sa main sur la mienne, j’ai dit: «Oh, cela – c’est une phlébite.» Elle a dit: «Il ne me semble pas que j’en aie quelque symptôme.»
J’ai dit: «Surveillez cela.» Au bout de deux jours, on la soignait d’une phlébite.
63 C’est comme le petit Jimmy Pool ici, l’autre jour il est venu avec son petit bébé qui avait eu une crise cardiaque; on pensait que c’était une crise d’asthme. Et j’ai posé ma main sur lui, j’ai dit: «Surveillez-le pendant quelques jours. Il a la rougeole, elle va sortir. Cela en est la fièvre.» Je l’ai rencontré hier soir. Il a dit : «Il est maintenant couvert de rougeole.» Vous voyez?
64 Bon, je parlais encore à soeur Malicki de la main. Elle a dit: «C’est surprenant d’observer cela, Frère Branham.» Elle a dit: «Cela marche-t-il avec chaque main?»
65 J’ai dit: «Eh bien, si quelque chose ne va pas chez le patient.» J’ai dit: «Eh bien, tenez, je pose ma main sur... (beaucoup d’entre vous se tenaient là et ont observé cela) et rien n’est arrivé.» J’ai dit: «Tenez, tout va bien chez ma femme, elle a mis sa main... regarde ici, laisse-moi poser ta main sur la mienne.» Ma femme était assise là. Elle a posé sa main sur la mienne, et aussitôt j’ai dit: «Tu as un kyste à l’ovaire gauche. Tu as une maladie de femme.»
Elle a dit: «Je ne sens aucun changement.»
66 J’ai dit: «Mais tu en as.» Becky avait deux ans (ma fille, qui vient de jouer il y a quelques instants), elle avait deux ans. Deux ans plus tard, Sarah vint au monde. Et quand... Elle vint par césarienne, et je demandai au docteur Dillman (notre médecin, à – à Corydon) de... «Quand vous l’aurez opérée, regardez cet ovaire gauche.» Et il le fit; il dit: «Je n’ai rien vu d’anormal.» J’ai posé ma main; c’était toujours là.
67 Quatre ans plus tard, Joseph arriva. Je lui demandai de regarder de nouveau. «Je n’ai rien vu d’anormal.» Je posai ma main; c’était toujours là, ainsi, nous ne nous en sommes plus occupés.
68 Maintenant, il faut que je vous dise ceci. Je n’aime pas le dire, mais il faut que ce soit la vérité, voyez-vous, et c’est ce qu’il vous faut. Dites toujours la vérité, peu importe ce qui arrive.
69 Des années passèrent; nous n’avions jamais remarqué cela. Et je dis ceci non pas parce qu’elle est assise là, car je le dis quand elle n’est pas là, vous le savez. Je ne crois pas qu’il puisse y avoir au monde une meilleure épouse que la mienne, et j’espère qu’elle restera toujours ainsi. Et j’aimerais être un mari fidèle, et j’espère que chaque jeune homme dans ce bâtiment, quand il se mariera, aura une épouse comme la mienne. Je ne sais pas pendant combien de temps nous vivrons ainsi, mais j’espère qu’il en sera ainsi pendant tout le reste de nos jours sur la terre. Nous avons été très heureux ensemble.
70 C’est Dieu qui m’a dit de l’épouser au moment même ( elle ne le savait pas) où j’essayais de ne pas l’épouser. Non parce que je ne l’aimais pas, mais parce que je ne pensais pas pouvoir lui donner de quoi vivre, et c’était une brave femme. Je ne méritais pas cela. Et elle est allée prier et a ouvert la Bible, et simplement Il... Elle a dit: «Seigneur, je n’ai jamais fait ceci auparavant, mais donne-moi un passage de l’Ecriture qui m’aidera. S’il faut que j’oublie, je dois oublier.» Elle a ouvert la Bible... Et elle est allée prier dans un petit abri, et quand elle a ouvert la Bible : Malachie 4 : «Voici, je vous enverrai Elie, le prophète, avant...» Et c’était – c’était il y a vingt ans et quelques, alors qu’elle ne savait rien du ministère de ce jour.
71 Et j’étais... Je ne pouvais pas... J’étais couché, là-bas au bord de la rivière, lorsqu’Il m’a réveillé – réveillé, une nuit. Je L’ai entendu qui Se tenait là près de la porte. Il a dit: «Va la prendre, et ton mariage aura lieu le 23 octobre prochain», et c’est exactement ce que j’ai fait. Et nous avons vécu heureux. Par la grâce de Dieu, nous n’avons jamais eu une prise de bec. Elle a été ma chouchoute.
72 Un jour, je suis rentré dans le... Et elle a dû élever ces enfants toute seule, étant donné que j’étais absent à cause de mon ministère. Il n’y a pas beaucoup de femmes qui supporteraient cela. Vous savez que... C’était dur et puis... Je suis entré et elle a dit une certaine chose. Nous avons là Joseph, et c’est un – c’est assurément un garçon! Il a contribué à donner des cheveux gris à sa mère, et à moi aussi. Ainsi, c’est vraiment un garçon, et il avait fait quelque chose de très mal et je lui ai dit [à elle]... Elle m’a dit: «Bill, donne-lui une raclée.» J’ai répondu: «Je n’en ai pas le courage.» Vous voyez?
Et elle a dit: «Eh bien, si tu devais supporter cela…», et elle m’a claqué la porte au nez.
73 «Eh bien, me suis je dit, il n’y a pas de problème. La pauvre petite n’a pas fait cela exprès.» Et je suis sorti pour laver ma voiture. Et quand j’ai été là dehors, le Saint-Esprit n’avait pas aimé cela. Il a dit: «Va lui dire...» Je crois que c’est II Chroniques, chapitre 22. Je ne – je – j’ai pensé dans un premier temps que je n’avais fait qu’imaginer cela. J’ai continué à faire le lavage, et Il a dit de nouveau cela: «Va lui dire de lire ceci.» Et je suis entré et j’ai pris la Bible, et ai lu cela. C’était là où Mo... ou plutôt Marie, la prophétesse s’était moquée de son frère Moïse, pour avoir épousé une fille éthiopienne, et Dieu n’avait pas aimé cela. Il dit: «Cela aurait été mieux pour elle que son père lui crache au visage, plutôt que – plutôt que de – d’avoir fait cela.»
74 Ainsi, Marie fut entièrement couverte de lèpre. Et Aaron vint donc, parler à sa soeur, disant… plutôt parla à son frère et disant: «Elle est en train de mourir de la lèpre.» Et ainsi Moïse entra précipitamment pour intercéder en sa faveur à l’autel. Et à ce moment-là, la Colonne de Feu descendit; c’était Dieu. Il dit: «Va, appelle-la, de même qu’Aaron, et amène-les ici.» Et Aaron était aussi impliqué là-dedans. C’est pourquoi Il dit donc: «Dis-leur de venir ici.»
75 Il dit: «S’il se trouve parmi vous (c’est maintenant Dieu qui leur parle) quelqu’un de spirituel ou un prophète, Moi l’Eternel, Je me révélerai à lui. Je lui parlerai dans des visions et Me révélerai à lui par des songes, et montrerai des songes, etc.» Il dit: «Mais Mon serviteur Moïse, il n’y en a point comme lui dans le pays.» Il dit: «Je lui parle de bouche à oreille.» Il dit : «N’avez-vous pas craint Dieu?» Voyez-vous, Dieu n’avait pas aimé cela.
76 Bien, quand j’ai vu cela, je suis entré en courant, et elle était dans l’autre pièce. J’ai frappé à la porte (elle s’était enfermée), et je lui ai dit que je voulais lui parler. Je suis entré et je lui ai parlé, j’ai essayé de lui dire ce que c’était. J’ai dit: «Chérie, tu sais combien je t’aime, mais Dieu n’a pas aimé cela. Tu n’aurais pas dû dire cela.» Immédiatement après cela, elle a attrapé une douleur dans le côté.
77 Nous l’avons amené chez le médecin, ici à Louisville (docteur Arthur Schoen), et il a trouvé une tumeur à l’ovaire gauche ce que j’avais découvert quinze ou seize ans avant, une tumeur à l’ovaire gauche, à peu près de la grosseur d’une noix. J’ai demandé: «Qu’en est-il, Docteur?»
Il a répondu: «Voyons ce qui va arriver. Ramenez-la dans quelques mois, environ deux mois ou quelque chose comme ça.»
Nous l’y avons ramené. Cela avait passé de la grosseur d’une noix à environ celle d’un citron. Il a dit: «Il serait mieux qu’on enlève cela, elle s’attendrira et deviendra maligne.»
J’ai dit: «Eh bien, oh! la la!» Je dis: «Nous – nous allons à Tucson. Le Seigneur m’a envoyé à Tucson.»
78 Il l’envoya chez un gynécologue. Il ne voulait pas s’occuper de son cas. Ainsi, il doit lui avoir parlé de mon ministère, car le gynécologue, lui déclara: «Il faudra l’enlever.» Ainsi il dit... Nous lui avons dit que nous allions à – à Tucson. Il dit: «Eh bien, j’ai là-bas un spécialiste, un précieux ami.» Il vivait à Tucson. Il dit: «Je vais vous envoyer chez lui.» Ainsi, il écrivit un message et le lui envoya, disant: «Madame Branham est une gentille dame...» et il poursuivit comme cela. Il dit... Il lui envoya le diagramme de la grosseur de la tumeur, etc.; c’était alors devenu une tumeur, et il dit quelle était sa grosseur, et il dit: «Je sais...» Vous savez, il savait... Je pense qu’il m’appelle un «guérisseur divin». C’est tout ce qu’il savait dire. Mais je dis : «Je suis d’accord pour que – que l’on puisse enlever cela... cela devrait... s’il faut que cela soit ôté, ôtez cela.» Mais c’était un test pour notre foi.
79 Nous avons prié sans cesse. Et plus nous priions, plus la tumeur grossissait, jusqu’à arriver à un point où elle était proéminente sur son côté. Nous avons tu la chose, (quelques personnes ici le savaient), essayant de voir ce qui arriverait. Et cela continua ainsi.
80 Finalement, quand je suis revenu du Canada où j’avais laissé… Le Seigneur m’avait permis de conduire cette tribu d’Indiens à Christ (je vais retourner pour les baptiser au Nom du Seigneur Jésus, au printemps prochain, Dieu voulant) . Alors, je suis revenu et c’était le moment pour elle d’aller (quand j’étais à New York, ou ici) de subir une autre opération – d’être opérée ou d’être examinée pour la dernière fois. Je suis allé à New York, et à mon retour, je me suis arrêté ici et je suis monté... après avoir tenu la réunion ici, la dernière réunion. Je suis allé là-bas et lui ai téléphoné à partir de chez frère Wood. Et elle a dit: «Bill, je ne peux même plus supporter que mes habits frôlent cela.» A ce moment-là, cela ressortait comme ceci de son côté; et sa jambe, de ce côté-là... elle ne pouvait marcher qu’en clopinant. Et la plus mauvaise semaine qu’elle n'ait jamais eue… Elle est maintenant assise là en train de m’écouter – c’était la plus mauvaise semaine qu’elle ait jamais eue.
Et elle a dit : «Je dois aller après-demain pour cet examen.»
81 Je me suis dit: «Ô Dieu, si on enlève cela, cela nous empêchera d’aller à la maison à Noël, et j’ai dit aux gens que j’y serai.» Et je me suis dit : «Quel moment... Oh! la la!» Je me suis dit: «Dis-lui, s’il va opérer, qu’on attende encore un peu, jusqu’après Noël.’» Puis, je me suis mis à réfléchir: «Cela est peut-être malin et par ici, tu sais, c’est mauvais. Cela va jusque dans les reins, et si elle devient maligne, ça va te tuer.» Et ainsi, je me suis demandé: «Que puis-je faire?»
82 Et Meda a dit: «Eh bien, maintenant, téléphone-moi», elle a dit... Le jour ou je suis arrivé à Shreveport (c’était le lendemain), quand je suis arrivé à Shreveport, elle devait aller pour l’examen. Ainsi, elle alla chez le... Madame Norman allait... Soeur Norman, vous la connaissez tous, ceux qui viennent ici au tabernacle, elle allait l’accompagner chez ce spécialiste. Et ainsi, elle dit : «Attends jusqu’à ce que tu aies eu ta première soirée, et ensuite reviens, parce qu’il y a un décalage horaire (de deux heures). Appelle-moi donc quand tu seras revenu, après cette réunion, je te dirai ce que je dois faire.»
Et j’ai dit: «D’accord.»
83 Donc, j’ai continué, et le lendemain matin, avant de partir, je suis allé prendre Billy et Loyce (ils sont tous deux présents), et… toujours... Nous avons un vieux siège là-bas que frère Palmer a garni pour nous il n’y a pas longtemps, et nous nous mettons toujours autour de ce siège pour prier toutes les fois que nous sommes... C’était comme une vieille ottomane, vous savez, le tabouret, quand nous nous mettons là autour et nous prions avant de partir pour une réunion; nous demandons à Dieu de nous aider.
