Dieu A Une Voie À Laquelle Il A Pourvue

Date: 54-0404E | La durée est de: 1 heure et 47 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, mes amis. C’est un grand privilège d’être ici ce soir dans cet auditorium pour assister les enfants de Dieu, les malades et les affligés, venir en aide à ceux qui ne sont pas sauvés quant au salut. Et nous sommes désolé de ce que celle-ci soit notre dernière soirée dans cette campagne spéciale, les séries de ces réunions, mais nous aimerions certainement remercier tout un chacun parmi vous pour votre précieuse collaboration, pour tout ce que vous avez fait pour nous, nous accordant votre foi, ainsi que votre... tout ce que vous avez fait. Nous apprécions cela du fond de notre coeur. Seule l’éternité révélera combien nous apprécions cela.

2          Et nous aimerions témoigner notre reconnaissance à notre frère Cauble pour nous avoir parrainé ici dans cette ville et pour la précieuse collaboration que nous avons eue avec lui, son église et ses membres. Nous vous remercions vous tous qui êtes venus de différents endroits, de l’Indiana et des alentours, des Etats environnants. Cela n’a même pas été annoncé là-bas. Je pense que vous l’avez simplement fait savoir par courrier, d’une façon ou d’une autre, pour que ça se tienne ici. En effet, nous savons que nous n’aurions pas disposé de beaucoup de places dans cette église-là. Alors, nous nous sommes dit que si ça devenait vraiment catastrophique, alors nous pourrions peut-être nous retrouver une soirée ou deux dans l’auditorium.

3          Maintenant, nous sommes reconnaissant aux gens qui nous ont permis d’avoir cet auditorium ce soir ; en effet, nous apprécions cela, qu’ils nous aient ouvert cette salle pour ces réunions ce dimanche soir, pour la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ. Nous Le remercions.

4          Et maintenant, juste au moment où j’arrivais tout à l’heure, mon frère, Billy et certains d’entre eux se tenaient là dehors, ils m’ont dit qu’il y avait assez, suffisamment de fonds pour payer toutes les dettes. Ils ont payé les frais de location de l’église, le journal, les concierges de l’église, la musique, et toutes les annonces dans les journaux, les émissions à la radio. Tout a été payé, jusqu’à ce soir. Je pense qu’ils en ont eu assez, de sorte que cela a laissé l’offrande d’amour de ce soir disponible pour moi.

5          En effet, j’ai toujours essayé de sauvegarder, comme vous le savez, ma réputation en ce qui concerne l’argent. Nous ne faisons pas cela. Et s’il n’y en a pas assez pour financer des rubriques, alors, je vais prélever cela sur l’offrande d’amour. Et l’offrande d’amour, je ne prendrais même pas cela si je n’étais pas un homme pauvre et que je devais vivre comme le reste parmi nous le fait. Si je pouvais travailler et continuer à tenir ces réunions à travers le pays, je ne mentionnerais même pas l’offrande d’amour pour moi-même. Juste les dépenses à effectuer, c’est tout ce que nous réclamons. Et ce n’est pas seulement à Louisville, c’est à travers le monde. Tant que je serai en vie et que Dieu m’aidera, ça restera ainsi. Pas d’argent, je ne cherche pas l’argent. Je cherche à amener les gens à croire le Seigneur Jésus-Christ pour leur salut et pour leur guérison.

6          Et c’est à cette fin que vos dîmes et tout, que vous avez donnés cette dernière semaine, ont été affectés. Et le dimanche soir, généralement, ou la dernière soirée de la série des réunions, je ne sais quoi, une semaine ou deux semaines, dix jours ou je ne sais quoi, on–on prélève une offrande d’amour pour moi. Et s’il en reste quelque chose, c’est affecté directement aux oeuvres missionnaires à l’étranger. Peut-être que mon secrétaire et les autres qui s’occupent de l’argent et tout sont ici présents, ma femme et les autres ; ils savent que c’est la vérité. Et Dieu Tout-Puissant qui est notre Juge sait que c’est vrai. Ainsi donc, nous vous remercions pour tout ce que vous avez fait.

