Crois-Tu Cela?
1 Merci, Frère Lindsay. Bonsoir, assistance. Je suis très content d’être ici cet après-midi pour parler de la Personne la plus glorieuse qui ait jamais vécu sur terre, ou qui puisse jamais vivre sur terre, notre Seigneur Jésus-Christ. C’est pourquoi, j’ai... Un jour, je parlais, et ma femme... A l’une des premières réunions auxquelles nous assistions donc, elle a dit: «Ce sont là tous ceux qui sont venu?»
J’ai dit: «L’Evangile est la plus grande attraction que le monde ait jamais connue.» J’ai dit... «Et Moi, quand J’aurai été élevé, J’attirerai tous les hommes à Moi.»
2 Et maintenant, il m’incombe cet après-midi de parler. Il fait un peu chaud sous la tente. Et je... Je ne suis pas un prédicateur pour commencer, mais je–j’aime parler de la Parole. La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole. C’est ce qui nous donne la foi. Avant que nous puissions avoir la foi, il nous faut avoir une base pour la foi. N’est-ce pas vrai? Le...
Si vous alliez vous marier, vous auriez... votre femme devrait vous déclarer qu’elle vous aimait et qu’elle vous serait fidèle. Vous avez un... vous avez alors sa parole. Et puis, votre foi, cela dépend uniquement de ce que vous percevez, si sa parole est tout à fait véridique ou pas.
C’est ainsi que nous devons nous y prendre de toute façon. Par la foi, il nous faut avoir le... une toile de fond, un fondement.
3 Et maintenant, nous n’allons pas vous garder plus longtemps que possible en parlant. Comme je l’ai dit, je ne suis pas un prédicateur, j’aime simplement parler de la Parole. Autrefois, je... Tout au début, quand j’étais ordonné comme prédicateur baptiste, oh! la la! c’était la–l’une des plus glorieuses heures de ma vie. Je...
Quand j’étais un petit garçon, je me disais qu’il fallait être une poule mouillée pour porter une Bible. Mais quand j’ai été sauvé et que j’ai été ordonné, je descendais la rue avec ma Bible sous le bras. Et, oh! la la! quand on m’appelait «frère» ou quelque chose du genre, je gonflais simplement. Je pensais être un véritable prédicateur. Et on a eu juste une licence locale pour exhorter, juste pour l’Etat de l’Indiana où je pouvais prêcher, célébrer les mariages, officier à l’ensevelissement ou baptiser. Je pensais donc être un vrai prédicateur, jusqu’au jour où j’ai entendu un vrai prédicateur. Et alors, je me suis rendu compte que je n’étais pas un prédicateur.
4 Cela me rappelle quand j’étais chez moi. Mon père dressait des chevaux sauvages. Il était né dans l’Etat du Kentucky. Ma mère vient d’Oklahoma et elle a déménagé au Texas, juste au nord de Paris. Et mon papa est allé à l’ouest dresser les chevaux. Et c’était un bon cavalier et un très bon tireur et... avec un fusil. Et il est allé à l’ouest dresser les chevaux, et c’est ainsi qu’il a rencontré ma mère.
Ainsi, j’avais toujours pensé que je voulais devenir un cavalier. J’entendais mon papa parler de la façon dont il dressait les chevaux et écorchait le... vous savez, l’attelage et autres. Et nous habitions dans une ferme ; alors, je me disais: «Oh! la la! Quand je serai un peu plus grand, je deviendrai un vrai cavalier.» Je suis allé au cinéma à quelques reprises et j’ai vu certains films, vous savez, certains là-dessus, sur ces ranch-hôtels. Et je me disais: «Oh! Je deviendrai bien un véritable héros.»
5 Alors, comme j’avais l’habitude de prendre un vieux cheval après que nous avions labouré avec lui toute la journée, vous savez, et je le faisais sortir derrière la grange, vers l’abreuvoir... Combien de garçons de campagne sont ici présents? Faites-nous voir les mains. Eh bien, ne soyez pas timides. Je me le disais bien. Très bien.
Alors, nous sortions là, à côté de ce vieil abreuvoir, et je me procurais une poignée de graterons que je plaçais sous la selle, et je tirais les sangles dessus. Je montais au milieu de ce vieux cheval, vous savez. Et, oh! la la! la pauvre vieille créature tellement fatiguée, elle–elle travaillait à mort. Et moi, je m’asseyais là, et il n’arrivait pas à détacher ses pattes du sol. Il braillait simplement et tournoyait. Je prenais mon vieux chapeau en paille, j’avais mes petits frères en ligne là. Et je disais: «Regardez ; je suis un cow-boy», et je frappais ce vieux cheval avec mon chapeau. Et la pauvre vieille créature, eh bien, c’est à peine qu’elle–elle aurait pu projeter un oeuf de son dos. J’étais donc là-haut sur cette selle, vous savez, sautillant... Je pensais en être un.
6 Et un jour, je pensais être un vrai cavalier. J’avais donc quitté la maison et j’étais parti à l’ouest pour devenir un cow-boy ; j’avais débarqué en Arizona. Ainsi donc, j’étais à Phoenix. Eh bien, il y avait un rodéo. Et je me suis dit: «Eh bien, maintenant, je suis fauché, je vais donc me faire un peu d’argent.»
Il s’est fait que, un peu plus tard, en identifiant l’époque, c’est au même moment que frère Lindsay était là, pas très loin de là, en train de prêcher l’Evangile. Et nous ne savions pas cela jusque tout récemment quand nous identifions les moments où nous étions là.
Alors, il y avait un rodéo là-bas, après le rassemblement. Et on disait (oh!) qu’on pouvait sortir monter le cheval, et qu’il y aurait des prix pour les cavaliers.
Eh bien, je me suis dit: «Il me faudra me procurer une paire de jambières en cuir, vous savez, avant de me présenter là.» Je suis allé à l’un des magasins d’équipements, et j’ai choisi une belle paire, vous savez, portant de très grosses lettres A-R-I-Z-O-N-A dessus, et les têtes des boeufs, vous savez. Je les ai enfilées. Il y avait à peu près une telle quantité de cuir là par terre, comme ça. J’avais l’air de l’un de ces petits coqs agressifs avec ces... avec toutes ces plumes qui pendaient.
Eh bien, les gens n’allaient pas... je savais que ce n’était rien. J’ai donc fini par découvrir leur prix ; je n’avais pas d’argent. Alors, je me suis procuré une paire de Levis, et je suis allé au parc.
7 Ils étaient... Je suis monté là, à côté des autres cow-boys défigurés, vous savez, aux jambes arquées ; et ils étaient assis là. Ils appellent... il circulait, disant qu’on allait demander à un cavalier de monter un cheval donné. Je me suis dit: «Oh! la la! Je vais l’observer.» Et j’ai dit: «S’il n’arrive pas à le monter, moi, j’y réussirai.» Aussi, je–je n’avais jamais vu un rodéo auparavant.
Et peu après, quand il est sorti, j’ai vu cet homme monter dans la glissière, se tenir comme ceci, et il va faire une lutte libre en se présentant. Et, oh! la la! quand il a atterri sur ce cheval-là, celui-ci a braillé à deux reprises et on dirait qu’il avait... C’était un de ces irréguliers, vous savez. Et il a pu mettre ses deux pattes dans un bassin et projeter la selle par-dessus le mur du corral.
Donc, aussitôt que cet homme s’était mis sur lui comme cela, il a effectué environ trois mouvements précipités en avant comme ceci, et il a sautillé en abaissant chaque épaule à tour de rôle. Et quand il a fait cela, cet homme a été projeté en l’air en se tordant, il est tombé par terre. Le personnel de ramassage a pris le cheval.
L’homme est revenu faire l’appel, disant: «Je donnerai cinquante dollars à tout homme qui fera dessus une minute ; cinquante dollars.» Et il parcourait du regard toute la clôture. «Cinquante dollars, qui en veut?» Il est avancé tout droit vers moi, il a demandé: «Es-tu cavalier?»
J’ai dit: «Non, monsieur.» Eh bien, cela... Je n’étais pas un cavalier... Je pensais en être un jadis jusqu’à ce temps-là.
8 Eh bien, alors, comme je pensais être prédicateur autrefois, je portais ma Bible ici et là, j’avais une petite licence en poche. Je pensais être un prédicateur.
Et un jour, j’étais à Saint-Louis, dans le Missouri, et j’étais entré dans une réunion des pentecôtistes en plein air. Il y avait là un prédicateur pentecôtiste du nom de Daugherty. Et, oh! bonté divine! Cet homme s’est mis à prêcher. Son visage devenait bleu, et ses genoux se tordaient, et il tombait droit par terre. Quand il se relevait, il reprenait le souffle, et on pouvait l’entendre à deux pâtés de maisons, toujours en train de prêcher. Quelqu’un s’est avancé et m’a demandé: «Etes-vous prédicateur?
J’ai dit: «Non, monsieur ; non, non.»
Avec mes vieilles manières lentes de baptistes, je n’y pense pas si vite. C’est tout. Je dois donc en venir à prendre mon temps. Ainsi, là où il y a de vrais prédicateurs, je ne dis jamais que je suis prédicateur. Je me cache donc en quelque sorte pour cela. Ainsi...
9 Mais j’aime vraiment me présenter, quand on n’est pas sous cette onction pour les malades, vous savez. Et on peut bien être libre, on se sent libre de prêcher ou de parler de la Parole, ou de n’importe quoi. Et c’est ce qu’il y a. On m’accorde un peu de temps, de temps en temps, afin que je puisse plutôt me réjouir.
Eh bien, quand l’onction pour la guérison est là, je continue simplement à prier et à jeûner. On en arrive à éprouver une sensation calme et très sacrée, pas comme la joie ; on éprouve juste une sensation très sacrée. Mais quand vous parlez du Saint-Esprit, alors Cela vient avec joie, avec bonheur, avec allégresse, et le rafraîchissement de la Présence du Seigneur. Et je suis très content de–d’avoir cela cet après-midi.
Juste avant que nous commencions le service, je lis un texte comme... si nous pouvons appeler cela un texte. Je pensais m’expliquer d’abord sur le fait que je n’étais pas un prédicateur. Comme vous entendez ces bons prédicateurs par ici, eh bien, alors, vous ferez la différence dans quelques minutes.
10 Mais ce que je voulais vous dire, c’est un peu sur la guérison divine, juste avant que nous lisions la Parole.
Beaucoup de gens pensent que la guérison divine est juste une supercherie. Ce n’est pas ça. C’est l’Evangile clair et simple de Christ.
Eh bien, que penseriez-vous si je vous disais cet après-midi que chaque personne malade dans cette salle était guérie? C’est pourtant vrai. C’est vrai. Pour Dieu, vous êtes guéri.
Voyez, souvent, les gens aiment discuter. Il n’y a pas longtemps, ce ministre, là où la photo a été prise, voulait discuter si Christ... Il disait: «Christ n’a pas fait l’expiation pour nos maladies quand Il a fait l’expiation pour nos péchés.»
Eh bien, voici ce qu’il en est, amis. Et parfois, c’est juste très simple, si seulement vous essayez de comprendre cela. Combien de malades y a-t-il ici cet après-midi? Faites-nous voir les mains. Je sais qu’il y en a un groupe parmi vous. Très bien.
11 Eh bien, voici ce que j’aimerais que vous fassiez. J’aimerais que vous compreniez bien ce que je vous dis maintenant, et qu’ensuite vous vous y accrochiez pendant que je prêche. Allez-vous le faire?
Vous ne vivrez jamais au-delà de ce que vous confessez que vous êtes. C’est votre confession qui vous sauve. «Celui qui Me confesse devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et devant les saints anges.» Quand vous dites que vous êtes malade, vous êtes malade. Eh bien, cela... Je ne prêche pas la science chrétienne là. Je prêche la puissance de Dieu, et le Saint-Esprit rend témoignage à cela. Voyez?
Mais voici ce qui se passe. Vous L’acceptez parce que vous pensez qu’Il vous a sauvé. Et vous vous mettez à dire aux gens, à témoigner de cela, croyant votre témoignage, et cela opère la justice. C’est ce qui se passe pour la guérison.
12 Eh bien, voici ce qui se passe. C’est le péché qui a introduit la maladie dans le monde. La maladie est la conséquence du péché. Eh bien, avant que nous ayons une quelconque maladie, nous n’avions pas de péché. Et quand le péché est apparu, la maladie a été la conséquence du péché. Jésus est alors venu pour nous débarrasser du péché et débarrasser... Il n’y a pas un prédicateur de l’Evangile dans le monde qui ne croit pas que Jésus-Christ est mort pour nos péchés.