84 Et j’étais là-bas depuis quelques jours et j’étais – je me sentais seul. La maison... les enfants n’étaient pas là et elle n’était pas là. Vous savez, beaucoup d’entre vous savent que j’ai dû traverser cela une fois, retourner dans une maison vide. Seulement, j’ai enseveli cette épouse-là: Hope. Et je... cela s’est encore répété. Je me suis mis à genou, je me suis dit: «Eh bien, je vais prier, et ensuite j’irai chercher Billy et Loyce pour partir.»
85 Ainsi, quand je me suis agenouillé pour prier j’ai dit : «Seigneur, ils me manquent ici ce matin.» J’ai dit: «Je Te prie de les bénir et de les aider, et puissions-nous revenir en ce lieu. Et maintenant...» J’ai dit: «Ils sont là-bas parce que Tu m’y as envoyé dans une vision, et que Tu l’as accomplie; maintenant, je veux attendre pour voir ce que Tu vas me dire de faire ensuite.» J’ai dit: «Je prie, sois miséricordieux envers elle.» Et j’ai dit: «Aide-moi dans la série de réunions là-bas.» Puis j’ai continué... J’ai dit: «Seigneur, ne permets pas que cela soit malin. Et fais que ce médecin attende jusqu’au premier de l’an pour enlever cela. Je – j’ai horreur de la voir subir cela...» J’ai dit: «Seigneur, elle ne l’avait pas fait exprès ce matin-là.»
«Elle ne l’avait pas fait intentionnellement.» Je dis: «Seigneur, pas une seule fois elle a prononcé un mot quand je partais tenir des réunions, elle reste pendant des mois ou que sais-je encore. Pas une seule fois elle n’a ouvert la bouche à ce sujet. Elle a toujours envoyé mes habits au nettoyage, lavé mes chemises et tout préparé pour que j’aille tenir des réunions. Et ensuite, elle se demande comment elle peut servir Dieu.» Vous, femmes, en servant votre mari, vous servez Dieu, bien sûr. Et maintenant... Et alors, quand je rentrais tout fatigué et épuisé, que les gens venaient de partout, je devais partir quelque part pour une partie de pêche ou une tournée de chasse. Eh bien, beaucoup de femmes se seraient emportées à cause de cela. Que faisait-elle? Elle apprêtait mes habits de chasse pour que je puisse partir – pour que j’aille. J’ai dit: «Seigneur, elle ne l’a pas fait exprès.» Et j’ai dit: «Elle a dû être opérée trois fois pour des césariennes», et j’ai dit: «Seigneur, je – j’ai horreur de la voir devoir en subir encore.»
86 Juste à ce moment-là, j’ai entendu quelque chose dans la pièce. J’ai levé les yeux et une Voix a dit: «Lève-toi!» Elle a dit: «Maintenant, quoi que tu dises, il en sera ainsi.»
87 J’ai attendu une minute et j’ai dit: «Avant que la main du docteur ne la touche, la main de Dieu enlèvera la tumeur et celle-ci ne pourra même plus être retrouvée.»
88 Pour moi cela avait réglé le problème . Je ne lui ai jamais téléphoné. On est allé carrément de l’avant; je suis allé chercher Billy et Loyce, et nous sommes partis pour Shreveport.
89 Le lendemain soir, je lui ai téléphoné. Elle était heureuse, et elle a dit: «Bill, je veux te dire...» Maintenant, elle est ici et elle peut le confirmer; elle a dû y aller là en clopinant. Elle est entrée dans la pièce avec l’infirmière et Mme Norman, et elle a enfilé ses habits pour – la robe pour l’examen. Le docteur s’est présenté et elle pouvait à peine monter sur la table, la tumeur pendait là, tellement elle était grosse. Et quand elle... Le médecin est entré et lui a parlé, puis il s’est approché pour soulever le drap pour la toucher, et juste avant qu’il ne la touche, cela a disparu. Et le médecin ne savait plus de quel côté ça se trouvait.
90 Il a dit: «Attendez une minute!» Malgré les diagrammes qui avaient été tracés, tous les clichés et tout le reste, il n’a pu en retrouver une seule trace. Il l’a examinée à plusieurs reprises. Il a dit: «Je ne serais peut-être pas capable de l’expliquer mais, Mme Branham, cette tumeur n’est plus là!» Et depuis, elle n’a plus jamais eu un seul symptôme.
91 Qu’était-ce? Remarquez. Ce fut exactement comme Cela était dit: «Avant que la main du médecin ne la touche.» Une fraction de seconde et sa main l’aurait touchée. Combien la Parole du Seigneur est parfaite!
92 Maintenant, il y a là mon épouse, et nous sommes tous les deux devant Dieu. Mais avant même que la main du médecin eût pu toucher son corps, alors qu’il avançait vers elle comme cela, quelque chose arriva. La tumeur disparut, et ils ne purent même pas... Il dit (je crois que c’était cela, n’est-ce pas, chérie?) : «Je veux vous rassurer, Mme Branham (Est-ce bien ainsi qu’il l’a dit? C’est juste), cette tumeur n’est plus là. Vous n’avez plus de tumeur.» Qu’était-ce? C’était exactement conforme à la Parole du Seigneur qui avait été prononcée. Amen.
93 C’est la cinquième fois. Cinq est le nombre de la grâce, le nombre de la f-o-i [f-a-i-t-h en anglais – N.D.T.] aussi. Il n’y a plus de doute dans mon esprit. Je sais ce qu’est le Troisième Pull et je sais ce que cela fait. Maintenant, soyez respectueux; restez simplement tranquilles. L’heure viendra bientôt où Dieu fera de grandes choses pour nous.
94 Maintenant, inclinons la tête pour un mot de prière. Seigneur Jésus, je l’ai vu sur d’autres personnes, mais quand c’est arrivé à ma chère épouse, c’était alors dans mon foyer, Seigneur. J’ai vu cela de mes propres yeux, senti cela de mes propres mains, et je... Quin-... seize ans auparavant, Seigneur, Tu savais aussi et Tu avais révélé Toi-même cela. Quand quelque chose est prononcé, cela doit s’accomplir. Tu me montrais alors, Seigneur, ma confiance dans ce que Tu as déjà fait pour les gens et Tu me révélais cela, afin que je puisse les aider. Tu as permis que cela arrive dans mon propre foyer. C’était le Premier Pull.
Et maintenant, le Troisième Pull a confirmé le Premier.
95 Nous en sommes reconnaissants, Père. Pardonne-nous nos manquements. Nous sommes un petit peuple. Nous sommes sans instruction et plus ou moins des illettrés. Mais nous sommes si reconnaissants d’avoir un Grand Dieu omnipotent, qui veille sur nous et prend soin de nous, car nous ne savons pas comment prendre soin de nous-mêmes. Nous nous en remettons à Toi.
96 Maintenant, Père, je Te prie de m’aider; et puisses-Tu le faire dans ce Troisième Pull, ô Seigneur, comme Tu en as parlé ces quelques dernières années, le montrant par des signes sur des montagnes, et tout, et en manifestant cela. Maintenant, j’ai observé pour voir ce que c’était, jusqu’à ce que ce soit complètement confirmé. Maintenant, je Te prie, Père, de m’aider à avoir pour ceci plus de respect qu’auparavant. Et que la gloire Te revienne comme ce fut le cas, lorsque, de cette même chaire, le Premier fut annoncé, le Deuxième et maintenant le Troisième. Et ce que Tu as dit est arrivé, exactement ce que Tu as dit. Nous Te croyons, Seigneur Dieu.
97 Aide chacun de nous à se débarrasser de son incrédulité et de ses superstitions, afin que nous puissions nous tenir dans la Présence du Dieu vivant, sachant que c’est le même Dieu qui a enlevé cette tumeur de ma femme qui se présente maintenant. Cela a été attesté par des sommités du monde médical de notre pays, qui examinèrent cela, regardèrent ensuite et radiographièrent cela. Et maintenant, cela a disparu.
98 Tu es Dieu, et en dehors de Toi, il n’y en a pas d’autre. Et nous T’aimons, parce que Tu as – Tu as permis que nous devenions Tes serviteurs. Que nous puissions Te servir avec révérence et honneur tous les jours de notre vie. Accorde-le, Seigneur. Que nous puissions, moi et ma famille, et tous ces gens, être des lumières qui brillent, du sel ayant de la saveur, qui créera chez les autres la soif d’aimer ce Jésus qui a tant fait pour nous.
99 Maintenant, comme j’ouvre la Parole pour la lire et Y trouver un petit texte et ensuite prier pour les malades, aide-moi, Seigneur. Parle-nous, et guéris les malades. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.
Voudriez-vous... Ai-je le temps de – juste pour... Si je me dépêche vraiment avec un... ce texte-ci... Je veux que vous lisiez maintenant (ou notiez ou tout ce que vous voudrez). Le premier se trouve dans le Livre des Nombres, au chapitre 21, du verset 5 au verset 19.
Et nous voulons le lire :
... et parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Egypte, pour que nous mourions dans le désert? Car il n’y a point de pain, il n’y a point d’eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture… (De la nourriture d’Anges.)
Alors l’Eternel envoya contre le peuple des serpents brûlants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël.
L’Eternel... Le peuple vint à Moïse, et dit :... (Une confession. Observez.) Nous avons péché, (Vous voyez? C’est la première chose à faire pour la guérison; premièrement, la confession. «Nous avons péché.») …
car nous avons parlé contre l’Eternel et contre toi. Prie l’Eternel, afin qu’Il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple.
L’Eternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie.
Moïse fit un serpent d’airain, et le plaça sur une perche; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d’airain, conservait la vie.
Maintenant, j’aimerais aussi lire un passage dans Zacharie, au chapitre 12, verset 10.
Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né.
100 Maintenant, je vais prendre comme sujet : Tourner les regards vers Jésus. Détourner les regards du monde pour les fixer sur Jésus. Moïse fit le serpent, et plus tard, ici le prophète parle de cela – de ce qui allait arriver, tourner les regards vers – vers Jésus.
101 La Bible dit dans Esaïe 45.22, nous voyons que Dieu dit: «Regardez à Moi, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre.» Et maintenant que le monde arrive à sa fin, ou que le système du monde arrive à sa fin, que les gens regardent à Lui.
102 Eh bien, vous direz peut-être: «Nous entendons ça depuis des générations et des générations. Cela fait longtemps que nous entendons ceci.» Eh bien, c’est vrai. Et cela a été prêché depuis longtemps. Beaucoup de prédicateurs ont pris ce même texte, des milliers d’entre eux. Mais voici la question que j’aimerais vous poser, ce soir, dans ces minutes qui suivent. Mais lorsque vous regardez... La question c’est – c’est: «Que voyez-vous quand vous regardez?» Que voyez-vous quand vous regardez vraiment? Cela dépend simplement de ce que vous cherchez. Voyez?
103 Eh bien, Il a dit: «Regardez à Moi, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre.» Moïse éleva le serpent, et quiconque regardait cela était guéri. Eh bien, cela dépend de ce que vous cherchez.
104 J’ai vu venir aux réunions en ces temps de la fin des gens qui ne pouvaient rester assis dans la réunion qu’environ une minute ou deux. C’est tout ce qu’ils ont pu supporter. Vous voyez? Ils n’ont pas pu supporter cela.
105 Je n’oublierai jamais. J’espère que ceci ne portera atteinte à aucune personne de l’Iowa. Lorsque je tenais les réunions à Waterloo... Frère Lee Vayle, il était ici ce matin; je ne sais pas si oui ou non il est ici ce soir. Es-tu ici, Lee? Il était ici ce matin. Oh, oui, là derrière dans la salle d’enregistrement. Très bien.
106 Frère Lee et moi avons fait tout ce que nous pouvions, et nous avons offert à l’association des ministres un déjeuner gratuit, simplement pour venir leur parler. Frère Lee Vayle, bien sûr, est un érudit et un docteur en théologie. Il a vraiment mérité son diplôme. Et ainsi, j’ai essayé de le convaincre de parler devant ces luthériens, presbytériens et autres; mais il a dit : «Non, ils s’attendent à ce que ce soit toi qui le fasses.»
107 Eh bien, je suis allé là-bas, après qu’ils ont tous terminé de manger, j’ai pris mon texte devant ces ministres. J’ai pris comme texte: «Je n’ai pas été désobéissant à la vision céleste.» Je venais à peine de terminer la lecture du passage de l’Ecriture, qu’environ deux se regardèrent et se dirigèrent vers la porte et sortirent. Ainsi, quand j’ai commencé à dire: « comme Paul qui, à son époque, eut un étrange ministère, et qui déclara, alors qu’il se tenait devant Agrippa, qu’il n’avait pas été désobéissant à cela, » environ deux ou trois encore se levèrent. Et lorsque j’en arrivai au moment où j’allais parler du texte, il n’en restait plus que trois ou quatre qui étaient assis là. Ils se sont tous levés et sont partis.
108 La raison en est la suivante: Certains viennent à une réunion quand ils entendent parler d’un évangéliste. La manière dont il s’habille influence les gens. S’il ne porte pas le genre d’habit approprié, certains... J’ai entendu l’autre jour un psychologue déclarer (docteur Narramore), un brave homme, un chrétien, son émission est toujours diffusée sur KAIR. Il déclarait: «Ce qui permet de dire qu’un homme a perdu la raison, c’est lors qu’il ne s’habille plus convenablement.» (Vous savez, comment il doit se présenter devant le public.) C’était un signe qu’il avait perdu la raison!
