Le Témoignage
1 ...?... ne change rien...?... Merci, Frère Bosworth, et bonsoir, mes amis. C’est un plaisir d’être de nouveau ici ce soir pour servir le Seigneur. Et je suis très heureux de vous voir rassemblés en ce moment de communion.
Je viens de serrer la main à un de mes vieux amis de Miami. Cela me rappelle... On dirait que je n’aurais pas l’impression d’être arrivé en Floride, si je n’avais pas pu voir celui que nous appelons frère Jim. Et ainsi, je suis très heureux qu’il soit avec nous ce soir sur l’estrade. Beaucoup d’eau a coulé dans la rivière depuis que je vous ai vu la dernière fois, Frère Jim. Ainsi... j’ai été à différents endroits partout dans le monde; Dieu voulant, dans un futur proche je vais repartir.
Nous sommes très heureux que Dieu ait fait ce qu’Il a fait pour les gens cet après-midi, en les bénissant, et j’ai confiance maintenant, que très vite... J’ai passé les deux dernières heures ou plus à prier sans interruption, et j’aimerais juste témoigner un peu ce soir, et ensuite commencer directement le service.
2 Tout d’abord, je vais lire quelque chose dans Sa Parole, sachant que Sa Parole est parfaite et qu’Elle ne faillira jamais. Ça se trouve dans Saint Jean, chapitre 4, en commençant au verset 46:
Il retourna... à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin. Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.
Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.
Jésus lui dit: Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point.
L’officier du roi lui dit: Seigneur, descends avant que mon enfant meure.
Va, lui dit Jésus, ton fils vit. Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite, et il s’en alla.
Comme déjà il descendait, ses serviteurs venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle: Ton enfant vit. Il leur demanda à quelle heure il s’était trouvé mieux; et ils lui dirent: Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté.
Le père reconnut que c’était à cette heure-là que Jésus lui avait dit: Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.
Jésus fit encore ce second miracle lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.
3 Pouvons-nous incliner nos têtes maintenant pendant que nous Lui parlons juste un instant dans la prière. Notre Père qui es aux Cieux, que Ton Nom soit sanctifié. Nous T’adorerons ce soir, notre Père, au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, et nous T’aimons parce que Tu nous as aimé le premier, Tu nous as rachetés d’une vie de péché, et Tu nous as donné un coeur pour adorer. Nous allons Te louer, et reçois ce soir, ô Dieu, l’adoration de notre coeur alors que nous la répandons avec simplicité devant Toi, en T’aimant, et sachant ceci: que Toi seul, Tu tiens nos vies dans Ta main; et un jour, nous devrons Te rencontrer face à face et rendre compte de notre vie ici sur terre.
Quel genre de personnes devrions-nous alors être, Père? Nous ne pouvons rien faire à moins que Tu nous aides. Et ce soir, alors que ce petit groupe de gens est réuni ici en ce soir du sabbat, nous Te remercions pour cette belle journée et pour les nombreux sermons, pour les ministres qui sont venus de par le monde, qui ont prêché l’Evangile, toutes les âmes qui ont cru en Toi, pour les grands miracles et prodiges, qui sans aucun doute sont accomplis maintenant même partout dans le monde. Et Bien-Aimé Sauveur, ne nous oublie pas ce soir.
4 Nous Te prions de venir avec Ta puissance magnifique et de déployer Tes ailes de guérison dans cette salle, et que chaque personne malade qui est ici soit remplie de la puissance de guérison. Accorde-le, Seigneur. Comme le prophète l’a dit, que les gouttes pures de miséricorde baignent nos âmes jusqu’à ce que nous verrons le dessein de Jésus, notre Roi, nous racheter de la maladie et du péché, nous affranchir, et nous accorder une vie heureuse de service en gagnant les autres pour Lui. Nous–nous Te demandons de nous accorder ces bénédictions, à nous des gens indignes, au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.
C’est juste un témoignage ce soir. J’ai pris tellement de votre temps cet après-midi en prêchant... Mon fils m’a dit, il a dit: «Papa, ne te rends-tu pas compte que tu as fait là environ une heure et quarante-cinq minutes, mais tu étais...»
5 Eh bien, je–j’aime tellement parler de Lui, que je n’arrive tout simplement pas à terminer de parler. Ça fait maintenant vingt-trois ans que je suis dans le ministère, et j’ai commencé le ministère quand je n’étais qu’un jeune homme et le seul regret que j’ai, si je pouvais allonger ma vie, la seule chose que je regrette plus que tout le reste, c’est que je n’ai pas connu Jésus lorsque je n’étais qu’un tout petit garçon. J’aurais aimé retourner à cette époque-là. Je voudrais donner chaque heure de ma vie pour Sa gloire.
Je me souviens que jeune homme, juste à vingt... Eh bien, les gens... Les garçons me disaient: «Billy, tu ne tires aucun plaisir de la vie. Tu ne danses pas. Tu ne bois pas. Tu ne fumes pas. Tu ne vas ni aux spectacles ni aux danses. Que tires-tu de la vie?»Et un soir, une jeune dame m’a posé une question pendant que je la ramenais chez elle. Elle a dit: «Que retirez-vous de la vie?»
6 Et le soir suivant, j’ai fait un appel là où je prêchais, c’était dans une église baptiste locale, et dans les allées, trente ou quarante personnes s’étaient agenouillées à l’autel. Cette jeune dame était assise là, en train de pleurer. J’ai dit: «Voulez-vous vous tenir debout, soeur?» J’ai dit: «Vous vouliez savoir d’où je tirais mes plaisirs. Ceci vaut pour moi plus que toutes les choses que le monde peut m’offrir, cette seule chose ci. Cela donne vraiment la paix et la satisfaction à mon âme.»
Je suis très heureux ce soir que le Dieu Tout-Puissant dans Sa miséricorde infinie, et Sa grâce rédemptrice ait trouvé bon une fois de–de me sauver et de m’accorder le privilège de m’adresser à Son peuple. J’aime les gens. J’aime tout le monde, le monde, qu’il s’agisse des pécheurs ou des chrétiens. Je–je sens cela dans mon coeur.
7 Chacun de nous, Jésus est mort pour nous tous. Je vois parfois des hommes boire dans la rue, et je les vois jouer aux jeux d’argent, et je... Et certains maudissent, et alors... Cela ne me dresse pas contre cette personne. Cela me fait tout simplement comprendre que c’est Satan qui fait cela. C’est mon frère, et c’est–c’est... je... Cela me fait tout simplement mal de voir Satan avoir...?... comme cela. Eh bien, si je peux lui dire quelque chose pour le gagner à notre Seigneur Jésus de façon à ce qu’il puisse avoir la Vie Eternelle, eh bien, il arrêtera cela. Il–il est mon frère. Il est tout simplement tombé, et j’aime l’aider à se relever. Voyez-vous? Et c’est vraiment du fond de mon coeur.
Et si je devais mourir ce soir le–le témoignage que j’ai donné, qui a fait maintenant le tour du monde, et je... Si je devais mourir ce soir, et que ceci serait mon dernier sermon que je pourrais prêcher, ou la dernière ligne de prière où je prierais pour les malades, mon témoignage est vrai. Et si je vous rencontrais au Jugement, vous comprendrez que j’ai seulement rendu témoignage de ce qu’est la vérité de Jésus-Christ, et de Sa miséricorde.
8 Il y a quelque temps, juste dans ce petit témoignage, j’étais à Houston au Texas, et je tenais une réunion. Nous avions environ huit mille personnes dans–dans un stade, et monsieur Bosworth et moi étions ensemble, mon frère que voici. Nous avions une merveilleuse réunion. Raymond Richey et plusieurs églises des environs parraineront cette réunion, et un homme est venu...
J’ai beaucoup de critiqueurs. Nous le savons. Nous devons aussi en avoir. Si Jésus en avait, eh bien, je dois aussi en avoir, vous de même. Nous en avons tous. Mais il y avait un homme qui venait de sortir du séminaire, et c’était un homme très intelligent et très brillant. Il était un docteur. Il venait d’obtenir son doctorat, et il était un–un ministre baptiste. Il s’appelait le docteur Best, et c’était un jeune homme très brillant. Il avait un–un beau tabernacle là-bas, et une très bonne assemblée. Et certains de ses croyants venaient à la réunion, et alors il s’est rangé du côté de ceux qui disaient que la guérison divine n’existe pas.
Eh bien, monsieur Bosworth, en établissant l’itinéraire et les annonces, ainsi que–ainsi que monsieur Richey et plusieurs autres ministres, ils avaient collé une affiche dans la rue qui disait: «Des miracles chaque soir.»
9 Eh bien, monsieur Best a dit: «Eh bien, c’est ridicule, la guérison divine n’existe pas.» Et il a lancé–il a lancé un défi dans un journal. Au lieu de venir nous voir, il a lancé un défi dans un journal et il a dit: «William Branham est un–un imposteur religieux, a-t-il dit, qu’on devrait chasser de la ville, et c’est moi qui devrais le faire.»
Alors, je n’ai pas trouvé cela vraiment chrétien de la part de mon frère, mais ce n’était rien. Et monsieur Bosworth est venu et a dit: «Frère Branham, regardez ceci.» Et il–il m’avait lancé un défi par un débat public sur la guérison divine. Eh bien, je ne suis pas un homme des débats. Je ne crois pas qu’on doive faire des histoires. Je–je prêche l’Evangile. Si les gens croient cela, eh bien, c’est en ordre. S’ils n’y croient pas, c’est tout ce que je peux faire à ce sujet. Et...
10 Eh bien, vous n’aboutirez jamais à rien en faisant des histoires et en tenant des débats. Ne le faites jamais, parce que vous vous faites simplement des ennemis. C’est tout. J’en ai tellement vu. Alors, monsieur Bosworth est venu et il a dit: «Frère Branham, regardez ceci.»
J’ai dit: «Frère Bosworth, laissez cela tranquille.» J’ai dit: «Nous avons des milliers de gens pour lesquels prier, et pourquoi perdrions-nous du temps avec une personne qui ne croit pas, alors qu’il y a des milliers de gens qui croient vraiment et qui attendent que l’on prie pour eux?» J’ai dit: «Pourquoi perdre du temps avec cela?»
Eh bien, le jour suivant, ce ministre a mis un grand titre dans le journal, dans le Houston Chronicle, et il a dit: «Cela montre de quoi ils sont faits. Ils ont honte et ils ont peur quand le véritable Evangile est présenté devant eux, d’en débattre.» Il a dit: «Cela montre de quoi ils sont faits.»
Eh bien, voici frère Bosworth venir de nouveau dans ma chambre. Il a dit: «Ecoutez ceci, Frère Branham. Allez-vous relever cela?»
11 Et j’ai dit: «Eh bien, frère Bosworth, cela ne servira à rien.» J’ai dit: «Je... Le Saint-Esprit est avec moi. Il m’a promis qu’Il le ferait, et je–je suis–j’ai l’onction pour prier pour les malades, et je ne perdrai tout simplement pas mon temps avec cela.»
Il a dit: «Laissez-moi faire cela.» Il a dit: «Laissez-moi... a-t-il dit, c’est une honte.» Il a dit: «Le public pensera que nous sommes juste un groupe de gens qui sont simplement–simplement ballottants.»
Il a dit: «Il n’y a aucune Ecriture qui soutienne cela ni rien.» Il a dit: «Nous somme redevables cela au public.»
J’ai dit: «Je–je dois au public seulement ce que Dieu m’a dit de faire.»
Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, ce n’est pas juste.» Il a dit: «Ces hommes n’ont pas...» Il a dit: «Je peux donner des centaines de passages des Ecritures et je... et ils n’ont même pas... Cet homme n’a même pas un seul–un seul passage des Ecritures dans la Bible sur laquelle s’appuyer.» Et il a dit: «Laissez-moi démontrer cela.»
12 Bien, j’ai pensé à Caleb, vous savez, lorsqu’il–ce vieil homme qui avait l’épée a dit: «Josué a placé ceci dans ma main lorsque j’avais quarante ans», et il a dit: «Aujourd’hui j’ai quatre-vingts ans. Je suis aussi fort aujourd’hui que je l’étais lorsque Josué m’a donné cette épée.» Eh bien, je me suis dit: «C’était vraiment très courageux de sa part alors qu’il est dans les soixante-dix ans, et monsieur Best est dans la trentaine.» Je me suis dit: «Il sort fraîchement du séminaire.» Je l’ai regardé et j’ai dit: «Frère Bosworth, je n’aimerais pas que vous alliez là-bas vous chamailler avec cet homme.» Il a dit: «Frère Branham, je ne me chamaillerai avec personne.» Il a dit: «Je ne ferai pas cela, mais je sais une chose: je sais ce que la Parole de Dieu enseigne.» Il a dit: «Or, je pense que vous devez dire quelque chose à ce sujet.»J’ai dit: «Très bien. Allez donc le faire, mais promettez-moi que vous n’allez pas vous chamailler.» Il a dit: «Je le promets.»
