La Rédemption Dans Sa Totalité, Dans La Joie
1 Je suis content ce soir de vous saluer de nouveau au Nom de notre Aimable Seigneur Jésus, le Fils de Dieu ressuscité. Sa Présence était déjà ici à mon entrée ; nous nous attendons donc à voir infiniment au-delà de tout ce que nous pourrions même faire ou penser ce soir, à ce que Dieu répande sur nous Ses bénédictions et exalte Jésus-Christ au milieu de nous.
2 Les deux derniers soirs, je parlais... Dimanche soir, je pense que nous avons eu un service de guérison et, le lundi soir, j’ai prêché. Et j’avais annoncé... j’avais commencé un sujet, dimanche matin, au tabernacle. Et j’ai pensé que, pendant que nous attendions que l’auditoire augmente un peu, j’allais en quelque sorte exprimer ouvertement mes sentiments. Je suis...
3 Un de ces jours, si Dieu le veut et qu’Il m’aide, j’aimerais vraiment tenir plusieurs campagnes, où on–on ne... juste entrer là et prêcher ou enseigner les Ecritures, et faire des appels à l’autel, s’agenouiller à l’autel, et prier pour les gens, comme nous, baptistes à l’ancienne mode, le faisions autrefois. [Quelqu’un dit: «Amen.»–N.D.E.] Je n’ai entendu que deux baptistes dire: «Amen.» Où êtes-vous alors tous les autres, ce soir?
Quelqu’un a demandé: «Frère Branham, étiez-vous baptiste?»
J’ai dit: «Oui», ai-je dit.
4 Une fois, je prêchais ici dans l’Arkansas. Un homme, un homme âgé, avait été guéri. Il était... ils avaient... Il était nazaréen. Le lendemain, béquilles sur le dos, il parcourait la ville avec une–une pancarte dessus: «Hier soir, Dieu m’en a débarrassé.» Il avait été vraiment très handicapé. C’était à Little Rock. Ça faisait plusieurs années qu’il était comme ça. Et tout le monde le connaissait, parce qu’il se déplaçait et déposait par terre son chapeau, en en remplissant de crayons qu’il vendait. Et comme tout le monde le connaissait, la chose a vraiment déclenché, a vraiment produit beaucoup d’impact dans la ville.
5 Quelques soirs plus tard, pendant que je prêchais, il s’est levé. Il a dit: «Une petite minute, Frère Branham ; cela vous dérange que je vous demande quelque chose?»
J’ai dit: «Non, monsieur.»
6 Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, quand–quand je vous ai entendu prêcher, j’ai su que vous étiez nazaréen.» Il a dit: «Ensuite, j’ai vu tous les pentecôtistes par ici et quelqu’un m’a dit que vous étiez pentecôtiste.» Il a dit: «Il y a un instant, je vous ai entendu dire que vous étiez baptiste.» Il a dit: «Je ne comprends pas.»
7 J’ai dit: «Eh bien, c’est facile. Je suis un baptiste nazaréen pentecôtiste.» C’est ça. C’est ça. Nous sommes simplement... nous croyons.
8 Oh ! Mes amis, je ne fais partie d’aucune dénomination d’église, et pourtant je fais partie de chacune d’elles. Quand je me suis lancé dans ceci, j’ai dit: «Christ est mon Chef. Cette Bible est mon Manuel. Et le monde est mon église.» Alors, c’est–c’est comme ça que je veux être jusqu’à ma mort.
9 Maintenant, dans une soirée ou deux, nous essaierons de recommencer un service de guérison, quand nous aurons... Bien sûr, en voyant ces lits de camp et ces brancards ici tout autour, j’aimerais voir quelque chose. Je désire vraiment voir quelque chose se produire ici à Louisville, dans le Kentucky, parce que celui-ci est mon État d’origine.
10 Je n’ai jamais eu une bonne, ce qu’on appelle une bonne réunion, dans le Kentucky. Et je ne le dis pas dans un esprit critique. Je–j’en ai eu pas mal de mauvaises, dans pas mal d’endroits. Mais je veux dire qu’ici même, chez moi, c’est vraiment difficile. Je... vraiment très difficile de briser ça. Je ne sais pas pourquoi. Mais je pense que c’est parce que Jésus a dit: «Dans sa propre patrie», c’est comme ça que ce serait, c’est probablement comme–comme ça. Mais nous n’arrivons jamais à voir beaucoup de miracles extraordinaires.
11 J’ai tenu un service ici, il y a une année ou deux, à Jeffersonville, mais il s’est fait que la femme dont il s’agissait venait d’ici, de quelque part dans le Kentucky. Elle était devenue comme de la craie, depuis ses jambes vers le bas...plutôt depuis la hanche en descendant vers ses jambes. Et elle–elle n’avait pas marché depuis dix-sept ans. Beaucoup d’entre vous y étaient ce soir-là et se souviennent du cas. Elle s’est levée d’un coup, et elle est sortie du tabernacle en marchant normalement.
12 Maintenant, j’aimerais que quelque chose démarre ici à Louisville, où je pourrais voir un réveil à l’ancienne mode se répandre à travers cette belle grande ville, ici.
13 C’est une ville comme toutes les autres ; elle est tout aussi perverse. Vous savez que c’est la vérité. Je ne cherche pas à dénigrer le Kentucky ; en effet, je suis moi-même du Kentucky. D’accord. Mais c’est–c’est la vérité. Elle est perverse. Ici, c’est la patrie de tous les whiskys, de toutes les distilleries, de toutes les combines perverses, et toutes les choses du genre, c’est ici que ça se passe, aux alentours de Louisville, dans le Kentucky ; c’est ici donc le siège de Satan.
14 Mais nous pouvons mettre cela en pièces avec l’Evangile de Jésus-Christ, si nous nous mettons tous ensemble. C’est vrai. Il nous faut unir nos forces et pousser ensemble.
15 Il y a quelque temps, un évangéliste très célèbre dans le pays disait, en parlant des services ici, il disait: «Eh bien, voici ce qu’il y a.» Il disait: «Quand je vais dans une ville, tout ce qui se trouve dans la région doit parrainer mes réunions, sinon je n’y vais pas.» C’est ça. Eh bien, pensez-y donc. Je pense qu’il y a peut-être soixante ou soixante-dix grandes églises baptistes rien qu’à Louisville. Voyez? Et que dire des méthodistes? C’est une ville méthodiste ; en effet, Asbury se trouve ici. Qu’aurait cet homme s’il venait dans cette ville, rien qu’avec les méthodistes et les baptistes, sans compter les presbytériens et tous les autres?
16 Maintenant, combien d’églises du Plein Evangile y a-t-il ici, dans la ville? Deux ou trois petites missions quelque part par ici, juste de petites églises, ici et là, et elles sont en guerre l’une contre l’autre.
17 Alors, lorsque vous venez ici, vous devez vous appuyer sur la force de votre propre ministère. C’est vrai. Et même le... Chacun est semblable à un politicien qui arrive. Cela dépend de la force de votre propre ministère, pour attirer tous ceux que le Seigneur enverra. J’aime ça comme ça. Frère, si ce n’est pas Jésus-Christ qui est mon Appui ici et Celui dont je dépends, alors je n’ai rien d’autre sur quoi m’appuyer. C’est vrai. Il... Christ est le Roc solide sur lequel je me tiens ; pour moi, tout le reste, c’est du sable mouvant. Je préférerais prêcher à cinq personnes que je sais avoir été envoyées par Dieu pour entendre le Message plutôt que prêcher à dix mille personnes qui ont été attirées là-dedans par un moyen politique. C’est vrai.
18 Je préférerais voir une seule conversion à l’ancienne mode, quelqu’un qui s’agenouille à l’autel, qui crie et qui pleurniche jusqu’à ce qu’il s’en sorte, que voir dix mille personnes se lever, se contentant de dire: «Eh bien, je vais essayer Ça.» Essayer Ça? Il n’est pas un Christ qu’on essaie. Il est Celui qu’on accepte. Que vous viviez ou que vous mouriez, que vous vous enfonciez ou que vous vous noyiez, acceptez-Le quand même. C’est vrai.
19 Si je prie... priais pour dix mille personnes ce soir et qu’elles mouraient toutes demain matin, je reviendrais ici demain soir prier pour les malades, en croyant que la Parole de Dieu est vraie. C’est exact.
20 Si je me mourais, et que cinq mille personnes, mortes il y a cent ans et avaient été dans l’Eternité tout ce temps, ressuscitaient et revenaient sur terre, et qu’elles me disaient: «Frère Branham, ne faites surtout pas confiance à Cela. Il n’a pas raison. Ne faites pas confiance à Cela. Nous–nous Lui avions fait confiance, nous sommes partis ; nous avons échoué.»
21 Je dirais quand même: «Laissez-moi mourir en Jésus-Christ.» C’est vrai. J’Y crois. Et j’Y mets tout mon coeur, tout est rattaché à Cela. Et j’Y crois de tout mon coeur, et je compte sur Lui.»
22 Et j’aime Son peuple. Je vous aime, vous, concitoyens du Royaume de Dieu. Et je veux me tenir à vos côtés, et porter le fardeau.
23 Maintenant, ce soir, j’ai annoncé hier soir que j’allais parler un petit moment ce soir, le Seigneur voulant. Je ne veux pas vous garder trop longtemps et vous fatiguer, car nous nous attendons...
24 J’ai mis un genre de toison devant le Seigneur pour cette réunion. Et je m’attends à ce que Dieu fasse quelque chose qui va donner une impulsion à la réunion ici même dans la ville. Priez, faites votre part ; alors, quand le Jugement viendra, tous, nous pourrons nous tenir là et dire que nous avons fait notre part.
25 Au chapitre 20 de l’Exode, et à partir du verset 7, je voudrais parler juste quelques instants, si Dieu le permet, sur un très... eh bien, je ne dirais pas un sujet extraordinaire, mais un–un bon sujet. Dimanche dernier, à l’école du dimanche au tabernacle à Jeffersonville, nous avons abordé le sujet: La Rédemption par le Sang.
26 Et voici ce que j’essaie de faire, si vous voulez savoir pourquoi je fais ceci, ici. Beaucoup d’entre vous disent ne m’avoir jamais vu prêcher dans une campagne de guérison, mais je le fais dans un but. Je pense que si je pouvais amener les âmes à être brisées et à venir à l’autel, alors je trouverais grâce devant Dieu pour Louisville (C’est vrai), une fois que les gens s’humilient vraiment devant Dieu et prient.
27 Et puis, il y en a beaucoup parmi vous, mes amis, qui prient, qui jeûnent, mais qui ont peur de prendre possession de ce pour quoi ils prient. C’est vrai. Voyez? Eh bien, ça ne vous avancera à rien de jeûner et de prier, à moins d’avoir des oeuvres qui accompagnent ça. Vous aurez beau avoir toute la foi possible, ça ne vous fera aucun bien, à moins de vous avancer jusque-là, de faire face à la chose et de vous en emparer. C’est tout. Vous devez aller de l’avant. Vous devez vraiment faire le pas, et le faire quoi qu’il arrive. Quand vous demandez quelque chose, allez le chercher. Dieu a dit que ça vous appartient, alors n’acceptez rien de moins. Allez chercher ce que vous avez demandé. Faites ça, et voyez le résultat. Oui. Ne–ne reculez pas en disant: «Eh bien, je vais accepter ça faute de mieux.»
28 Je vais prendre ce qu’il y a de mieux. Dieu m’a promis ce qu’il y a de mieux, c’est ce que je veux. Et pendant ces vingt-trois ans où je L’ai servi, Il m’a donné cette place-là. Et je... Et aussi longtemps que je Le crois, que je L’aime et qu’Il m’aime, ce sera exactement comme ça, parce qu’Il est tenu à Sa Parole. «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.» C’est ce qu’Il a dit. Pas vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est bien. D’accord.
29 J’aime vous entendre dire amen. Vous savez, Soeur Hoover, amen, ça veut dire qu’il en soit ainsi, pour moi, vous savez. Et quand je–je me mets à parler et que je n’entends personne dire amen, ça–ça me rend perplexe.
30 Il y a quelque temps, je prêchais dans une petite église, et–et j’étais juste... Oh! Je n’ai pas beaucoup de bonnes manières à la chaire, selon la, je suppose, la théologie d’aujourd’hui, et je suis donc devenu, je suppose, un peu turbulent. Je pense que j’ai sauté sur le plat... sur la chaire, comme ça, j’ai saisi le micro en main, et je me suis assis là, les pieds oscillant, prêchant de toutes mes forces. Je suis revenu à moi ; je ne savais pas ce que je faisais. Quelques minutes plus tard, j’étais de nouveau perdu, et je me suis retrouvé au milieu de l’allée centrale, en train de retrousser les jambes de mon pantalon. Je ne sais pas pourquoi, mais j’étais vraiment... J’aurais aimé rester là encore quelque temps. Ça, c’est une chose que j’aimerais dire. C’était un endroit où je me plaisais vraiment. J’ai vécu de ça pendant les quelques jours qui ont suivi.
31 Un homme est venu à moi, il a dit: «Dites donc, a-t-il dit, comment pouvez-vous prêcher, avec tous ces gens qui disent: ‘Amen’?»
J’ai dit: «C’est ça qui me fait prêcher.» Oui.
32 J’avais un vieux chien. Je chassais le raton laveur. Je pense avoir ici beaucoup d’amis du Kentucky qui aiment chasser le raton laveur. Alors... Et il forçait toutes sortes de bêtes à se réfugier dans un arbre, et il les rapportait toutes, sauf la mouffette; il ne voulait rien avoir à faire avec ça. Alors, il la poursuivait jusque sous un tas de broussailles. Et tout ce que j’avais à faire (Je ne voulais pas aller la chercher là-dessous ; ça, c’est sûr), alors, tout ce que je faisais, c’était soulever les broussailles, le caresser et crier: «Vas-y, attrape-la ! Attrape-la !» Et il allait chercher la mouffette.
33 Eh bien, la pire mouffette que je connaisse, c’est le diable. Et si vous voulez caresser un petit peu, vous n’avez qu’à crier amen une fois de temps en temps. Et je–je... Nous le forcerons à se réfugier dans un arbre d’ici peu, et nous l’attraperons.
34 Vous savez, le vieux Buddy Robinson, beaucoup d’entre vous ont entendu parler de lui, n’est-ce pas, de l’Eglise nazaréenne. Il disait: «Seigneur, disait-il, donne-moi une colonne vertébrale semblable à une bille de bois. Donne-moi beaucoup de connaissance dans le pignon de mon âme. Et que je combatte le diable aussi longtemps que j’aurai encore une dent et, après, que je le morde avec les gencives jusqu’à ma mort.» Je pense que c’est un bon... Et c’est précisément ça qu’il a fait. C’est précisément ça qu’il a fait ; d’un âge avancé, à près de cent ans, et il prêche encore l’Evangile.
35 J’entends ces vieux vétérans prêcher comme ça. L’autre jour, j’ai allumé la radio, et il y avait un vieux frère d’une centaine d’années, du nom de Mordecai F. Hamm, qui prêche encore l’Evangile. J’ai dit: «Ô Dieu, bénis-le, et qu’il ait des étoiles dans sa couronne, quand il arrivera là-bas.» Frère Hamm, je le connais à peine. Un de ces jours, j’aimerais bien le rencontrer, avant qu’il aille dans le Pays de l’autre côté. Alors, il pourra serrer la main de beaucoup de gens Là-bas. Je sais que, quand il arrivera là-bas, il y aura beaucoup de gens à qui il pourra serrer la main (Oh!), parce qu’il a été un vieux vétéran.
36 Que le Seigneur vous bénisse, maintenant. Et maintenant, avant d’aborder cette Parole, demandons à l’Auteur de descendre et de nous La révéler.
37 Notre Bienveillant Père céleste, nous nous approchons de Toi ce soir dans ce beau et magnifique Nom de Ton Fils, Jésus, confessant nos péchés, que nous ne sommes pas dignes de prononcer Son Saint Nom. Car dans... Toute la famille du ciel se nomme Jésus. Toute la famille sur la terre se nomme Jésus. Et en ce Nom, tout genou fléchira, et toute langue Le confessera, qu’ils soient pécheurs ou saints. Alors, quand nous parlons en Son Nom, combien nos coeurs devraient frémir de révérence, alors que nous parlons. Donc, nous Te demandons en Son Nom, avec révérence, de venir à nous ce soir, Seigneur.
38 Nous sommes ici au milieu d’une grande ville pleine de toutes sortes de combines par lesquelles Satan a tellement lié les gens, dans leurs entreprises, dans les jeux d’argent, dans la prostitution, le whisky, les cigarettes. Et, ô Dieu, et beaucoup de ministres, à la chaire, laissent passer ça, comme si c’était juste une chose parmi tant d’autres.
39 Mais, ô Dieu, donne-nous la voix de l’avertissement, afin que nous prêchions l’Evangile droitement et fidèlement, que nous mettions la cognée à la racine de l’arbre, que les éclats volent où ils veulent. Mais aide-nous, Seigneur, à prononcer un jugement sur ces choses et à prêcher l’Evangile de Ton cher Fils, Jésus.
40 Ô Dieu, permets qu’il se produise quelque chose qui secouera cette ville en faveur du Royaume de Dieu, de sorte que même les églises aux coins des rues qui essaient d’avancer tant bien que mal avec quelques membres, ô Dieu, puissent ces églises se remplir à déborder de braves gens sanctifiés à l’ancienne mode, nés de nouveau. Accorde-le, Seigneur. Et puissions-nous recevoir un réveil, un réveil à l’ancienne mode envoyé par Dieu, qui secouera la ville d’un bout à l’autre, qui éliminera toute la méchanceté. Ô Dieu, ne nous donne pas seulement quelques jours de réunions, donne-nous un réveil qui fermera les débits d’alcool et qui mettra les choses en ordre, qui fera que les gens viennent quand la cloche de l’église sonne, qu’ils s’assemblent à l’autel et qu’ils prient avant le message du pasteur, et qu’ils soient prêts. Ô Dieu, accorde-le.
41 Maintenant, ce soir, il y a peut-être des malades ici, Père. Et pendant que nous parlons des malades, ou, pour les malades aussi, puisse le Saint-Esprit guérir chaque personne malade dans le bâtiment, sauver chaque pécheur, appeler chaque rétrograde à revenir à la maison, le ramener de son égarement.
42 Et maintenant, puisse le Saint-Esprit être Celui qui m’a guidé vers ce sujet ce soir. Puisse-t-Il prendre les choses de Dieu et simplement utiliser Son serviteur que voici, comme un instrument, et puisse Dieu recevoir la gloire. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
43 Au verset 7 du chapitre 20 des–des Nombres, nous lisons ceci:
L’Eternel parla à Moïse, et dit: Prends la verge, et convoque l’assemblée, toi et ton frère Aaron. Vous parlerez en leur présence au rocher, et il donnera ses eaux...
