Crois-Tu Cela?
1 Merci, Frère Lindsay. Bonsoir, assistance. Je suis très content d’être ici cet après-midi pour parler de la Personne la plus glorieuse qui ait jamais vécu sur terre, ou qui puisse jamais vivre sur terre, notre Seigneur Jésus-Christ. C’est pourquoi, j’ai... Un jour, je parlais, et ma femme... A l’une des premières réunions auxquelles nous assistions donc, elle a dit: «Ce sont là tous ceux qui sont venu?»
J’ai dit: «L’Evangile est la plus grande attraction que le monde ait jamais connue.» J’ai dit... «Et Moi, quand J’aurai été élevé, J’attirerai tous les hommes à Moi.»
2 Et maintenant, il m’incombe cet après-midi de parler. Il fait un peu chaud sous la tente. Et je... Je ne suis pas un prédicateur pour commencer, mais je–j’aime parler de la Parole. La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole. C’est ce qui nous donne la foi. Avant que nous puissions avoir la foi, il nous faut avoir une base pour la foi. N’est-ce pas vrai? Le...
Si vous alliez vous marier, vous auriez... votre femme devrait vous déclarer qu’elle vous aimait et qu’elle vous serait fidèle. Vous avez un... vous avez alors sa parole. Et puis, votre foi, cela dépend uniquement de ce que vous percevez, si sa parole est tout à fait véridique ou pas.
C’est ainsi que nous devons nous y prendre de toute façon. Par la foi, il nous faut avoir le... une toile de fond, un fondement.
3 Et maintenant, nous n’allons pas vous garder plus longtemps que possible en parlant. Comme je l’ai dit, je ne suis pas un prédicateur, j’aime simplement parler de la Parole. Autrefois, je... Tout au début, quand j’étais ordonné comme prédicateur baptiste, oh! la la! c’était la–l’une des plus glorieuses heures de ma vie. Je...
Quand j’étais un petit garçon, je me disais qu’il fallait être une poule mouillée pour porter une Bible. Mais quand j’ai été sauvé et que j’ai été ordonné, je descendais la rue avec ma Bible sous le bras. Et, oh! la la! quand on m’appelait «frère» ou quelque chose du genre, je gonflais simplement. Je pensais être un véritable prédicateur. Et on a eu juste une licence locale pour exhorter, juste pour l’Etat de l’Indiana où je pouvais prêcher, célébrer les mariages, officier à l’ensevelissement ou baptiser. Je pensais donc être un vrai prédicateur, jusqu’au jour où j’ai entendu un vrai prédicateur. Et alors, je me suis rendu compte que je n’étais pas un prédicateur.
4 Cela me rappelle quand j’étais chez moi. Mon père dressait des chevaux sauvages. Il était né dans l’Etat du Kentucky. Ma mère vient d’Oklahoma et elle a déménagé au Texas, juste au nord de Paris. Et mon papa est allé à l’ouest dresser les chevaux. Et c’était un bon cavalier et un très bon tireur et... avec un fusil. Et il est allé à l’ouest dresser les chevaux, et c’est ainsi qu’il a rencontré ma mère.
Ainsi, j’avais toujours pensé que je voulais devenir un cavalier. J’entendais mon papa parler de la façon dont il dressait les chevaux et écorchait le... vous savez, l’attelage et autres. Et nous habitions dans une ferme ; alors, je me disais: «Oh! la la! Quand je serai un peu plus grand, je deviendrai un vrai cavalier.» Je suis allé au cinéma à quelques reprises et j’ai vu certains films, vous savez, certains là-dessus, sur ces ranch-hôtels. Et je me disais: «Oh! Je deviendrai bien un véritable héros.»
5 Alors, comme j’avais l’habitude de prendre un vieux cheval après que nous avions labouré avec lui toute la journée, vous savez, et je le faisais sortir derrière la grange, vers l’abreuvoir... Combien de garçons de campagne sont ici présents? Faites-nous voir les mains. Eh bien, ne soyez pas timides. Je me le disais bien. Très bien.
Alors, nous sortions là, à côté de ce vieil abreuvoir, et je me procurais une poignée de graterons que je plaçais sous la selle, et je tirais les sangles dessus. Je montais au milieu de ce vieux cheval, vous savez. Et, oh! la la! la pauvre vieille créature tellement fatiguée, elle–elle travaillait à mort. Et moi, je m’asseyais là, et il n’arrivait pas à détacher ses pattes du sol. Il braillait simplement et tournoyait. Je prenais mon vieux chapeau en paille, j’avais mes petits frères en ligne là. Et je disais: «Regardez ; je suis un cow-boy», et je frappais ce vieux cheval avec mon chapeau. Et la pauvre vieille créature, eh bien, c’est à peine qu’elle–elle aurait pu projeter un oeuf de son dos. J’étais donc là-haut sur cette selle, vous savez, sautillant... Je pensais en être un.
6 Et un jour, je pensais être un vrai cavalier. J’avais donc quitté la maison et j’étais parti à l’ouest pour devenir un cow-boy ; j’avais débarqué en Arizona. Ainsi donc, j’étais à Phoenix. Eh bien, il y avait un rodéo. Et je me suis dit: «Eh bien, maintenant, je suis fauché, je vais donc me faire un peu d’argent.»
Il s’est fait que, un peu plus tard, en identifiant l’époque, c’est au même moment que frère Lindsay était là, pas très loin de là, en train de prêcher l’Evangile. Et nous ne savions pas cela jusque tout récemment quand nous identifions les moments où nous étions là.
Alors, il y avait un rodéo là-bas, après le rassemblement. Et on disait (oh!) qu’on pouvait sortir monter le cheval, et qu’il y aurait des prix pour les cavaliers.
Eh bien, je me suis dit: «Il me faudra me procurer une paire de jambières en cuir, vous savez, avant de me présenter là.» Je suis allé à l’un des magasins d’équipements, et j’ai choisi une belle paire, vous savez, portant de très grosses lettres A-R-I-Z-O-N-A dessus, et les têtes des boeufs, vous savez. Je les ai enfilées. Il y avait à peu près une telle quantité de cuir là par terre, comme ça. J’avais l’air de l’un de ces petits coqs agressifs avec ces... avec toutes ces plumes qui pendaient.
Eh bien, les gens n’allaient pas... je savais que ce n’était rien. J’ai donc fini par découvrir leur prix ; je n’avais pas d’argent. Alors, je me suis procuré une paire de Levis, et je suis allé au parc.
7 Ils étaient... Je suis monté là, à côté des autres cow-boys défigurés, vous savez, aux jambes arquées ; et ils étaient assis là. Ils appellent... il circulait, disant qu’on allait demander à un cavalier de monter un cheval donné. Je me suis dit: «Oh! la la! Je vais l’observer.» Et j’ai dit: «S’il n’arrive pas à le monter, moi, j’y réussirai.» Aussi, je–je n’avais jamais vu un rodéo auparavant.
Et peu après, quand il est sorti, j’ai vu cet homme monter dans la glissière, se tenir comme ceci, et il va faire une lutte libre en se présentant. Et, oh! la la! quand il a atterri sur ce cheval-là, celui-ci a braillé à deux reprises et on dirait qu’il avait... C’était un de ces irréguliers, vous savez. Et il a pu mettre ses deux pattes dans un bassin et projeter la selle par-dessus le mur du corral.
Donc, aussitôt que cet homme s’était mis sur lui comme cela, il a effectué environ trois mouvements précipités en avant comme ceci, et il a sautillé en abaissant chaque épaule à tour de rôle. Et quand il a fait cela, cet homme a été projeté en l’air en se tordant, il est tombé par terre. Le personnel de ramassage a pris le cheval.
L’homme est revenu faire l’appel, disant: «Je donnerai cinquante dollars à tout homme qui fera dessus une minute ; cinquante dollars.» Et il parcourait du regard toute la clôture. «Cinquante dollars, qui en veut?» Il est avancé tout droit vers moi, il a demandé: «Es-tu cavalier?»
J’ai dit: «Non, monsieur.» Eh bien, cela... Je n’étais pas un cavalier... Je pensais en être un jadis jusqu’à ce temps-là.
8 Eh bien, alors, comme je pensais être prédicateur autrefois, je portais ma Bible ici et là, j’avais une petite licence en poche. Je pensais être un prédicateur.
Et un jour, j’étais à Saint-Louis, dans le Missouri, et j’étais entré dans une réunion des pentecôtistes en plein air. Il y avait là un prédicateur pentecôtiste du nom de Daugherty. Et, oh! bonté divine! Cet homme s’est mis à prêcher. Son visage devenait bleu, et ses genoux se tordaient, et il tombait droit par terre. Quand il se relevait, il reprenait le souffle, et on pouvait l’entendre à deux pâtés de maisons, toujours en train de prêcher. Quelqu’un s’est avancé et m’a demandé: «Etes-vous prédicateur?
J’ai dit: «Non, monsieur ; non, non.»
Avec mes vieilles manières lentes de baptistes, je n’y pense pas si vite. C’est tout. Je dois donc en venir à prendre mon temps. Ainsi, là où il y a de vrais prédicateurs, je ne dis jamais que je suis prédicateur. Je me cache donc en quelque sorte pour cela. Ainsi...
9 Mais j’aime vraiment me présenter, quand on n’est pas sous cette onction pour les malades, vous savez. Et on peut bien être libre, on se sent libre de prêcher ou de parler de la Parole, ou de n’importe quoi. Et c’est ce qu’il y a. On m’accorde un peu de temps, de temps en temps, afin que je puisse plutôt me réjouir.
Eh bien, quand l’onction pour la guérison est là, je continue simplement à prier et à jeûner. On en arrive à éprouver une sensation calme et très sacrée, pas comme la joie ; on éprouve juste une sensation très sacrée. Mais quand vous parlez du Saint-Esprit, alors Cela vient avec joie, avec bonheur, avec allégresse, et le rafraîchissement de la Présence du Seigneur. Et je suis très content de–d’avoir cela cet après-midi.
Juste avant que nous commencions le service, je lis un texte comme... si nous pouvons appeler cela un texte. Je pensais m’expliquer d’abord sur le fait que je n’étais pas un prédicateur. Comme vous entendez ces bons prédicateurs par ici, eh bien, alors, vous ferez la différence dans quelques minutes.
10 Mais ce que je voulais vous dire, c’est un peu sur la guérison divine, juste avant que nous lisions la Parole.
Beaucoup de gens pensent que la guérison divine est juste une supercherie. Ce n’est pas ça. C’est l’Evangile clair et simple de Christ.
Eh bien, que penseriez-vous si je vous disais cet après-midi que chaque personne malade dans cette salle était guérie? C’est pourtant vrai. C’est vrai. Pour Dieu, vous êtes guéri.
Voyez, souvent, les gens aiment discuter. Il n’y a pas longtemps, ce ministre, là où la photo a été prise, voulait discuter si Christ... Il disait: «Christ n’a pas fait l’expiation pour nos maladies quand Il a fait l’expiation pour nos péchés.»
Eh bien, voici ce qu’il en est, amis. Et parfois, c’est juste très simple, si seulement vous essayez de comprendre cela. Combien de malades y a-t-il ici cet après-midi? Faites-nous voir les mains. Je sais qu’il y en a un groupe parmi vous. Très bien.
11 Eh bien, voici ce que j’aimerais que vous fassiez. J’aimerais que vous compreniez bien ce que je vous dis maintenant, et qu’ensuite vous vous y accrochiez pendant que je prêche. Allez-vous le faire?
Vous ne vivrez jamais au-delà de ce que vous confessez que vous êtes. C’est votre confession qui vous sauve. «Celui qui Me confesse devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et devant les saints anges.» Quand vous dites que vous êtes malade, vous êtes malade. Eh bien, cela... Je ne prêche pas la science chrétienne là. Je prêche la puissance de Dieu, et le Saint-Esprit rend témoignage à cela. Voyez?
Mais voici ce qui se passe. Vous L’acceptez parce que vous pensez qu’Il vous a sauvé. Et vous vous mettez à dire aux gens, à témoigner de cela, croyant votre témoignage, et cela opère la justice. C’est ce qui se passe pour la guérison.
12 Eh bien, voici ce qui se passe. C’est le péché qui a introduit la maladie dans le monde. La maladie est la conséquence du péché. Eh bien, avant que nous ayons une quelconque maladie, nous n’avions pas de péché. Et quand le péché est apparu, la maladie a été la conséquence du péché. Jésus est alors venu pour nous débarrasser du péché et débarrasser... Il n’y a pas un prédicateur de l’Evangile dans le monde qui ne croit pas que Jésus-Christ est mort pour nos péchés.
Eh bien, ils... C’est là que ça se trouve, ici, à cet endroit-ci. Eh bien, suivez attentivement. Voici là où Il avait payé le prix. Et quand Il est mort pour notre péché, comme résultat de Sa mort, la maladie est tombée directement avec cela. Voyez-vous?
En d’autres termes, si mon pied était ce que vous vouliez détruire, détruisez la tête et vous aurez eu le pied. Voyez? Le pied va avec cela donc.
C’est en faisant l’expiation pour les péchés qu’Il a fait l’expiation pour les conséquences du péché. La maladie est un attribut du péché. Et Jésus est mort pour nos péchés. Et la maladie, l’iniquité, et tout, étaient inclus dans Sa mort pour nos péchés. Voyez-vous cela? Donc, quand Il est mort pour les péchés du monde, là au Calvaire, Il vous a guéri, vous, vous, vous, chacun de vous. Et vous êtes déjà guéri. Il vous a déjà pardonné vos péchés si seulement vous acceptez cela.
13 Eh bien, vous n’allez pas en enfer parce que vous êtes un pécheur ; vous allez en enfer parce que vous avez refusé d’accepter la voie qui éloigne de l’enfer. Il y a une échappatoire, c’est Christ. Il y a une échappatoire de votre maladie, de la mort rapide, de la tombe prématurée, c’est par Christ. Mais maintenant, vous êtes–vous êtes... Vous avez péché au commencement, et Christ est mort pour vos péchés. Par conséquent, Il vous a sauvé quand Il mourut. Il vous a sauvé, et Il vous a guéri quand Il mourut, car Il avait pris votre place.
Mais maintenant, tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter cela par la foi, et vous le recevrez. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, il n’y a rien de plus à faire, car le prix de votre guérison a déjà été payé. Vous pouvez avoir cela juste cet après-midi. Vous pouvez avoir cela maintenant même, en cette minute même où vous croyez cela. Quand votre foi satisfait aux exigences de Dieu, croire que Christ est mort pour votre maladie, quand Il mourut pour vos péchés (et Il est mort pour vos péchés au Calvaire), et que vous acceptez cela sur cette base-là ; en ce moment-là, vous êtes guéri aux yeux de Dieu. Voyez? Ensuite, mettez-vous à en témoigner, en le croyant.
Vous ne... nous... vous témoignez des choses que vous ne voyez pas. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Et nous regardons à l’invisible.
14 Abraham, vingt-cinq ans avant la naissance d’Isaac, témoignait et croyait Dieu alors qu’il avait cent ans. Paul, avant que la tempête eût donc cessé, savait ce qui arriverait, car il avait reçu la Parole de Dieu pour ça.
Eh bien, vous avez eu la Parole de Dieu pour cela cet après-midi. Et je souhaiterais que vous fassiez cela. Si vous le faites... Voici un défi que j’aimerais lancer en tant que prédicateur de l’Evangile. Si cet après-midi vous croyez, et que le Saint-Esprit descende parmi nous, et vous pouvez en fait, pendant que vous priez, sentir le Saint-Esprit dans votre coeur, qu’Il a accepté votre prière, si vous vous tenez là-dessus là même et que vous croyez cela... Ne perdez plus le temps dans la ligne de prière ; vous n’en avez pas besoin. Si vous croyez cela là même où vous êtes, alors c’est réglé pour la maladie, pour le reste du chemin. Ça se fera. Alors, levez-vous avec une foi ferme, marchez avec hardiesse. On vous demande: «Comment savez-vous que vous êtes guéri?»
«C’est parce que Dieu a dit que j’étais guéri, et je crois Sa Parole. Voilà pourquoi.»
15 Eh bien, vous n’êtes pas sauvé parce que vous sentez comme cela, que vous êtes sauvé. Si je... si quelqu’un disait: «Je sais que je suis sauvé, car un frisson m’a parcouru, ainsi de suite», ce n’est pas à cause de cela que je suis sauvé. Satan peut me flouer n’importe où et il peut aussi vous flouer sur base de vos sentiments. C’est vrai. Mais quand je reviens et que je dis: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, ma foi est basée sur la Parole de Dieu», alors, il ne peut pas me flouer là-dessus
Rappelez-vous. Jésus avait en Lui toutes les qualités du Père. Croyez-vous cela? Assurément qu’Il en avait. Tous les merveilleux dons de Dieu étaient en Christ, Son Fils, car Il était le Rejeton de Dieu. Mais remarquez, quand Il a rencontré Satan, pour vous donner un exemple, Il ne s’est jamais servi d’un don contre lui. Quand Satan L’a affronté, Lui, Il a dit: «Il est écrit (Deutéronome 7.14, je pense, ou c’est 8.14, et aussi dans les Psaumes): L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Satan L’a encore élevé sur le haut du temple. Jésus a dit: «Il est écrit.» Et il L’a amené au sommet de la montagne. Jésus a dit: «Il est écrit.» Voyez? «Il est écrit.»
16 Maintenant, remarquez. C’est ça! J’aimerais que vous voyiez cela et que vous le saisissiez maintenant. La Parole de Dieu, la Parole écrite de Dieu vaincra Satan n’importe où, en tout lieu, en tout temps. Il est écrit. C’est ça.
Tout le monde n’a pas de dons. Jésus a ramené cela à un niveau où ceux qui n’ont pas de dons, ceux qui n’ont pas une très grande foi, peuvent simplement dire: «Il est écrit.» (C’est ça.), et ensuite tenir ferme là-dessus.
Le maïs produira du maïs. Est-ce vrai? L’orge produira l’orge. Le blé produira le blé. Jésus a dit que la Parole de Dieu est une Semence qu’un semeur a semée. Et chaque Parole va... Chaque Parole de Dieu, chaque promesse de Dieu, se reproduira selon son espèce. Croyez-vous cela? Voyez?
17 Eh bien, que fait le fermier? Il sème le blé. Eh bien, il attend la récolte. Le matin suivant, et s’il allait là déterrer cela, disant: «Eh bien, cela n’a pas encore germé. Il n’y a rien là. Alors, je–je n’aurais pas de blé»? Eh bien, s’il ne va pas avoir de blé... S’il continue à déterrer cela, à regarder cela, il n’aura jamais de blé. Semez simplement cela et laissez cela tranquille. Amen.
C’est ça. C’est à Dieu de faire se reproduire cela. C’est à Dieu d’envoyer la pluie. Et c’est à vous d’accepter Dieu sur base de Sa Parole. Alléluia! C’est à Dieu de faire s’accomplir la Parole. Et aucun homme ne vaut plus que sa parole. Et Dieu ne vaut pas du tout plus que Sa Parole.
Et je dis ceci en lançant un défi par la foi, que chaque promesse de Dieu s’accomplira si vous affichez une bonne attitude mentale vis-à-vis de cela. C’est vrai. Regardez cela. Croyez cela
18 John Sproule, beaucoup parmi vous ont entendu parler de John, le Glory Barn [La glorieuse grange], il y a des années. Dans l’Alsace Lorraine, en France, il disait que sa femme et lui se promenaient un après-midi, et ils regardaient une statue de Christ. Il s’est tenu à l’écart, à critiquer ; il disait: «Eh bien, je ne vois pas de souffrance. Je ne vois rien de si noble dans ce monument-là.»
Le guide a dit: «Eh bien, vous le regardez d’un mauvais angle, monsieur.» Il a dit: «Agenouillez-vous ici à l’autel.» Il a dit: «Il y a un autel qui est bâti ici.» Il a dit: «Maintenant, levez les yeux.»
Il a levé les yeux et a dit: «Oh! la la!» Son coeur a failli lui manquer.
Voyez, c’est exactement la façon dont vous regardez cela. Si vous considérez la Parole de Dieu comme ayant existé dans un passé lointain, et que Christ a vécu il y a des années, et qu’Il n’existe plus aujourd’hui, qu’Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement, c’est exactement ce que vous en retirerez. Mais cela ne doit pas être considéré comme de l’histoire, ça demande qu’on se mette à genoux et qu’on lève les yeux vers Cela et qu’on croie Cela. La façon dont vous regardez la Parole de Dieu...
