Le Second Miracle

Date: 51-0729E | La durée est de: 1 heure et 56 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci beaucoup. Bonsoir, mes amis. Je suis content d’être encore de retour ici ce soir. Je regrette seulement que ça soit la dernière soirée de cette série de réunions. Je ne sais pas si ça sera ma dernière soirée dans cette contrée ou pas: en effet, il est possible que je revienne si vous tous, vous me l’accordez et que le Seigneur le permette, et que j’aie l’occasion de revenir encore. [L’assistance applaudit.–N.D.E.] Merci. Merci beaucoup. Je suis deux fois le bienvenu avec ça. Et si le Seigneur l’accorde, la prochaine fois, ça ne sera peut-être pas juste quelques soirées comme cette fois-ci. C’est vraiment une honte, on dirait. Or, nous atteignons maintenant même le point où les gens commencent à être guéris (Voyez-vous?), ça monte simplement.

            Les huissiers me parlaient tout à l’heure de ce qui s’est passé hier soir: je n’ai pas de force. Je regrette de ne pas donc pouvoir rester plus longtemps que je le fais, car je n’ai pratiquement plus de force. Oh! la la! Si seulement vous saviez combien j’étais faible. Parfois, j’essaie de mettre un... de renvoyer mes épaules en arrière quand... Oh! la la! Si seulement vous saviez ce qui était derrière cela. Mais j’essaie de tout mon mieux de faire tout mon possible. Je suis vraiment faible ce soir.

2          Hier soir, je cherchais à parler de la dame qui était assise ici même, celle qui était dans un fauteuil roulant. Je l’ai vue aller en marchant. Et je cherchais à lui parler, mais je n’arrivais simplement pas à faire sortir assez de souffle pour le dire. Et puis, quand j’étais dehors, les huissiers, je leur ai dit: «Rentrez dire à la dame, avec les appareils orthopédiques, de marcher, car Christ l’a guérie.» Ils m’ont dit, il y a quelques minutes, qu’elle avait simplement enlevé ses appareils orthopédiques et qu’elle avait marché, qu’elle était bien portante. C’était donc magnifique.

            Et cet après-midi, la dame qui était ici, l’Esprit du Seigneur est descendu et l’a désignée; c’est la première fois qu’elle est entrée en marchant depuis je ne sais combien de temps, elle était assise dans un fauteuil roulant. Maintenant, elle marche. Oh! Comme le Seigneur a accordé ces choses! Et de grands témoignages se répandent.

3          Ce soir, j’ai rencontré une dame pendant que nous prenions notre dîner dans un restaurant, qui avait assisté à une série de réunions à Windsor, en Ontario. Je pense qu’elle allait parler. A-t-elle parlé ce soir? Une dame qui était juste... le cancer l’avait complètement rongée à l’intérieur, et les médecins ne lui accordaient que peu de temps. Et, oh! comme le Seigneur est descendu et lui a dit: «Tu vas vivre.» Voyez? Peu importe ce que les–ce que les autres pensent, elle a dit: «Cela passe en premier.»

            Eh bien, et si elle n’avait pas cru cela? Et quand elle a eu... Ça avait disparu quelques jours après, son état était devenu un peu pire qu’avant. Si elle s’était dit: «Eh bien, cet homme-là m’a simplement dit quelque chose de faux», eh bien alors, elle serait allée de l’avant et elle serait morte. Mais elle a cru que ce qui avait été dit était la vérité, et Dieu l’a récompensée.

4          Comme je vous le disais auparavant, souvent, le temps et la vue sont les pires ennemis que Dieu a, le temps et la vue. Vous regardez, et aucun d’eux ne déclare rien au sujet de Dieu. Vous voulez que cela se passe instantanément, alors que Dieu prend Son temps sur des choses. Et croyons simplement tout ce qui est dit.

            Je ne sais pas: il y a de cela quelques semaines, l’un des témoignages les plus remarquables est arrivé. Je me posais des questions sur cette série de réunions-là, eh bien, il n’y avait pas tant... trop de guérisons instantanées qui s’étaient opérées. Eh bien, je ne savais pas. J’ai fini par découvrir que... Et pendant que j’étais ici, une femme m’a appelé, il n’y a pas longtemps, pendant que j’étais ici et m’en a parlé. Plusieurs jours après la réunion, une–une dame qui souffrait de l’estomac, et cela était si grave qu’elle n’arrivait guère... qu’elle n’arrivait simplement pas à manger quoi que ce soit, sinon prendre une boisson à base de l’orge et tout, des ulcères très graves. Et elle a dit que je lui avais dit qu’elle guérirait.

5          Et elle a dit: «Frère, cela a continué quelques semaines, trois ou quatre semaines, et rien ne s’était toujours produit.» Et elle a simplement continué à croire. Elle n’a pas abandonné. Alors, un matin, elle cherchait à prendre de la tartine grillée. Et, oh! elle a dit, oh! que son estomac lui brûlait tellement qu’elle n’arrivait guère à supporter cela. Et elle a dit qu’elle pleurait à la fenêtre en faisant la vaisselle, elle pleurait. Et elle a dit que pendant qu’elle pleurait, une sensation très froide l’a envahie. Elle a dit, elle a dit, eh bien, que quelque chose... Et elle a essayé de faire la vaisselle: elle était devenue très nerveuse, et elle s’est retournée, et elle a dit que son estomac était tout calme. Elle a pris de l’avoine que l’un des enfants avait laissé là. Et cela ne l’a pas dérangée. Elle a bu une tasse de café, chose qu’elle n’était pas à mesure de faire depuis longtemps. Ça ne l’a pas dérangée. Elle était si heureuse qu’elle a couru dans la rue, sur une bonne distance, chez sa voisine, pour l’annoncer à sa voisine qui avait été à la réunion. Et il avait été aussi dit à la voisine qu’elle allait guérir. Elle allait dire à sa voisine de ne pas se décourager, car cela devait arriver. La voisine avait une grosse tumeur au cou.

            Et elle a trouvé sa voisine par terre, criant à tue-tête. La grosseur venait de disparaître de son cou quelques minutes avant cela. Et savez-vous ce qui s’était passé? Ce–c’était l’Ange du Seigneur qui passait dans ce quartier-là à cause de ces choses qui... qu’Il avait prononcées. Si c’est Lui qui prononce cela, c’est Son devoir, pas le mien ni le vôtre. Voyez? Votre devoir, c’est de continuer à croire. Mon devoir, c’est de rester ici et de travailler pour Lui. Votre devoir, c’est de croire ce qu’Il vous dit, et Dieu fera s’accomplir cela.

6          Eh bien, ils ne peuvent pas toujours réagir instantanément. Quand Paul était sur l’océan cette nuit-là, ayant passé quatorze jours et quatorze nuits sans lune ni étoiles, eh bien, il n’y avait plus d’espoir. Est-ce vrai? Il n’y avait plus du tout d’espoir pour ces marins, oh! des hommes recouverts pratiquement de bernacles, ils avaient fait si longtemps sur la mer. Et ils disaient: «Il n’y a donc plus d’espoir de vivre.»

            Et Paul était là dans la cale, et l’Ange du Seigneur est allé auprès de lui. Il est remonté sur le pont en courant et a dit: «Ayez bon courage, ayez bon courage: car l’Ange de Dieu dont je suis le serviteur s’est tenu à mes côtés et Il m’a parlé hier soir.» Voyez? Il a dit: «Paul, il te faut aussi comparaître devant l’empereur et autres, et Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi.» Et il a dit: «Ayez bon courage, car j’ai confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été montré.»

            Et ils se sont servis, ils ont mangé, mangé, ils ont été encouragés parce qu’ils avaient cru. Paul croyait que ce que Dieu lui avait dit était la vérité. Or, il s’est donc écoulé plusieurs jours avant qu’ils connaissent le naufrage ou qu’ils échouent sur l’île. Mais Dieu a fait s’accomplir cela, parce qu’eux avaient cru cela. N’ayez pas peur.

7          Maintenant, j’aimerais que vous m’écoutiez. Les deux dernières soirées, voici ce que je dirai: «Je crois que si je... Que Dieu m’aide à ne pas–ne pas exagérer, mais à être tout aussi honnête que je le crois dans mon coeur. A voir la force qui m’a été soutirée dans cette série de réunions, il y a au moins deux cents personnes assises ici maintenant même qui sont déjà guéries. Vous ne reconnaissez simplement pas cela: vous ne le reconnaissez simplement pas. Il y a des gens ici que je sais être guéris. Exactement qui? C’est parfois juste un conglomérat là: je n’arrive pas à distinguer où c’est. Mais c’est juste...

            Imaginez-vous simplement, vous prenez cinq cents stations qui émettent par une seule radio à la fois. Voyez? C’est difficile. Je lève simplement les mains parfois, je remercie Dieu et je m’en vais. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il–il est vrai que c’est... Croyez-vous cela? Dieu a dit que je vous dis la vérité, et c’est vrai.

8          Et vous verrez beaucoup de ces estropiés qui sont maintenant... qui sont ici maintenant, des gens vraiment estropiés, ils vont se rétablir, tout aussi certainement que le monde existe. Ils vont se rétablir. Et ils–ils vont être bien portants, beaucoup d’entre eux. Il y en a parmi eux, je les vois. Il y en a ici qui souffrent du coeur, ils vont être rétablis. Il y en a d’autres ici qui souffre du cancer, ils seront rétablis. Il y a des gens qui sont passés ici à l’estrade qui ne seront pas rétablis (Et c’est vrai), à moins que Dieu change les choses d’une certaine façon. Car je les ai vus venir ici et j’ai vu la mort elle-même... suspendue sur eux. Et je–je sais qu’ils ne peuvent pas continuer long–longtemps, à moins que Dieu ait quelque chose à faire là-dedans.

            Mais maintenant, leur prière peut changer cela. Je ne dis jamais quoi que ce soit. Une dame est passée l’autre soir. Cette dame-là, je savais que j’étais très faible, et quand elle est passée et qu’elle a levé les yeux, j’ai dit: «Croyez-vous?»

            Elle a dit: «Oui.»

            J’avais juste encore un peu de force: je lui aurais dit: «Vous pensez simplement avoir la foi.»

            La foi est quelque chose que vous... c’est absolu, ce n’est pas juste ce que vous imaginez: c’est–c’est une–c’est une réalité. Beaucoup de gens... Je dis ceci avec l’humble humilité, car je–je pourrais ne jamais être... ne jamais vous revoir vous tous après ce soir. Il y a probablement des gens ici que je ne reverrai plus jamais de ma vie. Mais je dis que quatre-vingts pour cent de gens qui passent à l’estrade ne savent pas ce que c’est la foi. Ils ont une espérance, mais pas la foi. Mais «LE SECOND MIRACLE des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»

9          Regardez ici, jeune homme, vous là debout. Huissier, j’aimerais que vous veniez ici juste une minute. Et tenez-vous juste ici, juste un... Non pas pour vous donner en spectacle au public, devant les gens: j’aimerais simplement faire une illustration. Maintenant, approchez un peu plus. Combien–combien ici présents connaissent le nombre des sens qui dirigent le corps humain, qui contrôlent le corps humain? Faites voir les mains.

            Combien y en a-t-il? [L’assemblée répond: «Cinq.»–N.D.E.]

            Voyez si je les cite correctement: la vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe. Est-ce exact? Eh bien, c’est ce qui contrôle l’être naturel. Maintenant, je vais regarder de ce côté-ci. Eh bien, il y a un jeune homme qui se tient devant moi. Il a des cheveux châtains. Il porte un manteau bleu, avec une chemise blanche et une cravate à rayures bleues et blanches. J’aimerais que vous vous retourniez dans cette direction, jeune homme. Combien croient que c’est la vérité? Comment savez-vous que c’est la vérité? Vous avez un sens, vous possédez...

10        Maintenant, il y a un homme... des gens assis ici qui sont aveugles, qui ne voient pas cela: ils ne le savent pas. Voyez, ils doivent me croire sur parole là-dessus, et vous croire vous sur parole. Mais cet homme se tient là. Mais nous sommes bénis ce soir, nous qui pouvons voir, par les miséricordes de Dieu, que c’est la vérité. Maintenant, le sens de la vue déclare cela.

            Eh bien, combien ont entendu cette expression: «Voir, c’est croire»? Très bien. Cet homme est toujours là debout, et je ne le vois pas. Est-ce que voir, c’est, croire? Non, non. Voulez-vous me contredire, qu’il n’est pas là? Eh bien alors, vous ne pouvez pas le faire. Il est là debout. Et je sais qu’il est là. «Eh bien, direz-vous, non, il a quitté, Frère Branham.»

            Non, il n’a pas quitté: non, non, il est là. Essayez de me contredire là-dessus maintenant. Vous ne le pouvez pas. Et je ne le vois pas: il m’est impossible de le voir maintenant. Est-ce vrai? Mais je sais qu’il est là. Comment, à votre avis, je sais qu’il est là? [L’assistance répond: «Vous le touchez.»–N.D.E.]

            C’est vrai. Donc, voir, ce n’est pas croire, n’est-ce pas? Toucher, c’est croire dans ce cas. Eh bien, c’est le sens de toucher qui déclare qu’il est là. Maintenant, suivez. Maintenant, je ne peux pas du tout le toucher. Ce sens ne fonctionne pas du tout: je ne peux rien toucher. Mais je sais qu’il est là. Pourquoi? Je le vois. Il y a donc deux sens distincts, tout à fait. Est-ce vrai?

11        Par exemple, la musique commence à jouer. Pouvez-vous voir cela? Je pensais que voir, c’était croire. Voir, ce n’est pas croire. Très bien, pouvez-vous toucher cela? Pouvez-vous goûter cela? Pouvez-vous flairer cela? Comment savez-vous que cela jouait? [L’assistance répond: «Vous l’entendez.»–N.D.E.] C’est exact. Donc, voir ce n’est pas croire.

            Eh bien, si ce jeune homme, là debout maintenant, je le vois et je sais qu’il est là grâce aux sens de la vue. Je ne peux pas le toucher, je ne peux, par aucun moyen, établir un contact avec lui. Eh bien, je sais qu’il est là, car le sens du toucher déclare qu’il est là. Et c’est une réalité.

            Maintenant, tout celui qui est doté de ces mêmes sens sait la même chose. (Merci, jeune frère.) Eh bien, la foi, c’est quoi? LE SECOND MIRACLE des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne flaire pas ni qu’on entend. Mais cela est tout aussi réel que pour le sens du toucher ou de la vue. Savez-vous ce que je veux dire? Vous... Combien ici jouissent d’une bonne vue disent que je porte une chemise blanche? Combien croient cela? Croyez-vous que c’est une chemise blanche? Et si je vous disais que c’était rouge, croiriez-vous cela? Absolument pas. Vous diriez que la chemise était blanche.

12        Maintenant, combien croient dans la guérison divine? Combien croient que Christ vous a guéri là dans le passé, il y a mille neuf cents ans quand Il mourut pour vous? Si vous croyez cela, si votre foi déclare cela, que vous êtes guéri maintenant même, tout autant que le sens de la vue déclare que c’est blanc, c’est terminé. Ça y est. Voyez? C’est une réalité. Ce n’est pas juste un mythe: ce n’est pas quelque chose d’imaginaire. C’est–c’est réel, vous le savez. Il n’y a de–de doute nulle part: tout a été simplement anéanti: c’est parti: vous le savez.

            Maintenant, par exemple, le jeune homme qui est assis ici dans le fauteuil. Jeune homme, si vous croyez que votre affliction va vous quitter maintenant, et que vous croyez que Christ va vous rétablir, que votre foi est assez forte pour faire cela tout autant que votre vue qui déclare que c’est blanc, c’est terminé, frère, vous devez vous rétablir. C’est vrai. C’est pareil pour ces autres estropiés assis ici.

13        Maintenant, la plupart de temps, quand les gens sont estropiés... C’est rare que je–j’appelle un estropié avant que je le voie guéri. Car les gens... Dans des réunions, il y a toujours des critiqueurs, ils regardent les estropiés et disent: «Eh bien, tout celui qui jouit de ses facultés sait que cette personne-là est estropiée, pourquoi le lui dire?» Généralement, je cherche à prendre les gens qui paraissent n’avoir rien qui cloche chez eux (Voyez?), ou quelque chose comme cela. Et parfois, je me mets à parcourir une rangée, je continue simplement à descendre une rangée, jusqu’à ce que je trouve un pécheur quelque part, comme cela. Après avoir dépassé un chrétien, un chrétien, un chrétien, dès que j’entre en contact avec un pécheur, ou qui a quelque chose dans sa vie, Cela le dénoncera. Est-ce vrai? Est-ce que cela est vrai? Très bien. Voyez, Cela le dénoncera.

            Parfois, je parcours simplement une rangée jusqu’à ce que je trouve cela. Peut-être je me mets à parcourir une rangée et je n’arrive à trouver personne, ou je commence quelque part ailleurs et je vois si je peux trouver un pécheur quelque part, là où Cela pourra dénoncer cette personne-là. Je ne sais qui ils sont dans cette foule, mais je dois établir un contact avec chaque individu comme cela. Eh bien, cela ne le guérit pas, mais parfois cela édifie la foi au point où il peut être guéri.

14        Maintenant, Dieu a été bon envers vous. Dieu est avec vous. Et j’aimerais que vous croyiez en Lui de tout votre coeur. Et maintenant, rappelez-vous, beaucoup parmi vous vont être guéris. Beaucoup parmi vous vont être rétablis: c’est la vérité. Et maintenant, j’aimerais... Frère Baxter venait de dire il n’y a pas longtemps, alors qu’il me parlait, il a dit: «Frère Branham, toutes nos dettes ont été payées, et on a prélevé une offrande d’amour pour vous.» Eh bien, cela me fait me sentir également petit. Voyez-vous? Je–je ne voulais pas nécessairement que vous le fassiez. Mais comme je vais outre-mer, je dois quitter ma famille pendant quelque temps, et à mon retour, je n’aurai pas de... J’allais reprendre mon travail jusqu’à ce que le Seigneur me dise quoi faire, le travail de patrouilleur, reprendre à parcourir les lignes de haute tension, pour le compte d’un service public, jusqu’à ce que le Seigneur me parle et me dise quoi faire. Et frère Baxter a dit: «Frère Branham, ça serait une pierre d’achoppement pour les gens.»

            Et je–j’aimerais être tranquille, ce que je veux faire, c’est pour moi-même, et prier. En effet, je crois que ceci maintenant est... Dieu par Sa grâce m’a permis d’être le fer de lance du réveil qui a balayé le monde au début. Voyez? Maintenant, je crois qu’il vient quelque chose qui va être une double portion pour l’église. Et je sens cela au fond de mon coeur.

15        Or, dans le passé, le dernier sermon que j’ai apporté dans mon tabernacle, c’était sur David et Goliath. Et j’ai dit, ici, que même mon propre évêque baptiste s’était levé là et avait dit: «Qu’as-tu mangé cette nuit-là?» Il a dit: «Tu as eu un cauchemar.»

            J’ai dit: «Non, non, et je n’apprécie pas cela.» J’ai dit: «Non. C’était la vérité, pour moi c’était réel.»

            Et il a dit: «Avec ton instruction de l’école primaire, tu vas prier pour les rois, de grands hommes, des hommes d’Etat et autres, et ils vont être guéris?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Eh bien, comment trouves-tu cela?» Il a dit: «Tu ferais mieux de retourner à ton tabernacle et d’oublier cela.»

            J’ai dit: «Comment puis-je oublier cela, alors que cela est écrit de façon indélébile avec le Sang de Christ sur mon coeur?» J’ai dit: «Vous allez–vous allez voir.»

            Et il a dit: «J’en aurai des nouvelles.»

            Et vous avez vu The Voice Of Healing [La Voix de la Guérison], ici tout récemment, il a demandé pardon. Et il prie lui-même pour les malades maintenant. Ainsi, ce... Il a dit: «Si je n’avais pas tellement rétrogradé, j’aurais écouté le jeune homme et j’aurais fait attention à ce qu’il disait au sujet des visions.» Vous avez lu ce que le docteur Davis a dit.

16        Très bien. Mais cela... Voyez, quand Dieu dit quelque chose, même si cela traîne, cela doit s’accomplir. Eh bien, je croyais que Dieu allait accomplir cela, et qu’il y avait ce grand jour moderne avec les hommes de science et tout qui étaient là et qui disaient: «Les jours des miracles sont passés», et tout. Mais Dieu a dit: «Vas-y.»

            Maintenant, je... Comme David d’autrefois, il ne pouvait pas tuer tous les Philistins, mais si seulement il pouvait tuer ce vantard-là, Goliath. Et alors, dès que Goliath fut tué, tout Israël prit courage et ils foncèrent. Ils terrassèrent les Philistins jusqu’à leurs portails.

            Eh bien, maintenant, c’est ce qui se passe maintenant. Les prédicateurs ont eu la vision. Et la guérison divine maintenant, même la–l’Eglise presbytérienne à New York, eux tous, ils pratiquent la guérison divine, ils tiennent des services de guérison le mercredi soir. Les collèges adoptent cela, à travers le monde. En Corée, il y a eu un service de guérison il n’y a pas longtemps, en Corée, et des milliers ont été guéris. Là au Japon, partout, en Australie, et de par le monde, des nouvelles affluent, de grandes choses se passent: les livres ont été publiés, les ministres lisent, ils prennent courage et ils sont partis. Et la guérison divine a balayé le monde. Grâces soient rendues à Dieu!

17        «Et quand l’ennemi viendra comme un fleuve, a-t-Il dit, J’élèverai l’étendard contre cela.» Et je crois que l’ennemi est en fuite, Dieu est ici pour élever l’étendard. C’est pourquoi je rentre chez moi, pour le découvrir. Maintenant, Seigneur, j’ai fait de tout mon mieux. Maintenant, que veux-Tu que je fasse après? Et priez pour moi. Allez-vous le faire? Et je–je me souviendrai toujours de vous. Et je vous remercie beaucoup. Et je vais vous l’assurer, amis, que l’argent que vous avez donné ce soir, une partie de votre subsistance, je regrette que nous ayons même à le faire. Je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie.

            Ma femme est assise là, elle en rira probablement quand je le dirai. Et je me rappelle une fois... Je me demande s’il y a un ancien ministre ici, qui était ici depuis deux ou trois jours. Et je me rappelle, j’ai dit à ma femme, j’ai dit... J’étais rentré. Nous avions une dette que nous n’arrivions simplement pas à payer. Alors, j’ai dit: «Chérie, je vais prélever une offrande ce soir.»

            Elle a dit: «J’y vais t’observer.»

            Elle s’est donc trouvé un siège, elle s’est assise là à l’intérieur, et elle m’observait. Et j’ai dit: «Euh, amis, je vais... Hum! Je connais simplement une petite situation difficile, ai-je dit. Hum! Je vais...» Ha! Eh bien, non pas qu’ils ne le feraient pas, ils feraient n’importe quoi pour moi.

18        Mais ça faisait douze ans que j’étais pasteur, je n’avais jamais reçu un sou comme salaire, de ma vie. Voyez? Et je–je–je travaillais pour subvenir à mes besoins. J’étais jeune et capable: pourquoi ne pas travailler? J’ai été placé ici pour faire quelque chose, je prêchais donc l’Evangile la–la nuit et je travaillais la journée. Souvent, je passais directement avec mes habits de patrouille, déchiquetés, j’allais à une maison d’un fermier, je lui parlais du Seigneur: il disait: «Oui, je crois», et il se repentait. Je prenais mes habits, je descendais droit à la rivière–la rivière et je les baptisais tous dans la foi chrétienne, et je ressortais, je longeais la ligne, reprenant la marche.

            J’ai croisé un jour un clochard sur la voie ferrée et je l’ai conduit à Christ. On a marché sur environ un demi-mile [804 m] vers un ancien étang, j’ai enlevé la traînée de crasse, comme cela, il a fallu le maintenir longtemps en bas pour mouiller tous ses habits. Je l’ai relevé. Oui, oui, c’est bien. Il a poursuivi son chemin en se réjouissant. Là... Il était mouillé et moi aussi. Nous... Il a pris un chemin et moi, un autre, nous nous étions serrés la main et nous nous étions étreints avec des habits mouillés, nous sommes rentrés à notre travail.

            Eh bien, le Seigneur est réel, Il n’a pas à être tiré à quatre épingles pour faire quoi que ce soit. C’est l’intérieur, ce qui doit être habillé pour faire quelque chose.

19        Puis, je me rappelle cette nuit-là, c’est à peine que nous arrivions à joindre les deux bouts. Alors, je... nous sommes allés pour prélever une offrande. Et j’ai dit: «Amis, je–je–je déteste vous demander, mais, ai-je dit, si vous avez une pièce de cinq cents ou de dix cents...» J’ai dit: «J’ai une petite dette, et je n’arrive simplement pas à y faire face, on me fait pression.» J’ai dit: «J’aimerais prélever une petite offrande. Et–et, ai-je dit, Frère Wiseheart...» (Que son âme soit bénie, il est dans la Gloire aujourd’hui, un homme avancé en âge.) J’ai dit: «Allez prendre mon chapeau.»

            Il est allé là prendre mon chapeau. Et tout le monde... Une pauvre petite vieille femme assise là en bas, madame Webber, elle a enfoncé sa main dans son petit tablier à carreaux. Vous savez comment les femmes avaient l’habitude de mettre ce porte-monnaie à l’intérieur du tablier. Elle a fait sortir ce long petit porte-monnaie, avec ces petits boutons pression là au-dessus. C’était au temps de crise, quand les choses étaient très difficiles. Elle s’est mise à faire sortir ces pièces de cinq cents. Chaque fois que je la voyais plonger la main là-dedans, je sentais simplement mon coeur s’élancer comme cela. Je ne pouvais pas recevoir l’argent de cette pauvre créature. Je l’ai regardée. J’ai dit: «Oh! Je vous taquinais simplement vous tous, pour voir ce que vous feriez.» J’ai dit: «Je ne voulais pas dire cela.» Ma femme m’a regardé. Ah!

