La Communion

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La Communion - Shp
Date: 65-1212 | La durée est de: 34 minutes | La traduction: VGR
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1 C’est un message émouvant, que Frère Pearry vient de nous apporter, de la Parole de Dieu. Combien il est vrai que “nous limitons Dieu et que nous fixons un temps à Dieu, alors qu’Il est Éternel, nous ne pouvons pas faire ça”. Ce soir, donc, nous abordons quelque chose d’autre maintenant, c’est la communion.

2 Trois ans durant, j’ai attendu de voir une église s’établir à Tucson, mais la voici. Oui, nous sommes–nous sommes là. Alors, nous remercions le Seigneur, Il nous a tout simplement laissés attendre jusqu’au point où nous pouvons maintenant l’apprécier.

3 Maintenant, il y a une chose que j’aimerais dire juste avant que nous commencions la communion, c’est ceci: je crois que nous en avons vu assez, dans notre jour, où nous vivons, pour que nous devions vraiment donner (chaque) tout notre être à Dieu. Nous–nous devrions vraiment servir Dieu. Je crois qu’Il nous a bénis, par la réponse directe à l’Écriture. Comme Frère Pearry l’exprimait, il y a quelques instants, nous–nous en sommes–nous en sommes à ce temps-là. Nous ne sommes pas aveugles, nous–nous–nous voyons que nous en sommes là, nous–nous sommes arrivés là.

4 Et aussi, nous pouvons regarder partout, et constater comment l’esprit humain est en train de quitter les gens. Alors, nous–nous ne pouvons pas rester encore longtemps, nous serions en plein asile de fous, le monde entier y serait. Voyez? Donc, nous–nous sommes au temps de la fin.

5 Maintenant, comme Frère Pearry le disait, à la fin, là: en voyant que ces choses sont vraies, de voir qu’elles sont vraies, que ce ne sont pas des mythes. Ce n’est tout simplement pas quelque chose que nous imaginons. C’est quelque chose qui nous a été donné directement par la Parole de Dieu et qui a été manifesté publiquement devant nous, alors nous savons que nous en sommes là. Nous–nous ne savons pas combien de temps encore, maintenant, parce que ce serait encore de se référer à une montre, vous voyez, à l’heure qu’il est. Mais nous... nous savons que nous–nous en sommes là, nous sommes arrivés à ce temps. Si c’est selon le temps de Dieu, j’imagine que...

6 Quelqu’un présentait une petite analyse, à un moment donné, où il disait que si Dieu l’avait supporté selon... S’Il devait répartir le temps, mille–mille ans ne sont qu’un jour. Alors, si un homme vivait jusqu’à l’âge de soixante-dix ans, ça ne représenterait que quelques minutes selon le temps de Dieu. Voyez? Eh bien, et il disait que si c’était quarante ans, ça ne représenterait même pas, à peine, le temps qu’Il mettrait à battre des paupières. Voyez? Voyez-vous, vraiment, voilà combien c’est rapide, tout ça, si le temps devait être réparti; mais pour Lui le temps n’existe pas. Alors, Il est tout simplement Éternel.

7 Je crois que c’était Sara là-derrière... ou, non, Joseph, l’autre soir, qui me disait, à moi et à Frère Pearry, il disait: “Papa, où, quand Dieu a-t-Il commencé à exister? D’où est-Il venu?” Voyez? “Forcément qu’Il a eu un commencement, n’est-ce pas? N’a-t-Il pas dû avoir un commencement?”

8 J’ai dit: “Non. Tout ce qui a un commencement a une fin, mais c’est ce qui n’a pas eu de commencement qui n’a pas de fin.” Mais, naturellement, pour lui qui a dix ans, c’était vraiment une–une assez grosse bouchée à avaler, ça. Voyez? Et, comment pourrait-il recevoir ça, de savoir que quelque chose n’a jamais eu de commencement? Non seulement pour lui, mais aussi pour moi. Alors, voyez-vous, c’est vraiment une dose très forte pour moi: comment tout ça a bien pu commencer.

9 Maintenant nous nous apprêtons à observer quelque chose ici, qui est vraiment sacré.

10 J’ai été appelé il y a quelques jours, à rencontrer des hommes très bien, des Chrétiens, qui–qui n’ont jamais pris ceci; et il avait entendu dire que nous prenions littéralement la communion. Eux, ils prennent ce qu’ils appellent la “communion spirituelle”. Et, bon, pour ce qui est d’une communion, là-dessus je dirais “d’accord”, parce que communiquer, c’est “parler à”, voyez-vous. Et le frère m’a indiqué ce passage de l’Écriture, il a dit: “Frère Branham, ne pensez-vous pas, là...”

11 Maintenant, la raison pour laquelle je dis ceci... C’est en ordre, Frère Pearry? [Frère Pearry Green répond: “Bien sûr.”–N.D.É.] Voyez-vous, la raison pour laquelle je dis ceci, c’est pour que vous compreniez ce que vous faites. Vous ne... si vous entrez aveuglément dans quelque chose, vous ne savez pas où... ce que vous faites. Vous ne pouvez même pas avoir confiance, si vous ne savez pas ce que vous faites. Mais vous devez comprendre ce que vous faites, et pourquoi vous le faites.

12 Il disait: “Maintenant, si nous prenons la Parole de Dieu, n’est-ce pas Dieu que nous prenons?”

13 J’ai dit: “Tout à fait exact, monsieur. C’est vrai. Mais nous lisons ici qu’ils ont réellement... Paul a enseigné de prendre le souper du Seigneur littéralement. ‘Faites ceci en mémoire de Moi’, a dit Jésus. ‘Toutes les fois que vous le prenez en mémoire de Moi, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’Il vienne.’” Voyez? Donc, nous devons le prendre.

14 Nous comprenons que c’est saint Paul qui a établi cela dans l’Église, puisqu’il était le prophète du Nouveau Testament. Pierre, Jacques, Jean, eux tous, ils ont écrit (eh bien, Matthieu, Marc, Luc) comme des scribes, ce que Jésus avait fait. Mais Paul a mis la chose en ordre, il était le–il était le prophète du Nouveau Testament. Tout comme Moïse était allé au désert recevoir l’inspiration pour écrire les–les cinq Livres de–de... les cinq premiers Livres de la Bible, eh bien, Paul aussi est allé au désert et a reçu de Dieu l’inspiration pour mettre l’Église du Nouveau Testament en ordre, et En montrer le type avec l’Ancien.

15 Alors que là, ce qu’ils avaient, c’était l’agneau du sacrifice, c’est ce qu’Israël observait à titre commémoratif. En fait, il n’avait été utilisé qu’une fois, à leur sortie de l’Égypte. Mais ensuite, ils ont observé ça à titre commémoratif tout au long de l’âge. Eh bien, “si la loi, qui est une ombre des choses à venir”, vous voyez.

16 Or, ce que je crois, c’est que la communion (ce que nous, nous appelons la “communion”, là), c’est de... c’est “le souper du Seigneur”.

17 Maintenant, nous avons seulement trois ordonnances naturelles Divines qui nous ont été laissées: l’une d’elles, c’est–c’est la communion; le lavement des pieds; le baptême d’eau. Ce sont les seules trois choses. C’est la perfection, dans ces trois-là, voyez-vous. Ce sont les seules trois ordonnances que nous avons. Nous comprenons bien que c’est ce qui a été institué par saint Paul dans le Nouveau Testament.

18 Maintenant, si nous disions que “la communion devrait consister seulement à recevoir la Parole” – je ne crois pas que qui que ce soit ait le droit de prendre le souper du Seigneur avant d’avoir reçu la–la Parole du Seigneur dans son coeur. Voyez? En effet, je vais... je vais vous lire quelque chose dans quelques instants, et vous verrez. Maintenant remarquez. Alors, dans ce cas, pourquoi est-ce que nous... nous serions...