13 Eh bien, comme un petit enfant qui attend la Noël avec impatience, il est descendu. Les reporters attendaient. On ne leur permettait pas de monter là dans la chambre, et je–et alors j’ai dit: «Je ne voudrais pas me chamailler avec lui.» Alors, frère Bosworth est descendu, et puis, bien sûr, vous savez comment les journaux peuvent écrire des articles. Il y avait un grand titre: «Ça va barder chez les ecclésiastiques», et ils ont vraiment embelli cela d’une très bonne manière. Alors, ils... le jour suivant... Mais voici ce qui m’a fait savoir qu’un jour la grande Eglise de Dieu se rassemblera aussi sûr que le monde existe. Vous allez oublier vos dif-... vos différends. Lorsque le communisme va commencer à vous soumettre à une rude contrainte, ne vous en faites pas, vous allez vous rassembler. Dieu a un moyen de faire les choses. Voyez? Et alors, lorsque la grande pression viendra, il y aura un... étrange. Ce stade ne pouvait plus nous contenir, nous avons dû... Nous ne pouvions plus rester à cet endroit où nous étions. Nous avons dû aller louer le grand stade Sam Houston, qui a environ trente mille places.
14 Et ce jour-là, les gens sont venus par avions exprès, par trains exprès, si bien que cet endroit était complètement bondé. Les gens ne se souciaient pas de savoir s’ils étaient des méthodistes, des baptistes, s’ils étaient pentecôtistes, unitaires, binitaires, trinitaires, ou de l’Eglise de Dieu, ou s’ils venaient sur un chameau à une bosse, sur un chameau à deux bosses, ou quoi que c’était. Ils avaient une chose en commun, c’était que la guérison divine était en jeu, et tout celui qui y croyait était venu pour prendre part à cela. C’est ce qu’il faut.
Attendons que le christianisme arrive à ce point, et vous verrez alors tous les méthodistes, les baptistes, et tous les autres se ressembler pendant qu’ils se rassemblent tous, se pressant pour entrer dans le Royaume de Dieu.
15 Et je–je... Cela a réglé le problème pour moi ce jour-là, lorsque j’ai regardé là et qu’il y avait des milliers de gens de toutes sortes qui étaient assis là, venant de toutes sortes d’églises, de l’Eglise catholique et tout, tous s’étaient rassemblés.
Et alors, j’ai dit à frère Bosworth: «Je ne viendrai pas ce soir-là.» J’ai dit: «Non, je ne veux pas entendre cela.» Et je... Et mon frère était avec moi, ainsi que ma femme, et ma petite fille.
Il a dit: «Eh bien, restez simplement à l’hôtel.» Je logeais à ce moment-là à l’Hôtel Rice. Alors, je suis allé au... lorsque vint le moment de partir, je n’ai pas du tout pu manquer. Alors, je–j’ai pris un taxi, et deux policiers sont venus et ils m’ont amené là. J’ai relevé mon pardessus comme ceci, et nous sommes montés là au balcon à la loge 30. Et j’ai pris une place là, bien avant que toute la foule ne s’entasse.
16 Et j’étais assis avec mon manteau relevé, ma femme et mon fils étaient assis là. Eh bien, lorsque cet homme est monté pour la discussion, les modérateurs et ainsi de suite sont montés à l’estrade. C’était monsieur Cy Ramsar, qui était le conducteur de chant de l’Eglise de Paul Rader, qui conduisait les chants pour nous. Et il chantait. C’était vraiment un diplomate qui était sur l’estrade, c’est lui qui conduisait les chants, et juste avant de remettre le service au modérateur, il a dit: «J’ai lu dans le journal l’autre jour là où quelqu’un disait que William Branham devrait être chassé de la ville parce qu’il était un imposteur religieux.» Il a ajouté: «Si vous les gens de Houston, vous passiez plus de temps à chasser les contrebandiers d’alcool de cette ville plutôt qu’un religieux comme cela, a-t-il dit, votre ville s’en tirerait mieux.» Et une grande clameur est montée de partout.
17 Je me suis dit: «Eh bien...» Et j’ai regardé Bosworth... Je ne dis pas ceci parce qu’il est assis derrière moi, et je crois que sa femme, et son fils, et sa belle-fille et les autres, ils sont assis quelque part ici ce soir. Je ne dis pas ceci... Mais je l’ai admiré. Alors, il s’est avancé, et monsieur Best, lorsqu’il est venu, il était allé faire louer les services des photographes pour qu’ils viennent le photographier. Et il voulait qu’on le photographie. Il a dit: «Je vais écorcher ce vieillard, lui enlever la peau, et accrocher celle-ci sur la porte de mon bureau comme un mémorial de la guérison divine.» Quelle déclaration pour un enfant de Dieu, vous savez, mais, alors les gens... C’est ce qu’il a dit. Et alors, il voulait qu’on le photographie. Alors, ils ont loué les services du Studio Douglas à Houston, au Texas, pour qu’il vienne le photographier. Et ainsi monsieur Bosworth qui n’avait jamais participé à un débat auparavant, et alors, il voulait que monsieur Bosworth... Monsieur Bosworth pensait qu’ils allaient simplement se tenir là et donner des passages des Ecritures et en discuter. Ainsi, monsieur Bosworth avait un grand nombre de passages des Ecritures qu’il avait notés. Il a dit: «Monsieur Best, si...»
18 Et monsieur Best a dit: «Non, vous, montez et dites ce que vous alliez dire en trente minutes. Ensuite moi, je dirai ce que je dois dire en trente minutes.» Ainsi, eh bien, ils se sont mis d’accord sur ce point, ensuite il y a eu un...?... en dernier lieu. Bien, j’étais assis là en train d’écouter, me demandant ce qui allait se passer. Eh bien, lorsque j’ai vu mon frère Bosworth s’avancer là calmement, il savait simplement où il se tenait, sans aucun doute dans son esprit, il a dit: «Docteur Best, a-t-il dit, nous regrettons de devoir tenir une telle discussion.» Mais il a dit: «Vous avez fait une déclaration dans le journal disant que frère Branham était un imposteur religieux et que la guérison divine n’existait pas.» Il a dit: «Eh bien, le sujet de notre discussion ce soir, ce n’est pas frère Branham; la question est de savoir si la guérison divine est dans la Bible ou pas. C’est ce que vous–c’est ça le sujet du débat. C’est à cela que nous avons souscrit: la question est de savoir si les Ecritures enseignent la guérison divine.»
19 Il a dit: «Les dons de Dieu se confirmeront eux-mêmes, mais voici ce que nous enseignons, pour savoir si la guérison divine est dans la Bible ou pas.» Il a dit: «J’ai (j’oublie combien de passages des Ecritures il avait là, cent ou deux cents)» Il a dit: «Christ est présent, Son attitude, Son attitude présente envers les malades est autant la même aujourd’hui qu’elle a toujours été.» Il avait tellement de passages des Ecritures... Il a dit: «Si vous prenez une de ces Ecritures, et en prouvez la fausseté avec les Ecritures, alors nous n’aurons plus aucune discussion. J’ai perdu le débat et j’irai m’asseoir, si vous pouvez prendre les Ecritures et prouver que l’attitude présente de Christ n’est pas exactement la même envers les malades maintenant qu’elle a toujours été.»
Et il lui a offert une feuille de papier.
20 Monsieur Best a dit: «Je m’en occuperai lorsque je monterai là.» Il a dit: «Allez de l’avant avec ce que vous allez dire.» Il a dit: «Je vais m’en occuper.»
Et monsieur Bosworth a dit: «Alors monsieur Best, j’aimerais vous poser une question, et si vous me répondrez par oui ou non, je vais m’asseoir.» Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?» Je n’y avais jamais pensé moi-même. C’était réglé. C’est tout.
Il a dit: «Je vais y répondre.»
Il a dit: «Je vous demande de me répondre maintenant.» Il a dit: «Nous n’avons pas à en discuter, si vous dites oui ou non.» Evidemment, il ne pouvait pas y répondre. Certainement pas. Si le–si les Noms rédempteurs de Jéhovah ne s’appliquaient pas à Jésus, Il n’était pas le Christ ou le Fils de Dieu. Il n’était pas Jéhovah-Jiré, le Sacrifice auquel le Seigneur a pourvu, et s’Il était le Sacrifice auquel le Seigneur a pourvu, Jéhovah-Jiré, Il était aussi Jéhovah-Rapha, le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’était réglé. Voyez?
21 Alors, monsieur Best s’est levé, il s’est retourné et il a secoué son poing à deux ou trois reprises puis il s’est rassis. Et ainsi, monsieur Bosworth était là debout, et il a simplement donné les Ecritures. Et je n’avais jamais de ma vie entendu cela ainsi, il était tout aussi calme, et il a mis chaque chose à sa place à telle enseigne que monsieur Best n’avait pas du tout d’endroit où aller dans les Ecritures. Il était si parfaitement lié qu’il n’y avait aucune issue pour s’en sortir. Il était simplement lié.
Monsieur Best s’est levé lorsque son tour est venu, et monsieur Bosworth était très très courtois, il a dit: «Monsieur Best, très bien, mon frère, a-t-il dit, l’estrade est à vous maintenant.» Le modérateur lui a donné l’estrade.
22 Monsieur Best est monté là et il a ri à deux ou trois reprises, puis il a prêché un très bon sermon campbellite. Moi, je suis un baptiste. Je connais la doctrine baptiste. Alors, il a prêché un sermon campbellite sur la résurrection. Il ne croyait même pas aux miracles que Jésus avait faits. Lazare était mort de nouveau. Il a prêché renvoyant le tout à la résurrection lorsque ce corps mortel revêtira l’immortalité. Bien sûr, tout chrétien croit cela, qu’il y aura une résurrection, mais s’il n’y a pas d’attributs de la résurrection, s’il n’y a pas de gage de la résurrection, alors il n’y a pas de résurrection.
Si la guérison divine n’existe pas, alors la résurrection n’existe pas. Or, vous ne pourriez prouver la fausseté de cela si vous le pouviez avec les Ecritures. Voyez-vous? Je discute sur les sujets relatifs à Christ. Voyez-vous? En effet, nous avons le gage de notre salut, lequel est le baptême du Saint-Esprit. Est-ce juste? C’est l’acompte, le gage qui assure cela au Ciel pour nous. Et alors, s’il n’y a pas de guérison divine pour rétablir un corps atteint par le cancer et le guérir, il n’y a pas de résurrection des morts (C’est juste.); nous n’avons pas de gage du tout pour cela; il n’y a aucun plan qui a été fait pour cela. Alors, c’était réglé. Monsieur Best s’est mis à jacasser, et en fait, l’assistance s’est mise à se moquer de lui. Et alors, il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin s’avancer et accomplir un miracle!» Il était très fâché, et il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin s’avancer et accomplir un miracle!»
23 Monsieur Bosworth a dit: «Quelle idée! Monsieur Best, vous traitez frère Branham de guérisseur divin.» Eh bien, il a dit: «Jamais de toute sa vie il n’a prétendu être un guérisseur divin, c’est vraiment le contraire. Il prêche seulement qu’on a la guérison divine par l’expiation, c’est très exactement ce que je vous ai démontré. Et vous n’avez même pas mentionné un seul passage des Ecritures que j’ai cité ni abordé du tout cela. Vous n’avez rien fait à part prêcher sur la résurrection des morts, et nous croyons tous cela.» Alors, la chose était là. L’assistance devait faire son choix.
Il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin.»
Il a dit: «On ne devait pas faire intervenir frère Branham dans ceci. Le sujet, c’est de savoir si la guérison divine est enseignée dans la Bible, et vous n’êtes pas en mesure de dire un seul mot contre cela. Voyez? En effet, si vous êtes en mesure, dites-le maintenant.» Il n’y avait donc rien à dire, parce qu’il n’y avait aucun moyen par lequel il puisse le faire, parce que c’était entièrement couvert par l’expiation et tout. Alors, la chose était là. Il n’y avait rien à dire.
Il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin!»
24 Et monsieur Bosworth lui a dit, il a dit: «Frère Best, croyez-vous que Dieu sauve les âmes?
Il a dit: «Oui.»
«Enseignez-vous que c’est par l’expiation?»
Il a dit: «Oui.»
Il a dit: «Aimeriez-vous qu’on vous appelle un guérisseur divin?» Il a dit: «Si frère Branham, en prêchant la guérison divine, est un guérisseur divin, alors si vous prêchez le salut, vous êtes un sauveur divin.» Voyez-vous?
Alors... Oh! il était vraiment en colère alors, et ainsi il a commencé à fulminer et il a dit: «Il n’y a rien au monde de décent–dans un décent... Les gens qui réfléchissent ne croient pas à de telles absurdités.» Il a dit: «Les baptistes ne croient pas à de telles histoires.»
Il a dit: «Holà! je vous demande pardon, a dit frère Bosworth, frère Branham a été bercé dans un berceau baptiste.» Voyez-vous? Il a dit: «C’est juste.»
«Oh! a-t-il dit, c’est un rétrograde.» Voyez-vous, un rétrograde... Il a dit: «Il n’existe...» Il a dit: «Un véritable baptiste sincère ne croit pas dans une telle histoire.»
25 Frère Bosworth a dit: «Voulez-vous m’excuser juste un moment?» Il a dit: «Combien parmi ceux qui sont assis dans cette grande assistance sont membres de ces bonnes Eglises baptistes avec tous ces ministres baptistes qui sont assis le long ici.» Il a dit: «Combien parmi vous qui sont dans cette assistance peuvent prouver avec une attestation médicale que vous avez été guéris par la guérison divine, par la puissance de Dieu, au cours des réunions que frère Branham a tenues ces dernières semaines.» Et trois cents personnes se sont levées. Oui, oui. Il a dit: «Que dites-vous de ceci?»
Monsieur Best a tapé du poing sur la chaire et il a dit: «Les gens peuvent dire n’importe quoi, ce n’est pourtant pas pour autant que la chose soit juste.»