20        Un vieux prédicateur passait son temps ici dans la rue, je l’ai rencontré l’autre jour là dans la rue, il sautait aussi haut qu’il le pouvait en chantant L’Ancien Evangile. Son nom est John Ryan. Il a de longs cheveux et une longue barbe, il a passé quelques jours ici. Il–il était... Il roulait une vieille bicyclette là-bas. Alors, il me l’a donnée. J’ai peint cette vieille bicyclette-là, et je l’ai vendue à cinq dollars et j’ai payé la dette. Je n’ai plus eu besoin de prélever l’offrande, et nous avons joint les deux bouts. C’était donc très bon. Dieu connaît tout au sujet des choses, n’est-ce pas? Mais si je dois me tenir ce soir au Jugement, c’est l’unique chose...

            Il y a trois choses auxquelles j’ai veillé dans ma vie, en lisant sur les autres prédicateurs. Quand Dieu bénit un prédicateur juste un tout petit peu dans le... Eh bien, nous sommes tous amis, n’est-ce pas? Quand Il le bénit juste un tout petit peu au-dessus peut-être de quelqu’un d’autre, ou–ou lui donne l’occasion de faire un peu plus de travail pour Lui, ou quelque chose comme cela, la chose suivante que Satan se met à faire avec ce prédicateur-là, ce sont trois choses, des choses principales. La première, c’est l’argent, puis les femmes et la popularité. Il le travaillera avec l’argent, ou s’il peut l’amener... comme son premier appât, c’est comme dans le jardin d’Eden. Eh bien, ou s’il peut l’amener à penser qu’il est quelque chose alors qu’il n’est rien, il l’a eu là même.

21        Eh bien, amis, devant Dieu, franchement, devant Dieu, moi, j’ai évité l’argent. Un homme dont la femme avait été guérie comme cela, une petite, je pense que c’était une petite Allemande qui a témoigné ici il y a quelque temps au sujet de son sein qui était rongé par le cancer. Cette même chose était arrivée en Californie à un homme qui était actionnaire dans Mission Bell Winery. Et quand je baptisais ce groupe-là, pendant que nous nous tenions là, j’ai traîné environ un jour là à cause de ce cancer-là. Le docteur Palvetus a dit: «Révérend, cette femme-là se meurt.»

            J’ai dit: «Monsieur, voudriez-vous sortir de la chambre juste un petit moment?»

            Je l’ai fait sortir de la chambre. Les bien-aimés se tenaient là. J’ai continué à prier: ce cancer-là me résistait, ça résistait. Et j’ai continué, au point que je–je ne mangeais pas. On voulait j’aille dîner, je ne voulais pas manger. Et je suis simplement resté là, dans cette belle grande maison. Et peu après, j’ai chassé ce cancer-là: j’ai dit: «Au Nom de Jésus-Christ, sors de la femme.»

             Et ce rideau-là, j’espère que ceci ne vous achoppe pas, mais ce rideau-là suspendu au bout, pendant que je me tenais là, devant environ une douzaine de personnes, il a commencé à s’enrouler directement autour du bâton comme cela, faisant: Frwit. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Il est retombé et cette femme s’est mise sur ses pieds. Le cancer était parti.

            Trois jours plus tard, elle faisait ses achats en ville. Je l’ai baptisée dans une rigole là-bas. Et cet homme-là a vendu sa part, il m’a envoyé un chèque de plus d’un million. C’est vrai. Et je l’ai refusé.

            Les gens me l’avaient apporté. J’ai dit: «Ne–ne me le remettez pas: ne me le remettez pas.»

22        Au Texas, là à Dallas, un riche pétrolier avait fait voyager sa–sa mère par avion là-bas. Elle était dans un fauteuil roulant. Elle a fait là deux ou trois jours, je prêchais. J’ai dit: «Je vois une femme avancée en âge qui vient dans un fauteuil roulant, elle est grisonnante, elle tremblote.» J’ai dit: «Je la vois se lever et partir.» J’ai dit: «Où est-elle?» Elle était assise là. J’ai dit: «Femme, Jésus-Christ vous a guérie, levez-vous.» Elle a parcouru la salle en courant. Elle était restée clouée là depuis environ huit ans.

            Il ne pouvait pas m’atteindre. Le lendemain soir, il a reçu une carte de prière, il s’est fait passer pour un malade et il est entré dans la ligne. Aussitôt qu’il est arrivé là, il a dit: «Frère Branham, je voulais seulement m’approcher de vous, vous entourer de mes bras.»

            J’ai dit: «Qu’y a-t-il, monsieur?»

            Il a dit: «Voici un chèque, un petit chèque que j’aimerais vous remettre.»

            J’ai regardé là: Vingt-huit mille dollars. J’ai dit: «Oh! Non, non.»

            Il a dit: «Tenez, a-t-il dit, ce n’est pas parce que vous avez offert la prière pour ma mère, ce n’est pas cela, a-t-il dit: je–je le mérite.» Je vois... Il a dit...

            J’ai dit... J’ai pris ce chèque-là et je l’ai déchiré, j’ai dit: «Absolument pas, frère, absolument pas. Je... Dieu ne m’a jamais envoyé prendre l’argent. Il m’a envoyé prêcher l’Evangile.»

            J’ai une petite femme potelée là derrière, c’est la plus douce femme du monde. C’est tout. Je l’aime de tout mon coeur. Il n’y a personne d’autre au monde en dehors d’elle pour moi. Je l’aime avec tout ce qui est en moi, qui peut aimer une femme. C’est ma femme, la mère de mes enfants, là derrière. S’il me faut la quitter pendant dix ans, je l’aimerai toujours comme le jour où je l’avais épousée.

23        Et puis, amis, la popularité. Je sais que ceci n’est qu’un pécheur sauvé par la grâce. Et Dieu peut me retirer Sa miséricorde n’importe quand qu’Il le désire. Et je sais que je suis 1,82 m de poussière de terre, je retournerai là un jour, et c’est tout ce que je suis. Et c’est... J’évite les hommages des hommes, je cherche à me tenir des fois loin des gens, quand ils se mettent à dire: «Frère Branham, ceci et tout cela...» Je cherche à me tenir loin de cela. Et priez que je puisse toujours garder cela dans mon coeur, que Dieu puisse m’utiliser, pour m’aider à porter Son Evangile aux autres. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse.

24        Maintenant, rapidement pour terminer un petit témoignage et puis, je dois partir. Premièrement, j’aimerais que vous me promettiez de prier pour moi en mon absence. Et à mon retour, je prierai. Et j’espère et je fais confiance à Dieu qu’un glorieux jour, je pourrai donc revenir à Erie et tenir une série de glorieuses réunions. Et si beaucoup parmi vous passent de vie à trépas avant ce temps-là, et que vous vous retrouviez de l’autre côté, rappelez-moi au souvenir de mes amis qui sont là-bas et dites-leur que je fais de mon mieux. Et quand vous rencontrerez mes bien-aimés, mon bébé, mon papa et les autres là-bas, dites-leur que je fais de mon mieux, au mieux de ma connaissance pour glorifier Jésus-Christ, travaillant jour et nuit pour Sa gloire. Et un jour, je m’attends à retourner à la Maison. Et que Dieu vous bénisse tous, qu’Il vous accorde une bonne santé et de la force jusqu’à ce que nous nous rencontrions: c’est ma prière.

            Maintenant, pour un témoignage, je suis très ravi aujourd’hui de rencontrer un petit ami qui vient de Finlande, un prédicateur qui était dans des réunions avec moi. Et hier soir, je racontais la résurrection d’un petit garçon qui était mort, vous rappelez-vous cela? Et la jeune fille? Eh bien, cet homme les connaît. Je l’ai rencontré aujourd’hui, il était bien avec moi en Finlande. Je vais terminer le témoignage, ensuite, j’aimerais que cet homme vienne confirmer ce que j’ai dit. C’est loin là outre-mer, des milliers et des milliers.

25        Mais juste avant cela, je me souviens de quelque chose. Frère Baxter a dit qu’il y a un paquet plein de lettres déposé ici, des mouchoirs. Eh bien, je–j’aurais voulu qu’il n’en soit pas ainsi. J’aurais voulu que vous m’écriviez personnellement et que je puisse prendre chaque mouchoir et prier dessus. Eh bien, c’est en ordre. Je peux prier dessus en masse, mais j’aurais voulu prier individuellement sur chaque mou-... Combien croient dans cela? C’est la Bible.

            Eh bien, écrivez-moi simplement: Jeffersonville, Indiana. Et chaque fois que je peux faire quoi que ce soit pour vous, je serai content de le faire.

            Et nous en expédions des milliers, la femme de mon secrétaire, qui aide pour les courriers, est assise ici quelque part, madame Cox. Et on m’apporte des centaines de mètres de rubans. Je prends ce ruban-là, je prie dessus. Eh bien, à vrai dire, le secrétaire et les autres apprêtent parfois le formulaire et tout à expédier. Mais chaque mouchoir et chaque morceau de ruban que vous recevez, c’est moi qui ai prié dessus. Voyez? C’est exact. Je sais que si c’était mon enfant qui était malade, ou ma mère, ou qui que ce soit, je–j’aurais voulu–j’aurais voulu que ça se fasse comme la Bible dit que ça doit se faire.

26        Eh bien, beaucoup parmi vous les oignent, les mouchoirs. C’est en ordre. Tout ce que Dieu bénit, je le soutiens. Mais veuillez me rendre témoignage, Actes 19, Paul n’avait pas oint les mouchoirs, on prenait les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de Paul. Voyez-vous? Et alors, nous les envoyons et vous pouvez bien les recevoir. Si vous n’en avez pas besoin, envoyez, recevez-le et gardez-le dans la Bible, dans Actes 19. Si un enfant attrape une espèce de diphtérie, ou quelque chose comme cela, ou que quelque chose arrive, déposez ce ruban-là sur lui et voyez ce qui arrive. Soyez sincère. C’est un signe de la foi.

            Mais maintenant, comme ces mouchoirs sont ici, j’aimerais offrir une prière pour ça. Veuillons incliner la tête juste un instant.

27        Bien-Aimé Père céleste, voici plusieurs centaines de lettres déposées ici, un gros paquet, et beaucoup d’entre elles seront expédiées aux nécessiteux et aux mourants. Nous sommes assemblés ici au Nom de Ton Fils Jésus. Et nous savons que Tu es avec nous. Et Tu nous as promis que tout ce que nous demanderions, nous le recevrions. Maintenant, je n’ai pas eu l’occasion de les lire, mais Tu as vu ces gens quand ils écrivaient ces lettres. Tu as vu chaque mouchoir qui a été déposé ici. Et je Te demande, Dieu bien-aimé, aussitôt qu’ils retourneront à leur place respective, que les démons sortent, que la maladie quitte. Peut-être que là au fond, dans une petite pièce sombre où une mère et un papa sont assis, très malades, attendent le retour de l’un de ces mouchoirs. Peut-être qu’un petit enfant est étendu avec une fièvre, sur le point de passer de l’autre côté: il attend le retour du mouchoir. Ô Dieu, sois miséricordieux.

            Il est écrit qu’une fois, quand Tu as fait sortir Israël de l’Egypte et qu’ils avaient buté droit contre une montagne, la mer Rouge les bloquait, ils ne pouvaient pas aller de l’autre côté. L’un des écrivains dit que Dieu regarda en bas au travers de la Colonne de Feu, Il regarda cette mer Rouge qui coinçait Son peuple, l’empêchant d’aller à la Terre promise, Il la regarda en bas avec colère, et la mer Rouge eut peur, elle recula et laissa traverser Israël, dans le pays.

            Et Père, Satan, comme la mer Rouge, a coincé beaucoup de Ton peuple: ils sont étendus liés, affligés et malades. Et quand ces mouchoirs les atteindront, ce signe de la grâce de Dieu, que le même Dieu regarde au travers de cette même Colonne de Feu, que cette maladie ait peur, qu’elle recule, et qu’eux traversent vers la promesse de la bonne santé et de soixante-dix. Accorde-le, Père, car je m’avance maintenant pour poser mes mains et mon corps sur ces mouchoirs en commémoration de Ta Parole. Accorde-le, Seigneur. Que chacun soit guéri, au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

28        Que Dieu vous bénisse. Qu’Il ajoute Ses bénédictions à chacun de vous. Et maintenant, juste un passage de la Parole, ensuite je vais directement former la ligne de prière, car nous aimerions prendre beaucoup de gens ce soir au point qu’on me portera pour me faire partir d’ici, s’il le faut. J’ai demandé à mon jeune garçon et aux autres de me laisser rester debout le plus longtemps possible. Et premièrement, j’aimerais lire un verset dans Esaïe 53:

            Qui a cru à ce qui nous était annoncé?

            Qui a reconnu le bras de l’Eternel?

            Et dans Saint Jean 4.46:

            Il retourna donc à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin.

            Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.

            Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.

            Maintenant, suivez cette histoire et voyez l’action.

            Jésus lui dit: Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point. L’officier du roi lui dit: Seigneur, descends avant que mon enfant meure. Va, lui dit Jésus, ton fils vit... (Or, lui voulait qu’Il aille prier pour son fils. Mais ce n’est pas ce qu’Il a fait. Il a dit)... Va, ton fils vit. (Suivez.) Et (Et est une conjonction.) Et cet homme crut à la parole que Jésus avait dite... (Il lui avait parlé) et il s’en alla. (Obéissance.)

            Comme déjà il descendait, son serviteur venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle: Ton enfant vit. (C’était le jour suivant.)

            Il leur demanda à quelle heure il s’était trouvé mieux... (Son état s’était amélioré.) Et ils lui dirent: Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté.

            Le père reconnut... c’était à cette heure-là... Jésus lui avait dit: Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.

            Jésus fit encore ce second miracle lors–lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.

29        Observez ceci. L’officier, son enfant, il avait appris la renommée de Jésus, et quand il est venu, il voulait qu’Il descende guérir son fils. Or, c’était ainsi qu’il le voulait: descends et guéris-le.

            Et Jésus a dit: «Si vous ne voyez des miracles, vous ne croyez point.»

            Et l’homme a dit: «Seigneur, descends avant que mon fils meure.»

            Il a dit: «Va, ton fils vit.»

            Eh bien, et si cet homme n’avait pas cru? Son fils n’aurait pas survécu. Vous devez croire la Parole qui vous est adressée. Croyez-vous cela? Il a dit: «Ton fils vit.» Et l’homme a cru la Parole que Jésus lui avait dite. Et il a dit: «C’est vrai, Rabbi», ou Maître. «Si Tu dis que mon fils vit, c’est assez bon pour moi.»

            Il est redescendu: il n’est pas allé comme Il le lui avait dit. Or, ça faisait un jour de voyage. Et le lendemain, il a rencontré certains de ses serviteurs qui venaient. Et les serviteurs ont dit: «Ton–ton fils vit: il est toujours en vie.»

            Il a dit: «Eh bien, à quelle heure s’était-il trouvé un peu mieux, son état s’est-il amélioré?» Eh bien, suivez cela maintenant, il a commencé à se remettre, son état était devenu juste un peu mieux.

            Il a dit: «Hier à la septième heure, eh bien, on a vu la fièvre le quitter.» Et l’homme a dit: «La septième heure, c’était au même moment que Jésus avait dit: ‘Ton fils vit.’»

            Eh bien, la Bi-... Il a dit: «Celui-ci est le second miracle que Jésus avait accompli quand Il était sorti de Cana en Galilée.» Miracle... Combien parmi vous qui êtes venus ici malades maintenant sentent que vous êtes juste un peu mieux, partout, les estropiés, les affligés, quoi que ce soit, vous sentez que vous êtes juste un peu mieux que vous l’étiez à votre arrivée? Faites voir la main. Qu’est-il arrivé? Amen. Vous y êtes. Vous êtes juste un peu mieux. Assurément. Si vous êtes donc un peu mieux maintenant, demain vous serez un peu mieux: et le jour suivant un peu mieux: et vous allez vous rétablir.

30        Il y en a qui ont une grande foi comme ceci, n’importe quoi peut arriver. L’autre a une foi si profonde, ça prend un peu plus de temps. L’autre a une foi profonde comme ceci, ça prend bien un peu de temps. D’autres ont une foi comme le grain de sénevé. Mais si c’est la foi de grain de sénevé, une foi authentique, accrochez-vous-y: continuez simplement à croire cela: elle deviendra la foi de bille: ensuite, ça deviendra la foi de pamplemousse: et puis, elle deviendra la foi de montagne. Elle vous tirera directement d’affaires si seulement vous vous y accrochez. Accrochez-vous-y. Elle vous amènera directement à la lumière, si vous vous y accrochez.

            Mais ne soyez pas découragé. Et ne croyez pas les symptômes. Les symptômes, c’est le mensonge du diable. Certaines personnes disent... Eh bien, maintenant, regardez. Et si une petite dame ici, quand je lui avais dit qu’elle était... Je ne lui avais point parlé: Dieu lui a dit qu’elle allait se rétablir. Or, si elle avait dit: «Eh bien, attendez une minute.» Le lendemain, elle était... «Eh bien, le cancer est toujours là: et je suis toujours recroquevillée: je ne peux pas bouger: je suis sur cette civière, je ne peux pas me déplacer. Eh bien, peut-être qu’il était...» Le deuxième jour, le troisième jour, le quatrième jour...: «Eh bien, peut-être qu’il était en erreur.»

            Non, si elle avait cru les symptômes, elle ne considérait pas les symptômes, elle considérait ce que la Parole de Dieu avait dit.

31        Je suis allé chez un homme il n’y a pas longtemps, son fils était atteint de la diphtérie. En avez-vous déjà entendu parler? Horrible, ça affecte le coeur. Et le cardiogramme montrait le coeur, qu’il était descendu très bas. On a appelé l’homme de la réunion, on a dit: «Votre fils se meurt.»

            Il est allé là, il a dit: «Puis-je faire venir frère Branham?»

            On a dit: «Eh bien, non.» On a dit: «N’est-ce pas que frère Branham a des enfants?»

            Il a dit: «Oui.»

            Ils ont dit: «Eh bien, nous ne lui permettrons pas d’entrer.» Ils ont dit: «Nous ne lui permettrons pas d’entrer.»

            Il a dit: «S’il vous plaît, permettez à frère Branham d’entrer voir mon fils.» Il a dit: «Il se meurt?»

            On lui a répondu: «Oui.» On a dit: «Dans les quelques prochaines heures, il sera mort.» Il avait seize ans...

            Il a dit: «Eh bien, permettez-lui d’entrer prier.» Il a dit, et cet homme était catholique, il a dit: «Refuseriez-vous à un prêtre d’entrer pour administrer les derniers sacrements?»

            Il a dit: «Oui, mais le prêtre n’est pas marié.»

            «Mais il–il vit dans des monastères.» Il l’a convaincu là-dessus.

32        Eh bien, ils m’ont fait entrer, ils m’ont revêtu d’une robe complètement avec tout un tas d’histoires sur moi, ils m’ont fait laver les mains avec toutes sortes de produits. Je suis entré là où le jeune garçon était. J’ai dit au père et à la mère de se tenir là, j’ai dit: «Croyez-vous?»

            Il a dit: «Frère Branham, demandez à Dieu.»

            Alors, je me suis agenouillé et je me suis mis à prier. Et pendant que je priais, l’Ange du Seigneur est descendu et a dit: «Tu vivras.» Je me suis relevé: j’ai dit: «Avez-vous entendu cela, frère?»

            Il a dit: «Oui, oui». Il a dit: «Gloire au Bon Seigneur.»

            L’infirmière est rentrée: elle a dit: «Je suis désolée, mais vous tous vous allez devoir sortir directement, surtout Révérend Branham.»

            J’ai dit: «Merci, mam’selle.» Je sortais...

            Cet homme s’est mis à marcher en disant: «Merci, Seigneur, merci.» Et la maman, tout aussi heureuse, poussait des cris. L’infirmière lui a dit, elle a dit: «Dites donc, vous êtes-vous rendu compte que votre fils se meurt?»

            Il a dit: «Assurément, je sais ce que vous avez dit.» Il a dit: «Eh bien...»

            Et le médecin se tenait là, c’était un interniste. Et il était... Ils étaient tout aussi heureux, ils se serraient la main et s’étreignaient, vous savez, et remerciaient Dieu pour sa guérison. Le jeune homme était bien mourant là. Alors, il a dit: «Eh bien, de quoi êtes-vous si contents, alors que je... Avez-vous compris que le médecin a dit... Avez-vous compris que je vous ai dit que votre fils va mourir dans deux heures?»

            Il a dit: «J’ai compris ce que vous avez dit, et j’ai compris ce que Dieu a dit...?...»

            Il a dit: «Eh bien, regardez, c’est une bonne chose d’avoir la foi, mais je n’arrive pas à voir comment vous pouvez tout bonnement ignorer de telles choses, alors que ce jeune homme est étendu là, mourant.»

            Et le–l’homme s’est retourné (C’était un prédicateur), il s’est retourné et a dit: «Monsieur, écoutez ça, vous regardez...»

            Il a dit: «Ça, une fois que ce cardiogramme montre l’état de ce coeur-là», je ne savais quoi c’était, il est... les termes qu’il utilisait, il a dit: «Quand cela chute, a-t-il dit, dans toute l’histoire du monde, jamais il n’est arrivé que cela soit jamais remonté.» Il a dit: «La mort est sur le jeune homme maintenant.»

            Il a dit: «Regardez, monsieur, vous, vous regardez ce diagramme-là: moi, je regarde la promesse divine.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.], ce que Dieu a dit.

33        Et que serait-il arrivé il y a deux ans, alors que les frères Mayo m’avaient dit que ça en était fini de moi–de moi? Et si j’avais compté sur cela? J’ai compté sur Hébreux 3.1: «Il est le Souverain Sacrificateur de ma confession.» Et j’ai cru en Lui, et voyez ce qu’Il a fait pour moi.

            Vous parlez de quelqu’un qui avait des symptômes. Si quelqu’un a dû avoir des symptômes dans la Bible, ça devrait être Jonas. Considérez-le. Il était rétrograde, c’était dommage. Ses mains étaient liées derrière lui. Il avait été jeté par-dessus la barque, il avait été englouti par un grand poisson, il était à trois miles [48 km] de profondeur dans l’océan. Quand un grand poisson mange, n’importe quel autre poisson, il descend directement au fond de la mer et fait reposer ses nageoires au fond. Donnez à manger à vos poissons rouges et observez-les. Il cherche dans l’eau jusqu’à ce qu’il trouve sa proie et, ensuite, il descend se reposer.

            Et quand il... là en bas, au fond de l’océan, dans le ventre d’un grand poisson, les mains liées derrière lui, rétrograde, dans une mer houleuse. Qu’il regarde de ce côté-ci, il y avait le ventre du grand poisson. Qu’il regarde de ce côté-ci, il y avait le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, il y avait le ventre du grand poisson. Vous parlez des symptômes! Il en avait eus, n’est-ce pas? Mais savez-vous ce qu’il a dit? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères.» Il a dit: «Encore une fois, je verrai Ton saint temple, ô Seigneur, non pas le ventre du grand poisson, non pas mes mains liées, mais... ‘Je verrai Ton saint temple.’ Car (Je vais le dire en des termes simples) car, quand Salomon consacrait ce temple-là, il a dit: ‘Si Ton peuple se trouve en difficulté quelque part et qu’il regarde vers cette maison et prie, alors exauce du haut des cieux.’»

34        Et Jonas croyait que la prière de Salomon avait été exaucée. Et il a dit: «Je ne vais pas tenir compte de symptômes. Je vais regarder le temple de Dieu.» Et si Jonas dans ce genre de condition a pu regarder un temple naturel, pour lequel un natu-... ou un humain avait prié, à combien plus forte raison vous qui êtes assis ici où des gens sont guéris juste autour de vous chaque soir, vous devriez détourner le regard des symptômes ici, vers le... non pas le temple de la terre, mais les portes de la gloire où le Fils de Dieu, avec Son manteau ensanglanté, se tient devant le Père maintenant, intercédant pour tout ce que vous confessez? «Je ne regarderai pas mes symptômes, je regarderai Ton saint temple, Seigneur.» C’est là que ça se trouve.

            Et Dieu l’a gardé en vie trois jours et trois nuits dans le ventre de ce grand poisson. Est-ce vrai? Celui-ci l’a vomi sur le rivage et il a proclamé sa prophétie et a terminé sa course.

35        Eh bien, dites donc, et si demain, certaines parmi vous les dames, et si l’agent du Service Express venait chez vous à la maison et disait: «Bonjour. Est-ce vous mademoiselle John Doe?» «Oui.» «Eh bien, j’ai quelque chose ici pour vous.», et que vous regardiez cela, que c’était un très gros paquet plein de serpents à sonnette. Eh bien, quel cadeau! Votre nom est collé dessus. C’est à vous. C’est vrai? Dans un sens, c’est à vous: dans un autre sens, ce n’est pas à vous. Eh bien, vous direz: «Je n’en veux pas.»

            «Eh bien, c’est à vous: votre nom est là-dessus.»

            Eh bien, c’est à vous dans un sens, mais ce n’est toujours pas à vous tant que vous n’en accusez pas réception. Et si vous n’en accusez pas réception, il aura à ramener ça. Vous pourriez voir tous vos symptômes, le diable dit: «Ça y est, voici votre cancer: voici votre maladie du coeur: voici votre état d’estropié.»

36        Refusez d’accuser réception pour tout ce que le diable apporte. Il sera obligé de ramener cela. Dites: «Je refuse d’avoir cela. Je ne recevrai simplement pas cela: non, monsieur.» Il sera obligé de ramener cela au Nom du Seigneur. Si vous croyez cela, que vous le confessez et que vous dites: «J’ai accepté Jésus-Christ comme mon Guérisseur», il n’y a pas d’affliction ni de maladie qui puissent rester sur vous. Accrochez-vous à cela.

            Mais dès que vous vous affaiblissez, vous dites: «Eh bien, oui, j’ai toujours cela», alors, vous retombez là où vous étiez. Vous en avez accusé réception, vous avez donc repris cela.