19 Dans ces conditions-là, nous pourrions absolument justifier l’Armée du Salut. Ils ne croient en aucune forme de baptême d’eau, ils disent: “Nous n’en avons pas besoin.” Maintenant, si nous n’avons pas besoin du baptême d’eau, pourquoi sommes-nous baptisés? Ils disent: “L’eau ne peut pas vous sauver, c’est le Sang qui vous sauve.”

20 Je suis d’accord là-dessus. C’est–c’est exact, c’est le Sang qui vous sauve, et non pas l’eau. Mais nous devons prendre l’eau, c’est une manifestation extérieure pour exprimer qu’une oeuvre de la grâce a été accomplie à l’intérieur. Voyez? Et c’est aussi ce que nous devons faire quant à la communion.

21 Une fois que nous avons reçu en nous le Seigneur, notre Sacrifice, en nous par une Naissance spirituelle, et, Son Corps, que nous vivons par Lui, par la Parole, nous devrions aussi le symboliser, parce que c’est un commandement. “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour la rémission de vos péchés.”

22 Paul a dit: “J’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où Il fut livré, prit du pain, le rompit et le donna aux disciples, et–et Il dit: ‘Prenez et mangez, faites ceci en mémoire de Moi.’ Car toutes les fois que vous mangez ce pain, vous annoncez Sa mort, jusqu’à ce qu’Il vienne.” Or, nous voyons qu’il y avait là des gens qui y venaient et...

23 Ce précieux frère, un très cher frère, il est venu, et il disait: “Je ne l’ai jamais–je ne l’ai jamais prise, Frère Branham, je ne comprends pas ce que c’est.” Il disait: “On m’a enseigné l’autre point de vue.”

24 J’ai dit: “Mais souvenez-vous, nous sommes prêts à accepter que saint Paul a mis cela en ordre dans l’Église chrétienne primitive. Ils allaient d’église... de maison en maison, ils rompaient le pain avec simplicité de coeur, et ainsi de suite. Or,” j’ai dit, “il a effectivement établi cela dans l’Église. Dans Galates 1.8, il a dit: ‘Si un ange du ciel venait et qu’il dise quoi que ce soit d’autre, qu’il soit anathème’, vous voyez, voyez-vous, celui-là même qui les a fait être rebaptisés, à nouveau, après le baptême de Jean, être baptisés au Nom de Jésus-Christ.”

25 Vous voyez, il y a trois choses que nous devons–trois choses que nous devons accomplir comme symboles: le souper du Seigneur, le lavement des pieds, le baptême d’eau. Voyez? Il y a...

26 Vous dites: “Eh bien, le...” Maintenant, l’Armée du Salut, l’argument sur lequel ils s’appuient: “Le voleur mourant, quand il est mort, il n’avait pas encore été baptisé; Jésus a dit qu’il serait au Ciel.” C’est l’exacte vérité. C’est exact. Mais, vous voyez, il–il–il n’a reconnu Jésus que là même, à l’heure de sa mort. Voyez? C’est la seule–c’est la seule occasion qu’il a eue. Il–il était un voleur, il était éloigné, il n’était pas dans la course. Et il... aussitôt qu’il a vu cette Lumière, il L’a reconnue: “Seigneur, souviens-Toi de moi!” Et Jésus... C’était vrai.

27 Mais pour vous et moi qui savons que nous devons être baptisés, et qui refusons de le faire, alors ce sera entre vous et Dieu. Même chose pour la communion!

28 Maintenant, quand nous prenons cette communion, ce n’est pas simplement une question de dire: “Je m’avance, là, et je vais manger du pain, et je croirai que je suis un Chrétien.” Mais, si vous l’avez remarqué, la Bible a dit: “Celui qui mange et boit indignement sera coupable envers le Sang et le Corps du Seigneur.” Voyez? Vous devez mener une vie qui–qui... devant les gens, qui... et devant Dieu et les gens, qui montre que vous êtes–que vous êtes sincère.

29 Maintenant, juste un moment encore. Maintenant, dans l’Ancien Testament, alors que le sacrifice avait été établi comme–comme précepte, ou comme ordonnance. Et il en est de même pour le baptême d’eau, c’est une ordonnance; de même, le lavement des pieds est une ordonnance; de même, le souper du Seigneur est une ordonnance. “Heureux celui qui pratique toutes Ses ordonnances, qui observe tous Ses préceptes, tous Ses commandements, afin d’avoir droit d’entrer dans l’Arbre de la Vie.”

30 Maintenant, remarquez ceci, là, c’est qu’au début, quand c’était devenu une ordonnance de Dieu, d’apporter un sacrifice à l’église, et, au temple et à l’autel, et de présenter son offrande et–et, pour ses péchés, le sacrifice d’un agneau. Eh bien, je peux alors me représenter un frère Juif qui descend la route, il sait qu’il est coupable, et il va à l’autel, ou, il apporte son boeuf bien gras, ou un taureau, ou ce qu’il avait, soit un bélier, un agneau, quelque chose. Il l’avait amené avec lui, sur la route, il était venu aussi sincèrement que possible, il s’avançait là, en observant l’ordonnance de Dieu aussi sincèrement que possible.

31 Ensuite, il posait ses mains dessus, en confessant ses péchés, et le sacrificateur plaçait ça (ses péchés) sur l’agneau, et l’agneau était égorgé, et–et alors il mourait à sa place. Pendant qu’il était là, que le petit agneau s’agitait et saignait, ses mains étaient couvertes de sang, et ça giclait partout sur lui (alors que le petit agneau bêlait, agonisant), il se rendait alors compte qu’il avait péché et que quelque chose devait mourir à sa place. Par conséquent, il offrait la mort de cet agneau à la place de sa propre mort. Voyez-vous, l’agneau mourait à sa place. Cet homme le faisait alors avec sincérité, du fond de son coeur.

32 Finalement, ça s’est répété maintes et maintes fois, maintes et maintes fois, ça a continué comme ça, jusqu’à ce que finalement ça devienne une tradition. Le commandement de Dieu était devenu une tradition pour les gens. Et alors, le voici venir: “Eh bien, voyons voir, aujourd’hui c’est tel jour, peut-être que je ferais mieux d’y aller. Oui, je ferais mieux d’offrir un–un taureau.” Il y allait: “Eh bien, Seigneur, voici mon taureau.” Voyez-vous, il n’y a pas de sincérité là-dedans, c’est fait sans comprendre.

33 Or, nous ne voulons pas prendre la communion de cette façon-là. C’est la même chose quand nous venons à la table du Seigneur.

34 Ésaïe 35... non, excusez-moi, Ésaïe 60... Laissez-moi reprendre ça. Je–je–je crois que c’est Ésaïe 28, c’est là que nous trouvons ceci. Je suis assez sûr que c’est bien ce chapitre-là. Il a dit: “C’est précepte sur précepte, et règle sur règle, sur règle, un peu ici, un peu là. Retenez ce qui est bon. Car par des lèvres bégayantes et par des langues étrangères Je parlerai à ce peuple. Et c’est ici le Repos.”

35 Il a dit: “Toutes les tables du Seigneur se sont remplies de vomissements. À qui puis-Je enseigner la Doctrine? À qui pourrai-Je faire comprendre?” Voyez? Je pense que c’était le bon passage de l’Écriture: Ésaïe 28. “À qui pourrai-Je faire comprendre la Doctrine?” Voyez-vous: “les tables”.

