Le Second Miracle
1 Merci beaucoup. Bonsoir, mes amis. Je suis content d’être encore de retour ici ce soir. Je regrette seulement que ça soit la dernière soirée de cette série de réunions. Je ne sais pas si ça sera ma dernière soirée dans cette contrée ou pas: en effet, il est possible que je revienne si vous tous, vous me l’accordez et que le Seigneur le permette, et que j’aie l’occasion de revenir encore. [L’assistance applaudit.–N.D.E.] Merci. Merci beaucoup. Je suis deux fois le bienvenu avec ça. Et si le Seigneur l’accorde, la prochaine fois, ça ne sera peut-être pas juste quelques soirées comme cette fois-ci. C’est vraiment une honte, on dirait. Or, nous atteignons maintenant même le point où les gens commencent à être guéris (Voyez-vous?), ça monte simplement.
Les huissiers me parlaient tout à l’heure de ce qui s’est passé hier soir: je n’ai pas de force. Je regrette de ne pas donc pouvoir rester plus longtemps que je le fais, car je n’ai pratiquement plus de force. Oh! la la! Si seulement vous saviez combien j’étais faible. Parfois, j’essaie de mettre un... de renvoyer mes épaules en arrière quand... Oh! la la! Si seulement vous saviez ce qui était derrière cela. Mais j’essaie de tout mon mieux de faire tout mon possible. Je suis vraiment faible ce soir.
2 Hier soir, je cherchais à parler de la dame qui était assise ici même, celle qui était dans un fauteuil roulant. Je l’ai vue aller en marchant. Et je cherchais à lui parler, mais je n’arrivais simplement pas à faire sortir assez de souffle pour le dire. Et puis, quand j’étais dehors, les huissiers, je leur ai dit: «Rentrez dire à la dame, avec les appareils orthopédiques, de marcher, car Christ l’a guérie.» Ils m’ont dit, il y a quelques minutes, qu’elle avait simplement enlevé ses appareils orthopédiques et qu’elle avait marché, qu’elle était bien portante. C’était donc magnifique.
Et cet après-midi, la dame qui était ici, l’Esprit du Seigneur est descendu et l’a désignée; c’est la première fois qu’elle est entrée en marchant depuis je ne sais combien de temps, elle était assise dans un fauteuil roulant. Maintenant, elle marche. Oh! Comme le Seigneur a accordé ces choses! Et de grands témoignages se répandent.
3 Ce soir, j’ai rencontré une dame pendant que nous prenions notre dîner dans un restaurant, qui avait assisté à une série de réunions à Windsor, en Ontario. Je pense qu’elle allait parler. A-t-elle parlé ce soir? Une dame qui était juste... le cancer l’avait complètement rongée à l’intérieur, et les médecins ne lui accordaient que peu de temps. Et, oh! comme le Seigneur est descendu et lui a dit: «Tu vas vivre.» Voyez? Peu importe ce que les–ce que les autres pensent, elle a dit: «Cela passe en premier.»
Eh bien, et si elle n’avait pas cru cela? Et quand elle a eu... Ça avait disparu quelques jours après, son état était devenu un peu pire qu’avant. Si elle s’était dit: «Eh bien, cet homme-là m’a simplement dit quelque chose de faux», eh bien alors, elle serait allée de l’avant et elle serait morte. Mais elle a cru que ce qui avait été dit était la vérité, et Dieu l’a récompensée.
4 Comme je vous le disais auparavant, souvent, le temps et la vue sont les pires ennemis que Dieu a, le temps et la vue. Vous regardez, et aucun d’eux ne déclare rien au sujet de Dieu. Vous voulez que cela se passe instantanément, alors que Dieu prend Son temps sur des choses. Et croyons simplement tout ce qui est dit.
Je ne sais pas: il y a de cela quelques semaines, l’un des témoignages les plus remarquables est arrivé. Je me posais des questions sur cette série de réunions-là, eh bien, il n’y avait pas tant... trop de guérisons instantanées qui s’étaient opérées. Eh bien, je ne savais pas. J’ai fini par découvrir que... Et pendant que j’étais ici, une femme m’a appelé, il n’y a pas longtemps, pendant que j’étais ici et m’en a parlé. Plusieurs jours après la réunion, une–une dame qui souffrait de l’estomac, et cela était si grave qu’elle n’arrivait guère... qu’elle n’arrivait simplement pas à manger quoi que ce soit, sinon prendre une boisson à base de l’orge et tout, des ulcères très graves. Et elle a dit que je lui avais dit qu’elle guérirait.
5 Et elle a dit: «Frère, cela a continué quelques semaines, trois ou quatre semaines, et rien ne s’était toujours produit.» Et elle a simplement continué à croire. Elle n’a pas abandonné. Alors, un matin, elle cherchait à prendre de la tartine grillée. Et, oh! elle a dit, oh! que son estomac lui brûlait tellement qu’elle n’arrivait guère à supporter cela. Et elle a dit qu’elle pleurait à la fenêtre en faisant la vaisselle, elle pleurait. Et elle a dit que pendant qu’elle pleurait, une sensation très froide l’a envahie. Elle a dit, elle a dit, eh bien, que quelque chose... Et elle a essayé de faire la vaisselle: elle était devenue très nerveuse, et elle s’est retournée, et elle a dit que son estomac était tout calme. Elle a pris de l’avoine que l’un des enfants avait laissé là. Et cela ne l’a pas dérangée. Elle a bu une tasse de café, chose qu’elle n’était pas à mesure de faire depuis longtemps. Ça ne l’a pas dérangée. Elle était si heureuse qu’elle a couru dans la rue, sur une bonne distance, chez sa voisine, pour l’annoncer à sa voisine qui avait été à la réunion. Et il avait été aussi dit à la voisine qu’elle allait guérir. Elle allait dire à sa voisine de ne pas se décourager, car cela devait arriver. La voisine avait une grosse tumeur au cou.
Et elle a trouvé sa voisine par terre, criant à tue-tête. La grosseur venait de disparaître de son cou quelques minutes avant cela. Et savez-vous ce qui s’était passé? Ce–c’était l’Ange du Seigneur qui passait dans ce quartier-là à cause de ces choses qui... qu’Il avait prononcées. Si c’est Lui qui prononce cela, c’est Son devoir, pas le mien ni le vôtre. Voyez? Votre devoir, c’est de continuer à croire. Mon devoir, c’est de rester ici et de travailler pour Lui. Votre devoir, c’est de croire ce qu’Il vous dit, et Dieu fera s’accomplir cela.
6 Eh bien, ils ne peuvent pas toujours réagir instantanément. Quand Paul était sur l’océan cette nuit-là, ayant passé quatorze jours et quatorze nuits sans lune ni étoiles, eh bien, il n’y avait plus d’espoir. Est-ce vrai? Il n’y avait plus du tout d’espoir pour ces marins, oh! des hommes recouverts pratiquement de bernacles, ils avaient fait si longtemps sur la mer. Et ils disaient: «Il n’y a donc plus d’espoir de vivre.»
Et Paul était là dans la cale, et l’Ange du Seigneur est allé auprès de lui. Il est remonté sur le pont en courant et a dit: «Ayez bon courage, ayez bon courage: car l’Ange de Dieu dont je suis le serviteur s’est tenu à mes côtés et Il m’a parlé hier soir.» Voyez? Il a dit: «Paul, il te faut aussi comparaître devant l’empereur et autres, et Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi.» Et il a dit: «Ayez bon courage, car j’ai confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été montré.»
Et ils se sont servis, ils ont mangé, mangé, ils ont été encouragés parce qu’ils avaient cru. Paul croyait que ce que Dieu lui avait dit était la vérité. Or, il s’est donc écoulé plusieurs jours avant qu’ils connaissent le naufrage ou qu’ils échouent sur l’île. Mais Dieu a fait s’accomplir cela, parce qu’eux avaient cru cela. N’ayez pas peur.
7 Maintenant, j’aimerais que vous m’écoutiez. Les deux dernières soirées, voici ce que je dirai: «Je crois que si je... Que Dieu m’aide à ne pas–ne pas exagérer, mais à être tout aussi honnête que je le crois dans mon coeur. A voir la force qui m’a été soutirée dans cette série de réunions, il y a au moins deux cents personnes assises ici maintenant même qui sont déjà guéries. Vous ne reconnaissez simplement pas cela: vous ne le reconnaissez simplement pas. Il y a des gens ici que je sais être guéris. Exactement qui? C’est parfois juste un conglomérat là: je n’arrive pas à distinguer où c’est. Mais c’est juste...
Imaginez-vous simplement, vous prenez cinq cents stations qui émettent par une seule radio à la fois. Voyez? C’est difficile. Je lève simplement les mains parfois, je remercie Dieu et je m’en vais. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il–il est vrai que c’est... Croyez-vous cela? Dieu a dit que je vous dis la vérité, et c’est vrai.
8 Et vous verrez beaucoup de ces estropiés qui sont maintenant... qui sont ici maintenant, des gens vraiment estropiés, ils vont se rétablir, tout aussi certainement que le monde existe. Ils vont se rétablir. Et ils–ils vont être bien portants, beaucoup d’entre eux. Il y en a parmi eux, je les vois. Il y en a ici qui souffrent du coeur, ils vont être rétablis. Il y en a d’autres ici qui souffre du cancer, ils seront rétablis. Il y a des gens qui sont passés ici à l’estrade qui ne seront pas rétablis (Et c’est vrai), à moins que Dieu change les choses d’une certaine façon. Car je les ai vus venir ici et j’ai vu la mort elle-même... suspendue sur eux. Et je–je sais qu’ils ne peuvent pas continuer long–longtemps, à moins que Dieu ait quelque chose à faire là-dedans.
Mais maintenant, leur prière peut changer cela. Je ne dis jamais quoi que ce soit. Une dame est passée l’autre soir. Cette dame-là, je savais que j’étais très faible, et quand elle est passée et qu’elle a levé les yeux, j’ai dit: «Croyez-vous?»
Elle a dit: «Oui.»
J’avais juste encore un peu de force: je lui aurais dit: «Vous pensez simplement avoir la foi.»
La foi est quelque chose que vous... c’est absolu, ce n’est pas juste ce que vous imaginez: c’est–c’est une–c’est une réalité. Beaucoup de gens... Je dis ceci avec l’humble humilité, car je–je pourrais ne jamais être... ne jamais vous revoir vous tous après ce soir. Il y a probablement des gens ici que je ne reverrai plus jamais de ma vie. Mais je dis que quatre-vingts pour cent de gens qui passent à l’estrade ne savent pas ce que c’est la foi. Ils ont une espérance, mais pas la foi. Mais «LE SECOND MIRACLE des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»
9 Regardez ici, jeune homme, vous là debout. Huissier, j’aimerais que vous veniez ici juste une minute. Et tenez-vous juste ici, juste un... Non pas pour vous donner en spectacle au public, devant les gens: j’aimerais simplement faire une illustration. Maintenant, approchez un peu plus. Combien–combien ici présents connaissent le nombre des sens qui dirigent le corps humain, qui contrôlent le corps humain? Faites voir les mains.
Combien y en a-t-il? [L’assemblée répond: «Cinq.»–N.D.E.]
Voyez si je les cite correctement: la vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe. Est-ce exact? Eh bien, c’est ce qui contrôle l’être naturel. Maintenant, je vais regarder de ce côté-ci. Eh bien, il y a un jeune homme qui se tient devant moi. Il a des cheveux châtains. Il porte un manteau bleu, avec une chemise blanche et une cravate à rayures bleues et blanches. J’aimerais que vous vous retourniez dans cette direction, jeune homme. Combien croient que c’est la vérité? Comment savez-vous que c’est la vérité? Vous avez un sens, vous possédez...
10 Maintenant, il y a un homme... des gens assis ici qui sont aveugles, qui ne voient pas cela: ils ne le savent pas. Voyez, ils doivent me croire sur parole là-dessus, et vous croire vous sur parole. Mais cet homme se tient là. Mais nous sommes bénis ce soir, nous qui pouvons voir, par les miséricordes de Dieu, que c’est la vérité. Maintenant, le sens de la vue déclare cela.
Eh bien, combien ont entendu cette expression: «Voir, c’est croire»? Très bien. Cet homme est toujours là debout, et je ne le vois pas. Est-ce que voir, c’est, croire? Non, non. Voulez-vous me contredire, qu’il n’est pas là? Eh bien alors, vous ne pouvez pas le faire. Il est là debout. Et je sais qu’il est là. «Eh bien, direz-vous, non, il a quitté, Frère Branham.»
Non, il n’a pas quitté: non, non, il est là. Essayez de me contredire là-dessus maintenant. Vous ne le pouvez pas. Et je ne le vois pas: il m’est impossible de le voir maintenant. Est-ce vrai? Mais je sais qu’il est là. Comment, à votre avis, je sais qu’il est là? [L’assistance répond: «Vous le touchez.»–N.D.E.]
C’est vrai. Donc, voir, ce n’est pas croire, n’est-ce pas? Toucher, c’est croire dans ce cas. Eh bien, c’est le sens de toucher qui déclare qu’il est là. Maintenant, suivez. Maintenant, je ne peux pas du tout le toucher. Ce sens ne fonctionne pas du tout: je ne peux rien toucher. Mais je sais qu’il est là. Pourquoi? Je le vois. Il y a donc deux sens distincts, tout à fait. Est-ce vrai?
11 Par exemple, la musique commence à jouer. Pouvez-vous voir cela? Je pensais que voir, c’était croire. Voir, ce n’est pas croire. Très bien, pouvez-vous toucher cela? Pouvez-vous goûter cela? Pouvez-vous flairer cela? Comment savez-vous que cela jouait? [L’assistance répond: «Vous l’entendez.»–N.D.E.] C’est exact. Donc, voir ce n’est pas croire.
Eh bien, si ce jeune homme, là debout maintenant, je le vois et je sais qu’il est là grâce aux sens de la vue. Je ne peux pas le toucher, je ne peux, par aucun moyen, établir un contact avec lui. Eh bien, je sais qu’il est là, car le sens du toucher déclare qu’il est là. Et c’est une réalité.
Maintenant, tout celui qui est doté de ces mêmes sens sait la même chose. (Merci, jeune frère.) Eh bien, la foi, c’est quoi? LE SECOND MIRACLE des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne flaire pas ni qu’on entend. Mais cela est tout aussi réel que pour le sens du toucher ou de la vue. Savez-vous ce que je veux dire? Vous... Combien ici jouissent d’une bonne vue disent que je porte une chemise blanche? Combien croient cela? Croyez-vous que c’est une chemise blanche? Et si je vous disais que c’était rouge, croiriez-vous cela? Absolument pas. Vous diriez que la chemise était blanche.
12 Maintenant, combien croient dans la guérison divine? Combien croient que Christ vous a guéri là dans le passé, il y a mille neuf cents ans quand Il mourut pour vous? Si vous croyez cela, si votre foi déclare cela, que vous êtes guéri maintenant même, tout autant que le sens de la vue déclare que c’est blanc, c’est terminé. Ça y est. Voyez? C’est une réalité. Ce n’est pas juste un mythe: ce n’est pas quelque chose d’imaginaire. C’est–c’est réel, vous le savez. Il n’y a de–de doute nulle part: tout a été simplement anéanti: c’est parti: vous le savez.
Maintenant, par exemple, le jeune homme qui est assis ici dans le fauteuil. Jeune homme, si vous croyez que votre affliction va vous quitter maintenant, et que vous croyez que Christ va vous rétablir, que votre foi est assez forte pour faire cela tout autant que votre vue qui déclare que c’est blanc, c’est terminé, frère, vous devez vous rétablir. C’est vrai. C’est pareil pour ces autres estropiés assis ici.