Eh bien, ils... C’est là que ça se trouve, ici, à cet endroit-ci. Eh bien, suivez attentivement. Voici là où Il avait payé le prix. Et quand Il est mort pour notre péché, comme résultat de Sa mort, la maladie est tombée directement avec cela. Voyez-vous?
En d’autres termes, si mon pied était ce que vous vouliez détruire, détruisez la tête et vous aurez eu le pied. Voyez? Le pied va avec cela donc.
C’est en faisant l’expiation pour les péchés qu’Il a fait l’expiation pour les conséquences du péché. La maladie est un attribut du péché. Et Jésus est mort pour nos péchés. Et la maladie, l’iniquité, et tout, étaient inclus dans Sa mort pour nos péchés. Voyez-vous cela? Donc, quand Il est mort pour les péchés du monde, là au Calvaire, Il vous a guéri, vous, vous, vous, chacun de vous. Et vous êtes déjà guéri. Il vous a déjà pardonné vos péchés si seulement vous acceptez cela.
13 Eh bien, vous n’allez pas en enfer parce que vous êtes un pécheur ; vous allez en enfer parce que vous avez refusé d’accepter la voie qui éloigne de l’enfer. Il y a une échappatoire, c’est Christ. Il y a une échappatoire de votre maladie, de la mort rapide, de la tombe prématurée, c’est par Christ. Mais maintenant, vous êtes–vous êtes... Vous avez péché au commencement, et Christ est mort pour vos péchés. Par conséquent, Il vous a sauvé quand Il mourut. Il vous a sauvé, et Il vous a guéri quand Il mourut, car Il avait pris votre place.
Mais maintenant, tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter cela par la foi, et vous le recevrez. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, il n’y a rien de plus à faire, car le prix de votre guérison a déjà été payé. Vous pouvez avoir cela juste cet après-midi. Vous pouvez avoir cela maintenant même, en cette minute même où vous croyez cela. Quand votre foi satisfait aux exigences de Dieu, croire que Christ est mort pour votre maladie, quand Il mourut pour vos péchés (et Il est mort pour vos péchés au Calvaire), et que vous acceptez cela sur cette base-là ; en ce moment-là, vous êtes guéri aux yeux de Dieu. Voyez? Ensuite, mettez-vous à en témoigner, en le croyant.
Vous ne... nous... vous témoignez des choses que vous ne voyez pas. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Et nous regardons à l’invisible.
14 Abraham, vingt-cinq ans avant la naissance d’Isaac, témoignait et croyait Dieu alors qu’il avait cent ans. Paul, avant que la tempête eût donc cessé, savait ce qui arriverait, car il avait reçu la Parole de Dieu pour ça.
Eh bien, vous avez eu la Parole de Dieu pour cela cet après-midi. Et je souhaiterais que vous fassiez cela. Si vous le faites... Voici un défi que j’aimerais lancer en tant que prédicateur de l’Evangile. Si cet après-midi vous croyez, et que le Saint-Esprit descende parmi nous, et vous pouvez en fait, pendant que vous priez, sentir le Saint-Esprit dans votre coeur, qu’Il a accepté votre prière, si vous vous tenez là-dessus là même et que vous croyez cela... Ne perdez plus le temps dans la ligne de prière ; vous n’en avez pas besoin. Si vous croyez cela là même où vous êtes, alors c’est réglé pour la maladie, pour le reste du chemin. Ça se fera. Alors, levez-vous avec une foi ferme, marchez avec hardiesse. On vous demande: «Comment savez-vous que vous êtes guéri?»
«C’est parce que Dieu a dit que j’étais guéri, et je crois Sa Parole. Voilà pourquoi.»
15 Eh bien, vous n’êtes pas sauvé parce que vous sentez comme cela, que vous êtes sauvé. Si je... si quelqu’un disait: «Je sais que je suis sauvé, car un frisson m’a parcouru, ainsi de suite», ce n’est pas à cause de cela que je suis sauvé. Satan peut me flouer n’importe où et il peut aussi vous flouer sur base de vos sentiments. C’est vrai. Mais quand je reviens et que je dis: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, ma foi est basée sur la Parole de Dieu», alors, il ne peut pas me flouer là-dessus
Rappelez-vous. Jésus avait en Lui toutes les qualités du Père. Croyez-vous cela? Assurément qu’Il en avait. Tous les merveilleux dons de Dieu étaient en Christ, Son Fils, car Il était le Rejeton de Dieu. Mais remarquez, quand Il a rencontré Satan, pour vous donner un exemple, Il ne s’est jamais servi d’un don contre lui. Quand Satan L’a affronté, Lui, Il a dit: «Il est écrit (Deutéronome 7.14, je pense, ou c’est 8.14, et aussi dans les Psaumes): L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Satan L’a encore élevé sur le haut du temple. Jésus a dit: «Il est écrit.» Et il L’a amené au sommet de la montagne. Jésus a dit: «Il est écrit.» Voyez? «Il est écrit.»
16 Maintenant, remarquez. C’est ça! J’aimerais que vous voyiez cela et que vous le saisissiez maintenant. La Parole de Dieu, la Parole écrite de Dieu vaincra Satan n’importe où, en tout lieu, en tout temps. Il est écrit. C’est ça.
Tout le monde n’a pas de dons. Jésus a ramené cela à un niveau où ceux qui n’ont pas de dons, ceux qui n’ont pas une très grande foi, peuvent simplement dire: «Il est écrit.» (C’est ça.), et ensuite tenir ferme là-dessus.
Le maïs produira du maïs. Est-ce vrai? L’orge produira l’orge. Le blé produira le blé. Jésus a dit que la Parole de Dieu est une Semence qu’un semeur a semée. Et chaque Parole va... Chaque Parole de Dieu, chaque promesse de Dieu, se reproduira selon son espèce. Croyez-vous cela? Voyez?
17 Eh bien, que fait le fermier? Il sème le blé. Eh bien, il attend la récolte. Le matin suivant, et s’il allait là déterrer cela, disant: «Eh bien, cela n’a pas encore germé. Il n’y a rien là. Alors, je–je n’aurais pas de blé»? Eh bien, s’il ne va pas avoir de blé... S’il continue à déterrer cela, à regarder cela, il n’aura jamais de blé. Semez simplement cela et laissez cela tranquille. Amen.
C’est ça. C’est à Dieu de faire se reproduire cela. C’est à Dieu d’envoyer la pluie. Et c’est à vous d’accepter Dieu sur base de Sa Parole. Alléluia! C’est à Dieu de faire s’accomplir la Parole. Et aucun homme ne vaut plus que sa parole. Et Dieu ne vaut pas du tout plus que Sa Parole.
Et je dis ceci en lançant un défi par la foi, que chaque promesse de Dieu s’accomplira si vous affichez une bonne attitude mentale vis-à-vis de cela. C’est vrai. Regardez cela. Croyez cela
18 John Sproule, beaucoup parmi vous ont entendu parler de John, le Glory Barn [La glorieuse grange], il y a des années. Dans l’Alsace Lorraine, en France, il disait que sa femme et lui se promenaient un après-midi, et ils regardaient une statue de Christ. Il s’est tenu à l’écart, à critiquer ; il disait: «Eh bien, je ne vois pas de souffrance. Je ne vois rien de si noble dans ce monument-là.»
Le guide a dit: «Eh bien, vous le regardez d’un mauvais angle, monsieur.» Il a dit: «Agenouillez-vous ici à l’autel.» Il a dit: «Il y a un autel qui est bâti ici.» Il a dit: «Maintenant, levez les yeux.»
Il a levé les yeux et a dit: «Oh! la la!» Son coeur a failli lui manquer.
Voyez, c’est exactement la façon dont vous regardez cela. Si vous considérez la Parole de Dieu comme ayant existé dans un passé lointain, et que Christ a vécu il y a des années, et qu’Il n’existe plus aujourd’hui, qu’Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement, c’est exactement ce que vous en retirerez. Mais cela ne doit pas être considéré comme de l’histoire, ça demande qu’on se mette à genoux et qu’on lève les yeux vers Cela et qu’on croie Cela. La façon dont vous regardez la Parole de Dieu...
19 Eh bien, acceptez cela maintenant même, et dites à Dieu maintenant même dans la prière: «Seigneur, cet après-midi, je suis assis ici, malade. J’ai vu tous ces prédicateurs prêcher la Parole ; j’ai vu des chrétiens ; j’ai vu des prostituées devenir des dames et des saintes ; j’ai vu des ivrognes dans la rue entrer et devenir des gentlemen et des hommes corrects, des saints de Dieu devenir des prédicateurs de l’Evangile par la prédication de la Parole. Je crois que Tu as envoyé ces hommes.» Dites: «Maintenant, Père, je–j’ai vu quelqu’un venir faire des déclarations sur le don de la guérison divine, connaître les coeurs des gens. Je vois cela. Et je sais que Tu habites dans Ton peuple. Partout dans le monde, Tu agis...?... par Ton peuple. Et cet après-midi, je vais T’accepter comme mon Guérisseur divin et mon Sauveur divin. Et je vais croire cela, le confesser et m’y attacher ; veuille simplement me bénir cet après-midi et rendre cela tel que je peux le croire dans mon coeur.»
Allez-vous faire cette promesse-là à Dieu? Allez-vous le faire? A vous qui êtes malades, dites: «Je promets cela, Seigneur. Si seulement Tu me touches, avec une petite foi cet après-midi, alors je vais croire cela, partir d’ici une personne guérie le reste de ma vie. Je refuserai de voir autre chose que la promesse de Dieu.»
Maintenant, faites ça. C’est l’unique moyen pour vous d’être guéri, c’est par la foi. Acceptez donc cela, croyez-le, et Dieu le fera s’accomplir.
Très bien. Inclinons la tête.
20 Notre Père céleste, nous nous sommes assemblés ici maintenant pour quelques instants, autour de Ta Parole, parler de la Parole. Et la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole. Et maintenant que nous sommes bien sur le point d’ouvrir la Bible et de La lire, nous nous rendons compte que personne ne peut ouvrir ce Livre. Jean a dit: «Personne au Ciel ni sur la terre ne pouvait ouvrir le Livre, ni sous la terre. Mais l’Agneau immolé dès avant la fondation du monde était digne de venir prendre le Livre de la main de Celui qui était assis sur le Trône, d’ouvrir le Livre et d’En rompre les Sceaux.»
Et maintenant, que l’Agneau de Dieu, par le Saint-Esprit, entre directement dans cette réunion cet après-midi, prenne la Parole de Dieu, L’ouvre simplement à chaque coeur. Et puissent les lèvres de Ton serviteur, alors qu’eux reçoivent la Parole, puissent-elles être circoncises pour parler, et que leurs coeurs soient circoncis pour recevoir ; et que les fruits soient au centuple. Car nous le demandons dans le beau Nom de Ton Fils Jésus. Amen.
21 Dans l’Evangile selon saint Matthieu, ou plutôt saint Jean, chapitre 11. Je désire lire juste quelques versets. Vous qui aimerez noter cela, c’est juste un passage familier dont vos pasteurs ont souvent parlé et... la résurrection de Lazare, à partir du verset 20 jusqu’au 27 inclus. Ecoutez attentivement la Parole.
Je sais qu’il fait terriblement chaud ici à l’intérieur cet après-midi. Mais, oh! amis, nous cherchons ici à échapper à un lieu où il fait plus chaud qu’ici. Il n’y aura pas de ventilateurs là-bas. Et–et nous aimerions échapper à ce lieu horrible appelé enfer, n’est-ce pas? Très bien. Maintenant, chapitre 11 de Saint Jean, à partir du verset 20.
22 Je vous assure, je vous aime, vous ici ; vous apportez vos Bibles et vous lisez la Parole. J’aime ça. Vous êtes très gentils. Les foules n’ont pas atteint des proportions que nous... que je pensais qu’elles attendraient ici ; en effet, c’est loin de la ville et nous avons eu des difficultés. Mais ceux qui sont venus ont formé un beau–un beau groupe de gens, on dirait, avec une grande foi, très obéissants, des groupes tout aussi gentils, que ceux auxquels on peut parler n’importe où dans le monde, comme j’en ai eus. Maintenant, écoutez attentivement la Parole.
Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.
Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.
Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas... Dieu, Dieu te l’accordera. (J’aime ça, pas vous?)
Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera. (Voyez-vous ce que ce genre de foi produit?)
Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, aux derniers jours.
Jésus lui dit: Je suis la résurrection et... vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;
Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?
Elle lui dit: (Ecoutez attentivement ceci.)... Oui, Seigneur, (Oh! J’aime ça.)... Je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.
23 Pouvons-nous prier maintenant?
Père, bénis Ta Parole alors qu’Elle a été lue. Puisse-t-Elle être proclamée maintenant et s’enfoncer dans les coeurs pendant que j’En parle. Et que le Saint-Esprit produise au centuple pour la guérison du corps et pour l’âme aussi. Et qu’un réveil à l’ancienne mode éclate ici, Père. Nous avons un vif désir, nous prions, sachant que c’est l’unique espoir qui reste dans le monde aujourd’hui. En effet, tous les royaumes et toutes les puissances seront ébranlés et secoués. Mais nous recevons un Royaume inébranlable. Aide-nous aujourd’hui, ô Dieu, à présenter ce Royaume. Et que des hommes se hâtent d’Y entrer. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
24 Eh bien, c’était au début du ministère de notre Seigneur. Il était né dans le monde, Il avait eu un mauvais départ, juste pour commencer.
Vous savez, j’aime penser à Lui comme... Si jamais vous savez qui Jésus était en fait, alors vous pouvez beaucoup plus apprécier Son grand Sacrifice. Vous devez connaître qui Il est, premièrement.
Il n’était pas juste un homme honnête, ni un homme bon. Il était le Fils de Dieu. Personne, aucun ange, rien d’autre que Lui ne pouvait donc occuper cette place. Et Il était disposé à descendre pour nous.
Et à Sa naissance, Il naquit ici sur terre, Il entra par l’étable et sortit par la peine capitale. Et pourtant, nous nous plaignons parfois parce que nous avons quelques épreuves et quelques ennuis. Eh bien, regardez ce qu’Il... ce qui Lui était arrivé.
25 Savez-vous pourquoi Il naquit dans une étable? C’est parce qu’Il était un Agneau. Les agneaux ne naissent pas dans des maisons ; ils naissent dans des granges. Et Lui était... Avez-vous remarqué au Calvaire? On L’a conduit à l’abattoir. C’est ce qu’on fait aux agneaux. On les conduit. Il était l’Agneau de Dieu, l’Agneau auquel il avait été pourvu, pourvu pour nous, afin que nous les pécheurs, nous ayons accès auprès de Dieu par Lui.
Eh bien, quand Il naquit, Sa réputation... Il était censé être un Enfant illégitime. On disait que Joseph était Son père, et Marie, Sa mère. Mais en réalité, ce n’était pas Joseph qui était Son père.
26 Il n’y pas longtemps, là dans les montagnes, j’ai rencontré un homme, un vieux trappeur. Et il me parlait, disant... Il était censé avoir une bonne instruction. C’était un homme de science, il l’était. Alors, il était allé là en hiver et il s’était mis à poser des pièges ; il aimait beaucoup cela. Il est donc resté parce que c’était paisible.
Et il m’a dit ; il a dit: «Croyez-vous cette histoire de la naissance virginale?»
J’ai dit: «Chaque Parole de cela.»
Il a dit: «Vous ne croyez pas réellement cela, Billy.»
Et j’ai dit: «Si, je crois, chaque Parole de cela.»
Il a dit: «Eh bien, c’est impossible.» Il a dit: «Il ne pouvait pas naître comme cela.» Il a dit: «C’est contraire à toute recherche scientifique.»
J’ai dit: «Je ne sais contre quelle recherche scientifique cela est, mais ce n’est pas contraire à la Parole de Dieu.» Et j’ai dit: «Dieu a dit qu’Il était Son Fils, et je le crois.»
Il a dit: «Bon, cela dépend de qui vous pensez que Dieu était. Si vous voulez dire que Joseph était Dieu, c’est en ordre.»
J’ai dit: «Joseph était un homme comme vous et moi. Mais Dieu est Jéhovah, l’Esprit de Dieu, l’Esprit qui couvait la terre.»
Il a dit: «Oh! C’est impossible.» Il a dit: «Billy, a-t-il dit, le maïs ne peut même pas reproduire... ni rien.» Il a dit: «Aucun enfant ne peut naître en dehors du contact réel entre un mâle et une femelle.»
J’ai dit: «Grampy, je déteste contester votre parole alors que vous êtes un vieil homme, mais, ai-je dit, vous êtes en erreur là.»
Il a dit: «Vous ne croyez pas en fait que cet Enfant-là était né.»
J’ai dit: «Je crois que Jéhovah Dieu a couvert de Son ombre une petite vierge appelée Marie et Il a créé dans son sein une cellule de sang, sans qu’elle ait du tout connu un homme, et de là est venu le Fils de Dieu.»
27 Et nous n’y entrons pas par la naissance, par Son Sang saint de juste, sans désir sexuel. Il mourut au Calvaire, donnant Son Sang afin que nous soyons libérés du péché. Frère, croyez-vous cela? Si vous ne croyez pas, vous êtes perdu. C’est tout. En effet, c’est par le Sang.
Nous sommes sauvés par le Sang de Dieu. Le... Nous sommes le sang de notre père. Jésus était le Sang de Son Père, qui était le Sang saint et sans mélange, non pas par le désir sexuel, mais c’est par le Saint-Esprit qu’Il est né, qu’Il a été conçu dans le sein de Marie, et Il est né. Je crois cela de tout mon coeur.
Il a dit: «Je ne peux simplement pas voir que cela ait pu être ainsi.» Il a dit: «En effet, cela ne pouvait pas se reproduire sans un contact réel.» Et Il a dit: «Et pas... ils devaient être...»
J’ai dit: «Ecoutez, Grampy. Allez-vous alors me concéder...» Après quelques jours de discussion, il m’a rencontré là-bas dans une–dans une vieille petite cabane, où il y avait un groupe d’hommes. Il a repris. J’ai dit: «Allez-vous me concéder qu’Il avait une mère terrestre, mais que c’est impossible pour n’importe quoi de naître sur cette terre sans avoir un père littéral et une mère littérale?»
Il a dit: «C’est tout à fait vrai.»
J’ai dit: «Eh bien, j’aimerais alors vous poser une question. Si vous dites que c’est impossible pour Lui d’exister ici par Jéhovah Dieu, le Créateur, sans un père cél-... terrestre, cependant vous Lui reconnaissez avoir eu une mère terrestre, comment donc le premier homme est-il apparu ici sans père ni mère?» Il a dû avoir un papa et une maman quelque part. Que ça soit un têtard, un singe, je ne sais comment vous voulez appeler cela, il a dû avoir un papa et une maman selon lui. Il ne m’a jamais répondu jusqu’aujourd’hui. Il... C’est vrai. Et il ne le peut pas. Dieu le Créateur a créé l’homme à Sa propre image. C’est ainsi que je crois ça.
Il a dit: «Eh bien, Darwin a déclaré telle et telle choses.»
Je n’ai pas assez de foi pour croire cela. Je crois simplement ce que Dieu a dit à ce sujet. Ma foi, c’est ce que le Seigneur a déclaré.
28 Et Il est venu dans ce monde sous des critiques, et Il en est sorti par la peine capitale au Calvaire, comme Sacrifice expiatoire. Mais Sa naissance était glorieuse. Les anges de Dieu étaient descendus et avaient chanté pour cela.
Depuis le début des temps, je crois qu’Il était la Semence de la femme, qui devait écraser la tête du serpent. Je le crois. Et Il devait venir par la femme, un Sauveur.
Et remarquez. Alors, quand Il était... Avant Sa naissance, de grands évènements se produisirent. Il y avait un reste de gens qui croyaient, qui avaient foi, que Dieu enverrait le Messie. Leur nombre s’était amenuisé à quelques-uns. Mais Dieu a toujours eu un reste parmi les gens. (Est-ce que je crie trop fort?) Il y a toujours eu un reste parmi les gens, qui croit Sa Parole. Croyez-vous cela? Il a aujourd’hui quelqu’un, quelque part, qui croira en Lui. J’espère que nous tous, nous faisons partie de ce groupe cet après-midi.
29 Remarquez. Alors, quand Il a parlé aux prophètes, leur annonçant tout au sujet de Sa Venue... Tout le monde, au cours des âges, a parlé de Sa naissance. Jean-Baptiste en avait parlé.
Comme Jean était un enfant très particulier... comme son père Zacharie, sa mère Elizabeth, comme ils étaient vieux et qu’ils avaient dépassé l’âge d’avoir un enfant... Zacharie était un homme juste, un homme craignant Dieu. Ô Dieu, donne davantage des Zacharie aujourd’hui, des hommes et des femmes qui craignent Dieu. Ils priaient dans leur maison, présentant des supplications devant Dieu.
Zacharie était au temple un jour, offrant son offrande, le sort lui échut d’offrir le parfum. Dieu envoya un Ange du nom de Gabriel, il descendit du Ciel et se tint à côté de l’autel.
30 Remarquez à quel genre d’homme Il est venu là: un homme qui était juste. Un homme juste, ce n’est pas un homme sans péché, mais un homme qui compte sur Sa justice à Lui, en confessant ses torts à Dieu.
Remarquez. Alors, l’ange dit au–au sacrificateur Zacharie ; il dit, quand ses jours de service furent écoulés et qu’il devait rentrer chez lui, que sa femme concevrait, enfanterait un enfant et qu’on l’appellerait Jean.
Or, Zacharie, quoique sacrificateur, ministre de la Parole, a manqué de croire l’ange. Remarquez. Alors, l’ange a dit...
Quand Dieu dit quelque chose, Il l’accomplira. Amen. Croyez-vous cela? Il aura une Eglise. Je ne sais qui est Là-dedans, mais Il aura une Eglise sans tache ni ride. Il y aura quelqu’un. Je ne sais qui c’est, mais Elle sera là. Vous dites: «Où La trouvera-t-on?» Je ne sais pas. Mais Elle sera là, car Dieu l’a dit, et Dieu ne peut pas mentir.
31 Remarquez. Maintenant, quand quelque chose est sur le point de se produire sur terre, premièrement, Dieu envoie un messager. Et ce messager est oint par un Ange. Eh bien, parfois, les anges mineurs viennent. Il y a des anges mineurs et des anges majeurs. Eh bien, cet Ange qui était venu, c’était Gabriel, qui se tient dans la Présence de Dieu. C’était quelque chose d’important. Alors, il est descendu. Et quand Gabriel descend du Ciel, rappelez-vous, quelque chose est sur le point d’arriver. Gabriel a annoncé la Première Venue de Jésus, Gabriel annoncera la Seconde Venue de Jésus. La trompette de Dieu retentira d’abord... un ange.
Remarquez. Il est donc venu, il a annoncé que Jean naîtrait. Et Zacharie, un sacrificateur, un homme juste, cependant sans la foi convenable... Saisissez-vous ce que je veux dire? Beaucoup de gens viennent dans la ligne et disent: «Je suis chrétien ça fait trente ans.» C’est bien. Mais qu’en est-il de votre foi maintenant? Dieu ne vous guérit pas sur base des mérites de votre salut ; Il vous guérit sur base des mérites de votre foi. Si vous croyez... Alléluia!
Remarquez. Si vous croyez... Il n’a jamais dit à la femme des nations quoi que ce soit, mais Il a dit: «Si tu crois...» Très bien. Voilà la question. Pouvez-vous croire Dieu en Le prenant au Mot? Oh! la la! Si nous le faisions, il y aurait un alléluia qui parcourrait le pays. Les guérisons afflueraient de partout. Vous verriez les hommes dans des rues tenant d’une main...?... et l’autre, affirmant que Dieu les a guéris. Accrochez-vous-Y. Dieu le fera s’accomplir (C’est vrai), car Il y est tenu. Il a juré qu’Il le ferait.
32 A l’époque, quand on concluait une alliance, on prenait un agneau ou une bête. On rédigeait l’alliance entre deux hommes. Ils en rédigeaient les termes. Et puis, ils tuaient une bête. Et ils déchiraient cette alliance en deux au-dessus de cette bête. Un homme prenait une partie et un autre, une autre. Et puis, pour confirmer cette alliance, cet homme devait prendre ce même morceau de papier et le ramener, cela devait... parfaitement. Eh bien, c’est ça. Cela devait s’ajuster parfaitement avec le morceau qui en avait été détaché.
