Le Témoignage

Date: 53-1129E | La durée est de: 1 heure et 34 minutes | La traduction: Shp
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1          ...?... ne change rien...?... Merci, Frère Bosworth, et bonsoir, mes amis. C’est un plaisir d’être de nouveau ici ce soir pour servir le Seigneur. Et je suis très heureux de vous voir rassemblés en ce moment de communion.

            Je viens de serrer la main à un de mes vieux amis de Miami. Cela me rappelle... On dirait que je n’aurais pas l’impression d’être arrivé en Floride, si je n’avais pas pu voir celui que nous appelons frère Jim. Et ainsi, je suis très heureux qu’il soit avec nous ce soir sur l’estrade. Beaucoup d’eau a coulé dans la rivière depuis que je vous ai vu la dernière fois, Frère Jim. Ainsi... j’ai été à différents endroits partout dans le monde; Dieu voulant, dans un futur proche je vais repartir.

            Nous sommes très heureux que Dieu ait fait ce qu’Il a fait pour les gens cet après-midi, en les bénissant, et j’ai confiance maintenant, que très vite... J’ai passé les deux dernières heures ou plus à prier sans interruption, et j’aimerais juste témoigner un peu ce soir, et ensuite commencer directement le service.

2          Tout d’abord, je vais lire quelque chose dans Sa Parole, sachant que Sa Parole est parfaite et qu’Elle ne faillira jamais. Ça se trouve dans Saint Jean, chapitre 4, en commençant au verset 46:

            Il retourna... à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin. Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.

            Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.

            Jésus lui dit: Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point.

            L’officier du roi lui dit: Seigneur, descends avant que mon enfant meure.

            Va, lui dit Jésus, ton fils vit. Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite, et il s’en alla.

            Comme déjà il descendait, ses serviteurs venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle: Ton enfant vit. Il leur demanda à quelle heure il s’était trouvé mieux; et ils lui dirent: Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté.

            Le père reconnut que c’était à cette heure-là que Jésus lui avait dit: Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.

            Jésus fit encore ce second miracle lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.

3          Pouvons-nous incliner nos têtes maintenant pendant que nous Lui parlons juste un instant dans la prière. Notre Père qui es aux Cieux, que Ton Nom soit sanctifié. Nous T’adorerons ce soir, notre Père, au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, et nous T’aimons parce que Tu nous as aimé le premier, Tu nous as rachetés d’une vie de péché, et Tu nous as donné un coeur pour adorer. Nous allons Te louer, et reçois ce soir, ô Dieu, l’adoration de notre coeur alors que nous la répandons avec simplicité devant Toi, en T’aimant, et sachant ceci: que Toi seul, Tu tiens nos vies dans Ta main; et un jour, nous devrons Te rencontrer face à face et rendre compte de notre vie ici sur terre.

            Quel genre de personnes devrions-nous alors être, Père? Nous ne pouvons rien faire à moins que Tu nous aides. Et ce soir, alors que ce petit groupe de gens est réuni ici en ce soir du sabbat, nous Te remercions pour cette belle journée et pour les nombreux sermons, pour les ministres qui sont venus de par le monde, qui ont prêché l’Evangile, toutes les âmes qui ont cru en Toi, pour les grands miracles et prodiges, qui sans aucun doute sont accomplis maintenant même partout dans le monde. Et Bien-Aimé Sauveur, ne nous oublie pas ce soir.

4          Nous Te prions de venir avec Ta puissance magnifique et de déployer Tes ailes de guérison dans cette salle, et que chaque personne malade qui est ici soit remplie de la puissance de guérison. Accorde-le, Seigneur. Comme le prophète l’a dit, que les gouttes pures de miséricorde baignent nos âmes jusqu’à ce que nous verrons le dessein de Jésus, notre Roi, nous racheter de la maladie et du péché, nous affranchir, et nous accorder une vie heureuse de service en gagnant les autres pour Lui. Nous–nous Te demandons de nous accorder ces bénédictions, à nous des gens indignes, au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

            C’est juste un témoignage ce soir. J’ai pris tellement de votre temps cet après-midi en prêchant... Mon fils m’a dit, il a dit: «Papa, ne te rends-tu pas compte que tu as fait là environ une heure et quarante-cinq minutes, mais tu étais...»

5          Eh bien, je–j’aime tellement parler de Lui, que je n’arrive tout simplement pas à terminer de parler. Ça fait maintenant vingt-trois ans que je suis dans le ministère, et j’ai commencé le ministère quand je n’étais qu’un jeune homme et le seul regret que j’ai, si je pouvais allonger ma vie, la seule chose que je regrette plus que tout le reste, c’est que je n’ai pas connu Jésus lorsque je n’étais qu’un tout petit garçon. J’aurais aimé retourner à cette époque-là. Je voudrais donner chaque heure de ma vie pour Sa gloire.

            Je me souviens que jeune homme, juste à vingt... Eh bien, les gens... Les garçons me disaient: «Billy, tu ne tires aucun plaisir de la vie. Tu ne danses pas. Tu ne bois pas. Tu ne fumes pas. Tu ne vas ni aux spectacles ni aux danses. Que tires-tu de la vie?»Et un soir, une jeune dame m’a posé une question pendant que je la ramenais chez elle. Elle a dit: «Que retirez-vous de la vie?»

6          Et le soir suivant, j’ai fait un appel là où je prêchais, c’était dans une église baptiste locale, et dans les allées, trente ou quarante personnes s’étaient agenouillées à l’autel. Cette jeune dame était assise là, en train de pleurer. J’ai dit: «Voulez-vous vous tenir debout, soeur?» J’ai dit: «Vous vouliez savoir d’où je tirais mes plaisirs. Ceci vaut pour moi plus que toutes les choses que le monde peut m’offrir, cette seule chose ci. Cela donne vraiment la paix et la satisfaction à mon âme.»

            Je suis très heureux ce soir que le Dieu Tout-Puissant dans Sa miséricorde infinie, et Sa grâce rédemptrice ait trouvé bon une fois de–de me sauver et de m’accorder le privilège de m’adresser à Son peuple. J’aime les gens. J’aime tout le monde, le monde, qu’il s’agisse des pécheurs ou des chrétiens. Je–je sens cela dans mon coeur.

7          Chacun de nous, Jésus est mort pour nous tous. Je vois parfois des hommes boire dans la rue, et je les vois jouer aux jeux d’argent, et je... Et certains maudissent, et alors... Cela ne me dresse pas contre cette personne. Cela me fait tout simplement comprendre que c’est Satan qui fait cela. C’est mon frère, et c’est–c’est... je... Cela me fait tout simplement mal de voir Satan avoir...?... comme cela. Eh bien, si je peux lui dire quelque chose pour le gagner à notre Seigneur Jésus de façon à ce qu’il puisse avoir la Vie Eternelle, eh bien, il arrêtera cela. Il–il est mon frère. Il est tout simplement tombé, et j’aime l’aider à se relever. Voyez-vous? Et c’est vraiment du fond de mon coeur.

            Et si je devais mourir ce soir le–le témoignage que j’ai donné, qui a fait maintenant le tour du monde, et je... Si je devais mourir ce soir, et que ceci serait mon dernier sermon que je pourrais prêcher, ou la dernière ligne de prière où je prierais pour les malades, mon témoignage est vrai. Et si je vous rencontrais au Jugement, vous comprendrez que j’ai seulement rendu témoignage de ce qu’est la vérité de Jésus-Christ, et de Sa miséricorde.

8          Il y a quelque temps, juste dans ce petit témoignage, j’étais à Houston au Texas, et je tenais une réunion. Nous avions environ huit mille personnes dans–dans un stade, et monsieur Bosworth et moi étions ensemble, mon frère que voici. Nous avions une merveilleuse réunion. Raymond Richey et plusieurs églises des environs parraineront cette réunion, et un homme est venu...

            J’ai beaucoup de critiqueurs. Nous le savons. Nous devons aussi en avoir. Si Jésus en avait, eh bien, je dois aussi en avoir, vous de même. Nous en avons tous. Mais il y avait un homme qui venait de sortir du séminaire, et c’était un homme très intelligent et très brillant. Il était un docteur. Il venait d’obtenir son doctorat, et il était un–un ministre baptiste. Il s’appelait le docteur Best, et c’était un jeune homme très brillant. Il avait un–un beau tabernacle là-bas, et une très bonne assemblée. Et certains de ses croyants venaient à la réunion, et alors il s’est rangé du côté de ceux qui disaient que la guérison divine n’existe pas.

            Eh bien, monsieur Bosworth, en établissant l’itinéraire et les annonces, ainsi que–ainsi que monsieur Richey et plusieurs autres ministres, ils avaient collé une affiche dans la rue qui disait: «Des miracles chaque soir.»

9          Eh bien, monsieur Best a dit: «Eh bien, c’est ridicule, la guérison divine n’existe pas.» Et il a lancé–il a lancé un défi dans un journal. Au lieu de venir nous voir, il a lancé un défi dans un journal et il a dit: «William Branham est un–un imposteur religieux, a-t-il dit, qu’on devrait chasser de la ville, et c’est moi qui devrais le faire.»

            Alors, je n’ai pas trouvé cela vraiment chrétien de la part de mon frère, mais ce n’était rien. Et monsieur Bosworth est venu et a dit: «Frère Branham, regardez ceci.» Et il–il m’avait lancé un défi par un débat public sur la guérison divine. Eh bien, je ne suis pas un homme des débats. Je ne crois pas qu’on doive faire des histoires. Je–je prêche l’Evangile. Si les gens croient cela, eh bien, c’est en ordre. S’ils n’y croient pas, c’est tout ce que je peux faire à ce sujet. Et...

10        Eh bien, vous n’aboutirez jamais à rien en faisant des histoires et en tenant des débats. Ne le faites jamais, parce que vous vous faites simplement des ennemis. C’est tout. J’en ai tellement vu. Alors, monsieur Bosworth est venu et il a dit: «Frère Branham, regardez ceci.»

            J’ai dit: «Frère Bosworth, laissez cela tranquille.» J’ai dit: «Nous avons des milliers de gens pour lesquels prier, et pourquoi perdrions-nous du temps avec une personne qui ne croit pas, alors qu’il y a des milliers de gens qui croient vraiment et qui attendent que l’on prie pour eux?» J’ai dit: «Pourquoi perdre du temps avec cela?»

            Eh bien, le jour suivant, ce ministre a mis un grand titre dans le journal, dans le Houston Chronicle, et il a dit: «Cela montre de quoi ils sont faits. Ils ont honte et ils ont peur quand le véritable Evangile est présenté devant eux, d’en débattre.» Il a dit: «Cela montre de quoi ils sont faits.»

            Eh bien, voici frère Bosworth venir de nouveau dans ma chambre. Il a dit: «Ecoutez ceci, Frère Branham. Allez-vous relever cela?»

11        Et j’ai dit: «Eh bien, frère Bosworth, cela ne servira à rien.» J’ai dit: «Je... Le Saint-Esprit est avec moi. Il m’a promis qu’Il le ferait, et je–je suis–j’ai l’onction pour prier pour les malades, et je ne perdrai tout simplement pas mon temps avec cela.»

            Il a dit: «Laissez-moi faire cela.» Il a dit: «Laissez-moi... a-t-il dit, c’est une honte.» Il a dit: «Le public pensera que nous sommes juste un groupe de gens qui sont simplement–simplement ballottants.»

            Il a dit: «Il n’y a aucune Ecriture qui soutienne cela ni rien.» Il a dit: «Nous somme redevables cela au public.»

            J’ai dit: «Je–je dois au public seulement ce que Dieu m’a dit de faire.»

            Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, ce n’est pas juste.» Il a dit: «Ces hommes n’ont pas...» Il a dit: «Je peux donner des centaines de passages des Ecritures et je... et ils n’ont même pas... Cet homme n’a même pas un seul–un seul passage des Ecritures dans la Bible sur laquelle s’appuyer.» Et il a dit: «Laissez-moi démontrer cela.»

12        Bien, j’ai pensé à Caleb, vous savez, lorsqu’il–ce vieil homme qui avait l’épée a dit: «Josué a placé ceci dans ma main lorsque j’avais quarante ans», et il a dit: «Aujourd’hui j’ai quatre-vingts ans. Je suis aussi fort aujourd’hui que je l’étais lorsque Josué m’a donné cette épée.» Eh bien, je me suis dit: «C’était vraiment très courageux de sa part alors qu’il est dans les soixante-dix ans, et monsieur Best est dans la trentaine.» Je me suis dit: «Il sort fraîchement du séminaire.» Je l’ai regardé et j’ai dit: «Frère Bosworth, je n’aimerais pas que vous alliez là-bas vous chamailler avec cet homme.» Il a dit: «Frère Branham, je ne me chamaillerai avec personne.» Il a dit: «Je ne ferai pas cela, mais je sais une chose: je sais ce que la Parole de Dieu enseigne.» Il a dit: «Or, je pense que vous devez dire quelque chose à ce sujet.»J’ai dit: «Très bien. Allez donc le faire, mais promettez-moi que vous n’allez pas vous chamailler.» Il a dit: «Je le promets.»

13        Eh bien, comme un petit enfant qui attend la Noël avec impatience, il est descendu. Les reporters attendaient. On ne leur permettait pas de monter là dans la chambre, et je–et alors j’ai dit: «Je ne voudrais pas me chamailler avec lui.» Alors, frère Bosworth est descendu, et puis, bien sûr, vous savez comment les journaux peuvent écrire des articles. Il y avait un grand titre: «Ça va barder chez les ecclésiastiques», et ils ont vraiment embelli cela d’une très bonne manière. Alors, ils... le jour suivant... Mais voici ce qui m’a fait savoir qu’un jour la grande Eglise de Dieu se rassemblera aussi sûr que le monde existe. Vous allez oublier vos dif-... vos différends. Lorsque le communisme va commencer à vous soumettre à une rude contrainte, ne vous en faites pas, vous allez vous rassembler. Dieu a un moyen de faire les choses. Voyez? Et alors, lorsque la grande pression viendra, il y aura un... étrange. Ce stade ne pouvait plus nous contenir, nous avons dû... Nous ne pouvions plus rester à cet endroit où nous étions. Nous avons dû aller louer le grand stade Sam Houston, qui a environ trente mille places.

14        Et ce jour-là, les gens sont venus par avions exprès, par trains exprès, si bien que cet endroit était complètement bondé. Les gens ne se souciaient pas de savoir s’ils étaient des méthodistes, des baptistes, s’ils étaient pentecôtistes, unitaires, binitaires, trinitaires, ou de l’Eglise de Dieu, ou s’ils venaient sur un chameau à une bosse, sur un chameau à deux bosses, ou quoi que c’était. Ils avaient une chose en commun, c’était que la guérison divine était en jeu, et tout celui qui y croyait était venu pour prendre part à cela. C’est ce qu’il faut.

            Attendons que le christianisme arrive à ce point, et vous verrez alors tous les méthodistes, les baptistes, et tous les autres se ressembler pendant qu’ils se rassemblent tous, se pressant pour entrer dans le Royaume de Dieu.

15        Et je–je... Cela a réglé le problème pour moi ce jour-là, lorsque j’ai regardé là et qu’il y avait des milliers de gens de toutes sortes qui étaient assis là, venant de toutes sortes d’églises, de l’Eglise catholique et tout, tous s’étaient rassemblés.

            Et alors, j’ai dit à frère Bosworth: «Je ne viendrai pas ce soir-là.» J’ai dit: «Non, je ne veux pas entendre cela.» Et je... Et mon frère était avec moi, ainsi que ma femme, et ma petite fille.

            Il a dit: «Eh bien, restez simplement à l’hôtel.» Je logeais à ce moment-là à l’Hôtel Rice. Alors, je suis allé au... lorsque vint le moment de partir, je n’ai pas du tout pu manquer. Alors, je–j’ai pris un taxi, et deux policiers sont venus et ils m’ont amené là. J’ai relevé mon pardessus comme ceci, et nous sommes montés là au balcon à la loge 30. Et j’ai pris une place là, bien avant que toute la foule ne s’entasse.

16        Et j’étais assis avec mon manteau relevé, ma femme et mon fils étaient assis là. Eh bien, lorsque cet homme est monté pour la discussion, les modérateurs et ainsi de suite sont montés à l’estrade. C’était monsieur Cy Ramsar, qui était le conducteur de chant de l’Eglise de Paul Rader, qui conduisait les chants pour nous. Et il chantait. C’était vraiment un diplomate qui était sur l’estrade, c’est lui qui conduisait les chants, et juste avant de remettre le service au modérateur, il a dit: «J’ai lu dans le journal l’autre jour là où quelqu’un disait que William Branham devrait être chassé de la ville parce qu’il était un imposteur religieux.» Il a ajouté: «Si vous les gens de Houston, vous passiez plus de temps à chasser les contrebandiers d’alcool de cette ville plutôt qu’un religieux comme cela, a-t-il dit, votre ville s’en tirerait mieux.» Et une grande clameur est montée de partout.

17        Je me suis dit: «Eh bien...» Et j’ai regardé Bosworth... Je ne dis pas ceci parce qu’il est assis derrière moi, et je crois que sa femme, et son fils, et sa belle-fille et les autres, ils sont assis quelque part ici ce soir. Je ne dis pas ceci... Mais je l’ai admiré. Alors, il s’est avancé, et monsieur Best, lorsqu’il est venu, il était allé faire louer les services des photographes pour qu’ils viennent le photographier. Et il voulait qu’on le photographie. Il a dit: «Je vais écorcher ce vieillard, lui enlever la peau, et accrocher celle-ci sur la porte de mon bureau comme un mémorial de la guérison divine.» Quelle déclaration pour un enfant de Dieu, vous savez, mais, alors les gens... C’est ce qu’il a dit. Et alors, il voulait qu’on le photographie. Alors, ils ont loué les services du Studio Douglas à Houston, au Texas, pour qu’il vienne le photographier. Et ainsi monsieur Bosworth qui n’avait jamais participé à un débat auparavant, et alors, il voulait que monsieur Bosworth... Monsieur Bosworth pensait qu’ils allaient simplement se tenir là et donner des passages des Ecritures et en discuter. Ainsi, monsieur Bosworth avait un grand nombre de passages des Ecritures qu’il avait notés. Il a dit: «Monsieur Best, si...»

18        Et monsieur Best a dit: «Non, vous, montez et dites ce que vous alliez dire en trente minutes. Ensuite moi, je dirai ce que je dois dire en trente minutes.» Ainsi, eh bien, ils se sont mis d’accord sur ce point, ensuite il y a eu un...?... en dernier lieu. Bien, j’étais assis là en train d’écouter, me demandant ce qui allait se passer. Eh bien, lorsque j’ai vu mon frère Bosworth s’avancer là calmement, il savait simplement où il se tenait, sans aucun doute dans son esprit, il a dit: «Docteur Best, a-t-il dit, nous regrettons de devoir tenir une telle discussion.» Mais il a dit: «Vous avez fait une déclaration dans le journal disant que frère Branham était un imposteur religieux et que la guérison divine n’existait pas.» Il a dit: «Eh bien, le sujet de notre discussion ce soir, ce n’est pas frère Branham; la question est de savoir si la guérison divine est dans la Bible ou pas. C’est ce que vous–c’est ça le sujet du débat. C’est à cela que nous avons souscrit: la question est de savoir si les Ecritures enseignent la guérison divine.»

19        Il a dit: «Les dons de Dieu se confirmeront eux-mêmes, mais voici ce que nous enseignons, pour savoir si la guérison divine est dans la Bible ou pas.» Il a dit: «J’ai (j’oublie combien de passages des Ecritures il avait là, cent ou deux cents)» Il a dit: «Christ est présent, Son attitude, Son attitude présente envers les malades est autant la même aujourd’hui qu’elle a toujours été.» Il avait tellement de passages des Ecritures... Il a dit: «Si vous prenez une de ces Ecritures, et en prouvez la fausseté avec les Ecritures, alors nous n’aurons plus aucune discussion. J’ai perdu le débat et j’irai m’asseoir, si vous pouvez prendre les Ecritures et prouver que l’attitude présente de Christ n’est pas exactement la même envers les malades maintenant qu’elle a toujours été.»

            Et il lui a offert une feuille de papier.

20        Monsieur Best a dit: «Je m’en occuperai lorsque je monterai là.» Il a dit: «Allez de l’avant avec ce que vous allez dire.» Il a dit: «Je vais m’en occuper.»

            Et monsieur Bosworth a dit: «Alors monsieur Best, j’aimerais vous poser une question, et si vous me répondrez par oui ou non, je vais m’asseoir.» Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?» Je n’y avais jamais pensé moi-même. C’était réglé. C’est tout.

            Il a dit: «Je vais y répondre.»

            Il a dit: «Je vous demande de me répondre maintenant.» Il a dit: «Nous n’avons pas à en discuter, si vous dites oui ou non.» Evidemment, il ne pouvait pas y répondre. Certainement pas. Si le–si les Noms rédempteurs de Jéhovah ne s’appliquaient pas à Jésus, Il n’était pas le Christ ou le Fils de Dieu. Il n’était pas Jéhovah-Jiré, le Sacrifice auquel le Seigneur a pourvu, et s’Il était le Sacrifice auquel le Seigneur a pourvu, Jéhovah-Jiré, Il était aussi Jéhovah-Rapha, le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’était réglé. Voyez?

21        Alors, monsieur Best s’est levé, il s’est retourné et il a secoué son poing à deux ou trois reprises puis il s’est rassis. Et ainsi, monsieur Bosworth était là debout, et il a simplement donné les Ecritures. Et je n’avais jamais de ma vie entendu cela ainsi, il était tout aussi calme, et il a mis chaque chose à sa place à telle enseigne que monsieur Best n’avait pas du tout d’endroit où aller dans les Ecritures. Il était si parfaitement lié qu’il n’y avait aucune issue pour s’en sortir. Il était simplement lié.

            Monsieur Best s’est levé lorsque son tour est venu, et monsieur Bosworth était très très courtois, il a dit: «Monsieur Best, très bien, mon frère, a-t-il dit, l’estrade est à vous maintenant.» Le modérateur lui a donné l’estrade.