19 Eh bien, acceptez cela maintenant même, et dites à Dieu maintenant même dans la prière: «Seigneur, cet après-midi, je suis assis ici, malade. J’ai vu tous ces prédicateurs prêcher la Parole ; j’ai vu des chrétiens ; j’ai vu des prostituées devenir des dames et des saintes ; j’ai vu des ivrognes dans la rue entrer et devenir des gentlemen et des hommes corrects, des saints de Dieu devenir des prédicateurs de l’Evangile par la prédication de la Parole. Je crois que Tu as envoyé ces hommes.» Dites: «Maintenant, Père, je–j’ai vu quelqu’un venir faire des déclarations sur le don de la guérison divine, connaître les coeurs des gens. Je vois cela. Et je sais que Tu habites dans Ton peuple. Partout dans le monde, Tu agis...?... par Ton peuple. Et cet après-midi, je vais T’accepter comme mon Guérisseur divin et mon Sauveur divin. Et je vais croire cela, le confesser et m’y attacher ; veuille simplement me bénir cet après-midi et rendre cela tel que je peux le croire dans mon coeur.»
Allez-vous faire cette promesse-là à Dieu? Allez-vous le faire? A vous qui êtes malades, dites: «Je promets cela, Seigneur. Si seulement Tu me touches, avec une petite foi cet après-midi, alors je vais croire cela, partir d’ici une personne guérie le reste de ma vie. Je refuserai de voir autre chose que la promesse de Dieu.»
Maintenant, faites ça. C’est l’unique moyen pour vous d’être guéri, c’est par la foi. Acceptez donc cela, croyez-le, et Dieu le fera s’accomplir.
Très bien. Inclinons la tête.
20 Notre Père céleste, nous nous sommes assemblés ici maintenant pour quelques instants, autour de Ta Parole, parler de la Parole. Et la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole. Et maintenant que nous sommes bien sur le point d’ouvrir la Bible et de La lire, nous nous rendons compte que personne ne peut ouvrir ce Livre. Jean a dit: «Personne au Ciel ni sur la terre ne pouvait ouvrir le Livre, ni sous la terre. Mais l’Agneau immolé dès avant la fondation du monde était digne de venir prendre le Livre de la main de Celui qui était assis sur le Trône, d’ouvrir le Livre et d’En rompre les Sceaux.»
Et maintenant, que l’Agneau de Dieu, par le Saint-Esprit, entre directement dans cette réunion cet après-midi, prenne la Parole de Dieu, L’ouvre simplement à chaque coeur. Et puissent les lèvres de Ton serviteur, alors qu’eux reçoivent la Parole, puissent-elles être circoncises pour parler, et que leurs coeurs soient circoncis pour recevoir ; et que les fruits soient au centuple. Car nous le demandons dans le beau Nom de Ton Fils Jésus. Amen.
21 Dans l’Evangile selon saint Matthieu, ou plutôt saint Jean, chapitre 11. Je désire lire juste quelques versets. Vous qui aimerez noter cela, c’est juste un passage familier dont vos pasteurs ont souvent parlé et... la résurrection de Lazare, à partir du verset 20 jusqu’au 27 inclus. Ecoutez attentivement la Parole.
Je sais qu’il fait terriblement chaud ici à l’intérieur cet après-midi. Mais, oh! amis, nous cherchons ici à échapper à un lieu où il fait plus chaud qu’ici. Il n’y aura pas de ventilateurs là-bas. Et–et nous aimerions échapper à ce lieu horrible appelé enfer, n’est-ce pas? Très bien. Maintenant, chapitre 11 de Saint Jean, à partir du verset 20.
22 Je vous assure, je vous aime, vous ici ; vous apportez vos Bibles et vous lisez la Parole. J’aime ça. Vous êtes très gentils. Les foules n’ont pas atteint des proportions que nous... que je pensais qu’elles attendraient ici ; en effet, c’est loin de la ville et nous avons eu des difficultés. Mais ceux qui sont venus ont formé un beau–un beau groupe de gens, on dirait, avec une grande foi, très obéissants, des groupes tout aussi gentils, que ceux auxquels on peut parler n’importe où dans le monde, comme j’en ai eus. Maintenant, écoutez attentivement la Parole.
Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.
Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.
Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas... Dieu, Dieu te l’accordera. (J’aime ça, pas vous?)
Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera. (Voyez-vous ce que ce genre de foi produit?)
Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, aux derniers jours.
Jésus lui dit: Je suis la résurrection et... vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;
Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?
Elle lui dit: (Ecoutez attentivement ceci.)... Oui, Seigneur, (Oh! J’aime ça.)... Je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.
23 Pouvons-nous prier maintenant?
Père, bénis Ta Parole alors qu’Elle a été lue. Puisse-t-Elle être proclamée maintenant et s’enfoncer dans les coeurs pendant que j’En parle. Et que le Saint-Esprit produise au centuple pour la guérison du corps et pour l’âme aussi. Et qu’un réveil à l’ancienne mode éclate ici, Père. Nous avons un vif désir, nous prions, sachant que c’est l’unique espoir qui reste dans le monde aujourd’hui. En effet, tous les royaumes et toutes les puissances seront ébranlés et secoués. Mais nous recevons un Royaume inébranlable. Aide-nous aujourd’hui, ô Dieu, à présenter ce Royaume. Et que des hommes se hâtent d’Y entrer. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
24 Eh bien, c’était au début du ministère de notre Seigneur. Il était né dans le monde, Il avait eu un mauvais départ, juste pour commencer.
Vous savez, j’aime penser à Lui comme... Si jamais vous savez qui Jésus était en fait, alors vous pouvez beaucoup plus apprécier Son grand Sacrifice. Vous devez connaître qui Il est, premièrement.
Il n’était pas juste un homme honnête, ni un homme bon. Il était le Fils de Dieu. Personne, aucun ange, rien d’autre que Lui ne pouvait donc occuper cette place. Et Il était disposé à descendre pour nous.
Et à Sa naissance, Il naquit ici sur terre, Il entra par l’étable et sortit par la peine capitale. Et pourtant, nous nous plaignons parfois parce que nous avons quelques épreuves et quelques ennuis. Eh bien, regardez ce qu’Il... ce qui Lui était arrivé.
25 Savez-vous pourquoi Il naquit dans une étable? C’est parce qu’Il était un Agneau. Les agneaux ne naissent pas dans des maisons ; ils naissent dans des granges. Et Lui était... Avez-vous remarqué au Calvaire? On L’a conduit à l’abattoir. C’est ce qu’on fait aux agneaux. On les conduit. Il était l’Agneau de Dieu, l’Agneau auquel il avait été pourvu, pourvu pour nous, afin que nous les pécheurs, nous ayons accès auprès de Dieu par Lui.
Eh bien, quand Il naquit, Sa réputation... Il était censé être un Enfant illégitime. On disait que Joseph était Son père, et Marie, Sa mère. Mais en réalité, ce n’était pas Joseph qui était Son père.
26 Il n’y pas longtemps, là dans les montagnes, j’ai rencontré un homme, un vieux trappeur. Et il me parlait, disant... Il était censé avoir une bonne instruction. C’était un homme de science, il l’était. Alors, il était allé là en hiver et il s’était mis à poser des pièges ; il aimait beaucoup cela. Il est donc resté parce que c’était paisible.
Et il m’a dit ; il a dit: «Croyez-vous cette histoire de la naissance virginale?»
J’ai dit: «Chaque Parole de cela.»
Il a dit: «Vous ne croyez pas réellement cela, Billy.»
Et j’ai dit: «Si, je crois, chaque Parole de cela.»
Il a dit: «Eh bien, c’est impossible.» Il a dit: «Il ne pouvait pas naître comme cela.» Il a dit: «C’est contraire à toute recherche scientifique.»
J’ai dit: «Je ne sais contre quelle recherche scientifique cela est, mais ce n’est pas contraire à la Parole de Dieu.» Et j’ai dit: «Dieu a dit qu’Il était Son Fils, et je le crois.»
Il a dit: «Bon, cela dépend de qui vous pensez que Dieu était. Si vous voulez dire que Joseph était Dieu, c’est en ordre.»
J’ai dit: «Joseph était un homme comme vous et moi. Mais Dieu est Jéhovah, l’Esprit de Dieu, l’Esprit qui couvait la terre.»
Il a dit: «Oh! C’est impossible.» Il a dit: «Billy, a-t-il dit, le maïs ne peut même pas reproduire... ni rien.» Il a dit: «Aucun enfant ne peut naître en dehors du contact réel entre un mâle et une femelle.»
J’ai dit: «Grampy, je déteste contester votre parole alors que vous êtes un vieil homme, mais, ai-je dit, vous êtes en erreur là.»
Il a dit: «Vous ne croyez pas en fait que cet Enfant-là était né.»
J’ai dit: «Je crois que Jéhovah Dieu a couvert de Son ombre une petite vierge appelée Marie et Il a créé dans son sein une cellule de sang, sans qu’elle ait du tout connu un homme, et de là est venu le Fils de Dieu.»
27 Et nous n’y entrons pas par la naissance, par Son Sang saint de juste, sans désir sexuel. Il mourut au Calvaire, donnant Son Sang afin que nous soyons libérés du péché. Frère, croyez-vous cela? Si vous ne croyez pas, vous êtes perdu. C’est tout. En effet, c’est par le Sang.
Nous sommes sauvés par le Sang de Dieu. Le... Nous sommes le sang de notre père. Jésus était le Sang de Son Père, qui était le Sang saint et sans mélange, non pas par le désir sexuel, mais c’est par le Saint-Esprit qu’Il est né, qu’Il a été conçu dans le sein de Marie, et Il est né. Je crois cela de tout mon coeur.
Il a dit: «Je ne peux simplement pas voir que cela ait pu être ainsi.» Il a dit: «En effet, cela ne pouvait pas se reproduire sans un contact réel.» Et Il a dit: «Et pas... ils devaient être...»
J’ai dit: «Ecoutez, Grampy. Allez-vous alors me concéder...» Après quelques jours de discussion, il m’a rencontré là-bas dans une–dans une vieille petite cabane, où il y avait un groupe d’hommes. Il a repris. J’ai dit: «Allez-vous me concéder qu’Il avait une mère terrestre, mais que c’est impossible pour n’importe quoi de naître sur cette terre sans avoir un père littéral et une mère littérale?»
Il a dit: «C’est tout à fait vrai.»
J’ai dit: «Eh bien, j’aimerais alors vous poser une question. Si vous dites que c’est impossible pour Lui d’exister ici par Jéhovah Dieu, le Créateur, sans un père cél-... terrestre, cependant vous Lui reconnaissez avoir eu une mère terrestre, comment donc le premier homme est-il apparu ici sans père ni mère?» Il a dû avoir un papa et une maman quelque part. Que ça soit un têtard, un singe, je ne sais comment vous voulez appeler cela, il a dû avoir un papa et une maman selon lui. Il ne m’a jamais répondu jusqu’aujourd’hui. Il... C’est vrai. Et il ne le peut pas. Dieu le Créateur a créé l’homme à Sa propre image. C’est ainsi que je crois ça.
Il a dit: «Eh bien, Darwin a déclaré telle et telle choses.»
Je n’ai pas assez de foi pour croire cela. Je crois simplement ce que Dieu a dit à ce sujet. Ma foi, c’est ce que le Seigneur a déclaré.
28 Et Il est venu dans ce monde sous des critiques, et Il en est sorti par la peine capitale au Calvaire, comme Sacrifice expiatoire. Mais Sa naissance était glorieuse. Les anges de Dieu étaient descendus et avaient chanté pour cela.
Depuis le début des temps, je crois qu’Il était la Semence de la femme, qui devait écraser la tête du serpent. Je le crois. Et Il devait venir par la femme, un Sauveur.
Et remarquez. Alors, quand Il était... Avant Sa naissance, de grands évènements se produisirent. Il y avait un reste de gens qui croyaient, qui avaient foi, que Dieu enverrait le Messie. Leur nombre s’était amenuisé à quelques-uns. Mais Dieu a toujours eu un reste parmi les gens. (Est-ce que je crie trop fort?) Il y a toujours eu un reste parmi les gens, qui croit Sa Parole. Croyez-vous cela? Il a aujourd’hui quelqu’un, quelque part, qui croira en Lui. J’espère que nous tous, nous faisons partie de ce groupe cet après-midi.
29 Remarquez. Alors, quand Il a parlé aux prophètes, leur annonçant tout au sujet de Sa Venue... Tout le monde, au cours des âges, a parlé de Sa naissance. Jean-Baptiste en avait parlé.
Comme Jean était un enfant très particulier... comme son père Zacharie, sa mère Elizabeth, comme ils étaient vieux et qu’ils avaient dépassé l’âge d’avoir un enfant... Zacharie était un homme juste, un homme craignant Dieu. Ô Dieu, donne davantage des Zacharie aujourd’hui, des hommes et des femmes qui craignent Dieu. Ils priaient dans leur maison, présentant des supplications devant Dieu.
Zacharie était au temple un jour, offrant son offrande, le sort lui échut d’offrir le parfum. Dieu envoya un Ange du nom de Gabriel, il descendit du Ciel et se tint à côté de l’autel.
30 Remarquez à quel genre d’homme Il est venu là: un homme qui était juste. Un homme juste, ce n’est pas un homme sans péché, mais un homme qui compte sur Sa justice à Lui, en confessant ses torts à Dieu.
Remarquez. Alors, l’ange dit au–au sacrificateur Zacharie ; il dit, quand ses jours de service furent écoulés et qu’il devait rentrer chez lui, que sa femme concevrait, enfanterait un enfant et qu’on l’appellerait Jean.
Or, Zacharie, quoique sacrificateur, ministre de la Parole, a manqué de croire l’ange. Remarquez. Alors, l’ange a dit...
Quand Dieu dit quelque chose, Il l’accomplira. Amen. Croyez-vous cela? Il aura une Eglise. Je ne sais qui est Là-dedans, mais Il aura une Eglise sans tache ni ride. Il y aura quelqu’un. Je ne sais qui c’est, mais Elle sera là. Vous dites: «Où La trouvera-t-on?» Je ne sais pas. Mais Elle sera là, car Dieu l’a dit, et Dieu ne peut pas mentir.
31 Remarquez. Maintenant, quand quelque chose est sur le point de se produire sur terre, premièrement, Dieu envoie un messager. Et ce messager est oint par un Ange. Eh bien, parfois, les anges mineurs viennent. Il y a des anges mineurs et des anges majeurs. Eh bien, cet Ange qui était venu, c’était Gabriel, qui se tient dans la Présence de Dieu. C’était quelque chose d’important. Alors, il est descendu. Et quand Gabriel descend du Ciel, rappelez-vous, quelque chose est sur le point d’arriver. Gabriel a annoncé la Première Venue de Jésus, Gabriel annoncera la Seconde Venue de Jésus. La trompette de Dieu retentira d’abord... un ange.
Remarquez. Il est donc venu, il a annoncé que Jean naîtrait. Et Zacharie, un sacrificateur, un homme juste, cependant sans la foi convenable... Saisissez-vous ce que je veux dire? Beaucoup de gens viennent dans la ligne et disent: «Je suis chrétien ça fait trente ans.» C’est bien. Mais qu’en est-il de votre foi maintenant? Dieu ne vous guérit pas sur base des mérites de votre salut ; Il vous guérit sur base des mérites de votre foi. Si vous croyez... Alléluia!
Remarquez. Si vous croyez... Il n’a jamais dit à la femme des nations quoi que ce soit, mais Il a dit: «Si tu crois...» Très bien. Voilà la question. Pouvez-vous croire Dieu en Le prenant au Mot? Oh! la la! Si nous le faisions, il y aurait un alléluia qui parcourrait le pays. Les guérisons afflueraient de partout. Vous verriez les hommes dans des rues tenant d’une main...?... et l’autre, affirmant que Dieu les a guéris. Accrochez-vous-Y. Dieu le fera s’accomplir (C’est vrai), car Il y est tenu. Il a juré qu’Il le ferait.
32 A l’époque, quand on concluait une alliance, on prenait un agneau ou une bête. On rédigeait l’alliance entre deux hommes. Ils en rédigeaient les termes. Et puis, ils tuaient une bête. Et ils déchiraient cette alliance en deux au-dessus de cette bête. Un homme prenait une partie et un autre, une autre. Et puis, pour confirmer cette alliance, cet homme devait prendre ce même morceau de papier et le ramener, cela devait... parfaitement. Eh bien, c’est ça. Cela devait s’ajuster parfaitement avec le morceau qui en avait été détaché.
Eh bien, Dieu a conclu une alliance avec l’Eglise. Il l’a écrite: la Bible. Et le jour de l’expiation, Dieu a immolé Son Fils. Croyez-vous cela? Il L’a découpé, Il a amené Son corps en haut à la droite de la Majesté divine, Il a renvoyé Son Esprit comme une alliance pour nous. Et ce jour-là, si nous n’avons pas ce même Saint-Esprit en nous, nous ne pourrons pas faire partie du Corps.
C’est bien une vieille prédication sassafras, mais elle vous sauvera. C’est vrai. Il nous faut avoir l’Esprit de Christ en nous, le même Esprit qui était sorti de ce corps-là, pour constituer Son Corps, pour revenir avec Lui. Oh! la la! C’est vrai. Dieu a conclu une alliance avec nous.
33 Et alors, notre sacrificateur, il n’a pas cru Dieu, il n’a pas cru l’Ange. Et l’Ange a dit: «Parce que tu n’as pas cru ma Parole, je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu, tu deviendras muet jusqu’au jour où ton enfant naîtra.»
Zacharie sortit, il fit des signes aux gens. Ils ont compris qu’il avait vu un ange. Il est retourné en Judée, dans la région montagneuse où il habitait. Et puis, sa femme, qui avait dépassé l’âge de fécondité, a conçu, et elle s’est cachée pendant des mois, car elle était enceinte.
Puis, six mois plus tard, Dieu a encore envoyé Gabriel. Oh! la la! Je L’aime bien. Je–je deviens de temps en temps très heureux. Vous pourrez penser que comme baptiste, je suis un peu bruyant. Mais je suis un baptiste avec le Saint-Esprit. Ainsi, je...?... Ça attrape un, il devient bruyant. N’allez donc pas penser que je suis un fanatique ; en effet, je ne le suis pas. Si vous vous sentiez comme moi, vous feriez probablement la même chose.
34 Remarquez. Il a encore envoyé Gabriel dans la ville la plus misérable sur terre (Minneapolis a donc une chance, n’est-ce? Très bien.), le lieu le plus vilain sur terre, Nazareth, auprès d’une petite vierge qui menait une vie correcte devant Dieu.
Une pauvre. Pas une riche et hautaine. Dieu ne regarde pas à votre argent, ni à votre habillement. Il regarde votre coeur. Alléluia! Je suis content de ce que ce salut à l’ancien temps fera que celui qui est en salopette et celui en smoking s’étreignent et s’appellent frères. Il fera que celle qui est en robe calicot et celle en robe de soie se mettent ensemble et s’appellent soeurs. Cela ôte l’orgueil...
C’est ça le problème de l’Eglise aujourd’hui: on est trop empesé, on a trop d’orgueil. Abaissez-vous, vous êtes de toute façon six pieds [1,80 cm] de poussière. C’est vrai. Vous avez une âme qui ira à la rencontre de Dieu un jour. C’est ça le problème de l’Eglise pentecôtiste et des autres églises de la sainteté ; elles s’enflent trop d’orgueil. On a une bonne église et un bon endroit, et nous pensons qu’il nous faut imiter le monde.
C’est là que le peuple de Dieu a toujours connu des ennuis, quand ils imitaient les autres. C’est Lui notre Modèle. Alléluia! Le temps de compétition.
35 Peignez en rouge vos marches, et voyez si le voisin ne peindra pas les siennes en rouge. C’est vrai. Achetez une Mercury et voyez si le voisin ne voudra pas acheter une Mercury. Ils veulent se concurrencer. Peu m’importe que mon pantalon soit assorti à mon manteau, ou que ma chemise soit assortie à mon manteau, je veux que mon expérience s’accorde avec la Bible de Dieu. C’est ce genre d’accord que les chrétiens devraient avoir. Non pas si les voisins ont une grande église et que moi, j’en aie une petite. Je veux Christ. Alléluia! C’est vrai. Oui. C’est là qu’on en arrive, amis.
36 Marie, une petite vierge innocente, là à Nazareth, et peut-être que nous appellerons cela le jour de la lessive, je ne sais pas.