Eh bien, Dieu a conclu une alliance avec l’Eglise. Il l’a écrite: la Bible. Et le jour de l’expiation, Dieu a immolé Son Fils. Croyez-vous cela? Il L’a découpé, Il a amené Son corps en haut à la droite de la Majesté divine, Il a renvoyé Son Esprit comme une alliance pour nous. Et ce jour-là, si nous n’avons pas ce même Saint-Esprit en nous, nous ne pourrons pas faire partie du Corps.
C’est bien une vieille prédication sassafras, mais elle vous sauvera. C’est vrai. Il nous faut avoir l’Esprit de Christ en nous, le même Esprit qui était sorti de ce corps-là, pour constituer Son Corps, pour revenir avec Lui. Oh! la la! C’est vrai. Dieu a conclu une alliance avec nous.
33 Et alors, notre sacrificateur, il n’a pas cru Dieu, il n’a pas cru l’Ange. Et l’Ange a dit: «Parce que tu n’as pas cru ma Parole, je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu, tu deviendras muet jusqu’au jour où ton enfant naîtra.»
Zacharie sortit, il fit des signes aux gens. Ils ont compris qu’il avait vu un ange. Il est retourné en Judée, dans la région montagneuse où il habitait. Et puis, sa femme, qui avait dépassé l’âge de fécondité, a conçu, et elle s’est cachée pendant des mois, car elle était enceinte.
Puis, six mois plus tard, Dieu a encore envoyé Gabriel. Oh! la la! Je L’aime bien. Je–je deviens de temps en temps très heureux. Vous pourrez penser que comme baptiste, je suis un peu bruyant. Mais je suis un baptiste avec le Saint-Esprit. Ainsi, je...?... Ça attrape un, il devient bruyant. N’allez donc pas penser que je suis un fanatique ; en effet, je ne le suis pas. Si vous vous sentiez comme moi, vous feriez probablement la même chose.
34 Remarquez. Il a encore envoyé Gabriel dans la ville la plus misérable sur terre (Minneapolis a donc une chance, n’est-ce? Très bien.), le lieu le plus vilain sur terre, Nazareth, auprès d’une petite vierge qui menait une vie correcte devant Dieu.
Une pauvre. Pas une riche et hautaine. Dieu ne regarde pas à votre argent, ni à votre habillement. Il regarde votre coeur. Alléluia! Je suis content de ce que ce salut à l’ancien temps fera que celui qui est en salopette et celui en smoking s’étreignent et s’appellent frères. Il fera que celle qui est en robe calicot et celle en robe de soie se mettent ensemble et s’appellent soeurs. Cela ôte l’orgueil...
C’est ça le problème de l’Eglise aujourd’hui: on est trop empesé, on a trop d’orgueil. Abaissez-vous, vous êtes de toute façon six pieds [1,80 cm] de poussière. C’est vrai. Vous avez une âme qui ira à la rencontre de Dieu un jour. C’est ça le problème de l’Eglise pentecôtiste et des autres églises de la sainteté ; elles s’enflent trop d’orgueil. On a une bonne église et un bon endroit, et nous pensons qu’il nous faut imiter le monde.
C’est là que le peuple de Dieu a toujours connu des ennuis, quand ils imitaient les autres. C’est Lui notre Modèle. Alléluia! Le temps de compétition.
35 Peignez en rouge vos marches, et voyez si le voisin ne peindra pas les siennes en rouge. C’est vrai. Achetez une Mercury et voyez si le voisin ne voudra pas acheter une Mercury. Ils veulent se concurrencer. Peu m’importe que mon pantalon soit assorti à mon manteau, ou que ma chemise soit assortie à mon manteau, je veux que mon expérience s’accorde avec la Bible de Dieu. C’est ce genre d’accord que les chrétiens devraient avoir. Non pas si les voisins ont une grande église et que moi, j’en aie une petite. Je veux Christ. Alléluia! C’est vrai. Oui. C’est là qu’on en arrive, amis.
36 Marie, une petite vierge innocente, là à Nazareth, et peut-être que nous appellerons cela le jour de la lessive, je ne sais pas.
Généralement, le lundi, chez moi à la maison, c’est un jour où ma femme fait la lessive. C’est toujours un jour ardu. Nous avions l’habitude de transporter de l’eau, la faire bouillir dans un vieux baquet derrière la maison, et... (Vous savez ce que je veux dire) et faire la lessive. J’aidais aussi à faire la lessive dans un vieux baquet en cèdre. Oh! De bons moments, de toute façon!
Tant que vous aimez le Seigneur, qu’est-ce que ça change? Le bonheur ne consiste pas dans le nombre de biens de ce monde qu’on a, il consiste dans la satisfaction que l’on tire de la portion qui vous est échue. C’est en cela que consiste le bonheur. Trouvez Christ, et vous avez le bonheur. Vous l’avez. C’est vrai.
37 Alors, ici... Regardez Gabriel. Il descend du Ciel sur ordre de Dieu. Toutes ces nombreuses jeunes filles, par là, probablement aux cheveux manucurés, peu importe comment vous appelez cela, et toute cette espèce de produit, là comme on en a. J’ai dit le mot qu’il ne fallait pas, mais... Je ne m’y connais pas sur ce qu’ils font. Mais vous savez...
Mais il est allé auprès d’une humble croyante, simple, pure. Alléluia! C’est ce qu’Il fait aussi aujourd’hui. Vous ne pouvez pas attirer Dieu par votre habillement. Vous attirez Dieu par votre façon de vivre, de penser et d’agir. Que Dieu nous aide à retourner à l’Evangile du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Je crois en cela, pas vous? La religion de l’ancien temps, du fond de bois, au ciel clair, qui tue le péché. C’est vrai. Cela vous aidera. Cela vous sauvera.
38 Très bien. Elle descendait là, probablement pour puiser de l’eau. Présentons cela sous forme de saynète juste une minute, afin que les petits enfants puissent saisir cela. Peut-être qu’elle descendait puiser de l’eau.
Selon les manières des Orientaux, ils transportaient cela sur la tête, une grosse vieille cruche munie des ailes, ici sur les côtés, des anses.
Je peux voir la petite Marie, âgée d’environ dix-sept ans, fiancée à un homme d’environ quarante-cinq ans, avec quelques enfants. Elle chemine là. Mais elle était juste dans son coeur, car Joseph était un homme juste devant Dieu.
Ce serait de loin mieux si les femmes, les jeunes dames aujourd’hui, choisissaient quelque chose comme cela aujourd’hui, plutôt qu’un petit gars avec un paquet de cigarettes en poche.
39 Il n’y a pas longtemps, il y avait une jeune fille jadis au tabernacle, dans mon église ; c’était une petite fille douce, une petite fille chrétienne. Elle sortait avec un jeune garçon qui avait un flacon dans sa poche et qui fumait la cigarette. Je ne voyais rien dans ce garçon-là moi-même. On a essayé pendant deux ou trois ans de faire de lui un chrétien, mais il ne voulait pas. Et j’ai demandé à la jeune fille, j’ai dit: «Soeur, que vois-tu dans ce garçon-là?»
Savez-vous quel genre de réponse elle m’a donnée, comme l’un de ces adolescents d’aujourd’hui? Elle a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, il a de petits pieds si mignons, et il sent si bon.»
Je me suis dit: «Quelle façon de choisir un mari!» J’ai dit: «Je préférerais épouser un homme qui est un chrétien, qui a des pieds comme un fourgon, qui sent comme une mouffette, pourvu qu’il soit un chrétien.» C’est vrai. Pourvu qu’il soit un chrétien. C’est vrai.
Nous sommes sauvés par le Sang de Christ. Alléluia! Il prendra soin de vous et sera un gentleman, s’il est sauvé. Très bien. Dieu juge non pas par l’apparence, mais par le coeur. C’est vrai.
40 Il y a des années, nous avions une bonne église à l’ancienne mode, me dit-on. Je ne... je n’étais pas avec eux à l’époque. Les gens s’assemblaient, chantaient des louanges à Dieu, criaient, Le louaient et Le glorifiaient. Et aujourd’hui? Oh! la la! Tout cela est éteint. Il est temps de retourner (C’est vrai) aux jours où Dieu peut nous bénir.
Remarquez. Ensuite, Marie, en route, comme nous avançons avec notre saynète, elle marchait, probablement en chantant un cantique, en chantant un psaume.
Soudain, une grande Lumière, disons, est apparue devant elle. Et dans cette Lumière se tenait un grand ange. Oh! la la! Cela a effrayé la petite vierge. Cela vous effraierait. Je sais comment je m’étais moi-même senti quand l’un m’est apparu. Et l’Ange a dit: «Je te salue, Marie...» En d’autres termes: «Arrête-toi. Tu es bénie entre les femmes, car tu as trouvé grâce devant Dieu.» Et Il a dit... Eh bien, Il s’est mis à lui parler d’Elisabeth, sa cousine. Jean et Jésus étaient des cousins de second degré. Marie et–et Elisabeth étaient des cousines germaines.
Et Il a dit qu’elle avait trouvé grâce devant Dieu, et qu’elle concevrait et enfanterait un Enfant sans avoir connu un homme.
41 Eh bien, j’aimerais vous faire remarquer quelque chose, de très près. Regardez quand l’ange est allé auprès du sacrificateur Zacharie et qu’il lui a annoncé que Sara... ou plutôt Elisabeth aurait un enfant de lui ; Zacharie avait beaucoup d’exemples antérieurs à cela. Anne avait eu un enfant après avoir dépassé l’âge de fécondité. Sara, pratiquement vieille de cent ans ou plus, avait enfanté un enfant après l’âge de fécondité: beaucoup d’exemples. Mais ce sacrificateur endurci a manqué de croire Dieu.
Mais point Marie ; elle n’a jamais douté. Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon Ta Parole.»
Remarquez. Elle n’a pas attendu d’être sûre. Elle n’a pas attendu de sentir quelque chose, de sentir la vie. Elle s’est aussitôt mise à louer Dieu pour cela, car elle avait reçu Sa promesse.
Frère, soeur, donnez-nous ici à Minneapolis davantage de Marie qui prendront Dieu au Mot, sans attendre de sentir quelque chose, ou que quelque chose se produise, qui Le prendront au Mot et se mettront à se réjouir à ce sujet. Alléluia! Dieu a dit qu’Il était le Guérisseur ; je crois cela. Il a dit qu’Il m’avait créé. Je crois cela. Le prendre au Mot et se mettre à se réjouir à ce sujet. Alléluia! C’est le genre de personne qu’il nous faut.
42 Elle est allée raconter à tout le monde qu’elle aurait un enfant alors qu’il n’y avait pas de signe ni rien de cela. Elle n’avait pas à avoir des signes. Tout ce qu’elle devait avoir, c’était la Parole de Dieu. C’est tout ce qu’il nous faut avoir. Dieu l’a dit, c’est réglé pour moi. Qu’en est-il de vous? Croyez cela. Prenez-Le au Mot et dites que c’est vrai, allez simplement de l’avant. C’est tout ce qu’il vous faut faire, c’est Sa Parole. Cela doit s’accomplir. Croyez-vous cela, frère? Accrochez-vous-Y. Alléluia! C’est vrai. Accrochez-vous-Y. Cela produira des résultats chaque fois. Je n’ai jamais vu cela échouer.
Quand un coeur fidèle vient devant Dieu et qu’il est sérieux, qu’il a pris Dieu au Mot et s’est mis à témoigner de cela, à regarder à l’invisible, alors les promesses de Dieu produisent toujours ce qui est réclamé. C’est vrai.
43 Très bien. Marie est allée çà et là dire aux gens qu’elle aurait un Enfant sans avoir connu un homme. Très vite, elle... L’ange lui avait parlé de sa cousine, et elle est montée en Judée la voir. Oh! la la!
Il y a quelque chose au sujet de l’Evangile, qui fait que lorsque nous entendons la Bonne Nouvelle, nous aimons rapporter Cela aux autres, n’est-ce pas? Tout celui qui est sauvé aime le rapporter à quelqu’un d’autre. Tout celui qui est guéri aime le rapporter à quelqu’un d’autre.
Elle est allée apporter la bonne nouvelle à sa cousine, qu’elle aurait l’Enfant, et que sa cousine aurait aussi un enfant. Très bien. Je peux la voir monter vers la maison.