22        Monsieur Best est monté là et il a ri à deux ou trois reprises, puis il a prêché un très bon sermon campbellite. Moi, je suis un baptiste. Je connais la doctrine baptiste. Alors, il a prêché un sermon campbellite sur la résurrection. Il ne croyait même pas aux miracles que Jésus avait faits. Lazare était mort de nouveau. Il a prêché renvoyant le tout à la résurrection lorsque ce corps mortel revêtira l’immortalité. Bien sûr, tout chrétien croit cela, qu’il y aura une résurrection, mais s’il n’y a pas d’attributs de la résurrection, s’il n’y a pas de gage de la résurrection, alors il n’y a pas de résurrection.

            Si la guérison divine n’existe pas, alors la résurrection n’existe pas. Or, vous ne pourriez prouver la fausseté de cela si vous le pouviez avec les Ecritures. Voyez-vous? Je discute sur les sujets relatifs à Christ. Voyez-vous? En effet, nous avons le gage de notre salut, lequel est le baptême du Saint-Esprit. Est-ce juste? C’est l’acompte, le gage qui assure cela au Ciel pour nous. Et alors, s’il n’y a pas de guérison divine pour rétablir un corps atteint par le cancer et le guérir, il n’y a pas de résurrection des morts (C’est juste.); nous n’avons pas de gage du tout pour cela; il n’y a aucun plan qui a été fait pour cela. Alors, c’était réglé. Monsieur Best s’est mis à jacasser, et en fait, l’assistance s’est mise à se moquer de lui. Et alors, il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin s’avancer et accomplir un miracle!» Il était très fâché, et il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin s’avancer et accomplir un miracle!»

23        Monsieur Bosworth a dit: «Quelle idée! Monsieur Best, vous traitez frère Branham de guérisseur divin.» Eh bien, il a dit: «Jamais de toute sa vie il n’a prétendu être un guérisseur divin, c’est vraiment le contraire. Il prêche seulement qu’on a la guérison divine par l’expiation, c’est très exactement ce que je vous ai démontré. Et vous n’avez même pas mentionné un seul passage des Ecritures que j’ai cité ni abordé du tout cela. Vous n’avez rien fait à part prêcher sur la résurrection des morts, et nous croyons tous cela.» Alors, la chose était là. L’assistance devait faire son choix.

            Il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin.»

            Il a dit: «On ne devait pas faire intervenir frère Branham dans ceci. Le sujet, c’est de savoir si la guérison divine est enseignée dans la Bible, et vous n’êtes pas en mesure de dire un seul mot contre cela. Voyez? En effet, si vous êtes en mesure, dites-le maintenant.» Il n’y avait donc rien à dire, parce qu’il n’y avait aucun moyen par lequel il puisse le faire, parce que c’était entièrement couvert par l’expiation et tout. Alors, la chose était là. Il n’y avait rien à dire.

            Il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin!»

24        Et monsieur Bosworth lui a dit, il a dit: «Frère Best, croyez-vous que Dieu sauve les âmes?

            Il a dit: «Oui.»

            «Enseignez-vous que c’est par l’expiation?»

            Il a dit: «Oui.»

            Il a dit: «Aimeriez-vous qu’on vous appelle un guérisseur divin?» Il a dit: «Si frère Branham, en prêchant la guérison divine, est un guérisseur divin, alors si vous prêchez le salut, vous êtes un sauveur divin.» Voyez-vous?

            Alors... Oh! il était vraiment en colère alors, et ainsi il a commencé à fulminer et il a dit: «Il n’y a rien au monde de décent–dans un décent... Les gens qui réfléchissent ne croient pas à de telles absurdités.» Il a dit: «Les baptistes ne croient pas à de telles histoires.»

            Il a dit: «Holà! je vous demande pardon, a dit frère Bosworth, frère Branham a été bercé dans un berceau baptiste.» Voyez-vous? Il a dit: «C’est juste.»

            «Oh! a-t-il dit, c’est un rétrograde.» Voyez-vous, un rétrograde... Il a dit: «Il n’existe...» Il a dit: «Un véritable baptiste sincère ne croit pas dans une telle histoire.»

25        Frère Bosworth a dit: «Voulez-vous m’excuser juste un moment?» Il a dit: «Combien parmi ceux qui sont assis dans cette grande assistance sont membres de ces bonnes Eglises baptistes avec tous ces ministres baptistes qui sont assis le long ici.» Il a dit: «Combien parmi vous qui sont dans cette assistance peuvent prouver avec une attestation médicale que vous avez été guéris par la guérison divine, par la puissance de Dieu, au cours des réunions que frère Branham a tenues ces dernières semaines.» Et trois cents personnes se sont levées. Oui, oui. Il a dit: «Que dites-vous de ceci?»

            Monsieur Best a tapé du poing sur la chaire et il a dit: «Les gens peuvent dire n’importe quoi, ce n’est pourtant pas pour autant que la chose soit juste.»

            Mais il a dit: «Voici ce que la Parole enseigne, et en voilà le témoignage. Maintenant, qu’en dites-vous?»

            Et il a dit, il a dit: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin!»

            Et alors monsieur Richey s’est levé. Il a dit: «Juste...» Il a demandé au modérateur s’il pouvait parler juste un moment. Il a dit: «Je connais chacun de ces ministres baptistes.» Il a dit: «Est-ce là la position de la Convention Baptiste du Sud sur la guérison divine?» Trente mille personnes... «Est-ce là la position que la Convention Baptiste du Sud a sur la guérison divine?»

26        Personne n’a répondu. Il a dit: «Je vous pose la question, frères. Avez-vous tous envoyé cet homme ici, ou est-il venu de son propre chef?»

            Les gens ont répondu: «Il est venu de son propre chef.»

            Il a dit: «C’est bien ce que je pensais. Les baptistes croient dans la guérison divine. Certainement.» Et alors je–et alors il a dit: «Il est venu de son propre chef.» Alors, cela réglait la question pour les baptistes, l’Eglise baptiste du Sud. C’était une initiative personnelle de monsieur Best.

            Et ainsi, il ne cessait donc de dire: «Que je voie ce faiseur de miracles. Laissez-moi le voir venir ici...Que je le voie hypnotiser une de ces personnes, que je la voie dans un an et on verra si elle sera toujours hypnotisée», et tout comme cela, vous savez, il jacassait tout simplement. Alors, il a dit: «Approchez. J’aimerais que vous me photographiiez.» Et il s’est tenu là. Oh! alors, il a pointé son doigt sous le visage de ce saint vieil homme. Il a dit: «Maintenant, photographiez cela», avec son doigt qu’il agitait. Ils ont pris la photo, et il a brandi son poing et l’a agité sous son nez, vous savez. Il a dit: «Bon, bon, photographiez cela.» Et ils ont pris sa photo comme cela. Ainsi, ils ont pris de cette manière six photos de lui sur papier glacé de 6 pouces sur 9 [15 cm sur 22]. Ils sont retournés. Les reporters des magazines Look, Life, Time, Collier, et tous les autres, Chronicle, et tous les autres magazines et des journaux étaient là.

27        Et alors, frère Bosworth a dit: «Bien, en ce qui me concerne, eh bien, la réunion est–est finie.» Il a dit: «Monsieur Best n’est pas en mesure de répondre à une seule question pour démontrer la fausseté de la guérison divine, à part son misérable abandon.» Il a dit: «Combien le pensent ainsi? Dites: ‘Amen.’» Et un grand cri est monté de toute la salle.

            Et alors, il s’est mis dans une très grande colère, il s’est avancé, et a giflé le ministre, et c’était presque au milieu de l’estrade. Et ensuite, on a dû les séparer. Ensuite, il a reculé. Il a dit: «Amenez-moi ce guérisseur divin!»

            Frère Bosworth a dit: «Eh bien, Frère Branham est assis dans cette réunion. Je sais qu’il est ici.» Parce qu’il m’avait vu là-haut. Il a dit: «Maintenant, s’il veut venir congédier l’assistance, c’est très bien, mais, a-t-il dit, mais dans une atmosphère comme celle-ci, bien sûr, non, il ne pourrait pas prier pour les malades.» Il a dit: «Si vous voulez voir la guérison venir, venez demain soir. Des gens vont venir.» Il a dit: «Je sais qu’il est dans la réunion.»

            Je restais tranquille. Mon frère était assis là, il a dit: «Eh bien, ne bouge pas. Tu as dit que tu ne bougerais pas.»

            Je lui ai dit: «Je ne bouge pas.»

28        Alors, il–il a dit: «Et tu...» Et pendant que j’étais assis là comme cela, j’ai entendu Quelque Chose faire: «Whoo.» J’ai compris qu’Il était là. Je me suis levé. Mon frère a dit: «Assieds-toi.»

            Ma femme a dit: «Non...» J’ai regardé (Voyez?), et Il était là. Juste à ce moment-là tout le monde regardait tout autour. Les gens ne... Personne ne savait que j’étais là-haut. Et juste là, et là, il y avait des milliers d’amis, là. Et j’ai regardé derrière moi, les gens regardaient, ils ont poussé comme un grand cri. Ces braves bien-aimés, ces aimables personnes, avaient vu tant de choses s’accomplir cette semaine-là. Finalement, plusieurs huissiers, il y en avait des centaines, se sont tenus par la main, ils ont formé un couloir; les gens cherchaient à toucher mes vêtements pour être guéris. Frère, ce n’est pas facile. Je suis un homme. J’ai des enfants chez moi, et des mères essayaient de pousser leurs petits enfants dans les bras de ces huissiers pour toucher mes vêtements pendant que je passais. Dieu récompensera une telle foi. Il le fera, certainement.

            Et je suis descendu jusqu’à l’estrade. J’ai dit: «Frère Best.»

            Il a dit: «Je vous admire en tant qu’homme. Vous avez tort quant à votre doctrine.»

            J’ai dit: «C’est réciproque.» Et j’ai dit: «Je–je vous admire, Frère Best, et vous avez le droit de–d’avoir vos idées.» J’ai dit: «C’est pour cette raison que vous vous battez ici en Corée, c’est pour que ces jeunes gens gardent cette Amérique: chaque homme a ses propres opinions.»

29        J’ai dit: «Je ne voudrais qu’aucun de ces gens, qu’aucun croyant de frère Best ni personne parmi les baptistes, que personne n’ait du ressentiment à l’égard de frère Best.» J’ai dit: «Ne le faites pas. C’est notre frère, et il ne voit tout simplement pas la chose comme cela. Il–il croit simplement cela à sa manière à lui, et il a le droit de croire cela à sa manière.» J’ai dit: «Souvenez-vous, sa mère l’aime autant que ma mère m’aime, et que votre mère vous aime.» J’ai dit: «C’est le fils de quelqu’un, il a le droit d’avoir sa foi. Alors, ne vous en prenez pas à cela. C’est simplement... Monsieur Bosworth a simplement démontré par la Parole que cette doctrine est saine et qu’elle se trouve dans la Bible, et monsieur Best n’a pas réussi à prouver cela.»

            Et alors, monsieur Best s’est simplement retourné et a quitté l’estrade. Ensuite il s’est retourné, il a regardé et il s’est assis. Et j’ai dit: «Bon, je n’ai jamais dit que j’étais un guérisseur divin.» J’ai dit: «Jamais.» J’ai dit: «Mes livres sont publiés dans près de dix-sept langues différentes.» Et j’ai dit: «Et je pense que je suis en contact avec plusieurs millions de gens, et jamais je n’ai dit que j’étais un guérisseur divin. Je ne guéris pas les gens.»

30        J’ai dit: «La seule chose que je fais, c’est de prêcher la guérison divine par la croix et par la Bible.» Et j’ai dit: «Eh bien, lorsque j’étais petit garçon, ai-je dit, ma mère a dit qu’une Lumière s’était suspendue au dessus de moi lorsque j’étais un bébé. Ma famille avant moi était catholique, ma mère et mon père ne fréquentaient aucune église. Nous étions des Irlandais des deux côtés, nous avons immigré d’Irlande.» Et alors, j’ai dit: «Nous étions là-bas. Ils n’allaient pas à l’église.»

            «Je suis né dans une petite cabane des montagnes.» J’ai dit: «Quand je n’étais qu’un tout petit garçon, Cela a commencé à traiter avec moi. Toute ma vie durant Cela m’a toujours parlé, et de très nombreuses fois des milliers de gens ont vu Cela. Cela vient comme une Lumière.» Et j’ai dit: «Ça me révèle des choses. Et lorsqu’Il m’a rencontré, Il m’a dit que c’est l’Esprit du Seigneur Jésus-Christ qui accomplit exactement les mêmes choses que frère Bosworth et les autres ont dites ce soir. Jésus ne prétendait pas guérir. Il disait: ‘Je ne fais rien de Moi-même, si ce n’est ce que le Père Me montre. Je ne peux rien guérir mais seulement–Je ne fais que ce que le Père Me montre par une vision; c’est ce que je fais.’» Et vous savez que c’est la vérité, n’est-ce pas? Tout lecteur de la Bible, tout érudit sait que c’est la vérité.

31        J’ai dit: «Il marchait au milieu de la foule. Il connaissait les pensées des gens. Il savait ce qu’ils pensaient. Il savait les problèmes qu’ils avaient. Il connaissait la femme au puits, Il lui a parlé un petit peu, Il lui a dit où se trouvait son problème. Il savait ce qu’était le problème de Nathanaël. Et–et Il savait où se trouvait le poisson qui avait une pièce de monnaie dans la bouche. Il ne faisait que ce que Dieu lui montrait.» J’ai dit: «Il ne prétendait pas être un guérisseur.»

            «Dans Sa résurrection, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et j’ai dit: «Maintenant, si je témoigne de la vérité, Dieu témoignera de moi. Si je ne témoigne pas de la vérité, Dieu n’aura rien à faire avec un mensonge. Dieu témoignera toujours de la vérité malgré tout.»

            Et j’ai dit: «Je ne suis pas ici juste pour être vu. Je suis ici, pas par mon propre choix, loin de là; je voulais être un... Eh bien, j’étais un garde-chasse dans l’Etat de l’Indiana, et j’aimais mon boulot. Je suis né pour vivre dans le désert et dans la nature. Certainement que je... Ce n’était pas mon choix de prêcher l’Evangile; mais malheur à moi si je ne le prêche pas. C’était le choix de Dieu. J’ai fui cela et j’ai essayé de m’en éloigner et tout.» J’ai dit: «C’est Lui qui a apporté cela.» Et alors, j’ai dit: «Si je dis la vérité, Dieu témoignera de la vérité.»

32        Et j’avais à peine dit cela que Quelque Chose a fait: «Fiou!» Le voilà, venir qui descend droit là où je me trouvais. Et ce photographe a accouru et a pris une photo, lorsqu’il a vu mon visage devenir pâle. Et il a pris une photo. J’ai dit: «Dieu a parlé.»

            Et c’étaient tous des catholiques et tout le reste qui étaient assis là qui ont vu Cela, ils ont observe Cela. Et beaucoup d’entre eux se sont mis à crier et à s’évanouir. La Colonne de Feu est carrément descendue, Elle est venue droit là où je me trouvais. Il a pris la photo.

            Et cet homme... L’un des hommes du Studio était un Juif. Il s’appelait Ted Kipperman. L’autre s’appelait monsieur Ayers. C’est un catholique romain. Et, oh! il avait simplement écrit un article horrible dans le journal sur moi l’autre jour–le jour précédent. Il disait que j’étais un hypnotiseur, et j’ignore tout ce qu’il avait écrit.

            Et ainsi, en rentrant chez eux ce soir-là, ils ont pris les–les négatifs, ils rentraient pour les développer pour monsieur Best. Il a dit: «Je me suis peut-être trompé.» Il a dit: «Qu’en penses-tu, Ted?»

            Ted a dit: «Eh bien, je suis un Juif. Je ne sais rien à ce sujet.»

33        Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je suis catholique», et il a dit: «On nous a appris que ces choses peuvent se produire, mais elles ne peuvent se produire que dans une Eglise catholique.» Eh bien, là vous vous trompez. Voyez? Cela peut se produire là où Dieu veut que ça se produise, que ce soit dans l’Eglise catholique ou–ou partout où Il veut que cela se produise. Il est Dieu. C’est Lui qui fait le choix. C’est Lui qui tient le Livre. Alors il est rentré, et il a mis les–les photos dans la chambre noire pour les plonger dans l’acide afin de les développer, et la... suivante... Après un instant, eh bien, monsieur Kipperman, a dit: «Je monte me coucher–coucher un peu.» Alors, il est monté se coucher. Et pendant qu’il était là-haut, monsieur Ayers a fumé une ou deux cigarettes, il est entré dans la chambre noire et s’est dit: «Je vais voir. Nous devons apprêter la photo parce que monsieur–monsieur Best–docteur Best, le ministre, voulait ses photos pour demain afin qu’il puisse les montrer aux gens.» Et il avait secoué son poing sous le nez de cet homme.

34        Ainsi donc, lorsqu’il... Ensuite, lorsque monsieur Ayers est entré, lequel était mon ennemi juré et celui de frère Bosworth également. Il ne croyait pas cela. Il avait écrit un article dans le journal et avait dit que je n’étais rien qu’un hypnotiseur. Un goitre avait disparu de la gorge d’une femme. Il avait dit: «Il a ôté cela de sa gorge en l’hypnotisant.» Oh! la la! cela dénote une défaillance mentale.

            Ainsi donc, lorsqu’il a retiré la première photo de monsieur Best et monsieur Bosworth, c’était négatif. Dieu ne permettrait pas qu’elle soit prise contre ce saint vieil homme. Il a retiré la suivante: négatif. Il a retiré toutes les six, et elles étaient toutes vierges. Et lorsqu’il a retiré l’autre, l’Ange de Dieu était là sur la photo. Il a fait une crise cardiaque.

            On m’a envoyé chercher à l’hôtel Rice. Bien sûr, il y a deux hommes qui se tiennent à la porte lors de grandes réunions où on a des milliers et des milliers de gens. Il y a quelqu’un qui se tient à la porte. Ils n’ont pas voulu les laisser entrer. Très bien.

35        Et ensuite, ce soir-là à vingt-trois heures, on a envoyé cela à Washington DC, pour que cela soit protégé par un droit d’auteur. Le jour suivant, cela fut ramené par avion. Et on a appelé George J. Lacy. C’est le chef du département de FBI pour les empreintes digitales et les documents, c’est le meilleur spécialiste du monde, le meilleur des Etats-Unis. Ainsi, étant Américains, nous disons qu’il est le meilleur du monde pour nous.

            Et ainsi, c’est le chef du FBI. Et on l’a amené, et il a amené cela à l’immeuble Shell pour l’examiner à l’ultra violet et ainsi de suite, et tout ce qu’il a essayé. Il est sorti, il a mesuré la distance, il a pris l’appareil photo pour voir si c’était une double exposition, et il–il a fait tout ce qu’il pouvait afin de découvrir. Et sur le... au quatrième jour, il a dit qu’ils allaient se réunir à l’immeuble Shell et déclarer de quoi il s’agissait. Alors, ce jour-là il a demandé: «Qui s’appelle Branham?»

36        J’ai dit: «C’est moi.» Un groupe de gens étaient là, beaucoup de journalistes et tout qui voulaient voir son compte rendu.

            Il a dit: «Levez-vous.» Je me suis levé. Il a dit: «Vous quitterez un jour cette vie comme tout mortel, Révérend Branham.»

            J’ai dit: «Je le sais, mais grâces soient rendues à Dieu.» J’ai dit: «Jésus-Christ m’a sauvé du péché.»

            Il a dit: «J’ai été un de ceux qui vous critiquaient.» Voyez? Et alors, cet homme lorsqu’il a apporté cela là, il a dit: «Révérend Branham, on a toujours dit que c’était de la psychologie.» Il a dit: «J’ai entendu parler de vos réunions et je disais que c’était de la psychologie, qu’il n’y a rien de vrai là-dedans. C’était de l’imagination. Lorsque cette Lumière venait, tout le monde disait: ‘La voici. La voici.’ Et les gens disaient: ‘Eh bien, c’est...’ Tout le monde s’imaginait simplement cela.»

            Cela a été photographié une fois auparavant par un journal, mais ce n’était–ce n’était pas réel. Les gens n’ont pas voulu publier cela parce que ce n’était pas l’Association des Photographes d’Amérique. Ce journal n’était pas membre de ladite association, alors, ils ont refusé de distribuer cela, mais ceci c’était strictement l’Association des Photographes d’Amérique.

37        Et il a dit: «Révérend Branham, j’avais dit que c’était de la psychologie, mais l’oeil mécanique de cet appareil photo ne peut pas prendre de la psychologie.» Il a dit: «La Lumière a frappé l’objectif.» Tout le monde s’est mis à pleurer.

            Alors, ils m’ont demandé de m’avancer pour me présenter la photo, et j’ai dit: «Eh bien, cela ne m’appartient pas. Elle leur appartient.»

            Il a dit: «Savez-vous que ceci vaut cent mille doll-...»

            J’ai dit: «Frère, voulez-vous me dire que c’est tout ce que vous parvenez à dire? C’est la première fois dans toute l’histoire du monde qu’un Etre surnaturel ait jamais été photographié.» Et voici ce qu’il a dit. Il a dit: «Le vieil hypocrite... (Il voulait dire l’incrédule)... le vieil... (l’incrédule), a toujours dit qu’il n’y avait aucun moyen scientifique pour prouver l’existence d’un Etre surnaturel.» Il a dit: «Maintenant, ils ne peuvent plus dire cela. Voici absolument une preuve scientifique qui montre qu’il existe un Etre surnaturel.» Voyez-vous? Et c’était scientifiquement prouvé par cet appareil photo mécanique qui a pris la–la lumière de cet Ange qui se tenait là. Et il a dit: «C’est absolument la vérité.»

38        Et j’ai dit: «Eh bien, si Jésus-Christ a eu assez d’égard pour moi afin de descendre et de se faire photographier à mes côtés pour la première fois dans toute l’histoire du monde, pensez-vous que je sois assez mesquin pour commercialiser cette photo?»