109 Eh bien, dans ce cas, j’ai donc été fou toute ma vie, voyez, parce que je porte des salopettes, etc. Voyez-vous? Ainsi... D’après ma position, je devrais m’habiller comme un ecclésiastique, en d’autres termes… pour être un ecclésiastique. Je ne pense pas que Jésus s’habillait comme un ecclésiastique. Il s’habillait comme un homme ordinaire. Il se mêlait aux hommes, et Sa tenue n’avait rien de différent.
110 Mais, voyez-vous, ce n’est que la pensée des hommes, cela... Et qu’en serait-il si cet homme... je me demande ce que le médecin penserait du prophète qui dans la Bible, a reçu l’ordre d’ôter ses vêtements et de marcher nu devant les gens. Il aurait vraiment été pris pour un fou de nos jours, n’est-ce pas? Mais c’est Dieu qui lui avait dit d’agir ainsi.
111 Un autre dut rester couché sur le côté pendant trois cent quarante mois (je crois que c’était ça); il est resté couché sur le côté – un côté; puis il s’est retourné de l’autre côté et a mangé un pot de lentilles, qu’il avait préparé là: il dut aller bouillir cette nourriture et préparer cela ensemble, et manger cela tout ce temps-là, tendre la main et en prendre une poignée et en manger en étant couché sur le côté, pour servir de signe. Vous voyez?
112 Oh, à quel point les gens peuvent vraiment s’éloigner de la Parole de Dieu ! Ils deviennent si instruits qu’ils s’éloignent de Dieu par leur instruction. Quand un homme dit qu’il est instruit, je sais que cela montre simplement à quel point il est éloigné de Dieu. Vous voyez? Un diplôme de docteur... Je ne dis pas ceci contre le docteur Vayle, en effet il n’est pas de ce genre-là, mais généralement, quand un homme obtient un diplôme de docteur, cela veut dire simplement pour moi qu’il est d’autant plus éloigné de Dieu, vous voyez, à moins qu’il se cramponne à la Parole et à Dieu.
113 Maintenant, nous voyons que certains viennent pour entendre comment vous parlez. Quand ils viennent regarder... Vous parlez de la guérison divine et du Seigneur. Si un homme n’est pas du type instruit et doué, les gens ne pourront pas supporter de l’entendre utiliser des mots tels que «his» et «haint», et – et des termes semblables. Tout simplement on... ils ne… on pense simplement que c’est très loin de Dieu. Quand Jésus parlait, Il utilisait un langage si simple qu’aujourd’hui cela confond les professeurs, car ils essaient de l’interpréter d’après leur érudition, alors que le langage de ce temps-là, c’était le langage de la rue. C’est pourquoi... Eh bien, il y a tellement de différence, même ici chez nous aux Etats-Unis. J’ai téléphoné de Floride à New York et j’ai dû prendre une dame à... ici pour... à Saint-Louis pour faire l’interprète entre cette jeune fille du Sud et celle du Nord. C’est pour vous montrer la différence qu’il y avait. Vous voyez? Certainement.
114 Eh bien, c’est qu’il y a, c’est que les gens cherchent ces choses, les discours plutôt que la Parole. La Parole manifestée est l’évidence que c’est juste, vous voyez, la Parole manifestée. Ils ne regarderont jamais à Cela. Vous devez avoir une conception intellectuelle pour savoir... Aller au séminaire pour apprendre comment s’incliner, comment se tenir en place, et tout. Oh! cela ferait suffoquer à mort un prédicateur vraiment rempli du Saint-Esprit. Vous voyez? Eh bien, c’est ça l’intellectualisme.
115 Voilà ce que la – toute cette nation entière est devenue. Elle a une conception intellectuelle de Christ. C’est ce que les gens cherchent. Et si Christ est en vous, vous devez être un érudit, vous devez être un intellectuel, ils pensent donc que c’est ça Christ.
116 Et une autre fois... D’autre part, ils se font leurs propres opinions de ce qu’Il devrait être, vous voyez, leur propre idée, au lieu d’accepter ce que la Parole déclare. C’est ainsi... Quand ils regardent et voient même Jésus Lui-même, ils manquent de Le reconnaître. C’est ce qu’ils firent le jour de la Pentecôte. C’est ce qu’ils firent quand Il était dans la chair. C’est ce qu’ils firent quand Il était dans la crèche. C’est ce qu’ils firent quand Il était dans les rues de Jérusalem. C’est ce qu’ils firent quand Il était sur la croix, bien qu’Il fût l’accomplissement de cette Parole; eux pourtant s’attendaient à voir le Messie descendre du ciel et tout. Mais ils étaient dans l’erreur parce que c’était une conception intellectuelle. Ils manquèrent de Le voir, alors qu’ils Le regardaient en face.
117 Il en est de même aujourd’hui. Que voyez-vous quand vous regardez? Certains cherchent à voir, quand ils Le regardent, ils s’attendent à voir un grand intellectuel, fondateur d’une église, quelqu’un capable de fabriquer un credo qui fera que tous les gens se laisseront prendre par ce credo, l’une ou l’autre chose. C’est ce qu’ils cherchent quand ils regardent.
118 Certains cherchent à voir un mythe, par exemple Saint-Nicolas, quand ils regardent. Ils lisent la Bible et disent: «Oh, c’est un mythe. C’est seulement quelque chose que l’homme a écrit.» C’est ce qu’ils... Car l’opinion que vous avez de la Bible, c’est celle que vous avez de Lui. Voyez-vous?
119 Certains regardent pour voir un bébé. Certains regardent et voient un – un lapin, ou Saint-Nicolas. Certains regardent pour voir un livre historique d’hier et non d’aujourd’hui. Mais la question est: «Que voyez-vous quand vous regardez?»
120 Beaucoup parmi vous qui prétendent avoir le Saint-Esprit, regardent et voient la deuxième personne de la trinité, alors que celle-ci n’est même pas mentionnée dans la Bible. Ça n’existe pas. Le mot «trinité» n’existe même pas dans la Bible. Et pourtant, quand vous regardez Jésus, vous Le considérez comme étant la troisième ou la deuxième personne de la trinité. Et c’est la raison pour laquelle vous n’arrivez nulle part. Savez-vous ce qu’Il a dit? «Je suis Dieu, et en dehors de Moi, il n’y en a point d’autre.»
121 Cela dépend de ce que vous regardez. Si vous placez devant vous un petit garçon porte-bonheur et un vieil homme avec une barbe, etc., si c’est ainsi que vous regardez Jésus, comme étant une personne différente de Dieu, vous regardez mal. Vous ne voyez pas la chose.
122 Il n’y a pas longtemps, j’avais une paire de jumelles. J’essayais d’observer des antilopes, plutôt une antilope dans la campagne, et mon fils cherchait à me la montrer. Il est passablement plus jeune que moi. Ainsi, il m’a dit: «Prends ces jumelles, papa, il y a une antilope juste là.»
J’ai dit : «Je peux la voir à l’oeil nu.»
123 Il a dit: «Prends ces jumelles.» Quand j’ai regardé, j’ai vu une dizaine d’antilopes; les jumelles n’étaient cependant pas réglées. Et lorsque je les ai réglées, les dix devinrent une seule. Et si vous faites la mise au point de votre pensée sur la Parole de Dieu, les trois seront Un. Vous voyez? Mais vos jumelles ecclésiastiques se brouillent quand vous essayez de faire de Dieu trois personnes. Il est Un. Vous voyez?
124 Mais cela dépend de ce que vous regardez. Que voyez-vous quand vous regardez ? Souvenez-vous, vous pouvez le voir seulement quand vous Le regardez au travers de la Parole. Vous ne pouvez pas Le regarder au travers d’un manuel. Vous ne pouvez pas Le regarder au travers d’un credo. Vous verrez deux ou trois dieux, et tout le reste, dans ces crédos. Mais regardez-Le au travers de la Parole, et vous verrez qu’Il est Emmanuel, Dieu fait chair parmi nous. Il a dit : «Je suis Dieu, et en dehors de Moi, il n’y en a point d’autre.» Il est Dieu.
125 Esaïe regarda une fois (le prophète), et quand il vit Jésus... (mon sujet c’est: «Regarder à Jésus – tourner les regards vers Jésus»)... quand Esaïe détourna les regards du monde pour Le voir, il dit: «je vois un Conseiller, un Prince de la paix, le Dieu puissant, le Père éternel.» C’est ce qu’Esaïe vit quand il tourna ses regards.
126 Une fois, Daniel vit la fin des royaumes des Gentils pendant qu’il se tenait là. Il vit la statue que Nebucadnestar avait vue en songe. Il vit comment chacun succéderait à l’autre, dans leur ordre. Et lorsqu’il regarda pour voir ce qui allait arriver à la fin, quand il vit Jésus, Il était une Pierre qui s’était détachée de la montagne sans le secours d’aucune main et qui écrasa le royaume des Gentils.
127 Nebucadnestar jeta dans la fournaise ardente trois enfants hébreux qui croyaient en Dieu et s’en tenaient à la Parole. Même s’ils devaient mourir pour Elle, ils étaient décidés à rester debout de toutes façons – juste une chose insignifiante consistant à s’agenouiller d’une autre façon. Mais lorsque le roi tourna les regards et vit Jésus, celui-ci était la Quatrième Personne dans la fournaise ardente, et cela protégea de la chaleur Ses serviteurs obéissants. C’est ce que vit Nebucadnestar.
128 Ezéchiel tourna un jour ses regards pour Le voir, et Il était une Roue au milieu d’une roue, tout en haut dans les airs. Il était le Moyeu de la roue auquel est fixé chaque rayon. Amen! La grande roue marchait par la foi, mais la petite roue tournait par la puissance de l’Eternel. C’est ce que vit Ezéchiel lorsqu’il tourna ses regards.
129 Jean-Baptiste tourna un jour ses regards et vit une Colombe; et une Voix dit : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui Je me plais de demeurer.» C’est ce qu’il vit. Il vit alors que Jésus et Dieu étaient la même Personne, car l’Esprit descendit du Ciel sous la forme d’une colombe, disant : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui Je Me plais de demeurer.» C’est ce qu’il vit. Remarquez. Il S’identifia de cette manière.
130 Noé, quand il tourna ses regards pour Le voir, il vit le juste jugement de Dieu tomber sur les gens de ce monde qui avaient rejeté Sa Parole. C’est ce que vit Noé quand il tourna ses regards.
131 Moïse, quand il tourna les regards, il vit un buisson en feu. La Colonne de Feu était revenue dans un buisson, et quand Moïse s’en approcha, elle dit : «Enlève tes souliers, car JE SUIS.»
132 Maintenant, si vous vous penchez sur cette expression, JE SUIS, c’est au passé, au présent et au futur. JE SUIS – éternel. Voyez-vous? JE SUIS. Il vit le JE SUIS. C’est ce qu’il vit dans le buisson ardent.
133 Israël regarda le serpent d’airain que Moïse avait fait, et vit les souffrances de Christ à cause du jugement au bénéfice des malades, car nous savons que le serpent parlait de l’expiation. Jésus était cette expiation. «Comme Moïse éleva le serpent d’airain dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé», dans le même but. Vous voyez? Pourquoi? Ils avaient péché et étaient tombés malades. C’était pour ôter leurs péchés et pour leurs maladies, c’est pour cette raison que Jésus fut blessé pour nos péchés; par Ses meurtrissures nous sommes guéris. Si vous séparez la guérison divine de Christ, vous divisez l’expiation en deux. Vous voyez?
134 Que voyez-vous quand vous regardez? Voyez-vous cela? Voyez-vous qu’Il fut blessé pour nos péchés? Que par Ses meurtrissures nous avons été guéris? Quand vous tournez vos regards, pouvez-vous voir cela, ou ne pouvez-vous voir qu’un côté de l’expiation? Pouvez-vous en voir les deux côtés, quand vous regardez?
135 Si vous regardez cela au travers d’un credo, on vous dira que les jours de la guérison sont passés. Mais si vous regardez cela au travers de la Parole, vous verrez qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
136 Les disciples regardèrent à Lui lorsqu’ils furent sur une mer agitée, et ils virent venir le seul secours qui pouvait les aider.
137 Marthe regarda à Lui, quand la mort frappa, elle vit qu’Il était la Résurrection et la Vie. Amen! Quand la mort frappa, Marthe vit, quand elle Le regarda... Il avait été rejeté par son peuple, Il avait été repoussé. Elle L’avait même envoyé chercher, mais Il ne vint pas vers son frère; et quand finalement Il arriva, elle alla et tomba à Ses pieds, ainsi, elle pouvait Le regarder; elle découvrit qu’Il était à la fois la Résurrection et la Vie. Amen!