36 Maintenant, nous voyons aujourd’hui que cette grande chose que nous sommes sur le point d’accomplir ce soir, en commémoration de Sa mort, et de Son Corps que nous croyons que nous mangeons tous les jours, ou, que nous venons de manger pendant que notre frère nous prêchait. En recevant la Parole de Dieu, nous La croyons de tout notre coeur. Nous La voyons manifestée, nous La voyons nous être donnée, nous La voyons confirmée, nous La sentons dans nos vies. Et nous devons nous approcher de ceci en étant profondément conscients de ce que nous faisons, pas seulement parce que c’est un ordre.

37 Vous entrez dans une église, et souvent on y distribue un genre de biscuit salé, ou une espèce de–de, quelque chose qu’on met en morceaux et, du pain léger ou–ou quelque chose comme ça, et–et on met ça en morceaux; et des gens qui fument, qui boivent, et tout le reste, comme ils sont membres de l’église, ils viennent prendre le souper du Seigneur. Eh bien, ça, c’est de la souillure devant Dieu!

38 Même le sacrifice, Il a dit: “Vos jours sacrés et votre sacrifice sont devenus une puanteur à Mon nez.” Et pourtant Il leur avait prescrit d’offrir ce sacrifice. Mais à cause de la manière dont ils l’abordaient, c’était devenu une puanteur, ça Lui puait au nez (aux narines), le sacrifice même qu’Il avait prescrit.

39 C’est de cette manière-là qu’on prend la Parole de Dieu, trop de Chrétiens aujourd’hui (des soi-disant), c’est ce qu’ils font. On se tient ici et on enseigne cette Parole, et on dit que “Jésus-Christ n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement”, et on enseigne les choses qu’Il nous a promis d’honorer, et on dit: “Oh, eh bien, ça, ça s’appliquait à autre chose”, nos adorations solennelles sont tout simplement devenues une puanteur à Son nez. Il ne recevra pas cela, absolument pas. En voilà la raison: à cause de nos habitudes traditionnelles!

40 Vous ne prenez pas le souper du Seigneur par tradition. Vous le prenez à cause de l’amour de Dieu qu’il y a dans votre coeur, en observant les commandements de Dieu. Voyez-vous, c’est pour ça que vous le prenez.

41 Alors, si vous ne le prenez pas avec sincérité, que ce n’est qu’une tradition: “Eh bien, notre église prend la communion une fois, chaque dimanche, ou une fois, chaque mois, ou deux fois par an”, et que vous vous avancez là, en disant: “Bon, c’est mon tour”, et–et puis vous prenez la communion, eh bien, pour Dieu c’est une puanteur! Voyez-vous, ça, ce n’est qu’une tradition.

42 Et c’est pareil, même, pour toute autre chose: vous–vous devez être sincère. Dieu veut les profondeurs de votre coeur. Rappelez-vous, le Dieu même qui vous a amené ici sur terre, c’est Lui que vous servez. Voyez?

43 Vous faites ceci parce qu’Il l’a dit, parce que c’est Son ordre. Alors, nous voulons nous approcher avec la plus profonde sincérité, en sachant que, par la grâce de Dieu, nous avons été sauvés. Et nous–nous L’aimons et nous avons senti Sa Présence, et nous–nous La voyons changer nos vies. Notre–notre être entier est changé. Nous–nous–nous sommes des gens différents. Nous ne vivons plus comme nous vivions, nous ne pensons plus comme nous pensions.

44 C’est comme dans le Livre, ici, la partie spécifique dont nous parlions, là, les–les deux Livres qui sont Un, le Livre de Vie. Le premier Livre de vie est apparu quand vous êtes né, c’était votre naissance naturelle. Voyez? Mais alors, à un moment donné, tout au fond, là où il y avait un petit grain de Vie, comme je l’expliquais à quelques-unes des jeunes soeurs, à la maison, cet après-midi. Voyez-vous, il y a un petit grain de Vie qui se trouve là, alors, vous vous posez des questions: “D’où est-Ce venu? Que–que sont ces choses étranges?”

45 C’est ce que je disais, en citant mon exemple, comme si on disait: “William Branham, eh bien, il y a quarante ans, ce William Branham là n’est pas le même que celui de ce soir.” Si quelqu’un de cette époque-là disait: “William Branham, c’était un vrai coquin”, voyez-vous, parce que j’étais né de Charles et Ella Branham. De par leur nature, j’étais un pécheur, je suis venu au monde un menteur, et toutes les habitudes du monde étaient déjà en moi. Mais tout au fond, il y avait aussi une autre Nature qui était présente, voyez-vous, prédestinée, placée là par Dieu. Dans ce même corps, voyez-vous, deux natures à l’intérieur.

46 Eh bien, je ne m’abandonnais qu’à une seule. Au fur et à mesure qu’elle grandissait, je gazouillais comme un bébé: “Da-da.” Tout à coup, je suis devenu menteur, je suis devenu tout ce qu’un pécheur peut être, parce que j’ai grandi comme ça. Mais, tout au fond, pendant tout ce temps, il y avait une petite parcelle de Vie.

47 Je me remémorais, à l’époque, quand j’étais un petit garçon... (J’espère que je ne vous retiens pas trop longtemps. Mais sachant...) Assis là dans le... au–au bord du ruisseau, je m’asseyais là et je regardais tout autour pendant la nuit. Papa et maman, ils sont maintenant partis, ils reposent. Et à l’époque, ils étaient pécheurs, il n’y avait pas du tout de Christianisme dans notre maison. Et, oh! la la! la boisson, les fêtes, les mauvais comportements; ça me rendait malade. Je prenais ma–ma lanterne et mon chien, et je partais dans les bois, pour y passer la nuit. Pendant l’hiver, je chassais jusqu’à ce que la fête soit finie, peut-être jusqu’au matin, à l’aube. Si je rentrais à la maison, que ce n’était pas fini, il m’est arrivé de me coucher sur le toit d’une remise et d’y dormir, en attendant le lever du jour.

48 Puis, je pensais comment, des fois, me trouvant là dehors en été, je ramassais mes morceaux de bois et je les enfonçais pour faire un petit abri, pour le cas où il pleuvrait. Je me couchais là et je laissais mes cannes à l’eau, je pêchais. Mon vieux chien, chasseur de ratons laveurs, était couché là. Je me disais: “Dis donc. Tu sais, l’hiver passé j’ai campé juste ici un soir, j’avais allumé un feu à cet endroit pendant que j’attendais que mon vieux chien force une bête à se réfugier dans un arbre, j’avais fait un feu ici. Le sol était gelé jusqu’à une profondeur de 5 pouces [douze centimètres soixante-dix]. Mais toi, petite fleur, d’où es-tu venue?” Voyez? “Eh bien, d’où–d’où es-tu venue? Qui est venu ici et t’a plantée? Et dans quelle serre chaude t’a-t-on fait épanouir? Ou–ou, qu’en est-il? D’où es-tu venue?” Voyez? À cette petite fleur, je disais: “Eh bien, le sol était gelé et tout, et j’avais allumé un feu dessus, ici. En plus de cet élément, du gel, il y a eu un autre élément, la chaleur, sur une espèce de grosse bûche, là où je t’ai brûlée. Et pourtant, te voilà, tu es vivante. D’où es-tu venue?”

49 Qu’est-ce que c’était? Il y avait un autre William Branham. Voyez? Une parcelle de Vie Éternelle là au fond, provenant des–des–des gènes de Dieu, la Parole de Dieu qui avait été placée là. Chacun de vous peut se rappeler des choses semblables. Voyez-vous, Elle était à l’oeuvre.