            Vous dites: «Oui, monsieur le diable, je–je recevrai cela.»

            Ô frère, tenez-vous là même tant–tant qu’il y a le souffle dans votre corps, dites: «Je refuse d’avoir cela. Je refuse d’avoir cela.» Comment vous sentez-vous? «Magnifique. Alléluia!» C’est ça. C’est vrai. Montrez au diable de quoi vous êtes fait. Vous êtes né de nouveau par l’Esprit de Dieu, et vous n’avez pas à vous incliner devant ses statues. Restez là même et dites: «Je ne veux pas de votre sottise.»

            «Eh bien, voici votre nom dessus, le médecin a dit...»

            «Peu m’importe ce qu’il a dit. Je sais ce que Dieu a dit. Va-t’en d’ici avec ça.»

            C’est exact, c’est ainsi qu’il faut le traiter: restituez-le-lui. C’est lui qui vous a apporté cela, ça devra être lui qui ramène cela.

37        Dieu, vous savez quoi? Il est votre Rédempteur. Avez-vous déjà vu un magasin de prêt sur gage? Oh! C’est un lieu horrible. Le diable vous avait placé dans un magasin de prêt sur gage, et Jésus vous en a racheté. Vous êtes libre. Sortez-en. C’est vrai. Il vous donne ces choses, mais Jésus a payé le prix de rachat. Et Il a payé le prix. Vous êtes sorti du magasin de prêt sur gage ce soir.

            Cela me rappelle une fois, nous avions attaché un vieux corbeau par la patte. Cela effrayait les autres corbeaux, les empêchant de manger dans le champ de maïs. Eh bien, ce pauvre vieux corbeau, il ne faisait que croasser et les autres corbeaux survolaient en croassant, l’invitant à venir, et lui ne pouvait pas voler parce qu’il était rattaché.

            Un jour, quelqu’un est passé par là et l’a regardé, il a dit: «Pauvre vieil oiseau: il–il crève de faim.» Il a étendu la main, il l’a délié et l’a lâché. Les autres corbeaux ont survolé par là en disant: «Allons, Johnny corbeau, allons vers le sud: le temps froid arrive.» Et ce vieil oiseau avait été lié si longtemps qu’il pensait être toujours lié alors qu’il était délié. Il a continué à tourner en rond, alors qu’il était délié. Il pensait être lié: il avait été lié si longtemps.

            C’est peut-être votre cas, vous dans ce fauteuil roulant, et là, et là. Mais, rappelez-vous qu’il y a eu un Homme de bien un jour. Le diable vous a peut-être complètement lié, mais il y a eu un Homme de bien, Jésus-Christ, qui vous a racheté. Il a découpé chaque corde qui était sur vous. Alléluia! Quand vous voyez les autres se lever et croire cela, faites de même. Vous êtes libre de fosses du diable. Oui, oui.

38        Oh! la la! Qu’est-ce qui ne va pas avec moi ce soir? Amen. Je crois que je reviendrai à Erie tenir un réveil du Saint-Esprit, comme autrefois ici quelque part (Oh! la la!), juste un bon moment à l’ancienne monde. Amen. C’est ce dont nous avons besoin. Remerciez-Le. Je ne suis pas très habitué à prêcher à la chaire comme ceci ce soir, lors d’un service de guérison: mais je–je–je dois arrêter. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes libre, chacun de vous. Jésus vous a libéré depuis longtemps. Refusez simplement de recevoir cela. Dites: «Je n’ai pas reçu cela, je vais de mieux en mieux tout le temps. Gloire au Seigneur, je crois cela.» Et observez ce qui arrive.

            Sortez d’ici ce soir et dites: «Non, je n’ai pas à passer par la ligne de prière. Je n’ai plus à passer: non, Jésus, j’ai accepté cela: c’est à moi.»

            Le voisin dit: «Comment allez-vous?»

            Dites: «Magnifique.»

39        Je me rappelle quand tout ce que je mettais dans mon estomac régurgitait. Je pesais moins de cent livres [45,35 kg]. Chaque fois que j’avalais quelque chose, ça faisait... [frère Branham illustre.–N.D.E.] et ça ressortait.» Je suis rentré, j’ai saisi ma femme, je l’ai étreinte, je l’ai embrassé, j’ai dit: «Chérie, le Seigneur m’a guéri.»

            Elle a dit: «Quoi?»

            J’ai dit: «Le Seigneur m’a guéri.»

            Elle a dit: «En es-tu sûr?»

            J’ai dit: «Je le sais.»

            Elle a dit: «Comment le sais-tu?»

            J’ai dit: «La Parole l’a dit. (Voyez?) Il a dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur de ma confession–confession. Je L’ai confessé en tant que mon Guérisseur.»

            Elle a dit: «Peux-tu manger?»

            J’ai dit: «Assurément.»

            Et chaque fois que je prenais même une gorgée d’eau, cela me rejaillissait directement par le nez. Elle est assise là derrière, elle me regarde maintenant, et elle sait que c’est la vérité. Elle a dit: «Que veux-tu?»

            J’ai dit: «Envoie me chercher au magasin une conserve de porc et des haricots. Ouvre-la, et prends un morceau de pain et–et découpe-moi la grande peau blanche de l’oignon de Texas. J’en veux un peu.» Elle a fait cuir un gros morceau de jambon, j’ai pris ce porc et les haricots, je me suis assis et j’ai demandé la bénédiction, disant: «Merci, Seigneur.» J’ai avalé une grosse bouchée pleine.

40        Et le médecin avait dit: «Une seule bouchée de nourriture–de nourriture solide l’enverrait à la tombe.» Il avait dit: «Ne laissez pas de la nourriture solide atteindre votre estomac.» C’est ce que lui avait dit, et le Seigneur avait dit: «Je suis l’Eternel qui te guérit.» Qui vais-je croire? J’ai mâché ce gros oignon. Oh! Que c’était délicieux! Je–je l’ai avalé. Et aussitôt que cela a atteint là, comme... un charbon ardent est allé droit frapper comme cela, et c’est remonté. J’ai tenu ma main sur ma bouche, j’ai ravalé cela. C’est remonté: j’ai ravalé. Non, non, nous avons eu un–un jeu de ping-pong là pendant un moment. J’ai ravalé cela: c’est remonté. J’ai ravalé cela: c’est remonté, j’ai ravalé cela. Je me suis tapé une autre bouchée, je me tenais la bouche, j’ai enfoncé celle-là, j’ai ravalé encore. On a fait venir le médecin. Le médecin a dit: «Ça va le tuer aussi certainement que deux fois deux font quatre.»

            J’ai dit: «Alléluia! Je mourrai heureux.»

            J’ai fait un tour là. Je suis allé dans la cour. Tout le monde demandait: «Comment vas-tu, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Magnifique.»

            «L’estomac ne te dérange plus?»

            «Non, pas du tout.»

            C’est vrai, ça continuait comme cela. Je croyais cela. Oui, oui. Je suis allé de l’avant comme cela, et cette nuit-là quand j’allais me coucher, oh! la la! la chose était là. Tout gisait là au même endroit. Elle m’a demandé: «Veux-tu prendre quelque chose, comme souper, chéri?»

            J’ai dit: «Ouvre-moi une autre boîte de haricot et découpe un autre oignon.» Oui, oui.

41        Je savais que la Parole de Dieu est la Vérité! C’est tout. Et j’en ai déversé davantage là au-dessus. Cela est resté là même jusqu’au petit-déjeuner, et je me suis fait frire deux oeufs et davantage de jambon le lendemain matin comme petit-déjeuner. J’ai continué comme cela semaine après semaine. J’étais devenu très nerveux, on dirait que les arbres se rassemblaient et on me demandait: «Comment vas-tu, Frère Branham?»

            Je disais: «Magnifique. Alléluia!»

            «L’estomac ne te dérange plus?»

            «Non, non. Non, non.»

            «Tout va-t-il bien pour toi?»

            «Assurément, je vais bien, je me porte bien.»

            «Comment ça se passe?»

            «Le Seigneur m’a guéri.»

            Il a dit: «Frère Branham, tu mentais.»

            «Non, jamais: non, jamais.»

            Quand je L’ai accepté comme mon Guérisseur, Il m’a guéri il y a mille neuf cents ans, c’était réglé dans mon âme. Peu importe ce qui se passait ici, dans mon âme, c’était réglé. Je témoignais non pas l’état de mon corps, mais ce que cette vieille âme en pensait. Et mon esprit disait: «Christ est votre Guérisseur.»

            J’ai dit: «Je crois en Toi, Seigneur.» Je me suis accroché à cela.

            Un jour, je continuais à enfoncer cela et à enfoncer cela, et tout a quitté. Je mange tout ce que je veux. J’ai gagné environ trente-cinq, quarante livres [15 ou 18 kg], je me sens bien. Oh! Il est le Guérisseur! Mais vous aurez à montrer votre foi en Lui. Et n’allez pas penser que c’est sur base d’un... Vous allez à un pique-nique. Vous allez sur un champ de bataille. C’est vrai. Vous n’êtes pas à un pique-nique, où tout vous est remis sur un plateau d’or. Vous avez... «Si... Je dois combattre si je dois régner, augmente mon courage, Seigneur.» Voyez.

            Dois-je être transporté au Ciel,

            Sur un lit fleuri d’aisance,

            Alors que d’autres ont combattu pour gagner le prix,

            Et ils ont navigué sur des mers de sang?

            Non, je dois combattre si je dois régner,

            Augmente mon courage, Seigneur:

            Aide-moi et soutiens-moi,

            Par Ta Parole Eternelle.

            Oui, monsieur, tenez-vous sur la Parole de Dieu.

42        Cette nuit-là en Finlande, quand cette petite fille fut guérie... Où est mon frère finlandais qui était assis ici quelque part? J’ai besoin de vous juste un instant. Suivez cette histoire. Vous avez entendu cela hier soir, n’est-ce pas? Notre frère est avec nous. Ce petit garçon qui avait été tamponné au menton: il se mourait à l’hôpital. Le deuxième jour, je pense, s’était pratiquement écoulé. Et on ne savait que faire du petit ami. J’ai passé le temps le plus horrible. Je n’arrivais pas à avoir... Je ne pouvais même pas entrer à l’hôtel. Cette petite femme et son petit mari étaient couchés sur les marches, et on a dû me tirer par-dessus eux.

            Je me rappelle cette nuit-là quand la petite fille finlandaise fut guérie, je suis monté en chambre, madame Isaacson m’a dit, elle a dit: «Frère Branham, qu’est-ce qui peut être fait?» Elle a dit: «Ces gens me dérangent pratiquement à mort.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, je ne sais pas, Soeur Isaacson, c’est contraire aux consignes, que je sorte comme cela.»

            Et elle a dit: «Eh bien, voudriez-vous juste les rencontrer le matin, ici, si le petit garçon est toujours en vie?»

            J’ai dit: «C’est en ordre.»

43        Alors, nous... Elle les a fait monter là. Où est soeur Isaacson maintenant? Est-elle ici aux Etats-Unis? Elle y est. Une très aimable personne... Elle a donc pris rendez-vous pour l’après-midi, afin que je voie le père et la mère. C’était une très petite famille très gentille, le genre finlandais. Alors, ils étaient assis là dehors, ils m’ont vu venir, ils ont commencé à courir et à se prosterner comme cela. J’ai dit: «Eh bien, prenez un siège», par l’interprète. Et alors, ils–ils se sont assis là. Et j’ai dit, ils ont dit: «Oh! Descendez à l’hôpital guérir notre petit garçon.»

            J’ai dit: «Je ne peux pas guérir votre petit garçon.»

            Ils ont dit: «Eh bien, vous avez guéri l’autre petit garçon qui était mort.» Et ils ont dit: «Notre petit garçon n’est pas mort, mais il est mourant: il ne s’est point remis: son cerveau a été écrasé.»

            Et j’ai dit: «Eh bien...» Une commotion cérébrale, ou je ne sais quoi c’était, sa colonne vertébrale là-dedans et tout. Et j’ai dit... Un vaisseau sanguin avait éclaté au niveau de la colonne vertébrale, ou quelque chose comme cela. Et j’ai dit: «Eh bien, maintenant, ce n’est pas moi–moi qui ai fait cela.» J’ai dit: «Eh bien...» J’ai dit: «Là en Amérique, je–je, il y a environ un an, j’avais vu ce petit garçon être guéri en vision.» L’interprète le leur a dit. Elle a dit: «Allez avoir une vision pour mon petit garçon.»

44        Eh bien, c’était bien beau, mais, vous savez, vous ne pouvez simplement pas avoir des visions à volonté, pas plus que je ne peux dire: «Faites-moi un songe.» Vous avez des songes, mais vous ne les faites pas de vous-même. Alors, il a dit... J’ai dit: «Je ne peux pas faire cela, soeur.» Et je leur ai parlé, j’ai dit: «Etes-vous tous chrétiens?»

            «Non.»

            J’ai dit: «Regardez, Dieu peut avoir l’intention de ramener votre petit garçon à la Maison.» Et j’ai dit: «Si vous n’êtes pas chrétiens, et que ce petit garçon meure, vous ne pourrez plus jamais être avec lui. Si vous mourez, quand vous mourrez, alors ce petit garçon ira au ciel, il est trop petit pour connaître le péché. Mais il ira au ciel, et vous, vous n’irez pas au Ciel: vous ne le verrez plus jamais.» J’ai dit: «Si donc vous devenez chrétiens, et que le... si le petit garçon meurt et va au Ciel, alors vous pourrez aller au Ciel, là où il n’y aura pas d’accidents, et vous serez avec lui pour toujours.» Et j’ai dit: «Si donc vous vouliez obtenir une faveur de ma part, vous chercheriez à faire quelque chose pour moi.» Et j’ai dit: «Si vous voulez obtenir une faveur pour... de la part de Dieu, cherchez à faire quelque chose pour Lui.» J’ai dit: «Maintenant, peut-être qu’après que vous Lui aurez donné votre vie, vous pourrez trouver grâce, et Il peut sauver votre petit garçon.»

45        Eh bien, ils en ont parlé, ils–ils ne pouvaient pas perdre, car ils iraient au Ciel: si ce petit garçon mourait, ils seraient pour toujours avec lui. Et s’ils trouvaient grâce, peut-être que Dieu guérirait le petit garçon. Alors, ils se sont agenouillés, et je les ai conduits à Christ. Ils se sont relevés et se sont étreints, et tout était en ordre. Eh bien, la dame a dit: «Entrez, ayez une vision pour mon petit garçon.»

            Eh bien, j’ai dit: «Non.»

            Elle voulait que j’aille à l’hôpital. J’ai dit: «Non, Dieu peut me parler dans cette chambre tout autant qu’Il peut me parler à l’hôpital.» Soeur Isaacson leur en a parlé. Eh bien, elle a dit: «Entrez, et nous allons attendre.»

            J’ai dit: «Regardez, Il peut même ne pas me dire un seul mot: je ne sais pas.» J’ai dit: «Mais s’Il le fait, je vous le dirai. Si le petit garçon va mourir et qu’Il me le dit, je vous le dirai.» J’ai dit: «Je vais–je vais vous dire s’il va mourir, et s’Il m’en parle. S’Il ne me parle pas, je ne peux rien dire.»

            Eh bien, finalement, madame Isaacson les a amenés à rentrer à la maison. Eh bien, ils sont retournés à la maison, et environ vingt minutes après, ils ont appelé. Ils ont demandé: «A-t-il déjà eu la vision?»

            «Non.»

46        Alors, le... Eh bien, il peut mettre ses doigts dans ses oreilles s’il le veut, ils sont très doux, des gens gentils, des Finlandais. Et je ne dis pas cela parce que cet homme est assis là. En effet, il... je ne pense pas qu’il comprend très bien l’anglais, après tout.

            Et il a dit... Ils sont très aimables, très gentils, très doux, des gens humbles. Ils–ils n’ont donc pas beaucoup de biens de ce monde, mais ils aiment le Seigneur. Et c’est en cela que résident les richesses. Ainsi donc, ils sont riches dans le Royaume de Dieu.

            Ainsi donc, ils ont laissé passer un petit moment un peu plus long, ils ont encore rappelé. Ils voulaient savoir si–s’il y avait déjà eu une vision. Eh bien, ils ont appelé plusieurs fois cet après-midi-là. Ce soir-là, quand nous sommes rentrés à la maison, la petite fille avait été guérie. J’avais cette même Bible ici même. Et maintenant, s’il y a des Finlandais ici qui... Je–je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments à ce sujet, et je n’ai pas l’intention de blesser le sentiment de frère Baxter non plus, en disant ceci.

47        Mais nous en Amérique, nous sommes bien en ce qui concerne le manger et des choses comme cela. J’ai été au Canada il n’y a pas longtemps, et nous étions là à Prince Albert, à Saskatchewan. Nous avions environ dix mille Indiens, des Eskimos et tout, qui étaient venus à la réunion.

            Et là, ils ne... leur bonbon n’est pas aussi riche que le nôtre ici. Certains de cela, je vais... Nous nous en sommes procurés là-bas, ça avait pratiquement le goût de l’amidon. En effet, ils n’en ont peut-être pas le moyen comme ici. C’est vrai. Je pense que le Canada, c’est un beau et magnifique pays, de loin plus vaste que le nôtre, avec des ressources qui dépassent les nôtres, et de braves gens. Mais les gens sont bien pauvres. Leurs routes sont en mauvais état, ils n’ont pas l’argent pour construire des routes. Mais cette classe de gens en Amérique est riche, les gens les plus riches du monde.

            Ainsi donc, leurs bonbons étaient mauvais, et mon frère Howard, il a dit... beaucoup parmi vous, je pense, connaissent Howard ici. Il–il est venu, il a dit... Il est revenu à la maison ce soir-là, il a dit: «Billy.»

            J’ai dit: «Oui.»

            Il a dit: «Tu dis que les bonbons du Canada sont mauvais, a-t-il dit, goûte celui-ci de–de Finlande.»

            Eh bien, il m’a donné deux bonbons à peu près gros comme ça. Je les ai tenus dans ma main, nous montions les marches. Frère Baxter et Howard dormaient ensemble. Ils sont allés dans leur chambre. Frère Moore et Lindsay sont allés à la leur. Et soeur Isaacson est allée à la sienne. Ils me gardaient dans une chambre à part à cause de la visitation de l’Ange du Seigneur pendant la nuit. Il venait parfois vers moi la nuit et me montrait de chaque personne et tous ceux qui allaient être guéris le lendemain. J’en parlais aux organisateurs. Je disais: «Regardez, il y aura autant de gens, telle personne ici, telle personne là en bas, telle personne à tel endroit sera guérie. Une femme arrivera, habillée de telle façon, couchée sur une civière, elle va venir d’un autre district: elle sera guérie.» Je leur dis tout au sujet de la réunion avant que cela arrive. Eh bien alors, Il vient comme ça.

48        Ainsi donc, je venais d’entrer dans la chambre, j’ai pris ces deux bonbons, je les ai déposés sur le bureau, comme ça. J’ai déposé ma Bible, non, je vous demande pardon. J’ai placé ma Bible sur mon coeur. Je me suis avancé là. Et vous savez, là à Kuopio, dans ce long parc, il y avait ces petits Finlandais qui passaient par là, ils traversaient ce parc, rentrant chez eux, louant simplement Dieu, les soldats et tout. Certains de ces pauvres petits soldats là-bas ne s’étaient jamais rasés. C’étaient juste des enfants dans l’armée. Ces Russes les avaient tués là comme des mouches, ils avaient juste de pauvres petits enfants. Et ils passaient par là, causant simplement.

            Et j’ai regardé dehors. Oh! Il ne faisait pas noir là, la nuit. Et alors, j’ai regardé dehors, et j’ai levé la main, j’ai dit: «Ô Grand Dieu Jéhovah, que c’est merveilleux, que c’est magnifique!» Cette petite fille avait été guérie ce soir-là, elle avait été débarrassée de ces béquilles-là. Et je disais: «Gloire soit rendue à Ton Saint Nom. Combien je T’aime, combien je T’adore, ô Grand Dieu Créateur des cieux et de la terre!» Juste dans la même direction où ces avions russes étaient venus vous bombarder, juste par là.

49        Je... Et je regardais, j’ai dit: «Un jour, les avions russes étaient venus, un jour, mais un jour, Jésus viendra.» J’ai dit: «Oh! Combien ça sera alors différent pour ce pays! Au lieu qu’ils fuient tous dans des abris contre des bombes et autres qui avaient été construits à travers la ville ici, ils vont courir dans des rues en criant: «Kiitos, Jésus», à toute vitesse, avec leurs mains levées, louant. J’ai dit: «Oh! Combien je T’aime!»

            Alors, j’ai senti Quelque Chose. Et je me suis retourné, et Il se tenait là, debout là même à côté de moi. Et Il tenait un petit verre en main, à peu près de cette taille. Et là-dedans, il y avait deux fleurs lys de Pâques, de l’Amérique. Des fleurs de Pâques, des jonquilles, je ne sais comment vous appelez cela. Je ne pense pas qu’on en ait même dans ce pays-là. Ce sont des fleurs de Pâques, longues comme une corne sur un vieux gramophone. Je ne pense pas qu’ils aient cela dans ce pays-là.

50        Et cela était là, Il les avait dans un petit pot. Il les a déposées devant moi sans dire un mot. Et je–je ne pouvais pas... Je me suis simplement tenu là. C’est un Homme de grande taille, aux cheveux sombres qui Lui retombent sur les épaules, au teint olivâtre, visage lisse, aux yeux noirs, Il a les mains jointes comme ceci, toujours. Et Il a pris ceci ici, et Il l’a déposé devant moi. Et l’une des fleurs qui penchait vers nord, est tombée. Et l’autre a commencé à descendre, faisant: «Teuw, teuw, teuw, teuw, teuw.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Et Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

            Et j’ai dit: «C’était un bonbon, Seigneur, ou deux bonbons.»

            Il a dit: «Mange-les.»

            J’en ai pris un, j’ai mis cela dans la bouche, je l’ai mâché et ça avait un très bon goût. Et quand je l’ai avalé, cette fleur de Pâques qui était étendu vers le nord a fait: «Thrrr.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Elle s’est du coup redressée. Je l’ai regardée. Et je...

            Il a dit: «Mange l’autre.»

            Je l’ai pris et, oh! la la! Vous parlez d’un goût désagréable. J’ai fait: «Ouf.» J’ai fait sortir cela de ma bouche. Et cette autre fleur s’est mise à faire: «Teuw, teuw, ouf!» [Frère Branham illustre.–N.D.E.], pratiquement à la fin.

            Il a dit: «Ces deux fleurs représentent ces deux jeunes garçons.» Il a dit: «Si tu ne manges pas ce bonbon-ci, ce jeune garçon mourra.»

            J’ai remis cela dans la bouche, je me suis mis à mâcher très vite, et puis, j’ai avalé cela. Alors quand j’ai avalé cela, cela a fait: «Thrrr.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Cela s’est redressé comme cela, avec ça.

            Et la direction dans laquelle ces petits garçons étaient tombés, vous savez. L’un était tombé vers le nord, et l’autre, vers le sud. Celui qui était tombé vers le nord, c’était celui qui avait été tué sur la route. Celui qui était tourné vers le sud se mourait à l’hôpital. Les médecins avaient dit: «Il ne se remettra jamais. Son cerveau a connu une commotion. Et il y a quelque chose dans sa colonne vertébrale.» On disait: «Il ne peut pas se remettre.» Son petit visage d’enfant n’avait pas été lavé.

            Et ils ont appelé, appelé, appelé toute la journée. Et on disait... cet autre ici se tenait comme ça. Et quand elle s’est redressée, Il m’a regardé, Il avait les bras croisés, et j’ai regardé là, et il y avait cette Lumière que vous voyez là derrière dans la photo, faisant comme ça. Et la Lumière s’est posée au-dessus de l’Ange, et l’Ange est entré dans la Lumière, et Il est sorti de la chambre.

            Et je me tenais là, j’ai touché ma main: je me suis mordu les doigts, je suis resté engourdi un petit moment. La vision m’avait quitté. Ce n’était pas une vision. Je ne veux pas dire la vision, c’est... J’ai des visions ici, mais ça, c’est tout aussi réel que je suis, ou que vous êtes. Je me tenais là et je Le regardais.

51        Je suis très vite sorti et j’ai appelé, j’ai dit: «Tout le monde, venez.» Et frère Baxter est sorti, Howard, frère Moore, Lindsay, eux tous sont sortis en courant. J’ai dit: «Allez chercher soeur Isaacson.» On l’a appelée, elle est descendue là. J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, appelez cette dame-là et dites-lui: AINSI DIT LE SEIGNEUR, son enfant vivra et ne mourra pas.»

            Ils ont dit: «Frère Branham, elle a appelé il y a environ une heure, disant que l’enfant était au dernier stade: le médecin avait dit qu’il mourrait dans les deux prochaines heures.»

            J’ai dit: «Je n’y peux rien à ce qu’il a dit. AINSI DIT LE SEIGNEUR, l’enfant vivra.»

            Elle a donc couru au téléphone, et leurs téléphones là ne sont pas comme les nôtres ici. Elle a démarré cela à la manivelle, de côté, elle a eu la famille. Et il y avait une babysitter là avec leur tout petit enfant, et elle a dit: «On vient de les appeler à l’hôpital: l’enfant se mourait», le petit garçon.

            Et alors, elle a appelé l’hôpital, elle a eu la femme au téléphone et madame Isaacson a dit: «Frère Branham a dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce petit garçon vivra.’»

            Elle a dit: «Oh! Je le sais bien: il vient de se remettre, il est assis là, tout aussi bien portant que possible. Il est assis là normal et bien portant.»

            Et cet enfant vit à Kuopio, en Finlande, aujourd’hui, normal, un enfant bien portant par la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, par la puissance des révélations, par la puissance de Son Esprit.