44 Et présentons cela sous forme d’une saynète une fois de plus ici. Je peux voir Elizabeth assise sous la véranda, peut-être faisant son–son travail, tricotant, ou je ne sais quoi qu’elle pouvait être en train de faire, et Marie s’approche. Très vite, aussitôt que Marie arrive, elle voit Elizabeth. Oh! la la! Toutes les deux femmes étaient des chrétiennes, comme nous le dirions aujourd’hui. Elles ont couru, elles se sont jetées dans les bras l’une de l’autre, s’étreignant, s’embrassant, se saluant. Oh! J’aime ça. J’aime ce sentiment chaud et bon, pas vous? Je déteste cette vieille manière froide et formaliste que nous avons. Aujourd’hui, les gens, ils sont si éloignés les uns des autres, ils ne se soucient pas les uns des autres. C’est ça le problème. Même les membres d’église deviennent pareils. Ils ne se soucient pas les uns des autres. Eh bien, si quelqu’un fait quelque chose de faux, on cherche à l’enfoncer. Ne l’enfoncez pas, relevez-le ; aidez-le. C’est vrai. Ne cherchez pas à le critiquer et à en parler à quelqu’un d’autre ; allez vers lui, entourez-le de vos bras. Et aujourd’hui, on a tellement peur, on ne voudrait même plus lui serrer la main.
J’aime une bonne poignée de main en coup de pompe, à la méthodiste, vous savez, l’une de ce genre. On descend du coup et on se la serre.
45 Il n’y a pas longtemps, j’étais dans une série de réunions. Il y avait une espèce de princesse, l’une ou l’autre chose, je ne sais pas, venant de... Elle était venue à la réunion. Elle portait assez d’habits pour bourrer un fusil. Et si je l’avais vue avant la réunion, je serais parti la couvrir de mon manteau pour le temps où je serais en train de prêcher. Je l’aurais fait.
Alors, elle est venue après la réunion, tenant une paire de lunettes au bout d’un bâton, vous savez, ressortie comme ceci. Je ne sais pas... Une créature d’apparence bizarre, pratiquement sans habits, pas du tout. Elle s’est avancée comme ceci. Et elle a dit: «J’aimerais rencontrer docteur Branham.» Docteur Branham. En voilà l’idée! Pas docteur, je suis votre frère.
46 Alors, elle s’est avancée. Et l’un des organisateurs l’a amenée auprès de moi, vous savez, comme cela, pour la présentation, disant: «Voici telle et telle», une espèce de nom très long. Elle a dit: «Eh bien, docteur Branham, a-t-elle dit, enchantée.» Elle avait la main levée comme ceci, faisant...
J’ai saisi la main, je l’ai baissée. J’ai dit: «Baissez-la par ici afin que je vous reconnaisse lorsque je vous reverrai...?...» Oh! Je n’aime pas ces choses artificielles, formalistes. Qu’êtes-vous après tout? Un jour, vous aurez à vous tenir dans la Présence de Dieu pour rendre compte de cette âme pécheresse et répondre devant Dieu. Elle était là, debout, tout comme cela.
47 Autrefois, il y a longtemps, quand un voisin tombait malade, ou quelque chose comme cela, nous allions couper son maïs, lui couper du bois, si c’était en hiver. Mais aujourd’hui, un voisin peut mourir, et vous ne le saurez pas avant de le lire dans le journal. C’est vrai. Il n’y a plus d’amitié parmi les gens. C’est horrible. L’amour... «Parce que l’iniquité se sera accrue, l’amour du plus grand nombre se refroidira», a dit Jésus dans Matthieu, chapitre 24. C’est vrai.
48 Eh bien, alors, elle s’est mise à parler à Elizabeth, et Elizabeth s’est mise à lui parler. Et je peux entendre Elis... Marie dire à Elisabeth... Suivons leur conversation. Je peux entendre Elizabeth dire... ou Marie dire à Elizabeth: «Oh! Je suis si heureuse, car on m’a dit que tu allais devenir mère dans ta vieillesse.» Et, évidemment, elle pouvait voir cela et le reconnaître.
Et je peux entendre Elisabeth dire: «Oui, je suis–je–je le suis. Oh! J’en suis si heureuse. Mais, Marie, je–j’ai un peu peur. Tu vois, cela–cela fait six mois que je suis enceinte. Et à notre connaissance, l’enfant n’a pas de vie.» Elle était déjà un peu inquiète à ce sujet, vous savez. Le petit Jean était là. Et c’est tout à fait anormal. Vous voyez, ce n’est–ce n’est pas correct. Ainsi donc, à environ deux ou trois mois, il y a la vie. Et elle a fait tout ce temps sans qu’il y ait pourtant la vie.
49 Et Marie a dit: «L’ange Gabriel m’a rencontrée et m’a dit que j’enfanterais aussi un Fils. Et je Lui donnerai le Nom de Jésus.» Eh bien, aussitôt qu’elle a prononcé Jésus, le petit Jean s’est mis à tressaillir et à bondir dans le sein de sa mère.
Frère, la première fois que le Nom de Jésus-Christ a donc été prononcé, cela avait donné la vie à un enfant mort. Que devrait-Il apporter à une Eglise du Saint-Esprit quand le Nom de Jésus...?... la puissance de la maladie et du péché. Alléluia! Oui, c’est... Ce Nom-là, Jésus-Christ, la première fois qu’Il a été prononcé par les lèvres des mortels, Il apporta la vie à un enfant qui était mort dans le sein de sa mère. La Bible déclare qu’il reçut le Saint-Esprit et naquit du sein de sa mère rempli du Saint-Esprit. Alléluia! Oh! la la!
Qu’y a-t-il avec les chrétiens? Un bréchet, mi-méduse. Ayez en vous une colonne vertébrale et prenez position pour Dieu et pour ce qui est correct. Et aujourd’hui, prenez position pour ce que dit la Bible, et croyez-le de tout votre coeur.
50 Le petit Jean s’est mis à tressaillir d’allégresse dans le sein de sa mère, et le Saint-Esprit est venu sur Elizabeth. Elle a dit: «D’où vient que la mère de mon Seigneur... Car, aussitôt que ta salutation a frappé mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein.» Oh! la la!
Pensez à ce que cela a fait. Quand le Nom de Jésus fut prononcé, Cela apporta la vie à cet enfant mort. Que devrait-Il apporter à vos membres, monsieur? Que devrait-Il apporter à votre maladie, à vous les hommes assis ici et à vous qui êtes là?
Prenez le Nom de Jésus avec vous, partout où vous allez ; murmurez-Le partout dans la prière. Soyez loyal ; soyez saint. Vivez pour Dieu, et Dieu confirmera Sa Parole. Oui, oui. Il a juré de le faire. Vous y êtes. La Parole a frappé son oreille et son enfant s’était mis à tressaillir d’allégresse. Elles se sont étreintes.
51 Peu après, après leur séparation, quelques jours après, là-haut, on se demandait alors si ce petit Jean... quel genre de garçon il serait. Quand Jean naquit... Nous croyons qu’il avait environ huit ans ou neuf ; il fut conduit au désert, non pas dans les cimetières théologiques, ou séminaire théologique. C’est tout à fait la même chose. C’est pratiquement exact. Même si je voyais l’un ou l’autre. C’est vrai.
Savez-vous ce qu’un prédicateur de séminaire me rappelle toujours? Je ne blesse pas vos sentiments, frère, j’espère. Mais écoutez, cela produit des hommes de temps à autre. Mais un prédicateur de séminaire me rappelle des poulets de couveuse, qui ne font que piauler, piauler, piauler. Ils n’ont pas de mamans. C’est vrai. Cela a un énorme...?...
52 Je préférerais avoir un homme qui ne sait pas distinguer le grain de haricot du grain de café, mais qui connaît Dieu dans son coeur pour traiter avec les membres de ma famille, plutôt que d’avoir un homme assez instruit pour étouffer un mulet, mais qui ne sait rien au sujet de Dieu. C’est vrai.
Que Dieu bénisse votre coeur, frère. Une expérience sassafras à l’ancienne mode, c’est ce qu’il nous faut aujourd’hui.
Nous n’avons pas besoin de connaître la généalogie, vous avez besoin d’un peu de genoulogie. C’est ce qu’il faut à l’homme aujourd’hui. Retournez à Dieu ; retournez à la vie de prière où... parlant ouvertement. Priez, accrochez-vous à Dieu jusqu’à ce que cela s’accomplisse. Dieu le fera. Alléluia!
Eh bien, ne soyez pas effrayés par cet alléluia, cela veut dire Gloire à notre Dieu. Et Il mérite tout cela. Amen. Je crois cela. Amen veut dire Ainsi soit-il. Vous ne m’effrayerez pas en disant cela.
53 Très bien. Remarquez. Nous y sommes maintenant. Alors, le petit Jean, après sa naissance, fut amené au désert et il resta avec Dieu. Quand il était...
Ensuite, Jésus naquit, nous savons tout sur Sa naissance, survenue six mois plus tard. Quand le petit... Quand Jésus... Jean sortit du désert, regardez comment il vint. Oh! la la! Oh! la la! Il vint...
Je me suis souvent demandé ce que prêchait Jean. Quel homme! Les gens n’allaient pas voir comment il était habillé. Il portait un vieux pantalon de poils, un morceau de... il se drapait dans une peau de chameau pour nouer ce vieux tissu dans lequel il s’était drapé, ou la vieille peau poilue d’un animal autour de lui.
Alors, il est sorti, il s’est tenu sur les rivages de Jourdain ; il n’y avait pas de sièges où s’asseoir. Ceux-ci peuvent être durs, mais eux n’en avaient pas du tout. Mais il avait secoué toutes les contrées voisines autour du Jourdain. Pensez-y: Sans expérience de séminaire, ne sachant comment se tenir et dire: «Aaaamen», comme un veau mourant.
Mais il–il avait un Message de la part de Dieu. C’est vrai. Il ne prêchait pas la vaine philosophie humaine ; il prêchait Christ, et cela secouait la nation.
54 Que Dieu bénisse votre coeur, qu’Il nous donne davantage de baptistes comme cela, et je les croirai. Amen. C’est vrai. Je disais à un évêque il n’y a pas longtemps: «Présentez-moi davantage de Jean. Il prêchait le Saint-Esprit, et il avait le Saint-Esprit.» Oui, oui. Il ne ménageait rien non plus. Il mettait tout à sa place. Il a prêché et il a secoué toutes les régions. Pourquoi? Il prêchait Christ. C’est vrai.
Christ prêché dans la simplicité secouera les gens. C’est la puissance de Dieu. «Et Moi, quand J’aurai été élevé, J’attirerai tous les hommes à Moi.» C’est vrai. Remarquez attentivement. Après Jésus...
Nous devons donc nous dépêcher, car je me suis fait prendre ; mon temps est déjà écoulé, il me reste environ dix minutes. Oh! la la! Nous ne terminons jamais de parler de Lui.
55 Et comment Jésus, quand Il fut baptisé, je peux voir... Reprenons un peu la saynète, et... Je peux voir Jésus et Lazare, c’étaient des amis, ils jouaient ensemble. Ils ne se connaissaient pas. Et Lazare, avons-nous appris, était une espèce de scribe au temple, et peut-être que le... sa fil... ses soeurs faisaient des tapisseries et autres, elles faisaient de la tricotterie.
Et juste sous forme de saynète maintenant, je peux voir Jésus et Lazare jouer ensemble. Et peu après, Lazare revient et dit à Jésus: «Oh! la la, il y a un puissant prophète qui se tient au Jourdain. Il parle de Quelqu’Un de plus grand que lui qui vient, qui baptisera du Saint-Esprit et de Feu. Tu devrais aller le voir.» Et peu savait-il qu’il parlait en ce moment-là même à l’Homme en question.
56 Vous ne savez pas qui est assis juste à côté de vous aujourd’hui. Et dans l’église, cet homme qui a commis une faute, c’est l’un des fils de Dieu ou l’une des filles... ou des filles de Dieu. Ne le rejetez pas, aidez-le. C’est vrai. Entoure-le d’un bras. Vous ne savez pas ce que Dieu peut faire avec lui, si seulement vous l’aidez un peu. C’est vrai.