50 Ensuite, je levais les yeux vers les arbres, et je pensais: “Toi, feuille, je t’ai vue tomber l’année passée, et comment se fait-il que tu sois revenue là? D’où es-tu venue? Qu’est-ce qui t’a amenée ici?” Voyez-vous, c’était cette Vie Éternelle qui était à l’oeuvre dans le corps.

51 Alors, un jour, là, comme je continuais ma marche, cette Voix a parlé: “Ne fume jamais, ne bois jamais, et ainsi de suite.” Et les jeunes gens et tout grandissaient. Voyez-vous, il y avait Quelque Chose qui agissait.

52 Cependant, tout d’un coup j’ai levé les yeux et j’ai dit: “Je ne suis pas le fils de Charles et Ella Branham. Il y a Quelque Chose qui appelle.” C’est comme mon petit aigle: “Je ne suis pas un poulet, il y a Quelque Chose là-haut, quelque part. Ô Grand Jéhovah, Qui que Tu sois, ouvre! Je veux revenir à la maison. Il y a Quelque Chose en moi, qui appelle.”

53 Alors je suis né de nouveau. Cette petite Vie qui se trouvait là, la vie de l’eau a été déversée sur Elle, et alors Elle s’est mise à croître. [Frère Branham fait claquer ses doigts trois fois.–N.D.É.] Maintenant cette ancienne vie a été pardonnée, jetée dans la mer de l’oubli de Dieu, pour ne plus jamais être rappelée à ma charge. Voyez? Maintenant nous nous tenons, justifiés (comme si nous n’avions jamais péché), dans la Présence de Dieu.

54 Alors, quand nous venons à la table du Seigneur, nous devons venir avec révérence, amour et respect: “Regardez où nous nous serions retrouvés, n’eût été Lui.” Voyez? Regardez où cela aurait...

55 C’est pourquoi, Paul, je pense, quand il a dit ceci: “Ainsi, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres.” C’est-à-dire, en d’autres termes, attendez juste quelques instants, priez, examinez-vous. Et si vous savez qu’il y a un frère là, qui est sur le point de faire quelque chose de mal, ou quelque chose comme ça, priez aussi pour lui. Voyez? Voyez-vous, “attendez-vous l’un l’autre”, attendez un petit instant, priez. S’il y a quelques ressentiments entre vous, ou quelque chose comme ça, ne–ne le prenez pas–ne le prenez pas, allez d’abord arranger ça. Voyez? Allez d’abord mettre cela en ordre, parce qu’on veut venir ici avec des pensées aussi pures que possible les uns envers les autres, et envers Dieu, et l’un envers l’autre, et alors nous y venons, en communion autour de la table du Seigneur. Voyez?

56 Et nous faisons ceci, parce que nous Lui rendons des actions de grâces, et, les uns avec les autres. Nous partageons le pain entre nous, nous partageons le vin entre nous, lesquels représentent Son Sang et Sa Chair.

57 “Si vous ne mangez la Chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez Son Sang, vous n’avez point la Vie en vous-mêmes.” Voyez? Vous voyez, c’est ce que la Bible dit. Si vous ne le faites pas, il n’y a point de Vie. Vous voyez? Vous êtes alors, en fait, en train de montrer que vous avez honte de vous identifier en tant que Chrétien à cause de la vie que vous menez. Donc, ceci, c’est vraiment le moment de la confrontation. Alors, si vous ne le faites pas, vous n’avez point la Vie. Si vous le faites indignement, vous êtes coupables envers le Corps du Seigneur.

58 Il en est de même du baptême d’eau. Si nous disons: “Nous croyons en Jésus-Christ, Il nous a sauvés du péché, et nous sommes baptisés au Nom de Jésus-Christ”, eh bien, nous jetons–nous jetons l’opprobre sur Lui, si nous faisons ce qui est mal, et nous–nous devrons payer pour ça. Et, autre chose, quand nous faisons ça, nous essayons de professer une chose, tout en faisant autre chose.

59 C’est ça le problème chez nous, aujourd’hui. [Frère Branham tape une fois dans ses mains.–N.D.É.] Ce que je pense... Je dis “nous”, moi et l’église à laquelle le Seigneur Dieu m’a permis de m’adresser en ces dernières heures, car nous croyons que nous sommes au temps de la fin. [Frère Branham donne un coup sur la chaire.] Nous croyons que Dieu nous a donné un Message. Il a été ordonné de Dieu, il a été prouvé qu’Il est de Dieu, il a été démontré qu’Il est de Dieu. Maintenant nous devons nous approcher de Lui avec révérence, et avec amour, et avec–avec pureté de coeur, d’esprit et d’âme.

60 Vous savez, l’heure va bientôt arriver où–où ici au milieu de nous il y aura... le Saint-Esprit va parler, comme Il l’avait fait dans le cas d’Ananias et Saphira. Souvenez-vous, voyez-vous, cette heure arrive. Voyez? Et nous sommes... Maintenant, souvenez-vous bien de ça, voyez-vous, que Dieu va demeurer au milieu de Son peuple. C’est ce qu’Il veut faire maintenant.

61 Nous pouvons recevoir le Message, comme, disons... Si j’étais un jeune homme et–et que je cherchais une épouse, je pourrais trouver une épouse, je dirais: “Elle est vraiment parfaite. Elle est une Chrétienne. C’est une dame. Elle est tout ça, j’ai confiance.” Peu importe le degré de confiance, peu importe combien je la trouve gentille, je dois l’accepter, elle doit m’accepter; voyez-vous, sur la base de ces voeux.

62 Eh bien, nous constatons que c’est la même chose avec le Message. Nous voyons qu’Il est vrai. Nous voyons Dieu confirmer qu’Il est vrai. Il est parfaitement vrai. Année après année, année après année, Il reste toujours vrai, toujours vrai. Tout ce qu’Il dit arrive exactement tel qu’Il l’a dit. Alors, nous savons qu’Il est vrai, mais, voyez-vous, n’y allez pas du point de vue intellectuel. Si vous le faites, vous aurez une religion de seconde main. [Frère Branham donne six coups sur la chaire.–N.D.É.] Voyez? Nous ne voulons pas une religion de seconde main, quelque chose que quelqu’un d’autre a expérimenté, et nous, nous vivons de–de son témoignage.

63 Je crois que c’est Jésus qui avait dit à Pilate, quelque chose, une parole à laquelle je pensais – et c’est ce qu’Il avait dit, là – il y a quelques instants: “Qui te l’a dit?” Ou: “Est-ce que cela t’a été révélé? Comment as-tu su ces choses?”, autrement dit. Je ne me souviens plus exactement comment c’est dit, en ce moment, ça fait longtemps que je l’ai lu, mais: “Comment as-tu–comment as-tu su ça? Qu’est-ce que? Comment? Qui t’a révélé ça?” C’était au sujet de Sa qualité de Fils de Dieu. “Qui te l’a révélé? Est-ce un homme qui te l’a dit? Ou”, comme Jésus l’a dit, “est-ce Mon Père qui est dans le Ciel qui te l’a révélé?” Voyez? Voyez? “Comment l’as-tu appris? de seconde main, ou bien est-ce une révélation parfaite venue de Dieu?”

64 La communion, là, est-ce seulement quelque chose que je viens prendre, pour exécuter un ordre, en disant: “Eh bien, les autres la prennent, je vais la prendre aussi”? C’est une révélation, que je suis une partie de Lui et je suis une partie de vous, et je vous aime et je L’aime, et ensemble nous prenons ceci comme un symbole de notre amour envers Dieu, et de notre amour et de notre communion fraternelle les uns avec les autres.