Généralement, le lundi, chez moi à la maison, c’est un jour où ma femme fait la lessive. C’est toujours un jour ardu. Nous avions l’habitude de transporter de l’eau, la faire bouillir dans un vieux baquet derrière la maison, et... (Vous savez ce que je veux dire) et faire la lessive. J’aidais aussi à faire la lessive dans un vieux baquet en cèdre. Oh! De bons moments, de toute façon!
Tant que vous aimez le Seigneur, qu’est-ce que ça change? Le bonheur ne consiste pas dans le nombre de biens de ce monde qu’on a, il consiste dans la satisfaction que l’on tire de la portion qui vous est échue. C’est en cela que consiste le bonheur. Trouvez Christ, et vous avez le bonheur. Vous l’avez. C’est vrai.
37 Alors, ici... Regardez Gabriel. Il descend du Ciel sur ordre de Dieu. Toutes ces nombreuses jeunes filles, par là, probablement aux cheveux manucurés, peu importe comment vous appelez cela, et toute cette espèce de produit, là comme on en a. J’ai dit le mot qu’il ne fallait pas, mais... Je ne m’y connais pas sur ce qu’ils font. Mais vous savez...
Mais il est allé auprès d’une humble croyante, simple, pure. Alléluia! C’est ce qu’Il fait aussi aujourd’hui. Vous ne pouvez pas attirer Dieu par votre habillement. Vous attirez Dieu par votre façon de vivre, de penser et d’agir. Que Dieu nous aide à retourner à l’Evangile du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Je crois en cela, pas vous? La religion de l’ancien temps, du fond de bois, au ciel clair, qui tue le péché. C’est vrai. Cela vous aidera. Cela vous sauvera.
38 Très bien. Elle descendait là, probablement pour puiser de l’eau. Présentons cela sous forme de saynète juste une minute, afin que les petits enfants puissent saisir cela. Peut-être qu’elle descendait puiser de l’eau.
Selon les manières des Orientaux, ils transportaient cela sur la tête, une grosse vieille cruche munie des ailes, ici sur les côtés, des anses.
Je peux voir la petite Marie, âgée d’environ dix-sept ans, fiancée à un homme d’environ quarante-cinq ans, avec quelques enfants. Elle chemine là. Mais elle était juste dans son coeur, car Joseph était un homme juste devant Dieu.
Ce serait de loin mieux si les femmes, les jeunes dames aujourd’hui, choisissaient quelque chose comme cela aujourd’hui, plutôt qu’un petit gars avec un paquet de cigarettes en poche.
39 Il n’y a pas longtemps, il y avait une jeune fille jadis au tabernacle, dans mon église ; c’était une petite fille douce, une petite fille chrétienne. Elle sortait avec un jeune garçon qui avait un flacon dans sa poche et qui fumait la cigarette. Je ne voyais rien dans ce garçon-là moi-même. On a essayé pendant deux ou trois ans de faire de lui un chrétien, mais il ne voulait pas. Et j’ai demandé à la jeune fille, j’ai dit: «Soeur, que vois-tu dans ce garçon-là?»
Savez-vous quel genre de réponse elle m’a donnée, comme l’un de ces adolescents d’aujourd’hui? Elle a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, il a de petits pieds si mignons, et il sent si bon.»
Je me suis dit: «Quelle façon de choisir un mari!» J’ai dit: «Je préférerais épouser un homme qui est un chrétien, qui a des pieds comme un fourgon, qui sent comme une mouffette, pourvu qu’il soit un chrétien.» C’est vrai. Pourvu qu’il soit un chrétien. C’est vrai.
Nous sommes sauvés par le Sang de Christ. Alléluia! Il prendra soin de vous et sera un gentleman, s’il est sauvé. Très bien. Dieu juge non pas par l’apparence, mais par le coeur. C’est vrai.
40 Il y a des années, nous avions une bonne église à l’ancienne mode, me dit-on. Je ne... je n’étais pas avec eux à l’époque. Les gens s’assemblaient, chantaient des louanges à Dieu, criaient, Le louaient et Le glorifiaient. Et aujourd’hui? Oh! la la! Tout cela est éteint. Il est temps de retourner (C’est vrai) aux jours où Dieu peut nous bénir.
Remarquez. Ensuite, Marie, en route, comme nous avançons avec notre saynète, elle marchait, probablement en chantant un cantique, en chantant un psaume.
Soudain, une grande Lumière, disons, est apparue devant elle. Et dans cette Lumière se tenait un grand ange. Oh! la la! Cela a effrayé la petite vierge. Cela vous effraierait. Je sais comment je m’étais moi-même senti quand l’un m’est apparu. Et l’Ange a dit: «Je te salue, Marie...» En d’autres termes: «Arrête-toi. Tu es bénie entre les femmes, car tu as trouvé grâce devant Dieu.» Et Il a dit... Eh bien, Il s’est mis à lui parler d’Elisabeth, sa cousine. Jean et Jésus étaient des cousins de second degré. Marie et–et Elisabeth étaient des cousines germaines.
Et Il a dit qu’elle avait trouvé grâce devant Dieu, et qu’elle concevrait et enfanterait un Enfant sans avoir connu un homme.
41 Eh bien, j’aimerais vous faire remarquer quelque chose, de très près. Regardez quand l’ange est allé auprès du sacrificateur Zacharie et qu’il lui a annoncé que Sara... ou plutôt Elisabeth aurait un enfant de lui ; Zacharie avait beaucoup d’exemples antérieurs à cela. Anne avait eu un enfant après avoir dépassé l’âge de fécondité. Sara, pratiquement vieille de cent ans ou plus, avait enfanté un enfant après l’âge de fécondité: beaucoup d’exemples. Mais ce sacrificateur endurci a manqué de croire Dieu.
Mais point Marie ; elle n’a jamais douté. Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon Ta Parole.»
Remarquez. Elle n’a pas attendu d’être sûre. Elle n’a pas attendu de sentir quelque chose, de sentir la vie. Elle s’est aussitôt mise à louer Dieu pour cela, car elle avait reçu Sa promesse.
Frère, soeur, donnez-nous ici à Minneapolis davantage de Marie qui prendront Dieu au Mot, sans attendre de sentir quelque chose, ou que quelque chose se produise, qui Le prendront au Mot et se mettront à se réjouir à ce sujet. Alléluia! Dieu a dit qu’Il était le Guérisseur ; je crois cela. Il a dit qu’Il m’avait créé. Je crois cela. Le prendre au Mot et se mettre à se réjouir à ce sujet. Alléluia! C’est le genre de personne qu’il nous faut.
42 Elle est allée raconter à tout le monde qu’elle aurait un enfant alors qu’il n’y avait pas de signe ni rien de cela. Elle n’avait pas à avoir des signes. Tout ce qu’elle devait avoir, c’était la Parole de Dieu. C’est tout ce qu’il nous faut avoir. Dieu l’a dit, c’est réglé pour moi. Qu’en est-il de vous? Croyez cela. Prenez-Le au Mot et dites que c’est vrai, allez simplement de l’avant. C’est tout ce qu’il vous faut faire, c’est Sa Parole. Cela doit s’accomplir. Croyez-vous cela, frère? Accrochez-vous-Y. Alléluia! C’est vrai. Accrochez-vous-Y. Cela produira des résultats chaque fois. Je n’ai jamais vu cela échouer.
Quand un coeur fidèle vient devant Dieu et qu’il est sérieux, qu’il a pris Dieu au Mot et s’est mis à témoigner de cela, à regarder à l’invisible, alors les promesses de Dieu produisent toujours ce qui est réclamé. C’est vrai.
43 Très bien. Marie est allée çà et là dire aux gens qu’elle aurait un Enfant sans avoir connu un homme. Très vite, elle... L’ange lui avait parlé de sa cousine, et elle est montée en Judée la voir. Oh! la la!
Il y a quelque chose au sujet de l’Evangile, qui fait que lorsque nous entendons la Bonne Nouvelle, nous aimons rapporter Cela aux autres, n’est-ce pas? Tout celui qui est sauvé aime le rapporter à quelqu’un d’autre. Tout celui qui est guéri aime le rapporter à quelqu’un d’autre.
Elle est allée apporter la bonne nouvelle à sa cousine, qu’elle aurait l’Enfant, et que sa cousine aurait aussi un enfant. Très bien. Je peux la voir monter vers la maison.
44 Et présentons cela sous forme d’une saynète une fois de plus ici. Je peux voir Elizabeth assise sous la véranda, peut-être faisant son–son travail, tricotant, ou je ne sais quoi qu’elle pouvait être en train de faire, et Marie s’approche. Très vite, aussitôt que Marie arrive, elle voit Elizabeth. Oh! la la! Toutes les deux femmes étaient des chrétiennes, comme nous le dirions aujourd’hui. Elles ont couru, elles se sont jetées dans les bras l’une de l’autre, s’étreignant, s’embrassant, se saluant. Oh! J’aime ça. J’aime ce sentiment chaud et bon, pas vous? Je déteste cette vieille manière froide et formaliste que nous avons. Aujourd’hui, les gens, ils sont si éloignés les uns des autres, ils ne se soucient pas les uns des autres. C’est ça le problème. Même les membres d’église deviennent pareils. Ils ne se soucient pas les uns des autres. Eh bien, si quelqu’un fait quelque chose de faux, on cherche à l’enfoncer. Ne l’enfoncez pas, relevez-le ; aidez-le. C’est vrai. Ne cherchez pas à le critiquer et à en parler à quelqu’un d’autre ; allez vers lui, entourez-le de vos bras. Et aujourd’hui, on a tellement peur, on ne voudrait même plus lui serrer la main.
J’aime une bonne poignée de main en coup de pompe, à la méthodiste, vous savez, l’une de ce genre. On descend du coup et on se la serre.
45 Il n’y a pas longtemps, j’étais dans une série de réunions. Il y avait une espèce de princesse, l’une ou l’autre chose, je ne sais pas, venant de... Elle était venue à la réunion. Elle portait assez d’habits pour bourrer un fusil. Et si je l’avais vue avant la réunion, je serais parti la couvrir de mon manteau pour le temps où je serais en train de prêcher. Je l’aurais fait.
Alors, elle est venue après la réunion, tenant une paire de lunettes au bout d’un bâton, vous savez, ressortie comme ceci. Je ne sais pas... Une créature d’apparence bizarre, pratiquement sans habits, pas du tout. Elle s’est avancée comme ceci. Et elle a dit: «J’aimerais rencontrer docteur Branham.» Docteur Branham. En voilà l’idée! Pas docteur, je suis votre frère.
46 Alors, elle s’est avancée. Et l’un des organisateurs l’a amenée auprès de moi, vous savez, comme cela, pour la présentation, disant: «Voici telle et telle», une espèce de nom très long. Elle a dit: «Eh bien, docteur Branham, a-t-elle dit, enchantée.» Elle avait la main levée comme ceci, faisant...
J’ai saisi la main, je l’ai baissée. J’ai dit: «Baissez-la par ici afin que je vous reconnaisse lorsque je vous reverrai...?...» Oh! Je n’aime pas ces choses artificielles, formalistes. Qu’êtes-vous après tout? Un jour, vous aurez à vous tenir dans la Présence de Dieu pour rendre compte de cette âme pécheresse et répondre devant Dieu. Elle était là, debout, tout comme cela.
47 Autrefois, il y a longtemps, quand un voisin tombait malade, ou quelque chose comme cela, nous allions couper son maïs, lui couper du bois, si c’était en hiver. Mais aujourd’hui, un voisin peut mourir, et vous ne le saurez pas avant de le lire dans le journal. C’est vrai. Il n’y a plus d’amitié parmi les gens. C’est horrible. L’amour... «Parce que l’iniquité se sera accrue, l’amour du plus grand nombre se refroidira», a dit Jésus dans Matthieu, chapitre 24. C’est vrai.
48 Eh bien, alors, elle s’est mise à parler à Elizabeth, et Elizabeth s’est mise à lui parler. Et je peux entendre Elis... Marie dire à Elisabeth... Suivons leur conversation. Je peux entendre Elizabeth dire... ou Marie dire à Elizabeth: «Oh! Je suis si heureuse, car on m’a dit que tu allais devenir mère dans ta vieillesse.» Et, évidemment, elle pouvait voir cela et le reconnaître.
Et je peux entendre Elisabeth dire: «Oui, je suis–je–je le suis. Oh! J’en suis si heureuse. Mais, Marie, je–j’ai un peu peur. Tu vois, cela–cela fait six mois que je suis enceinte. Et à notre connaissance, l’enfant n’a pas de vie.» Elle était déjà un peu inquiète à ce sujet, vous savez. Le petit Jean était là. Et c’est tout à fait anormal. Vous voyez, ce n’est–ce n’est pas correct. Ainsi donc, à environ deux ou trois mois, il y a la vie. Et elle a fait tout ce temps sans qu’il y ait pourtant la vie.
49 Et Marie a dit: «L’ange Gabriel m’a rencontrée et m’a dit que j’enfanterais aussi un Fils. Et je Lui donnerai le Nom de Jésus.» Eh bien, aussitôt qu’elle a prononcé Jésus, le petit Jean s’est mis à tressaillir et à bondir dans le sein de sa mère.
Frère, la première fois que le Nom de Jésus-Christ a donc été prononcé, cela avait donné la vie à un enfant mort. Que devrait-Il apporter à une Eglise du Saint-Esprit quand le Nom de Jésus...?... la puissance de la maladie et du péché. Alléluia! Oui, c’est... Ce Nom-là, Jésus-Christ, la première fois qu’Il a été prononcé par les lèvres des mortels, Il apporta la vie à un enfant qui était mort dans le sein de sa mère. La Bible déclare qu’il reçut le Saint-Esprit et naquit du sein de sa mère rempli du Saint-Esprit. Alléluia! Oh! la la!
Qu’y a-t-il avec les chrétiens? Un bréchet, mi-méduse. Ayez en vous une colonne vertébrale et prenez position pour Dieu et pour ce qui est correct. Et aujourd’hui, prenez position pour ce que dit la Bible, et croyez-le de tout votre coeur.
50 Le petit Jean s’est mis à tressaillir d’allégresse dans le sein de sa mère, et le Saint-Esprit est venu sur Elizabeth. Elle a dit: «D’où vient que la mère de mon Seigneur... Car, aussitôt que ta salutation a frappé mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein.» Oh! la la!
Pensez à ce que cela a fait. Quand le Nom de Jésus fut prononcé, Cela apporta la vie à cet enfant mort. Que devrait-Il apporter à vos membres, monsieur? Que devrait-Il apporter à votre maladie, à vous les hommes assis ici et à vous qui êtes là?
Prenez le Nom de Jésus avec vous, partout où vous allez ; murmurez-Le partout dans la prière. Soyez loyal ; soyez saint. Vivez pour Dieu, et Dieu confirmera Sa Parole. Oui, oui. Il a juré de le faire. Vous y êtes. La Parole a frappé son oreille et son enfant s’était mis à tressaillir d’allégresse. Elles se sont étreintes.
51 Peu après, après leur séparation, quelques jours après, là-haut, on se demandait alors si ce petit Jean... quel genre de garçon il serait. Quand Jean naquit... Nous croyons qu’il avait environ huit ans ou neuf ; il fut conduit au désert, non pas dans les cimetières théologiques, ou séminaire théologique. C’est tout à fait la même chose. C’est pratiquement exact. Même si je voyais l’un ou l’autre. C’est vrai.
Savez-vous ce qu’un prédicateur de séminaire me rappelle toujours? Je ne blesse pas vos sentiments, frère, j’espère. Mais écoutez, cela produit des hommes de temps à autre. Mais un prédicateur de séminaire me rappelle des poulets de couveuse, qui ne font que piauler, piauler, piauler. Ils n’ont pas de mamans. C’est vrai. Cela a un énorme...?...
52 Je préférerais avoir un homme qui ne sait pas distinguer le grain de haricot du grain de café, mais qui connaît Dieu dans son coeur pour traiter avec les membres de ma famille, plutôt que d’avoir un homme assez instruit pour étouffer un mulet, mais qui ne sait rien au sujet de Dieu. C’est vrai.
Que Dieu bénisse votre coeur, frère. Une expérience sassafras à l’ancienne mode, c’est ce qu’il nous faut aujourd’hui.
Nous n’avons pas besoin de connaître la généalogie, vous avez besoin d’un peu de genoulogie. C’est ce qu’il faut à l’homme aujourd’hui. Retournez à Dieu ; retournez à la vie de prière où... parlant ouvertement. Priez, accrochez-vous à Dieu jusqu’à ce que cela s’accomplisse. Dieu le fera. Alléluia!
Eh bien, ne soyez pas effrayés par cet alléluia, cela veut dire Gloire à notre Dieu. Et Il mérite tout cela. Amen. Je crois cela. Amen veut dire Ainsi soit-il. Vous ne m’effrayerez pas en disant cela.
53 Très bien. Remarquez. Nous y sommes maintenant. Alors, le petit Jean, après sa naissance, fut amené au désert et il resta avec Dieu. Quand il était...
Ensuite, Jésus naquit, nous savons tout sur Sa naissance, survenue six mois plus tard. Quand le petit... Quand Jésus... Jean sortit du désert, regardez comment il vint. Oh! la la! Oh! la la! Il vint...
Je me suis souvent demandé ce que prêchait Jean. Quel homme! Les gens n’allaient pas voir comment il était habillé. Il portait un vieux pantalon de poils, un morceau de... il se drapait dans une peau de chameau pour nouer ce vieux tissu dans lequel il s’était drapé, ou la vieille peau poilue d’un animal autour de lui.
Alors, il est sorti, il s’est tenu sur les rivages de Jourdain ; il n’y avait pas de sièges où s’asseoir. Ceux-ci peuvent être durs, mais eux n’en avaient pas du tout. Mais il avait secoué toutes les contrées voisines autour du Jourdain. Pensez-y: Sans expérience de séminaire, ne sachant comment se tenir et dire: «Aaaamen», comme un veau mourant.
Mais il–il avait un Message de la part de Dieu. C’est vrai. Il ne prêchait pas la vaine philosophie humaine ; il prêchait Christ, et cela secouait la nation.
54 Que Dieu bénisse votre coeur, qu’Il nous donne davantage de baptistes comme cela, et je les croirai. Amen. C’est vrai. Je disais à un évêque il n’y a pas longtemps: «Présentez-moi davantage de Jean. Il prêchait le Saint-Esprit, et il avait le Saint-Esprit.» Oui, oui. Il ne ménageait rien non plus. Il mettait tout à sa place. Il a prêché et il a secoué toutes les régions. Pourquoi? Il prêchait Christ. C’est vrai.
Christ prêché dans la simplicité secouera les gens. C’est la puissance de Dieu. «Et Moi, quand J’aurai été élevé, J’attirerai tous les hommes à Moi.» C’est vrai. Remarquez attentivement. Après Jésus...
Nous devons donc nous dépêcher, car je me suis fait prendre ; mon temps est déjà écoulé, il me reste environ dix minutes. Oh! la la! Nous ne terminons jamais de parler de Lui.
55 Et comment Jésus, quand Il fut baptisé, je peux voir... Reprenons un peu la saynète, et... Je peux voir Jésus et Lazare, c’étaient des amis, ils jouaient ensemble. Ils ne se connaissaient pas. Et Lazare, avons-nous appris, était une espèce de scribe au temple, et peut-être que le... sa fil... ses soeurs faisaient des tapisseries et autres, elles faisaient de la tricotterie.
Et juste sous forme de saynète maintenant, je peux voir Jésus et Lazare jouer ensemble. Et peu après, Lazare revient et dit à Jésus: «Oh! la la, il y a un puissant prophète qui se tient au Jourdain. Il parle de Quelqu’Un de plus grand que lui qui vient, qui baptisera du Saint-Esprit et de Feu. Tu devrais aller le voir.» Et peu savait-il qu’il parlait en ce moment-là même à l’Homme en question.
56 Vous ne savez pas qui est assis juste à côté de vous aujourd’hui. Et dans l’église, cet homme qui a commis une faute, c’est l’un des fils de Dieu ou l’une des filles... ou des filles de Dieu. Ne le rejetez pas, aidez-le. C’est vrai. Entoure-le d’un bras. Vous ne savez pas ce que Dieu peut faire avec lui, si seulement vous l’aidez un peu. C’est vrai.
Et puis, peu après, je peux voir Jésus aller avec Jean, ou plutôt aller là-bas avec Lazare. Et Il fut baptisé par lui au Jourdain. Jésus alla au désert. Et quand le Père a parlé, a–a témoigné de Son Fils, L’a confirmé comme étant le Fils bien-aimé en qui Il mettait son affection... Il alla au désert pour être tenté par l’Esprit.