44 Je voudrais vous faire remarquer ça: «Ses» eaux.
... Il donnera ses eaux ; tu feras sortir pour eux de l’eau du rocher, et tu abreuveras l’assemblée et leur bétail.
Moïse prit la verge qui était devant l’Eternel, comme l’Eternel le lui avait ordonné.
Moïse et Aaron convoquèrent l’assemblée en face du rocher. Et Moïse leur dit: Ecoutez... rebelles ! Est-ce du rocher que nous vous ferons sortir de l’eau?
Puis Moïse leva la main et frappa deux fois le rocher avec sa verge. Il en sortit des eaux en abondance.
L’assemblée but, et le bétail aussi.
45 Que le Seigneur prenne maintenant ces quelques Paroles, alors que nous reprenons notre sujet d’hier soir, pour en venir à ceci, Dieu voulant.
46 Et maintenant, j’aimerais que tous les malades ici présents ce soir... Or, Billy n’a point distribué des cartes de prière aujourd’hui, parce que je lui ai dit de ne pas le faire. J’ai dit: «Va là-bas, Billy, et dis-le à frère Cauble. Et je vais simplement...»
47 J’essaie quelque chose pour la gloire de Dieu. Je demande vraiment à Dieu de nous aider, de nous donner des âmes qui entreront dans le Royaume et des croyants qui s’affermiront dans la foi et s’avanceront, même sans rien d’autre ; ils s’avanceront jusque-là et diront: «Ô Dieu, je Te crois sur Parole.» C’est ça. Voilà la manière initiale, la première et la meilleure manière. C’est vrai. Prenez Dieu au Mot. Si vous ne pouvez donc pas faire ça, alors, bien sûr, Dieu envoie d’autres choses, comme des dons et des signes, pour–pour confirmer Sa Parole, pour La confirmer à chaque croyant.
Donc, dimanche, nous avons vu: La Rédemption par le Sang.
48 Nous prenons maintenant Israël, pendant son voyage, alors qu’il sortait de l’Egypte, un type du monde, et qu’il faisait route vers la Palestine, la Terre promise. Je trouve que c’est de toute beauté. J’aime vraiment ça. Pratiquement chaque semaine, je m’assieds pour lire ce Livre de l’Exode d’un bout à l’autre, si je le peux, ou ce que je peux En lire. J’aime ça, parce que c’est un type parfait de l’église d’aujourd’hui, son état, et la manière dont Dieu agit. La manière dont Il a agi en ce temps-là, ce qu’Il a fait dans le naturel en ce temps-là, c’est ce qu’Il fait dans le spirituel maintenant. Voyez-vous cela?
49 Or, là-bas, Il a conduit Israël naturel dans un lieu qu’ils ont vu, regardé, Il les a fait sortir d’un certain pays pour les faire entrer dans un autre pays naturel.
50 Maintenant, nous sommes déplacés par le Saint-Esprit pour entrer maintenant dans la Terre promise. Croyez-vous que nous sommes en route vers un Pays promis? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] «Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père. Si cela n’était pas, Je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place.» Pas vrai? [«Amen.»] Alors, nous avons un Pays promis vers lequel nous nous dirigeons, et chaque jour représente une borne kilométrique; un autre jour, une autre borne.
51 Et il y a là devant nous une grosse ombre noire, appelée la mort. Et chaque fois que notre coeur bat, nous nous approchons d’un pas de cela. Un de ces jours, il va battre pour la dernière fois, et nous y entrerons. Je veux être là à mon tour, accomplir ma destinée, comme c’est le cas, je l’espère, pour chacun de vous, ce soir. Quand je saurai qu’elle se trouve juste devant moi et qu’il me faut l’affronter, je ne veux pas être un lâche. Je veux m’envelopper dans le manteau de Sa justice et m’y engager, en sachant ceci que je suis sûr de Le connaître dans la puissance de Sa résurrection (C’est vrai.), de sorte que, quand Il appellera à se relever d’entre les morts, je serai appelé avec ceux qui sont vivants. Dieu est un Dieu des vivants.
52 Or, pendant leur voyage dans ce pays-là, nous avons vu que Dieu avait établi un–établi un plan pour eux. Il a apporté la rédemption par le sang. Puis, nous avons vu qu’Il apporte aussi la rédemption par la puissance.
53 Nous avons vu, avant-hier soir, qu’Il avait fait appliquer le sang ; ce qui était un très beau type du croyant qui, après avoir accepté la mort de Christ à sa place, devient alors un enfant de Dieu. Il entreprend son voyage.
54 Maintenant, ce qu’il lui faut ensuite... après avoir été sauvé spirituellement...
55 Or, la mort de l’agneau innocent accordait la vie au croyant coupable. N’est-ce pas un type parfait de maintenant, la mort de l’Innocent, accordant la Vie au coupable. Et la mort du Christ innocent nous accorde la Vie, à nous, les coupables.
56 Donc, premièrement, là, après que Dieu leur eut donné la vie grâce au sang, et qu’Il l’eut prouvé, que la mort fut passée par-dessus eux, alors Il leur fit entreprendre leur voyage. Nous allons les rejoindre dans peu de temps.
57 Maintenant, remarquez. Alors, la chose suivante que Dieu a faite, aussitôt qu’ils sont devenus des croyants et des enfants, et qu’ils ont accepté Dieu, l’ennemi de la mort physique s’est lancé à leur poursuite. Et il les a coincés, complètement: le désert d’un côté, la mer Rouge de l’autre, les montagnes d’un autre côté, l’armée de Pharaon qui arrivait, les poursuivant, des millions de soldats qui marchaient sur eux pour les vaincre.
58 Or, Dieu avait déjà manifesté qu’Il leur avait donné la vie, grâce à la mort de l’agneau ; maintenant, Il va leur montrer la rédemption physique. Alléluia ! Voyez, à la fois pour le salut et pour la guérison (Voyez?), pour l’homme naturel et pour l’homme spirituel.
59 L’ange de la mort est passé par-dessus, ce qui prouvait que Dieu avait fourni un moyen d’y échapper, grâce à l’offrande du sang, et qu’ils avaient accepté cela. Maintenant, Il va fournir un moyen d’échapper à une mort physique.
60 Comme pour le croyant, aussitôt qu’il reçoit le salut, peut-être qu’il est rongé par un cancer, ou par une autre maladie. Dieu procure aussi la rédemption par la puissance. De même qu’Il procure la rédemption pour l’âme, Il procure aussi la rédemption pour le corps. C’était un...
61 Ils étaient sauvés et ils étaient circoncis. Ils étaient sous le sang, mais pourtant, Pharaon allait... l’ennemi allait les détruire, les tuer tous, là même dans le désert. Et alors, Dieu a montré Sa puissance de rédemption pour leur corps. Saisissez-vous cela? Savez-vous de quoi je parle? La rédemption par la puissance. Et alors, au moment où l’ennemi les avait presque rejoints, la glorieuse Colonne de Feu surnaturelle, qui était au-dessus d’Israël, s’est élevée et s’est interposée entre eux et la mort.
62 Laissez pénétrer cela pendant quelques minutes. Pouvez-vous voir de quoi je parle?
63 Maintenant, pour chaque croyant, chaque enfant de Dieu né de nouveau, quand la mort vient à la porte comme un voleur, prématurément, l’Ange de Dieu s’interpose entre vous et la maladie. Bon, si vous voulez vous précipiter vers elle, ça vous regarde ; mais vous n’êtes pas obligé de le faire. Voyez? Il s’interpose entre vous et la mort.
64 Il y a vingt-trois ans, à l’hôpital juif, le docteur Morris Fletcher me donnait trois heures ; l’un des meilleurs chirurgiens que vous ayez dans cette ville me donnait trois heures à vivre. Je suis en vie ce soir. Alléluia ! Pourquoi? Par la grâce imméritée, l’Ange de Dieu s’est interposé entre moi et la mort pour me protéger, et j’ai accepté Cela. Et pour exprimer ma gratitude, par la grâce de Dieu, j’ai gagné un demi-million d’âmes pour Lui, ce soir.
65 Oh ! Comme Dieu sait bien faire les choses, si nous suivons simplement ! N’essayez pas de conduire Dieu. Laissez Dieu vous conduire. Voyez? C’est nous qui devons être conduits. Je pense que c’est pour cette raison que Dieu nous compare à des brebis.
66 Avez-vous déjà vu une brebis égarée? Eh bien, c’est la créature la plus impuissante au monde. Elle ne peut trouver son chemin nulle part. Elle reste là à bêler jusqu’à ce que le loup la dévore ou qu’elle meure là. Elle ne peut pas retrouver son chemin.
67 Et c’est comme ça, quand un homme est perdu, il est totalement impuissant. Vous ne pouvez absolument rien y changer. C’est Dieu qui, par le moyen de la grâce, doit vous conduire à Christ. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire. Et tous ceux qu’Il attirera et qui viendront, Je leur donnerai la Vie Eternelle.» Quelle promesse !
68 Oh ! Comme j’aimerais pouvoir amener chaque personne ici à laisser descendre ça très profondément, sous la cinquième côte du côté gauche, jusqu’à ce que ça atteigne le centre de son coeur. Vous verriez des gens se lever, qui avaient toutes sortes de maladies accrochées à eux, et sortir de ce bâtiment, remplis de joie, refusant d’accepter ces choses. Des infirmes marcheraient tout à fait normalement. Ils refuseraient de reconnaître quoi que ce soit d’autre. Voyez?
69 Vous avez peur. Vous avez peur de vous lancer. Vous attendez que Dieu descende et vous fasse sortir de là. Ce n’est pas comme ça que Dieu s’y prend. C’est vous qui devez faire le pas. Il donne la promesse et dit: «Venez», alors, vous suivez.
70 Maintenant, remarquez alors les enfants d’Israël. Dieu est venu s’interposer entre eux et le danger ; la puissance de la rédemption... la rédemption par la puissance, plutôt. La rédemption par le sang ; la rédemption par la puissance.
71 Hier soir, nous les avons laissés en train de se hisser sur le rivage, de l’autre côté de la mer Rouge. Tous les ennemis, les roues de leurs chars avaient été ôtées. Leurs chevaux avaient pris peur en plein milieu du fleuve, et ils allaient dans toutes les directions, comme ceci, et les roues s’étaient embourbées et s’étaient détachées. Et une bande d’hommes couraient comme des fous, les ennemis. Et Israël a grimpé sur le rivage, pour voir Dieu étendre Sa main et détruire tous les ennemis.
72 Un beau type du croyant sous le Sang ; guéri alors, par l’intermédiaire, la puissance de Dieu qui épargne sa vie, qui la prolonge pour un temps... Ils auraient tous été tués là même ; il les aurait massacrés là, en plein désert si Dieu ne s’était pas interposé entre eux. Je serais mort depuis longtemps si Dieu ne s’était pas interposé entre moi et la mort. Chaque croyant ici serait mort depuis longtemps si Dieu ne s’était pas interposé entre vous et la mort, chacun de vous. Donc, Dieu, dans Sa grâce souveraine et dans Sa miséricorde, s’interpose entre le croyant et la mort. Alléluia !
73 Voilà, c’est ça. Puis, qu’est-ce qui vient ensuite pour le croyant? Ce qui vient ensuite, là, c’est le baptême du Saint-Esprit. Moïse a conduit les enfants d’Israël directement à la mer Rouge, ils ont été baptisés dans la mer Rouge. La mer, l’eau, qui représente l’Esprit. Quand il a frappé le Rocher, de l’eau en est sortie. C’était un type de Christ, dans Jean 3.16: «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la Vie Eternelle.» Remarquez, un peuple en train de périr dans le désert fut sauvé par un Rocher frappé. Et un peuple en train de périr est sauvé aujourd’hui (en train de périr dans le péché, en train de périr dans l’iniquité), parce que le Fils de Dieu, qui a été frappé, a pris leur place ; l’eau, l’Esprit, qui jaillit !
74 Regardez bien. J’aimerais que vous voyiez ça, là: leur traversée de la mer Rouge, c’était un type de quand on reçoit le Saint-Esprit. Après que le croyant a été racheté, qu’il est passé de la mort à la Vie, la puissance de Dieu a guéri son corps, maintenant il est candidat au baptême du Saint-Esprit. Maintenant, il a un voyage là-bas, devant lui ; mais avant d’entreprendre ce voyage, il doit avoir quelque chose pour le conduire. Amen ! Un type parfait de la Pentecôte !
75 Remarquez, alors qu’ils sortaient du rivage à quatre pattes... Chaque croyant, quand vous entrez et que vous êtes sauvé, que vous acceptez le Sang de Jésus, vous cherchez encore à vous cramponner à ceci et à vous cramponner à cela, et vous ne pouvez pas abandonner ceci et vous ne pouvez pas abandonner cela. Au bout d’un moment, Dieu va peut-être faire de bonnes choses pour vous, cependant vous ne pouvez pas abandonner votre cigarette, et vous devez prendre un petit verre avec les copains, de temps en temps. Mais ce qu’il vous faut faire, c’est traverser la mer Rouge.
76 Quand ils sont ressortis de l’autre côté... Voilà, c’est ça. J’aimerais que vous voyiez ça. Alors qu’ils ressortaient de l’autre côté, qu’ils se hissaient sur le rivage en regardant derrière eux, ils ont vu tous ces vieux chefs de corvées qui les avaient battus et qui avaient tué certains d’entre eux. C’est comme le cancer, la cigarette, le tabac, le whisky et tout le reste, qui rendent les jeunes fous, qui les envoient à l’asile, dans les hôpitaux, et qui produisent dans ce monde une bande de névrosés et tout le reste. Quand ils ont regardé derrière eux et qu’ils ont vu toutes ces choses qui se débattaient désespérément et qui mouraient dans la mer, frère, vous parlez d’une réunion, ils en ont eu une !
77 Moïse ! Oh ! Je vais laisser ceci pénétrer profondément. J’espère que ça va descendre tout au fond. Moïse, le plus grand prophète qui ait jamais vécu en dehors de Jésus-Christ. Il n’y a jamais eu un homme à qui Dieu ait parlé comme Il l’a fait à Moïse, à part Christ. Il a dit: «Lorsqu’il y aura parmi vous quelqu’un qui est spirituel, ou un prophète, Je lui ferai voir des visions et Je me ferai connaître à lui. Mais il n’en est pas ainsi de Mon serviteur Moïse ; à lui, Je lui parle de bouche à oreille.» C’est vrai.
78 Moïse, cet homme plein de dignité, dès qu’il a vécu cette expérience, qu’il a vu tous ces chefs de corvées morts, il a su alors que toutes ces choses avaient disparu à jamais. Toutes ces choses, qui les avaient contraints, battus et fouettés, c’était terminé. Il a levé les mains et il a chanté dans l’Esprit. Oh ! la la !
79 On n’en a jamais eu le type et il n’y en aura pas, tant que nous n’arriverons pas là-haut dans la Gloire. Quand tout fut achevé là, il chanta dans l’Esprit. Et quand nos corps auront été rachetés...
80 C’était un type du Saint-Esprit qui est venu à la Pentecôte, quand nous avons traversé la mer. C’était un type de la Pentecôte. Et Moïse, dans l’anti... dans le type à ce moment-là, quand il a traversé ça, il a chanté dans l’Esprit. Celui-ci est venu le jour de la Pentecôte. Et quand le corps sera parfaitement racheté... Maintenant, notre âme est parfaitement rachetée, c’est vrai, elle ne peut périr ; elle a la Vie Eternelle. C’est ce que déclare la Bible !
81 Oh ! Je me sens bien. Remarquez. Pourquoi? Parce que je sais que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. J’ancre simplement mon âme là, je continue à marcher, et je dis: «Satan, siffle contre moi tant que tu voudras. Ça ne me dérange pas, car je sais en Qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’Il a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à ce jour-là.» Amen.
82 Ce qu’il nous faut ce soir, c’est un bon réveil d’alléluias à l’ancienne mode, à la Billy Sunday, qui nous brise ; c’est ce qu’il nous faut ici à Louisville. C’est vrai, il nous faut un bon réveil de la Pentecôte à l’ancienne mode, envoyé par Dieu. Oui, oui.
83 Remarquez, alors, quand nos corps seront rachetés... Or, nous avons la guérison divine maintenant, qui en est une ombre.
84 De même que, là, c’était une ombre de la Pentecôte, regardez ce qu’ils ont fait au temps de l’ombre, du salut. Regardez comment ils ont marché là devant Dieu: «Ils éteignirent la... le tranchant et... du feu et échappèrent au tranchant de l’épée», toutes ces choses qu’ils ont faites, «sortirent des fournaises ardentes; remontèrent de la fosse aux lions, et tout le reste», par l’ombre (Alléluia!), par l’ombre de la Pentecôte.
85 Maintenant, nous avons une rédemption parfaite, grâce au Sang de Christ. Ils ne pouvaient pas avoir une rédemption parfaite en ce temps-là, parce que c’était sous le sang des taureaux et des boucs, ce qui n’ôte pas le péché ; ça ne faisait que couvrir le péché. Mais une fois que le Sang de Jésus, le Sang le plus saint et le plus juste, a été versé, les péchés n’ont plus été couverts ; ils ont été divorcés et supprimés, et le croyant entre dans la Présence de son Créateur. Alléluia !
86 S’ils ont fait ça à ce moment-là, l’ombre, là, avec Moïse qui chantait dans l’Esprit ; alors, dans l’Apocalypse, voilà que ceux qui ont la rédemption parfaite de leur corps étaient debout sur la mer de verre et ils chantaient de nouveau le cantique de Moïse, là, dans le Livre de l’Apocalypse.
87 Vous parlez d’une–d’une réunion du Saint-Esprit? C’est ce qu’ils ont eu quand ils sont remontés sur le rivage. Ecoutez, soeur. La petite Myriam, pleine de dignité, la prophétesse, la soeur de Moïse, une prophétesse, ça l’a tellement stimulée qu’elle s’est saisi un tambourin et s’est mise à courir sur le rivage, en battant du tambourin et en dansant dans l’Esprit. Non seulement cela, mais les filles d’Israël l’ont toutes suivie, en dansant dans l’Esprit. Si ça, ce n’est pas une effusion du Saint-Esprit, je n’en ai jamais vu une. Alors, bien sûr, si toutes ces nations ritualistes et pleines de dignité avaient pu regarder à travers leurs jumelles et voir ça, elles auraient dit: «Fanatisme.» C’est vrai. Mais c’était Dieu. C’est vrai !