7          Maintenant, comme celle-ci est la soirée de clôture des réunions... Eh bien, demain, nous commencerons à Shreveport, en Louisiane, commencer là à l’auditorium municipal pour les réunions ; la prochaine série de réunions aura lieu là-bas.

8          Et puis, de là, nous irons à Denver, au Colorado, où les hommes d’affaires chrétiens de Denver nous parrainent là-bas dans une–une campagne. Et je crois que ce sera au Civic ou au City Auditorium, là ; il n’y a pas d’églises qui parrainent cela, juste les hommes d’affaires chrétiens.

9          Et puis, de là, nous irons à–à Edmonton, Alberta. Et puis, de là, à Grande Prairie, en Colombie-Britannique ; Dawson Creek ; jusque dans le territoire des Eskimo.

10        Et nous reviendrons encore dans les environs, pour recommencer ici aux Etats-Unis vers juin ; ça sera à Des Moines, dans l’Iowa, et nous irons aux terrains de camping des méthodistes, à Cedar Lake, à la convention, là ; et puis, on ira au Pacifique Nord-Ouest.

11        Et puis, de là, à Durban, en Afrique du Sud. Cette fois-ci, ce n’est pas mon choix, mes dispositions. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, d’aller en Afrique, en Inde, en Palestine, à Luxembourg, à Francfort en Allemagne, à Londres, et puis à Paris, et puis on reviendra à la maison.

12        Puis, de là, il nous faudra revenir vers janvier ou février, nous irons en Nouvelle-Zélande, en Australie, et à l’est.

13        Et je vais m’attendre à ce que les prières montent depuis Louisville, dans le Kentucky, pour soutenir cette série de réunions que nous allons tenir, cet itinéraire.

14        A l’un de ces moments, s’il m’arrivait de revenir même dans une année, il y en a beaucoup qui sont assis ici ce soir qui ne seront peut-être plus ici si moi, je suis épargné. Dans une assistance de cette taille, oh ! mille personnes ou plus, je ne sais combien, il y en aura–il y en aura beaucoup parmi vous qui seront partis. Alors, je vous rencontrerai, l’un de ces glorieux matins, à la résurrection, quand les saints (les rachetés), seront ramenés sur la terre pour le glorieux Millénium. J’espère passer l’éternité sans fin avec vous dans le Royaume de Dieu, que je représente ici ce soir.

15        Que Dieu vous bénisse tous. Je n’aimerais oublier personne. Les petites dames qui jouent la musique et, oh ! tout le monde, que Dieu vous bénisse.

16        Maintenant, il m’incombe ce soir de parler juste quelques minutes encore. Je ne sais à quelle heure il nous faut fermer l’auditorium. Mais, comme on a commencé bien à temps, à vingt heures trente, peut-être que je parlerai une heure et demie, et puis je commencerai la ligne de prière, prier pour les malades...

17        Et maintenant, vous les bien-aimés chrétiens ici, de Louisville au Kentucky, de Jeffersonville et de New Albany, l’un de ces jours, j’aimerais faire des annonces pour les réunions à l’échelle nationale et faire dresser une grande tente ici, qui offrira des sièges à plusieurs milliers de personnes, et tenir un réveil à l’ancienne mode. C’est ce dont, à mon avis, nous avons besoin à Louisville ; c’est d’un réveil envoyé de Dieu, à l’ancienne mode. Priez. Si c’est la conduite du Seigneur, je viendrai.

18        Maintenant, il y a deux ou trois campagnes de guérison en cours dans cette ville. C’est la raison pour laquelle nous n’en avons point fait une réunion à l’échelle nationale. Nous sommes juste venus à l’église de frère Cauble. Voyez? Nous ne sommes pas venus ici pour faire la compétition à ces autres frères. Nous ne croyons pas à la compétition dans la religion de Jésus-Christ. Nous sommes ensemble des frères, travaillant ensemble pour tout ce que nous pouvons, pour le bien du Royaume de Dieu, avec chaque église, tout le monde.

