Parle Au Rocher
1 ...Nombres... Et j’aimerais juste vous parler pendant quelques minutes, avoir votre attention. Nous avons eu une belle petite réunion ce matin chez frère Roger, et quel chaleureux petit accueil! Et–et lorsque nous sommes partis, ma femme m’a dit, elle a dit: «Cela ne te rappelle-t-il pas le tabernacle, lorsque nous avions commencé?» Et j’ai dit: «Certainement.»
C’est exactement de cette manière que nous avions commencé, c’était juste un petit groupe de gens comme cela, une petite–une petite église, sans plancher à l’intérieur. Nous n’avions même pas de plancher, et il y avait de vieilles fenêtres. Je me souviens que la première année, le gel est venu et voici venir les femmes, marchant là. Et le sol étant gelé, lorsque nous avons allumé un feu, le sol s’est totalement réchauffé et s’est dégelé, la boue arrivait jusqu’aux chevilles, et elles marchaient en plein dans la boue, vous savez, en tirant les pieds, elles s’asseyaient près du vieux petit poêle derrière, il y en avait un par ici, mais nous adorions le Seigneur. Nous passions des moments merveilleux.
2 Beaucoup d’entre eux ont déjà traversé la grande mer–sont déjà passés de l’autre côté du rideau. Je les ai observés lorsqu’ils sont arrivés au bout de leur route, je les ai enterrés. Et aussi certain qu’il existe un Dieu dans les cieux, je crois qu’un jour, si je Lui reste fidèle, dans un pays meilleur, je serai de nouveau avec eux.
Ainsi, c’est l’essentiel. Après tout, qu’est-ce que la vie? Nous ignorons combien de temps elle va durer, elle pourrait se terminer cet après-midi; ceci pourrait être notre dernière réunion. Le savez-vous? Mais qu’il en soit ainsi ou pas, nous ne pouvons pas perdre. Il est impossible que le christianisme perde, n’est-ce pas? Vous ne pouvez pas perdre, quoi que vous fassiez. Il n’existe aucune perte dans le christianisme. Que je vive, c’est un gain pour moi; que je meure, c’est un gain pour moi. Que... Eh bien, je disais mourir. Je ne peux pas mourir. Aussi longtemps que j’ai la Vie Eternelle en moi, je ne peux pas mourir. Le savez-vous? Vous ne pouvez pas mourir.
3 La mort n’existe pas pour un chrétien. Il n’y a pas un seul passage des Ecritures dans la Bible qui vous dit qu’un chrétien meurt. Bien au contraire, nous sommes tous vivants. Jésus a dit: «Celui–celui qui croit en Moi a la Vie Eternelle.» Est-ce juste? Comment cela peut-il avoir une fin si cela possède la Vie Eternelle? Voyez-vous? «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» C’est vrai.
Donc, nous ne pouvons pas mourir, et nous ne pouvons pas cesser d’exister. Nous existerons toujours. Il y a eu un temps où vous n’existiez pas ou n’étiez rien, mais il n’y aura jamais un temps où vous ne serez pas quelque chose et quelque part. Vous serez quelque part après ici, au travers des âges sans fin, vous serez quelque part durant toute l’éternité.
4 Ainsi donc, je pense parfois au moment où les épreuves deviennent dures. Et dans ma vie, je rencontre des difficultés comme n’importe qui, de dures épreuves contre lesquelles nous devons ramer durement pour nous en tirer. Et lorsque j’y suis confronté, je me dis simplement ceci: Eh bien, qu’est-ce que ça change? La Bible dit: «Toutes choses concourent au bien de ceux qui L’aiment.» Est-ce juste?
C’est donc peut-être pour mon bien. Alors, je vais carrément de l’avant et je prends cela malgré tout. Et si je–si cela... Rien ne peut vous déranger. Même la mort elle-même ne peut pas vous déranger. Cependant, lorsque la mort viendra, je... Le vieil apôtre, alors qu’on érigeait un échafaud là pour le décapiter, eh bien, il a dit: «Ô mort, où est ton aiguillon? Ô tombe, où est ta victoire?» Aucun aiguillon de la mort, aucun... «Eh bien, où–où est ta victoire, ô tombe?»
La tombe a dit: «Je t’aurai dans quelques instants. Je t’aurai.»
Il a dit: «Que peux-tu me faire?» Voilà.
5 «Je veux simplement te pointer là-bas cet Homme en qui je suis: Jésus-Christ, Celui qui a brisé tous tes liens et qui est ressuscité. Maintenant, comment vas-tu me retenir?» Voilà. La mort a dit: «Je vais te faire hurler et crier», lorsqu’elle est venue.
«Montre-moi comment tu peux faire cela.» La seule chose que je sais que la mort–que Dieu a fait à la mort, Il l’a attelée à un charriot. La seule chose qu’elle peut faire c’est de tirer un croyant droit jusque dans la Présence de Dieu. Alors–alors que va-t-elle faire? Elle ne peut pas nous faire du mal. C’est pourquoi nous n’avons pas du tout à nous inquiéter, n’est-ce pas?
Si le pot de farine est vide, Dieu a promis de le remplir. Peut-être qu’Il voulait qu’il se vide de temps à autre. Voyez-vous? Et il se peut que quelque chose d’autre se produise, ou que les enfants n’aient pas de chaussures à porter, eh bien, pour sortir, eh bien, que vous devriez acheter une paire ce samedi et attendre deux samedis pour acheter une autre paire... Je sais comment ça se passe. Eh bien, Dieu pourvoira à toute chose.
6 Frère Bosworth me racontait qu’il avait été dans une réunion une fois. Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, j’ai tenu une réunion, a-t-il dit, j’ai payé mon billet pour la Californie.» Il a dit: «Je continuais de tenir des réunions, a-t-il dit, les autres frères passaient, Smith Wigglesworth et les autres.» Chacun d’eux prélevait des offrandes pour soi... Et il a poursuivi. Il a dit: «Je ne prélevais pas d’offrandes et mes dettes augmentaient. Alors quand le moment vint pour moi de rentrer chez moi, a-t-il dit, on a prélevé une offrande pour lui, et ce soir-là il a prélevé une offrande, il a dit: «Oh! la la, a-t-il dit, il est tombé une pluie sans merci, au point que personne n’est venu à la réunion.» Alors il a dû emprunter de l’argent pour rentrer chez lui. Il a dit, eh bien, qu’il a remercié le Seigneur et qu’il est rentré chez lui.
Il est allé tenir une autre réunion, et voilà. Voyez-vous? C’est ça. N’est-Il pas un Père merveilleux? Nous L’aimons tous.
Maintenant, dans Exode, là où nous étions, ou plutôt dans Nombres, là où nous avons lu au–au chapitre 20, et nous commençons au verset 7.
L’Eternel parla à Moïse, et dit:
Prends la verge, et convoque l’assemblée, toi et ton frère Aaron. Vous parlerez en leur présence au rocher, et il... (Eh bien, j’aimerais que vous remarquiez.)... il donnera ses... («Ses» c’est un pronom personnel, là. Voyez?) il donnera ses eaux; tu feras sortir devant eux et le–de l’eau du rocher, et tu abreuveras l’assemblée et leur bétail.
7 Maintenant, inclinons nos têtes un instant. Père, nous Te remercions. Nous Te remercions du fond de notre coeur que Tu sois ici. Nous Te remercions pour ces gens. Et par-dessus tout nous Te remercions de nous avoir envoyé Jésus; alors que nous étions des misérables païens entraînés vers des idoles muettes, il y a deux mille ans, que nous étions primitifs au possible, vivant là, sans vêtements, mangeant tout ce que nous pouvions trouver par terre. Des choses mortes, contaminées, n’importe quoi, nous mangions cela malgré tout, nos pères. Et ils fabriquaient des idoles qu’ils adoraient. Alors que nous étions des pécheurs, dans cette condition-là, Dieu, dans Sa miséricorde, sachant que nous faisions partie de Sa propre création, envoya Jésus pour appeler les païens à la repentance.
Ô Dieu, et maintenant nous sommes des fils et des filles de Dieu, et les gens les plus respectés de la terre. Combien nous Te remercions pour ceci, pour la seule raison que nous pouvons porter le nom de chrétien. Oh! nous T’aimons, Père.
8 Et maintenant, aujourd’hui comme le sort a voulu que ce soit moi, et il y a ici des gens que Tu as envoyés pour écouter, j’aimerais leur parler de Ton amour. Et je Te prie de circoncire mes lèvres, mon coeur, mon esprit, afin que je ne dise et ne pense que des choses qui sont justes, et parle des choses qui sont justes. Et puis, ouvre leurs coeurs, Seigneur, afin qu’ils reçoivent cela. Et que le Saint-Esprit prenne les choses de Dieu en ce moment, et les donne directement à chaque personne, selon son besoin, car nous le demandons au Nom de Christ. Amen. Je pense que certains n’ont pas reçu leurs mouchoirs, je pense que ce sont les mêmes qui étaient ici hier soir, et qu’on ne les a probablement pas retirés. Que dites-vous? Des nouveaux... Eh bien, pendant–pendant que nous y sommes, avant que je n’oublie cela, prions pour eux. Seigneur, je Te prie de les guérir. Oh! nous pensons à la femme Sunamite quand elle est allée vers Elie, et nous Te demandons maintenant, de la même façon qu’on a apporté ce bâton, et qu’on prenait des linges et des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul, que ces gens soient guéris au Nom de Jésus, nous prions. Amen.
9 Nous vivons dans un jour vraiment merveilleux, mes amis, et je–je continue de regarder la soeur Beeler par ici. Si cette dame ne ressemble pas exactement la soeur Hoover, je–je me disais que son–qu’elle était douze fois la soeur Hoover. Et je l’ai appelée ainsi ce matin. Je l’ai entendue au cours d’une réunion l’autre soir, criant tout simplement. Et rentré chez moi, je me suis dit: «Eh bien, soeur Hoover, vous aviez une merv-...» Eh bien, elle n’était pas ici. Et je n’ai jamais vu deux personnes se rassembler autant de toute ma vie.
Une–une dame qui–qui est dans la... Eh bien, elle reste chez nous là-bas; c’est une chrétienne très aimable, et elle... Nous–elle s’occupe des enfants et tout pour nous, c’est une personne très aimable. Et elle se coiffe comme elle, elle lui ressemble, elle se comporte comme elle à tout point de vue. Et ainsi, je... Madame Beeler est là avec ma femme, je disais tout simplement qu’il y avait un... comment attirer leur attention là-dessus. Mais chaque fois que je regarde par là je me dis... Parfois, je regarde dans l’assistance pour voir s’il y a quelqu’un que je connais personnellement.
10 Quelqu’un dira: «Eh bien, ne m’aviez-vous pas vu, Frère Branham? J’étais assis juste devant vous.» Et je ne l’ai pas vu.
Je–je descends la rue, et ma femme me dit: «Eh bien, n’as-tu pas vu telle–telle personne là?»
Je dis: «Non, je ne l’ai pas vue.»
Bien, cela... Je ne sais pas, je pense que c’est tout simplement parce que je suis engourdi, et je ne regarde pas tout autour pour voir les gens. Je ne sais tout simplement pas si je... Lorsque quelqu’un passe à côté et que je ne lève pas la tête, eh bien, pardonnez-moi tout simplement, mettez cela sur le compte de mon ignorance. Mais j’essaie donc de le faire dans les réunions, j’essaie de regarder autour de moi pour voir si je peux apercevoir quelqu’un que je connais.
11 Maintenant, nous allons aborder cette Ecriture et lire un tout petit peu, et maintenant nous allons parler de ceci pendant quelques minutes. Maintenant, j’aimerais penser à... Et maintenant, si nous nous rassemblons... Je vous promets qu’avec l’aide de Dieu, je... Nous tâcherons de sortir dans les prochaines quarante-cinq minutes, si possible.
Et priez tout simplement avec moi maintenant, et accrochons-nous carrément à la Parole. Et j’aime la Parole, pas vous? Et tendez simplement la main et prenez ces vieilles pépites et polissez-les un petit peu et contemplons-les; elles sont vraiment splendides, et ce sont les choses qui sont dans les Ecritures. Je crois que tout l’Ancien Testament était un type parfait du Nouveau Testament. C’était simplement l’ombre.
Maintenant, si je me mettais sous cette lumière du soleil, et que je me dirigeais vers ce mur, et que je–et regardais mon ombre sur le mur, j’aurais une certaine idée de ce à quoi je ressemble: si je suis un animal à quatre pattes ou si j’ai des ailes comme un oiseau, ou tout ce que je suis.
Eh bien, ça c’est l’ombre. Et pendant que le soleil se couche sur le temps maintenant, nous vivons dans l’ombre de la Venue de Jésus, ne le pensez-vous pas? Et ces choses que nous voyons se produire sont tout simplement une ombre de ce qui est sur le point d’arriver.
12 Oh! je pense que je suis en train de parler à toute une assistance de gens remplis du Saint-Esprit. Et vous savez quoi, mes amis, je crois que nous vivons dans l’ombre de l’une des plus glorieuses choses que le monde ait jamais reçues ou entendues, tout simplement... Nous sommes juste au point du jour.
Maintenant, lorsque l’Ange de l’Eternel m’a rencontré... Tout d’abord, souvenez-vous, beaucoup parmi vous les anciens ici présents qui ont assisté aux réunions, lorsqu’Il m’a rencontré pour la première fois, Il m’avait dit de tenir la main de la personne. Hier soir, ou un jour, plutôt hier quelque part, j’ai rencontré un petit enfant. J’ai simplement pris sa main juste pour voir, oui, si c’était toujours la même chose. Voyez-vous? Et alors vous pouvez observer comment cela s’en va, voir de vos propres yeux comment cela opère.
