Le Témoignage

Date: 53-1203 | La durée est de: 1 heure et 36 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci beaucoup, Frère Bosworth. C’est vraiment un plaisir pour moi d’entrer ce soir en service pour notre Seigneur Jésus. Nous Le remercions et Le louons pour Sa bonté. Et nous croyons que cette soirée sera...?... de toutes, que les bénédictions de Dieu reposeront sur nous et nous aideront.

            Il m’est plutôt difficile de m’habituer à cette autre cravate.

            Dans le Livre de l’Exode, au chapitre 23, nous lisons les Paroles suivantes, en commençant au verset 20. C’est Dieu qui parle à Moïse, Son serviteur, lui donnant la commission d’aller en Palestine.

            Voici, j’envoie un ange devant toi, pour te protéger en chemin, et pour te faire arriver au lieu que j’ai préparé.

            Tiens-toi sur tes gardes en sa présence... écoute sa voix ; ne lui résiste point, parce qu’il ne pardonnera pas vos péchés, car mon nom est en lui.

            Mais si tu écoutes sa voix, et si tu fais tout ce que je te dirai, je serai l’ennemi de ton ennemi... l’adversaire de ton adversaire.

            Mon ange marchera devant toi, et te conduira chez–chez les Amoréens, les Héthiens... Phéréziens... Cananéens... Héviens... Jébusiens..., et je les exterminerai.

            Tu ne te prosterneras point devant leurs dieux, et tu ne les serviras point ; tu n’imiteras point ces peuples dans leur conduite, mais tu les détruiras, et tu briseras leurs statues.

            Inclinons la tête un instant.

2          Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissants de ce que Tu es toujours Dieu et que Tu ne changes pas. Ton grand amour pour l’humanité n’a jamais changé. Tes grandes promesses demeurent d’éternité en éternité.

            Et ce que Tu as promis là autrefois demeure autant valable aujourd’hui que le jour où Tu avais fait cette promesse. Chaque promesse divine est appuyée par un amen, et nous en sommes très reconnaissant, de savoir que toutes ces prophéties et autres, la plupart d’entre elles ont un sens composé.

            Et nous Te prions ce soir, d’une façon ou d’une autre, de saisir, comme jamais auparavant, les coeurs des gens qui sont ici. Accorde-le, Père. Et que les–les nécessiteux voient qu’ils ont désespérément besoin de Jésus-Christ maintenant même. Et que les malades voient leur besoin et voient leur guérison par Jésus-Christ, notre Seigneur. Accorde-le, Seigneur.

            Et que la puissance de la sainte Eglise qui fut ordonnée le jour de la Pentecôte par le Dieu Tout-Puissant Lui-même, qui a envoyé le Saint-Esprit sur l’Eglise, puisse-t-Il venir de nouveau ce soir avec une grande puissance qui secoue et nous accorder Sa–Sa Présence bénie dans ces réunions. Car nous le demandons au Nom de Son Fils bien-aimé, Jésus-Christ. Amen.

3          Je pense qu’après avoir rongé un bon bout de temps, je vous ai en quelque sorte épuisés, après avoir parlé très longtemps le soir. J’aime témoigner et parler de notre Seigneur Jésus. Je parlais à l’un des–des ministres ce matin, et il m’a dit que certains avaient reçu le Saint-Esprit hier soir. Depuis le début, il y en a eu plusieurs qui ont reçu le baptême du Saint-Esprit. C’est vrai. J’aime vraiment cela. Parfois, cela me fait penser...

            Un ministre a dit: «Frère Branham, voulez-vous dire que vous vous rendez en Floride à cause de la collaboration (Je pense.) de deux églises, ou quelque chose comme cela?»

            J’ai dit: «Certainement. J’irais même là où il n’y a qu’une seule personne si Dieu me dit d’y aller, peu importe où c’est. Tout simplement là où le Seigneur me conduit.»

            Il y a quelque temps, quand... Etant donné qu’autrefois là au commencement, alors qu’il n’y avait personne du tout pour travailler dans le champ...?... Je... Des appels provenaient de partout ; en fait, c’est encore le cas aujourd’hui. Nous nous disions l’autre jour, quand nous examinions au bureau... se trouvant dans le...? là, de quatre cents grandes villes en Amérique qui appellent pour des réunions maintenant et... Mais j’étais...

4          A cette époque-là, nous, mon épouse et moi, nous devions tenir nous-mêmes le secrétariat. Et nous vivions dans deux petites pièces, et nous allions à la poste et nous prenions chaque matin l’un de ces paniers de lessive, nous le remplissions de courrier. Eh bien, nous rentrions à la maison et nous nous mettions à y jeter un coup d’oeil, et–et j’ai examiné l’un d’eux ; c’était quelqu’un de très loin dans le Kansas.

            Il disait: «Frère Branham, disait-il, nous vous garantissons mille dollars chaque soir si vous venez, mais notre église à elle seule récolte huit cents dollars à chaque offrande d’amour.» Et il disait: «Nous vous assurons de mille dollars la soirée aussi longtemps que vous voudrez rester ici deux ou trois semaines, si vous venez.» Il disait (Oh!) quelle grande foi ils avaient, et tout ce qu’ils pouvaient faire et tout. Il disait: «Ça, c’est uniquement notre église, disait-il, à part toutes les autres églises qui sont ici dans la contrée et qui veulent collaborer.»

            La lettre suivante que j’ai prise était celle d’un pauvre frère ici dans l’Arkansas, à El Dorado, dans l’Arkansas. Il disait: «Frère Branham, je ne pourrais même pas vous offrir un lit où vous coucher. Je ne pourrais pas vous amener dans une église.» Il disait: «Je prêche sous deux pins.» Il disait: «Je–je vis dans un trois pièces. J’ai onze enfants.» Il disait: «Et je n’ai même pas d’église, mais Dieu m’a envoyé ici, et Dieu sait que j’ai vraiment besoin de votre aide.»

5          Et j’ai dit: «Regarde ceci, ma femme, quand on compare l’une à l’autre, c’est tout à fait le con-... Vous parlez d’un contraste!» Je me suis mis d’un côté. J’ai dit: «Eh bien...» Je me suis mis à ouvrir le courrier. Quelque chose a commencé à me creuser ici. J’ai dit: «Où est cette lettre d’El Dorado?» Alors, nous l’avons de nouveau ouverte. Je l’ai relue. Je lui ai télégraphié pour lui dire que je venais aussitôt.

            Nous sommes allés là-bas avec... J’avais mon premier costume et dix-sept dollars, mes souliers tout couverts de boue. C’était en ordre. Là, je me sentais chez moi. Je suis donc allé là-bas, et nous avons commencé. J’ai dû payer ma note d’hôtel et tout. Nous avons tenu là-bas une série de réunions de deux semaines et, avec tous les fonds qui furent recueillis, on a érigé un beau et grand tabernacle qui se dresse là maintenant ; c’est la gloire de Dieu dans l’église. Des fois, c’est bien mieux de suivre la conduite du Saint-Esprit que celle de votre tête. Ne le pensez-vous pas?

6          Comme Dieu fait des choses merveilleuses! Mais, parfois, nous nous retournons, nous nous disons: «Eh bien, il n’y a pas beaucoup de gens» ; mais comment saurais-je s’il n’y a pas un Finney assis ici quelque part? Voyez-vous? Je ne sais pas. Il y a peut-être ici quelqu’un qui est juste... sur qui Dieu a mis Sa main, de sorte qu’il se produira quelque chose qui enverra cette personne gagner des milliers d’âmes pour Christ. On ne se doutait pas...

            Etait-ce Moody ou... Je ne me souviens plus de qui il s’agit exactement. Je ne citerai pas son nom, pour être sûr. Vous... Certains de vous ministres comprendront que cette vieille lavandière... Elle faisait de la lessive, et elle avait constamment sur le coeur le désir de faire quelque chose pour Dieu. Et–et alors, elle a loué une vieille écurie et elle l’a nettoyée. Et–et elle a payé un certain prédicateur pour qu’il vienne, grâce à l’argent qu’elle gagnait de sa lessive et tout ce qu’elle... C’était le seul moyen par lequel elle pouvait le faire venir là. Et elle est allée se procurer des traités pour un dollar ou quelque chose comme cela et elle se tenait au coin pour les distribuer.

7          C’était à l’époque où vous, les méthodistes, vous connaissiez des temps difficiles, comme nous en avons maintenant, ou pires que ça. Et alors, les gens y jetaient un coup d’oeil, et ils les jetaient dans la rue. Personne n’en voulait. Aussitôt vint un petit garçon portant les bretelles de son papa, avec des cheveux qui lui tombaient à la nuque, il portait un pantalon tout usé, il était pieds nus ; il a dit: «Que distribuez-vous, madame?»

            Elle a dit: «Un traité. En veux-tu un?» Elle lui en a remis un.

            Il a regardé cela, il a dit: «Je ne sais pas lire.»

            Elle a dit: «Eh bien, on va tenir une réunion ici ce soir.»

            Savez-vous qui est venu à la réunion ce soir-là? Cette femme et ce petit garçon. Ce vieux prédicateur fidèle, peu importe qui était là, est venu là, il a prêché de toutes ses forces ce sermon que Dieu avait mis sur son coeur et, ce soir-là, ce petit gars... Je ne sais pas si c’était Smith, Moody? Je ne pense pas que c’était Moody. C’était l’un d’eux. De toute façon, dans son ministère, il a envoyé environ un demi-million d’âmes à Dieu. Il fut converti juste là ce soir-là.

            Cette pauvre lavandière n’avait probablement jamais compris ce qu’elle avait fait ce jour-là jusqu’au moment où elle est arrivée au Ciel. Voyez-vous? Vous ne comprenez jamais ce que vous faites lorsque vous faites quelque chose de juste.

8          Voici un vieux slogan dont j’aimerais que vous vous souveniez: «Faites ce qui est juste ; c’est votre devoir envers Dieu. Pensez juste ; c’est votre devoir envers vous-même. Et vous êtes tenu d’être en ordre.» C’est exact. Voyez-vous? Si vous faites ce qui est juste, vous finirez bien. C’est là votre devoir envers Dieu. Pensez juste ; c’est votre devoir envers vous-même, et vous finirez bien. Vous...

            Je parlais à mon fils ici présent quand il avait quatorze ans. J’ai dit: «Tiens-toi là, tends les mains, fiston. Tu deviens maintenant adolescent, au moment où je suis souvent absent de la maison. Maintenant, je ne serai pas en mesure de te diriger.» Et–et sa mère est morte. J’ai dit: «Et maintenant, je veux que tu tendes les mains.» J’ai dit: «Voici ta main droite et ta main gauche.» J’ai dit: «Aussi longtemps que tu iras dans cette direction... Disons que ça, c’est la mauvaise direction, et ceci, c’est la bonne.» J’ai dit: «Tu ne peux pas emprunter à la fois et la bonne et la mauvaise directions. Or, aussi longtemps que tu vas par là, tu te trompes. Tu pourrais penser être dans le bon, il pourrait te sembler être dans le bon, alors que tu vas mal finir. Et quand tu vas dans ce sens, tu pourrais penser être dans le mal, alors que tu es dans le bon, et tu es tenu de bien finir.» N’est-ce pas la vérité? C’est l’exacte vérité.

9          J’ai dit: «N’oublie pas cela. Maintenant, chaque fois que tu as des ennuis, quand papa vient vers toi, je vais faire comme ceci, les bras tendus, et je dirai: ‘De quel côté es-tu allé, mon fils?’» C’est juste. «Tu as maintenant le libre arbitre. Tu dois agir en ton propre nom. Je t’ai élevé au mieux de ma connaissance jusqu’à cet âge-ci maintenant. Tu vas sortir avec d’autres garçons de l’école secondaire, du collège et des alentours, et il y aura tout devant toi. Mais n’oublie pas, accroche-toi toujours à ce qui est juste. Attache-toi à ce qui est juste, tu finiras bien.»

            Ici Moïse, pour juste quelques mots, conduit Israël, ou plutôt c’était Dieu qui conduisait Moïse pour Israël... Juste une observation, puis je vais donner un témoignage, ensuite nous allons prier.

            Et maintenant, le Seigneur voulant, demain soir, je désire prendre un texte et en parler, si possible demain soir, le Seigneur voulant, ou le soir suivant, car ça fait six semaines d’affilée de réunions, et chaque soir, il y a des visions. Et il est inutile d’essayer de l’expliquer. On ne peut simplement pas y arriver. Voyez-vous? Il n’y a tout simplement pas moyen de le faire. Et cela–cela me met dans un état tel que je–je... Certainement, cela m’épuise. J’ai perdu environ huit livres [3,6 kg], je pense, quand je suis monté sur la balance. Et ainsi, je–je désire parler de quelque chose demain soir, prêcher un peu ou parler un peu, ou quelque chose comme cela. Mais nous prierons tout de même pour les malades.

10        Mais maintenant, je donne des témoignages pour en quelque sorte me maintenir un petit peu. Aussitôt que je quitterai ces réunions-ci dimanche soir, j’irai ensuite tout droit à Chicago à une convention, à une grande campagne de guérison. On tient une convention à Chicago. Et puis, de Chicago, j’irai là pour deux jours, à un... pour un service de guérison à un certain endroit. Maintenant, je ne sais pas où c’est, mais c’est un endroit à Chicago. Et puis, je pense donc me reposer un petit peu avant d’aller outre-mer.

            Alors que je serai outre-mer, je vais compter sur vos prières à vous tous. Et je–j’aimerais que vous vous souveniez, mes amis, et que vous notiez ceci, que cela va être l’une des plus grandes réunions que l’histoire du monde ait jamais connue depuis la Pentecôte (Voyez-vous?), quand nous irons en Inde.

            Tenez, c’est écrit juste ici au dos de la page de garde de ma Bible, une vision, et elle ne peut pas faillir. Voyez-vous? Ce sera exactement ainsi. Dès que j’aurai terminé, juste un instant. J’aimerais vous donner la vision un soir afin que vous puissiez la noter sur un bout de papier et voir si elle s’accomplit ou pas. Et elle est tenue de s’accomplir.

            Ici, Moïse... Dieu a dit... la petite pensée qui m’est venue à l’esprit pendant que j’étais assis là sur la chaise en train d’attendre. J’ai écouté frère Bosworth. J’aurais souhaité qu’il puisse continuer. J’aime écouter frère Bosworth enseigner. Il est–il est un peu âgé, mais lui ne le pense pas, et je suis content qu’il ne le pense pas.