57 C’est bien ainsi que ça se passe. Dès que vous recevez le Saint-Esprit, la chose suivante, le diable vient directement pour des tentations. Quand vous confessez votre guérison, observez le diable venir directement pour vous faire rétracter là-dessus et dire que c’est faux. C’est le moment de tenir ferme, car vous ne témoignez pas de ce que vous voyez ou de ce que vous ressentez. Vous témoignez de ce que vous croyez. C’est vrai. Accrochez-vous-y.
Il est allé au désert et Il a été tenté par le diable, Il en est revenu. Son ministère, au moment du passage de l’Ecriture que nous avons lu (maintenant, nous allons y aller aussi vite que possible), avait atteint un niveau où des foules affluaient de partout et étaient guéries, elles écoutaient Ses précieuses Paroles alors qu’Elles tombaient de Ses lèvres. Son ministère était devenu tellement important qu’il se développait. Oh! la la! Les gens venaient, goûtant simplement du miel qui sortait de Sa bouche.
58 Hier soir, quand je lisais ce passage des Ecritures dans Saint Luc, chapitre 5, comment ils venaient écouter Sa Parole, ils Le pressaient pour entendre la Parole de Dieu, combien glorieux... L’Eglise aujourd’hui devrait se hâter de partout pour entendre la Parole de Dieu, s’accrocher à la Parole.
Nous sommes l’église naturelle, ou plutôt l’Eglise spirituelle, juste comme Israël était l’église naturelle. Nous avons été retirés de la servitude, la servitude humaine, juste comme Israël était sorti de la servitude en Egypte. Croyez-vous cela? Nous avons traversé...
Nous avons eu un sacrifice par lequel nous échapper. Le sang sur le linteau, la porte, ou sur le montant, juste une croix, parfaitement. Une fois à l’intérieur, personne ne devait sortir de sous le sang avant qu’on l’ait appelé à en sortir. Ils ont traversé le Jourdain, ou plutôt traversé la mer Rouge, le type du Sang, la puissance de Dieu qui sanctifie, tuant toute la nature du péché, le péché derrière vous, les chefs de corvée, la cigarette, le whisky, les débits de boisson et le cinéma. Tout ce qui vous dérangeait jadis et qui entravait votre expérience chrétienne est mort dans le Sang de Christ. Oui, oui, frère.
59 Si jamais vous avez une fois été purgé par le Sang de Christ, ces choses sont mortes. Si ce n’est pas... Si vous aimez le monde, les choses du monde, l’amour du Père n’est pas en vous. C’est peut-être un peu dur à être enseigné ici, mais c’est la vérité, je vous assure. Je n’ai pas d’étalons dans l’Eglise. Non, pas du tout. Absolument pas.
Le vieux–vieux chêne qu’on a par ici conserve ses feuilles tout l’hiver. Quand le printemps arrive, vous n’avez pas à arracher les anciennes feuilles, vous laissez simplement la nouvelle vie entrer ; les vieilles feuilles tomberont. C’est comme ça. Laissez Christ entrer dans le coeur ; le reste prendra soin de soi. C’est vrai. Recevez simplement Christ dans le coeur ; cela prendra soin du reste.
60 Et dans leur marche, oh! comme c’est beau! Cela est le type de nos églises aujourd’hui, comment ils ont traversé la mer Rouge. Et puis, Moïse s’est mis à chanter en Esprit. Miriam a pris un tambourin, s’est mise à danser juste comme à une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode: dansant, chantant, et louant le Seigneur. Pourquoi? Ils avaient remporté la victoire. Ils avaient la victoire. Tous les... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... le lendemain matin. Et quand ils sont sortis, il y avait de la manne partout sur terre. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... venu du Ciel d’auprès de Dieu. Ils ont goûté cela, cela avait le goût du miel. Oh! la la! Il y a quelque chose de doux dans le miel.
61 David, un berger, avait l’habitude... Les anciens bergers de l’époque se promenaient avec une gibecière. Ils mettaient du miel dans cette gibecière. Et quand leurs brebis tombaient malades, ils prenaient ce miel, le déversaient sur un rocher et faisaient lécher le rocher à la brebis malade. En léchant du miel, elle consommait du calcaire du rocher et cela guérissait la brebis.
Eh bien, écoutez, frères. J’ai toute une gibecière pleine de miel. Eh bien, je vais mettre cela sur un Rocher appelé Jésus. Vous les brebis malades, mettez-vous à lécher très vite et voyez si vous ne vous rétablissez pas. Oui, oui. Léchez autant que possible. Alléluia! Et, frère, je vais mettre cela sur Jésus-Christ, pas sur l’Eglise baptiste, ni sur l’Eglise méthodiste ni sur l’Eglise presbytérienne, ni sur quoi que ça puisse être. Sa place, c’est sur Christ. Ne léchez pas votre église, léchez Dieu. Alléluia! C’est là le lieu de la promesse. Non pas ce que docteur Untel a dit à ce sujet, mais ce que Dieu a dit à ce sujet. C’est Lui qu’il faut croire. Oui, oui.
62 Il y a quelque chose au sujet de cette pierre-là, c’est que cela se colle. Naguère, quand on avait l’habitude de... une personne était mordue par un chien enragé, on prenait la–la personne qui avait la morsure du chien enragé, on l’amenait à la pierre antirabique. Si la personne se collait à la pierre, elle était guérie. Si elle ne se collait pas, elle mourait.
Oh! Le pire démon, ou le pire chien enragé que je connaisse, c’est le diable. Il nous a tous mordus tout du long. C’est vrai. Et, je vous assure, il y a un Rocher, Jésus-Christ. Allez-Y. Attachez-vous-Y. Accrochez-vous-Y. Alléluia! Cela vous tirera d’affaire. Accrochez-vous simplement au Rocher d’âges, fendu pour moi ; laisse-moi me cacher en Toi. Accrochez-vous-Y fermement si vous êtes malade. Regardez et voyez si vous ne vous rétablissez pas. Accrochez-vous simplement au Rocher ; cela vous tirera d’affaire. C’est vrai. Oui, oui.
63 Amis, considérons juste un peu plus longtemps le miel. La manne, ça a le goût du miel, a-t-il dit, sur le rocher. Eh bien, c’était un type du Saint-Esprit.
Dieu avait dit à Moïse de demander à Aaron d’aller prendre un omer rempli de cela et de l’amener à l’endroit où ça devait être conservé, dans le lieu très saint. Que chaque génération qui passera à partir de ce moment-là, quand les fils de leurs fils leur demanderaient: «A quoi cela servait-il?», et chaque sacrificateur, qui était de la lignée des sacrificateurs, savait qu’aussitôt qu’il passait derrière, qu’il entrait dans le sacerdoce, qu’il avait le droit de goûter une bouchée de manne originelle qui était tombée au commencement. Oui, oui. Il pouvait en avoir une bouchée. Aussitôt qu’il était ordonné dans le sacerdoce, il pouvait goûter de la manne originelle.
64 Oh! Que c’est beau ça, ce qui s’applique au Saint-Esprit, la puissance qui nous soutient pour faire avancer l’Eglise. S’ils manquaient de manger la manne, ils mourraient. Et si nous manquons de nous nourrir du Saint-Esprit, nous mourrons. Si nous manquons de prier jusqu’à l’exaucement chaque jour, tout le temps, de nous maintenir sous le Sang, on se desséchera et on mourra dans son expérience chrétienne.
Ainsi donc, amis, ce qui arriva le jour de la Pentecôte quand notre Manne fut déversée... Pendant qu’ils étaient tous assemblés en un seul lieu, de commun accord, il n’y avait pas de dispute quant à savoir s’ils étaient méthodistes, baptistes ou luthériens. Ils étaient à un seul endroit, d’un commun accord, s’attendant à ce que Dieu tienne Sa Parole. En effet, dans Luc 24.49, Il leur a dit: «Attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut.» Actes 1 dit: «Quand le Saint-Esprit surviendra sur vous, vous serez alors Mes témoins à Jérusalem, en Judée, dans la Samarie et jusqu’aux extrémités de la terre.»
65 Et cent vingt personnes s’étaient assemblées dans la chambre haute, attendant la puissance qui allait les soutenir pour descendre parmi les gens. Et soudain, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, il remplit toute la maison où ils étaient assis, et des langues séparées apparurent et se posèrent sur...?... dans les rues...
Et permettez-moi de vous dire quelque chose maintenant même. La vierge Marie et les autres étaient juste là parmi eux. C’est vrai. Et si Dieu n’a pas fait d’exception pour la sainte vierge Marie pour qu’elle aille au Ciel autrement qu’en recevant le Saint-Esprit, femme, qu’en est-il de vous? C’est vrai. Il vous faudra payer le même prix, avoir la même expérience, avoir la même chose qu’eux avaient eue jadis au commencement.
66 Car, je vous assure, quand la puissance de Dieu s’est mise à descendre, ils avaient perdu toute la dignité et tout le reste. Ils sont allés dans les rues, en titubant comme des gens ivres, remplis du Saint-Esprit...?... Pierre a dit: «La promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin (même à Minneapolis, Minnesota, ou...), en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
Frère, je vous assure, chaque homme qui payera le prix, qui prendra position pour Christ, a le droit de recevoir le baptême, pas quelque chose que vous fabriquez, mais l’original, comme ce qui était descendu au début, comme ce qu’ils avaient eu le jour de la Pentecôte. Alléluia! Vous allez de toute façon me taxer de saint exalté, vous feriez tout aussi mieux de vous y habituer. C’est vrai. Amen.
67 Permettez-moi de vous dire autre chose. Le Saint-Esprit est un produit authentique. Vous n’avez pas à recevoir une copie ou quelque chose comme cela, attendez jusqu’à ce que vous goûtiez la Manne originelle qui était descendue le jour de la Pentecôte. Alléluia! Oui, monsieur. Ils étaient là, ils avaient reçu le Saint-Esprit. C’est...
Savez-vous le problème de l’église aujourd’hui? Elle a besoin d’un bon réveil de l’ancien temps à la Saint Paul et d’un enseignement biblique du Saint-Esprit, là-dessus une fois de plus. C’est vrai. Il faut le Feu descendu du Ciel...
68 Cela me rappelle quand j’étais un petit garçon, je me promenais le long de la rivière une fois, j’ai vu une vieille tortue. C’était la créature la plus amusante que j’aie jamais vue, une vieille tortue. Elle lançait ses pattes comme ça. Mon jeune frère et moi avions regardé comment elle marchait. Nous nous sommes approchés d’elle, alors elle est rentrée dans sa carapace. Juste comme certains de ces chrétiens formalistes et froids, comme quand on se met à leur parler de la guérison divine: «Oh! Docteur Untel a dit que c’est faux.» Oh! la la! Retirez-vous dans votre carapace. C’est en ordre. Très bien.
J’ai dit: «Faisons-la marcher de nouveau.» Je me suis procuré un bâton, c’est comme si je l’avais frappée à mort. Elle n’a pas marché. On ne peut pas la faire sortir d’elle en la frappant. C’est tout. Elle va simplement se retirer et haleter.
J’ai donc dit: «Je vais te dire ce que je vais faire. Je vais la faire marcher. Je vais l’amener ici dans l’eau, et je vais lui régler son compte.» Je l’ai amenée à la rivière et je l’ai plongée. Il y a juste eu quelques bulles qui sont montées et c’était tout. Frère, vous pouvez les baptiser de telle façon et de telle autre façon, les asperger, les plonger face en avant, face en arrière. Il descend un–un pécheur sec et remonte un pécheur mouillé. Il reste toujours un pécheur. Ce n’est pas votre baptême d’eau qui vous sauve.
69 Je vais vous dire ce que j’ai fait. Je suis allé me procurer un morceau de papier et j’ai allumé un petit feu, et j’ai mis cette vieille créature dessus. Elle a alors marché, je–je dis vrai. C’est vrai.
Et ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui, c’est de l’Evangile de Feu–Feu du Saint-Esprit à l’ancienne mode, qui descend à l’autel et dans chaque coeur. Cela constituera une église, aussi certainement que deux fois deux font quatre. C’est vrai. Oui, oui. Ramenez la puissance de Dieu. Ramenez une fois de plus le Saint-Esprit dans les coeurs des gens, de telle sorte que vous pouvez avoir une foi vivante en Dieu, lorsque vous parlez de la guérison divine: «Oui, j’accepte cela.» Alléluia! C’est vrai. Revenez à la Bible et revenez au Saint-Esprit. Assurément! Comme c’est merveilleux!
70 Eh bien, Jésus, dans Son ministère, on allait écouter Sa Parole précieuse. Il en arriva à devoir quitter la maison. Et quand Il est parti, la tristesse et les ennuis ont commencé. Et chaque fois qu’Il sort de chez vous, la tristesse et les ennuis entrent. Chaque fois qu’Il sort de votre église, la confusion et l’état de rétrograde entrent. Quand vous...?... les troubles sont en route ; gardez-Le avec vous tout le temps.
Maintenant, dans ce cas-ci, évidemment, Il n’avait pas été chassé, mais Son oeuvre L’avait amené ailleurs. Et aussitôt qu’Il était allé ailleurs, Lazare, Son ami intime, est tombé malade à mort. On a envoyé chercher Jésus afin qu’Il vienne prier pour lui. Et au lieu que Jésus vienne, Il a simplement poursuivi Son chemin. Et on a encore envoyé Le chercher. Et Il a tout bonnement continué Son chemin, ignorant apparemment cela. Jésus connaissait tout ce que le Père Lui avait montré.
71 C’est pourquoi... (Amis, j’ai dépassé le temps.) Et maintenant, si vous envoyiez appeler votre pasteur et qu’il ne venait pas prier pour vous, alors que vous êtes malade, eh bien, vous diriez: «Ce vieil hypocrite, je vais aller adhérer à l’église de voisins, ou de quelqu’un d’autre.» C’est pourquoi votre pasteur ne peut rien faire pour vous. Vous devez avoir foi en lui, confiance en lui en tant qu’homme de Dieu, et savoir que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. C’est vrai. Eh bien, votre pasteur ne m’a pas dit de dire cela non plus.
Mais je sais ceci: vous devez avoir confiance dans l’homme avec qui vous traitez, sinon cela ne vous fera aucun bien d’avoir une quelconque relation. C’est vrai. Vous devez croire votre pasteur. C’est un homme de bien, sauvé par Dieu, il prêche l’Evangile ; soutenez-le avec tout ce que vous avez. S’il ne l’est pas, allez ailleurs où on fait cela. C’est vrai. Eh bien, cela met les choses au point de part et d’autre. Eh bien, rappelez-vous ceci. S’il prêche l’Evangile, restez avec lui, aidez-le, car il est un homme envoyé de Dieu, ordonné par Dieu pour nourrir votre âme.
72 Et alors, quand ils ont envoyé chercher Jésus, Celui-ci a poursuivi Son chemin. Je pense que Jésus savait alors ce qui arriverait. Eh bien, si vous prenez... Quand Il passait près de la piscine de Béthesda... Regardez là. Un grand nombre de gens étaient couchés là.
Quand la Bible parle d’un grand nombre, cela veut probablement dire dix mille au moins, des boiteux, des estropiés, des aveugles, des paralytiques–paralytiques, des aveugles, des estropiés, des muets, attendant le mouvement des eaux, car Dieu envoyait un ange à certaines périodes. Est-ce vrai?
La guérison venait alors par l’ange, n’est-ce pas? Ce n’était pas l’eau, mais l’ange. Et si l’eau disait: «Regardez quelle grande eau je suis»? Non, ce n’était pas l’eau ; c’était l’ange. En effet, quand l’ange s’en allait, ça restait juste de l’eau (Est-ce vrai?), juste de l’eau.
73 Alors, Jésus passa près de cette piscine et Il vit tout ce grand nombre, et Il a guéri un seul homme. Il n’était pas estropié ; il avait une indisposition depuis trente-huit ans. Il l’a guéri, et Il s’en est allé, laissant chacun de ces estropiés couchés là. Est-ce vrai? Saint-Jean, chapitre 5. Il les a laissés tous. On dirait que Son coeur compatissant aurait dû sympathiser et guérir eux tous. Il pouvait probablement le faire.
Mais observez le chapitre 19, le verset 19 de ce même chapitre, quand les Juifs L’interrogeaient. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai? Dieu devait premièrement le Lui montrer. Aussi, Il n’a pas dit qu’Il était un Guérisseur divin. Il attendait que Dieu Lui montre en vision ce qui allait arriver, ensuite, Il l’allait accomplir.
74 N’est-ce pas ainsi qu’Il opère aujourd’hui? Il en sera donc tel que Dieu le dit. Mais vous ne pouvez rien dire avant que Dieu le dise premièrement. Ainsi, si quelqu’un pense...
Quelqu’un disait l’autre jour... J’ai entendu quelqu’un dire: «Oh! C’est de la supercherie.» Si vous pensez que c’est de la supercherie, alors que pensez-vous de Jésus-Christ? C’est vrai. Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; le Fils aussi le fait pareillement.» Il a dû attendre que Dieu le Lui montre, et puis Il est allé accomplir cela. Eh bien, Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait premièrement.
75 Je crois qu’Il avait vu la résurrection de Lazare. C’est vrai. Et quand Il est allé...?... Alors, Il s’est présenté. Peu après, Il a dit: «Lazare, notre ami, dort.»
Les disciples ont dit: «Il fait bien.»
Il leur a alors parlé ouvertement, de façon qu’ils comprennent cela. «Il est mort.» Il a dit: «Mais...» Ecoutez, j’aime ça. Il a dit: «Et Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Mais Je vais le réveiller.» Il savait ce que le Père Lui avait ordonné de faire, car Il a dit: «Je vais le réveiller.» Et Il s’en alla, Il prit le chemin du retour.
Eh bien, lorsque l’état de santé de Lazare s’empirait de plus en plus malade et qu’ensuite on L’envoya chercher... Oh! Comme c’était décourageant! Ils ont envoyé chercher le Pasteur pour venir prier pour lui. Ils avaient quitté leur église. Ils avaient tout abandonné pour suivre cet Homme, ce Guérisseur divin, il n’y avait pas d’espoir qu’Il vienne. Il poursuivait Son chemin, ignorant leur message. Quelle heure sombre! Puis, tout à coup, vous savez, la mort frappa, tua Lazare. On l’a emmené et on l’a enseveli.
76 Le premier jour passa. Oh! la la! Comme c’était sombre! Le deuxième jour passa ; sombre. Le troisième jour, le quatrième jour, il n’y avait plus d’espoir. Il pourrissait déjà dans la tombe, et les vers de son corps grouillaient en lui. Il n’y avait d’espoir nulle part. Elles étaient découragées, leur Pasteur les avait abandonnées, leur Bien-aimé. Celui qui opérait des miracles les avait abandonnées, Il n’était pas venu à leur secours. Et Marie et Marthe étaient restées seules là, leur père et leur mère étant morts ; maintenant, ces deux jeunes filles étaient restées seules au monde.
Quelqu’un était venu pour–pour les encourager. Elles étaient assises, vêtues de sacs, portant des voiles noirs, pleurant et gémissant à cause de leur frère. Et alors, à l’heure la plus sombre, puis Jésus vint. C’est ainsi qu’Il s’y prend. Amen.
Frère, c’est peut-être l’heure la plus sombre pour vous maintenant même. Mais Jésus vient juste à l’heure la plus sombre. Quand j’y pense, c’était l’heure la plus sombre jamais connue pour la femme à la perte de sang ; elle avait dépensé tout son argent. Puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre jamais connue pour Jaïrus ; sa fillette était couchée, morte. Puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre jamais connue sur la mer pour Pierre et les apôtres ; on dirait qu’ils allaient être noyés. Puis Jésus vint.
77 Oh! Frère, c’était l’heure la plus sombre que j’aie jamais connue il y a deux ans, aux cliniques Mayo, quand les meilleurs médecins étaient entrés et avaient dit: «Révérend Branham, il n’y a plus d’espoir pour vous. Vous n’allez jamais, jamais guérir de cela. Ça en est fini de vous.» C’était l’heure la plus sombre que j’aie jamais connue ; puis Jésus vint. Oh! la la! Oh! Combien je L’aime! Oui, oui. Combien je pense à Lui! Combien Il a fait pour moi. Je pense à:
Grâce étonnante!
Oh! quel doux son!
Qui sauva un vil comme moi!
J’étais une fois perdu, mais maintenant je suis retrouvé,
J’étais aveugle, mais maintenant je vois.