88 Les choses pleines de dignité regardent de haut aujourd’hui ce que Dieu a béni. C’est vrai !
89 Ça me rappelle une histoire. Un homme avait une très vaste et belle ferme. Il avait construit de grandes et belles granges, tout ce qu’il y a de plus imposant et de plus chic, mais il était trop paresseux pour cultiver. Bon. Il y avait un autre fermier qui habitait près de lui ; sa grange ne valait pas grand-chose, mais lui était un vrai fermier et il avait rempli sa grange de bonne nourriture cette année-là. Et deux petits veaux sont nés, l’un dans l’une des granges, l’autre dans l’autre. Quand le printemps est arrivé, ils ont fait sortir de l’étable les petits veaux.
90 Le petit veau qui venait d’ici, il avait été vraiment bien nourri. Oh ! la la! Quand le vent s’est mis à souffler sur lui (Oh ! la la !), les sabots en l’air, il est parti à toute vitesse, en s’ébrouant, en gambadant, en se ruant et en s’en donnant à coeur joie.
91 Alors, l’autre fermier a fait sortir le sien, là-bas. Il n’avait–n’avait rien eu à manger, sauf de mauvaises herbes ; trop paresseux pour cultiver, trop paresseux pour le nourrir.
92 Ça fait penser à certains de ces pasteurs (C’est vrai ! C’est vrai !), trop paresseux! Ça a trop peu d’importance. Rien que des granges imposantes, c’est tout ce que vous avez. Mettez-y donc de la Nourriture pour le veau ! C’est vrai. C’est vrai. Le baptême du Saint-Esprit prêché avec puissance, ça va les roussir. C’est vrai. Mais c’est ça qu’il leur faut: un bon roussissement à l’ancienne mode; c’est de ça que l’église a besoin, c’est de ça que les membres ont besoin. Remarquez.
93 Et ce petit veau n’était plus qu’une ruine. Le pauvre petit était si maigre qu’en sortant de l’étable, il pouvait à peine marcher. Il a jeté un coup d’oeil à travers une fente et il a regardé de l’autre côté.
94 Et il a vu l’autre veau qui s’ébrouait. Il était bien gras et rondelet. Il se sentait bien. Il avait mangé tout l’hiver.
95 Et ce petit veau affamé l’a regardé et a dit: «Quel fanatisme !» Oh ! la la ! Bien sûr, il était trop maigrichon pour penser autre chose.
96 Mais, je vous assure, celui qui avait été bien engraissé, là, tout l’hiver, frère, lui, il savait où il en était. Il passait des moments merveilleux quand ce vent chaud s’est mis à souffler sur lui.
97 Et tout homme qui est né de l’Esprit de Dieu, on va le taxer de fanatique ou de n’importe quoi d’autre. Mais quand ce vent chaud du printemps, du Saint-Esprit, commencera à venir, comme Il l’a fait le jour de la Pentecôte, quelque chose va se produire. C’est vrai. Les vents chauds commencent à souffler ; frère, vous êtes bien engraissé par l’Evangile, bien rondelet, et vous vous sentez bien. Sabots en l’air, tapez-vous du bon temps.
98 C’est ce que Myriam et les autres ont fait. Ils ont regardé en bas et ont vu que toutes les choses anciennes, ce qu’ils avaient fait autrefois, tout ça, c’était mort et enterré. Ils avaient déjà vu que Dieu avait accepté le sang ; ils avaient déjà vu Sa puissance dans la guérison divine, qui s’était interposée ; ils avaient traversé la mer Rouge et avaient été baptisés de l’Esprit ; ils marchaient de l’autre côté, en passant des moments vraiment merveilleux. Ils ne se souciaient pas de ce que les... toutes les organisations en pensaient. Amen.
99 Quel type parfait du croyant aujourd’hui, qui ose faire le pas !
100 Dieu a promis qu’Il pourvoirait à tous leurs besoins. Il a promis qu’Il pourvoirait à tous nos besoins. Il ne leur a jamais dit: «Je prévoirai un moyen de guérison ; Je prévoirai un moyen de ceci ; Je prévoirai un moyen de cela.» Il a dit: «Je serai avec vous !» Alléluia !
101 C’est ce qu’Il nous a dit. «Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde.» C’est tout ce que j’ai à dire. Vous n’avez pas à argumenter sur ceci, cela ou autre chose. S’Il est ici, ça me satisfait ; la guérison divine est ici, la puissance est ici. Tout ce qu’Il était là, Il l’est maintenant: «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Donc, vous pouvez prendre votre théologie et vous noyer avec. Frère, moi, je crois Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement ; Il a dit: «Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Oui.
102 Et là, ils sont sortis, et Il était avec eux. Alors, il a dit... Oh ! Ils avaient un petit panier de pain sur la tête ; tout avait été mangé, terminé. Ils n’en avaient plus. Ils se sont couchés, un peu affamés, ce soir-là. Mais le lendemain matin, quand ils se sont levés, il y avait du pain partout sur le sol.
103 C’est ainsi que Dieu s’y prend ; Il vous laisse arriver à la toute dernière minute, et alors, Il vous montre ce qu’Il peut faire à ce sujet. C’est vrai. Il aime faire ça. Il aime–Il aime surprendre Son peuple.
104 Vous, les hommes, vous aimez agir comme ça avec votre femme. Vous attendez jusqu’à son anniversaire, en la laissant dans le doute, parce que vous l’aimez.
105 C’est pour cette raison que Dieu nous laisse parfois arriver au bout, c’est parce qu’Il nous aime et qu’Il veut nous prouver, de façon surnaturelle, Sa puissance. C’est parce qu’Il nous aime, c’est pour cette raison-là qu’Il le fait. Oui. Il nous laisse simplement en arriver là où nous sommes sur le point de faire le dernier pas, alors Il entre en scène.
106 Il a laissé les enfants hébreux entrer tout droit dans la fournaise ardente, mais il y avait un quatrième Homme, qui se tenait là avec un éventail, pour que ça ne les atteigne pas. Voyez? Il est toujours là. Il ne s’en va jamais. Il est toujours proche. «L’Ange de l’Eternel campe autour de ceux qui Le craignent.»
107 Là-bas, ce soir-là... ils ont ramassé ce pain le lendemain matin. Je peux voir ces Israélites qui venaient de traverser la mer Rouge ; ils venaient d’être rachetés par le sang ; ils avaient vu la puissance de guérison de Dieu, ou la puissance miraculeuse s’interposer entre Dieu et... entre Israël et l’Egypte, et noyer les ennemis qui étaient en arrière.
108 Comme le vieux cancer est parti pour toujours, la cécité était partie, la surdité était partie, le diabète était parti, tout a été noyé là-bas, en arrière, dans le Sang de Jésus-Christ. Comment vous sentez-vous? Oh !
109 Vous marchez dans la rue, et une espèce de vieux critiqueur vous dit: «Euh, une minute ! Es-tu sûr de ça?»
«Ne me parle pas.» Amen. Oh ! la la !
110 Je peux les voir là-bas, en train de ramasser et de ramasser, et de manger, et de passer des moments glorieux. Tout comme une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Voilà l’Esprit de Dieu qui descend sur l’un des saints, il va lever le bras, recevoir la chose dans son coeur, comme ça, et s’écrier très fort: «Gloire au Seigneur !» Juste une réunion à l’ancienne mode comme ça. Oui, oui. Ils en recueillaient de part et d’autre ; ils passaient des moments merveilleux.
111 Or, ce pain n’a jamais cessé. Ça s’est poursuivi tout au long du voyage, pour eux. C’est vrai. Et c’était un type parfait de la Pentecôte... Ça, c’était dans le domaine naturel. Ce pain n’a jamais cessé. Il est resté le même pain jusqu’à leur entrée dans la Terre promise. Pas vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Vous, lecteurs de la Bible, vous le savez. Et alors, quand nous...
112 L’église a été inaugurée le jour de la Pentecôte, quand les croyants étaient là-haut. «Et il vint un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit la maison où ils étaient assis.» Le même Saint-Esprit qui est descendu à ce moment-là descend maintenant. Ça se poursuivra tout au long, depuis ce temps-là jusqu’à la fin du temps. Ça se poursuivra, jusqu’à la fin. C’est notre pain. Eux étaient nourris de pain naturel ; nous sommes nourris de pain spirituel.
113 Jésus a dit: «Je suis le Pain de Vie qui est descendu du Ciel, d’auprès de Dieu.»
114 Ils ont dit: «Nos pères ont mangé la manne dans le désert pendant quarante ans.»
Il a dit: «Ils sont tous morts.» Oui, oui.
115 «Mais... Celui qui mange Ma chair et qui boit Mon Sang a la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai aux derniers jours. Je suis le Pain de Vie qui est descendu du Ciel, d’auprès de Dieu. Si un homme mange de ce Pain, il ne mourra jamais.» Vous y êtes. Eux avaient le pain naturel ; nous, nous avons le Pain spirituel. Oh ! Je n’échangerais cela pour rien au monde. Merveilleux !
116 «Oh ! dites-vous, Frère Branham, nous savons tous que vous êtes un fanatique.» Eh bien, moi aussi. Je suis un fou de Christ. Vous, de qui êtes-vous le fou? Vous êtes peut-être le fou du diable. Très bien. Alors, je préfèrerais être un fou de Christ. Pas vous? Très bien.
117 Remarquez, voici un autre point, à propos de cette manne. Quand ils ont commencé à y goûter, ils ont dit: «Ça a le goût du miel.» Oui, c’était sucré. Je peux bien voir ces vieux saints se lécher les babines et se régaler. C’était bon.
118 Avez-vous déjà goûté Ceci? Ceci aussi, c’est bon. Il est dit: «Goûtez et voyez, l’Eternel est bon. Cela a le goût du miel du rocher.» J’ai souvent fait cette remarque, bien des fois. David, autrefois, là, quand il en avait parlé dans son Psaume, il avait dit: «Cela a le goût du miel du rocher.»
119 David, étant un berger, avait une petite gibecière. Ils portaient ça sur le côté et ils y mettaient toujours du miel. Les vieux bergers le font encore, en–en Palestine. Et quand sa–sa brebis malade s’emballait, alors, tout de suite, vous savez, il plongeait la main là-dedans et il en retirait une petite partie de ce miel ; il prend ça et le frotte sur le rocher, sur un rocher de calcaire. Comme la brebis aime le miel, alors elle se met à lécher ce miel sur le rocher. Et il y a quelque chose dans le calcaire qui guérit la brebis malade.
120 Et je vous assure, nous avons toute une gibecière pleine de miel ici ce soir, et nous allons appliquer ça sur le Rocher, Jésus-Christ. Et, les brebis malades, mettez-vous à lécher, vous allez vous rétablir, c’est sûr et certain. C’est vrai, vous n’avez qu’à lécher, lécher, lécher. Et pendant que vous léchez le miel, eh bien, vous allez absorber du calcaire, c’est sûr et certain, aussi sûr que deux et deux font quatre. Or, nous n’allons pas l’appliquer sur l’église. Nous allons l’appliquer sur Christ, c’est là que ça doit se trouver. C’est vrai. En effet, la guérison, c’est en Christ qu’elle se trouve (Amen !), comme toute autre bénédiction rattachée à la rédemption. Remarquez.
121 Et une autre chose. Quand elle a commencé à tomber, Aaron a reçu l’ordre d’aller en ramasser plusieurs omers.
122 Or, si eux, ils essayaient d’en garder pour le deuxième jour, elle se gâtait. Et il y en a beaucoup, ce soir, parmi les gens qui ont le Saint-Esprit. Vous essayez de vous dire: «Eh bien, il y a vingt ans, nous avons eu un bon message. Nous avons passé des–nous avons passé des moments merveilleux.» Ce soir, qu’avez-vous? Voilà la question. Ils...
123 Elle tombait chaque nuit. Elle n’a jamais manqué de le faire, pas une seule fois, sauf le–le sabbat. C’est vrai. Et alors, Dieu l’a envoyée, nouvelle, chaque nuit ; chaque jour, chaque heure, elle est venue.
124 Remarquez, ces omers ont été mis en réserve. Il a dit: «Maintenant, regardez, quand vous entrerez dans le pays, et que vos enfants se mettront à poser des questions à ce sujet...» Il a dit: «Chaque sacrificateur qui entre alors dans le sacerdoce, après avoir reçu la permission d’entrer dans le lieu saint, et tout, une fois ordonné comme sacrificateur, alors il a le droit d’entrer et de prendre une bouchée de la manne originelle, qui était tombée au commencement.» La toute première manne qui est tombée, ils l’ont ramassée et l’ont mise dans un omer, et ils l’ont conservée, et elle était réservée uniquement pour le sacerdoce.
125 Maintenant, vous me direz: «Frère Branham, quel type y en a-t-il aujourd’hui?»
126 Eh bien, c’est nous qui sommes le sacerdoce. «Vous êtes un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, offrant à Dieu des sacrifices spirituels, les fruits des lèvres qui célèbrent Son Nom.» Amen ! Ça y est. Bon, maintenant, le jour de la Pentecôte, au moment où le Saint-Esprit, notre manne, descendait...
127 Donc, tous les sacrificateurs, à cette époque-là, dans l’Ancien Testament, quand ils s’engageaient dans le sacerdoce, ils savaient qu’ils recevraient une bouchée de la manne originelle ; pas quelque chose de fabriqué, quelque chose de fabrication humaine qui lui ressemblait, mais ils allaient recevoir une portion de la manne originelle.
128 Eh bien, le jour de la Pentecôte, quand notre Manne à nous a commencé à tomber, le Saint-Esprit est venu comme un vent impétueux. Il y avait là un groupe de petites gens pleines de dignité, ils étaient cent vingt dans une chambre haute ; portes fermées, fenêtres baissées, ils étaient assis là, attendant la promesse. Oui, bien sûr, ils avaient été avec Jésus. Ils connaissaient Sa puissance et tout ça, mais ils attendaient la promesse.
129 C’est ce que nous voulons ce soir. Être... Si ce groupe-ci de gens pouvait arriver à être d’un même accord, comme eux l’étaient ce soir-là, la même chose se produirait de nouveau ce soir, ici même, dans ce bâtiment, à Louisville, dans le Kentucky, de nouveau ce qui s’était produit le jour de la Pentecôte. C’est vrai. Oh ! Bien sûr, il y aurait ici à Louisville le même genre de critiqueurs que là-bas.
130 Mais ils étaient tous dans le même lieu, d’un même accord. Et tout à coup, «Un prédicateur est venu, tenant une lettre, ils l’ont signée, ils ont reçu la main d’association, et ils sont entrés dans la communion de l’église»? C’est peut-être comme ça que ça se passe aujourd’hui, mais pas en ce temps-là. Ça, c’est à la manière des protestants. Le catholique, lui, il s’avance à l’autel, il prend sa première communion ; il tire la langue, prend l’hostie ; et le prêtre boit le vin. Et alors, il devient cela.
131 Mais, frère: «Le jour de la Pentecôte, ils étaient d’un même accord, dans le même lieu, et tout à coup, il vint du Ciel (l’homme n’a eu rien à voir Là-dedans), un bruit comme celui d’un vent impétueux. Il remplit toute la maison où ils étaient assis.» La puissance de Dieu est descendue sur eux ! Les voilà qui sortent dans la rue, en se comportant comme une bande de fous ; comme ils l’avaient fait là-bas, après avoir traversé la mer Rouge. Pas vrai? Ils poussaient des cris. Ils étaient tout excités. Ils titubaient. Ils parlaient avec des lèvres balbutiantes.
132 Ils... Oh ! Quelle excitation, vous... à tel point que les gens, l’église pleine de dignité, ils se tenaient à distance et disaient: «Ces gens sont ivres de vin nouveau.»
133 Alléluia ! De toute façon, vous allez me traiter de saint exalté, alors autant commencer tout de suite. Très bien.
134 Regardez. Ils étaient remplis de Vin nouveau, c’est vrai, du Vin venu du Ciel, d’auprès de Dieu. Avez-vous déjà vu un homme ivre? Il est tout simplement amoureux de tout le monde, voyez-vous. Ça lui est égal. C’est comme ça qu’est un homme quand il est ivre de l’Esprit. La Bible dit: «Ne buvez pas de liqueur enivrante: c’est de la débauche. Soyez, au contraire, ivres de l’Esprit.» L’Esprit de Dieu vous rend tellement ivre que vous oubliez tous vos ennemis, et tout. Tout le monde est amoureux de vous. Qui se trouve près de vous, ça vous est égal. Vous êtes l’homme le plus grand du pays, à ce moment-là.
135 Peu m’importe que votre voisine, assise près de vous, fréquente une église pleine de dignité ; que le Saint-Esprit vienne sur vous, une bonne fois, voyez ce qui va se passer. Prenez une bonne cuite, vous verrez ce qui va se passer. Vous direz: «Soeur, je L’ai reçu !» Toi aussi, c’est Ce qu’il te faut ! C’est vrai. Oui, oui, il va se passer quelque chose.
136 Ils étaient là, tous ivres de Vin nouveau. Et, écoutez, certaines d’entre vous, soeurs, ici ; saviez-vous que la sainte vierge Marie était avec eux? Eh bien, il lui a fallu monter là. La mère de Jésus-Christ, il lui a fallu monter là et faire partie de ce groupe de gens ; elle était tellement ivre de l’Esprit qu’elle titubait comme si elle s’était enivrée de whisky ou de quelque chose comme ça.
137 Et vous vous imaginez que vous irez au Ciel, parce que vous passez à l’église, avec votre recueil de cantiques sous le bras, que vous vous rendez là tous les dimanches matin, la cloche sonne, vous vous asseyez là et vous écoutez un peu de... et vous repartez? Vous n’y irez jamais.
138 Vous devrez suivre cette voie, parce que c’est la seule voie que Dieu ait jamais tracée, et qu’Il aura jamais tracée. Vous y marcherez, sans quoi vous ne serez pas Là-bas. Je ne suis pas votre juge, mais je suis en train de prêcher l’Evangile. C’est l’exacte Vérité. La sainte vierge y était, et elle s’est conduite en imbécile autant que les autres, elle était aussi ivre que les autres. Ces hommes et ces femmes, tous, ils étaient remplis de Vin nouveau. Si Dieu a opéré un seul changement à ce programme, indiquez-moi le passage de l’Ecriture où il en est question ; il n’y en a pas. Non, non. C’est resté comme ça jusqu’à la fin de l’âge, jusqu’à la fin de la Bible, et ce sera pareil quand Jésus viendra.
139 Regardez ! Pendant qu’ils étaient ivres de ce Vin nouveau... Regardez. Nous allons voir si Dieu en a mis un omer plein en réserve pour vous. Très bien.
140 Ils étaient tous là-bas, et un petit prédicateur peureux du nom de Pierre, la petite pierre, qui avait eu si peur de sa position qu’il avait renié Jésus et était sorti en courant pour aller prier jusqu’à exaucement (et il lui avait fallu être avec les autres qui s’étaient rassemblés), est monté sur une caisse à savon ou quelque chose comme ça, et il a dit: «Eh bien, hommes Juifs, et vous qui séjournez à Jérusalem...» C’étaient des docteurs, des docteurs en théologie. Oh ! a-t-il dit vous hommes qui... et hommes Israélites, et vous qui séjournez à Jérusalem, et ainsi de suite, sachez ceci: Ces gens ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour. Mais c’est ici ce qui...»