13 Et alors, Il a dit: «Si donc tu es très respectueux, il arrivera que tu connaîtras les secrets mêmes des coeurs des gens.» Il a dit: «S’ils ne croient pas au premier signe, ils croiront au deuxième signe.» Eh bien, pendant deux, trois ou quatre ans, c’était tout ce que je savais sur... J’imposais les mains à la personne. Eh bien, alors–alors ça s’est passé de cette manière-là. Et puis, alors quelque chose pousse, me disant que nous sommes juste au... que le moment est vraiment venu pour que quelque chose d’autre se manifeste, qui sera plus glorieux que tout ce que nous avons déjà entendu. Et j’en suis vraiment reconnaissant, et priez pour moi afin que Dieu me laisse vivre pour voir cela (Voyez?), pour voir cela se manifester. Et maintenant, je prie que Dieu vous permette à tous de vivre pour voir cela.
14 Je ... nous–nous savons que lorsque nous négligeons cela... Pensez tout simplement à toutes ces choses qui sont mystérieuses pour le moment, quand nos yeux se fermeront et que nous ressusciterons avec Lui, alors ça ne sera plus mystérieux. Tous les grands mystères que nous ne comprenons pas, seront tout simplement là lorsque nous–lorsque nous quitterons cette terre. Ne sera-ce pas merveilleux?
Oh! la la! comment pourrait-il y avoir un aiguillon ou plutôt une peur de cela? J’ai toujours voulu connaître Dieu davantage, pas vous? C’est pour cette raison que nous sommes ici maintenant, c’est afin de connaître Dieu davantage. Et de penser qu’aussitôt qu’Il appellera notre vie, nous saurons–nous Le connaîtrons face à face juste à ce moment-là. Oh! la la! n’est-ce pas merveilleux?
Je suis si heureux d’être sauvé, je ne sais pas ce que je ferais. Je pourrais même piquer une crise et me mettre à hurler maintenant même. Voyez? Parce que je suis simplement heureux d’être sauvé. Oh! la la! de penser qu’on est sauvé, qu’on a la Vie Eternelle, qu’on ne peut pas mourir. Je ne peux... Rien ne peut m’arriver pour me nuire. Je vais tout simplement vivre éternellement. Oh! la la!
15 De penser tout simplement qu’un de ces jours, ces épaules voûtées... Je regardais l’autre jour, pendant que je me peignais les cheveux qui me restent. Alors j’ai–j’ai regardé, et je me suis dit: «Dis donc, cela grisonne partout sur les côtés.» J’ai regardé et j’ai vu ma femme, elle est plus jeune que moi, elle grisonne plus que moi. Et je me suis dit: «Eh bien, mes épaules sont voûtées. Regarde mes mains, elles commencent à ressembler à celles d’un vieil homme. Eh bien, il y a à peine quelques semaines, je jouais aux billes dans la rue.»
Et je me suis dit: «Qu’est-ce que ça change? Oh! la la! Oh! la la! un de ces jours ces épaules vont se redresser, et cette chevelure va redevenir sombre.» Je vais alors être comme ça pour toujours. Oui monsieur. Je peux prouver cela par l’Ecriture de Dieu.
16 Si jamais j’ai de nouveau une occasion, peut-être là-bas dans la prochaine petite ville, vous y serez de toute façon. Alors venez. Je vais saisir une occasion pour en parler là-bas: je vais vous le montrer dans la Bible, c’est la vérité.
Maintenant, nous allons parler d’un voyage, comment Dieu a fait sortir Son peuple d’Egypte pour l’amener dans la Terre promise, un type parfait de l’abandon du péché, pour entrer dans le Pays spirituel. Eh bien, ce voyage a trois étapes: premièrement, Israël en Egypte, Israël en voyage, Israël en Palestine, ce qui est un type parfait de la justification par la foi, la sortie; la sanctification quand il est passé par le Sang, le baptême du Saint-Esprit. C’est parfait, les étapes de l’Eglise. C’est à cette étape-là que l’Eglise se trouve maintenant.
17 Maintenant, il y a une chose que j’aimerais que vous remarquiez. Ils sont sortis sous Martin Luther. Ils ont été sanctifiés sous John Wesley, remplis du Saint-Esprit sous la Pentecôte. Maintenant, nous sommes ici dans la Terre promise, en train de tuer les Philistins et de passer un moment merveilleux, nous emparant du pays. Voici un petit passage ici qui dit: «Tout ce que vous demanderez en Mon Nom sera accordé.»
Ce sont des démons qui sont là partout, mais nous avançons carrément avec l’épée de Dieu et nous les retranchons, nous emparant du pays. Il nous appartient. Dieu nous l’a donné.
Il a dit: «Voilà le pays; Je vous le donne; allez-y, possédez-le.» Ainsi, nous voici, nous qui avons fait notre voyage, maintenant nous sommes arrivés.
18 Bon, bien des gens considèrent que Canaan, qu’être entré dans la Terre promise, c’est être entré au Ciel. Non, cela ne peut pas être le type du Ciel. Ce sont les étapes du voyage de l’Eglise. Ils avaient des guerres et tout là-bas en Canaan. Il n’y a pas de guerres au Ciel, vous savez. Il y avait donc eu des morts, des meurtres et tout le reste. Il n’y a donc pas cela au Ciel. C’est le type du Saint-Esprit.
Si vous remarquez comment Israël est arrivé là-bas, comment Joseph, celui qui avait des songes, un voyant... Eh bien, il ne pouvait rien au fait qu’il était un voyant. Dieu avait simplement fait de lui un voyant. Et il... Les gens faisaient des songes et il les interprétait, et Dieu lui révélait ce qui allait arriver. Et ses–tous ses frères étaient jaloux de lui.
19 Maintenant, remarquez. Lorsqu’il naquit, il était le fils préféré parmi tous les autres. C’était Jésus. Jésus-Christ a vécu dans chaque apôtre, dans chaque prophète. Jésus-Christ est dans l’Eglise depuis le commencement. Croyez-vous cela? Certainement.
Considérez David lorsqu’il fut détrôné et qu’il gravissait la colline. Il était le fils de David, Christ l’était. Et il est monté à Jérusalem alors que son propre peuple l’avait chassé du trône. Et alors qu’il montait la colline, il est monté là-haut et il a pleuré, il a regardé en bas vers Jérusalem et il a pleuré. Est-ce juste? Parce qu’il était un roi rejeté dans la ville. Est-ce juste?
Considérez Jésus, son Fils, environ cinq cents ans plus tard, Il s’est tenu sur la colline au-dessus de Jérusalem, Il a dit: «Jérusalem, Jérusalem...» Il était rejeté, le Fils de David: «Combien ai-Je voulu planer sur toi comme une poule planerait sur sa couvée, mais tu ne l’as pas voulu.» Voyez? Ce même... Et aujourd’hui nous voyons le Saint-Esprit, ou plutôt nous Le sentons en nous, pleurer en disant la même chose: «Combien de fois...» Voyez-vous? C’est Jésus-Christ, tout du long, très exactement.
20 Jésus-Christ était en Moïse. Jésus-Christ était en Joseph. Joseph était un type parfait de Christ. Considérez-Le là, quand il était une ombre, c’est ce que Dieu avait fait. Et le seul moyen que j’ai... je connais, c’est le recours à des types, mais comment–comment puis-je prêcher cela n’ayant aucune instruction, si je ne regarde pas en arrière? Et si je sais à quoi l’ombre ressemblait, j’aurai une certaine idée de ce à quoi ressemble la chose réelle.
Je regarde là en arrière, je vois Joseph, lorsqu’il naquit de son père par–et qu’il était aimé de lui, rejeté de ses frères. Et son père lui a donné une tunique à plusieurs couleurs. Sept couleurs, c’est–seulement sept couleurs sont les couleurs originales. Et cette tunique recouvrait son petit corps, très exactement comme l’arc-en-ciel couvrait Jésus après Sa mort, Son ensevelissement, et Sa résurrection. Lorsque Jean Le vit, Il était environné d’un arc-en-ciel qui avait l’aspect de la pierre de jaspe et de sardoine, et c’étaient les pierres d’Ephraïm, et–ou plutôt le–de Benjamin et Ruben. Et–et comment le–le premier et le dernier... L’arc-en-ciel L’environnait, cela représentait une alliance, l’alliance du Sang, Jésus avait–que Jésus a donnée à l’Eglise comme alliance. Et l’arc-en-ciel est toujours le signe de l’alliance.
21 Et quand donc Joseph est allé voir ses frères, il fut rejeté et il était supposé avoir été tué.
Eh bien, c’est ce que les Juifs ont fait à Jésus lorsqu’Il est venu vers les Siens, les Siens ne L’ont pas reçu. Ils ne L’ont pas aimé. Pourquoi? Parce qu’Il était un Voyant, parce qu’Il était un Prophète, parce qu’Il était plus spirituel que les autres. Et ceux-ci voulaient le tuer, mais l’un d’eux s’est écrié disant: «Ne le tuons pas, c’est notre frère.»
Mais ils l’ont jeté dans une fosse. Ensuite, ils l’ont pris... Ils l’ont fait sortir de la fosse, et il a été emmené dans la plus grande ville du monde de l’époque, en Egypte, et il est devenu le bras droit de Pharaon. Tout comme Jésus a été rejeté de Ses frères, a été tué et jeté dans la fosse, Il est ressuscité, et maintenant Il est assis à la droite de la plus grande Ville de toute l’éternité, le Ciel.
22 Et personne ne pouvait s’approcher de Pharaon sans passer par Joseph. Et personne ne peut s’approcher de Dieu sans passer par Jésus (Voyez?), c’est tout simplement parfait.
Et remarquez autre chose, je... Nous devons nous dépêcher, mais nous sommes en train de placer une toile de fond ici.
Mais remarquez, lorsqu’il fut tenté, lorsqu’il était... lorsqu’il était en prison, par ce glorieux don qu’il avait, il y avait là-bas deux hommes. Et l’un d’eux était un échanson, et l’autre le boucher, ou plutôt le panetier. Et l’un fut perdu, et l’autre fut sauvé. Est-ce juste? Et considérez Jésus sur la croix. Deux vinrent vers Lui, et l’un fut perdu, et l’autre fut sauvé, sur la croix, c’est tout simplement parfait. Et puis j’ai remarqué autre chose, c’est que lorsque Joseph fut rejeté de son propre peuple, il a reçu une épouse des nations. Est-ce juste?
Pharaon lui donna une épouse. Eh bien, c’est simplement la même chose... que lorsque Jésus est rejeté par les Juifs, Il va vers l’Eglise des nations et choisit une Epouse. Et nous sommes Madame Jésus cet après-midi. C’est juste. Amen. J’aime cela. Certainement.
23 Bon, il y a beaucoup de jeunes femmes ici cet après-midi, vous–beaucoup de belles jeunes filles. Eh bien, je les respecte toutes, mais il n’y a qu’une seule madame Branham. Voyez? C’est ma femme. Très bien. Et il en est de même. Il y a beaucoup d’églises; il y a beaucoup de gens qui vont à l’église et ainsi de suite, mais il n’y a qu’une seule Madame Jésus. C’est juste.
Et ceux qui... Elle est constituée de gens issus de chaque dénomination qui sont nés de nouveau de l’Esprit de Dieu et qui forment le corps de Christ, ils prennent... Ils sont cohéritiers avec Lui. Ils sont avec Lui, et ils sont une partie de Lui, simplement une partie de Son corps. Et c’est ce qu’est une femme pour son mari, elle est une partie de ce dernier. Amen.
24 Oh! quand je pense à cela! Je pense à cela dans la Genèse, lorsque le–lorsque Dieu créa le soleil et créa la lune. Eh bien, la lune est la femme du soleil. Or, lorsque le soleil disparait, la lune reflète la lumière du soleil (Est-ce juste?) sur la terre.
Et maintenant, lorsque Jésus fut retiré, nous sommes l’Epouse qui est la lune, pour réfléchir la lumière de l’Evangile, et nous ne pouvons pas réfléchir cela à moins que Lui brille sur nous. Amen.
Eh bien, lorsque nous devenons... Lorsque l’Evangile se met à briller sur nous, alors nous reflétons cela. Alors envoie la Lumière, ô Seigneur, c’est ma prière, afin que nous puissions refléter la Lumière du Fils de Dieu dans Sa puissance, Sa résurrection et Sa plénitude, comme c’est merveilleux!
25 Maintenant, Dieu avait fait tout cela là dans un but. Finalement, savez-vous pourquoi Joseph a prospéré? Voici une autre petite–petite pépite que j’aimerais vous lâcher. Avez-vous remarqué que lorsque Joseph est mort, il a donné à ces gens un mémorial, pour tout le temps qu’ils seraient là, montrant qu’un jour ils quitteraient cet endroit-là. Il a dit... Eh bien, j’ai posé ma main sur ce qu’on suppose être son cercueil il n’y a pas longtemps, oh! dans un grand musée outre-mer, un grand cercueil en plomb dans lequel son corps était supposé reposer. C’était supposé être un cercueil en Egypte. Et ainsi donc, ils étaient... avaient cela au British muséum. Et le fauteuil–le fauteuil sur lequel ils intronisaient les rois, vous seriez surpris de voir à quoi cela ressemblait. Vous avez un meilleur fauteuil dans votre véranda de derrière quelque part, dont le fond est fait de hickory. C’est juste.