11        Il y a quelque temps, j’étais... Je pense que c’était quand j’avais environ... Cela fait trois ou quatre ans, j’avais trente-sept ans, trente et quelques. J’ai été envoyé ici à Miami ; frère Bosworth et moi étions sortis après avoir dîné à l’hôtel. Je suis allé jusqu’au bord de la mer, et là, j’étais dans la trentaine, mes épaules étaient voûtées. J’ai regardé frère Bosworth debout là comme cela, âgé d’environ soixante-dix ans, et il parlait de la mer et tout, et de la Venue du Seigneur ; c’est en effet toujours cela son sujet.

            J’ai dit: «Frère Bosworth, quand avez-vous été en pleine forme?»

            Il a dit: «Oh! C’est maintenant même.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

12        Il a dit: «Frère Branham, vous ne comprenez pas que je suis un gamin qui vit dans une vieille maison, a-t-il dit, juste un gamin qui vit dans une vieille maison.» Eh bien, savez-vous comment il le fait? Il se nourrit de cette vitamine-ci. C’est mieux que tout ce que peuvent offrir les drugstores du monde. Essayez-la et voyez ce que cela vous fera.

            Et je l’admire certainement, et ce n’est pas parce qu’il est assis ici, mais il est comme un père pour moi. Dieu a pris mon père quand j’étais jeune. Frère Bosworth a été un second père pour moi, et je l’aime certainement d’un amour chrétien éternel. Et je veux le voir demeurer jusqu’à ce que Jésus vienne, s’il le peut, et continuer à prêcher cette merveilleuse Parole qu’il prêche.

13        Et maintenant, il n’est pas un très grand... éloquent... mais, frère, je vous assure, si vous écoutez ce qu’il dit, vous serez rétabli ; c’est moi qui vous l’assure. Certainement. La plupart des gens ne cherchent pas un puissant orateur. Ils cherchent à savoir comment se débarrasser de ce cancer, ou de la maladie, ou de tout ce qui cloche chez eux. C’est ce qu’ils cherchent. C’est ce qu’ils viennent chercher.

            Maintenant, Dieu a parlé à Moïse. Il a dit: «Maintenant, Je vais envoyer Mon Ange devant toi, pour te protéger en chemin.» Or, tout le monde sait que cet Ange, c’était Jésus-Christ qui était la Colonne de Feu. C’était Christ. Il ne s’appelait pas encore Jésus, jusqu’au moment où Il a été manifesté dans la chair, mais la chose que je désire...

14        Eh bien, Il a dit: «Voilà la Palestine. Il y a quatre cents ans et quelques, J’ai juré à Abraham de la lui donner.» Eh bien, J’ai dit: «Elle t’appartient. Je te la donne, ainsi qu’à ta postérité.» Il a dit: «Je te la donne.»

            Maintenant, il semble que... Maintenant, voici ce que je désire que vous voyiez. Maintenant, n’est-ce pas étrange? Or, Il a dit: «Elle t’appartient, mais elle est tout aussi pleine de Héthiens, et–et de Jébusiens, de Cananéens, et de toutes sortes d’ennemis, là-bas. Ils ont des murailles très fortifiées. Maintenant, elle t’appartient. Va t’en emparer. Elle t’appartient. Eh bien, Je te l’ai donnée, mais va en prendre possession.»

            Eh bien, voilà les gens aujourd’hui. Si seulement vous compreniez quand je vous parle de la guérison divine! Vous dites: «Eh bien, Frère Branham, écoutez. On a prié pour moi hier soir. Je n’arrive plus à bouger la main.» Cela n’a rien à voir avec cela, rien du tout. Cela vous appartient. Allez la posséder. Certainement, Dieu vous l’a donnée. Maintenant, le problème...

            Ces Israélites... Oh! Certainement! Dieu n’est pas allé là prendre Sa brosse pour les balayer, disant: «Maintenant, entrez. Vous y êtes ; établissez-vous.» Dieu n’a jamais fait cela. Montrez-moi votre foi sans les oeuvres, et moi, je vous montrerai ma foi par les oeuvres. Voyez-vous?

            C’est vous qui devez faire cela. Et vous devez combattre pour chaque pouce de terrain que vous avez. Chaque homme ici, né de nouveau de l’Esprit de Dieu, sait que vous avez dû combattre pour chaque pouce de terrain et affronter Satan. N’est-ce pas ça? Mes amis, ceci, ce n’est pas un pique-nique. C’est un champ de bataille. Voyez-vous? Nous ne sommes pas venus ici pour–pour manger des biscuits et–et ainsi de suite. Nous sommes dans une bataille.

15        Pouvez-vous imaginer que l’armée des Etats-Unis forme un homme pour que celui-ci s’asseye là à manger des biscuits et tout? Oh! On lui remet un uniforme, son fusil, et on le forme pour aller combattre là afin de défendre la nation. Et c’est ce que nous devons faire. Nous devons défendre les droits que Dieu nous a conférés, ce que Dieu a déclaré être à nous. Affrontons carrément Satan.

            Dites: «Ça nous appartient. Nous y croyons, et tu ferais tout aussi bien de reculer parce que tu n’as rie... rien du tout... Tu n’as pas...» Satan n’a aucun droit légal sur quoi que ce soit. Tout ce qu’il a a été vaincu, il n’est rien qu’un épouvantail. C’est tout. Il ne peut pas vous déranger. Un homme né de l’Esprit de Dieu, il n’y a rien du tout qui peut lui nuire.

16        Maintenant, Satan peut déverser des choses sur vous, et sans cesse vous bousculer et vous bousculer dehors. Si, demain soir, je rentrais chez moi et que je regardais là, et qu’un grand groupe de gens entrait là dans ma maison, et qu’ils étaient ivres et se prostituaient, faisant des histoires, eh bien, je les bouterais dehors. «Eh bien, comment allez-vous le faire?» Ces gens diraient: «Je suis un être humain. Cette maison a été faite pour des êtres humains. Moi aussi, je peux y habiter.»

            Je dirais: «Je... Celle-ci m’appartient. C’est ma possession légale. J’ai un titre de propriété incontestable ici au palais de justice qui montre que cette maison m’appartient, et vous ne pouvez plus rester ici.» Et je le leur ferais savoir et ils devraient partir. Sinon, il y a en ville une loi qui les fera partir. Est-ce juste?

17        Eh bien, tout ce que Satan a placé sur vous par le canal de la maladie, ou de quoi que ce soit, vous, toute personne née de nouveau, a en théorie un droit–a un droit de la part de Dieu. Et le Saint-Esprit est ici pour faire partir n’importe quel démon. Qu’il soit un cancer, une tumeur, une cataracte, quoi que ce soit, le Saint-Esprit va faire partir cela si vous le lui faites savoir au Nom de Jésus-Christ, car il n’a aucun droit légal. «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Est-ce juste? «Il était blessé pour nos péchés. C’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Mais vous devez aller vous en emparer. Voyez-vous?

            Eh bien, Israël s’est mis en marche. Dieu a dit: «Voilà votre pays! Je vous le donne maintenant même. Maintenant, Je vais vous donner un témoin qui va aller devant vous. Ce sera une Colonne de Feu. Elle va vous suivre. Elle va vous conduire très exactement là où vous devez aller.»

18        Eh bien, ce même Saint-Esprit conduit l’Eglise aujourd’hui. Il n’y a pas moyen de... Dites seulement: «Eh bien, maintenant, Dieu me dit dans mon coeur que Jésus-Christ m’a guéri. Je... Ça, c’est ma possession. Je m’en empare. Je vais de l’avant. Cela m’appartient.» Eh bien, allez donc carrément de l’avant. Le Saint-Esprit continue à vous conduire. Peu importe comment vous vous sentez, si vous–si vous vous fiez à ce que vous ressentez, alors vous allez certainement... Si vous revenez à cela, chaque fois que vous avez un témoignage négatif, chaque fois que vous considérez les symptômes que vous avez, alors, dès cet instant, vous êtes tombé.

            Il n’y a pas ici un chrétien, peu importe combien votre foi est solide, si à l’instant même vous... s’il se faisait que quelque chose vous saisissait et vous disait que vous n’êtes pas un chrétien, et que vous vous mettiez à témoigner: «Eh bien, je ne suis plus un chrétien», vous tombez à l’instant même. Vous n’êtes plus un chrétien, vous ne l’êtes plus aussitôt que vous déclarez que vous n’êtes pas un chrétien ; alors, à l’instant même, vous êtes déchu de la grâce. Vous êtes tombé, parce que (Vous voyez?) vos–vos propres–vos propres paroles déclarent ce que vous êtes. Vous avez... C’est un... La foi agit tout le temps.

19        Maintenant, suivez cela. Dieu a dit: «J’enverrai la terreur devant vous.» Alors, Dieu a dit: «Je vais vous frayer un chemin pour vous. J’enverrai la terreur devant vous. Et lorsque vous serez en chemin, J’enverrai Mes frelons devant vous.» Et alors, quand ils sont arrivés là, nous voyons là qu’ils ont regardé à ces grandes villes fortifiées, et ces espions sont allés là, puis sont revenus dire: «Oh! Nous n’y arriverons jamais. Ces villes sont entourées de murailles si hautes. Oh! Oh! Elles...» On en a envoyé un de chaque tribu, je pense, des–des douze tribus.

            Seuls deux parmi les douze, à savoir Josué et Caleb, sont revenus dire: «Nous pouvons y arriver, nous pouvons nous en emparer.»

            Eh bien, les autres ont dit: «Nous n’y arriverons pas.»

20        Et juste là à Kadès Barnéa, où ils étaient arrivés, au tribunal, c’est là qu’ils ont failli, parce qu’ils ont écouté le plus grand pour–pourcentage de ces hommes qui sont revenus et qui ont dit: «Oh! Nous avons l’air de sauterelles à côté d’eux.»

            Vous voyez, ils considéraient les symptômes, alors que Josué et Caleb considéraient ce que Dieu avait dit: «Je vous ai donné ce pays.» Peu importe combien la ville est grande, combien grands sont les géants, Dieu est plus grand que tout, et c’est Dieu qui a fait la promesse.

            Ainsi, eux voulaient traverser, et ils–ils disaient: «C’est un beau pays. C’est un magnifique pays.» Et ils étaient donc rentrés avec une certaine évidence. Je suis heureux que quelqu’un ait traversé et ait ramené une certaine évidence, pas vous? (Bien sûr que oui.) C’était pour montrer qu’il y avait des raisins là-bas dans le pays. Oui, oui. Et ils sont revenus et ils ont ramené l’évidence. Et finalement, quand Dieu devait quitter l’âge de l’église, Il a suscité un autre homme du nom de Josué, et ils sont entrés en Pal-... ou plutôt dans la Terre promise et ils ont combattu les Philistins jusqu’à les vaincre.

21        Maintenant, écoutez. Dieu a dit: «Je ne veux pas vous le donner entièrement d’un seul coup. Si Je vous le donne d’un seul coup, si Je le fais, alors vous... le pays entier deviendra sauvage, alors les bêtes sauvages se multiplieront contre vous, et elles vous vaincront. Je vais vous le donner peu à peu, à mesure que vous serez en mesure de prendre possession du pays. Je vais simplement les chasser et vous le donner petit à petit.»

            C’est de cette façon que Dieu agit ce soir. Peut-être qu’aujourd’hui vous dites: «Eh bien, je–je me sens un petit peu mieux. Eh bien, gloire à Dieu! Nous allons nous emparer d’une partie. Aujourd’hui, nous avons détruit les Cananéens. Demain, nous allons donc détruire les Amoréens.» Voyez-vous? Et de même que vous êtes en mesure de vous en emparer, Dieu... Vous pourriez vous briser le cou si vous vous empariez de tout d’un coup. Vous voyez? Ainsi, Dieu vous le donne selon que vous êtes en mesure de vous battre pour régler la chose.

            «Eh bien, dites-vous, hier, je ne pouvais pas bouger ma main si ce n’est comme ça, mais aujourd’hui, je peux tout au moins la bouger comme ceci. Gloire au Seigneur! Demain, je vais la bouger beaucoup plus.» Voyez-vous? Petit à petit, vous entrerez en possession de cela.

22        Oh! Je vous assure, c’est une mer... la chose la plus merveilleuse que j’aie jamais vue de ma vie, le moment le plus glorieux de ma vie, quand je me heurte à un mur que je ne peux pas franchir, ni passer en dessous ni contourner. C’est juste. Et alors, je fais confiance à Dieu et Il ouvre la voie, et je traverse la chose. Dieu vous fait traverser cela. C’est... Puis, lorsque vous vous retrouvez de l’autre côté, c’est comme Samson quand il a tué le lion. Quand il s’est retrouvé de l’autre côté... Quand il a tué le lion, il a tiré de la vieille carcasse de ce lion le miel le plus doux qu’il ait jamais mangé. Et parfois, quand vous vainquez quelque chose par la grâce de Dieu, c’est l’une des choses les plus douces que vous ayez jamais goûtée de votre vie (N’est-ce pas ça?), si vous comprenez spirituellement ce dont je parle.

            Eh bien, il s’en est emparé... Ils l’ont perdu peu à peu. Et cette très grande salle dans laquelle nous vivons après que nous avons été baptisés... Vous savez, je pense que le Royaume de Dieu... Beaucoup parmi vous, vous ne jetez pas un coup d’oeil. Combien de chrétiens ici disent: «Amen»? Ne voudriez-vous pas jeter un coup d’oeil dans le Royaume de Dieu pour voir ce qui vous appartient?

23        Pourriez-vous imaginer quelqu’un qui va acheter une maison dire: «Eh bien, est-ce là la maison?» Il regarde dans la cuisine, et il dit: «Eh bien, je vais l’acheter.» Non, non. Pourriez-vous imaginer quelqu’un qui vous a déjà donné la maison, vous entrez à la cuisine et vous dites: «Bien», ou vous allez derrière, au garage ou ailleurs, et vous dites: «Eh bien, c’est une très belle maison. Oui, oui.», vous vous en allez? Non, non. Si quelqu’un me donnait une demeure ou une maison, j’entrerais dans le garage, j’entrerais au grenier, au sous-sol. Je vais la parcourir dans son entièreté pour voir ce que je–ce que je possède. Eh bien, ne le feriez-vous pas?