138 Jaïrus fit la même chose. Il croyait en secret. Un petit presbytérien, méthodiste, baptiste, qui croyait vraiment, mais il ne pouvait pas y aller, parce que sa dénomination ne lui permettrait pas et qu’il aurait été excommunié. Mais sa petite et unique fille était mourante et il a dû y aller. Et quand il Le trouva, il découvrit qu’Il était la Résurrection et la Vie. Quand il L’envoya chercher, un messager vint en courant lui dire: «Ne dérange pas le Maître, car ta fille est déjà morte.» Il... Et son petit coeur s’arrêta presque de battre, mais Lui dit: «N’ai-je pas dit: «Si seulement tu crois, tu verras la gloire de Dieu»? Jaïrus découvrit, lorsqu’il regarda à Jésus, que ce dernier pouvait ressusciter les morts.
Les affamés regardèrent à Lui et trouvèrent une nourriture fortifiante pour la vie. C’était dans le naturel. Ceux qui sont spirituellement affamés, peuvent regarder à Lui et découvrir qu’Il est le Pain de Vie.
Le voleur mourant regarda pour voir ce qu’il lui serait possible de voir, et il trouva en Jésus son pardon. «Souviens-Toi de moi, Seigneur, quand Tu viendras dans Ton règne.» Jésus lui répondit: «Aujourd’hui même, tu seras avec Moi dans le paradis.» C’est ce qu’il vit à l’heure de sa mort.
139 Les malades regardèrent à Lui et virent le Guérisseur. Les aveugles regardèrent et recouvrirent la vue.
140 Cela dépend donc de ce que vous regardez. A quoi regardez-vous? Pierre et Nathanaël regardèrent et virent la Parole promise par leur prophète Moïse manifestée: «L’Eternel, ton Dieu, te suscitera un Prophète comme moi, et c’est à Lui que les gens s’attacheront; et tous ceux qui ne Le croiront pas et qui n’écouteront pas ce Prophète seront retranchés du milieu du peuple.»
141 Et quand Pierre entra dans Sa présence, Jésus lui dit: «Ton nom est Simon et tu es le fils de Jonas.» Il comprit là même, lorsqu’il regarda Jésus pour la première fois, que c’était là l’accomplissement de ce que la Parole de Dieu avait annoncé à Son sujet. Amen!
142 Je me demande si vous avez fait la même découverte quand vous L’avez regardé la première fois? Je me demande si la Parole promise S’est manifestée à vous quand vous L’avez regardé?
143 Aussitôt que Nathanaël entra dans la présence de Jésus, doutant un petit peu... Nous voyons que Philippe était allé lui dire: «Viens voir Qui nous avons trouvé.» Et Nathanaël vint et dit: «Qui est-ce?» Il se dit: «C’est probablement Celui qui est là-bas en train de prier pour les malades.» Il se fraya un chemin jusqu’à ce qu’il l’a vu.
Et quand il regarda, Jésus dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
Il dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»
Il répondit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous le figuier, Je t’ai vu.»
144 Que découvrit alors Nathanaël? Il découvrit qu’il y avait là le Roi d’Israël. Il dit: «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.» C’est ce qu’il vit quand il regarda. L’interprétation de l’Ecriture fut mise en lumière devant lui. Il vit cela, la même Ecriture que Moïse, le prophète oint, avait prononcée: «Il sera un Prophète comme moi.»
145 La femme au puits regarda une fois, et que vit-elle? Elle l’exprima dans la ville. Elle dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?» Quand elle regarda Jésus-Christ pour la première fois, elle vit le Messie.
146 Les gens peuvent regarder la même chose aujourd’hui et appeler cela de la télépathie mentale. Ils appelleront cela du spiritisme. Ils traiteront cela de toutes sortes de noms de démons possibles, parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils cherchent. Amen! Ils ne comprennent pas. Ils cherchent un credo. Ils cherchent un génie qui mette l’église dans l’ordre. Ils cherchent davantage de membres et ne voient pas l’Adorable Seigneur Jésus-Christ dans Sa Parole identifiée. C’est vrai.
147 Cela dépend de ce que vous recherchez. Si vous recherchez l’accomplissement de la promesse pour aujourd’hui, vous verrez cela; mais si vous cherchez quelque chose d’intellectuel ou quelque chose qu’on a toujours recherché – un grand fondateur, un historien, une autre personne, quelque chose d’autre, vous ne Le verrez pas. Mais quand vous Le regardez au travers de la Parole, la Parole déclare qui Il est.
148 Il demanda aux gens de Son époque de faire de même. Ils ne purent Le voir. Il dit: «Aveugles, conducteurs d’aveugles. Vous prétendez que Moïse est votre prophète. Si vous aviez connu Moïse, vous M’auriez connu. Moïse écrivit à Mon sujet.» Mais ils étaient trop aveugles pour voir cela. Ils regardaient cela en face, mais ils étaient trop aveugles pour voir cela.
149 Je fais le lien, pendant quelques instants, avec cet «éclat» dont on a parlé ce matin, vous voyez.
Ils regardent sans savoir ce qu’ils cherchent, parce qu’ils ont une fausse conception de ce qu’ils essaient de trouver. Comment sauriez-vous ce que vous désirez trouver, si vous ne savez pas ce que vous cherchez?
150 Comment pourriez-vous partir à la recherche d’une citrouille, si vous n’en avez jamais vu une ni n’en avez jamais entendu parler? Comment pourriez-vous partir chercher une pastèque, si vous n’avez jamais su qu’elle existait et à quoi elle ressemblait? Vous pourriez trouver un bac et penser que c’est une pastèque. Vous pourriez trouver quelque chose d’autre. Vous pourriez trouver un bloc et penser que c’est une pastèque. Mais vous devez savoir ce que vous cherchez. Et la seule manière pour vous de savoir ce que vous allez... ce que vous cherchez, si vous cherchez Jésus, vous regarderez à la Parole, car Il est la Parole. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
«...ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Sondez les Ecritures. Vous prétendez croire aux prophètes, mais vous êtes de votre père le diable. Vos pères qui ont eu cette prétention, lorsque Dieu leur envoya les prophètes, ils les mirent dans la tombe.» Ils – ils tuèrent les prophètes, tous ceux qui vinrent. Jésus a dit: «Lequel vos pères n’ont-ils pas lapidé? Et vous faites les oeuvres de votre père.» Amen! Des hommes justes, des hommes saints, des hommes sur lesquels vous n’auriez rien trouvé à redire, et pourtant Il les appela des serpents et des démons. Vous voyez? Que cherchez-vous? Si vous cherchez une personne pieuse... Certains pensent que parce que le Saint-Esprit agit au travers de vous, vous devriez être. une personne toujours pieuse qui s’est promenée sans même... ça, ce n’est pas le Saint-Esprit. Dieu ne traite pas par l’intermédiaire des anges, comme cela, ou Il n’est pas censé le faire. Dieu traite au travers des hommes.
La Bible dit: «Elie était un homme de la même nature que nous.» Mais vous ne pouviez pas être avec lui, sans voir Jésus.
151 Pierre et Jean, à la porte appelée la Belle, quand on les traîna là-bas pour avoir guéri cet homme, les gens virent qu’ils étaient ignorants et sans instruction, mais ils virent aussi qu’ils avaient été avec Jésus (oui), car Sa vie se réfléchissait en eux.
152 Maintenant, cela dépend de ce que vous cherchez. La femme avait lu la Bible. Elle savait qu’un Messie allait venir et elle savait ce que ce Messie ferait. Et aussitôt que Jésus lui dit: «Apporte-Moi à boire.»… Elle dit: «Ce n’est pas selon nos habitudes.» Il n’était qu’un homme ordinaire. Eh bien, s’Il s’était assis là, portant un énorme turban et toutes sortes d’ornements de – d’une personne sainte, eh bien, la femme aurait dit: «Eh bien! voilà un prêtre» et elle aurait continué, ou «voici un genre de rabbi», et elle aurait continué.
Un prédicateur, quelque chose comme ça… Aujourd’hui, j’ai vu un homme venir manger où je suis allé manger; cet homme est entré; il – il avait sur lui suffisamment de croix et autres... C’est bien parfois que ces gens portent cela. Je pense que vous devriez avoir une vie correcte. Vous n’avez pas besoin de porter un tas d’habits ecclésiastiques pour prouver ce que vous êtes. Parfois ils boivent, se conduisent si mal, fument et tout, qu’ils doivent porter des habits d’ecclésiastique pour qu’on sache s’ils sont ministres ou pas.
153 C’est vrai. Je vous dirai que les habits d’ecclésiastique qu’un homme doit porter, c’est le baptême du Saint-Esprit. Cela vous identifiera comme étant avec Jésus.
154 Maintenant, nous voyons que cela dépend de ce que vous cherchez : Un homme bien habillé, bien soigné, portant une sorte de turban. Vous ne Le verrez jamais, Lui, parce qu’Il n’était qu’un homme ordinaire. Dieu traite avec des hommes. Jésus était un homme. Dieu était dans l’homme, et Il était Dieu.
155 Maintenant, nous voyons que cette femme, quand elle vit ce signe mystérieux, selon lequel Il pouvait lui révéler ce qu’elle avait fait de mal ou ce qu’elle avait sur le coeur, elle sut immédiatement que c’était le Messie. Ainsi, quand elle regarda Jésus, elle vit le Messie – le Messie!
156 Quelles étaient les oeuvres du Messie? Il connaîtrait les secrets du coeur. L’avez-vous bien compris? Je me demande si vous allez comprendre. Si vous Le cherchez ce soir, qu’allez-vous chercher? Il serait le même. Le Messie est la Parole – la Parole. Et la Bible dit dans Hébreux chapitre 4, que la Parole de Dieu est plus vivante et plus efficace, plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, jusqu’à partager, et elle juge les sentiments qui sont dans le coeur. Lorsqu’elle sut que le Messie devait être cette Parole manifestée et qu’Il pouvait lui dire ce qui n’allait pas chez elle, elle sut que c’était le Messie. Pas par la manière dont Il était habillé, pas par Son niveau d’instruction, mais par le signe qu’Il lui montra. Il était le Messie. Quand elle vit Jésus, elle vit le Messie, Dieu dans un homme, comme promis que – pour cet âge oint.
157 Mais, vous savez quoi? Beaucoup dans les mêmes âges dont j’ai parlé n’ont jamais vu cela. Beaucoup ne l’ont pas vu. C’est pareil aujourd’hui.
158 Beaucoup ne reconnurent pas Moïse. Beaucoup ne reconnurent pas Elie. Beaucoup ne... Ils ne les reconnurent jamais, jusqu’au moment où ils n’étaient plus là. Alors, ils les reconnurent. Du temps de Noé, l’incroyant vit seulement... A quoi regardait l’incrédule? Je vous ai dit ce que le croyant avait vu. Maintenant, voyons ce que virent les incroyants.
159 Au temps de Noé, que voyaient les incroyants en ces jours-là lorsqu’ils regardaient? Ils voyaient un fanatique s’embrouillant au sujet d’un soi-disant bateau. C’est tout ce qu’ils voyaient, un vieux fou avec une longue barbe blanche, qui avait perdu la tête et qui disait à l’encontre de la recherche et des preuves scientifiques: «Il y a de l’eau là-haut.»
160 Eh bien, le pauvre vieillard leur faisait pitié, ils le passaient. «Il – il sera bientôt déclaré fou; il a perdu l’esprit.» Mais il avait la Parole du Seigneur. Il construisit cela sans s’arrêter, et Dieu montrait l’évidence que le déluge venait. C’était un signe pour eux.
161 Ceux qui ne crurent pas l’histoire de Noé errèrent dans les ténèbres, et finirent par mourir dans l’eau, et eurent comme tombe l’enfer.
162 Pharaon – il regarda une fois. Que vit-il? Que vit Pharaon? Il vit un fanatique, un soi-disant prophète, ayant beaucoup de soi-disant déclarations de délivrance. C’est tout ce qu’il vit. Un ouvrier tripoteur de boue, un esclave qui se tient parmi le peuple, qui se disait être envoyé de Dieu pour accomplir des miracles. Eh bien, on pensait que cet homme avait perdu... On disait: «Allez, laissez-le divaguer. On – on le déclarera fou dans quelque temps.» Mais il avait l'AINSI DIT LE SEIGNEUR. Les croyants: Aaron, Josué et beaucoup d’entre eux, virent Dieu en Moïse. Et les oeuvres de Dieu, Moïse les a accomplies. C’est la raison pour laquelle ils surent que Dieu était en lui. Ils regardèrent et virent Dieu en Moïse.
163 L’homme riche regarda et vit exactement qui Il était (vous voyez?), mais il refusa de Le suivre, parce qu’il aimait trop les choses du monde pour suivre Jésus. Combien d’hommes riches, de ce genre, écouteront cette bande? La richesse ne consiste pas toujours en argent. Non! On peut aussi être riche en convoitise, riche en plaisirs de cette vie.
164 Combien d’hommes, combien de jeunes filles, combien de jeunes garçons refuseraient de renoncer à leur popularité de reine du sexe, ou de «Ricky» au banjo ou à la guitare, sortant exhiber du rock’n roll ou une certaine danse qu’il est capable d’exécuter? Combien parmi eux revendiqueraient les richesses de la popularité et refuseraient, alors qu’ils assistent à des réunions et observent la main de Dieu agissant et confirmant Sa Parole? Combien le feront?