26 C’était une vieille petite histoire faite en pierre, ce morceau de pierre sur lequel Joseph était supposé appuyer sa tête. Eh bien, pour moi cela avait l’air d’un bon vieux morceau de pierre de Bedford, ce n’était pas plus grand que ça. Mais–mais ça, c’est la pierre de Scone, vous savez, qu’on a volée il n’y a pas longtemps. Et toutes ces choses sont tout simplement...
Mais Joseph était le–le–le type de ce que Jésus devait être, lorsqu’il est mort il a dit: «Maintenant, n’enterrez pas mes os, mais laissez-les reposer ici.»
Et chaque Hébreu qui passait par là, en voyant ces os... Même si on le frappait dans le dos par les maîtres de corvée, il regardait ces os et savait une chose, c’est que ce prophète avait dit: «Un jour ces os, emportez-les avec vous. Dieu a promis que nous allons sortir, et emportez mes os avec vous.»
Et ils savaient que c’était un signe parfait, montrant qu’un jour ils sortiraient de l’esclavage de l’Egypte, car les os de Joseph devraient être emportés et enterrés. Et il était un prophète qui avait la Parole de Dieu, et ils savaient que cela ne pouvait pas faillir.
27 Quelle consolation pour chaque Hébreu qui avait été frappé dans le dos et qui saignait, en passant par-là, et ces maîtres des corvées... regarder là et voir cette vieille pierre, ce vieil endroit dressé là, et ces os reposant là, ils savaient ceci: «Un jour–un jour nous sortirons.» Jésus a fait la même chose, Il a laissé une tombe vide.
Et un de ces jours, lorsque nous passerons et que nous dirons à notre maman là, cette aimable vieille femme qui nous a bercé sur ses genoux, qui nous a embrassé, qui nous a aimé... Et peut-être à notre petit bébé que nous avons tenu dans nos bras, que nous avons bercé et cajolé, vous entendrez alors le prédicateur dire: «Les cendres retournent aux cendres, et la poussière à la poussière...» Vous les voyez jeter ces mottes de terre jaune dessus, mais ce que nous faisons, nous fermons nos yeux et nous regardons là vers Jérusalem. Il y a une tombe vide. Un jour nous sortirons d’ici. C’est juste. Nous sommes en route vers la Terre promise. Oui, monsieur. Et Moi–ou... Joseph a laissé le même signe que Jésus.
28 Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez autre chose. Et lorsque... Avant qu’ils sortent, c’était donc l’appel à sortir, les enfants d’Israël avaient reçu un signe. Moïse est sorti et il s’est mis à leur prêcher, et nous connaissons l’histoire. Et lorsque Moïse leur a prêché, il a accompli son signe une fois... Dieu l’avait rencontré, il n’a pas voulu partir, mais Il lui a donné un signe à accomplir, la guérison–la guérison était l’un des signes. Le signe suivant consistait à faire un miracle avec le bâton. Et lorsque cela fut fait, ces gens ont cru Moïse, et ils se sont mis en marche. Très bien.
Ils n’étaient pas allés loin que déjà ils eurent des ennuis. Chaque fois que vous vous mettez en marche pour Dieu, prenez garde, vous vous dirigez vers des ennuis. Le diable va se mettre juste là, le long du chemin pour s’emparer de chaque pouce qu’il pourra. Il vous poursuivra, il vous tourmentera, il vous fera toutes les méchantes choses. C’est un démon. Oh! j’aime tout simplement lui déverser les Ecritures, pas vous? Oui, oui. Dire: «Il est écrit dans la Parole du Seigneur.» C’est juste. Dieu l’a dit.
29 Le diable me hait, et je sais qu’il vous hait vous aussi. Et il–il est mon ennemi. Mais aussi longtemps que Dieu est mon Ami, je n’ai pas peur de lui. Je le repousse carrément, je prends la Parole de Dieu et je le chasse carrément de sa... du lieu qu’il pense détenir. Il n’a aucune forteresse. Il est absolument et légalement vaincu en chaque lieu.
Le diable n’a aucun droit légal du tout, nulle part. Il est simplement un diable, et un mot de passe suffit. Il n’a aucun droit légal sur tout homme qui accepte la promesse de Jésus-Christ. Il est vaincu. Oui, monsieur. Il est vaincu dans la maladie; il est vaincu dans les déceptions; il est vaincu en tout. Il est vaincu dans la mort. Il ne peut pas vous effrayer; il ne peut pas vous effrayer. Tout ce qu’il est c’est une grande ombre.
30 Il ferait tout aussi bien de descendre la rue. J’ai vu sa lumière rouge monter la colline il y a quelques instants, pas vous? Il est fini. Oui, monsieur. Très bien. Gloire au seigneur. Je commence à me sentir très bien maintenant. Vous savez, vous commencez à devenir un peu raide et éprouvé. Je pense que je me fais vieux. Mais lorsque je commence à sentir Sa Présence venir, eh bien, j’en oublie ma vieillesse...?...
La première fois que j’ai entendu un prédicateur pentecôtiste prêcher, il s’est mis à prêcher; il avait environ quatre-vingts ans et quelques, on devait conduire le vieil homme. Et lorsque cet homme s’est mis à prêcher, il s’est réchauffé en prêchant, il a poussé environ trois cris, il a sauté en l’air et a entrechoqué ses talons, il a quitté l’estrade et a dit: «Eh bien, vous n’avez pas suffisamment d’espace ici pour que je prêche.»
Je me suis dit: «Oh! frère, c’est ce qu’il me faut.» C’est juste. Si cela l’amène à se comporter de cette manière-là, qu’est-ce que cela ferait à... Eh bien, cela vous rendra aussi... Il se sentait ainsi, il avait quatre-vingts ans, je pense. Un homme très âgé, on devait le conduire à l’estrade. On n’a pas eu à l’en faire descendre. Voilà donc la différence, la puissance de Dieu.
31 On a vu un démon s’emparer d’une personne, un fou, il faut cinq ou six personnes pour le maîtriser. C’est la puissance du diable. Or, si un démon peut faire cela, que peut faire Dieu lorsqu’Il s’empare de quelqu’un?
C’est pourquoi pendant longtemps, ici le soir, je vois les gens ici dans des lits de camp, se tenant juste là. Peu importe ce que Dieu fait, ils restent toujours là: «Eh bien, si vous descendez et m’ouvrez la bouche, et que vous y versiez quelque chose, cela me rechargera un petit peu...» Ouvrez votre coeur, et Dieu vous rechargera un petit peu. Vous...
J’ai vu une petite femme dont les membres ici... La petite Georgie Carter de Milltown, dans l’Indiana, elle–ses membres n’avaient pas cette grosseur, elle était restée couchée là depuis neuf ans et huit mois, et elle ne pouvait pas bouger. Elle ne pouvait même pas soulever un petit crachoir. Et cette fille, vous pouvez l’appeler maintenant au téléphone à mes frais, si vous voulez le faire, elle est ma pianiste dans l’église baptiste de Milltown depuis les huit dernières années. Elle était couchée là, et comment elle a pu se lever, Dieu m’a donné une vision et a dit: «Va l’appeler.»
32 Je n’avais jamais été à Milltown dans ma vie jusqu’à ce... Je suis allé là-bas et je lui ai dit très exactement ce que Dieu avait dit. Et j’ai dit: «Lève-toi, Christ t’a guérie.» Elle n’a pas fait attention; elle a écrit, se demandant comment elle avait pu se lever, elle qui ne s’était pas levée depuis huit, ou neuf ans et six mois? Comment... Et cinq minutes après, elle était dehors dans le jardin, en train de marcher, bénissant les feuilles. Elle ressemblait à un squelette, les gens s’évanouissaient à sa vue. Comment se tenait-elle debout? Je ne sais pas; c’est la puissance de Dieu qui l’a relevée. Elle était là debout. Elle était debout par la puissance de la résurrection de Jésus-Christ.
Et toute autre personne qui osera prendre Dieu au Mot, se tiendra debout. Comment le pourra-t-elle? C’est une puissance surnaturelle qui vous fera tenir debout, qui vous relève de là. Si vous ôtez d’elle cette puissance, elle s’écroulera comme un tas d’ossements. Non, depuis lors, la seule fois qu’elle ait jamais été au lit c’est simplement lorsqu’elle va au lit le soir pour se coucher. Actuellement, elle joue au piano là-bas dans l’église baptiste de Milltown, où j’étais pasteur. Très bien. C’est ce qui se passe lorsque Dieu parle et que tout l’enfer est ébranlé, rien ne peut résister dans Sa Présence.
33 Très bien. Dieu a parlé à Moïse et a dit: «Amène Mon... J’ai entendu les gémissements de Mon peuple et Je descends les délivrer.»
Lorsqu’Il les a fait sortir, quel merveilleux type là du sacrifice de l’agneau ce soir-là, de l’agneau qui devait être gardé pendant quatorze jours.
Or, cela devait être un agneau mâle sans défaut, un type parfait de Christ, le premier né de la vielle mère brebis. Eh bien, Christ aussi était dans cet agneau-là.
Tout dans la Bible indique Christ. Vous ne pouvez pas prendre une chose dans la Bible sans que cela indique Christ. Et la première mère, le premier agneau de la mère brebis. Et ainsi donc, il devait être... gardé pendant quatorze jours. On devait l’examiner, il ne devait avoir aucun défaut. Et il était tué le soir. Avez-vous remarqué cela?
Christ n’a pas été tué le matin. On L’a arrêté le matin, et on L’a pendu à la croix à neuf heures; mais c’était le soir avant qu’Il ne meure. Est-ce juste? Et écoutez, cet agneau devait être tué par tout Israël, et les anciens devaient s’approcher et rendre témoignage de cet agneau de sacrifice. Un type parfait de Christ dont ils ont tous dit: «Ôte-Le, nous choisissons Barabbas. Cependant nous voulons qu’on libère Barabbas et qu’on tue Jésus.»
34 Tout Israël a posé ses mains sur Jésus. Il était l’Agneau parfait. Il fut examiné. A-t-Il été examiné? Oui, Il fut examiné; toute chose L’a examiné. Considérez Son... Même Ses ennemis ont dû rendre témoignage de Lui. Est-ce juste?
Eh bien, bien sûr que Ses–Ses amis ont témoigné, Marie, Jean, Jacques, tous ont rendu témoignage de Lui. Mais considérez ce qu’ont fait Ses ennemis, considérez Judas Iscariot, Son pire ennemi. Lorsqu’il a retourné cet argent-là et qu’il l’a jeté devant le souverain sacrificateur, il a dit: «J’ai livré un Sang innocent.» Est-ce juste? Le romain qui–qui a percé Son côté avec une lance a dit: «Assurément, cet homme était le Fils de Dieu.»
Les cieux ont déclaré qu’Il était le Fils de Dieu. Tout a témoigné qu’Il était le Fils de Dieu.
35 Considérez Pilate qui se tenait là, le grand empereur, avec cette couronne sur sa tête, il s’est tenu là, il était un juge. On l’a fait sortir, et il était complètement dans tous ses états, il était de mauvaise humeur malgré tout, de s’être levé tôt ce matin-là pour siéger au tribunal. Eh bien, certainement, quelqu’un a dit... Et aujourd’hui j’entends les gens essayer d’innocenter Pilate. Il était coupable. Il était certainement coupable.
J’ai lu l’histoire de sa vie, qu’il s’est tué par noyade là-bas. Et il y a un... Et il y a–il y a une superstition maintenant lorsque vous allez là-bas. Des milliers de gens se rassemblent au point d’eau, là où il s’est suicidé. Ils disent: «Cette eau bleue jaillit presqu’à la même heure du jour, une fois par an, là où il s’est tué en se noyant.» Oui monsieur, il était coupable.
36 Et, Il–Il était entre les mains de chaque homme. Il–Il est entre vos mains cet après-midi. Eh bien, il a dit... Pilate a dit: «Je n’ai rien à voir avec ce Juste.»
Alors il a dit: «Donnez-moi de l’eau.» Et il s’est lavé les mains.
L’eau ne pouvait pas laver ses mains. Nullement. Et vous dites: «Eh bien, je suis membre d’une certaine église, et ceci c’est cela.» Cela ne lave pas vos mains.
Une fois que vous avez vu la puissance de Dieu et que vous connaissez la puissance de Sa résurrection, vous ne pourrez jamais laver vos mains avec n’importe quelle eau. Il n’y a qu’une seule chose qui peut laver vos mains; c’est d’accepter le Sang de Jésus-Christ, et cela vous purifiera. C’est juste.
Si vous L’avez déjà vu dans la puissance de Sa résurrection, et que vous vous accrochiez à un credo, ou à quelque chose comme cela, sortez de cela (C’est juste.), et venez à Jésus-Christ.
37 Et je peux voir Pilate, quand il s’est tenu là et a dit: «Apportez-moi de l’eau, je vais me laver les mains.»
Mais d’abord, il s’est tenu là, eh bien, il a dit: «Montre-nous un signe, laisse-moi Te voir faire un miracle. Je... C’est Toi ce faiseur de miracles, ce Guérisseur divin. Laisse-moi Te voir faire un miracle. J’ai toujours désiré voir cela.» Quelque chose comme cela... Illustrons cela par une petite scène ici pendant un instant.