13 Maintenant, la plupart de temps, quand les gens sont estropiés... C’est rare que je–j’appelle un estropié avant que je le voie guéri. Car les gens... Dans des réunions, il y a toujours des critiqueurs, ils regardent les estropiés et disent: «Eh bien, tout celui qui jouit de ses facultés sait que cette personne-là est estropiée, pourquoi le lui dire?» Généralement, je cherche à prendre les gens qui paraissent n’avoir rien qui cloche chez eux (Voyez?), ou quelque chose comme cela. Et parfois, je me mets à parcourir une rangée, je continue simplement à descendre une rangée, jusqu’à ce que je trouve un pécheur quelque part, comme cela. Après avoir dépassé un chrétien, un chrétien, un chrétien, dès que j’entre en contact avec un pécheur, ou qui a quelque chose dans sa vie, Cela le dénoncera. Est-ce vrai? Est-ce que cela est vrai? Très bien. Voyez, Cela le dénoncera.
Parfois, je parcours simplement une rangée jusqu’à ce que je trouve cela. Peut-être je me mets à parcourir une rangée et je n’arrive à trouver personne, ou je commence quelque part ailleurs et je vois si je peux trouver un pécheur quelque part, là où Cela pourra dénoncer cette personne-là. Je ne sais qui ils sont dans cette foule, mais je dois établir un contact avec chaque individu comme cela. Eh bien, cela ne le guérit pas, mais parfois cela édifie la foi au point où il peut être guéri.
14 Maintenant, Dieu a été bon envers vous. Dieu est avec vous. Et j’aimerais que vous croyiez en Lui de tout votre coeur. Et maintenant, rappelez-vous, beaucoup parmi vous vont être guéris. Beaucoup parmi vous vont être rétablis: c’est la vérité. Et maintenant, j’aimerais... Frère Baxter venait de dire il n’y a pas longtemps, alors qu’il me parlait, il a dit: «Frère Branham, toutes nos dettes ont été payées, et on a prélevé une offrande d’amour pour vous.» Eh bien, cela me fait me sentir également petit. Voyez-vous? Je–je ne voulais pas nécessairement que vous le fassiez. Mais comme je vais outre-mer, je dois quitter ma famille pendant quelque temps, et à mon retour, je n’aurai pas de... J’allais reprendre mon travail jusqu’à ce que le Seigneur me dise quoi faire, le travail de patrouilleur, reprendre à parcourir les lignes de haute tension, pour le compte d’un service public, jusqu’à ce que le Seigneur me parle et me dise quoi faire. Et frère Baxter a dit: «Frère Branham, ça serait une pierre d’achoppement pour les gens.»
Et je–j’aimerais être tranquille, ce que je veux faire, c’est pour moi-même, et prier. En effet, je crois que ceci maintenant est... Dieu par Sa grâce m’a permis d’être le fer de lance du réveil qui a balayé le monde au début. Voyez? Maintenant, je crois qu’il vient quelque chose qui va être une double portion pour l’église. Et je sens cela au fond de mon coeur.
15 Or, dans le passé, le dernier sermon que j’ai apporté dans mon tabernacle, c’était sur David et Goliath. Et j’ai dit, ici, que même mon propre évêque baptiste s’était levé là et avait dit: «Qu’as-tu mangé cette nuit-là?» Il a dit: «Tu as eu un cauchemar.»
J’ai dit: «Non, non, et je n’apprécie pas cela.» J’ai dit: «Non. C’était la vérité, pour moi c’était réel.»
Et il a dit: «Avec ton instruction de l’école primaire, tu vas prier pour les rois, de grands hommes, des hommes d’Etat et autres, et ils vont être guéris?»
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Eh bien, comment trouves-tu cela?» Il a dit: «Tu ferais mieux de retourner à ton tabernacle et d’oublier cela.»
J’ai dit: «Comment puis-je oublier cela, alors que cela est écrit de façon indélébile avec le Sang de Christ sur mon coeur?» J’ai dit: «Vous allez–vous allez voir.»
Et il a dit: «J’en aurai des nouvelles.»
Et vous avez vu The Voice Of Healing [La Voix de la Guérison], ici tout récemment, il a demandé pardon. Et il prie lui-même pour les malades maintenant. Ainsi, ce... Il a dit: «Si je n’avais pas tellement rétrogradé, j’aurais écouté le jeune homme et j’aurais fait attention à ce qu’il disait au sujet des visions.» Vous avez lu ce que le docteur Davis a dit.
16 Très bien. Mais cela... Voyez, quand Dieu dit quelque chose, même si cela traîne, cela doit s’accomplir. Eh bien, je croyais que Dieu allait accomplir cela, et qu’il y avait ce grand jour moderne avec les hommes de science et tout qui étaient là et qui disaient: «Les jours des miracles sont passés», et tout. Mais Dieu a dit: «Vas-y.»
Maintenant, je... Comme David d’autrefois, il ne pouvait pas tuer tous les Philistins, mais si seulement il pouvait tuer ce vantard-là, Goliath. Et alors, dès que Goliath fut tué, tout Israël prit courage et ils foncèrent. Ils terrassèrent les Philistins jusqu’à leurs portails.
Eh bien, maintenant, c’est ce qui se passe maintenant. Les prédicateurs ont eu la vision. Et la guérison divine maintenant, même la–l’Eglise presbytérienne à New York, eux tous, ils pratiquent la guérison divine, ils tiennent des services de guérison le mercredi soir. Les collèges adoptent cela, à travers le monde. En Corée, il y a eu un service de guérison il n’y a pas longtemps, en Corée, et des milliers ont été guéris. Là au Japon, partout, en Australie, et de par le monde, des nouvelles affluent, de grandes choses se passent: les livres ont été publiés, les ministres lisent, ils prennent courage et ils sont partis. Et la guérison divine a balayé le monde. Grâces soient rendues à Dieu!
17 «Et quand l’ennemi viendra comme un fleuve, a-t-Il dit, J’élèverai l’étendard contre cela.» Et je crois que l’ennemi est en fuite, Dieu est ici pour élever l’étendard. C’est pourquoi je rentre chez moi, pour le découvrir. Maintenant, Seigneur, j’ai fait de tout mon mieux. Maintenant, que veux-Tu que je fasse après? Et priez pour moi. Allez-vous le faire? Et je–je me souviendrai toujours de vous. Et je vous remercie beaucoup. Et je vais vous l’assurer, amis, que l’argent que vous avez donné ce soir, une partie de votre subsistance, je regrette que nous ayons même à le faire. Je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie.
Ma femme est assise là, elle en rira probablement quand je le dirai. Et je me rappelle une fois... Je me demande s’il y a un ancien ministre ici, qui était ici depuis deux ou trois jours. Et je me rappelle, j’ai dit à ma femme, j’ai dit... J’étais rentré. Nous avions une dette que nous n’arrivions simplement pas à payer. Alors, j’ai dit: «Chérie, je vais prélever une offrande ce soir.»
Elle a dit: «J’y vais t’observer.»
Elle s’est donc trouvé un siège, elle s’est assise là à l’intérieur, et elle m’observait. Et j’ai dit: «Euh, amis, je vais... Hum! Je connais simplement une petite situation difficile, ai-je dit. Hum! Je vais...» Ha! Eh bien, non pas qu’ils ne le feraient pas, ils feraient n’importe quoi pour moi.
18 Mais ça faisait douze ans que j’étais pasteur, je n’avais jamais reçu un sou comme salaire, de ma vie. Voyez? Et je–je–je travaillais pour subvenir à mes besoins. J’étais jeune et capable: pourquoi ne pas travailler? J’ai été placé ici pour faire quelque chose, je prêchais donc l’Evangile la–la nuit et je travaillais la journée. Souvent, je passais directement avec mes habits de patrouille, déchiquetés, j’allais à une maison d’un fermier, je lui parlais du Seigneur: il disait: «Oui, je crois», et il se repentait. Je prenais mes habits, je descendais droit à la rivière–la rivière et je les baptisais tous dans la foi chrétienne, et je ressortais, je longeais la ligne, reprenant la marche.
J’ai croisé un jour un clochard sur la voie ferrée et je l’ai conduit à Christ. On a marché sur environ un demi-mile [804 m] vers un ancien étang, j’ai enlevé la traînée de crasse, comme cela, il a fallu le maintenir longtemps en bas pour mouiller tous ses habits. Je l’ai relevé. Oui, oui, c’est bien. Il a poursuivi son chemin en se réjouissant. Là... Il était mouillé et moi aussi. Nous... Il a pris un chemin et moi, un autre, nous nous étions serrés la main et nous nous étions étreints avec des habits mouillés, nous sommes rentrés à notre travail.
Eh bien, le Seigneur est réel, Il n’a pas à être tiré à quatre épingles pour faire quoi que ce soit. C’est l’intérieur, ce qui doit être habillé pour faire quelque chose.
19 Puis, je me rappelle cette nuit-là, c’est à peine que nous arrivions à joindre les deux bouts. Alors, je... nous sommes allés pour prélever une offrande. Et j’ai dit: «Amis, je–je–je déteste vous demander, mais, ai-je dit, si vous avez une pièce de cinq cents ou de dix cents...» J’ai dit: «J’ai une petite dette, et je n’arrive simplement pas à y faire face, on me fait pression.» J’ai dit: «J’aimerais prélever une petite offrande. Et–et, ai-je dit, Frère Wiseheart...» (Que son âme soit bénie, il est dans la Gloire aujourd’hui, un homme avancé en âge.) J’ai dit: «Allez prendre mon chapeau.»
Il est allé là prendre mon chapeau. Et tout le monde... Une pauvre petite vieille femme assise là en bas, madame Webber, elle a enfoncé sa main dans son petit tablier à carreaux. Vous savez comment les femmes avaient l’habitude de mettre ce porte-monnaie à l’intérieur du tablier. Elle a fait sortir ce long petit porte-monnaie, avec ces petits boutons pression là au-dessus. C’était au temps de crise, quand les choses étaient très difficiles. Elle s’est mise à faire sortir ces pièces de cinq cents. Chaque fois que je la voyais plonger la main là-dedans, je sentais simplement mon coeur s’élancer comme cela. Je ne pouvais pas recevoir l’argent de cette pauvre créature. Je l’ai regardée. J’ai dit: «Oh! Je vous taquinais simplement vous tous, pour voir ce que vous feriez.» J’ai dit: «Je ne voulais pas dire cela.» Ma femme m’a regardé. Ah!
20 Un vieux prédicateur passait son temps ici dans la rue, je l’ai rencontré l’autre jour là dans la rue, il sautait aussi haut qu’il le pouvait en chantant L’Ancien Evangile. Son nom est John Ryan. Il a de longs cheveux et une longue barbe, il a passé quelques jours ici. Il–il était... Il roulait une vieille bicyclette là-bas. Alors, il me l’a donnée. J’ai peint cette vieille bicyclette-là, et je l’ai vendue à cinq dollars et j’ai payé la dette. Je n’ai plus eu besoin de prélever l’offrande, et nous avons joint les deux bouts. C’était donc très bon. Dieu connaît tout au sujet des choses, n’est-ce pas? Mais si je dois me tenir ce soir au Jugement, c’est l’unique chose...
Il y a trois choses auxquelles j’ai veillé dans ma vie, en lisant sur les autres prédicateurs. Quand Dieu bénit un prédicateur juste un tout petit peu dans le... Eh bien, nous sommes tous amis, n’est-ce pas? Quand Il le bénit juste un tout petit peu au-dessus peut-être de quelqu’un d’autre, ou–ou lui donne l’occasion de faire un peu plus de travail pour Lui, ou quelque chose comme cela, la chose suivante que Satan se met à faire avec ce prédicateur-là, ce sont trois choses, des choses principales. La première, c’est l’argent, puis les femmes et la popularité. Il le travaillera avec l’argent, ou s’il peut l’amener... comme son premier appât, c’est comme dans le jardin d’Eden. Eh bien, ou s’il peut l’amener à penser qu’il est quelque chose alors qu’il n’est rien, il l’a eu là même.
21 Eh bien, amis, devant Dieu, franchement, devant Dieu, moi, j’ai évité l’argent. Un homme dont la femme avait été guérie comme cela, une petite, je pense que c’était une petite Allemande qui a témoigné ici il y a quelque temps au sujet de son sein qui était rongé par le cancer. Cette même chose était arrivée en Californie à un homme qui était actionnaire dans Mission Bell Winery. Et quand je baptisais ce groupe-là, pendant que nous nous tenions là, j’ai traîné environ un jour là à cause de ce cancer-là. Le docteur Palvetus a dit: «Révérend, cette femme-là se meurt.»
J’ai dit: «Monsieur, voudriez-vous sortir de la chambre juste un petit moment?»
Je l’ai fait sortir de la chambre. Les bien-aimés se tenaient là. J’ai continué à prier: ce cancer-là me résistait, ça résistait. Et j’ai continué, au point que je–je ne mangeais pas. On voulait j’aille dîner, je ne voulais pas manger. Et je suis simplement resté là, dans cette belle grande maison. Et peu après, j’ai chassé ce cancer-là: j’ai dit: «Au Nom de Jésus-Christ, sors de la femme.»
Et ce rideau-là, j’espère que ceci ne vous achoppe pas, mais ce rideau-là suspendu au bout, pendant que je me tenais là, devant environ une douzaine de personnes, il a commencé à s’enrouler directement autour du bâton comme cela, faisant: Frwit. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Il est retombé et cette femme s’est mise sur ses pieds. Le cancer était parti.
Trois jours plus tard, elle faisait ses achats en ville. Je l’ai baptisée dans une rigole là-bas. Et cet homme-là a vendu sa part, il m’a envoyé un chèque de plus d’un million. C’est vrai. Et je l’ai refusé.
Les gens me l’avaient apporté. J’ai dit: «Ne–ne me le remettez pas: ne me le remettez pas.»
22 Au Texas, là à Dallas, un riche pétrolier avait fait voyager sa–sa mère par avion là-bas. Elle était dans un fauteuil roulant. Elle a fait là deux ou trois jours, je prêchais. J’ai dit: «Je vois une femme avancée en âge qui vient dans un fauteuil roulant, elle est grisonnante, elle tremblote.» J’ai dit: «Je la vois se lever et partir.» J’ai dit: «Où est-elle?» Elle était assise là. J’ai dit: «Femme, Jésus-Christ vous a guérie, levez-vous.» Elle a parcouru la salle en courant. Elle était restée clouée là depuis environ huit ans.
Il ne pouvait pas m’atteindre. Le lendemain soir, il a reçu une carte de prière, il s’est fait passer pour un malade et il est entré dans la ligne. Aussitôt qu’il est arrivé là, il a dit: «Frère Branham, je voulais seulement m’approcher de vous, vous entourer de mes bras.»
J’ai dit: «Qu’y a-t-il, monsieur?»
Il a dit: «Voici un chèque, un petit chèque que j’aimerais vous remettre.»
J’ai regardé là: Vingt-huit mille dollars. J’ai dit: «Oh! Non, non.»
Il a dit: «Tenez, a-t-il dit, ce n’est pas parce que vous avez offert la prière pour ma mère, ce n’est pas cela, a-t-il dit: je–je le mérite.» Je vois... Il a dit...
J’ai dit... J’ai pris ce chèque-là et je l’ai déchiré, j’ai dit: «Absolument pas, frère, absolument pas. Je... Dieu ne m’a jamais envoyé prendre l’argent. Il m’a envoyé prêcher l’Evangile.»
J’ai une petite femme potelée là derrière, c’est la plus douce femme du monde. C’est tout. Je l’aime de tout mon coeur. Il n’y a personne d’autre au monde en dehors d’elle pour moi. Je l’aime avec tout ce qui est en moi, qui peut aimer une femme. C’est ma femme, la mère de mes enfants, là derrière. S’il me faut la quitter pendant dix ans, je l’aimerai toujours comme le jour où je l’avais épousée.