165 Il a choisi sa dénomination, il pouvait vivre par elle. Jésus fut considéré comme un fanatique par sa dénomination, ainsi il dut soit accepter ce que Jésus disait, soit accepter... Pourquoi n’alla-t-il pas dire à son prêtre: «Que puis-je faire pour avoir la Vie Eternelle?» Il savait que le prêtre n’En savait rien. C’est pourquoi il vint vers Jésus et dit : «Que puis-je faire?»
Jésus lui répondit : «Garde les commandements», Il lui renvoya cela directement.
Il dit : «Je l’ai fait.»
Il dit : «Garde les commandements.»
166 Il n’avait donc toujours pas la Vie Eternelle, et il le savait. Vous pouvez garder tous les commandements, sans pour autant avoir la Vie Eternelle.
Ainsi, Jésus dit : «Maintenant, si tu veux faire ce qui est juste, va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, viens et suis-Moi.» C’était trop lui demander. Vous voyez?
167 Nous voyons qu’il regarda et vit qui Il était, mais malgré cela, il refusa d’accepter cela. Et lorsqu’il regarda à nouveau, c’était en enfer, lorsqu’il leva les yeux et vit Lazare dans le sein d’Abraham.
168 Pilate regarda une fois, lorsqu’on Le lui amena. Il ne L’avait jamais vu auparavant. Ses mains étaient liées, le sang coulait de Son dos, une couronne d’épines sur la tête. Pilate regarda et fut convaincu; en effet, un homme à cheval, descendit la rue au galop, sauta à terre, arriva en courant, et lui dit: «Voici, votre femme vous a envoyé une lettre.»
169 Il regarda cela et elle disait: «Pilate, mon mari bien-aimé, qu’il n’y ait rien entre toi et ce Juste, car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de lui.»
Il trembla, ses genoux s’entrechoquèrent, et il dit: «Si tu es le Fils de Dieu, si Tu es le Roi, pourquoi ne le dis-Tu pas franchement? Es-tu le Roi d’Israël?»
Jésus répondit: «Tu l’as dit.»
Il dit: «Dis-nous la vérité.»
Il répondit: «C’est dans ce but que Je suis né.»
Et Pilate s’étonna. Tous dépendaient de lui, tout le monde le suppliait et pleurait à ses pieds.
Il dit: «J’ai le pouvoir de Te tuer ou de Te relâcher.»
Jésus lui dit: «Tu n’aurais aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné par Mon Père.»
170 Oui, oui! Il était convaincu qu’Il était plus qu’un homme. Il était entièrement convaincu que c’était plus qu’un homme. Il l’était certainement. Mais quoi? Sa politique et sa popularité étaient trop influentes. Il Le rejeta. Sa popularité était trop influente. La politique, sa position dans la vie, étaient trop importantes pour accepter ce Fanatique.
171 Je me demande combien de Pilates écouteront ceci, des Pilates dont la position dans une certaine dénomination sera trop importante pour accepter le véritable Seigneur Jésus dans la position où Il Se trouve aujourd’hui.
172 Le soldat romain au pied de la croix regarda Jésus. Après que la terre eut connu un soubresaut nerveux … connut une secousse telle que les rochers se détachèrent de la montagne, et le soleil se coucha au milieu du jour et s’obscurcit, et les étoiles ne parurent plus pour donner leur lumière. Et des rochers jaillirent de la terre, et il y eut un tremblement de terre, et le zigzag des éclairs traversa les cieux et déchira le voile du temple de haut en bas. Et les gens se mirent à courir et à crier, ils ne savaient pas ce qui était arrivé. Ce soldat romain, qui avait aidé à Le clouer là et qui avait enfoncé l’épée dans Son coeur, regarda alors, mais c’était trop tard. Il regarda et crut, mais c’était trop tard pour lui de croire. Ce qu’il avait fait avait scellé son destin. Il avait transpercé de la lance le coeur du Sauveur. C’était trop tard.
173 Je me demande combien de Romains aujourd’hui ont fait la même chose et feront cette même chose. Un jour, vous regarderez peut-être, mais ce sera peut-être trop tard.
174 Beaucoup de gens d’aujourd’hui viendront en ce jour-là et seront dans la même condition. Ils ont su…
175 Frère Wood, hier ... (Je dis ceci parce que c’est dans ce message)... ici à la compagnie Slider, un catholique romain était là. Frère Wood était allé chercher du béton pour cette église-ci, et alors, il lui dit pourquoi il en avait besoin, et le catholique romain demanda: «Est-ce pour frère Branham?» – Oui.
Il dit: «Je sais une chose, quand il prie, Dieu répond.» Vous voyez?
176 Alors, je me demande quand une personne sait cela et voit la confirmation que c’est vraiment l’Evangile, pas moi, quiconque représentant Christ... C’est de la Parole que nous parlons et non de l’homme.
177 Ce que j’essaie de dire, c’est ceci : Ils voient la Parole clairement confirmée, comme Pilate et les autres, comme le soldat romain, mais vont-ils attendre jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour faire quelque chose à ce sujet? Il aurait dû utiliser la lance d’une autre façon. Les portes se fermeront comme ce fut le cas du temps de Noé, et alors, ce sera trop tard.
178 Vous vous réveillerez peut-être un matin et vous direz : «Je veux sortir de ce gâchis.» N’attendez pas trop longtemps. Vous feriez mieux de regarder et de vivre maintenant!
179 Luther détourna ses regards de la dénomination catholique. Que vit-il? Une Colonne de Feu. Il vit une église indépendante.
Wesley détourna ses regards de la dénomination anglicane. Il vit la même chose. La Pentecôte détourna ses regards de toutes les dénominations. Qu’est-elle devenue? Un peuple très puissant.
180 Que fit chacun d’eux? Alors que les fondateurs, Luther, Wesley et les autres tournèrent leurs regards et virent ce qu’elles avaient fait et en sortirent, leurs enfants qui vinrent après eux regardèrent en arrière d’où ils étaient sortis – de la dénomination – et ramenèrent ce groupe de gens droit dans le même gâchis d’où ils étaient sortis.
181 A quoi regardez-vous? Les fondateurs regardèrent comme il se devait, mais ceux qui les suivirent regardèrent en arrière, à la chose dont les fondateurs étaient sortis, et ils firent exactement ce contre quoi les fondateurs combattaient – ces oints de Dieu.
182 Vous savez, je dois me dépêcher, car après j’aurai une ligne de prière, et je sais que beaucoup de vous doivent voyager.
183 Un jour ,j’ai regardé. J’ai vu la Parole faite chair. J’ai vu l’Alpha et l’Oméga. Je n’en ai jamais vu trois, quatre ou cinq; j’en ai vu Un seul. Je L’ai vu en tant que mon Sauveur. Je L’ai vu, Lui la Parole. Je L’ai vu , Lui la Lumière. Je L’ai vu, le Dieu Puissant. J’ai vu Dieu en Lui. J’ai vu la Colonne de Feu. J’ai vu en Lui exactement ce que la Bible dit à son sujet. J’ai vu qu’ «Il était l’Alpha et l’Oméga, qu’Il était la Colonne de Feu, qu’Il était le même hier, aujourd’hui et éternellement. J’ai vu que la Colonne de Feu dit à Jean : «Sa présence infaillible... (comme il le dit là dans... de Jean) Sa présence infaillible ne vous quittera jamais.» Frères, mon avis ce soir... chanter ce cantique :
Regarde et vis, mon frère, vis.
Regarde maintenant à Jésus et vis;
Car c’est écrit dans Sa Parole, alléluia!
Il faut seulement que tu regardes pour vivre.
184 Regardez. Que voyez-vous? Voyez-vous la délivrance? Voyez-vous ce qu’Il est? Regardez la Parole et voyez ce qu’Il était, puis regardez la même Parole et voyez qu’Il est le même aujourd’hui qu’Il était alors. Il est l’antitype du serpent d’airain qui était dans le désert. Pour la même cause… le péché et la maladie.
185 Un jour, Judas regarda, et quand il regarda... Après L’avoir bien regardé... Auparavant, il avait regardé seulement à la trésorerie, au coffret d’argent qu’ils avaient. Mais un jour, lorsqu’il regarda et vit Jésus, savez-vous ce qu’il vit? Il vit qu’il était coupable. Il vit qu’il ne méritait pas de vivre, et il se pendit.
186 Un matin, l’un des plus grands matins de toute l’histoire du temps, je dis ceci pour terminer, il s’est passé quelque chose à Jérusalem. Un groupe de soldats descendit soudain vers la – vers la prison. J’entends le cliquetis des chaînes, j’entends le bruit de la lance qu’on traîne dans la rue.
187 «Qui est là-dedans?» «Barabbas. Il est prêt à mourir. C’est un brigand, un bon à rien, un voleur, un meurtrier. Il va mourir.»
Alors, vous savez, il dit: «Eh bien, tout est fini pour moi. Je vais être exécuté ce matin.» Tout à coup, vous savez, le garde ouvrit la porte: «Sors, Barabbas.»
Il sortit et dit: «Eh bien, je pense que c’est la fin.»
Il dit: «Barabbas, tu es tout à fait libre.»
– Quoi? Je suis quoi? Je suis tout à fait libre?
– Tu es libre, ai-je dit.
Il dit: «Comment puis-je être libre?»
Il dit: «Viens ici, Barabbas, regarde là-haut. Tu vois cet Homme qui est en train de mourir là-bas? Il a pris ta place.»
188 Je me demande si, ce soir, nous pourrions tous regarder et voir ce que vit Barabbas, Quelqu’un prenant notre place. Il fut blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que je suis guéri, que vous êtes guéris. Je me demande si nous les coupables, qui devrions être malades, nous pouvons voir en Lui notre délivrance.
Vous qui devriez aller en enfer, voyez en Lui votre liberté, votre laissez-passer pour le ciel. Je me demande si vous pouvez voir ce que vit Barabbas ce jour-là. Jésus dit: «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez.»
189 Ô église, alors s’Il a dit: «Vous Me verrez», c’est la preuve que vous pouvez de nouveau regarder. «Vous Me verrez, car Je serai avec vous et même en vous, jusqu’à la fin du monde.»
190 Comment le voyez-vous? Dans la Parole. Il est la Parole. Regardez la Parole et voyez ce qu’est la promesse, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
191 Ce qu’Il était quand Il marchait en Galilée, Il l’est ce soir à Jeffersonville, Il l’est au Branham Tabernacle.
192 Que cherchez-vous à voir en regardant? Un fondateur? Un homme de dénomination? Vous ne verrez jamais cela en Jésus. Regardez-vous pour voir un grand... de prêtre? Vous ne le verrez jamais en Jésus. Non. Comment voyez-vous Jésus? Par la Parole de Dieu rendue manifeste, parce qu’Il était la Parole de Dieu manifestée. Ce qu’Il était alors, Il l’est ce soir et Il le sera pour toujours. Inclinons la tête juste un instant. Je vais pour ainsi dire écourter ceci.
193 Seigneur Jésus, je Te prie de me laisser détourner les regards des soucis de la vie. Seigneur, je – je sais que nous ne sommes que des gens ordinaires, sans instruction. Nous ne possédons pas beaucoup de biens de ce monde, mais nous T’aimons, Seigneur. Et je parle pour ces gens. Ils ne seraient pas assis dans un endroit comme celui-ci, serrés, confinés dans la foule, assis, brûlant de chaleur ou gelant de froid, debout, amenant leurs enfants et ceux qui sont malades et affligés, venant, s’ils venaient ici, pour voir autre chose que Toi.
194 Ces gens, Seigneur, ne viendraient jamais voir un homme. Il y a beaucoup d’hommes dans la rue; tous se ressemblent. Mais ils viennent pour voir cet Homme, cet Homme de Dieu, ce Jésus de Nazareth en chair, étant Dieu.
195 Maintenant, Père, Tu nous as dit qu’encore un peu de temps et le monde ne Te verrait plus. Peu importe combien ils regardent, ils ne verront jamais cela. Mais Tu as dit: «Vous, vous Me verrez (les véritables croyants) parce que Je serai avec vous et même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Tu nous as promis que si nous regardions, nous verrions. Et je Te prie, ce soir, d’accomplir à nouveau cette Ecriture pour nous ce soir, afin que nous puissions regarder et voir Jésus Se faire connaître à nous de la même manière qu’Il l’a toujours fait – accomplissant Sa Parole.
196 Dorénavant, Seigneur... Et j’ai fait une déclaration avant ceci, et c’est vraiment d’un coeur sincère que j’ai dit ces choses au sujet des Pulls, et Tu me l’as dit; et maintenant, aussi mystérieux que cela puisse paraître, si seulement nous pouvions pincer notre conscience intérieure et voir que ces choses ne pourraient pas être prédites parfaitement comme elles le sont, à moins que cela vienne vraiment de Dieu…
197 Comment pourrions-nous voir cette première chose arriver? Comment la deuxième pourrait-elle arriver? Comment la troisième pourrait-elle arriver? Comment aurions-nous pu nous tenir ici, des mois avant que ça se produise, et dire ce qui arriverait à Tucson, qui ouvrirait les Sept Sceaux, rappellerait le mystère, et révélerait les choses cachées de Dieu qui ont été cachées depuis le commencement, et voir cela à la fois déclaré, attesté et prouvé scientifiquement?