52        Il s’est fait que ce frère était là. C’est un frère finlandais, il était avec nous. Je l’ai rencontré aujourd’hui. Il connaît ce cas. Venez ici, frère. Quel est donc votre nom? Watkin, Waltanin. Vous aurez à le dire, frère, ce n’est pas mon fort, prononcer ce nom.

            Très bien, je vais vous demander ceci, ces témoignages sont vrais, n’est-ce pas? [Le frère confirme en des termes suivants: «Oui, ils sont effectivement vrais. J’étais là comme témoin oculaire. Je viens de Finlande. Notre pasteur associé, à l’Eglise Salem de Helsinki, et moi, nous étions aussi là à Kuopio. Nous étions au sommet de la colline, tous–tous en stationnement, puis nous sommes descendus, et cet accident a eu lieu là-bas. Et l’un des petits garçons était ressuscité des morts tandis que l’autre a été guéri: et ils sont guéris aujourd’hui. Et aussi une petite fille dont frère Branham a parlé hier, hier soir, elle est toujours effectivement guérie. Et gloire à Dieu! Et beaucoup d’autres merveilleuses choses ont été accomplies là-bas. Et ce que ce très grand service qu’on a eu avec frère Branham et son équipe a fait en Finlande, continue à se développer et à porter des fruits pour l’oeuvre de Dieu. Gloire au Seigneur!»–N.D.E.]

            Amen. Que Dieu vous bénisse, frère, là. Je suis très content de vous revoir. Que Dieu vous bénisse. Jumalan rauhaa. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur», tout le monde. Depuis tout là-bas en Finlande.

53        Je ne savais guère, alors que je racontais cette histoire-là, que cet homme pouvait être assis ici présent. Et cet après-midi, je l’ai rencontré à son arrivée. Oh! Quel moment! Quel moment glorieux!

            Y a-t-il un autre Finlandais ici présent? L’autre soir, quelqu’un m’a crié: «Jumalan rauhaa», en passant à l’estrade, il avait été guéri. Je pense qu’il n’est pas ici. C’était une femme au mieux de mes souvenirs. Oh! Voilà la dame, là-bas. Oui, c’est bien. Vous n’étiez pas... Etiez-vous en Finlande quand j’y étais, madame? Vous êtes née en Finlande. Est-ce vous la dame qui avait traversé l’estrade ici l’autre soir et qui avait été guérie à l’estrade? Gloire au Seigneur, que Dieu vous bénisse. Connaissez-vous le frère ici? Vous devriez faire connaissance entre vous. Très bien. Voyez qui elle est, frère. Très bien, c’est magnifique.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

54        C’est ainsi que ça sera au ciel: il y aura des Allemands, des Finlandais, des Italiens, et même des Irlandais. Amen. Je disais: «Je sais qu’il y en a un là-bas: on l’appelle Michaël.» Très bien. Dieu est ici ce soir. Croyez-vous cela? Il est avec Sa miséricorde, et Il est ici pour guérir les malades et les affligés.

            Très bien, il est temps pour nous de former la ligne de prière maintenant. Et que Dieu soit avec vous. Frère Bobby, veuillez jouer pour moi ce soir mon cantique favori: Reste avec moi. Un matin, toute la vie sera terminée, cette vie mortelle, le soleil se couchera pour la dernière fois. Cette vieille terre explosera en éclats. Peut-être dans cinq cents ans, à partir de ce soir, il y aura un... Représentons-nous notre tableau maintenant, dans l’esprit.

55        Dans cinq cents ans, à partir de ce soir, imaginez-vous simplement. J’entends les vents souffler. Je regarde la terre: elle est hors de son orbite. Les bombes atomiques l’ont basculée hors de son orbite. Elle se trouve là dans le soleil. Elle tourne vite. Les vents soufflent. Rien de vivant sur terre. Les sables sont emportés par le vent, ça hurle sous une chaleur de plusieurs, plusieurs degrés Fahrenheit. Ce n’est plus par l’eau, mais cette fois-ci, c’est par le feu.

            Qu’est-ce que je vois apparaître là dans le sable? Oh! C’est une pierre tombale. Le nom de quelqu’un y figure. C’est quelqu’un qui est assis peut-être ici ce soir à la réunion. Où sera alors votre âme, ami, si vous n’êtes pas en ordre avec Dieu.

            Représentons-nous alors un peu plus loin. Je vois Dieu la ramener dans son orbite. Elle est de nouveau habitée. Le loup et l’agneau paîtront ensemble. Je vois une belle aurore, un tropique comme en Orient, de grands palmiers, de beaux oiseaux chanter. J’arrive, je regarde, je parcours le jardin là-bas, des colombes blanches voltigent d’un arbre à un autre. Qu’est-ce qui arrive? Celui qui va s’asseoir sur le trône de David, et Sa robe blanche traîne. Oh! J’aimerais me tenir là, de ce côté-là, pas vous? Il est bien possible que les larmes me coulent sur les joues pendant qu’Il passe et que je Le regarde. Je dis: «Voilà le Tendre qui m’a racheté.»

56        Quand le grand Souper aura été apprêté, nous serons tous assis là, assis à table, au Souper des Noces. Je regarderai de l’autre côté de la table, je dirai: «Je le reconnais, il vient de Finlande. Je le reconnais, il était à la série de réunions d’Erie.» Je tendrai la main par-dessus la table et je vous tiendrai par la main. Nous aurons juste à déverser quelques larmes, n’est-ce pas?

            Alors, tout d’un coup, vous savez, le Roi apparaîtra dans toute Sa splendeur: de Ses mains, Il essuiera toutes les larmes de nos yeux, Il fera passer Son bras et dira: «Ne pleurez donc pas, tout est terminé. Il n’y aura plus de services de guérison ici, plus de soirées où il fait chaud, plus de larmes, plus de fauteuils roulants, plus de béquilles.» Tout sera terminé. «Entrez dans les joies du Seigneur.» J’aimerais être là, pas vous?

57        Notre Père céleste, reste avec nous jusqu’à ce temps-là. Que Tes miséricordes reposent sur nous. Que Ta grâce soit nôtre. Et alors, quand il y aura un seul drapeau, une seule nation, un seul peuple, parlant un seul langage! Oh! Quel jour! Eh bien, il peut sembler à plusieurs que cela aura lieu dans plusieurs, plusieurs années. Cela peut passer pour un rêve fantaisiste pour d’autres. C’est ainsi que paraissaient pour les autres les choses que nous voyons aujourd’hui: un rêve fantastique: mais nous sommes vivants jusqu’à les voir. Quand Tu parles, Seigneur, il doit en être ainsi. Nous verrons cela. Pensez-y donc. Un jour, nous les mortels, nous verrons cette grande chose dont nous parlons, car le Seigneur l’a dit.

            Maintenant, Seigneur, pendant que nous sommes dans le pèlerinage, reste avec nous, le veux-Tu? Que Ton Esprit vienne sur Ton humble serviteur ce soir, oins-moi de Ton don prophétique. Que je sois à mesure de faire ce que Tu m’as ordonné de faire. Durant toutes ces six années, Tu ne m’as point délaissé, Tu n’as failli aucune fois. Et je sais que Tu ne le feras pas ce soir. Dans l’ardeur de la bataille, Tu es toujours là: Tu prends part.

58        Et maintenant, ce soir, Seigneur, comme c’est la dernière soirée, je sens une forte attraction de la foi: c’est pourquoi j’ai parlé un peu. Et maintenant, Seigneur, qu’il arrive ce soir qu’il n’y ait aucune personne faible au milieu de nous à la fin du service. Nous Te remercions d’avoir guéri cette femme, hier soir, et de l’avoir débarrassée de ces gros appareils orthopédiques. Nous Te remercions d’avoir guéri cette dame cet après-midi, la faisant sortir de ce fauteuil roulant. Nous Te remercions d’avoir guéri la dame qui souffrait du cancer. Ceux qui souffraient du coeur et d’autres choses, eh bien, nous Te remercions pour tout. Et Seigneur, comme Ton serviteur l’a dit: «Qu’il en soit ainsi.» Car je sais que c’est Toi qui as prononcé ces Paroles. Il y en a beaucoup ici qui sont déjà guéris: ils ne s’en rendent pas compte maintenant même. Accorde-le, Seigneur, que ce soir soit le grand moment. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils Jésus. Amen.

59        Que tout le monde soit respectueux. Maintenant, est-ce que tout le monde va croire de tout son coeur maintenant, de toute son âme, de toute sa pensée? Très bien. Maintenant, sachez-le, comme ceci, avant que je commence ma ligne. Nous allons essayer de rester un peu plus longtemps ce soir. Et puis, j’aimerais voir... Combien ici présents croient dans l’imposition des mains, et sont...? Je vais voir si je peux, d’une façon ou d’une autre, manifester le Seigneur, si tout le monde n’est pas guéri à la fois, je vais veiller à ce qu’on prie pour tout le monde de toute façon. Très bien.

60        Maintenant, combien ici présents aimeraient qu’on prie pour eux, n’importe où dans la salle? Levez simplement la main. Oh! la la! Il y a quelques cinq ou six, peut-être cinq cents, six cents. Je ne sais pas. Je les vois là dans les rangées aussi, dehors.

            Eh bien, rappelez-vous ceci, ami, maintenant, je ne peux pas être responsable de critiqueurs. S’il arrive quelque chose à un critiqueur, je n’en suis pas responsable. Tout... Tous–tous ceux qui entendent cela, levez la main, afin que je... Voyez, je ne suis responsable de quoi que ce soit qui arrive aux critiqueurs, qui critiquent. En effet, rappelez-vous, quand les puissances démoniaques sortent de quelqu’un, ils cherchent où aller. Ils iront n’importe où qu’ils peuvent aller. Maintenant, je...

            Combien vont témoigner alors que d’autres disent: «Eh bien, ce guérisseur divin!», vous, vous allez intervenir, disant: «Frère Branham a dit qu’il n’était pas un guérisseur divin.» Allez-vous le faire pour moi? Et rappelez-vous qu’il n’y a qu’un seul Guérisseur divin, et c’est le Dieu Tout-Puissant. Même Jésus-Christ n’est pas un Guérisseur divin. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais ces oeuvres: c’est Mon Père qui demeure en Moi: c’est Lui qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai?

61        Je commence donc à me demander et à penser, peut-être, parce qu’il n’y a pas beaucoup de gens qui sont guéris: je les vois là dans l’assistance, peut-être qu’ils sont déjà guéris. Eh bien, soyez simplement respectueux. D’accord.

            Bonsoir, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur, madame? Maintenant, vous et moi, nous sommes inconnus, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas. Ne me connaissez-vous pas? Est-ce notre première rencontre? Oui. Nous ne nous connaissons pas. Mais Dieu nous connaît tous deux. Il me connaît depuis ma naissance. Il vous connaît depuis votre naissance. Et je crois qu’Il nous aime tous deux, parce que tous deux nous sommes chrétiens. Et comme vous êtes une soeur chrétienne, moi aussi un frère chrétien, et vous avez suivi les commentaires que quelqu’un a faits à ce sujet. Et sans doute qu’il y a quelque chose qui cloche chez vous. Et vous êtes venue vers moi en tant que serviteur de Dieu, votre frère, pour vous aider à croire davantage en Jésus. Est-ce vrai? C’est vrai.

62        Eh bien, si je peux faire quelque chose pour vous, je serai très content de le faire. Et je... Tout ce que je peux faire, ça serait de demander à Dieu de vous guérir. Et puis, si Dieu fait quelque chose maintenant, plus que ce qu’Il a déjà fait, Il a déjà payé le prix de votre guérison. Mais vous cherchez juste à apprendre à remplir le chèque pour votre–pour votre guérison. Eh bien, alors, s’Il peut faire quelque chose qui vous dirait ce qui est arrivé, ça devrait être l’esprit de prophétie, ou un don de la parole de connaissance, qui remonterait le pèlerinage de votre vie et trouverait quelque chose là-bas, et le ramènerait à votre souvenir. Alors, vous direz que c’est quelque chose, vous le reconnaîtrez, qui vient de façon surnaturelle.

            Eh bien, comme je l’ai dit il y a quelques instants, vous êtes une chrétienne: je sais que vous êtes une chrétienne, sinon votre esprit ne serait pas le bienvenu. Vous avez constaté chaque soir, et dans les lignes et partout, un pécheur être toujours dénoncé (Voyez?), Cela–Cela n’embrassera pas du tout le péché. Vous êtes la première patiente à qui je parle, ma première soeur ce soir à l’estrade, pas une patiente, mais la première à qui j’aimerais parler. Et après avoir prêché comme je l’ai fait, il faut juste un peu de temps pour que l’onction vienne sur moi.

63        Et vous êtes–vous êtes consciente que cela est–que cela est proche, n’est-ce pas? Oui. Vous êtes... Et maintenant, dès que vous avez dit cela, vous avez senti cela plus qu’auparavant, n’est-ce pas? Cela descend sur vous maintenant.

            Maintenant, entre vous et moi apparaît une Lumière très pâle. Je vous vois maintenant, soeur: oui, vous êtes... vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas, soeur? Parfois, cela–cela s’empire par rapport aux autres. Je vous vois en une robe claire Et vous êtes... vous marchiez quelque part. Vous boitilliez on dirait, et il vous fallait vous asseoir pour vous reposer. C’était dans une cour ou quelque part comme cela. On dirait qu’il y a beaucoup d’herbes et d’arbres tout autour. Je vois aussi que vous souffrez de–vous souffrez de la vésicule biliaire également, n’est-ce pas? Je vois l’examinat-... Dites donc, oh! la la! vous avez aussi subi une intervention chirurgicale, n’est-ce pas, soeur? Beaucoup, oui, vous en avez subies deux ou trois, quatre, cinq, six, vous avez subi six interventions chirurgicales. Est-ce vrai? Oui, oui. Très bien, venez ici et soyez guérie, soeur.

            Notre Père céleste et Dieu miséricordieux, accorde la guérison de ma soeur qui se tient ici debout. Puisse-t-elle, Seigneur Dieu, être guérie ce soir, alors que je la bénis au Nom de Ton saint Fils, Jésus. Puisse-t-elle quitter cette estrade une femme bien portante. Au Nom du Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen. Me croyez-vous? Si je vous dis que vous allez vous rétablir, croirez-vous cela? Vous l’êtes. Que Dieu vous bénisse...?...

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Regardez-la marcher maintenant. Elle est déjà guérie. Bénissons le Seigneur. Très bien. Faites venir la prochaine dame.

64        Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous essayez de croire, n’est-ce pas, soeur? Oui. Oui, madame. Eh bien, n’ayez pas peur. Vous vous surprenez. Il y a eu un temps dans votre vie, madame, où vous avez eu des obstacles. Il y a eu beaucoup de choses qui vous ont dérangée. Vous avez eu un cas de la tuberculose, n’est-ce pas? Vous souffrez de tuberculose. Et vous avez connu beaucoup d’ennuis. Oui. Et vous avez–vous avez cherché à avoir la foi. Dites donc, vous–vous êtes membre des gens de la sainteté, les pentecôtistes, ou quelque chose comme cela. N’est-ce pas vrai? Je vous ai vue dans des réunions, vous réjouissant.

            Et vous êtes des fois embarrassée lorsque vous essayez de... Vous toussez beaucoup, et souvent vous avez un prétexte, que c’est autre chose plutôt que de chercher à accepter que c’est la tuberculose. Vous n’aurez plus à faire cela, madame. C’est maintenant pour vous d’être guérie. Venez ici. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu?

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la vie, accorde la grâce à notre soeur ce soir, voyant son coeur défaillir ici. Tu es remonté là pour faire ressortir les choses de sa vie. Satan, je viens au Nom représentatif de Jésus-Christ, le Fils de Dieu: Tu as caché cela au médecin et tout, mais tu ne peux pas le cacher à Dieu. Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à cette femme et je réclame sa guérison. Sors d’elle au Nom du Seigneur Jésus. Allez, soeur, témoignez et glorifiez Dieu.

65        Disons: «Gloire au Seigneur!» Amen.

            Oh! C’est ainsi que j’aime voir les gens venir. La foi, venez comme Marie qui a dit: «Seigneur, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera, peu importe ce que c’est.» Très bien. Faites venir la dame. Très bien. Que tout le monde soit respectueux maintenant et croie de tout son coeur.

            Assistance, si seulement vous pouviez savoir comment on sent ça ici maintenant même. Quel sentiment: Grâce, grâce, grâce étonnante! Cela me paraît simplement maintenant... Evidemment, je me tiens ici et l’onction est ici. Il me semble que tout le monde dans la salle peut simplement se lever et être guéri. C’est ainsi que cela me paraît. Eh bien, essayez de vous retenir juste quelques instants si possible. Voyez? Juste si vous... C’est horrible de dire cela, mais essayez simplement, afin que ceux-ci qui sont par ici puissent avoir une idée, peut-être qu’il y a des nouveaux venus ici. Ayez foi maintenant, croyez maintenant même que Jésus va vous rétablir. Acceptez cela et priez, ayez foi.

66        Bonsoir, madame. Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Sommes-nous inconnus? Nous sommes inconnus. Je ne me rappelle pas vous avoir déjà vue. Eh bien, il y a... S’il y a quelque chose qui cloche chez vous, eh bien, il me–me–me faudra avoir un moyen de découvrir cela, d’une façon ou d’une autre. Eh bien, cela ne vous guérirait pas, si j’arrivais à savoir ce qui cloche chez vous: cela ne vous guérirait pas. Mais cela peut vous encourager. Vous vous demandez ce que je vais dire. Je ne suis pas en train de lire vos... Oui, je pense que c’est ça. C’est exact. Je–je ne veux pas dire... Je savais bien ce que vous pensiez tout à l’heure: en effet, cela m’est parvenu. Eh bien, vous savez que c’est vrai, n’est-ce pas? Vous vous demandez ce que je vais dire. Eh bien, je vais vous dire ce que je vais dire.

            Votre maladie, c’est un cas insolite. C’est difficile à comprendre: c’est une espèce de–de glande ou un tube de votre corps qui connaît une ptôse. N’est-ce pas vrai? Et je dis que c’est à partir de votre oreille jusque dans votre gorge. Qu’en est-il, est-ce vrai? Allez, Jésus-Christ vous a guérie, vous pouvez être rétablie. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

67        Rien que la foi, c’est tout. J’ai vu cela étalé comme un tube ouvert, comme cela, descendant du côté de son visage. Oh! Que c’est merveilleux! Que c’est étonnant. Il n’est pas étonnant qu’on ait dit: «Grâce étonnante! Oh! quel doux son!» Ayez foi, croyez maintenant, et Dieu fera s’accomplir cela. Croyez-vous cela? Qu’en est-il de vous tous là dans la ligne? Croyez-vous de tout votre coeur? Qu’en est-il ici? Croyez-vous? Très bien. Continuez simplement à avoir foi, Dieu fera s’accomplir cela.

68        Faites venir votre patient. Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Bonsoir, madame. Un esprit timide, c’est le genre, généralement, c’est le genre un peu timide. Vous n’avez pas beaucoup à dire, vous réfléchissez beaucoup, vous prévoyez toujours des choses en avance. Généralement, cela n’arrive jamais comme ça malgré tout. Mais vous avez eu un bon enseignement. Vous–vous avez eu beaucoup d’ennuis aussi, n’est-ce pas, madame? Vous avez une fois éprouvé une grande peur dans votre vie aussi. Quelque chose, on dirait, quand vous étiez une écolière. Je pense que c’était un chien ou quelque chose comme cela. Je vois quelque chose aboyer ou continuer, et vous sautez, vous criez. Vous étiez juste une petite enfant. Et la vie a continué, continué. Récemment, vous avez été très nerveuse. Oh! Oui, voici une autre chose qui apparaît. Soeur, je suis désolé, oui, je pense que vous le savez. C’est le cancer. Et venez ici juste un instant.

            J’aimerais que vous regardiez ma main. J’aimerais que vous preniez votre main ici et que vous la déposiez sur la mienne. Regardez comment ma main change là: voyez-vous cela? Voyez-vous ces taches blanches qui parcourent ma main? C’est la vie du cancer. Je vais enlever ma main. Maintenant, cela s’arrête. Maintenant, je place ma main dessus, cela n’est pas là, n’est-ce pas? Mettez votre main ici dessus, cela n’est pas là. Vous êtes tout aussi humaine dans cette main que vous l’êtes dans cette autre, n’est-ce pas? La même main, la même personne. Eh bien, changez simplement de main, remettez l’autre, celle-ci ici. Maintenant, voyez apparaître là. Voyez-vous ce que c’est? Eh bien, observez cela juste alors que je tiens cela là un moment. Observez la main, voyez comment ça gonfle, ça noircit, de petites taches blanches qui parcourent là-dessus. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez cette main afin que l’assistance sache que c’est vrai.

69        Maintenant, enlevez simplement votre main de la mienne, bien doucement; ça y est. Maintenant, je place ma main là-dessus: Ça n’y est pas, n’est-ce pas? Eh bien, je suis tout aussi humain que vous. Voyez, j’aimerais que vous remarquiez, il n’est pas question de la position dans laquelle la main se trouve. Eh bien, replacez celle-ci ici. Voyez? Eh bien, il n’est pas question de la position dans laquelle la main se trouve: c’est juste pareil. Est-ce vrai? Maintenant, je vous ai dit la vérité, n’est-ce pas, madame? Et maintenant, vous voyez donc que la vérité vous a été dite par une vision, quelque chose de naturel ici confirme que cela est aussi vrai.

            Eh bien, je ne peux pas vous en débarrasser, seule votre foi le peut. Mais ceci va être quelque chose. En effet, quelqu’un de votre genre-là, qui–qui essaie de croire. Mais vous–vous êtes–vous êtes le... Je ne sais pas exactement comment expliquer... Vous savez ce que j’essaie de dire, quelqu’un de votre genre, timide, réservé. Et c’est juste quelque chose... Vous–vous voulez croire, mais vous vous efforcez vous-même, vous y adhérez par force, mais cela ne marchera pas. Voyez? Il faut juste une foi établie comme si votre mère vous disait quand vous étiez une petite fille: «Chérie, je vais t’acheter une nouvelle robe le samedi soir.» Vous l’attendez impatiemment (Voyez?), vous attendez impatiemment de recevoir cette nouvelle robe. Eh bien, comptez de même sur Dieu pour vous guérir. Bien établie, juste... Il est votre Père céleste. Votre mère peut ne pas être en mesure d’exécuter cette obligation, mais Dieu est capable d’accomplir tout ce qu’Il vous promet. Voyez?

70        Maintenant, regardez ma main maintenant, depuis qu’elle a été là un tout petit peu. Maintenant, observez donc, quand vous enlevez votre main maintenant, ma main restera comme cela pendant quelques instants. Eh bien, vous voyez, il y a quelques instants, quand votre main venait d’être placée là juste un peu, et cela... Vous avez enlevé votre main, ma main était redevenue normale, juste une façon, n’est-ce pas? Maintenant, enlevez votre main, observez combien de temps cela reste là. Eh bien, regardez ici. Ça y est. Voyez? Voyez? Voyez-vous ce que je veux dire? Maintenant, remettez bien votre main juste là, de sorte que votre paume touche là-dessus. Le voilà apparaître, voyez, ça revient. Ça y est. Voyez cela gonfler de nouveau, ça noircit. Très bien.

            Ecoutez, madame, je veux que vous veniez dans cette direction juste une minute, pour édifier donc votre foi. Maintenant, dans votre cas, ça va être un défi. Et le défi va être... va consister à ordonner que cela parte. Eh bien, si je devais faire sortir cela par la force par ma propre foi, car Dieu m’a promis que si je suis sincère... Cela peut vous quitter maintenant, et vous le saurez. Mais alors, quant à savoir si cela va rester loin de vous, c’est autre chose. En effet, quand l’esprit impur sort d’un homme, il va dans des lieux arides. Ensuite, il revient, est-ce vrai? Et si le maître de la maison n’est pas là pour lui résister, il entrera.

71        Maintenant, ce que nous cherchons à avoir, c’est plus de force dans le maître de votre maison, qui est la foi. Est-ce vrai? Maintenant, si vous pouvez regarder ici maintenant et voir cela par révélation, par quelque chose de physique qui se manifeste présentement sur votre main, sur ma main plutôt, que quelque chose qui se passe... Voyez-vous comment cela vient par vagues comme cela?

            Maintenant, assistance, je ne sais pas si vous pouvez voir cela ou pas, regardez ici. Maintenant, ça y est. Voyez-vous cela apparaître? Observez cela partir. Maintenant, cela s’en va. Voyez? Eh bien, cela revient, regardez, ça y est; voyez-vous ça? Regardez cela partir. Ecoutez cela faire: «Thrrr.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Juste un instant, ne–ne laissez pas cela inspirer la peur. Eh bien, voyez-vous cela? Voyez-vous cela? Eh bien, observez. Maintenant, voilà cela partir: cela revient ici: regardez ça. Cela vient ici, cela va là. Maintenant, qu’est-ce? C’est une grosseur maligne qui est là, vivante, un démon, hideux, noir. Et cette chose-là sait. Voyez, elle est une dame: moi, je suis un homme. Nous sommes tous deux des humains. Elle a un esprit qui cherche à croire, il y a quelque chose ici qui croit en fait. Et l’unique chose, c’est d’élever sa foi à un niveau où elle croit réellement. Cela doit quitter. Cela doit quitter. Cela le sait. Et si cela–et si cela–si cela–si cela le doit, si cela quitte, et qu’ensuite sa foi reste là, elle l’expulsera.

72        Suivez. Je vois un aveugle venir à l’estrade, recouvrer la vue et lire la Bible. Deux ou trois jours après, il revient tout aussi aveugle qu’il était auparavant. Vous dites: «Pendant combien de temps dure la guérison divine?» Aussi longtemps que dure votre foi. «Pendant combien de temps dure le salut?» Aussi longtemps que dure la foi. Est-ce vrai? Très bien. Si Dieu peut faire partir cela ici, Il peut garder cela au loin. La même foi.