Mais il a dit: «Voici ce que la Parole enseigne, et en voilà le témoignage. Maintenant, qu’en dites-vous?»
Et il a dit, il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin!»
Et alors monsieur Richey s’est levé. Il a dit: «Juste...» Il a demandé au modérateur s’il pouvait parler juste un moment. Il a dit: «Je connais chacun de ces ministres baptistes.» Il a dit: «Est-ce là la position de la Convention Baptiste du Sud sur la guérison divine?» Trente mille personnes... «Est-ce là la position que la Convention Baptiste du Sud a sur la guérison divine?»
26 Personne n’a répondu. Il a dit: «Je vous pose la question, frères. Avez-vous tous envoyé cet homme ici, ou est-il venu de son propre chef?»
Les gens ont répondu: «Il est venu de son propre chef.»
Il a dit: «C’est bien ce que je pensais. Les baptistes croient dans la guérison divine. Certainement.» Et alors je–et alors il a dit: «Il est venu de son propre chef.» Alors, cela réglait la question pour les baptistes, l’Eglise baptiste du Sud. C’était une initiative personnelle de monsieur Best.
Et ainsi, il ne cessait donc de dire: «Que je voie ce faiseur de miracles. Laissez-moi le voir venir ici...Que je le voie hypnotiser une de ces personnes, que je la voie dans un an et on verra si elle sera toujours hypnotisée», et tout comme cela, vous savez, il jacassait tout simplement. Alors, il a dit: «Approchez. J’aimerais que vous me photographiiez.» Et il s’est tenu là. Oh! alors, il a pointé son doigt sous le visage de ce saint vieil homme. Il a dit: «Maintenant, photographiez cela», avec son doigt qu’il agitait. Ils ont pris la photo, et il a brandi son poing et l’a agité sous son nez, vous savez. Il a dit: «Bon, bon, photographiez cela.» Et ils ont pris sa photo comme cela. Ainsi, ils ont pris de cette manière six photos de lui sur papier glacé de 6 pouces sur 9 [15 cm sur 22]. Ils sont retournés. Les reporters des magazines Look, Life, Time, Collier, et tous les autres, Chronicle, et tous les autres magazines et des journaux étaient là.
27 Et alors, frère Bosworth a dit: «Bien, en ce qui me concerne, eh bien, la réunion est–est finie.» Il a dit: «Monsieur Best n’est pas en mesure de répondre à une seule question pour démontrer la fausseté de la guérison divine, à part son misérable abandon.» Il a dit: «Combien le pensent ainsi? Dites: ‘Amen.’» Et un grand cri est monté de toute la salle.
Et alors, il s’est mis dans une très grande colère, il s’est avancé, et a giflé le ministre, et c’était presque au milieu de l’estrade. Et ensuite, on a dû les séparer. Ensuite, il a reculé. Il a dit: «Amenez-moi ce guérisseur divin!»
Frère Bosworth a dit: «Eh bien, Frère Branham est assis dans cette réunion. Je sais qu’il est ici.» Parce qu’il m’avait vu là-haut. Il a dit: «Maintenant, s’il veut venir congédier l’assistance, c’est très bien, mais, a-t-il dit, mais dans une atmosphère comme celle-ci, bien sûr, non, il ne pourrait pas prier pour les malades.» Il a dit: «Si vous voulez voir la guérison venir, venez demain soir. Des gens vont venir.» Il a dit: «Je sais qu’il est dans la réunion.»
Je restais tranquille. Mon frère était assis là, il a dit: «Eh bien, ne bouge pas. Tu as dit que tu ne bougerais pas.»
Je lui ai dit: «Je ne bouge pas.»
28 Alors, il–il a dit: «Et tu...» Et pendant que j’étais assis là comme cela, j’ai entendu Quelque Chose faire: «Whoo.» J’ai compris qu’Il était là. Je me suis levé. Mon frère a dit: «Assieds-toi.»
Ma femme a dit: «Non...» J’ai regardé (Voyez?), et Il était là. Juste à ce moment-là tout le monde regardait tout autour. Les gens ne... Personne ne savait que j’étais là-haut. Et juste là, et là, il y avait des milliers d’amis, là. Et j’ai regardé derrière moi, les gens regardaient, ils ont poussé comme un grand cri. Ces braves bien-aimés, ces aimables personnes, avaient vu tant de choses s’accomplir cette semaine-là. Finalement, plusieurs huissiers, il y en avait des centaines, se sont tenus par la main, ils ont formé un couloir; les gens cherchaient à toucher mes vêtements pour être guéris. Frère, ce n’est pas facile. Je suis un homme. J’ai des enfants chez moi, et des mères essayaient de pousser leurs petits enfants dans les bras de ces huissiers pour toucher mes vêtements pendant que je passais. Dieu récompensera une telle foi. Il le fera, certainement.
Et je suis descendu jusqu’à l’estrade. J’ai dit: «Frère Best.»
Il a dit: «Je vous admire en tant qu’homme. Vous avez tort quant à votre doctrine.»
J’ai dit: «C’est réciproque.» Et j’ai dit: «Je–je vous admire, Frère Best, et vous avez le droit de–d’avoir vos idées.» J’ai dit: «C’est pour cette raison que vous vous battez ici en Corée, c’est pour que ces jeunes gens gardent cette Amérique: chaque homme a ses propres opinions.»
29 J’ai dit: «Je ne voudrais qu’aucun de ces gens, qu’aucun croyant de frère Best ni personne parmi les baptistes, que personne n’ait du ressentiment à l’égard de frère Best.» J’ai dit: «Ne le faites pas. C’est notre frère, et il ne voit tout simplement pas la chose comme cela. Il–il croit simplement cela à sa manière à lui, et il a le droit de croire cela à sa manière.» J’ai dit: «Souvenez-vous, sa mère l’aime autant que ma mère m’aime, et que votre mère vous aime.» J’ai dit: «C’est le fils de quelqu’un, il a le droit d’avoir sa foi. Alors, ne vous en prenez pas à cela. C’est simplement... Monsieur Bosworth a simplement démontré par la Parole que cette doctrine est saine et qu’elle se trouve dans la Bible, et monsieur Best n’a pas réussi à prouver cela.»
Et alors, monsieur Best s’est simplement retourné et a quitté l’estrade. Ensuite il s’est retourné, il a regardé et il s’est assis. Et j’ai dit: «Bon, je n’ai jamais dit que j’étais un guérisseur divin.» J’ai dit: «Jamais.» J’ai dit: «Mes livres sont publiés dans près de dix-sept langues différentes.» Et j’ai dit: «Et je pense que je suis en contact avec plusieurs millions de gens, et jamais je n’ai dit que j’étais un guérisseur divin. Je ne guéris pas les gens.»
30 J’ai dit: «La seule chose que je fais, c’est de prêcher la guérison divine par la croix et par la Bible.» Et j’ai dit: «Eh bien, lorsque j’étais petit garçon, ai-je dit, ma mère a dit qu’une Lumière s’était suspendue au dessus de moi lorsque j’étais un bébé. Ma famille avant moi était catholique, ma mère et mon père ne fréquentaient aucune église. Nous étions des Irlandais des deux côtés, nous avons immigré d’Irlande.» Et alors, j’ai dit: «Nous étions là-bas. Ils n’allaient pas à l’église.»
«Je suis né dans une petite cabane des montagnes.» J’ai dit: «Quand je n’étais qu’un tout petit garçon, Cela a commencé à traiter avec moi. Toute ma vie durant Cela m’a toujours parlé, et de très nombreuses fois des milliers de gens ont vu Cela. Cela vient comme une Lumière.» Et j’ai dit: «Ça me révèle des choses. Et lorsqu’Il m’a rencontré, Il m’a dit que c’est l’Esprit du Seigneur Jésus-Christ qui accomplit exactement les mêmes choses que frère Bosworth et les autres ont dites ce soir. Jésus ne prétendait pas guérir. Il disait: ‘Je ne fais rien de Moi-même, si ce n’est ce que le Père Me montre. Je ne peux rien guérir mais seulement–Je ne fais que ce que le Père Me montre par une vision; c’est ce que je fais.’» Et vous savez que c’est la vérité, n’est-ce pas? Tout lecteur de la Bible, tout érudit sait que c’est la vérité.
31 J’ai dit: «Il marchait au milieu de la foule. Il connaissait les pensées des gens. Il savait ce qu’ils pensaient. Il savait les problèmes qu’ils avaient. Il connaissait la femme au puits, Il lui a parlé un petit peu, Il lui a dit où se trouvait son problème. Il savait ce qu’était le problème de Nathanaël. Et–et Il savait où se trouvait le poisson qui avait une pièce de monnaie dans la bouche. Il ne faisait que ce que Dieu lui montrait.» J’ai dit: «Il ne prétendait pas être un guérisseur.»
«Dans Sa résurrection, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et j’ai dit: «Maintenant, si je témoigne de la vérité, Dieu témoignera de moi. Si je ne témoigne pas de la vérité, Dieu n’aura rien à faire avec un mensonge. Dieu témoignera toujours de la vérité malgré tout.»
Et j’ai dit: «Je ne suis pas ici juste pour être vu. Je suis ici, pas par mon propre choix, loin de là; je voulais être un... Eh bien, j’étais un garde-chasse dans l’Etat de l’Indiana, et j’aimais mon boulot. Je suis né pour vivre dans le désert et dans la nature. Certainement que je... Ce n’était pas mon choix de prêcher l’Evangile; mais malheur à moi si je ne le prêche pas. C’était le choix de Dieu. J’ai fui cela et j’ai essayé de m’en éloigner et tout.» J’ai dit: «C’est Lui qui a apporté cela.» Et alors, j’ai dit: «Si je dis la vérité, Dieu témoignera de la vérité.»
32 Et j’avais à peine dit cela que Quelque Chose a fait: «Fiou!» Le voilà, venir qui descend droit là où je me trouvais. Et ce photographe a accouru et a pris une photo, lorsqu’il a vu mon visage devenir pâle. Et il a pris une photo. J’ai dit: «Dieu a parlé.»
Et c’étaient tous des catholiques et tout le reste qui étaient assis là qui ont vu Cela, ils ont observe Cela. Et beaucoup d’entre eux se sont mis à crier et à s’évanouir. La Colonne de Feu est carrément descendue, Elle est venue droit là où je me trouvais. Il a pris la photo.
Et cet homme... L’un des hommes du Studio était un Juif. Il s’appelait Ted Kipperman. L’autre s’appelait monsieur Ayers. C’est un catholique romain. Et, oh! il avait simplement écrit un article horrible dans le journal sur moi l’autre jour–le jour précédent. Il disait que j’étais un hypnotiseur, et j’ignore tout ce qu’il avait écrit.
Et ainsi, en rentrant chez eux ce soir-là, ils ont pris les–les négatifs, ils rentraient pour les développer pour monsieur Best. Il a dit: «Je me suis peut-être trompé.» Il a dit: «Qu’en penses-tu, Ted?»
Ted a dit: «Eh bien, je suis un Juif. Je ne sais rien à ce sujet.»
33 Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je suis catholique», et il a dit: «On nous a appris que ces choses peuvent se produire, mais elles ne peuvent se produire que dans une Eglise catholique.» Eh bien, là vous vous trompez. Voyez? Cela peut se produire là où Dieu veut que ça se produise, que ce soit dans l’Eglise catholique ou–ou partout où Il veut que cela se produise. Il est Dieu. C’est Lui qui fait le choix. C’est Lui qui tient le Livre. Alors il est rentré, et il a mis les–les photos dans la chambre noire pour les plonger dans l’acide afin de les développer, et la... suivante... Après un instant, eh bien, monsieur Kipperman, a dit: «Je monte me coucher–coucher un peu.» Alors, il est monté se coucher. Et pendant qu’il était là-haut, monsieur Ayers a fumé une ou deux cigarettes, il est entré dans la chambre noire et s’est dit: «Je vais voir. Nous devons apprêter la photo parce que monsieur–monsieur Best–docteur Best, le ministre, voulait ses photos pour demain afin qu’il puisse les montrer aux gens.» Et il avait secoué son poing sous le nez de cet homme.
34 Ainsi donc, lorsqu’il... Ensuite, lorsque monsieur Ayers est entré, lequel était mon ennemi juré et celui de frère Bosworth également. Il ne croyait pas cela. Il avait écrit un article dans le journal et avait dit que je n’étais rien qu’un hypnotiseur. Un goitre avait disparu de la gorge d’une femme. Il avait dit: «Il a ôté cela de sa gorge en l’hypnotisant.» Oh! la la! cela dénote une défaillance mentale.
Ainsi donc, lorsqu’il a retiré la première photo de monsieur Best et monsieur Bosworth, c’était négatif. Dieu ne permettrait pas qu’elle soit prise contre ce saint vieil homme. Il a retiré la suivante: négatif. Il a retiré toutes les six, et elles étaient toutes vierges. Et lorsqu’il a retiré l’autre, l’Ange de Dieu était là sur la photo. Il a fait une crise cardiaque.
On m’a envoyé chercher à l’hôtel Rice. Bien sûr, il y a deux hommes qui se tiennent à la porte lors de grandes réunions où on a des milliers et des milliers de gens. Il y a quelqu’un qui se tient à la porte. Ils n’ont pas voulu les laisser entrer. Très bien.