Si aveugle qu’on devait me conduire par le bras. Je ne savais où j’allais. Maintenant, ma vue est vingt sur vingt. Une pauvre créature couchée là, misérable et vile, mourant ; puis Jésus vint. Quel merveilleux... Comme Il vient juste à l’heure la plus sombre!
78 Puis, quelqu’un a dit... Je peux l’entendre dire: «Dites donc, voilà le Guérisseur divin qui n’était pas venu quand Lazare était vivant, Il revient furtivement dans la ville maintenant. Il est là dehors.»
Maintenant, écoutez. Marie, ou plutôt Marthe, excusez-moi, avait lu l’histoire de la femme sunamite, qui avait eu un enfant. Et elle, par... Et quand elle... l’enfant était mort, elle ignorait la cause de sa mort. Mais elle savait que si elle pouvait atteindre Elie le prophète, que Dieu était dans le prophète. Et tout ce que... Elle pouvait découvrir ce que Dieu voulait dire par cela, une fois qu’elle pouvait atteindre le prophète...
Alors, elle a demandé qu’on selle un cheval, qu’on aille de l’avant et qu’on ne s’arrête pas. Elle a donc donné l’ordre. Elle est arrivée auprès du prophète et le prophète a dit: «Tiens, je vais t’envoyer un tissu oint, en d’autres termes. Je vais te donner mon bâton. Va le poser sur l’enfant.»
Elle a dit: «L’Eternel est vivant, et ton âme est vivante! Je ne te quitterai pas.» Elle savait que Dieu était dans le prophète. Elle est restée juste avec le prophète jusqu’à ce qu’elle eût découvert.
79 Elie est allé avec elle jusque dans la chambre où se trouvait le mort, et là, il parcourait la pièce, sans prier pour l’enfant. Il parcourait la pièce, puis il s’est étendu sur l’enfant. Le Seigneur Dieu a oeuvré par Elie. Alléluia!
Ô chrétiens, vous ne savez pas de quoi je parle ; je ne crois pas. Voyez, écoutez ça. Dieu était dans Elie. Et...?... Et Elie le savait. La femme le savait. Et il a étendu... Il savait. C’est pourquoi il avait envoyé ce bâton-là. Il savait que tout ce qu’il touchait était béni, car Dieu était en lui. Oh! la la! Voyez-vous ce que je veux dire? Dieu était en lui. Et s’il touchait quoi que ce soit, cela était béni. Il n’avait pas prié pour l’enfant ; il s’est étendu sur l’enfant. Et le Dieu qui était dans Elie... Le souffle entra dans l’enfant, il éternua sept fois, il se leva bien portant.
80 Et Marie savait assurément, ou plutôt Marthe, que si Dieu était dans Elie, assurément Il était dans Son Fils. Oh! la la! Elle savait que si elle pouvait l’atteindre, elle pouvait découvrir pourquoi son frère était mort.
Elle est directement sortie de la ville. Je peux entendre certains d’entre eux dire: «Eh bien, regardez où vous allez maintenant.» Elle a repoussé ces vieux critiqueurs, elle est sortie directement. Jésus n’était pas encore entré dans la ville, elle est arrivée là où Il était.
Maintenant, suivez. On dirait qu’elle avait le droit de Le réprimander. On dirait qu’elle avait le droit de Le gronder et de dire: «Pourquoi n’es-Tu pas venu? Oh! Je pensais que Tu pouvais le guérir.» Si elle avait fait cela, le miracle ne se serait jamais accompli.
C’est votre approche du don divin qui produit les résultats. C’est la façon dont vous vous approchez de cela qui compte. N’est-ce pas vrai? La façon dont vous vous approchez de n’importe quoi...
81 Elle eut une approche correcte. Elle se présenta, elle tomba à genoux et dit: «Seigneur...» Elle n’a pas déconsidéré Son titre. «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.» Oh! la la! Cela L’a touché. Elle savait que si elle pouvait toucher Son coeur, elle aurait ce qu’elle voulait. Elle dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.» J’aime ça. «Maintenant même, Seigneur.» Il est mort, il est enseveli depuis quatre jours. Les entrepreneurs des pompes funèbres l’ont emmené là, ont embaumé son corps et l’ont emporté. Il est mort depuis quatre jours, et il–il est simplement en train de pourrir là sous terre. «Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.»
Oh! Frère, soeur, vous pouvez avoir essayé tout ce qu’il y a au monde. Vous pouvez avoir essayé de vous rétablir. Vous les hommes assis ici, souffrant du cancer, vous pouvez avoir tout fait ; sans doute que vous l’avez fait, «mais, maintenant même, Seigneur, maintenant même.» Quand?
«J’attendrai le service de ce soir.»
Non. «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Il le fera.» Quand? Maintenant. Il est assis à la droite du Père, regardant vers le bas maintenant même, prêt à intercéder.
«Mais, Frère Branham, je–je suis malade.»
«Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.» Il attend que tu dises: «Seigneur, je crois en Toi. Seigneur, je crois en Toi. Maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.»
«Mais, Frère Branham, je–je suis sourd d’une oreille.»
«Mais, maintenant même, Seigneur.»
«Eh bien, on avait prié pour moi auparavant.»
«Mais, maintenant même, Seigneur. Oh! la la! Tout ce que Tu demanderas à Dieu.»
«Frère Branham, je cherche à recevoir le Saint-Esprit depuis longtemps.»
«Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.» Vous y êtes. C’est ce qu’il faut. C’est ce qu’est la foi.
82 Remarquez. Il a dit: «Ton frère ressuscitera.» Maintenant, redressons-Le. «Oh! la la! Ton frère ressuscitera.» Observez les anciennes puissances prophétiques se rassembler maintenant, l’endroit convenable, la personne convenable, le temps convenable. «Mon frère est mort et il est dans la tombe. Mais Toi, si Tu eusses été ici, il ne serait pas mort. Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.»
Cela Le frappa. Cela Le toucha. La foi... Cela n’avait jamais été fait auparavant, la foi. «Ton frère ressuscitera.»
Elle a dit: «Oui, Seigneur. Il ressuscitera au dernier jour.» Ces Juifs croyaient dans la résurrection générale. «Oh! Il ressuscitera. C’est un bon garçon. Il ressuscitera au dernier jour ; je le sais.»
Regardez-Le. Oh! la la! Il n’y avait pas... Son aspect n’avait rien pour nous plaire. Oh! Il était probablement un Homme d’apparence frêle. Il a dit... Un Homme de douleur, habitué à la souffrance. Mais Il a redressé Son petit corps, Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.»
83 Oh! la la! C’est ça. «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»
Elle a dit: «Oui, Seigneur. Je crois...» Regardez ça. «Je crois que Tu es le Fils de Dieu, que Tu dis être, qui devait venir dans le monde. Je crois ce que Tu as dit que Tu es. Ce que Dieu a fait pour Toi, c’est la vérité. J’en crois chaque Parole.»
«Où l’avez-vous enseveli?» Oh! la la!
C’est là qu’une femme m’a dit il n’y a pas longtemps, quand j’étais... Elle a dit: «Jésus n’était pas le... divin.» Elle a dit: «C’était un Homme de bien, un bon Enseignant, ainsi de suite ; c’est bon pour les gens de vivre de cela. Juste comme avec père Noël, des histoires pour les enfants. Mais, a-t-elle dit, Il n’était pas Dieu.»
J’ai dit: «Oh! Si, Il était Dieu.»
Elle a dit: «Non, Il ne L’était pas.»
J’ai dit: «Il L’était.»
Elle a dit: «Ecoutez, je peux vous le prouver. Quand Il descendait à la tombe de Lazare, Il avait pleuré comme un homme.»
J’ai dit: «Oui.» Je crois qu’Il était plus qu’un homme. Je crois qu’Il était un Dieu-Homme. Je crois que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Je crois que Dieu habitait dans Son Fils, Il demeurait dans Son Fils, et qu’Il réconciliait le monde avec Lui-même par Son Fils.» Croyez-vous cela? Je le crois de tout mon coeur. Il était plus qu’un homme. Il était Dieu le–Dieu le Fils ici sur terre. Tout ce que le Père avait, était alors en Lui. Et je crois qu’Il était plus qu’un homme, Il était un Dieu-Homme. Et quand Il descendait à la–à la tombe, Il a pleuré comme un homme. C’est vrai. Mais quand Il s’est tenu là, qu’Il s’est redressé et a dit, Il leur a dit d’ôter la pierre, il a dit: ‘Lazare, sors.’ Quand Il a ressuscité le mort, Il était plus qu’un homme. Il était Dieu. Il était un Homme quand Il pleurait, mais Il était Dieu quand Il a ressuscité le mort. C’est vrai. Oui, oui. Il était Dieu.
84 Et, je vous assure, quand Il descendait de la montagne cette nuit-là, Il avait faim comme un homme, quand Il cherchait dans le figuier quelque chose à manger, alors Il avait faim comme un homme. Mais quand Il prit cinq petits pains et qu’Il nourrit cinq mille personnes, c’était Dieu dans Son Fils. Il était un Dieu-Homme. Je sais qu’Il L’était.
Il était un Homme cette nuit-là quand Il était couché dans cette barque là-bas, que toutes les vagues faisaient tanguer. Dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Il était un Homme alors qu’Il était couché là à la poupe de cette barque, fatigué et épuisé. Mais quand Il s’est levé et qu’Il a posé son pied sur le bastingage, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», c’était Dieu qui parlait au travers de Son Fils. Alléluia!
Je crois qu’Il était un Dieu-Homme. Il était plus qu’un homme. Il était une Personne divine que Dieu avait envoyée du Ciel. Oui, oui. Je sais qu’Il avait pleuré comme un homme quand Il mourait à la croix ; les rochers se fendirent par le milieu et les cieux s’obscurcirent, mon Sauveur inclina la tête et mourut. C’est vrai. Il était un homme quand Il mourait. Mais quand Il ressuscita le troisième jour, Il prouva qu’Il était Dieu. C’est vrai. Dieu était dans Son Fils. Il L’a ressuscité. Il était Dieu. J’en crois chaque Parole.
85 Je peux donc Le voir parcourir ce lieu-là, vers la tombe. Il a dit: «Ôtez la pierre.» On dirait que s’Il avait été un gentleman, Il aurait pu l’ôter Lui-même. Mais Il a demandé à ces femmes de le faire. Pourquoi? Vous avez votre part à faire. Oui, oui. Vous devez faire votre part. Il a dit: «Ôtez la pierre.»
Elles ont ôté la pierre et il se dégagea une odeur très nauséabonde. Et elles étaient sur le point de suffoquer à cause de cela, un cadavre humain.
Alors, je peux Le voir se redresser encore ; Il a dit: «Père, Je Te loue de ce que Tu m’exauces toujours. Mais c’est à cause de ces gens qui sont ici que J’ai dit...» Il avait déjà eu la vision. Il savait ce qui allait arriver. Alors, Il cria d’une voix forte, poussant un cri, disant: «Lazare, sors.»
Je crois, frère, que s’Il ne l’avait pas spécifiquement appelé par son nom de Lazare, je crois que la résurrection générale aurait alors eu lieu. C’est ce que je pense à Son sujet. C’est vrai. Je crois que la résurrection de toute créature morte, qui soit jamais morte, aurait eu lieu ; elle serait sortie de la tombe s’Il avait simplement dit: «Sortez.» Oui, oui. Mais Il a appelé: «Lazare, sors.»
Je me réjouis aujourd’hui de ce que mon nom est inscrit dans Son Livre. «Un jour, Il appellera aussi, et je répondrai», dit Job.
86 Mais là, Il avait appelé Lazare, un homme mort depuis quatre jours ; son corps était putréfié, son âme avait effectué un voyage de quatre jours quelque part là... Je ne sais où elle était, vous non plus ; nous n’allons donc pas en discuter. Mais l’âme de cet homme qui était partie depuis quatre jours est revenue. Et un homme mort s’est tenu debout et a encore vécu. Crois-tu cela?
Oui, oui. Je le crois. Je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il est Celui qui avait parlé aux mers, et elles s’arrêtèrent. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il a dit dans Sa Parole: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes.» Crois-tu cela?
Je crois qu’Il a dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, vous pouvez demander ce que vous pouvez, et cela vous sera accordé.» Crois-tu cela?
Je crois que, dans les derniers jours, il y aura un relâchement ; les hommes seront têtus, emportés, aimeront le plaisir plus que Dieu. Je crois que nous vivons en ce jour-là. Crois-Tu cela?
Il a dit: «En ce temps-là, le germe de l’Eternel aura de la magnificence.» Il a prophétisé qu’Il aura une Eglise, que les miracles accompagneront ceux qui auront cru. Dans Marc 16, Il a dit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Je crois que nous vivons en ce jour-là maintenant même. Crois-tu cela?
87 Je crois que Son Esprit est ici même cet après-midi. Je crois qu’Il a dit que quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé. Crois-tu cela?
Je crois que chaque homme ou chaque femme qui est ici maintenant même sous l’onction du Saint-Esprit peut accepter Jésus maintenant même et recevoir le Saint-Esprit. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il guérira chaque personne dans cette salle maintenant même, si seulement vous Le touchez. Vous... Crois-tu cela?
88 Il y a trois ans, un Ange m’a rencontré dans des sphères qui sont... dans une pièce et a dit: «Si tu amènes les gens à te croire et que tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à ta prière.» Crois-tu cela? Je crois qu’Il est ici maintenant. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il veut guérir maintenant même. Crois-tu cela?
Je crois qu’Il veut guérir ces hommes du cancer. Crois-tu cela? Je crois qu’Il veut guérir ce petit garçon estropié. Crois-tu cela? Je crois qu’Il veut remplir cet endroit du Saint-Esprit maintenant même. Crois-tu cela?
89 Levons-nous et rendons-Lui alors gloire. Oh! la la! Le voici ...?... Avez-vous besoin du Saint-Esprit? Avez-vous besoin de Christ dans votre vie? Voulez-vous être guéri? Maintenant, pendant qu’Il est ici, acceptez-Le maintenant même sur base de la Parole. Dites: «Seigneur, sur Ta Parole, me voici, Seigneur. Je crois maintenant que Tu vas me guérir. Je crois que Tu vas me sauver. Je crois que Tu vas me donner le Saint-Esprit.» Que chaque main se lève maintenant. Que chaque coeur se tourne vers Dieu pendant que nous prions. L’aimez-vous? Je vais Lui demander... Je Lui ai demandé cet après-midi, avant de venir ici, de vous remplir du Saint-Esprit et de vous guérir. Je crois qu’Il va le faire. Croyez-vous cela? Crois-tu cela? Demandez-le-Lui maintenant. L’aimez-vous?
90 Notre Père, nous sommes assemblés ici cet après-midi dans aucun autre but que de glorifier Ton Fils Jésus ; et maintenant, pendant qu’Il se meut dans cette salle, ô Dieu, là dans l’assistance, nous ne reverrons plus jamais ce jour. Il arrivera que nous aurons à Te rencontrer au Jugement avec ce que nous avons fait de cela. Ô Dieu, je prie maintenant, alors que le Saint-Esprit nous a parlé cet après-midi, que Toi, ô Dieu, Tu remplisses leurs coeurs maintenant même, Seigneur. Envoie le Saint-Esprit. Guéris chaque malade dans cette salle maintenant même. Qu’ils reçoivent la Parole avec joie et qu’ils soient remplis du Saint-Esprit maintenant même au Nom de Jésus-Christ.
Combien croient? Combien croient qu’ils sont...?... Dites: «Gloire au Seigneur.» Combien acceptent cela? Dites: «Gloire au Seigneur.» Alléluia!
91 Que chaque personne ici présente, chaque personne ici à l’intérieur, impose les mains à celui qui se tient à côté d’elle. Placez la main sur celui qui se tient à côté de vous. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Maintenant, Dieu va faire ceci. Je sais qu’Il va le faire. Oh! la la! Regardez là maintenant, amis. Les mains des uns sur les autres. La vieille mère imposant sa main à un petit enfant. Le vieux papa imposant les mains à la mère. Oh! Ça y est. C’est ce dont je parle. Maintenant, recevez cela, amis. Ça y est.
Ô Dieu, précieux Ange du Seigneur, remplis maintenant même du Saint-Esprit, va avec tout un chacun d’eux. Je prie...?... Accorde-le, Seigneur. Croyez en Lui.
E-1 Thank you, Brother Lindsay. Good evening audience. Very happy to be here this afternoon to speak about the greatest person that ever lived on the earth, or ever will be on the earth, our Lord Jesus Christ. That's why I've...
One day I was talking, and wife... One of the first meetings we was ever in, she says, "All those people come?"
I said, "The Gospel is the greatest drawing card the world has ever had." I say...
"If I be lifted up, I will draw all men unto Me."
E-2 And now, it falls my lot this afternoon to speak. A little warm under the tent. And I--not a preacher to begin with, but I--I like to talk on the Word. Faith cometh by hearing, hearing of the Word. That's what gives us faith. Before we can have faith, we must have a basis for faith. Isn't that right? The...
If you was going to get married, you'd have... Your wife would have to tell you she loved you and how she'd be true to you. And you have a--you have her word then. And then, your faith, it just depends on how you feel about, if her word is all right or not.
And that's the way we have to do by any way. By faith we have to have the--a background, a foundation.
E-3 And now, we're going to just not keep you no longer than possible in speaking. As I said, I wasn't a preacher; I just love to talk on the Word. I once... When I was first ordained as a--a Baptist preacher, my, that was one of the greatest hours of my life. I...
When I was a little boy, I thought it took a sissy to pack a Bible. But when I was saved and got ordained, I'd go down the street with my Bible under my arm. And my, when they would call me "brother" or something, I just all swelled out. I thought I was a real preacher. And they just had a local exhorter license, just for the state of Indiana that I could preach, and marry, or bury, or baptize.
So I thought I was a real preacher until one day I heard a real preacher. And then I realized I wasn't any preacher.
E-4 It reminds me of when I was at home. My father used to break bronco horses. He was borned in the state of Kentucky. My mother's from Oklahoma, and moved down into Texas, just above Paris. And my dad went west to breaking horses. And he was a quite a rider, and a very fine shot, and--with a gun. And he went west breaking horses, and that's how he met my mother.
So I always thought that I wanted to be a rider. I'd hear my dad talk about how he would break the horses, and skin the... you know, and the team and so forth.
And we lived on a farm, and I thought, "Oh, my, when I get just a little bigger, I'm going to be a real rider." I'd been to the picture show a few times and seen some of the movies, you know, of some of that--on them dude ranches. And I thought, "Oh, I will just be a real hero."
E-5 So when I used to get the old horse after we'd plow with him all day, you know, and get him out behind the barn to the watering trough... How many country boys is there in here? Let's see your hands. Now, don't be backwards. I thought so. All right.
And we'd get out there by the old watering trough, and I'd get me a handful of cockleburs, and put it under the saddle, and pull down the cinches on it. I'd climb up in the middle of the old horse, you know. And my, the poor old thing so tired, he--he's just worked to death. And here I would set there, and he couldn't get his feet off the ground. He'd just bawl and turn around. I'd take my old straw hat, and have my little brothers lined up down there. And I'd say, "Look at me as a cowboy," just a beating that old horse with my hat. And the poor old thing, why he--he couldn't have throwed an egg off his back hardly. So I was up there in this saddle, you know, just a bucking away. I thought I was.
E-6 And one day I thought I was a real rider. So I left home and went out west to be a cowboy; I landed in Arizona. And so I was at Phoenix. I was having a rodeo. And I thought, "Well, now, here I'm broke, so I will get some money."
It happened to be a little later, we's checking the time, Brother Lindsay was just a little away from there the same time, preaching the Gospel. And we didn't know that till recently when we checked our times when we were there.
And they had a rodeo up there, after the round-up. And they was talking about, oh, how you could go out and ride, and there'd be prizes for riders.
Well, I thought, "I will have to get me a pair of chaps, you know, before I go out there." I went down to one of the outfitting departments, and I got a pretty pair, you know, had a great big A-R-I-Z-O-N-A on it, and steer heads, you know. And I put them around me, and there's about that much leather laying out on the floor. I looked like one of these little banty roosters with that--all that feathers hanging down.
Well, people wasn't going to... I knowed that wasn't nothing. So I finally come to find out the price of them; I didn't have the money. So I got me a pair of Levis, and went on out to the pen.
E-7 They were... I climbed up on there with the rest of those old disfigured cowboys, you know, and the bow-legs, and setting up there. And they went through, and called that they was going to have a certain rider to ride a certain horse. I thought, "Oh, my, I will watch him." And I said, "If he can't ride it, I will." So I--I never seen a rodeo before.