141 Si ici n’est pas ce qui, je veux garder ici jusqu’à ce que ce qui vienne. C’est un fait.
142 Il a dit: «C’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël: Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai Mon Esprit sur toute chair ; vos fils et vos filles prophétiseront; et sur Mes servantes et sur Mes esclaves, Je répandrai Mon Esprit, et elles prophétiseront. Je ferai paraître des signes en haut dans les cieux, et sur la terre ; des colonnes de feu, de la fumée et de la vapeur ; et avant l’arrivée du jour du Seigneur, de ce jour grand et redoutable, quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé.»
143 Cette bande de prétendus prêtres, ces hypocrites en soutane, ils ont dit: «Que pouvons-nous faire pour être sauvés?»
144 Pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Combien de temps est-ce que ça va durer? «Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
145 Alors, tout homme qui se repent, qui est baptisé au Nom de Jésus-Christ, et à qui Dieu donne le baptême du Saint-Esprit, il ne reçoit pas quelque chose qui ressemble à la première Manne, mais... il ne reçoit pas qu’une bouchée de la première Manne, mais il reçoit un coeur rempli du même Saint-Esprit.
146 Vous allez peut-être dire: «Un peu moins fort, là.» Je sais que je parle un peu fort à ce sujet, mais je n’y peux rien. Remarquez, regardez. Je ne crie pas après vous. Peut-être que je fais résonner ça. Mais (Oh !) si vous vous sentiez comme moi, vous aussi, vous élèveriez la voix.
147 Remarquez: Oh ! Un coeur rempli de la Manne originelle, qui était tombée au commencement ; ce même Saint-Esprit qui était descendu à ce moment-là descend maintenant. Et vers qui va-t-Il aller? Vers vous, vers vos enfants, vers ceux qui sont au loin, à Louisville, dans le Kentucky, et en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera ; ils recevront exactement la même chose que ce que nous avons ici.
148 C’est ce qu’il a dit. Dieu a béni cela. Il l’a prêché. Le Saint-Esprit L’a apporté; je L’ai reçu ; c’est réglé. Amen ! Ça me suffit. Je L’ai pris au Mot ; Il l’a accompli. Si vous Le voulez, vous pouvez L’avoir aussi. C’est vrai.
149 Sortez donc de cet–de cet état de mort, et réveillez-vous, ça va vous secouer, comme ça, et vous réveiller. Et tout à coup, vous regarderez autour de vous, et tout vous semblera différent. Cet homme à qui vous ne vouliez pas parler, vous vous hâterez d’aller lui parler ; oui, oui, il vous faut le faire, c’est tout. Oh ! Toutes ces choses, restituer ces vieux outils pour les pneus, et toutes les... ces choses que vous aviez prises à l’hôtel cette fois-là. Cette serviette que vous aviez utilisée pour envelopper l’argenterie que vous aviez prise sur la table ; vous vous dépêcherez de les restituer. Certainement. Oui, oui. Ça fera de vous une nouvelle créature en Jésus-Christ.
Maintenant, regardez Marie. Oh ! la la ! Il nous faut nous dépêcher. Nous avançons bien.
150 Les voilà qui s’en vont maintenant dans le désert, après cette réunion à l’ancienne mode. Maintenant, ils sont en route. N’est-il pas étrange qu’ils aient été conduits directement au désert de Sin, directement au désert, directement à la–la source d’eau amère? Pouvez-vous imaginer Dieu qui emmène Ses enfants–juste après qu’ils ont été sauvés et remplis du Saint-Esprit–à des sources d’eau amère? Bien sûr. Il désirait leur exprimer de nouveau Son amour. C’est vrai. Ils sont arrivés là-bas.
151 Vous savez, une fois que vous avez reçu le Saint-Esprit, vous affrontez beaucoup d’obstacles. «Le malheur atteint souvent le juste, mais l’Eternel l’en délivre toujours.» Dieu vous amène directement en face de ces choses, pour pouvoir vous montrer Sa puissance et Sa bonté.
152 C’est comme l’histoire du berger à Jérusalem, que j’ai entendue, qui avait cassé la patte de sa brebis. On lui a dit: «Oh ! Berger cruel, pourquoi as-tu cassé la patte de cette brebis?»
153 Il a dit: «Eh bien, elle n’agissait pas comme si elle m’aimait. Alors, j’ai décidé de lui casser la patte pour devoir lui accorder une attention toute particulière et alors elle m’aimerait à partir de ce moment-là.»
154 Parfois, Dieu doit vous aliter, frappé d’une maladie, et le médecin vous dira que vous allez mourir. Alors, Dieu pourra vous donner un petit traitement spécial pour que vous L’aimiez un peu plus. C’est vrai.
Certains par les eaux, d’autres par les flots,
Certains par de dures épreuves, mais tous par le Sang ;
Jésus conduit Son Eglise.
155 Or, quand ils étaient là, que les eaux étaient amères et qu’ils ne pouvaient pas boire, Dieu avait pourvu d’un moyen. Un petit arbre qui se balançait là sur le bord, que Moïse a simplement coupé et jeté dans l’eau, a tout changé: l’eau devint bonne et douce.
156 Maintenant, quand vous vous retrouvez devant l’une de vos eaux amères, ou quelque chose du genre, il y a un arbre, ce soir, spirituellement parlant, suspendu au-dessus de Golgotha, ou du monde, ce soir, qui adoucira n’importe quelle eau amère vers laquelle vous pourriez être conduit. C’est vrai. Le Calvaire adoucira n’importe quelle expérience. Souvent, nous nous retrouvons dans des situations difficiles, et nous nous posons des questions. Il m’arrive alors de fermer les yeux et de penser: «Là-bas, à Golgotha, c’est là que mon Rédempteur a versé Son Sang et est mort pour ma vie» ; alors, mon épreuve semble bien petite. Je la mets simplement de côté et je continue à marcher. Cela l’adoucit. Cela a adouci toutes les expériences que j’ai donc eues. Il les adoucit toujours, quand j’arrive à mes eaux de Mara.
157 Maintenant, nous sommes sur le point de les rejoindre, là, dans le désert, après tous ces grands signes et prodiges. Le réveil s’était calmé. Et alors, dès que le réveil s’est calmé, eh bien, ils ont complètement oublié les miracles.
158 N’est-ce pas un peu ce que font les gens aujourd’hui? Ils oublient ce que Dieu a fait l’année passée. Ce que Dieu a fait à la réunion là-bas, à l’école secondaire, vous l’oubliez complètement. Voyez? Ce que Dieu a fait, nous l’oublions tout simplement.
159 Maintenant, remarquez, et parce qu’ils se sont mis à se disputer entre eux: «Eh bien, en fait, moi, après tout, je suis méthodiste. Notre église est la plus grande.» «Moi, je suis baptiste, et je vais vous le dire tout de suite, nous, nous croyons à la sécurité éternelle, et nous l’avons. Vous autres, vous n’avez pas de doctrine, après tout.» C’est à ce moment-là que vous vous attirez des ennuis et que votre approvisionnement en eau est coupé. C’est vrai. C’est vrai.
160 C’est à ce moment-là, dans le désert, quand il vit dans le désert, qu’il se met à murmurer, à murmurer et à se plaindre. «Eh bien, je vais te dire une chose. Je vais te dire une chose. Ce vieux pasteur, quand il était ici, ce vieux prédicateur qui prêchait cette religion d’autrefois, comme ça, je–je ne sais pas s’il avait raison ou pas. Je te le dis, il–il a rendu ma mère tellement furieuse, un soir, qu’elle est rentrée à la maison. Je te le dis, elle était vraiment remuée.» C’est ce qu’il fallait. C’est vrai. «Oh ! Je ne sais pas si oui ou non je veux continuer à écouter Ça.» C’est là que votre approvisionnement en eau est coupé. C’est vrai. Ça, c’est quand vous vous retrouvez dans le désert.
161 Ils se sont mis à murmurer. Ils disaient: «Notre–notre âme est dégoûtée de ce pain misérable.» Après avoir quitté l’ail et les oignons de l’Egypte, ils mangeaient de la nourriture des anges, et ils se plaignaient quand même. N’est-ce pas comme l’église? Maintenant, j’en arrive aux gens de la sainteté, là, à vous tous ; oui, à vous tous. Ils mangeaient de la nourriture des anges, et puis ils disaient: «J’aurais bien voulu être en Egypte pour avoir encore de l’ail.»
162 «Clayton McMichen et ses Wildcats seront au bar ce soir. Si je n’avais pas adhéré à cette espèce d’église, je pourrais y aller.» Vous feriez tout aussi bien d’y aller. Là où sont vos trésors, là aussi est votre coeur. Vous n’avez jamais rien reçu, au départ. C’est vrai. C’est vrai. «Oh ! J’aimerais faire ceci, ou faire cela.» C’est ça, toujours une plainte.
163 Ils avaient quitté les eaux boueuses de l’Egypte pour boire les eaux pures du Rocher des Âges, et ils s’En plaignaient. Ils avaient quitté le lieu de grands médecins vantards de l’Egypte, de grands vantards et tout, pour être avec le Grand Médecin. Ils avaient quitté ce lieu où on disait que «le temps des miracles est passé», pour être avec les gens qui avaient des signes et des prodiges qui les accompagnent, et ils se plaignaient quand même. Oh ! la la ! Oui, oui. Là-bas, évidemment, les Egyptiens, eux, c’étaient des Gentils, froids, indifférents. Ils ne croyaient pas à ça, aux miracles.
164 Et puis, ils étaient là où ils avaient une Colonne de Feu autour d’eux. Nous L’avons ce soir. Ils étaient là où ils avaient la joie dans le camp, où ils jubilaient, où des miracles se produisaient, et tout, et puis, ils s’en plaignaient. C’est pour ça que l’eau a tari, c’est pour ça qu’ils n’avaient rien à manger ni rien à boire, c’est parce qu’ils murmuraient.
165 Et c’est ce qui se passe avec les églises de la région de Louisville, ce soir ; elles murmurent, elles se plaignent. Miséricorde ! Retournez dans le harnais. Oui, oui.
166 Vous dites: «Qui est donc ce gars-là, ce Moïse? Pourquoi avons-nous écouté, écouté de toute façon ce prédicateur saint? Que faisons-nous ici?» Et leur approvisionnement en eau a tari.
167 Je pense à Moïse, ce grand homme. Il avait été instruit dans toute la–la sagesse des Egyptiens. Regardons-le quelques minutes. Considérons Moïse une minute. Regardez cet homme. Il était...
168 Les Egyptiens, ils étaient bien plus avancés que nous aujourd’hui, en ce qui concerne la science médicale. Ils étaient bien plus avancés que nous. Il y a bien des choses qu’ils pouvaient faire que nous ne pouvons pas.
169 Et Moïse avait le remède à tout. Et pendant qu’il était là-bas, je pense, il y avait environ deux millions de personnes avec Moïse. Il y avait des petits enfants. Il y avait des hommes âgés, des femmes âgées. Il y avait des infirmes et des aveugles. Il naissait des bébés, des milliers chaque semaine. Et Moïse, le docteur Moïse, était là-bas dans le désert avec tous ces gens. J’aimerais regarder dans sa pharmacie, pas vous? J’aimerais voir ce que le docteur Moïse avait dans sa pharmacie. Jetons un petit coup d’oeil dans sa pharmacie, et voyons ce qu’il avait.
170 «Moïse, eh bien, qu’avais-tu là-dedans, Moïse?» Eh bien, nous voyons que, tout au long de ce voyage de quarante ans, il est né plus de deux millions de bébés. C’est vrai. «Qu’as-tu utilisé, Moïse? Qu’as-tu utilisé pour tous ces maux, ces douleurs, ces cancers, ces cas de cécité, de surdité, de mutilé? Eh bien, on m’a dit que, quand vous êtes sortis du désert, il n’y en avait pas un seul qui était faible parmi eux.» Dites donc, certains médecins aimeraient bien regarder là-dedans, dans cette pharmacie-là, n’est-ce pas?
171 «Et une autre chose, Moïse, qu’as-tu aspergé sur ces gens, pour que même leurs vêtements ne s’usent pas? Leurs souliers ne se sont jamais usés, après avoir marché sur ces pierres.» Si vous avez déjà été là-bas, vous savez à quoi ressemble le désert ; on use une paire de souliers en trois jours. Et, en quarante ans, ils n’ont même pas usé un petit bout de cuir. «Moïse, qu’y avait-il dans ta pharmacie?»
172 Regardons à l’intérieur. Je le vois: «J’ai une prescription: ‘Je suis l’Eternel qui te guérit.’» C’est réglé. Amen !
173 Quelqu’un disait: «Oh ! Moïse, mon père est allé par ici, il vient de tomber et il s’est cassé la jambe. Qu’as-tu pour lui?»
174 «Je vais regarder ça: ‘Si tu obéis à Ma voix, si tu fais tout ce que Je t’ordonne, Je ne te frapperai d’aucune des maladies dont J’ai frappé les Egyptiens; car Je suis l’Eternel qui te guérit.’ Dis-lui ça.» Il s’est rétabli. Amen ! C’est ça.
«Oh ! Il est gravement malade ! Mon bébé a des coliques, ou une pneumonie, c’est très grave ! Docteur Moïse, que puis-je faire?»
175 «Je vais voir ce que j’ai: ‘Je suis l’Eternel qui te guérit.’» C’est réglé. Amen ! Ils repartaient. (C’est ça), ils poursuivaient leur chemin, dans la joie. C’est tout ce qu’il lui fallait: «Je suis l’Eternel qui te guérit.»
176 Il y a six cents et quelques promesses bien claires concernant la guérison divine, rien que dans le Nouveau Testament, et pourtant, nous mettons Dieu en doute ce soir. Que représentera le Jugement pour nous? Exact.
177 «Je suis l’Eternel qui te guérit.» Oui, oui. C’est ce que Moïse avait, ce que le docteur Moïse avait dans sa sphère, dans sa...?... dans sa pharmacie, c’était ceci: «Je suis l’Eternel qui te guérit.» Donc, Il a guéri toutes les maladies et il les a parfaitement gardés, Il leur a fait traverser le désert et les a fait entrer dans la Terre promise. Oh ! la la !
178 Ils avaient quitté tous ces grands médecins-là vantards pour être avec le Grand Médecin. Ils avaient quitté cette bande de gens, formalistes et indifférents, qui disaient que les miracles n’existaient pas. Et ici même, une Colonne de Feu se tenait au-dessus d’eux. Des gens étaient guéris. Tout ce dont ils avaient besoin, tout leur était fourni directement, et pourtant, ils se plaignaient quand ils manquaient d’eau. Mais alors, dans la grâce souveraine de Dieu, malgré tout ça...
179 Comme vous, ici à Louisville, ce soir, au milieu de tous ces cris: «Les jours des miracles sont passés...» L’Association des Médecins essaie de stopper la guérison divine, partout dans le pays. Vous ne la stopperez jamais. Autant vous arrêter tout de suite. Vous ne pouvez pas la stopper, pas plus que vous ne pouvez stopper le soleil. C’est vrai.
180 Il y a quelques années, au début, quand j’ai commencé à prêcher la guérison divine, à Jeffersonville, on n’en connaissait presque rien, depuis bien des années. Cela a été difficile. Mais, frère, ce soir, il y en a des millions, partout, qui font entendre leur voix. Essayer de stopper ça? Impossible. «Moi, l’Eternel, Je l’ai plantée ; Je l’arroserai jour et nuit, de peur qu’on ne la ravisse de Ma main.»
181 Il n’y a pas longtemps, je regardais de petits moineaux sur la Statue de la Liberté. Ils gisaient là. Ces petites créatures gisaient là, un peu partout sous la lumière. Et j’ai dit: «Qu’est-ce qui a fait ça?», en m’adressant au guide.
182 Il a dit: «Ils se sont fracassé la tête hier soir pendant l’orage. Ils sont venus dans la lumière, et celle-ci les aurait conduits en lieu sûr, mais ils ont cherché à éteindre la lumière. Et ils se sont fracassé la tête en cherchant à éteindre la lumière.»
183 J’ai dit: «Gloire à Dieu !» Il a dû penser que j’étais fou, je m’imagine. J’ai dit: «Ça me rappelle certaines personnes qui cherchent à éteindre la guérison divine et la puissance de la résurrection de Jésus-Christ.» Vous allez vous fracasser la tête ; vous n’y arriverez jamais. Acceptez-la tout simplement, et envolez-vous, grâce à cela, vers un lieu sûr. C’est ça. Amen !
184 «Parle au rocher, Moïse (C’est ce que Dieu a dit à Moïse), et il donnera son eau, il donnera Son eau.»
185 Il n’y a pas longtemps, dans un certain musée, je regardais un tableau de ce rocher qui avait été frappé. Et on aurait dit qu’il en sortait comme un petit filet d’eau de la grosseur d’une aiguille à tricoter. J’ai pensé: «Comme ces artistes peuvent être ridicules !» Voyons, frère, moi-même, je pourrais arriver à faire tarir ça, si j’avais vraiment soif. Oui, Oui.
186 Savez-vous qui Moïse a fait boire à ce Rocher? Il a fait boire plus de deux millions de personnes, sans compter tous les animaux. Il a fallu à peu près quarante mille gallons [151.400 litres] par minute pour–pour les abreuver. Alléluia !
187 Ça me rappelle la religion qu’ont certaines personnes. Vous avez juste assez de religion pour aller à l’école du dimanche le dimanche matin, recevoir juste quelques petites gouttes pour vous humecter un peu.
188 J’aime m’asseoir à la Source d’où l’eau jaillit en abondance (Alléluia !), suffisamment pour me durer toute l’Eternité. Alléluia ! Je suis content d’avoir quitté ce vieil endroit humide pour me rendre là où l’eau jaillit tout le temps. Oui, oui.
189 Les gens ont juste assez de religion pour les rendre misérables. «Eh bien, je ne peux pas rester assis plus d’une dizaine de minutes. Bonté divine, que ce prédicateur est intarissable !» Quelle est la profondeur de votre salut? C’est ça.
190 Vous allez là le dimanche matin, en disant: «Eh bien, je vais aller écouter ce qu’ils ont à dire.» Vous recevez quelques petites gouttes, puis vous rentrez, et c’est à peu près tout ce que vous avez reçu.