            Et il a dit: «Non, je ne pense pas.»

            J’ai dit: «Je vais rendre cela aux Studios Douglas.»

            Il a dit: «Il devrait y avoir une sorte d’arrangement.»

            J’ai dit: «Bien sûr. Eux ils peuvent vendre cela.» Et j’ai dit: «Ils peuvent vendre cela, aussi longtemps qu’ils peuvent garder cela à un prix assez bas pour que les pauvres puissent se la procurer.»

            Il a dit: «Un jour, Révérend Branham, vous serez mort et vous ne serez plus là», mais il a dit: «On la vendra dans les bazars.»

            Et je–j’ai dit: «Eh bien, pour la gloire de Dieu ça serait bien.»

39        Ainsi donc, ce soir la photo est ici, George J. Lacy est vivant aujourd’hui. Il travaille toujours dans ce domaine, et cette photo vit toujours et si–si je mourais ce soir, j’ai témoigné de ceci, le monde scientifique ne peut pas dire qu’il n’en est pas ainsi, parce qu’il y a des machines scientifiques et des preuves que j’ai dit la vérité. Et l’église, qui compte des millions de gens à qui on a prêché, a vu Cela et a observé cela, et vous le savez vous-mêmes que j’ai dit la vérité. Et Dieu a témoigné que c’est la vérité. C’est juste. Donc, ce témoignage est absolument vrai.

            Maintenant écoutez, amis chrétiens. Vous attendez quelque chose là-bas loin dans le futur. Vous attendez quelque chose qui est en arrière de ce côté. Ne faites pas cela. C’est juste ici maintenant, juste ici maintenant. Tout ce que vous verrez c’est... Seulement, vous allez peut-être voir cela en plus grande quantité, mais le Saint-Esprit est ici maintenant, Lequel est le Seigneur Jésus-Christ dans Sa résurrection.

40        Comme c’est merveilleux! Je me souviens d’une autre chose qui est arrivée là lorsque frère Bosworth est entré en chambre le jour suivant. Il avait la photo de Florence Nightingale. Combien ont déjà entendu parler de Florence Nightingale? Certainement, c’est elle qui a fondé la Croix-Rouge.

            La petite fille de Florence Nightingale de Londres, en Angleterre. Elle est une citoyenne de la Couronne britannique et elle se trouvait à Durban, en Afrique du Sud, elle se mourait de quelque chose dont elle ne savait rien, du cancer sur le–le cancer duodénal dans ses intestins. On m’a montré sa photo, et frère Bosworth et moi, et ma femme, nous avons tous pleuré lorsque nous avons vu cela. Elle était pratiquement la femme la plus maigre que j’avais jamais vue de ma vie. Elle était complètement rongée, ses membres, ici autour de la–la cuisse, n’étaient pas plus gros que ça et sa...

41        Eh bien, Georgie Carter de Milltown, dans l’Indiana, qui était restée couchée sur le dos pendant neuf ans et huit mois, fut guérie de la tuberculose par une vision. Je ne savais même pas où se trouvait l’endroit et je me suis rendu là, et elle était là tel qu’Il l’avait dit. Elle est ma pianiste dans l’Eglise baptiste de Middletown où je suis toujours le pasteur, j’ai un associé ce soir. Elle joue du piano là et elle était restée couchée sur son lit pendant neuf ans et huit mois, et elle n’avait jamais quitté le lit. Et elle pesait seulement trente-cinq livres [environ 15,8 kg] approximativement. Mais la tuberculose l’avait complètement rongée. Mais maintenant...

            Eh bien, ce n’est pas ma déclaration. Ce sont les déclarations des médecins, et toutes ces choses sont absolument les déclarations des médecins. Si elles ne peuvent pas être appuyées par un médecin, elles doivent être prouvées, non pas par des ministres, non pas par... Elles doivent être prouvées par des médecins avant que nous puissions les écrire, car elles doivent l’être ainsi. Et alors, elle–elle fut guérie.

42        Et Florence Nightingale, une femme très charmante, ils voulaient envoyer un... Ils avaient envoyé deux tickets d’avion, qui étaient déjà arrivés pour que j’aille à Durban, en Afrique. Je les ai mis sur le plancher, et frère Bosworth et moi nous avons prié. J’ai dit: «Seigneur, si Tu guéris cette femme, j’irai en Afrique. Je ne peux pas aller maintenant. Regarde ceci.» Alors, j’ai juste confié cela au Seigneur. Je lui ai envoyé un mouchoir et nous avons continué.

            Peu de temps après que le roi Georges d’Angleterre... lorsqu’un homme du nom de–j’oublie son nom, à Fort Wayne... Vous souvenez-vous de la réunion qui s’était tenue au Gospel Tabernacle de Fort Wayne. Le Seigneur avait... C’était un homme d’affaires de la ville. Il avait une sclérose en plaques et c’était un malade qui était cloué au lit depuis dix ans. Et une vision est apparue au-dessus de cet homme, et il fut parfaitement guéri. Il a marché... Il s’appelait Lehman. Il a marché...

43        Et il était un ami du secrétaire particulier du roi, et c’est par ce canal que le roi Georges d’Angleterre m’a envoyé une lettre. J’ai ses déclarations et les lettres de son cabinet et tout... pour que j’aille prier pour lui à cause de cette sclérose en plaques. Et comme je ne pouvais pas aller à ce moment-là, j’ai alors simplement répondu par télégraphe et j’ai dit au roi que j’allais prier pour lui ici, que Dieu exaucerait ici de même qu’Il le ferait là-bas, et ainsi, ensuite un autre télégramme est venu, me demandant d’aller là-bas immédiatement.

            Plus tard, lorsque je me suis rendu en Angleterre, là-bas, pour le voir, le Seigneur l’a guéri. Il était–ne pouvait même pas rester debout plus de cinq minutes, et il... Je crois que le jour suivant, il a joué dix-huit trous de golf, et il n’a plus été dérangé par cela jusqu’au jour même où il est mort. Et je me trouvais en Afrique lorsqu’il est mort. On avait trouvé une petite tumeur ici à son poumon. Ils avaient commencé à ouvrir cela et l’air y a pénétré d’une certaine manière, je ne sais pas, et cela a fait qu’un caillot de sang aille jusque dans son cerveau et cela l’a tué immédiatement. C’était un homme très bien...

44        Mais lorsque nous avons atterri en–en Angleterre, à l’aéroport international, il y avait des milliers de gens, bien sûr, qui s’étaient entassés. Et on ne cessait de nous appeler là. Et frère Baxter, un des managers, est allé voir ce qui–ce qu’ils voulaient. Et c’était un homme qui a dit: «L’avion... Florence Nightingale est couchée dans un avion, mourante.»Comment a-t-elle su que j’étais là, je ne sais pas, mais elle venait de l’Afrique, elle avait pris un avion là et elle était étendue mourante dans l’avion suivant. Et ainsi, ce–ce ministre a dit: «Pouvez-vous...» Il voulait savoir si je pouvais aller la voir. Oh! il y avait tout simplement du monde à craquer. Certainement, je... Eh bien, je n’aurais pas pu passer là si je devais le faire. Et j’ai dit: «Non, je ne saurais pas aller maintenant même.» J’ai dit: «Amenez-la chez vous, et je vais à l’Hôtel Piccadilly, et ensuite au Palais de Buckingham, à l’Abbaye de Westminster. Ensuite, je retournerais directement à l’hôtel Piccadilly, et vous, amenez-là à votre presbytère.» C’était un ministre anglican. J’ai dit: «Alors, j’irai là-bas et je prierai pour elle.»Il a dit: «Frère Branham, elle va mourir.» J’ai dit: «Eh bien, je ne peux pas aller vers elle là, monsieur. Vous savez ce qui arrivera si je franchissais cette limite ici–ce qui arrivera.» Il a dit: «Eh bien, très bien. Je vais essayer.» Alors il a dit: «Ils pensent qu’elle va mourir. Ils ne voient plus aucun signe de vie chez elle maintenant.»

45        Et alors, j’ai dit: «Eh bien, amenez-la donc, et nous–nous verrons, car je ne peux pas aller là.» Eh bien, je suis–je suis descendu. Le roi n’était pas là à ce moment-là. Je suis retourné à l’Abbaye de Westminster, et il y avait un grand groupe de ministres, vous savez, et toute cette soirée-là, ils ne m’ont pas ramené à l’hôtel jusqu’à environ, oh! deux heures du matin. Et vers... Ensuite, le matin suivant, de bonne heure... Y a-t-il quelqu’un qui a déjà été en Angleterre? C’était vers le mois d’avril. C’est tellement brumeux. Oh! la la! vous pouvez à peine voir votre main devant vous. Et une toute petite voiture est arrivée, et ils sont venus me prendre, nous sommes allés au... ministre–au presbytère. Et lorsque je suis monté à l’étage, certains des managers, monsieur Gordon Lindsay, vous connaissez le rédacteur de La Voix de la guérison, monsieur Baxter et, oh! plusieurs managers, nous sommes montés jusque dans la chambre. Et lorsque j’y suis entré, son médecin était assis là, il y avait deux infirmières et deux ou trois ministres.

46        Nous sommes entrés dans la chambre. Et nous étions très–nous avions reçu un très bel accueil de la part des gens. Et alors, je me suis avancé pour voir madame Nightingale. Eh bien, si elle n’avait pas pris une bouchée de nourriture, c’était depuis, je pense, deux mois ou plus, eh bien, n’est-ce pas, Monsieur Bosworth? Eh bien, elle n’avait pas pris une bouchée depuis ce moment-là, et alors ses membres étaient à peu près comme cela, et ses jambes étaient toutes bleues, comme ils avaient... ses veines étaient aplaties, et c’était affreux à voir.

            Alors, je l’ai regardée et j’ai vu à quel point soin visage était maigre et tout émacié. Et j’ai dit, son médecin se trouvait là, j’ai dit: «Y a-t-il une chance pour elle?»

            Il a dit: «Aucune chance.»

            J’ai dit: «Oh! la la! c’est bien dommage.» Je me suis approché. J’ai dit: «Bonjour, madame Nightingale.»

            Elle ne pouvait pas parler. Elle bougeait ses lèvres, mais elle n’avait pas suffisamment de force pour parler de manière à ce que je puisse l’entendre. L’infirmière s’est penchée, elle a dit: «Elle désire vous serrer la main, Frère Branham», a dit l’infirmière.

            Bien sûr, sa grand-mère était la fondatrice de la Croix-Rouge, vous pouvez vous imaginer ce qu’elle avait comme médecins: les meilleurs qu’on pouvait avoir. Ainsi, lorsqu’on a soulevé la main de cette femme de dessous le drap, c’était tout simplement comme si on saisissait cela. Je n’ai jamais vu... J’ai saisi sa main et c’était juste comme un squelette. Les os collaient déjà à la peau. Il n’y avait pas du tout de chair...?... Et son visage ici était juste comme sa mâchoire, au point que vous pouviez voir ses dents ici, la forme de ses dents à travers sa mâchoire, ses–ses joues ici. Ses dents se dessinaient dans ses joues comme cela, lorsqu’elle se mettait à ouvrir sa bouche. Je n’ai jamais rien vu de pareil en vie. J’ai dit: «Comment vit-elle encore?»

47        Ils ne le savaient pas. Et alors elle pleurait, et l’infirmière s’est de nouveau penchée. Elle a dit: «Ils veulent que vous voyiez son corps. Elle veut que vous voyiez son corps.» Eh bien, j’ai une assistance mixte. Bon, je suis votre frère, mais lorsqu’ils ont retiré le drap qui couvrait son corps, cela–cela briserait le coeur d’un homme de fer.

            L’état de cette dame était tel que sa poitrine, ses seins s’étaient complètement affaissés sur ses côtes. Et ici à la hanche, la chair s’était presque collée à l’os circulaire du bassin. Ses jambes ici, par ici, avaient environ cette grosseur. La partie de son ventre ici était à peu près comme ça. Comment cette femme était en vie, je–je ne saurais vous le dire.

            Elle n’arrivait pas à bouger, elle ne pouvait pas bouger un doigt ni rien. Et elle pleurait, et l’infirmière s’est penchée. Elle a dit: «Révérend Branham, elle désire que vous priiez Dieu, que vous demandiez à Dieu de la laisser mourir. Elle n’arrive pas à mourir.»

            Et j’ai dit: «Oh! la la!» Frère Lindsay s’est détourné, et plusieurs d’entre eux se sont mis à pleurer, ils se sont éloignés. Ils sont allés là où se tenait le médecin.

48        Je me suis tenu là pendant un instant, et l’autre infirmière a dit: «Révérend Branham», elle a dit: «Elle a certainement beaucoup de foi en vous.» Elle a dit: «Elle a lu vos livres, et elle a dit, quand elle était en Afrique, que si jamais elle pouvait arriver là où vous vous trouvez, Dieu la guérirait.» Oh! quelle foi!

            Et j’ai dit: «Pouvons-nous prier?» Nous nous sommes agenouillés. Je ne sais pas comment vous allez croire ceci, mais Dieu connaît la vérité. Nous allons tous nous revoir au Trône du jugement. Et je me suis agenouillé comme ceci, et les ministres et tous les autres se sont agenouillés tout autour, le docteur également et les infirmières. Et il y avait une fenêtre à cette hauteur environ. Et je me suis agenouillé à côté de cette fenêtre, et la fenêtre était ouverte. Et j’ai commencé à prier en disant: «Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre...» Je ne pouvais pas Lui demander de la laisser mourir après qu’elle avait tant de foi. J’ai dit: «Aie pitié d’elle, ô Dieu. Je Te prie d’avoir pitié d’elle.»

49        Et juste quand j’ai commencé à dire: «Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre», là, de ces buissons est venue une petite colombe, et elle est venue se poser sur cette fenêtre, à une distance qui n’était pas très loin de l’endroit où j’étais en train de prier, elle ne cessait de me regarder en faisant: «Coo, coo, coo.» Eh bien, les ministres ont arrêté de prier. Tous les autres, ils se sont mis à écouter la colombe. Eh bien, je pensais que c’était juste un... Je n’avais jamais été en Angleterre auparavant. Je pensais que c’était un animal domestique ou quelque chose comme ça, alors j’ai continué simplement à prier. Et lorsque j’ai dit: «Amen», et que je me suis relevé, le petit oiseau est retourné dans les buissons, étant resté–après être resté là en faisant: «Coo, coo, coo», sans arrêt, marchant en faisant des va-et-vient sur le rebord de la fenêtre. Et je me suis relevé, et je les ai entendus dire: «Avez-vous remarqué cette colombe? Avez-vous remarqué cette colombe?»Et j’allais dire, j’ai dit... J’allais dire: «Oui, j’ai remarqué la colombe. Etait-ce un animal domestique?» Et comme j’allais dire cela, quelque chose m’a saisi et a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra et ne mourra pas.»

50        Elle pèse environ cent cinquante livres [68 kg] maintenant et elle est en parfaite santé, normale et bien portante au possible. Voyez? Qu’était-ce? Ai-je guéri cette femme? Non, non. Je n’avais rien à faire là-dedans. C’est Dieu qui a fait cela.

            Grâce étonnante! Oh! quel doux son,
            Qui sauva un misérable comme moi!
            J’étais autrefois perdu, et maintenant je suis retrouvé,
            J’étais aveugle, mais maintenant je vois.

            ... grâce qui enseigna la crainte à mon coeur,
            C’est cette grâce qui a ôté mes craintes;
            Combien précieuse parut cette grâce, à l’heure où j’ai cru.

51        Je L’aime. Je vous déclare, ma petite assistance ce soir, que Jésus-Christ est ressuscité des morts. Et ce n’est pas comme les gens essaient de le dire, que toute Sa puissance Lui a été retirée, et qu’elle a été simplement donnée aux disciples. Il a dit: «Allez par tout le monde. Je serai avec vous, même en vous, et voici les miracles qui accompagneront jusqu’à la fin du monde ceux qui auront cru», Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est ici. Son amour est dirigé vers vous pour vous sauver. Sa puissance est ici pour vous guérir. La seule chose que vous devez faire, c’est de croire en Lui. Allez-vous faire cela ce soir pendant que je prie pour vous? Que Dieu vous bénisse, pendant que nous inclinons nos têtes.

52        Aimable Père, pendant que je pense ce soir à un monde cruel et indifférent à l’égard de Ton Bien-aimé Fils, pendant que je pense que l’homme a rejeté Son amour juste quand Il l’a fait ce jour-là, et qu’il a désiré un meurtrier à Sa place, combien Ta grâce a pourtant pu s’abaisser et sauver les gens, au-delà de tout ce que nous connaissons?

            Nous sommes tellement heureux que Tu aies fait cela. Nous confessons nos péchés et notre indignité, Seigneur, pour prononcer même Ton Nom, Toi le Merveilleux, le Dieu aimable et saint. Et nous sommes tellement reconnaissants que Jésus soit venu vers nous en cette heure sombre, pour nous, et nous a rachetés pour nous ramener maintenant à Toi. Et maintenant, nous sommes Tes fils et Tes filles.

            Le monde ce soir... Satan a aveuglé les yeux des gens. Ils ne voient pas cela, ils n’y croient pas. Comment peuvent-ils rejeter cela, Père, sachant que Tu as créé même les arbres, les cieux, la terre, le système solaire? Tu as créé tous les cieux et la terre, et Tu les as simplement appelés à l’existence par la Parole. Et puis, de savoir que ce même Dieu nous a aimés suffisamment pour nous accorder la nouvelle naissance afin que nous devenions Ses fils et Ses filles, et Il nous a donné des droits égaux avec Jésus-Christ, comme Ses frères dans la gloire, étant cohéritiers avec Lui dans le Royaume, combien nous Te remercions!

53        Et maintenant, Père, il y a beaucoup de Tes enfants là dehors dans le péché ce soir. Je prie pour chacun d’eux. Ne les laisse pas se perdre, Seigneur. Fais quelque chose. Je pense à notre admirable, belle Amérique ici. Je pense à la Floride, oh! qui est si loin de Dieu. Par ici, dans cette belle contrée où les gens ont leurs pensées tournées vers les biens et les choses de ce monde, et les plaisirs, et sont devenus épris des plaisirs, les courses et l’alcool, les jeux d’argent et les combines, et ce sont Tes pauvres enfants, Père. C’est Satan qui a fait ceci. Ne leur en veux pas pour cela. Je Te prie de ne pas le faire, ô Dieu. Je Te prie de faire quelque chose qui les sauvera tous. Accorde-le, Seigneur.

            Maintenant, ce soir, c’est la petite assistance que Tu m’as donnée pour lui prêcher et prier pour elle, et je Te suis reconnaissant. Et, ô Dieu, je prie que chaque personne qui est venue ici ce soir, qu’aucune d’elles ne soit perdue, mais que tous soient là en ce jour-là.

54        Et, ô Dieu saint, Divin Père, lorsque j’arriverai ce jour-là, que mon témoignage sonne aussi vrai que maintenant. Tu connais mon coeur. Et je suis très reconnaissant que Tu aies confirmé cela comme étant la vérité, pas parce que Ton serviteur l’a dit, mais parce que Tu as fait cela par la grâce divine. Et je suis très reconnaissant.

            Maintenant, je Te prie de guérir chaque personne ici présente, qui est malade ce soir. Chaque personne qui a besoin de quelque chose, puisse-t-elle sortir d’ici heureuse et en bonne santé. Et en route vers chez eux, puissent-ils dire comme ceux qui venaient d’Emmaüs: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous», car ils avaient découvert que Jésus était ressuscité des morts.

            Puissent-ils voir cela ici ce soir, Seigneur, à West Palm Beach, que Jésus-Christ est ressuscité des morts et qu’Il est vivant dans Son peuple, faisant les mêmes choses qu’Il a faites lorsqu’Il était ici sur terre. Et Ta glorieuse Colonne de Feu, qui était Ton Esprit qui suivait Israël, est venue vers nous. Nous La voyons. Nous savons qu’Elle est ici. Elle parle de ce qui La concerne. Et le même scientifique En a pris une photo. Nous en sommes heureux. Et maintenant, Seigneur Jésus, puisse-t-Il confirmer Sa Parole ce soir, nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

55        La providence divine de Dieu, vous pourriez ne pas être d’accord avec moi, ça je le sais. Je pourrais vous appeler maintenant même, beaucoup parmi vous qui font cela, mais cela n’empêche pas que ça soit la vérité. Je prie pour que Dieu fasse quelque chose ce soir qui fera de vous un croyant, qui vous fera comprendre cela. Que le Seigneur vous bénisse. Sa Présence est ici. Et si Jésus est ressuscité des morts? En tant que chrétiens, nous devrions croire cela. Ça, c’est le principe même de base. Tous Ses enseignements, toutes Ses oeuvres, tous Ses miracles sont morts avec Lui, s’Il n’est pas ressuscité des morts. Mais s’Il est ressuscité des morts... Le docteur Reedhead... Combien ont déjà entendu parler de lui? Certainement, vous avez déjà entendu parler de lui. C’est un grand homme, le président ou quelque chose comme cela des missions du Soudan. Il m’a soutenu il n’y a pas longtemps avant qu’il reçoive le Saint-Esprit, il a dit: «Frère Branham»... il s’adressait à un mahométan fidèle, il a dit: «Pourquoi ne renoncez-vous pas à votre prophète mort et n’acceptez-vous pas le Seigneur ressuscité?»