19        Nous pouvons être un peu en désaccord sur des idées, les prédicateurs, mais pas par rapport aux gens. Nous croyons toujours que le Sang de Jésus-Christ nous purifie de toute iniquité. Nous devenons fils et filles de Dieu en confessant nos péchés et en acceptant ce Sang, peu importe l’église dont on est membre. Nous croyons cela de tout notre coeur. Mes réunions sont toujours inter-évangéliques... ou interdénominationnelles. Nous espérons donc que Dieu vous bénira tous.

20        Or, quand on est dans une ville ou dans un bâtiment, principalement, nous ne sommes pas ici pour représenter la guérison divine. Nous ne mettons même pas en relief la guérison divine. Nous mettons en vedette Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et quand vous Le mettez en vedette, Jésus-Christ, vous mettez en relief la guérison divine. En effet, ce sont les attributs de Sa mort, ce qui nous accorde le salut et la guérison de nos corps.

21        Et il n’y a pas–pas de puissance en un quelconque homme, qui puisse guérir quelqu’un d’autre. La guérison a déjà été acquise au Calvaire. Et tout ce que nous pouvons faire, c’est montrer aux hommes là où le Sacrifice unique, tout-suffisant, a été offert par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Pour cela, nous ne faisons que regarder pour vivre. Dieu a frayé la voie, et nous L’acceptons.

22        Un prédicateur ne peut sauver personne ; il peut seulement prêcher l’Evangile, s’il est oint du Saint-Esprit, et montrer aux gens là où ils ont été sauvés. Ils ont été sauvés il y a mille neuf cents ans au Calvaire. Vous devez L’accepter comme votre Sauveur personnel maintenant pour tirer profit ou des dividendes de Sa mort et jouir des attributs de ce pour quoi Il est mort.

23        Or, c’est pareil pour la guérison divine: «Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris», tout le même jour, par le même Homme. C’est inséparable, ça va de paire, l’un et l’autre ; le Sang qui coula de Son dos et Celui qui sortit de Ses blessures, ça s’est mélangé et ça a coulé sur Ses pieds... Voyez, c’est ça. Le salut, la guérison, la paix, la satisfaction, la joie, tout ce dont nous avons besoin dans le pèlerinage sur terre, ça a été acquis au Calvaire. Dieu donnera à tout celui qui acceptera cela sur ces bases et qui croira cela de tout son coeur.

24        Maintenant: «Dieu a placé dans l’Eglise certains comme docteurs, d’autres comme apôtres, d’autres comme prophètes, les dons de guérison», et, oh ! différentes sortes de dons. Il a placé cela dans l’Eglise pour le perfectionnement de l’Eglise, le rassemblement de l’Eglise.

25        Et maintenant, les jours se sont écoulés depuis la première génération des apôtres. Ils avaient tous les neuf dons opérant dans l’Eglise. A la deuxième génération, ils ont commencé à se refroidir. A la troisième génération, c’était pratiquement tout terminé. Puis, ils ont connu les mille cinq cents ans des âges des ténèbres. Ensuite, la réforme a eu lieu.

26        Après la réforme est venue la sanctification ; après la justification est venu John Wesley, prêchant la sanctification. C’est là qu’apparurent Calvin, Knox, ainsi que tous ceux qui suivirent jusqu’à la pentecôte, les nazaréens, cet âge-là.

27        Et maintenant, nous entrons droit dans un autre glorieux âge ; on en arrive à l’Enlèvement de l’Eglise. Et avec ça, nous vivons au temps de la restauration des dons. Cela a achoppé beaucoup parmi les très bonnes églises ; cela a bouleversé les nazaréens ; ça a rendu fanatiques beaucoup de pentecôtistes. Néanmoins, malgré tout, Dieu avance directement, introduisant la foi de l’Enlèvement pour Son Eglise. C’est vrai. Ce soir, je représente donc cette foi-là, la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, sous forme d’un don divin.