J’entends quelqu’un courir. Qu’est-ce? Voici venir un cheval au grand galop. D’où vient-il? Du palais. Nous regardons, un jeune homme, garde du palais, descend du cheval. Il court. Il tient une lettre en main; il se prosterne devant l’empereur, lui présente la lettre. Ce dernier ouvre la lettre, et il se met à la lire, dans sa crise de colère, il lit cette lettre dans cet état-là. Observez-le, il devient pâle. Ses lèvres pâlissent; ses genoux s’entrechoquent. Qu’y a-t-il? Toute sa force l’abandonne.
38 Regardons par-dessus son épaule et voyons de quoi il s’agit. Sa femme, une païenne, lui a écrit: «N’aie rien à voir avec ce Juste, car j’ai beaucoup souffert en songe aujourd’hui à cause de Lui.» Absolument. La païenne a témoigné: «N’aie rien à voir avec Lui.» Ensuite, il a demandé de l’eau, et il a essayé de se laver les mains. Mais cet Agneau devait être tué, et tout Israël devait rendre témoignage de cela, comme un type parfait de... ou plutôt l’Antitype du type.
Lorsqu’Israël est sorti de l’Egypte sous l’agneau sacrifié, lorsqu’ils ont tué l’agneau, ils étaient censés appliquer cela sur le sommet de la porte, sur le poteau, et sur le linteau. Eh bien, pas ici en bas, ici en haut.
39 Il n’y a pas longtemps, j’étais ici, à Chicago, là où on avait abattu un gangster célèbre... Son sang était répandu là dans la rue. Observez les gens lorsqu’ils saignent dans la rue, les passants marchent... Rassurez-vous, ils n’ont pas marché sur le sang de leur camarade. Non, non, ils ne voudraient pas marcher sur le sang d’un homme. Mais chaque jour, ils boivent, font des histoires, profèrent des jurons, et tout le reste, marchant sur le Sang de Jésus-Christ. C’est juste. Oui, oui.
C’est une honte; c’est une honte la manière dont ce monde traite Jésus-Christ. Et cependant pas... C’est le monde religieux qui fait cela. C’est ce qui fait mal. Il s’agit des gens qui sont censés être religieux. Et c’est ce que Christ a dit: «L’antichrist sera tellement proche que cela séduirait même les élus si c’était possible.»
Remarquez, ensuite, lorsque l’agneau était tué, et que le sang était appliqué sur ce... Regardez, un symbole parfait de la croix. Voyez? Chaque personne qui venait sous ce sang était censée rester dessous, jusqu’à ce que l’ordre de marcher serait donné.
40 Je ne soutiens pas tellement le fait d’être rétrograde, vous non plus n’est-ce pas? Non, non. Restez sous le sang. Et chaque personne qui se mettait sous le sang, restait là jusqu’à ce que les ordres soient donnés.
Je peux entendre certaines jeunes filles là-bas; elles–elles disent... Ces filles, ces filles israélites, elles se préparaient. Les autres filles passaient par là et disaient: «Dites donc, venez; nous allons à telle–telle histoire ce soir.»
«Non, non, je ne peux pas sortir.»
«Pourquoi?»
«Nous sommes sous le sang. Nous ne pouvons pas sortir. Nous devons rester ici; ce sont les ordres.»
«Oh! cette vieille religion dépassée dont ta mère et ton père sont membres. Qu’est-ce que le sang a à voir avec cela?» Cela a beaucoup à avoir avec cela. Cela a fait la différence entre la vie et la mort. C’est vrai.
«Cette vieille religion de ta mère et de ton papa, éloigne-toi de cela.» Vous avez entendu cela, jeunes gens.
Laissez-moi vous dire, si votre maman et votre papa ont le Saint-Esprit, et si ce sont de braves saints de Dieu à l’ancienne mode, écoutez-les. C’est juste.
41 Ils étaient sous le sang. Et bien vite, vers minuit, ils ont commencé à sentir quelque chose de très étrange, une agitation.
Avez-vous déjà observé les gens aujourd’hui? Oh! ils ne peuvent pas rester tranquilles une minute. Non, les gens ne le peuvent simplement pas. Voyez? Ils sont trop agités. Qu’est-ce? Eh bien, c’est parfait, la Venue du Seigneur.
Sortez ici dans la rue et parlez à n’importe quel contrebandier d’alcool, ou à qui que ce soit dans les rues de la ville, et où qu’il soit, où–où que ce soit, tout le monde vous dit que quelque chose ne tourne pas rond. Si nous avions un... Ils savent. Et écoutez mes paroles, cela ne durera pas longtemps qu’il ne restera pas un seul endroit où tout marche bien dans une seule ville de ce pays. C’est juste. Nous nous dirigeons vers cela, frère.
42 Laissez-moi vous le dire. Je suis passé tout près de–de la ligne du rideau de fer tout récemment, on avait dû baisser le rideau de ce vieux petit train, un grand garde russe se tenait là avec son fusil braqué sur moi comme cela, pendant que nous passions, et on ne nous a pas permis de regarder hors d’un tunnel de cent miles [160 km–N.D.T.] creusé par l’homme. Je me suis approché d’un petit officier finlandais, il–il a dit: «C’est horrible, n’est-ce pas?» Il parlait anglais.
J’ai dit: «Qu’est-ce?»
Il a dit: «Vous les Américains, vous allez très bientôt comprendre.»
Il y a des avions à réaction sous la terre, des avions sortant du sol comme cela. Là, en dessous il y a des bombes atomiques, tout est simplement prêt, ils peuvent faire le tour du monde, en un rien de temps, chargés de bombes atomiques. Et ils peuvent envoyer ces soucoupes dans cette nation, larguer une bombe, et en vingt minutes faire exploser la terre toute entière. S’ils n’avaient pas peur de cette réaction en chaîne, s’ils pouvaient stopper cette bombe à hydrogène, ils le feraient maintenant même. Frère, alors qu’il est temps de se repentir, de se mettre en ordre avec Dieu...
L’Amérique... Je parlais avec un homme aujourd’hui; il a dit: «Vous voulez me dire que Dieu laisserait l’Amérique être envahie?»
«Oui, monsieur.»
«Oh! a-t-il dit, en considérant nos pères fondateurs.»
43 J’ai dit: «Dieu n’a jamais dit à l’Amérique ce qu’Il a dit aux Juifs là-bas, aux Israélites. Mais lorsqu’ils ont cessé d’être en harmonie avec Dieu, Dieu les a laissés aller.» C’est juste. Et je vous assure, frère, lorsque vous semez, vous récoltez.
Et il n’y a pas longtemps, nous avions la prohibition de l’alcool, et tout, on a essayé... Et maintenant voyez donc ce que nous avons fait. Nous n’arrivons pas à suivre le sentier droit et étroit. Comme le cochon retourne à son bourbier et le chien à ce qu’il a vomi, de même les gens retournent.
Et considérez cela aujourd’hui, c’en est fait de nous, et nous allons recevoir cela. Je vous avertis au Nom de Jésus-Christ; entrez maintenant dans le Royaume de Dieu. C’est juste. Ne vous y trompez pas. Pressez-vous d’entrer maintenant, parce qu’il vient un temps où vous allez hurler et pleurer pour recevoir le baptême du Saint-Esprit; cela vous sera fermé.
44 Car, je crois que les réunions sont proches maintenant même, et cela va ramener l’Evangile aux Juifs en Palestine, et alors ça sera fini pour les gens des nations. Lorsque les Juifs recevront de nouveau le Saint-Esprit en Palestine, ce sera fini pour vous les gens des nations. Vous allez crier, pleurer, faire tout ce que vous voudrez, mais la miséricorde sera retournée vers Israël. C’est juste. Et les nations vont fouler les murs jusqu’à ce que la dispensation des nations sera terminée, alors ça sera fini pour vous.
Alors, mettez-vous maintenant en ordre avec Dieu. Assurez-vous d’être en ordre. Et ne prêtez aucune attention à ce vieux et faible truc lassant. Entrez dans les grandes puissances du Saint-Esprit, qui ont changé les tréfonds de votre être et qui ont fait de vous ce que vous n’étiez pas.
Eh bien, seul le Sang de Jésus-Christ peut faire cela. Moïse leur avait alors donné le commandement de rester sous cela, et voici minuit qui sonne. Je peux entendre l’agitation; et le petit garçon, je peux le voir se précipiter vers son papa, et dire: «Papa, papa.»
«Quoi?»
«Qu’est-ce que ce grand bruit? Qu’est-ce que ce... Tout le monde semble agité.»
Il dit: «Fiston, Dieu va envoyer le jugement sur cette nation.»
«Oh! papa, allons-nous tous nous faire tuer?»
45 «Non, Dieu nous a promis que, si nous sommes sous le sang, nous ne mourrons pas.» C’est cela la promesse aujourd’hui: «Quand Je verrai le Sang Je passerai par-dessus vous», sous le Sang.
Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez. Alors le petit garçon... J’imagine qu’il commençait à se faire un peu tard. Il dit: «Papa, es-tu... (Le fils aîné qui est censé être tué, vous savez) Papa, es-tu sûr que le sang a été appliqué au poteau?»
Vous savez, je pense que c’est le moment pour nos foyers chrétiens de nous examiner à ce sujet, ne le pensez-vous pas? Il sort, regarde sur la porte et dit: «Oui, fiston, oui, tout est là.»
«Eh bien, papa, puis-je me reposer tranquillement?»
«Oui, oui. Dieu nous a dit qu’aussi longtemps que nous sommes sous le sang, tout va bien pour nous. Il n’y a donc pas de quoi s’inquiéter.»
Immédiatement, j’entends quelque chose faire un grand bruit. Le petit garçon va à la fenêtre et regarde. Il dit: «Oh! papa, regarde, ce qui vient là-bas.» Et deux grandes ailes noires traversaient la nation en battant.
Je peux voir cela descendre sur une maison, où il n’y a pas de sang, elles entrent. Aussitôt, ce sont des hurlements et des pleurs, et on court dans les rues, le fils est mort. Et dehors dans les rues, tout le monde se met à hurler et à pleurer. Aussitôt, ces grandes ailes noires se dirigent vers une autre maison. Je peux les voir descendre. Lorsqu’elles quittent la maison, c’est la mort, il y a des hurlements et des cris dans la maison. Certainement, la mort est dans la maison. Mais, ensuite je peux les voir se diriger vers leur maison, celle de notre groupe. Et nous voyons qu’il dit: «Papa, voici la chose qui arrive.»
46 «Ne t’en fais pas, fiston, tu n’as rien à craindre, parce que le sang–voilà la chose qu’Il a exigée.» C’est ce que Dieu avait exigé. Et Dieu exige le Saint-Esprit, la puissance et le Sang aujourd’hui. Avez-vous saisi cela? OK, c’est tout ce qu’il vous faut.
Ces grandes ailes noires commencent à approcher, je peux voir le petit enfant dire: «Papa, la voici qui vient, la voici qui vient.»
Je peux entendre le vieux père âgé dire: «Ne t’en fais pas, fiston, (Alléluia!) Tout est en ordre maintenant. Oui oui. C’est en ordre.»
«Papa, as-tu peur?»
«Certainement pas, fiston. Je crois en Dieu. Absolument. Je crois en Dieu.»
Ces grandes ailes noires descendent carrément, il dit: «Oh! papa, regarde-les, elles sont en train de remonter.»
«Bien sûr.» Amen!
47 La voici qui se dirige vers cette maison-là, et elle apporte la mort, elle apporte la mort dans cette maison-là. Ensuite, elle passe aussitôt par-dessus la maison. «Quand Je verrai le sang Je passerai–Je passerai par-dessus vous.»
Oui, monsieur. L’ange de la mort passe aujourd’hui. Laissez-moi vous dire une chose; elle parcourt le pays en ce jour.
Ecoutez, ces églises et tout qui ont une forme de piété, mais qui en renient la puissance, vous voyez qu’elles subissent cela; ce n’est pas une mort naturelle; c’est une mort spirituelle. La mort naturelle, ce n’est pas très grave, mais la mort spirituelle, être séparé, retranché de Dieu; ils ont péché et dépassé leur jour de grâce. Ils sont allés là, ils ont regardé et ont dit: «Bande de saints exaltés, n’y prêtez nullement attention.» Le diable est à la chaire, aussi sûr que le monde existe. Certainement.
48 Frère, un homme doit naître de l’Esprit de Dieu, être régénéré, lavé dans le Sang de l’Agneau, par le baptême du Saint-Esprit, comme un témoignage divin dans votre âme. C’est vrai. Oui, oui.
Le père a dit: «Ne t’inquiète pas, fiston. Tout est en ordre. L’ange de la mort s’en est allé.»
La sécheresse peut venir, les moments difficiles peuvent venir. Vous pouvez être persécuté, on pourrait se moquer de vous et tout, mais la Vie Eternelle reste tout simplement là. Alléluia!
Que les voisins disent ce qu’ils veulent. Que le ministre dise ce qu’il veut. Que le médecin dise ce qu’il veut. Cela n’ôte pas la Vie Eternelle. C’est le don de Dieu qui a été donné par le Saint-Esprit. Cela ne peut pas partir. C’est le Saint-Esprit Lui-même vivant dans la personne.