Et puis, peu après, je peux voir Jésus aller avec Jean, ou plutôt aller là-bas avec Lazare. Et Il fut baptisé par lui au Jourdain. Jésus alla au désert. Et quand le Père a parlé, a–a témoigné de Son Fils, L’a confirmé comme étant le Fils bien-aimé en qui Il mettait son affection... Il alla au désert pour être tenté par l’Esprit.
57 C’est bien ainsi que ça se passe. Dès que vous recevez le Saint-Esprit, la chose suivante, le diable vient directement pour des tentations. Quand vous confessez votre guérison, observez le diable venir directement pour vous faire rétracter là-dessus et dire que c’est faux. C’est le moment de tenir ferme, car vous ne témoignez pas de ce que vous voyez ou de ce que vous ressentez. Vous témoignez de ce que vous croyez. C’est vrai. Accrochez-vous-y.
Il est allé au désert et Il a été tenté par le diable, Il en est revenu. Son ministère, au moment du passage de l’Ecriture que nous avons lu (maintenant, nous allons y aller aussi vite que possible), avait atteint un niveau où des foules affluaient de partout et étaient guéries, elles écoutaient Ses précieuses Paroles alors qu’Elles tombaient de Ses lèvres. Son ministère était devenu tellement important qu’il se développait. Oh! la la! Les gens venaient, goûtant simplement du miel qui sortait de Sa bouche.
58 Hier soir, quand je lisais ce passage des Ecritures dans Saint Luc, chapitre 5, comment ils venaient écouter Sa Parole, ils Le pressaient pour entendre la Parole de Dieu, combien glorieux... L’Eglise aujourd’hui devrait se hâter de partout pour entendre la Parole de Dieu, s’accrocher à la Parole.
Nous sommes l’église naturelle, ou plutôt l’Eglise spirituelle, juste comme Israël était l’église naturelle. Nous avons été retirés de la servitude, la servitude humaine, juste comme Israël était sorti de la servitude en Egypte. Croyez-vous cela? Nous avons traversé...
Nous avons eu un sacrifice par lequel nous échapper. Le sang sur le linteau, la porte, ou sur le montant, juste une croix, parfaitement. Une fois à l’intérieur, personne ne devait sortir de sous le sang avant qu’on l’ait appelé à en sortir. Ils ont traversé le Jourdain, ou plutôt traversé la mer Rouge, le type du Sang, la puissance de Dieu qui sanctifie, tuant toute la nature du péché, le péché derrière vous, les chefs de corvée, la cigarette, le whisky, les débits de boisson et le cinéma. Tout ce qui vous dérangeait jadis et qui entravait votre expérience chrétienne est mort dans le Sang de Christ. Oui, oui, frère.
59 Si jamais vous avez une fois été purgé par le Sang de Christ, ces choses sont mortes. Si ce n’est pas... Si vous aimez le monde, les choses du monde, l’amour du Père n’est pas en vous. C’est peut-être un peu dur à être enseigné ici, mais c’est la vérité, je vous assure. Je n’ai pas d’étalons dans l’Eglise. Non, pas du tout. Absolument pas.
Le vieux–vieux chêne qu’on a par ici conserve ses feuilles tout l’hiver. Quand le printemps arrive, vous n’avez pas à arracher les anciennes feuilles, vous laissez simplement la nouvelle vie entrer ; les vieilles feuilles tomberont. C’est comme ça. Laissez Christ entrer dans le coeur ; le reste prendra soin de soi. C’est vrai. Recevez simplement Christ dans le coeur ; cela prendra soin du reste.
60 Et dans leur marche, oh! comme c’est beau! Cela est le type de nos églises aujourd’hui, comment ils ont traversé la mer Rouge. Et puis, Moïse s’est mis à chanter en Esprit. Miriam a pris un tambourin, s’est mise à danser juste comme à une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode: dansant, chantant, et louant le Seigneur. Pourquoi? Ils avaient remporté la victoire. Ils avaient la victoire. Tous les... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... le lendemain matin. Et quand ils sont sortis, il y avait de la manne partout sur terre. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... venu du Ciel d’auprès de Dieu. Ils ont goûté cela, cela avait le goût du miel. Oh! la la! Il y a quelque chose de doux dans le miel.
61 David, un berger, avait l’habitude... Les anciens bergers de l’époque se promenaient avec une gibecière. Ils mettaient du miel dans cette gibecière. Et quand leurs brebis tombaient malades, ils prenaient ce miel, le déversaient sur un rocher et faisaient lécher le rocher à la brebis malade. En léchant du miel, elle consommait du calcaire du rocher et cela guérissait la brebis.
Eh bien, écoutez, frères. J’ai toute une gibecière pleine de miel. Eh bien, je vais mettre cela sur un Rocher appelé Jésus. Vous les brebis malades, mettez-vous à lécher très vite et voyez si vous ne vous rétablissez pas. Oui, oui. Léchez autant que possible. Alléluia! Et, frère, je vais mettre cela sur Jésus-Christ, pas sur l’Eglise baptiste, ni sur l’Eglise méthodiste ni sur l’Eglise presbytérienne, ni sur quoi que ça puisse être. Sa place, c’est sur Christ. Ne léchez pas votre église, léchez Dieu. Alléluia! C’est là le lieu de la promesse. Non pas ce que docteur Untel a dit à ce sujet, mais ce que Dieu a dit à ce sujet. C’est Lui qu’il faut croire. Oui, oui.
62 Il y a quelque chose au sujet de cette pierre-là, c’est que cela se colle. Naguère, quand on avait l’habitude de... une personne était mordue par un chien enragé, on prenait la–la personne qui avait la morsure du chien enragé, on l’amenait à la pierre antirabique. Si la personne se collait à la pierre, elle était guérie. Si elle ne se collait pas, elle mourait.
Oh! Le pire démon, ou le pire chien enragé que je connaisse, c’est le diable. Il nous a tous mordus tout du long. C’est vrai. Et, je vous assure, il y a un Rocher, Jésus-Christ. Allez-Y. Attachez-vous-Y. Accrochez-vous-Y. Alléluia! Cela vous tirera d’affaire. Accrochez-vous simplement au Rocher d’âges, fendu pour moi ; laisse-moi me cacher en Toi. Accrochez-vous-Y fermement si vous êtes malade. Regardez et voyez si vous ne vous rétablissez pas. Accrochez-vous simplement au Rocher ; cela vous tirera d’affaire. C’est vrai. Oui, oui.
63 Amis, considérons juste un peu plus longtemps le miel. La manne, ça a le goût du miel, a-t-il dit, sur le rocher. Eh bien, c’était un type du Saint-Esprit.
Dieu avait dit à Moïse de demander à Aaron d’aller prendre un omer rempli de cela et de l’amener à l’endroit où ça devait être conservé, dans le lieu très saint. Que chaque génération qui passera à partir de ce moment-là, quand les fils de leurs fils leur demanderaient: «A quoi cela servait-il?», et chaque sacrificateur, qui était de la lignée des sacrificateurs, savait qu’aussitôt qu’il passait derrière, qu’il entrait dans le sacerdoce, qu’il avait le droit de goûter une bouchée de manne originelle qui était tombée au commencement. Oui, oui. Il pouvait en avoir une bouchée. Aussitôt qu’il était ordonné dans le sacerdoce, il pouvait goûter de la manne originelle.
64 Oh! Que c’est beau ça, ce qui s’applique au Saint-Esprit, la puissance qui nous soutient pour faire avancer l’Eglise. S’ils manquaient de manger la manne, ils mourraient. Et si nous manquons de nous nourrir du Saint-Esprit, nous mourrons. Si nous manquons de prier jusqu’à l’exaucement chaque jour, tout le temps, de nous maintenir sous le Sang, on se desséchera et on mourra dans son expérience chrétienne.
Ainsi donc, amis, ce qui arriva le jour de la Pentecôte quand notre Manne fut déversée... Pendant qu’ils étaient tous assemblés en un seul lieu, de commun accord, il n’y avait pas de dispute quant à savoir s’ils étaient méthodistes, baptistes ou luthériens. Ils étaient à un seul endroit, d’un commun accord, s’attendant à ce que Dieu tienne Sa Parole. En effet, dans Luc 24.49, Il leur a dit: «Attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut.» Actes 1 dit: «Quand le Saint-Esprit surviendra sur vous, vous serez alors Mes témoins à Jérusalem, en Judée, dans la Samarie et jusqu’aux extrémités de la terre.»
65 Et cent vingt personnes s’étaient assemblées dans la chambre haute, attendant la puissance qui allait les soutenir pour descendre parmi les gens. Et soudain, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, il remplit toute la maison où ils étaient assis, et des langues séparées apparurent et se posèrent sur...?... dans les rues...
Et permettez-moi de vous dire quelque chose maintenant même. La vierge Marie et les autres étaient juste là parmi eux. C’est vrai. Et si Dieu n’a pas fait d’exception pour la sainte vierge Marie pour qu’elle aille au Ciel autrement qu’en recevant le Saint-Esprit, femme, qu’en est-il de vous? C’est vrai. Il vous faudra payer le même prix, avoir la même expérience, avoir la même chose qu’eux avaient eue jadis au commencement.
66 Car, je vous assure, quand la puissance de Dieu s’est mise à descendre, ils avaient perdu toute la dignité et tout le reste. Ils sont allés dans les rues, en titubant comme des gens ivres, remplis du Saint-Esprit...?... Pierre a dit: «La promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin (même à Minneapolis, Minnesota, ou...), en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
Frère, je vous assure, chaque homme qui payera le prix, qui prendra position pour Christ, a le droit de recevoir le baptême, pas quelque chose que vous fabriquez, mais l’original, comme ce qui était descendu au début, comme ce qu’ils avaient eu le jour de la Pentecôte. Alléluia! Vous allez de toute façon me taxer de saint exalté, vous feriez tout aussi mieux de vous y habituer. C’est vrai. Amen.
67 Permettez-moi de vous dire autre chose. Le Saint-Esprit est un produit authentique. Vous n’avez pas à recevoir une copie ou quelque chose comme cela, attendez jusqu’à ce que vous goûtiez la Manne originelle qui était descendue le jour de la Pentecôte. Alléluia! Oui, monsieur. Ils étaient là, ils avaient reçu le Saint-Esprit. C’est...
Savez-vous le problème de l’église aujourd’hui? Elle a besoin d’un bon réveil de l’ancien temps à la Saint Paul et d’un enseignement biblique du Saint-Esprit, là-dessus une fois de plus. C’est vrai. Il faut le Feu descendu du Ciel...
68 Cela me rappelle quand j’étais un petit garçon, je me promenais le long de la rivière une fois, j’ai vu une vieille tortue. C’était la créature la plus amusante que j’aie jamais vue, une vieille tortue. Elle lançait ses pattes comme ça. Mon jeune frère et moi avions regardé comment elle marchait. Nous nous sommes approchés d’elle, alors elle est rentrée dans sa carapace. Juste comme certains de ces chrétiens formalistes et froids, comme quand on se met à leur parler de la guérison divine: «Oh! Docteur Untel a dit que c’est faux.» Oh! la la! Retirez-vous dans votre carapace. C’est en ordre. Très bien.
J’ai dit: «Faisons-la marcher de nouveau.» Je me suis procuré un bâton, c’est comme si je l’avais frappée à mort. Elle n’a pas marché. On ne peut pas la faire sortir d’elle en la frappant. C’est tout. Elle va simplement se retirer et haleter.
J’ai donc dit: «Je vais te dire ce que je vais faire. Je vais la faire marcher. Je vais l’amener ici dans l’eau, et je vais lui régler son compte.» Je l’ai amenée à la rivière et je l’ai plongée. Il y a juste eu quelques bulles qui sont montées et c’était tout. Frère, vous pouvez les baptiser de telle façon et de telle autre façon, les asperger, les plonger face en avant, face en arrière. Il descend un–un pécheur sec et remonte un pécheur mouillé. Il reste toujours un pécheur. Ce n’est pas votre baptême d’eau qui vous sauve.
69 Je vais vous dire ce que j’ai fait. Je suis allé me procurer un morceau de papier et j’ai allumé un petit feu, et j’ai mis cette vieille créature dessus. Elle a alors marché, je–je dis vrai. C’est vrai.
Et ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui, c’est de l’Evangile de Feu–Feu du Saint-Esprit à l’ancienne mode, qui descend à l’autel et dans chaque coeur. Cela constituera une église, aussi certainement que deux fois deux font quatre. C’est vrai. Oui, oui. Ramenez la puissance de Dieu. Ramenez une fois de plus le Saint-Esprit dans les coeurs des gens, de telle sorte que vous pouvez avoir une foi vivante en Dieu, lorsque vous parlez de la guérison divine: «Oui, j’accepte cela.» Alléluia! C’est vrai. Revenez à la Bible et revenez au Saint-Esprit. Assurément! Comme c’est merveilleux!