56        Et il a dit que ce mahométan a dit: «Gentil monsieur, qu’est-ce que votre Seigneur ressuscité peut faire de plus pour moi que mon prophète qui est mort?» Il a dit: «Mon prophète qui est mort a promis la vie après la mort», il a dit: «Et votre Seigneur aussi.» Il a dit: «Les deux ont écrit des livres. Nous les croyons.» Eh bien, le docteur Reedhead a dit: «Nous avons le bonheur et la joie.» L’autre a dit: «Nous aussi.» N’importe quel psychologue sait cela. Voyez? Il a dit: «Nous avons le bonheur et la joie en croyant.»L’autre a dit: «Nous aussi.»Il a dit: «Mais nous en avons la preuve?»L’autre a dit: «Comment pouvez-vous prouver cela plus que nous?»Il a dit: «Eh bien, cela nous change et fait de nous des chrétiens.»L’autre a dit: «Cela fait de nous aussi des mahométans.» Il a dit: «Gentil monsieur, notre Mahomet n’a pas promis ce qu’a promis votre Seigneur. Notre Mahomet est mort et il est dans la tombe, et nous avons un cheval blanc qui se tient là année après année. Un jour, il ressuscitera», mais il a dit: «Vous prétendez que votre Jésus est ressuscité des morts.» Et il a dit: «Votre Jésus vous a promis que s’Il... après qu’Il est ressuscité des morts qu’Il serait avec vous, et que les choses mêmes qu’Il a faites, vous les feriez aussi.» Il a dit: «Maintenant, laissez-moi voir vos docteurs faire cela, et nous croirons que votre Seigneur Jésus est ressuscité des morts.» Mais il a dit: «Que–que notre Mahomet ressuscite des morts et le monde entier le saura.»

57        Le docteur Reedhead a dit qu’il a changé de sujet. Il était obligé de changer de sujet. Il ne pouvait rien faire. Il était battu juste là sur-le-champ. Oui, oui. Il a dit: «Frère Branham, j’ai pensé à vous.» Il a dit: «Si jamais je pouvais arriver là où vous étiez...» Et il est venu là et a dit: «Les docteurs se sont-ils trompés?»

            J’ai dit: «Avec respect, je dirais, oui, Frère Reedhead.»

            Il a dit: «J’ai vu le pentecôtisme. J’ai vu tous les saints exaltés et toutes sortes d’histoires.» Il a dit: «J’ai été enseigné jusqu’à obtenir des diplômes et tout le reste.» Il a dit: «Frère Branham, je vous pose la question. Je sais que vous-même vous êtes un fondamentaliste.»

            Il a dit: «Je vous pose la question: Le baptême du Saint-Esprit, est-il la vérité?»

58        J’ai dit: «C’est la vérité, docteur Reedhead. Dieu est mon Juge. Le même Saint-Esprit qui est descendu à la Pentecôte, c’est le même Seigneur Jésus aujourd’hui avec la plénitude du même genre de puissance.»

            Il a dit: «Est-ce que je peux Le recevoir?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Quand?»

            J’ai dit: «Maintenant même.»

            Il a dit: «Comment est-ce que je peux Le recevoir?»

            J’ai dit: «Par l’imposition des mains.» J’ai prié pour lui, je lui ai imposé les mains, Dieu lui a donné le baptême du Saint-Esprit.

            Puis vint le docteur Lee, puis vinrent les autres, Don Wells, peut-être... Et l’archevêque de l’Inde, l’archevêque est venu ici, il faisait des recherches partout, il a reçu le baptême du Saint-Esprit, l’archevêque de l’Inde, l’archevêque presbytérien. Mes amis, vous verrez un jour que la Pierre même d’angle a été rejetée par ceux qui bâtissaient. C’est juste.

59        Jésus est ressuscité des morts, et Il est ici ce soir, Il peut faire exactement la même chose. Il travaille à travers les gens. Or, Il ne peut pas le faire à moins que vous croyiez. Un ministre m’a dit, il a dit: «Frère Branham, peu m’importe ce qui arrive; je ne crois pas cela.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas pour les incrédules. C’est pour les croyants.» Les gens n’ont pas cru Jésus, et ils ne croiront certainement pas Son serviteur. Voyez-vous? J’ai dit: «C’est seulement pour ceux qui...» Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, pas les incrédules, les croyants.

            Que le Seigneur vous bénisse. As-tu distribué des cartes de prière ce soir? Quelle lettre était-ce? E? C’est notre troisième–troisième soirée, n’est-ce pas, c’est la troisième fois? Je pense que lors de la première soirée nous avons appelé à partir de la première partie, la deuxième partie. Commençons ce soir avec E-50. Qui a E-50? Levez la main. E-50, 51, 52, 53, 54, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60. Restez debout, si vous pouvez vous mettre en ligne par ici. Excusez-moi.

60        Ça, c’est combien? C’est dix. J’en ai appelé quinze à venir maintenant. Très bien. Soixante-cinq, de soixante à soixante-cinq de la série E, tenez-vous à côté si vous voulez. Si vous ne pouvez pas vous tenir debout, levez la main. Si vous êtes infirme et ne pouvez pas vous tenir debout, et que vous ayez ces cartes, levez la main. Quelqu’un viendra vous aider.

            Maintenant, qu’ils comptent pour voir s’ils sont–s’ils sont là. S’ils ne sont pas là, une personne sourde... Jetez un coup d’oeil sur la carte de votre voisin. Il est peut-être sourd et n’entend pas, et voyez, il ne saura pas que son numéro a été appelé. Allez-vous le faire?

            Maintenant, j’aimerais que vous soyez respectueux, aussi respectueux que possible. Je cherchais une de ces photos. Je ne...?... je voulais vous montrer une de ces photos. Elles sont ici, mais nous ne les faisons pas sortir le dimanche. Nous ne... Nous sanctifions le sabbat de Dieu en nous abstenant d’acheter et de vendre. Je ne suis pas un observateur du sabbat, mais je suis... Je garde ce jour de cette manière. Je l’ai toujours fait, et nous achetons nous-mêmes les photos et nous les vendons aux gens absolument à un prix que cela nous coûte pour les avoir.

61        Nous ne... Nous avons des livres, mais ce ne sont pas mes livres. J’achète ces livres chez une autre personne. Voyez-vous? J’achète ces livres avec une réduction de quarante pour cent, je paye l’expédition, on me les envoie, je les mets dans ma camionnette, j’engage quelqu’un pour acheminer cela, et je les envoie à une réunion. Combien gagne-t-on dessus? A chaque réunion, je contracte une dette vis-à-vis des livres. Si je ne pensais pas qu’ils pourraient aider les gens, je ne les amènerais pas ici. Je pense que cela aide à cause des témoignages qui nous parviennent. Et voici que notre frère est allé et a pris la photo. Excusez-moi un instant...?... Combien croient que c’était la Colonne de Feu qui conduisit les enfants d’Israël dans le désert, une Colonne de feu? Savez-vous ce que c’est qu’une Colonne de Feu? Combien croient que c’était Jésus-Christ? Faites voir la main. Tout étudiant de la Bible le croit. C’était l’Ange de l’Alliance. Est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? Voyez? Eh bien, En voici la photo. Maintenant, ce même Etre, eh bien, s’Il vient vers nous ce soir et nous bénit, vous... Ce sera Lui qui parlera. Ce ne sera pas moi.

62        Bon, vous pouvez vous imaginer voir Cela. Quand Cela se tient juste tout près ici, vous n’êtes plus vous-même. Vous devenez simplement comme... Cette lampe électrique ne peut pas dire: «Regardez ici. Je donne la lumière», dire cela à cette fenêtre. «Voyez-vous, je donne la lumière.» Et demain, la lumière–la fenêtre dira: «Tu vois, c’est moi qui donne la lumière.» Ce n’est ni l’une ni l’autre qui donne la lumière. Ce n’est pas la lumière–l’ampoule qui donne la lumière; c’est le courant qui passe dans l’ampoule qui produit la lumière. Est-ce juste? Ce n’est pas la fenêtre qui donne la lumière. C’est le soleil à l’extérieur qui donne la lumière. Elle reflète simplement la lumière. Est-ce vrai? Avez-vous déjà étudié la Genèse, la merveilleuse Genèse? Comment Dieu a créé les cieux et la terre, le soleil et la lune, et lorsque le soleil se couche, la lune reflète la lumière du soleil. Est-ce juste? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est très exactement comme Christ et l’Eglise. Lorsque Christ a quitté la terre, Il fait briller Sa puissance sur l’Eglise qui reflète Sa Lumière. Voyez? C’est juste comme l’Epoux et l’Epouse. Tout–tout le livre de la Genèse, toute la Bible en est le type et est liée à Jésus-Christ. Et maintenant, dans Exode chapitre 13, vous verrez que cette Colonne de Feu qui était–a parlé à Moïse dans le buisson ardent...

63        George J. Lacy... Lisez son petit article là-dessus qui est là. Il vous dira de quoi il s’agit. Il sait que cela ressemblait à une Lumière ambre à travers les rayons ultraviolets et autre comme cela. Cela avait environ cette largeur, environ cette longueur plutôt, et environ cette largeur, et des milliers et des milliers et des chrétiens ont vu cela. Voyez-vous? Cela est descendu juste devant dix mille personnes à Jeffersonville quand je baptisais un après-midi et Cela m’a dit, onze ans avant que je ne sois envoyé dans cette mission, que cela arriverait de cette manière, et elle a dit que ce serait un Message précurseur. Comme Jean-Baptiste fut le précurseur de Christ, de même ce message sera le précurseur juste avant la Venue de Jésus-Christ.

64        Et maintenant, le monde scientifique le sait. Eh bien, ce journal-ci, si vous voulez écrire à monsieur Lacy, ou au FBI concernant cela, ou de quoi il s’agit, allez-y simplement. Vous êtes libre. C’est ce que nous voulons que vous fassiez et que vous découvriez cela. Nous n’essayons pas de rapporter incorrectement quoi que ce soit, mes amis. Nous ne disons que la vérité. Et que le Seigneur vous bénisse. Maintenant, doucement, j’aimerais demander de nouveau ceci. Je vais vous demander à tous de rester assis, d’être calmes et respectueux. Maintenant, si vous voulez remercier le Seigneur pour quelque chose qui a été fait, ou Le louer, cela vous regarde. J’aimerais que vous le fassiez, mais lorsque l’Esprit opère... Maintenant, comprenez-vous... Ecoutez ceci. Combien croient que chaque personne est un esprit? Faites voir vos mains. Oh! bien sûr, vous devez le croire. Si vous ne l’étiez pas, vous seriez mort. Voyez? Ecoutez. Il y a un esprit par là, un esprit ici, un esprit par ici; il y a des esprits partout. Et vous vous tenez ici en train de parler à un individu, cette personne est en train de prier, celle-ci est en train de prier, celle qui est là est en train de prier. Voyez-vous ce que je veux dire?

65        Une fois, Jésus avait une assemblée de même genre, il a pris un homme par la main et l’a conduit hors de la ville. Est-ce juste? Il est allé à un autre endroit où les gens criaient, pleuraient et faisaient des histoires. Il a dit: «Faites place. Cette fille n’est pas morte. Elle dort.» Oh! les gens se sont moqués de Lui, les gens L’ont ridiculisé. Et Il a fait sortir tout le monde de la maison, ensuite Il est entré et a ressuscité la jeune fille. Est-ce juste? Vous direz: «C’est de la psychologie.» C’est de la psychologie? Considérez Pierre lorsque Dorcas a été ressuscitée. Tout le monde pleurait et criait, les veuves. Il les a tous fait sortir de la maison, il s’est avancé et a prié, et ensuite il est allé imposer les mains à Dorcas, et elle est ressuscitée. Est-ce juste? Hein? Ce n’est pas de la psychologie, mes amis. C’est la puissance de la résurrection de Jésus-Christ. Maintenant, soyons respectueux pendant un instant, soyons plutôt en prière. Voulez-vous bien me donner un petit accord pour ce cantique, Crois seulement, en auriez-vous la gentillesse soeur.

66        J’aimerais que tout le monde prie. Maintenant, je... Je vais déclarer encore ceci ce soir. Je ne serai pas responsable de tout ce qui arrivera aux critiqueurs ou aux incrédules, à partir de maintenant jusqu’à la fin de la réunion. Combien m’ont entendu dire cela? Et j’ai entendu une question. C’est la loi. Je dois dire cela, parce que cela ira immédiatement d’une personne à une autre.

            Un homme peut entrer dans cette salle parfaitement normale et en bonne santé, et en ressortir avec un cancer. Voyez-vous? Un incrédule. Voyez-vous? Alors vous–vous devez être respectueux. Voyez? Eh bien, c’est pour que tout le monde le comprenne. Maintenant, ne vous levez pas et ne vous déplacez pas. Restez tout simplement... Et quoi qu’il arrive, vous qui êtes dans la ligne de prière... Maintenant, combien... Il y a environ quinze personnes debout ici ou... Très bien, est-ce que tout le monde est là? Très bien.

            Il y a environ quinze personnes, je crois, que j’ai appelées dans la ligne de prière. On ne devrait appeler que deux ou trois personnes. Mais maintenant, combien de ceux qui sont là-bas, et partout dans l’assistance, partout n’ont pas de cartes de prière et disent: «Ô Dieu, je veux que Tu me guérisses ce soir.»? Levez les mains et dites: «Je veux que Dieu–je veux que Dieu me guérisse ce soir.» Vous n’êtes pas obligé d’avoir une carte de prière, mais croyez de toute façon que Dieu va vous guérir. Très bien. C’est...

67        Maintenant, je vous demande une chose. Je vous demande de croire que j’ai dit la vérité, et croyez d’abord que ceci est la Parole de Dieu. Et c’est seulement une confirmation de Sa Parole. Chaque prédication, chaque enseignement qui a été donné en dehors de cette Bible n’est pas la vérité. Paul a dit: «Quand un ange du Ciel viendrait vous prêcher autre chose, qu’il soit anathème.» Est-ce juste? Eh bien, la visitation des anges, Paul a-t-il prêché cela? Certainement. Il a dit qu’un Ange l’avait inspiré...?... et il a dit: «L’Ange de Dieu dont je suis le serviteur m’est apparu hier soir, disant: ‘Paul, ne crains point.’» Est-ce juste? Certainement. Il avait des visions et tout. Il était un prophète de Dieu.

68        Maintenant, pendant que nous prions, je crois que c’est la dame. Approchez s’il vous plaît, madame. Maintenant, la seule raison pour laquelle ces gens sont montés ici à l’estrade, on en aligne quelques-uns à la fois, c’est ceci: c’est parce que l’Esprit de Dieu peut venir. Et j’ai parlé (Voyez?) et ensuite l’onction vient, et c’est–c’est un autre monde. Dieu possède un enregistreur pour ainsi dire, un film de chaque acte que vous avez posé dans votre vie tout entière. Le croyez-vous? Il peut révéler cela s’Il le veut.

            Bon, cette femme que voici m’est totalement inconnue à ce que je sache. Je ne connais personne dans cette salle à l’exception de frère Bosworth, je pense, de mon fils qui se tient ici, et du frère qui est assis ici. Voilà tous ceux que je connais. Je ne connais personne parmi vous, mais Dieu vous connaît tous, n’est-ce pas?

69        Eh bien, si ceci, c’est l’Ange du Seigneur, et que je vous aie dit la vérité, alors Dieu déclarera la vérité, et Il témoignera que c’est la vérité. Maintenant, n’importe quel homme peut venir ici et vous dire tout ce qu’il veut. C’est simplement ce que cet homme dit. Vous avez le droit d’en douter. Mais lorsque Dieu parle et qu’Il dit que l’homme a dit la vérité, alors croyez Dieu. Est-ce juste?

            Maintenant, j’aimerais parler un petit peu à cette femme. Maintenant, que pensez-vous qui arriverait si notre Seigneur Jésus se tenait ici portant ce complet qu’Il m’a donné, et qu’Il portait ceci, et se tenait ici en train de parler à cette femme? Que ferait-Il? Pour ce qui est de la guérir, non. Si elle est malade, je ne sais pas si elle est malade. Mais si elle est malade, Il ne pourrait pas la guérir. Il dirait: «Je l’ai fait lorsque Je suis mort au Calvaire.» Croyez-vous cela?

70        Mais maintenant, qu’a-t-Il fait à la femme au puits? Considérons un peu Son ministère. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Et vous vous demandez pourquoi?

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous nous demandiez pareille chose à nous, les Samaritains.»

            Il a dit: «Si tu savais qui est Celui à qui tu parles, tu Me demanderais à boire, et Je t’apporterais de l’eau ou plutôt te donnerais de l’eau que tu n’es pas venue...» Que faisait-Il? Il essayait de contacter son esprit. Elle était un être spirituel, bien sûr, et Il essayait de contacter son esprit. Et aussitôt qu’Il a capté son esprit, Il est allé droit à son problème et lui a révélé de quoi il s’agissait. Est-ce juste? Maintenant, n’est-Il pas le même Jésus ce soir? Je...

            Maintenant, je sais qu’Il est ici. Cet Etre surnaturel même dont vous avez vu la photo là se tient à moins de deux pieds [90,9 cm] de l’endroit où je me tiens maintenant même. Eh bien, c’est vrai. Vous verrez au Jugement.

71        J’aimerais parler à cette femme. Tout ce que je souhaite faire, c’est m’entretenir un–un peu avec vous. Et je ... C’est juste... Je suis ici pour vous aider, et la seule façon dont je peux vous aider, c’est de vous montrer Jésus-Christ. Vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose. C’est–c’est Sa Présence, cet Ange que vous voyez sur la photo. C’est exactement ce dont vous êtes consciente que c’est tout près de vous maintenant. Voyez?

            Croyez-vous que–que Dieu dans ces derniers jours a restauré de nouveau l’église? Le croyez-vous? N’est-Il pas merveilleux en faisant cela? Et ne sommes-nous pas heureux d’être en vie ce soir pour voir cela? Nos yeux voient des choses que–que les prophètes ont désiré voir juste avant la Seconde Venue de notre Seigneur.

72        Votre problème, bien sûr, je le vois. C’est sur votre bouche. Ce n’est pas une ampoule ou une cloque. C’est un cancer, et ce cancer est un cancer qui ronge, qui entre dans votre lèvre. Il y a un espoir pour vous, et c’est en Jésus-Christ. Maintenant, étant donné que je peux voir cela et voir que c’est sur votre lèvre, j’aimerais que vous me croyiez en tant que prophète de Dieu, parce que les gens là...

            Plus vous parlez à quelqu’un, plus vous voyez des visions, bien sûr. Vous voyez que vous entrez dans cette dimension où sont les gens (Voyez?), et vous voyez simplement Dieu révéler la chose. Mais je n’essaie pas tellement de le faire sur une personne, car regardez-les ici et tout autour. Voyez?

            Et chaque... Une seule vision vous affaiblit plus que prêcher pendant cinq heures d’affilée. Combien savent que c’est ce que disent les Ecritures? Assurément. Daniel a eu une seule vision, et il eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours. Mais comme vous pouvez le voir sur le visage de cette femme là, il pourrait y avoir quelque chose d’autre. Elle pourrait avoir une autre maladie. Si c’est le cas, Dieu peut révéler ceci de même qu’Il a pu révéler cela.

73        Maintenant, j’aimerais que vous me regardiez pendant un moment, et que vous croyiez, juste comme–comme–comme votre frère. Oui, madame, vous avez d’autres choses. Vous avez un–vous avez l’hypertension. Pas vrai? Et vous avez aussi une sorte de toux. C’est–c’est l’asthme dans votre gorge. Est-ce vrai?

            Et voici autre chose. Vous avez quelqu’un pour qui vous vous préoccupez beaucoup, et je crois que c’est un garçon. C’est un fils, et c’est un... et je le vois porter un uniforme. Il était un soldat ou quelque chose comme ça, et Il est–il est–il est mentalement détraqué. Pas vrai? L’armée... Il–il... Quelque chose s’est produit dans l’armée. Il est mentalement... Est-ce vrai, soeur? Approchez.

74        Dieu miséricordieux, sois miséricordieux envers cette pauvre petite mère épuisée qui se tient ici, ô Dieu, aie pitié d’elle. Satan, l’ennemi essaie de l’envoyer prématurément à la tombe s’il le peut, cette femme au coeur brisé. Mais Toi, ô Dieu, Tu es plein d’amour et de compassion, et j’offre la prière de la foi, Tu as dit: «Elle sauvera le malade.» Et je lui impose les mains, bien que l’on ne soit pas digne, ô Dieu, pour une tâche pareille, mais je prie en tant que Ton serviteur, comme un–un sarment dans le cep, que la puissance de guérison du Dieu Tout-Puissant entre dans le corps de cette femme et la guérisse. Et que ses désirs lui soient accordés ce soir. Car au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je réprimande cet ennemi qui la tourmente. Amen. Que Dieu vous bénisse, Soeur. Croyez-vous maintenant? Il en sera juste selon votre foi. Que Dieu vous bénisse.

75        Maintenant, vous pouvez dire: «Gloire à Dieu!» si vous voulez [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu!»–N.D.E.]. Maintenant, seul notre Seigneur Jésus peut guérir les malades. Dieu connaît tout, et Il peut tout révéler, tout faire. Ne le croyez-vous pas? Très bien. Très bien, madame. J’aimerais que vous approchiez. Ayez la foi maintenant. Croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ le Fils de Dieu est ici. Sommes-nous des inconnus, ma soeur? Me connaissez-vous? Vous avez simplement entendu parler de moi. Mais je veux dire que pour ce qui est de vous connaître, je ne vous connais pas. Non, je...?... Vous m’avez seulement vu sur des photos. Eh bien, je suis–je suis heureux que vous ayez suffisamment de foi en Dieu pour venir en croyant, pour être guérie. Le croyez-vous? Et ce que vous avez lu dans les livres, les magazines et tout, et dans le Reader’s Digest et dans le Colliers et... Croyez-vous que c’était la vérité? Que Dieu a...?... [La soeur parle à frère Branham.–N.D.E.] Je le crois de tout mon coeur. Mes amis, si vous êtes... En effet, je crois que vous dites la vérité, parce que vous êtes une chrétienne. Alors, je peux être en mesure de vous aider à recevoir Jésus-Christ. Le croyez-vous?