49 Oh! la la! au cours de leur voyage, je vois qu’aussitôt qu’ils sont arrivés à la mer Rouge, Dieu a alors ouvert la mer Rouge et les a fait traverser. Et lorsqu’ils ont traversé, vous parlez d’une réunion à l’ancienne mode! Moïse s’est retourné et a tendu le bras comme cela, et la mer Rouge s’est refermée sur les Egyptiens, parce que Dieu avait dit qu’Il allait le faire. Et ces Egyptiens qui les avaient tourmentés et les avaient frappés, qui les avaient battus au dos, jusqu’au sang, et tout, les avaient malmenés et molestés, flottaient dans la mer Rouge, morts à jamais. Alléluia!
Je pense que n’importe quel homme ou femme qui conteste l’Esprit de Dieu, qui a une certaine mauvaise habitude, qui se promène dans ces piscines de l’enfer, qui boit, fume, qui joue aux jeux d’argent, avec son nom inscrit dans le registre d’une église, honte à vous! Venez au Sang rouge de Jésus-Christ. Alléluia! Passez au travers de cela, voilà un type de l’agneau et de la Vie.
50 Et je vous assure; tous ces vieux maîtres de corvée qui vous ont fait faire ces choses que vous ne vouliez pas faire, qui vous ont amenés à mentir, à consommer certaines choses, à tricher, à voler, à faire tout ce que vous ne devriez pas faire, à boire et à faire des histoires, et à aller à des endroits où vous ne devriez pas aller; lorsque vous serez passés au travers du Sang de Jésus-Christ, vous les verrez tous morts, flottant là dans le Sang. Amen. Cela vous séparera. Oui, cela vous séparera.
Suivez, je peux voir Moïse, dès qu’il voit cela, il se met à crier, il lève ses mains, il se met à chanter dans l’Esprit. Et Myriam, la prophétesse, elle fut tellement heureuse qu’elle a pris un tambourin, et s’est avancée sur le rivage en jouant du tambourin et en dansant. Frère, c’est la même chose.
51 Elle s’est mise à battre ce tambourin sur le rivage, en dansant, et en chantant dans l’Esprit. Ecoutez, et toutes les filles d’Israël la suivirent en dansant et en criant. Si cela n’est pas une réunion à l’ancienne mode, je n’en ai jamais parlé. Oui, oui. Pourquoi? Tous les vieux–les vieux tourments et tout qui les avaient dérangés étaient morts dans le sang, ils avaient disparu. Gloire! Oui, monsieur. Ils ont passé un bon moment à l’ancienne mode.
Dieu avait promis qu’Il allait pourvoir à tous leurs besoins. Ils ont abandonné tout ce qu’ils avaient. Alléluia! J’aime cela: ils avaient pratiquement tout abandonné. C’est juste. Tout avait disparu. Brûlez tous les ponts derrière vous. Oui, oui. S’il s’agit de votre maman, votre papa, s’il s’agit de votre femme, votre enfant, ou quoi que ce soit, abandonnez tout. C’est juste, vendez tout.
52 Continuons. Tout d’abord, vous savez que lorsque vous avez traversé la mer Rouge et que toutes ces choses ont disparu, Dieu a dit: «Je pourvoirai à tes besoins.» Ils avaient déjà mangé ce petit pain qu’ils avaient transporté sur la tête, maintenant qu’allaient-ils faire? Ils se sont retrouvés seuls, ils étaient séparés, de l’autre côté, c’est ce que Dieu désire que vous fassiez.
Dieu, lorsqu’Il a appelé Abraham, Il l’a séparé de sa famille, et Il l’a conduit dans un pays étranger (Est-ce juste?), où les gens parlaient une langue étrangère. Amen. Cela a toujours été le programme de Dieu de séparer les gens. C’est juste. Il s’isole avec eux, afin qu’ils puissent marcher seuls.
53 Oui monsieur. Je peux entendre Moïse dire... Eh bien, les enfants accourent et disent: «Qu’allons-nous faire pour le pain maintenant? Nous n’avons plus de pain.»
«Dieu s’en occupera.» Aussi longtemps que vous sortez, que vous vous tenez sur la promesse, Dieu s’occupera du reste.
«Eh bien, comment allons-nous manger?»
«Dieu s’en occupera.»
«Eh bien, nous commençons à avoir faim.»
«Il vous faut jeûner un peu.» Ils se sont couchés ce soir-là et sont allés dormir, et lorsqu’ils se sont réveillés le lendemain matin, il y avait de la manne partout sur le sol, du pain partout. C’est comme ça que Dieu procède, n’est-ce pas?
Alors ils sont donc sortis ramasser cela, ils en ont goûté et ont dit: «Oh! la la! vous savez ce que–cela a le goût–cela a le goût du miel.»
54 Oh! la la! ce pain n’a jamais cessé de tomber tout le temps qu’ils étaient en voyage; chaque soir, il y avait un nouvel approvisionnement. On ne pouvait en ramasser que pour un seul jour; le jour suivant, il fallait ramasser de la nouvelle manne. Quel type du Saint-Esprit dans notre voyage. Eux dans le... naturel. Lorsque nous sortons et que nous nous séparons du monde, Dieu pourvoit à de bons moments pour nous. Il pourvoit à notre pain. Il pourvoit à tous nos besoins. Amen.
Il leur a dit, dans le naturel, qu’II allait le faire; Il le fera pour nous dans le spirituel. Ils ont marché comme cela... Souvenez-vous qu’ils ne pouvaient pas garder le pain jusqu’au lendemain. S’ils le gardaient jusqu’au lendemain, des asticots s’y formaient, vous savez, il se contaminait. Voilà le problème de la Pentecôte aujourd’hui. Vous essayez de... Vous avez une expérience qui contient des asticots, en essayant de faire quelque chose que les autres avaient il y a bien longtemps. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est une secousse du Saint-Esprit à l’ancienne mode, et une nouvelle bouchée de manne. C’est juste. La chose se contaminait.
55 Votre expérience vieillit, c’est quelque chose que vous avez eu il y a vingt ans passés. Qu’est-ce que vous êtes maintenant même? Qu’est-ce que cela signifie maintenant? Je ne vous crie pas dessus, mais je me sens bien. Suivez. C’est juste. Il vous faut recevoir un nouveau baptême chaque jour, chaque jour, chaque jour, cela doit simplement continuer. Non, cela n’a aucune limite.
Vous essayez de dire: «Eh bien, maintenant écoutez, il y a un mois j’ai fait une merveilleuse expérience.» Cela–ce témoignage ne marche pas. Qu’en est-il de cela maintenant, maintenant même, d’une nouvelle expérience maintenant même? Dieu faisait pleuvoir cela chaque soir.
Et j’aimerais que vous remarquiez, il y en avait un peu là à l’intérieur. Eh bien, Dieu a dit à Moïse de dire à Aaron de sortir en ramasser un peu. Eh bien, il a dit: «Ceci va être conservé tout au long de votre voyage, jusqu’à ce que vous entriez dans le millénium», c’est très exactement un type du Saint-Esprit à présent.
56 Lorsque le Saint-Esprit est venu le jour de la Pentecôte, ils avaient dû attendre dix jours, c’est juste pour qu’Il vienne, mais ils n’ont plus eu à attendre depuis lors. Quand leur coeur fut prêt, le Saint-Esprit vint là. C’est juste. Combien de temps cela devait-il durer? Très bien, nous allons voir cela.
Eh bien, Moïse a dit à Aaron: «Va dehors et remplis-en plusieurs omers, et fais entrer cela et mets cela dans le Saint des saints. Eh bien, là derrière, cela ne va pas pourrir.»
Et puis, tout au long de cette génération... Et chaque fois qu’un homme... lorsqu’il était–il était dans le sacerdoce, et il avait le droit lorsqu’il entrait dans le sacerdoce, d’entrer derrière... dans le Saint des saints et de prendre une bouchée de cette manne. Il goûtait cela. «Eh bien, qu’est-ce que ceci?»
«C’est ce que nos pères ont reçu lorsqu’ils ont commencé leur voyage.»
«Oh! oui, oui. C’est bon. Goûtez cela.»
57 Chaque sacrificateur qui entrait pouvait prendre–lorsqu’il allait là derrière où se trouvaient ces omers pour en prendre une poignée, il en prenait une grande bouchée. Et il mâchait cela. Oh! comme c’était bon. Quelle personne privilégiée il était, de manger un peu de cette manne originale!
Eh bien, c’est exactement le type du Saint-Esprit. Lorsque l’Eglise a commencé son voyage, il y a deux mille ans, notre voyage vers le millénium (Alléluia!), Dieu avait promis de pourvoir à nos besoins.
Et la première fois, lorsqu’ils sont venus et qu’ils ont reçu le Saint-Esprit, la puissance de Dieu s’est mise à tomber sur eux, ils ont perdu toute leur timidité, toute leur honte. Ils sont entrés dans les rues en courant et ils se sont mis à danser dans l’Esprit et à se comporter bizarrement. Est-ce juste?
58 Chacun d’eux, les femmes, les hommes, tous se comportaient comme une bande de fous. Alléluia! Dites-moi que ce n’est pas ce que disent les Ecritures; c’est certainement la Parole de Dieu. Et ils sont sortis là et ils se sont mis à tituber comme des gens ivres. Avez-vous déjà vu un homme ivre, il dira peut-être: «Salut, mon ami. Eh bien, tout va bien, oui, certainement. Tout va bien. Certainement.»Eh bien, tel est un homme quand il est ivre de l’Esprit. Alléluia! Dieu... Ce que Dieu dit est la Vérité pour lui. Pour lui, cela importe peu que la chose semble éloignée; c’est la vérité pour lui. Oui, oui.
Alors, le jour de la Pentecôte, pendant qu’ils titubaient, la manne tombait du ciel, notre manne. Très bien, les gens ont dit: «Combien de temps cela va-t-il durer, frère?»
Pierre a dit: «C’est pour vous, pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera, ils auront...?...» Gloire à Dieu!
59 Frère, chaque homme ou chaque femme qui entre dans ce sacerdoce divin du Saint-Esprit a le droit de recevoir un véritable coeur rempli du baptême du Saint-Esprit original qui est tombé le jour de la Pentecôte, les mêmes signes, la même puissance, la même démonstration, les mêmes sensations, la même action (Gloire!), pas quelque chose qui ressemble à cela, mais l’original.
Le Seigneur a dit: «Je vais emmagasiner une bonne quantité de ceci, parce que beaucoup de générations vont venir. Alors, chaque fois que quelqu’un entrera, Je vais lui donner une grande quantité de cela dans son coeur.» Amen.
Je suis si heureux de pouvoir dire que je suis l’un d’entre eux. Oui, oui. Ecoutez, Pierre a tout simplement perdu toute sa dignité et tout, il a sauté sur une tribune improvisée, et il s’est mis à prêcher. Oh! la la! un prédicateur de tribune improvisée. Oui, oui. Qu’était-ce? Il avait le Saint-Esprit. Il mangeait de cette manne divine. Est-ce juste?
60 Et aujourd’hui nous avons la même chose. Nous sommes dans un voyage dans–dans le spirituel, comme eux l’étaient dans le naturel. Et elle–elle tombait pour eux. Chaque fois qu’ils en avaient besoin, elle tombait. Elle tombe de même pour nous. Dieu a tout un immense Ciel rempli de cela. C’est juste. C’est pour vous et pour vos enfants, pour ceux qui sont à Owensboro, dans le Kentucky, en aussi grand nombre que le Seigneur Dieu, notre Dieu les appellera. C’est pour chacun d’eux. Vous tous qui désirez cela, Dieu vous a destiné cela.
Les voici dans leur voyage. J’aimerais que vous voyiez une autre chose. Il a dit: «Elle a le goût du miel.» Est-ce juste?
Le miel, le poète a dit que cela... Je crois que c’est David qui a dit: «Elle a le goût du miel sur le rocher.»
Vous avez déjà lu là où il dit: «Goûtez et sentez combien l’Eternel est bon. Cela a le goût du miel sur le rocher.» Avez-vous déjà goûté cela?
Oh! j’ai vu de vieilles personnes baptisées du Saint-Esprit rester assises là, tellement paralysées par la puissance de Dieu qu’elles ne pouvaient plus bouger, elles faisaient: «Mmm, mmm!» Dieu bénissait leurs âmes au point qu’elles ne pouvaient rien faire d’autre, elles se léchaient les lèvres en disant: «Amen.»
61 Cela a le goût du miel sur le rocher. Vous pensez que c’est de la folie, mais c’est la Vérité de Dieu qui est dans Sa Bible. C’est juste. Cela a le goût du miel sur le rocher.
David étant un berger, il avait une expérience. Vous savez, les anciens bergers avaient coutume de porter une petite gibecière sur leur côté. Et chaque fois ils en mettaient dedans; ils paissaient leur troupeau, et quand une de leurs brebis tombait malade, ils avaient du miel dans cette gibecière. Alors, ils prenaient ce miel, et ils allaient à une grosse pierre calcaire, et ils prenaient ce miel et en enduisaient cette pierre calcaire, et ensuite ils appelaient la brebis malade. Et cette brebis malade, reniflant l’odeur du miel, elle léchait le miel. Et en faisant cela, ce qui la guérissait, ce n’était pas tellement le miel; la brebis aimait le miel. Mais alors que la brebis léchait le miel, elle léchait le calcaire de ce rocher, et cela guérissait la brebis malade.