65 Maintenant, je voudrais lire dans l’Écriture. Et puis, je pense... Où est-ce que... Comme Frère Pearry voudra procéder aujourd’hui. J’aimerais que vous lisiez avec moi, si vous avez votre Bible. I Corinthiens, au–au chapitre 11, et à partir du verset 23.

66 Et puis, aussi, dans notre tabernacle, nous avons toujours observé ceci et le lavement des pieds, toujours, parce qu’ils vont de pair. Je pense que le frère a annoncé ça pour mercredi soir, à cause du grand nombre des gens et de ce qu’il n’y a pas assez... la place où mettre les gens pour le lavement des pieds, ils vont observer–observer ça mercredi soir.

67 Maintenant, le verset 23 du chapitre 11 de I Corinthiens, écoutez maintenant Paul. Maintenant, souvenez-vous, et gardez ça à l’esprit, Galates 1.8: “Si nous-mêmes ou un ange du ciel vous prêche un autre évangile,” (que cet Évangile qu’il avait prêché), “qu’il soit anathème.” Voyez? Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, Et, après avoir rendu grâces, le rompit... dit: Prenez, et mangez. Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi.

68 Maintenant, je vais m’arrêter juste ici pour dire ceci: cependant, de prendre le corps du Seigneur Jésus-Christ dans cette communion ne signifie pas que cette communion est le corps littéral de Christ. Ça, c’est catholique. Je ne crois pas que cela soit vrai. Je crois que c’est uniquement une ordonnance que Dieu nous a prescrite, voyez-vous, ce n’est pas le véritable corps. C’est... En réalité, là, c’est un petit morceau de pain kascher. C’est tout simplement une ordonnance.

69 Je ne crois pas non plus que le baptême de Jésus-Christ (au Nom de Jésus-Christ) dans l’eau, pardonne vos péchés. Je ne crois pas que vous... Je crois que vous pourriez être baptisé tout au long du jour... Or, je sais qu’il y a peut-être des gens assis ici qui viennent de l’église apostolique, ou, je veux dire, de l’église pentecôtiste unie, et eux, c’est ce qu’ils enseignent. Mais, vous voyez, je–je ne crois pas que l’eau pardonne les péchés. Sinon, si c’était le cas, alors Jésus serait mort en vain. Voyez? Je crois que c’est uniquement une ordonnance de Dieu, voyez-vous, pour montrer que vous avez été pardonné. Mais pour ce qui est d’être baptisé pour la régénération, non, je–je–je ne crois pas ça. Je ne crois pas que l’eau pardonne les péchés.

70 Je ne crois pas non plus que ce pain et ce vin aient quelque chose à faire avec vous, si ce n’est d’observer une ordonnance que Dieu nous a prescrit d’exécuter. Voyez? C’est exact. Je crois que c’est la même chose pour le baptême d’eau. Je crois que nous sommes obligés de faire cela, qu’Il a fait toutes ces choses pour nous donner un exemple. Et ceci, Il l’a fait pour nous donner un exemple. Et Il a lavé les pieds pour nous donner un exemple.

71 Maintenant: “De même,” verset 25: De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois... (Souvenez-vous, maintenant!) ...Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. (Jusqu’à quand? “Jusqu’à ce qu’Il vienne!” Voyez? Voyez?) C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.

72 Je vais m’arrêter un petit instant. La raison pour laquelle il a dit ça, vous avez remarqué dans un autre verset ici, un autre chapitre, qu’il a dit: “J’ai appris que lorsque vous–lorsque vous vous réunissez, vous mangez, vous vous enivrez même à la table du Seigneur.” Ils avaient mal compris, vous voyez. Ils s’empiffraient, tout simplement, voyez-vous. C’est tout comme ce que les gens font aujourd’hui: ils mènent tout simplement n’importe quel genre de vie, et ils prennent cela. Voyez? Il a dit: “Vous avez des maisons pour y manger, voyez-vous. Mais ceci, c’est une ordonnance que nous devrions observer, voyez-vous.” Maintenant: Que chacun donc s’examine soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe; Car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. (Voyez?)

73 Qu’est-ce que vous êtes? Vous êtes un Chrétien, vous vivez devant tout le monde comme un Chrétien. Et si vous prenez cela et que vous ne vivez pas comme un Chrétien, vous ne discernez pas le Corps du Seigneur. Vous placez une pierre d’achoppement sur le chemin de quelqu’un d’autre, voyez-vous, quand on vous voit essayer de faire ça, alors que vous ne menez pas la vie que vous devriez mener. Voyez-vous, vous ne discernez pas le Corps du Seigneur. Maintenant regardez bien ce que... la malédiction qui est rattachée à ça: C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont endormis. (La traduction correcte de ce mot, Frère Pearry, c’est “morts”. Voyez? Voyez-vous, “un grand nombre sont morts”.) Si nous–si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. (Voyez-vous, si nous nous jugeons nous-mêmes, nous ne serons pas jugés. Voyez?) Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. (Voyez-vous, pas de liens avec le monde.) Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres. (Voyez?) Si quelqu’un a faim, qu’il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. Je réglerai les autres choses quand je serai arrivé. (Voyez?)

74 Maintenant, autrement dit, ne venez pas tout simplement pour prendre ça comme un... Comme je le disais tout à l’heure, au sujet de ce que les Juifs, leur sacrifice, ils... C’était merveilleux, c’était ce que Dieu leur avait donné, mais c’en est arrivé au point où ils ne le faisaient plus avec sincérité, et avec révérence, et avec ordre, et finalement c’était devenu tout simplement... c’était devenu une–une puanteur à Son nez.

75 Maintenant, c’est la même chose quand nous venons prendre le souper du Seigneur, là, nous devons y venir en sachant ce que nous faisons. Tout comme quand vous entrez dans l’eau pour être baptisé au Nom de Jésus-Christ, vous savez ce que vous faites, vous vous identifiez à l’église par ce que Dieu a placé en vous: Christ.

76 Lorsque nous prenons ceci, cela montre à l’église que “je crois chaque Parole de Dieu. Je crois qu’Il est le Pain de Vie qui est descendu du Ciel d’auprès de Dieu. Je crois que chaque Parole qu’Il dit est la Vérité. Et je vis de Cela, pour autant que je sache, et Dieu est mon Juge. Par conséquent, devant mes frères, devant mes soeurs... Je–je ne jure pas, je ne blasphème pas, je ne fais pas ces choses, parce que j’aime le Seigneur, et le Seigneur le sait, et Il m’en est témoin. Par conséquent, devant vous, je prends ce morceau de Son corps, avec la connaissance que je ne suis pas condamné avec le monde”. Voyez-vous, voilà, alors c’est une bénédiction.

77 Et, souvenez-vous, je pourrais donner beaucoup de témoignages là-dessus, sur les occasions où j’ai pris cela et je l’ai expliqué dans une chambre de malade; et je les ai vus être guéris.

78 Souvenez-vous, après qu’Israël a eu pris ceci sous forme de type, ils ont voyagé pendant quarante ans dans le désert, et leurs vêtements ne s’étaient même pas usés, et ils en sont sortis sans une–une seule personne faible parmi eux, sur deux millions de gens; c’était un type de ceci. Eh bien, que fera l’Antitype? Si le corps d’un animal de sacrifice a fait ça pour eux, que fera le Corps de Jésus-Christ, Emmanuel, pour nous? Soyons vraiment respectueux quand nous venons. Soyons vraiment aussi respectueux que possible en venant.

1 ... stirring message that Brother Pearry gave us just then from the Word of God. How true it is that we limit God and time God; and He's eternal; we can't do that. So tonight we're facing something else now is communion.
Three years I waited for a church to come in Tucson, but it's here. Yeah, we're--we're here. So we thank the Lord; He just let us wait till we can appreciate it now.