198 Seigneur, Tu es notre refuge et notre force. Tu es tout ce que nous avons. Et je Te remercie, Seigneur, de ce que je suis une partie de Ta grande économie. Je Te remercie de ce que je suis un membre de Ton Corps, avec beaucoup ici qui sont membres de ce Corps, beaucoup, partout dans le monde, dans différentes églises, qui sont membres de ce Corps mystique de Christ.
199 Chaque fois que nous regardons, nous Le voyons. Nous Le voyons quand les oiseaux chantent; nous Le voyons quand le soleil se lève ou quand il se couche; nous écoutons dans les cantiques; nous Le regardons dans Son peuple; nous Le voyons confirmer Sa Parole. Ô Seigneur, Tu es notre Dieu. Nous T’invoquerons de bonne heure. Tu es notre Père miséricordieux. Pardonne-nous nos fautes.
200 Seigneur, nous sommes au temps de la fin. Je vois que les portes vont bientôt se fermer, les portes de l’opportunité. Et pendant qu’il fait jour et que je peux encore aller dans certains de ces endroits, Seigneur, aide-moi à y aller.
201 Je vieillis; donne-moi la force, renouvelle ma jeunesse, Seigneur. Aide-moi, afin que je puisse faire quelque chose là-bas maintenant, alors que j’attends que vienne ce grand moment, et qui sera là. Aide-moi, Seigneur, alors que je vais à l’extérieur, afin que je puisse, d’une façon ou d’une autre, attraper cette dernière semence prédestinée, ce qui ramènera le Seigneur Jésus. Aide-moi, ô Dieu!
202 Et si je pose une fondation sur laquelle un autre va se tenir, permets, Seigneur, que cela arrive bientôt, afin que la Parole puisse être accomplie. Le désir de nos coeurs, c’est de voir Ta Parole s’accomplir. Nous T’aimons. Nous Te croyons. Et au milieu de gens qui sont incrédules, qui doutent, la génération de – de – de ce que nous avons aujourd’hui, Seigneur Dieu, nous continuons à croire que Ta Parole ne faillira jamais. Nous croyons que les cieux et la terre passeront, mais qu’Elle ne faillira jamais. Nous prenons vaillamment position pour cela.
203 Maintenant, Père, quant à ce petit groupe qui attend, il y a beaucoup de malades ici, et il y en a peut-être un ici qui n’est pas sauvé – des gens qui ont été sauvés, mais qui n’ont pas encore été remplis du Saint-Esprit. Seigneur Dieu, puisses-Tu venir donc sur la scène selon Ta Parole de promesse, afin que les gens, en regardant, voient Jésus, puis s’humilient et Lui donnent leur coeur. Puissent les malades regarder et voir qu’il est impossible que quelque chose d’autre fasse cela, à part Dieu; car c’est Sa Parole promise. Puisse ce que nous avons dit aujourd’hui dans les deux Messages être maintenant confirmé.
204 Tout est entre Tes mains, Seigneur, et je suis entre Tes mains et la – l’assemblée est entre Tes mains. oeuvre à travers nous, Seigneur, afin que Ton grand Nom soit honoré. Ô Eternel, accorde ceci pour la gloire de Dieu. Amen!
205 Je sais qu’il fait chaud, mais je veux essayer maintenant de prier pour les malades. Si vous pouvez m’accorder quinze, vingt minutes... Je ne sais pas combien de cartes ont été distribuées, mais nous allons simplement commencer à prier pour les malades.
Bon, Billy m’a dit qu’il avait distribué... C’était quoi? Une cent –... Quel est le... Quoi? Très bien. Eh bien, commençons... Il a dit qu’il avait distribué de 1 à 100. Combien ici ont une carte de prière, levez la main, des cartes de prière? Eh bien, c’est un bon nombre. Nous essayerons de nous occuper de tous autant que possible, s’il nous est possible. Eh bien, nous ne pouvons pas exercer le discernement sur eux tous, vous savez; c’est pourquoi nous prierons simplement. Et chacun... Combien ici n’ont pas de carte de prière, et sont pourtant malades? Levez la main. Beaucoup.
206 Maintenant, regardez. Qu’est-ce? Maintenant, je sais, nous avons peut-être un – un petit et léger retard d’environ quinze minutes sur le programme. Mais j’aimerais dire ceci : Cela peut représenter maintenant la différence entre passer de l’éternité au ciel ou à l’enfer. Voyez-vous? Regardez. Soyez respectueux, soyez attentifs une minute; écoutez la Parole et voyez s’Il demeure toujours Christ. Maintenant, chaque personne ici me connaît probablement, mais il y en a beaucoup parmi vous que je ne connais pas, parce que je ne reste pas ici assez longtemps pour faire votre connaissance. Et beaucoup d’entre vous sont des étrangers dans la ville. Combien sont des étrangers dans la ville? Levez la main. Voyez-vous?
Eh bien, l’autre jour, j’ai posé la question à quelqu’un de la ville, disant: «Vous arrive-t-il de venir?»
Il a répondu: «C’est inutile que nous venions.» Il a dit: «Il y a tant de gens de l’extérieur qui viennent là, que nous ne pouvons pas entrer.»
Mais, c’est en ordre. Nous prendrons des dispositions pour qu’ils puissent entrer. Venez de toute manière. Remarquez : Ils ont eu une occasion avant vous. Vous voyez? Maintenant…?…
207 Maintenant, souvenez-vous. Eh bien, je ne suis que votre frère. Je suis sûr que vous comprenez cela. Je suis un homme; Lui est Dieu. Mais Dieu ne peut oeuvrer, a toujours oeuvré et n’a oeuvré qu’au travers des hommes. Maintenant, regardez ce soir, pas à moi ou à quiconque d’autre, mais regardez à Jésus-Christ. Maintenant, regardez ce soir à l’Ecriture, à ce qu’Elle a promis. Combien... Je peux juste vous donner toutes sortes de passages de l’Ecriture, mais combien croiront Hébreux 13.8, que «Jésus-Christ est le même hier...»? Et combien croient Jean 14.12? «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Combien croient qu’Il a promis que dans les derniers jours, juste avant Sa venue, les choses mêmes qu’Il a faites ayant trait au discernement des pensées des coeurs se produiraient à nouveau? Nous le savons tous. Très bien. Oh, combien il y a encore, des centaines et des centaines de passages de l’Ecriture; et nous le savons.
208 Maintenant, regardez. Ne regardez pas pour voir un prédicateur; ne regardez pas pour voir un pasteur. Regardez pour voir Jésus. Ne voyez pas l’homme; voyez Jésus. Quand vous regardez, voyez-Le. Si je pouvais vous aider, je le ferais; mais je ne le peux pas. Je ne peux pas vous aider. Je suis simplement votre frère, mais Lui, Il est votre Seigneur. Regardez à Lui et croyez.
Très bien. Maintenant, commençons par la carte de prière numéro combien? Pourquoi ne pas commencer à partir de 1. Combien... Le numéro 1. Qui a la carte de prière numéro 1? Levez la main. Où est-elle? Vous voulez dire que vous êtes... Etait-ce là... Oh, excusez-moi. Très bien, numéro 1.
Venez ici, madame, juste... De quel côté voulez-vous les amener? De ce côté? Très bien, venez juste ici, si – si vous pouvez marcher… Si on appelle donc une personne qui est estropiée, que quelqu’un d’entre nous aide à l’amener.
Numéro 1, numéro 2; que celui qui a la carte numéro 2 lève la main, aussi vite que possible. Numéro 2? Où est-elle? Je ne la vois pas. Où? Pardon, je – je ne peux pas... Juste par ici, madame. Numéro 3, voudriez-vous vous lever ou quelque chose comme cela? C’est bien. Numéro 3, numéro 4? La carte de prière numéro 4. Voulez-vous lever la main? Où est-elle? Je ne la vois pas. La carte de prière numéro 4? Que dites-vous? Numéro 4. Numéro 5, qui a le numéro 5? Voulez-vous lever la main? Je ne la vois pas. Numéro 5, numéro 6, numéro 6. Rapidement, très rapidement. Numéro 6? Très bien. 7? Vous... 7? Très bien. C’est juste 8, 8 ? Maintenant, très rapidement; levez-vous très rapidement maintenant. Très bien. 8. Très bien, monsieur. 9? 9? Où est-elle? Numéro 9? Très bien. Numéro 10? 10? Très bien. 10, juste par ici. 10, 11, 12, 13, 14, 15. On ne va pas en appeler trop afin que vous... Voyez-vous, la raison pour laquelle nous faisons ceci, ce n’est qu’une carte portant un numéro. Voyez-vous? Et vous venez simplement par ce numéro. C’est pour les garder alignés. 15, la carte de prière numéro 15? Très bien. 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25. Qu’ils viennent maintenant se mettre en ligne. 25? Jusqu’à ce que vous ayez formé votre ligne... Levez-vous donc simplement selon votre numéro. C’est juste. Ne venez pas tous à la fois. Faites le tour de l’autre côté, s’il vous plaît, si vous êtes dans cette direction, et venez. Maintenant, 20... Combien en avons-nous appelés? 25? Très bien. Arrêtons-nous une minute à 25. Très bien. Maintenant, je dis... Si vous ne voulez pas rester debout trop longtemps, quand vous voyez cela diminuer, alors joignez-vous directement à eux. 25, 26, 27, juste... Eh bien, attendez, laissez la ligne diminuer un peu; vous n’aurez pas à trop rester debout – trop longtemps. Maintenant, inclinons la tête.
209 Oh, mes amis, maintenant quoi? Maintenant, où en sommes-nous? Maintenant, nous sommes à la – la fin. Nous sommes au temps où quelque chose doit être fait, où on doit dire: «Oui» ou «Non». Il doit s’avérer soit que Dieu a raison soit qu’Il a tort.
210 Eh bien, aujourd’hui, j’ai prêché deux sermons durs, essayant de vous dire qui Il est, que le temps s’achève, ce qu’Il est, ce qu’Il était. Et maintenant, alors que nous regardons, ce soir, regardons à Lui.
211 Maintenant, que chaque personne, au Nom de Jésus-Christ, reste maintenant à sa place; ne bougez pas. Restez bien tranquilles jusqu’à ce que vous soyez appelés. Que les petits enfants... Maintenant, si éventuellement je dis : «Inclinez la tête», fais-le rapidement, mon chéri, parce que des choses mauvaises, tels que le cancer et les maladies, partent, et sortent des gens et entrent dans d’autres. Que tous ceux qui le croient et qui savent que c’est l’Ecriture disent «amen».
212 Nous voyons dans la Bible que les mauvais esprits allèrent de l’un à l’autre quand ils furent chassés et cherchèrent à trouver une place. Et combien de fois avons-nous vu cela dans les réunions. Des gens viennent aux réunions en parfaite santé, parfaitement en forme; ils s’assoient là, critiquent et, un jour ou deux plus tard, se retrouvent totalement aveugles, ou frappés d’un cancer, ou paralysés, voyez-vous, parce qu’ils étaient des incroyants. Je ne suis pas responsable d’eux, seulement des croyants.
213 Et beaucoup sont allés dans des asiles pour aliénés depuis de nombreuses années et y sont toujours. Certains sont morts juste pour avoir été arrogants, incrédules. Il n’y a maintenant pas de place pour un incroyant. C’est un lieu pour les croyants. Ayez foi en Dieu!
214 Père céleste, maintenant la réunion T’appartient. Elle T’a toujours appartenu. Eh bien, je peux parler de Ta Parole, mais maintenant, dès cet instant, je ne peux plus parler. Tu es Celui qui parle maintenant, Seigneur. Que l’on sache que Ton serviteur leur a dit la vérité. Que ces personnes-ci... Peut-être que beaucoup ici sont malades et ne seront même pas dans la ligne de prière, mais Tu es toujours ici, Seigneur. Tu peux guérir là-bas, de même que Tu peux guérir partout. Que Ta Parole soit révélée. Je prie au Nom de Jésus. Amen.
215 Maintenant, si je peux bien avoir toute votre attention pendant quelques instants. Je veux parcourir des yeux cette ligne de prière. Je ne crois vraiment pas que je connaisse une seule personne. Vous, dans la ligne de prière, m’êtes-vous tous étrangers? Vous savez que je ne vous connais pas? Levez la main si c’est le cas. C’est bien ainsi. Combien là-bas savent que je ne sais rien à leur sujet? Levez la main, là aussi. Assurément. Je ne connais pas quatre-vingt-quinze pour cent des gens qui sont ici. C’est vrai.
216 Maintenant, voici une petite femme. Je ne l’ai jamais vue de ma vie, elle m’est totalement étrangère. Maintenant, il se peut qu’elle soit ici à cause de la maladie. Il se peut qu’elle soit ici... Peut-être a-t-elle fait quelque chose. Peut-être est-elle ici à cause des finances. Peut-être s’agit-il de problèmes familiaux. Peut-être est-elle ici pour quelqu’un d’autre, je ne sais pas. Je n’ai aucune idée. Mais voici exactement la même image que dans Saint Jean, au chapitre 4: Un homme et une femme qui se rencontrent pour la première fois. Et sans doute, la jeune femme qui rencontra Jésus... Il était beaucoup plus âgé qu’elle, parce qu’Il... on disait qu’Il paraissait avoir cinquante ans ou plus. Et elle était probablement une belle jeune femme venue au puits, ce n’était qu’une jeune fille.