28        En effet, à mon avis, les dons et les appels... Non pas à mon avis, mais la Bible déclare que les dons et les appels sont sans repentir. Il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. Vous ne pouvez pas faire que vous ayez des yeux bleus alors que vous en avez des bruns. Vous êtes juste ce que vous êtes, par la grâce de Dieu.

29        Vous ne pouvez même pas venir à Dieu si Dieu ne vous a pas premièrement appelé. Vous ne pouvez pas chercher Dieu si Dieu ne vous a pas premièrement cherché ni appelé. «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire.» C’est donc Dieu qui cherche. «Dieu a placé dans l’Eglise...»

30        Ainsi donc, depuis que j’étais un petit enfant, né ici dans cet Etat du Kentucky, j’avais des visions tout comme–comme je mangeais ou n’importe quoi d’autre. C’est juste selon la volonté de Dieu, c’est Lui qui y pourvoit. J’exécute simplement ce qu’Il m’ordonne.

31        Certainement, j’ai beaucoup de critiqueurs. Je connais beaucoup de gens qui ne croient pas cela. Advienne que pourra, ils ne croiraient pas cela de toute façon. Je m’attends à avoir cela.

32        Et si je n’avais pas cela, je m’agenouillerais à l’autel quelque part et je dirais: «Bien-Aimé Seigneur, qu’est-ce qui cloche chez moi? Car tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés.» Exact. Nous devons avoir cela. C’est vrai.

33        De même, Jésus avait cela. Il a dit, si... Quand Il pouvait être là devant Son assistance, et savoir ce qui les gens... clochait et s’ils étaient guéris ou pas. On L’a touché avec la–la foi. Quand Il s’est retourné, Il a demandé: «Qui M’a touché?» Il a dit: «Ta foi t’a sauvée. Maintenant, ta perte de sang s’est arrêtée. Ta foi t’a guérie.»

34        Une fois, une femme est venue auprès de Lui, ou plutôt Il se tenait là où elle était, à la piscine, ou à l’abreuvoir, au puits, au puits de Jacob. Alors, une femme est venue, et Il a engagé une conversation avec elle pendant quelques instants jusqu’à ce qu’Il a découvert son problème ; Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

35        Lui, alors qu’Il était là, Il savait où était un poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche. Il savait où il y avait deux ânes attachés, à un carrefour. Il savait où il y avait un homme qui portait une cruche. Il connaissait beaucoup de choses. Il connaissait Philippe quand il est venu vers Lui, qu’il était en train de prier avant de venir, sous un arbre ; il savait qu’il était un homme de bien, un homme juste.

36        Mais Il a dit en Ses propres termes: «Je ne peux rien faire de Moi-même avant que le Père Me montre quoi faire.» Que tous ceux qui croient ce passage de l’Ecriture disent: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est cela, Saint Jean 5.19

37        Il est passé à côté d’un grand nombre, deux ou trois mille personnes là, des estropiés, des gens aux membres tordus, des infirmes, des boiteux, des aveugles, des paralytiques, Il était plein d’amour et de compassion. Il est passé directement à côté de chacun d’eux, Il a guéri un homme qui souffrait d’une petite maladie du genre... Oh ! Je ne sais pas, il était peut-être sujet à un gros rhume, à ce que je sache. Cela, il en avait souffert pendant trente-huit ans. Cela n’allait pas lui faire du mal ni le tuer ; cela avait duré. Et Il a guéri cet homme-là, Il s’en est allé, laissant ce grand nombre couché là. Et puis, quand Il fut interrogé, Il a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même, Je ne fais que ce que Je vois faire au Père.»

38        Maintenant, parfois, les gens veulent qu’Il fasse le clown avec cela, après qu’ils eurent vu qu’Il avait cette puissance-là. Ils le Lui ont demandé. Hérode Lui a dit: «Fais pour moi un miracle. Laisse-moi Te voir faire quelque chose.» Et il Lui a demandé de parler de Lui-même. Il s’est tenu là comme un muet devant ceux qui Le tondaient, comme une brebis muette devant ceux qui la tondent.