3 Now, there's one thing that I'd want to say just before we start the communion, is this; that I believe that we have seen enough in our day that we live in, that we ought to really give every--all of our being to God. We--we should really serve God. I believe that He has blessed us with the direct answer to Scripture. As Brother Pearry gave it a few moments ago, that we--we are--we're at that time. We're not blind; we--we--we see that we're here; we--we've arrived.
And we also can look around and see that the way that the human mind is leaving the people. That we--we can't stay too much longer, we'd be in a complete insane institution; the whole world would be. See? So we--we're at the end time.

5 Now, as Brother Pearry ended up there, seeing these things are true, see if they are true, they're not myth. They're not just something that we imagine; they're something that's been directly given to us by the Word of God and manifested publicly before us, that we know we are here. We--we don't know how long now, because again we come back to a watch (You see?), what time it is. But we are--we know we--we're here, we're at the time. Whether God's time, I'd imagine...
Someone give a little analysis one time that said that if God put up with him according... If He was to allot time, one--one thousand years is just one day. So if a man lives seventy years old, it'd just be a few minutes of God's time. See? Well, it's said to be forty years, that wouldn't even mean time hardly He could bat His eye. See? See, just that's how quick it is, the whole thing, if--if it be 'lotted time; which, He doesn't have any time. So He just is eternal.

7 I believe it was Sarah back there, or little Joseph the other night, said to me and Brother Pearry; he said, "Daddy, where, when did God come on the scene? Where did He come from?" See? "He had to have a beginning, didn't He? Didn't He have to start?"
I said, "No. Anything that has a beginning has an end, but it's that which had not a beginning has no end." Of course, he's ten years old; that was kind of a--a real mouthful for him. See? And how could he receive that, knowing that something never did begin? Not only to him, it is to me. See? All of us (You see?), it--it's a great big dose for me, how did it ever begin.

9 Now, we're fixing to observe something here that's really sacred. I was called on a few days ago, to some very fine Christian gentlemen that--that's never had this, and he understood that we taken communion literally. They take it what they call "spiritual communion." And which, as far as communion, I'd say all right, 'cause "communicate" is "to talk to." See? And the brother give me this Scripture, said, "Brother Branham, don't you think now..."
Now, reason I'm saying this... It's all right, Brother Pearry? [Brother Pearry Green answers, "Sure."--Ed.] See, that reason I'm saying this, so that you would understand what you're doing. You don't... If you walk into anything blindly, you don't know where--what you're doing. You can't have even confidence if you don't know what you're doing. But you must understand what you are doing and why you're doing it.
He said, "Now, if we take the Word of God, isn't that God that we're taking?"
I said, "Exactly right, sir; it's true. But we read here that they actually... Paul taught taking the literal Lord's supper. 'This do in remembrance of Me,' said Jesus. 'As oft as you take it in remembrance of Me, you show forth the Lord's death till He comes.'" See? Now, we are to take it.

14 We understand that Saint Paul, who ordained it in the church, being the prophet of the New Testament... Peter, James, John, all of them, they wrote (why, Matthew, Mark, Luke) what Jesus did, as scribes. But Paul set the thing in order; he was the--he was the prophet of the New Testament. Just as Moses went into the wilderness to receive the inspiration to write the--the five Books of--of the first five Books of the Bible, why, Paul also went into the desert and received inspiration from God to set the New Testament church in order and type it with the Old.
Under there they had the sacrificial lamb, that Israel kept that for a memorial. It was actually used one time, coming out of Egypt. But then they kept that as a memorial all down through the age. Well, if the law being a shadow of things to come... You see?
Now, I do believe that communion (or what we call "communion," now) is to--is the Lord's supper.

17 Now, we only have three physical Divine orders left to us: one of them is--is communion, feet-washing, water baptism. That's the only three things. That's the perfection of the three. See? And that's the only three orders we have. We realize that that was the issue given by Saint Paul in the New Testament.
Now, if we would say "the communion should just be taking the Word," I don't believe anyone has a right to take the Lord's supper until he's taken the--the Word of the Lord into his heart. See? Because I'm going... I'll read something for you in a few moments and you'll see. Now, notice. Then why then would we--we would...
On the same basis we could absolutely justify the Salvation Army. They do not believe in any form of water baptism, said, "We don't need it." Now, if we don't need water baptism, why are we baptized? Said, "The water can't save you; the Blood saves you."
I'll agree with that. That--that's right, the Blood saves you, not the water. But we must take the water as a outward emotion that an inwardly work of grace has been done. See? So must we on communion.

21 When we have taken the Lord, our Sacrifice, into us, as a matter of spiritual birth into us, and His Body, we live by Him by the Word; we also should symbolize it because it's a commandment. "Repent, every one of you and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins."
Paul said, "I have received of the Lord that which I also delivered unto you, That the Lord Jesus the same night in which He was betrayed took bread, and brake it and give it to the disciples, and--and said, Take and eat, this do in remembrance of Me. For as often as you take this bread, you show forth His death till He comes." Now, we find out that, in that, they had people who come and...

23 This precious brother, a very dear brother, he came and he said, "I never--I never did take it, Brother Branham; I don't understand what it is." Said, "I've been taught the other side."
I said, "But remember, we will admit that Saint Paul set it in order in the early Christian church. They went from church--from house to house, broke the bread with singleness of heart, and so forth. Now," I said, "he did put it in the church. Galatians 1:8, he said, 'If a angel from heaven comes and says anything else, let it be accursed,' (You see, see?) the same one that had them to be rebaptized again from the baptism of John, to be baptized in the Name of Jesus Christ."
You see, there are three things that we must--three things that we must do as symbols: Lord's supper, feet-washing, water baptism. See? There's...

26 You say, "Well, the..." Now, the Salvation Army takes it from the point, the dying thief, when he died, he wasn't baptized yet, Jesus said he would be in heaven. That's exactly the truth. That's exact. But, you see, he--he--he only recognized Jesus right there in the hour he was dying. See? That's the only--that's the only opportunity he had. He--he was a thief; he was away; he was out. And he, as soon as he seen that Light, he recognized It, "Lord, remember me." And Jesus... That was true.
But to you and I who know that we should be baptized, and refuse to do it, then that'll be between you and God: same thing in communion.
Now, when we take this communion, it isn't just the thing say, "I'm coming up here and going to eat some bread, and I'll believe I'm a Christian." But, if you notice, the Bible said, "He that eateth and drinketh unworthily shall be guilty of the Blood and the Body of the Lord." See? You've got to live a life that--that--before the people, that--and before God and the people, that shows that you are--that you are sincere.

29 Now, just a moment longer. Now, in the Old Testament when the sacrifice was made a--a statute or an ordinance... And so is water baptism an ordinance; so is feet-washing a ordinance; so is the Lord's supper an ordinance. "Blessed is he that does all of His ordinance, keeps all of His statutes, all of His commandments, that he might have a right to enter into the Tree of Life."
Now, notice in this now, that in that first, when it was first an ordinance of God to bring a sacrifice to the church, and to the temple, and the altar, and offer your gift, and--and for your sins, the sacrifice of a lamb, well, I can just imagine seeing some Jewish brother coming down the road, knowing that he was guilty. And he goes to the altar, or brings his fat ox or a bullock, or whatever he had, or a ram, lamb, something. He brought it down the road just as sincere as he could come; he walked up there, keeping God's ordinance just as sincerely as he could.
Then he laid his hands upon it, confessing his sins, and the priest placing this (his sins) upon the lamb, and the lamb's throat was cut, and--and then died for him. As he laid there, the little lamb kicking and bleeding, his hands being full of blood, and it flying all over him, (the little lamb bleating, dying), he would realize that he had sinned and something had to die in his place. Therefore, he was offering this lamb's death for his death. See? The lamb died in his place. Then the man done it with sincerity, with deepness of his heart.