            Maintenant, regardez ma main là maintenant. J’aimerais que vous observiez ma main ici. Laissez-moi, afin que je permette à l’assistance... Maintenant, voyez-vous ma main? J’aimerais que vous regardiez ici. Je vais placer ma main là-dessus, juste dans ce sens, afin que vous voyiez. Voyez comment cela paraît lisse, blanc. Maintenant, prenez cette main, madame, maintenant déposez cette main là-dessus. Voyez-vous comment c’est lisse et blanc, voyez maintenant, tout aussi lisse et blanc que possible.

            Maintenant, je place ma main dessus. Maintenant, observez quand je place cette main ici dessus. Maintenant, placez cette main ici même, madame, dessus. Maintenant, regardez là. Regardez ici, voyez-vous ces grosses taches blanches qui parcourent là? C’est la vie de ce cancer-là. Maintenant, cela a pris peur: cela sait que ça doit quitter si seulement la foi croit.

            Maintenant, regardez madame, maintenant le... Regardez celle là. Voyez-vous comment ça s’est déteint? C’est un trouble gynécologique aussi, ça se heurtait aussi là. Vous saviez cela. Oui, oui. Oui. Oh! la la! Dites donc, vous avez connu des ennuis, n’est-ce pas, madame? Vous avez subi des interventions chirurgicales auparavant à cause des grosseurs aussi, n’est-ce pas? Très bien.

73        Maintenant, j’aimerais que vous, la patiente, vous vous approchiez. Je–j’aimerais placer ma main quelque part ici afin que cela ôte tous les doutes et tout. Maintenant, j’aimerais que vous regardiez ma main, soeur bien-aimée. Maintenant, vous... J’aimerais que vous... ne–ne fermez pas les yeux. Regardez ma main. Je vais demander à l’assistance parce que cette fois-ci la chose doit sortir. Je le peux par la grâce de Dieu: et par ma foi, cela partira. Mais vous êtes vraiment sûre que quelque chose arrive, n’est-ce pas? Ça y est. Cela se fait voir physiquement. La Bible dit: «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.»

            Premièrement, comme vous êtes une inconnue et que je vous révèle votre vie, et si... ce qui clochait chez vous. Cela se fait voir ici. Ça fait deux témoins. Si cela reste, tout ce que je peux dire, soeur bien-aimée, c’est que Dieu ait pitié. Vous n’aurez pas à rester longtemps ici. Mais si cela part, vous allez vivre. Eh bien, je–j’aimerais que vous croyiez avec moi, je vais prier et demander à Dieu de bien vouloir vous guérir et faire partir cela. Si cela s’arrête, c’est parti. Si ça ne s’arrête pas, ce n’est pas parti. Maintenant, c’est être sincère avec vous, n’est-ce pas, en tant–en tant qu’une dame, ma soeur.

74        Très bien. Maintenant, assistance, maintenant, rappelez-vous ceci: maintenant, recevez ceci comme un avertissement, gardez vos têtes inclinées jusqu’à ce que vous m’entendiez dire: «Relevez la tête.» Car ceci n’est pas... Eh bien, si j’ordonnais à cela de partir et que ça partait, c’est en ordre. Mais quand il vous faut chasser cela, cela a attaqué.

            Maintenant, j’aimerais vous poser une question, prédicateurs. Jésus a dit: «En Mon Nom, ils chasseront des démons.» Est-ce vrai? Ils chasseront. Eh bien, je ne dis pas que je le peux. Mais la femme saura si ça se fait, elle le saura, elle sentira cela et le saura quand cela quittera. Si cela n’arrive pas, la femme ne pourra pas vivre longtemps.

            Maintenant, madame, regardez et croyez. Croyez que ce qui vous est dit maintenant vient de l’Esprit de Dieu. Très bien. Inclinez la tête, à l’intérieur et dehors. Maintenant, j’aimerais que vous observiez: soyez-en juge. Maintenant, voyez, c’est vous qui souffrez du cancer. Cela ne peut plus vous déranger. Voyez? Maintenant, je vais essayer de poser ma main quelque part. Maintenant, voyez-vous comment, quelle couleur est-ce? Maintenant, regardez cette main ici. Eh bien, je vais essayer de ne pas du tout bouger la main.

75        Notre Père céleste, ce n’est pas pour faire le malin, Père, que je fais ceci, Tu connais mon coeur. Je fais ceci uniquement, pour cette pauvre femme ici debout, une jeune femme qui a encore beaucoup de vie: mais elle est dans un état critique. Je Te demande d’être miséricordieux envers elle. Accorde, Seigneur, qu’elle soit guérie. Elle veut vivre comme nous tous. Nous voulons tous vivre, et elle fait des efforts. Et maintenant, Dieu bien-aimé, cette pauvre petite créature timide, je sais que peut-être des gens qui souffrent des maladies mineures mèneront une vie ordinaire. Mais nous savons qu’avec ce cancer, elle ne peut pas vivre longtemps sans Ton assistance. Et je Te prie, ô Dieu, d’aider. Et aide ma foi, Seigneur, à croire de tout mon coeur. Et envoie la puissance et l’onction de Ton Ange, qu’Il–Il... le Sang de Christ s’interpose entre moi et cet ennemi.

            Et maintenant, Satan appelé cancer, je viens dans ce duel de la foi, confessant solennellement la foi en Jésus-Christ, faisant valoir un don divin qui m’a été donné par un Ange de Dieu à l’heure où je suis né dans ce monde, il a été confirmé à travers le monde. Et Tu sais tout à Son sujet. Et cette femme vient ce soir pour être secourue, et je viens dans ce canal de la foi, dans un défi. Je soutiens que Tu ne peux pas retenir davantage cette femme. Sors d’elle. Au Nom de Jésus-Christ, quitte la femme. Toi, démon, sors de la femme.

76        Que tout le monde soit respectueux, il la retient encore. Elle observe ma main. Cela est toujours là, n’est-ce pas, soeur? Avant que j’ouvre mes yeux. Que tout le monde soit respectueux. Soyez en prière.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, Tu as promis ceci, Seigneur. Je Te crois. Oh! Exauce ma prière, exauce Ton serviteur, Seigneur. Donne quelque chose à notre soeur: elle cherche à croire, Seigneur. Accorde-le.

            Toi démon, au Nom de Jésus-Christ, sors de la femme.

            Maintenant, tout le monde: voilà cela partir. Gardez–gardez vos têtes inclinées partout. Voilà cela partir, madame.

            Maintenant, avant que j’ouvre les yeux, vous regardez ma main: cela a quitté, n’est-ce pas? Ma main est redevenue normale, est-ce vrai? La dame, la patiente, je vous demande de parler. Oui, d’accord, ouvrez les yeux avant moi, tout le monde. J’aimerais que vous regardiez ma main. Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas, soeur? A votre avis, qu’est-il arrivé? [La soeur dit: «Je suis guérie.»–N.D.E.] Vous êtes guérie, c’est vrai, soeur.

            Maintenant, observez-la, assistance. Voyez-vous ma main? Maintenant, enlevez votre main. Placez celle-ci ici. Maintenant, placez celle-ci ici dessus, maintenant, placez celle-ci dessus. Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas, soeur? Vous savez cela en regardant physiquement, n’est-ce pas? Regardez, assistance, la même main, la même position, la même place, partout. Est-ce vrai? Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Vous êtes guérie, soeur. Quittez l’estrade en vous réjouissant et soyez guérie. Maintenant, tout le monde, soyez aussi respectueux que possible.

77        C’est vous la patiente, n’est-ce pas? Très bien, soeur bien-aimée, croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu est ici pour vous rétablir? Vous croyez. Eh bien, que pensez-vous de tout ceci? Croyez-vous que c’est la fo-... la puissance du Dieu Tout-Puissant? Vous... Cela ne peut être rien d’autre. Eh bien, vous souffrez des nerfs depuis longtemps. Vous n’êtes pas bien portante depuis longtemps. Autre chose, vous avez... Oh! Oui, vous avez un mal de dos, n’est-ce pas, madame? Je pense qu’il y a quelque chose qui cloche dans l’un des disques de votre dos. N’est-ce pas vrai? Est-ce vrai? Venez ici. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu?

            Notre Père céleste, je réclame la guérison de ma soeur ce soir, alors que je lui impose les mains au Nom de Jésus-Christ. Que ce démon la lâche. Sors d’elle.

            Maintenant, inclinez-vous. Très bien. La voici, sa colonne vertébrale était désarticulée, c’est rétabli. Que Dieu vous bénisse, soeur, vous êtes guérie. Quittez l’estrade en vous réjouissant. Disons: «Gloire au seigneur!»

78        Me croyez-vous, soeur? Que Dieu vous bénisse. Je n’oublierai jamais: je pense que vous êtes la première dame de couleur qui est montée à l’estrade depuis que je suis dans cette série de réunions. Je n’oublie jamais une chose qui est arrivée une fois à Jonesboro, dans l’Arkansas. Une jeune fille de couleur passait au milieu de la foule en criant, une aveugle. Et j’ai prié pour elle derrière le bâtiment. Beaucoup parmi vous ont entendu le témoignage, n’est-ce pas? Une pauvre créature, personne ne lui accordait de l’attention.

            Et elle s’avançait. Je me tenais là dehors, cherchant à entrer, environ vingt-huit mille personnes couvraient le lieu, et je cherchais à entrer dans le bâtiment. Une dame avait été guérie du cancer: on disait qu’elle était morte. Je ne sais pas: je pense qu’elle était dans le coma.

79        Mais je me rappelle quand elle s’est cognée à moi, elle a dit: «Excusez-moi.»

            J’ai dit: «Que voulez-vous?»

            Elle a dit: «J’ai perdu mon père.» Elle a dit: «Je n’arrive pas à le retrouver et je suis aveugle, monsieur.»

            Et j’ai dit: «D’où venez-vous?»

            Elle a dit: «De Memphis.»

            Et j’ai dit... J’ai regardé là et j’ai vu tout un tas de bus affrétés, j’étais à Jonesboro. J’ai regardé et j’ai vu des bus affrétés parqués là: j’ai vu l’un d’eux, il y était mentionné: Memphis. J’ai dit: «Que faites-vous ici?»

            Elle a dit: «Je suis venue voir le guérisseur.»

            Et j’ai dit: «Le quoi?»

            Elle a dit: «Le guérisseur.»

            Il n’y avait personne là, huit jours, c’est là que j’étais resté à l’estrade quatre jours et quatre nuits sans même quitter l’estrade, en train de prier pour les malades. Je dormais à l’estrade, je mangeais à l’estrade, ce que je mange. Et j’ai dit: «Croyez-vous que c’est vrai?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, avec tous les bons médecins que nous avons...»

            Elle a dit: «Monsieur, quand j’étais une petite fille, j’ai vu des cataractes me venir aux yeux. Le médecin m’a dit que quand cela mûrirait (Je ne sais pas ce qu’elle voulait dire par là), on les enlèverait.» Et elle a dit: «Or, ils se sont enroulés autour de mes nerfs optiques. Si on les enlevait, on m’arracherait les yeux.» Et elle a dit: «J’ai suivi ce matin à la radio qu’un homme venu d’ici à Kennett, aveugle pendant douze ans, a recouvré la vue.» C’est ce qui était arrivé ce matin-là. Elle a dit: «Je suis venue voir si je peux voir cet homme.» Elle a dit: «On me dit que je ne peux même pas m’approcher du bâtiment.» Elle a dit: «J’ai perdu mon père et je–je suis aveugle, personne ne veut m’aider à regagner le bus.»

            Et j’ai dit: «Croyez-vous ce qu’il en est de cet Ange-là?

            Elle a dit: «Oui, monsieur.» Et elle a dit...

            J’ai dit: «Croyez-vous que si cet homme-là priait pour vous, vous seriez guérie?»

            Elle a dit: «Je vais vous dire ce que vous avez à faire. Si vous me tenez par la main et que vous me conduisiez là où il est, je serai en mesure de trouver mon père après.» C’était trop pour moi. J’ai dit: «Croyez-vous que c’est vrai?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur.»

            J’ai dit: «Peut-être que c’est moi que vous êtes censée voir.» Et elle m’a saisi: elle a dit: «Est-ce vous le guérisseur?»

            J’ai dit: «Non, mam’selle, c’est moi frère Branham.» J’ai dit: «C’est Jésus qui est le Guérisseur.»

            Elle a dit: «Frère Branham, ne me laissez pas.» Une pauvre jeune fille aveugle là debout...

            Et j’ai dit: «Assurément, je ne le ferais pas, soeur. Je suis sûr que Dieu ne le fera pas.»

            Et je n’oublierai jamais, je l’ai tenue par la main et j’ai dit: «Seigneur Jésus, il y a quelques mille neuf cents ans, une vieille croix rugueuse était tirée dans les rues de Jérusalem, et cela effaçait les empreintes des pas de Celui qui la portait, Son pauvre petit corps frêle, mince, tombait sous le fardeau...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

80        ... Nom de Jésus-Christ, recevez votre guérison, mère. Quittez l’estrade et soyez guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse, allez en vous réjouissant et soyez heureuse. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ... diabète. Allez et soyez guéri, mon frère, au Nom du Seigneur Jésus-Christ...?...

            Très bien. Faites venir la dame ici. Très bien, soeur, oui, croyez-vous? Très bien. Gardez cette tumeur après qu’elle vous aura quittée, envoyez-la-moi. Que Dieu vous bénisse, soeur. Amen.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Venez, soeur: croyez-vous? N’aimeriez-vous pas être débarrassée de cet asthme-là? Mettez-vous à respirer au Nom du Seigneur Jésus et recevez votre guérison? Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Venez, madame: croyez-vous, soeur? Vous aimeriez guérir de cette maladie du coeur, n’est-ce pas? Allez recevoir votre guérison au Nom du Seigneur.

            Disons: «Gloire au Seigneur!», tout le monde. Croyez-vous?

            Bonsoir, soeur. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous aimeriez être débarrassée de ce cancer, n’est-ce pas? Allez et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus et soyez bien portante.

81        C’est ça, amis. Croyez. Que pensez-vous, vous assise là-bas, soeur: croyez-vous de tout votre coeur? Vous aimeriez être débarrassée de ce mal de dos, n’est-ce pas? Quittez l’estrade par l’autre côté: vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse.

            C’est ainsi qu’il vous faut croire cela. Maintenant, vous le faites: maintenant, vous venez comme il faut. Très bien.

            Très bien, venez, madame. Qu’en pensez-vous? Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Votre affection rénale vous a quittée, soeur, pendant que vous traversiez l’estrade. Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Maintenant, vous croyez. Juste un instant. Quand je me suis retourné, cette dame a été guérie, celle avec ce... Oui, cette dame grisonnante, assise ici, juste là derrière, en robe à pois verts. Vous souffriez aussi de dos, n’est-ce pas, soeur? Très bien, vous êtes guérie maintenant. Vous pouvez aller et être bien portante. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

82        Faites venir la dame. Très bien, soeur: qu’en pensez-vous? Croyez-vous? Placez votre mouchoir dans l’autre main, placez votre main sur la mienne. Qu’est-ce que cela vous semble? Un spectacle étrange là, n’est-ce pas? C’est le cancer. Venez ici juste un instant. Vous savez, quand l’Ange du Seigneur m’a rencontré, c’était la première chose qu’Il avait mentionnée: «Même le cancer ne résistera pas à la prière.» Croyez-vous cela? J’aimerais que vous répétiez cela et que vous observiez ma main. Répétez cela tel que je le dis, du fond de votre coeur.

            Seigneur Jésus... Maintenant, j’aimerais que vous observiez, voyez-vous cela bouger sur ma main? Seigneur Jésus [La dame répète après frère Branham.–N.D.E.] Je crois en Toi. Je T’accepte comme mon Guérisseur. Je crois que c’était un Etre surnaturel qui a dit ces choses à frère Branham. Je crois que Sa Présence est ici maintenant. J’accepte ma guérison.

            Maintenant, qu’est-il arrivé? Quelque chose a changé là, n’est-ce pas? Les vibrations se sont arrêtées, n’est-ce pas? Votre foi vous a guérie, soeur, votre cancer est mort et parti. Que Dieu vous bénisse.

83        Oh! la la! Pauvre petit enfant. Portez-le: amenez-le ici. Un petit garçon, avec l’armature orthopédique à sa jambe. Viens ici, chéri. Tu aimes Jésus, chéri? Tout le monde, inclinez la tête juste un instant, un petit garçon estropié.

            Notre père céleste, nous Te remercions pour la simplicité d’enfant. Nous Te remercions pour ce petit enfant chéri. Et je Te prie, Dieu bien-aimé, de guérir cette petite créature ce soir. Cet ennemi horrible a frappé ce petit garçon dans sa jeunesse. Mais je serre son petit corps contre le mien et je Te demande au Nom du Seigneur Jésus-Christ de le guérir. Que ceci le quitte. Sors de lui, toi démon, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Très bien, petit garçon. Est-ce vous la maman de l’enfant? Très bien, amenez l’enfant là en bas, et ôtez-lui l’armature orthopédique, ramenez-le sur... à l’estrade ici en train de marcher sans cela. Dieu a guéri l’enfant.

84        Très bien, venez, madame. Croyez-vous? M’acceptez-vous en tant que serviteur de Dieu? (...?... Est-ce vrai...?... Est-ce vrai...?... Comment ai-je su... Est-ce vrai? Vous allez vous rétablir maintenant. C’était un abcès qui était à la base de cela, de cet écoulement, voyez.) Rien d’anormal, c’est juste quelque chose qui ne pouvait pas être dit devant cette assistance, que seul le Dieu Tout-Puissant sait. Qu’en est-il de cela, soeur? Est-ce vrai? Il n’y a que Dieu seul qui était là, quand cela était arrivé, c’est vrai. La dame et Dieu seul. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Rentrez chez vous, car Jésus vous a guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Etes-vous un croyant? De tout votre coeur? De toute votre pensée? De toute votre âme? Oh! Il est si merveilleux. Il est ici pour guérir chacun de vous. Ne croyez-vous pas cela? Bébé, ça va, amenez-le à l’estra-... Voici venir le petit garçon, son armature orthopédique enlevée. Disons: «Gloire au Seigneur!» Tout... Voilà l’enfant victime de la polio, il avait un pied recroquevillé, son pied le chatouille pour courir. Disons: «Gloire au Seigneur!» Que Dieu vous bénisse, frère.

85        Croyez-vous? Qu’en pensez-vous? Jésus est ici. Qu’en pensez-vous, frère? Amen. Qu’en pensez-vous, monsieur en chemise blanche, assis là? Vous aimeriez guérir de cette hernie, n’est-ce pas? Amen. Très bien, levez-vous debout et recevez cela, au Nom du Seigneur Jésus.

            Qu’en est-il de votre femme assise là souffrant de cette tumeur? Vous aimeriez aussi en guérir, n’est-ce pas, madame? Levez-vous et recevez cela au Nom du Seigneur Jésus. Alléluia!

            Il y a... Qu’en est-il de la jeune dame assisse là souffrant d’épilepsie? Voulez-vous en guérir, madame? Si oui, levez-vous, et recevez cela au Nom du Seigneur Jésus. Alléluia!

            Juste un instant, soyez bien respectueux, juste un instant. Oh! Si seulement vous saviez. Où sont les ministres de Dieu qui croient dans la guérison divine? Venez ici, ministres, venez ici devant moi juste dans une minute, ministres de l’Evangile qui croient dans la guérison divine. Je vais vous montrer la gloire du Seigneur. Alignez-vous ici devant moi, juste un instant.

86        Un jour, cela a eu lieu, c’était si glorieux que notre Maître ne pouvait pas toucher les gens. Il a envoyé soixante-dix autres. Mes frères, croyez-vous dans ceci de tout votre coeur? Combien ici présents sont malades et nécessiteux? Eparpillez-vous de ce côté-ci, frères, éloignez-vous d’ici, formez une longue ligne. Vous les ministres qui vous tenez juste dans ce sens maintenant, tournez-vous dans cette direction. Vous dans cette ligne-ci, tournez-vous de ce côté. Et vous dans cette ligne-là, tournez de ce côté-ci. Vous dans cette ligne ici, tournez de ce côté-là.

            Combien croient que la gloire de Dieu est sur le point de descendre sur cette salle et qu’il n’y aura pas un seul faible parmi nous? Je crois qu’Il est ici. Mes frères, au Nom du Seigneur Jésus, je vous demande de représenter mes mains et les mains de Dieu ce soir, et je vais me tenir à ce microphone, incliner ma tête en prière pendant que vous vous mettez à imposer les mains à ces gens. Et je crois qu’il n’y aura personne de faible au milieu de nous quand vous aurez terminé d’imposer les mains aux malades.

87        Et j’aimerais que chaque personne malade ici présente, qui est malade et qui aimerait être guérie, se tienne debout maintenant même, vous qui le pouvez. Tournez-vous de ce côté-ci, ministres, ne manquez pas de toucher tout le monde. Très bien. Vous les malades, imposez-vous les mains les uns aux autres. Tournez-vous de ce côté-ci, ministres, vers l’assistance. Etes-vous maintenant prêts à recevoir votre guérison? C’est bien, la dame est déjà guérie, pendant qu’elle se tient là. Il y en a un autre qui est guéri pendant qu’il se tient là même. Que Dieu vous bénisse, oui, frère. Vous y êtes: vous en avez fini avec ça. Jetez cela de... C’est bien. Il y a quelqu’un qui est guéri de l’asthme pendant qu’il se tient là même. Cette dame, Il a guéri son cancer pendant qu’elle se tient là même. Tenez, cette dame qui est debout là même avec...?... est guérie. Cet homme-là, de ses yeux. Dieu vous a guéri, mon frère. Là.

88        Ministres, avancez au Nom du Seigneur, imposez-leur les mains.

            Dieu Tout-Puissant, nous venons à Toi en ce moment crucial, croyant que Tu es ici. Seigneur Dieu, nous Te représentons maintenant par l’imposition des mains aux malades.

            Satan, tu as perdu la bataille. Toi démon, je t’adjure de sortir de ces gens au Nom de Jésus-Christ, quitte chacun d’eux.

            Je demande, au Nom de Jésus-Christ, que les boiteux se mettent debout.

            Voici les boiteux sortir des fauteuils roulants, un boiteux se lève. Les gens sont guéris. Acceptez cela maintenant même. Levez les mains et rendez gloire à Dieu. Il y a une femme estropiée, une autre femme estropiée, un homme estropié. La puissance de Dieu est ici. Allez de l’avant, au Nom du Seigneur...?...

E-1 Thank you very much. Good evening, friends. I'm happy to be back here again tonight. Just sorry it is the last night of this series of meetings. I don't know whether it'll be my last night in the area or not, because I may be back again if you all will let me, and the Lord will permit it, and I get to come back again. [Audience applauds.--Ed.] Thank you. Thank you so much. Makes me feel double welcome. And if the Lord will grant, the next time it maybe not be just a few nights like this. It's just such a shame looks like. Now, we're just now getting into a place that where the people are just beginning to get healed (You see?), just moving up.
The ushers was just telling me about last night; my strength give away. I'm sorry that I just can't stay no longer than what I do, because my strength is just about gone. Oh, my, if you only knew how weak I was. Sometimes I try to put a--throw my shoulders back when... Oh, my, if you just knowed what was behind that. But I'm trying my very best to do all that I can. I'm really weak tonight.

E-2 Last night I was trying to say about the lady was setting right here, that was in the wheelchair. I seen her going walking. And I was trying to tell her, and I just couldn't get my breath out enough to get it. And then when I got outside, the ushers, I said, "Go back and tell the lady, them braces, to walk, that Christ has healed her." They told me a few minutes ago she just took off her braces and was walking and was well. So that was fine.
And this afternoon, the lady that was here, and the Spirit of the Lord fell and pointed to her; the first time she'd walked in I don't know how long, setting in a wheelchair. Now she's walking. How the Lord has granted these things. And great testimonies going out...

E-3 I met a lady tonight while we were having our dinner in a place, that was in the meeting in Windsor, Ontario. I think she was going to speak, did she tonight? A lady that was just... Cancer had eat her completely up in here, and the doctors just give her a short time. And how that the Lord moved down and told her, "You're going to live." See? No matter what the, what others think, said, "That's first."
Now, what if she hadn't have believed that? And when she got... Went off in a few days, got a little worse than what she was; she thought, "Well, that man just told me something that was wrong." Well then, she'd have went on and died. But she believed what was said was the truth, and God rewarded it.

E-4 As I told you before, many times, time and sight is the worse enemies that God has, time and sight. You look, and neither one of them declares anything about God. You want it done spontaneously, when God takes His time about things. And let's just believe whatever's said.
I don't know; it was a few weeks ago that some of the most remarkable testimonies came in. And I wondered about that meeting, why there wasn't so--too many just spontaneous healings taking place. Well, I didn't know. And come to find out that... And while I was here a lady just called me while I was here and telling me. It was several days after the meeting that a--a lady had a stomach trouble, and it was so bad she could hardly, just couldn't eat nothing but just drink barley water and so forth, very serious ulcers. And said that, I told her she was going to be well.

E-5 And she said, "Brother, it went on for weeks, three or four weeks, and still nothing had happened." And she just kept believing; she wouldn't give up. And one morning she tried to eat some toast. And oh, said, "How her stomach burned her, till she could hardly stand it." And said, "She was crying at the window washing the dishes, crying." And said, "While she was crying, a real cool feeling come over her." Said, she said, "Well, something... And she tried to wash dishes; she got so nervous, and she turned around," and said, "her stomach was just as cool." And she eat some oats some of them had left there. And it didn't bother her. She drank a cup of coffee, which she hadn't been able to do for a long time. Didn't bother her. And she was so happy she run down the street a ways to her neighbor, to tell her neighbor about it had been to the meeting. And the neighbor had also been pronounced, was going to be healed. She was going to tell her neighbor not to be discouraged, 'cause it had to happen. The neighbor had a big growth on her neck.
And she found her neighbor down in the floor screaming to the top of her voice. The growth had just left her neck a few minutes before that. And you know what it was? It--it was the Angel of the Lord passing through that neighborhood of those things that'd--He had pronounced. If He pronounces it, it's His obligation, not mine or yours. See? It's your obligation to keep on believing. It's my obligation to stay here and work for Him. It's your obligation to believe what He tells you, and God will bring it to pass.