35 Et ensuite, ce soir-là à vingt-trois heures, on a envoyé cela à Washington DC, pour que cela soit protégé par un droit d’auteur. Le jour suivant, cela fut ramené par avion. Et on a appelé George J. Lacy. C’est le chef du département de FBI pour les empreintes digitales et les documents, c’est le meilleur spécialiste du monde, le meilleur des Etats-Unis. Ainsi, étant Américains, nous disons qu’il est le meilleur du monde pour nous.
Et ainsi, c’est le chef du FBI. Et on l’a amené, et il a amené cela à l’immeuble Shell pour l’examiner à l’ultra violet et ainsi de suite, et tout ce qu’il a essayé. Il est sorti, il a mesuré la distance, il a pris l’appareil photo pour voir si c’était une double exposition, et il–il a fait tout ce qu’il pouvait afin de découvrir. Et sur le... au quatrième jour, il a dit qu’ils allaient se réunir à l’immeuble Shell et déclarer de quoi il s’agissait. Alors, ce jour-là il a demandé: «Qui s’appelle Branham?»
36 J’ai dit: «C’est moi.» Un groupe de gens étaient là, beaucoup de journalistes et tout qui voulaient voir son compte rendu.
Il a dit: «Levez-vous.» Je me suis levé. Il a dit: «Vous quitterez un jour cette vie comme tout mortel, Révérend Branham.»
J’ai dit: «Je le sais, mais grâces soient rendues à Dieu.» J’ai dit: «Jésus-Christ m’a sauvé du péché.»
Il a dit: «J’ai été un de ceux qui vous critiquaient.» Voyez? Et alors, cet homme lorsqu’il a apporté cela là, il a dit: «Révérend Branham, on a toujours dit que c’était de la psychologie.» Il a dit: «J’ai entendu parler de vos réunions et je disais que c’était de la psychologie, qu’il n’y a rien de vrai là-dedans. C’était de l’imagination. Lorsque cette Lumière venait, tout le monde disait: ‘La voici. La voici.’ Et les gens disaient: ‘Eh bien, c’est...’ Tout le monde s’imaginait simplement cela.»
Cela a été photographié une fois auparavant par un journal, mais ce n’était–ce n’était pas réel. Les gens n’ont pas voulu publier cela parce que ce n’était pas l’Association des Photographes d’Amérique. Ce journal n’était pas membre de ladite association, alors, ils ont refusé de distribuer cela, mais ceci c’était strictement l’Association des Photographes d’Amérique.
37 Et il a dit: «Révérend Branham, j’avais dit que c’était de la psychologie, mais l’oeil mécanique de cet appareil photo ne peut pas prendre de la psychologie.» Il a dit: «La Lumière a frappé l’objectif.» Tout le monde s’est mis à pleurer.
Alors, ils m’ont demandé de m’avancer pour me présenter la photo, et j’ai dit: «Eh bien, cela ne m’appartient pas. Elle leur appartient.»
Il a dit: «Savez-vous que ceci vaut cent mille doll-...»
J’ai dit: «Frère, voulez-vous me dire que c’est tout ce que vous parvenez à dire? C’est la première fois dans toute l’histoire du monde qu’un Etre surnaturel ait jamais été photographié.» Et voici ce qu’il a dit. Il a dit: «Le vieil hypocrite... (Il voulait dire l’incrédule)... le vieil... (l’incrédule), a toujours dit qu’il n’y avait aucun moyen scientifique pour prouver l’existence d’un Etre surnaturel.» Il a dit: «Maintenant, ils ne peuvent plus dire cela. Voici absolument une preuve scientifique qui montre qu’il existe un Etre surnaturel.» Voyez-vous? Et c’était scientifiquement prouvé par cet appareil photo mécanique qui a pris la–la lumière de cet Ange qui se tenait là. Et il a dit: «C’est absolument la vérité.»
38 Et j’ai dit: «Eh bien, si Jésus-Christ a eu assez d’égard pour moi afin de descendre et de se faire photographier à mes côtés pour la première fois dans toute l’histoire du monde, pensez-vous que je sois assez mesquin pour commercialiser cette photo?»
Et il a dit: «Non, je ne pense pas.»
J’ai dit: «Je vais rendre cela aux Studios Douglas.»
Il a dit: «Il devrait y avoir une sorte d’arrangement.»
J’ai dit: «Bien sûr. Eux ils peuvent vendre cela.» Et j’ai dit: «Ils peuvent vendre cela, aussi longtemps qu’ils peuvent garder cela à un prix assez bas pour que les pauvres puissent se la procurer.»
Il a dit: «Un jour, Révérend Branham, vous serez mort et vous ne serez plus là», mais il a dit: «On la vendra dans les bazars.»
Et je–j’ai dit: «Eh bien, pour la gloire de Dieu ça serait bien.»
39 Ainsi donc, ce soir la photo est ici, George J. Lacy est vivant aujourd’hui. Il travaille toujours dans ce domaine, et cette photo vit toujours et si–si je mourais ce soir, j’ai témoigné de ceci, le monde scientifique ne peut pas dire qu’il n’en est pas ainsi, parce qu’il y a des machines scientifiques et des preuves que j’ai dit la vérité. Et l’église, qui compte des millions de gens à qui on a prêché, a vu Cela et a observé cela, et vous le savez vous-mêmes que j’ai dit la vérité. Et Dieu a témoigné que c’est la vérité. C’est juste. Donc, ce témoignage est absolument vrai.
Maintenant écoutez, amis chrétiens. Vous attendez quelque chose là-bas loin dans le futur. Vous attendez quelque chose qui est en arrière de ce côté. Ne faites pas cela. C’est juste ici maintenant, juste ici maintenant. Tout ce que vous verrez c’est... Seulement, vous allez peut-être voir cela en plus grande quantité, mais le Saint-Esprit est ici maintenant, Lequel est le Seigneur Jésus-Christ dans Sa résurrection.
40 Comme c’est merveilleux! Je me souviens d’une autre chose qui est arrivée là lorsque frère Bosworth est entré en chambre le jour suivant. Il avait la photo de Florence Nightingale. Combien ont déjà entendu parler de Florence Nightingale? Certainement, c’est elle qui a fondé la Croix-Rouge.
La petite fille de Florence Nightingale de Londres, en Angleterre. Elle est une citoyenne de la Couronne britannique et elle se trouvait à Durban, en Afrique du Sud, elle se mourait de quelque chose dont elle ne savait rien, du cancer sur le–le cancer duodénal dans ses intestins. On m’a montré sa photo, et frère Bosworth et moi, et ma femme, nous avons tous pleuré lorsque nous avons vu cela. Elle était pratiquement la femme la plus maigre que j’avais jamais vue de ma vie. Elle était complètement rongée, ses membres, ici autour de la–la cuisse, n’étaient pas plus gros que ça et sa...
41 Eh bien, Georgie Carter de Milltown, dans l’Indiana, qui était restée couchée sur le dos pendant neuf ans et huit mois, fut guérie de la tuberculose par une vision. Je ne savais même pas où se trouvait l’endroit et je me suis rendu là, et elle était là tel qu’Il l’avait dit. Elle est ma pianiste dans l’Eglise baptiste de Middletown où je suis toujours le pasteur, j’ai un associé ce soir. Elle joue du piano là et elle était restée couchée sur son lit pendant neuf ans et huit mois, et elle n’avait jamais quitté le lit. Et elle pesait seulement trente-cinq livres [environ 15,8 kg] approximativement. Mais la tuberculose l’avait complètement rongée. Mais maintenant...
Eh bien, ce n’est pas ma déclaration. Ce sont les déclarations des médecins, et toutes ces choses sont absolument les déclarations des médecins. Si elles ne peuvent pas être appuyées par un médecin, elles doivent être prouvées, non pas par des ministres, non pas par... Elles doivent être prouvées par des médecins avant que nous puissions les écrire, car elles doivent l’être ainsi. Et alors, elle–elle fut guérie.
42 Et Florence Nightingale, une femme très charmante, ils voulaient envoyer un... Ils avaient envoyé deux tickets d’avion, qui étaient déjà arrivés pour que j’aille à Durban, en Afrique. Je les ai mis sur le plancher, et frère Bosworth et moi nous avons prié. J’ai dit: «Seigneur, si Tu guéris cette femme, j’irai en Afrique. Je ne peux pas aller maintenant. Regarde ceci.» Alors, j’ai juste confié cela au Seigneur. Je lui ai envoyé un mouchoir et nous avons continué.
Peu de temps après que le roi Georges d’Angleterre... lorsqu’un homme du nom de–j’oublie son nom, à Fort Wayne... Vous souvenez-vous de la réunion qui s’était tenue au Gospel Tabernacle de Fort Wayne. Le Seigneur avait... C’était un homme d’affaires de la ville. Il avait une sclérose en plaques et c’était un malade qui était cloué au lit depuis dix ans. Et une vision est apparue au-dessus de cet homme, et il fut parfaitement guéri. Il a marché... Il s’appelait Lehman. Il a marché...
43 Et il était un ami du secrétaire particulier du roi, et c’est par ce canal que le roi Georges d’Angleterre m’a envoyé une lettre. J’ai ses déclarations et les lettres de son cabinet et tout... pour que j’aille prier pour lui à cause de cette sclérose en plaques. Et comme je ne pouvais pas aller à ce moment-là, j’ai alors simplement répondu par télégraphe et j’ai dit au roi que j’allais prier pour lui ici, que Dieu exaucerait ici de même qu’Il le ferait là-bas, et ainsi, ensuite un autre télégramme est venu, me demandant d’aller là-bas immédiatement.
Plus tard, lorsque je me suis rendu en Angleterre, là-bas, pour le voir, le Seigneur l’a guéri. Il était–ne pouvait même pas rester debout plus de cinq minutes, et il... Je crois que le jour suivant, il a joué dix-huit trous de golf, et il n’a plus été dérangé par cela jusqu’au jour même où il est mort. Et je me trouvais en Afrique lorsqu’il est mort. On avait trouvé une petite tumeur ici à son poumon. Ils avaient commencé à ouvrir cela et l’air y a pénétré d’une certaine manière, je ne sais pas, et cela a fait qu’un caillot de sang aille jusque dans son cerveau et cela l’a tué immédiatement. C’était un homme très bien...
44 Mais lorsque nous avons atterri en–en Angleterre, à l’aéroport international, il y avait des milliers de gens, bien sûr, qui s’étaient entassés. Et on ne cessait de nous appeler là. Et frère Baxter, un des managers, est allé voir ce qui–ce qu’ils voulaient. Et c’était un homme qui a dit: «L’avion... Florence Nightingale est couchée dans un avion, mourante.»Comment a-t-elle su que j’étais là, je ne sais pas, mais elle venait de l’Afrique, elle avait pris un avion là et elle était étendue mourante dans l’avion suivant. Et ainsi, ce–ce ministre a dit: «Pouvez-vous...» Il voulait savoir si je pouvais aller la voir. Oh! il y avait tout simplement du monde à craquer. Certainement, je... Eh bien, je n’aurais pas pu passer là si je devais le faire. Et j’ai dit: «Non, je ne saurais pas aller maintenant même.» J’ai dit: «Amenez-la chez vous, et je vais à l’Hôtel Piccadilly, et ensuite au Palais de Buckingham, à l’Abbaye de Westminster. Ensuite, je retournerais directement à l’hôtel Piccadilly, et vous, amenez-là à votre presbytère.» C’était un ministre anglican. J’ai dit: «Alors, j’irai là-bas et je prierai pour elle.»Il a dit: «Frère Branham, elle va mourir.» J’ai dit: «Eh bien, je ne peux pas aller vers elle là, monsieur. Vous savez ce qui arrivera si je franchissais cette limite ici–ce qui arrivera.» Il a dit: «Eh bien, très bien. Je vais essayer.» Alors il a dit: «Ils pensent qu’elle va mourir. Ils ne voient plus aucun signe de vie chez elle maintenant.»
45 Et alors, j’ai dit: «Eh bien, amenez-la donc, et nous–nous verrons, car je ne peux pas aller là.» Eh bien, je suis–je suis descendu. Le roi n’était pas là à ce moment-là. Je suis retourné à l’Abbaye de Westminster, et il y avait un grand groupe de ministres, vous savez, et toute cette soirée-là, ils ne m’ont pas ramené à l’hôtel jusqu’à environ, oh! deux heures du matin. Et vers... Ensuite, le matin suivant, de bonne heure... Y a-t-il quelqu’un qui a déjà été en Angleterre? C’était vers le mois d’avril. C’est tellement brumeux. Oh! la la! vous pouvez à peine voir votre main devant vous. Et une toute petite voiture est arrivée, et ils sont venus me prendre, nous sommes allés au... ministre–au presbytère. Et lorsque je suis monté à l’étage, certains des managers, monsieur Gordon Lindsay, vous connaissez le rédacteur de La Voix de la guérison, monsieur Baxter et, oh! plusieurs managers, nous sommes montés jusque dans la chambre. Et lorsque j’y suis entré, son médecin était assis là, il y avait deux infirmières et deux ou trois ministres.
46 Nous sommes entrés dans la chambre. Et nous étions très–nous avions reçu un très bel accueil de la part des gens. Et alors, je me suis avancé pour voir madame Nightingale. Eh bien, si elle n’avait pas pris une bouchée de nourriture, c’était depuis, je pense, deux mois ou plus, eh bien, n’est-ce pas, Monsieur Bosworth? Eh bien, elle n’avait pas pris une bouchée depuis ce moment-là, et alors ses membres étaient à peu près comme cela, et ses jambes étaient toutes bleues, comme ils avaient... ses veines étaient aplaties, et c’était affreux à voir.