191 Frère, je vais vous dire une chose: Quand Moïse a frappé ce Rocher, tout le désert a été arrosé. Amen ! Oui, oui. Seulement, pour tout ce dont ils avaient besoin, ils n’avaient qu’à se baisser et boire, boire, boire, jusqu’à ce qu’ils soient complètement remplis. Et il y avait encore de l’eau qui sortait, à peu près quarante mille gallons [151.400 litres] par minute. Calculez ça, combien de personnes, ce qu’un million de personnes, deux millions de personnes peuvent boire en l’espace d’une minute ; des gens assoiffés, sans compter les chameaux, les animaux et autres qu’ils avaient. Et la Bible dit: ««Il en sortit en abondance.» Elle jaillissait en mugissant et se répandait dans le désert.
192 C’est comme ça que Jésus-Christ donne le Saint-Esprit, pas juste un petit peu, dire: «Eh bien, je crois que je vais aller adhérer à cette église.» Oh ! la la ! «Oh ! Je ne peux pas supporter ce bruit. Ça me donne la chair de poule.» Si jamais vous mourez, vous crèveriez de froid si vous alliez au Ciel, parce que, frère, vous allez en entendre, du bruit, quand vous arriverez Là-bas. La Bible dit qu’ils crient alléluia jour et nuit, tout le jour, puisqu’il n’y a pas de nuit. C’est vrai. Vous allez certainement mourir quand vous arriverez au Ciel, dès le second jour. Oui, oui. Eh bien, vous... ce que vous avez fait, c’est que vous êtes allé vous humecter un peu, c’est tout.
193 Pourquoi ne pas vous asseoir près de la source jaillissante et la laisser couler jusqu’à ce qu’elle vous emporte en... (Alléluia !) en son sein, jusqu’à ce que vous ne vous possédiez plus et que vous ne sachiez plus où vous vous trouvez? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est... Voilà l’état que vous voulez atteindre.
194 Dans le temps, je disais à mon oncle et à mon papa: «Oh ! Moi, je sais nager», dans ce petit étang-là, sur Utica Pike.
195 Un jour, papa est allé s’asseoir sur le caniveau, il a dit: «Je veux te voir nager.» Le petit étang avait à peu près cette profondeur-là. J’étais debout sur une caisse à savon ; je me suis déshabillé, je suis monté, en me pinçant le nez comme ceci, et j’ai fait quelques petits sauts sur la caisse à savon. Je me suis lancé, la boue a giclé à droite et à gauche, et je me suis mis à barboter dans la boue. J’ai dit: «Qu’en penses-tu, papa?»
196 Il a dit: «Sors de là.» Nager? Ramper dans la boue, voilà ce que c’était, tout le temps.
197 On a beaucoup de membres d’église qui, eux aussi, rampent dans la boue. C’est vrai. C’est vrai: des gens qui rampent dans la boue. Oui, oui.
198 Un jour, mon oncle m’a emmené en bateau (Et je me vantais de savoir nager) par ici, sur la rivière Ohio, où la profondeur de l’eau était d’une vingtaine de pieds [6 m]. Il a simplement pris la rame et il m’a basculé dans l’eau, en disant: «Maintenant, fais voir un peu.» Amen ! Alléluia ! A ce moment-là, soit je nageais, soit je me noyais. Oh ! la la !
199 Autant s’y habituer tout de suite. Mettez-vous à la source jaillissante, là où Dieu ouvre le rocher, là dans le désert, et déverse l’eau en abondance. «Parle au Rocher, a-t-Il dit, et il donnera Son eau.»
200 Peut-être, mon ami, ce soir, peut-être que c’est vous qui êtes en train de périr. Vous devriez parler au Rocher. C’est vrai.
201 Peut-être que vous êtes allé partout. Peut-être que vous êtes allé à l’église, que vous vous êtes joint aux méthodistes, que vous vous êtes joint aux baptistes ; ils se sont fâchés contre vous, alors vous êtes allé chez les presbytériens ; et puis encore chez les pentecôtistes, chez les nazaréens, chez les pèlerins de la sainteté. Et vous ne comprenez toujours pas ces choses.
202 Pourquoi ne parlez-vous pas simplement au Rocher ce soir? Simplement... Est-ce que vous êtes en bons termes avec Lui? Oui. Il a dit: «Parle au Rocher, et Il donnera Son eau.» Il donnera Son eau, vous n’avez qu’à... Vous n’avez plus besoin de Le frapper. Vous n’avez qu’à Lui parler. Vous n’avez qu’à Lui parler d’une façon amicale.
203 Peut-être que vous êtes allé chez le médecin. Peut-être que vous avez fait tout ce que vous savez faire pour essayer de vous rétablir. Peut-être que vous avez fait pratiquement tout ce qui était en votre pouvoir, mais vous n’arrivez pas à vous rétablir. Chaque médecin, vous avez passé par tous les cabinets que vous connaissiez, et le médecin a dit: «Tout ce que vous... On ne peut rien faire pour vous.» Pourquoi ne pas parler au Rocher, ce soir? Il... Il a les eaux de la Vie là pour vous, Il vous donnera la Vie en abondance.
204 Il y eut une fois une femme, dans la Bible, du nom d’Agar. Je pense à elle. Et je suis sur le point de terminer ; c’est l’heure. Il y eut une femme du nom d’Agar, et elle avait un petit bébé. Elle avait été envoyée dans le désert, avec une seule petite outre d’eau. Elle a nourri le petit, toute la journée. Mais l’eau a manqué vers le milieu de la journée, et le petit bébé criait et pleurait. Ses petites lèvres étaient desséchées et sa langue enflait. Une pauvre mère éprise de crainte, que pouvait-elle faire? Elle avait ratissé chaque petit coin possible pour trouver de l’eau, mais elle n’en avait pas trouvé. Elle ne pouvait pas supporter de voir son bébé mourir ; alors, elle l’a laissé sous un buisson, et elle s’est éloignée d’environ une portée d’arc.
205 Elle s’est mise à genoux et a parlé au Rocher. Quand elle eut parlé au Rocher, un Ange lui répondit et dit: «Agar, qu’est-ce qui jaillit là-bas?»
206 Il y avait là un puits tout rempli d’eau, qui coule encore aujourd’hui. Après presque quatre mille ans, elle coule encore aujourd’hui. La source où Agar... là-bas, elle coule encore aujourd’hui. Elle parla au Rocher, et le Rocher fit jaillir de l’eau.
207 Des enfants hébreux étaient entrés dans la fournaise ardente, un jour, et ils parlèrent au Rocher. Et le Rocher était avec eux.
208 Il y eut une fois une femme qui venait de la Samarie. Elle était découragée. C’était une pécheresse, et elle avait un passé très chargé, peut-être. Et elle était découragée. Elle allait au puits de Jacob y chercher un soulagement, et elle rentrait. Elle allait au puits de Jacob et elle rentrait. Un jour, elle a posé la cruche et elle se tenait là, découragée. Et le Rocher était là, debout à côté d’elle. Elle parla à ce Rocher. Il lui a donné une grande source jaillissante, dans son âme. Elle a couru à la ville. Elle n’est plus jamais revenue puiser. Elle avait la Vie. Elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Christ?» Elle parla au Rocher, et le Rocher fit jaillir Son eau.
209 Il y eut une petite femme qui avait gaspillé tout son argent chez les médecins, des charlatans qui lui avaient pris tout son argent. Ils ne pouvaient pas arrêter sa perte de sang. Elle avait probablement hypothéqué sa ferme, et peut-être qu’elle l’avait vendue. Et un jour qu’elle était assise en train de tricoter, elle a entendu Quelque Chose qui descendait la rue. Elle parla au Rocher. Le Rocher s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» C’était terminé, quand elle eut parlé au Rocher. Il lui a donné une source de Vie jaillissante, qui a arrêté la perte de sang. Le sang a été étanché, rapidement.
210 Un jour, près de la muraille, il y avait un vieux mendiant aveugle, qui grelottait de froid. Il n’avait plus rien. Et il était là, il était misérable, et les gens passaient à côté de lui. Il a entendu Quelque Chose qui venait ; il a dit: «Qu’est-ce?» Et il parla au Rocher.
211 Tous les membres de son église, autour de lui, ont essayé de l’arrêter, en lui disant: «C’est peine perdue. Tu ne peux pas recevoir ça. Reste à l’écart. Tais-toi.»
212 Mais il a crié de plus belle: «Fils de David, aie pitié de moi ! Aie pitié de moi!» Il parla au Rocher, et le Rocher lui donna une source jaillissante, et ses yeux s’ouvrirent.
213 Ce même Rocher, qui était dans le désert, est ici aujourd’hui. Il donne la joie aux gens.
214 Un jour, tout Jérusalem était sorti pour voir un Guérisseur divin, un Saint Exalté qui entrait dans la ville, avec quelques personnes qui étaient là, criant à tue-tête: «Hosanna ! Hosanna à Celui qui vient au Nom du Seigneur !»
215 Ces prétendus membres de l’église étaient là en soutane, forts de leur doctorat en théologie ; ils disaient: «Qu’ils se taisent donc. Oh ! Ils me donnent des frissons dans le dos, et tout. Faites-les taire.»
216 Il a dit: «S’ils se taisent, les pierres crieront aussitôt.» Pourquoi ça? La Pierre même, qui s’était détachée de la montagne sans le secours d’aucune main, arrivait, roulait dans Jérusalem. Les petites pierres Y buvaient. «Parle au Rocher, et Il donnera Son eau.»
217 Si vous avez besoin du salut ce soir, parlez au Rocher ; Il donnera Son eau. Si vous êtes rétrograde ce soir, parlez au Rocher ; Il donnera Son eau. Si vous êtes ici ce soir, que vous êtes sans Christ, vous avez essayé de trouver le salut dans toutes les églises de la ville, parlez au Rocher ; Il donnera Son eau. Le croyez-vous? Si vous êtes rétrograde, que vous vous êtes éloigné de Dieu, et que vous pensez qu’il n’y a plus aucun espoir pour vous, parlez simplement au Rocher, et Il donnera Son eau.
218 Le croyez-vous, de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu l’accordera? De tout votre coeur, vous le croyez? Alléluia ! Il est ici ce soir.
219 Si vous êtes malade, et que vous avez tout essayé, vous avez essayé d’entrer dans la ligne de prière, et vous n’arrivez pas à aller dans la ligne de prière ; vous avez eu des cartes de prière, et vous n’avez pas été pris ; vous êtes allé à une réunion ; vous êtes allé à une autre réunion. Vous avez été oint par le pasteur. Vous avez passé dans la ligne de prière ici. Vous êtes allé partout ailleurs, et vous ne pouvez pas être guéri, pourquoi ne pas parler au Rocher maintenant? Il donnera Son eau.
220 C’est vrai. Pourquoi ne pas faire une fois un essai avec Lui? Soyez en bons termes avec Lui, maintenant même, pendant qu’Il est dans le bâtiment. Sa Présence est ici même, en ce moment, pour guérir chacun de vous. Je le crois. Je le sais, de tout mon coeur. Je crois. Il y en a que je ne sais pas, mais il y a des choses que je sais effectivement. Et je sais que Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, est ici même.
221 Maintenant même, pendant que, dans mon coeur, j’essaie de faire un appel à l’autel, les visions apparaissent partout dans le bâtiment, maintenant–maintenant même. Oh ! C’est vrai. Les puissances de Dieu sont ici même. C’est vrai. Je Le vois agir ici même. C’est ce qui fait que je commence à passer d’une dimension à une autre, maintenant même ; c’est parce qu’il y a des malades ici, et ce sont leurs prières qui produisent ça ; pour confirmer la Parole de Dieu, qui déclare qu’Il est ici même, pour qu’on Lui parle ce soir, le même Rocher qui, là-bas, connaissait leurs pensées. Il savait où était la femme qui souffrait de la perte de sang, et tout. Il est ici maintenant. Si vous Lui parlez, Il donnera Son eau. Le croyez-vous de tout votre coeur
222 Qu’en pensez-vous, madame, avec le... juste là au centre? Or, vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? La dame avec le truc blanc autour du cou, assise juste là. Vous souffrez du diabète, n’est-ce pas? Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Vous n’avez pas besoin de carte de prière. Croyez-vous cela? Pouvez-vous parler au Rocher? Voulez-vous Lui parler au sujet de votre diabète, maintenant même? Alors, levez-vous. Est-ce exact? Dites simplement: «J’accepte maintenant Jésus-Christ comme mon Guérisseur», et Dieu vous ramènera chez vous et vous rétablira. Parlez au Rocher. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Allez, et soyez rétablie.
223 Qu’en pensez-vous, madame, assise à côté d’elle? Vous avez des varices aux jambes, n’est-ce pas? C’est exact. Levez-vous. N’est-ce pas votre mari qui est assis là, à côté de vous? Est-ce exact? Vous souffrez aussi du diabète, n’est-ce pas? Est-ce exact? Posez votre main sur votre épouse. Très bien. Vous venez tous deux de l’Illinois. C’est exact, n’est-ce pas? Maintenant, retournez dans l’Illinois, en parlant au Rocher, et cela vous quittera et ne reviendra plus jamais. Alléluia !
224 Je sais une chose, c’est que le Rocher est ici, le Rocher des Âges, qui a été frappé dans le désert. C’est vrai.
225 Qu’en pensez-vous, la petite dame là, avec ces fleurs sur votre chapeau, assise là souffrant de l’arthrite, essayant d’en guérir? Vous qui vous êtes retournée et qui avez regardé de l’autre côté, croyez-vous de tout votre coeur que Dieu va vous guérir? Alors, levez-vous et tapez des pieds, en disant: «L’arthrite a disparu», et c’est bien vrai. Parlez au Rocher, et Il donnera...?...
226 Je vous assure, Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est ici pour manifester tout ce que...
227 Qu’en pensez-vous, madame, assise là, celle qui a dit: «Gloire au Seigneur», qui a ce problème gynécologique, portant une petite veste verte, assise là? Croyez-vous que Dieu vous a donc guérie? Levez-vous une minute ; assise juste là. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous avez un problème gynécologique. C’est un abcès. Vous avez un tube, un genre de drain qui en sort. C’est bien vrai, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Qu’est-ce qui me fait dire ça? C’est le Rocher qui est en train de vous parler. Répondez-Lui, et soyez rétablie. Alléluia !
228 Oh ! Comme Il veut produire les manifestations de Sa puissance ! Et je vois l’Ange de Dieu, exactement cette même Colonne de Feu qui suivait les enfants dans le désert, en train de se déplacer dans ce bâtiment en ce moment.
229 J’essaie de repérer une femme. Elle est en train de prier. Où est-elle, ici? Il se tient ici. Oui, c’est une petite femme qui est juste là, la deuxième dans la rangée. Non, elle... C’est à propos d’un homme, là. C’est pour un mari alcoolique que vous êtes en train de prier. N’est-ce pas vrai, madame? Si oui, levez-vous, là même. N’est-ce pas que vous avez un mari alcoolique pour lequel vous étiez en train de prier? Si c’est vrai, levez la main. Parlez au Rocher, et Dieu le délivrera de–de cette chose.
230 Dieu fera n’importe quoi ici, si seulement vous voulez qu’Il le fasse. Le croyez-vous? Est-ce que vous êtes en bons termes avec Lui? Si oui, levez-vous maintenant même et parlez au Rocher, et le Rocher donnera Son eau. Voudriez-vous vous lever?
231 Qui veut Le recevoir pour son salut? Levez la main, dites: «Je veux qu’Il vienne dans mon coeur.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous, et vous. Oh ! la la! Oui, oui.
232 Ce cancer vient de vous quitter, mon frère. Il a disparu. Vous pouvez rentrer chez vous et être en bonne santé maintenant. Alléluia ! C’est vrai.
233 Tous ceux qui veulent être guéris, levez la main, dites: «Seigneur, je suis en train de Te parler. Je suis en train de Te parler.» C’est ça.
234 Le voilà qui s’en va. Monsieur, votre mal de sinus vient de vous quitter. Vous êtes libre. Rentrez chez vous ; au Nom de Jésus-Christ, vous êtes guéri.
235 N’importe qui ici qui veut Le trouver maintenant, levez les mains et dites: «Merci, Seigneur, de m’avoir guéri. Je Te parle, au Nom de Jésus-Christ, afin que Tu me guérisses.»
236 Ô Dieu de miséricorde, envoie Ta puissance ce soir, avec l’onction du Saint-Esprit, pendant qu’Il est dans ce bâtiment, maintenant, pour envahir cet auditoire. Et puisse le Saint-Esprit accomplir chaque miracle. Qu’il ne reste plus un seul malade, ni un seul infirme dans ce bâtiment, ce soir. Puisses-Tu guérir chacun, au Nom de Jésus-Christ.
1 I'm happy tonight, again, to greet you in the Name of our lovely Lord Jesus, the resurrected Son of God. And His Presence was already here when I come in, so we expecting to see the exceedingly, abundantly, above all that we could even do or think tonight, that God will pour out upon us of His blessings and magnify Jesus Christ in our midst.
I had been speaking the last two nights... Sunday night I think we had a healing service, and Monday night I was preaching. And give out... Started a subject, Sunday morning in the Tabernacle. And I thought, while we were waiting around for a crowd to kinda get picked up a little bit, I would kind of give vent to my feelings. I'm...
One of these days, if God willing, and will help me, I'd just like to have several campaigns where you--you don't just go in and preach nor teach the Scripture, and make altar calls, and get down at the altar and pray for the people, and like we old fashion Baptists used to do. [Someone says, "Amen."--Ed.] Only two Baptists I heard say, "Amen." So where you all at tonight?
Someone said, "Brother Branham, was you a Baptist?"
Said, "Yeah," I said.
4 I was preaching here at Arkansas, one time. A fellow, old fellow, got healed. He was... they had... He was a Nazarene. He had his crutches on his back, the next day, going around through the city with a--a sign on it, "God taken me off of this last night." And he was very badly crippled. It was in Little Rock. And he'd been that way for several years. And everyone knew him, 'cause he went around, had his hat laying down, and selling pencils out of the hat. And everyone knew him, so it just started, just done a great thing in the city.
And a couple nights after that, I was preaching, and--and he raised up. He said, "Just a minute, Brother Branham, do you mind if I ask you something?"
I said, "No, sir."
And he said, "Well," he said, "when--when I heard you preaching, I knew you was a Nazarene." He said, "Then I seen all the Pentecostal people around here, and somebody told me you were Pentecostal." He said, "I heard you say, awhile ago, you was a Baptist." He said, "I don't get this."
I said, "Well, that's easy. I'm a Pentecostal, Nazarene, Baptist." That's right. That's right. We're just... believe.
8 Oh, friends, I don't belong to any denomination of church, and yet I belong to every one of them. When I started out on this, I said, "Christ is my head. This Bible is my textbook. And the world is my church." So that's--that's what I want to be till I die.
9 Now, in a night or two, we'll try to start a healing service again, when we get... 'Course, seeing these cots and stretchers laying around here, I like to see something. I'm so anxious for something to happen here in Louisville, Kentucky, because this is my home state.