            Eh bien, c’est ce que Dieu veut que nous fassions. Lorsque vous êtes baptisé du Saint-Esprit, c’est une bonne chose. Lorsque vous devenez chrétien, c’est une bonne chose, mais le problème, c’est que vous n’avez pas encore regardé partout pour voir toutes les bénédictions que vous y avez. Il y a la guérison divine là-dedans. Il y a la joie là-dedans. Il y a la paix là-dedans. Il y a tout, là-dedans. Il y a la puissance. Il y a tout dans le...

24        Vous savez quoi? Le Royaume de Dieu, c’est comme un très grand magasin. Vous entrez dans le grand magasin, quelque part dans la galerie marchande. Vous entrez. Il y a quelque chose par ici. Vous regardez cela. Cela vous appartient. Vous regardez par ici. Voici quelque chose d’autre. J’aime vraiment ce grand magasin ; pas vous? Et comment y entre-t-on? Nous avons tous, en effet, été baptisés pour former ce grand magasin de Dieu, et nous sommes sujets à toutes les bénédictions de Dieu. Amen.

            Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit pour former un grand magasin. Et ceci, c’est le grand magasin juste ici. Et ici à l’intérieur, chaque bénédiction et chaque promesse qui ont été données à l’humanité sont pour chaque personne baptisée pour former ce grand magasin. Avancez carrément et prenez possession de ce qui est à vous. C’est à vous. Il y a là-haut quelque chose que je dois prendre... Parfois, je dois monter très haut pour prendre cela. C’est un peu hors de ma portée, mais j’ai une échelle pour y arriver. Je veux voir de quoi–de quoi il s’agit. Pas vous?

            Autrefois, je me rappelle la première fois que j’ai entendu des gens parler en langues. Je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce?» Je ne savais pas ce que c’était. Je me suis dit: «Ô Seigneur, c’est dans Ton grand magasin. Je vais monter jusque là et me procurer une échelle pour voir ce que c’est.» J’ai continué à prier Dieu. Voilà que cela est venu sur moi. Je vois quelque chose d’autre, une bénédiction, je dis: «Eh bien, merci, Seigneur. C’est de là que ce frère se nourrit. Moi aussi, je suis dans ce grand magasin, alors je vais vite poser mon échelle et monter pour m’en procurer.»

25        Et maintenant, si vous avez besoin de guérison, montez tout simplement. Ce soir, Dieu est ici dans le grand magasin. Ne le croyez-vous pas? Levez simplement la main et emparez-vous-en. C’est à vous. Dieu vous l’a promis, mais vous ne pouvez pas rester ici derrière et dire: «Oui, je crois que c’est juste. Oui, oui. Je–je crois que si j’allais là-bas, je pourrais avoir cela.» Eh bien, allez prendre cela. Dieu a dit que c’est à vous. Avancez-vous tout simplement et prenez cela. Amen. J’aime cela.

            Oh! Et Dieu a promis tout–tout par la foi, que tout est à vous. Le monde entier vous appartient. Il n’y a rien au monde... Saviez-vous que ce–ce–ce monde appartient aux–aux chrétiens? Cela ne leur appartient pas maintenant, mais il est... ils vont en hériter. Savez-vous qui contrôle chaque nation de la terre? Le diable. C’est ce que déclare la Bible. Jésus-Christ l’a reconnu. Satan a élevé Jésus, il Lui a montré tous les royaumes de la terre. Il a dit: «Ils sont tous à moi», c’est ce qu’a dit Satan ; il a dit: «J’en ferai ce que je vais faire... ce que je veux.» Et il a dit: «Je Te les donnerai si Tu te prosternes et m’adores.» Jésus savait qu’Il en hériterait de toute manière. Il a dit: «Si Mon Royaume était de ce monde, alors J’aurais appelé Mes sujets et ils auraient combattu pour Moi, mais Mon Royaume est d’En Haut.» Voyez-vous?

            «Mais heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu! Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre!» Un jour, Jésus viendra sur la terre, et ceux qui sont morts en Lui ressusciteront et paraîtront avec Lui, et Il est le Roi. Nous sommes maintenant les candidats et les–les sujets de Son Royaume, et nous reviendrons un jour sur la terre et nous serons des êtres immortels.

26        Je peux vous le prouver par la Parole de Dieu que, chacun de vous qui avez des cheveux gris et qui êtes assis ici ce soir, à la résurrection, vous redeviendrez des jeunes garçons et des jeunes filles, exactement tels que vous étiez quand vous aviez environ vingt-deux ans. Je peux le prouver par la Parole de Dieu. Absolument, et là vous serez éternellement jeune. Il n’y a pas un seul cheveu qui soit tombé de votre tête, ni une seule chose qui se soit détachée de votre corps, que Dieu ne restaurera à la résurrection. C’est tout à fait la vérité. Oh! Oui, vous êtes constitué d’un tas de pétrole, de lumière et ainsi de suite, mais lorsque vous vous en allez d’ici, quand votre esprit s’en va, ne vous en faites pas. Dieu sait où se trouve chaque brin de cela, et quand vous reviendrez, où étiez-vous au départ?

            Pour commencer, comment êtes-vous parvenu ici? Dieu vous a créé exactement tel que vous êtes. Est-ce vrai? Personne n’est venu étaler la chair sur vous, et vous constituer au niveau où vous êtes. C’est par... que vous... On dit que c’est par nature. Dieu... Vous avez simplement grandi jusqu’au point où vous en êtes. Et c’est ainsi que Dieu contourne simplement tout cela et Il prononce simplement la Parole, comme lorsque l’eau fut changée en vin. Eh bien, de toute façon, cela aurait pu être du vin. C’était le miracle qu’Il a accompli. Il aurait pu... Cela aurait finalement pu être du vin, parce que cela serait passé par la vigne pour entrer dans la... et passer par les raisins pour entrer dans la cuve, et on en aurait fait du vin, mais Il n’a pas attendu cela. Il a simplement prononcé la Parole, et c’était du vin.

27        Eh bien, à la résurrection, ma mère n’aura plus à me mettre de nouveau au monde, ainsi que votre mère, après neuf mois, ensuite la naissance pour ensuite grandir jusqu’à cet âge ; Dieu va complètement contourner tout le processus sexuel et tout, et Il va simplement parler et il en sera ainsi.

            Il est Dieu. Ne sera-ce pas merveilleux? Oh! la la! Plus de maladie, plus de mort, plus de chagrin, plus de... Oh! la la! Quelle chose merveilleuse ce sera! Et de penser que nous savons que c’est la vérité absolue! Et maintenant, nous devons le dire à quelqu’un. Nous devons faire de notre mieux pour amener les gens à cela.

            Maintenant, Dieu est... La preuve tangible que le Saint-Esprit est visible ici chaque soir... Eh bien, je suis un peu en avance. J’aimerais vous donner un témoignage. Et avec la preuve tangible que le Saint-Esprit est ici dans la salle chaque soir, mes amis, il me semble que pratiquement tout pourrait arriver. Maintenant, c’est moi qui vous le dis ; excusez-moi de dire ceci, je... Vous devez sortir de la–de la lie dans laquelle vous êtes.

            Aujourd’hui, je m’entretenais ici avec deux ministres qui sont dans la salle ce soir, je pense, tous les deux. Et ils me racontaient, l’un d’eux, ce qui se passait chaque soir quand l’onction descend. Je dois réécouter cela sur l’enregistrement pour savoir ce que c’était. Eh bien, parfois, mon fils, après mon arrivée à la maison ou quelque chose comme ça, et quand je reviens en quelque sorte à moi-même, il me dit: «Eh bien, papa, il y a telle chose qui s’est produite ce soir, et telle chose.» Et si ces ministres me racontent ce qui s’est passé, si le centième de cela s’était produit dans un pays en Afrique, en Inde, ou dans un quelconque pays étranger, il y aurait des milliers et des milliers de convertis. Il ne resterait pas d’estropié ni de malade. Chacun d’eux rassemblerait son lit et rentrerait chez lui en se réjouissant et heureux. Il allumerait la torche et traverserait la jungle en criant à tue-tête que la puissance de Dieu est revenue. C’est vrai.

28        Mais en Amérique, nous construisons de très grands chenaux ecclésiastiques en béton, et lorsque Dieu nous envoie la pluie de l’arrière-saison, nous l’évitons tout simplement en disant: «Les jours des miracles sont passés. Ces choses n’existent pas.» Voyez-vous? Nous extrayons tout cela des gens. Et nous disons... Quand les gens voient Dieu oeuvrer de Sa manière merveilleuse, ils disent: «C’est de la télépathie», ou quelque chose comme ça. Eh bien, il ne s’agit pas uniquement des méthodistes et des baptistes, il s’agit aussi des pentecôtistes. C’est exact. Oui, oui, et ils deviennent pires que les autres. C’est juste.

            Les pentecôtistes, aussi mauvais que les autres... Et le pire traitement que j’aie jamais subi à propos de la guérison divine, c’était par un frère pentecôtiste. Il ne voulait même pas... Je... Nous étions à un endroit où un grand dépôt d’armes était bondé, et il y avait des milliers de gens, et il y avait beaucoup de sièges. Il a dit: «Je ne permettrais même pas à ces hommes qui croient à la guérison divine de s’asseoir sur mes sièges.» Et il ne nous a pas permis de les avoir. Et c’est là un prédicateur du Plein Evangile! Il–il n’était pas un prédicateur du Plein Evangile. Il prétendait simplement être un prédicateur du Plein Evangile. C’est juste. Il ne pouvait pas l’être et faire ça, parce que... Il ne pouvait pas l’être. Si vous croyez l’Evangile, vous croirez cela. C’est tout ce qu’il y... Et si vous êtes né de Dieu, vous êtes un fils de Dieu ; vous croyez que tout est possible, parce que vous faites partie de Dieu. Et vous croirez forcément la Bible.

29        Eh bien, c’est ainsi que j’ai comme base, mes amis, à ce sujet, la foi. J’ai peut-être l’impression d’être un amateur à ce sujet, mais ce sur quoi je base ma foi a trait à un don qui m’a été donné. C’est par... Certains reçoivent une révélation. D’autres tirent la chose de la Parole. D’autres la reçoivent par inspiration. Moi, c’est par une–une vision. Lorsque je vois ces visions apparaître, il n’y a rien au monde qui puisse changer cela. Voyez? J’ai vu cela tant de fois...

            Eh bien, en venant ici lorsque j’ai rencontré frère Bosworth pour la première fois... C’est de ça que j’aimerais parler pendant les quelques prochaines minutes, ce qui est arrivé en Floride. J’étais sur... Je me préparais à venir en Floride rencontrer par ici un petit garçon appelé «Petit David», et il tenait une réunion par là. Je l’avais rencontré quelque part à Oakland en Californie, et il occupait une petite salle, et il avait environ... Il avait reçu environ sept mille personnes, c’était la–la capacité de la salle, je pense. Et il avait reçu là trois mille personnes, alors que moi, j’avais une salle d’une capacité de trois mille places ; lui avait reçu environ sept mille personnes. Alors il a dit: «Echangeons tout simplement nos salles l’un avec l’autre.» Et je me suis demandé qui «Petit David» était. Et il y avait un tout petit garçon qui se tenait par là d’environ cette taille, et j’ai dit... Il me disait sans arrêt: «Frère Branham.»

            J’ai dit: «Comment t’appelles-tu?»

            Il a dit: «Je m’appelle ‘Petit David’.» Eh bien, j’avais posé ma main sur sa tête, un tout petit gars.

30        Eh bien, je me suis dit que c’était... J’ai vu beaucoup de ces pauvres garçons, vous savez ; maman leur racontait que Jésus est né dans une crèche et ainsi de suite. Je pensais donc qu’il s’agissait de cela.

            Alors, un soir, après la réunion, je suis allé écouter ce petit garçon. Il avait terminé très tard. Ils avaient eu beaucoup de préliminaires avant que ce gosse ne prêche. Frère, ce n’était pas ce gosse. Il a rapidement ôté sa veste, puis il a pris un texte, et il l’a abordé comme un homme. Ce garçon était un prédicateur.

            Eh bien, alors directement, j’ai commencé à dire aux frères, j’ai dit: «Eh bien, c’est merveilleux, ça. Eh bien, c’est là que vous, frères, vous tous les papas des églises, vous devriez entourer ce jeune homme et...»

            Eh bien, l’un d’eux a dit: «Eh bien, il–il est membre de l’église du Nom de Jésus, et il fait ceci, et ceci, et cela.»

            Et j’ai dit: «Peu m’importe de quoi il est membre. La main de Dieu est sur ce jeune homme. C’est l’essentiel.»

31        Peu importe l’étiquette qu’il porte ou ce qu’il en est. Qu’est-ce que ça change à ça? Aussi longtemps que vous vous disputez et que vous vous affolez au sujet de ce genre de choses, vous êtes toujours charnel et vous n’arriverez nulle part avec Dieu. C’est juste. J’ai dit: «Oubliez ça. Evitez cela. Vous aurez des milliers et des dizaines de milliers de petits enfants.»

            Mais l’autre groupe, il leur fallait trouver un «Petit David.» Et lorsque je suis venu ici en Floride, c’était le pire que j’aie jamais vu de ma vie. Il a fallu consacrer deux pages dans le–dans le journal de Miami, ici, pour s’occuper des «Petit David» qu’il y avait dans la ville. Tout le monde avait peur, si son groupe allait là-bas, de perdre de ses membres.

            Cela m’a fait penser à un gagne-pain plutôt qu’à des efforts pour amener quelqu’un au salut. C’est exact. Ce n’est pas du tout pour faire des compliments que je–je dis cela. Absolument pas. Avec tout... Je–je veux dire que je dis cela... Je n’en retire rien. C’est comme si les gens ont peur que quelqu’un va... Ô frère, que devrions-nous faire? Si je pensais que c’est un gagne-pain, je me chercherais un emploi et j’irais travailler quelque part. Si je...

32        Le problème, c’est d’amener les gens au salut, c’est d’aider quelqu’un. Voilà l’attitude chrétienne. Mais c’était dans chaque journal, et–et alors... Je me souviens que le petit garçon avait dressé une tente sur la route, là loin quelque part sur la rue Flagler et c’était un... triste. Il n’y avait qu’une petite poignée de gens assis là. Eh bien, quand les gens ont appris que j’arrivais pour commencer le lendemain, frère, chaque église de la ville avait un guérisseur divin. Je vous assure qu’ils ont fait simplement que tout commence... Juste... Oh! Quelle idée! Les pécheurs voient cela et ils sont avisés. Ils savent qu’il y a quelque chose qui cloche, et il y a quelque chose qui cloche.