Alors, je l’ai regardée et j’ai vu à quel point soin visage était maigre et tout émacié. Et j’ai dit, son médecin se trouvait là, j’ai dit: «Y a-t-il une chance pour elle?»
Il a dit: «Aucune chance.»
J’ai dit: «Oh! la la! c’est bien dommage.» Je me suis approché. J’ai dit: «Bonjour, madame Nightingale.»
Elle ne pouvait pas parler. Elle bougeait ses lèvres, mais elle n’avait pas suffisamment de force pour parler de manière à ce que je puisse l’entendre. L’infirmière s’est penchée, elle a dit: «Elle désire vous serrer la main, Frère Branham», a dit l’infirmière.
Bien sûr, sa grand-mère était la fondatrice de la Croix-Rouge, vous pouvez vous imaginer ce qu’elle avait comme médecins: les meilleurs qu’on pouvait avoir. Ainsi, lorsqu’on a soulevé la main de cette femme de dessous le drap, c’était tout simplement comme si on saisissait cela. Je n’ai jamais vu... J’ai saisi sa main et c’était juste comme un squelette. Les os collaient déjà à la peau. Il n’y avait pas du tout de chair...?... Et son visage ici était juste comme sa mâchoire, au point que vous pouviez voir ses dents ici, la forme de ses dents à travers sa mâchoire, ses–ses joues ici. Ses dents se dessinaient dans ses joues comme cela, lorsqu’elle se mettait à ouvrir sa bouche. Je n’ai jamais rien vu de pareil en vie. J’ai dit: «Comment vit-elle encore?»
47 Ils ne le savaient pas. Et alors elle pleurait, et l’infirmière s’est de nouveau penchée. Elle a dit: «Ils veulent que vous voyiez son corps. Elle veut que vous voyiez son corps.» Eh bien, j’ai une assistance mixte. Bon, je suis votre frère, mais lorsqu’ils ont retiré le drap qui couvrait son corps, cela–cela briserait le coeur d’un homme de fer.
L’état de cette dame était tel que sa poitrine, ses seins s’étaient complètement affaissés sur ses côtes. Et ici à la hanche, la chair s’était presque collée à l’os circulaire du bassin. Ses jambes ici, par ici, avaient environ cette grosseur. La partie de son ventre ici était à peu près comme ça. Comment cette femme était en vie, je–je ne saurais vous le dire.
Elle n’arrivait pas à bouger, elle ne pouvait pas bouger un doigt ni rien. Et elle pleurait, et l’infirmière s’est penchée. Elle a dit: «Révérend Branham, elle désire que vous priiez Dieu, que vous demandiez à Dieu de la laisser mourir. Elle n’arrive pas à mourir.»
Et j’ai dit: «Oh! la la!» Frère Lindsay s’est détourné, et plusieurs d’entre eux se sont mis à pleurer, ils se sont éloignés. Ils sont allés là où se tenait le médecin.
48 Je me suis tenu là pendant un instant, et l’autre infirmière a dit: «Révérend Branham», elle a dit: «Elle a certainement beaucoup de foi en vous.» Elle a dit: «Elle a lu vos livres, et elle a dit, quand elle était en Afrique, que si jamais elle pouvait arriver là où vous vous trouvez, Dieu la guérirait.» Oh! quelle foi!
Et j’ai dit: «Pouvons-nous prier?» Nous nous sommes agenouillés. Je ne sais pas comment vous allez croire ceci, mais Dieu connaît la vérité. Nous allons tous nous revoir au Trône du jugement. Et je me suis agenouillé comme ceci, et les ministres et tous les autres se sont agenouillés tout autour, le docteur également et les infirmières. Et il y avait une fenêtre à cette hauteur environ. Et je me suis agenouillé à côté de cette fenêtre, et la fenêtre était ouverte. Et j’ai commencé à prier en disant: «Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre...» Je ne pouvais pas Lui demander de la laisser mourir après qu’elle avait tant de foi. J’ai dit: «Aie pitié d’elle, ô Dieu. Je Te prie d’avoir pitié d’elle.»
49 Et juste quand j’ai commencé à dire: «Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre», là, de ces buissons est venue une petite colombe, et elle est venue se poser sur cette fenêtre, à une distance qui n’était pas très loin de l’endroit où j’étais en train de prier, elle ne cessait de me regarder en faisant: «Coo, coo, coo.» Eh bien, les ministres ont arrêté de prier. Tous les autres, ils se sont mis à écouter la colombe. Eh bien, je pensais que c’était juste un... Je n’avais jamais été en Angleterre auparavant. Je pensais que c’était un animal domestique ou quelque chose comme ça, alors j’ai continué simplement à prier. Et lorsque j’ai dit: «Amen», et que je me suis relevé, le petit oiseau est retourné dans les buissons, étant resté–après être resté là en faisant: «Coo, coo, coo», sans arrêt, marchant en faisant des va-et-vient sur le rebord de la fenêtre. Et je me suis relevé, et je les ai entendus dire: «Avez-vous remarqué cette colombe? Avez-vous remarqué cette colombe?»Et j’allais dire, j’ai dit... J’allais dire: «Oui, j’ai remarqué la colombe. Etait-ce un animal domestique?» Et comme j’allais dire cela, quelque chose m’a saisi et a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra et ne mourra pas.»
50 Elle pèse environ cent cinquante livres [68 kg] maintenant et elle est en parfaite santé, normale et bien portante au possible. Voyez? Qu’était-ce? Ai-je guéri cette femme? Non, non. Je n’avais rien à faire là-dedans. C’est Dieu qui a fait cela.
Grâce étonnante! Oh! quel
doux son,
Qui sauva un misérable comme
moi!
J’étais autrefois perdu, et
maintenant je suis retrouvé,
J’étais aveugle, mais
maintenant je vois.
... grâce qui enseigna la
crainte à mon coeur,
C’est cette grâce qui a ôté
mes craintes;
Combien précieuse parut cette
grâce, à l’heure où j’ai cru.
51 Je L’aime. Je vous déclare, ma petite assistance ce soir, que Jésus-Christ est ressuscité des morts. Et ce n’est pas comme les gens essaient de le dire, que toute Sa puissance Lui a été retirée, et qu’elle a été simplement donnée aux disciples. Il a dit: «Allez par tout le monde. Je serai avec vous, même en vous, et voici les miracles qui accompagneront jusqu’à la fin du monde ceux qui auront cru», Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est ici. Son amour est dirigé vers vous pour vous sauver. Sa puissance est ici pour vous guérir. La seule chose que vous devez faire, c’est de croire en Lui. Allez-vous faire cela ce soir pendant que je prie pour vous? Que Dieu vous bénisse, pendant que nous inclinons nos têtes.
52 Aimable Père, pendant que je pense ce soir à un monde cruel et indifférent à l’égard de Ton Bien-aimé Fils, pendant que je pense que l’homme a rejeté Son amour juste quand Il l’a fait ce jour-là, et qu’il a désiré un meurtrier à Sa place, combien Ta grâce a pourtant pu s’abaisser et sauver les gens, au-delà de tout ce que nous connaissons?
Nous sommes tellement heureux que Tu aies fait cela. Nous confessons nos péchés et notre indignité, Seigneur, pour prononcer même Ton Nom, Toi le Merveilleux, le Dieu aimable et saint. Et nous sommes tellement reconnaissants que Jésus soit venu vers nous en cette heure sombre, pour nous, et nous a rachetés pour nous ramener maintenant à Toi. Et maintenant, nous sommes Tes fils et Tes filles.
Le monde ce soir... Satan a aveuglé les yeux des gens. Ils ne voient pas cela, ils n’y croient pas. Comment peuvent-ils rejeter cela, Père, sachant que Tu as créé même les arbres, les cieux, la terre, le système solaire? Tu as créé tous les cieux et la terre, et Tu les as simplement appelés à l’existence par la Parole. Et puis, de savoir que ce même Dieu nous a aimés suffisamment pour nous accorder la nouvelle naissance afin que nous devenions Ses fils et Ses filles, et Il nous a donné des droits égaux avec Jésus-Christ, comme Ses frères dans la gloire, étant cohéritiers avec Lui dans le Royaume, combien nous Te remercions!
53 Et maintenant, Père, il y a beaucoup de Tes enfants là dehors dans le péché ce soir. Je prie pour chacun d’eux. Ne les laisse pas se perdre, Seigneur. Fais quelque chose. Je pense à notre admirable, belle Amérique ici. Je pense à la Floride, oh! qui est si loin de Dieu. Par ici, dans cette belle contrée où les gens ont leurs pensées tournées vers les biens et les choses de ce monde, et les plaisirs, et sont devenus épris des plaisirs, les courses et l’alcool, les jeux d’argent et les combines, et ce sont Tes pauvres enfants, Père. C’est Satan qui a fait ceci. Ne leur en veux pas pour cela. Je Te prie de ne pas le faire, ô Dieu. Je Te prie de faire quelque chose qui les sauvera tous. Accorde-le, Seigneur.
Maintenant, ce soir, c’est la petite assistance que Tu m’as donnée pour lui prêcher et prier pour elle, et je Te suis reconnaissant. Et, ô Dieu, je prie que chaque personne qui est venue ici ce soir, qu’aucune d’elles ne soit perdue, mais que tous soient là en ce jour-là.
54 Et, ô Dieu saint, Divin Père, lorsque j’arriverai ce jour-là, que mon témoignage sonne aussi vrai que maintenant. Tu connais mon coeur. Et je suis très reconnaissant que Tu aies confirmé cela comme étant la vérité, pas parce que Ton serviteur l’a dit, mais parce que Tu as fait cela par la grâce divine. Et je suis très reconnaissant.
Maintenant, je Te prie de guérir chaque personne ici présente, qui est malade ce soir. Chaque personne qui a besoin de quelque chose, puisse-t-elle sortir d’ici heureuse et en bonne santé. Et en route vers chez eux, puissent-ils dire comme ceux qui venaient d’Emmaüs: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous», car ils avaient découvert que Jésus était ressuscité des morts.
Puissent-ils voir cela ici ce soir, Seigneur, à West Palm Beach, que Jésus-Christ est ressuscité des morts et qu’Il est vivant dans Son peuple, faisant les mêmes choses qu’Il a faites lorsqu’Il était ici sur terre. Et Ta glorieuse Colonne de Feu, qui était Ton Esprit qui suivait Israël, est venue vers nous. Nous La voyons. Nous savons qu’Elle est ici. Elle parle de ce qui La concerne. Et le même scientifique En a pris une photo. Nous en sommes heureux. Et maintenant, Seigneur Jésus, puisse-t-Il confirmer Sa Parole ce soir, nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
55 La providence divine de Dieu, vous pourriez ne pas être d’accord avec moi, ça je le sais. Je pourrais vous appeler maintenant même, beaucoup parmi vous qui font cela, mais cela n’empêche pas que ça soit la vérité. Je prie pour que Dieu fasse quelque chose ce soir qui fera de vous un croyant, qui vous fera comprendre cela. Que le Seigneur vous bénisse. Sa Présence est ici. Et si Jésus est ressuscité des morts? En tant que chrétiens, nous devrions croire cela. Ça, c’est le principe même de base. Tous Ses enseignements, toutes Ses oeuvres, tous Ses miracles sont morts avec Lui, s’Il n’est pas ressuscité des morts. Mais s’Il est ressuscité des morts... Le docteur Reedhead... Combien ont déjà entendu parler de lui? Certainement, vous avez déjà entendu parler de lui. C’est un grand homme, le président ou quelque chose comme cela des missions du Soudan. Il m’a soutenu il n’y a pas longtemps avant qu’il reçoive le Saint-Esprit, il a dit: «Frère Branham»... il s’adressait à un mahométan fidèle, il a dit: «Pourquoi ne renoncez-vous pas à votre prophète mort et n’acceptez-vous pas le Seigneur ressuscité?»
56 Et il a dit que ce mahométan a dit: «Gentil monsieur, qu’est-ce que votre Seigneur ressuscité peut faire de plus pour moi que mon prophète qui est mort?» Il a dit: «Mon prophète qui est mort a promis la vie après la mort», il a dit: «Et votre Seigneur aussi.» Il a dit: «Les deux ont écrit des livres. Nous les croyons.» Eh bien, le docteur Reedhead a dit: «Nous avons le bonheur et la joie.» L’autre a dit: «Nous aussi.» N’importe quel psychologue sait cela. Voyez? Il a dit: «Nous avons le bonheur et la joie en croyant.»L’autre a dit: «Nous aussi.»Il a dit: «Mais nous en avons la preuve?»L’autre a dit: «Comment pouvez-vous prouver cela plus que nous?»Il a dit: «Eh bien, cela nous change et fait de nous des chrétiens.»L’autre a dit: «Cela fait de nous aussi des mahométans.» Il a dit: «Gentil monsieur, notre Mahomet n’a pas promis ce qu’a promis votre Seigneur. Notre Mahomet est mort et il est dans la tombe, et nous avons un cheval blanc qui se tient là année après année. Un jour, il ressuscitera», mais il a dit: «Vous prétendez que votre Jésus est ressuscité des morts.» Et il a dit: «Votre Jésus vous a promis que s’Il... après qu’Il est ressuscité des morts qu’Il serait avec vous, et que les choses mêmes qu’Il a faites, vous les feriez aussi.» Il a dit: «Maintenant, laissez-moi voir vos docteurs faire cela, et nous croirons que votre Seigneur Jésus est ressuscité des morts.» Mais il a dit: «Que–que notre Mahomet ressuscite des morts et le monde entier le saura.»