62 Maintenant, écoutez, j’en ai une gibecière toute pleine, et je vais en enduire Jésus-Christ. Et vous les brebis malades, mettez-vous à lécher maintenant même. Et vous verrez que vous allez vous rétablir, aussi sûr que le monde existe. C’est juste. Alléluia! C’est juste, vous allez... Oui, monsieur. Je ne vais pas enduire l’Eglise méthodiste; je ne vais pas en enduire l’Eglise baptiste, je ne vais pas en enduire l’Eglise pentecôtiste; je vais en enduire l’endroit qu’il faut: Jésus-Christ. Ne dites pas: «Je suis baptiste», vous léchez l’Eglise baptiste. Ne dites pas: «Je suis pentecôtiste», vous léchez cette église-là. Mais léchez Christ. Il est le Rocher des âges. C’est là que le miel a sa place, sur Christ. Amen.
63 Je n’ai rien contre les pentecôtistes, les baptistes, les méthodistes, rien du tout, mais je parle de Christ. C’est de cela que je parle... C’est là que le miel a sa place. Et un véritable prédicateur ne répandra cela que sur Christ, et il fera que les brebis malades se mettent à lécher. «Ne voyez-vous pas que j’ai un don de guérison, gloire à Dieu, je fais abracadabra sur vous?» C’est absurde. Mais lorsque vous vous mettez à leur dire que Christ est mort pour vous, et que Christ vous a guéri là-bas, vous répandez le miel à l’endroit qu’il faut. Et je vous garantis que les brebis vont se rétablir, celles qui vont lécher. Amen. Quand vous vous mettez à vous réjouir des bénédictions et à en être heureux, à ce moment-là, vous êtes simplement en train de lécher le miel. Mais quand vous faites cela, vous allez aussi lécher un peu de calcaire, aussi sûr que le monde existe. Oui, oui. Et cela vous guérira. Oui, certainement. Oh! les gens vont dire: «Ces gens sont excités.» Ils se rétablissent de toute façon. Amen.
Dites, je me sens bien, j’ai cinquante miles [80 km–N.D.T.] d’espace maintenant même.
64 Remarquez. Oui, oui. Il y a autre chose, vous savez, qui va avec le fait de lécher le miel du rocher. Un rocher a quelque chose à voir avec cela; un rocher a la puissance de guérison d’une façon ou d’une autre. On en fait même des médicaments. Oui, oui.
Dans le temps, quand un homme était mordu par un chien enragé, lorsque nous étions enfants, vous savez ce que l’on faisait, on les commandait. Il y avait une–une pierre, une pierre antirabique. Et on prenait la personne et on lui collait cette pierre, et si la pierre se collait sur la personne, celle-ci guérissait, si elle ne lui collait pas, la personne mourait.
Eh bien, frère, je vous assure que le pire chien enragé que je connaisse, c’est le diable. Il a mordu tout celui qu’il pouvait mordre. Mais je sais qu’il existe une pierre. Alléluia! Cette Pierre, c’est Jésus-Christ; accrochez-vous à Lui, agrippez-vous à Lui de vos deux bras, le Rocher des âges, et dites: «Rocher fendu pour moi. Laisse-moi me cacher en Toi.»
Tenez la main immuable de Dieu, lorsque tout faillit. Elle résistera là et tiendra bon. Si vous vous y accrochez, elle vous fera sortir. Accrochez-vous-y.
65 Il n’y a pas longtemps, j’étais dans les montagnes. J’aime vraiment chasser. Vous savez cela. C’est ma seconde nature, je suis un véritable Kentuckien; j’ai un fusil pour la chasse à l’écureuil. Voyez? Et j’aime vraiment aller à la chasse. J’étais tout en haut dans les montagnes et j’étais en train d’observer là haut, je regardais à travers les jumelles. A ce moment-là, je ne chassais pas, à ce moment-là, je faisais paître le troupeau. Et j’ai travaillé dans l’élevage depuis que j’étais un jeune homme. Alors, je montais là haut lors du rassemblement et tout, et j’observais en bas à travers un–une longue-vue.
J’ai vu une vieille mère aigle. Et elle avait un grand nid en haut dans le rocher. C’était pendant la période, vous savez, qui suivait l’éclosion des petits aiglons. Et ils se promenaient tous dans ce nid, et j’observais ce nid. La mère allait les faire sortir du nid, et ils marchaient là, vous savez, ces pauvres petits oiseaux. Et elle a étendu ses ailes comme cela et elle [Frère Branham produit un cri.–N.D.E.] elle a poussé un cri, et tous ces petits aiglons sont montés sur son dos, et se sont accrochés de leurs petits becs, ils se sont accrochés à ces ailes, et de leurs petites pattes ils se sont accrochés à ses ailes.
66 Elle s’est élevée, elle a quitté le nid, elle a traversé la fissure, elle est descendue dans la vallée. Et ils n’avaient jamais quitté ce vieux nid puant auparavant (Pardonnez l’expression), et n’étaient jamais descendus. Le nid d’un aigle est l’endroit le plus puant qui soit. Et alors, elle les a déposés. Et ces pauvres petits oiseaux sont descendus, ils se sont posés sur le gazon vert; comme c’était agréable sous leurs petites pattes. Ils se baladaient, et ils prenaient du gazon dans leur bec, et ils pépiaient.
Et la vieille mère est retournée se poser en haut, tout en haut sur le plus haut pic qu’elle put trouver, et elle ébouriffait ses grandes plumes, et moi j’étais assis là-haut, mon cheval attaché, observant ce qui se passait. J’ai vu cette vieille mère là-haut en train d’observer ces aiglons.
Me tenant là, je me suis mis à pleurer; j’ai dit: «Gloire à Dieu!» Je me suis dit: «Qu’est-ce qui m’arrive?»
J’ai regardé en bas, et je me suis dit: «Oui, autrefois la petite église était dans un vieux nid puant, et elle devait faire ceci cela: adhérer à l’église, faire ceci et faire telle autre chose. Mais un jour, le grand Maître de la Vie, Celui qui, par la puissance du Saint-Esprit, l’a élevée, l’a fait sortir de cette chose, et l’a déposée en bas, comme un vieux...»
67 Si ces aiglons n’avaient pas une vieille réunion des saints exaltés, je ne sais pas ce que c’est. Ils étaient tout simplement en train de pépier au possible, sautant dans tous les sens, c’était vraiment comme une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Ils saisissaient une touffe par ici, ils passaient l’un sur l’autre, faisant: «Chirp, chirp, chirp», et ils couraient tout autour comme cela, c’était vraiment comme une réunion du Saint-Esprit, ils étaient aussi insouciants que possible. Amen. Oui, oui.
J’aime observer Dieu comme cela. Et pourquoi étaient-ils si insouciants? Je me dem-... J’observais ces petits oiseaux, c’était la première fois qu’ils se retrouvaient dans cet endroit. Qu’est-ce qui les rendait si insouciants? Mais observez une fois l’un d’eux, il levait la tête, regardant là-haut où maman s’était posée. Oui, oui.
68 Frère, elle veillait sur eux. Et je me suis dit: «Oui, notre grand Maître, après nous avoir fait sortir du nid puant du monde, Il a escaladé les remparts de la gloire, et s’est assis à la droite de la Majesté, veillant sur nous ici bas.» Alléluia!
Qu’un coyote s’approche de l’un de ces aiglons, et observez quelle raclée il recevra. Oui, oui.
Je me suis dit: «Que le diable s’avance, s’il veut recevoir une raclée. Soyons libres.» Amen. Je passais vraiment un moment glorieux. Très bien.
Elle a surveillé là pendant un moment. Au bout d’un moment, une tempête s’est levée, elle avait commencé là au fond, j’ai entendu un grondement du tonnerre. Cette vieille mère, je l’observais à travers mes jumelles, elle a tourné la tête et elle a continué à regarder. Et elle a senti cet orage venir. Et les petits oiseaux ont entendu cet orage, ils n’avaient jamais rien entendu de pareil. C’est comme l’Eglise aujourd’hui, nous nous demandons de quoi il s’agit, quand nous entendons tout ce bruit. Mais la première chose qu’ils ont faite, ils se sont blottis l’un contre l’autre. Amen.
69 C’est ce qu’il nous faut aujourd’hui: nous blottir les uns contre les autres. Peu m’importe que vous soyez ceci, cela, ou autre chose, rassemblons-nous en tant que des croyants chrétiens. Ne vous séparez pas; mettons-nous ensemble.
Et aussitôt, cette vieille mère a regardé, lorsqu’elle a compris que pour elle, c’était presque le temps, elle a poussé un cri. Lorsqu’elle a poussé un cri, ces petits aiglons se sont tournés vers elle. Elle est descendue dans cette vallée comme cela, elle a déployé ses très grandes ailes. Ces petits oiseaux ont sauté sur la même aile. (Alléluia! Je me suis dit: «Oui, oui. C’est juste.»), ils ont sauté sur la même aile, de leurs becs ils ont saisi une plume, ils se sont accrochés à une plume, ils ont ramené leurs petites serres et se sont agrippés à l’autre plume. Elle est montée, montée, montée, montée avec eux en perçant cet orage, elle est vite allée droit dans la fente du rocher là-bas, et elle a caché ces petits oiseaux.
70 Je me suis dit: «Gloire à Dieu, le même Saint-Esprit qui m’a élevé pour me faire sortir du monde et des choses du monde, un jour, je m’agripperai à Lui là-bas. Et à l’heure de ma mort en Christ je monterai, monterai, monterai, monterai loin au-dessus de cette vie mortelle vers ce monde de l’au-delà, en sécurité. Que les orages fassent rage, qu’ai-je à m’inquiéter aussi longtemps qu’Il veille sur moi.» Soyez tout aussi insouciant que moi je peux l’être, sans condamnation.
Une fois, je pêchais dans le Connecticut, ou dans le New Hampshire, nous avions dressé une petite tente par là, Burt Caul et moi. Il était retourné en ville; j’étais dans cette vieille petite tente. Nous faisions la pêche. Et je... Vous savez, je suis... Je–j’aime les crêpes et la mélasse. Aimez-vous cela? J’aime vraiment cela comme petit déjeuner, et j’en emmène un peu avec moi. Je ne sais pas en préparer de très bonnes, pas comme ma femme et les autres, mais je fais du mieux que je peux. Certains ingrédients sont déjà mélangés, alors j’aime vraiment prendre cela. Alors, je me suis procuré un grand seau de mélasse, et je suis vraiment un baptiste; je ne les asperge pas, je les baptise. Je les plonge vraiment dedans. J’aime donc les en épargner complètement.
71 Un matin, alors que j’étais allé au petit ruisseau, je suis revenu, et il y a beaucoup d’ours noirs dans cette contrée-là, et l’un de ces petits ours était entré dans ma tente, c’était une vieille mère et deux oursons, et elle avait mis cette tente complètement en pièces. Le problème ce n’est pas ce qu’ils mangent, c’est ce qu’ils détruisent. Et tout, tout avait été complètement détruit, c’était vraiment écrasé et éparpillé. Je me suis dit: «Eh bien, tu en sais quelque chose.»
Et une vieille mère qui me verrait approcher, me grifferait, vous savez. Alors je–je l’ai observée, je tenais une hache en main. Mon fusil se trouvait dans la tente, ou plutôt un vieux petit fusil était dans la tente qu’il avait mise en pièces. Alors la vieille mère a gazouillé à l’attention de ses petits, et elle s’est enfuie. Un petit l’a suivie, l’autre ne voulait pas la suivre; il était tout simplement assis là. Il avait son petit dos tourné...?... comme cela. Et je me suis dit: «Eh bien, à quoi est-il tant occupé, aucun des autres n’a voulu le suivre.» Alors elle a gazouillé de nouveau, il ne venait pas.
Alors, je me suis mis à me rapprocher un peu, et je me demandais ce qui rendait ce petit animal si courageux. Il était en train de faire quelque chose. Il était assis là, vous savez. Je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qu’il a?
72 Vous savez, j’avais peur de trop me rapprocher, craignant que cette vieille mère ne me poursuive. Alors, je ne voulais pas être contraint de la tuer, parce que cela ferait des orphelins dans le bois. Alors je me suis glissé de côté comme ceci pour observer ce petit animal. Et j’ai dit: «Va-t-en de là!»
Et il s’est retourné pour me regarder, et lorsqu’il s’est retourné, il tenait mon seau de mélasse, et il en avait ôté le couvercle. Il avait ce seau de mélasse entre ses pattes comme ceci, sa petite patte à l’intérieur, et il en remplissait tout simplement une patte qu’il léchait tout simplement... Il était recouvert de mélasse de la tête aux pattes. Mon gars, il avait ses petits yeux complètement collés par la mélasse, il n’arrivait même pas à les ouvrir pour regarder comme ça. Il s’est simplement retourné pour me regarder comme cela, il a plongé la patte et l’a de nouveau trempé comme cela. Et je l’observais, et j’ai ri jusqu’en avoir mal aux côtes. Et au bout d’un moment, lorsqu’il en a eu assez, il a posé le seau et il s’en est allé.
73 Je me suis dit: «Si ce n’est pas une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, quand on ouvre le seau, qu’on y plonge les mains, jusqu’aux coudes, et qu’on lèche simplement la mélasse à qui mieux mieux. Peu importe ce que le monde dit. C’est ce que nous, nous sommes en train de goûter. Amen. «Sentez et voyez combien l’Eternel est bon.» C’est juste.
Et vous savez, ce qui est drôle, après qu’il eut terminé toute cette mélasse et cette... L’autre avait peur de venir vers lui. Alors, lorsqu’il est arrivé là où se trouvait l’autre groupe... Les deux autres se sont mis à le lécher. Amen. C’est de cette manière que cela se passe, n’est-ce pas? Ils se sont mis à lécher l’autre ourson, celui qui était couvert de mélasse; ils se sont mis à le lécher. «Sentez simplement et voyez combien l’Eternel est bon», a dit David.