And after while when they come out, I seen this fellow climb up in the chute, stand like this, and catch as catch can when he come out. And my, when he dropped on that horse, he made about two bawls and looked like he'd... One of those outlaws, you know. And he could put both feet in a wash pan and throw a saddle over the corral fence.
So just as soon as that fellow hit on him like that, he made about three lunges like this, and sunfished. And when he did, that fellow went up in the air twisting around, fell down. The pick-ups got the horse.
The fellow come back through calling, said, "I will give any man fifty dollars who'll stay on him one minute--fifty dollars." And he been look all down along that fence. "Fifty dollars, who will take it?" He come right straight to me; he said, "Are you a rider?"
I said, "No sir." Well, that... I wasn't a ride... I thought I was then till that time.
E-8 Well, then when I thought I was a preacher one time. I packed a Bible around, had a little paper in my pocket. And I thought I was preacher.
And one day I was in St. Louis, Missouri, and I run into a Pentecostal camp meeting. And there was a Pentecostal preacher there by the name of Daugherty. And my goodness, that man started preaching. He would just turn blue in the face, and buckling his knees and go plumb to the floor. When he come up, he'd catch his breath, you could hear him two squares and still preaching. Fellow walked up and said, "You a preacher?"
I said, "No, sir, no, no."
My old slow Baptist ways don't think of it that fast. That's all. So I just have to come take my time. So around where there's real preachers, I never say I'm a preacher. So I kinda keep covered up for that. So...
E-9 But I do like to get out when you're not under that anointing for the sick, you know. And you can just be at liberty, you feel free to preach, or to speak of the Word, or anything. And that's what it is. They give me a little time once in a while so I can kinda rejoice.
Now, when the anointing for healing is on, I just keep praying, fasting. And it gets to a place you feel a real sacred calm feeling, not like rejoicing; you just feel a real sacred feeling. But when you're speaking of the Holy Spirit, then it comes with joy, and happiness, and gladness, and the refreshening from the Presence of the Lord. And I'm very happy to--to have that this afternoon.
Just before we go into service, I read a text as, if we should call it a text. I thought I'd make myself clear first that I wasn't a preacher. 'cause, you people are hearing these good preachers around here, well then, you'll know different in a few minutes.
E-10 But what I wanted to tell you was a little bit upon Divine healing, just before we read the Word.
So many people think that Divine healing is just a hocus-pocus affair. That isn't it. It's plain simple and the Gospel of Christ.
Now, what would you think if I told you this afternoon that every sick person in this building was healed? That's right though. That's true. As far as God's concerned, you're healed.
See, many times people want to debate. Here not long ago, this minister where this picture was taken, wanted to debate the subject of whether Christ... Said, "Christ didn't atone for our sickness when He atoned for our sins."
Now, here's what it is, friends. And sometimes it's just so simple, if you'll just try to understand it. How many sick people's here this afternoon? Let's see your hands. I know there's a group of you. All right.
E-11 Now, I want you to do this. I want you to get just what I'm saying now, and then hold to it while I'm speaking. Will you do it?
You'd never live any higher than you confess that you are. It's your confession that saves you. He that confess Me before men, him will I confess before My Father and the holy Angels. When you say you're sick, you're sick. Now, that... I'm not preaching Christian Science now. I'm preaching the power of God, and the Holy Spirit bears record of it. See?
But here's what it is. You accept Him because that you feel that He saved you. And you go telling people, testifying of it, and believing your testimony, and it works righteousness. It'll do the same thing for healing.
E-12 Now, here's what happens. Sin is what brought sickness in the world. Sickness is a result of sin. Now, before we had any sickness, we had no sin. And when sin came, sickness was a results of sin. So Jesus came to rid us of sin, and to rid... There's not a Gospel preacher in the world but what would believe that Jesus Christ died for our sins.
Well, they--that's where it's at here, up this place here. Now, watch close. Here's where He paid the price. And when He died for our sin, as a result of His death, sickness fell right in with it. See?
In other words, if my foot was what was you wanted to kill, kill the head and you got the foot. See? The foot goes in with it.
That's when He atoned for sins, He atoned for the sins' results. Sickness is an attribute of sin. And Jesus died for our sins. And sickness, iniquity, and all was included in His death for our sins. You see it? Then when He died for the sins of the world, there at Calvary He healed you, you, you, you, every one of you. And you're already healed. You're already forgiven of your sins if you'll just accept it.
E-13 Now, you don't go to hell because you're a sinner; you go to hell because you refused to accept the way away from hell. There's a bypass; that's Christ. There's a bypass from your sickness, quick death, premature grave; that's through Christ. But now, you're--you're--you sinned in the beginning, and Christ died for your sins. Therefore, He saved you when He died. He saved you, and He healed you when He died, for He took your place.
But now, all you have to do is to accept it by faith, and you'll receive it. See what I mean? Now, there's nothing more to be done, because your healing's already paid for. You can have it right this afternoon. You can have it right now, this very minute when you believe it. When your faith meets God's requirement, to believe that Christ died for your sickness, when He died for your sins (and He died for your sins at Calvary), and accept it upon that basis; at that moment, you are healed in the sight of God. See? Then you go on testifying of it, believing it.
You don't... We... You testify of the things you do not see. Faith is the substance of things hoped for, the evidence of things you do not see. And we look at the unseen.
E-14 Abraham, twenty-five years before Isaac was born, testified, and believed God when he's a hundred years old. Paul, before the storm ever ceased, knew what was going to happen, because he had God's Word for it.
Now, you've got God's Word for it this afternoon. And I wished you would do this. If you'll do this... Here's a challenge that I will make as a minister of the Gospel. If you'll believe this afternoon, and the Holy Spirit will come down into our midst, and you can actually, while you're praying, feel the Holy Spirit in your heart, that He's accepted your prayer, if you'll stand on that right there, and believe it... Don't fool with any more prayer line; you don't need it. If you'll believe it right there where you are, then that settles the sickness for the rest of the way out. That'll do it. Then rise with a stern faith, walk boldly. Say, "How do you know you're well?"
"Because God said I was, and I believe His Word. That's why."
E-15 Now, you're not saved because you feel like that you're saved. If I... If somebody'd say, "I know I'm saved, because I had a chill run through me, and so forth." That's not why I'm saved. Satan could whip me around a stump anywhere, and he can you too upon your feelings. That's right. But when I walk back and say, THUS SAITH THE LORD, my faith is built on the Word of God. And he can't whip that away.
Remember. Jesus had all the qualities of the Father in Him. Do you believe that? Sure He did. All the fine gifts of God was in Christ, His Son; for He was the offspring of God. But notice, when He met Satan, for your example, He never used one gift on him. When Satan came to Him, He said, "It is written (Deuteronomy 7:14, I believe, or it's 8:14, and also in the Psalms): Man shall not live by bread alone, but by every Word proceedeth out of the mouth of God." Satan caught Him again up on the pinnacle of the temple: Jesus said, "It is written." And he took Him up to the top of the mountain. Jesus said, "It is written. (See?) It is written."
E-16 Now, notice. Here it is! I want you to see it and get it now. The Word of God, written Word of God will defeat Satan anywhere, any place, any time. It's written. There it is.
Everybody wouldn't have gifts. Jesus brought it down to a place where those who do not have gifts, that do not have very much faith, could just say, "It is written." There it is; and then just stand right on that.
Corn will bring forth corn. Is that right? Barley will bring forth barley. Wheat will bring forth wheat. Jesus said that the Word of God is a Seed that a sower sowed. And every Word will... Every Word of God, every promise of God will bring forth of its kind. Do you believe that? See?
E-17 Now, what does the farmer do? He sows the wheat. Well, look for the harvest. The next morning, what if he goes out there and uncovers it, say, "Why, it ain't sprouted. There's nothing to it. So I--I ain't going to have no wheat." Well, if he isn't going to have any wheat... If he keeps digging it up, looking at it, he will never have wheat. You just sow it and let it alone. Amen.
There it is. It's up to God to bring it forth. It's up to God to send the rain. And it's you to accept God on His Word. Hallelujah. And it's up to God to bring His Word to pass. No man's worth any more than his word, and God's not worth a bit more than what His Word is.
And I say this with a challenge in faith, that every promise of God will be brought to pass if you take the right mental attitude towards it. That's right. Look at it. Believe it.
E-18 John Sproule, many of you has heard of John, the Glory Barn, years ago. In Alsace Lorraine, France, said him and his wife walking out one afternoon looking at a statue of Christ. And he stand out criticizing; he said, "Why, I don't see no suffering. Don't see nothing that look like anything would be so great about that monument there."
The guide said, "Well, you're looking at it wrong, sir." Said, "You get down here at the altar." Said, "There's a altar built here." And said, "Now, look up."
He looked up and said, "Oh, my." His heart like to broke.
See, it's just the way you look at it. If you look at the Word was way back there, and Christ lived years ago, and He's not today, and He's not the same yesterday, today, and forever, that's just what you'll get out of it. But it's not to be looked off as history, it's to be get down and look up to It and believe It. The way you look at the Word of God...
E-19 Now, accept it right now, and say to God right now in prayer, "Lord, this afternoon I'm setting here sick. I've seen all these ministers preach the Word; I've seen Christians; I've seen prostitutes made ladies and saints; I've seen drunkards on the street come in and become gentlemen and upright men, saints of God become Gospel preachers by preaching the Word. I believe You sent those men." Say, "Now, Father, I--I seen someone come in claiming the gift of Divine healing, to know the hearts of the people. I see that. And I know that You're dwelling in Your people. All over the world, You're moving ov... through Your people. And this afternoon, I'm going to accept You as my Divine Healer and my Divine Saviour. And I'm going to believe it, and confess it, and stay with it; if You'll just bless me this afternoon, and make it so in my heart that I can believe it."
Will you make God that promise? Will you do it? You that's sick, say, "I promise that, Lord. If You'll just touch me with a little faith this afternoon, then I'm going to believe it, and walk out of here and be a healed person the rest of my life. I will refuse to see anything else but the promise of God."
Now, you do that. That's the only way you can be healed, is by faith. So accept it, believe it, and God shall bring it to pass.
All right. Let's bow our head.
E-20 Our heavenly Father, we've gathered here now for a few moments of the Word, speaking the Word. And faith cometh by hearing, and hearing of the Word. And now, as we're just about to open up the Bible and read It, we realize that no man can open the Book. John said, "No man in heaven or on earth could open the Book, or beneath the earth. But the Lamb, which had been slain from the foundation of the world, was worthy to come take the Book out of the hand of Him that sat upon the throne, and to open the Book, and to loose the seals thereof.
And now, may the Lamb of God, by the Holy Spirit, come right into this meeting this afternoon, take the Word of God, and just open it up into every heart. And may, as they receive the Word, may Thy servant's lips be circumcised to speak, and may their hearts be circumcised to receive; and may the fruits be a hundred fold. For we ask it in the lovely Name of Thy Son Jesus. Amen.
E-21 In the Book of Saint Matthew--or Saint John, rather, the 11th chapter. I wish to read just a few verses. You that wants to mark it down, just of an old familiar text that many times your pastor's talked on it, and--the resurrection of Lazarus, beginning at the 20th verse and down to the 27th inclusive. Listen closely to the Word.
I know it's awfully hot in here this afternoon. But oh, friends, we're here trying to bypass the place that'll be much hotter than this. There'll be no fans down there. And--and we want to bypass that great place, don't we, called hell.
All right. Now, 11th chapter of Saint John, and the 20th verse beginning.
E-22 I tell you, I like you people here, bringing your Bibles and reading the Word. I like that. You're very nice. Crowds hasn't been what we--what I thought they would be here, because it's way out of town, and we've had difficult. But what's been coming has been a lovely, lovely group of people, seemingly, with a great faith, very obedient, just as nice a groups as you could speak to anywhere in the world, as I have. Now, listen closely to the Word.
Then Martha, as soon as she heard Jesus was coming, went and met him: but Mary set still in the house.
Then said Martha unto Jesus, Lord, if thou had been here, my brother had not died.
But I know, that even now, whatsoever thou will ask... God, God will give it thee. (I like that, don't you?)
Jesus said unto her, Thy brother shall rise again. (See what that kind of faith brings?)
Martha said unto him, I know that he shall rise again in the resurrection at the last day.
Jesus said unto her, I am the resurrection, and... life: he that believeth in me, though he were dead, yet shall he live:
And whosoever liveth and believeth in me shall never die. Believest thou this?
She said unto him... (Listen to this closely.)... Yea, Lord... (Oh, I love that.)... I believe that thou art the Christ, the Son of God, which should come into the world.
E-23 Can we pray now?
Father, bless Thy Word as It's been read. May It go forth now, and sink into the hearts as I speak on It. And may the Holy Spirit bring a hundredfold for healing of the body and for the soul also. And may there be an old fashion revival start here, Father. We're longing, praying, knowing it's the only hope left in the world now, for all kingdoms and powers will be shook and moved. But we receive a Kingdom which cannot be moved. Help us today, God, to introduce this Kingdom. And may men press their way into It. For we ask it in Jesus' Name. Amen.
E-24 Now, this was in the early part of the ministry of our Lord. He was borned in the world, had a bad start, just to began.
You know, I like to think of Him as how... If you would ever know Who Jesus really is, then you can appreciate His great sacrifice so much more. You have to know Who He is, first.
He wasn't just a righteous man, or a good man. He was the Son of God. No one, no Angel, no nothing else could have ever took the place but He. And He was willing to come down for us.
And when He was born, He born on the earth here, and come by the way of a stable, and went out the way of capital punishment. And yet, we complain sometimes because we have a few trials and troubles. Well, look what He--what happened to Him.
E-25 You know why He was borned in a stable? Because He was a Lamb. Lambs are not born in houses; they're born in barns. And He was... Did you notice to the Calvary, they led Him away to the slaughter. That's the way they do Lambs. They lead them away. He was God's Lamb... provided Lamb, provided for us, that we sinners might have access to God through Him.
Now, when He was born, His reputation... He was supposed to have been an illegitimate child. They said that Joseph was His father, and Mary was His mother. But Joseph actually wasn't His father.
E-26 Not long ago up in the mountains, I met a man, an old trapper. And he told me, he said... He was supposed to have a real education. He was a scientist, had been. And he come up there in the winter and went to trapping, and just liked it much better; so he stayed because it was peaceful.
And he said to me; he said, "You believe that story about the virgin birth?"
I said, "Every Word of it."
Said, "You don't really believe that, Billy."
And I said, "Yes, I do, every Word of it."
He said, "Why, it's impossible." Said, "He couldn't have born like that." Said, "That's against all scientific research."
I said, "I don't know what scientific research it's against, but it's not against God's Word." And I said, "God said that He was His Son, and I believe it."
He said, "Well, depends on who you think God was. If you want to say Joseph was God, it's all right."
I said, "Joseph was a man like you and I. But God is Jehovah, the Spirit of God, the Spirit that brood over the earth."
He said, "Oh, that's impossible." He said, "Billy," he said, "corn can't even make... or nothing." Said, "No baby could be born without actual contact between male and female."
I said, "Grampy, I hate to dispute your word as an old man, but," I said, "you're wrong there."
He said, "You don't really believe that that baby was born."
I said, "I believe that Jehovah God overshadowed a little virgin called Mary, and created in her womb a blood cell without knowing any man at all, and from there came the son of God."
E-27 And we're not born into that by His righteous, Holy Blood, without sexual desire. He died at Calvary, giving His blood that we could be free from sin. Brother, you believe that? If you don't, you're lost. That's all. Because it's in the Blood.
We're saved by the Blood of God. The... We're the blood of our father. Jesus was the Blood of His Father, which was holy, unadulterated Blood, not by sexual desire, but by Holy Ghost was He born, conceived in the womb of Mary, and was born. I believe it with all my heart.
He said, "I just can't see that that could be so." Said, "Because it could not produce without actual contact." And he said, "And no, they had to be..."
I said, "Look, Grampy. Will you admit to me then..." After a few days of argument. He met down there in a--in a little old cabin where there's a bunch of men. He started again. I said, "Will you admit to me that He had an earthly mother, but it's impossible for anything to be borned on this earth without having a literal father and mother."
He said, "That's exactly right."
I said, "Well, I want to ask you something then. If you say it's impossible for Him to be here by Jehovah God, the Creator, without a hea--earthly father, yet you give Him credit for having a earthly mother, then how did the first man get here without father or mother?" He had to have a pappy and mammy somewhere, let him be a tadpole, monkey, whatever you want to call it; he had to have a papa and a mama according to him. He's never answered me yet today. He... That's right. And he can't. God's the Creator made man in His own image. That's the way I believe it.
He said, "Well, Darwin said so-and-so."
I haven't got faith enough to believe that. I just believe what God said about it. My faith is what the Lord said.
E-28 And He came into this world under a critics, and went out the way of capital punishment at Calvary, a sin Offering. But His birth was glorious. The Angels of God came down and sing about it.
Back from the beginning of time, I believe that He was the woman's Seed that was to bruise the serpent's head. I believe that. And He was to come through the woman, a Saviour.
And notice. Then when He was... Before He was born, great things were taking place. There was a remnant of people who were believing, having faith that God was going to send the Messiah. It had got down to just a very few. But God always has had a remnant of people. (Am I hollering too loud?) Always a remnant of people who believe His Word. You believe it? And He's got today, somebody somewhere, who will believe Him. I trust that we're all in that group this afternoon.
E-29 Notice. Then when He spoke to the prophets, and told them all about Him coming... Every one down through the age told about His birth. John the Baptist told about it.
When John was a very peculiar child... When his father, Zacharias, his mother, Elisabeth, when they were old and past the age of bearing... Zacharias was a righteous man, God fearing man. God, give us some more Zacharias today, God fearing men and women. Offered prayer in their home, supplications before God.
Zacharias was at the temple one day making his offering, burning incense as it was his lot. And God sent an Angel by the name of Gabriel, came down from heaven and stood by the altar.
E-30 Notice what kind of a man He came to now: a man that was a righteous. A righteous man's not a sinless man, but a man that depends on His righteousness by confessing his wrongs to God.
Notice. Then the Angel said to--to the priest, Zacharias; He said when the days of his ministration was over, he was to go home, and his wife was going to conceive and bring forth a child. And they call his name John.
Now, Zacharias, yet a priest, a minister of the Word, failed to believe the Angel. Notice. Then the Angel said...
When God has spoke anything, He will perform it. Amen. You believe that? He's going to have a Church. I don't know who's in It, but He's going to have a Church without spot or wrinkle. It's somebody. I don't know who it is, but It'll be there. You say, "Where will they get it?" I don't know. But It's going to be there, for God has said so, and God can't lie.
E-31 Notice. Now, when anything's going to happen on the earth, first, God sends a messenger. And that messenger is anointed by an Angel. Now, sometimes minor Angels comes. There's minor Angels and major Angels. Now, this Angel that came was Gabriel, Who stands in the Presence of God. That was something major. And He came down. And when Gabriel comes from heaven, remember, something's going to happen. Gabriel announced the first coming of Jesus, Gabriel will announce the second coming of Jesus. The trump of God shall sound first--an Angel.
Notice. Then He came and He announced that John was to be borned. And Zacharias, priest, righteous man, yet without the appropriated faith... You get what I mean? Many people come in the line, say, "I been a Christian for thirty years." That's good. But what about your faith now? God don't heal you on them merits of your salvation; He heals you on the merits of your faith. If ye believe... Hallelujah.
Notice. If ye believe... He never said to the Gentile woman anything, but said, "If ye believe..." All right. That's the question. Can you believe God and take Him at His Word? Oh, my, if we'd do that, there'd be a hallelujah sweep the country. Healings would come from everywhere. You'd see men out on the street holding with one hand...?... the other, claiming God healed him. Stay with it. God will bring it to pass. That's right. 'Cause He's under obligation. He swore that He would do it.
E-32 In them days, when they made a covenant, they would take a lamb or a beast. They'd write a covenant out, two men between them. They would write it out what it was. And then they would kill a beast. And over this beast, they would tear this thing in two. One man would take one part and one the other. And then, in order to confirm this covenant, that man had to take this same piece of paper and bring it back, and it had to perfectly... Now, here it is. It had to perfectly dovetail with the piece that was tore off from.
Now, God made a Covenant with the Church. And He wrote It out--the Bible. And on the day of the atonement, God killed His Son. You believe it? Tore Him apart, and He took His body up to the right hand of His Majesty, and sent His Spirit back as a Covenant to us. And at that day, unless we have that same Holy Spirit in us, we can't go in the Body.