76        Vous êtes–vous êtes... Premièrement, vous souffrez d’une maladie de femme. Oui, pas vrai? Et puis, dites... Je vois que quelque chose vous est arrivé récemment. Vous avez eu une sorte de–d’attaque, c’est juste une... comme un... Une femme vous a dit que c’était une crise cardiaque, et cette femme souffre elle-même d’une maladie cardiaque. Ce n’était pas une crise cardiaque. Ce n’était pas cela. Non. C’est de la nervosité que vous souffrez. C’est exact, et vous allez guérir de cela et être rétablie. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez partir, soeur. Votre foi vous a sauvée et vous a rétablie. Que Dieu vous bénisse. Vous... Très bien. Servez le Seigneur. Très bien. Si vous croyez, tout est possible à ceux qui croient: seulement aux croyants. Maintenant, regardez et vivez. Ayez la foi en Dieu. Eh bien, cela pourrait ne pas sembler grand-chose pour vous, et si c’était votre soeur? Et si c’était votre mère, votre femme, votre fille, ou bien si c’était vous? Cela signifierait certainement beaucoup pour vous. N’est-ce pas? Elle est la bien-aimée de quelqu’un, de quelqu’un qui l’aime tout comme vous aimez votre... Maintenant, soyez respectueuse, et croyez de tout votre coeur.

77        Est-ce que vous croyez, soeur? Croyez-vous? Réalisez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence, pas la mienne, moi je suis votre frère, mais Sa Présence à Lui? Alors, si Jésus est ressuscité des morts, comme nous le croyons, alors Sa Vie s’est reproduite et comme Il l’a promis: «Les oeuvres que Je fais, a-t-Il dit, vous les ferez aussi.» Croyez-vous que c’est la vérité? Vous devez croire pour vivre. Vous rendez-vous compte de ce dont vous souffrez? Dans l’estomac, le cancer, il est descendu jusque dans les organes féminins. Est-ce juste? La tumeur maligne est descendue (C’est juste.) jusque dans les glandes féminines. Il n’y a rien au monde qui puisse vous aider à part Dieu. Ils ne peuvent pas ôter de vous tout ce qui est à l’intérieur...?... C’est trop avancé pour qu’on le fasse. Mais Jésus-Christ vous guérira maintenant même si vous le croyez. Vous voulez vivre, n’est-ce pas? Regardez tout simplement à Lui et vivez. Croyez-vous que Dieu m’a donné l’autorité de prier pour vous et d’ordonner que cela vous quitte? Croyez-vous qu’Il l’a fait? Allez-vous vivre pour Dieu et glorifier Dieu si Dieu épargne votre vie dans ceci? Approchez, soeur.

78        Notre Père céleste, au Nom de Ton Bien-Aimé Fils, Jésus, je viens avec sincérité de coeur, sachant que Satan est dévoilé. Ses grandes infirmités, sa puissance et ses prodiges mensongers, sa séduction sont exposés. Et il s’est caché du médecin, mais il ne peut pas se cacher de Toi, ô Dieu. Cette femme est venue avec sincérité. Et je demande au Nom de Jésus-Christ que ce démon appelé cancer quitte son corps, et qu’il sorte d’elle. Et au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie maintenant et rétablie. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur.

            Maintenant, écoutez. Aujourd’hui c’est dimanche. Vous allez vous sentir bien jusqu’à mercredi, et mercredi vous allez vous sentir très malade. Ne craignez rien, croyez seulement.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!»

79        Bonsoir, soeur. Est-ce que vous croyez? Vous êtes tourmentée par une sorte de–d’éruption. Vous devez suivre un traitement pour cela. Et cela gagne votre bras. Et si vous ne suivez pas un traitement, cela se répandra sur tout votre corps. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira ce soir? Approchez.

            Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, en vertu de Ta Parole qui dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris», je fais ceci au Nom de Jésus-Christ: je maudis cette maladie qui tourmente cette femme. Que cela la quitte au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Partez en vous réjouissant, soyez heureuse. Ne doutez de rien. Croyez tout simplement de tout votre coeur.

80        Est-ce que vous croyez partout là-bas? Si vous avez la foi, vous pouvez obtenir exactement ce que vous avez demandé, si vous croyez. Car tout est possible à ceux qui croient. Continuez de prier et de croire de tout votre coeur. Vous recevrez ce que vous avez demandé. Chacun de vous, où que vous soyez, peut recevoir sa bénédiction. Vous n’êtes pas obligé d’être ici à l’estrade. Ayez simplement la foi et croyez. Demandez à certains de ceux qui ont été guéris, voyez ce qui est arrivé. Dieu ne peut faillir. Il ne peut–Il ne peut faillir et demeurer Dieu. Dieu guérit les malades.

            Vous avez quelque chose qui vous fait souffrir dans votre dos, n’est-ce pas, soeur? Votre estomac, et vos yeux se portent mal, mais Jésus vous a guérie quand vous avez levé la main il y a quelques minutes. Vous êtes guérie maintenant au Nom du Seigneur Jésus. La foi de cette petite femme l’a complètement guérie pendant qu’elle était assise là en train de prier, en croyant de tout son coeur. Dieu l’a guérie. Voilà comment s’y prendre.

            Vous avez un problème du colon, n’est-ce pas, madame? Oui. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Je vous vois debout. Il vous a guérie. Que Dieu vous bénisse.

81        Votre problème, soeur, ce n’était pas exactement un problème du colon. C’est dans vos intestins, et vous avez aussi la bronchite qui vous dérange. Pas vrai? Vous êtes toutes les deux guéries, parce que Dieu...?... Amen. Ayez simplement la foi en Dieu.

            Voilà le Saint-Esprit qui est en train de se déplacer juste au-dessus de ces gens maintenant même. Je vois debout devant moi une jeune femme. Elle porte des lunettes. Elle a environ l’âge moyen, je pense. Je vois qu’elle a quelque chose autour des bras. Un médecin, un homme d’âge moyen est en train de pomper quelque chose. C’est la pression artérielle. Elle est basse. Voilà la femme en question assise là, portant un manteau brun. Vous qui avez levé la main, madame. Vous avez l’hypotension, ou plutôt, vous aviez l’hypotension. Votre foi vous a sauvée. Que Dieu vous bénisse. Partez, et que la paix de Dieu soit avec vous.

82        Approchez, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Soyez respectueux. La puissance éternelle de Dieu et la divinité sont en train de se mouvoir dans cette salle. Je ne sais pas ce que vous allez en penser, mais Dieu connait toutes choses. Est-ce que tu crois, jeune homme? Très bien. J’aimerais que tu me considères comme Son serviteur. Ton problème c’est au dos. Tu as un problème de dos. Tu as un autre problème, une chose dont tu n’arrives pas à te débarrasser, une chose qui va t’emporter dans la tombe. Tu es un alcoolique. C’est juste. Tu es un alcoolique, et tu as essayé... Dis donc, tu as une mère qui a quelque chose qui ne va pas à la hanche, et c’est une prédicatrice. Et ton papa est un homme aux cheveux un peu gris, et il a–il a l’arthrite. Les voici qui sont assis ici même. Est-ce juste? Maintenant, attends une minute. Je vois une grande réunion qui apparaît devant moi. C’est dans un décor panoramique. C’est une sorte de–de stade. Et je me tiens à l’estrade. C’était à Hammond, dans l’In-... à Hammond, ou à Connersville, dans l’Indiana. C’est... Est-ce juste? Que Dieu te bénisse.

83        Satan, sors de ce jeune homme! Je te réprimande au Nom de Jésus-Christ. Quitte-le! Je t’adjure, par le Dieu vivant, de sortir de ce jeune homme! Tu ne peux plus le retenir. Puisse-t-il partir et que la paix de Dieu soit sur lui. Que Dieu te bénisse, jeune homme. Va maintenant et sers le Seigneur Jésus, et sois guéri.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]

            Croyez de tout votre coeur et vous verrez. Vous obtiendrez ce que vous avez demandé si vous croyez cela. Très bien. Inclinez la tête avant que cette femme vienne. Elle a un esprit de surdité. Inclinons la tête partout.

84        Ô Dieu, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cette femme que je bénis en Ton Nom, elle est privée du privilège d’entendre l’Evangile. Ô toi esprit de surdité, tu as désiré faire ceci afin que tu puisses l’envoyer devant un véhicule et la tuer. Mais je t’adjure par le Dieu vivant et par Jésus-Christ Son Fils, de quitter et de sortir d’elle! Que tout le monde garde la tête inclinée, s’il vous plaît. Cela va d’une personne à une autre. Vous renvoyez alors cela sur cette femme. Ne levez pas votre tête jusqu’à ce que vous entendiez ma voix. Cet esprit a quitté la femme, il est revenu directement. Gardez vos têtes inclinées, car si vous ne le faites pas cela ira sur vous.

85        Dieu Tout-Puissant, aie pitié de cette femme. S’il Te plaît, soulage-la de cette maladie ce soir. Nous savons que les gens ne désirent pas être méchants. Ils sont seulement enthousiasmés, et je Te prie de leur pardonner leur erreur. Et pardonne-moi, Seigneur. Je Te prie de me donner la puissance pour chasser ce démon de notre soeur, pour qu’elle soit guérie. Car Satan a désiré faire ceci, mais Tu es Dieu, Celui qui guérit. Sors d’elle, Satan, toi esprit de surdité, au Nom de Jésus-Christ!

            Eh bien, gardez vos têtes inclinées juste un instant. Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Croyez-vous en Lui de tout votre coeur, croyez-vous qu’Il vous a... vous êtes aussi guérie. Très bien. Vous pouvez maintenant relever la tête. Voici sa–sa guérison a aidé ce qui était caché. M’entendez-vous maintenant? Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous a guérie. Vous êtes bien portante, et que Dieu vous bénisse. Partez en paix. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»]

86        Cette femme était... N’êtes-vous pas dans la détresse, madame, vous qui avez porté un manteau rouge, qui êtes assise là? Vous êtes... C’est étrange, mais je vois un hôpital ou quelque chose. C’est un–c’est un homme, et les–et les médecins sont sur le point d’opérer quelque chose comme des adhérences ou quelque chose comme ça, et cela... C’est–c’est–c’est un frère ou quelqu’un comme cela pour vous; et l’endroit, c’est dans l’Alabama. Pas vrai? Est-ce la vérité? Tenez-vous debout pour sa guérison. Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ et par la puissance du Saint-Esprit, j’envoie Tes bénédictions au Nom de Jésus vers cet homme. Pourquoi parlerais-Tu à cette femme profondément sincère si Tu n’allais pas permettre qu’elle soit guérie? Je demande sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Qu’il en soit ainsi. Amen. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu! [L’assemblée dit: «Grâce soient rendues à Dieu!»–N.D.E.]

87        Approchez. Est-ce que vous me croyez? Parce que j’ai prêché la Parole, la Vérité, vous croyez que c’est vrai? Et si je vous disais quelque chose, si c’était la vérité, allez-vous–allez-vous reconnaître que c’est la vérité? Votre problème, c’est un trouble féminin qui produit un écoulement qui est... Savez-vous que c’est vrai? C’est un abcès. Votre maladie, c’est sur votre côté gauche, c’est un abcès sur l’ovaire gauche. Vous étiez guérie pendant que vous vous teniez là dans la ligne de prière en avançant, il y a quelques instants. Rentrez maintenant chez vous. Jésus-Christ vous a guérie.

            Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur.

88        Bonsoir, soeur. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Allez-vous m’obéir en tant que Son prophète? Vous allez le faire. Je vous vois essayer de vous déplacer quelque part, vous tenant la main. C’est l’arthrite.

            Libère-la, Satan; au Nom de Jésus-Christ, je t’adjure de sortir de cette femme! Levez la main. Tapez du pied comme ceci. Votre arthrite a disparu, et vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez partir, et être guérie.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu! [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!]

            Est-ce que vous croyez? «Ayez la foi, a dit Jésus, ayez foi en Dieu.»

            Croyez-vous que la chose pour laquelle vous priez arrivera, madame? Vous avez quelque chose qui ne va pas au pied ou quelque chose comme ça, et vous–vous souffrez aussi d’une maladie de femme, n’est-ce pas, une maladie interne? Est-ce juste? Très bien. Rentrez chez vous et soyez alors guérie au Nom de Jésus-Christ.

89        Est-ce que vous croyez? Croyez-vous que vous allez guérir de cet asthme, vous qui êtes ici derrière cet homme-là au manteau brun? Croyez-vous que Dieu va vous guérir, madame? Croyez-vous qu’Il le fera? Voici une autre dame assise ou, assise juste là, souffrant de la même chose. Vous voulez aussi être guérie de votre maladie, soeur? Croyez-vous que Dieu fera que cette sinusite vous quitte et que vous soyez guérie? Souhaitez-vous guérir de cette hypotension, vous qui êtes assise là, soeur? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Si vous croyez, vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé, si seulement vous avez la foi.

            Est-ce que vous croyez? Est-ce cette personne? Nous sommes des inconnus. Je ne vous connais pas, mais mon Seigneur vous connaît, et c’est en Lui que je me confie. Je n’ai rien d’autre en quoi me confier. J’admets que je suis faible. Mon visage s’engourdit, je sais qu’Il est ici. Et je sais que je ne pourrais pas vous guérir, mais votre vie, vous ne pouvez pas la cacher, parce que c’est un don. Je ne peux faire que ce qu’Il a déjà fait: c’est vous guérir. C’est cela Sa promesse. Mais en tant que Son prophète, quand l’onction est ici, chaque esprit ici est soumis maintenant à Dieu. Rien ne peut être caché. Je prends maintenant l’autorité sur chaque esprit sous le contrôle de Dieu. Si je suis Son Cep en Lui, alors tout est soumis à ce que je dirai.

90        Satan vous a menti. Vous avez souffert. Vous passez par un changement de la vie, et cela est sur vous, la ménopause, depuis environ cinq ans. Vous prenez toutes sortes de médicaments qui viennent, et aucun d’eux ne vous fait du bien. N’est-ce pas la vérité?

            Et vous êtes aussi anémique. Je vois le sang qui coule entre moi et vous, et le...?... léger. Vous êtes anémique. Ma bien-aimée soeur, pourquoi ne croyez-vous pas que Jésus-Christ vous guérit? Et n’ayez rien à faire avec le diable...?... Et sortez de cette salle et soyez guérie. Si Dieu se tient ici avec la puissance de Son Esprit pour me révéler votre vie, ne peut-Il pas vous guérir? Croyez-vous que si je maudis cette maladie au Nom de Jésus-Christ, cela vous quittera? C’est ce que vous vouliez que je fasse. Je ne lisais pas votre pensée, mais vous êtes–vous vouliez que je vous impose les mains, parce que c’est ce que vous croyiez. Est-ce juste? Approchez. Je vais le faire.

91        Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, voyant que sa foi repose dans l’imposition des mains, oh! j’implore miséricorde. Ces ombres sombres qui sont suspendues autour de cette petite femme, sachant que Satan est toujours là à côté pour essayer de la tenter dans cette période de la vie, mais Jésus, Tu te tiens toujours dans l’ombre, veillant sur Tes enfants. Rien ne peut leur faire du mal. Maintenant, toi ennemi, en tant que serviteur de Dieu, je te donne cet ordre. Au Nom de Jésus-Christ, sors d’elle! Je lui impose les mains en tant que serviteur de Dieu qui a reçu la commission de l’Ange. Tu le sais. Tu–tu as vu cela se produire. Il m’a dit que si je suis sincère, rien ne résistera à ma prière. Et je crois en Lui, tu es un perdant; et je libère cette femme ce soir de toutes ces choses au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

92        Très bien, madame. Ecoutez ceci. Si Dieu sait ce qui s’est passé dans votre vie, ce qui a été dans votre vie, Il le sait certainement. Cependant, vous êtes guérie. Vous avez toujours été un peu nerveuse. Lorsque vous étiez une petite fille, une fois en revenant de l’école, je vous vois, ou quelque chose d’autre, vous avez couru vers un chien ou quelque chose comme cela et cela vous a effrayée, en retournant, vous portiez une petite robe écossaise à carreaux. Vous en souvenez-vous? C’est fini maintenant. Vous pouvez partir et être guérie. Que Dieu vous bénisse. Soyez guérie.

            Est-ce que vous croyez? Est-ce tout le monde croit d’un commun accord, d’un même coeur, d’une même pensée? Ce que Jésus fait est illimité. Si j’ai trouvé grâce à vos yeux, et si Dieu m’a accordé Sa faveur, croyez-moi comme Son serviteur. Je vous ai dit par l’autorité du témoignage du Saint-Esprit, qu’Il est ici maintenant, que vous ne pourriez pas cacher votre vie si vous devriez le faire; et par ce même témoignage et par la Bible que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a guéri tout le monde dans cette salle.

93        Si vous êtes prêts à accepter cela, cela a été accompli il y a mille neuf cents ans au Calvaire. Et cela vous appartient gratuitement selon que vous pouvez recevoir cela ce soir. Le croyez-vous? Si vous remarquez, il n’y a pas une seule chose qui passe ici sans que Dieu l’ait fait sortir de la personne pendant qu’elle se tient ici; qu’il s’agisse de la surdité, de la cécité ou de quoi que ce soit. Si Dieu peut le faire ici sur l’estrade, Il peut le faire là-bas. Et si vous pouvez incliner la tête et croire, je demanderai à Dieu de vous guérir tous, et si vous croyez de tout votre coeur, vous serez guéris maintenant même.

            Dieu Tout-Puissant, je Te demande en cette heure tardive de la nuit, alors que ces gens sont restés assis pendant longtemps, à écouter, je Te prie, ô Père, d’avoir pitié des malades et des nécessiteux qui sont ici dans le...?... [Frère Branham s’éloigne du micro.–N.D.E.] dans le besoin. Et maintenant, Dieu Tout-Puissant, nous réalisons qu’il n’y a qu’une seule chose qui pourrait les empêcher d’être guéris, c’est leur incrédulité. Que Dieu ôte ce qui est suspendu là au-dessus d’eux, qui empêche que les bénédictions de Dieu se déversent conformément à la loi de Dieu dans leurs corps et les guérissent tous. Je réprimande maintenant cet esprit de doute et d’incrédulité qui est suspendu au-dessus de cette assistance, et que cela quitte au Nom de Jésus-Christ et que chaque malade ici soit guéri pour la gloire de Dieu...?... ma sincère prière...?... et je prie que Dieu...?... ce soir les hommes de continuer de prier parce que la salle tout entière devient lactée à mes yeux maintenant. Je sais que mon heure...?... est ici...?... Mais...?...

            Si vous êtes sourd d’une oreille, mettez votre doigt dans votre oreille, et écoutez...?... Si vous êtes–si vous êtes aveugle, regardez avec vos yeux, pour voir. Si vous êtes infirme, tenez-vous debout et marchez. Tout ce dont vous souffrez, j’aimerais que vous vous mettiez debout et que vous fassiez quelque chose que vous ne pouviez pas faire auparavant, car Dieu a guéri cela, au Nom de Jésus-Christ...?...

E-1 Thank you, Brother Bosworth, and good evening, friends. It's a pleasure to be back here again tonight to serve the Lord. And I'm very happy to see you people gathered out in this time of worship.
I just shook hands with an old friend of mine from down in Miami. Reminds me of... Seems like I wouldn't feel I come to Florida, if I didn't get to see what we call Brother Jim. And so I'm very happy to have him with us tonight on the platform. Much water has passed down the river since I seen you last, Brother Jim. So... Been many places around the world, going again if God willing in the near future.
We're very happy that God did what He did for the people this afternoon, blessing them, and I trust now that right quick... I've been spending last two hours or more constantly praying and I'm just want to testify a little tonight, and then go right into the service.

E-2 First I shall read some of His Word and knowing that His Word is perfect and will never fail. It's found in the 4th chapter of Saint John beginning at the 46th verse.
... Jesus came again into Cana of Galilee, where he made the water wine. And there was a certain nobleman, whose son was sick at Capernaum.
And when he heard that Jesus was coming out of Judaea into Galilee, he went unto him, and besought him that he would come down and heal his son: for he was at the point of death.
Then Jesus said unto him, Except you see signs and wonders, you will not believe.
The nobleman said unto him, Sir, come... ere my child die.
Jesus said unto him, Go thy way; thy son liveth. And the man believed the word that Jesus had spoken unto him, and he went his way.
And as he was now going down, his servant came to him, and told him, saying, Thy son liveth.
And he enquired of them the hour... he began to amend. And they said unto him, Yesterday at the seventh hour the fever left him.
So the father knew that it was the same hour... which Jesus said unto him, Thy son liveth: and himself believed, and all of his household.
This is again the second miracle which Jesus did, when he came out of Judaea into Galilee.

E-3 Can we bow our heads now while we speak to Him just a moment in prayer. Our Father Who art in heaven, hallowed be Thy Name. We'll worship Thee tonight, our Father, in the Name of Thy beloved Son, Jesus Christ, and we love Thee because that Thou hast first loved us, and redeemed us from a life of sin, and has given us a heart of worship. And we'll praise Thee and receive tonight, O God, the adoration of our heart as we pour it out in simplicity to Thee, loving Thee, and knowing this: that Thou alone holds our lives, and someday we must meet Thee face to face and give an account for our life here on earth.
What type of people should we be then, Father? We can do nothing except Thou will help us. And tonight while this little group of people gather together here on the evening of the Sabbath, we thank Thee for this lovely day and for the many sermons, and the ministers across the world who has preach the Gospel, all the souls that has believed on Thee, the great miracles and wonders, no doubt around the world being performed right now. And dear Saviour, don't pass us tonight.

E-4 We pray that You'll come in Your magnificent power and will lay Thy healing wings across this building, and may every sick person in here be filled with healing power. Grant it, Lord. May as the prophet said the distilled dewdrops of mercy bathe our souls until we see the purpose of Jesus, our King, to redeem us from sickness and sin, and to set us free, and to give us a happy life of service winning others for Him. These blessings we--we ask Thee to grant to us unworthy ones, in the Name of Thy Son, Jesus. Amen.
Just a testimony tonight. Taken so much of your time this afternoon in preaching... My son told me, said, "Dad, you didn't realize you was there about an hour and forty-five minutes, but you was..."