39        On Lui a mis un lambeau autour de la tête un jour ; une bande de soldats critiqueurs L’ont frappé à la tête et ont dit: «Maintenant, si Tu es un Prophète, si Tu connais toutes ces choses, et tout, dis-nous qui T’a frappé. Accomplis pour nous un miracle.»

40        Quand Satan L’a d’abord rencontré, Satan a dit: «Maintenant, si Tu fais un miracle pour moi, je croirai que Tu es le Fils de Dieu. Change ces pierres en pain. Laisse-moi Te voir faire cela.» Jésus lui a directement répliqué en lui citant l’Ecriture.

41        Et puis, chaque fois, Satan voulait Le voir faire un miracle. Les gens qui sont possédés de Satan veulent Le voir: «Fais quelque chose pour moi. Laisse-moi Te voir guérir celui-ci. Laisse-moi T’égratigner la main et Te voir guérir cela, alors, je croirai en Toi.» Vous y êtes. Le même mauvais esprit qui avait dit: «Descends de la croix maintenant et nous croirons en Toi. Tes mains sont clouées là-haut. Tu appelles Elie, qu’on le voie venir Te délivrer maintenant. Si Tu as trouvé tant de grâce auprès de Lui, auprès de Dieu, voyons-Le Te délivrer. Descends de la croix et nous croirons en Toi. Fais un miracle devant nous.»

42        Les miracles ont toujours rendu les incroyants perplexes. Mais malgré tout, notre Père céleste est un Dieu qui opère des miracles. C’est ça. Partout où Il est, toujours, quelque soit Son ministère, là où Il a exercé Son ministère, il y a eu des signes, des prodiges et des miracles.

43        Maintenant, que le Seigneur vous bénisse, pendant que je lis un passage des Ecritures ici pour quelques instants, et ensuite nous allons commencer le service, puis aborder directement le service de guérison.

44        Maintenant, regardez. Jésus, quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Maintenant, vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage (ou de plus grandes), car Je m’en vais au Père. Maintenant, encore un peu de temps (Je cite Jésus), encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde»: Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.

45        Combien de chrétiens y a-t-il ici ce soir qui croient de tout leur coeur que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est vivant ce soir? Faites voir les mains. Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, n’accomplira-t-Il pas ce soir dans Son Eglise la même oeuvre qu’Il avait accomplie dans Son Eglise, quand Il était ici sur terre, dans la chair? Voyez? C’est juste... Le Saint-Esprit est l’Esprit de Jésus-Christ. Il est ici sous forme spirituelle, tout aussi vivant qu’Il l’était donc autrefois, ici, vivant en nous, accomplissant des oeuvres qu’Il accomplissait quand Il était ici sur terre, pour confirmer qu’Il est avec nous. «Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Que le Seigneur vous bénisse.

46        Prions. Père céleste, ce soir, tire gloire, Père céleste, de nos efforts que nous essayons de fournir pour Ta gloire. Maintenant, Ta Parole est ici sur la chaire, ouverte. Mais qui peut La comprendre? Alors qu’Elle est écrite par inspiration, qu’il est promis qu’Elle a été cachée aux yeux des sages et des intelligents, et qu’Elle serait révélée aux enfants qui veulent apprendre, maintenant, Père, nous Te prions de nous considérer comme des enfants qui ne savent rien afin que nous puissions apprendre quelque chose par la révélation du Saint-Esprit. Puisse-t-Il prendre la Parole de Dieu maintenant et L’apporter à chaque coeur selon que nous en avons besoin. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

47        Dans Genèse... Il fait juste un peu chaud ici à l’estrade, je pense que c’est aussi le cas là dans l’assistance. Que les concierges veuillent bien alimenter juste d’un peu d’air frais dans la salle, afin que les gens se sentent juste un peu mieux. J’en vois parmi eux qui s’éventent.