33        Quand un homme affiche une telle attitude, il ne peut pas travailler librement dans l’Esprit de Dieu. Vous ne le pouvez pas. Pourriez-vous imaginer un... C’est l’amour, frère. C’est l’amour, soeur, qui nous amène à Dieu. Si vous n’avez pas l’amour, vous n’avez pas Dieu. Dieu est amour, et il nous faut nous aimer les uns les autres, quelle que soit l’erreur de l’autre. Nous devons avoir cet amour et cette communion fraternelle pour essayer de l’aider, et nous... Nous ne devrions avoir qu’un seul choix, c’est le Royaume de Dieu. Peu importe que quelqu’un fréquente les méthodistes, ou les baptistes, ou les presbytériens, ou où qu’il aille, aussi longtemps qu’il se dirige vers le Royaume de Dieu, c’est l’essentiel, et c’était vraiment un triste spectacle. Très bien.

            En route, j’ai eu une vision d’un... Et je l’ai racontée quand je suis arrivé là. Par la grâce de Dieu, ce grand endroit était bondé, la grande tente, là-bas, quand Dieu s’est mis à se mouvoir à cet endroit-là. Et c’est là que j’ai rencontré mon vieux père dans l’Evangile, frère Bosworth, qui est ici. Et il ne me connaissait pas, il en avait entendu parler. Et alors, quand il est venu et qu’il a vu cela, il a dit: «Frère Branham, c’est maintenant même la chose.»

34        Alors, je... Voici ce que disait la vision. J’étais... j’entrais dans l’une des visions pendant que j’étais assis chez moi. Je–je pense cependant que c’était en venant à bord d’un train. Et j’ai vu un petit garçon (Je veux que vous écoutiez. Vous allez saisir cela.), un petit garçon d’environ huit ans, petit, il avait les cheveux taillés en rond, avec des yeux bruns. Il avait été heurté par un accident, dans un accident de voiture. Il portait une petite culotte comme celle que les petits garçons portaient, dont la petite taille allait plutôt jusqu’ici, et avec des boutons autour, qu’on appelle salopette, ou quoi que ce soit, autour comme ce que les petits garçons portaient. J’en ai porté une quand j’étais petit. Et ainsi, on mettait de gros boutons autour comme ceci. Et il portait de longues chaussettes très épaisses, et son petit pied avait traversé sa chaussette. Et il y avait–il y avait beaucoup de rochers ; c’était une contrée qui paraissait couverte de grosses pierres déchiquetées avec des arbres aux feuilles persistantes qui se dressaient là. Et j’avais vu ce petit garçon ressusciter des morts.

35        Et je suis venu, et il se pourrait qu’il y ait des gens assis ici même ce soir qui m’ont entendu en parler à la réunion de Miami. Je me demande, avant que je ne fasse cette déclaration, s’il y a quelqu’un qui était à la réunion de Miami, qui m’a entendu raconter cette vision, et dire que cela arriverait. Levez la main. Regardez là, de tout côté, partout. Très bien. A la réunion de Miami... Et j’ai dit: «Un jour, cela paraîtra dans La Voix de la Guérison. En effet, ce que Dieu a dit doit arriver. Il est absolument impossible que cela faille. Il doit en être exactement ainsi, car Dieu l’a dit.»

            Eh bien, beaucoup d’entre vous se souviennent qu’au cours de la même réunion environ un... J’avais fait là environ une semaine, je pense, et un petit garçon s’est noyé dans un fossé d’irrigation. A ce que je sache, ses parents sont peut-être assis ici maintenant. Et le père avait entendu cette déclaration, et il avait vu les oeuvres miraculeuses de Dieu, et il n’a pas permis à l’entrepreneur des pompes funèbres ni à qui que ce soit de prendre cet enfant. Il pensait que c’était l’enfant que j’avais vu dans la vision.

36        Monsieur Hoekstra et beaucoup d’entre eux sont sortis, et ils m’ont amené là-bas pour voir le petit garçon. Quand j’ai vu ce petit, il avait des cheveux très noirs. Ce n’était pas lui. Un tout petit garçon, très bien habillé, un petit garçon d’environ cinq ou six ans, et puis il ne s’agissait pas de cette région sans rochers. Il y avait juste, je pense, quelques eucalyptus ou quelque chose comme ça, ou des arbres qui se dressaient là.

            J’ai dit: «Non, il ne s’agit pas de ce garçon. Je suis désolé, il ne s’agit pas de ce gamin.» Et je me suis agenouillé et j’ai prié pour consoler le père, et ainsi de suite, afin qu’ils puissent... l’entrepreneur des pompes funèbres puisse emporter le petit garçon pour l’enterrer. J’ai dit: «Il ne s’agit pas de ce petit garçon, et ce petit garçon est différent.»

37        Alors, ce soir-là, je suis venu à la réunion, j’ai expliqué à l’assistance que j’étais allé voir le petit garçon, mais que c’était... On l’avait transporté là dehors derrière la tente d’une certaine manière, derrière dans une espèce de champ, et ce n’était donc pas le petit gamin. Il était resté dans l’eau pendant un bon bout de temps ; et on l’avait fait sortir, mais le père ne voulait pas leur permettre de l’emporter.

            Alors, j’ai donc continué. De Miami, je suis allé au nord, j’ai pris ma voiture et j’ai traversé le pays jusqu’à la Côte Ouest, demandant aux gens partout, en cours de route, d’écrire cela sur la page de garde de leur Bible. J’ai dit: «C’est la seule chose qu’Il m’a dite et qui n’est pas encore arrivée.» J’ai dit: «Cela va arriver.»

38        Je suis allé jusqu’au Canada, j’ai traversé le Canada jusqu’à Windsor, dans l’Ontario, je suis revenu par la Côte Est, et je disais aux gens que ceci arriverait. Je pense que j’en faisais mention probablement à chaque réunion, disant aux gens: «Ecrivez cela sur la page de garde de votre Bible.» Des centaines et des centaines et des centaines et des centaines de gens l’ont écrit sur la page de garde de leur Bible.

            Eh bien, l’année est passée. Une autre année est passée. Rien ne s’est produit. Mais de toute façon, cela devait s’accomplir. Un soir, je me suis rendu en Finlande, et je suis arrivé à Kuopio. Je jeûne et je prie beaucoup. Et j’étais au sommet de la tour, et là-bas, les petits Finlandais étaient très aimables et très gentils. Et nous avions plusieurs milliers de gens dans les réunions, et donc des Lapons et tout. Et ainsi, nous sommes montés et nous avons montré... Ils me montraient la tour, il y avait environ trente ministres, là où les–les Russes étaient venus bombarder là leur petite ville, et ainsi de suite.

39        Et je suis donc descendu jusqu’au bas de la tour, et je me suis simplement mis à pleurer. Je ne savais pas pourquoi. Cela faisait quelques jours que je jeûnais. Et j’ai commencé à avoir l’impression d’avoir faim. D’habitude, quand je jeûne, je n’ai jamais faim. Quand vous avez faim, c’est le moment de manger. C’est juste. Par la suite, Jésus a eu faim. Voyez-vous? Mais si vous avez faim, c’est le moment de manger. Alors, j’ai commencé à avoir plutôt faim. Et frère Lindsay a dit: «Voulez-vous venir manger, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Non. Je n’ai pas envie de manger, mais, Frère Lindsay, il y a quelque chose–quelque chose quelque part.» Et je me suis avancé là, et j’ai vu un homme qui se tenait là, et il chantait: A Golgotha. Et tous leurs cantiques sont en mineur, et c’était très beau. Alors, j’ai écouté... J’ai vu que cet homme qui se tenait là regardait les gens. Et je me suis avancé, c’était un homme qui venait de l’Angleterre, il était là-bas, c’était un acheteur ; il était ivre au possible, et il a dit: «Qu’est-ce que vous faites là-haut?»

            J’ai dit: «Vous parlez anglais?»

            Il a dit: «Je suis anglais.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, ils chantent un hymne.»

            Et il a dit: «Vous savez, c’est beau.»

            J’ai dit: «N’êtes-vous pas un chrétien?»

            Il a dit: «Non, je n’y crois pas.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, vous devriez avoir honte de vous.» J’ai dit: «Un homme de votre âge que Dieu a fait prospérer tel qu’Il l’a fait, et ensuite vous faites une telle remarque.» Et environ dix minutes après, je l’ai conduit à accepter Jésus-Christ comme Sauveur.

40        Et ils sont descendus, et nous étions là à genoux en train de prier. Nous nous sommes relevés. Ils se sont mis à prendre quelques photos. Et là-bas, leurs taxis sont tirés par des chevaux, vous savez. Ainsi, ils... Et comme frère Lindsay voulait que j’entre dans la petite auto, afin de me photographier dans ce taxi, il a dit: «Nous allons vous amener en voiture.»

            Il y a très peu de voitures. Là-bas, une Ford d’occasion, qui a fait quatre ou cinq ans, se vendrait à deux mille dollars ; et l’essence coûte environ, oh! environ un dollar et demi, deux dollars, quelque chose comme ça, le gallon [3,7 litres]. Vous pouvez donc vous imaginer comment ça se passe avec ces pauvres petits Finlandais ; ils n’ont pas d’argent.

41        Ainsi donc, j’ai dit: «Quelque chose est sur le point d’arriver.»

            Et frère Lindsay a dit: «Eh bien, que pensez-vous que c’est, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas. C’est juste... Je sais que l’Esprit de Dieu est sur le point de faire quelque chose. Quelque chose est sur le point d’arriver.»

            Eh bien, il a dit: «Avez-vous une quelconque idée?»

            J’ai dit: «Non.» Et nous sommes montés dans la voiture et nous nous sommes mis à descendre la colline. Eh bien, j’ai vu une agitation par là, et je ne savais pas ce qui se passait, au bas de la colline. Et ce qui s’était passé là, c’était qu’une Ford modèle 1935, une Ford V8 fabriquée en Amérique... Et là, des enfants venaient...

            Eh bien, les Finlandais vivent tous dans de petites villes, et leurs fermes sont au-delà, et ils vont là à la campagne et à la ferme, et ensuite ils reviennent en ville. Leurs enfants reviennent de l’école... Les voitures sont très rares, et cet homme roulait à environ soixante miles [96,5 km] à l’heure. Et en perdant le contrôle, il a foncé dans ce groupe d’enfants.

42        Deux petits enfants traversaient la route, l’un avait environ cinq ans et l’autre environ huit ans. Ils ont commencé à traverser la route et ils ont eu peur, et ils ont reculé soudainement ; et le chauffeur a perdu le contrôle, et il a fait virer sa voiture à droite. Ce qui ferait vers le nord, et il a heurté de plein fouet un petit garçon comme cela.

            L’autre petit garçon, la–l’aile l’a atteint au menton, l’a fait tournoyer en l’air et l’a projeté contre un arbre, puis elle l’a écrasé contre l’arbre. Il... C’était tout. Et puis alors, l’autre petit garçon, il lui a carrément passé dessus, il l’a broyé sous la voiture ; et la voiture est passée par-dessus le fossé. Le petit garçon se retrouva sous la roue, et cela a lancé son petit corps environ à vingt pieds [6 m] en l’air. Et il est retombé dans l’herbe.

43        C’était juste une vieille petite route en pavés bien battus, et quand nous sommes arrivés là, c’est ce qui était la cause de toute cette agitation. On avait ramassé l’un des petits garçons. La voiture avait continué sa course, complètement démolie ; et alors, le–le conducteur s’était évanoui et avait perdu connaissance. Et on l’avait aussi fait sortir. Et le petit garçon était contre le buisson. Cet autre petit garçon était mort. Cela faisait environ vingt ou trente minutes qu’il gisait là, mort. Et le–l’autre petit garçon, on avait déjà demandé à quelqu’un là pour le transporter à l’hôpital, mais on ne pouvait pas déplacer celui-ci. Ce petit garçon-là respirait, on pouvait donc l’emporter, mais ce petit garçon-ci était mort. Bien entendu, le service des pompes funèbres doit le déclarer, exactement comme on le fait ici ; il devait venir l’emporter. Le médecin n’avait rien à voir là-dedans, parce qu’il était mort. Et le service des pompes funèbres devait donner des ordres pour le prendre.

44        Mais avant qu’ils aient pu le faire, il y a là-bas une loi qui dit que les parents devaient y être impliqués. Et ils sont allés dans les champs de la campagne chercher les parents.

            Mais nous, nous passions par là. Nous nous demandions pourquoi cette agitation. Eh bien, nous nous sommes arrêtés, et mon interprète est descendue, elle a commencé à regarder. Alors, elle a dit: «Oh! C’est un petit garçon qui a été tué et qui est étendu ici.»

            Et alors, madame Isaacson, c’était mon interprète, l’interprète privée, alors elle–elle est revenue et elle a dit: «Frère Branham, vous devriez voir ça.»

            Alors, frère Lindsay est descendu. Beaucoup d’entre vous connaissent Gordon Lindsay, j’en suis sûr, le rédacteur en chef de La Voix de la Guérison. Et il est descendu, puis il est revenu, pleurant simplement comme un bébé. Il a dit: «Frère Branham, allez le voir.» Il a dit: «Je... Cela me rappelle tout simplement mon petit garçon.»

45        «Eh bien, frère Moore, ai-je dit, je ne veux pas le voir.» Alors, frère Moore est descendu. J’ai pris un... avais aussi un fils ici, vous savez, et je n’ai pas... Cela faisait des semaines et des semaines que j’étais parti de la maison. Et Billy Paul avait environ cet âge-là. Et je–je ne voulais pas aller voir ce petit gars.

            Alors, frère Moore est descendu, il a dit... Il est revenu, pleurant, et il a dit: «Frère Branham, vous devriez le voir.» Il a dit: «Je–je n’ai jamais rien vu de pareil.» Il a dit: «Le pauvre petit a simplement été réduit en pièces.»

            Et j’ai dit: «C’est certainement dommage.»

            Il a dit: «Eh bien, quand les parents vont arriver ici, ils ne vont pas... Nous–nous devons le déplacer et l’emmener en–en ville. Ils ont besoin de notre voiture. En effet, c’est... On ne sait pas où ils pourraient trouver une autre voiture.»

            Alors, j’ai dit: «D’accord. Nous pouvons le déplacer.»

            Et ils ont dit: «Eh bien...»

46        Et je me suis dit: «Eh bien, je pense que je vais jeter un coup d’oeil à cet enfant.» Et quand je suis descendu, j’ai regardé ce petit garçon. Oh! Sa petite bouche était ouverte, ses yeux étaient révulsés comme cela, et je... On avait étendu un manteau sur son visage. Je me suis dit: «Oh! la la! Hum! Cette pauvre mère et ce pauvre père, quand ils viendront et verront cette pauvre petite créature étendue là comme cela, et alors qu’ils sont au champ pour travailler...»