E-6 Now, they can't always answer spontaneously. When Paul was out on the ocean that night, and fourteen days and nights without moon or stars, why, all hopes was gone. Is that right? No hopes at all, on those seaman, oh, men with barnacles on them almost, they'd been in the sea so long. And they said, "All hopes is gone if they should ever live."
And Paul was down in the gallery, and the Angel of the Lord came to him. He run up on top the deck and said, "Be of a good courage; be of a good courage; for the Angel of God Whose servant I am, stood by me and told me last night." See, that, "Paul you're going to appear before the emperor and so forth; and God's give them all that sail with you." And he said, "Be of a good courage, for I believe God, that it shall be just as it was shown me."
And they taken and eaten--eating, was encouraged because they believed. Paul believed that what God told him was the truth. Now, it was several days before they was ever shipwrecked or got on the island. But God brought it to pass, because they believed it. Don't you fear.

E-7 Now, I want you to listen to me. The last two nights, I'll say this: I believe if I... May God help me not--not to exaggerate, but just be honest as I believe from my heart. From the pull of the strength that's taking from me in this meeting, there's at least two hundred people setting here right now that's already healed. You just don't recognize it; you just don't recognize it. There's people here that I know that's healed. Just who, sometime it's such a conglomeration there, I can't tell where it's at. But it's just...
You just imagine; you take five hundred stations pulling into one radio at one time. See? It's hard. And I just raise up my hands sometimes and thank God and go [Blank.spot.on.tape--Ed.] It--it's true it's... Do you believe it? God has spoken that I tell you the truth, and it is so.

E-8 And you'll see many of these crippled people that's now--that's here now that's really crippled, they're going get well, just as certain as anything. They're going to get well. And they're--they're going to be, get all right, many of them. There's some of them, I see them. There's some of the people here with heart trouble, that's going to be all right. Some here with cancer, they're going to be all right. And there's been people that's passed across the platform here, that isn't going to be all right. And that's right. Unless God changes things some way. For I seen them come here and seen the very death rate rip itself, hang over them. And I--I know that they can't go long--long, unless God has something to do into it.
But now, their prayer can change that. I never say nothing. A lady passed by the other night. That lady, I knew I was real weak, and when she came by, when she looked up, I said, "Do you believe?"
The woman said, "Yes."
I just had a little more strength; I would've have told her, "You just think you do."
Faith is something that you; it's absolutely; it's not just what you imagine; it's--it's a--it's a reality. Many people... I say this with humble humility, because I--I may never be--see you all again from tonight. There probably is people here I'll never see again in my life. But I say that eighty percent of the people that comes to the platform, doesn't know what faith is. They have a hope, but not faith. But "Faith is the substance of things hoped for, the evidence of things not seen."

E-9 Look here, young man, you stand there. Usher, I want you to come here just a minute. And just stand here just one... Not to make you a public show to the people; I just want for an illustration. Now, walk just a little closer. How many--how many people in here know how many senses that govern the human body, control the human body, let's see your hands? How many is there? [The congregation replies, "Five."--Ed.]
See if I name them correctly: see, taste, feel, smell, hear. Is that right? Now, that's what control the natural man. Now, I'm going to look this way. Now, standing before me is a young man. He has brown hair. He has a blue coat on, a white shirt with a blue and white striped tie. I want you to turn this way, young man. How many believes that that's the truth? How do you know it's the truth? You have a sense you possess...

E-10 Now, there's man--people setting here who are blind that cannot see that; they don't know it. See, they have to take my word for that, and your word. But the man is standing there. But we're blessed tonight, we who can see, by the mercies of God, that that's the truth. Now, sense of sight declares it.
Now, how many's heard this expression, that "Seeing is believing." All right. That man is still standing there, and I do not see him. Is seeing believing? No, sir. You want to argue with me he's not there? Well now, you can't do that. He's standing there. And I know he's there. "Well," you say, "no, he left, Brother Branham."
No, he didn't; no, sir, he's there. You try to argue me out of it now. You can't do it. And I do not see him; it's impossible for me to see him now. Is that right? But I know he's there. How do you think I know he's there? [Audience answers, "You feel him."--Ed.]
That's right, then seeing's not believing, is it? Feeling's believing in this. Now, that's the sense of feeling, that he's standing there. Now watch, now I cannot feel him at all. That sense doesn't work at all; I can't feel a thing. But I know he's there. Why? I see him. So there's two separate senses altogether. Is that right?

E-11 For instance, the music would go to playing. Could you see it? I thought seeing was believing. Seeing is not believing. All right, could you feel it? Could you taste it? Could you smell it? How do you know it was playing? [Audience answers, "You hear it."--Ed.] That's correct. Then seeing is not believing.
Now, if this young man, standing there now; I see him and I know he's there by the sense of sight. I can't feel him, no other way I can contact him. Now, I know he's there, because the sense of feeling says he's there. And that's a reality.
Now, everyone that has those same senses would know the same thing. Thank you, young brother. Now, what is faith? Faith is the substance of things hoped for, the evidence of things you do not see, taste, feel, smell, or hear. But it's just as real as what the sense of feeling or seeing is. You know what I mean?
You... How many here with good sight says I got on a white shirt? How many believes that? You believe that's a white shirt? What if I told you it was red. Would you believe it? No, sir, you'd say that shirt was white.

E-12 Now, how many believes in Divine healing? How many believes that Christ healed you back there nineteen hundred years ago when He died for you? If you believe that, if your faith declares that, that you're healed right now, just as much as the sense of sight says that that's white; it's over. There it is. See? It's a reality. It's not just a myth; it's not something imagined; it's--it's actually, you know it. There's no--no doubt nowhere; it's just all wiped out; it's gone; you know it.
Now, like the young man sitting here in the chair. Young man, if you believe that your affliction's going to leave you now, and believe that Christ is going to make you well, your faith is strong enough to do it just as your sight says that's white, it's over, brother, you have to get well. That's right. Just the same as these other cripples that's been setting here.

E-13 Now, most the time, when people are crippled... I--I very seldom call a cripple until I see them healed. Because the people... In the meetings there's always critics, and they look at the cripple and say, "Well, anybody with some sense knows that person's crippled, why tell them that?" I usually try to get the people that doesn't look like got anything wrong with them (See?), or something like that. And sometimes I'll start down a row, and just keep going down a row, till I find a sinner somewhere, like that. Where they're Christian, Christian, Christian, when I contact somebody that's a sinner, or something in their life, It'll call it out. Is that true? Has that been true? All right (See?), It'll call that out. Sometime I'll just go down a row, till I find it, maybe start down a row and can't find one, or start somewhere else and see if I can find a sinner somewhere, to where It'll call that person out. I don't know who they are in that mass, but I've got to contact each individual like that. Now, that doesn't heal them, but sometimes that builds the faith to where they can be healed.

E-14 Now, God has been good to you; God is with you. And I want you to believe Him with all your heart. And now remember, many of you are going to be well. Many of you are going to get well; that's the truth. And now, I want... Brother Baxter said just a few moments ago, speaking to me, said, "Brother Branham, we got all of our debts paid up, and they taken up a love offering for you. Now, that makes me feel little too. You see? I--I didn't necessary want you to do that. But being that I'm going overseas, have to leave the family for awhile, and when I come back I won't have any... I was going to get me my job back till the Lord told me what to do, as a patrolman, back on walking high-lines for the public service company, till the Lord spoke to me and told me what to do. And Brother Baxter said, "Brother Branham, that'd be a stumbling block to the people."
And I--I want to get alone, what I want to do is to myself, and pray. Because I believe this now is, God by His grace, has let me spearhead a revival that's swept the world in the beginning. See? Now, I believe there's something coming that's going to be a double portion to the church. And I feel that down in my heart.

E-15 Now, back yonder the last sermon I preached in my Tabernacle was on David and Goliath. And I said, here, even my own Baptist bishop stood there and said, "What'd you eat that night?" Said, "You had a nightmare."
I said, "No, sir, and I don't appreciate that. I said, "No. It was the truth, to me it was real."
And he said, "You with your grammar school education is going to pray for kings, and great men, and--and statesmen and so forth, are going to be healed?"
I said, "Yes, sir."
He said, "Well, how do you get that?" Said, "You'd better go back over at your Tabernacle and forget about it."
I said, "How can I forget about it, when it's wrote indelible by the Blood of Christ across my heart." I said, "You'll--you'll see."
And he said, "I'll be listening."
And you seen the "Voice of Healing" here recently what he apologized. And he's praying for the sick himself now. So that... He said, "If I'd hadn't been so backslidden, I'd have listened to the boy and paid attention to what he said about visions." You read what the Doctor Davis said.

E-16 All right, but that... See, when God speaks anything, though it linger, it's got to come to pass. Now, I believe that God was going to do it, and there was that great modernistic day of scientist and everything standing out there and saying, "Days of miracles are past," and so forth. But God said, "Go."
Now, I... Like David of old, he couldn't slay all the Philistines, but if he could only kill that boaster out there, Goliath. And so, when Goliath was slain, all Israel took courage and away they went. And they beat the Philistines plumb back into their gates.
Well now, that's the way it's been now. Ministers has seen the vision. And Divine healing now, even the--the Presbyterian church in New York, and all them's, practicing Divine healing, having healing services on Wednesday night. Colleges are adopting it, throughout the world. In Korea they had a Divine healing service here not long ago in Korea and thousands got healed. Down in Japan, everywhere, from Australia, and around the world comes the news, great things going through; the books went forth, ministers read, taking courage and went out. And Divine healing has swept the world. Thank God.

E-17 "And when the enemy comes in like a flood," He said, "I'll raise up a standard against it." And I believe the enemy's a dashing, and God's here to raise up the standard. That's why I go back home, to find out. Now, Lord, I done the best I could, now what do You want me to do next? And you pray for me, will you? And I--I'll always remember you. And thank you much. And I'll assure you friends, that the money that you gave tonight, a portion of your living... I'm sorry that we even have to do that. I never took up an offering in my life.
My wife's setting down there, she'll probably laugh when I say this. And I remember one time... I wonder, if there's an old minister here, has been around here for two or three days. And I remember, I said to wife, I said, I come in. We had a debt we just couldn't meet hardly, and I said, "Honey, I'm going to take up an offering tonight."
She said, "I'm going over to watch you."
So she got a chair and set down in it; there she was a watching me. And I said, "Uh, friends, I'm going to (ahem... um) I'm just in a little tight place," I said, "(Ahem), I'm going to..." Ha. Now, not that they wouldn't do it; they'd do anything for me.

E-18 But I'd been pastoring for twelve years, never received one penny of salary in my life. See? And I--I--I worked for a living. I was young and able, why not work. I was put here to do something, so I'd preach the Gospel in the--the night and work in daytime. I've went a many time right through with my old ragged patrol clothes on, come to a farmers house and talk to him about the Lord; they'd say, "Yes, I believe," and repent. I'd get my clothes, go right down to the river, the creek and baptize them all in the Christian faith, walk on out start on down the line, walking again.
Met a hobo on the railroad track one day and led him to Christ. Walking about a half mile to an old pond, throwed back the scum, back like that, just had to hold him down a long time to get all of his clothes wet. Brought him back up. Yes, sir, that's right. He went on the road rejoicing. Down... He wet and me too. We... And he turned one way and me the other; shook one another's hand and hugged each other, wet clothes on, going back to our work.
Why, the Lord's real, He don't have to be all dressed up to do anything. The inside's where it has to be dressed to do anything.

E-19 Then, I remember that night, we couldn't hardly make the ends meet. So I--we went over to take up an offering. And I said, "Friends, I--I--I hate to ask you," but I said, "if you got a nickel or dime," I said, "I got a little debt, and I just can't meet it, and they're pushing me," I said, "want to take up a little offering. And--and," I said, "Brother Wiseheart," bless his soul, he's in glory today, an elderly man. I said, "Go get my hat."
And he went over to get my hat. And everybody... Poor little old woman setting down there, Mrs. Webber, she went down under that little checkered apron, you know how the women used to have that pocket on the inside of the apron, pulled out that little old long pocketbook, them little snaps over the top of it. It was during the time of the depression when things was really hard. She begin to pull out those nickels, every time I see her reach in there I just feel my heart go out like that. I couldn't take that poor thing's money. I looked at her; I said, "Oh, I was just kidding you all to see what you'd do." I said, "I didn't mean that." My wife looked at me. Ha.

E-20 An old minister has been hanging around here on the street; I met him the other day up here on the street, jumping just as high as he could singing, "Old Time Religion." Name's John Ryan. Got long hair and beard; he's been around here for a few days. He--he was--rode an old bicycle down there. And he give me that bicycle. And I painted that old bicycle, and sold it for five dollars and paid off the debt. I didn't need to take up the offering, and we made the ends meet. So that was very fine. God knows all about things, doesn't He? But if I have to stand tonight before the judgment, that's one thing...
There's three things that I've watched in my life, in the reading of other ministers, when God blesses a minister just a little bit on the... Now, we're all friends, aren't we? When He blesses him just a little bit above maybe someone else, or--or give him an opportunity to do a little more work for Him or something, the first thing that Satan goes to working with that minister is three things, major things. The first thing is money, women, popularity. He will work on him with money, or if he can get him to... Like his first bait, that's like in the garden of Eden. Well, or if he can get him to thinking he's something when he ain't nothing, he's got him right then.

E-21 Well friends, before God, I honestly before God; I've shunned money. A man where his wife was healed like that, little, I believe she was a little German woman that testified here awhile ago with her breast eat off with cancer. That same thing happened in California with a man that owned Mission Bell Winery, portion. And when I baptized that group, when we standing there, and I holding on for about a day there with that cancer. The Doctor Palvetus said, "Reverend, that woman is dying."
I said, "Sir, would you walk out of the room just a little while?"
And I got him out of the room. There the loved ones standing; I kept praying; that cancer beat back against me, beat back again. And I kept on till I--I didn't eat. They wanted me to come to dinner; I wouldn't eat. And I just stayed there, that lovely big home. And after while I called that cancer; I said, "In the Name of Jesus Christ come out from the woman."
And that curtain, I hope this don't stumble you, but that curtain hanging at the bottom, while I was standing there before about two dozen people, it begin to wind up, wound plumb up against the stick like that and went "Frwit," [Brother Branham illustrates.--Ed.] dropped down and that women come to her feet; the cancer was gone.
Three days from then she was doing her shopping downtown. I baptized them in an irrigation ditch out there. And that man sold out his part and sent a check to me for over a million dollars. That's right. And I refused. The people brought it out; I said, "Don't--don't bring that to me; don't bring that to me."

E-22 In Texas and Dallas there, a rich oil man flew his--his mother in there; she was in a wheelchair. She'd been there two or three days now, I was preaching. I said, "I see an elderly woman coming in a wheelchair, gray headed, shaky." I said, "I see her rise up and go." I said, "Where is she?" Here she set out there; I said, "Woman, Jesus Christ has healed you, come to your feet."
And away she went running down through the building. Been setting there about eight years. He couldn't get to me. And the next night he got a prayer card, acting like he was sick and come into the line. As soon as he come there he said, "Brother Branham, I just wanted to get near you, put my arms around you."
And I said, "What's the matter, sir?"
He said, "Here's a check, a little check I want to give you."
I looked on there, twenty-eight thousand dollars; I said, "Oh, no, no."
He said, "Here," said, "not for saying the prayer for my mother; that isn't it," said, "I'm--I'm worth it." I see... said...
I said... Took that check and tore it up, I said, "No, sir, brother, no, sir. I--God never sent me to take money; He sent me to preach the Gospel."
I've got a little old fat wife back there, is the sweetest woman in the world. That's all. I love her with all my heart. There's no one else in the world but her to me. I love her with all that was in me can love a woman. Is my wife, the mother of my children back there. If I have to leave her ten years, I'd still love her just the way I did the day I married her.

E-23 And then, friends, popularity. I know that this is nothing but a sinner saved by grace. And God can withdraw His mercy from me any time He desires. And I realize I'm six foot of dirt, going back there someday, and that's all I am. And that's... I shun human homage, to try to keep away from people some time, when they get to say, "Brother Branham, this and all that..." I try to keep away from it. And you pray that I can always keep that in my heart, that God would be able to use me to help bring His Gospel to others. God be with you and bless you.

E-24 Quickly now, for one little finish of testimony, and then I must go. First I want you to promise me you pray for me while I'm gone. And when I return, I'll be praying. And I hope and trust to God, that some glorious day I'll be able to return back to Erie then, and have a glorious meeting. If many of you cross the divide before that time, and you get over on the other side, remember me to my friends over there, and tell them that I'm trying my best. When you run into my loved ones, and my baby, and my daddy, and them over there, tell them I'm doing the best that I can, all that I know how to do to glorify Jesus Christ, working day and night for His glory. And someday I'm expecting to come home. And may God bless you all, give you good health and strength till we meet again is my prayer.
Now, for a testimony. I was so highly elated today to meet a little friend from Finland, a minister that was in the meetings with me. And me telling about the resurrection of that little dead boy last night, you remember that? And the little girl? Why, the man knows them. And I met him today, was right with me in Finland. I shall finish the testimony, then I want the man to come for verification of what I said. That's a way across the seas, thousands and thousands.

E-25 But just before that I remember something. Brother Baxter said there's a box full of letters setting here, handkerchiefs. Now, I--I'd rather that they wouldn't be this a way. I'd rather you'd write personally to me and let me be able to take each handkerchief and pray over it. Now, this is all right; I can pray over them in a mass form; but I'd rather pray individually over each han... How many believes in that? That's the Bible.
Now, just write me, Jeffersonville, Indiana. And any time that I can do anything for you, I'll be happy to do it.
And we send out thousands, my secretary's wife setting here somewhere, who helps in the mail, Mrs. Cox. And they bring to me hundreds of yards of ribbon. And I take that ribbon and pray over it. Now, truly, the secretary and them, they make up sometimes the form and so forth, to send out. But every handkerchief and piece of ribbon that you get, I prayed over it. See? That's right. I know if it was my child was sick, or my mother, or whoever it was, I--I'd want--I'd want it done the way the Bible said do it.

E-26 Now, many of you anoint them, the handkerchiefs. That's all right; anything God will bless I'm for it. But if you'll bear record with me, Acts 19, Paul didn't anoint the handkerchiefs, he taken from his body handkerchiefs or aprons. You see? And then we send them out and you're welcome to them. If you don't have no need for one, send, get it and keep it on the Bible, Acts 19. If a child takes a croup or something like that, or something happens, lay that ribbon upon them and find out what happens. Be sincere. It's a token of faith.
But now, being these handkerchiefs are here I want to offer prayer for them, if we'll bow our heads just a moment.

E-27 Dear heavenly Father, here's several hundred letters laying here, great box, and many of them are going out to the needy and dying. We've assembled here in the Name of Thy Child, Jesus. And we know that You're with us. And You promised us, that whatever we asked, we should receive. Now, I haven't had the opportunity to read them, but You seen the people when they wrote those letters. You seen every handkerchief that was placed in there. And I ask You, dear God, as soon as they return to their proper place, may demons come out, may sickness leave. Maybe way back in some little dark room sets an old mother and dad, very sick; they're waiting for one of these handkerchiefs to return. Maybe a little baby laying with fever, just about to pass over the other side; they're waiting for the handkerchief to return. Oh, God be merciful.
And it's written one time, that when You brought Israel out of Egypt and they come right up against a mountain, the Red Sea had them bound, they could not go over. It's said by one of the writers that God looked down through that Pillar of Fire, looked at that Red Sea that had His people penned off from the promised land. And He looked down with anger, and the Red Sea got scared, moved back, and let Israel cross over into the land.
And Father, Satan, like the Red Sea, has cornered off many of Your people; they're laying bound, and afflicted, and sick. And when these handkerchiefs reach them, this token of God's grace, may the same God look through that same Pillar of Fire, and may that sickness become scared, move back, and may they cross over into that promise of good health and the three score and ten. Grant it, Father, for I go now to lay my hands and body over these handkerchiefs in commemoration of Your Word. Grant it, Lord, that each will be healed. In the Name of Thy Son, Jesus. Amen.

E-28 God bless you. May He add His blessings to every one of you. And now, just a reading of the Word, then I'm going right to have the prayer line 'cause we want to take just as many tonight till they'll have to pack me away from here if they have to. I've asked my boy and them, let me stand just long as I possibly can. And first I want to read one verse out of Isaiah 53:
Who has believed our report? and to whom is the arm of the Lord revealed?
And over in Saint John 4:46:
Jesus came again into Cana of Galilee, where he made the water wine. And there was a certain nobleman, whose son was sick at Capernaum.
And when he heard that Jesus came out of Judaea of Galilee, he went unto him, and besought him that he would come down and heal his son: for he was at the point of death.
Now, listen to this story and watch the action.
Jesus said unto him, Except you see signs and wonders, you will not believe.
The nobleman said unto him, Sir, come down ere my child die.
Jesus said unto him, Go thy way; thy son liveth... (Now, he wanted Him to come pray from his son. But He didn't do it. He said)... Go thy way; thy son liveth... (watch,)... And... ("and" is a conjunction)... And the man believed the word that Jesus... spoke unto him, and... went his way... (Obedience.)
And when he was now coming down, his servant met him, and said unto him, Thy son liveth. (That was the next day.)
Then enquired he of them the hour he begin to amend... (Get better.)... And they said unto him, Yesterday at the seventh hour the fever left him.
So the father knew... it was at the same hour... which Jesus said unto him, Thy son liveth: and himself believed, and all his household.
This is again the second miracle that--that Jesus did, when he came out of Judaea into Galilee.

E-29 Watch this. The nobleman, his son, he had heard of the fame of Jesus, and when he came he wanted Him to go down and heal his son. Now, that was the way he wanted it: Come down and heal him.
And Jesus said, "Except you see signs you won't believe."
And the man said, "Sir, come down ere my son dies."
He said, "Go thy way, thy son liveth."
Now, what if the man would disbelieve? His son would not have lived. You have to believe the Word that's spoke to you. You believe that? He said, "Thy son liveth." And the man believed the Word that Jesus said to him. Said, "That's all right, Rabbi," or Master, "If You say my son lives, that's good enough for me."
And he went on back down; he didn't go like He told him. Now, it's a day's journey. And the next day he met some of his servants coming. And the servants said, "Thy--thy son liveth; he's still alive."
He said, "Well, what time did he begin to get a little better, amend?" Now, watch it now, begin to amend, get just a little bit better.
He said, "Yesterday at the seventh hour, well, seen the fever left him."
And the man said, "The seventh hour, that's the same time Jesus said, 'Thy son liveth.'"
Now, the Bi... He said, "This is the second miracle that Jesus did when He come out of Cana into Galilee." Miracle... How many of you that come in here sick now, that feels like you're just a little better, all along everywhere, crippled, afflicted, whatever, that you feel like you're just a little better than you was when you come in, let's see your hands. What's happened? Amen. There you are. You're just a little better. Sure. If you're just a little better now; tomorrow you're be a little better; and the next day a little better; you're going to get well.

E-30 Some people has great big faith like this, anything can happen. The next has faith that deep, takes a little longer. Next has faith that deep, takes quite a little while. Some has faith like a mustard seed. But if it's mustard seed faith, genuine faith, hold on to it; just keep believing it; it'll become marble faith; then it'll become grapefruit faith; and then it'll become mountain faith. It'll bring you right out if you just stay with it. Hold on to it; it'll bring you right straight to the light, if you'll stay with it.
But don't be discouraged. And do not believe symptoms. Symptoms, that's the devils lie. Some people say... Well, now look, what if a little lady here, when I told her she was... I never told her; God told her that she was going to be well. Why, she said, "Now, wait a minute." The next day she was, "Well, there's that cancer still running, and I'm drawed down; I can't move; I'm on this cot I can't go. Well, maybe he was..." Second day, third day, fourth day, "Well, maybe he was wrong."
No, if she'd have believed symptoms; she wasn't looking at the symptoms; she was looking at what the Word of the Lord said.

E-31 I walked into a man not long ago, his boy had black diphtheria. Did you ever hear of it? Horrible, works on the heart. And the cardiogram showed the heart, that it went all the way down. They called the man from the meeting, said, "Your boy's dying."
And he went over there, and he said, "Can I bring Brother Branham in?"
He said, "Why, no." Said, "Hasn't Brother Branham got some children?"
He said, "Yes."
Said, "Well, we can't bring him in." Said, "We just can't bring him in."
He said, "Please let Brother Branham come in and see my boy." Said, "He's dying?"
Said, "Yes." Said, "He will be dead in the next couple hours." Sixteen years old...
Said, "Well, let him come in and pray." He said, and the man was Catholic. He said, "Would you refuse a priest to come in and give the last rights?"
Said, "Yes, but the priest is not a married man."
"But he's--he's out amongst the congregations." He talked him out of it.

E-32 Well, they took me in and robed me all up with a whole lot of stuff over me, and washed my hands with all kinds of stuff. Walked into where the boy was. I said to the father and the mother standing there, I said, "Do you believe?"
He said, "Ask God, Brother Branham."
And I knelt down and started to pray. And while I was praying, the Angel of the Lord come down and said, "You shall live." I got back up; I said, "Did you hear that, brother?"
He said, "Yes sir," said, "Praise the Good Lord."
The nurse come back; she said, "I'm sorry, but you all will have to go right away, especially Reverend Branham."
I said, "Thank you, ma'am." Started walking out...
This man started walking along saying, "Thank You, Lord, Thank You." And the mother just as happy and a shouting.
The nurse said to her, said, "Say, did you realize that your boy's dying?"
Said, "Sure, I know what you said."
Said, "Well," and the doctor was standing out there, was a intern. And he was... They was just as happy and shaking hands and hugging one another, you know, and thanking God for his healing. The boy just dying right out. So he said, "Well, what are you so happy about, when I... Did you understand the doctor said... Did you understand I told you your boy will be dead in two hours?"
Said, "I understood what you said, and I understood what God said...?..."
He said, "Well look, it's all right to have faith, but I can't see how that you can just ignore such things as that, when that boy laying there dying?"
And the--the man turned around, which was a minister, he turned around and said, "Sir, looky here, you're looking at..."
Said, "That, when that cardiogram shows that heart," ever-what it was, I didn't know, he's, words he was talking, said, "when that drops down," said, "all the world's history, there's never been a time that that's ever come up." Said, "Death's on the boy now."
He said, "Look, sir, you're looking at that chart, and I'm looking to a Divine promise, [Blank.spot.on.tape--Ed.] what God said."