E-5 Well, I--I just love to talk about Him so much, that I just can't get through talking. I've been twenty-three years now in the ministry, and I come in the ministry when I was just a boy and the only regrets that I have if I could strain my life of one thing that I regret more than anything else, that I didn't know Jesus when I was just a little bitty boy. I wished I could turn it back. Every hour of my life I would give for His glory.
I remember as a young boy just in twenty... Why, they... The boys used to say, "Billy, you don't get any pleasure out of life. You don't dance. You don't drink. You don't smoke. You don't go to shows or dances. What do you get out of life?"
And one night a young lady asked me when I was taking her home. She said, "What do you get out of life?"

E-6 And the next night I made an altar call in the place where I was preaching, a local Baptist church, and down the aisle come thirty or forty people kneeling at the altar. The young lady was setting there weeping. I said, "Would you stand up, sister?" I said, "You wanted to know where I got my pleasures. This is worth more to me than all the things that the world ever give me, this one thing here. It gives such a peace and a satisfaction to my soul."
I'm so happy tonight, that Almighty God in His infinite mercy, and His redeeming grace saw fit one time to--to save me and to give me the privilege of speaking to His people. I love people. I love every one, the world, whether they're sinners or Christians. I--I feel that in my heart.

E-7 Every one of us, Jesus died for all of us. I see the men sometime out on the street drinking, and I see them gambling, and I but... And some of them cursing and so... That doesn't turn me against the person. It just only makes me know that Satan is doing that. That's my brother, and it's--it's... I... Just hurts me to see Satan having...?... like that. Now, if I can say something to him to win him over to our Lord Jesus where he can have Eternal Life, why, he will stop that. He--he is my brother. He's just fallen, and I love to help him up. See? And that's truly from my heart.
And if I should die tonight the--the testimony that I have given which has now went around the world and I... If I should die tonight, and this would be my last sermon that I'd ever speak, or last prayer line I'd ever pray for the sick, my testimony's true. And if I'd meet you at the judgment, you'll find out that I have only testified what is the truth of Jesus Christ and His mercy.

E-8 Sometime ago, just in this little testimony, I was at Houston, Texas, and I was having a meeting. We were having somewhat about eight thousand in--in a coliseum, and Mr. Bosworth and I was together, my brother here. We're having a lovely meeting. Raymond Richey and many of churches around was sponsoring the meeting, and there came a man...
I have plenty of critics. We know that. We're bound too. If Jesus had them, well, I've got to have them too and so have you. We all have them. But there was a man just out of the seminary, and he was a very smart, brilliant man. He was a doctor, had just got his degree, and he was a--a Baptist minister. His name was Doctor Best, and he was a very brilliant young man. He had a--a nice tabernacle there, and a very fine following. And some of his people was coming over to the meeting, and so he took the--the side to say that there was no such a thing as Divine healing.
Well, Mr. Bosworth in fixing the itinerary and the advertisement, and--and Mr. Richey and many of the other ministers had hung a sign out in the street said, "Miracles every night."

E-9 Well, Mr. Best said, "Well, that was ridiculous, and there was no such a thing as Divine healing," and he put--and he put a challenge in the paper. Instead of coming to us, he put a challenge in the paper and said, "William Branham is a--a religious impostor," and said, "that he should be run out of the city, and I should be the man to do it."
So I didn't think it sound very Christian in my brother, but that was all right. And Mr. Bosworth came and he said, "Brother Branham, look at this." And he--he challenged me to debate the subject of Divine healing with him openly before the people. Well, I'm not a debater. I don't believe in fussing. I--I preach the Gospel. If the people believe it, why, all right. If they don't, that's all I can do about it. And...

E-10 Now, you never make anything by fussing and debating. Don't never do it, 'cause you just make enemies. That's all. I've seen too much of it. So Mr. Bosworth, he came and he said, "Brother Branham, look at this."
I said, "Brother Bosworth, just let it alone." I said, "We got thousands of people to be prayed for, and why would we fool with one person who doesn't believe, when there's thousands waiting to be prayed for who does believe?" I said, "Why fool with it?"
Well, the next day the minister put in the paper, a great headline in Houston Chronicle, and he said, "It goes to show what they're made out of. They're ashamed and afraid when the real Gospel is laid out before them, to debate the subject." Says, "It shows what they're made out of."
Well, here come Brother Bosworth to my room again. He said, "Looky here, Brother Branham. Are you going to take that?"

E-11 And I said, "Why, Brother Bosworth, it won't do any good." I said, "I... The Holy Spirit is with me. He promised me He would do, and I--I'm--I have the anointing to pray for sick people, and I just won't fool with it."
He said, "Let me do it." And said, "Let me..." said, "It's a shame." Said, "The public will think that we're just a bunch of people that just--just flying about." Says, "There's no Scripture to it or nothing." Said, "We owe it to the public."
I said, "I--I only owe the public what God told me to do."
And he said, "Well, Brother Branham," he said, "it's not right." Said, "Them men hasn't got..." Said, "I can produce hundreds of Scriptures and I... and they haven't even got... That man hasn't got one--one Scripture in the Bible to stand on," and said, "let me prove it."

E-12 Well, I thought of Caleb, you know, when he--that old fellow that had the sword and said, "Joshua put this in my hand when I was forty years old," and said, "I'm eighty today. I'm just as good a man today as I was when Joshua give me the sword." Well, I thought, "That was pretty gallant of him being in his seventies and Mr. Best in his thirties," I thought, "just fresh out of the seminary."
I looked at him and I said, "Brother Bosworth, I don't want you to go down there and fuss with that man."
He said, "Brother Branham, I wouldn't fuss with nobody." He said, "I wouldn't do it, but I know one thing: I know what the Word of God teaches." He said, "Now, I think you owe it to say something about it."
I said, "All right. You go do it then, but you promise me you won't fuss."
He said, "I promise."

E-13 Well, like a little child with Christmas anticipations, down the steps he went. The reporters were waiting. They wouldn't let them come to the room up there, and I--and so I said, "I wouldn't fuss with him."
So Brother Bosworth, he went down, and then, of course, you know how the newspaper can write. Great big headlines "Ecclesiastical Fur Will Fly," and they really decorated it up real good. So they... The next day... But here's what made me know that someday the great Church of God is coming together just as sure. You're going to forget your diff--your differences.
When communism goes to forcing you right hard, don't worry, you'll come together. God has a way of doing things. See? And so when the great press come on, there's a strange... We couldn't fit in that coliseum anymore, we had to... We couldn't stay in that place we were at. We had to go over and rent the big Sam Houston Coliseum, seats around thirty thousand.

E-14 And that day they come in by special plane, special trains until that place packed completely full of people. They didn't care whether they was Methodists, Baptists, whether they were Pentecostal Oneness, Twoness, Threeness, or Church of God, or whether they was riding a one hump camel, two hump camel, or whatever it was. There was one thing in common, and that was Divine healing was at stake, and every man believed in it and here he come to take the part of it. That's what it takes.
Wait till Christianity comes to that spot, and you'll find all the Methodists, and Baptists, and all of them looking just alike then, everybody coming right together, pressing into the Kingdom of God.

E-15 And I--I just... That settled it with me that day, when I looked back there and there was thousands of all different descriptions of people setting there from all kinds of churches, Catholic and all, everybody placed together.
And so I told Brother Bosworth, "I wouldn't go down that night," I said, "No, I don't want to hear it." And I... And my brother was with me, and my wife, and little girl.
He said, "Well, you just stay up your hotel." I was staying at that time at the Rice Hotel. So I went to the... When it got time to go, I just couldn't hardly stay away. So I--I got in the cab, and a couple of police come and so they taken me down. And I pulled my overcoat up like this, and we went way up in balcony thirty. And I got a seat up there just before all the crowds got packed in.

E-16 And I was setting there with my coat up, my wife and boy setting there. Well, when he come up for the discussion, the moderators and so forth come to the platform. Mr. Cy Ramsar, who used to be Paul Rader's song leader, was leading songs for us. And he was singing. Very much of a diplomat on the platform, he was leading the singing, and just before he turned the service over to the moderator, he said, "I was reading in the paper the other day where that someone said that William Branham ought to be run out of the city a religious impostor. Said, "If you people of Houston would put more time running bootleggers out of the city than you would do a religious man like that," said, "your city would be better off." And a great roar went up all through the place.

E-17 I thought, "Well..." And I looked at Brother Bosworth... I'm not saying this because he's setting behind me, and I believe his wife, and son, and daughter-in-law and them's, setting present somewhere here tonight. I'm not saying this... But I admired him. And he walked out, and Mr. Best when he come over, he went and hired photographers to come, take his picture.
And he wanted to take his picture. He said, "I'm going to skin that old man, and take the hide off of him, and tack it on my study door for a memorial to Divine healing." Quite a statement for a child of God to say, you know, but, so they... He said that. And so he wanted to take the picture.
So they hired the Douglas Studios in Houston, Texas, to come, take his picture. And so Mr. Bosworth who'd never been in a debate before, and so he wanted Mr. Bosworth... Mr. Bosworth thought they would just stand and give Scriptures and discuss them. So Mr. Bosworth had a great load of Scriptures wrote out. He said "Mr. Best, if..."

E-18 And Mr. Best said, "No, you go up and say what you're going to say in thirty minutes. Then I'll say what I've got to say in thirty minutes."
So well, they agreed on that, then had a...?... at the last. Well, I was setting listening wondering what was going to take place. Well, when I seen my Brother Bosworth walk out there coolly, knowed just where he was at, with no doubt in his mind, he said, "Dr. Best," he said, "we're sorry that we have to have discussions like this." but said, "You had a statement in the paper that Brother Branham was a religious impostor and there was no such a thing as Divine healing." Said, "Now, our subject tonight to discuss is not Brother Branham; it's whether Divine healing's in the Bible or not. That's what you--the debate's for. That's what we signed up for: Whether Divine healing was taught in the Scriptures."

E-19 He said, "The gifts of God will prove themselves, but this is what we're teaching whether Divine healing's in the Bible or not." He said, "I have (I forget how many Scriptures there, a hundred or two) he said, "This is Christ present, His attitude, present attitude towards the sick is just the same today as it ever was." So many Scriptures he had... Said, "If you'll take one of those Scriptures, and by the Scripture disprove it, then we won't have any discussion. I've lost the debate, and I'll set down, if you can take the Scriptures and prove that Christ's present attitude isn't just exactly the same towards the sick now as it ever was." And he offered him a paper.

E-20 Mr. Best said, "I'll take care of that when I get up there." Said, "You go ahead with what you're going to say." Said, "I'll take care of that.
And Mr. Bosworth said, "Then Mr. Best, I'll ask you one question, and if you'll answer me yes or no, I'll set down." He said, "Was the redemptive Names of Jehovah applied to Jesus, yes or no?" I never thought of that myself. That settled it. That's all.
He said, "I'll answer that."
He said, "I'm asking you to answer me now." Said, "We don't have to discuss it, if you say yes or no." 'Course he couldn't. Certainly not. If the--if the redemptive Names of Jehovah was not applied to Jesus, He was not the Christ or the Son of God. He wasn't Jehovah-jireh, the Lord's provided Sacrifice, and if He was the Lord's provided sacrifice, Jehovah-jireh, He was also Jehovah-rapha, the healer, the same yesterday, today, and forever. That settled it. See?

E-21 So Mr. Best got up and turned around and kinda shook his fist two or three times and set down. And so Mr. Bosworth stood there and just laid off Scripture. And I never heard it like that in my life, just as coolly, and placed everything to a place where Mr. Best didn't even have one place at all to go to in the Scripture. He just was just tied so perfectly, till there was no angle to get out of it. He was just tied down.
Mr. Best got up when his time come, and Mr. Bosworth was a very, very polite way, said, "Mr. Best, all right my brother," said, "the platform's yours now." The moderator give him the platform.

E-22 Mr. Best got up there and laughed two or three times and preached a very good Campbellite sermon. I'm a Baptist. I know what Baptist doctrine is. So he preached a Campbellite sermon on the resurrection. He didn't even believe the miracles of Jesus Christ did. Lazarus died again. He preached in all in the resurrection when this mortal puts on immortality. Of course, any Christian believes that, that there'd be a resurrection, but if there's no attributes of the resurrection, if there's no earnest of the resurrection, then there is no resurrection.
If there is no Divine healing, then there is no resurrection. Now, you couldn't disprove that if you could by the Scripture. See? I'm arguing the points of Christ. See? Because we have the earnest of our salvation, which is the baptism of the Holy Spirit. Is that right? That's the down payment, the earnest which holds it secure in heaven for us. And then if there is no Divine healing to make a cancer ridden body come normal and well again, there is no resurrection of the dead (That's right.); we have no earnest of it at all; there's no plan made for it. So that settled it. Mr. Best commence to going on, and the audience actually laughed at him.
And so he said, "Let me see that Divine healer come forth and perform." He got real angry, and he said, "Let me see that Divine healer come forth and perform."

E-23 Mr. Bosworth said, "The very idea, Mr. Best, you calling Brother Branham a Divine healer." Why, said, "And never in all of his life did ever claim to be a Divine healer, very much contrary. He only preaches Divine healing through the atonement, just exactly like what I proved to you. And you've even mentioned one Scripture that I said or come to any of it. You never done nothing but preached on the resurrection of the dead, and we all believe that. So there it was. It was up the audience to make their choice.
He said, "Let me see that Divine healer."
He said, "Brother Branham wasn't to be brought in this. The subject is whether Divine healing's taught in the Bible and you can't say one word against it. See? 'Cause if you can, say it now." So there wasn't nothing to be said, 'cause there's wasn't no way he could go, 'cause it was all covered over with the atonement and everything. So there it was. There wasn't nothing to be said.
He said, "Let me see that Divine healer."

E-24 And Mr. Bosworth said to him said, "Brother Best, do you believe that God saves the soul?"
He said, "Yes."
"You teach that through the atonement?"
Said, "Yes."
Said, "Would you want to be called a Divine Saviour?" Said, "If Brother Branham, by preaching Divine healing, is a Divine healer, then if you preach salvation, you're a Divine Saviour." See?
So... Oh, he got really on the air then, and so he begin to blow up and down and said, "There's nothing in the world decent--in a decent... Thinking people don't believe in such nonsense." He said, "Baptist don't believe in no such a thing."
Said, "Whoa, beg your pardon," Brother Bosworth said. "Brother Branham was rocked in a Baptist cradle." See? Said, "That's right."
"Oh," said, "he's a backslidden type." See, backslidden type... He said, "There's no such..." Said, "Real true honest Baptist don't believe in no such."

E-25 Brother Bosworth said, "Would you excuse me just a moment?" Said, "How many setting in this vast audience that belongs to these fine Baptist churches with all these Baptist ministers setting along here," said, "how many of you in this audience could prove by a doctor's statement that you've been healed by Divine healing, the power of God, in Brother Branham's meetings these last few weeks." And three hundred stood up. Uh-huh. Said, "What about those?"
Mr. Bell hit the pulpit with his fist and said, "People can say anything, but that don't make it right."
But said, "Here's the Word teaches it, and there's the testimony of it. Now, what about it?"
And he said, said, "Let me see that Divine healer."
And then Mr. Richey got up. He said, "Just..." ask the moderator if he could speak just a moment." He said, "I know every one of these Baptist ministers." Said, "Is this the attitude of the Southern Baptist Convention towards Divine healing?" Thirty thousand people... "Is this the attitude that the Southern Baptist Convention takes toward Divine healing?"

E-26 Nobody would answer. He said, "I'm asking you, brethren. Did you all send this man here, or did he come on his own?"
They said, "He come on his own."
"I thought so. Baptist believe in Divine healing. Certainly they do." And so I--and so he said, "He come on his own." So that settled it with the Baptist, Southern Baptist church. It was Mr. Best his own self.
So then he kept saying, "If I see that miracle worker. Let me see him come down here... Let me see him hypnotize one of these people, and let me see him a year from now and see if he's still hypnotized," and all like that, you know, just going on. So he said, "Come up here. I want you to take my picture."
And he stood there. Why, then he put his finger under that saintly old man's face. Said, "Now take it," with his finger shaking. They took the picture, and he drawed his fist and shook it under his nose, you know. Said, "Now, now, take it." And they took his picture like that. So they took six, nine by ten glossies of him like that.
They went back. There set the "Look," "Life," "Time," "Collier," and all those, the "Chronicle," and all those magazines and papers setting there.

E-27 And then Brother Bosworth said, "Well, now the meeting as far as I'm concerned is--is finished." He said, "Mr. Best cannot answer one question against Divine healing, besides he's miserably quit. Said, "How many thinks so? Say, 'Amen.'" And just one great scream went over the building.
And then he got real angry, and walked around, and slapped the minister, and just about half way across that platform. And then they had to separate him. So then he walked back. Said, "Bring me that Divine healer."
Brother Bosworth said, "Now, Brother Branham is setting in the meeting. I know he's here." 'Cause he seen me up there. He said, "Now if he wants to come and dismiss the audience, all right," but said, "under such a fuss as this, of course, no, he couldn't pray for the sick," said, "if you want to see healing come, come over tomorrow night. They'll be going along all along," and said, "I know he's in the meeting."
I was setting still. My brother was setting there, he said, "Now, you set still. You said you would."
I told him, "I'm setting still."

E-28 So he--he said, "And you..." And while I was setting there like that, I heard Something going, "Whoo." I knew He was near. I raised up. My brother said, "Set down."
My wife said, No... I looked (See?) and there It was. Just then everybody was looking around. They didn't... No one knew I was up there. And there just thousands of friends there. And I looked back, people looked, like one big scream. Poor, dear, loving people, they'd seen so many things done that week. Till several ushers, hundreds of them, held their arms together that and made a line, the people trying to touch your clothes to be healed. Brother, this is not something easy. I'm human. I've got children at home, and mother's trying to push their little kids through those ushers arms to touch your clothes when you're passing by. God will reward faith as that. He will, sure.
And I walked down to the platform. I said, "Brother Best."
He said, "As a man I admire you. In your doctrine you're wrong."
I said, "That's mutually felt." And I said, "I--I admire you, Brother Best, and you got a right for your--for your ideas." I said, "That's why you're fighting over here in Korea, is the boys is to keep this America: every man to his own opinion."

E-29 I said, "I don't want any of this people, any of Brother Best's people or any of the Baptist people, anyone to feel bad towards Brother Best." I said, "Don't do that. He's our brother, and he just doesn't see it like that. He--he just believes it his way, and he's got a right to believe it his way." I said, "Remember, his mother loves him just the same as my mother loves me, and your mother loves you." I said, "He's somebody's boy, and he's got a right to his belief. So don't feel hard at it. It's just... Mr. Bosworth just proved by the Word that the doctrine is sound and in the Bible, and Mr. Best could not prove it."
And so Mr. Best just turned around and started off the platform. Then he turned back and looked and set down. And I said, "Now, I have never said that I was a Divine healer." I said, "Never." I said, "My books are published in about seventeen different languages," and I said, "and I guess I'm in contact with several million people, but never have I said a Divine healer. I don't heal people."

E-30 I said, "The only thing I do is preach Divine healing by the cross and by the Bible." And I said, "Now, when I was a little boy," I said, "my mother said a Light hung over me when I was a baby. My people were Catholic before me, and my mother and father went to no church. We were Irish on both sides, immigrated from Ireland." And so, I said, "We were in there. They didn't go to church."
"I was born in a little mountain cabin and," I said, "when I was just a little bitty boy, It begin to deal with me. Down through life It always spoke, and many many times and thousands of people have seen It. It comes in like a Light." And I said, "It tells me things. And when He met me, He told me that it was the Spirit of Lord Jesus Christ that done just exactly the same things that Brother Bosworth and them has said tonight. Jesus didn't claim to do any healing. He said, 'What the Father shows Me I don't do nothing. I can heal nothing, but just--I do just what the Father shows Me by vision; that's what I do.'" And you know that's the truth, isn't it? Every Bible reader, scholar knows that's the truth.

E-31 Said, "He walked through the crowd. He perceived their thoughts. He knowed what they was thinking about. He knowed what was wrong with them. He knowed the woman at the well, and He talked to her a little bit, where her trouble was. He knowed Nathanael's trouble. And--and He knowed where a fish had had a coin in its mouth. Just as God would show Him He would do." I said, "He didn't claim to be a healer."
"In the resurrection of Him, He's the same yesterday, today, or forever." And I said, "Now, if I testify of the truth, God will testify of me. If I do not testify of the truth, God will never have nothing to do with a lie. God will always testify truth though."
And I said, "I'm not out here just to be seen. I'm out here, not by choice, by a long ways; I wanted to be a... Well, I was a game warden in the state of Indiana, and I loved my job. I was borned for the wilderness and wilds. I certainly... It wasn't my choice to preach the Gospel; but woe unto me if I preach it not. It was God's choice. I run from it and tried to get away from it and everything." I said, "It was Him Who brought it." And now, I said, "If I tell the truth, God will testify the truth."

E-32 And I no more than said it, Something went, "Whew!" Here He come, sailing right down where I was. And this photographer run out and took a picture, when he seen me turn white in the face. And he took a picture. I said, "God has spoken."
And that's all Catholic people and all setting there saw It, looked at It. And many of them begin to scream and fainting. Come right down, a Pillar of Fire, moved right down to where I was at. He shot the picture.
And the man... One of the men of the studio was a Jew. His name was Ted Kipperman. The other one's name was Mr. Ayers. He's a Roman Catholic. And oh, he just wrote a awful thing in the paper about me the other day--the day before that. He said I was a hypnotizer and I don't know what all.
And so on the road home that night, taken the--the negatives, going in to have them developed for Mr. Best. He said, "I might've been wrong." Said, "What do you think about that, Ted?"
Ted said, "Well, I'm Jew. I don't know nothing about it."

E-33 He said, "Well," he said, "I'm Catholic," and said, "we're taught that those things can happen, but it can only happen in a Catholic church."
Now, you're wrong there. See? It can happen wherever God wants it to happen, whether it's in Catholic church or--or anywhere He wants it to happen. He's God. He does the choice. He keeps the book.
And so he went in, and he put the--the pictures in the dark room to go through the acids to be developed, and the next... After a bit, why, Mr. Kipperman, he said, "I'm going up and lie--lie down a little while." And so he went upstairs to lie down.
And while he was up there, Mr. Ayers smoked a cigarette or two, and went in the dark room and said, "I'll see. We had to get the picture ready 'cause Mr.--Mr. Best--Dr. Best, the minister, wanted his pictures the next day so he could show it to the people," he was shaking his fist under his nose.