            Et eux, ces pauvres Finlandais, ils sont les seuls qui nous ont payé leur dette, leur–leur–leur dette de guerre. Vous le savez tous, vous les hommes de troupe et tout, et vous savez cela. Et ce sont des gens honnêtes et véritables. S’il y a au monde des gens qui craignent Dieu, c’est bien en Finlande. Cela... Ce sont réellement des gens qui craignent Dieu. Ils se confient en Dieu pour tout ce qu’ils ont. Il leur faut cela. Ils vivent juste là sur ce champ de bataille. Et ainsi, ces petits soldats là-bas, certains de ces jeunes garçons ne se sont encore jamais rasés, à quinze ans. On les tue aussi vite que... Ces Russes, vous savez comment ça se passe là-bas, ils déclarent une guerre, et ils–et ils les exterminent. Ils l’ont fait lors de la dernière guerre, et puis les Allemands et tout les ont eus.

47        Ainsi donc, quand–quand je suis descendu et que j’ai jeté un coup d’oeil à ce petit gars, je vous assure, je me suis dit que mon coeur allait se briser. J’ai commencé à m’éloigner comme cela. Bon, on dirait de la fiction, mais ce n’est pas le cas, mes amis. Quand je me suis mis à m’éloigner de ce petit garçon, Quelqu’Un a posé Sa main sur mon épaule. Et j’ai dit... J’ai pensé que c’était frère Lindsay, et je me suis retourné. Il n’y avait personne autour de moi, et pourtant une main était posée sur mon épaule. Eh bien, je me suis dit: «Eh bien, c’est étrange. Eh bien, de qui est-ce la main?» Il n’y avait personne autour de moi. Et je me suis dit: «Eh bien, je me demande ce que c’est.» Et j’ai commencé à m’éloigner, et je... C’était comme si cette main me tirait comme cela.

            Eh bien, j’ai regardé frère Moore, et il a dit: «Qu’y a-t-il, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.»

            Et il a dit: «Eh bien, vous semblez si pâle.»

            Et j’ai dit: «Je–je ne sais pas.»

48        Alors, j’ai encore baissé les yeux pour regarder ce petit garçon. Je me suis mis à me diriger vers lui, et la main s’est retirée de moi. J’ai dit: «Je me demande s’ils pourraient... si vous pourriez demander qu’on découvre de nouveau le visage du petit garçon.»

            Alors, ils ont dit: «Oui. Les gens veulent que vous le mettiez dans la voiture maintenant. Ils veulent l’emporter–l’emporter.» Et les gens criaient et faisaient des histoires là. Et j’ai encore baissé les yeux. Eh bien, j’étais moi-même très nerveux, j’aurais voulu ne pas voir cela (Voyez-vous?), mais, vous voyez, la souveraineté de Dieu! J’ai baissé les yeux ; j’ai dit: «J’ai vu ce garçon quelque part.» J’ai dit: «Approchez, Madame Isaacson.» J’ai dit: «Demandez à ces pasteurs si ce petit garçon a déjà été dans une ligne de prière.» J’avais déjà oublié la vision, voyez-vous.

            On a dit... ils ont dit: «Non.» Aucun d’entre eux ne le connaissait.

49        J’ai dit: «Quelqu’un le connaît-il?» Personne ne le connaissait. «Eh bien, ai-je dit, c’est étrange, j’ai déjà vu ce petit garçon quelque part.» J’ai levé la tête comme ceci un peu ... Voilà ces strates rocheuses qui descendent là, et ces arbres à feuilles persistantes. J’ai de nouveau regardé. J’ai dit: «Le voilà! C’est lui.» J’ai dit: «Frère Moore, Frère Lindsay, approchez-vous.» J’ai dit: «Ouvrez votre Bible.»

            Ils ont dit: «Qu’y a-t-il?»

            J’ai dit: «Ouvrez votre page de garde.»

            Ils ont dit: «Qu’y a-t-il?»

            J’ai dit: «Vous souvenez-vous à Miami, en Floride, ce soir-là où ce petit garçon était...»

            Ils ont dit: «Oui.» J’ai commencé... J’ai dit: «Des cheveux bruns, des cheveux coupés en rond, des yeux bruns, gisant sur la route.»

50        J’ai dit: «Regardez ces arbres tordus là-bas. Voyez-vous? Voyez-vous ces–ces rochers, je veux dire, et ces arbres?» J’ai dit: «Voyez-vous? Il a été tué dans un accident, au bord de la route, et maintenant, il est mort depuis environ trente minutes. Ses petites mains sont brisées comme cela, ses petites jambes.» J’ai dit: «C’est le petit garçon en question.»

            Ils ont dit: «Eh bien, Frère Branham, cela correspond à la description.»

            J’ai dit: «C’est lui.»

            Oh! la la! Personne au monde... Vous pourriez penser que je suis excité maintenant, mais je ne le suis pas. Cela me transporte de savoir que notre Seigneur Jésus est ressuscité d’entre les morts. Toutes ces religions païennes sont fausses. Il n’y a qu’un seul vrai Dieu vivant, et Son Fils, c’est Jésus-Christ. C’est juste. Et Il est ressuscité d’entre les morts, et Il nous a honorés de Sa Présence. Amen. Oh! la la! Oh! Beaucoup de ces choses se sont produites! Ce n’est pas seulement moi qui le déclare, frère ; tout le gouvernement finlandais le sait, et il y...

            Et alors que je regardais ce petit gars, j’ai dit: «C’est lui.»

            Ils ont dit: «Voulez-vous dire qu’il va revivre?»

51        J’ai dit: «Si ce garçon n’est pas vivant dans les prochaines minutes, épinglez une enseigne sur mon dos disant que je suis un faux prophète.» J’ai dit: «C’est le garçon en question ; et il va revivre.»

            On a dit: «Comment peut-il revivre? Regardez-le, tout broyé.»

            J’ai dit: «Voyez s’il ne revit pas.» J’ai dit: «Maintenant, faites taire tout le monde.» On voulait le soulever. J’ai dit: «Je reconnais que le Seigneur m’a dit de m’agenouiller.» Je me suis agenouillé pour prier pour ce petit gosse. Et j’ai dit: «Père céleste, là dans ma patrie, l’Amérique, Tu m’as montré ce petit garçon en Floride, il y a environ deux ans et demi. Et Tu m’as donné la vision, et toutes ces choses étaient très exactement telles que Tu as dit qu’elles seraient. Et maintenant, en tant que Ton serviteur, j’agis à Ta place, parce que Tu as dit: ‘Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.’ Alors, agissant sur base de Ta Parole et sur base de Ta Parole parlée donnée par une vision, je dis à la mort qui retient cet enfant: ‘Tu ne peux plus le retenir. Lâche-le au Nom de Jésus-Christ.’»

52        Le petit garçon a bondi sur ses pieds comme cela et s’est mis à crier et à courir aussi vite que possible, et tous ces Finlandais qui se tenaient là criaient et faisaient tous des histoires, tel que vous ne l’avez jamais entendu de toute votre vie. Ce petit garçon s’est levé d’un bond, il ne savait pas ce qui s’était passé, et il courait çà et là.

            Comment cela s’est-il fait, mes amis? Ne me le demandez pas. Je ne peux pas vous le dire. A mon avis, il n’y avait pas un seul os en bon état dans le corps de ce garçon. Or, le médecin n’a pas dit qui... ses os. La seule image qu’il offrait, c’est que son petit pied avait traversé sa chaussette ; de petites... grosses chaussettes épaisses à côtes comme celles que nous avions ici. Et ses petites jambes étaient tordues ; ses petites mains étaient étendues comme ceci ; son visage était couvert de sang, sa petite langue était ressortie, et sa bouche était ouverte ; ses yeux étaient révulsés comme cela et il gisait là tout à fait froid et mort.

53        Et il arriva que le chef, qui était l’équivalent du maire de la ville ici, se tenait là pour voir cela. Et il... J’ai ses déclarations chez moi et elles vont être publiées dans... Comment s’appelle cet homme de l’Angleterre qui m’appelle tout le temps à aller là-bas? Comment? Decoursey, Kenneth Decoursey, vous avez appris... J’ai lu Intelligence Digest, The Intelligence Digest. C’est lui qui écrit cela. Il va à travers le monde. Il m’a appelé de loin et tout. Quand j’irai là-bas, il veut que j’aille là prier pour l’archevêque de–de l’Angleterre. Et nous devons le voir, et il va écrire cela la semaine prochaine, dans ce Digest. Cela sera traduit dans toutes les langues du monde (Voyez-vous?) pour que ça aille partout. Il a l’information venant tout droit de Finlande.

            Bon. Oh! Comme c’est merveilleux! Je n’oublierai donc jamais ce soir-là. L’autre petit enfant était... La seconde nuit était passée, et cette pauvre petite mère de cet autre petit garçon, jamais je n’avais entendu des cris comme ceux qu’elle avait poussés. On devait...

54        Et en entrant ce soir-là, ils avaient placé deux officiers devant... ce soir-là, quand je suis entré dans le... pour aller au Messuhalli, pour prier pour les gens, il y en avait vingt-cinq mille à l’intérieur. Sur un mile [1,6 km]... environ trente mille personnes se tenaient côte à côte là pratiquement sur un mile [1,6 km], sur six ou huit pâtés de maisons comme cela, attendant pour entrer. Et écoutez, en traversant les rues...

            Je vais vous montrer la–la chose qui mettra fin à toutes les guerres. Cela est allé directement de l’autre côté du Rideau de fer, et j’étais assis avec le baron Von Blomberg et avec... Je cherche à me souvenir du nom de cet homme qui a écrit The Indian Road. Comment s’appelle-t-il? Stanley Jones? Là à Saint Petersburg, avec un petit garçon rus-... ou plutôt allemand qui avait été dans le camp russe... Il a dit: «Frère Branham, ce qui me rend perplexe, c’est le fait que vos réunions ne sont pas mieux connues en Amérique.» Il a dit: «On les connaît mieux de l’autre côté du Rideau de fer qu’ici. Mais c’est une chose merveilleuse que notre Seigneur a faite.» Il a dit: «Cela a parcouru toute la Russie.»

55        Et il était un... Et cela faisait environ, oh! six ou huit mois depuis qu’il était parti et Von Blomberg l’a fait sortir du camp russe d’où il s’était échappé et il est entré en Allemagne libre, et le baron l’avait fait sortir et l’avait amené ici en Floride, un jeune Allemand. Ses soeurs avaient été enlevées et violées. Et elles sont toutes deux devenues folles et elles sont mortes là-bas. Et quelle chose horrible ils ont vécue. Mais il a dit: «Elles sont certainement là-Haut...»

            Et alors, quand je suis arrivé ce soir-là, je descendais la rue, amis chrétiens, là se tenaient des centaines et des centaines de russes rudes. En Russie, si vous vivez à quarante miles [64 km] de votre naissance... à quarante miles de votre lieu de naissance, vous devez avoir un visa.

            Et quand nous sommes montés là-haut, nous avons dû longer là la zone sous contrôle ; et ils nous ont fait traverser, sur environ cinquante miles [80 km], un tunnel creusé à la main. Et quand nous y sommes entrés, les... ce vieux train, ils avaient une–une mitrailleuse, ces Russes, et on avait baissé ces rideaux. Et ces Russes se tiennent là avec des mitrailleuses pour que nous ne regardions pas tout le temps par ces fenêtres en passant. Et j’ai posé la question à un petit soldat finlandais qui a dit: «Très bientôt, vous les Américains, vous allez voir. Ne vous préoccupez pas de ce qu’ils font là derrière.» Très bien.

56        On prétend donc qu’ils ont des abris souterrains aériens... anti-aériens, et tout, et des avions, qui peuvent tournoyer ou plutôt envoyer des missiles qui vont bombarder chaque nation et chaque–chaque ville des Etats-Unis en cinq minutes, avec des bombes atomiques, et les envoyer directement à partir de ce seul endroit-là.

            Ainsi, frère, nous vivons dans un âge terrible. Nous vivons au temps où les hommes devraient se mettre en ordre avec Dieu et chercher Dieu, car le moment approche où la destruction doit frapper aussi sûr que je me tiens ici à cette chaire. Nous allons forcément être détruits. Comment pourrons-nous y échapper, mes amis, si nous négligeons Dieu et traitons Dieu tel que nous le faisons? Comment pourrons-nous y arriver, quand les gens parcourent la ville et que les responsables de la ville boivent du whisky pour fêter la Noël et des choses comme cela? Comment pouvez-vous vous attendre à ce que Dieu fasse quelque chose d’autre que détruire ces villes? N’est-ce pas juste? La nation toute entière est corrompue, partout. Le monde tout entier est corrompu. C’est juste. La seule chose qu’il reste, c’est la Venue de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, la seule espérance que nous ayons au monde. Fuyez vers Lui, ce soir.

57        Quand donc nous traversions cet endroit-là, ces grands Russes aux mains rudes qui faisaient la garde sur la route... Je ne sais pas si c’était le même groupe, mais ils se tenaient là et ils marchaient. J’ai dû–j’ai dû marcher sur plusieurs pâtés de maisons pour arriver à cet endroit, et il y avait des soldats qui faisaient des va-et-vient comme cela, et ces Russes se tenaient là, et les larmes leur coulaient sur les joues comme cela pendant qu’ils passaient. Ils exécutaient ce salut russe plat à leur passage comme cela, et les larmes coulaient. Et dès qu’ils le purent, ils passèrent leurs bras autour de ces petits soldats finlandais, pleurant et louant Dieu. C’étaient des hommes, des Russes remplis du baptême du Saint-Esprit.

            Permettez-moi de vous dire une chose, frère: Tout ce qui pourrait faire qu’un Finlandais entoure un Russe de son bras et l’étreigne, cela mettrait pour toujours un terme à la guerre. Amen. C’est juste. Lorsque vous voyez ces deux nations, là... Ils ne tenaient aucun compte qu’ils soient des Russes ou qu’ils soient des Finlandais. Ils s’étreignaient et ils louaient Dieu. Comme ils le disaient, il n’y aurait plus de guerre.