Oh! la la! je pense à leur voyage là-bas, quand ils traversaient le désert, quand Dieu avait dit qu’Il pourvoirait à chaque besoin.
Voici que j’ai déjà dépassé le temps. Suivez juste une minute, et nous allons terminer.
74 Mais, écoutez, pendant leur voyage, qu’ils passaient là. Eh bien, Dieu avait dit: «Je pourvoirai à vos besoins.»
N’est-ce pas pourtant étrange, j’aimerai que vous remarquiez ceci: le premier endroit où ils se sont rendus directement, c’est dans le désert de Sin. N’est-ce pas étrange que le chemin de Dieu passe par là? Ils sont allés droit jusqu’à la mer Rouge où ils étaient bloqués, et ils ont traversé directement le désert de Sin, ils sont directement entrés dans la tentation, ils ont carrément tourné en rond quelque part, est-ce juste?
Mais, vous savez, c’est la manière dont Dieu nous conduit, n’est-ce pas? Certains par les eaux, d’autres par les flots, d’autres par de dures épreuves, mais tous par le Sang. Est-ce juste? A travers chaque carré de ronces, et chaque tentation, Sa grâce m’a conduit sain et sauf jusque là; la grâce m’amènera au bout. C’est juste.
A travers de nombreux dangers, peines et pièges, par où je suis déjà passé, Sa grâce m’a conduit sain et sauf jusque là, c’est la grâce qui m’amènera au bout. Je crois tout simplement en Lui; je ne sais pas pourquoi. Ce que réserve le futur, je l’ignore. Mais je sais qui tient le futur. C’est l’essentiel.
75 Alors, sur la route nous étions–ils allaient et peu après ils sont arrivés là. Alors, après qu’ils avaient vu tous les miracles de Dieu, alors ils se sont mis à murmurer.
N’est-ce pas exactement comme l’Eglise aujourd’hui? Après qu’ils ont vu la mer Rouge s’ouvrir, qu’ils ont eu une très grande réunion du Saint-Esprit et tout, alors les gens se sont mis à se plaindre en disant: «Eh bien, où allons-nous trouver de l’eau à boire? Nos âmes ont soif d’eau», ne sachant pas que le Dieu même qui leur avait fait traverser la mer Rouge pouvait leur donner de l’eau. Mais ils ont murmuré. C’est exactement ainsi qu’est l’Eglise aujourd’hui. N’est-ce pas vrai, frère?
Ils murmurent au sujet de ceci, ils murmurent au sujet de cela: «Eh bien, mademoiselle Dupont a dit que si je continuais de fréquenter cette église de saints exaltés j’allais...» Oh! la la! «Eh bien, le–le docteur Dupont aussi était venu me voir. Et il m’a dit que ce n’était que de la télépathie et que ces gens étaient seulement excités.»
Vous voilà parti, après avoir vu les miracles de Dieu, ensuite faire cela! Vous méritez de tourner en rond un peu dans le désert.
76 Tout d’abord, vous savez, écoutez, ils avaient quitté les médecins vantards de l’Egypte, pour être avec le Grand Médecin (Est-ce juste?), mais ils se plaignaient toujours. Ils avaient quitté les gens qui disaient: «Les jours des miracles sont passés. Les miracles n’ont pas existé», pour être avec des gens qui croyaient toutes choses, et qui croyaient les signes... Ils avaient une Colonne de Feu au-dessus d’eux. Est-ce juste?
Ils avaient quitté les Egyptiens. Ils n’avaient rien de pareil; Ils n’avaient aucun miracle et aucun signe parmi eux, bien qu’ils étaient une grande nation aristocratique. Mais ils étaient alors partis dans ce voyage ici, et ils avaient vu ces signes et ils s’étaient joints au peuple, et pourtant ils se plaignaient. Si cela n’est pas le christianisme d’aujourd’hui, je ne sais pas ce que c’est, ils se plaignent toujours: «Eh bien, si je pouvais faire ceci.» Vous y êtes. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
77 Et la chose suivante, vous savez, considérez toutes ces choses qu’ils ont faites. Ils avaient quitté les eaux boueuses de l’Egypte pour boire ici l’eau qui sortait du rocher, qui était très pure et très propre. Ils avaient quitté les pots d’ails là de l’Egypte pour manger la nourriture des anges, et pourtant ils se plaignaient. N’est-ce pas exactement comme l’Eglise aujourd’hui? Alors leur état charnel les a entraînés dans le désert.
Et j’ai peur que notre Eglise pentecôtiste n’en soit arrivée là, là dans le désert, à cause des murmures et des plaintes, les gens ne veulent pas du véritable Dieu vivant, et avancer. Je parle de l’Eglise dans son ensemble; je ne parle pas de vous. Si vous êtes ici, eh bien, ceci est bon pour vous. Voici des vitamines meilleures que celles que vous pouvez vous procurer à la pharmacie. Très bien. Suivez. Oui, oui. Corrigez-vous, venez, allons-y; l’Eglise est en marche.
78 Ensuite, peu après, ils sont entrés dans le désert. Et qu’est-ce qui s’est passé alors? Ils étaient là à murmurer là-bas, et Dieu a coupé la fourniture d’eau. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui l’église devient tellement sèche et tout; murmurer, se plaindre, faire des histoires et se mettre dans tous ses états, et l’un dit: «Oh! que Dieu soit béni, je suis membre des Assemblées de Dieu; c’est la plus grande église.»
Et l’autre dit: «Eh bien, je suis un unitaire, et je vous assure, j’ai la chose.» C’est tout simplement la raison pour laquelle votre fourniture est coupée. C’est exact. Certainement.
Quand on se met ensemble, peu m’importe que l’autre soit membre de ceci, qu’il soit membre de quoi d’autre, si c’est un chrétien, c’est mon frère. Alléluia! C’est tout ce qu’il en est. Et je vais simplement crier, lui serrer la main, et aller de l’avant. De quoi ai-je à me soucier? Quel... S’il dit qu’il est un chrétien, et qu’il se comporte comme un chrétien, et qu’il–ses fruits prouvent qu’il est un chrétien, je m’associerai à lui et j’irai de l’avant. Si ce gars-là n’est pas un chrétien, je vais le prendre par le bras et dire: «Venez, frère, mettez votre vie en ordre et allons-y de toute façon.»
Vous dites: «Eh bien, je suis baptiste.» Peu m’importe ce que vous êtes; allons-y de toute façon. Continuons d’avancer. Nous sommes en route. Alléluia! Oui, oui.
79 Maintenant, j’aimerais que vous suiviez encore juste une minute. Alors lorsque la fourniture d’eau a été coupée, Dieu a dit à Moïse de sortir et de frapper le rocher, et il frappa le rocher. Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez, cette canne qu’il tenait en mains, ce bâton, ce n’était pas le bâton de Moïse, c’était la verge du jugement de Dieu.
Ecoutez, lorsqu’il a pris cette verge, et qu’il a pointé cette verge sur l’Egypte, les mouches sont venues. Il l’a pointée sur l’eau; celle-ci s’est changée en sang. Il l’a étendue au-dessus de l’eau; des grenouilles sont venues; il l’a étendue au-dessus de la terre, des poux sont venus. C’était la verge du jugement de Dieu. Elle était dans la main de Moïse, elle était... Le bâton était dans sa main, mais c’était le jugement de Dieu. Voyez-vous ce que je veux dire? Elle a été donnée à Moïse. Les dons et tout sont donnés à l’homme pour la gloire de Dieu.
80 Et maintenant, suivez juste une minute. Et maintenant suivez ceci, voici une belle histoire qui me vient juste à l’esprit. Lorsque Moïse a pris ce rocher, ou plutôt cette verge et a frappé le rocher... Et ce Rocher était Jésus-Christ. Est-ce juste? Le Rocher c’était Christ. Et il a provoqué une fente sur le côté du rocher. Lorsqu’Israël avait faim, ils sont allés là un jour, et les abeilles y avaient bâti une ruche; il y avait tout un grand rayon de miel suspendu au rocher. Est-ce juste?
C’est là que nous allons aujourd’hui; lorsque nous avons besoin de quelque chose à manger, nous allons au Rocher. Est-ce juste? Et lorsque nous avons besoin de boire, lorsqu’ils avaient besoin d’eau, ils sont allés au rocher. Dieu a dit alors à Moïse, lorsque la fourniture d’eau... Il a dit: «Sors et parle au rocher, et le rocher donnera Son eau. Le rocher donnera son eau, et tu abreuveras l’assemblée.» Un type parfait, un peuple en train de périr dans le désert, sans aucun espoir du tout, et le rocher frappé était le jugement de Dieu sur le rocher, il a frappé le rocher et celui-ci a donné de l’eau...
81 Jean 3.16 est pour nous un type parfait de cette Eglise d’aujourd’hui. C’est le Rocher frappé, Christ, les jugements de Dieu. Nous qui méritons la mort, nous qui méritons toute cette condamnation, les jugements de Dieu frappèrent le Rocher, Christ; et de Lui sortit l’Eau éternelle, afin qu’un peuple mourant ne meure point, mais qu’il ait la Vie Eternelle, en venant à la Fontaine inépuisable de la Vie, qui est Jésus-Christ, lequel est le jugement de Dieu qui frappa l’innocent, afin que nous les coupables nous puissions boire, et que nous puissions vivre. Alléluia: Oh! comme c’est merveilleux.
«Parle au rocher, a-t-Il dit, il donnera son eau.» Et ils–ils sont allés partout; ils ne pouvaient trouver de l’eau nulle part. Et Dieu leur a dit: «Va parler au rocher.»
C’est ridicule, aurait dit la pensée charnelle: «Eh bien, c’est l’endroit le plus sec du désert.»
82 Le rocher était apparemment l’endroit le plus sec. Et pourtant, ils avaient ratissé chaque vieux petit endroit, où il aurait dû y avoir de l’eau, il n’y avait pas d’eau. Ils sont allés vers cet oasis, il n’y avait pas d’eau. Ils sont descendus là où il y avait un ruisseau, pas d’eau. Et alors Dieu leur dit de faire quelque chose de ridicule: «Va, parle à la chose la plus sèche qui soit, à un vieux rocher qui est là sur la colline. Va lui parler, il donnera de l’eau.»
«Eh bien, où est cette eau? Eh bien, s’il devrait y avoir de l’eau, ça devrait être ici en bas dans la vallée, pas là-haut sur la colline, pas dans ce rocher sec.»
Mais c’est là qu’il y en a aujourd’hui. Lorsque le médecin a fait tout ce qu’il pouvait pour vous, que vous avez été dans chaque cabinet de médecin, chaque hôpital, Dieu dit cependant: «Parle au rocher.»
83 Les gens disent: «Que dois-je faire, aller là où se trouve cette bande de saints exaltés? Eh bien, c’est la pire église qui existe au monde.» Mais c’est là que Dieu a désigné. Amen. N’est-ce pas étrange que Dieu prenne les choses ridicules et les rende réelles? Alléluia!
Eh bien, il a dit: «Si Dieu doit donner un don, cela devrait être à travers une grande et respectable église.»
C’est ce que les gens pensaient au commencement. Mais observez là où Il a fait venir cela, à travers une étable. Est-ce juste? Il fait toujours descendre cela parmi les gens humbles et simples. Dieu est un Dieu miséricordieux. Oui, oui. L’endroit le plus sec du désert, c’est là qu’ils ont dû aller trouver à boire.
Vous direz: «Si le médecin ne peut rien faire pour moi, comment donc quelque chose d’autre le peut-il?» Eh bien, parlez simplement au Rocher et voyez.
84 Moïse est allé là et il a parlé au Rocher. Et lorsqu’il a parlé au Rocher, les eaux ont jailli et le peuple a bu. Maintenant, parlez-vous aujourd’hui en terme du Rocher? Ecoutez, frère, je crois qu’il est temps que nous parlions au Rocher. Ne le croyez-vous pas?
J’ai vu une femme, une fois dans la Bible qui avait une perte de sang. Les médecins avaient tout fait. Elle avait hypothéqué sa maison, elle avait vendu tout ce qu’elle possédait. Et aucun médecin n’avait pu l’aider. Et elle a parlé au rocher. Et le Rocher a donné de l’eau (Est-ce juste?), des eaux de guérison.
85 Il y avait un vieil homme là dans la Bible du nom de l’aveugle Bartimée. Il était aveugle depuis des années, je peux le voir se tenir à la porte. Oh! la la! c’est maintenant le moment de parler. Je crois que c’est maintenant le moment pour nous aussi de parler. Ne le pensez-vous pas? Je crois que c’est le moment où l’Eglise doit soit avancer, soit reculer. Je crois que c’est le moment où les miracles de Marc 16 devraient suivre le croyant. Ne le croyez-vous pas?
La Bible dit que dans les derniers jours, il viendrait un temps où les gens seraient hautains, aimeraient les plaisirs plus que Dieu. Nous savons cela. Les stades de football sont bondés cet après-midi, et l’église de Dieu est vide; c’est l’accomplissement des Ecritures, tout à fait. Oui, Oui. Nous sommes dans le désert.