E-33 What if two years ago, when Mayo Brothers told me I--I was finished. What if I looked to that? I looked to Hebrews 3:1 "He's the High Priest of my confession." And I believed Him, and see what He done for me.
Talk about somebody having symptoms, if anybody ought to have symptoms in the Bible it ought to have been Jonah. Look at him; he was backslid; that's bad. His hands was bound behind him; he was throwed out of a ship, swallowed up by a whale, three miles deep in the ocean. When a whale eats, any other fish, he goes right to the bottom of the sea and rests his fins on the bottom. Feed your goldfish and watch them. He searches through the water till he finds his prey and then goes down to rest.
And when he, down there in the bottom of the ocean in a whale's belly, hands tied behind him, backslid, on a stormy sea. If he looked this a way, it was whale's belly. He looked that way; it was whale's belly. Everywhere he looked it was a whale's belly. Talk about symptoms, he had them, didn't he? But you know what he said? He said, "They're lying vanities." He said, "Once more will I look to Your holy temple, O Lord, not to the whale's belly, not to my hands being bound, but I'm going to look to Your holy temple. For," I will quote it in simple words, "For when Solomon dedicated that temple," said, "if Your people be in trouble anywhere, and look to this place, and pray, then You hear from heaven."

E-34 And Jonah believed that Solomon's prayer was heard. And he said, "I'm not going to look to these symptoms; I'm going to look to the temple of God." And if Jonah in that kind of a condition, could look to a natural temple, where a nat--or a human prayed, how much more ought you setting here, where people are being healed right around you every night, look away from the symptoms here to the--not the temple of earth, but the gates of glory where the Son of God with His Bloody coat standing before the Father now, making intercessions on anything that you confess. "I won't look to my symptoms; I'll look to Your holy temple, Lord." There's where it's at.
And God kept him alive three days and nights in the belly of that whale. Is that right? Vomited him out on a shore, and he give his prophecy and finished his course.

E-35 Now, say, some of you ladies tomorrow, what if the express agent would come down to your house and say, "How do you do, are you Miss John Doe?"
"Yes."
"Well, I have something here for you."
And you looked at it, it'd be a great big box full of rattlesnakes. Well, what a present. There's your name tacked on them. "These are yours."
Are they? In one sense they're yours, in another sense they're not. Now, you say, "I don't want them."
"Well, they're yours; your name's on them."
Well, that's one way it's yours, but still it isn't yours till you sign for it. And if you don't sign for it, he will have to take it back. You might see all your symptoms, the devil says, "Here it is; here's your cancer; here's your heart trouble; here's your crippled condition."

E-36 Refuse to sign for anything the devil brings. He will have to take it back. Say, "I refuse to have it. I just won't have it, no, sir." He will have to take it back in the Name of the Lord. If you believe it, and confess it, and say, "I've accept Jesus Christ as my Healer," there's no affliction or disease can stay on you. Stay right with it.
But the first time that you get weak and say, "Well, yes, I've still got it." Then you drop right down to where you was at. You signed for it, then took it back. Say, "Yes, Mr. Devil, I--I'll have it back." Oh, brother.
You stand right there as--as long as there's a breath in your body, say, "I refuse to have it. I refuse to have it." How do you feeling? "Wonderful, hallelujah." That's it. That's right. Show the devil what you're made out of; you're borned again by the Spirit of God, and you don't have to bow down to his images. Stay right there, say, "I don't want your stuff."
"Why, here's your name on it, the doctor said..."
"I don't care what he said. I know what God said. Get away from here with it."
That's right, that's the way to treat him; hand it back. He was the one give it to you, he will have to be the one take it back.

E-37 God, you know what? He's your Redeemer. Did you ever see a pawn shop? Oh, that's a horrible looking place. The devil put you in a pawn shop, and Jesus redeemed you; you're free; get out of it. That's right. He give you these things, but Jesus paid the ransom. And He paid the price; you're out of the pawn shop tonight.
Reminds me one time, we tied an old crow up by his foot. Scared the other crows away eating at the corn field. Well, that poor old crow, he just cawed, and the other crows going over cawing to him to come, and he couldn't fly because he was tied.
One day somebody come by and looked at him, said, "Poor old fellow; he's--he's just starved to death." So he just reached down and untied him and let him go. The other crows flew over and saying, "Come on, Johnny crow, let's go south; it's getting cold weather." And that old fellow been tied so long, till he still thought he was tied when he was untied. He just kept walking around when he was untied. He thought he was tied; he'd been tied so long.
Maybe that's your case in that wheelchair and there and there. But remember, there was a good Man one day. The devil might've tied you up, but there was a good Man, Jesus Christ, Who redeemed you, cut every string loose from you. Hallelujah! When you see the rest of them rising to their feet and believing it, go the same way. You're free from the devil's pits. Yes, sir.

E-38 Oh, my, what's the matter with me tonight? Amen. I believe I'll come back to Erie and have me an old Holy Ghost revival here somewhere, my, just a good old fashion time. Amen. What we need. Thank Him. I'm not very used to preaching in the pulpit like this tonight on a healing service, but I--I--I must stop. God bless you. You're free, every one of you. Jesus cut you loose a long time ago. Just refuse to have it. Say, "I haven't got it, I'm getting better and better all the time. Praise the Lord, I believe it." And watch what happens.
Go out of here tonight, say, "No, I don't have to go through a prayer line; I don't have to go no more, no, Jesus, I accepted it; it's mine."
Neighbor say, "How you feeling?"
Say, "Wonderful.

E-39 I remember when everything I put in my stomach would 'gurgitate; I weighed less than a hundred pounds. Every time I swallowed anything, go [Brother Branham illustrates.--Ed.] and go out." I went down and I grabbed my wife, and I hugged her and kissed her, I said, "Honey, the Lord healed me."
She said, "What?"
I said, "The Lord healed me."
Said, "Are you sure?"
I said, "I know it."
Said, "How you know?"
I said, "The Word said so." See? He said, "He's the High Priest of my confession--confession. I've confessed Him as my Healer."
Said, "Can you eat?"
I said, "Sure."
And every time I'd even take a drink of water, it spurt right through my nose. She's setting back there looking at me now and know that's the truth. She said, "What do you want?"
I said, "Send over the store and get a can of pork and beans. Open it up, get a loaf of bread and-and cut up my big Texas white skin onion; I want some."
She cooked a big piece of ham, and I took this pork and beans, sit down and asked the blessing, said, "Thank You, Lord." Put up a big bite full.

E-40 And The doctor said, "One mouthful of food, solid food would send you to the grave." Said, "Don't you let no solid food hit your stomach."
That's what he said, and the Lord said, "I'm the Lord that healeth thee." Whom am I going to believe? I chewed up that big onion. Oh, how good it tasted. I--I swallowed it down, just as soon as it hit there like bul--a coal of fire went right down hit like that and come back up again. I held my hand over my mouth, swallowed again. Come back again; and I swallowed it again. No, sir, we had a--a bouncing party there for awhile. I swallowed it back; it come back. And I swallowed again, come back, and I'd swallow again. Got me another one, held my mouth, poked that one in, swallowed again. Called the doctor. Doctor said, "It'll kill him sure as the world."
I said, "Hallelujah, I'll die happy."
I went on down through there. Went out in the yard, everybody said, "How are you, Brother Branham?"
I said, "Wonderful."
"Stomach bothering you any more?"
"No, not a bit."
That's right, going on like that. I'd believed it. Yes, sir. Went on like that, and that night when I started to lay down, oh, my, there it was, every bit laying right in the same place. Say, "Want anything for eat, for supper, honey?"
I said, "Open another can of beans and slice some more onion." Yes, sir.

E-41 I knowed God's Word is the truth! That's all. And I poured some more on top of that. It laid right there till breakfast, and I had me two fried eggs and some more ham the next morning for breakfast. I kept on like that week in and out. And I was so nervous, looked like trees was running together and say, "How you feeling, Brother Branham?"
I said, "Wonderful. Hallelujah."
Stomach bothering you anymore?"
"No, sir. No, sir."
"Are you all right?"
"Sure, I'm fine, doing good."
"How it happen?"
"The Lord healed me."
He said, "Brother Branham, you lied."
"No, I never; no, I never."
When I accepted Him as my Healer, He healed me nineteen hundred years ago, it was settled in my soul. No matter what this was here; in my soul it was settled. I was testifying not how the body felt, what the old soul thought about it. And my Spirit said, "Christ is your Healer."
I said, "I believe You, Lord." I stayed right with it.
One day I kept poking it down, and poking it down, and it all left. I eat anything I want to. Went on gained about thirty-five, forty pounds and feel fine. Oh, He's a Healer! But you'll have to show your faith in Him. And don't you think it's on a... You're going to a picnic; you're going on a battleground. That's right. You're not to a picnic where everything is handed down to you in a silver spoon. You got... "If... I must fight if I must reign, increase my courage, Lord." See.
Must I be carried home to heaven
On a flowery bed of ease,
While others fought to win the prize,
And sail through bloody seas?
No I must fight if I must reign,
Increase my courage, Lord;
Help me and support me,
By Thy Everlasting Word.
Yes sir, stand on God's Word.

E-42 In Finland that night, when that little girl that got healed... Where's my Finnish brother setting here somewhere? I want you just a moment. Listen to this story. You heard it last night, did you? Our brother's with us. That little old boy that was hit under the chin; he was in the hospital dying. About the second day I believe it was, had passed. And they didn't know what to do about the little fellow. I had the awfullest time. I couldn't get... I couldn't even get into the hotel. That little woman and husband laid on the steps, and they had to drag me over the top of them.
And I remember that night when the little Finnish girl was healed, I went up to the room, Mrs. Isaacson said to me, she said, "Brother Branham, what can be done?" Said, "Them people's about to worry me to death."
And I said, "Well, I don't know, Sister Isaacson, it's against the rules for me to go out like that."
And she said, "Well, will you just meet them in the morning, out here if the little boy's still living?"
I said, "All right."

E-43 So we--she brought them up there. Where is Sister Isaacson now? Is she in the states here? She is. A very lovely person... So she made an appointment in the afternoon for me to see the mother and father. Very nice typical little Finnish family, and they set out there, and they seen me coming they started running and fall down like that. I said, "Now, get you a chair," through the interpreter. And so they--they set down there. And I said, they said, "Oh, go down at the hospital and heal our little boy."
I said, "I couldn't heal your little boy."
Said, "Well, you healed the other little boy that was dead." And said, "Our little boy's not dead, but he's dying; he's never come to; his brain's crushed."
And I said, "Well..." A concussion, ever-what it was, and his spine in there and all. And I said,... A blood vessel had bursted on his spine, or something. And I said, "Well now, I--I didn't do it." Said, "Well..." I said, "Over in America I--I, about a year ago I saw a vision of a--this little boy being healed." The interpreter told that. She said, "Go, see vision for my little boy."

E-44 Well, that was awful nice, but, you know, you just can't see visions when you want to. It's no more then I could say, "Dream me a dream." You dream dreams, but you don't do them yourself. So, he said--I said, "I can't do that, sister." And I told them; I said, "Are you all Christians?"
"No."
I said, "Look, God may be aiming to take your little boy home." And I said, "If you're not Christians, if that little boy dies, you can never be with him no more. If you die, when you die, then little boy'd go to heaven, he's too little to know about sin. But he'd go to heaven, and you won't go to heaven, and you'll never see him no more." I said, "Then if you become a Christian, and when the--if the little boy dies and goes up to heaven, then you can go up to heaven where there's no more accidents, and you'll be with him forever." And I said, "Then if you wanted a favor from me, you'd try to do something for me." And I said, "If you want a favor for--from God, try to do something for Him." I said, "Now, perhaps when you would give your life to Him, you might find favor, and He might save your little boy."

E-45 Well, they talked it over, they--they couldn't lose, 'cause they go to heaven; if the little boy died they'd be with him forever. And if they found favor, maybe God would heal the little boy. So they knelt down, and I led them to Christ. They got up and hugged one another, and it was all right. Now, the lady said, "Go in, see vision for my little boy."
Well, I said, "No."
She wanted me to go to the hospital. I said, "No, God can speak to me in this room just the same as He can down at the hospital. Sister Isaacson told them. Well, she said, "You go in, and we'll wait."
I said, "Look, He might not even say one word to me; I don't know." I said, "But if He does, I'll tell you. If the boy's going to die and He tells me, I'll tell you." I said, "I'll--I'll tell you if he's going to die, and if He tells me. If He doesn't, I can't say nothing."
Well, finally Mrs. Isaacson got them to go back home. Well, they went back home, and about twenty minutes, they called. Said, "Has him seen vision yet?"
"No."

E-46 So, the... Now, he can put his fingers in his ears if he wants to, they're very sweet, kind people, the Finns are. And I'm not saying that 'cause the man's setting there, because he, I don't think he understands English too well anyhow. And he said... They're very lovely, kind, sweet, humble people.
So they--they don't have very much of this world's goods, but they love the Lord. And that's where the riches lays. And so they're rich in the Kingdom of God.
So then, went a little while longer, and they called back again. They wanted to know if--if the vision had come yet. Well, they called several times that afternoon. That night when we come home, the little girl had been healed. I had this same Bible right here. And now, if there's any Finnish people here that... I--I don't mean to hurt your feeling about this, and I don't aim to hurt Brother Baxter's feelings either, when I'm saying this.

E-47 But we in America are well off when it comes to eating and things like that. I was up in Canada not long ago, and we was up around Prince Albert, Saskatchewan; we had around ten thousand of Indians, and Eskimos, and all, coming down into the meeting.
And over there they don't... Their candy is not as rich as ours is here. Some of it, I go... We got a hold of some over there that just almost taste like starch. Because the people can't afford it like they do here. That's true. I think Canada's a lovely, wonderful country, way larger than ours, and the resources is far beyond ours, and fine people. But they're just poor people. Their roads are bad, and they haven't got the money to build the roads. But this class of people in America's rich, richest people in the world.
And then their candy was bad, and my brother Howard, he said, many of you I guess know Howard here. He--he come in; he said, coming home that night, he said, "Billy."
And I said, "Yes."
He said, "You talk about Canada having some bad candy," said, "taste this out of--out of Finland."
Well, he give me two little pieces of candy about like that. And I held them in my hand, we was going on up steps. Brother Baxter and Howard slept together; they went to their room. Brother Moore and Brother Lindsay, they went to their room, and Sister Isaacson went to her room. And they keep me in a private room on account of visiting of the Angel of the Lord through the nighttime. He will sometimes come to me at night and tell me every person, and everything will be healed the next day. And I quote it to the managers; I say, "You watch, they'll be so many, and a person over here, and a person down there, person over here will be healed. There'll be a woman come in, dressed a certain way, laying on a cot, and she's coming from a different district; she'll be healed." Just tell them all about the meeting 'fore it happens. Well then, He comes in like that.

E-48 So then I just walked into the room, and I took those two pieces of candy and laid them on the desk like that. And I laid my Bible down, no, I beg your pardon; I put my Bible on my heart. I walked over there. And coming down through that park, you know, there in Kuopio, that long park, coming down through there there was those little Finns coming down through there, going home, just praising God, soldiers and all. And some of them poor little soldiers over there never shaved; they was just kids in the army. Them Russians killed them off over there like flies, and they just had the poor little fellows. And they were going along through there, and they were just talking.
And I looked out. Oh, it didn't get dark there at night. And so, I looked out, and I held my hand up, I said, "O Great Jehovah God, how wonderful, how glorious." That little girl had been healed that night off those crutches. And I said, "Praise be to Your Holy Name, how I love You, how I adore You, O Great God creator or heavens and earth." Right in the same direction where them Russian planes come over to bomb you, right down through there.

E-49 I... And I was looking, I said, "Someday, Russian planes come one day, but one day Jesus shall come." And I said, "Oh, what a difference it'll be for this country then. Instead of them all running into bomb shelters and things that's built around the city here, they'll be running in the streets hollering, 'Kiitos, Jesus,' just as hard as they can. And with their hands up in the air praising." I said, "Oh, how I love You."
And I felt something. And I turned, and here He stood, standing right there by me. And he had a little glass in His hand, a just about that high, and in there was two American Easter lilies. Easter flowers, daffodils, whatever you call them; I don't think they even have them in that country. Easter, long, look like a horn on a old gramophone. I don't think they have them up in that country.

E-50 And there they was, He had them in a little jar. And he set them down before me without saying one word. And I--I couldn't... Just stood there. He's a big Man, got dark hair to His shoulder, olive complexion, smooth face, dark eyes, has His hands folded like this, always. And He took this here and set this down before me. And one of the flowers was leaning up towards the north, laid down. And the other one started going down, going "tew, tew, tew, tew, tew." [Brother Branham illustrates--Ed.] And He said, "What was that your brother gave you?"
And I said, "It was a piece of candy, Sir, or two pieces of candy."
He said, "Eat them."
And I picked up one piece, and I put it in my mouth; I chewed it and it taste pretty good. And when I swallowed it, this Easter flower that was laying towards the north, went "thrrr, [Brother Branham illustrates.--Ed.]" stood right up. I looked at it. And I...
He said, "Eat the other one."
I picked it up, and oh, my. You talk about an awful taste; I said, "Whew," I took it out of my mouth. And this other flower started going, "tut, tut, whew [Brother Branham illustrates.--Ed.]" almost to the end.
He said, "Them two flowers represents them two boys." Said, "If you fail to eat this piece, this boy shall die."
I put it back in my mouth, started chewing real fast, and then swallowed it. Then when I swallowed it, this one went, "Thrrr [Brother Branham illustrates.--Ed.]" stood up like that with it.
And the way those boys fell, you know. One fell to the north, and one to the south. The one to the north was one was killed on the road. The one to the south was dying in the hospital; the doctors said, "He'd never come to; his brain was concussed, and there was something on his spine." Said, "He can't come." Never had washed the little boy's face.
And they called and called and called all that day. And he said... This one stood up like that. And when it stood up, He looked at me, put His arms together, and I looked over and here was that Light that you see back there in the picture, going like that. And the Light settled down over the Angel; the Angel went into the Light, went out of the room.
And I stood there, and I felt my hand; I bit my fingers; I was numb for a little bit. The vision left me; it wasn't a vision. I don't mean to say vision, that's... I see visions here, but that's just as real as I am, or you are. I stood and looked at Him.

E-51 And I ran out real quick and I called, I said, "Everybody, come." And out come Brother Baxter, Howard, Brother Moore, Lindsay, all of them run out. I said, "Go get Sister Isaacson." They got her, and come down there; I said, "THUS SAITH THE LORD, call that lady and tell her, THUS SAITH THE LORD, her baby shall live and not die."
Said, "Brother Branham, she called about a hour ago, and said that the baby was in the last stage; the doctor said it'd be dead in the next two hours."
I said, "I can't help what he said, THUS SAITH THE LORD, the baby shall live."
So she run to the telephone, and their phones there are not like ours here. And she cranked it on the side, and she got the family. And there's a babysitter there with their little bitty baby, and said, "They just called them to the hospital; the baby was dying," the little boy.
And so they rang the hospital and got the woman to the phone and Mrs. Isaacson said, "Brother Branham said, 'THUS SAITH THE LORD, that the little boy will live.'"
She said, "How well I know it; and he just come to himself, setting up down here just as well as he can be." Setting there normal and well. And the baby lives in Kuopio, Finland, today a normal, well child by the grace of our Lord Jesus Christ, by the power of revelations, by the power of His Spirit.

E-52 This brother happened to be along. He's a Finnish brother, he was with us; I met him today; he knows of the case. Come here, brother, what is your name now? Watkin, Waltanin. You'll have to say that brother, I'm not so good at saying them.
All right, I will ask you this, those testimonies are true, are they?
[The brother's confirmation follows--Ed: "Yes, they are really true. I was there just as a eyewitness. I come from Finland, and our assistant pastor of the church, Salem, Helsinki, and I was also there in Kuopio. We were on a hilltop all--all parked, and we came down and that accident happened there. And the other boy was raised up from dead, and the other is healed; and they are healed today. And also a little girl whom Brother Branham told yesterday, last night, she's still really healed. And praise God. And very many other marvelous things were done there. And that very great service with Brother Branham and his party was doing in Finland, it is still growing and bringing fruit for God's work. Praise the Lord."--Ed.]
Amen. God bless you, brother there. So glad to get to see you again. God bless you. Jumalan rauhaa. God bless you.
Let's say, "Praise the Lord," everybody. All the way from Finland.

E-53 Little did I know when I was quoting that story that the man would be setting here present. And this afternoon, I met him coming in. Oh, what a time, glorious time.
Is there another Finn in here? The other night someone hollered, "Jumalan rauhaa," at me, passing over the platform that was healed. I guess they're not here; it was some lady best I remember. Oh, there's the lady over there. Yes, that's right. You wouldn't... Was you in Finland when I was there, lady? You were borned in Finland. Was you the lady crossed the platform here the other night and was healed at the platform? Praise the Lord, God bless you. Do you know the brother here? You should get to know each other. All right, you see who she is, brother. All right, that's fine.
Let's say, "Praise the Lord."

E-54 This is the way heaven will be, there'll be Germans, Finns, Italians, and even the Irish will be there. Amen. I said, "I know there's one there; they call him Michael." All right. God is here tonight, do you believe it? He's in His mercy, and He's here to heal the sick and afflicted.
All right, it's time for us to call the prayer line now. And may God be with you. Brother Bobby, if you'll play tonight for me, my favorite song, "Abide With Me." Some morning, life is all over, this mortal life; the sun will be set for its last time. This old earth will be blowed into bits. Maybe five hundred years from tonight there'll be a... Let's draw our picture now, mentally.

E-55 Five hundred years from tonight, just imagine, I hear the winds howling; I look at the earth; it's out of its orbit. The atomic bombs has throwed her from her orbit; yonder she lays into the sun. She's whirling fast; the winds are blowing. There's not a living thing on earth. The sands are blowing across, howling. Many times, and thousands times fahrenheit of heat laying against her. No more water, but fire this time.
What do I see sticking up there in the sand, oh, it's a tombstone. Somebody's name's on it. They may be setting in the meeting tonight. Where's your soul then, friend? If you're not right with God.
Then let's draw a little farther out. I see God bring it back into its orbit again. She's rehabited. The wolf and the lamb shall feed together. I see a beautiful dawn, a tropic like an orient, big palm trees, and beautiful birds a singing. I come, look, walking down through the garden yonder, the white doves a flying from tree to tree. What's approaching? The One that's going to set on David's throne, and His white robe moving along. Oh, I want to stand along this side there, don't you? Be just possible that the tears comes down my cheeks while He passes by and look at Him, I say, "There's the lovely One that redeemed me."

E-56 When the great supper's set, there we all get setted--seated around the table, the wedding supper. I'll look across the table; I say, "I recognize him; he's from Finland. I recognize him; he was of the Erie meeting." I reach across the table and take you by the hand; we just have to shed a few tears, won't we?
Then the first thing you know, the King will walk out in all of His beauty; He will take His hands and wipe all tears from our eyes, put His arm around and say, "Don't cry now; it's all over. Won't have any more healing services here, no more hot nights, no more tears, no more wheelchairs, crutches; it'll all be over. Enter ye into the joys of the Lord." I want to be there, don't you?

E-57 Our heavenly Father, abide with us until that time. May Your mercies rest upon us. May Your grace be ours. And then when there'll be one flag, one nation, one people speaking one language. Oh, what a day. Well, it may seem to many it might be many, many years off. May seem like a fancy dream to some. So is the things that we see today to others has been a fancy dream, but we're living to see it. When You speak, Lord, it's got to be so. We shall see it. Just think, we mortals someday shall see this great thing that we're speaking of, because the Lord has said so.
Now, Lord, while we're in the journey, abide with us, won't You? May Your Spirit come upon Your humble servant tonight, anoint me with Your prophetic gift. May I be able to do the things that You told me to do. Of all these six years You haven't left me or failed one time. And I know You will not tonight. In the hard heats of the battle, You're always there; You take the part.

E-58 And now tonight, Lord, being the closing night, I feel faith pulling hard; that's why I spoke a little. And now, Lord, may it be so tonight that there will not be a feeble person in our midst when the service is closed. We thank You for healing that woman last night and taking those big braces off of her. We thank You for healing the lady this afternoon from that wheelchair. We thank You for healing the lady with cancer. These with heart trouble and different, well, we thank You for all. And Lord, as Your servant has said, "So shall it be." For I know that You spoke these words. Many are here that's already healed; they don't realize it just now. Grant it Lord, that tonight will be a great time. For we ask it the Name of Thy Son Jesus. Amen.

E-59 Everyone reverent. Now, is everybody going to believe with all your heart now, all your soul, all your mind? All right. Now, let it be known this way before I start my line. We're going to try to stay a little extra long tonight. And then, I want to see... How many in here believes in laying on of hands, and be...? I'm going to see if I can some way work out the Lord, if everybody don't get healed in one time, I'm going to see that everybody gets prayed for anyhow. All right.