23 Et puis, amis, la popularité. Je sais que ceci n’est qu’un pécheur sauvé par la grâce. Et Dieu peut me retirer Sa miséricorde n’importe quand qu’Il le désire. Et je sais que je suis 1,82 m de poussière de terre, je retournerai là un jour, et c’est tout ce que je suis. Et c’est... J’évite les hommages des hommes, je cherche à me tenir des fois loin des gens, quand ils se mettent à dire: «Frère Branham, ceci et tout cela...» Je cherche à me tenir loin de cela. Et priez que je puisse toujours garder cela dans mon coeur, que Dieu puisse m’utiliser, pour m’aider à porter Son Evangile aux autres. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse.
24 Maintenant, rapidement pour terminer un petit témoignage et puis, je dois partir. Premièrement, j’aimerais que vous me promettiez de prier pour moi en mon absence. Et à mon retour, je prierai. Et j’espère et je fais confiance à Dieu qu’un glorieux jour, je pourrai donc revenir à Erie et tenir une série de glorieuses réunions. Et si beaucoup parmi vous passent de vie à trépas avant ce temps-là, et que vous vous retrouviez de l’autre côté, rappelez-moi au souvenir de mes amis qui sont là-bas et dites-leur que je fais de mon mieux. Et quand vous rencontrerez mes bien-aimés, mon bébé, mon papa et les autres là-bas, dites-leur que je fais de mon mieux, au mieux de ma connaissance pour glorifier Jésus-Christ, travaillant jour et nuit pour Sa gloire. Et un jour, je m’attends à retourner à la Maison. Et que Dieu vous bénisse tous, qu’Il vous accorde une bonne santé et de la force jusqu’à ce que nous nous rencontrions: c’est ma prière.
Maintenant, pour un témoignage, je suis très ravi aujourd’hui de rencontrer un petit ami qui vient de Finlande, un prédicateur qui était dans des réunions avec moi. Et hier soir, je racontais la résurrection d’un petit garçon qui était mort, vous rappelez-vous cela? Et la jeune fille? Eh bien, cet homme les connaît. Je l’ai rencontré aujourd’hui, il était bien avec moi en Finlande. Je vais terminer le témoignage, ensuite, j’aimerais que cet homme vienne confirmer ce que j’ai dit. C’est loin là outre-mer, des milliers et des milliers.
25 Mais juste avant cela, je me souviens de quelque chose. Frère Baxter a dit qu’il y a un paquet plein de lettres déposé ici, des mouchoirs. Eh bien, je–j’aurais voulu qu’il n’en soit pas ainsi. J’aurais voulu que vous m’écriviez personnellement et que je puisse prendre chaque mouchoir et prier dessus. Eh bien, c’est en ordre. Je peux prier dessus en masse, mais j’aurais voulu prier individuellement sur chaque mou-... Combien croient dans cela? C’est la Bible.
Eh bien, écrivez-moi simplement: Jeffersonville, Indiana. Et chaque fois que je peux faire quoi que ce soit pour vous, je serai content de le faire.
Et nous en expédions des milliers, la femme de mon secrétaire, qui aide pour les courriers, est assise ici quelque part, madame Cox. Et on m’apporte des centaines de mètres de rubans. Je prends ce ruban-là, je prie dessus. Eh bien, à vrai dire, le secrétaire et les autres apprêtent parfois le formulaire et tout à expédier. Mais chaque mouchoir et chaque morceau de ruban que vous recevez, c’est moi qui ai prié dessus. Voyez? C’est exact. Je sais que si c’était mon enfant qui était malade, ou ma mère, ou qui que ce soit, je–j’aurais voulu–j’aurais voulu que ça se fasse comme la Bible dit que ça doit se faire.
26 Eh bien, beaucoup parmi vous les oignent, les mouchoirs. C’est en ordre. Tout ce que Dieu bénit, je le soutiens. Mais veuillez me rendre témoignage, Actes 19, Paul n’avait pas oint les mouchoirs, on prenait les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de Paul. Voyez-vous? Et alors, nous les envoyons et vous pouvez bien les recevoir. Si vous n’en avez pas besoin, envoyez, recevez-le et gardez-le dans la Bible, dans Actes 19. Si un enfant attrape une espèce de diphtérie, ou quelque chose comme cela, ou que quelque chose arrive, déposez ce ruban-là sur lui et voyez ce qui arrive. Soyez sincère. C’est un signe de la foi.
Mais maintenant, comme ces mouchoirs sont ici, j’aimerais offrir une prière pour ça. Veuillons incliner la tête juste un instant.
27 Bien-Aimé Père céleste, voici plusieurs centaines de lettres déposées ici, un gros paquet, et beaucoup d’entre elles seront expédiées aux nécessiteux et aux mourants. Nous sommes assemblés ici au Nom de Ton Fils Jésus. Et nous savons que Tu es avec nous. Et Tu nous as promis que tout ce que nous demanderions, nous le recevrions. Maintenant, je n’ai pas eu l’occasion de les lire, mais Tu as vu ces gens quand ils écrivaient ces lettres. Tu as vu chaque mouchoir qui a été déposé ici. Et je Te demande, Dieu bien-aimé, aussitôt qu’ils retourneront à leur place respective, que les démons sortent, que la maladie quitte. Peut-être que là au fond, dans une petite pièce sombre où une mère et un papa sont assis, très malades, attendent le retour de l’un de ces mouchoirs. Peut-être qu’un petit enfant est étendu avec une fièvre, sur le point de passer de l’autre côté: il attend le retour du mouchoir. Ô Dieu, sois miséricordieux.
Il est écrit qu’une fois, quand Tu as fait sortir Israël de l’Egypte et qu’ils avaient buté droit contre une montagne, la mer Rouge les bloquait, ils ne pouvaient pas aller de l’autre côté. L’un des écrivains dit que Dieu regarda en bas au travers de la Colonne de Feu, Il regarda cette mer Rouge qui coinçait Son peuple, l’empêchant d’aller à la Terre promise, Il la regarda en bas avec colère, et la mer Rouge eut peur, elle recula et laissa traverser Israël, dans le pays.
Et Père, Satan, comme la mer Rouge, a coincé beaucoup de Ton peuple: ils sont étendus liés, affligés et malades. Et quand ces mouchoirs les atteindront, ce signe de la grâce de Dieu, que le même Dieu regarde au travers de cette même Colonne de Feu, que cette maladie ait peur, qu’elle recule, et qu’eux traversent vers la promesse de la bonne santé et de soixante-dix. Accorde-le, Père, car je m’avance maintenant pour poser mes mains et mon corps sur ces mouchoirs en commémoration de Ta Parole. Accorde-le, Seigneur. Que chacun soit guéri, au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.
28 Que Dieu vous bénisse. Qu’Il ajoute Ses bénédictions à chacun de vous. Et maintenant, juste un passage de la Parole, ensuite je vais directement former la ligne de prière, car nous aimerions prendre beaucoup de gens ce soir au point qu’on me portera pour me faire partir d’ici, s’il le faut. J’ai demandé à mon jeune garçon et aux autres de me laisser rester debout le plus longtemps possible. Et premièrement, j’aimerais lire un verset dans Esaïe 53:
Qui a cru à ce qui nous était annoncé?
Qui a reconnu le bras de l’Eternel?
Et dans Saint Jean 4.46:
Il retourna donc à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin.
Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.
Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.
Maintenant, suivez cette histoire et voyez l’action.
Jésus lui dit: Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point. L’officier du roi lui dit: Seigneur, descends avant que mon enfant meure. Va, lui dit Jésus, ton fils vit... (Or, lui voulait qu’Il aille prier pour son fils. Mais ce n’est pas ce qu’Il a fait. Il a dit)... Va, ton fils vit. (Suivez.) Et (Et est une conjonction.) Et cet homme crut à la parole que Jésus avait dite... (Il lui avait parlé) et il s’en alla. (Obéissance.)
Comme déjà il descendait, son serviteur venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle: Ton enfant vit. (C’était le jour suivant.)
Il leur demanda à quelle heure il s’était trouvé mieux... (Son état s’était amélioré.) Et ils lui dirent: Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté.
Le père reconnut... c’était à cette heure-là... Jésus lui avait dit: Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.
Jésus fit encore ce second miracle lors–lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.
29 Observez ceci. L’officier, son enfant, il avait appris la renommée de Jésus, et quand il est venu, il voulait qu’Il descende guérir son fils. Or, c’était ainsi qu’il le voulait: descends et guéris-le.
Et Jésus a dit: «Si vous ne voyez des miracles, vous ne croyez point.»
Et l’homme a dit: «Seigneur, descends avant que mon fils meure.»
Il a dit: «Va, ton fils vit.»
Eh bien, et si cet homme n’avait pas cru? Son fils n’aurait pas survécu. Vous devez croire la Parole qui vous est adressée. Croyez-vous cela? Il a dit: «Ton fils vit.» Et l’homme a cru la Parole que Jésus lui avait dite. Et il a dit: «C’est vrai, Rabbi», ou Maître. «Si Tu dis que mon fils vit, c’est assez bon pour moi.»
Il est redescendu: il n’est pas allé comme Il le lui avait dit. Or, ça faisait un jour de voyage. Et le lendemain, il a rencontré certains de ses serviteurs qui venaient. Et les serviteurs ont dit: «Ton–ton fils vit: il est toujours en vie.»
Il a dit: «Eh bien, à quelle heure s’était-il trouvé un peu mieux, son état s’est-il amélioré?» Eh bien, suivez cela maintenant, il a commencé à se remettre, son état était devenu juste un peu mieux.
Il a dit: «Hier à la septième heure, eh bien, on a vu la fièvre le quitter.» Et l’homme a dit: «La septième heure, c’était au même moment que Jésus avait dit: ‘Ton fils vit.’»
Eh bien, la Bi-... Il a dit: «Celui-ci est le second miracle que Jésus avait accompli quand Il était sorti de Cana en Galilée.» Miracle... Combien parmi vous qui êtes venus ici malades maintenant sentent que vous êtes juste un peu mieux, partout, les estropiés, les affligés, quoi que ce soit, vous sentez que vous êtes juste un peu mieux que vous l’étiez à votre arrivée? Faites voir la main. Qu’est-il arrivé? Amen. Vous y êtes. Vous êtes juste un peu mieux. Assurément. Si vous êtes donc un peu mieux maintenant, demain vous serez un peu mieux: et le jour suivant un peu mieux: et vous allez vous rétablir.
30 Il y en a qui ont une grande foi comme ceci, n’importe quoi peut arriver. L’autre a une foi si profonde, ça prend un peu plus de temps. L’autre a une foi profonde comme ceci, ça prend bien un peu de temps. D’autres ont une foi comme le grain de sénevé. Mais si c’est la foi de grain de sénevé, une foi authentique, accrochez-vous-y: continuez simplement à croire cela: elle deviendra la foi de bille: ensuite, ça deviendra la foi de pamplemousse: et puis, elle deviendra la foi de montagne. Elle vous tirera directement d’affaires si seulement vous vous y accrochez. Accrochez-vous-y. Elle vous amènera directement à la lumière, si vous vous y accrochez.
Mais ne soyez pas découragé. Et ne croyez pas les symptômes. Les symptômes, c’est le mensonge du diable. Certaines personnes disent... Eh bien, maintenant, regardez. Et si une petite dame ici, quand je lui avais dit qu’elle était... Je ne lui avais point parlé: Dieu lui a dit qu’elle allait se rétablir. Or, si elle avait dit: «Eh bien, attendez une minute.» Le lendemain, elle était... «Eh bien, le cancer est toujours là: et je suis toujours recroquevillée: je ne peux pas bouger: je suis sur cette civière, je ne peux pas me déplacer. Eh bien, peut-être qu’il était...» Le deuxième jour, le troisième jour, le quatrième jour...: «Eh bien, peut-être qu’il était en erreur.»
Non, si elle avait cru les symptômes, elle ne considérait pas les symptômes, elle considérait ce que la Parole de Dieu avait dit.
31 Je suis allé chez un homme il n’y a pas longtemps, son fils était atteint de la diphtérie. En avez-vous déjà entendu parler? Horrible, ça affecte le coeur. Et le cardiogramme montrait le coeur, qu’il était descendu très bas. On a appelé l’homme de la réunion, on a dit: «Votre fils se meurt.»
Il est allé là, il a dit: «Puis-je faire venir frère Branham?»
On a dit: «Eh bien, non.» On a dit: «N’est-ce pas que frère Branham a des enfants?»
Il a dit: «Oui.»
Ils ont dit: «Eh bien, nous ne lui permettrons pas d’entrer.» Ils ont dit: «Nous ne lui permettrons pas d’entrer.»
Il a dit: «S’il vous plaît, permettez à frère Branham d’entrer voir mon fils.» Il a dit: «Il se meurt?»
On lui a répondu: «Oui.» On a dit: «Dans les quelques prochaines heures, il sera mort.» Il avait seize ans...
Il a dit: «Eh bien, permettez-lui d’entrer prier.» Il a dit, et cet homme était catholique, il a dit: «Refuseriez-vous à un prêtre d’entrer pour administrer les derniers sacrements?»
Il a dit: «Oui, mais le prêtre n’est pas marié.»
«Mais il–il vit dans des monastères.» Il l’a convaincu là-dessus.
32 Eh bien, ils m’ont fait entrer, ils m’ont revêtu d’une robe complètement avec tout un tas d’histoires sur moi, ils m’ont fait laver les mains avec toutes sortes de produits. Je suis entré là où le jeune garçon était. J’ai dit au père et à la mère de se tenir là, j’ai dit: «Croyez-vous?»
Il a dit: «Frère Branham, demandez à Dieu.»
Alors, je me suis agenouillé et je me suis mis à prier. Et pendant que je priais, l’Ange du Seigneur est descendu et a dit: «Tu vivras.» Je me suis relevé: j’ai dit: «Avez-vous entendu cela, frère?»
Il a dit: «Oui, oui». Il a dit: «Gloire au Bon Seigneur.»
L’infirmière est rentrée: elle a dit: «Je suis désolée, mais vous tous vous allez devoir sortir directement, surtout Révérend Branham.»
J’ai dit: «Merci, mam’selle.» Je sortais...
Cet homme s’est mis à marcher en disant: «Merci, Seigneur, merci.» Et la maman, tout aussi heureuse, poussait des cris. L’infirmière lui a dit, elle a dit: «Dites donc, vous êtes-vous rendu compte que votre fils se meurt?»
Il a dit: «Assurément, je sais ce que vous avez dit.» Il a dit: «Eh bien...»
Et le médecin se tenait là, c’était un interniste. Et il était... Ils étaient tout aussi heureux, ils se serraient la main et s’étreignaient, vous savez, et remerciaient Dieu pour sa guérison. Le jeune homme était bien mourant là. Alors, il a dit: «Eh bien, de quoi êtes-vous si contents, alors que je... Avez-vous compris que le médecin a dit... Avez-vous compris que je vous ai dit que votre fils va mourir dans deux heures?»
Il a dit: «J’ai compris ce que vous avez dit, et j’ai compris ce que Dieu a dit...?...»
Il a dit: «Eh bien, regardez, c’est une bonne chose d’avoir la foi, mais je n’arrive pas à voir comment vous pouvez tout bonnement ignorer de telles choses, alors que ce jeune homme est étendu là, mourant.»
Et le–l’homme s’est retourné (C’était un prédicateur), il s’est retourné et a dit: «Monsieur, écoutez ça, vous regardez...»
Il a dit: «Ça, une fois que ce cardiogramme montre l’état de ce coeur-là», je ne savais quoi c’était, il est... les termes qu’il utilisait, il a dit: «Quand cela chute, a-t-il dit, dans toute l’histoire du monde, jamais il n’est arrivé que cela soit jamais remonté.» Il a dit: «La mort est sur le jeune homme maintenant.»
Il a dit: «Regardez, monsieur, vous, vous regardez ce diagramme-là: moi, je regarde la promesse divine.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.], ce que Dieu a dit.
33 Et que serait-il arrivé il y a deux ans, alors que les frères Mayo m’avaient dit que ça en était fini de moi–de moi? Et si j’avais compté sur cela? J’ai compté sur Hébreux 3.1: «Il est le Souverain Sacrificateur de ma confession.» Et j’ai cru en Lui, et voyez ce qu’Il a fait pour moi.