57 Le docteur Reedhead a dit qu’il a changé de sujet. Il était obligé de changer de sujet. Il ne pouvait rien faire. Il était battu juste là sur-le-champ. Oui, oui. Il a dit: «Frère Branham, j’ai pensé à vous.» Il a dit: «Si jamais je pouvais arriver là où vous étiez...» Et il est venu là et a dit: «Les docteurs se sont-ils trompés?»
J’ai dit: «Avec respect, je dirais, oui, Frère Reedhead.»
Il a dit: «J’ai vu le pentecôtisme. J’ai vu tous les saints exaltés et toutes sortes d’histoires.» Il a dit: «J’ai été enseigné jusqu’à obtenir des diplômes et tout le reste.» Il a dit: «Frère Branham, je vous pose la question. Je sais que vous-même vous êtes un fondamentaliste.»
Il a dit: «Je vous pose la question: Le baptême du Saint-Esprit, est-il la vérité?»
58 J’ai dit: «C’est la vérité, docteur Reedhead. Dieu est mon Juge. Le même Saint-Esprit qui est descendu à la Pentecôte, c’est le même Seigneur Jésus aujourd’hui avec la plénitude du même genre de puissance.»
Il a dit: «Est-ce que je peux Le recevoir?»
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Quand?»
J’ai dit: «Maintenant même.»
Il a dit: «Comment est-ce que je peux Le recevoir?»
J’ai dit: «Par l’imposition des mains.» J’ai prié pour lui, je lui ai imposé les mains, Dieu lui a donné le baptême du Saint-Esprit.
Puis vint le docteur Lee, puis vinrent les autres, Don Wells, peut-être... Et l’archevêque de l’Inde, l’archevêque est venu ici, il faisait des recherches partout, il a reçu le baptême du Saint-Esprit, l’archevêque de l’Inde, l’archevêque presbytérien. Mes amis, vous verrez un jour que la Pierre même d’angle a été rejetée par ceux qui bâtissaient. C’est juste.
59 Jésus est ressuscité des morts, et Il est ici ce soir, Il peut faire exactement la même chose. Il travaille à travers les gens. Or, Il ne peut pas le faire à moins que vous croyiez. Un ministre m’a dit, il a dit: «Frère Branham, peu m’importe ce qui arrive; je ne crois pas cela.»
J’ai dit: «Ce n’est pas pour les incrédules. C’est pour les croyants.» Les gens n’ont pas cru Jésus, et ils ne croiront certainement pas Son serviteur. Voyez-vous? J’ai dit: «C’est seulement pour ceux qui...» Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, pas les incrédules, les croyants.
Que le Seigneur vous bénisse. As-tu distribué des cartes de prière ce soir? Quelle lettre était-ce? E? C’est notre troisième–troisième soirée, n’est-ce pas, c’est la troisième fois? Je pense que lors de la première soirée nous avons appelé à partir de la première partie, la deuxième partie. Commençons ce soir avec E-50. Qui a E-50? Levez la main. E-50, 51, 52, 53, 54, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60. Restez debout, si vous pouvez vous mettre en ligne par ici. Excusez-moi.
60 Ça, c’est combien? C’est dix. J’en ai appelé quinze à venir maintenant. Très bien. Soixante-cinq, de soixante à soixante-cinq de la série E, tenez-vous à côté si vous voulez. Si vous ne pouvez pas vous tenir debout, levez la main. Si vous êtes infirme et ne pouvez pas vous tenir debout, et que vous ayez ces cartes, levez la main. Quelqu’un viendra vous aider.
Maintenant, qu’ils comptent pour voir s’ils sont–s’ils sont là. S’ils ne sont pas là, une personne sourde... Jetez un coup d’oeil sur la carte de votre voisin. Il est peut-être sourd et n’entend pas, et voyez, il ne saura pas que son numéro a été appelé. Allez-vous le faire?
Maintenant, j’aimerais que vous soyez respectueux, aussi respectueux que possible. Je cherchais une de ces photos. Je ne...?... je voulais vous montrer une de ces photos. Elles sont ici, mais nous ne les faisons pas sortir le dimanche. Nous ne... Nous sanctifions le sabbat de Dieu en nous abstenant d’acheter et de vendre. Je ne suis pas un observateur du sabbat, mais je suis... Je garde ce jour de cette manière. Je l’ai toujours fait, et nous achetons nous-mêmes les photos et nous les vendons aux gens absolument à un prix que cela nous coûte pour les avoir.
61 Nous ne... Nous avons des livres, mais ce ne sont pas mes livres. J’achète ces livres chez une autre personne. Voyez-vous? J’achète ces livres avec une réduction de quarante pour cent, je paye l’expédition, on me les envoie, je les mets dans ma camionnette, j’engage quelqu’un pour acheminer cela, et je les envoie à une réunion. Combien gagne-t-on dessus? A chaque réunion, je contracte une dette vis-à-vis des livres. Si je ne pensais pas qu’ils pourraient aider les gens, je ne les amènerais pas ici. Je pense que cela aide à cause des témoignages qui nous parviennent. Et voici que notre frère est allé et a pris la photo. Excusez-moi un instant...?... Combien croient que c’était la Colonne de Feu qui conduisit les enfants d’Israël dans le désert, une Colonne de feu? Savez-vous ce que c’est qu’une Colonne de Feu? Combien croient que c’était Jésus-Christ? Faites voir la main. Tout étudiant de la Bible le croit. C’était l’Ange de l’Alliance. Est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? Voyez? Eh bien, En voici la photo. Maintenant, ce même Etre, eh bien, s’Il vient vers nous ce soir et nous bénit, vous... Ce sera Lui qui parlera. Ce ne sera pas moi.
62 Bon, vous pouvez vous imaginer voir Cela. Quand Cela se tient juste tout près ici, vous n’êtes plus vous-même. Vous devenez simplement comme... Cette lampe électrique ne peut pas dire: «Regardez ici. Je donne la lumière», dire cela à cette fenêtre. «Voyez-vous, je donne la lumière.» Et demain, la lumière–la fenêtre dira: «Tu vois, c’est moi qui donne la lumière.» Ce n’est ni l’une ni l’autre qui donne la lumière. Ce n’est pas la lumière–l’ampoule qui donne la lumière; c’est le courant qui passe dans l’ampoule qui produit la lumière. Est-ce juste? Ce n’est pas la fenêtre qui donne la lumière. C’est le soleil à l’extérieur qui donne la lumière. Elle reflète simplement la lumière. Est-ce vrai? Avez-vous déjà étudié la Genèse, la merveilleuse Genèse? Comment Dieu a créé les cieux et la terre, le soleil et la lune, et lorsque le soleil se couche, la lune reflète la lumière du soleil. Est-ce juste? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est très exactement comme Christ et l’Eglise. Lorsque Christ a quitté la terre, Il fait briller Sa puissance sur l’Eglise qui reflète Sa Lumière. Voyez? C’est juste comme l’Epoux et l’Epouse. Tout–tout le livre de la Genèse, toute la Bible en est le type et est liée à Jésus-Christ. Et maintenant, dans Exode chapitre 13, vous verrez que cette Colonne de Feu qui était–a parlé à Moïse dans le buisson ardent...
63 George J. Lacy... Lisez son petit article là-dessus qui est là. Il vous dira de quoi il s’agit. Il sait que cela ressemblait à une Lumière ambre à travers les rayons ultraviolets et autre comme cela. Cela avait environ cette largeur, environ cette longueur plutôt, et environ cette largeur, et des milliers et des milliers et des chrétiens ont vu cela. Voyez-vous? Cela est descendu juste devant dix mille personnes à Jeffersonville quand je baptisais un après-midi et Cela m’a dit, onze ans avant que je ne sois envoyé dans cette mission, que cela arriverait de cette manière, et elle a dit que ce serait un Message précurseur. Comme Jean-Baptiste fut le précurseur de Christ, de même ce message sera le précurseur juste avant la Venue de Jésus-Christ.
64 Et maintenant, le monde scientifique le sait. Eh bien, ce journal-ci, si vous voulez écrire à monsieur Lacy, ou au FBI concernant cela, ou de quoi il s’agit, allez-y simplement. Vous êtes libre. C’est ce que nous voulons que vous fassiez et que vous découvriez cela. Nous n’essayons pas de rapporter incorrectement quoi que ce soit, mes amis. Nous ne disons que la vérité. Et que le Seigneur vous bénisse. Maintenant, doucement, j’aimerais demander de nouveau ceci. Je vais vous demander à tous de rester assis, d’être calmes et respectueux. Maintenant, si vous voulez remercier le Seigneur pour quelque chose qui a été fait, ou Le louer, cela vous regarde. J’aimerais que vous le fassiez, mais lorsque l’Esprit opère... Maintenant, comprenez-vous... Ecoutez ceci. Combien croient que chaque personne est un esprit? Faites voir vos mains. Oh! bien sûr, vous devez le croire. Si vous ne l’étiez pas, vous seriez mort. Voyez? Ecoutez. Il y a un esprit par là, un esprit ici, un esprit par ici; il y a des esprits partout. Et vous vous tenez ici en train de parler à un individu, cette personne est en train de prier, celle-ci est en train de prier, celle qui est là est en train de prier. Voyez-vous ce que je veux dire?
65 Une fois, Jésus avait une assemblée de même genre, il a pris un homme par la main et l’a conduit hors de la ville. Est-ce juste? Il est allé à un autre endroit où les gens criaient, pleuraient et faisaient des histoires. Il a dit: «Faites place. Cette fille n’est pas morte. Elle dort.» Oh! les gens se sont moqués de Lui, les gens L’ont ridiculisé. Et Il a fait sortir tout le monde de la maison, ensuite Il est entré et a ressuscité la jeune fille. Est-ce juste? Vous direz: «C’est de la psychologie.» C’est de la psychologie? Considérez Pierre lorsque Dorcas a été ressuscitée. Tout le monde pleurait et criait, les veuves. Il les a tous fait sortir de la maison, il s’est avancé et a prié, et ensuite il est allé imposer les mains à Dorcas, et elle est ressuscitée. Est-ce juste? Hein? Ce n’est pas de la psychologie, mes amis. C’est la puissance de la résurrection de Jésus-Christ. Maintenant, soyons respectueux pendant un instant, soyons plutôt en prière. Voulez-vous bien me donner un petit accord pour ce cantique, Crois seulement, en auriez-vous la gentillesse soeur.
66 J’aimerais que tout le monde prie. Maintenant, je... Je vais déclarer encore ceci ce soir. Je ne serai pas responsable de tout ce qui arrivera aux critiqueurs ou aux incrédules, à partir de maintenant jusqu’à la fin de la réunion. Combien m’ont entendu dire cela? Et j’ai entendu une question. C’est la loi. Je dois dire cela, parce que cela ira immédiatement d’une personne à une autre.
Un homme peut entrer dans cette salle parfaitement normale et en bonne santé, et en ressortir avec un cancer. Voyez-vous? Un incrédule. Voyez-vous? Alors vous–vous devez être respectueux. Voyez? Eh bien, c’est pour que tout le monde le comprenne. Maintenant, ne vous levez pas et ne vous déplacez pas. Restez tout simplement... Et quoi qu’il arrive, vous qui êtes dans la ligne de prière... Maintenant, combien... Il y a environ quinze personnes debout ici ou... Très bien, est-ce que tout le monde est là? Très bien.
Il y a environ quinze personnes, je crois, que j’ai appelées dans la ligne de prière. On ne devrait appeler que deux ou trois personnes. Mais maintenant, combien de ceux qui sont là-bas, et partout dans l’assistance, partout n’ont pas de cartes de prière et disent: «Ô Dieu, je veux que Tu me guérisses ce soir.»? Levez les mains et dites: «Je veux que Dieu–je veux que Dieu me guérisse ce soir.» Vous n’êtes pas obligé d’avoir une carte de prière, mais croyez de toute façon que Dieu va vous guérir. Très bien. C’est...
67 Maintenant, je vous demande une chose. Je vous demande de croire que j’ai dit la vérité, et croyez d’abord que ceci est la Parole de Dieu. Et c’est seulement une confirmation de Sa Parole. Chaque prédication, chaque enseignement qui a été donné en dehors de cette Bible n’est pas la vérité. Paul a dit: «Quand un ange du Ciel viendrait vous prêcher autre chose, qu’il soit anathème.» Est-ce juste? Eh bien, la visitation des anges, Paul a-t-il prêché cela? Certainement. Il a dit qu’un Ange l’avait inspiré...?... et il a dit: «L’Ange de Dieu dont je suis le serviteur m’est apparu hier soir, disant: ‘Paul, ne crains point.’» Est-ce juste? Certainement. Il avait des visions et tout. Il était un prophète de Dieu.
68 Maintenant, pendant que nous prions, je crois que c’est la dame. Approchez s’il vous plaît, madame. Maintenant, la seule raison pour laquelle ces gens sont montés ici à l’estrade, on en aligne quelques-uns à la fois, c’est ceci: c’est parce que l’Esprit de Dieu peut venir. Et j’ai parlé (Voyez?) et ensuite l’onction vient, et c’est–c’est un autre monde. Dieu possède un enregistreur pour ainsi dire, un film de chaque acte que vous avez posé dans votre vie tout entière. Le croyez-vous? Il peut révéler cela s’Il le veut.