E-34 So then when he... The next when Mr. Ayers went in, which is an arch enemy of mine and Brother Bosworth too. He didn't believe it. He wrote a piece in the paper and said I wasn't nothing but a hypnotizer. A goiter had left a woman's throat. He said, "He hypnotized that off of her throat." Oh, my. That shows mental weakness.
So then when he pulled the first picture out of Mr. Best with Mr. Bosworth, it was negative. God wouldn't permit that taken against that saintly old man. He pulled out the next one: negative. He pulled out all six of them, and every one of them was blank. And when he pulled out the other one, there was the Angel of God on the picture. He had a heart attack.
They sent for me at the Rice Hotel. Of course, there's two men standing at the door in big meetings where they have thousands and thousands of people. There's someone stands at the door. They wouldn't let them in. All right.

E-35 And then that night at eleven o'clock, that was sent to Washington, D.C. to be copyrighted. On the following day it was flown back again. And they called in George J. Lacy. He's the head of the FBI in fingerprint and documents, the best there is in the world, the best in the United States. So being American, we say he was the best in the world to us.
And so he's the head of the FBI. And they brought him in, and he took it to the Shell Building under examination of ultra-ray lights and so forth, everything he tried. He went out and he measured the distance, and took the camera to see if it was a double exposure, and he--he done everything that he could do to find out. And on the... about the fourth day he said they was going to meet in the Shell Building and give the announce what it was. So that day he said, "Who's name's Branham?"

E-36 I said, "Mine." Bunch setting there, a lot of the newspapers and things wanted to see what his report was.
He said, "Stand up." I stood up. He said, "You're going to pass out of this life someday like all mortals, Reverend Branham."
I said, "I'm aware of that, but thank God," I said, "Jesus Christ has saved me from sin."
He said, "I've been one of your critics." See? And so the man when he brought up there, he said, "Reverend Branham, it's always been said that that was psychology." Said, "I've heard of your meetings and said that it was psychology, wasn't nothing to it. It was just imagination. When that light would come in, everybody'd say, 'There it is. There it is,' and people would say, 'Well that's...' Everybody just imagined it."
It was took once before by a newspaper, but it wasn't--it wasn't real. They wouldn't let it go, because it wasn't by the American Photographer Association. It wasn't a member of it, so they wouldn't pass it, but this was strictly the American Photographer Association.

E-37 And he said, "Reverend Branham, I have said it was psychology, but the mechanical eye of this camera will not take psychology." Said, "The Light struck the lens." Everybody begin crying.
So they called me forward to present the picture to me, and I said, "Well, it's not mine. It belongs to them."
He said, "Do you know that's worth a hundred thousand doll..."
I said, "Brother, do you mean to tell me just what you got through saying? That the first time in all the world's history that a supernatural Being was ever photographed." And here's what he said. Said, "The old hypocrite..." (he meant the unbeliever)... "The old..." (unbeliever) "has always said, that there was no scientific way to prove a supernatural Being." Said, "Now, they can't say that no more. Here's absolutely, scientific proof that there is a supernatural Being." See? And scientifically proved by this mechanical camera here that took the--the light of that Angel standing there, and said, "It's absolutely is the truth."

E-38 And I said, "Well, if Jesus Christ thought enough of me to come down and have His picture taken by me for the first time in all the world, you think I'm a little enough to commercialize this picture?"
And he said, "No, I wouldn't think that."
I said, "I turn it over to the Douglas Studios."
He said, "There ought to be some kind of an agreement."
I said, "Sure. They can sell it." And I said, "They can, as long as they keep it cheap enough that poor people can get it."
He said, "Someday, Reverend Branham, you may be dead and gone," but said, "it'll be sold in ten cent stores."
And I--I said, "Well, for the glory of God that would be fine."

E-39 So then, tonight the picture's here. George J. Lacy is a living today. He's still in this work, and the picture lives on and if--if I would die this night, what I testified about this scientific world can't say it isn't so, because there's scientific machinery and proof that I've told the truth. And the church of millions of people that's been preached to in the past few years have seen it and watched it, and you know it yourself, that I've told the truth. And God testified that it is the truth. That's right. So the testimony is absolutely true.
Now look, Christian friends. You're looking for something way out yonder to come. You're looking for something way back this a way. Don't do that. It's right here now, right here now. Just as much as you'll ever see is... Only you might see it in greater quantity, but the Holy Spirit is here now which is the Lord Jesus Christ in His resurrection.

E-40 How marvelous. I remember something else happened there when Brother Bosworth come into the room the next day. And he had the picture of Florence Nightingale. How many ever heard of Florence Nightingale? Sure, she's founded the Red Cross.
Her granddaughter from London, England. She's under of the British Crown and in Durban, South Africa, dying which she didn't know about with cancer on the--the duodenal cancer in her bowels. They showed me her picture, and Brother Bosworth, I, and my wife, all wept when we seen it. She was next to the smallest woman I ever seen in my life. Eat up, her limbs up here around the--the thigh wasn't over about that big around and her...

E-41 Now, Georgie Carter of Milltown, Indiana, which had been laying on her back nine years and eight months was healed with TB by a vision. I didn't even know where the place was and went down there, and there she was just as He said. She's my piano player in the Milltown Baptist Church where I'm still pastor down there, have an associate tonight. She's a piano player there and been on her bed for nine years and eight months, and never moved from the bed. But, and but she only weighted thirty-five pounds approximately, but TB had eat her up. But now...
Now, that's not my statement. That's doctor's statements and any of these things are absolutely doctor's statements. If they cannot back with a doctor, they have to be proven and not by ministers, not by... They had to be proven by doctors before we can put them, because they have to be that way. And now, she--she was healed.

E-42 And Florence Nightingale, very lovely woman, they wanted to send a... They had two airplane tickets that'd already come in for me to come to Durban, Africa. I laid it on the floor and Brother Bosworth and I prayed. I said, "Lord, if You'll heal this woman, I'll go to Africa. I can't go now. Looky here." So I just committed it to the Lord, sent a handkerchief back to her and went on.
Not long after that King George of England when a man by the name of, I forget, at Fort Wayne... You remember the meeting in Fort Wayne Gospel Tabernacle. The Lord had... It was a businessman of the city. He had multiple sclerosis and had been a bed patient ten years. And a vision come over the man, and he was made perfectly whole. Walked... Lehman was his name. Walked up...

E-43 And he was a friend to the king's private secretary, and through there King George of England sent word to me. I have his statements and have his letters of his fields and every... To come pray for him of multiple sclerosis, and so I couldn't go up that time. So I just wired back and told the king that I would pray for him here, that God would hear here just the same as he would over there. And so, then another telegram come through and wanted me to come on over immediately.
Later when I went to England, over there, to see him, and the Lord healed him. He was--couldn't even stand up over five minutes at a time, and he... I believe the second day he played eighteen holes of golf, and never was bothered with it no more until the very day he died. And I was in Africa when he died. They found a little tumor here on his lung. They started to cut it open and air got to it some way, I don't know, and caused a blood clot to go to his brain and killed him instantly. So very fine man...

E-44 But when we landed in--in England at the international airport, thousands of people, of course, had packed in. And they kept paging in there. And Brother Baxter, one of the managers, went in to find out what was--what they wanted. And it was a man said, "The plane... Florence Nightingale is laying in a plane dying."
How she knowed I was there, I don't know, but she'd come from Africa, flown in there and was laying dying out in the next plane. And so the--the minister said, "Could..." wanted to know if I could go to her. Why, they was just packed and jammed in there. Certainly, I... Why, I couldn't have got through there if I had to. And I said, "No, I couldn't go right now." I said, "You take her to your house, and I'm going over to Piccadilly Hotel, then down to Buckingham Palace, out to Westminster Abbey. Then I will be right back at Piccadilly Hotel, and you take her to your parsonage." It was an Anglican minister. I said, "Then I'll go over and pray with her."
He said, "Brother Branham, she won't live."
I said, "Well, I can't get to her there, sir. You know what it'd be if I get out of this line here--what it would be.
He said, "Well, all right. I'll try." So he said, "They think she's dying. They can't see any life in her now."

E-45 And so I said, "Well, you take her on then, and we--we'll see 'cause I can't get there." Well, I went on--went on down. The king wasn't in at the time. I come back over to Westminster Abbey, and a great group of ministers, you know, and all that night they never got me back to the hotel till about, oh, two o'clock in the morning. And about...
Then the next morning early... Was anybody here ever in England? It's around in April. It's so foggy. Oh, my. You can hardly see your hand before you. And a little bitty car drove up and they come and got me, went down to this minister's--to the rectory. And when I went upstairs, some of the managers, Mr. Gordon Lindsay, you know the writer of the "Voice of Healing," Mr. Baxter and, oh, many managers, we went up to the room. And when I went in there, there set her doctor, two nurses and two or three ministers.

E-46 We entered the room. And we were very--had a very fine welcome by the people. And so I walked over to see Mrs. Nightingale. Now, if she hadn't eat a bite that would've been, I guess, two months before that or more, well, hadn't it, Mr. Bosworth? Now, she hadn't eaten a bite since then, and her limbs then we just about like that, and her legs were all blue, where they'd... Her veins had collapsed, and it was a terrible looking sight.
So I looked at her and I seen her face how thin and all eaten away. And I said, her doctor there, I said, "Any chance for her?"
He said, "Not a chance."
I said, "Oh, my. That's too bad." I walked over. I said, "How do you do, Mrs. Nightingale?"
She couldn't speak. She was moving her lips, but she didn't have strength enough that I could hear her. The nurse got down, and she said, "She wants to shake your hand, Brother Branham," the nurse said.
Of course, her grandmother being the founder of the Red Cross, you can imagine what she had: the best that could be gotten. So when they brought that woman's hand out from under that sheet. It was just like taking a hold of that. I never seen... I took a hold of her hand and it's just like a skeleton. The bones had already just come to skin tight. Not a bit of flesh was...?... And her face here was just like where her jaw, where you could see her teeth here, the shape of her teeth through her jaw her--her cheeks here. Her teeth was shaped into her cheeks like that when she'd go to open her mouth.
I never seen anything like it alive. I said, "How's she living?"

E-47 They didn't know. And so she was crying, and the nurse got down again. She said, "They want you to see her body. She wants you to see her body." Well, I've got a mixed audience. Now, I'm your brother, but when they taken the sheet off of her body, it--it would break the heart of an iron man.
As the lady is, her bosom, breast, had dropped plumb through her ribs. And in the hip here, the flesh had just about sticking to the ring. Her legs here, up here, was about that big around. Her stomach part in here was just about like that. How that woman was living I--I can't tell you.
She couldn't move, couldn't move a finger nor nothing. And she was weeping, and the nurse got down. She said, "Reverend Branham, she wants you to pray to God, to have God to let her die. She can't die."
And I said, "Oh, my." Brother Lindsay turned away, and many of them started weeping, walking away. They walked over there to where the doctor was standing.

E-48 I stood there a little bit, and the other nurse said, "Reverend Branham," said, "she sure has had lots of faith in you." Said, "She's read your books, and she said when she was in Africa, if she could ever get where you were, that God would heal her." Oh, such faith.
And I said, "Can we pray?" We knelt down. I don't know how you're going to believe this, but God knows what's true. And we're all going to meet at the judgment seat. And I knelt like this, and the ministers and all of them knelt around, doctor also, and the nurses. And there's a window about this high. And I knelt down by the side of that window, and the window was up.
And I started prayer, "Almighty God, Creator of heavens and earth..." I couldn't ask Him to let her die after her having that much faith. I said, "Have mercy upon her, God. I pray that You will."

E-49 And just as I started saying, "Almighty God, Creator of heavens and earth," down through them bushes come a little dove, and it flew and set on this window, not over that far from where I was praying, and it kept looking over at me going, "Coo, coo, coo."
Well, the ministers stopped praying. They started watching the dove, all of the rest of them. Well, I thought it was just a... I never been in England before. I thought it was a pet or something, so I just kept on praying. And when I said, "Amen," and raised up the little fellow flew back out to the bushes again, laying, after laying, going, "coo, coo, coo." Just restless, walking back and forth, up and down the sill. And I raised up, and I heard them begin to say, "Did you notice that dove? Did you notice that dove?"
And I started to say, I said... Was going to say, "Yes, I noticed the dove. Was it a pet?" And as I started to say that, Something caught me and said, "THUS SAITH THE LORD, she'll live and not die."

E-50 She weighs about one hundred and fifty pounds now in perfect health, normal and well as she can be. See? What was it? Did I heal the woman? No, no. I had nothing to do with it. God did that.
Amazing grace! how sweet the sound,
That saved a wretch like me!
I once was lost, but now I'm found,
I was blind, but now I see.
... grace that taught my heart to fear,
It's grave my fears relieved;
How precious did that grace appear
The hour I first believed!

E-51 I love Him. I declare to you, my little audience tonight, that Jesus Christ has risen from the dead. And it's not as people try to say, that all of His power was taken away from Him, and it was just allotted to the disciples. He said, "Go into all the world. I'll be with you, even to the end of the world, and these signs shall follow them that believe to the end of the world," Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. He's here. His love is for you to save you. His power is here to heal you. The only thing that you have to do is to believe Him. Will you do that tonight while I pray for your people? God bless you while we bow our heads.

E-52 Loving Father, as I think tonight of a cruel indifferent world towards Your beloved Son. As I think of how that man spurned His love just as He did that day and desired a murderer instead, how can Your grace dip down yet and save people, beyond anything that we know of?
We're so happy that You do it. We confess our sins and our unworthiness, Lord, to even speak Your Name, Thou wonderful, loving, holy God. And we're so thankful that Jesus came to us in such a dark hour for us, and has redeemed us now back to Thee. And now we're Thy sons and daughters.
How the world tonight... How Satan has blinded the eyes of the people. How they don't see that, how they don't believe it. How can they reject that, Father, knowing that You created even the trees, the heavens, the earth, the solar system? The whole heavens and earth You made, and just spoke it into existence. And then to know that that same God has loved us enough to give us birth to become His sons and daughters, and given us equal rights with Jesus Christ, as His brother in glory, joint heirs with Him in the Kingdom, how we thank Thee.

E-53 And now, Father, there's many of Your children out in sin tonight. I pray for each one. Don't let them be lost, Lord. Do something. I think about our lovely, beautiful America here. I think about Florida, oh, so far away from God. Down here in this beautiful country where people have their minds on property and things of this world and pleasures, and gone pleasure mad, races and drinking, and gambling and devicedness, and they're Your poor children, Father. Satan's did this. Don't hold it against them. I pray You won't, God. I pray that You'll do something that'll save every one of them. Grant it, Lord.
Now, tonight this is the little audience that You gave me to preach to and to pray for, and I'm thankful. And God, I pray that every one that has come here tonight, that not one of them would be lost but everyone will be there at that day.

E-54 And O Holy God, Divine Father, when I come at that day, may my testimony ring just as true then as it is now. Thy knowest my heart. And I'm so thankful that You've vindicated it to be the truth, not because Your servant has said it, but because by Divine grace You have done it. And I'm so grateful.
Now I pray that You'll heal every person here that's sick tonight. Every person that's needy of anything, may they go out of here happy and healthy. And on their road home may they say like those who come from Emmaus, "Did not our hearts burn within us," because they had found that Jesus had risen from the dead.
May they find it tonight here, Lord, in West Palm Beach, that Jesus Christ has risen from the dead living in His people, doing the same things He did when He was here on earth. And Your great Pillar of Fire which was Your Spirit that followed Israel has come to us. We see It. We know It's here. It speaks for Itself. And the scientific world has caught a picture of It. We're happy for that.
And now, Lord Jesus, may He confirm His Word tonight in Jesus' Name we ask it. Amen.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-55 Divine providence of God you might disagree with me which I know. I could call you right now, many of you that's doing it, but that don't stop it from being true. I pray that God will do something tonight that will make you a believer, that will make you understand it. May the Lord bless you. His Presence is here.
What if Jesus has risen from the dead? As Christians we ought to believe that. That's the very basic principle. All of His teaching, all of His works, all of His miracles died with Him if He didn't raise from the dead. But if He's risen from the dead...
Doctor Reedhead... How many ever heard of him? Sure, you have. He's great man, the President or something of the Sudan Missions. He stood by me not long ago before he received the Holy Spirit, said, "Brother Branham," talking to a staunch Mohammedan, he said, "why don't you renounce your dead prophet and accept the resurrected Lord?"

E-56 And said the Mohammedan said, "Kind sir, what can your resurrected Lord do anymore for me than what my dead prophet can?" Said, "My dead prophet promised life after death," and said, "so did your Lord." He said, "They both wrote books. We believe them."
Well, Dr. Reedhead said, "We have happy and joy."
Said, "So do we." Any psychologist knows that. See?
Said, "We have happy and joy by believing."
Said, "So do we."
"But we have the proof of it."
Said, "How do you prove it any more than we can?"
Said, "Well, it changes us and makes Christians."
Said, "So does it make Mohammedans." He said, "Kind sir, our Mohammed never promised like your Lord did. Our Mohammed is dead and in the grave, and we got a white horse stands there year after year. Someday he will rise," but said, "you claim that your Jesus rose from the dead." And said, "Your Jesus promised you that if He... after He was risen from the dead that He'd be with you, and the very things that He did you'd do also." Said, "Now, let me see you teachers produce that, and we'll believe your Lord Jesus raised from the dead." but said, "Let--let our Mohammed raise from the dead and the whole world will know it."

E-57 Dr. Reedhead said he changed the subject. He had to. There was nothing he could do. He was whipped standing right on the ground. Yes, sir. He said, "Brother Branham, I thought of you." Said, "If I could ever get to where you was..." And he come there said, "Has the teachers been wrong?"
I said, "With reverence I say, yes, Brother Reedhead."
He said, "I've seen Pentecostalism. I've seen all the holy-rollers and all that kind of stuff," and said, "I've been taught in degrees and everything else." Said, "Brother Branham, I'm asking you. I know you're fundamentalist yourself." Said, "I'm asking you, is the baptism of the Holy Ghost truth?"

E-58 I said, "It is, Dr. Reedhead. God is my Judge. The same Holy Ghost that fell on Pentecost is the same Lord Jesus today in the full thing kind of power."
He said, "Can I receive It?"
I said, "Yes, sir."
Said, "When?"
I said, "Right now."
Said, "How do I get It?"
I said, "By laying on of hands." Prayed for him, laid hands on him, God give him the baptism of the Holy Ghost.
Then come Dr. Lee, come the rest of them, Don Wells, may... And the archbishop from India, the archbishop come over here, investigating around and's received the baptism of the Holy Ghost, the archbishop of India, Presbyterian archbishop. Friends, you people will see someday that the very Chief Cornerstone has been rejected by the builders. That's right.

E-59 Jesus has risen from the dead, and if He's here tonight, He can do just the same. He works through people. Now, He can't 'less you believe. A minister said to me, said, "Brother Branham, I don't care what would take place; I wouldn't believe it."
I said, "It's not for unbelievers. It's for believers." They didn't believe Jesus, and they surely won't believe His servant. See? I said, "It's just for those..." These signs shall follow them that believe, not unbelievers, believers.
May the Lord bless you. Did you give out prayer cards this evening? What was the letter? E? This is our third--third night, is it, third time? I think the first we called from the first part, second part. Let's begin tonight with E-50. Who has E-50? Raise up your hand. E-50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60. Stay standing, if you'll stand in line over here. Pardon me.

E-60 How many is that? That's ten. I've been calling fifteen to come now. All right. 65, from 60 to 65 in E, stand next if you can. If you can't, raise up your hand. If you're crippled and can't stand, got those cards, raise up your hand. Somebody will come help you.
Now, let them and count and see if they're--if they're there. If they're not, some deaf person... Look on your neighbor's card. He may be deaf and can't hear, and see, he won't know his number's called. Would you do it?
Now, I want you to be reverent, just as reverent as you can be. I was looking for one of those pictures. I don't...?... I was going to show you one of those pictures. They're here, but we do not let them go on Sunday. We don't... We keep God's Sabbath holy in the way of not buying or selling. I'm not a Sabbatarian, but I'm... I just keep that day that way. I've always done it, and we buy the pictures ourselves and give them to the people absolutely at cost, what they cost us to get them.

E-61 We don't... We have books, but them's not my books. I buy them books from another man. See? I buy books at forty percent off, pay postage on them, ship them to me, put them in my truck, hire somebody to drive it, and send them to a meeting. How much you make off of them? Every meeting I go in debt with them. If I didn't think they'd help people, I wouldn't have them here. I think they help because testimonies comes in. And here's our brother has went and got the picture. Excuse just a moment...?...
How many believes that it was a Pillar of Fire that led the children of Israel through wilderness, a Pillar of Fire? You know what a pillar is? How many believes that that was Jesus Christ? Let's see your hand. Every Bible scholar does. It was the Angel of the Covenant. Is He the same yesterday, today, and forever? See?
Well, here's the picture of It here. Now, that same Being, now, if He will come to us tonight and bless us, you will... That'll be Him that talks. It won't be me.

E-62 Now, you can imagine seeing That. It stands right close here and you just not yourself. You just become like... That electric bulb can't say, "Look here. I'm giving light," say to that window. "See, I'm giving light." And tomorrow the light--window will say, "See, I'm the one that's giving light." It's neither one of them giving light. This is not the light, bulb giving light; it's the current in the bulb that's giving light. Is that right? It ain't the window giving light. It's the sun outside giving light. It just reflects the light. Is that true?
Did you ever study Genesis, the beautiful Genesis? How that God making the heavens and earth, the sun and the moon, and when the sun goes down the moon reflects the light of the sun. Is that right? [Blank.spot.on.tape--Ed.]
It's just exactly like Christ and the Church. When Christ had gone away from the earth, He shines back His power on the Church which reflects His Light. See? That's just like Bride and Bridegroom. The whole--whole Book of Genesis, the whole Bible types out and is tied to Jesus Christ. And now, in Exodus the 13th chapter, you'll see that that Pillar of Fire what was--talked to Moses in a burning bush...