58        Précédemment, pendant cette dernière guerre, un petit aumônier (Je dois ajouter ceci.), il a dit: «Frère Branham, je marchais à un poste comme ceci, a-t-il dit, j’étais là-bas.» Il a dit: «Je mourais de faim au Japon.» Il a dit: «Je–j’ai levé les mains et j’ai dit: ‘Oh! Alléluia!’» Il a dit: «Ô Dieu, j’ai une femme et des enfants à la maison, et apparemment, je vais mourir juste ici dans ce camp de prisonniers.» Il a dit: «Oh! Si seulement je pouvais les voir une fois de plus ; mais néanmoins, si Tu veux que d’ici je rentre à la Maison, que Ta volonté soit faite, Seigneur.» Et il a dit qu’il a remarqué une petite sentinelle qui marchait à son poste comme cela, qui ne cessait de le regarder. Il a dit qu’il a pensé que ce garçon voulait lui parler.

            Il s’est approché de lui ; il a regardé tout autour, il a dit: «Etes-vous chrétien?»

            Il a dit: «Oui.»

59        Il a dit: «Moi aussi, je suis chrétien.» Eh bien, s’il avait eu sa permission, il aurait laissé sortir ce frère. Frère, laissez-moi vous le dire. Cela n’exige pas une réunion des Quatre Grands à une conférence autour de la table ronde. Il faut le Sang de Jésus-Christ pour unir les hommes. C’est ce qu’il faut. Oui, oui. Pourquoi cherchez-vous à faire de ceci une machination? Ce sont des manigances humaines. Ça ne marchera jamais, jamais ; ça n’a jamais été destiné à cela. Cela ne marchera jamais jusqu’à ce que chaque nation reconnaisse Jésus-Christ le Fils de Dieu. Et l’Eglise chrétienne a failli de reconnaître, de présenter Jésus aux nations ; c’est pour cela que nous avons des problèmes ce soir ; c’est tout à fait ça.

            J’arrivais ce soir-là, c’était la seconde soirée. Cette pauvre petite mère était couchée à la porte de cet hôtel. Je n’oublierai jamais cela ; quelle soirée! Elle était couchée là. Et sans cesse, elle appelait constamment, disant: «Venez guérir mon fils. Venez guérir mon fils.»

            Eh bien, bien entendu, madame Isaacson, c’est contraire au règlement que je puisse faire un–un–un appel. Et alors, je... Juste une minute. Je pense que j’ai assez de temps pour insérer maintenant cette partie, si vous me le permettez. Me le permettez-vous? Si c’est le cas, dites: «Amen.» C’est simplement pour vous dire comment ce petit garçon est sorti...

60        Alors, nous... J’arrivais–arrivais ce soir-là et je... Ils avaient simplement... Cette pauvre petite femme, on devait la tirer comme cela. Et les managers et tous les autres essayaient de lui parler, disant: «Soeur, nous prions pour votre petit garçon.»

            «Oh! Qu’il descende guérir mon petit garçon.» Il s’agit là de l’autre petit garçon qui avait été écrasé ; il n’avait pas du tout repris connaissance, on ne lui avait pas du tout lavé le visage ni rien, il était tellement fracturé, étant couché là comme cela. Et alors, les gens... Je me souviens ce soir-là, le soir suivant, quand nous sommes arrivés... Ce jour-là, la petite femme, je lui ai parlé, disant: «Amenez-la dans le hall.» On l’a donc amenée dans le hall, et j’ai dit: «Eh bien, pour commencer, êtes-vous une chrétienne?»

61        «Non.» Aucun d’eux n’était chrétien. Elle a dit: «Pourquoi n’allez-vous pas...?» Bien entendu, c’était donc par un interprète. Elle a dit: «Je veux que vous alliez guérir mon petit garçon.»

            J’ai dit: «Je n’ai pas guéri ce petit garçon-là.»

            Elle a dit: «Oh! Vous l’avez guéri.»

            J’ai dit: «Non, non.» J’ai dit: «Là dans ma patrie, en Amérique, il y a deux ans et demi, Dieu m’avait donné une vision de la guérison de ce petit garçon.» Et j’ai dit: «Je n’ai fait que ce que Dieu m’avait dit de faire.»

            Et elle a dit: «Ayez une vision pour mon petit garçon.»

            «Eh bien, c’est très bien, mais je–je n’ai pas le pouvoir de faire cela.» Eh bien, on ne peut pas faire ça. J’ai donc essayé de le lui faire comprendre, j’ai dit: «Tout d’abord, êtes-vous une chrétienne?»

            «Non.» Ni elle ni son mari, aucun d’eux...

            J’ai dit: «Eh bien, j’aimerais vous parler. Ecoutez. Si–si ce petit garçon meurt... Je ne sais pas ce qui va lui arriver. Le médecin dit qu’il va certainement mourir. Il a eu des commotions cérébrales, il a du sang au cerveau, et vous savez comment ça se passe, et tout son dos est comme ça pour autant que... On n’a pas pu faire la radiographie ni rien ; en effet, on l’a simplement laissé... On attend qu’il reprenne connaissance, et il a dit: ‘Il mourra certainement.’»

62        J’ai dit: «Si le petit garçon meurt, le médecin fait tout ce qu’il peut.» J’ai dit: «S’il meurt, il ira donc au Ciel, parce que Jésus-Christ a payé la rançon pour ses péchés quand Il est mort au Calvaire.» Le petit garçon était trop jeune pour distinguer le bien du mal, il n’a rien dont se repentir. Et j’ai dit: «Dans ce cas, il...» ou plutôt dont se repentir... Et j’ai dit: «Il–il ira au Ciel. Si donc vous mourez, vous n’irez pas au Ciel, et vous ne reverrez jamais ce petit garçon.»

            J’ai dit: «Mais s’il meurt et qu’il aille au Ciel, et que vous deveniez une chrétienne, alors, quand vous mourrez, vous irez au Ciel, et vous serez avec lui pour toujours, éternellement. Et là-Haut, il n’y aura plus d’accidents.» Et j’ai dit: «En faisant cela, vous pourriez trouver grâce aux yeux de Dieu.» J’ai dit: «Eh bien, si vous voulez que je vous accorde une faveur, eh bien, trouvez grâce à mes yeux. Si je désire obtenir une faveur de vous, je trouverais grâce à vos yeux.» J’ai dit: «Trouvez grâce aux yeux de Dieu. Devenez Sa servante et peut-être que Dieu pourrait–pourrait guérir votre enfant. S’Il ne...»

             Ils ont examiné soigneusement cela. Ils ne pouvaient perdre, car, vous voyez, s’ils pouvaient trouver grâce aux yeux de Dieu, Il pourrait guérir l’enfant. Même s’il n’était pas guéri, eh bien alors, ça ne serait pas grave s’ils mouraient ; alors ils iraient tous ensemble au Ciel.

63        Alors, le petit père et la petite mère se sont agenouillés et ils se sont entourés de leurs bras, la chose la plus douce que vous ayez jamais vue. Je pense toujours à cela, et mon coeur se remplit de voir comment ils pleuraient. Madame Isaacson essayait d’interpréter la prière de mon côté. Ils disaient: «Nous voulons être avec notre petit garçon», vous savez, et ainsi de suite comme cela, ces pauvres petites créatures, juste un jeune couple qui était probablement encore dans la vingtaine.

            Et alors, ils se sont relevés, se sont essuyé les yeux, ils ont dit... Et j’avais... J’ai dit: «Maintenant, croyez-vous que si vous mourez maintenant, vous irez voir...?»

            «Oui.» Jésus était leur Sauveur. Ils allaient Le servir toute leur vie. Et alors, la petite mère, vous savez comment une mère est vis-à-vis de son enfant. Elle a dit: «Maintenant, ayez une vision.»

            J’ai dit: «C’est–c’est très bien, soeur, mais je ne peux pas forcer Dieu à faire ça.» Et j’ai dit: «Eh bien...»

            Elle a dit: «Venez, allez à l’hôpital et guérissez-le maintenant.» Elle pensait que cela réglait tout le problème, comme elle était devenue chrétienne.

64        J’ai dit: «Non, je ne peux pas faire ça.» J’ai dit: «Eh bien, je violerais les règlements, et vous ne voudriez pas que je le fasse.» J’ai dit: «A moins que Dieu me conduise, eh bien, je–je ne fais pas cela parce qu’il y a trop de monde ; alors cela cause...?... chez les ministres.» J’ai dit: «Je ne peux pas faire ça.» J’ai dit: «Mais je vais carrément entrer dans la chambre et me mettre à prier pour lui maintenant.» Et j’ai dit: «Comme je prie, et si Dieu me montre quelque chose, je vais vous appeler.»

            Elle a dit: «Je vais attendre pour voir ce que Dieu va dire.»

            J’ai dit: «Oh! Il pourrait même ne rien me dire du tout, soeur. Il pourrait ne jamais–Il pourrait ne jamais me dire un seul mot.» J’ai dit: «Je pourrais ne jamais avoir de vision en rapport avec cet enfant.» Et j’ai dit: «S’Il le fait, je vais vous appeler.»

            Elle a dit: «Eh bien, je vais attendre.»

            J’ai dit: «Non, Il pourrait ne rien dire du tout.» Nous avons donc eu un moment difficile pour nous débarrasser d’elle. Alors, nous les avons finalement fait rentrer chez eux, elle et son mari. Eh bien, environ quinze minutes après qu’ils étaient partis, le téléphone a sonné. L’interprète est allé.

            Elle a dit: «Frère Branham a-t-il déjà eu une vision?» Elle était... La pauvre petite, je me suis senti vraiment... Je ferais la même chose si c’était mon enfant. Elle a dit: «Frère Branham a-t-il déjà eu une vision?» Elle appelait environ toutes les dix minutes. «A-t-il déjà eu une vision...?...»

65        Eh bien, ce soir-là, je suis allé à l’église, là au grand Messuhalli, là-bas, chez ces gens. En entrant, il s’est passé quelque chose. Alors que j’entrais, quelques petits soldats marchaient devant et derrière... Tout le monde avait reçu l’ordre, vous savez, de ne pas s’attrouper autour, parce que ces soldats, c’était la milice. Voyez-vous? Ainsi, les gens... Je suis entré dans le hall, je suis monté comme ceci. Et je... Juste au moment où j’entrais, les gens chantaient Crois seulement en finlandais, parce qu’ils savaient que j’étais là. Et frère Baxter m’avait déjà précédé. Il m’avait amené, il m’avait précédé et il était entré. Alors, il les a conduits dans le chant Crois seulement.

            Et ces petits soldats m’amenaient par un autre chemin pour me faire entrer, ainsi je suis arrivé à l’estrade, parce qu’on ne pouvait pas entrer par cet autre chemin, les gens s’étaient tellement entassés là à l’intérieur. Ainsi donc, au moment où–au moment où je traversais la salle... Maintenant, voici quelque chose que je veux que vous saisissiez. C’est la chose la plus douce que j’aie jamais vue. Les gens... Là-bas, les toilettes des dames...?... telle que c’était. Nous sommes entrés et, tout à coup, la porte s’est ouverte, et une petite fille qui était sur des béquilles s’est avancée. Et elle a incliné sa petite tête, et elle a levé les yeux vers moi, et je savais que cette petite fille voulait venir vers moi.

66        Et elle pensait qu’elle avait fait quelque chose de mal, parce qu’on leur avait strictement dit, annoncé à la radio, à leurs–leurs microphones et tout, lorsqu’ils venaient, de ne même pas entrer dans la ligne ni de vérifier ni quoi que ce soit, vous savez. Ils avaient pris des mesures vraiment sévères. Je ne voulais pas qu’ils le fassent. Mais j’imagine qu’on devrait vous faire entrer et vous faire sortir. Ainsi donc... Et cette petite créature pensait qu’elle avait mal agi, et elle a baissé sa petite tête. Je n’oublierai jamais le regard de cette petite enfant.

            Elle se tenait là. Une jambe était un peu plus courte que l’autre. Et elle ne faisait cependant pas du tout usage de ce membre. Je pense que c’était le membre droit. Et elle portait un–un gros soulier, et elle avait une–une attache au bout de son soulier, et un morceau de cuir. Et puis, au-dessus de ce soulier, il y avait un appareil orthopédique qui montait comme ceci, et ensuite entourait son petit côté. Et cette attache montait et passait sur son dos et était attachée derrière. Et elle avait deux béquilles. Et telle qu’elle marchait, elle posait ces deux béquilles, et ce membre n’avait aucun contrôle du tout, il était simplement suspendu (Voyez-vous?), et cet appareil orthopédique le raidissait. Voyez-vous?

67        Elle posait donc ses béquilles, et ensuite elle redressait sa petite épaule et levait son pied comme cela, et elle l’avançait comme cela (Voyez-vous?) avec son–avec son épaule comme cela. Elle posait ses béquilles, et puis elle faisait... Et cela faisait projeter cette jambe. Et c’est comme cela qu’elle marchait.

            Et je l’ai vue. Elle avait environ dix ans, quelque chose comme ça, avec sa petite chevelure blonde touffue, et son petit visage d’enfant, et sa petite jupe... Elle ne portait probablement pas de jupon. Elle était simplement... Et cette jupe était tout en lambeaux et de petites loques pendaient, elle était pauvre. Et j’ai découvert plus tard que c’était une petite orpheline de guerre. Sa mère et son père avaient été tués par les Allemands pendant la guerre, et on s’occupait d’elle partout où elle restait. Elle vivait dans une tente.

68        Et elle m’a donc regardé, et ses petites lèvres ont commencé à trembler. Elle a baissé sa petite tête comme cela, et j’ai vu les larmes lui couler des yeux, ce qui était un peu...?... Et j’ai dit... Je ne savais pas parler...? Il n’y avait pas d’interprète ni rien, et les gens ne pouvaient pas... Et je–je–je ne savais quoi faire, et je me tenais simplement là, et on essayait de me faire avancer, et j’ai fait signe comme cela de ne pas le faire, tandis que j’observais cette enfant.

            Et les gens sont très polis. Quand ils venaient tous au service de l’après-midi, on me donnait un peu de cet argent finlandais, vous savez. Et j’allais là et j’achetais des bonbons ou des biscuits et que sais-je encore, et j’avais toute une file d’enfants, sur une distance d’un pâté de maisons, qui me suivaient. Et alors, ils me remerciaient en disant: Kiitos, c’est-à-dire: Merci. Kiitos. Et ces petites filles saisissaient leurs petites jupes et elles les étalaient et disaient: Kiitos. Comme ça, ils vous remercient, vous savez, quand je leur donnais ces choses. Je recevais pratiquement des enfants venant de partout dans le pays. Je les aime. J’en ai deux à la maison. J’aimerais les prendre maintenant dans mes bras. Juste... J’aime les petits.