Bon, cette femme que voici m’est totalement inconnue à ce que je sache. Je ne connais personne dans cette salle à l’exception de frère Bosworth, je pense, de mon fils qui se tient ici, et du frère qui est assis ici. Voilà tous ceux que je connais. Je ne connais personne parmi vous, mais Dieu vous connaît tous, n’est-ce pas?
69 Eh bien, si ceci, c’est l’Ange du Seigneur, et que je vous aie dit la vérité, alors Dieu déclarera la vérité, et Il témoignera que c’est la vérité. Maintenant, n’importe quel homme peut venir ici et vous dire tout ce qu’il veut. C’est simplement ce que cet homme dit. Vous avez le droit d’en douter. Mais lorsque Dieu parle et qu’Il dit que l’homme a dit la vérité, alors croyez Dieu. Est-ce juste?
Maintenant, j’aimerais parler un petit peu à cette femme. Maintenant, que pensez-vous qui arriverait si notre Seigneur Jésus se tenait ici portant ce complet qu’Il m’a donné, et qu’Il portait ceci, et se tenait ici en train de parler à cette femme? Que ferait-Il? Pour ce qui est de la guérir, non. Si elle est malade, je ne sais pas si elle est malade. Mais si elle est malade, Il ne pourrait pas la guérir. Il dirait: «Je l’ai fait lorsque Je suis mort au Calvaire.» Croyez-vous cela?
70 Mais maintenant, qu’a-t-Il fait à la femme au puits? Considérons un peu Son ministère. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Et vous vous demandez pourquoi?
Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous nous demandiez pareille chose à nous, les Samaritains.»
Il a dit: «Si tu savais qui est Celui à qui tu parles, tu Me demanderais à boire, et Je t’apporterais de l’eau ou plutôt te donnerais de l’eau que tu n’es pas venue...» Que faisait-Il? Il essayait de contacter son esprit. Elle était un être spirituel, bien sûr, et Il essayait de contacter son esprit. Et aussitôt qu’Il a capté son esprit, Il est allé droit à son problème et lui a révélé de quoi il s’agissait. Est-ce juste? Maintenant, n’est-Il pas le même Jésus ce soir? Je...
Maintenant, je sais qu’Il est ici. Cet Etre surnaturel même dont vous avez vu la photo là se tient à moins de deux pieds [90,9 cm] de l’endroit où je me tiens maintenant même. Eh bien, c’est vrai. Vous verrez au Jugement.
71 J’aimerais parler à cette femme. Tout ce que je souhaite faire, c’est m’entretenir un–un peu avec vous. Et je ... C’est juste... Je suis ici pour vous aider, et la seule façon dont je peux vous aider, c’est de vous montrer Jésus-Christ. Vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose. C’est–c’est Sa Présence, cet Ange que vous voyez sur la photo. C’est exactement ce dont vous êtes consciente que c’est tout près de vous maintenant. Voyez?
Croyez-vous que–que Dieu dans ces derniers jours a restauré de nouveau l’église? Le croyez-vous? N’est-Il pas merveilleux en faisant cela? Et ne sommes-nous pas heureux d’être en vie ce soir pour voir cela? Nos yeux voient des choses que–que les prophètes ont désiré voir juste avant la Seconde Venue de notre Seigneur.
72 Votre problème, bien sûr, je le vois. C’est sur votre bouche. Ce n’est pas une ampoule ou une cloque. C’est un cancer, et ce cancer est un cancer qui ronge, qui entre dans votre lèvre. Il y a un espoir pour vous, et c’est en Jésus-Christ. Maintenant, étant donné que je peux voir cela et voir que c’est sur votre lèvre, j’aimerais que vous me croyiez en tant que prophète de Dieu, parce que les gens là...
Plus vous parlez à quelqu’un, plus vous voyez des visions, bien sûr. Vous voyez que vous entrez dans cette dimension où sont les gens (Voyez?), et vous voyez simplement Dieu révéler la chose. Mais je n’essaie pas tellement de le faire sur une personne, car regardez-les ici et tout autour. Voyez?
Et chaque... Une seule vision vous affaiblit plus que prêcher pendant cinq heures d’affilée. Combien savent que c’est ce que disent les Ecritures? Assurément. Daniel a eu une seule vision, et il eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours. Mais comme vous pouvez le voir sur le visage de cette femme là, il pourrait y avoir quelque chose d’autre. Elle pourrait avoir une autre maladie. Si c’est le cas, Dieu peut révéler ceci de même qu’Il a pu révéler cela.
73 Maintenant, j’aimerais que vous me regardiez pendant un moment, et que vous croyiez, juste comme–comme–comme votre frère. Oui, madame, vous avez d’autres choses. Vous avez un–vous avez l’hypertension. Pas vrai? Et vous avez aussi une sorte de toux. C’est–c’est l’asthme dans votre gorge. Est-ce vrai?
Et voici autre chose. Vous avez quelqu’un pour qui vous vous préoccupez beaucoup, et je crois que c’est un garçon. C’est un fils, et c’est un... et je le vois porter un uniforme. Il était un soldat ou quelque chose comme ça, et Il est–il est–il est mentalement détraqué. Pas vrai? L’armée... Il–il... Quelque chose s’est produit dans l’armée. Il est mentalement... Est-ce vrai, soeur? Approchez.
74 Dieu miséricordieux, sois miséricordieux envers cette pauvre petite mère épuisée qui se tient ici, ô Dieu, aie pitié d’elle. Satan, l’ennemi essaie de l’envoyer prématurément à la tombe s’il le peut, cette femme au coeur brisé. Mais Toi, ô Dieu, Tu es plein d’amour et de compassion, et j’offre la prière de la foi, Tu as dit: «Elle sauvera le malade.» Et je lui impose les mains, bien que l’on ne soit pas digne, ô Dieu, pour une tâche pareille, mais je prie en tant que Ton serviteur, comme un–un sarment dans le cep, que la puissance de guérison du Dieu Tout-Puissant entre dans le corps de cette femme et la guérisse. Et que ses désirs lui soient accordés ce soir. Car au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je réprimande cet ennemi qui la tourmente. Amen. Que Dieu vous bénisse, Soeur. Croyez-vous maintenant? Il en sera juste selon votre foi. Que Dieu vous bénisse.
75 Maintenant, vous pouvez dire: «Gloire à Dieu!» si vous voulez [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu!»–N.D.E.]. Maintenant, seul notre Seigneur Jésus peut guérir les malades. Dieu connaît tout, et Il peut tout révéler, tout faire. Ne le croyez-vous pas? Très bien. Très bien, madame. J’aimerais que vous approchiez. Ayez la foi maintenant. Croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ le Fils de Dieu est ici. Sommes-nous des inconnus, ma soeur? Me connaissez-vous? Vous avez simplement entendu parler de moi. Mais je veux dire que pour ce qui est de vous connaître, je ne vous connais pas. Non, je...?... Vous m’avez seulement vu sur des photos. Eh bien, je suis–je suis heureux que vous ayez suffisamment de foi en Dieu pour venir en croyant, pour être guérie. Le croyez-vous? Et ce que vous avez lu dans les livres, les magazines et tout, et dans le Reader’s Digest et dans le Colliers et... Croyez-vous que c’était la vérité? Que Dieu a...?... [La soeur parle à frère Branham.–N.D.E.] Je le crois de tout mon coeur. Mes amis, si vous êtes... En effet, je crois que vous dites la vérité, parce que vous êtes une chrétienne. Alors, je peux être en mesure de vous aider à recevoir Jésus-Christ. Le croyez-vous?
76 Vous êtes–vous êtes... Premièrement, vous souffrez d’une maladie de femme. Oui, pas vrai? Et puis, dites... Je vois que quelque chose vous est arrivé récemment. Vous avez eu une sorte de–d’attaque, c’est juste une... comme un... Une femme vous a dit que c’était une crise cardiaque, et cette femme souffre elle-même d’une maladie cardiaque. Ce n’était pas une crise cardiaque. Ce n’était pas cela. Non. C’est de la nervosité que vous souffrez. C’est exact, et vous allez guérir de cela et être rétablie. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez partir, soeur. Votre foi vous a sauvée et vous a rétablie. Que Dieu vous bénisse. Vous... Très bien. Servez le Seigneur. Très bien. Si vous croyez, tout est possible à ceux qui croient: seulement aux croyants. Maintenant, regardez et vivez. Ayez la foi en Dieu. Eh bien, cela pourrait ne pas sembler grand-chose pour vous, et si c’était votre soeur? Et si c’était votre mère, votre femme, votre fille, ou bien si c’était vous? Cela signifierait certainement beaucoup pour vous. N’est-ce pas? Elle est la bien-aimée de quelqu’un, de quelqu’un qui l’aime tout comme vous aimez votre... Maintenant, soyez respectueuse, et croyez de tout votre coeur.
77 Est-ce que vous croyez, soeur? Croyez-vous? Réalisez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence, pas la mienne, moi je suis votre frère, mais Sa Présence à Lui? Alors, si Jésus est ressuscité des morts, comme nous le croyons, alors Sa Vie s’est reproduite et comme Il l’a promis: «Les oeuvres que Je fais, a-t-Il dit, vous les ferez aussi.» Croyez-vous que c’est la vérité? Vous devez croire pour vivre. Vous rendez-vous compte de ce dont vous souffrez? Dans l’estomac, le cancer, il est descendu jusque dans les organes féminins. Est-ce juste? La tumeur maligne est descendue (C’est juste.) jusque dans les glandes féminines. Il n’y a rien au monde qui puisse vous aider à part Dieu. Ils ne peuvent pas ôter de vous tout ce qui est à l’intérieur...?... C’est trop avancé pour qu’on le fasse. Mais Jésus-Christ vous guérira maintenant même si vous le croyez. Vous voulez vivre, n’est-ce pas? Regardez tout simplement à Lui et vivez. Croyez-vous que Dieu m’a donné l’autorité de prier pour vous et d’ordonner que cela vous quitte? Croyez-vous qu’Il l’a fait? Allez-vous vivre pour Dieu et glorifier Dieu si Dieu épargne votre vie dans ceci? Approchez, soeur.
78 Notre Père céleste, au Nom de Ton Bien-Aimé Fils, Jésus, je viens avec sincérité de coeur, sachant que Satan est dévoilé. Ses grandes infirmités, sa puissance et ses prodiges mensongers, sa séduction sont exposés. Et il s’est caché du médecin, mais il ne peut pas se cacher de Toi, ô Dieu. Cette femme est venue avec sincérité. Et je demande au Nom de Jésus-Christ que ce démon appelé cancer quitte son corps, et qu’il sorte d’elle. Et au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie maintenant et rétablie. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur.
Maintenant, écoutez. Aujourd’hui c’est dimanche. Vous allez vous sentir bien jusqu’à mercredi, et mercredi vous allez vous sentir très malade. Ne craignez rien, croyez seulement.
Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!»
79 Bonsoir, soeur. Est-ce que vous croyez? Vous êtes tourmentée par une sorte de–d’éruption. Vous devez suivre un traitement pour cela. Et cela gagne votre bras. Et si vous ne suivez pas un traitement, cela se répandra sur tout votre corps. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira ce soir? Approchez.
Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, en vertu de Ta Parole qui dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris», je fais ceci au Nom de Jésus-Christ: je maudis cette maladie qui tourmente cette femme. Que cela la quitte au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Partez en vous réjouissant, soyez heureuse. Ne doutez de rien. Croyez tout simplement de tout votre coeur.
80 Est-ce que vous croyez partout là-bas? Si vous avez la foi, vous pouvez obtenir exactement ce que vous avez demandé, si vous croyez. Car tout est possible à ceux qui croient. Continuez de prier et de croire de tout votre coeur. Vous recevrez ce que vous avez demandé. Chacun de vous, où que vous soyez, peut recevoir sa bénédiction. Vous n’êtes pas obligé d’être ici à l’estrade. Ayez simplement la foi et croyez. Demandez à certains de ceux qui ont été guéris, voyez ce qui est arrivé. Dieu ne peut faillir. Il ne peut–Il ne peut faillir et demeurer Dieu. Dieu guérit les malades.
Vous avez quelque chose qui vous fait souffrir dans votre dos, n’est-ce pas, soeur? Votre estomac, et vos yeux se portent mal, mais Jésus vous a guérie quand vous avez levé la main il y a quelques minutes. Vous êtes guérie maintenant au Nom du Seigneur Jésus. La foi de cette petite femme l’a complètement guérie pendant qu’elle était assise là en train de prier, en croyant de tout son coeur. Dieu l’a guérie. Voilà comment s’y prendre.
Vous avez un problème du colon, n’est-ce pas, madame? Oui. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Je vous vois debout. Il vous a guérie. Que Dieu vous bénisse.
81 Votre problème, soeur, ce n’était pas exactement un problème du colon. C’est dans vos intestins, et vous avez aussi la bronchite qui vous dérange. Pas vrai? Vous êtes toutes les deux guéries, parce que Dieu...?... Amen. Ayez simplement la foi en Dieu.