Vous parlez de quelqu’un qui avait des symptômes. Si quelqu’un a dû avoir des symptômes dans la Bible, ça devrait être Jonas. Considérez-le. Il était rétrograde, c’était dommage. Ses mains étaient liées derrière lui. Il avait été jeté par-dessus la barque, il avait été englouti par un grand poisson, il était à trois miles [48 km] de profondeur dans l’océan. Quand un grand poisson mange, n’importe quel autre poisson, il descend directement au fond de la mer et fait reposer ses nageoires au fond. Donnez à manger à vos poissons rouges et observez-les. Il cherche dans l’eau jusqu’à ce qu’il trouve sa proie et, ensuite, il descend se reposer.
Et quand il... là en bas, au fond de l’océan, dans le ventre d’un grand poisson, les mains liées derrière lui, rétrograde, dans une mer houleuse. Qu’il regarde de ce côté-ci, il y avait le ventre du grand poisson. Qu’il regarde de ce côté-ci, il y avait le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, il y avait le ventre du grand poisson. Vous parlez des symptômes! Il en avait eus, n’est-ce pas? Mais savez-vous ce qu’il a dit? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères.» Il a dit: «Encore une fois, je verrai Ton saint temple, ô Seigneur, non pas le ventre du grand poisson, non pas mes mains liées, mais... ‘Je verrai Ton saint temple.’ Car (Je vais le dire en des termes simples) car, quand Salomon consacrait ce temple-là, il a dit: ‘Si Ton peuple se trouve en difficulté quelque part et qu’il regarde vers cette maison et prie, alors exauce du haut des cieux.’»
34 Et Jonas croyait que la prière de Salomon avait été exaucée. Et il a dit: «Je ne vais pas tenir compte de symptômes. Je vais regarder le temple de Dieu.» Et si Jonas dans ce genre de condition a pu regarder un temple naturel, pour lequel un natu-... ou un humain avait prié, à combien plus forte raison vous qui êtes assis ici où des gens sont guéris juste autour de vous chaque soir, vous devriez détourner le regard des symptômes ici, vers le... non pas le temple de la terre, mais les portes de la gloire où le Fils de Dieu, avec Son manteau ensanglanté, se tient devant le Père maintenant, intercédant pour tout ce que vous confessez? «Je ne regarderai pas mes symptômes, je regarderai Ton saint temple, Seigneur.» C’est là que ça se trouve.
Et Dieu l’a gardé en vie trois jours et trois nuits dans le ventre de ce grand poisson. Est-ce vrai? Celui-ci l’a vomi sur le rivage et il a proclamé sa prophétie et a terminé sa course.
35 Eh bien, dites donc, et si demain, certaines parmi vous les dames, et si l’agent du Service Express venait chez vous à la maison et disait: «Bonjour. Est-ce vous mademoiselle John Doe?» «Oui.» «Eh bien, j’ai quelque chose ici pour vous.», et que vous regardiez cela, que c’était un très gros paquet plein de serpents à sonnette. Eh bien, quel cadeau! Votre nom est collé dessus. C’est à vous. C’est vrai? Dans un sens, c’est à vous: dans un autre sens, ce n’est pas à vous. Eh bien, vous direz: «Je n’en veux pas.»
«Eh bien, c’est à vous: votre nom est là-dessus.»
Eh bien, c’est à vous dans un sens, mais ce n’est toujours pas à vous tant que vous n’en accusez pas réception. Et si vous n’en accusez pas réception, il aura à ramener ça. Vous pourriez voir tous vos symptômes, le diable dit: «Ça y est, voici votre cancer: voici votre maladie du coeur: voici votre état d’estropié.»
36 Refusez d’accuser réception pour tout ce que le diable apporte. Il sera obligé de ramener cela. Dites: «Je refuse d’avoir cela. Je ne recevrai simplement pas cela: non, monsieur.» Il sera obligé de ramener cela au Nom du Seigneur. Si vous croyez cela, que vous le confessez et que vous dites: «J’ai accepté Jésus-Christ comme mon Guérisseur», il n’y a pas d’affliction ni de maladie qui puissent rester sur vous. Accrochez-vous à cela.
Mais dès que vous vous affaiblissez, vous dites: «Eh bien, oui, j’ai toujours cela», alors, vous retombez là où vous étiez. Vous en avez accusé réception, vous avez donc repris cela.
Vous dites: «Oui, monsieur le diable, je–je recevrai cela.»
Ô frère, tenez-vous là même tant–tant qu’il y a le souffle dans votre corps, dites: «Je refuse d’avoir cela. Je refuse d’avoir cela.» Comment vous sentez-vous? «Magnifique. Alléluia!» C’est ça. C’est vrai. Montrez au diable de quoi vous êtes fait. Vous êtes né de nouveau par l’Esprit de Dieu, et vous n’avez pas à vous incliner devant ses statues. Restez là même et dites: «Je ne veux pas de votre sottise.»
«Eh bien, voici votre nom dessus, le médecin a dit...»
«Peu m’importe ce qu’il a dit. Je sais ce que Dieu a dit. Va-t’en d’ici avec ça.»
C’est exact, c’est ainsi qu’il faut le traiter: restituez-le-lui. C’est lui qui vous a apporté cela, ça devra être lui qui ramène cela.
37 Dieu, vous savez quoi? Il est votre Rédempteur. Avez-vous déjà vu un magasin de prêt sur gage? Oh! C’est un lieu horrible. Le diable vous avait placé dans un magasin de prêt sur gage, et Jésus vous en a racheté. Vous êtes libre. Sortez-en. C’est vrai. Il vous donne ces choses, mais Jésus a payé le prix de rachat. Et Il a payé le prix. Vous êtes sorti du magasin de prêt sur gage ce soir.
Cela me rappelle une fois, nous avions attaché un vieux corbeau par la patte. Cela effrayait les autres corbeaux, les empêchant de manger dans le champ de maïs. Eh bien, ce pauvre vieux corbeau, il ne faisait que croasser et les autres corbeaux survolaient en croassant, l’invitant à venir, et lui ne pouvait pas voler parce qu’il était rattaché.
Un jour, quelqu’un est passé par là et l’a regardé, il a dit: «Pauvre vieil oiseau: il–il crève de faim.» Il a étendu la main, il l’a délié et l’a lâché. Les autres corbeaux ont survolé par là en disant: «Allons, Johnny corbeau, allons vers le sud: le temps froid arrive.» Et ce vieil oiseau avait été lié si longtemps qu’il pensait être toujours lié alors qu’il était délié. Il a continué à tourner en rond, alors qu’il était délié. Il pensait être lié: il avait été lié si longtemps.
C’est peut-être votre cas, vous dans ce fauteuil roulant, et là, et là. Mais, rappelez-vous qu’il y a eu un Homme de bien un jour. Le diable vous a peut-être complètement lié, mais il y a eu un Homme de bien, Jésus-Christ, qui vous a racheté. Il a découpé chaque corde qui était sur vous. Alléluia! Quand vous voyez les autres se lever et croire cela, faites de même. Vous êtes libre de fosses du diable. Oui, oui.
38 Oh! la la! Qu’est-ce qui ne va pas avec moi ce soir? Amen. Je crois que je reviendrai à Erie tenir un réveil du Saint-Esprit, comme autrefois ici quelque part (Oh! la la!), juste un bon moment à l’ancienne monde. Amen. C’est ce dont nous avons besoin. Remerciez-Le. Je ne suis pas très habitué à prêcher à la chaire comme ceci ce soir, lors d’un service de guérison: mais je–je–je dois arrêter. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes libre, chacun de vous. Jésus vous a libéré depuis longtemps. Refusez simplement de recevoir cela. Dites: «Je n’ai pas reçu cela, je vais de mieux en mieux tout le temps. Gloire au Seigneur, je crois cela.» Et observez ce qui arrive.
Sortez d’ici ce soir et dites: «Non, je n’ai pas à passer par la ligne de prière. Je n’ai plus à passer: non, Jésus, j’ai accepté cela: c’est à moi.»
Le voisin dit: «Comment allez-vous?»
Dites: «Magnifique.»
39 Je me rappelle quand tout ce que je mettais dans mon estomac régurgitait. Je pesais moins de cent livres [45,35 kg]. Chaque fois que j’avalais quelque chose, ça faisait... [frère Branham illustre.–N.D.E.] et ça ressortait.» Je suis rentré, j’ai saisi ma femme, je l’ai étreinte, je l’ai embrassé, j’ai dit: «Chérie, le Seigneur m’a guéri.»
Elle a dit: «Quoi?»
J’ai dit: «Le Seigneur m’a guéri.»
Elle a dit: «En es-tu sûr?»
J’ai dit: «Je le sais.»
Elle a dit: «Comment le sais-tu?»
J’ai dit: «La Parole l’a dit. (Voyez?) Il a dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur de ma confession–confession. Je L’ai confessé en tant que mon Guérisseur.»
Elle a dit: «Peux-tu manger?»
J’ai dit: «Assurément.»
Et chaque fois que je prenais même une gorgée d’eau, cela me rejaillissait directement par le nez. Elle est assise là derrière, elle me regarde maintenant, et elle sait que c’est la vérité. Elle a dit: «Que veux-tu?»
J’ai dit: «Envoie me chercher au magasin une conserve de porc et des haricots. Ouvre-la, et prends un morceau de pain et–et découpe-moi la grande peau blanche de l’oignon de Texas. J’en veux un peu.» Elle a fait cuir un gros morceau de jambon, j’ai pris ce porc et les haricots, je me suis assis et j’ai demandé la bénédiction, disant: «Merci, Seigneur.» J’ai avalé une grosse bouchée pleine.
40 Et le médecin avait dit: «Une seule bouchée de nourriture–de nourriture solide l’enverrait à la tombe.» Il avait dit: «Ne laissez pas de la nourriture solide atteindre votre estomac.» C’est ce que lui avait dit, et le Seigneur avait dit: «Je suis l’Eternel qui te guérit.» Qui vais-je croire? J’ai mâché ce gros oignon. Oh! Que c’était délicieux! Je–je l’ai avalé. Et aussitôt que cela a atteint là, comme... un charbon ardent est allé droit frapper comme cela, et c’est remonté. J’ai tenu ma main sur ma bouche, j’ai ravalé cela. C’est remonté: j’ai ravalé. Non, non, nous avons eu un–un jeu de ping-pong là pendant un moment. J’ai ravalé cela: c’est remonté. J’ai ravalé cela: c’est remonté, j’ai ravalé cela. Je me suis tapé une autre bouchée, je me tenais la bouche, j’ai enfoncé celle-là, j’ai ravalé encore. On a fait venir le médecin. Le médecin a dit: «Ça va le tuer aussi certainement que deux fois deux font quatre.»
J’ai dit: «Alléluia! Je mourrai heureux.»
J’ai fait un tour là. Je suis allé dans la cour. Tout le monde demandait: «Comment vas-tu, Frère Branham?»
J’ai dit: «Magnifique.»
«L’estomac ne te dérange plus?»
«Non, pas du tout.»
C’est vrai, ça continuait comme cela. Je croyais cela. Oui, oui. Je suis allé de l’avant comme cela, et cette nuit-là quand j’allais me coucher, oh! la la! la chose était là. Tout gisait là au même endroit. Elle m’a demandé: «Veux-tu prendre quelque chose, comme souper, chéri?»
J’ai dit: «Ouvre-moi une autre boîte de haricot et découpe un autre oignon.» Oui, oui.
41 Je savais que la Parole de Dieu est la Vérité! C’est tout. Et j’en ai déversé davantage là au-dessus. Cela est resté là même jusqu’au petit-déjeuner, et je me suis fait frire deux oeufs et davantage de jambon le lendemain matin comme petit-déjeuner. J’ai continué comme cela semaine après semaine. J’étais devenu très nerveux, on dirait que les arbres se rassemblaient et on me demandait: «Comment vas-tu, Frère Branham?»
Je disais: «Magnifique. Alléluia!»
«L’estomac ne te dérange plus?»
«Non, non. Non, non.»
«Tout va-t-il bien pour toi?»
«Assurément, je vais bien, je me porte bien.»
«Comment ça se passe?»
«Le Seigneur m’a guéri.»
Il a dit: «Frère Branham, tu mentais.»
«Non, jamais: non, jamais.»
Quand je L’ai accepté comme mon Guérisseur, Il m’a guéri il y a mille neuf cents ans, c’était réglé dans mon âme. Peu importe ce qui se passait ici, dans mon âme, c’était réglé. Je témoignais non pas l’état de mon corps, mais ce que cette vieille âme en pensait. Et mon esprit disait: «Christ est votre Guérisseur.»
J’ai dit: «Je crois en Toi, Seigneur.» Je me suis accroché à cela.
Un jour, je continuais à enfoncer cela et à enfoncer cela, et tout a quitté. Je mange tout ce que je veux. J’ai gagné environ trente-cinq, quarante livres [15 ou 18 kg], je me sens bien. Oh! Il est le Guérisseur! Mais vous aurez à montrer votre foi en Lui. Et n’allez pas penser que c’est sur base d’un... Vous allez à un pique-nique. Vous allez sur un champ de bataille. C’est vrai. Vous n’êtes pas à un pique-nique, où tout vous est remis sur un plateau d’or. Vous avez... «Si... Je dois combattre si je dois régner, augmente mon courage, Seigneur.» Voyez.
Dois-je être transporté au Ciel,
Sur un lit fleuri d’aisance,
Alors que d’autres ont combattu pour gagner le prix,
Et ils ont navigué sur des mers de sang?
Non, je dois combattre si je dois régner,
Augmente mon courage, Seigneur:
Aide-moi et soutiens-moi,
Par Ta Parole Eternelle.
Oui, monsieur, tenez-vous sur la Parole de Dieu.
42 Cette nuit-là en Finlande, quand cette petite fille fut guérie... Où est mon frère finlandais qui était assis ici quelque part? J’ai besoin de vous juste un instant. Suivez cette histoire. Vous avez entendu cela hier soir, n’est-ce pas? Notre frère est avec nous. Ce petit garçon qui avait été tamponné au menton: il se mourait à l’hôpital. Le deuxième jour, je pense, s’était pratiquement écoulé. Et on ne savait que faire du petit ami. J’ai passé le temps le plus horrible. Je n’arrivais pas à avoir... Je ne pouvais même pas entrer à l’hôtel. Cette petite femme et son petit mari étaient couchés sur les marches, et on a dû me tirer par-dessus eux.
Je me rappelle cette nuit-là quand la petite fille finlandaise fut guérie, je suis monté en chambre, madame Isaacson m’a dit, elle a dit: «Frère Branham, qu’est-ce qui peut être fait?» Elle a dit: «Ces gens me dérangent pratiquement à mort.»
Et j’ai dit: «Eh bien, je ne sais pas, Soeur Isaacson, c’est contraire aux consignes, que je sorte comme cela.»
Et elle a dit: «Eh bien, voudriez-vous juste les rencontrer le matin, ici, si le petit garçon est toujours en vie?»
J’ai dit: «C’est en ordre.»
43 Alors, nous... Elle les a fait monter là. Où est soeur Isaacson maintenant? Est-elle ici aux Etats-Unis? Elle y est. Une très aimable personne... Elle a donc pris rendez-vous pour l’après-midi, afin que je voie le père et la mère. C’était une très petite famille très gentille, le genre finlandais. Alors, ils étaient assis là dehors, ils m’ont vu venir, ils ont commencé à courir et à se prosterner comme cela. J’ai dit: «Eh bien, prenez un siège», par l’interprète. Et alors, ils–ils se sont assis là. Et j’ai dit, ils ont dit: «Oh! Descendez à l’hôpital guérir notre petit garçon.»
J’ai dit: «Je ne peux pas guérir votre petit garçon.»