I've never had a good, what you call a good meeting, in Kentucky. And I don't mean that with any slam. I--I've had plenty bad ones, plenty places. But, I mean, right here in my own home, it's so hard. I... just so hard to break it. I don't know why. But I guess it's because Jesus said, "In your own country," that how it'd be, that's probably the--the way it is. But we never get to see too many outstanding miracles.
I had a service here, about a year or two ago in Jeffersonville, but it happened to be the woman was from up here in Kentucky somewhere. She had turned to chalk, like, from her limbs down; from her hip down to her limps, rather. And she--she hadn't walked for seventeen years. Many of you was there that night remember the case. And she got right up and walked out of the Tabernacle, normally.
12 Now, I'd like for something to get started here in Louisville, where I could see an old fashion revival sweep through this lovely big city here.
It's a city of like all other cities; it's as wicked as all get out. You know that's the truth. I'm not hurting Kentucky, 'cause, I'm a Kentuckian too. All right. But it's--it's truth. It's wicked. This is the home of all whiskeys and distilleries, and wicked devices, and everything like, it happens right around Louisville, Kentucky, here, so this is the seat of Satan.
But we can break it to pieces with the Gospel of Jesus Christ, if we'll all get together. That's right. We got to unite our powers together and push.
15 Sometime ago, a very famous evangelist in the country was, said, talking about the services here. He said, "Well, here's what it is." He said, "When I go into a city, everything throughout the country has to sponsor my meetings or I won't go." That's right. Well, just think. I think there's perhaps sixty or seventy big Baptist churches right in Louisville. See? How about the Methodist? And it's a Methodist town, Asbury being up here. What would that man have if he come to this city, just of Methodists and Baptists, let alone the Presbyterian and all?
Now, how many full-Gospel churches is there here in the city? Two or three little missions down along here somewhere, just small churches here and there, and they're at war with one another.
17 So when you come in, you have to stand on the strength of your ministry. That's right. And even the... Everybody is like a politics moving in. It's on the strength of your ministry to draw from whatever the Lord will send. I like it that way. Brother, if Jesus Christ ain't my stay here, and my dependence, then I have nothing else to depend on. That's right. He... On Christ the solid Rock, I stand; all other grounds is sinking sands to me. I'd rather preach to five people that I know God had sent to hear the Message, than to preach to ten thousand that was politically pulled into it. That's right.
I'd rather see a little old old fashion conversation, get down to the altar and cry and boohoo through, than to see a ten thousand stand, just say, "Well, I'll try It." Try It? He's not a Christ to try. He's One to accept. Live or die, sink or drown, take Him anyhow. That's right.
19 If I pray, prayed for ten thousand people tonight, and they all died in the morning, tomorrow night I'd be back here praying for the sick, believing God's Word was right. That's right.
If I was dying, and five thousand people died a hundred years ago, and had been in eternity that long, rose back and come to the earth, and said, "Brother Branham, don't you trust It. He's not right. Don't trust It. We--we trusted Him, went; we failed."
I'd still say, "Let me die in Jesus Christ." That's right. I believe it. And that's my whole heart, everything's set right in that. And I believe it with all my heart, and I depend on Him.
And I love His people. I love you fellow citizens of the Kingdom of God. And I want to stand shoulder-to-shoulder with you and bear the burden.
23 Now, tonight; I give out last night I was going to speak a little while tonight, the Lord willing. Don't want to keep you too long, tire you, 'cause we're expecting...
I've got kind of like a fleece before the Lord for this meeting. And I'm expecting God to do something that'll start the meeting a rolling right here in the city. You pray; do your part; then when the judgment comes, we can all stand and say we did our part.
In the 20th chapter of Exodus, and beginning with the 7th verse, I wish to speak just a few moments, if God will permit, on a very, well, I'd say, not an outstanding subject, but a--a good subject. Last Sunday, at the Sunday school at the Tabernacle in Jeffersonville, we started on, "Redemption by the Blood."
26 And here's what I'm trying to do, if you want to know why I'm doing this here. Many of you say you never seen me preaching in a healing campaign, but it's for a purpose. I think, if I could get souls broke down and come to the altar, then I'd find favor with God for Louisville (That's right.) when the people really get down before God and pray.
And then, there's many of you, friends, that's praying, fasting, and afraid to take a hold of what you're praying for. That's right. See? Well, it won't do you no good to fast and pray, 'less you got some works to go with it. All your faith in the world, won't do you a bit of good, 'less you step right out there, and toe-to-toe with it, and take it. That's all. You've got to go forward. You just got to step right out and do it anyhow. When you ask for anything, go get it. God said it's yours, so don't take nothing less. Get what you asked for. You do that and find out how it comes out. Yeah. Don't--don't back up and say, "Well, I'll take second."
28 I'll take first. God promised me first; that's what I want. And for these twenty-three years I've served Him, He's give me that place. And I... And as long as I believe Him and love Him, and He loves me, it'll be just that way, because He's obligated to His Word. "Whatsoever things you desire, when you pray, believe you receive it, you shall have it." That's what He said. Is that right? [Congregation says, "Amen."--Ed.] That's good. All right.
I like to hear you say, "Amen." You know, Sister Hoover, "amen" means "so be it," to me, you know. And I--I go to speaking, I don't hear nobody say "amen," I--I get all puzzled.
30 Here sometime ago I was preaching in a little church, and--and I was just... Oh, I haven't got very many pulpit manners, according to the, I guess, the theology of the day, so I guess I got a little unruly. And I think I jumped up on the plat--on the pulpit, like that, and grabbed the microphone in my hand, and sit there, and my feet swinging off, preaching just as hard as I could. I come to myself; I didn't know what I was doing. In few minutes I got lost again, and I found myself down in the middle of the aisle, rolling up my trouser leg. I don't know why, but I was really... I'd liked to stayed there awhile. That's one thing I'd like to say. It was somewhere that I sure was enjoying myself. I just lived off of it for several days afterward.
There was a man come to me, and he said, "Say," he said, "how can you preach, and all them people saying, 'Amen'?"
I said, "That's what makes me preach." Yeah.
32 I used to have an old dog. I coon hunted. I guess I got plenty of Kentucky friends here that likes to coon hunt. So... And he would tree anything there was, and go get it, besides a skunk; and he just wouldn't have nothing to do with that. Now, he'd--he'd run him under a brush pile. And the only thing I had to do; I didn't want to get under there after him; I was sure. So the only thing I'd do, is just raise up the brush, and pat him and holler, "Sic him, boy! Sic him!" He'd go get the skunk.
Now, the worst skunk I know of is the devil. And if you want to do a little patting, just holler "amen" once in a while. And I--I... We'll get him treed, after while, and go get him.
34 You know, old Buddy Robinson, many of you has heard of him. Haven't you, the Nazarene church? He said, "Lord," said "give me a backbone like a saw log. Give me lots of knowledge in the gable end of my soul. And let me fight the devil as long as I got one tooth, and then gum him till I die." I think that's a good... And that's just what he did. That's just what he did; way, nearly a hundred years old, and still preaching the Gospel.
I hear them old veterans preaching like that. The other day, I happened to turn on the radio, and an old brother, by the name of Mordecai F. Hamm, around a hundred years old, still preaching the Gospel. I said, "God, bless him, and may he have stars in his crown when he gets there." Brother Hamm, I just barely know him. One of these days I want to meet him before he crosses over, the land. And so he can shake hands with a lot of folks over there. I know he will have plenty to shake hands with when he gets there, though, because he's been an old veteran.
The Lord bless you now. And now, before we enter into this Word, let's ask the Author to come down and reveal It to us.
37 Our kind heavenly Father, we approach Thee tonight, in that lovely, magnificent Name of Thy Son Jesus, confessing our sins, that we are not worthy to speak His holy Name. For in... All the family of heaven is named "Jesus." All the family on earth is named "Jesus." And in that Name every knee shall bow, and every tongue shall confess to It, whether they be sinners or saints. Then when we speak in His Name, how we should be quivering in our hearts with reverence, as we speak. So we ask in His Name, reverently, that You will come to us tonight, Lord.
We're here in the midst of a great city, with all kinds of devices that Satan has got the people so bound up in their businesses, in his gambling, in prostitution, whiskey, and cigarettes. And O God, and many ministers in the pulpit just let it pass by as if it was just one of the common things.
But, God, give us the voice of warning, that we'll preach the Gospel straight and true, lay the axe to the root of the tree, and let the chips fall wherever it will be. But help us, Lord, to pronounce judgment upon such things and preach the Gospel of Thy dear Son, Jesus.
40 God, grant something to take place that'll shake this city for the Kingdom of God. That, even the churches, that's just going along on the corners with a few members, O God, may them churches fill up and pack out with good, old fashion, saintly people, borned again. Grant it, Lord. And may we receive a revival, an old fashion, God-sent revival that'll just shake from one side of the city to the other, getting rid of all the meanness. O God, don't give us a protractive meeting. Give us a revival that'll close up bootleg joints, and that'll get things right, and make people come when the church bell rings, and flock to the altar, and pray before the pastor's message, and be ready. God, grant it.
Now, tonight there may be sick here, Father. And while we're speaking on the sick, or for the sick also, may the Holy Spirit heal every sick person in the building. Save every sinner. Call back home every backslider from his wayward way.
And now, may the Holy Spirit be the One that has guided me to this subject tonight. And may He take the things of God and just use His servant here as an instrument, and may God receive glory. For we ask it in His Name. Amen.
43 In the 7th verse of the 20th chapter of--of Numbers, we read this.
And the LORD spake unto Moses, saying,
Take the rod, and gather thou the assembly together, thou, and Aaron thy brother,... speak ye to the rock before their eyes; and it shall bring forth his water,...
I want you to notice that, "his" water.
It shall bring forth his water, and thou shall bring forth to them water out of the rock: so thou shall give the congregation and their beasts drink.
And Moses took the rod from before the LORD, as he commanded him.
And Moses and Aaron gathered the congregation together before the rock, and he said unto them. Hear..., ye rebels; must we fetch you water out of the rock?
And Moses lifted up his hand, and with his rod he smote the rock twice: and the waters came out abundantly, and the congregation drank, and their beasts also.
May the Lord take these few Words now, as we go back to our subject from last night and bring it up to this, God willing.
46 And now, I want all the sick that's in here tonight... Now, Billy never give out any prayer cards today, 'cause I told him not to. I said, "Just go over, Billy, and tell Brother Cobbles. And just let me..."
I'm trying something for the glory of God, just asking God to help us, to give us souls into the Kingdom; and that believers that'll strengthen their faith, and move up, even without anything else, will just move right up and say, "God, I believe You, on the Word." That's it. There's the initial, and first, and best way. That's right. Take God at His Word. Then if you can't do that, then, 'course, God sends other things in, such as gifts and signs to--to confirm His Word, to confirm It to every believer.
Now, Sunday, we had, "Redemption by the Blood."
48 We're taking Israel now, in their journey coming out of Egypt, type of the world, on their way to Palestine, the promised land. I think it's a beautiful thing. I just love it. Pretty near every week, I set down and read through that book of Exodus, if I can, or as much of it as I can. I love it, because it's a perfect type of the church today, the condition, and how God is moving. Moved then, what He did in the natural then, He's doing in the spiritual now. See it?
Now, there He led Israel natural, where they seen, looked, moved them out of a certain land into another natural land.
Now, we're moved by the Holy Spirit, in going now into the promised land. You believe we're on a road to a promised land? "In My Father's house is many mansions. If it wasn't so, I would've told you. I'll go and prepare a place for you." Is that right? Now, we have a promised land that we're going to, and each day marks a milestone; another day, another milestone.
51 And there's a big dark shadow setting yonder before us, called death. And every time our heart beats, we move one step closer to that. One of these days, it's going to take its last beat, and we're going in. I want to be at my time, make my lot; as I hope every one of you is, tonight. When I know that it's laying just before me, and I have to meet it, I don't want to be a coward. I want to wrap myself in the robe of His righteousness, walking into it, knowing this, that I am sure that I know Him in the power of His resurrection (That's right.), that when He calls from among the dead, I'll be called out with them that's a living. God is a God of the living.
52 Now, as they journeyed in this land, we found out that God made a--made a plan for them. He brought redemption by the blood. Then we find out, He brings redemption again, by power.
We found night before last that He had the blood applied, which was a very beautiful type of the believer; that when he has accepted the death of Christ in his stead, then he becomes a child of God. He starts on his journey.
Now, the next thing that he has to have... after he is saved spiritually...
Now, the death of the innocent lamb provided life for the guilty believer. Isn't that a perfect type now, the death of the Innocent, providing Life for the guilty. And the death of the innocent Christ provides Life for we the guilty.
Now, first, then after God gave them life through the blood and proved it, that death passed over them, He started them in their journey. We're going to catch up with them after while.
57 Now notice, then the next thing God did, as soon as they were become believers and children, and accepted God, the enemy of physical death took after them. And he had them cornered, right up with the desert on one side, the Red Sea on another, mountains on another side, Pharaoh's army coming, pursuing, millions of soldiers coming in the march to overcome them.
Now, God had made manifest that He'd give them life through the death of the lamb; now He is going to show them physical redemption. Hallelujah. See, both for salvation and healing (See?), for the natural man and the spiritual man.
The death Angel passed over, proving that God had made a way of escape through the offering of the blood, and they accepted it. Now He's going to make a way of escape from a physical death.
Like the believer, as soon as he gets saved, maybe a cancer has eaten him up, or some disease. God has redemption also through power. The same as He has redemption for the soul, He has redemption for the body. It was a...
61 They were saved, and they were circumcised. They were under the blood, but yet, Pharaoh was going... The enemy was going to destroy them, kill them all right there in the wilderness. Then God showed His power of redemption for their body. You get it? You know what I'm speaking of? Redemption by the power. And then, when the enemy was right nearly on them, the great supernatural Pillar of Fire raised up from over Israel, come over here and stood between them and death.
Let it soak for a few minutes. Can you see what I'm speaking of?
Now, to every believer, born-again child of God, when death comes stealing to the door prematurely, the Angel of God stands between you and the sickness. Now, if you want to run right on to it, that's your business; but you don't have to. See? He's standing between you and death.
64 Twenty-three years ago in the Jewish Hospital, Dr. Morris Fletcher give me three hours; one of your best surgeons here in the city, give me three hours to live. I'm living tonight. Hallelujah. Why? By unmerited grace, the Angel of God stood between me and death to protect me, and I accepted It. And in gratitude, by God's grace, I want a half a million souls to Him, tonight.
Oh, how God knows how to do things, if we'll just follow. Don't try to lead God. Let God lead you. See? We are the ones to be led. I think that's why God likened us unto sheep.
Did you ever see a sheep lost? Why, he's the most helpless critter in the world. He can't find his way nowhere. He just stand and bleats till the wolf eats him, or he dies there. He can't find his way back.
And that's the way, that when a man is lost, he's totally helpless. There's nothing you can do about it. God, through grace, has to lead you to Christ. Jesus said, "No man can come to Me except the Father draws him. And all that he draws, and comes, I'll give him Everlasting Life." What a promise.
68 Oh, I wish I could get every person in here, that would sink way down under the fifth rib on the left side, till it hits the core of the heart. You'd see people just get up, with all kinds of diseases hanging onto them, walk out of this building, rejoicing, refusing to have it. Cripples would walk just as normal as they could be. They'd refuse to know anything else. See?
You're scared. You're afraid to make the start. You're waiting for God to come down and pull you out. God doesn't do it that way. You're the one has to make the step. He gives the promise, and says, "Come on," then you follow.
70 Now, notice the children of Israel then. God came and stood between them and the danger: power of redemption--redemption by power, rather. Redemption by blood, redemption by power...
Last night we left them just crawling up on the banks on the other side of the Red Sea. All the enemies, their chariot wheels had been taken off. Their horses got spooked right out in the middle of the river, and they were turning every way, going this way, and the wheels mired down in the mud and fell off, and a bunch of men frantically running, the enemy. And Israel climbed out upon the bank to see God stretch forth His hand and destroy all the enemy.
A beautiful type, the believer under the Blood; been healed then by the go-between, the power of God sparing his life, prolonging it for a time... They'd every one been killed right there; he'd have massacred them right there in the wilderness, if God hadn't stood between them. I'd have been dead a long time ago, if God hadn't stood between me and death. Every believer in here would've been dead, a long time ago, if God hadn't stood between you and death: every one of you. So God in His sovereign grace and mercy stands between the believer and death. Hallelujah.
73 Here it is. Then what's the next thing for the believer? The next thing is the baptism of the Holy Spirit then. Moses led the children of Israel right down to the Red Sea, was baptized in the Red Sea: the sea, water, representing Spirit. When he smote the Rock, water came out. And it was a type of Christ in John 3:16. "God so loved the world, He gave His only begotten Son, that whosoever believeth in Him should not perish, but would have Everlasting Life." Notice, a perishing people in the wilderness was saved by a smitten Rock. And a perishing people is saved today (perishing in sin, perishing in iniquity), because the smitten Son of God taken their place: water, the Spirit rolling out!
Watch, I want you to see it now, as they went through the Red Sea, was a type of receiving the Holy Spirit. After the believer has been redeemed from death, unto Life the power of God has healed his body, now he's a candidate for the baptism of the Holy Spirit. Now, he's got a journey, yonder, ahead of him; but before he can meet that journey, he's got to have something to pack him through. Amen. Perfect type of Pentecost...
75 Notice, as they crawled out of the bank... Every believer, when you come in and are saved, accept the Blood of Jesus, you still try to hang onto this and hang onto that, and you can't give this up and you can't give that up. After while, God may do good things for you; but you can't give up your cigarettes, you have to take a sociable drink with the fellows now and then. But what you need to do is pass through the Red Sea.
When they come out on the other side... Here it is. I want you to see it. As they come out on the other side, crawled up on the bank and looked back, and seen all those old taskmasters who had beaten them, killed some of them... Just like cancer, and cigarettes, and tobaccos, and whiskey, and everything else drives the kids insane, sends them to the asylum, into hospitals, and a bunch of neurotics and everything else produced in the world... When they looked back and saw all those things struggling, helpless, and dying in the sea, brother, you talk about a meeting; they had one.
77 Moses... Oh, I'm going to let this sink deep. I hope it goes way down. Moses, greatest prophet ever lived, outside of Jesus Christ. Never was a man that God ever spoke to, like He did Moses, outside of Christ. He said, "If there be one who's spiritual, or prophet, among you, I'll show him visions and make myself known to him. But not My servant Moses; I speak lip to ear with him." That's right.
Moses, this dignified man, as soon as he come through that experience, he seen all those taskmasters dead, he knowed all them things was gone forever then. All those things that had drove them, and beat them, and whipped them around was finished. He raised his hands and sang in the Spirit. Oh, my.