48        Maintenant, dans Genèse, chapitre 22, j’aimerais attirer votre attention sur quelques paroles ici, juste à la fin de cette série de réunions, sur l’Evangile. J’aime toujours dire, ou lire une portion de la Parole ici, car cette Parole ne passera jamais. Elle est éternelle, pour toujours.

49        Et s’il me fallait intituler le texte de ce soir, j’aimerais parler sur: Dieu a une voie à laquelle il est pourvu. Il a pourvu à une voie pour s’approcher de Lui. Il a pourvu à une issue. Il a pourvu à une voie pour tout ce dont nous avons besoin. Si seulement nous arrivons à trouver cette voie à laquelle Dieu a pourvu, alors nous sommes sûrs de réussir. Si Dieu...

50        Si cette salle a été pourvue ici pour prendre soin de... pour nous abriter contre la pluie, dès que nous entrons dans la salle, alors nous sommes à l’abri de la pluie.

51        Si Dieu a pourvu à une voie pour le salut, et que nous pouvons trouver cette voie à laquelle il a été pourvu, nous pouvons avoir le salut. Si Dieu a pourvu à une voie pour la guérison divine, qu’ensuite nous pouvons trouver, suivre cette voie-là, nous trouverons la guérison divine. S’Il a pourvu à la paix pour ceux qui sont instables, qu’ensuite nous suivons cette voie-là et que nous trouvons la voie à laquelle Il a pourvu, nous pouvons avoir la paix.

52        Maintenant, lisons à partir du verset 7 du chapitre 22. Remarquez ceci maintenant, c’est une grande histoire dramatique ici devant nous.

Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: ... père! Et il répondit: Me voici, mon fils ! Isaac reprit: Voici le feu et le bois ; mais où est l’agneau pour l’holocauste?

Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste...

53        Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de cette Parole. Je peux aussi lire, en réponse à cela, le verset 14.

Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.

54        Jéhovah-Jiré, c’est le Nom Rédempteur de Dieu. Dieu, le mot Jéhovah-Jiré veut dire Dieu se pourvoira d’un sacrifice. Dieu frayera une voie, en d’autres termes. Or, Dieu a sept Noms composés de la rédemption: Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Manassé, Jéhovah-Rapha, le Guérisseur, ainsi que tous ces autres Noms composés qu’Il avait, ce qu’Il était, représentant ce qu’Il était envers les gens. Et ce sacrifice auquel il est pourvu ce soir, Jéhovah-Jiré, l’Eternel se pourvoira d’un agneau.

55        Il y a là devant nous une grande histoire dramatique, alors que–alors que nous évoluons maintenant, que le Saint-Esprit prenne ces quelques paroles qui vont suivre et engage chaque coeur.

56        Maintenant, c’est la dernière soirée de la série de réunions. J’aimerais que chacun de vous m’accorde toute son attention et écoute attentivement maintenant. Nous essayons d’en faire la plus grande victoire de la série de réunions. Ceci est la dernière soirée. Généralement, il y a plus de gens guéris la dernière soirée que dans le reste des réunions: leur attente est grande.

57        Satan combat plus durement. Tout va mal, apparemment, car Satan essaie de maintenir les gens tendus et tout le reste, afin qu’il puisse leur priver ce grand moment d’effort que nous allons entreprendre maintenant, pour la grande, comme nous le dirions, mise à mort de l’heure.

58        Il a déjà été coincé. Il a été exposé, et toutes ses manoeuvres sont exposées. Des hommes et des femmes ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur. Les gens qui souffraient de cancer, de tumeurs et–et tout le reste ont été guéris: Des déclarations médicales prouvent que c’est la vérité.

59        Maintenant, il y a ici un groupe de gens, assis ce soir, assis, attendant avec une grande expectative. Et Satan, s’il peut interrompre votre pensée, c’est tout ce qu’il a à faire. Mais consacrons-nous maintenant, à la grande tuerie, maintenant même, pour chasser Satan et toutes ses puissances de cette salle, afin que Dieu puisse avoir le droit de passage et qu’Il guérisse chaque malade, pour la gloire de Dieu.