Voilà le Saint-Esprit qui est en train de se déplacer juste au-dessus de ces gens maintenant même. Je vois debout devant moi une jeune femme. Elle porte des lunettes. Elle a environ l’âge moyen, je pense. Je vois qu’elle a quelque chose autour des bras. Un médecin, un homme d’âge moyen est en train de pomper quelque chose. C’est la pression artérielle. Elle est basse. Voilà la femme en question assise là, portant un manteau brun. Vous qui avez levé la main, madame. Vous avez l’hypotension, ou plutôt, vous aviez l’hypotension. Votre foi vous a sauvée. Que Dieu vous bénisse. Partez, et que la paix de Dieu soit avec vous.
82 Approchez, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Soyez respectueux. La puissance éternelle de Dieu et la divinité sont en train de se mouvoir dans cette salle. Je ne sais pas ce que vous allez en penser, mais Dieu connait toutes choses. Est-ce que tu crois, jeune homme? Très bien. J’aimerais que tu me considères comme Son serviteur. Ton problème c’est au dos. Tu as un problème de dos. Tu as un autre problème, une chose dont tu n’arrives pas à te débarrasser, une chose qui va t’emporter dans la tombe. Tu es un alcoolique. C’est juste. Tu es un alcoolique, et tu as essayé... Dis donc, tu as une mère qui a quelque chose qui ne va pas à la hanche, et c’est une prédicatrice. Et ton papa est un homme aux cheveux un peu gris, et il a–il a l’arthrite. Les voici qui sont assis ici même. Est-ce juste? Maintenant, attends une minute. Je vois une grande réunion qui apparaît devant moi. C’est dans un décor panoramique. C’est une sorte de–de stade. Et je me tiens à l’estrade. C’était à Hammond, dans l’In-... à Hammond, ou à Connersville, dans l’Indiana. C’est... Est-ce juste? Que Dieu te bénisse.
83 Satan, sors de ce jeune homme! Je te réprimande au Nom de Jésus-Christ. Quitte-le! Je t’adjure, par le Dieu vivant, de sortir de ce jeune homme! Tu ne peux plus le retenir. Puisse-t-il partir et que la paix de Dieu soit sur lui. Que Dieu te bénisse, jeune homme. Va maintenant et sers le Seigneur Jésus, et sois guéri.
Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]
Croyez de tout votre coeur et vous verrez. Vous obtiendrez ce que vous avez demandé si vous croyez cela. Très bien. Inclinez la tête avant que cette femme vienne. Elle a un esprit de surdité. Inclinons la tête partout.
84 Ô Dieu, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cette femme que je bénis en Ton Nom, elle est privée du privilège d’entendre l’Evangile. Ô toi esprit de surdité, tu as désiré faire ceci afin que tu puisses l’envoyer devant un véhicule et la tuer. Mais je t’adjure par le Dieu vivant et par Jésus-Christ Son Fils, de quitter et de sortir d’elle! Que tout le monde garde la tête inclinée, s’il vous plaît. Cela va d’une personne à une autre. Vous renvoyez alors cela sur cette femme. Ne levez pas votre tête jusqu’à ce que vous entendiez ma voix. Cet esprit a quitté la femme, il est revenu directement. Gardez vos têtes inclinées, car si vous ne le faites pas cela ira sur vous.
85 Dieu Tout-Puissant, aie pitié de cette femme. S’il Te plaît, soulage-la de cette maladie ce soir. Nous savons que les gens ne désirent pas être méchants. Ils sont seulement enthousiasmés, et je Te prie de leur pardonner leur erreur. Et pardonne-moi, Seigneur. Je Te prie de me donner la puissance pour chasser ce démon de notre soeur, pour qu’elle soit guérie. Car Satan a désiré faire ceci, mais Tu es Dieu, Celui qui guérit. Sors d’elle, Satan, toi esprit de surdité, au Nom de Jésus-Christ!
Eh bien, gardez vos têtes inclinées juste un instant. Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Croyez-vous en Lui de tout votre coeur, croyez-vous qu’Il vous a... vous êtes aussi guérie. Très bien. Vous pouvez maintenant relever la tête. Voici sa–sa guérison a aidé ce qui était caché. M’entendez-vous maintenant? Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous a guérie. Vous êtes bien portante, et que Dieu vous bénisse. Partez en paix. Que Dieu vous bénisse.
Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»]
86 Cette femme était... N’êtes-vous pas dans la détresse, madame, vous qui avez porté un manteau rouge, qui êtes assise là? Vous êtes... C’est étrange, mais je vois un hôpital ou quelque chose. C’est un–c’est un homme, et les–et les médecins sont sur le point d’opérer quelque chose comme des adhérences ou quelque chose comme ça, et cela... C’est–c’est–c’est un frère ou quelqu’un comme cela pour vous; et l’endroit, c’est dans l’Alabama. Pas vrai? Est-ce la vérité? Tenez-vous debout pour sa guérison. Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ et par la puissance du Saint-Esprit, j’envoie Tes bénédictions au Nom de Jésus vers cet homme. Pourquoi parlerais-Tu à cette femme profondément sincère si Tu n’allais pas permettre qu’elle soit guérie? Je demande sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Qu’il en soit ainsi. Amen. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu! [L’assemblée dit: «Grâce soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]
87 Approchez. Est-ce que vous me croyez? Parce que j’ai prêché la Parole, la Vérité, vous croyez que c’est vrai? Et si je vous disais quelque chose, si c’était la vérité, allez-vous–allez-vous reconnaître que c’est la vérité? Votre problème, c’est un trouble féminin qui produit un écoulement qui est... Savez-vous que c’est vrai? C’est un abcès. Votre maladie, c’est sur votre côté gauche, c’est un abcès sur l’ovaire gauche. Vous étiez guérie pendant que vous vous teniez là dans la ligne de prière en avançant, il y a quelques instants. Rentrez maintenant chez vous. Jésus-Christ vous a guérie.
Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur.
88 Bonsoir, soeur. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Allez-vous m’obéir en tant que Son prophète? Vous allez le faire. Je vous vois essayer de vous déplacer quelque part, vous tenant la main. C’est l’arthrite.
Libère-la, Satan; au Nom de Jésus-Christ, je t’adjure de sortir de cette femme! Levez la main. Tapez du pied comme ceci. Votre arthrite a disparu, et vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez partir, et être guérie.
Disons: «Grâces soient rendues à Dieu! [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!]
Est-ce que vous croyez? «Ayez la foi, a dit Jésus, ayez foi en Dieu.»
Croyez-vous que la chose pour laquelle vous priez arrivera, madame? Vous avez quelque chose qui ne va pas au pied ou quelque chose comme ça, et vous–vous souffrez aussi d’une maladie de femme, n’est-ce pas, une maladie interne? Est-ce juste? Très bien. Rentrez chez vous et soyez alors guérie au Nom de Jésus-Christ.
89 Est-ce que vous croyez? Croyez-vous que vous allez guérir de cet asthme, vous qui êtes ici derrière cet homme-là au manteau brun? Croyez-vous que Dieu va vous guérir, madame? Croyez-vous qu’Il le fera? Voici une autre dame assise ou, assise juste là, souffrant de la même chose. Vous voulez aussi être guérie de votre maladie, soeur? Croyez-vous que Dieu fera que cette sinusite vous quitte et que vous soyez guérie? Souhaitez-vous guérir de cette hypotension, vous qui êtes assise là, soeur? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Si vous croyez, vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé, si seulement vous avez la foi.
Est-ce que vous croyez? Est-ce cette personne? Nous sommes des inconnus. Je ne vous connais pas, mais mon Seigneur vous connaît, et c’est en Lui que je me confie. Je n’ai rien d’autre en quoi me confier. J’admets que je suis faible. Mon visage s’engourdit, je sais qu’Il est ici. Et je sais que je ne pourrais pas vous guérir, mais votre vie, vous ne pouvez pas la cacher, parce que c’est un don. Je ne peux faire que ce qu’Il a déjà fait: c’est vous guérir. C’est cela Sa promesse. Mais en tant que Son prophète, quand l’onction est ici, chaque esprit ici est soumis maintenant à Dieu. Rien ne peut être caché. Je prends maintenant l’autorité sur chaque esprit sous le contrôle de Dieu. Si je suis Son Cep en Lui, alors tout est soumis à ce que je dirai.
90 Satan vous a menti. Vous avez souffert. Vous passez par un changement de la vie, et cela est sur vous, la ménopause, depuis environ cinq ans. Vous prenez toutes sortes de médicaments qui viennent, et aucun d’eux ne vous fait du bien. N’est-ce pas la vérité?
Et vous êtes aussi anémique. Je vois le sang qui coule entre moi et vous, et le...?... léger. Vous êtes anémique. Ma bien-aimée soeur, pourquoi ne croyez-vous pas que Jésus-Christ vous guérit? Et n’ayez rien à faire avec le diable...?... Et sortez de cette salle et soyez guérie. Si Dieu se tient ici avec la puissance de Son Esprit pour me révéler votre vie, ne peut-Il pas vous guérir? Croyez-vous que si je maudis cette maladie au Nom de Jésus-Christ, cela vous quittera? C’est ce que vous vouliez que je fasse. Je ne lisais pas votre pensée, mais vous êtes–vous vouliez que je vous impose les mains, parce que c’est ce que vous croyiez. Est-ce juste? Approchez. Je vais le faire.
91 Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, voyant que sa foi repose dans l’imposition des mains, oh! j’implore miséricorde. Ces ombres sombres qui sont suspendues autour de cette petite femme, sachant que Satan est toujours là à côté pour essayer de la tenter dans cette période de la vie, mais Jésus, Tu te tiens toujours dans l’ombre, veillant sur Tes enfants. Rien ne peut leur faire du mal. Maintenant, toi ennemi, en tant que serviteur de Dieu, je te donne cet ordre. Au Nom de Jésus-Christ, sors d’elle! Je lui impose les mains en tant que serviteur de Dieu qui a reçu la commission de l’Ange. Tu le sais. Tu–tu as vu cela se produire. Il m’a dit que si je suis sincère, rien ne résistera à ma prière. Et je crois en Lui, tu es un perdant; et je libère cette femme ce soir de toutes ces choses au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.
92 Très bien, madame. Ecoutez ceci. Si Dieu sait ce qui s’est passé dans votre vie, ce qui a été dans votre vie, Il le sait certainement. Cependant, vous êtes guérie. Vous avez toujours été un peu nerveuse. Lorsque vous étiez une petite fille, une fois en revenant de l’école, je vous vois, ou quelque chose d’autre, vous avez couru vers un chien ou quelque chose comme cela et cela vous a effrayée, en retournant, vous portiez une petite robe écossaise à carreaux. Vous en souvenez-vous? C’est fini maintenant. Vous pouvez partir et être guérie. Que Dieu vous bénisse. Soyez guérie.
Est-ce que vous croyez? Est-ce tout le monde croit d’un commun accord, d’un même coeur, d’une même pensée? Ce que Jésus fait est illimité. Si j’ai trouvé grâce à vos yeux, et si Dieu m’a accordé Sa faveur, croyez-moi comme Son serviteur. Je vous ai dit par l’autorité du témoignage du Saint-Esprit, qu’Il est ici maintenant, que vous ne pourriez pas cacher votre vie si vous devriez le faire; et par ce même témoignage et par la Bible que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a guéri tout le monde dans cette salle.
93 Si vous êtes prêts à accepter cela, cela a été accompli il y a mille neuf cents ans au Calvaire. Et cela vous appartient gratuitement selon que vous pouvez recevoir cela ce soir. Le croyez-vous? Si vous remarquez, il n’y a pas une seule chose qui passe ici sans que Dieu l’ait fait sortir de la personne pendant qu’elle se tient ici; qu’il s’agisse de la surdité, de la cécité ou de quoi que ce soit. Si Dieu peut le faire ici sur l’estrade, Il peut le faire là-bas. Et si vous pouvez incliner la tête et croire, je demanderai à Dieu de vous guérir tous, et si vous croyez de tout votre coeur, vous serez guéris maintenant même.
Dieu Tout-Puissant, je Te demande en cette heure tardive de la nuit, alors que ces gens sont restés assis pendant longtemps, à écouter, je Te prie, ô Père, d’avoir pitié des malades et des nécessiteux qui sont ici dans le...?... [Frère Branham s’éloigne du micro.–N.D.E.] dans le besoin. Et maintenant, Dieu Tout-Puissant, nous réalisons qu’il n’y a qu’une seule chose qui pourrait les empêcher d’être guéris, c’est leur incrédulité. Que Dieu ôte ce qui est suspendu là au-dessus d’eux, qui empêche que les bénédictions de Dieu se déversent conformément à la loi de Dieu dans leurs corps et les guérissent tous. Je réprimande maintenant cet esprit de doute et d’incrédulité qui est suspendu au-dessus de cette assistance, et que cela quitte au Nom de Jésus-Christ et que chaque malade ici soit guéri pour la gloire de Dieu...?... ma sincère prière...?... et je prie que Dieu...?... ce soir les hommes de continuer de prier parce que la salle tout entière devient lactée à mes yeux maintenant. Je sais que mon heure...?... est ici...?... Mais...?...
Si vous êtes sourd d’une oreille, mettez votre doigt dans votre oreille, et écoutez...?... Si vous êtes–si vous êtes aveugle, regardez avec vos yeux, pour voir. Si vous êtes infirme, tenez-vous debout et marchez. Tout ce dont vous souffrez, j’aimerais que vous vous mettiez debout et que vous fassiez quelque chose que vous ne pouviez pas faire auparavant, car Dieu a guéri cela, au Nom de Jésus-Christ...?...