Never been typed, and won't be until we get to Glory up yonder. When the completion was made there, he sang in the Spirit. And when we're redeemed in the body... That was a type of the Holy Spirit coming at Pentecost, when we passed through the sea. It was a type of Pentecost. And Moses, in the ante--in the type back there, when he passed through that, he sang in the Spirit. It come on the day of Pentecost. And when the body is perfect, redeemed... Now our soul is perfect redeemed (Right.), cannot perish, got Everlasting Life." What the Bible says.
81 Oh, I feel good. Notice. why? Because I know it's THUS SAITH THE LORD. Just anchor my soul there, and walk on, and say, "Satan, just hiss all you want to, to me. Don't bother me, 'cause I know whom I have believed, and I'm persuaded He's able to keep that which I've committed to Him against the day." Amen.
What we need tonight's a good, old fashion, Billy Sunday, broke-down, hallelujah revival, is what we need around Louisville here. That's right, need a good, old fashion, God-sent Pentecostal revival. Yes, sir.
83 Notice, then when our bodies are redeemed... Which we got Divine healing now as a shadow.
As that was a shadow there of Pentecost, look what they done in the shadow time of salvation. Look how they walked there before God, "Quenched the... edge and so... of fire, and escape the edge of the sword," all these things they did, "come out of the fiery furnaces; away from the lions' den, and everything," by the shadow (Hallelujah.), by the shadow of Pentecost.
Now we have perfect redemption through the Blood of Christ. They couldn't have perfect redemption then, 'cause it was under the blood of bulls and goats, and it will not take away sin; it only covered sin. But when Jesus' Blood was shed, the most holy, righteous Blood, sins wasn't covered no more; they were divorced and done with, and the believer goes in the Presence of his Maker. Hallelujah.
86 If they did that, then the shadow there of Moses singing in the Spirit, then over in Revelation, those who's got perfect redemption of the body, stood on the sea of glass and sung the song of Moses again, over in the Book of Revelation.
Talk about a--a Holy Ghost meeting, they had it when they got up on that bank. Listen, sister. The little dignified Miriam, the prophetess, the sister of Moses, a prophetess, she got so excited till she grabbed up a tambourine, and run down the bank, beating this tambourine, and dancing in the Spirit. Not only that, but all the daughters of Israel followed her, dancing in the Spirit. If that ain't the Holy Ghost falling, I never seen one. Of course, then all them ritualistic, dignified nations could've looked through their binoculars and seen that, they'd said, "Fanaticism." Right. But it was God. That's right.
The dignified things look down today upon what God has blessed. Right.
89 Reminds me of a story. A fellow had a great big, fine farm. He built great big, fine barns, just as dignified and classic as it could be, but he was too lazy to farm. All right. There was another farmer lived close to him; he didn't have very much of a barn, but he really was a farmer, and he'd put plenty of good food in that barn that year. And two little calves was born, one in one barn and one in the other. When springtime come, they turned the little calves out of the stall.
That little calf from over here had been fed real good, my, when that wind begin to hit him, oh, my, he kicked up his heels and away he went just as hard as he could go, a snorting, and a jumping, and a bucking, and a going on.
And then the other farmer turned his out, over there. He had--he had nothing to eat but weeds: too lazy to farm, too lazy to feed him.
Puts in mind of some of these pastors (Right, right.), too lazy, and too trifle. And just dignified barns is all you got. Put some Food in there for the calf. Right. Right. The baptism of the Holy Ghost, preached with power, it'll scorch them. That's right. But that's what they need, is some good old fashion scorching; what the church needs, what the members need. Notice.
93 And this little old calf had been...?... Poor, little fellow come out of the stall so thin, he couldn't hardly walk. And he peeped down through the crack and looked across. He seen that other calf just a snorting. He was all fat and round. He felt good. He'd been eating all winter. And that little, starved calf looked over, said, "Such fanaticism." My. Sure, he was too skinny to think anything else.
But I tell you, when that one that all fattened up all winter, brother, he knowed where he was at. He was having a good time when that warm wind begin to blow on him.
And any man that's born of the Spirit of God, they'll call him a fanatic or anything else. But when that warm, spring, Holy Ghost wind begin to come like It did on the day of Pentecost, something's going to take place. Right. The warm winds begin to blow; brother, you're all fattened up with the Gospel, all round and feeling good. Kick up your heels and have a good time.
98 That's the way Miriam and them did. Looked back down and saw all them old things that they once done, was all dead and gone. They'd done seen God accepted the blood; done seen His power in Divine healing, standing between them; come through the Red Sea, and was baptized with the Spirit; walked on the other side, just having a good time. They didn't care what the--all the organizations thought about it. Amen.
What a perfect type it is today of the believer who'll dare to step out.
God promised that He'd supply their every need. He promised He'd supply our every need. He never told them, "I'll make a way of healing; I'll make a way of this; I'll make a way of that." He said, "I'll be with you." Hallelujah.
That's what He said to us. "I'll be with you, even in you, to the end of the world." That's all I have to say. You don't have to argue this, that, or the other. If He's here, that satisfies me; Divine healing's here; power is here. Everything He was there, He is now, "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever." So you can take your theology and drown with it. Brother, I believe Jesus Christ the same yesterday, today, and forever; said, "I'll be with you, even in you, to the end of the world." Yes.
102 And there they came out, and He was with them. Now, he said... Oh, they had a little basket of bread on their head; it was all eat up and gone. Didn't have any. They went to bed, a little hungry that night. But the next morning when they got up, there was bread laying all over the ground.
That's the way God does things: lets you come right down to the last minute, and then show you what He can do about it. That's right. He loves to do that. He loves to--He loves to surprise His people.
You men like to do your wife like that. Wait till her birthday, just keep her under suspicions, 'cause you love her.
That's the reason God lets us come to the end of the road sometime, because He loves us and wants to prove His supernaturalness of His power. 'Cause He loves us, that's the reason He does it. Yes. He just lets us get right down to the place where we're just about ready to make the last step, then He steps in the scene.
He let the Hebrew children walk right in the fiery furnace, but there was a fourth Man standing there with a fan, keeping it off of them. See? He's always there. He never leaves. He's always near. "The Angel of the Lord encamp about those who fear Him."
107 There, that night... They picked up that bread the next morning. I can see those Israelites that had just passed through the Red Sea, had just been redeemed by the blood, seen the healing power of God, or the miraculous power standing between God--and between Israel and Egypt, and had drown the enemies behind that...
Like the old cancer's gone forever, the blindness was gone, the deafness was gone, the diabetes was gone, everything's done drowned back yonder in the Blood of Jesus Christ. How do you feel? My.
Walk down the street, and some old critic say, "Now, wait a minute. Are you sure of that?"
"Don't talk to me." Amen. Oh, my.
I can see them out there, just a gathering up and gathering up, and eating, and having a glorious time. Just like an old fashion, Holy Ghost meeting. Here will come the Spirit of God moving over; some little saint will reach up, get it in the heart like that, and holler, "Praise the Lord," just an old fashion meeting like that. Yes, sir. They were just catching it from one side to the other, having a good time.
111 "Now, that bread never did cease. It went all the way through the journey, for them. That's right, and was a perfect type of Pentecost...?... That was in the natural. That bread never did cease. It stayed the same bread, until they entered the promised land. Is that right? [The congregation says, "Amen."--Ed.] You Bible readers know it. And then when we...
The church was inaugurated at the day of Pentecost, when the believers was up there... "And there came out a sound like a rushing mighty wind, filled the house where they were setting." The same Holy Spirit that fell then, falls now, and will go plumb on from that time to the end of time. It'll go right on through. It's our bread. They were fed with natural bread; we are fed with spiritual bread.
113 Jesus said, "I am the bread of Life that come from God out of heaven."
They said, "Our fathers eat manna in the wilderness for a space of forty years."
He said, "They're every one dead." Yes, sir.
"But...?... he that eats My flesh and drinks My Blood, has everlasting Life, and I'll raise him up in the last days. I am the bread of Life that come from God out of heaven. If a man eats this bread, he shall never die." There you are. They had the natural; we got the spiritual. Oh, I wouldn't exchange it for nothing. Wonderful!
116 "Oh," you say, "Brother Branham, we all know you're a fanatic." Well, I do too. I'm a fool for Christ. Whose fool are you? You may be the devil's fool. All right. So I'd rather be a fool for Christ, wouldn't you? All right.
117 Notice, here's another thing about that manna. When they begin to taste it, they said, "It tastes like honey." Yes, it was sweet. I can just see them old saints a smacking their lips and eating away. It was good.
Did you ever taste This? This is good too. Said, "Taste and see, the Lord is good. It tastes like honey in the rock." I've often made this remark, many times. That, when David of old, who spoke that in his Psalm, said, "It tastes like honey in the rock."
David, being a shepherd, he had a little scrip bag, they carried on their side, and they always pack honey in it. The old shepherds do yet, in the--in the Palestine. And when their--their sick sheep gets a going on, then, the first thing you know, he reached down to get a piece of this honey, and he takes it and rubs it on the rock, a limestone rock. And the sheep likes that honey, so he goes to licking that honey off the rock. And there's something about limestone that heals the sick sheep.
And I tell you, we got a whole scrip bag full of honey here tonight, and we're going to put it on the Rock, Christ Jesus. And the sick sheep go to licking, you're sure to get well. That's right, just lick, lick, lick. And while licking the honey, why, you're sure to get some of the limestone. That's just as sure as anything. Now, we're not going to put it on the church. We're going to put it on Christ where it belongs. That's right. 'Cause, healing belongs in Christ (Amen.), like all of the redemption blessing. Notice.
121 And another thing. When that begin to fall, Aaron was commanded to go out and get several omer-fulls of it.
Now, if they tried to keep some over for the second day, it spoiled. And that's a whole lot among the Holy Ghost people tonight. You're trying to think, "Well, twenty years ago, we had a good message. We had a--we had a good time." What you got tonight? That's the thing. They...
It fell every night. It never failed one time, only on--on the Sabbath. That's right. And now, God has sent it down new every night; every day, every hour it come.
124 Notice, them omer-fulls was kept up. He said, "Now, look. When you come into the land, and your children begin to inquire about this..." Said, "Every priest now that comes into the priesthood, after he'd had the permission to come to the holy place, and so forth, and ordained a priest, then he had a right to go in and take a mouthful of the original manna that fell at the beginning." The very first that fell, they picked it up and put it in an omer, and kept it, and it was just reserved for the priesthood.
Now, you say, "Brother Branham, what type does that have today?"
Why, we are the priesthood. "Ye are a royal priesthood, a holy nation, a peculiar people, making spiritual sacrifices unto God, the fruits of your lips giving thanks to His Name." Amen. There it is. Now, then on the day of Pentecost, when the Holy Spirit was falling, our manna...
127 Now, every priest back there under the Old Testament, when they come in to be a priest, they knew they was going to get a mouthful of the original manna, not some made up, some man-made that looked like it. But he was going to get some of the original.
Well, on the day of Pentecost, when our Manna begin to fall, the Holy Ghost came like a rushing mighty wind. Here was a bunch of little, dignified people, a hundred and twenty in an upper room: doors shut, windows down, setting back there waiting for the promise. Yeah, they'd been with Jesus, sure. They knowed His power and all that, but they were waiting for the promise.
That's what we want tonight. To be... If this group of people could get in one accord like they was on that night, the same thing would repeat tonight right here in this building in Louisville, Kentucky, that repeated on the day of Pentecost. That's right. Oh, of course, they'd had the same kind of critics here in Louisville they had there.
130 But they were all in one place, one accord, and suddenly "There came a minister up, and he had a letter, and they signed their names and had the right hand of fellowship, and entered into the church fellowship." That might be today, but that wasn't then. That's the way the Protestant does it. The Catholic walks up to the altar and takes his first communion, licks out his tongue, takes the wafer; and the priest drinks the wine. Then he becomes that.
But, brother, "On the day of Pentecost, they were in one accord, in one place, then suddenly there came a sound from heaven (man had nothing to do with It.) like a rushing mighty wind. It filled all the house where they were setting." The power of God struck upon them. Out into the street they went acting like a bunch of maniacs; like they did down there when they come through the Red Sea. That right? They screamed. They carried on. They staggered. They stammered with their lips.
They, oh, such a carry on, you... till the people, the dignified church, stood back and said, "These people are drunk on new wine."
Hallelujah. Going to call me a holy-roller, anyhow, so you might as well get started now. All right.
134 Look. They were full of new Wine, that's right, the Wine that come from God out of heaven. Did you ever see a drunk man? He's just in love with everybody. You see? He don't care. That's the way a man is when he gets drunk on the Spirit. The Bible said, "Be not drunk on strong drink, with excess, but to be drunk on the Spirit." The Spirit of God makes you so drunk, you forget all your enemies and everything. Everybody's in love with you. You don't care about who's standing around you. You're the biggest man in the country right then.
I don't care if your neighbor sitting next to you, went to some dignified church; just let the Holy Ghost get on you one time, see what takes place. Get right, real good, souse drunk, you'll see what takes place. You'll say, "Sister, I got It. You want It, too." That's right. Yes, sir, something will take place.
136 There they was, all drunk on new Wine. And, listen, some of you sisters here, did you know the blessed virgin Mary was in that? Now, she had to go up there. The mother of Jesus Christ had to go up there and be included in that bunch of people, so drunk on the Spirit till she staggered like she was drunk on whiskey or something.
And you think you'll get to heaven by slipping over to the church and putting your song book under your arm, and walking over every Sunday morning, and the bell tolls, and set and listen at some of the... and walk back? You'll never do it.
You'll have to come that route, 'cause that's the only route God ever laid down, and ever has. And you'll walk it, or won't be there. I'm not your judge, but I'm preaching the Gospel. That's exactly the truth. The blessed virgin was right there, acted just as idiotic as the rest of them did, just as drunk as the rest of them. These men and women, every one of them, was full of new Wine. If God ever changed that program, put your finger on the Scripture for me; it isn't there. No, sir. It was plumb on to the end of the age, that way, plumb on to the end of the Bible, and it will be the same thing when Jesus comes.
Look! While they were drunk on that new Wine... Look. We'll see if God put an omer-full up for you all. All right.
140 Here was all of them standing out there, and a little old cowardly preacher by the name of Peter, the "little rock," had been so scared of his position till he denied Jesus, and run out and prayed through, and he had to be gathered with them. Stood up on a soap box or something, said, "Why, you men of Judaea, you that dwell in Jerusalem..." That was Doctors, D.D.'s Oh, said, "You men that... and men of Israel, and dwellers in Jerusalem, and so forth, let this be known unto you. These are not drunk, as you suppose, seeing it's the third hour of the day. But this is that..."
If this ain't That, I want to keep this till That comes. That's one thing.
He said, "This is that which was spoken of by the prophet Joel, 'It shall come to pass in the last days, saith God, I'll pour out my Spirit upon all flesh; your sons and your daughters shall prophesy; and upon my handsmaids and maidservants will I pour out of my Spirit, and they shall prophesy; and I'll show signs in the heavens above, and in the earth; and pillars of fire, and smoke, and vapor; and it shall come to pass, before the great and terrible day of the Lord shall come, whosoever shall call upon the Name of the Lord shall be saved."'
143 That bunch of self-styled, long-robed, hypocritical priests, said, "What can we do to be saved?"
Peter said, "Repent, every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost." How long is it? "For the promise is unto you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call."
Then every man that repents and is baptized in the Name of Jesus Christ, and God gives him the baptism of the Holy Ghost, doesn't get something looks like the first Manna, but he don't only get a mouthful of the first Manna, but he gets a heart-full of the same Holy Spirit.
146 You might, could cut that down a little. I know I'm a little loud on that, but I just can't help it. Notice, look. I'm not yelling at you. I may be rebounding from it. But oh, if you felt like I did, you'd be loud too.
147 Notice, oh, a heart-full of the original Manna that fell at the beginning, the same Holy Spirit fell then is falling now. And where would It go to? "To you, to your children, them that's far off," Louisville, Kentucky, "and as many as the Lord our God shall call, will receive the very same thing that we've got here."
That's what He said. God blessed it. He preached it. Holy Ghost brought It; I got It; that settles It. Amen. That--that's just good enough for me. I took Him at His Word; He did it. If you want It, you can have It too. That's right.
149 So get out of your--the dead condition, and wake up, and just shake you like that and wake you up. And first thing, you look around and everything will look different to you. That fellow that you wouldn't speak to, you'll hurry to get to him and speak to him; yes, sir, just got to speak to him, that's all. Oh, all those things, take them old tire tools back, and all the... them things that you took out of the hotel that time. That old towel you wrapped around that silverware you took off the table; you'll hurry back to get to take it back. You sure will. Yes, sir. It'll make you a new creature in Christ Jesus. Now, look at Mary.
Oh, my. We have to hurry. We're getting right along.
150 Here they go through the wilderness now, after the old fashion meeting. Now, they're on their journey. Isn't it strange that they was led right straight to the wilderness of sin, right up to the wilderness, right up into the--the fountain of bitter water? Could you imagine God taking His children, right after they got saved and filled with the Holy Ghost, to fountains of bitter water? Sure. He'd like to express His love to them again. That's right. They got up there.
You know, when you get the Holy Ghost, you attend a lot of obstacles. "Many are the afflictions of the righteous, but God delivereth him out of them all." God brings you right up, facing with it, so He can show you His power and His goodness.
152 Like I heard the story of the shepherd in Jerusalem, who had broke his sheep's leg. They said, "Why, you cruel shepherd, why did you break the sheep's leg?"
Said, "Well, she didn't act like she loved me. So I thought I'd just break her leg, so I'd have to give her some special attention, and then she'd love me from then on."
Sometimes God has to lay you on your back with a sickness, that the doctor says you're going to die. God could give you a little special treatment, so you'll love Him a little more. That's right.
Some through the waters, some through the flood,
Some through deep trials, but all through the Blood;
Jesus leads His Church.
155 Now, when they were there, and the waters were bitter and they couldn't drink, God provided a way. A little old tree swinging there on the bank, Moses just cut it down and throwed it in the water, changed the whole thing to good, sweet water.
Now, when you come up against one of your bitter waters, or something another like that, there's a tree tonight, spiritually speaking, hanging over Golgotha or the world tonight, that'll sweeten any bitter waters that you may be led by. That's right. That Calvary will sweeten any experience. Many times we get into hard places, and wonder how. But I shut my eyes sometime, and think, "Yonder on Golgotha, where my Redeemer bled and died for my life..." then my trial seemed so little. I just throw aside and walk on. It makes it sweet. It sweetens every experience I ever had. He always sweetens it, when I come to my waters of Marah.
157 Now, we're about to catch them now over here in the wilderness, after all those great signs and wonders. The revival had quietened down. And the first thing you know, when the revival quietened down, why, they forgot all about the miracles.