Ils ont dit: «Eh bien, vous avez guéri l’autre petit garçon qui était mort.» Et ils ont dit: «Notre petit garçon n’est pas mort, mais il est mourant: il ne s’est point remis: son cerveau a été écrasé.»
Et j’ai dit: «Eh bien...» Une commotion cérébrale, ou je ne sais quoi c’était, sa colonne vertébrale là-dedans et tout. Et j’ai dit... Un vaisseau sanguin avait éclaté au niveau de la colonne vertébrale, ou quelque chose comme cela. Et j’ai dit: «Eh bien, maintenant, ce n’est pas moi–moi qui ai fait cela.» J’ai dit: «Eh bien...» J’ai dit: «Là en Amérique, je–je, il y a environ un an, j’avais vu ce petit garçon être guéri en vision.» L’interprète le leur a dit. Elle a dit: «Allez avoir une vision pour mon petit garçon.»
44 Eh bien, c’était bien beau, mais, vous savez, vous ne pouvez simplement pas avoir des visions à volonté, pas plus que je ne peux dire: «Faites-moi un songe.» Vous avez des songes, mais vous ne les faites pas de vous-même. Alors, il a dit... J’ai dit: «Je ne peux pas faire cela, soeur.» Et je leur ai parlé, j’ai dit: «Etes-vous tous chrétiens?»
«Non.»
J’ai dit: «Regardez, Dieu peut avoir l’intention de ramener votre petit garçon à la Maison.» Et j’ai dit: «Si vous n’êtes pas chrétiens, et que ce petit garçon meure, vous ne pourrez plus jamais être avec lui. Si vous mourez, quand vous mourrez, alors ce petit garçon ira au ciel, il est trop petit pour connaître le péché. Mais il ira au ciel, et vous, vous n’irez pas au Ciel: vous ne le verrez plus jamais.» J’ai dit: «Si donc vous devenez chrétiens, et que le... si le petit garçon meurt et va au Ciel, alors vous pourrez aller au Ciel, là où il n’y aura pas d’accidents, et vous serez avec lui pour toujours.» Et j’ai dit: «Si donc vous vouliez obtenir une faveur de ma part, vous chercheriez à faire quelque chose pour moi.» Et j’ai dit: «Si vous voulez obtenir une faveur pour... de la part de Dieu, cherchez à faire quelque chose pour Lui.» J’ai dit: «Maintenant, peut-être qu’après que vous Lui aurez donné votre vie, vous pourrez trouver grâce, et Il peut sauver votre petit garçon.»
45 Eh bien, ils en ont parlé, ils–ils ne pouvaient pas perdre, car ils iraient au Ciel: si ce petit garçon mourait, ils seraient pour toujours avec lui. Et s’ils trouvaient grâce, peut-être que Dieu guérirait le petit garçon. Alors, ils se sont agenouillés, et je les ai conduits à Christ. Ils se sont relevés et se sont étreints, et tout était en ordre. Eh bien, la dame a dit: «Entrez, ayez une vision pour mon petit garçon.»
Eh bien, j’ai dit: «Non.»
Elle voulait que j’aille à l’hôpital. J’ai dit: «Non, Dieu peut me parler dans cette chambre tout autant qu’Il peut me parler à l’hôpital.» Soeur Isaacson leur en a parlé. Eh bien, elle a dit: «Entrez, et nous allons attendre.»
J’ai dit: «Regardez, Il peut même ne pas me dire un seul mot: je ne sais pas.» J’ai dit: «Mais s’Il le fait, je vous le dirai. Si le petit garçon va mourir et qu’Il me le dit, je vous le dirai.» J’ai dit: «Je vais–je vais vous dire s’il va mourir, et s’Il m’en parle. S’Il ne me parle pas, je ne peux rien dire.»
Eh bien, finalement, madame Isaacson les a amenés à rentrer à la maison. Eh bien, ils sont retournés à la maison, et environ vingt minutes après, ils ont appelé. Ils ont demandé: «A-t-il déjà eu la vision?»
«Non.»
46 Alors, le... Eh bien, il peut mettre ses doigts dans ses oreilles s’il le veut, ils sont très doux, des gens gentils, des Finlandais. Et je ne dis pas cela parce que cet homme est assis là. En effet, il... je ne pense pas qu’il comprend très bien l’anglais, après tout.
Et il a dit... Ils sont très aimables, très gentils, très doux, des gens humbles. Ils–ils n’ont donc pas beaucoup de biens de ce monde, mais ils aiment le Seigneur. Et c’est en cela que résident les richesses. Ainsi donc, ils sont riches dans le Royaume de Dieu.
Ainsi donc, ils ont laissé passer un petit moment un peu plus long, ils ont encore rappelé. Ils voulaient savoir si–s’il y avait déjà eu une vision. Eh bien, ils ont appelé plusieurs fois cet après-midi-là. Ce soir-là, quand nous sommes rentrés à la maison, la petite fille avait été guérie. J’avais cette même Bible ici même. Et maintenant, s’il y a des Finlandais ici qui... Je–je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments à ce sujet, et je n’ai pas l’intention de blesser le sentiment de frère Baxter non plus, en disant ceci.
47 Mais nous en Amérique, nous sommes bien en ce qui concerne le manger et des choses comme cela. J’ai été au Canada il n’y a pas longtemps, et nous étions là à Prince Albert, à Saskatchewan. Nous avions environ dix mille Indiens, des Eskimos et tout, qui étaient venus à la réunion.
Et là, ils ne... leur bonbon n’est pas aussi riche que le nôtre ici. Certains de cela, je vais... Nous nous en sommes procurés là-bas, ça avait pratiquement le goût de l’amidon. En effet, ils n’en ont peut-être pas le moyen comme ici. C’est vrai. Je pense que le Canada, c’est un beau et magnifique pays, de loin plus vaste que le nôtre, avec des ressources qui dépassent les nôtres, et de braves gens. Mais les gens sont bien pauvres. Leurs routes sont en mauvais état, ils n’ont pas l’argent pour construire des routes. Mais cette classe de gens en Amérique est riche, les gens les plus riches du monde.
Ainsi donc, leurs bonbons étaient mauvais, et mon frère Howard, il a dit... beaucoup parmi vous, je pense, connaissent Howard ici. Il–il est venu, il a dit... Il est revenu à la maison ce soir-là, il a dit: «Billy.»
J’ai dit: «Oui.»
Il a dit: «Tu dis que les bonbons du Canada sont mauvais, a-t-il dit, goûte celui-ci de–de Finlande.»
Eh bien, il m’a donné deux bonbons à peu près gros comme ça. Je les ai tenus dans ma main, nous montions les marches. Frère Baxter et Howard dormaient ensemble. Ils sont allés dans leur chambre. Frère Moore et Lindsay sont allés à la leur. Et soeur Isaacson est allée à la sienne. Ils me gardaient dans une chambre à part à cause de la visitation de l’Ange du Seigneur pendant la nuit. Il venait parfois vers moi la nuit et me montrait de chaque personne et tous ceux qui allaient être guéris le lendemain. J’en parlais aux organisateurs. Je disais: «Regardez, il y aura autant de gens, telle personne ici, telle personne là en bas, telle personne à tel endroit sera guérie. Une femme arrivera, habillée de telle façon, couchée sur une civière, elle va venir d’un autre district: elle sera guérie.» Je leur dis tout au sujet de la réunion avant que cela arrive. Eh bien alors, Il vient comme ça.
48 Ainsi donc, je venais d’entrer dans la chambre, j’ai pris ces deux bonbons, je les ai déposés sur le bureau, comme ça. J’ai déposé ma Bible, non, je vous demande pardon. J’ai placé ma Bible sur mon coeur. Je me suis avancé là. Et vous savez, là à Kuopio, dans ce long parc, il y avait ces petits Finlandais qui passaient par là, ils traversaient ce parc, rentrant chez eux, louant simplement Dieu, les soldats et tout. Certains de ces pauvres petits soldats là-bas ne s’étaient jamais rasés. C’étaient juste des enfants dans l’armée. Ces Russes les avaient tués là comme des mouches, ils avaient juste de pauvres petits enfants. Et ils passaient par là, causant simplement.
Et j’ai regardé dehors. Oh! Il ne faisait pas noir là, la nuit. Et alors, j’ai regardé dehors, et j’ai levé la main, j’ai dit: «Ô Grand Dieu Jéhovah, que c’est merveilleux, que c’est magnifique!» Cette petite fille avait été guérie ce soir-là, elle avait été débarrassée de ces béquilles-là. Et je disais: «Gloire soit rendue à Ton Saint Nom. Combien je T’aime, combien je T’adore, ô Grand Dieu Créateur des cieux et de la terre!» Juste dans la même direction où ces avions russes étaient venus vous bombarder, juste par là.
49 Je... Et je regardais, j’ai dit: «Un jour, les avions russes étaient venus, un jour, mais un jour, Jésus viendra.» J’ai dit: «Oh! Combien ça sera alors différent pour ce pays! Au lieu qu’ils fuient tous dans des abris contre des bombes et autres qui avaient été construits à travers la ville ici, ils vont courir dans des rues en criant: «Kiitos, Jésus», à toute vitesse, avec leurs mains levées, louant. J’ai dit: «Oh! Combien je T’aime!»
Alors, j’ai senti Quelque Chose. Et je me suis retourné, et Il se tenait là, debout là même à côté de moi. Et Il tenait un petit verre en main, à peu près de cette taille. Et là-dedans, il y avait deux fleurs lys de Pâques, de l’Amérique. Des fleurs de Pâques, des jonquilles, je ne sais comment vous appelez cela. Je ne pense pas qu’on en ait même dans ce pays-là. Ce sont des fleurs de Pâques, longues comme une corne sur un vieux gramophone. Je ne pense pas qu’ils aient cela dans ce pays-là.
50 Et cela était là, Il les avait dans un petit pot. Il les a déposées devant moi sans dire un mot. Et je–je ne pouvais pas... Je me suis simplement tenu là. C’est un Homme de grande taille, aux cheveux sombres qui Lui retombent sur les épaules, au teint olivâtre, visage lisse, aux yeux noirs, Il a les mains jointes comme ceci, toujours. Et Il a pris ceci ici, et Il l’a déposé devant moi. Et l’une des fleurs qui penchait vers nord, est tombée. Et l’autre a commencé à descendre, faisant: «Teuw, teuw, teuw, teuw, teuw.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Et Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»
Et j’ai dit: «C’était un bonbon, Seigneur, ou deux bonbons.»
Il a dit: «Mange-les.»
J’en ai pris un, j’ai mis cela dans la bouche, je l’ai mâché et ça avait un très bon goût. Et quand je l’ai avalé, cette fleur de Pâques qui était étendu vers le nord a fait: «Thrrr.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Elle s’est du coup redressée. Je l’ai regardée. Et je...
Il a dit: «Mange l’autre.»
Je l’ai pris et, oh! la la! Vous parlez d’un goût désagréable. J’ai fait: «Ouf.» J’ai fait sortir cela de ma bouche. Et cette autre fleur s’est mise à faire: «Teuw, teuw, ouf!» [Frère Branham illustre.–N.D.E.], pratiquement à la fin.
Il a dit: «Ces deux fleurs représentent ces deux jeunes garçons.» Il a dit: «Si tu ne manges pas ce bonbon-ci, ce jeune garçon mourra.»
J’ai remis cela dans la bouche, je me suis mis à mâcher très vite, et puis, j’ai avalé cela. Alors quand j’ai avalé cela, cela a fait: «Thrrr.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Cela s’est redressé comme cela, avec ça.
Et la direction dans laquelle ces petits garçons étaient tombés, vous savez. L’un était tombé vers le nord, et l’autre, vers le sud. Celui qui était tombé vers le nord, c’était celui qui avait été tué sur la route. Celui qui était tourné vers le sud se mourait à l’hôpital. Les médecins avaient dit: «Il ne se remettra jamais. Son cerveau a connu une commotion. Et il y a quelque chose dans sa colonne vertébrale.» On disait: «Il ne peut pas se remettre.» Son petit visage d’enfant n’avait pas été lavé.
Et ils ont appelé, appelé, appelé toute la journée. Et on disait... cet autre ici se tenait comme ça. Et quand elle s’est redressée, Il m’a regardé, Il avait les bras croisés, et j’ai regardé là, et il y avait cette Lumière que vous voyez là derrière dans la photo, faisant comme ça. Et la Lumière s’est posée au-dessus de l’Ange, et l’Ange est entré dans la Lumière, et Il est sorti de la chambre.
Et je me tenais là, j’ai touché ma main: je me suis mordu les doigts, je suis resté engourdi un petit moment. La vision m’avait quitté. Ce n’était pas une vision. Je ne veux pas dire la vision, c’est... J’ai des visions ici, mais ça, c’est tout aussi réel que je suis, ou que vous êtes. Je me tenais là et je Le regardais.
51 Je suis très vite sorti et j’ai appelé, j’ai dit: «Tout le monde, venez.» Et frère Baxter est sorti, Howard, frère Moore, Lindsay, eux tous sont sortis en courant. J’ai dit: «Allez chercher soeur Isaacson.» On l’a appelée, elle est descendue là. J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, appelez cette dame-là et dites-lui: AINSI DIT LE SEIGNEUR, son enfant vivra et ne mourra pas.»
Ils ont dit: «Frère Branham, elle a appelé il y a environ une heure, disant que l’enfant était au dernier stade: le médecin avait dit qu’il mourrait dans les deux prochaines heures.»
J’ai dit: «Je n’y peux rien à ce qu’il a dit. AINSI DIT LE SEIGNEUR, l’enfant vivra.»
Elle a donc couru au téléphone, et leurs téléphones là ne sont pas comme les nôtres ici. Elle a démarré cela à la manivelle, de côté, elle a eu la famille. Et il y avait une babysitter là avec leur tout petit enfant, et elle a dit: «On vient de les appeler à l’hôpital: l’enfant se mourait», le petit garçon.
Et alors, elle a appelé l’hôpital, elle a eu la femme au téléphone et madame Isaacson a dit: «Frère Branham a dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce petit garçon vivra.’»
Elle a dit: «Oh! Je le sais bien: il vient de se remettre, il est assis là, tout aussi bien portant que possible. Il est assis là normal et bien portant.»
Et cet enfant vit à Kuopio, en Finlande, aujourd’hui, normal, un enfant bien portant par la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, par la puissance des révélations, par la puissance de Son Esprit.
52 Il s’est fait que ce frère était là. C’est un frère finlandais, il était avec nous. Je l’ai rencontré aujourd’hui. Il connaît ce cas. Venez ici, frère. Quel est donc votre nom? Watkin, Waltanin. Vous aurez à le dire, frère, ce n’est pas mon fort, prononcer ce nom.
Très bien, je vais vous demander ceci, ces témoignages sont vrais, n’est-ce pas? [Le frère confirme en des termes suivants: «Oui, ils sont effectivement vrais. J’étais là comme témoin oculaire. Je viens de Finlande. Notre pasteur associé, à l’Eglise Salem de Helsinki, et moi, nous étions aussi là à Kuopio. Nous étions au sommet de la colline, tous–tous en stationnement, puis nous sommes descendus, et cet accident a eu lieu là-bas. Et l’un des petits garçons était ressuscité des morts tandis que l’autre a été guéri: et ils sont guéris aujourd’hui. Et aussi une petite fille dont frère Branham a parlé hier, hier soir, elle est toujours effectivement guérie. Et gloire à Dieu! Et beaucoup d’autres merveilleuses choses ont été accomplies là-bas. Et ce que ce très grand service qu’on a eu avec frère Branham et son équipe a fait en Finlande, continue à se développer et à porter des fruits pour l’oeuvre de Dieu. Gloire au Seigneur!»–N.D.E.]
Amen. Que Dieu vous bénisse, frère, là. Je suis très content de vous revoir. Que Dieu vous bénisse. Jumalan rauhaa. Que Dieu vous bénisse.