That's just old sassafras preaching, but it'll save you. That's right. We have to have the Spirit of Christ in us, the same Spirit that come out of that Body, to make up His Body, to go back again with Him. Oh, my. That's right. God made a Covenant with us.
E-33 And then, our priest, he didn't believe God, didn't believe the Angel. And the Angel said, "Because you haven't believed my Word, I'm Gabriel that stands before God, you'll be dumb till the day your baby's born."
Zacharias come out and beckoned to the people. They perceived that he'd seen an Angel. Went up into Judaea in the hilly country where they lived. And then, his wife, past the age of bearing, conceived, and hid herself months away, for she was going to be a mother.
Then six months later, God sent Gabriel again. Oh, my. I just love Him. I--I get pretty happy once in a while. You may think I'm a little noisy for a Baptist. But I'm one Baptist that's got the Holy Ghost. So I...?... It gets one, gets noisy. So don't think I'm a fanatic, 'cause I'm not. If you felt the same way I do, you'd probably be doing the same thing.
E-34 Notice. He sent Gabriel again to the meanest city on the earth (Minneapolis has a chance then, don't they? All right.) meanest place on the earth, Nazareth, to a little virgin who lived right before God.
Poor. Not the rich and haughty. God don't look at your money, or the way you dress. He looks at your heart. Hallelujah! I'm glad that this old time salvation will make a pair of overalls, a tuxedo suit hug one another, and call them brother. Will make a calico dress and silk set together, and call each other sister. Takes away pride...
That's what's the matter with the Church today: got too starchy, too much pride. Let down, you're in six foot of dirt anyhow. That's right. Got a soul's got to meet God some day. That's what's the matter with our Pentecost church, and other Holiness churches. They get up too pride. They get a good church and a nice place, and think we want to pattern after the world.
That's where God's people always got in trouble, when they patterned after the rest of them. He's our pattern. Hallelujah. The matching time.
E-35 You paint your steps red, and see if the neighbor don't paint his steps red. That's right. Buy a Mercury and see if the neighbor don't want a Mercury. They want to match. I don't care whether my pants match my coat, or my shirt matches my suit; I want my experience to match God's Bible. That's the kind of a match that Christians ought to have. Not whether Jones has got a big church and I got a little one. I want Christ. Hallelujah! That's right. Yes. There's where it comes, friends.
E-36 Mary, a little innocent virgin, down in Nazareth. And maybe we will call it, wash day. I don't know.
Mondays usually at my house when my wife washes. It's always a hard day. We used to have to pack the water and boil it in an old tub behind the house, and... You know what I mean, and wash. And I'd help wash too. Old cedar tub, how... Good times, though.
As long as you love the Lord, what difference does it make? Happiness does not consist of how much of this world's goods you own, it's how contented you are with the portion's allotted to you. That's what happiness means. Find Christ and you got happiness. You have. That's true.
E-37 Then here... Look at Gabriel. Comes down from the heaven by the command of God. All those many girls around through there, probably with manicured hair, what you call it, and all that kind of stuff, around like they have. I said the wrong word, but... I don't know about how they do it. But you know...
But He came to a simple, plain, humble believer. Hallelujah! That's the way He does today, too. You don't entice God by the way you dress. You entice God by the way you live, and think, and act. God help us to get back to the old fashioned Holy Ghost Gospel. I believe in it, don't you? Old time, backwoods, sky blue, sin killing religion. That's right. It'll help you. It'll save you.
E-38 All right. Here she was going down, probably, to get some water. Let's dramatize it just a minute so the little fellows can pick it up. Maybe she's going down to get some water.
In the Oriental type, they packed it on their head, big old pitcher with the wings out on the side here, handles.
And I can see little Mary, about seventeen years old, engaged to a man about forty-five, some children. Here she come up along. But she was righteous in her heart, because Joseph was a just man before God.
Feel a lot better if women--young ladies today picked something like that today, instead of some little boy with a pack of cigarettes in his pocket.
E-39 And not long ago, there was a little girl back there at the Tabernacle, my church. She's a sweet little old girl, a little Christian girl. She was running around with some little old boy who packed a flask in his pocket and smoked cigarettes. I couldn't see nothing in the boy myself. Tried for two or three years to get him to be a Christian, but he wouldn't do it. And I asked her, I said, "Sis, what do you see in that boy?"
You know what kind of answer she give me, like some of these bobby sock kids today? She said, "Brother Branham," said, "he just got this cute little feet, and he smells so good."
I thought, "What a way to pick a husband." I said, "I'd rather marry a man that was a Christian, that had feet like a box car, and smelled like a pole cat, if he was a Christian." That's right. A piece of...?... That's right.
By the Blood of Christ, we're saved. Hallelujah! He will make a living for you and be a gentleman, if he's saved. All right. Not by the outwardly appearance, but by the heart God judges. It's true.
E-40 Years ago, we had a good old fashion church, they tell me. I didn't--wasn't in them in them days. Where the people got together, they sang praises to God, they shouted and praised Him, glorified Him. And today? My! All that's faded away. It's time to get back (That's right.) to the days when God will bless us.
Notice. then Mary, on her road up, as we go with our drama. She was walking along, probably singing some hymn, and chanting some Psalm.
All of a sudden, a big Light, let's say, swarmed before her. And standing in this Light stood a great Angel. Oh, my, it frightened the little virgin. It would frighten you. I know how I felt myself when one appeared. And the Angel said, "Hail Mary..." In other words, "Stop. Blessed art thou among women, for you have found favor with God." And He said... Now, He begin to tell her about Elisabeth, her cousin. John and Jesus were second cousins. And Mary and--and Elisabeth were first cousins.
And said that she'd found favor before God, and she was going to conceive and bring forth a Child without knowing any man.
E-41 Now, I want you to notice something closely. Look when the Angel came to the priest, Zacharias, and told him that Sarah... or Elisabeth was going to have a child by him, he had plenty of examples before that. Hannah had had a child past age of bearing. Sarah, near a hundred years old or better, had brought a child after the age of bearing: plenty examples. But that callused priest failed to believe God.
But Mary never; she never questioned. She said, "Behold the handsmaid of the Lord. Be it unto me according to Thy Word."
Notice. She didn't wait till she was positive. She didn't wait till she felt something, felt life. She started right then praising God for it, for she had His promise.
Brother, sister, give us some more Marys here in Minneapolis, who'll take God at His Word, not wait till you feel something, or something happens, take His Word and start rejoicing about it. Hallelujah! God said He's the Healer; I believe it. He said He created me. I believe it. Take His Word and start rejoicing about it. Hallelujah! That's the kind of people we need.
E-42 She went right around telling everybody she was going to have the baby, and wasn't no sign or nothing of it. She didn't have to have any signs. Only thing she had to have was God's Word. That's all we have to have. God said so; that settles it with me. What about you? Believe it. Take Him at His Word and say it's so, and just go ahead. That's all you have to have, is His Word. Bound to bring it forth. You believe it, brother? Stay with it. Hallelujah. That's right. Stay with it. It'll bring the results every time. I've never seen it fail.
When a true heart come before God and meant business, and took God at His Word, and started testifying of it, and looking to the unseen; then God's promises always produces what is asked for. That's right.
E-43 All right. Mary went around telling the folks that she was going to have a child, knowing no man. Right quick, she... The Angel had told her about her cousin, and up into Judaea she went to see her. Oh, my.
There's something about the Gospel, when we hear the good news, we like to tell others, don't we. Everybody gets saved wants to tell somebody else. Everybody gets healed wants to tell somebody else.
Away she went to bring her cousin the good news, that she was going to have the child, and how that her cousin was going to have a child. All right. I can see her going up to the house.
E-44 And let's do a little drama here again. I can see Elisabeth setting on the porch, maybe doing her--her work, knitting, or ever what she might be doing, and Mary comes up. Real quick, as soon as Mary comes, she sees Elisabeth. My, both Christian women, as we would call it today, ran out, threw their arms around one another, hugged one another, kissed one another, saluting each other.
Oh, I like that. I like a good, warm feeling, don't you? I hate that old, cold, formal way we got. People today, they're so far away from one another, you don't care for one another. That's what's the matter. Even church members get the same way. They don't care for one another. Why, if anybody does anything wrong, trying to shove him down. Don't shove him down; pick him up; help him. That's right. Don't try to criticize him, tell somebody else; go to him with your arms around him. And today, they got so afraid, they don't even want to shake hands anymore.
I like a good, old Methodist, pump handle hand shake. You know, one of them kind. Get right down and shake.
E-45 Here not long ago, I was in a meeting. There was some kind of a princess, or something or other, I don't know, from... She come to the meeting. She had on about enough clothes to wad a musket shotgun. And if I'd of seen her before the meeting, I'd have went and put my coat on her while I was preaching. I'd have done that.
And she come up after the meeting, holding a pair of glasses on a stick, you know, out like this. I don't know... A funny looking thing. No clothes hardly on at all. Come walking up like this. And she said, "I want to meet Doctor Branham." Doctor Branham. The very idea. No doctor, I'm your brother.
E-46 And she come up. And one of the managers brought her over to me, you know, like that, to introduce, said, "this is So-and-so," some kind of a big long name. Said, "Well, Doctor Branham," she said, "I'm charmed." She had her hand up like this, going...
I gazed at the hand going down. I said, "Bring it down here so I will know you when I see you again...?..." Oh, I don't like that old put on, starchy. What are you anyhow? You got to stand in the Presence of God someday to give an account for that sinful soul, and answer before God. There she was, standing there all like that.
E-47 Used to be, a long time ago, when the neighbor got sick or something, we went over and cut his corn, cut him some wood if it was wintertime. And today the neighbor can die, and you don't know it till you read it in the paper. That's right. No friendship among one another anymore. That's awful.
Love... "Because the iniquity shall abound, the love of many shall wax cold," said Jesus in Matthew's the 24th chapter. That's true.
E-48 Now, and she begin to talk to Elisabeth, and Elisabeth begin to talk to her. And I can hear Elis... Mary say to Elisabeth... Let's listen to their conversation. I can hear Elisabeth say--or Mary say to Elisabeth, "Oh, I am so happy, because that I've been told that you were going to be a mother in your old age." And of course, she could see that and know that.
And I can hear Elisabeth say, "Yes, I--I am. Oh, I'm so happy about it. But Mary, I--I'm just a little afraid. See, it--it's six months with me as mother. And as far as we now, the baby had no life." She was a little weary yet about it, you know. Little John was there. And that's altogether subnatural. You see, it's--it's not right. And so about two or three months, life. And here she was all this time and no life yet.
E-49 And Mary said, "The Angel Gabriel met me and told me that I was going to bring forth a Son also. And I was to call His Name Jesus." Well, just the time that she spoke Jesus, little John begin to leap and jump in his mother's womb.
Brother, the first time the Name of Jesus Christ was ever spoke, it brought life to a dead baby. What ought it to bring to a Holy Ghost Church when the Name of Jesus...?... power of sickness and sin. Hallelujah! Yes, it's... That Name, Jesus Christ, when it was spoke first by mortal lips, it brought life to a baby that was dead in his mother's womb. The Bible said, he received the Holy Ghost, and was borned from his mother's womb full of the Holy Ghost. Hallelujah! Oh, my.
What's the matter with Christians? Wishy-washy, half jellyfish. Get a backbone in you and stand up for God and what's right. And today, stand for what the Bible says, and believe it with all your heart.
E-50 Little John begin to leap in his mother's womb for joy, and the Holy Spirit came upon Elisabeth. She said, "Whence cometh the mother of my Lord? For as soon as your salutation came into my ears, my baby leaped in the womb for joy." Oh, my.
Think what it done. When Jesus' Name was spoke, brought life to that dead baby. What ought It to bring to your limbs, sir? What ought It to bring to your sickness, to you men setting here, and you over there.
Take the name of Jesus with you, everywhere you go; breathe it everywhere in prayer. Be loyal; be holy. Live for God, and God will confirm His Word. Yes, sir. He swore that He would do it. There you are. The Word come into her ears and her baby begin to leap for joy. They was hugging one another.
E-51 After while, after they left, after a few days up there, then they wondered whether this little John, what kind of a boy he would be. When John was borned... We're kindly believe that he was about eight years old or nine; he was taken into the wilderness, not to the theological cemeteries, or seminary. It's all about the same thing. That's about right. Even if I did see one. That's true.
You know what a seminary preacher always reminds me of? I'm not hurting your feelings, brother, I hope. But look, it does get some men once in a while. But a seminary preacher reminds me of a incubator chicken, just chirp, chirp, chirp. It ain't got no mammy. That's right. Got a great big...?... yonder.
E-52 I'd rather have a man that didn't know split beans from coffee, and knowed God in His heart to deal with my people, than I would some man with enough education to choke a mule, and know nothing about God. That's right. God bless your heart, brother. An old fashion sassafras experience, what we need today.
We don't want to know "genealogy," you need a little "kneeanology." That's what man needs today. Back to God; back to the prayer life where...?... speaking out. Pray, hold on to God till it comes to pass. God will do it. Hallelujah!
Now, don't get scared with that "Hallelujah," means "praise our God," and He's worthy of all of it. Amen. I believe it. "Amen" means "so be it." You won't scare me when you say it.
E-53 All right. Notice. Here we are now. And little John, when he was born, taking out into the wilderness and stayed with God. When he was...
Then Jesus was born, we know all about His birth six months later. When little... When Jesus... John came out of the wilderness, look at him how he come. My, oh, my. He came...
And I've often wondered what John was preaching. What a man. People didn't go out to see how he was dressed. He had an old pair of hairy trousers on, a piece of... strip around him out of a camel skin to tie on this old piece of goods he had around him, an old hairy animal skin around him.
And he came out, stood on the banks of Jordan; was no seats to set in. Them may be hard, but they didn't have any at all. They stirred all the regions around about Jordan. Think of it: no seminary experience, not how to stand up and say, "aaaaamen," like a dying calf.
But he--he had a Message from God. That's right. He didn't preach vain human philosophy; he preached Christ, and it stirred the nation.
E-54 God bless your heart, give us some more Baptists like that, and I will believe them. Amen. That's right. I said to a bishop not long ago, "Produce me some more Johns. He preached the Holy Ghost, and he had the Holy Ghost." Yes, sir. He didn't draw any punches either. He put it right out the way they belong. And he preached, and he stirred all the regions. Why? He preached Christ. That's right.
Christ preached the way of simplicity will stir the people. It's the power of God. "If I be lifted up, I will draw all men unto Me." That's true. Notice closely. After Jesus...
Then we have to hurry, 'cause I get caught; my time's already gone, about ten minutes left. Oh, my. We just never get through talking about Him.
E-55 And how Jesus, when He was baptized, I can see... Let's take a little drama again and... I can see Jesus and Lazarus were friends and played together. They knew not each other. And Lazarus, we're taught, was, kind of was a scribe at the temple, and maybe the-- his daughter--his sisters made tapestries and so forth, and done some needle work.
Just in a--a drama picture now, I can see Jesus and Lazarus playing together. And after while, Lazarus comes back and tells Jesus, "My, there's a mighty prophet standing down on Jordan. He speaks of One greater than he a coming, Who'll baptize with the Holy Ghost and fire. You ought to go down and see him." And little did he know he was talking right then to the Man.
E-56 You don't know who's setting right next to you today. And in church, and that fellow's made a mistake. That's one of God's sons or God's daughters. Don't turn him down, help him. That's right. Put a arm around him. You don't know what God could do with him if you just help him a little. That's right.
And then, after while, I can see Jesus go with John--or go with Lazarus down, and was baptized of him in the Jordan. And Jesus went into the wilderness. And when the Father had spoken, had--had testified of His Son, vindicated Him to be His beloved Son in Who He was well pleased... And out into the wilderness He went to be tempted of the Spirit.
E-57 That's just the way it happens. When you get the Holy Ghost, the first thing the devil comes right along for temptations. When you claim your healing, watch the devil come right along to back her and say it's wrong. That's the time to stand, because you don't testify of what you see or feel. You testify of what you believe. That's right. Stay with it.
Out into the wilderness and was tempted of the devil, returned back, His ministry at time of our text (Now, we will get just as quick as we can.) had got to a place where crowds was coming from everywhere and being healed, and listening to His precious Words as they fell from His lips. His ministry got so great until it was pushing out. Oh, my, the people were coming, just tasting of that honey that fell out of His mouth.
E-58 Last night when I was reading that text of Saint Luke the 5th chapter, how that they come to hear His Word, pressed upon Him to hear the Word of God, how glorious... The Church today ought to be pressing everywhere to hear the Word of God, staying with the Word.
We're the church natural--or the Church spiritual, just like Israel was the church natural. We were brought out of bondage, human bondage, just like Israel was brought out of Egyptian bondage. You believe that? We come across...
We had a sacrifice to come out by. The blood on the lintel, the door, and on the post, just a cross, perfectly. No one was to go under the blood after once coming in until the call come to go out. They crossed Jordan--or crossed the Red Sea, type of the Blood, sanctifying power of God killing all sin nature, sin behind you, the taskmasters, the cigarettes, the whiskey, the road houses, the picture shows. Everything that bothers you back there and hinders your Christian experience died in the Blood of Christ. Yes, sir, brother.
E-59 If you've ever once been purged by the Blood of Christ, them things are dead. If it isn't... If you love the world, the things of the world, the love of the Father's not in you. That may be a little hard to be taught here, but it's the truth; let me tell you. I don't have measuring sticks in church. No, not a bit. No, sir.
Old, old oak tree you have around here holds its leaves all winter long. Spring of the year comes, you don't have to go pick old leaves off, just let the new life comes in, the old leaf drops off. That's the way it is. Let Christ come into the heart; the rest of it will take care of itself. That's right. Just get Christ in the heart; it'll take care of the rest.
E-60 And as they marched over, how beautiful; that types our churches today, how that they crossed through the Red Sea. And then, Moses began to sing in the Spirit. Miriam picked up a tambourine, begin to dance just like an old fashioned Holy Ghost meeting: dancing and singing, and praising the Lord. Why? They had the victory. They got the victory. All the tas... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... the next morning. And when they went out, Manna laid all over the ground. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... From God out of heaven. They tasted it, and it taste like honey. Oh, my. There's something about honey that's sweet.
E-61 David, a shepherd, used to... The old shepherds of the days gone by used to carry a script bag on them. And they put honey in that script bag. And when their sheep would get sick, they'd take that honey and pour it on a rock and let the sick sheep go to licking on that rock. When they licked off the honey, they got some of the limestone out of the rock and it healed the sheep.
Now, look brothers. I got a whole script bag full of honey. Now, I'm going to put it on a Rock called Jesus; you sick sheep get to licking right quick and see if you don't get well. Yes, sir. Lick with all you can. Hallelujah! And brother, I will put it on Christ Jesus, not on the Baptist, Methodist, or Presbyterian church, or whatever it may be. It belongs on Christ. Don't lick on your church, lick on God. Hallelujah! That's where the promise is. Not what Doctor So-and-so said about it, but what God said about it. That's the One to believe. Yes, sir.
E-62 Something about that stone, hold to it. In the old days when they used to... A person get mad dog bit, they'd take the--the person that was mad dog bit, and take them to the mad stone. If they stuck to the stone, they got well. If they didn't stick, they died.
Oh, the worst devil--or worse mad dog I know is the devil. He's bit all of us in--in the way. That's right. And I tell you there's a Rock, Christ Jesus. Get to It. Stick to It. Hold on to It. Hallelujah! It'll bring you through. Just stick right to the Rock of Ages, cleft for me; let me hide myself in Thee. Hold on for dear life if you're sick. Watch and see if you don't get well. Just stick to the Rock; It'll bring you through. That's right. Yes, sir.
E-63 Friends, let's look at the honey just a little bit longer. "The wafer, it tastes like honey," He said, "in the rock." Now, that was a type of the Holy Spirit.
God told Moses--had Aaron, go get a omer full of it and take it in the place where it would be kept, in the holiest of holies. Let every generation passing down through from then on, when their sons' sons would ask them, "What was it for?," and every priest that was in lineage of the priesthood, knowed as soon as he stepped in behind, into the priesthood, he had a right to take a bite of the original manna that fell in the beginning. Yes, sir. He could have a bite. As soon as he was ordained in the priesthood, he could taste of the original manna.
E-64 How beautiful that is of the Holy Spirit, our sustaining strength to carry the Church on. If they failed to eat manna, they died. And if we fail to eat on the Holy Ghost, we die. If we fail to pray through daily, all the time, keep under the Blood, you'll wither up and die in your Christian experience.