Isn't that just about like people today? They forget what God did last year. What God did at the meeting out here at the high school, you forget all about it. See? What God did, we just forget it.
159 Now, notice, and because they begin to argue with one another, "Well, I'm really, after all, I'm a Methodist. Our church is the biggest." "I'm a Baptist, and I'll tell you right now, we believe in eternal security, and we got it. You all ain't got the doctrine, after all." That's when you get in trouble, and your water supply gets cut off. That's right. That's right.
That's when the desert, he lives out in the desert, begin to murmur, murmur and complaining. "Well, I'll tell you. I'll tell you, when that old pastor was here, that old preacher that preached that old-time religion like that, I--I don't know whether he was right or not. I'll tell you; he--he made my mother so mad one night, she went home. And I'll tell you; she was stirred up like." She ought to have been. That's right. "Oh, I don't know whether I want to hear any more of that or not." And there's when your water supply is cut off. That's right. That's when you get in the desert.
161 They begin to murmur. They said, "Our--our souls loatheth this light bread." After they'd left the garlics and onions of Egypt, and was eating Angels' food, and still complaining, isn't that like the church? Now, I'm coming down to holiness people now, you all; yeah, all of you. Eating Angels' food, and then said, "I wish we was back in Egypt to get some more garlic."
"Clayton McMichen and his Wildcats is going to be at the bar tonight. If I hadn't joined that old church, I could go down." You might as well go on. Where your treasures is, there your heart is also. You never got nothing when you started. That's right. That's right. "Oh, I'd like to do this, or do that." There you are, always a complaint.
163 They left the muddy waters of Egypt to drink the pure waters from the Rock of Ages, and was complaining about it. They left the place where the great, boasting physicians of Egypt, great boasters and all, to be with the Great Physician. They left the place where they said that, "The days of miracles was past," to be with the people who had signs and wonders following them, and still complaining. Oh, my. Yes, sir. Down there, of course, the Egyptians, they were cold Gentiles, indifferent. They didn't believe in no such a thing as miracles.
Then they was out here where they had a Pillar of Fire around them. We got it tonight. They was out there where they had joy in the camp, shouting, miracles being performed, and everything, and then complaining about it. That's the reason the water dried up; that's the reason they didn't have nothing to eat or drink, because they were murmuring.
And that's what's the matter with the churches around Louisville, tonight: murmuring, complaining. Mercy. Get back in the harness. Yes, sir.
Say, "Who is this guy, Moses? Why did we listen, listen to this holy-roller preacher anyhow? What are we doing out here?" And their water supply dried up.
167 I think of Moses, that great man. He was taught in all the--the wisdom of the Egyptians. Let's look at him just for a few minutes. Let's take Moses just for a minute. Look at that fellow. He was...
The Egyptians, they was far beyond us today, when it comes to our medical science. They were far beyond us. Many things they could do that we couldn't.
And Moses had all the remedies. And when he was out there, I think, Moses had about two million people with him. He had little children. He had old men, old women. He had cripples, and blind. Babies were born, thousands of them, in a week's time. And Moses, Dr. Moses, was out there in the wilderness with all these people. I'd like to look into his medicine chest, wouldn't you? I'd like to see what Dr. Moses had in the medicine chest. Let's us just take a little peep over in the medicine chest and see what he had.
170 "Moses, why, what'd you have in there, Moses?" Why, we find out that when all that forty-years journey, over two more million babies was born. That's right. "What did you use, Moses? What did you use for all those hurts and aches and cancers, and blindness, and deafness, and dumbness? Why, they tell me, that when you come out of the wilderness, there wasn't a feeble one among them." Say, wouldn't some of these doctors like to look into that, that medicine cabinet?
"And another thing, Moses, what did you sprinkle on those people, till even their clothes didn't wear out? Their shoes never wore out, walking on those rocks." If you ever been there, you know what the desert looks like; they wear out a pair of shoes in three days. And they never even wore one speck of the leather off of them in forty years. "Moses, what was in your medicine chest?"
172 Let's look into it. I see him, "Got one prescription, 'I'm the Lord that healeth thee.'" That settles it. Amen.
Said, "Oh, Moses, my father has been over here, he's just fell and broke his leg. What have you got for him?"
"Let me look and see. 'If thou will obey My voice, do all I command, I'll put none of these diseases upon you, as the Egyptians, for I am the Lord that healeth thee.' Tell him that." He got well. Amen. That's right.
"Oh, he's seriously sick. My baby has got the colic, or the pneumonia, so bad, Dr. Moses, what can I do?"
"Let me see what I got. 'I'm the Lord that healeth thee.'" That settles it. Amen. Away they went (That's right.), going on, rejoicing. That's all he needed, "I'm the Lord that healeth thee."
176 Out of six hundred and something, definite promises of Divine healing in the New Testament alone, and yet we question God tonight. What will the judgment mean for us? Right.
177 "I'm the Lord that healeth thee." Yes, sir. That's what Moses had, Dr. Moses had in his sphere, in his...?... at his medicine chest, was this: "I'm the Lord that healeth thee." So he healed all the diseases, and kept them perfectly, and brought them right on through the wilderness into the promised land. Oh, my.
They left all those big, boasting physicians, to be with this Great Physician. They'd left that bunch of people that was cold, formal, and indifferent, saying, "There was no such a thing as miracles." And right here, a Pillar of Fire was hanging over them. People were being healed. Everything was... Anything they had need of, was just furnished right to them, and yet they were complaining when they got out of the water. But then in the sovereign grace of God, in all of that...
179 Like you are here in Louisville tonight, in the midst of all this crying out, "The days of miracles is past..." The Medical Association is trying to stop Divine healing across the country. You'll never stop it. You might as well stop now. You can no more stop it than you can stop the sun. That's right.
Here a few years ago, when I first started in Jeffersonville was preaching Divine healing. It hadn't been known practically, for years. It was a hard thing. But, brother, tonight there's millions of them everywhere, crying out. Try to stop it? You couldn't. "I the Lord hath planted it, I'll water it, day and night, unless some should pluck it from my hand."
181 Here not long ago, I was looking at some little sparrows on the Statue of Liberty. They was just laying there. The little fellows was laying all around, under the light. And I said, "What did that?" to the guide.
He said, "They beat their brains out last night, in that storm. They got into the light, and the light would've took them to safety, but they was trying to put the light out. And they beat their brains out, trying to put the light out."
I said, "Glory to God." I guess he thought I was crazy. I said, "That puts me in the mind of some of these people trying to beat out Divine healing and the power of the resurrection of Jesus Christ." You'll beat your brains out; you'll never. Just accept it, and fly to safety in it. That's right. Amen.
184 "Speak to the rock, Moses," God told Moses, "and it'll bring forth its waters, bring forth His waters."
Here not long ago, I was looking at a picture in a certain museum of this rock being smitten. And it looked like a little bitty stream pouring out, about the size of a knit needle. I thought, "How ridiculous these artist can get." Why, brother, I could drink that thing dry if I was right thirsty. Yes, sir.
Do you know what Moses had to drink from that Rock? He had over two million people, besides all the animals. It taken about forty thousand gallons a minute to--to drink... them. Hallelujah.
187 That puts me in mind of somebody in their religion. You just got enough religion to go to Sunday school on Sunday morning, just spat a little bit and moisten you up a little.
I like to set at the Fountain where the gushes come out (Hallelujah.), enough to take me through eternity. Hallelujah. I'm glad I moved out of that old moist place, over to the spout where she's just a pouring all the time. Yes, sir.
People has just got enough religion to make them miserable. "Well, I can't set over about ten minutes. My goodness, how long-winded is that preacher?" How deep is your salvation? That's right.
Go up of a Sunday morning, and say, "Well, I'll go up and hear what they got to say." And get one little spat and go back, and that's about all you got.
191 Brother, I'm telling you; when Moses smote that Rock, it watered the whole wilderness. Amen. Yes, sir. The only thing, everything they had need for, they just fell right down and drank, drank, drank till they were just filled up. Still, more water was a coming, about forty thousand gallon a minute. Figure it up, how many people, a million people, two million people could drink in a minute's time: thirsty people, besides the camels, and the animals, and things they had. And the Bible said, "It come forth in abundance." She just roared out through the wilderness.
192 That's the way Jesus Christ give the Holy Ghost, not just a little bit, to say, "Well, I believe I'll go and join the church." Oh, my. "Oh, I can't stand that noise. It gives me the shivers." If you ever die, you'd freeze to death if you got to heaven, 'cause, brother, you're going to hear some noise when you get there. The Bible said they're shouting hallelujah, day and night, all day, 'cause there's no night. That's right. You'll certainly die when you get to heaven, the second day after. Yes, sir. Well, you just... What you did, you just went and got moist, a little.
Won't you sit down by the gush, and let her pour down till it washes you out into the (Hallelujah.)--into the midst until you lose yourself and don't know where you're at.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]it is... That's the way you want to get it.
194 I used to tell my uncle and my daddy, "Oh, I can see swim." In this little pond up here on Utica Pike.
One day, dad went back and sit on a culvert, said, "I want to see you swim." The little pond was about that deep. I was standing on a soap box. I stripped off my belongings, and got on my nose like this, and sprang up-and-down on the soap box and hit, the mud flew both ways, and I begin to splash the mud.
I said, "How am I doing, dad?"
Said, "Get out of there." Swimming? Mud crawling, all the time.
We got a lot of mud-crawling church members too. That's right. That's right, mud-crawlers. Yes, sir.
One day, my uncle got me out in the boat and I was popping off about swimming, over here in the Ohio River, about twenty foot of water. He just took the oar and knocked me off in the water, said, "Now, what about it?" Amen. Hallelujah. I had to swim or drown then. Oh, my.
199 Might as well get used to it now. Get you out in the gusher, where God opens up the rock there in the wilderness and just poured it out. "Speak to the Rock," He said, "and it'll bring forth its water."
Maybe, my friend tonight, maybe you're perishing. You should speak to the Rock. That's right.
Maybe you've went everywhere. Maybe you've went to church, and joined the Methodist, and joined the Baptist; and they got mad at you, and went to Presbyterian; and back to the Pentecostals, over to the Nazarene, down at Pilgrim Holiness, and you still don't...?... understanding.
Why, don't you just speak to the Rock tonight. Just... Are you on speaking terms with Him. Yeah. He said, "Speak to the Rock, and it'll bring forth its waters." It'll bring forth His water, if you just... Don't have to hit Him anymore. Just speak to Him. Just on friendly terms speak to Him.
Maybe you've been to the doctor. Maybe you've done everything that you know how to do to try to get well. Maybe you've just done everything that's in your power nearly, and you can't get well. Every doctor you've went through every office you knowed how, and the doctor said, "You just... There's nothing can be done for you." Why don't you speak to the Rock tonight? He will... He's got waters of Life there for you, giving you Life more abundantly.
204 One time there was a woman in the Bible, by the name of Hagar. I'm thinking of her. And I'm fixing to close--the time. There was a woman by the name of Hagar, and she had a little baby. She was turned out in the wilderness, with one little cruse of water. She fed the little thing all day long. But the water give out, along about middle of the day, and the little baby was screaming and crying. His little lips was parched and his tongue was swelling. A poor fearing mother, what could she done? She had seined every little place she could to find some water, but no water could be found. She couldn't stand to see the baby die; so she laid it under a bush, and went off about a bow-shot.
And she knelt down and spake to the Rock. When she spake to the Rock, an Angel spake back and said, "Hagar, what's that gushing out over there?"
There was a whole well full of water, that's still running today. After almost four thousand years, it's still running today. The fountain which Hagar... there that, it's still running today. She spake to the Rock, and the Rock brought the waters.
207 There was some Hebrew children went in the fiery furnace one day, and they spake to the Rock. And the Rock was with them.
There was a woman come out from Samaria, one time. She was discouraged. She was sinful and had a lot of things hanging on her life, perhaps. And she was discouraged. She went to Jacob's well for relief, and she'd go back. She'd go to Jacob's well, and go back. And one day she set the water pot down, and was standing there, discouraged. And there stood the Rock standing by her. She spake to that Rock. He gave her a great gusher in her soul. She run into the city. She never come to draw anymore. She had Life. She said, "Come, see a Man that told me everything I ever done. Isn't this the Christ?" She spake to the Rock, and the Rock brought forth Its water.
There was a little woman who had wasted all of her money on doctors, quacks, who had taken all of her money. Couldn't stop the blood issue. She'd probably mortgaged her farm, and maybe sold it. And she was sitting, knitting one day, and she heard Something coming down the road. She spake to the Rock. The Rock turned around and said, "Who touched Me?" It was over when she spake to the Rock, He gave her a gusher of Life, that stopped the blood issue. It stanched, quickly.
210 There was an old, blind beggar standing by the side of the wall, one day, shivering in the cold. Everything he had was gone. And here he was, and miserable, and people passing by. He heard Something coming; said, "What is it?" And he spake to the Rock.
All those church members around him tried to stop him, said, There's no need. You can't get it. Stay away. Hold your peace."
But he cried the louder, "Thou Son of David, have mercy on me. Have mercy on me." And he spake to the Rock, and the Rock give him a gusher, and his eyes come open.
That same Rock that was in the wilderness is here today. It makes the people rejoice.
214 One day, all Jerusalem was standing out to see a Divine healer, a holy-roller, entering into the town; with a few people standing there, screaming to the top of their voice, "Hosanna, hosanna, to Him that cometh in the Name of the Lord."
That self-styled church members was out there with their long robes on, with their D.D.'s behind them; said, "Let them hold their peace. My, they make chills run up on my back, or so forth. Make them hold their peace."
He said, "If they hold their peace, the rocks will immediately cry out." Why was it? The very Rock that was hewed out of the mountain without hands, was coming, rolling into Jerusalem. The little rocks was drinking from It. "Speak to the rock, and It'll bring forth Its water."
217 If you need salvation tonight, speak to the Rock; It'll bring forth Its water. If you're a backslider tonight, speak to the Rock; It'll bring forth Its water. If you're here tonight, and without Christ, you've tried every church there is in town to find salvation, speak to the Rock; It'll bring forth Its water. You believe it? If you're a backslider, gone away from God, you think there's not a chance for you, just speak to the Rock, and It'll bring forth Its water.
You believe that, with all your heart? You believe that God would grant it? With all your heart, you believe it? Hallelujah. He's here tonight.
If you're sick, and you've tried everything in the world, you've tried to get in the prayer line, and you can't get in the prayer line; you've had prayer cards, and turned down; You've went to one meeting; you went to another meeting; you been anointed by the pastor; you've come through this prayer line. You've been everywhere else, and you can't get healed, why don't you speak to the Rock now? He will bring forth His water. That's right. Why don't you give Him a try once? Get on speaking terms with Him, right now, while He's in the building. His Presence is right here now to heal every one of you. I believe it. I know it with all my heart. I believe on. There's some things that I do not know, but there's some things that I do know. And I know that Jesus Christ the Son of the living God is right here.
221 While I'm even trying to make an altar call right now, in my heart, the visions are breaking all over the building right--right now. Oh, that's right. The powers of God is right here. That's right. I feel Him moving right here. It's begin to break me from one dimension to another, right now; 'cause there's sick people here, and their prayers is what's a doing it; to confirm the Word of God, saying He's right here to be spoke to tonight, the same Rock that stood and perceived their thoughts. He knowed where the woman was that was having the blood issue, and so forth. He's here now. If you'll speak to Him, He will bring forth His waters. Do you believe that with all your heart?
What do you think, lady, with the... right there in the center. Now, you don't have no prayer card, do you, the lady with the white thing around her neck, sitting right there? You have diabetes, don't you? You don't have a prayer card, do you? You don't need any prayer card. Do you believe that? Can you speak to the Rock? You want to speak to Him for your diabetes, right now? Stand up on your feet then. That right? Just say, "I accept Jesus Christ now as my Healer," and God will take you home and make you well. Speak to the Rock. God bless you. All right. Go, and be made well.
223 What do you think about it, setting next to her, lady? You have varicose veins in your legs, don't you? That's right. Stand up on your feet. Isn't that your husband setting next to you there? That right? You have diabetes too, don't you? Is that right? Put your hand over on your wife. All right. You both are from Illinois. Isn't that right? Now, you return back to Illinois, speaking to the Rock, and it'll leave you and never come back again. Hallelujah.
I know one thing, that the Rock is here, the Rock of Ages that was smitten in the wilderness. That's right.
What do you think about it, little lady there with them flowers on your hat, setting there with arthritis, trying to get over it? You that turned and looked the other way, do you believe with all your heart that God's going to heal you? Stand up on your feet then, and stomp your feet up-and-down, and say, "The arthritis is gone," and it's so. Speak to the Rock, and He will bring forth...?...
I tell you, Jesus Christ the same, yesterday, today, and forever. He's here to make manifest anything that...
227 What do you think about it, lady sitting there, said, "Praise the Lord," with that female trouble, with a little, green-looking jacket on, sitting there? Do you believe that God healed you then? Stand up just a minute, setting right there. You believe with all your heart? You got a female trouble. It's an abscess. You got a duct, some kind of a drainage comes from it. Isn't that right? If that's right, raise your hand. What's making me say that? It's the Rock speaking to you. Speak back to Him, and be made well. Hallelujah.
Oh, how He wants to bring His manifestations of His power. And I see the Angel of God, the very same Pillar of Fire that followed the children in the wilderness, moving through this building now.
229 I'm trying to locate a woman. She's praying. Where is she, here? Here He stands. Yes, it's a little woman standing right there, the second one setting in. No, she... It's about a man, standing. It's a drunkard husband that you're praying for. Isn't that right, lady? If it is, stand up on your feet right there. Haven't you got a drunkard husband you were praying for? If that's right, raise up your hand. Speak to the Rock, and God will bring him out of--of the thing.
230 God will do anything in here, if you want Him to do it. Do you believe it? Are you on speaking terms with Him? If you are, stand to your feet right now and speak to the Rock, and the Rock will bring forth His waters. Will you stand?
Who wants Him for salvation? Raise your hand, say, "I want Him to come in my heart." God bless you. God bless you. God bless you. God bless you, and you, and you, and you. Oh, my. Yes, sir.
That cancer left you there, my brother. It's gone. You can go home and be well now. Hallelujah. That's true.
All that wants to be healed, raise your hand, say, "Lord, I'm speaking to You. I'm speaking to You." That's right.
There He goes. Mister, your sinus left you there. You are free. Go home in Jesus Christ's Name; you're healed.
235 Anybody in here that wants to find Him now, raise up your hands and say, "Thank You, Lord, for healing me. I'm speaking to You in the Name of Jesus Christ, that You heal me."
O God, of mercy, send Your power tonight with the anointing of the Holy Ghost, while He's in this building now just sweep over this audience. And may the Holy Ghost perform every miracle. May there not be a sick or a crippled person left in the building tonight. May You heal every one, in Jesus Christ's Name.