Disons: «Gloire au Seigneur», tout le monde. Depuis tout là-bas en Finlande.
53 Je ne savais guère, alors que je racontais cette histoire-là, que cet homme pouvait être assis ici présent. Et cet après-midi, je l’ai rencontré à son arrivée. Oh! Quel moment! Quel moment glorieux!
Y a-t-il un autre Finlandais ici présent? L’autre soir, quelqu’un m’a crié: «Jumalan rauhaa», en passant à l’estrade, il avait été guéri. Je pense qu’il n’est pas ici. C’était une femme au mieux de mes souvenirs. Oh! Voilà la dame, là-bas. Oui, c’est bien. Vous n’étiez pas... Etiez-vous en Finlande quand j’y étais, madame? Vous êtes née en Finlande. Est-ce vous la dame qui avait traversé l’estrade ici l’autre soir et qui avait été guérie à l’estrade? Gloire au Seigneur, que Dieu vous bénisse. Connaissez-vous le frère ici? Vous devriez faire connaissance entre vous. Très bien. Voyez qui elle est, frère. Très bien, c’est magnifique.
Disons: «Gloire au Seigneur!»
54 C’est ainsi que ça sera au ciel: il y aura des Allemands, des Finlandais, des Italiens, et même des Irlandais. Amen. Je disais: «Je sais qu’il y en a un là-bas: on l’appelle Michaël.» Très bien. Dieu est ici ce soir. Croyez-vous cela? Il est avec Sa miséricorde, et Il est ici pour guérir les malades et les affligés.
Très bien, il est temps pour nous de former la ligne de prière maintenant. Et que Dieu soit avec vous. Frère Bobby, veuillez jouer pour moi ce soir mon cantique favori: Reste avec moi. Un matin, toute la vie sera terminée, cette vie mortelle, le soleil se couchera pour la dernière fois. Cette vieille terre explosera en éclats. Peut-être dans cinq cents ans, à partir de ce soir, il y aura un... Représentons-nous notre tableau maintenant, dans l’esprit.
55 Dans cinq cents ans, à partir de ce soir, imaginez-vous simplement. J’entends les vents souffler. Je regarde la terre: elle est hors de son orbite. Les bombes atomiques l’ont basculée hors de son orbite. Elle se trouve là dans le soleil. Elle tourne vite. Les vents soufflent. Rien de vivant sur terre. Les sables sont emportés par le vent, ça hurle sous une chaleur de plusieurs, plusieurs degrés Fahrenheit. Ce n’est plus par l’eau, mais cette fois-ci, c’est par le feu.
Qu’est-ce que je vois apparaître là dans le sable? Oh! C’est une pierre tombale. Le nom de quelqu’un y figure. C’est quelqu’un qui est assis peut-être ici ce soir à la réunion. Où sera alors votre âme, ami, si vous n’êtes pas en ordre avec Dieu.
Représentons-nous alors un peu plus loin. Je vois Dieu la ramener dans son orbite. Elle est de nouveau habitée. Le loup et l’agneau paîtront ensemble. Je vois une belle aurore, un tropique comme en Orient, de grands palmiers, de beaux oiseaux chanter. J’arrive, je regarde, je parcours le jardin là-bas, des colombes blanches voltigent d’un arbre à un autre. Qu’est-ce qui arrive? Celui qui va s’asseoir sur le trône de David, et Sa robe blanche traîne. Oh! J’aimerais me tenir là, de ce côté-là, pas vous? Il est bien possible que les larmes me coulent sur les joues pendant qu’Il passe et que je Le regarde. Je dis: «Voilà le Tendre qui m’a racheté.»
56 Quand le grand Souper aura été apprêté, nous serons tous assis là, assis à table, au Souper des Noces. Je regarderai de l’autre côté de la table, je dirai: «Je le reconnais, il vient de Finlande. Je le reconnais, il était à la série de réunions d’Erie.» Je tendrai la main par-dessus la table et je vous tiendrai par la main. Nous aurons juste à déverser quelques larmes, n’est-ce pas?
Alors, tout d’un coup, vous savez, le Roi apparaîtra dans toute Sa splendeur: de Ses mains, Il essuiera toutes les larmes de nos yeux, Il fera passer Son bras et dira: «Ne pleurez donc pas, tout est terminé. Il n’y aura plus de services de guérison ici, plus de soirées où il fait chaud, plus de larmes, plus de fauteuils roulants, plus de béquilles.» Tout sera terminé. «Entrez dans les joies du Seigneur.» J’aimerais être là, pas vous?
57 Notre Père céleste, reste avec nous jusqu’à ce temps-là. Que Tes miséricordes reposent sur nous. Que Ta grâce soit nôtre. Et alors, quand il y aura un seul drapeau, une seule nation, un seul peuple, parlant un seul langage! Oh! Quel jour! Eh bien, il peut sembler à plusieurs que cela aura lieu dans plusieurs, plusieurs années. Cela peut passer pour un rêve fantaisiste pour d’autres. C’est ainsi que paraissaient pour les autres les choses que nous voyons aujourd’hui: un rêve fantastique: mais nous sommes vivants jusqu’à les voir. Quand Tu parles, Seigneur, il doit en être ainsi. Nous verrons cela. Pensez-y donc. Un jour, nous les mortels, nous verrons cette grande chose dont nous parlons, car le Seigneur l’a dit.
Maintenant, Seigneur, pendant que nous sommes dans le pèlerinage, reste avec nous, le veux-Tu? Que Ton Esprit vienne sur Ton humble serviteur ce soir, oins-moi de Ton don prophétique. Que je sois à mesure de faire ce que Tu m’as ordonné de faire. Durant toutes ces six années, Tu ne m’as point délaissé, Tu n’as failli aucune fois. Et je sais que Tu ne le feras pas ce soir. Dans l’ardeur de la bataille, Tu es toujours là: Tu prends part.
58 Et maintenant, ce soir, Seigneur, comme c’est la dernière soirée, je sens une forte attraction de la foi: c’est pourquoi j’ai parlé un peu. Et maintenant, Seigneur, qu’il arrive ce soir qu’il n’y ait aucune personne faible au milieu de nous à la fin du service. Nous Te remercions d’avoir guéri cette femme, hier soir, et de l’avoir débarrassée de ces gros appareils orthopédiques. Nous Te remercions d’avoir guéri cette dame cet après-midi, la faisant sortir de ce fauteuil roulant. Nous Te remercions d’avoir guéri la dame qui souffrait du cancer. Ceux qui souffraient du coeur et d’autres choses, eh bien, nous Te remercions pour tout. Et Seigneur, comme Ton serviteur l’a dit: «Qu’il en soit ainsi.» Car je sais que c’est Toi qui as prononcé ces Paroles. Il y en a beaucoup ici qui sont déjà guéris: ils ne s’en rendent pas compte maintenant même. Accorde-le, Seigneur, que ce soir soit le grand moment. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils Jésus. Amen.
59 Que tout le monde soit respectueux. Maintenant, est-ce que tout le monde va croire de tout son coeur maintenant, de toute son âme, de toute sa pensée? Très bien. Maintenant, sachez-le, comme ceci, avant que je commence ma ligne. Nous allons essayer de rester un peu plus longtemps ce soir. Et puis, j’aimerais voir... Combien ici présents croient dans l’imposition des mains, et sont...? Je vais voir si je peux, d’une façon ou d’une autre, manifester le Seigneur, si tout le monde n’est pas guéri à la fois, je vais veiller à ce qu’on prie pour tout le monde de toute façon. Très bien.
60 Maintenant, combien ici présents aimeraient qu’on prie pour eux, n’importe où dans la salle? Levez simplement la main. Oh! la la! Il y a quelques cinq ou six, peut-être cinq cents, six cents. Je ne sais pas. Je les vois là dans les rangées aussi, dehors.
Eh bien, rappelez-vous ceci, ami, maintenant, je ne peux pas être responsable de critiqueurs. S’il arrive quelque chose à un critiqueur, je n’en suis pas responsable. Tout... Tous–tous ceux qui entendent cela, levez la main, afin que je... Voyez, je ne suis responsable de quoi que ce soit qui arrive aux critiqueurs, qui critiquent. En effet, rappelez-vous, quand les puissances démoniaques sortent de quelqu’un, ils cherchent où aller. Ils iront n’importe où qu’ils peuvent aller. Maintenant, je...
Combien vont témoigner alors que d’autres disent: «Eh bien, ce guérisseur divin!», vous, vous allez intervenir, disant: «Frère Branham a dit qu’il n’était pas un guérisseur divin.» Allez-vous le faire pour moi? Et rappelez-vous qu’il n’y a qu’un seul Guérisseur divin, et c’est le Dieu Tout-Puissant. Même Jésus-Christ n’est pas un Guérisseur divin. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais ces oeuvres: c’est Mon Père qui demeure en Moi: c’est Lui qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai?
61 Je commence donc à me demander et à penser, peut-être, parce qu’il n’y a pas beaucoup de gens qui sont guéris: je les vois là dans l’assistance, peut-être qu’ils sont déjà guéris. Eh bien, soyez simplement respectueux. D’accord.
Bonsoir, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur, madame? Maintenant, vous et moi, nous sommes inconnus, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas. Ne me connaissez-vous pas? Est-ce notre première rencontre? Oui. Nous ne nous connaissons pas. Mais Dieu nous connaît tous deux. Il me connaît depuis ma naissance. Il vous connaît depuis votre naissance. Et je crois qu’Il nous aime tous deux, parce que tous deux nous sommes chrétiens. Et comme vous êtes une soeur chrétienne, moi aussi un frère chrétien, et vous avez suivi les commentaires que quelqu’un a faits à ce sujet. Et sans doute qu’il y a quelque chose qui cloche chez vous. Et vous êtes venue vers moi en tant que serviteur de Dieu, votre frère, pour vous aider à croire davantage en Jésus. Est-ce vrai? C’est vrai.
62 Eh bien, si je peux faire quelque chose pour vous, je serai très content de le faire. Et je... Tout ce que je peux faire, ça serait de demander à Dieu de vous guérir. Et puis, si Dieu fait quelque chose maintenant, plus que ce qu’Il a déjà fait, Il a déjà payé le prix de votre guérison. Mais vous cherchez juste à apprendre à remplir le chèque pour votre–pour votre guérison. Eh bien, alors, s’Il peut faire quelque chose qui vous dirait ce qui est arrivé, ça devrait être l’esprit de prophétie, ou un don de la parole de connaissance, qui remonterait le pèlerinage de votre vie et trouverait quelque chose là-bas, et le ramènerait à votre souvenir. Alors, vous direz que c’est quelque chose, vous le reconnaîtrez, qui vient de façon surnaturelle.
Eh bien, comme je l’ai dit il y a quelques instants, vous êtes une chrétienne: je sais que vous êtes une chrétienne, sinon votre esprit ne serait pas le bienvenu. Vous avez constaté chaque soir, et dans les lignes et partout, un pécheur être toujours dénoncé (Voyez?), Cela–Cela n’embrassera pas du tout le péché. Vous êtes la première patiente à qui je parle, ma première soeur ce soir à l’estrade, pas une patiente, mais la première à qui j’aimerais parler. Et après avoir prêché comme je l’ai fait, il faut juste un peu de temps pour que l’onction vienne sur moi.
63 Et vous êtes–vous êtes consciente que cela est–que cela est proche, n’est-ce pas? Oui. Vous êtes... Et maintenant, dès que vous avez dit cela, vous avez senti cela plus qu’auparavant, n’est-ce pas? Cela descend sur vous maintenant.
Maintenant, entre vous et moi apparaît une Lumière très pâle. Je vous vois maintenant, soeur: oui, vous êtes... vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas, soeur? Parfois, cela–cela s’empire par rapport aux autres. Je vous vois en une robe claire Et vous êtes... vous marchiez quelque part. Vous boitilliez on dirait, et il vous fallait vous asseoir pour vous reposer. C’était dans une cour ou quelque part comme cela. On dirait qu’il y a beaucoup d’herbes et d’arbres tout autour. Je vois aussi que vous souffrez de–vous souffrez de la vésicule biliaire également, n’est-ce pas? Je vois l’examinat-... Dites donc, oh! la la! vous avez aussi subi une intervention chirurgicale, n’est-ce pas, soeur? Beaucoup, oui, vous en avez subies deux ou trois, quatre, cinq, six, vous avez subi six interventions chirurgicales. Est-ce vrai? Oui, oui. Très bien, venez ici et soyez guérie, soeur.
Notre Père céleste et Dieu miséricordieux, accorde la guérison de ma soeur qui se tient ici debout. Puisse-t-elle, Seigneur Dieu, être guérie ce soir, alors que je la bénis au Nom de Ton saint Fils, Jésus. Puisse-t-elle quitter cette estrade une femme bien portante. Au Nom du Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen. Me croyez-vous? Si je vous dis que vous allez vous rétablir, croirez-vous cela? Vous l’êtes. Que Dieu vous bénisse...?...
Disons: «Gloire au Seigneur!»
Regardez-la marcher maintenant. Elle est déjà guérie. Bénissons le Seigneur. Très bien. Faites venir la prochaine dame.
64 Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous essayez de croire, n’est-ce pas, soeur? Oui. Oui, madame. Eh bien, n’ayez pas peur. Vous vous surprenez. Il y a eu un temps dans votre vie, madame, où vous avez eu des obstacles. Il y a eu beaucoup de choses qui vous ont dérangée. Vous avez eu un cas de la tuberculose, n’est-ce pas? Vous souffrez de tuberculose. Et vous avez connu beaucoup d’ennuis. Oui. Et vous avez–vous avez cherché à avoir la foi. Dites donc, vous–vous êtes membre des gens de la sainteté, les pentecôtistes, ou quelque chose comme cela. N’est-ce pas vrai? Je vous ai vue dans des réunions, vous réjouissant.
Et vous êtes des fois embarrassée lorsque vous essayez de... Vous toussez beaucoup, et souvent vous avez un prétexte, que c’est autre chose plutôt que de chercher à accepter que c’est la tuberculose. Vous n’aurez plus à faire cela, madame. C’est maintenant pour vous d’être guérie. Venez ici. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu?
Dieu Tout-Puissant, Auteur de la vie, accorde la grâce à notre soeur ce soir, voyant son coeur défaillir ici. Tu es remonté là pour faire ressortir les choses de sa vie. Satan, je viens au Nom représentatif de Jésus-Christ, le Fils de Dieu: Tu as caché cela au médecin et tout, mais tu ne peux pas le cacher à Dieu. Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à cette femme et je réclame sa guérison. Sors d’elle au Nom du Seigneur Jésus. Allez, soeur, témoignez et glorifiez Dieu.
65 Disons: «Gloire au Seigneur!» Amen.
Oh! C’est ainsi que j’aime voir les gens venir. La foi, venez comme Marie qui a dit: «Seigneur, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera, peu importe ce que c’est.» Très bien. Faites venir la dame. Très bien. Que tout le monde soit respectueux maintenant et croie de tout son coeur.
Assistance, si seulement vous pouviez savoir comment on sent ça ici maintenant même. Quel sentiment: Grâce, grâce, grâce étonnante! Cela me paraît simplement maintenant... Evidemment, je me tiens ici et l’onction est ici. Il me semble que tout le monde dans la salle peut simplement se lever et être guéri. C’est ainsi que cela me paraît. Eh bien, essayez de vous retenir juste quelques instants si possible. Voyez? Juste si vous... C’est horrible de dire cela, mais essayez simplement, afin que ceux-ci qui sont par ici puissent avoir une idée, peut-être qu’il y a des nouveaux venus ici. Ayez foi maintenant, croyez maintenant même que Jésus va vous rétablir. Acceptez cela et priez, ayez foi.