And now, friends, as it was on the day of Pentecost when our Manna was poured out... While they were all gathered in one place in one accord, and they wasn't arguing whether they was Methodist, Baptist, or Lutheran. They were in one place in one accord, expecting God to keep His Word. For in Luke 24:49, He said, "Tarry ye in the city of Jerusalem until you're endued with power from on high." Acts 1 says, "When the Holy Ghost is come upon you, then you'll be witnesses of Me in Jerusalem, Judaea, Samaria, and to uttermost parts of the world.
E-65 And a hundred and twenty people had gathered together in the upper room, waiting for their sustaining strength to take down among the people. And all of a sudden, there came a sound from heaven like a rushing mighty wind, and It filled all the house where they were setting, cloven tongues appeared upon all...?... Out into the streets...
And let me tell you something right now. Virgin Mary and them was right among them. That's right. And if God wouldn't respect the holy virgin Mary to get to heaven any other way besides receive the Holy Ghost, woman, what about you? That's right. You'll have to pay the same price, get the same experience, have the same thing that they had back there at the beginning.
E-66 For I tell you, when the power of God begin to fall, they lost all dignity and everything else. Out into the streets, staggering like drunk men, filled with the Holy Ghost...?... Peter said, "The promise is unto you, and to your children, and to them that's far off," even Minneapolis, Minnesota, or "as many as the Lord our God shall call."
Brother, I'm telling you all, every man that'll pay the price, will step out for Christ has the right to receive the baptism, not something you make-up, but original, like fell in the beginning, like they had on the day of Pentecost. Hallelujah! Going to call me a holy-roller anyhow, so you might as well get used to it. That's right. Amen.
E-67 Let me tell you something more. The Holy Ghost is a real product. You don't have to receive some duplicate or some...?... You get a taste of the original Manna that fell on the day of Pentecost. Hallelujah! Yes, sir. There they was, received the Holy Ghost. That's...
You know what's the matter with the church today? It needs a good, old time, Saint Paul revival and the Bible Holy Ghost taught in It again. That's right. Takes fire coming down from heaven...
E-68 Remember when I was a little boy, I was walking along the creek one time; I seen an old turtle. That was the funniest looking thing I ever seen, an old terrapin. He throwed his legs like that. My little brother and I looked how he was walking. We got up to him, and he got up in his shell. Just some of these cold formal Christians, like when you go to talk to them about Divine healing, "Oh, Doctor So-and-so said that's wrong." Oh, my. Draw up in your shell. That's all right. All right.
I said, "Let's make him walk again." I got me a switch and like to beat him to death. He wouldn't walk. You can't beat it out of him. That's all. He will just draw up and puff and blow.
So I said, "I will tell you what I will do. I will make him go. I will take him down here at the water and I will fix him up." I took him down to the creek and I put him down. Just a few bubbles come up and that was all. Brother, you can baptize them this way, that way, sprinkle them, pour them face forward, backwards. He's goes down a--a dry sinner and comes up wet one. He's still a sinner. It ain't your baptism in water that saves you.
E-69 I will tell you what I did. I went and got me a piece of paper and made a little fire, and set the old boy on it. He walked then, I--I mean say. That's right.
And what the Church needs today is an old fashion Gospel of fire--fire of the Holy Ghost fall along the altar, and in every heart. It'll make a church, sure as the world. That's right. Yes, sir. Get the power of God back. Get the Holy Spirit back in the people's hearts again where you can have a living faith in God, when you say Divine healing, "Yes, I accept It." Hallelujah. That's right. Back to the Bible and back to the Holy Spirit. Sure, how wonderful...
E-70 Now, Jesus, in His ministry, going forth hearing His precious Word. It come to a place where He had to leave the home. And when He went out, sorrow and troubles came in. And when He goes out of your home, sorrow and troubles come in. When He goes out of your church, confusion and backslidings is coming in. When you...?... have trouble's on its road, keep Him with you all the time.
Now, in this case, of course, He wasn't drove away, but His work pulled Him away. And as soon as He went away, Lazarus, a bosom friend, took sick to die. They sent for Jesus to come pray for him. And instead of Jesus coming, He just went on. And they sent again. And--and He just went on, seemingly to ignore it. Jesus knowed all things that the Father had showed Him.
E-71 That's the reason... (Friends, I'm out of time.) And now, if you'd send to your pastor, and he didn't come and pray for you when you were sick, well, you'd say, "The old hypocrite, I will go over and join Jones' church, or somebody." That's the reason your pastor can't do nothing for you. You've got to have faith in him, and confidence in him as a man of God, and know that all things work together for good to them that love God. That's right. Now, your pastor didn't tell me to say that either.
But I know this: you've got to have confidence in the man you're dealing with, or it won't do you any good to do any dealing. That's true. You've got to believe your pastor. He's a good God saved man, preaching the Gospel, stand behind him with everything you got. If He isn't, go somewhere were they do do it. That's right. Now, that clears it up for both sides. Now, remember this. If he preaches the Gospel, stay with him, help him, 'cause he's man sent from God, ordained of God to feed your soul.
E-72 And now, when they sent for Jesus, He went on. I believe that Jesus then knew what was going to happen, Why, if you'll take... When He passed by the pool of Bethesda... Looky there. There laid a great multitude of people.
When the Bible speaks a great multitude, probably mean ten thousand at the least, of lame, halt, blind, withered--withered, blind, halt, dumb, waiting for the moving of the waters, for God sent an Angel down certain seasons. Is that right?
Then healing came with the Angel, didn't it? Wasn't the water, but the Angel. What if the water said, "What a great water I am." No, it wasn't the water; it was the Angel. 'Cause when the Angel was gone, it was just water (Is that right?) just the water.
E-73 And Jesus passed by this pool and seen all that great multitude, and He healed one man. He wasn't crippled; he had an infirmity for thirty-eight years. And He healed him, and walked away, and left every one of those cripples laying there. Is that true? Saint John, the 5th chapter. Left them every one... Looked like that His compassionate heart would've went out and healed them all. He probably would.
But watch the 19th chapter--the 19th verse of the same chapter when the Jews was questioning. He said, "Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing, that doeth the Son." Is that right? God had to show Him first. So He didn't say He was a Divine healer. He waited for God to show Him a vision of what was going to happen, then he went and done it.
E-74 Isn't that just the same way He's working today? What God says, then it's going to be that way. But you can't say nothing till God says it first. So if somebody thinks...
Somebody said the other day... I heard someone say, "Oh, it's hocus-pocus." If you think it's hocus-pocus, then what do you think about Jesus Christ? That's right. He said, "The Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise." He had to wait for God to show Him, and then He went and done it. Well, He done nothing unless God showed Him first.
E-75 I believe He seen the resurrection of Lazarus. That's right. And when He went...?... then He went out. After while, said, "Our friend Lazarus sleepeth."
Disciples said, "He doeth well."
Then He told them in plain words, the way they'd understand it. "He's dead." He said, "But..." Listen, I love this. He said, "And I'm glad I wasn't there. But I go wake him." He knew what the Father had told Him to do, for He said, "I go wake him." And away He went, started back.
Now, when Lazarus got sicker and sicker, and then sent Him. Oh, how discouraging. Sent for the pastor to come pray for him. They'd left their church. They'd left everything to follow this Man, this Divine Healer, and no--no hopes of Him coming. He just went on, ignored their message. What a dark hour. Then the first thing you know, death struck, killed Lazarus. Took him out and buried him.
E-76 The first day passed, oh, my, how dark. Second day passed, dark. Third day, fourth day, all hopes was gone. He's already a rottening in the grave, and the skinworms was going through him. All hopes was gone everywhere. Discouraged, their Pastor had let them down, their loved One. The miracle Worker had let them down, didn't come to the rescue. And there was Mary and Martha left alone--mother and father gone, now just them two girls left alone in the world.
Someone come along to--to encourage them. They set in sackcloth, black veils, and weeping and mourning over their brother. And now, in the very darkest of hours, then Jesus came along. That's just the way He does it. Amen.
Brother, it may be your darkest of hour right now. But Jesus comes along just at the darkest of hour. When I think of it, it's the darkest hour the woman with the blood issue had ever seen; she spent all of her money. Then Jesus come along. It was the darkest of hour that Jairus had ever seen; his little daughter laid dead. Then Jesus came along. It was the darkest of hour that Peter and the apostles had ever seen on the sea; looked like they was going to drown. Then Jesus came along.
E-77 Oh brother, it was the darkest hour I ever seen two years ago at Mayo's clinic, when the best of the doctors walked in, said, "Reverend Branham, you're a hopeless. You'll never never get over it. You're finished for life." The darkest hour I ever seen, then Jesus came along. Oh, my. Oh, how I love Him. Yes, sir. How I think of Him, how He's done for me. I think of:
Amazing grace! how sweet the sound,
That saved a wretch like me!
I once was lost, but now I'm found,
Was blind, but now I see.
So blind they had to lead me around by my arms, I knowed not where I was going. Now, my eyesight's twenty-twenty. Laying there a miserable wretched thing, dying, then Jesus came along. What a wonderful... How He comes just in the darkest of hours.
E-78 Then somebody said... I can hear them say, "Say, that there Divine Healer that wouldn't come when Lazarus was alive, He's sneaking back in town now. He's out there."
Now, look. Mary--or Martha, excuse me, read the story of how the Shunammite woman had a baby. And she, by... And when she--the baby died, she didn't know why it died. But she knowed if she could get to Elijah, the prophet, that God was in the prophet. And whatever... She could find out what God meant by it, when she could get to the prophet...
So she told them to saddle a horse and go forward, and stop not. So she commanded it. And she went to the prophet, and the prophet said, "Here, I'm going to send you an anointed cloth, in other words. I'm going to give you my staff. Go lay it on the baby."
She said, "As the Lord lives and your soul lives, I will not leave you." She knowed God was in the prophet. She stayed right with the prophet till she found out.
E-79 Elijah went with her to the death chamber, and there walked up-and-down the room, not praying for the baby. Walked up-and-down the room, then took and stretched his body out over the baby. Lord God worked in Elijah. Hallelujah!
Oh, Christians. You don't realize what I'm talking about I don't believe. See, looky here. God was in Elijah. And--and Elijah knew it. The woman knew it. And he laid... He knowed. That's the reason he sent that staff. He knowed that everything he touched was blessed, for God was in him. Oh, my. You see what I mean? God was in him. And if he touched anything, it was blessed. He didn't pray for the baby; he stretched his body over the baby. And the God that was in Elijah... The breath come into the baby, and he sneezed seven times, and rose up well.
E-80 And Mary knew surely--or Martha, rather, if God was in Elijah, surely He was in His Son. Oh, my. She knowed if she could get to Him, she could find why her brother died.
Right out of the city. I can hear some of them saying, "Now, look, where you going now." She pushed on by them old critics, went right on out. Jesus hadn't got in town yet, and she got to where He was.
Now, watch. Looked like she had a right to upbraid Him. Looked like she had a right to scold Him, and say, "Why didn't You come? Oh, I thought You could heal." If she would, the miracle would have never taken place.
It's your approach to a Divine gift what brings the results. It's the way you come to it. Isn't that right? The way you approach anything...
E-81 She come in the right approach. She came out; she fell down on her knees, and she said, "Lord..." Didn't disregard His title. "Lord, if Thou would've been here, my brother had not died." Oh, my. That touched Him. She knew if she could get right into His heart, she'd get what she wanted. Said, "Lord, if Thou would've been here, my brother would not have died. But even now, Lord, whatever You ask God, God will do it." I like that. "Even now, Lord. He's dead, been buried four days. Undertakers taken him out there and embalmed his body, and put him away. He's been dead four days, and he--he's just mortifying in the earth there. "But even now, whatever You ask God, God will do it."
Oh, brother, sister, you might've tried everything there is in the world. You might've tried to get well. You men setting here with cancer, you might've done everything; no doubt you have. "But even now, Lord, right now." When?
"I will wait until tonight's service."
No. "Even now, Lord, whatever You ask God, He will do it." When? Now. He's setting at the right hand of the Father, looking down right now, ready to make intercessions.
"But, Brother Branham, I've--I've been sick."
"But even now, Lord, whatever You ask God, God will do it." He's waiting for you to say, "Lord, I believe You. Lord, I believe You. Even now, whatever You ask God, God will do it."
"But Brother Branham, I--I'm deaf in one ear."
"But even now, Lord."
"Well, I've been prayed for before."
"But even now, Lord. Oh, my. Whatever You ask God."
"Brother Branham, I've been trying to get the Holy Ghost for a long time."
"But even now, Lord, whatever You ask God, God will do it." There you are. That's what it takes. That's what faith is.
E-82 Notice. He said, "Thy brother shall rise again." Now, let's straighten Him up. "My, thy brother shall rise again." Watch the old prophetic powers now coming right together, the right place, the right person, the right time. "My brother's dead and in the grave. But You, if You'd have been here, he wouldn't have died. But even now, whatever You ask God, God will do it."
That struck Him. That touched Him. Faith... Never been done before, faith. "Thy brother shall rise again."
She said, "Yea, Lord. He will rise the last days." Them Jews believed in the general resurrection. "Oh, he will rise again. He's a good boy. He will raise in the last days; I know."
Look at Him. Oh, my. There wasn't... There's no beauty you should desire Him. He was probably a little frail looking Fellow. He said... Man of sorrow, acquainted with grief. But He straightened His little body up, said, "I am the Resurrection and Life."
E-83 Oh, my. That's it. "I am the Resurrection and Life. He that believeth in Me, though he were dead, yet shall he live. Whosoever liveth and believeth in Me shall never die. Believest thou this?"
She said, "Yea, Lord. I believe..." Look here. "I believe that You are the Son of God, that You've been said to be that was to come into the world. I believe what You said You was. What God has done for You, that's the truth. I believe every Word of it."
"Where have you buried Him?" Oh, my.
Here's where a woman told me not long ago, when I was... She said, "Jesus wasn't the... divine." Said, "He was a good man, a good teacher, so forth, be good for people to live by that. Just like with Santa Claus, stories for the children. But," said, "he wasn't divine."
I said, "Oh, yes He was Divine."
Said, "No, he wasn't."
I said, "He was."
She said, "Look, I can prove it. When He went down to the grave of Lazarus, He cried like a man."
I said, "Yes. I believe He was more than a man. I believe He was a God-man. I believe that God was in Christ reconciling the world to Himself. I believe God lived in His son, dwelled in His Son, and reconciled the world to Himself by His Son." Do you believe that? I do with all my heart. And He was more than a man. He was God the... God the Son here on earth. Everything the Father had was in Him then. And I believe that He was more than a man, He was God-man. And when He went down to the--to the grave, He cried like a man. That's true. But when He stood there, held Himself and said, told them to take away the stone, said, 'Lazarus, come forth.' When He raised the dead, He was more than a man. He was God. He was a man when He was crying, but He was God when He raised the dead. That's right. Yes, sir, He was Divine.
E-84 And I tell you, when He come down off the mount that night, He was hungry like a man, when He was looking on the fig tree for something to eat, when He was hungry like a man. But when He took five biscuits and fed five thousand, He was God that was in His Son. He was a God-man. I know that He was.
He was a man that night when He was laying in that boat out there, all the waves dancing around. Ten thousand devils of the sea swore they would drown Him. He was a man when He was laying there on the back of that boat, tired and weary. But when He raised and put His foot on the brail, and looked up, said, "Peace, be still." It was God speaking through His Son. Hallelujah!
I believe He was a God-man. He was more than a man. He was the Divine One that God sent from out of heaven. Yes, sir. I know He cried like a man when He was dying at the cross, mid rendering rocks and darkening skies, my Saviour bowed His head and died. That's right. He was a man when He was dying. But when He rose on the third day, He proved He was God. That's right. God was in His Son. He raised Him up. He was Divine. I believe every word of It.
E-85 I can see Him walking down through that place there then, to the grave. Said, "Take ye away the stone." Look like if He'd have been a gentleman, He'd have took it away Himself. But He asked them women to. Why? You've got your part to do. Yes, sir. You've got to do your part. Said, "Take ye away the stone."
And they took away the stone and the stink was so bad. And they was about to have suffocated there on account of that, a dead human body.
Then I can see Him straighten His little self up again; said, "Father, I thank Thee that Thou hearest Me always. But for these that stand by..." is why I said He'd already seen the vision. He knew what was going to happen. Then He cried with a loud voice and screamed, said, "Lazarus, come forth."
I believe, brother, if He hadn't have called him specifically by the name of Lazarus, I believe the general resurrection would've took place then. That's what I think about Him. That's right. I believe the resurrection of every dead thing that had ever died would've come out of the grave if He had just said, "Come forth." Yes, sir. But He called, "Lazarus, come forth."
I'm glad today that my name's on His Book. "One day He will call too, and I will answer," said Job.
E-86 But there, He called on Lazarus, a man that had been dead four days, his body rotten, his soul four day's journey somewhere out in... I don't know where it was, neither do you, so we won't argue about that. But that man's soul had been gone four days, returned back. And a dead man stood on his feet and lived again. Believest thou this?
Yes, sir. I believe it. I believe He's the same yesterday, today, and forever. Believest thou this?
I believe He was the One that spoke to the seas, and they stopped. Believest thou this?
I believe that He said in His Words, "These things that I do, greater shall you do." Believest thou this?
I believe that He said, "If you abide in Me, My Word abides in you, you can ask what you may, and it will be given to you." Believest thou this?
I believe that in the last days there'd come a falling away; men would be heady, high-minded, lovers of pleasure more than lovers of God. I believe we're living in that day. Believest thou this? He said, "In that day the branch of the Lord would be beautiful." He prophesied He'd have a Church that these signs would follow them that believe. In Mark 16, He said, "In My Name, they shall cast out devils; they'll speak with new tongues; take up serpents or drink deadly things; lay hands on the sick, they shall recover. I believe that we're living in that day right now. Believest thou this?
E-87 I believe His Spirit's right here this afternoon. I believe He said that whosoever will call upon the Name of the Lord will be saved. Believest thou this?"
I believe that every man or woman standing here right now under the unction of the Holy Ghost could accept Jesus right now and receive the Holy Ghost. Believest thou this?
I believe He'd heal every person in this building right now if you'd just only touch Him. You... Believest thou this?
E-88 Three years ago an Angel met me in the realms that are... in a room and said, "If you get the people to believe you and be sincere when you pray, nothing shall stand before your prayer." Believest thou this? I believe He's here now. Believest thou this?
I believe He wants to heal right now. Believest thou this? I believe He wants to heal these men of cancer. Believest thou this? I believe He wants to heal that little crippled boy. Believest thou this?
I believe He wants so fill this place with the Holy Ghost right now. Believest thou this?
E-89 Let us stand and give Him praise then. My, here He is...?... You want the Holy Ghost? You want Christ in your life? You want to be healed? Now, while He's here, accept Him right now upon the basis of the Word. Say, "Lord, at Thy Word. Here I am, Lord. I believe now that You're going to heal me. I believe that You're going to save me. Believe You're going to give me the Holy Ghost." Let every hand go up now. Let every heart look to God while we pray. Do you love Him? I'm going to ask Him... I asked Him this afternoon 'fore I come down here, to fill you with the Holy Ghost and heal you. I believe He's going to do it. Do you believe it? Believest thou this? Just ask Him now. Do you love Him?
E-90 Our Father, we've gathered here this afternoon for no other purpose but to glorify Your Son Jesus, and now, while He's moving through this building, O God, out there, we will never see this day again. It'll become in the days after while that we will have to meet You in judgment with what we've did with it. O God, I pray now, as the Holy Spirit has spoke to us through this afternoon that You, God, will fill the hearts just now, Lord. Send down the Holy Ghost. Heal every sick person in this building right now. May they receive the Word with gladness, and be filled with the Holy Ghost just now in the Name of Jesus Christ.
How many believes? How many believes they're...?... Say, "Praise the Lord." How many accept it, say, "Praise the Lord." Hallelujah!
E-91 Let every person that's standing in here, every person in here, lay your hands on somebody standing by you. Put your hand over on somebody standing by you. Lay hands on one another. Now, God's going to do this. I know He is. Oh, my. Look at there now, friends. Hands on one another. Old mother, laying her hand on a little baby. Old dad's laying hands on mother. Oh, there it is. That's what I'm talking about. Now, receive it, friends. There it is.
O God, precious Angel of the Lord, fill just now with the Holy Spirit, go with each and every one of them. I pray...?... Grant it, Lord. Believe Him...