69        Et ainsi–et ainsi, je–j’ai vu cette petite. Et elle voulait venir vers moi. Et je sais que c’est ce qu’elle voulait. Et je me suis tenu tranquillement ; et à propos, ceci, c’est le même complet que je portais. Ce complet vient de Finlande. Et je portais donc ce complet. Et alors, j’étais... Elle s’est simplement arrêtée, elle m’a regardé, elle a encore baissé sa petite tête. Elle pensait qu’elle avait fait quelque chose de mal quand elle est venue là pendant que je passais. Et je l’ai regardée comme cela.

            J’ai dit: «Veux-tu venir par ici?» Bien entendu, elle ne comprenait pas ce que je disais. Et je lui ai fait signe du doigt comme cela. Et elle a levé les yeux vers moi, un tout petit sourire s’est plutôt dessiné sur son visage. Et elle m’a encore regardé. Je pensais qu’elle allait se mettre... voir ce que j’allais dire. Je l’ai regardée. Je suis resté tranquille, elle a avancé ses petites béquilles, elle a pris sa petite épaule et elle a projeté cette jambe, et elle continuait à venir.

            Je me suis dit: «Que Dieu bénisse cette pauvre petite mortelle estropiée.» Et la voilà qui traverse, et elle... Je n’ai rien dit du tout. Je me suis simplement tenu là, les mains comme ceci. Et elle est venue tout droit jusqu’à se tenir à côté de moi comme cela. Elle s’est arrêtée, elle a posé ses petites béquilles au sol, et elle a gardé sa petite tête baissée comme cela pendant quelques minutes, elle était à peu près de cette taille. Elle a gardé la tête baissée. Elle a tendu la main et elle a saisi cette même veste, elle l’a tenue comme cela, elle a baisé la poche, puis elle l’a repoussée. Elle m’a regardé, ses petites lèvres tremblaient, et les larmes coulaient de ses petits yeux bleus. Elle a écarté sa petite jupe, disant: Kiitos. Merci. Oh! la la! J’avais le coeur gros, j’ai regardé cette petite.

70        Il m’est arrivé de regarder, elle partait, traversant comme ceci dans une vision, elle s’en allait là sans béquilles. J’ai dit: «Maintenant, si seulement je peux le lui faire comprendre.» J’ai dit: «Ma chérie, mon chou, tu es–tu es–tu es guérie. Jésus t’a récompensée pour ta petite foi, mon chou. Tu es–tu es guérie. Tu es guérie.»

            Et bien entendu, elle ne faisait que pleurer, tenant ses petites mains comme ceci, pleurant tout simplement. Et j’ai dit: «Tu es guérie, ma chérie.» Et–et juste à ce moment-là, la porte s’est ouverte. Et voilà venir deux ou trois Finlandais...?... là-bas, les soldats m’ont poussé, et je suis monté à l’estrade et j’ai tenu la réunion.

            Vous pouvez voir la photo de tout cela là dans un–dans un de mes livres. Et ils avaient un... Après cette soirée-là, quand le Saint-Esprit se mouvait juste au-dessus de l’assistance et disait aux gens (Je ne savais même pas parler leur langue) et leur parlait où ils avaient fait... de ce qu’ils avaient fait, ce qui clochait... Les gens se levaient tout simplement, et ils entassaient leurs béquilles et tout, au point qu’on en avait des tas là comme ça.

71        Tôt un matin, quand on descendait, il y en avait toute une très grande vieille charrette pleine qui partait comme cela, et eux tous marchaient à côté en chantant en finlandais Crois seulement, tout est possible, crois seulement.

            Et là, j’ai remarqué, quand je suis arrivé, mon frère Howard et frère Baxter se sont approchés, et j’ai senti qu’ils m’ont donné une tape à l’épaule. C’est–c’est pour me signaler, parce que quand on entre dans cet autre monde, on ne sait même pas où on se trouve. Ainsi donc, c’est pour me signaler que le moment est venu de partir. Ils me surveillent et ils savent quand c’est assez pour moi. C’était donc le moment de partir. Et j’ai dit: «Je vais juste–juste en appeler encore quelques-unes, s’il vous plaît. Juste–juste en appeler encore quelques-unes.»

72        Eh bien, on a pris là un petit Finlandais, et on devait distribuer des cartes de prière. Et on a donc appelé encore quelques cartes de prière. Et alors, selon la grande providence de Dieu, j’ai entendu quelque chose faire du bruit, et la personne suivante sur l’estrade était cette petite fille. Oh! la la!

            Quand elle est arrivée sur l’estrade (Je n’oublierai jamais cela), j’ai dit à l’interprète, j’ai dit: «Approchez maintenant. Répétez exactement mes paroles.» J’ai dit: «Ma chérie, mon chou, c’est toi la petite fille qui m’a rencontré là dans le hall il y a quelque temps.» J’ai dit: «Jésus-Christ t’a récompensée pour ta foi.» Oh! Il l’aurait fait même si j’étais un sale hypocrite, Il l’aurait fait à cause de la grande foi de cette enfant.

            J’ai dit: «Eh bien, Il t’a guérie. Eh bien, la chose que tu dois faire, ai-je dit, c’est simplement louer Dieu.» J’ai dit: «Maintenant, va là-bas et demande-leur de t’enlever tout cet appareil orthopédique.» Et j’ai dit: «Et puis, quand tu... Pose simplement ta petite main sur tes jambes, et pour ce qui est de ta jambe qui est courte, fais glisser ta main juste sur ta jambe pendant qu’ils enlèvent ce soulier. Reviens la montrer à frère Branham.»

73        Eh bien, la voilà partir, vous savez, en clopinant, là-bas. Un homme l’a amenée pour ôter l’appareil orthopédique. Et puis, quand on a repris pour recevoir quelqu’un d’autre, une femme s’est approchée. Juste à ce moment-là, je l’ai entendue crier, et la voilà venir avec cet appareil orthopédique et ses béquilles en mains, et elle traversait cette salle, dans une section, aussi vite qu’elle le pouvait, en criant à tue-tête. Voilà sa photo là dans le livre, aussi normale qu’elle pouvait l’être. Voyez-vous? La vision avait déjà annoncé cela.

            Quand je suis arrivé ce soir-là (Je vais me dépêcher)–quand je suis arrivé ce soir-là, quand on m’a fait sortir, mon frère m’a donné deux bonbons. Eh bien, s’il y a des Canadiens ici, je crois qu’il y en a, ne... Excusez-moi de dire cela.

            Une fois, au Canada, nous avions acheté des bonbons et ils avaient exactement le goût de l’amidon. Les gens n’avaient pas d’argent pour y mettre les ingrédients, je pense, qu’il fallait. Et Howard m’a dit, il a dit: «Bill, tu parles de bonbons là-bas qui contiennent de l’amidon, a-t-il dit ; goûte ceci.» Il m’a donné deux petits bonbons.

74        J’ai dit: «D’accord.» Et je suis entré. Je suis monté. J’avais cette Bible-ci. Et je... Là-bas, le soleil ne se couche jamais pendant la... Ils n’ont qu’un jour par an. Voyez-vous? Pendant vingt-quatre heures, ou plutôt–ou plutôt six mois, le soleil se lève, et pendant six mois, il se couche. Mais c’est longtemps en mai, ou plutôt le premier mai, et le soleil... C’était... On pouvait lire un journal dehors dans la rue. Ce n’était pas... Il ne faisait pas sombre à minuit. C’était alors vers minuit, et je suis allé vers l’est, et j’ai regardé dans cette direction. Et j’ai vu tous ces milliers de gens qui se déversaient dans ce parc, et ils pleuraient, les mains levées comme cela, les soldats et tout.

            J’ai dit: «Ô Grand Jéhovah Dieu, que Tu es merveilleux, que Tu es adorable, mon Maître et mon Seigneur!» J’ai dit: «Un jour, Tu vas fendre ces cieux orientaux là-bas pour venir, et je Te verrai dans la Gloire.»

            Des milliers de ces Finlandais ressusciteront dans la Vie Eternelle. J’ai dit: «Comme je T’adore, mon Maître!» Et je me tenais là avec ma Bible comme cela.

75        Juste à ce moment-là, j’ai entendu quelque chose faire... [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Et j’ai regardé. Et, se tenant environ à cette distance de moi, là se tenait le... Il se tenait là, un Homme grand, vêtu de blanc, l’Ange du Seigneur, avec les cheveux retombant sur Ses épaules. Et Il avait déposé quelque chose sur... Les tables sont toutes vieilles et de style ancien, semblable à du marbre, et Il a déposé quelque chose. Et j’ai regardé là où Il a déposé cela, et c’était un vase d’environ cette longueur, contenant deux fleurs. Eh bien, je les appelle des fleurs de Pâques. Je crois qu’on les appelle des jonquilles. Je ne suis pas... Et je pourrais me tromper à ce sujet. Elles ont comme une petite corne dessus comme cela, vous savez, elles fleurissent vers Pâques ; certaines d’entre elles sont jaunes et d’autres sont blanches. Celles-ci étaient blanches. Et l’une qui était comme cela était complètement penchée, et cette autre-ci se fanait, elle se penchait comme cela.

            Et j’ai regardé, et j’ai dit... Bien entendu, j’étais effrayé. J’ai dit: «Je–je ne comprends pas.»

            Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

            Et j’ai dit: «Monsieur, deux bonbons qui sont juste ici.»

76        Il a dit: «Mange-les.» Et j’en ai pris un, je l’ai mis dans la bouche (Et je ne les avais pas encore goûtés) et il était bon. Et je l’ai avalé, et quand je l’ai avalé, cette fleur de Pâques qui était penchée comme ça, très exactement tel que ces garçons étaient tombés, c’était ainsi que ces...?... Cette fleur de Pâques qui était penchée a fait: «Pfttt!», et elle s’est carrément redressée comme cela.

            Il a dit: «Mange l’autre.» Et je l’ai mis dans la bouche. Et, oh! la la! c’était tout ce qu’il y avait de plus fade, de plus mauvais. Et je l’ai fait sortir. Et j’ai dit: «Oh! la la!» Et je l’ai fait sortir, je–je... Oh! Et cette fleur a fait... [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Il a dit: «Si tu ne le manges pas, cet autre garçon mourra.» Je l’ai très vite mis dans la bouche, et je me suis mis à le mâcher très nerveusement, puis je l’ai avalé. Et quand je l’ai avalé, cette autre fleur qui était penchée comme cela a fait: «Pftt!», et elle s’est carrément redressée à côté de l’autre. Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, va appeler la femme au téléphone et dis-lui que son fils vivra.»

            Eh bien, je suis parti... Dès qu’Il est parti, je suis bien revenu à moi-même, j’étais engourdi. Et j’ai commencé à me frotter le visage. Je suis revenu à moi-même. J’ai déposé ma Bible. Je suis entré dans le hall et j’ai lâché un très grand cri.

77        Eh bien, monsieur Baxter, monsieur Lindsay, tous ces hommes, vous savez tous ceci. Ils ont accouru dans le hall et j’ai lâché un très grand cri. J’ai dit: «Frères, venez vite.» Et ils n’avaient pas... Les portes se sont ouvertes de tous côtés. Ils–ils ne comprenaient pas. Madame Isaacson est venue directement dans le hall en descendant l’escalier ; elle m’entendait en anglais, vous savez, et ils ont accouru.

            J’ai dit: «Madame Isaacson...» Je leur ai raconté ce qui était arrivé... l’Ange du Seigneur. J’ai dit: «Allez appeler cette femme et dites-lui: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, son enfant vivra.’» Alors, elle...

78        Là-bas, le téléphone, c’est comme un bâton que vous mettez dans l’oreille. Et vous devez tourner une manivelle comme ceci. Ils ne sont pas tellement comme nos téléphones ici. Elle a donc tourné la manivelle de ce téléphone. Et elle a appelé la–la maison, et il y avait là un baby-sitter qui prenait soin du tout petit enfant qu’ils avaient ; et la mère et le père avaient été appelés à l’hôpital (qui était comme une maison privée), et ils avaient été appelés là-bas, parce que l’enfant se mourait, leur enfant se mourait, le petit garçon.

            On a donc appelé à la maison et quand ils sont arrivés là, ils... Elle a dit: «L’enfant se meurt.»

            Alors, ils ont appelé l’hôpital et le médecin a dit: «Un instant!» Ou c’est l’infirmière qui a répondu et qui a dit: «Un instant!» Ils sont donc allés chercher la femme et ils l’ont amenée au téléphone, elle criait à tue-tête, et elle a dit: «Eh bien, chérie, maintenant, tiens-toi tranquille. J’ai quelque chose à te dire.» Elle a dit: «Frère Branham vient d’avoir une vision. L’Ange du Seigneur s’est tenu là et a dit de te dire: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, l’enfant va vivre et ne va pas mourir.’»

            Elle a dit: «Oh! Je le sais très bien. Nous nous préparons à le ramener immédiatement à la maison. Il vient de se réveiller il y a quelques minutes, et on ne lui trouve rien. Nous nous apprêtons à le ramener immédiatement à la maison.»

79        Oh! Frère, soeur, Dieu reste Dieu, et Il ne change pas. Il nous a donné le pays. Il nous a donné les bénédictions ; tout cela nous appartient, si seulement nous croyons en Lui. Ne voulez-vous pas croire en Lui ce soir? Ne voulez-vous pas avoir foi en Lui, L’aimer, et–et croire en Lui de tout votre coeur, que Dieu va–va faire ces choses pour nous? Vous allez croire, n’est-ce pas, chacun de vous? Puisse le Seigneur vous bénir.

80        Inclinons la tête. Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir. Et, ô Dieu, alors que mon coeur se souvient de ces scènes qui remontent à quelques années, ô Dieu, combien... que–que puis-je faire pour transmettre cela aux gens? Voici l’endroit où on en a besoin, c’est juste ici, Seigneur, juste ici, le pire que j’aie jamais vu. Je prie, ô Dieu, pour que, d’une manière ou d’une autre, quelque chose, avant que le jugement divin ne frappe cet endroit, je prie que quelque chose soit fait. J’ai appris que bon nombre de Tes serviteurs ont été ici. Et Tu as des gens fidèles ici, des personnes authentiques qui prient, qui jeûnent, qui tiennent bon.