32 Finally, over and over it went again, over and over it kept going until finally it become a tradition. The commandment of God became a tradition to the people. And then here he come down, "Well, let's see, this is so-and-so today, maybe I'd better go down. Yeah, I better offer a--a bullock." He went down, "Well, Lord, here's my bullock." See, there's no sincerity in it; there's no understanding to it.
Now, we don't want to take communion like that. That's the same thing as we come to the Lord's table. Isaiah 35... No, I beg your pardon, Isaiah 60... Let me take that back. I--I--I believe it's Isaiah 28, is where we find this. I'm pretty sure that's the right chapter. He said, "Precept must be upon precept; and line upon line upon line; here a little, there a little. Hold fast to that what's good. With stammering lips and other tongues will I speak to this people. And this is the Rest."
He said, "All the tables of the Lord has become full of vomit. Who can I teach doctrine? Who can I make to understand?" See? I think that was the right Scripture, Isaiah 28. "Who can I make understand doctrine? (See?) The tables..."

36 Now, we find out today that this great thing that we're fixing to do tonight in commemoration of His death and His Body that we believe that we eat daily, or, just got through eating as our brother preached to us... Taking the Word of God, we believe It with all of our heart. We see It manifested; we see It given to us; we see It vindicated; we feel It in our lives. And we must come to this with a deep conscience of what we're doing, not just because it's an order.
You go in a church, and many times they give out an old soda cracker or some kind of a--a something, break it up, and light bread, or--or something, and--and break it up; and people who smoke, drink, everything else, because they're a member of the church they come and take the Lord's supper. Well, that's filthiness before God.

38 Even the sacrifice, said, "Your holy days and your sacrifice become a stench in My nose." Yet He ordained them to make that sacrifice. But the way they treated it, it become a stench, stink in His nose (His nostrils), the very sacrifice that He ordained...?...
That's the way we take the Word of God; too many Christians today (so-called) does that. We stand up here and teach this Word, and say, "Jesus Christ isn't the same yesterday, today, and forever," and teach the things that He promised us that He would honor, and say, "Oh, well, that was for something else," our Sodom worships has become a stink in His nose. He will not receive it, by no means. That's the reason, by our traditional habits...

40 You don't take the Lord's supper by a tradition. You take it because it's the love of God in your heart, in keeping the commandments of God. See? That's what you take it for.
So if you don't take it in sincerity, just it's a tradition, "Well, our church observes communion once every Sunday, or once every month, or twice a year," and you go up, say, "Well, it's my time," and--and then take the communion, why, it's a stink to God. See? That's just a tradition.
Even like anything else, you--you've got to be sincere. God wants the depths of your heart. You remember, the very God that brought you here on earth is the One you're serving. See? You're doing this because He said so, because it's His order. Then we want to come up with deepness and sincerity, knowing that by God's grace that we have been saved. And we--we love Him and we feel His Presence, and we--we see It change our lives. Our--our whole being is changed. We--we--we're different people. We don't live like we used to; we don't think like we used to.

44 Like in the book here, and the spot there we was talking about the--the two Books being one, the Book of Life. The first Book of life coming up, was when you were born, that was your natural birth. See? But then one time, way back down in there, there was a little grain of Life as I've explained to some of the young sisters at the house this afternoon. See, there's a little grain of Life laying there which you'd wonder, "Where did It come from? What--what these strange things?"
I was saying this, taking for myself, like you was going to say, "William Branham, well, forty years ago, the William Branham, this and the same one tonight." And somebody back there would say, "We're, very... He was a rank rascal." See? Because I was born of Charles and Ella Branham. In their nature I was a sinner; I came to the world, a liar, and all the habits of the world laid right in me. But down in there too, was another nature present (See?), predestinated, was in there by God. In this same body (See?) two natures in there.
Well, I only catered to one. As it growed, I gooed as a baby, "Da-da." First thing you know, I become a liar, become everything else that's a sinner, because I raised up that way. But down in there was a little speck of Life all the time.

47 I used to remember as a little boy... (I hope I'm not holding you too long. But knowing...) Setting out in the--on--on the creek bank, and I'd set there and look around at nighttime. Pop and mom, they're gone on now to their rest. And them days they were sinners; there was no Christianity in our homes at all. And, oh, my, drinking, and parties, and carrying on; it made me sick. I'd take my--my lantern and my dog and go to the woods to stay all night. In the wintertime I'd hunt till the party was over, maybe daylight in the morning. Come home, wouldn't be over, I've laid on top of a shed and sleep, waiting for daylight to break.
Then I'd think of how that times, then being out there in the summertime, get my sticks and put them down for a little windbreak, where if it rained; lay there and have the poles sticking in the water, fishing; my old coon dog laying there, I'd say, "Looky here. You know, last winter I camped right here one night; I built a fire right here when I was waiting for my old dog here to tree, and I had a fire here. It was froze five inches deep in the ground. That little flower, where did you come from? See? Where--where--where'd you come from? Who come out here and planted you? And what hothouse did they bring you out of? Or--or what about it, where'd you come from?" See? That little flower, I'd say, "Why, it was froze, and everything, and I built a fire on top here. Besides the freezing element, there was a heat element laying here on a big old log where I burned here. And yet here you are; you're alive. Where'd you come from?"

49 What was it? There was another William Branham. See? A little spot of Eternal Life down there, from the--the--the genes of God, the Word of God that was placed in there. Each one of you can think of similar things. See? It was working.
Then I looked up to the trees and I'd think, "Leaf, I seen you fall off last year, and what are you back there again? Where'd you come from? What brought you here?" See? It was that Eternal Life working in the body.
Now, then one day as I walked on, that Voice talking, "Don't never smoke, drink, so forth." And the young fellows and all, I got older. See, there was Something moving.
But yet all at once I looked up, and I said, "I'm not the son of Charles and Ella Branham. There's Something calling." Like my little eagle, "I'm not a chicken. There's Something up yonder, somewhere. O great Jehovah, Whoever You are, open it up. I want to come home. There's Something in me, calling."
Then I was borned again. That little Life was laying there; the life of water was poured upon It, then It begin to grow. Now, that old life was forgiven, put in the sea of God's forgetfulness, to never be remembered against me no more. See? Now, we stand justified, as though we never had sinned in the Presence of God.

54 Then when we come to the Lord's table, we must come in reverence, love and respect, of look where we would have been if it hadn't been for Him. See? Look where it would've...
Therefore, Paul, I think, in saying this, "Wherefore, when ye come together to eat, tarry one for the other." That is, other words, just wait a few minutes, pray, check yourself out. And if you know a brother is in there, just about to do something that's wrong, or something, and you pray for him too. See? See, "tarry one the other," wait just a minute, pray. If there's any feelings between you or something, don't--don't do it--don't do it; go make that right first. See? Go straighten that up first, because we want to come here just as pure as we can be, and our thoughts of one another and to God, and to each other, and then we come in fellowship around the table of the Lord. See?

56 And we do this because that we are giving thanks to Him and among one another, eating the bread between each other, drinking the wine between each other, as His Blood and His Flesh.
"Except you eat the Flesh of the Son of man and drink His Blood, you have no Life in you." See? You see, that's what the Bible said. Except you do it, there's no Life. You see? You are then, more or less, showing you are ashamed to identify yourself as a Christian, because of the life that you live. And then this is the really the showdown. Then if you don't do it, you have no Life. If you do do it unworthily, you're guilty of the body of the Lord.