70 Eh bien, Jésus, dans Son ministère, on allait écouter Sa Parole précieuse. Il en arriva à devoir quitter la maison. Et quand Il est parti, la tristesse et les ennuis ont commencé. Et chaque fois qu’Il sort de chez vous, la tristesse et les ennuis entrent. Chaque fois qu’Il sort de votre église, la confusion et l’état de rétrograde entrent. Quand vous...?... les troubles sont en route ; gardez-Le avec vous tout le temps.
Maintenant, dans ce cas-ci, évidemment, Il n’avait pas été chassé, mais Son oeuvre L’avait amené ailleurs. Et aussitôt qu’Il était allé ailleurs, Lazare, Son ami intime, est tombé malade à mort. On a envoyé chercher Jésus afin qu’Il vienne prier pour lui. Et au lieu que Jésus vienne, Il a simplement poursuivi Son chemin. Et on a encore envoyé Le chercher. Et Il a tout bonnement continué Son chemin, ignorant apparemment cela. Jésus connaissait tout ce que le Père Lui avait montré.
71 C’est pourquoi... (Amis, j’ai dépassé le temps.) Et maintenant, si vous envoyiez appeler votre pasteur et qu’il ne venait pas prier pour vous, alors que vous êtes malade, eh bien, vous diriez: «Ce vieil hypocrite, je vais aller adhérer à l’église de voisins, ou de quelqu’un d’autre.» C’est pourquoi votre pasteur ne peut rien faire pour vous. Vous devez avoir foi en lui, confiance en lui en tant qu’homme de Dieu, et savoir que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. C’est vrai. Eh bien, votre pasteur ne m’a pas dit de dire cela non plus.
Mais je sais ceci: vous devez avoir confiance dans l’homme avec qui vous traitez, sinon cela ne vous fera aucun bien d’avoir une quelconque relation. C’est vrai. Vous devez croire votre pasteur. C’est un homme de bien, sauvé par Dieu, il prêche l’Evangile ; soutenez-le avec tout ce que vous avez. S’il ne l’est pas, allez ailleurs où on fait cela. C’est vrai. Eh bien, cela met les choses au point de part et d’autre. Eh bien, rappelez-vous ceci. S’il prêche l’Evangile, restez avec lui, aidez-le, car il est un homme envoyé de Dieu, ordonné par Dieu pour nourrir votre âme.
72 Et alors, quand ils ont envoyé chercher Jésus, Celui-ci a poursuivi Son chemin. Je pense que Jésus savait alors ce qui arriverait. Eh bien, si vous prenez... Quand Il passait près de la piscine de Béthesda... Regardez là. Un grand nombre de gens étaient couchés là.
Quand la Bible parle d’un grand nombre, cela veut probablement dire dix mille au moins, des boiteux, des estropiés, des aveugles, des paralytiques–paralytiques, des aveugles, des estropiés, des muets, attendant le mouvement des eaux, car Dieu envoyait un ange à certaines périodes. Est-ce vrai?
La guérison venait alors par l’ange, n’est-ce pas? Ce n’était pas l’eau, mais l’ange. Et si l’eau disait: «Regardez quelle grande eau je suis»? Non, ce n’était pas l’eau ; c’était l’ange. En effet, quand l’ange s’en allait, ça restait juste de l’eau (Est-ce vrai?), juste de l’eau.
73 Alors, Jésus passa près de cette piscine et Il vit tout ce grand nombre, et Il a guéri un seul homme. Il n’était pas estropié ; il avait une indisposition depuis trente-huit ans. Il l’a guéri, et Il s’en est allé, laissant chacun de ces estropiés couchés là. Est-ce vrai? Saint-Jean, chapitre 5. Il les a laissés tous. On dirait que Son coeur compatissant aurait dû sympathiser et guérir eux tous. Il pouvait probablement le faire.
Mais observez le chapitre 19, le verset 19 de ce même chapitre, quand les Juifs L’interrogeaient. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai? Dieu devait premièrement le Lui montrer. Aussi, Il n’a pas dit qu’Il était un Guérisseur divin. Il attendait que Dieu Lui montre en vision ce qui allait arriver, ensuite, Il l’allait accomplir.
74 N’est-ce pas ainsi qu’Il opère aujourd’hui? Il en sera donc tel que Dieu le dit. Mais vous ne pouvez rien dire avant que Dieu le dise premièrement. Ainsi, si quelqu’un pense...
Quelqu’un disait l’autre jour... J’ai entendu quelqu’un dire: «Oh! C’est de la supercherie.» Si vous pensez que c’est de la supercherie, alors que pensez-vous de Jésus-Christ? C’est vrai. Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; le Fils aussi le fait pareillement.» Il a dû attendre que Dieu le Lui montre, et puis Il est allé accomplir cela. Eh bien, Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait premièrement.
75 Je crois qu’Il avait vu la résurrection de Lazare. C’est vrai. Et quand Il est allé...?... Alors, Il s’est présenté. Peu après, Il a dit: «Lazare, notre ami, dort.»
Les disciples ont dit: «Il fait bien.»
Il leur a alors parlé ouvertement, de façon qu’ils comprennent cela. «Il est mort.» Il a dit: «Mais...» Ecoutez, j’aime ça. Il a dit: «Et Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Mais Je vais le réveiller.» Il savait ce que le Père Lui avait ordonné de faire, car Il a dit: «Je vais le réveiller.» Et Il s’en alla, Il prit le chemin du retour.
Eh bien, lorsque l’état de santé de Lazare s’empirait de plus en plus malade et qu’ensuite on L’envoya chercher... Oh! Comme c’était décourageant! Ils ont envoyé chercher le Pasteur pour venir prier pour lui. Ils avaient quitté leur église. Ils avaient tout abandonné pour suivre cet Homme, ce Guérisseur divin, il n’y avait pas d’espoir qu’Il vienne. Il poursuivait Son chemin, ignorant leur message. Quelle heure sombre! Puis, tout à coup, vous savez, la mort frappa, tua Lazare. On l’a emmené et on l’a enseveli.
76 Le premier jour passa. Oh! la la! Comme c’était sombre! Le deuxième jour passa ; sombre. Le troisième jour, le quatrième jour, il n’y avait plus d’espoir. Il pourrissait déjà dans la tombe, et les vers de son corps grouillaient en lui. Il n’y avait d’espoir nulle part. Elles étaient découragées, leur Pasteur les avait abandonnées, leur Bien-aimé. Celui qui opérait des miracles les avait abandonnées, Il n’était pas venu à leur secours. Et Marie et Marthe étaient restées seules là, leur père et leur mère étant morts ; maintenant, ces deux jeunes filles étaient restées seules au monde.
Quelqu’un était venu pour–pour les encourager. Elles étaient assises, vêtues de sacs, portant des voiles noirs, pleurant et gémissant à cause de leur frère. Et alors, à l’heure la plus sombre, puis Jésus vint. C’est ainsi qu’Il s’y prend. Amen.
Frère, c’est peut-être l’heure la plus sombre pour vous maintenant même. Mais Jésus vient juste à l’heure la plus sombre. Quand j’y pense, c’était l’heure la plus sombre jamais connue pour la femme à la perte de sang ; elle avait dépensé tout son argent. Puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre jamais connue pour Jaïrus ; sa fillette était couchée, morte. Puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre jamais connue sur la mer pour Pierre et les apôtres ; on dirait qu’ils allaient être noyés. Puis Jésus vint.
77 Oh! Frère, c’était l’heure la plus sombre que j’aie jamais connue il y a deux ans, aux cliniques Mayo, quand les meilleurs médecins étaient entrés et avaient dit: «Révérend Branham, il n’y a plus d’espoir pour vous. Vous n’allez jamais, jamais guérir de cela. Ça en est fini de vous.» C’était l’heure la plus sombre que j’aie jamais connue ; puis Jésus vint. Oh! la la! Oh! Combien je L’aime! Oui, oui. Combien je pense à Lui! Combien Il a fait pour moi. Je pense à:
Grâce étonnante!
Oh! quel doux son!
Qui sauva un vil comme moi!
J’étais une fois perdu, mais maintenant je suis retrouvé,
J’étais aveugle, mais maintenant je vois.
Si aveugle qu’on devait me conduire par le bras. Je ne savais où j’allais. Maintenant, ma vue est vingt sur vingt. Une pauvre créature couchée là, misérable et vile, mourant ; puis Jésus vint. Quel merveilleux... Comme Il vient juste à l’heure la plus sombre!
78 Puis, quelqu’un a dit... Je peux l’entendre dire: «Dites donc, voilà le Guérisseur divin qui n’était pas venu quand Lazare était vivant, Il revient furtivement dans la ville maintenant. Il est là dehors.»
Maintenant, écoutez. Marie, ou plutôt Marthe, excusez-moi, avait lu l’histoire de la femme sunamite, qui avait eu un enfant. Et elle, par... Et quand elle... l’enfant était mort, elle ignorait la cause de sa mort. Mais elle savait que si elle pouvait atteindre Elie le prophète, que Dieu était dans le prophète. Et tout ce que... Elle pouvait découvrir ce que Dieu voulait dire par cela, une fois qu’elle pouvait atteindre le prophète...
Alors, elle a demandé qu’on selle un cheval, qu’on aille de l’avant et qu’on ne s’arrête pas. Elle a donc donné l’ordre. Elle est arrivée auprès du prophète et le prophète a dit: «Tiens, je vais t’envoyer un tissu oint, en d’autres termes. Je vais te donner mon bâton. Va le poser sur l’enfant.»
Elle a dit: «L’Eternel est vivant, et ton âme est vivante! Je ne te quitterai pas.» Elle savait que Dieu était dans le prophète. Elle est restée juste avec le prophète jusqu’à ce qu’elle eût découvert.
79 Elie est allé avec elle jusque dans la chambre où se trouvait le mort, et là, il parcourait la pièce, sans prier pour l’enfant. Il parcourait la pièce, puis il s’est étendu sur l’enfant. Le Seigneur Dieu a oeuvré par Elie. Alléluia!
Ô chrétiens, vous ne savez pas de quoi je parle ; je ne crois pas. Voyez, écoutez ça. Dieu était dans Elie. Et...?... Et Elie le savait. La femme le savait. Et il a étendu... Il savait. C’est pourquoi il avait envoyé ce bâton-là. Il savait que tout ce qu’il touchait était béni, car Dieu était en lui. Oh! la la! Voyez-vous ce que je veux dire? Dieu était en lui. Et s’il touchait quoi que ce soit, cela était béni. Il n’avait pas prié pour l’enfant ; il s’est étendu sur l’enfant. Et le Dieu qui était dans Elie... Le souffle entra dans l’enfant, il éternua sept fois, il se leva bien portant.
80 Et Marie savait assurément, ou plutôt Marthe, que si Dieu était dans Elie, assurément Il était dans Son Fils. Oh! la la! Elle savait que si elle pouvait l’atteindre, elle pouvait découvrir pourquoi son frère était mort.
Elle est directement sortie de la ville. Je peux entendre certains d’entre eux dire: «Eh bien, regardez où vous allez maintenant.» Elle a repoussé ces vieux critiqueurs, elle est sortie directement. Jésus n’était pas encore entré dans la ville, elle est arrivée là où Il était.
Maintenant, suivez. On dirait qu’elle avait le droit de Le réprimander. On dirait qu’elle avait le droit de Le gronder et de dire: «Pourquoi n’es-Tu pas venu? Oh! Je pensais que Tu pouvais le guérir.» Si elle avait fait cela, le miracle ne se serait jamais accompli.
C’est votre approche du don divin qui produit les résultats. C’est la façon dont vous vous approchez de cela qui compte. N’est-ce pas vrai? La façon dont vous vous approchez de n’importe quoi...
81 Elle eut une approche correcte. Elle se présenta, elle tomba à genoux et dit: «Seigneur...» Elle n’a pas déconsidéré Son titre. «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.» Oh! la la! Cela L’a touché. Elle savait que si elle pouvait toucher Son coeur, elle aurait ce qu’elle voulait. Elle dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.» J’aime ça. «Maintenant même, Seigneur.» Il est mort, il est enseveli depuis quatre jours. Les entrepreneurs des pompes funèbres l’ont emmené là, ont embaumé son corps et l’ont emporté. Il est mort depuis quatre jours, et il–il est simplement en train de pourrir là sous terre. «Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.»