E-63 George J. Lacy... Read his little article on It there. He will tell you what it is. He said it looked like an amber of light through the violet rays and so forth like. It was about this wide, about that long, rather, and about that wide, and thousands, times thousands, and thousands of Christians have seen it. See?
It come right down before ten thousand people in Jeffersonville when I was baptizing one afternoon and told me, eleven years before I was sent out on this mission, that it would take place this way, and said it would be a forerunning Message. Like John the Baptist went as a forerunner to Jesus Christ, so would this Message be the forerunning just before the coming of Jesus Christ.

E-64 And now, the scientific world knows it. Now, the paper here, if you'd like to write to Mr. Lacy, or the FBI concerning it, or whatever it is, just go ahead. You're at liberty. That's what we want you to do, and find out. We don't try to misstate anything, friends. We only tell that which is truth. And may the Lord bless.
Now, slowly I want to ask this again. I'm going to ask you all to be seated and be quiet, be reverent. Now, if you want to thank the Lord for something that's been done, or praise Him, that's up to you. I want you to do that, but when the Spirit is moving...
Now, do you realize... Looky here. How many believes that every person is a spirit? Let's see your hands. Why, sure. You have to. If you wouldn't, you'd be dead. See? Look. There's spirit around there, spirit here, spirit around here; everywhere there's spirit. And here you are standing here talking to an individual, this person praying, that one praying, this one praying there, you see what I mean?

E-65 Jesus one time had congregation like that, took a man by the hand and led him outside the city. Is that right? He went into another place where they was all crying and weeping and going on. He said, "Give place. The girl is not dead. She's asleep." Why, they laughed at Him, made fun of Him. And He put them every one out of the house, then went in and raised the girl. Is that right? Say, "That's psychology." It is?
Look at Peter when Dorcas was raised. They was all weeping and crying, the widows. He put them every one out of the house, went over and prayed, and then went and laid his hands on Dorcas, and she arose up. Is that right? Huh? It's not psychology, friends. It is the power of the resurrection of Jesus Christ.
Now, let's just be reverent a few moments, and kinda be in prayer. Would you give us a little chord on the song: "Only Believe," if you will sister, kindly.

E-66 I want everybody to be praying. Now, I... Let me state this again tonight. I will not be responsible for anything that happens to critics or unbelievers, from this time to the end of the service. How many heard me say that. And I heard a question. That's law. I have to say that, 'cause it'll go right from one to another.
Man come in the building just perfectly normal, and well, and go out with a cancer. See? Unbeliever. See? So you--you have to be reverent. See? Now, so every one understands. Now, don't get up and move around. You just keep... And whatever, and you people in the prayer line... Now, how many... Here stands about fifteen or... All right, is everybody there? All right.
There's about fifteen, I believe, I called in the prayer line. Wouldn't have to call but two or three. But now, how many out there, or anywhere in the audience, anywhere that doesn't have prayer cards and says, "God, I want you to heal me tonight." Raise up your hands say, "I want God--I want God to heal me tonight." You don't have to have cards, but you believe anyhow God's going to heal you? All right. That's...

E-67 Now, I ask you one thing. I ask you to believe that I told the truth, and believe first that this is the Word of God. And this is only a confirmation of His Word. Any preaching, any teaching that's done outside this Bible is not the truth.
Paul said, "If an angel from heaven would come preach any other thing to you, let him be unto you accursed." Is that right? Why, the visitation of Angels, did Paul preach that? Sure he did. He said he had an Angel inspired him...?... down and said, "The Angel of God Whose servant I am stood by me last night," saying, "fear not, Paul." Is that right? Certainly. He saw visions and everything. He was a prophet of God.

E-68 Now, while we're praying, I believe this is the lady. You come here if you will, lady. Now, the only reason that these people are brought here to the platform, just line up a few at a time, is this: that the Spirit of God can come. And I've been speaking (You see?), and then the anointing comes, and it's--it's another world. God has got a tape recording as it was, a movie of every move that you've made in your entire life. Do you believe that? And He can reveal it just as He will.
Now, this woman here is a total stranger as far as I know. I don't know one person in this building outside of Brother Bosworth, I guess, and my son, standing here, and brother setting here. That's all that I know. I don't know a one of you, but God knows every one of you, doesn't He?

E-69 Well, if this is the Angel of the Lord, and I told the truth, then God will speak of the truth, and He will testify that that is the truth. Now, any man can come through here and tell you anything he wants to. That's just is what the man said. You have a right to doubt that, but when God speaks and says the man's told the truth, then you believe God. Is that right?
Now, I want to talk to the woman just a little bit. Now, what do you think would happen if our Lord Jesus was standing here with this suit, that He gave me, and had this on, and was standing here talking to this woman? What would He do? As far as healing her, no. If she's sick, I don't know if she's sick. But if she is sick, He couldn't heal her. He'd say, "I did that when I died at Calvary." Do you believe it?

E-70 But now what did He do to the woman at the well? Let's just look at His ministry. He said, "Bring Me a drink." Wonder why?
She said, "It's not customary for you Jews to ask us Samaritans such."
He said, "But if you knew Who you were talking to, you'd ask Me for a drink, and I'd bring you water, or give you water, you didn't come..." What was He doing? He was trying to contact her spirit. She was a spiritual being, of course, and He's trying to contact her spirit. And as soon as He found her spirit, He went right straight to her trouble and told her what it was. Is that right? Now, isn't He the same Jesus tonight? I...
Now, I know He's here. The very picture that you seen there of that supernatural Being isn't standing two feet from where I am right now. Now, that's true. You'll see at judgment.

E-71 I want to talk to the woman. Just a--a little word with you is all I wish to say to you. And I... It's just... I'm here to help you, and the only way I can help you is to point you to Jesus Christ. You're aware that something's going on. It's--it's His Presence, that Angel picture that you see. That's exactly what you're aware that's near you now. See?
Do you believe that--that God in this last days has is restoring back the Church again? Do you believe that? Isn't He wonderful to do it? And aren't we happy to be alive tonight to see it? Our eyes are beholding things that--that the prophets desired to see just before the second coming of our Lord.

E-72 Your trouble, of course, I see it. It's on your mouth. That's not a burn or a blister. It's a cancer, and the cancer is a eating cancer, going into your lip. There a hope for you, and that's in Jesus Christ. Now, being that I could see that and see it's on your lip, I want you to believe me as God's prophet, 'cause the people out there...
More you talk to anyone, more vision you'll see, of course. You'll see breaking into that dimension that they're in (See?) and just see God reveals. But I don't try too much on one person 'cause look at them here and around. See?
And every... One vision will do more to you, weakness, than preaching for five hours straight. How many knows that's Scripture? Sure it is. Daniel saw one vision, was troubled at his head for many days. But being as you could see that on the woman's face there, there may be something else. She may have some other disease. If it is, God can reveal it the same as He could that.

E-73 Now, I want you to look at me and believe just for a few moments, just as--as--as your brother. Yes, ma'am, you do have other things. You've got a--you've got a high blood pressure. Isn't that right? And you also have some kind of a coughing. It's a--it's a asthmatic condition in your throat. Is that true?
And here's something else. You've got someone that you're deeply interested in, and I believe it's a boy. It's a son, and he's a... I see him in a uniform. He was a soldier or something and he's--he's--he's got mentally tore up. Isn't that right? The army... He--he... Something happened in the army. He's mentally... Is that true, sister? Come here.

E-74 Merciful God, to this poor, little, worn mother standing here, O God, be merciful to her. Satan, the enemy, is trying to send her to a premature grave if he could, broken hearted. But Thou, O God, is full of love and compassion, and I pray with the prayer of faith, You said, "Shall save the sick."
And I lay my hands upon her, though they're unworthy, God, for such a task, but I pray that as Your servant, as a--a branch in the vine, that the healing power of Almighty God will move into this woman's body and will heal her. And may her desires be granted her tonight. For in the Name of Jesus Christ, the Son of God, I rebuke the enemy that's tormenting her. Amen.
God bless you, sister. You believe now? It's going to be just as you have believed. God bless you.

E-75 Now, you may say, "Praise be to God," [Congregation says, "Praise be to God."--Ed.] if you wish to. Now, only our Lord Jesus can heal the sick. God knows all things, and can reveal all things, can do all things. Don't you believe that? All right.
All right, lady. I want you to come. Have faith now. Believe with all your heart that Jesus Christ the Son of God is here. Are we strangers, my sister? You know me? You just heard of me. But I mean to know you, I don't know you. No, I...?... You've only saw me in pictures. Well, I am--I am happy that you have faith enough in God to come to believe for healing. You believe that? And what you've read in the books, and magazines, and things, and "Reader's Digest" and the "Colliers," and... You believe that was the truth? That God has...?... [The sister speaks to Brother Branham--Ed.] I believe that with all my heart. Friends, if you're... Which I believe you're telling the truth, 'cause you're a Christian. Then I can be able to help you to receive Jesus Christ. You believe that?

E-76 You're--you're... First thing you have a female disorder. Yes, isn't that right? And then, say... I see something just happened to you. You had some kind of a--of a attack, just some... Like a... Some woman told you that that was a heart attack, and that woman herself suffering with heart trouble. It wasn't a heart attack. It wasn't. No. It's a nervous condition that you got. That's exactly, and you're going to get over it and be well. God bless you. You may go, sister. Your faith has saved you and made you whole. God bless you. You... All right, be serving in the Lord. All right.
If you believe, all things are possible to them that believe: only to believers. Now, look and live. Have faith in God. Now, that might not seem very much to you, but what if that was your sister? What if that was your mother, your wife, your daughter, or what if it was you? It'd certainly mean a lot to you, wouldn't it? Somebody's loved one, somebody who loves her just like you love your... Now, you be reverent, and believe with all your heart.

E-77 Do you believe, sister? You believe? Do you realize that you're standing in His Presence, not mine, I'm your brother, but His Presence? Then if Jesus has risen from the dead, as we believe He has, then His Life is reproduced and as He promised, "The things that I do," He said, "you'll do also." Do you believe that to be the truth? You must to live.
You realize what's wrong with you? In the stomach, cancer, dropped down into the female organs. Is that right? Malignancy has went down (That's right.) to the female glands. Nothing in the world can do you any good outside of God. They couldn't take your whole insides out...?... It's done too far gone for that. But Jesus Christ will heal you right now if you'll believe it. You want to live, don't you? Just look to Him and live. You believe that God gave me the authority to pray for you and command that to leave you? You believe that He did? Would you live for God and give God praise if God will spare your life on this? Come here, sister.

E-78 Our heavenly Father, in the Name of Thy beloved Child, Jesus, I come with sincerity of heart, knowing that Satan's exposed. His great crippling, and powers, and his lying wonders, his deceiving is exposed. And he's hid from the doctor, but he can't hide from You, God. This woman's come with sincerity. and I ask in the Name of Jesus Christ, that this demon called cancer leaves her body, and goes out of her. And in the Name of Jesus Christ may she be healed now and be well. Amen. God bless you, my sister.
Now, look. This is Sunday. You're going to feel good until Wednesday, and Wednesday you're going to get extremely sick. Don't fear; only believe.
Let's say, "Thanks be to God."

E-79 How do you do, sister? Do you believe? You're plagued with some sort of a--a rash. You have to take treatments for it. And it breaks in your arms. If you don't take the treatments, it goes all over your body. You believe Jesus will heal you tonight? Come here.
Almighty God, the Creator of heavens and earth, according to Thy Word that says, "They shall lay hands on the sick; they shall recover." And this I do in the Name of Jesus Christ: curse this plague on the woman. May it leave her in the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you, sister. Go, rejoicing, be happy. Don't doubt nothing. Just believe with all your heart.

E-80 Are you believing out there everywhere? If you have faith, you can have just what you asked for if you believe. For all things are possible to them that believe. Just keep praying and believing with all your heart. You will receive what you've asked for. Any of you at any place can receive your blessing. You don't have to be up here. Just have faith and trust. Ask some of them who's been healed, see what happened. God cannot fail. He cannot--cannot fail and be God. God makes the sick to be well.
You have something wrong with your back, don't you, sister? Your stomach, your eyes are going bad, but Jesus healed you when you raised your hands a few minutes ago. You are healed now in the Name of the Lord Jesus. The little woman's faith made her completely whole while she was setting there a praying, believing with all of her heart. God healed her. That's the way to do it.
Got a colon trouble, haven't you, lady? Yes. You believe God will make you well? I see you stand up. He has made you well. God bless you.

E-81 Yours sister wasn't exactly a colon trouble. It's in your bowels, and you have bronchitis also bothers you. Isn't that right? You're both healed, cause God...?... Amen. Just have faith in God.
There's the Holy Spirit moving right over those people right now. I see standing before me a young woman. She's wearing glasses. She's about in her middle age, I guess she'd be. I see she's got something around her arms. A doctor, a middle-aged man, is pumping on something. It's blood pressure. It's low. There sets the woman setting there with a brown coat on. You that raised your hand, lady. You have low blood pressure, or you did have low blood pressure. Your faith has saved you. God bless you. Go, and God's peace be with you.

E-82 Come, sir. You believing with all your heart? Be reverent. God's eternal power and Godhead is moving through this building. I don't know what you're going to think about it, but God knows all things.
Do you believe, young man? All right. I want you to look on me as His servant. Your trouble's in your back. You have back trouble. You have another trouble, a thing that you can't get rid of, something that's taking you to your grave. You're an alcoholic. That's right. You're an alcoholic, and you've tried... Say, you've got a mother that's got something wrong with her hip, and she's a preacher. And your dad is kind of a gray-headed looking man, and he's--he's got arthritis. Here they set right here now. Is that right? Now, wait just a minute. I see a big meeting appearing before me. It's in a panoramic condition. It's some kind of a--a stadium. And I'm standing on the platform. That was Hammond, In--Hammond, or, Connersville, Indiana. That's... Is that right? God bless you.

E-83 Satan come out of the boy. I rebuke you in the Name of Jesus Christ. Leave him. I adjure thee, by the living God, to come out of this young man. You can't hold him any longer. May he go and God's peace be upon him. God bless you, boy. Go now and serve the Lord Jesus and be well.
Let's say, "Thanks be to God." [Congregation says, "Thanks be to God."--Ed.]
Believe with all your heart and you shall see. You shall have just what you've asked for if you'll believe it. All right. Bow your head before this woman comes. She's got a deaf spirit. Bow your head everywhere.

E-84 O God, Author of life, Giver of ever good gift, send Thy blessings upon this one who I bless in Thy Name, underprivileged to hear the Gospel. O thou deaf spirit, you've desired to do this so you could send her before a moving vehicle and kill her. But I adjure thee by the living God and Jesus Christ His Son, that you depart and come out of her.
Every one keep your head bowed, please. It'll go from one to another. You run it back on the woman then. Don't raise your head till you hear my voice. The spirit left the woman, come right back again. Keep your head bowed, for if you don't it'll come to you.

E-85 Almighty God, have mercy upon the woman. Please relieve her of this plague tonight. We know the people do not wish to be ugly. They're only enthused, and I pray you forgive them of their error. And forgive me, Lord. I pray that You'll give me power to make this evil one leave our sister, as she might be made well. For Satan has desired to do this, but Thou art God the Healer. Come out of her, Satan, they deaf spirit in the Name of Jesus Christ.
Now, keep your head bowed just a minute. You believe Him with all your heart? You believe Him with all your heart, believe that He make you... You're healed too. All right. You may raise your head now. Here's her--her healing aid which was hid. Do you hear me now? You're well. Jesus Christ has healed you. You're all right, and God bless you. Go in peace. God bless you.
Let's say, "Thanks be to God." [Congregation says, "Thanks be to God."--Ed.]

E-86 The woman was... Aren't you in distress, lady, with the red coat on, setting there? You are... It's strange, but I see a hospital or something. It's a--it's a man, and the--the doctors are fixing to operate for something like adhesions or something, and that... It's--it's--it's a brother or something to you, and that place is in Alabama. Isn't that right? Is that the truth? Stand up for his healing.
Almighty God, in the Name of Jesus Christ and the power of the Holy Ghost, I send Your blessings in Jesus' Name to the man. Why would You speak over this woman tonight in her deep sincerity if You wasn't going to let the one get well? I ask for his healing in Jesus Christ's Name. May it be so. Amen.
Let's say, "Praise be to God." [Congregation says, "Praise be to God."--Ed.]

E-87 Come. You believe me? Because that I preached the Word, the truth, you believe it's true? What if I told you something, and if it was the truth, you'd--you'd know that would be the truth? Your trouble is female trouble causing drainage which is... You know that's true? Which is an abscess. Your trouble's on your left side, which is an abscess on the left ovary. You were healed when you was standing there in the line coming up awhile ago. Go home now. Jesus Christ has made you whole.
Have faith. Believe with all your heart.

E-88 How do you do, sister? You believe me to be His servant? Would you obey me as His prophet? You do. I see you trying to move along somewhere, holding your hand. It's arthritis.
Turn her loose, Satan; in the Name of Jesus Christ I adjure thee to come out of the woman. Raise up your hand. Stomp your feet up-and-down like this. Your arthritis is gone, and you're well. God bless you. You can go, be made well.
Let's say, "Thanks be to God." [Congregation says, "Thanks be to God."--Ed.] Do you believe? "Have faith," Jesus said, "Have faith in God."
Do you believe what you're praying for will come to pass, lady? Got something wrong with your foot or something, and you--you have a female trouble also, don't you, inward trouble? Is that right? All right. You can go home and be well then in Jesus' Name.

E-89 You believe? You believe you're going to get over that asthma, setting back behind that man there with the brown coat on? You believe that God's going to make well, lady? You believe that He will? Here sets another lady, setting right there with the same thing. You want to get over yours too, sister? Believe that God will make that sinus trouble to leave you and you'll be made well? You wish to get over that low blood pressure setting back there, sister? Do you believe that God will make well? If you do, you can have what you asked for if you'll just have faith.
Do you believe? Is this the person? We are strangers. I don't know you, but my Lord knows you, and it's Him that I'm trusting. I have nothing else I can trust. I'll admit I'm weak. My face feels numb, but I know that He's standing here. And I know that I could not heal you, but your life, you couldn't hide it, 'cause that's a gift. I can't do what He's already done: that's heal you. His promise is that. But as His prophet when the anointing is here, every spirit here is subject now to God. Nothing can be hid. Jurisdiction of every spirit is now under control of God. If I be His branch in Him, then everything's subject to what I'd say.

E-90 Satan's lied to you. You've been suffering. You're going through the change of life, and that's been on you, the menopause, for about five years. You take ever kind of medicine that comes along, and ain't none of it does you any good. Isn't that the truth?
And you're also anemia. I see blood dripping between me and you and the...?... light. You're anemia. My loving sister, why don't you believe Jesus Christ makes you well? And don't have nothing to do with the Devil...?... And go out of this building and be made well. If God is standing here with the power of His Spirit to let me know your life, can't He make you well? You believe if I curse the thing in Jesus Christ's Name it'll leave you? That's what you wanted me to do. I wasn't reading your mind, but you're--you wanted me to put my hands on you, 'cause that's what you was believing. Is that right? Come here. I'll do it.

E-91 Almighty God, Author of Life, seeing that her faith lays in laying on of hands, oh, I pray for mercy. Those dark shadows hanging around the little woman, knowing that Satan always along there to tempt her in this time of life, but Jesus You are always standing in the shadows watching Your children. Nothing can harm them.
Now, you enemy, as God's servant, I take charge over you. In the Name of Jesus Christ come out of her. I lay my hands upon her as God's servant, commissioned by an Angel. You know about it. You--you've seen it happen. He told me if I'd be sincere, that nothing would stand before the prayer. And I believe Him, and you're a loser; and I free this woman tonight from all these things in the Name of Jesus Christ, the Son of God.

E-92 All right, lady. Looky here. If God knowed what was in your life, and what has been in your life, He surely would know. Yet, you are healed. You've always been just a little bit nervous. When you was a little girl, one time coming from school, I see you, or something or other, you run up towards a dog or something and you got frightened by, way back, had a little checked plaid dress on. You remember that? It's all over now. You can go and be made well. God bless you. Be healed.
Are you believing? Everybody believes with one accord, one heart, one mind? It's unlimited what Jesus Christ will do. If I have found grace in your sight, and God has given me favor, believe me as His servant. I told you by the authority of the witness of the Holy Spirit, He's here now, that you couldn't hide your life if you had to; and by that same witness and by the Bible that Jesus Christ, the Son of God, has healed everybody in this building.

E-93 If you're ready to accept it, it was done nineteen hundred years ago at Calvary, and it's yours freely as you can receive it tonight. Do you believe it? If you'll notice, not one thing crosses here unless God makes it go from the person while they're standing here; if it's deaf, blind or whatever it is. If God can do it here at the platform, He can do it out there. If you'll bow your heads and believe, I'll ask God to heal every one of you and you believe with all your heart, you'll be healed right now.
Almighty God, I ask You in this late hour of the night, as the people have set long, listening, I pray Thee, Father, to be merciful to the sick and needy here in the...?.... [Brother Branham moves from the microphone--Ed.] in need. And now,
Almighty God, realizing that only one thing can could keep them from being healed, is their unbelief. Let God move what hangs over them there that keeps the blessings of God from flowing by the law of God, down into their bodies and healing every one of them. I now rebuke that spirit of doubt and unbelief that hangs over this audience and may it leave in the Name of Jesus Christ and may every sick person here be made well for God's glory...?... my sincere prayer...?... and pray, God will...?... tonight men to continue the prayer 'cause the whole building becomes milky to me now. I know my that time...?... is here...?... But...?...
If you were deaf in one ear, put your finger in your ear, and hear...?... If you were--if you were blind, look through your eyes to see. If you were crippled, stand up and walk. Whatever was wrong with you, I want you to get up and do something that you could not do before, for God has taken care of it, in Jesus Christ's Name...?...

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