            Je crois que c’est la raison pour laquelle Tu l’épargnes. Ô Dieu, ils sont sincères. Mais juste de penser aux milliers ici ce soir qui sont sans Dieu, sans Christ. Aie pitié! Ô Dieu, fais quelque chose. Envoie le réveil. Des ministres travaillent fidèlement, des gens prient et jeûnent, des petites mères le font sans avoir à manger, avec des pères, et même des petits enfants jeûnent et prient. Ô Grand Dieu, je sais que Tu... Les hommes ont le libre arbitre. Toi seul, Tu peux frapper à la porte de leur coeur. Ils doivent accepter.

81        Mais maintenant, Père, je Te prie pour ceux qui sont ici, afin que Tu aies pitié de ceux qui sont ici et qui sont malades ce soir. Accorde-le. Je sais que Tu es ici. Je sais que Tu es ici. Et je pense que le Dieu même, devant Qui nous allons comparaître un jour pour rendre compte de notre vie, se tient ici présent maintenant avec nous.

            Et, Seigneur, souviens-Toi de ceux qui sont là-bas. Certainement, Tu te souviens de ce petit garçon en Finlande, Tu te souviens de sa résurrection d’entre les morts, Tu te souviens de l’autre petit garçon, de la petite fille infirme, de cette pauvre petite, alors que mon coeur se remet à penser à elle. Des milliers et des milliers d’autres personnes, comme Tu as été bon! Combien nous sommes indignes, mais Ta Parole va s’accomplir.

82        Maintenant, Tu as mis sur mon coeur de venir ici pour aider ceux-ci, mes frères, qui luttent durement dans cette ville, une belle ville, une grande ville. Tes serviteurs sont venus et ils ont fait beaucoup d’efforts. Et, ô Dieu, je–je sens que c’est mon devoir de me tenir à mon poste et de fournir moi aussi beaucoup d’efforts. J’ai fait de mon mieux, Seigneur. Il me semble que je–je n’arrive à rien. Et je Te prie d’être miséricordieux. Accorde-le, Seigneur.

            Et maintenant, je Te prie de bénir ce petit groupe fidèle qui vient soir après soir, qui tourne en rond par ici dans cette petite arène. Ô Dieu, sois avec eux. Manifeste-leur Ton amour à présent, Seigneur. Guéris chacun d’eux. Accorde qu’il ne reste pas un seul malade parmi eux. Que Ton Esprit descende maintenant tendrement et doucement et guérisse chacun. Accorde-le, ô Dieu éternel. Tu es notre Sauveur. Et je Te prie de les guérir tous, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            [Un message en langues et son interprétation sont donnés.–N.D.E.]

83        Eh bien, cela, mes amis chrétiens, c’est l’ordre biblique du Saint-Esprit qui parle dans les églises. L’Ecriture dit: «Si quelqu’un parle en langues, que tous les autres gardent silence... l’interprétation...» Et Dieu Lui-même a dit ces choses au travers d’autres voix. Maintenant, cet homme est un baptiste. Je ne sais pas ce qu’a dit cette femme, mais (Voyez-vous?) c’est pour tout le monde. Maintenant, toutes les églises en arrivent à ceci (Voyez-vous?), chacune.

            Vous avez tous entendu Charles Fuller il y a quelques dimanches. Combien ont entendu l’émission de Fuller? Vous savez tous que c’est juste. Et ils ont eu la même chose dans l’amphithéâtre de Long Beach: des parlers en langues, l’interprétation des langues... Charles Fuller. Voyez-vous? Et ils ont aussi reçu la guérison. Voyez-vous? Cela aboutit donc entièrement au... Voyez-vous, les églises se rassemblent.

            Ces dons apostoliques sont restaurés à l’église. Dieu est ici. J’avais l’intention d’appeler une ligne de prière. Je ne pense pas que je vais le faire. J’aimerais que vous regardiez par ici. J’aimerais que vous regardiez et que vous croyiez. Je veux que vous ayez foi en Dieu, après qu’Il a parlé de cette manière. Il est ici, ce deuxième don de la confirmation. Sa Présence est ici.

84        Et maintenant, combien parmi vous... Avez-vous distribué des cartes de prière? Combien parmi vous n’ont pas de cartes de prière? J’aimerais que ceux qui n’ont pas de cartes de prière lèvent la main. Je veux que vous ayez la foi. Je veux que vous croyiez. Regardez ici. Dieu est ici. Son Esprit est ici. Combien ont déjà vu cette photo de l’Ange du Seigneur là derrière? Vous l’avez vue, n’est-ce pas? Oui, oui.

            Eh bien, c’est ce qui est exactement ici maintenant. C’est la Colonne de Feu. Ça semble étrange que le monde rejette cela. J’aimerais que vous regardiez par ici. Je veux que vous croyiez de tout votre coeur que le Dieu Tout-Puissant, le Puissant Jéhovah Dieu, est là pour rétablir. Il va le faire. Il va le faire si simplement vous croyez.

            Maintenant, regardez par ici ; et soyez simplement en prière, dites: «Seigneur, je crois que–que frère Branham nous a dit la Vérité.» Vous savez que ce qu’il vient de dire là par l’Esprit est la Vérité. Dites: «Je crois que c’est la Vérité.» J’aimerais que vous fassiez cela. J’aimerais que vous le croyiez de tout votre coeur. Dieu s’occupera du reste. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Maintenant, priez. Ayons une réunion calme. Soyons respectueux. Soyez simplement en prière.

            Je n’ai jamais fait ceci, mais je me suis simplement senti conduit à le faire. Bien entendu, je dois attendre de Le voir, qu’Il me donne une certaine ligne de conduite, qu’Il me parle. Je prie tout simplement qu’Il le fasse.

85        Ô Père, que j’aime et en qui je me confie, que l’on sache ce soir, Seigneur, alors que je me tiens ici... Si j’ai tort, pardonne-moi. Je n’en ai pas l’intention. Je suis... Tu sais que je ne cherche pas à parler de moi-même. Je parle de Toi, Seigneur, et je reconnais que Tu es ici. Et veux-Tu bien accorder ceci aux gens, que tout doute soit ôté de leur coeur? Révèle-leur que malgré la simplicité de la chose, cependant, c’est Toi. Tu es ici pour faire ceci. Et je Te prie de l’accorder par Jésus Ton Fils. Glorifie-Toi ce soir, Père. Amen.

            Si le Dieu Tout-Puissant est ici à l’estrade maintenant, qu’Il m’indique tout simplement quelqu’un là, ou quelque chose qui cloche, ou quelque chose qui peut être fait pour quelqu’un, allez-vous alors tous accepter votre guérison depuis cette estrade, d’ici? Allez-vous accepter votre guérison? Si Dieu... sans appeler quelqu’un ici, juste dans l’assistance, s’Il fait cela...? Ma sincère prière est que Ses bénédictions soient accordées.

            Je vois une petite dame assise ici. Avez-vous une carte de prière, madame? Celle qui porte cette petite robe à rayures? Vous–vous n’avez pas... de prière... Avez-vous une carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas, madame? Vous, oui, vous, la dame qui porte le petit chapeau noir, est-ce que–est-ce que vous avez une carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière? Tenez-vous debout une minute.

            Regardez ici juste une minute. Tenez-vous juste debout là et regardez ici. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Nous sommes de parfaits inconnus. Vous avez–vous avez un problème à un oeil, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Et puis, vous souffrez aussi de la sinusite. N’est-ce pas vrai? Est-ce vrai? Acceptez-vous votre guérison maintenant? Acceptez-vous votre guérison? Très bien. Que Dieu vous bénisse et asseyez-vous. Rentrez chez vous et soyez guérie. Que Dieu soit avec vous.

86        L’aimez-vous? L’homme assis là, portant cette chemise blanche, sans col, ou plutôt sans cravate, avez-vous une carte de prière, monsieur? Vous n’en avez pas. Levez-vous une minute. Il y a juste... Je vais m’occuper de vous dans une minute, là...?... Vous cherchez simplement à avoir plus de foi. C’est tout ce dont vous avez besoin. N’est-ce pas juste? Vous avez simplement besoin de plus de foi, c’est tout. Que Dieu vous bénisse. Asseyez-vous.

            Est-ce votre femme qui est assise là? Elle est nerveuse, elle souffre du coeur. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir, vous guérir, madame? Vous croyez? Levez-vous et acceptez maintenant votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Asseyez-vous, ou plutôt vous pouvez rentrer chez vous et être en bonne santé. Comment pourrait-on douter de Lui?

            Voulez-vous être rétablie, madame? Vous souffrez de la vésicule biliaire, n’est-ce pas? Non seulement ça, vous souffrez aussi du cancer. N’est-ce pas vrai? Voulez-vous être rétablie? Levez-vous et dites: «J’accepte Jésus comme mon Guérisseur.» Que Dieu vous bénisse. Puisse le Seigneur Dieu vous l’accorder. Merci, soeur. Rentrez chez vous et soyez guérie. N’ayez donc pas peur. Avancez-vous carrément sur le chemin de la foi.

            Priez partout. Croyez de tout votre coeur. Dieu va vous l’accorder. Surmonter ce... Croyez-vous que cette hypertension va vous quitter, soeur? Le croyez-vous de tout votre coeur? Si vous le croyez...

            Quelqu’un dans cette partie-ci... C’est par ici quelque part, qui regarde. Croyez de tout votre coeur.

87        Je dois tout simplement veiller pour voir où Il se trouve. Voyez-vous? Le voici, juste ici. Vous souffrez de la sinusite, n’est-ce pas, soeur? Croyez-vous qu’Il va vous rétablir? Le croyez-vous? Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé.

            Vous souffrez également de la sinusite, vous aussi qui êtes assise là au bout, vous souffrez de l’arthrite, de la tension. Croyez-vous que Dieu va vous guérir et vous rétablir? De tout votre coeur? Il va le faire ; vous pouvez obtenir cela. Que Dieu vous bénisse.

            Troubles cardiaques, cette dame qui est assise à côté de vous souffre aussi des reins. N’est-ce pas vrai, madame? Eh bien, on dirait que vous avez aussi une forte toux, n’est-ce pas? Vous toussez. N’est-ce pas vrai? Vous n’en souffrez plus maintenant. Jésus-Christ vous rétablit. Que Dieu vous bénisse.

            Croyez-vous, partout? Madame, je sais ce qui cloche chez vous. Je sais ce qui cloche chez la dame assise là dans le fauteuil roulant. Je ne peux pas vous guérir. C’est l’arthrite qui a provoqué cela, il y a longtemps. Voyez-vous? J’observe. C’est–c’est suspendu au-dessus de vous depuis deux ou trois soirées, ici. Si seulement vous croyez, vous pourriez vous lever et marcher tout aussi aisément que pour ces autres personnes, mais vous vous imaginez simplement que vous ne pouvez pas y arriver. Voyez-vous? Ne croyez pas cela. Croyez que Dieu va vous rétablir.

88        Cette dame-ci, la même chose ici...?... n’est-ce pas, madame? Certainement. On vous a amené sur ce petit lit de camp, mais vous pouvez être rétablie. Vous pouvez vous lever et pousser votre petit lit de camp et rentrer chez vous, si seulement vous croyez en Dieu. Il se tient ici même pour vous rétablir. Croyez-vous cela?

            Oh! la la! Comme ça s’accumule maintenant partout, et c’est comme si c’est une traction constante, provenant de partout. Ayez foi. Oh! Amis chrétiens, n’est-ce pas la même chose que Paul prêchait? Il a dit: «Je vois que tu as la foi pour être guéri. Tu as une certaine chose. Lève-toi et sois...» Ne comprenez-vous pas qu’Il est ici? C’est le Seigneur Jésus. Tous ces gens qui sont là-bas. Le voilà qui retourne tout droit vers eux.

            La petite dame qui souffre d’une maladie gynécologique... Que Dieu vous bénisse, madame. Croyez-vous de tout votre coeur. Je crains de ne pas vous saisir. Vous êtes en train de manquer Cela. Voyez-vous? Je vois Cela aller vers vous, et vous ne répondez pas à l’appel. Voyez-vous? Dès que vous faites cela, Cela s’éloigne de vous. Voyez-vous? En effet, cette foi doit s’établir, et puis, vous–vous vous mettez en tête, disant... Vous vous demandez si Cela est destiné à quelqu’un d’autre. (Voyez-vous?) Et il s’agit de vous. Voyez-vous? C’est juste.

89        Je vais vous dire quoi. Placez vos mains les uns sur les autres ; prions.

            Je vous ai dit la vérité. J’ai fait tout ce que je pouvais. Dieu a parlé. Il a parlé dans Sa Parole. Il a parlé dans des langues inconnues. Il a annoncé des visions et la puissance par la prophétie. Le Saint-Esprit est ici, cherchant comme Il le fait chaque fois. Mais Tu m’as parlé, disant: «Si tu amènes les gens à croire, a-t-Il dit, fais ceci et ils te croiront.» C’est exactement comme Moïse qui avait fait que le bâton se change en serpent et qui avait guéri sa propre main de la lèpre. Je vous ai dit la vérité. Dieu a attesté que c’est la vérité.

90        Chers amis chrétiens, je parle au Nom de Jésus-Christ pour que, vous tous qui êtes juste ici maintenant, vous soyez guéris.

            Seigneur Jésus, je Te prie de réprimander chaque démon et chaque puissance. Et que le Saint-Esprit se meuve au-dessus de cette assistance à l’instant même et guérisse chaque personne ici. Que les boiteux marchent. Que les aveugles voient. Que les sourds entendent. Que la puissance de Dieu...?... Que ceux qui sont couchés sur les civières se lèvent, qu’ils sortent de cette salle en poussant ces civières. Qu’ils puissent quitter leurs fauteuils roulants, sortir d’ici en marchant, en disant: «Oh! Dieu m’a rétabli.»

            Et qu’il se fasse en cette heure même que tous ceux qui sont ici soient guéris. Maintenant, Seigneur, Tu étais avec moi en Finlande. Tu as été avec moi partout à travers le monde. Tu étais avec moi cette fois-là avec cette petite fille. Tu étais ici montrant le même genre de visions, les mêmes choses.

            Ô Dieu, que le Saint-Esprit prenne...?... serviteur...?... et qu’il ne reste plus aucune personne malade. Que cette soirée soit la plus grande de toutes. Accorde-le, Seigneur. Que le Saint-Esprit guérisse chaque personne qui est ici. Que cette foi s’élève en l’instant même, qu’ils se tiennent debout et acceptent leur guérison.

            Satan, je te réprimande au Nom de Jésus-Christ. Quitte les gens...?... Que tous ceux qui sont dans la Présence divine se lèvent à l’instant même. Ça y est.

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