217 Et ici, ce soir, de nouveau deux personnes se rencontrent, une jeune et un homme âgé, sans se connaître. Et maintenant elle est là. Il y a une raison qui fait qu’elle soit là. Je ne sais pas, elle est peut-être là comme une trompeuse. Elle est peut-être là pour dire quelque chose, que c’est juste pour voir ce qui va arriver. Si c’est le cas, observez ce qui va arriver. Vous voyez? Vous voyez?
218 Eh bien, je ne connais pas cette dame, je ne l’ai jamais vue. Elle a juste levé la main il y a quelques instants pour dire que je lui étais étranger, et je lève la main pour attester qu’elle m’est étrangère; je ne l’ai jamais vue. Bien, maintenant si je... En tant qu’homme, je devrais dire: «Madame, qu’avez-vous? Que faites-vous ici? Que voulez-vous?»
219 Et elle répondrait : «Eh bien M. Branham, je suis – je suis ici parce que je – je souffre d’un – un cancer; je souffre de la tuberculose; je souffre d’une tumeur; ou je n’ai plus d’argent, je... Mon mari m’a quittée; ou je ne suis pas mariée et mon ami a fait ceci...», devrait-elle me dire.
220 Eh bien, je dirais: «Très bien. Je vais – je vais – je vais prier pour vous, vous imposer les mains et dire: «Seigneur Dieu, donne à cette femme ce qu’elle désire. Amen. Ô Jésus, fais-le.’» Puis, la laisser partir. Eh bien, je pense que si elle croyait cela, elle guérirait. C’est bien; cela a été le ministère pendant de nombreuses années.
221 Mais il a été promis que dans les derniers jours, Dieu habiterait à nouveau dans un corps humain, à l’exemple de l’Ange qui vint juste avant que Sodome soit brûlée et qui S’assit le dos tourné à la tente dans laquelle se trouvait Sara, et qui dit à Abraham ce qu’elle pensait dans la tente. Dieu dans une chair humaine, portant des habits d’hommes. Et c’est seulement ainsi que Dieu peut agir aujourd’hui, c’est quand Il entre dans votre chair (Voyez-vous?), montrant que Dieu serait manifesté dans une chair humaine. Jésus a dit : «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la venue du Fils de l’homme.»
222 Nous avons le messager Billy Graham et les autres là-bas dans Sodome, mais l’Eglise élue reçut le Message et un Messager. Maintenant, si cette petite dame... si le Saint-Esprit... Je ne dis pas qu’Il le fera, mais s’Il venait me dire pourquoi vous êtes ici, ou – ou ce que vous voulez, ou quelque chose que vous avez fait, ou quelque chose que vous êtes sur le point de faire, eh bien, vous sauriez que cela devrait venir d’une source surnaturelle, parce que nous nous tenons juste ici. Ce serait juste, n’est-ce pas?
223 Alors vous sauriez que cela devrait venir d’une force surnaturelle. Et si la Bible dit que Jésus a fait la même chose et a promis de le faire à nouveau dans les derniers jours, vous croiriez alors que c’est Lui. Combien croiraient la même chose? Alors vous verriez Jésus. Vous verriez Sa Parole. Eh bien, vous dites: «Est-Il la Parole?» La Bible déclare qu’Il est la Parole. Et la Bible dit que la Parole discerne les pensées qui sont dans le coeur. Est-ce vrai? Alors ce sera la Parole prononcée par des lèvres humaines, discernant les pensées. Maintenant, je ne peux pas le faire, je n’ai aucun moyen de le faire, voyez-vous, parce que je ne la connais pas; mais Lui la connaît, et Il est la Parole.
224 Et Il est Celui qui peut prendre nos deux esprits, comme la femme au puits et Lui, et mélanger cela, puis partir et me montrer avec exactitude la raison pour laquelle elle est ici, ce qu’elle a fait ou ce qu’elle désire, ou quelque chose comme ça. Alors, je peux le prononcer et le dire. Et ensuite, cela dépendra d’elle.
225 Bon, vous dites: «Frère Branham, pouvez-vous la guérir?» Non, non! Je ne le peux pas. Il l’a déjà fait: «Par Ses meurtrissures nous avons été guéris.» Mais c’est simplement pour élever sa foi, pour lui faire savoir que s’Il sait ce qu’elle était et ce qu’elle veut, Il sait – Il sait comment le donner et ce que vous serez ensuite. Est-ce vrai? Assurément. Maintenant, tout le monde croit cela.
226 Maintenant, soyez très respectueux. Et vous là-bas, qui n’avez pas de carte de prière, priez. Maintenant, souvenez-vous que Jésus traversa un groupe de gens un jour, et qu’une femme toucha Son vêtement. Et Il Se retourna et dit: «Qui M’a touché?» Et Il parcourut de regard toute l’assemblée jusqu’à ce qu’Il la trouve et lui dise qu’elle avait une perte de sang, et sa perte de sang s’arrêta à ce moment-là. Voyez-vous?
227 Bon, la Bible dit qu’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce vrai? Je regarde maintenant frère Way, qui est assis là à côté de sa femme. Récemment, cet homme se trouvait là pendant que je prêchais, de même qu’une fois Paul prêcha toute une nuit, et cet homme tomba mort juste dans l’auditoire. Et le Saint-Esprit le ramena à la vie. Il est un témoin (voyez-vous?) de ce que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
228 Combien n’ont jamais vu frère Way et voudraient le voir? Levez la main. Vous qui ne l’avez jamais vu... Frère Way, voudriez-vous vous lever? Voici l’homme; il tomba mort à peu près à l’endroit où il se trouve juste maintenant. Voici son épouse, une infirmière diplômée, qui se tient juste là. On ne pouvait plus percevoir son pouls, ses yeux étaient révulsés et son visage était sombre : une crise cardiaque.
229 Le docteur lui avait dit qu’il souffrait du coeur. J’avais vu cela auparavant, grâce au discernement, il n’y a pas longtemps, et je lui avais dit qu’il avait un problème de coeur. Et alors tout à coup, son coeur s’arrêta; il tomba et voilà qu’il était étendu là, parfaitement mort. Cela fait environ six ou huit fois que j’ai vu le Seigneur Jésus ressusciter les morts.
230 Je L’ai vu le faire, et Il peut le faire ce soir. Maintenant, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle, pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus-Christ. Soyez respectueux, observez. Je veux vous parler, madame. J’ai prêché. Voyez-vous? C’est simplement pour saisir votre esprit. C’est exactement ce que je fais. Vous voyez?
231 Il y a quelque chose en vous, une vie, sinon vous ne vous tiendriez pas là. Vous seriez simplement un corps étendu mort, et vous n’auriez pas de vie en vous. Mais, étant donné qu’il y a une vie dans cette chair, elle vous contrôle. Vous voyez? Et maintenant, même vos pensées, ce que vous pensez, les paroles que vous prononcez, et tout le reste, c’est de cela que vous vivez. Voyez-vous? C’est ce que vous êtes, ce sont vos paroles, vos pensées tout ce que vous êtes.
232 Maintenant, nous sommes – nous sommes ici des croyants. Maintenant, le Saint-Esprit... C’est comme Jésus qui dit à la femme: «Apporte-Moi à boire.» Et quand elle apporta... Elle dit: «Eh bien, Tu – Tu ne devrais pas me demander cela. Je suis – je suis une Samaritaine. Toi, Tu es – Tu es un Juif. Il n’est pas d’usage que nous ayons des relations entre nous; d’aucune – d’aucune manière nous ne nous parlons.» Maintenant, mais bien sûr, nous sommes tous les deux des gentils. Et nous sommes ici, croyant simplement en Dieu. Eh bien, si Son Esprit vient par moi pour un don et peut vous dire ce qui... alors vous saurez si c’est juste ou pas, parce que vous l’aurez vécu; alors – alors vous avez un don pour le croire. Et si vous croyez cela et qu’Il vous dise ce que c’est, alors ce sera entièrement terminé et cela marchera pour chacun ici.
233 Maintenant, que tous soient très respectueux. Et la dame souffre de quelque chose qui ne va pas dans sa gorge. C’est une affection de la gorge. Si c’est juste, levez la main. Or, je ne l’ai jamais vue de ma vie. C’est vrai. C’est pour cela qu’elle est ici, c’est afin que je prie pour sa gorge. Maintenant, juste au moment, à l’instant où je l’ai dit, ou juste avant, elle était – elle a su que quelque chose était près. Quelque chose s’est approché juste à ce moment-là. Vous pouviez voir son émotion, comme une sensation très douce... ?…
234 La Lumière que vous avez vue sur cette photographie... Où êtes-vous George? Cette Lumière qui était sur la photographie se trouve juste au-dessus de cette femme en ce moment même. Voyez-vous? C’est une autre dimension. Elle est une croyante, pas une soi-disant croyante; c’est une croyante. Maintenant, étant donné que vous êtes une croyante, croyez-vous que je sois Son serviteur et Son prophète? Vous devez être une croyante pour le savoir. Croyez-vous qu’Il puisse vous dire d’autres choses que vous avez sur le coeur? Très bien. Voici quelque chose que vous avez sur le coeur: c’est quelqu’un pour qui vous priez, un enfant. Croyez-vous qu’Il puisse me dire ce qui ne va pas en lui?
235 Il a un virus. Est-ce vrai? Croyez-vous que Dieu puisse me dire qui vous êtes? Vous êtes Mme Walker. Vous n’êtes pas d’ici; vous venez du Sud, de la Géorgie. Retournez à la maison guérie. Jésus-Christ vous a guérie...?... Ne soyez plus inquiète, c’est terminé. Que Dieu vous bénisse, soeur...?...
236 Bonsoir. Maintenant, voici une autre dame. Je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue. Ce n’est qu’une femme qui se tient là. Maintenant, regardez. Je prêche depuis 20 heures environ, et il est maintenant 22 heures. Cela fait deux heures que je suis ici. Ce seul discernement m’a affaibli plus que deux heures de prédication. Voyez-vous, c’est... Voyez-vous? Vous dites: «Vous voulez dire...» Oh oui! Cette femme toucha le bord de Son vêtement, Il dit: «J’ai senti qu’une vertu est sortie de Moi», de la force. Est-ce vrai? C’est ce que cela provoque.
237 Maintenant, voici une femme que je n’ai jamais vue. Billy est allé là-bas, si vous avez remarqué quelque chose, et a pris ce garçon que nous avons ici avec nous, George. Il est baptiste. Je voudrais qu’il voie que ce dont nous parlons vient de Dieu. Son père, sa famille, sont de braves gens. Ils sont au Mexique : un missionnaire, un brave homme. Et son père est aussi malade. J’attends simplement qu’il vienne. Maintenant, George, observe attentivement. Maintenant, cette dame, je – je ne la connais pas, je – je ne l’ai jamais vue. Je suppose que nous sommes étrangers l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Mais alors, le Saint-Esprit, la douceur de Jésus est présente; nous en témoignons tous.
238 Maintenant, si le Seigneur Jésus me révèle quelque chose à votre sujet... Maintenant, si je pouvais vous guérir, je le ferais. Mais je ne peux pas faire ce qu’Il a déjà fait. Seulement, s’Il était debout, ici ce soir, portant ce complet qu’Il m’a donné, eh bien, Il – Il ne pourrait pas vous guérir, parce qu’Il l’a déjà fait. «Par Ses meurtrissures nous avons été guéris.» Mais la seule chose qu’Il... pour déclarer Lui-même par la Parole qu’Il a promise, et vous faire voir qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement... Et Il a promis de le faire.
239 Maintenant, s’Il m’utilise pour vous dire la raison pour laquelle vous êtes ici, utiliseriez-vous votre foi en Lui pour croire que vous recevrez ce que vous avez... ce pour quoi vous êtes ici? De tout votre coeur ? Très bien. Puisse le Seigneur l’accorder. Je vois que la dame a quelque chose qui ne va pas. Un examen a révélé que c’était une hernie à l’estomac. C’est juste. C’est vrai; oui, oui, une hernie à l’estomac.
240 Croyez-vous que Dieu puisse guérir cette hernie? Vous... Tout ce que vous... Que Dieu vous bénisse. Eh bien, maintenant, vous n’êtes pas d’ici; cela a été un grand sacrifice de venir ici. Ça l’était. Vous venez du Tennessee. C’est vrai. Mme Harnes, rentrez chez vous; ne doutez pas. Vous serez guérie, si vous pouvez croire.
241 Bonsoir, madame. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Je vous ai peut-être vue quelque part dans une réunion, vous m’avez peut-être vu, mais je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Croyez-vous que je sois Son serviteur et que la Parole que j’ai prêchée est la vérité? Eh bien, étant donné que je vous suis étranger et que vous avez cru la Parole que je vous ai prêchée, la seule chose que... L’une de ces personnes vous a donné une carte; l’un des diacres, mon fils ou quelqu’un d’autre vous a donné une carte. Votre numéro a été appelé et vous voici. C’est tout ce que je sais. Mais vous êtes ici souffrant de nervosité. Cela vous dérange beaucoup. Vous avez quelqu’un avec vous. Vous avez quelqu’un pour qui vous priez. C’est un – c’est votre mari, et il a un problème spirituel, il n’arrive pas à surmonter le... ?… Et vous avez un enfant qui est aussi malade. Vous n’êtes pas d’ici, mais vous venez du Nord. Vous êtes du Canada, de l’Alberta. C’est vrai. Croyez-vous que je sois le prophète de Dieu et que ce que je dis est la vérité? Rentrez chez vous et vous recevrez ce que vous avez...?... Croyez, que Dieu vous bénisse, madame.