66 Bonsoir, madame. Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Sommes-nous inconnus? Nous sommes inconnus. Je ne me rappelle pas vous avoir déjà vue. Eh bien, il y a... S’il y a quelque chose qui cloche chez vous, eh bien, il me–me–me faudra avoir un moyen de découvrir cela, d’une façon ou d’une autre. Eh bien, cela ne vous guérirait pas, si j’arrivais à savoir ce qui cloche chez vous: cela ne vous guérirait pas. Mais cela peut vous encourager. Vous vous demandez ce que je vais dire. Je ne suis pas en train de lire vos... Oui, je pense que c’est ça. C’est exact. Je–je ne veux pas dire... Je savais bien ce que vous pensiez tout à l’heure: en effet, cela m’est parvenu. Eh bien, vous savez que c’est vrai, n’est-ce pas? Vous vous demandez ce que je vais dire. Eh bien, je vais vous dire ce que je vais dire.
Votre maladie, c’est un cas insolite. C’est difficile à comprendre: c’est une espèce de–de glande ou un tube de votre corps qui connaît une ptôse. N’est-ce pas vrai? Et je dis que c’est à partir de votre oreille jusque dans votre gorge. Qu’en est-il, est-ce vrai? Allez, Jésus-Christ vous a guérie, vous pouvez être rétablie. Que Dieu vous bénisse, soeur.
Disons: «Gloire au Seigneur!»
67 Rien que la foi, c’est tout. J’ai vu cela étalé comme un tube ouvert, comme cela, descendant du côté de son visage. Oh! Que c’est merveilleux! Que c’est étonnant. Il n’est pas étonnant qu’on ait dit: «Grâce étonnante! Oh! quel doux son!» Ayez foi, croyez maintenant, et Dieu fera s’accomplir cela. Croyez-vous cela? Qu’en est-il de vous tous là dans la ligne? Croyez-vous de tout votre coeur? Qu’en est-il ici? Croyez-vous? Très bien. Continuez simplement à avoir foi, Dieu fera s’accomplir cela.
68 Faites venir votre patient. Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Bonsoir, madame. Un esprit timide, c’est le genre, généralement, c’est le genre un peu timide. Vous n’avez pas beaucoup à dire, vous réfléchissez beaucoup, vous prévoyez toujours des choses en avance. Généralement, cela n’arrive jamais comme ça malgré tout. Mais vous avez eu un bon enseignement. Vous–vous avez eu beaucoup d’ennuis aussi, n’est-ce pas, madame? Vous avez une fois éprouvé une grande peur dans votre vie aussi. Quelque chose, on dirait, quand vous étiez une écolière. Je pense que c’était un chien ou quelque chose comme cela. Je vois quelque chose aboyer ou continuer, et vous sautez, vous criez. Vous étiez juste une petite enfant. Et la vie a continué, continué. Récemment, vous avez été très nerveuse. Oh! Oui, voici une autre chose qui apparaît. Soeur, je suis désolé, oui, je pense que vous le savez. C’est le cancer. Et venez ici juste un instant.
J’aimerais que vous regardiez ma main. J’aimerais que vous preniez votre main ici et que vous la déposiez sur la mienne. Regardez comment ma main change là: voyez-vous cela? Voyez-vous ces taches blanches qui parcourent ma main? C’est la vie du cancer. Je vais enlever ma main. Maintenant, cela s’arrête. Maintenant, je place ma main dessus, cela n’est pas là, n’est-ce pas? Mettez votre main ici dessus, cela n’est pas là. Vous êtes tout aussi humaine dans cette main que vous l’êtes dans cette autre, n’est-ce pas? La même main, la même personne. Eh bien, changez simplement de main, remettez l’autre, celle-ci ici. Maintenant, voyez apparaître là. Voyez-vous ce que c’est? Eh bien, observez cela juste alors que je tiens cela là un moment. Observez la main, voyez comment ça gonfle, ça noircit, de petites taches blanches qui parcourent là-dessus. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez cette main afin que l’assistance sache que c’est vrai.
69 Maintenant, enlevez simplement votre main de la mienne, bien doucement; ça y est. Maintenant, je place ma main là-dessus: Ça n’y est pas, n’est-ce pas? Eh bien, je suis tout aussi humain que vous. Voyez, j’aimerais que vous remarquiez, il n’est pas question de la position dans laquelle la main se trouve. Eh bien, replacez celle-ci ici. Voyez? Eh bien, il n’est pas question de la position dans laquelle la main se trouve: c’est juste pareil. Est-ce vrai? Maintenant, je vous ai dit la vérité, n’est-ce pas, madame? Et maintenant, vous voyez donc que la vérité vous a été dite par une vision, quelque chose de naturel ici confirme que cela est aussi vrai.
Eh bien, je ne peux pas vous en débarrasser, seule votre foi le peut. Mais ceci va être quelque chose. En effet, quelqu’un de votre genre-là, qui–qui essaie de croire. Mais vous–vous êtes–vous êtes le... Je ne sais pas exactement comment expliquer... Vous savez ce que j’essaie de dire, quelqu’un de votre genre, timide, réservé. Et c’est juste quelque chose... Vous–vous voulez croire, mais vous vous efforcez vous-même, vous y adhérez par force, mais cela ne marchera pas. Voyez? Il faut juste une foi établie comme si votre mère vous disait quand vous étiez une petite fille: «Chérie, je vais t’acheter une nouvelle robe le samedi soir.» Vous l’attendez impatiemment (Voyez?), vous attendez impatiemment de recevoir cette nouvelle robe. Eh bien, comptez de même sur Dieu pour vous guérir. Bien établie, juste... Il est votre Père céleste. Votre mère peut ne pas être en mesure d’exécuter cette obligation, mais Dieu est capable d’accomplir tout ce qu’Il vous promet. Voyez?
70 Maintenant, regardez ma main maintenant, depuis qu’elle a été là un tout petit peu. Maintenant, observez donc, quand vous enlevez votre main maintenant, ma main restera comme cela pendant quelques instants. Eh bien, vous voyez, il y a quelques instants, quand votre main venait d’être placée là juste un peu, et cela... Vous avez enlevé votre main, ma main était redevenue normale, juste une façon, n’est-ce pas? Maintenant, enlevez votre main, observez combien de temps cela reste là. Eh bien, regardez ici. Ça y est. Voyez? Voyez? Voyez-vous ce que je veux dire? Maintenant, remettez bien votre main juste là, de sorte que votre paume touche là-dessus. Le voilà apparaître, voyez, ça revient. Ça y est. Voyez cela gonfler de nouveau, ça noircit. Très bien.
Ecoutez, madame, je veux que vous veniez dans cette direction juste une minute, pour édifier donc votre foi. Maintenant, dans votre cas, ça va être un défi. Et le défi va être... va consister à ordonner que cela parte. Eh bien, si je devais faire sortir cela par la force par ma propre foi, car Dieu m’a promis que si je suis sincère... Cela peut vous quitter maintenant, et vous le saurez. Mais alors, quant à savoir si cela va rester loin de vous, c’est autre chose. En effet, quand l’esprit impur sort d’un homme, il va dans des lieux arides. Ensuite, il revient, est-ce vrai? Et si le maître de la maison n’est pas là pour lui résister, il entrera.
71 Maintenant, ce que nous cherchons à avoir, c’est plus de force dans le maître de votre maison, qui est la foi. Est-ce vrai? Maintenant, si vous pouvez regarder ici maintenant et voir cela par révélation, par quelque chose de physique qui se manifeste présentement sur votre main, sur ma main plutôt, que quelque chose qui se passe... Voyez-vous comment cela vient par vagues comme cela?
Maintenant, assistance, je ne sais pas si vous pouvez voir cela ou pas, regardez ici. Maintenant, ça y est. Voyez-vous cela apparaître? Observez cela partir. Maintenant, cela s’en va. Voyez? Eh bien, cela revient, regardez, ça y est; voyez-vous ça? Regardez cela partir. Ecoutez cela faire: «Thrrr.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Juste un instant, ne–ne laissez pas cela inspirer la peur. Eh bien, voyez-vous cela? Voyez-vous cela? Eh bien, observez. Maintenant, voilà cela partir: cela revient ici: regardez ça. Cela vient ici, cela va là. Maintenant, qu’est-ce? C’est une grosseur maligne qui est là, vivante, un démon, hideux, noir. Et cette chose-là sait. Voyez, elle est une dame: moi, je suis un homme. Nous sommes tous deux des humains. Elle a un esprit qui cherche à croire, il y a quelque chose ici qui croit en fait. Et l’unique chose, c’est d’élever sa foi à un niveau où elle croit réellement. Cela doit quitter. Cela doit quitter. Cela le sait. Et si cela–et si cela–si cela–si cela le doit, si cela quitte, et qu’ensuite sa foi reste là, elle l’expulsera.
72 Suivez. Je vois un aveugle venir à l’estrade, recouvrer la vue et lire la Bible. Deux ou trois jours après, il revient tout aussi aveugle qu’il était auparavant. Vous dites: «Pendant combien de temps dure la guérison divine?» Aussi longtemps que dure votre foi. «Pendant combien de temps dure le salut?» Aussi longtemps que dure la foi. Est-ce vrai? Très bien. Si Dieu peut faire partir cela ici, Il peut garder cela au loin. La même foi.
Maintenant, regardez ma main là maintenant. J’aimerais que vous observiez ma main ici. Laissez-moi, afin que je permette à l’assistance... Maintenant, voyez-vous ma main? J’aimerais que vous regardiez ici. Je vais placer ma main là-dessus, juste dans ce sens, afin que vous voyiez. Voyez comment cela paraît lisse, blanc. Maintenant, prenez cette main, madame, maintenant déposez cette main là-dessus. Voyez-vous comment c’est lisse et blanc, voyez maintenant, tout aussi lisse et blanc que possible.
Maintenant, je place ma main dessus. Maintenant, observez quand je place cette main ici dessus. Maintenant, placez cette main ici même, madame, dessus. Maintenant, regardez là. Regardez ici, voyez-vous ces grosses taches blanches qui parcourent là? C’est la vie de ce cancer-là. Maintenant, cela a pris peur: cela sait que ça doit quitter si seulement la foi croit.
Maintenant, regardez madame, maintenant le... Regardez celle là. Voyez-vous comment ça s’est déteint? C’est un trouble gynécologique aussi, ça se heurtait aussi là. Vous saviez cela. Oui, oui. Oui. Oh! la la! Dites donc, vous avez connu des ennuis, n’est-ce pas, madame? Vous avez subi des interventions chirurgicales auparavant à cause des grosseurs aussi, n’est-ce pas? Très bien.
73 Maintenant, j’aimerais que vous, la patiente, vous vous approchiez. Je–j’aimerais placer ma main quelque part ici afin que cela ôte tous les doutes et tout. Maintenant, j’aimerais que vous regardiez ma main, soeur bien-aimée. Maintenant, vous... J’aimerais que vous... ne–ne fermez pas les yeux. Regardez ma main. Je vais demander à l’assistance parce que cette fois-ci la chose doit sortir. Je le peux par la grâce de Dieu: et par ma foi, cela partira. Mais vous êtes vraiment sûre que quelque chose arrive, n’est-ce pas? Ça y est. Cela se fait voir physiquement. La Bible dit: «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.»
Premièrement, comme vous êtes une inconnue et que je vous révèle votre vie, et si... ce qui clochait chez vous. Cela se fait voir ici. Ça fait deux témoins. Si cela reste, tout ce que je peux dire, soeur bien-aimée, c’est que Dieu ait pitié. Vous n’aurez pas à rester longtemps ici. Mais si cela part, vous allez vivre. Eh bien, je–j’aimerais que vous croyiez avec moi, je vais prier et demander à Dieu de bien vouloir vous guérir et faire partir cela. Si cela s’arrête, c’est parti. Si ça ne s’arrête pas, ce n’est pas parti. Maintenant, c’est être sincère avec vous, n’est-ce pas, en tant–en tant qu’une dame, ma soeur.
74 Très bien. Maintenant, assistance, maintenant, rappelez-vous ceci: maintenant, recevez ceci comme un avertissement, gardez vos têtes inclinées jusqu’à ce que vous m’entendiez dire: «Relevez la tête.» Car ceci n’est pas... Eh bien, si j’ordonnais à cela de partir et que ça partait, c’est en ordre. Mais quand il vous faut chasser cela, cela a attaqué.
Maintenant, j’aimerais vous poser une question, prédicateurs. Jésus a dit: «En Mon Nom, ils chasseront des démons.» Est-ce vrai? Ils chasseront. Eh bien, je ne dis pas que je le peux. Mais la femme saura si ça se fait, elle le saura, elle sentira cela et le saura quand cela quittera. Si cela n’arrive pas, la femme ne pourra pas vivre longtemps.
Maintenant, madame, regardez et croyez. Croyez que ce qui vous est dit maintenant vient de l’Esprit de Dieu. Très bien. Inclinez la tête, à l’intérieur et dehors. Maintenant, j’aimerais que vous observiez: soyez-en juge. Maintenant, voyez, c’est vous qui souffrez du cancer. Cela ne peut plus vous déranger. Voyez? Maintenant, je vais essayer de poser ma main quelque part. Maintenant, voyez-vous comment, quelle couleur est-ce? Maintenant, regardez cette main ici. Eh bien, je vais essayer de ne pas du tout bouger la main.
75 Notre Père céleste, ce n’est pas pour faire le malin, Père, que je fais ceci, Tu connais mon coeur. Je fais ceci uniquement, pour cette pauvre femme ici debout, une jeune femme qui a encore beaucoup de vie: mais elle est dans un état critique. Je Te demande d’être miséricordieux envers elle. Accorde, Seigneur, qu’elle soit guérie. Elle veut vivre comme nous tous. Nous voulons tous vivre, et elle fait des efforts. Et maintenant, Dieu bien-aimé, cette pauvre petite créature timide, je sais que peut-être des gens qui souffrent des maladies mineures mèneront une vie ordinaire. Mais nous savons qu’avec ce cancer, elle ne peut pas vivre longtemps sans Ton assistance. Et je Te prie, ô Dieu, d’aider. Et aide ma foi, Seigneur, à croire de tout mon coeur. Et envoie la puissance et l’onction de Ton Ange, qu’Il–Il... le Sang de Christ s’interpose entre moi et cet ennemi.
Et maintenant, Satan appelé cancer, je viens dans ce duel de la foi, confessant solennellement la foi en Jésus-Christ, faisant valoir un don divin qui m’a été donné par un Ange de Dieu à l’heure où je suis né dans ce monde, il a été confirmé à travers le monde. Et Tu sais tout à Son sujet. Et cette femme vient ce soir pour être secourue, et je viens dans ce canal de la foi, dans un défi. Je soutiens que Tu ne peux pas retenir davantage cette femme. Sors d’elle. Au Nom de Jésus-Christ, quitte la femme. Toi, démon, sors de la femme.
76 Que tout le monde soit respectueux, il la retient encore. Elle observe ma main. Cela est toujours là, n’est-ce pas, soeur? Avant que j’ouvre mes yeux. Que tout le monde soit respectueux. Soyez en prière.
Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, Tu as promis ceci, Seigneur. Je Te crois. Oh! Exauce ma prière, exauce Ton serviteur, Seigneur. Donne quelque chose à notre soeur: elle cherche à croire, Seigneur. Accorde-le.
Toi démon, au Nom de Jésus-Christ, sors de la femme.
Maintenant, tout le monde: voilà cela partir. Gardez–gardez vos têtes inclinées partout. Voilà cela partir, madame.
Maintenant, avant que j’ouvre les yeux, vous regardez ma main: cela a quitté, n’est-ce pas? Ma main est redevenue normale, est-ce vrai? La dame, la patiente, je vous demande de parler. Oui, d’accord, ouvrez les yeux avant moi, tout le monde. J’aimerais que vous regardiez ma main. Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas, soeur? A votre avis, qu’est-il arrivé? [La soeur dit: «Je suis guérie.»–N.D.E.] Vous êtes guérie, c’est vrai, soeur.