58 Same thing in water baptism. If we say, "We believe on Jesus Christ; He saved us from sin, and we're baptized in the Name of Jesus Christ," why, we bring--we bring disgrace to Him. We do the things that's wrong and we--we'll have to pay for that. And another thing, that when we do that, we are trying to profess one thing and do another.
That's the trouble of us today. What I think... I'm saying "us," me, and the church that the Lord God has let me speak to in these last hours, that we believe we're in the closing time. We believe that God has give us a Message. It's been ordained of God; It's been proven of God; It's been showed of God. Now, we must come to Him with reverence and with love, and with--with purity of heart and mind and soul.

60 You know, the hour will soon arise when--when right among us will be--the Holy Spirit will speak out like It did in Ananias and Sapphira...?... See, that hour is arriving. See? And we are... Now, you just remember that (See?) that God is going to dwell among His people. That's what He wants to do now.
We could receive the Message as saying... If I was a young man and--and hunting for a wife, and I could find a wife, I said, "She's just perfect. She's a Christian. She's a lady. She's all this; I got confidence." No matter how much confidence, how much I think she's nice, I've got to receive her, she's got to receive me (See?) upon these vows.
Well, it's the same thing we find is the Message. We see It's right. We see God vindicates It's right. It's perfectly right. Year after year, year after year, It continues right, continues right. Everything It says, happens just exactly the way He said. Now, we know It's right, but (See?) don't do it from a intellectual standpoint. If you do, you got a second-handed religion. See? We don't want a second-handed religion, something that somebody else has experienced it and we are living off of--of their testimony.

63 As I believe it was Jesus said to Pilate, something, a word I was thinking, and He said there just a few moments ago, "Who told you that?" Or, "Was it revealed to you? How did you know these things?" in other words. I don't know just what the word is now; it's been a long time since I read it, but, "How did you--how did you notice what... How... Who revealed this to you?" It was about Him being the Son of God. "Who revealed it to you? Did some man tell you that? Or," as Jesus said, "is it My Father in heaven which has revealed it to you? (See, see?) How did you learn it, a secondhand or is it a perfect revelation from God?"
Is this communion just something I go up for it, an order, say "Well, the rest of them take this, I will too"? It's a revelation that I'm part of Him and I'm part of you, and I love you and I love Him, and we're taking this together as a symbol of our love to God, and our love and fellowship to one another.

65 Now, I want to read some from the Scripture. And then I guess... Where do you... Whichever way Brother Pearry desires today. I wished you'd read it with me, if you got your Bible. I Corinthians the--the 11th chapter, and begin with the 23rd verse.
And then also at our Tabernacle we've always observed this and feet-washing, always, because they go hand in hand together. I believe the brother announced that "Wednesday night" because of the crowds and you don't have enough to--room to get the people in for feet-washing, they're going to observe--observe this Wednesday night.

67 Now, 23rd verse of the 11th chapter of I Corinthians, listen at Paul now. Now, remember, keep this in mind, Galatians 1:8, "If we or an angel from heaven preaches any other Gospel unto you (than this Gospel that he had preached), let him be accursed." See?
For I have received of the Lord that which I also delivered unto you, That the Lord Jesus the same night in which he was betrayed took bread:
And when he had given thanks, he brake it,... said, Take and eat: this is my body, which is broken for you: this do in remembrance of me.
Now, let me stop right here. You see? But taking the body of the Lord Jesus Christ in this communion does not mean that that communion is the literal body of Christ. That's Catholic. I do not believe that that's right. I believe it's only an ordinance that God made with us (See?); it isn't the actual body. It's... Now, it's really a little piece of kosher bread. It's just an ordinance.

69 Neither do I believe that the baptism of Jesus Christ, in the Name of Jesus Christ, in water does forgive your sins. I do not believe that you... I believe you could be baptized all day long... Now, I know that there's perhaps people setting here who come from the Apostolic church, I mean, or the United Pentecostal church, which they teach that. But, you see, I--I do not believe that the water forgives sins. Or if it was, then Jesus died in vain. See? I believe that it's only an ordinance of God (See?) to show that you have been forgiven. But to be baptized for regeneration, no, I--I--I don't believe that. I don't believe that water forgives sins.
Neither do I believe that this bread and wine has anything to do with you, only keeping an ordinance that God has ordained for us to do. See? That's right. I believe water baptism is the same thing. I believe it's compelling to us to do it, that He done it all for our example. And He done this for our example. And He washed feet for our example.

71 Now...
After the same manner also,... (25th verse)... After the same manner also he took the cup, and when he had supped, saying, This cup is the new testament in my blood: this do ye, as oft as you drink it, in remembrance of me.
For as oft... (Remember now.)... For as oft as you eat this bread, and drink this cup, you do shew forth the Lord's death till he come. (How long? "Until He comes." See, see?)
Wherefore whosoever shall eat this bread, and drink this cup of the Lord unworthily, shall be guilty of the body and the blood of the Lord.
Let me stop just a minute. The reason he said this, you noticed in another verse here, another chapter, that he said, "I understand when you--when you come together you're eating, even getting drunk at the Lord's table." They misunderstood it. You see? They just gluttoned in. See? Just like people are doing today, just live any kind of life and take it. See? And he said, "You got homes to eat in. (See?) But, this is an ordinance that we should keep." See?

72 Now:
But let a man examine himself, and so let him eat of the bread, and drink of the cup.
For he that eateth and drinketh unworthily, eateth and drinketh damnation to himself, not discerning the Lord's body. (See?)
What are you? You're a Christian; you live before everybody as a Christian. And if you take that and don't live as a Christian, you're not discerning the Lord's body. You're putting a stumbling block in somebody else's way (See?), as they see you trying to do that and then not living what you're supposed to live. See, you're not discerning the Lord's body. Now, watch what it--what the curse of it is:
For this cause many are weak and sickly among you, and many are sleep. (The right translation of that word, Brother Pearry, is "dead." See? "many are dead.")
For if we--for if we would judge ourself, we should not be judged. (See, if we judge ourself we won't be judged. See?)
But when we are judged, we are chastened of the Lord, that we should not be condemned with the world. (See, not any attach to the world.)
Wherefore, my brethren, when you come together to eat, tarry one for the other. (See?)
And if any man hunger, let him eat at home; that you come not together unto condemnation. And the rest I will set in order when I come. (See?)

74 Now, in other words, don't just come to take it as a... As I said awhile ago, about what the Jews, their sacrifice, they... It was wonderful; it was given by God. But it got to a place where they didn't do it in sincerity and reverence and in order, then it become just a--it become a--a stench in His nose.
Now, the same thing is by our coming to take the Lord's supper, that we must come knowing what we are doing. Just like when you go into the water to be baptized in the Name of Jesus Christ, you know what you're doing; you're putting on to the church what God has put in you, Christ.
When we take this, it shows to the church that "I believe every Word of God. I believe that He is the Bread of Life that come from God out of heaven. I believe every Word that He says is the Truth. And I live by It to the best of my knowledge, God being my Judge. Therefore, before my brothers, before my sisters... I--I do not swear; I do not curse; I do not do these things, because I love the Lord, and the Lord knows it and bears me record. Therefore, before you, I take the parcel of His body, to know that I am not condemned with the world." See? There you are, then it's a blessing.

77 And, remember, I could give many testimonies on this, where I've took that and explained it in a sickroom and seen them healed.
Remember, when Israel taken the type of this, they had journeyed forty years in the wilderness and their clothes never even wore out, and they come out without one feeble one--one among them, with two million people as a type of this. Well, what will the antetype do? If the body of a sacrificial animal did that for them, what will the Body of Jesus Christ, Emmanuel, do for us? Let's just be reverent when we come. Let us be just as reverent as we know how to come.

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