242 Je vous suis étranger. Vous m’êtes étrangère. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Croyez-vous que je sois Son serviteur? De tout votre coeur ? Je ne vous connais pas, je ne sais rien à votre sujet. Si je pouvais vous guérir, je le ferais; mais je – je ne le peux pas. Je – je ne suis pas un guérisseur. Je ne suis qu’un homme, mais Lui est Dieu. Je suis juste un peu troublé, parce qu’il y a une femme plus âgée entre moi et vous. C’est quelqu’un pour qui vous priez. Oui, c’est votre mère, et elle souffre d’hypertension. Et vous avez une – une infection des reins. C’est vrai. Le croyez-vous? Votre mère n’est pas ici, mais quand vous irez vers elle, prenez le foulard que vous avez autour du cou, mettez-le sur votre mère, ne doutez pas, et l’hypertension la quittera et votre infection sera finie. Allez et croyez maintenant...?...
243 Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Maintenant, vous voyez, je regarde à travers l’auditoire et cela semble comme si cela – cela commence à devenir comme un peu flou là-bas.
«Les choses que Je fais, vous les ferez aussi.» Il a fait plus de choses ici ce soir qu’il – de ce genre, que pendant tout le voyage de Sa vie. C’est vrai.
244 Maintenant, cette dame, ici. C’est une jeune dame… Je ne la connais pas. Elle m’est étrangère. Mais croyez-vous que je suis Son serviteur? Maintenant, juste un instant. Un homme vient devant moi. Eh bien, quelqu’un dans l’auditoire. Maintenant, juste un instant. Quelqu’un dans l’auditoire qui est parti d’ici juste à ce moment-là. Cette Lumière est partie d’ici, et il y avait un homme debout près d’Elle. C’est quelque part dans l’auditoire. Ne vous inquiétez pas, ayez bon courage! Revenons de nouveau à la dame et voyons.
245 Maintenant, si le Seigneur Dieu... Cela fait six ou sept personnes, quelque chose comme ça, qui ont passé dans la ligne pendant le discernement. Et si le Seigneur Jésus me révèle, révèle à cette femme ce qui ne va pas chez elle, cela amènerait-il le reste d’entre vous à croire de tout votre coeur? Pourriez-vous accepter Christ sur cette base? Voyez-vous? Une fois devrait le prouver. Trois fois est une confirmation, et il s’agit de dizaines de milliers de fois, sans qu’une seule fois cela ait été faux.
Vous n’êtes pas ici pour vous-même; vous êtes ici pour un homme. Et je le vois assis, la tête inclinée. Il fume une cigarette, et vous priez pour que la cigarette le quitte. C’est le... Puisse le Seigneur Dieu vous accorder votre requête, soeur. Allez, croyant de tout votre coeur, et puisse cette habitude démoniaque quitter votre mari au Nom du Seigneur Jésus.
246 Vous souffrez du dos. Croyez-vous que Dieu va le guérir? Vous le croyez? Très bien. Allez et dites: «Merci, Seigneur.»
Je connais cette femme. Je crois que c’est la fille de Mme Neese, n’est-ce pas vrai? Je pensais que c’était elle. Que Dieu vous bénisse. Votre mal de dos vous quittera maintenant, vous pouvez partir et être guérie.
247 Croyez-vous que Dieu puisse guérir cette arthrite et vous rétablir? Allez, dites-Lui que vous croyez en Lui. Croyez de tout votre coeur.
248 Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que Dieu puisse guérir ce problème d’estomac et vous rétablir? Très bien. Alors allez et dites: «Merci Seigneur, je – je vais être guéri», et – et vous serez guéri.
249 Un autre cas d’arthrite et c’est aussi l’âge. Croyez-vous que Dieu va vous guérir si je vous impose les mains? [«Il l’a fait plusieurs fois quand vous avez posé...?... mon frère – N.D.E.] Vous entendez cela? Que le Seigneur bénisse ma soeur, et la délivre de nouveau ce soir. Amen. Eh bien, croyez simplement.
250 Une maladie de coeur et une maladie d’estomac. Croyez-vous que Dieu puisse guérir cela? Très bien. Allez au Nom du Seigneur Jésus. Puisse-t-Il vous guérir.
Bonsoir jeune homme. L’asthme. Croyez-vous que Dieu puisse guérir l’asthme? Allez, croyez cela. Il le fera. Très bien.
251 Le diabète. Croyez-vous que Dieu puisse guérir votre sang et vous rétablir ? Allez, croyez en Lui Il fera cela.
252 Croyez-vous cela de tout votre coeur? Et si je ne vous avais rien dit et que je vous avais simplement imposé les mains, croiriez-vous que le Saint-Esprit est ici pour vous guérir? C’est ainsi qu’il faut faire. Venez ici. Au nom de Jésus-Christ, puisse-t-il partir et être guéri. Amen.
253 Venez, madame. Si je ne vous disais rien, croiriez-vous que Dieu vous guérirait de cette tou – ... féminin? Oh, excusez-moi, Il l’a déjà dit. Continuez votre chemin. Que Dieu vous bénisse. Allez – allez en croyant et soyez guérie.
254 Croyez-vous, monsieur, de tout votre coeur? Dieu guérit le coeur malade, n’est-ce pas? Il guérit les hommes. J’en suis sûr. Il – Il est Dieu. Le croyez-vous? Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez foi en Dieu.
255 Un homme par ici a fait quelque chose il y a quelques minutes. Je veux savoir de quoi il s’agit. C’est... de sang. Quelqu’un... comme un accident ou quelque chose qui est arrivé, cela saignait. C’était quelque part. L’homme était debout, ici. J’ai simplement prié... Oui, c’est ça. C’est un homme qui est assis... Ça alors, c’est J.T. Parnell! Je connais ce gars. Vous avez une hémorragie interne, J.T. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Très bien. Alors cela va cesser, J.T. Croyez de tout votre coeur.
256 La petite dame qui est assise juste là, qui regarde de l’autre côté, assise à côté de frère Grimsley. Il y a une Lumière pour elle. Vous, avec le petit col blanc... Mary, je ne vous connais pas, mais c’est cela votre nom. Vous êtes embêtée par un problème spirituel. Et vous êtes aussi très nerveuse. Oubliez ça. Tout sera en ordre. Croyez de tout votre coeur. Ayez foi en Dieu. Si seulement vous pouvez croire.
257 La petite dame qui est assise juste là, dans la rangée du fond, de ce côté-là. Elle vient du Michigan. Elle souffre d’un trouble féminin. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Vous pouvez donc avoir ce que vous demandez. Le croyez-vous? Amen. Levez la main et dites: «Je l’accepte.» Très bien. Vous pouvez aller à la maison et être guérie. Je ne connais pas cette dame, mais Dieu la connaît.
258 Qu’en est-il de vous, ici sur cette civière? Vous êtes le seul estropié ou le seul homme sur une civière. Je vous suis étranger. Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît, mais je dis maintenant que l’ombre de la mort est sur vous. Vous avez le cancer. Vous venez de loin. Vous venez de Cincinnati, là. Vous vous appelez M. Hawk. Croyez de tout votre coeur. Si vous restez là, vous mourrez. Acceptez Jésus-Christ et soyez guéri. Croyez-vous en Lui? Alors, levez-vous de ce brancard et acceptez Jésus-Christ.
259 Combien ici croient en Lui en cet instant? Croyez-vous de tout votre coeur? Alors, que chacun se lève à l’instant. Levez-vous. Maintenant, à votre manière à vous, la manière dont vous priez, posez la main sur quelqu’un à côté de vous.
Où est soeur Brown? Elle est ici, souffrant de ce... L’autre jour, elle m’a appelé au téléphone, et elle ne pouvait pas lever les mains. J’ai vu qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas dans son sang. Quand je l’ai rencontrée l’autre jour... Elle a le diabète. Où est-elle? Elle était ici avec Mme Dauch, il y a quelques instants. Très bien, Soeur Brown, ce soir je veux que vous croyiez de tout votre coeur. Je sais que vous savez ce qui ne va pas chez vous. Mais je veux que vous croyiez. Vous êtes sortie de l’hôpital pour venir ici, voyez-vous, afin que l’on prie pour vous. Je prie pour vous, maintenant. Croyez, vous serez guérie.
260 Margie, ayez foi en Dieu. Cela va vous quitter à l’instant, ce sera fini. Il peut guérir le diabète, Il peut vous guérir de cette maladie d’estomac. Très bien. Que chacun de vous impose les mains à quelqu’un d’autre, et les garde là juste une minute. Imposez-vous simplement les mains les uns aux autres. Gardez-les ainsi.
261 Voyez-vous, il est bientôt 23 heures; beaucoup de ces personnes doivent rouler jusqu’au Tennessee et à différents endroits. Assurément, le Seigneur Dieu a prouvé...
Qu’avez-vous vu ce soir? Avez-vous vu un homme ou avez-vous vu Jésus? Jésus qui confirme Sa Parole. Ces mouchoirs qui sont ici, pendant que cette onction est sur moi, j’ai posé mes mains dessus, priant que le Dieu Tout-Puissant... Il est dit qu’on prenait des linges et des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul. Il y a ici ceux qui étaient morts et qui ont été ressuscités. Il y a ici ceux qui ont eu des accidents, qui ont été écrasés et qui sont guéris. Il y a...
262 Je vois ici Mlle Wilson, qui, il n’y a pas longtemps, était mourante à cause d’hémorragies provoquées par la tuberculose, cela fait des années. La voici ici ce soir. Les médecins ne lui avaient donné que quelques heures à vivre. Elle se tient ici ce soir. Partout ici, il y a des gens qui étaient boiteux, aveugles, estropiés, dans des fauteuils roulants, et tout le reste, et qui se tiennent ici ce soir, comme des trophées vivants. Pourquoi cela? Jésus-Christ vit. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
263 Cet homme dont j’ai donné le témoignage il y a quelque temps, là-bas qui avait l’épilepsie depuis toutes ces années et tout... et à sa seule occasion à la réunion, il y a environ vingt ans de cela, il n’a plus jamais eu de crise depuis. C’est un cas sur des dizaines de milliers. Il est Celui qui guérit. Amen.
264 Il guérit. Maintenant, ne soyez pas excités. Ayez simplement cette foi d’enfant et tournez vos regards vers le Calvaire. Fermez les yeux et oubliez que vous êtes dans ce tabernacle. Fermez les yeux et oubliez qu’il y a quelqu’un à côté de vous, et regardez à Jésus et voyez.
Regarde maintenant à Jésus et vis.
C’est écrit dans la Parole. Alléluia!
Il faut seulement que nous regardions pour vivre.
Oh, regarde et vis, mon frère, vis.
Regarde maintenant à Jésus et vis.
C’est écrit dans la Parole. Alléluia!
Il te faut seulement regarder pour vivre.
265 Fermez les yeux sur l’homme. Fermez les yeux sur tout ce qui vous entoure, et regardez par votre foi à Jésus-Christ et sachez qu’Il fut blessé pour vos péchés, que par Ses meurtrissures vous êtes guéris.
Seigneur Jésus, alors que ces gens prient et qu’ils ont imposé les mains les uns aux autres, et que nous sommes – nous nous rendons compte que nous nous tenons dans la Présence de Jésus-Christ, vivant et ressuscité sous la forme du Saint-Esprit, nous révélant les secrets de nos coeurs, nous faisant connaître nos désirs, et nous promettant qu’Il nous donnera ce que nous désirons, si seulement nous croyons. Des hommes et des femmes ont leurs mains posées les uns sur les autres. Ils prient, parce que nous sommes des concitoyens du Royaume de Dieu. Nous sommes des frères et des soeurs de Jésus-Christ.
266 Et, Satan, nous venons vers toi te lancer un défi au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Il est l’Epée. Il est Celui qui coupe la maladie. Il est Celui qui coupe le doute. Il est le Vainqueur.
267 Maintenant, Satan, nous t’adjurons au Nom de Jésus-Christ de sortir de ces gens. La Parole de Dieu est manifestée. Elle circoncit, Elle ôte le doute, elle ôte la maladie et apporte une parfaite délivrance. Nous prions que le Saint-Esprit tombe sur ces gens et leur donne la puissance de la foi pour croire que la Présence du Christ omnipotent est ici maintenant.
Accorde-le Seigneur. Je condamne chaque maladie.
268 Je condamne toute affection, je condamne toute incrédulité au Nom de Jésus-Christ. Puisse le Saint-Esprit honorer ce que j’ai dit, balayer ce bâtiment et délivrer chaque personne qui est dans Sa divine présence.
Maintenant, levez les mains et louez-Le. Je vous déclare bien portants guéris, au Nom de Jésus.