E-60 Now, how many in here wants to be prayed for, anywhere in the building, just raise your hands? My, there's some five or six, maybe five hundred, six hundred. I don't know; I see them out in the rows too, outside.
Now, remember this, friend, now, I can't be responsible for critics. If anything happens to a critic, I'm not responsible. Any--all--all hear that, raise your hand, so I... See, I am not responsible for anything that happens to critical people, criticizing. Because remember, when demon powers come from one, they find a place to go. And they'll go anywhere that they can go. Now, I...
How many is going to witness when some of them says, "Well, that Divine healer." You're going to take up and say, "Brother Branham said he was not a Divine healer." You going to do that for me? And remember that there's only one Divine Healer, and that is Almighty God. Even Jesus Christ is not a Divine healer. He said, "It's not Me that doeth the works; it's My Father that dwelleth in Me; He doeth the works." Is that right?

E-61 I just begin to wonder and thinking, maybe because there's not too many healed; I see them out in there in the audience, maybe they're already healed. Now, just be reverent. All right.
Good evening, sister. You believe with all your heart, lady? Now, you and I are strangers, aren't we? Don't know you. You don't know me? Is this our first time meeting? It is. We don't know each other. But God knows both of us. He's knowed me since I was born; He's knowed you since you were born. And I believe He loves us both, because we're both Christians. And you being a Christian sister, and I a Christian brother, and you've heard the remarks that someone has made about this. And there's no doubt that there's something wrong with you. And you come to me as God's servant, your brother, to help you along to believe more in Jesus. Is that right? That is right.

E-62 Well, if I can do anything for you, I'll be very happy to do it. And I... Only thing that I could do, would be ask God to let you get well. And then, if God would do something now, more than what He's already done, He's already paid the price for your healing. But you're just trying to learn how to write the check for your--for your healing. Well now, if He might do something that would speak to you of something that has been, that'd it'd have to be the spirit of prophecy, or a gift of the word of knowledge, that would go back down through your life's journey, and find something down through there, and bring it back to your memory. Then you'd say that would be something that you'd know come supernaturally.
Now, as I said a few moments ago, you being a Christian; I know you're a Christian, or your spirit wouldn't be welcome. You've noticed each night, and in the lines and everywhere, a sinner's always called (See?), it--it won't embrace sin at all. You're my first patient to talk to, my first sister tonight on the platform, not a patient, but the first one that I would talk to. And after being preaching the way I was, it takes just a little time for the anointing to move on me.

E-63 And you're--you're aware that it's, it's near, don't you? Yes. You're... And now, when you said that, you felt it more than ever, didn't you? It's coming down onto you now.
Now, between you and I comes a real hazy Light. I see you now, sister, yes, you are... You have an arthritis, don't you, sister? Sometimes it--it gets worse than others. I see you with kind of a lightish looking dress on. And you're--you was walking somewhere. And you was just kind of a limping like, and you had to set down and rest. It was in a yard or something. Look like there's a lot of grass and trees around. I see also, that you have a--you have a gall bladder trouble too, don't you? I see the examinat... Say, my, you've had operation too, haven't you, sister? More, yeah, you've had two or three, four, five, six, you've had six operations. Is that right? Yes, sir. All right, come here and be healed, sister.
Our heavenly Father, and merciful God, grant the healing of my sister standing here. May she, Lord God, be made well tonight, as I bless her in the Name of Thy holy Child, Jesus. May she go from this platform and be a well woman. In the Name of the Son of God, Jesus Christ. Amen. You believe me? If I tell you that you're going to be well, you believe it? You are. God bless you...?...
Let's say, "Praise the Lord."
Look at her walking now. She's already healed. Let's bless the Lord. All right, bring the next lady.

E-64 Good evening, lady. You believe with all your heart? You're trying to, aren't you, sister? Yes. Yes, ma'am. Well, do not fear. You're surprising yourself. There's been a time in your life lady, where you've been hindered. There's been many things that's bothered you. You're a tubercular case, aren't you? You suffer with tubercular. And you've had lots of trouble. You have. And you've--you've tried to have faith. Say, you--you belong to the Holiness people, the Pentecostal people, or something. Isn't that right? I seen you in the services where you're rejoicing.
And you're embarrassed sometimes when you're trying to... You cough a whole lot, and many times you pretend that it's something else, instead of trying to admit that it's tubercular. You won't have to do that no more, lady. This is going to be the hour for you to be healed. Come here. You believe me as God's servant?
Almighty God, Author of Life, give grace to our sister tonight, seeing her heart breaking down here, You going back in there pulling out things of her life. Satan, I come in the representative Name of Jesus Christ, the Son of God; you've hid from doctor and all, but you can't hide from God. In the Name of Jesus Christ, I lay my hands upon this woman and ask for her healing. Come out of her in the Name of the Lord Jesus. Go sister, testify and glorify God.

E-65 Let's say, "Praise the Lord." Amen.
Oh, that's the way I like to see the people come. Faith, come like Mary did, "Lord, even now, whatever You ask God, God will do it, no matter what it is." All right, bring the lady. All right, everyone reverent now and believe with all your heart.
Audience, if you could only know how this feels here right now. What a feeling: Grace, grace, amazing grace. It just looks to me now, 'course I'm standing here and the anointing's here. It just looks to me that every person in the building could just raise up and be healed. That's the way it looks to me like. Now, try to hold back just a few minutes if you can. See? Just if you... That's awful to say that, but just try, so that these along here can get a view, maybe first time people here. Have faith now, believe just now that Jesus is going to make you well. Be accepting it and pray, have faith.

E-66 How do you do, lady? Now, every one reverent. Are we strangers? We're strangers, I don't remember if I ever seen you. And well, there's... If there's anything that's wrong with you, well, I'll--I'll--I'll have to have some way to find it out someway. Now, that wouldn't heal you, if I could know what was wrong with you; it wouldn't heal you. But it might give you encouragement. You're wondering what I'm going to say. I'm not reading your--Yes, I guess it is. That's right. I--I don't mean to say... I just knew what you were thinking of then, 'cause it come to me. Now, you know that's true, isn't it? You're wondering what I was going to say. Well, I'm going to tell you what I'm going to say.
Your trouble is a freak case. It's hard to understand; it's some kind of a--a gland or a tube in your body has collapsed. Isn't that right? And I say it's from your ear to your throat. How about that, is that right? Go, Jesus Christ has made you well, you can be well. God bless you, sister.
Let's say, "Praise the Lord."

E-67 Just faith, that's all, I seen that laying like a tube open up, like that, coming down the side of her face. Oh, how wonderful, how amazing. No wonder he said, Amazing grace! how sweet the sound. Have faith, believe now, and God will bring it to pass. Do you believe it? What about all of you along the line there? Believing with all your heart? How about out here? You believing? All right, just keep having faith, God will bring it to pass.

E-68 Bring your patient. Now, everybody be reverent. Good evening, lady. A timid spirit, that's the kind, usually that's kind of a little timid type. Don't have too much to say, deep thinker, always planning things ahead. Usually never happens that way though. But you had some good teaching; you--you've had many sorrows too, haven't you, lady? Had a great scare once in your life too. Something, seemed like when you was a school girl. I believe it was a dog or something along. I see something bark or go on and you jump, scream. You was just a little child. And down comes life coming down. Recently you been real nervous, oh, yes, here's something else moving up. Sister, I'm sorry, yes, I believe you know it. It's cancer. And come here just a moment.
I want you take a look at my hand. I want you take your hand here and lay it on mine. Look at my hand how it turns there, see that? See those white things running across my hand? That's the life of the cancer. I'm going to take my hand off. Now, they cease. Now, I put my hand on, it's not there is it? Put your other hand here on: not there. You're just as much human in this hand as you are in this hand, aren't you? The same hand, same person. Now, just change your hands back again, this one here. Now, look coming there. See what it is? Now, watch it just as I hold it there a moment. Watch the hand, see how it's swelling, turning dark, little white things running over the top of it. Is that right? If it is, raise this hand so the audience will know it's true.

E-69 Now, just take your hand off of mine, just easily, there they go. Now, put my hand on there. They're not, are they? Well, I'm just as human as you. See, I want you to notice; it isn't the position that the hand is in. Now, put this one back here. See? Now, it isn't positionally the way the hand is; it's just the same. Is that right? Now, I've told you the truth haven't I, lady? And now, you see then that the truth has been told you by a vision, that something physically here is vindicating that it's true also.
Now, I can't make that leave you; only your faith can. But this is going to be something. Because your type of person that--that tries to believe. But you--you're--you're the... I don't know just how to explain... You know what I'm trying to speak of, your type of person, timid, backward. And it's just something... You--you want to believe, but you try to make yourself, push yourself to thing, but that won't work. See? It's just got to be a settled faith like your mother would've told you when you was a little girl, "Darling, I'll get you a new dress Saturday night." You look forward to it (See?); you look forward to getting that new dress. Now, just look the same thing to God to heal you. Just settled, just... He's your heavenly Father. Your mother might not be able to carry out that obligation, but God's able to carry out everything He promises you. See?

E-70 Now, look at my hand now since it's been on there a little bit. Now, now watch, when you raise your hand now, my hand will remain like that for a few moments. Now, you see, a few moments ago when your hand just laid there a little bit and it wen... You took your hand off, my hand turned normal just a way, didn't it? Now, move your hand, now watch how long it stays there. Now, look here; there it goes. See, see? See what I mean? Now, just lay your hand right back again, so the palm will hit on it. There it comes, see it coming again? There it is, see it swelling again, turning black. All right.
Look lady, I want you to come this way just a minute. So that, to make your faith. Now, in your case, it's going to take a challenge. And the challenge is going to be, is going to have to command that to go out. Now, if I have to rule it out by my own faith, for God has promised me that if I be sincere... It can leave you now, and you'll know it. But now whether it will stay away from you, that's different. Because when the unclean spirit's gone out of a man he walks in dry places. Then he returns back, is that right? And if the good man of the house isn't there to hold him off, he will come in.

E-71 Now, what we're trying to get is more strength in the good man of your house, which is faith. Is that right? Now, if you can look at here now and see that by revelation, and by something physically actually showing on your hand, on my hand, rather, that something's happening... You notice how it goes in waves like that?
Now, audience, I don't know whether you can see it or not, watch here. Now, there it is. See it coming up? Watch it go, now there it's moving away. See? Now, here it comes again, look, there it is, see it? Watch it go. Listen at it that, "Thrrr [Brother Branham illustrates.--Ed.]" Just a moment, don't--don't stand that say fear. Now, can you see it? Can you see it? Now, watch. Now, there it goes; here it comes again; look at it. Here they come; there they go. Now, what is that? That's a malignant growth laying there, alive, a demon, hideous, dark. And that thing knows. See, she's a lady, me a man; we're both human. She's got a spirit that's trying to believe, and there's something on here does believe. And the only thing is get her faith up to a place to where she really does believe. It has to leave. It has to leave. It knows that. And if it--and if it--if it--if it has to, if it leaves, then if her faith will stay there, it'll take it out.

E-72 You watch, I see the blind come to the platform and receive their sight and read the Bible. Two or three days, come back just as blind as they ever was. Say, "How lasting is Divine healing? " Just as long as faith is. "How lasting is salvation?" Just as long as faith remains. Is that right? All right. If God can make it leave here, He can keep it away. The same faith.
Now, look at my hand there now. And I want you to watch my hand here. Let me, so I can let the audience... Now, see my hand? I want you to look here. I'll put my hand on there, right this way so you can see. See how smooth it looks, white. Now, take this hand, lady, now lay this hand on there. See how it's smooth and white, see now, just as smooth and white as it can be.
Now, I put my hand on, now watch when I lay this hand here on. Now, lay this hand right here, lady, on. Now, look at there. Look here, see them big white things running there? That's the life of that cancer. Now, it's scared; it knows it's going to have to leave if her faith will only believe.
Now, look, lady, now the... Look at that one there, see how it faded? It's a female disorder too, hitting there also. You knew that. Uh-huh. Yes, my. Say, you've had troubles haven't you, lady? You've had operations for growths before too, haven't you? All right.

E-73 Now, I want you, the patient, to come near. I--I want to station my hand here somewhere so it'll take all doubts and everything. Now, I want you to watch my hand, sister dear. Now, you... I want you, don't--don't you close your eyes. You watch my hand. I'm going to have the audience because this time the thing has to be run out. I may be by God's grace, and by my faith, it will go. But you're truly sure that something's happen, haven't you? It's there; it shows it physically. The Bible said, "The mouth of two or three witnesses let every word be established."
First thing, you being a stranger and me telling of your life, and if--what was wrong with you. Here it is showing here. That's two witnesses. If it stays, the only thing I can say, sister dear, is God have mercy. You won't have much longer to be here. But if it goes, you're going to live. Now, I--I want you to believe with me, and I'll pray and ask God if He will heal you and let it go. If that stops, it's gone. If it doesn't stop, it's not gone. Now, it's being honest with you, isn't it, as--as a lady, my sister.

E-74 All right now, audience, now remember this: now get this as a warning, you keep your head bowed until you hear me say, "Raise your head." For this is not... Now, if I'd ask it to go and it would go, all right. But when you have to put it out, it's molested.
Now, I want to ask you something, ministers. Jesus said, "In My Name they shall cast out devils." Is that right? They shall cast out. Now, I don't say that I can. But the woman will know if it does, she'll know it, feel it, know it when it leaves. If it doesn't, the woman can't live much longer.
Now, lady, you watch and be believing. Be believing that what's talking to you now comes from the Spirit of God. All right, bow your heads, inside and out. Now, I want you to watch; you be the judge. Now, see, you're the one's got the cancer. It can't bother you no more. See? Now, I'm going to try to lay my hand somewhere. Now, see how, what color it is? Now, look at this hand here. Now, I'll try not to move my hand at all.

E-75 Our heavenly Father, I'm not doing this to act smart, Father, You know my heart. I'm only doing this, that this poor woman standing here, young woman, much life left; but she's in a serious condition. And I ask Thee to be merciful to her. Grant Lord, that she can be made well. She wants to live like all of us. We all want to live, and she's trying hard. And now, dear God, poor little timid thing, I realize that people maybe with a few minor troubles will live an ordinary life with them. But we realize with this cancer she can't live much longer without Your help. And I pray, God, that You'll help. And help my faith, Lord, to believe with all my heart. And send the power and the anointing of Your Angel, that He will--He--the Blood of Christ will stand between me and this enemy.
And now, Satan, called cancer, I come in this duel of faith, professing solemn faith in Jesus Christ, claiming a Divine gift that was ministered to me by an Angel of God the hour I was born in this world. Which has been vindicated throughout the world. And you know all about Him. And this woman comes tonight for help, and I come in this channel of faith in a challenge; I claim you can't hold this woman any longer; come out of her. In the Name of Jesus Christ, leave the woman. Thou, demon, come out of the woman.

E-76 Everyone reverent, it's still holding her; she's watching my hand. It's still there, isn't it, sister? 'Fore I open my eyes. Everyone reverent. Be in prayer.
Almighty God, Author of Life, Giver of every good gift, You promised this, Lord; I believe You. Oh, hear my prayer, answer Thy servant, Lord. Give something to our sister; she's trying to believe, Lord. Grant it.
Thou demon, in the Name of Jesus Christ, come out from the woman.
Now, every one; there it goes. Keep--keep your heads bowed everywhere. There it goes, lady.
Now, before I open my eyes, you watching my hand; it's left, has it? My hand's turned back normal, is that right? The lady, the patient, I'm asking you to speak. Yes, all right, open your eyes, everyone before I do. I want you to look at my hand. Something's happened, hasn't it, sister? What you think has happened? [Sister say, "I'm healed."--Ed.] You're healed is right, sister.
Now, watch her, audience, see my hand? Now, take your hand off. Put this one here on. Now, put this one on, now, put this one on. Something has happened, hasn't it, sister? You know that physically looking, is that right? Look audience, same hand, same position, same place, everywhere. Is that right? Something happened, hasn't it? You're healed, sister. Go off the platform rejoicing and be made well. Now, everybody be just reverent as you can.

E-77 You're the patient, aren't you? All right, sister dear, you believe with all your heart? Believe that God is here to make you well? You do. Now, what do you think about this all, you believe it's the stre--power of the Almighty God? You... Couldn't be nothing else. Well, you've been suffering with a nervous trouble for a long time. You haven't been well for long time. Another thing, you got... Oh, yes, you got something wrong in your back, haven't you, lady? I believe something wrong with one of the disks in your back. Isn't that right? Is that true? Come here. Do you believe me as God's prophet?
Our heavenly Father, I ask for the healing of my sister tonight, as I lay hands upon her, in the Name of Jesus Christ, may this demon turn her loose. Come out of her.
Now, stoop yourself over. All right, here she is with a dislocated spine, back. God bless you, sister, you're healed. Go off the platform rejoicing.
Let's say, "Praise the Lord."

E-78 Do you believe me, sister? God bless you. I never will forget; I believe you're the first colored lady that's come on the platform since I have been here in the meeting. I never forget a thing that happened one time at Jonesboro, Arkansas. A colored girl coming through the crowd crying, blind. And I prayed for her back in the back of the building. Many of you's heard the testimony, haven't you? Poor thing, no one was paying any attention to her.
And she was coming on. I was standing out there trying to get in, about twenty-eight thousand people had banked the place, and I was trying to get into the building. Been a lady healed with a cancer; they said she was dead. I don't know; I think she was in a coma.

E-79 But I remember when she bumped into me, she said, "Excuse me."
And I said, "What do you want?"
She said, "I's lost my father." She said, "I can't find him and I's blind, sir."
And I said, "Where you from?"
She said, "Memphis."
And I said... Looked over there and seen that bunch of chartered buses; I was at Jonesboro. I looked and seen that chartered buses setting there, I seen one of them said, "Memphis." I said, "What are you doing over here?"
She said, "I come over to see the healer."
And I said, "The what?"
She said, "The healer."
Nobody there, eight days, that's where I set at the platform for four days and nights without even leaving the platform, praying for the sick. I slept at the platform, eat at the platform, what I eat. And I said, "Do you believe that to be true?"
She said, "Yes, sir."
And I said, "Why, as many fine doctors as we got..."
She said, "Sir, when I was a little girl I had cataracts come on my eyes. The doctor told me when they got ripe," I don't know what she meant by that, "they'd take them out." And said, "Now, they've wrapped around the optical nerve of my eye, if they pull the cataract out they'd take my eyes out." And she said, "I heard on the radio this morning, a man up here from Kennett been blind twelve years received his sight." That's what happened that morning. She said, "I come to see if I could see the man." And said, "They tell me I can't even get near the place." And said, "I've lost my father, and I--I'm blind; and nobody will help me to the bus."
And I said, "Do you believe about that Angel?"
She said, "Yes, sir." And she said...
I said, "You believe that that man would pray for you to get well?"
She said, "I will tell you what you do, if you'll take me by the hand and lead me to where he's at, I'll be able to find my father then."
That was too much for me. I said, "Do you believe that's true?"
She said, "Yes, sir."
I said, "Perhaps I'm the one you're supposed to see."
And she grabbed me; she said, "Are you the healer?"
I said, "No, ma'am, I'm Brother Branham." I said, "Jesus is the Healer."
She said, "Brother Branham, don't pass me." Poor blind girl standing there...
And I said, "Sure, I wouldn't, sister. I'm sure God won't."
And I never will forget, I took her by the hand and I said, "Lord Jesus, some nineteen hundred years ago there was an old rugged cross come dragging down through the streets of Jerusalem, dragging out the Bloody footprints of the Bearer, His poor little thin body, frail, fell under the load..." [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-80 Name of Jesus Christ, receive your healing, mother. Go off the platform and be made well. Amen. God bless you, go rejoicing and be happy.
[Blank.spot.on.tape--Ed.] Diabetes, go and be made well, my brother, in the Name of the Lord Jesus Christ...?...
All right, bring the lady here. All right, sister, yes, you believe? All right, you keep that tumor when it passes out of you, you send it to me. God bless you, sister. Amen.
Let's say, "Praise the Lord."
Come, sister, you believe? Wouldn't you like to be rid of that asthma? Go breathe in the Name of the Lord Jesus and receive your healing.
Let's say, "Praise the Lord."
Come, lady, do you believe, sister? You like get over that heart trouble, wouldn't you? Go receive your healing in the Name of the Lord.
Let's say, "Praise the Lord," everybody. You believe?
How do you do, sister? Do you believe me as God's prophet? You'd like to be rid of that cancer, wouldn't you? Go and be healed in the Name of the Lord Jesus and be well.

E-81 That's it, friends. Believe. What do you think setting there sister, do you believe with all your heart? You'd like get rid of that back trouble, wouldn't you? Walk off the platform the other way; you're healed. God bless you.
That's the way to believe it. Now, you're doing it; now you're coming right. All right.
All right, come, lady. What do you think about it? You believe me as God's prophet? Your kidney trouble left you, sister, coming across the platform.
Let's say, "Praise the Lord."
Now, you're believing. Just a moment, when I turned around that lady was healed, with that... Yes, the gray headed lady, setting here, right back there with that green polka dot dress on. You had back trouble too, didn't you, sister? All right, you're healed now. You can go and be well. God bless you, sister.
Let's say, "Praise the Lord."

E-82 Bring the lady. All right, sister, what do you think about it? You believe? Put your handkerchief in your other hand, lay your hand on mine. What does that look like to you? Strange looking sight there, isn't it? It's cancer. Come here just a moment. You know when the Angel of the Lord met me, that was the first thing He said, "Till not even cancer will stand before the prayer." Do you believe it? I want you to repeat this and watch my hand. Repeat this as I say, from your heart.
Lord Jesus, now I want you to watch, see that moving on my hand? Lord Jesus, [Lady repeats after Brother Branham.--Ed.] I believe You; I accept You as my Healer; I believe that there was a supernatural Being said these things to Brother Branham. I believe His Presence is here now. I accept my healing.
Now, what happened? Something changed there, didn't it? Vibrations stopped, didn't it? Your faith has made you whole, sister, your cancer is dead and gone. God bless you.

E-83 Oh, my, poor little baby, Pack it; get him over here. A little fellow, braces on his leg. Come here, darling. You love Jesus, honey? Everybody bow your head just a minute, a little crippled boy.
Our heavenly Father, we thank Thee for child simplicity. Thank Thee for this darling little babe. And I pray, dear God, that You'll heal the little thing tonight. This horrible enemy has struck the little lad in his youth. But I hold his little body against mine and ask in the Name of the Lord Jesus Christ, that You heal him. May this leave him. Come out of him, thou demon, in the Name of Jesus Christ. Amen.
All right, little boy, you the mother of the baby? All right, take the child down there, and take the braces off of it, and bring it back on the--round the platform here walking without them. God's healed the baby.

E-84 All right, come, lady. Do you believe? Do you accept me as God's servant?
(...?... Is that right...?... Is that right...?... How would I know...?... Is that right? You're going to be well now. That was an abscess that caused that, that draining see.)
Nothing immoral, just something that couldn't be said before this audience, that only God Almighty would know. How about it, sister? Is that right. Nothing but God alone was there when this happened; that's right. The lady and God alone. It's true, isn't it, lady? Go home, for Jesus has made you well. Amen. God bless you.
Are you a believer? With all your heart? All your mind, all your soul? Oh, He's so wonderful. He's here to make every one of you well. Don't you believe it?
Baby, all right, lead him up on the plat... Here comes the little boy with his braces off. Let's say, "Praise the Lord." every... There's the baby, polioed, one foot up, it tickles his foot to run. Let's say, "Praise the Lord." God bless you, brother.

E-85 Do you believe? What do you think about it? Jesus is here. What do you think about it, brother? Amen. What do you think about it, sir, with a white shirt on setting there. You'd like get over that rupture, wouldn't you? Amen. All right, stand up and receive it, in the Name of the Lord Jesus. What about your wife setting there with that tumor? You'd like to get over it too, wouldn't you, lady? Raise up and receive it in the Name of the Lord Jesus. Hallelujah.
There's... What about the young lady setting there with epilepsy? You want to get over it, lady? If you do, rise up and receive it in the Name of the Lord Jesus. Hallelujah!
Just a moment, just reverent, just a minute. Oh, if you only knew. Where's the ministers of God that believes in Divine healing? Come here, ministers, come here in front of me just a minute, ministers of the Gospel who believe in Divine healing. I'm going to show you the glory of the Lord. Line right up here in front of me just a moment.

E-86 One day it come to pass, it was so great that our Master could not touch the people. He sent other seventy. My brethren, do you believe in this with all your heart? How many in here is sick and needy? Scatter back this way, brethren, move way out here, make the line long. You ministers standing right out this a way now, turn this a way. You in this line, turn this a way. And you in that line over there, turn this a way. You in this line here, turn that way.
How many believes that God's glory is fixing to fall on this building and there not be a feeble one among us? I believe He's here. My brethren, in the Name of the Lord Jesus, I'm asking you to represent my hands and God's hands tonight, and I'm going to stand at this microphone, bow my head in prayer while you start laying hands on these people. And I believe there will not be a feeble one in our midst by the time you get through them, laying your hands on the sick.

E-87 And I want every sick person in here, that's sick and wants to be healed, to stand up on your feet right now, you that's able to. Turn this a way, ministers, don't fail but what you touch each one. All right, you sick people, lay your hands over on one another. Turn around this way ministers, towards the audience. Are you now ready to receive your healing? That's right, the lady's already healed standing there. There's another one healed standing right there. God bless you, yes, brother. There you are; you're through with that; throw it away from... That's right. That one's healed with asthma standing right there. That lady, He healed her cancer, standing right there. Here, that lady standing right there with...?... is healed. That man there, with his eyes. God has made you well, my brother. There.

E-88 Ministers, walk forward in the Name of the Lord, lay your hands on them.
Almighty God, we come to You in this crucial moment, believing that You're here. Lord, God, we now represent You, laying hands upon the sick.
Satan, you've lost the battle. Thou demon, I adjure you to come out of these people in the Name of Jesus Christ; leave every one of them.
I ask in the Name of Jesus Christ, cripples, stand up on your feet. Here come the cripples up out of the wheelchairs, a cripple's coming up. The people are being healed. Accept it right now, raise up your hands and give God praise. There's a crippled woman, another crippled woman, a crippled man. The power of God is here. Go forward, in the Name of the Lord...?...

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