86 Maintenant remarquez. J’aimerais que vous remarquiez que Moïse leur a dit d’aller là et de parler, et qu’ils allaient avoir de l’eau. J’observe cet homme du nom de l’aveugle Bartimée, j’ai parlé de lui tout à l’heure, je le vois s’avancer vers le Rocher. Les gens disaient: «Eh bien, regardez ceci, que signifie tout ce remue ménage qu’il y a ici? Qu’est-ce que ce bruit?»
Vous savez, d’habitude là où est Jésus, il y a beaucoup de bruit. N’est-ce pas étrange? Un jour, ils sont entrés dans une ville, et les gens faisaient tellement de bruit, et ce grand sacrificateur cafardeux a dit: «Eh bien, ces gens me donnent des frissons et de la fièvre.» Il a dit: «Dis-leur de se taire.»
Il a dit: «S’ils se taisent, les pierres crieront.»
87 La Vie était en train de venir. Oui, et voilà les gens se tenant là dans cet état de grande contrition. Et le petit aveugle Bartimée se tenait là, il était–il était aveugle et il ne savait que faire. Et immédiatement, il a entendu dire: «Qui est-ce?»
Certains disaient: «C’est Jésus de Nazareth qui passe.»
Oh! d’autres disaient ... Il a dit: «Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi, aie pitié de moi.» Il parlait au Rocher.
Le Rocher roulait juste là dans la rue, et les gens criaient, hurlaient et tout. On a dit: «Eh bien, ne dérange pas le Maître, je pense qu’Il a assez de choses à faire. Alors il est inutile que tu essaies de Le déranger, tais-toi tout simplement.»
88 Mais cela ne l’a pas arrêté. Il voulait s’entretenir avec le Rocher. Il a crié bien plus fort: «Oh! Jésus, Fils de David, aie pitié de moi, aie pitié de moi.» Et il était aveugle. «Aie pitié de moi.»
Aussitôt, Ses petites oreilles ont capté le son. Il s’est retourné; le Rocher avait entendu. Il a dit: «Amenez-le ici.»
Ecoutez. Il s’était alors couvert d’un manteau; il avait froid pendant qu’il était assis là, il tremblait de froid. Il n’a pas prêté attention à l’endroit où il a posé son manteau; il l’a simplement jeté d’un côté. Quoi? Il était entré en contact avec le Rocher. C’était cela. Il était entré en contact avec le Rocher. Oh! la la! Il savait que c’était le Rocher qui était dans le désert. Le croyez-vous?
Je crois qu’Il est ici aujourd’hui, pas vous? Le Saint-Esprit a promis de revenir, le même Rocher qui était dans le désert. Il n’était pas question de cette pierre-là; c’était l’Esprit dans cette pierre-là. C’est la même chose qui est ici parmi nous aujourd’hui. Et il a parlé au Rocher, Jésus s’est avancé et l’a guéri.
89 Je connais une petite histoire sur Bartimée. Il était aveugle depuis des années, et il avait une fillette, et on dit qu’elle avait environ dix, douze ans; et elle–elle n’avait jamais vu... Il ne l’avait jamais vue. Et un soir, elle tomba malade. Alors, Bartimée... En ces jours-là, au lieu d’avoir un chien pour les conduire, comme les aveugles d’aujourd’hui, ils avaient des agneaux pour les conduire.
Maintenant, suivez attentivement. Et l’agneau le conduisait jusqu’à la porte. Il s’asseyait là, tenant une petite coupe. Et il avait deux petites tourterelles, et ces petites tourterelles faisaient des culbutes et faisaient des exhibitions, comme cela, et cela attirait les touristes. Ils s’arrêtaient et regardaient ces petites colombes, pendant qu’elles faisaient des culbutes. Il avait un bâton avec lequel il leur faisait faire des culbutes. Et alors, lorsqu’il faisait cela, eh bien, les gens lui déposaient des pièces de cinq cents et tout dans sa coupe, ou plutôt de petites pièces de monnaie. Et il... C’est comme ça qu’il trouvait de quoi faire vivre sa femme et sa fillette.
Un soir, sa fillette tomba malade, et alors il est sorti prier. Le médecin avait dit qu’il ne pouvait rien faire pour elle. Alors, il est sorti prier. Il a dit: «Ô Dieu, je ne veux pas la perdre. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Je ne veux pas la perdre, et je n’ai rien à Te donner. Je suis un pauvre mendiant aveugle–aveugle. Mais si Tu–si Tu–si Tu guéris mon enfant, je Te promets que demain je prendrai mes deux tourterelles et–et je Te les offrirai en sacrifice. C’est tout ce que j’ai.»
90 Le lendemain matin la petite fille était guérie. Il a pris les tourterelles et les a offertes. Une semaine plus tard, sa femme tomba malade. On ne pouvait rien faire pour elle. N’est-ce pas étrange de voir comment les tragédies frappent les familles des croyants? Et ainsi, tout cela concourt au bien. Alors ils–ils sont montés, et il est sorti pour prier ce soir-là.
Il a dit: «Eternel je n’ai même plus mes colombes maintenant. Je ne reçois plus assez d’argent en mendiant, parce qu’il n’y a plus rien qui puisse attirer l’attention des gens. Je n’ai rien au monde à T’offrir à part mon agneau. Mais si seulement Tu laisses ma pauvre femme se rétablir, je T’offrirai mon agneau.»
Et il est rentré chez lui, en cherchant son chemin à tâtons. Le lendemain matin sa femme était guérie. Alors, c’était un beau matin; il a remonté la rue, l’agneau le conduisait. Et le souverain sacrificateur se tenait là au-dessus–à la rampe du balcon du temple. Il a dit: «Où vas-tu, aveugle Bartimée?»Il a dit: «Oh! souverain sacrificateur, je vais dans la salle des sacrifices. Hier soir, j’avais promis à Dieu que s’Il guérissait ma–ma femme, je Lui offrirais mon agneau.»
91 «Oh! a-t-il dit, aveugle Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau.» Il a dit: «Je vais te donner un sacrifice, ou plutôt de l’argent pour t’acheter un agneau là aux stalles», là où Jésus les fouettera quelques jours plus tard. Il a dit: «Je vais te donner de l’argent pour t’acheter un agneau.»
Il a dit: «Oh! souverain sacrificateur, a-t-il dit, que les bénédictions de Dieu soient sur toi.» Mais il a dit: «Je n’ai jamais promis à Dieu un agneau, je Lui ai promis cet agneau-ci.» C’est juste. C’est là le problème.
Qu’en est-il de vous? Vous voulez que le monde soit christianisé, mais vous avez peur du Saint-Esprit. Voyez? Qu’en est-il de vous? Très bien.
Il a dit: «Aveugle Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau. Cet agneau ce sont tes yeux. Tu n’as pas d’yeux, à part cet agneau-là, aveugle Bartimée. Et tu as dressé cet agneau pour te conduire.» Il a dit: «Ce lion... Cet agneau ce sont tes yeux, c’est lui qui te conduit partout. Tu n’as pas d’yeux à part cela.»
92 Il a levé ses faibles vieilles mains et il a dit: «Oh! souverain sacrificateur, Dieu pourvoira à un agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée.» Il a offert le sacrifice.
Un jour froid de novembre, il était assis là et il frissonnait dans le vent. Il a entendu un bruit. Qu’était-ce? Dieu avait pourvu à un Agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée. C’est juste. Dieu a pourvu à ce même Agneau cet après-midi pour chaque personne qui est assise ici. Le croyez-vous?
Il a pourvu à un Agneau pour chacun de vous. Et Il est ici pour vous Le donner; Il vous donnera la puissance de Sa bénédiction. Je sais qu’Il est ici. Je sais que Son Esprit est ici. Et Il fera–Il fera très exactement ce que nous Lui avons demandé de faire. Le croyez-vous?
Au cours de notre voyage, Dieu a pourvu à Son Agneau... Le Rocher a déjà été frappé; les eaux coulent librement. Buvons-la maintenant, allez-vous le faire? Tout celui qui a besoin de Jésus-Christ. Inclinons nos têtes un instant.
93 Aussi étrange que cela paraisse, pendant que vous avez vos têtes inclinées, l’Ange du Seigneur est ici sur l’estrade. Je sais qu’Il veut vous bénir. C’est étrange la manière dont Il m’a fait brusquement changer cela, n’est-ce pas? Pareille chose ne m’est jamais arrivée. Cette Lumière est juste ici, Elle se tient juste dans cette salle, maintenant même. Ô Dieu du Ciel, aie pitié.
Je La vois suspendue au-dessus d’une petite fille maintenant même ici derrière, à ma gauche, elle souffre–elle souffre des reins. Sa mère est assise à côté d’elle et souffre du foie. Le petit garçon assis là, il a l’hypotension.
Le voici qui monte ici dans cette rangée juste ici devant moi, Il est suspendu juste ici, c’est... Quelque chose cloche chez cette dame qui est assise là, elle a quelque chose qui ne va pas à la tête, elle a un problème à la tête. Celle qui est assise à côté de vous a la même chose, et la dame qui est ici juste à côté de vous. Et l’homme qui est assis là aussi a la même chose, vous trois. Et c’est la vérité, n’est-ce pas? Vous voilà, tous les trois, vous avez levé les mains, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portants maintenant. Cela vous a quittés, je vois que c’est clair tout autour de vous.
94 Oh! combien glorieux et merveilleux le Saint-Esprit ... Posez la main sur la petite fille là derrière, mère, celle qui souffre des reins. Et le petit garçon là qui a l’hypotension, posez la main sur lui, papa. Mère, vous aussi vous allez vous rétablir.
J’aimerais voir ce qui est en train de se produire. Soyez respectueux s’il vous plaît pendant juste une minute. Oui, oui. Il commence à faire clair tout autour... Oh! n’est-ce pas merveilleux.
L’Ange de Dieu qui conduisit les enfants d’Israël, la même Colonne de Feu, est en train de se déplacer au-dessus de ce groupe de gens. Comment... Oh! mes amis, quel moment merveilleux! L’Agneau qui avait conduit l’aveugle Bartimée, et nous voici aussi ici, il n’y a même pas une réunion de guérison. Et Le voici, Il est descendu directement sur moi. Et combien Il vous aime, Il veut que vous sachiez qu’Il est ici. Il vous aime tous. Ne voulez-vous pas Le recevoir?
95 Notre Père céleste, nous Te remercions pour Ta miséricorde. Ô Dieu, que les gens se rendent tout simplement compte qu’ils sont dans la... le même Ange qui les conduisit dans le naturel est en train de nous conduire aujourd’hui dans le spirituel. Voici la Colonne de Feu, nous... Même le monde scientifique a pris Sa photo. Nous l’avons. Nous L’aimons, et nous savons qu’Il est ici. Nous Le voyons se mouvoir d’une manière infaillible au-dessus de l’assistance et accomplir des miracles et des signes, pendant que les gens sont assis juste ici dans l’assistance, et qu’ils sont guéris maintenant même.
Ô Maître de la Vie, touche tout le monde. Accorde-leur Tes bénédictions. Accorde-le, Seigneur. Que tout le monde soit guéri et béni. Que les pécheurs soient sauvés, que les rétrogrades reviennent, qu’ils cessent de suivre leur propre voie là-bas, mais qu’ils viennent par ici et sortent de l’Egypte, qu’ils traversent la mer Rouge aujourd’hui, et brûlent chaque pont derrière eux. Accorde-le, Seigneur. Aie pitié maintenant, et guéris ces gens qui sont assis ici, nous le demandons au Nom de Ton Fils, Jésus.
Et pendant que vous avez vos têtes inclinées, j’aimerais que chacun de vous s’enferme tout simplement avec Dieu pendant un petit instant. Et croyez tout simplement que Dieu est ici pour vous guérir.
Voilà que cela semble reprendre. Le voici qui se tient juste ici à ma droite, vers le côté du balcon, Il est suspendu au-dessus d’une petite mère qui a un problème du dos. Que Dieu vous bénisse, mère.
96 Cela vient et se tient au-dessus d’une petite dame, qui est plutôt corpulente. Elle a quelque chose sur son côté. Je la vois se tenir toujours le côté. Elle a un problème sur son côté. Que Dieu vous bénisse, madame. Croyez tout simplement, vous allez être guérie.
Oh! je vous assure, mes amis, on dirait que vous pourriez tout croire maintenant même, dans ce calme et ce silence sacrés. Que le Seigneur vous bénisse.
Frère Bosworth, venez et conduisez-nous aussi dans un mot de prière, s’il vous plaît. J’aimerais me tenir ici avec vous, pendant que vous priez. Conduisez de nouveau l’assistance maintenant dans la prière.
Voici un brave homme pieux, j’aimerais que vous vous teniez ici tout près, Frère Bosworth. Je peux encore voir quelque chose.
Frère Bosworth, le Dieu même qui nous a conduits et qui a été avec nous, et qui nous a bénis, Le voici qui se meut au-dessus de cette petite poignée de gens.
97 Alors qu’il y a des milliers de gens là dans le monde, Le voici, ce glorieux Etre, en train de se mouvoir juste ici dans cette assistance maintenant même, guérissant les gens, les rétablissant. Maintenant, Ses bénédictions sont ici. Son Esprit est sur nous. Nous savons qu’Il est ici.
Et je vous connais, frère Bosworth, comme étant un brave homme pieux. Vous êtes un serviteur de Dieu. Vous prêchiez ce message avant ma naissance, frère. J’aimerais que vous–si vous voulez bien conduire l’assemblée dans la prière pendant que je me retire, si vous voulez bien le faire. Et priez pour l’assemblée s’il vous plaît.