Maintenant, observez-la, assistance. Voyez-vous ma main? Maintenant, enlevez votre main. Placez celle-ci ici. Maintenant, placez celle-ci ici dessus, maintenant, placez celle-ci dessus. Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas, soeur? Vous savez cela en regardant physiquement, n’est-ce pas? Regardez, assistance, la même main, la même position, la même place, partout. Est-ce vrai? Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Vous êtes guérie, soeur. Quittez l’estrade en vous réjouissant et soyez guérie. Maintenant, tout le monde, soyez aussi respectueux que possible.
77 C’est vous la patiente, n’est-ce pas? Très bien, soeur bien-aimée, croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu est ici pour vous rétablir? Vous croyez. Eh bien, que pensez-vous de tout ceci? Croyez-vous que c’est la fo-... la puissance du Dieu Tout-Puissant? Vous... Cela ne peut être rien d’autre. Eh bien, vous souffrez des nerfs depuis longtemps. Vous n’êtes pas bien portante depuis longtemps. Autre chose, vous avez... Oh! Oui, vous avez un mal de dos, n’est-ce pas, madame? Je pense qu’il y a quelque chose qui cloche dans l’un des disques de votre dos. N’est-ce pas vrai? Est-ce vrai? Venez ici. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu?
Notre Père céleste, je réclame la guérison de ma soeur ce soir, alors que je lui impose les mains au Nom de Jésus-Christ. Que ce démon la lâche. Sors d’elle.
Maintenant, inclinez-vous. Très bien. La voici, sa colonne vertébrale était désarticulée, c’est rétabli. Que Dieu vous bénisse, soeur, vous êtes guérie. Quittez l’estrade en vous réjouissant. Disons: «Gloire au seigneur!»
78 Me croyez-vous, soeur? Que Dieu vous bénisse. Je n’oublierai jamais: je pense que vous êtes la première dame de couleur qui est montée à l’estrade depuis que je suis dans cette série de réunions. Je n’oublie jamais une chose qui est arrivée une fois à Jonesboro, dans l’Arkansas. Une jeune fille de couleur passait au milieu de la foule en criant, une aveugle. Et j’ai prié pour elle derrière le bâtiment. Beaucoup parmi vous ont entendu le témoignage, n’est-ce pas? Une pauvre créature, personne ne lui accordait de l’attention.
Et elle s’avançait. Je me tenais là dehors, cherchant à entrer, environ vingt-huit mille personnes couvraient le lieu, et je cherchais à entrer dans le bâtiment. Une dame avait été guérie du cancer: on disait qu’elle était morte. Je ne sais pas: je pense qu’elle était dans le coma.
79 Mais je me rappelle quand elle s’est cognée à moi, elle a dit: «Excusez-moi.»
J’ai dit: «Que voulez-vous?»
Elle a dit: «J’ai perdu mon père.» Elle a dit: «Je n’arrive pas à le retrouver et je suis aveugle, monsieur.»
Et j’ai dit: «D’où venez-vous?»
Elle a dit: «De Memphis.»
Et j’ai dit... J’ai regardé là et j’ai vu tout un tas de bus affrétés, j’étais à Jonesboro. J’ai regardé et j’ai vu des bus affrétés parqués là: j’ai vu l’un d’eux, il y était mentionné: Memphis. J’ai dit: «Que faites-vous ici?»
Elle a dit: «Je suis venue voir le guérisseur.»
Et j’ai dit: «Le quoi?»
Elle a dit: «Le guérisseur.»
Il n’y avait personne là, huit jours, c’est là que j’étais resté à l’estrade quatre jours et quatre nuits sans même quitter l’estrade, en train de prier pour les malades. Je dormais à l’estrade, je mangeais à l’estrade, ce que je mange. Et j’ai dit: «Croyez-vous que c’est vrai?»
Elle a dit: «Oui, monsieur.»
Et j’ai dit: «Eh bien, avec tous les bons médecins que nous avons...»
Elle a dit: «Monsieur, quand j’étais une petite fille, j’ai vu des cataractes me venir aux yeux. Le médecin m’a dit que quand cela mûrirait (Je ne sais pas ce qu’elle voulait dire par là), on les enlèverait.» Et elle a dit: «Or, ils se sont enroulés autour de mes nerfs optiques. Si on les enlevait, on m’arracherait les yeux.» Et elle a dit: «J’ai suivi ce matin à la radio qu’un homme venu d’ici à Kennett, aveugle pendant douze ans, a recouvré la vue.» C’est ce qui était arrivé ce matin-là. Elle a dit: «Je suis venue voir si je peux voir cet homme.» Elle a dit: «On me dit que je ne peux même pas m’approcher du bâtiment.» Elle a dit: «J’ai perdu mon père et je–je suis aveugle, personne ne veut m’aider à regagner le bus.»
Et j’ai dit: «Croyez-vous ce qu’il en est de cet Ange-là?
Elle a dit: «Oui, monsieur.» Et elle a dit...
J’ai dit: «Croyez-vous que si cet homme-là priait pour vous, vous seriez guérie?»
Elle a dit: «Je vais vous dire ce que vous avez à faire. Si vous me tenez par la main et que vous me conduisiez là où il est, je serai en mesure de trouver mon père après.» C’était trop pour moi. J’ai dit: «Croyez-vous que c’est vrai?»
Elle a dit: «Oui, monsieur.»
J’ai dit: «Peut-être que c’est moi que vous êtes censée voir.» Et elle m’a saisi: elle a dit: «Est-ce vous le guérisseur?»
J’ai dit: «Non, mam’selle, c’est moi frère Branham.» J’ai dit: «C’est Jésus qui est le Guérisseur.»
Elle a dit: «Frère Branham, ne me laissez pas.» Une pauvre jeune fille aveugle là debout...
Et j’ai dit: «Assurément, je ne le ferais pas, soeur. Je suis sûr que Dieu ne le fera pas.»
Et je n’oublierai jamais, je l’ai tenue par la main et j’ai dit: «Seigneur Jésus, il y a quelques mille neuf cents ans, une vieille croix rugueuse était tirée dans les rues de Jérusalem, et cela effaçait les empreintes des pas de Celui qui la portait, Son pauvre petit corps frêle, mince, tombait sous le fardeau...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
80 ... Nom de Jésus-Christ, recevez votre guérison, mère. Quittez l’estrade et soyez guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse, allez en vous réjouissant et soyez heureuse. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
... diabète. Allez et soyez guéri, mon frère, au Nom du Seigneur Jésus-Christ...?...
Très bien. Faites venir la dame ici. Très bien, soeur, oui, croyez-vous? Très bien. Gardez cette tumeur après qu’elle vous aura quittée, envoyez-la-moi. Que Dieu vous bénisse, soeur. Amen.
Disons: «Gloire au Seigneur!»
Venez, soeur: croyez-vous? N’aimeriez-vous pas être débarrassée de cet asthme-là? Mettez-vous à respirer au Nom du Seigneur Jésus et recevez votre guérison? Disons: «Gloire au Seigneur!»
Venez, madame: croyez-vous, soeur? Vous aimeriez guérir de cette maladie du coeur, n’est-ce pas? Allez recevoir votre guérison au Nom du Seigneur.
Disons: «Gloire au Seigneur!», tout le monde. Croyez-vous?
Bonsoir, soeur. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous aimeriez être débarrassée de ce cancer, n’est-ce pas? Allez et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus et soyez bien portante.
81 C’est ça, amis. Croyez. Que pensez-vous, vous assise là-bas, soeur: croyez-vous de tout votre coeur? Vous aimeriez être débarrassée de ce mal de dos, n’est-ce pas? Quittez l’estrade par l’autre côté: vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse.
C’est ainsi qu’il vous faut croire cela. Maintenant, vous le faites: maintenant, vous venez comme il faut. Très bien.
Très bien, venez, madame. Qu’en pensez-vous? Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Votre affection rénale vous a quittée, soeur, pendant que vous traversiez l’estrade. Disons: «Gloire au Seigneur!»
Maintenant, vous croyez. Juste un instant. Quand je me suis retourné, cette dame a été guérie, celle avec ce... Oui, cette dame grisonnante, assise ici, juste là derrière, en robe à pois verts. Vous souffriez aussi de dos, n’est-ce pas, soeur? Très bien, vous êtes guérie maintenant. Vous pouvez aller et être bien portante. Que Dieu vous bénisse, soeur.
Disons: «Gloire au Seigneur!»
82 Faites venir la dame. Très bien, soeur: qu’en pensez-vous? Croyez-vous? Placez votre mouchoir dans l’autre main, placez votre main sur la mienne. Qu’est-ce que cela vous semble? Un spectacle étrange là, n’est-ce pas? C’est le cancer. Venez ici juste un instant. Vous savez, quand l’Ange du Seigneur m’a rencontré, c’était la première chose qu’Il avait mentionnée: «Même le cancer ne résistera pas à la prière.» Croyez-vous cela? J’aimerais que vous répétiez cela et que vous observiez ma main. Répétez cela tel que je le dis, du fond de votre coeur.
Seigneur Jésus... Maintenant, j’aimerais que vous observiez, voyez-vous cela bouger sur ma main? Seigneur Jésus [La dame répète après frère Branham.–N.D.E.] Je crois en Toi. Je T’accepte comme mon Guérisseur. Je crois que c’était un Etre surnaturel qui a dit ces choses à frère Branham. Je crois que Sa Présence est ici maintenant. J’accepte ma guérison.
Maintenant, qu’est-il arrivé? Quelque chose a changé là, n’est-ce pas? Les vibrations se sont arrêtées, n’est-ce pas? Votre foi vous a guérie, soeur, votre cancer est mort et parti. Que Dieu vous bénisse.
83 Oh! la la! Pauvre petit enfant. Portez-le: amenez-le ici. Un petit garçon, avec l’armature orthopédique à sa jambe. Viens ici, chéri. Tu aimes Jésus, chéri? Tout le monde, inclinez la tête juste un instant, un petit garçon estropié.
Notre père céleste, nous Te remercions pour la simplicité d’enfant. Nous Te remercions pour ce petit enfant chéri. Et je Te prie, Dieu bien-aimé, de guérir cette petite créature ce soir. Cet ennemi horrible a frappé ce petit garçon dans sa jeunesse. Mais je serre son petit corps contre le mien et je Te demande au Nom du Seigneur Jésus-Christ de le guérir. Que ceci le quitte. Sors de lui, toi démon, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Très bien, petit garçon. Est-ce vous la maman de l’enfant? Très bien, amenez l’enfant là en bas, et ôtez-lui l’armature orthopédique, ramenez-le sur... à l’estrade ici en train de marcher sans cela. Dieu a guéri l’enfant.
84 Très bien, venez, madame. Croyez-vous? M’acceptez-vous en tant que serviteur de Dieu? (...?... Est-ce vrai...?... Est-ce vrai...?... Comment ai-je su... Est-ce vrai? Vous allez vous rétablir maintenant. C’était un abcès qui était à la base de cela, de cet écoulement, voyez.) Rien d’anormal, c’est juste quelque chose qui ne pouvait pas être dit devant cette assistance, que seul le Dieu Tout-Puissant sait. Qu’en est-il de cela, soeur? Est-ce vrai? Il n’y a que Dieu seul qui était là, quand cela était arrivé, c’est vrai. La dame et Dieu seul. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Rentrez chez vous, car Jésus vous a guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Etes-vous un croyant? De tout votre coeur? De toute votre pensée? De toute votre âme? Oh! Il est si merveilleux. Il est ici pour guérir chacun de vous. Ne croyez-vous pas cela? Bébé, ça va, amenez-le à l’estra-... Voici venir le petit garçon, son armature orthopédique enlevée. Disons: «Gloire au Seigneur!» Tout... Voilà l’enfant victime de la polio, il avait un pied recroquevillé, son pied le chatouille pour courir. Disons: «Gloire au Seigneur!» Que Dieu vous bénisse, frère.
85 Croyez-vous? Qu’en pensez-vous? Jésus est ici. Qu’en pensez-vous, frère? Amen. Qu’en pensez-vous, monsieur en chemise blanche, assis là? Vous aimeriez guérir de cette hernie, n’est-ce pas? Amen. Très bien, levez-vous debout et recevez cela, au Nom du Seigneur Jésus.
Qu’en est-il de votre femme assise là souffrant de cette tumeur? Vous aimeriez aussi en guérir, n’est-ce pas, madame? Levez-vous et recevez cela au Nom du Seigneur Jésus. Alléluia!
Il y a... Qu’en est-il de la jeune dame assisse là souffrant d’épilepsie? Voulez-vous en guérir, madame? Si oui, levez-vous, et recevez cela au Nom du Seigneur Jésus. Alléluia!
Juste un instant, soyez bien respectueux, juste un instant. Oh! Si seulement vous saviez. Où sont les ministres de Dieu qui croient dans la guérison divine? Venez ici, ministres, venez ici devant moi juste dans une minute, ministres de l’Evangile qui croient dans la guérison divine. Je vais vous montrer la gloire du Seigneur. Alignez-vous ici devant moi, juste un instant.
86 Un jour, cela a eu lieu, c’était si glorieux que notre Maître ne pouvait pas toucher les gens. Il a envoyé soixante-dix autres. Mes frères, croyez-vous dans ceci de tout votre coeur? Combien ici présents sont malades et nécessiteux? Eparpillez-vous de ce côté-ci, frères, éloignez-vous d’ici, formez une longue ligne. Vous les ministres qui vous tenez juste dans ce sens maintenant, tournez-vous dans cette direction. Vous dans cette ligne-ci, tournez-vous de ce côté. Et vous dans cette ligne-là, tournez de ce côté-ci. Vous dans cette ligne ici, tournez de ce côté-là.
Combien croient que la gloire de Dieu est sur le point de descendre sur cette salle et qu’il n’y aura pas un seul faible parmi nous? Je crois qu’Il est ici. Mes frères, au Nom du Seigneur Jésus, je vous demande de représenter mes mains et les mains de Dieu ce soir, et je vais me tenir à ce microphone, incliner ma tête en prière pendant que vous vous mettez à imposer les mains à ces gens. Et je crois qu’il n’y aura personne de faible au milieu de nous quand vous aurez terminé d’imposer les mains aux malades.
87 Et j’aimerais que chaque personne malade ici présente, qui est malade et qui aimerait être guérie, se tienne debout maintenant même, vous qui le pouvez. Tournez-vous de ce côté-ci, ministres, ne manquez pas de toucher tout le monde. Très bien. Vous les malades, imposez-vous les mains les uns aux autres. Tournez-vous de ce côté-ci, ministres, vers l’assistance. Etes-vous maintenant prêts à recevoir votre guérison? C’est bien, la dame est déjà guérie, pendant qu’elle se tient là. Il y en a un autre qui est guéri pendant qu’il se tient là même. Que Dieu vous bénisse, oui, frère. Vous y êtes: vous en avez fini avec ça. Jetez cela de... C’est bien. Il y a quelqu’un qui est guéri de l’asthme pendant qu’il se tient là même. Cette dame, Il a guéri son cancer pendant qu’elle se tient là même. Tenez, cette dame qui est debout là même avec...?... est guérie. Cet homme-là, de ses yeux. Dieu vous a guéri, mon frère. Là.
88 Ministres, avancez au Nom du Seigneur, imposez-leur les mains.
Dieu Tout-Puissant, nous venons à Toi en ce moment crucial, croyant que Tu es ici. Seigneur Dieu, nous Te représentons maintenant par l’imposition des mains aux malades.
Satan, tu as perdu la bataille. Toi démon, je t’adjure de sortir de ces gens au Nom de Jésus-Christ, quitte chacun d’eux.
Je demande, au Nom de Jésus-Christ, que les boiteux se mettent debout.
Voici les boiteux sortir des fauteuils roulants, un boiteux se lève. Les gens sont guéris. Acceptez cela maintenant même. Levez les mains et rendez gloire à Dieu. Il y a une femme estropiée, une autre femme estropiée, un homme estropié. La puissance de Dieu est ici. Allez de l’avant, au Nom du Seigneur...?...