Oh! Frère, soeur, vous pouvez avoir essayé tout ce qu’il y a au monde. Vous pouvez avoir essayé de vous rétablir. Vous les hommes assis ici, souffrant du cancer, vous pouvez avoir tout fait ; sans doute que vous l’avez fait, «mais, maintenant même, Seigneur, maintenant même.» Quand?
«J’attendrai le service de ce soir.»
Non. «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Il le fera.» Quand? Maintenant. Il est assis à la droite du Père, regardant vers le bas maintenant même, prêt à intercéder.
«Mais, Frère Branham, je–je suis malade.»
«Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.» Il attend que tu dises: «Seigneur, je crois en Toi. Seigneur, je crois en Toi. Maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.»
«Mais, Frère Branham, je–je suis sourd d’une oreille.»
«Mais, maintenant même, Seigneur.»
«Eh bien, on avait prié pour moi auparavant.»
«Mais, maintenant même, Seigneur. Oh! la la! Tout ce que Tu demanderas à Dieu.»
«Frère Branham, je cherche à recevoir le Saint-Esprit depuis longtemps.»
«Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.» Vous y êtes. C’est ce qu’il faut. C’est ce qu’est la foi.
82 Remarquez. Il a dit: «Ton frère ressuscitera.» Maintenant, redressons-Le. «Oh! la la! Ton frère ressuscitera.» Observez les anciennes puissances prophétiques se rassembler maintenant, l’endroit convenable, la personne convenable, le temps convenable. «Mon frère est mort et il est dans la tombe. Mais Toi, si Tu eusses été ici, il ne serait pas mort. Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.»
Cela Le frappa. Cela Le toucha. La foi... Cela n’avait jamais été fait auparavant, la foi. «Ton frère ressuscitera.»
Elle a dit: «Oui, Seigneur. Il ressuscitera au dernier jour.» Ces Juifs croyaient dans la résurrection générale. «Oh! Il ressuscitera. C’est un bon garçon. Il ressuscitera au dernier jour ; je le sais.»
Regardez-Le. Oh! la la! Il n’y avait pas... Son aspect n’avait rien pour nous plaire. Oh! Il était probablement un Homme d’apparence frêle. Il a dit... Un Homme de douleur, habitué à la souffrance. Mais Il a redressé Son petit corps, Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.»
83 Oh! la la! C’est ça. «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»
Elle a dit: «Oui, Seigneur. Je crois...» Regardez ça. «Je crois que Tu es le Fils de Dieu, que Tu dis être, qui devait venir dans le monde. Je crois ce que Tu as dit que Tu es. Ce que Dieu a fait pour Toi, c’est la vérité. J’en crois chaque Parole.»
«Où l’avez-vous enseveli?» Oh! la la!
C’est là qu’une femme m’a dit il n’y a pas longtemps, quand j’étais... Elle a dit: «Jésus n’était pas le... divin.» Elle a dit: «C’était un Homme de bien, un bon Enseignant, ainsi de suite ; c’est bon pour les gens de vivre de cela. Juste comme avec père Noël, des histoires pour les enfants. Mais, a-t-elle dit, Il n’était pas Dieu.»
J’ai dit: «Oh! Si, Il était Dieu.»
Elle a dit: «Non, Il ne L’était pas.»
J’ai dit: «Il L’était.»
Elle a dit: «Ecoutez, je peux vous le prouver. Quand Il descendait à la tombe de Lazare, Il avait pleuré comme un homme.»
J’ai dit: «Oui.» Je crois qu’Il était plus qu’un homme. Je crois qu’Il était un Dieu-Homme. Je crois que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Je crois que Dieu habitait dans Son Fils, Il demeurait dans Son Fils, et qu’Il réconciliait le monde avec Lui-même par Son Fils.» Croyez-vous cela? Je le crois de tout mon coeur. Il était plus qu’un homme. Il était Dieu le–Dieu le Fils ici sur terre. Tout ce que le Père avait, était alors en Lui. Et je crois qu’Il était plus qu’un homme, Il était un Dieu-Homme. Et quand Il descendait à la–à la tombe, Il a pleuré comme un homme. C’est vrai. Mais quand Il s’est tenu là, qu’Il s’est redressé et a dit, Il leur a dit d’ôter la pierre, il a dit: ‘Lazare, sors.’ Quand Il a ressuscité le mort, Il était plus qu’un homme. Il était Dieu. Il était un Homme quand Il pleurait, mais Il était Dieu quand Il a ressuscité le mort. C’est vrai. Oui, oui. Il était Dieu.
84 Et, je vous assure, quand Il descendait de la montagne cette nuit-là, Il avait faim comme un homme, quand Il cherchait dans le figuier quelque chose à manger, alors Il avait faim comme un homme. Mais quand Il prit cinq petits pains et qu’Il nourrit cinq mille personnes, c’était Dieu dans Son Fils. Il était un Dieu-Homme. Je sais qu’Il L’était.
Il était un Homme cette nuit-là quand Il était couché dans cette barque là-bas, que toutes les vagues faisaient tanguer. Dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Il était un Homme alors qu’Il était couché là à la poupe de cette barque, fatigué et épuisé. Mais quand Il s’est levé et qu’Il a posé son pied sur le bastingage, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», c’était Dieu qui parlait au travers de Son Fils. Alléluia!
Je crois qu’Il était un Dieu-Homme. Il était plus qu’un homme. Il était une Personne divine que Dieu avait envoyée du Ciel. Oui, oui. Je sais qu’Il avait pleuré comme un homme quand Il mourait à la croix ; les rochers se fendirent par le milieu et les cieux s’obscurcirent, mon Sauveur inclina la tête et mourut. C’est vrai. Il était un homme quand Il mourait. Mais quand Il ressuscita le troisième jour, Il prouva qu’Il était Dieu. C’est vrai. Dieu était dans Son Fils. Il L’a ressuscité. Il était Dieu. J’en crois chaque Parole.
85 Je peux donc Le voir parcourir ce lieu-là, vers la tombe. Il a dit: «Ôtez la pierre.» On dirait que s’Il avait été un gentleman, Il aurait pu l’ôter Lui-même. Mais Il a demandé à ces femmes de le faire. Pourquoi? Vous avez votre part à faire. Oui, oui. Vous devez faire votre part. Il a dit: «Ôtez la pierre.»
Elles ont ôté la pierre et il se dégagea une odeur très nauséabonde. Et elles étaient sur le point de suffoquer à cause de cela, un cadavre humain.
Alors, je peux Le voir se redresser encore ; Il a dit: «Père, Je Te loue de ce que Tu m’exauces toujours. Mais c’est à cause de ces gens qui sont ici que J’ai dit...» Il avait déjà eu la vision. Il savait ce qui allait arriver. Alors, Il cria d’une voix forte, poussant un cri, disant: «Lazare, sors.»
Je crois, frère, que s’Il ne l’avait pas spécifiquement appelé par son nom de Lazare, je crois que la résurrection générale aurait alors eu lieu. C’est ce que je pense à Son sujet. C’est vrai. Je crois que la résurrection de toute créature morte, qui soit jamais morte, aurait eu lieu ; elle serait sortie de la tombe s’Il avait simplement dit: «Sortez.» Oui, oui. Mais Il a appelé: «Lazare, sors.»
Je me réjouis aujourd’hui de ce que mon nom est inscrit dans Son Livre. «Un jour, Il appellera aussi, et je répondrai», dit Job.
86 Mais là, Il avait appelé Lazare, un homme mort depuis quatre jours ; son corps était putréfié, son âme avait effectué un voyage de quatre jours quelque part là... Je ne sais où elle était, vous non plus ; nous n’allons donc pas en discuter. Mais l’âme de cet homme qui était partie depuis quatre jours est revenue. Et un homme mort s’est tenu debout et a encore vécu. Crois-tu cela?
Oui, oui. Je le crois. Je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il est Celui qui avait parlé aux mers, et elles s’arrêtèrent. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il a dit dans Sa Parole: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes.» Crois-tu cela?
Je crois qu’Il a dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, vous pouvez demander ce que vous pouvez, et cela vous sera accordé.» Crois-tu cela?
Je crois que, dans les derniers jours, il y aura un relâchement ; les hommes seront têtus, emportés, aimeront le plaisir plus que Dieu. Je crois que nous vivons en ce jour-là. Crois-Tu cela?
Il a dit: «En ce temps-là, le germe de l’Eternel aura de la magnificence.» Il a prophétisé qu’Il aura une Eglise, que les miracles accompagneront ceux qui auront cru. Dans Marc 16, Il a dit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Je crois que nous vivons en ce jour-là maintenant même. Crois-tu cela?
87 Je crois que Son Esprit est ici même cet après-midi. Je crois qu’Il a dit que quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé. Crois-tu cela?
Je crois que chaque homme ou chaque femme qui est ici maintenant même sous l’onction du Saint-Esprit peut accepter Jésus maintenant même et recevoir le Saint-Esprit. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il guérira chaque personne dans cette salle maintenant même, si seulement vous Le touchez. Vous... Crois-tu cela?
88 Il y a trois ans, un Ange m’a rencontré dans des sphères qui sont... dans une pièce et a dit: «Si tu amènes les gens à te croire et que tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à ta prière.» Crois-tu cela? Je crois qu’Il est ici maintenant. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il veut guérir maintenant même. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il veut guérir ces hommes du cancer. Crois-tu cela? Je crois qu’Il veut guérir ce petit garçon estropié. Crois-tu cela? Je crois qu’Il veut remplir cet endroit du Saint-Esprit maintenant même. Crois-tu cela?
89 Levons-nous et rendons-Lui alors gloire. Oh! la la! Le voici ...?... Avez-vous besoin du Saint-Esprit? Avez-vous besoin de Christ dans votre vie? Voulez-vous être guéri? Maintenant, pendant qu’Il est ici, acceptez-Le maintenant même sur base de la Parole. Dites: «Seigneur, sur Ta Parole, me voici, Seigneur. Je crois maintenant que Tu vas me guérir. Je crois que Tu vas me sauver. Je crois que Tu vas me donner le Saint-Esprit.» Que chaque main se lève maintenant. Que chaque coeur se tourne vers Dieu pendant que nous prions. L’aimez-vous? Je vais Lui demander... Je Lui ai demandé cet après-midi, avant de venir ici, de vous remplir du Saint-Esprit et de vous guérir. Je crois qu’Il va le faire. Croyez-vous cela? Crois-tu cela? Demandez-le-Lui maintenant. L’aimez-vous?
90 Notre Père, nous sommes assemblés ici cet après-midi dans aucun autre but que de glorifier Ton Fils Jésus ; et maintenant, pendant qu’Il se meut dans cette salle, ô Dieu, là dans l’assistance, nous ne reverrons plus jamais ce jour. Il arrivera que nous aurons à Te rencontrer au Jugement avec ce que nous avons fait de cela. Ô Dieu, je prie maintenant, alors que le Saint-Esprit nous a parlé cet après-midi, que Toi, ô Dieu, Tu remplisses leurs coeurs maintenant même, Seigneur. Envoie le Saint-Esprit. Guéris chaque malade dans cette salle maintenant même. Qu’ils reçoivent la Parole avec joie et qu’ils soient remplis du Saint-Esprit maintenant même au Nom de Jésus-Christ.
Combien croient? Combien croient qu’ils sont...?... Dites: «Gloire au Seigneur.» Combien acceptent cela? Dites: «Gloire au Seigneur.» Alléluia!
91 Que chaque personne ici présente, chaque personne ici à l’intérieur, impose les mains à celui qui se tient à côté d’elle. Placez la main sur celui qui se tient à côté de vous. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Maintenant, Dieu va faire ceci. Je sais qu’Il va le faire. Oh! la la! Regardez là maintenant, amis. Les mains des uns sur les autres. La vieille mère imposant sa main à un petit enfant. Le vieux papa imposant les mains à la mère. Oh! Ça y est. C’est ce dont je parle. Maintenant, recevez cela, amis. Ça y est.
Ô Dieu, précieux Ange du Seigneur, remplis maintenant même du Saint-Esprit, va avec tout un chacun d’eux. Je prie...?... Accorde-le, Seigneur. Croyez en Lui.