60        Eh bien, Abraham le patriarche est venu de Schinear, de la tour de Babel. Son père et lui ont voyagé dans les–les plaines. Et là, Abraham, à l’âge d’environ soixante-quinze ans, Dieu l’a appelé par élection et lui a demandé de sortir de son propre pays. Il lui a annoncé qu’il aurait un enfant de sa femme Sara, qui avait soixante-cinq ans en ce temps-là. C’est Dieu qui avait promis.

61        J’aimerais que vous voyiez combien les promesses de Dieu sont très réelles pour ceux qui accepteront cela. Il lui a dit ce qu’Il allait faire. Il est sorti sans savoir où il allait, mais il a séjourné dans un pays étranger.

            Dieu, quand Il appelle les gens, Il exige une totale séparation d’avec toutes les choses du monde, une annihilation des choses mondaines. Séparez-vous, et Dieu vous bénira. Sortez du milieu d’eux ; ne prenez pas part à leurs péchés. Ne vous mettez pas sous le même joug avec les infidèles, mettez-vous sous le même joug avec les croyants, les concitoyens du Royaume.

62        Et Abraham a eu à prendre sa femme et à quitter le pays. Mais il crut en Dieu par la foi. Il ne pouvait pas résoudre cela par la raison. Il n’y a aucun moyen de trouver comment il a donc pu s’y prendre. Comment cette femme... Il avait vécu avec elle depuis qu’elle était une jeune fille ; tous les deux avaient été de jeunes gens, des gens en bonne santé, tous ces jours-là, jusqu’à ce qu’elle eût alors atteint quarante, cinquante, soixante, probablement qu’elle avait atteint la ménopause ça faisait vingt-cinq ans... Et Dieu a dit: «Tu vas avoir un enfant de cette femme.» Et Abraham crut Dieu, contrairement à tout raisonnement, contrairement à toute recherche scientifique, même jusqu’à ce jour. Comment une femme de soixante-cinq ans pouvait-elle avoir un enfant? Mais Dieu avait dit qu’elle allait l’avoir, Abraham crut donc cela.

63        Il est donc sorti, sans savoir où il allait. Et finalement, après que Sara eut atteint pratiquement cent ans, Abraham croyait toujours (J’aimerais que vous voyiez cela), croyait toujours que Dieu tiendrait Sa promesse, il avait pris toutes les dispositions pour l’enfant. Et finalement, le petit enfant est arrivé. C’est ainsi que Dieu s’y prend toujours. Il a fait venir le petit enfant juste au moment convenable.

64        Voyez, plus cela traînait, plus Abraham comprenait: «Eh bien, je ne l’ai pas eu aujourd’hui. Je ne l’ai pas eu ce mois-ci. Je ne l’ai pas eu le mois passé. Mais peu importe combien cela dure, plus ça dure, plus je vieillis, plus le miracle sera grand», rendant gloire à Dieu pour cela.

65        Au lieu de s’affaiblir comme nous le ferions: On a prié pour vous ce soir, et vous êtes guéri ; puis, vous avez dit que votre situation avait empiré le lendemain. Vous dites: «Oh ! Eh bien, il n’y a rien là.» C’est le raisonnement ; vous ne pouvez pas garder la Parole de Dieu.

66        «J’ai caché Ta Parole dans mon coeur, ô Seigneur», dit David. Cachez la Parole de Dieu dans votre coeur, et alors, Dieu tiendra cette Parole-là. Dieu doit tenir Sa Parole. Dieu n’est pas tenu de guérir quelqu’un pour prouver Sa puissance. Mais Il doit guérir pour tenir Sa Parole. C’est vrai. Dieu n’a pas à prouver quoi que ce soit. Il est Dieu. Mais ce qu’Il dit, Il est tenu à Sa Parole. Vous et moi aussi, nous sommes tenus à notre parole. Et Dieu est tenu à Sa Parole.

67        Si donc la guérison divine est dans la Parole, c’est réglé. S’Il a été blessé pour nos péchés, et que c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris, que c’était là le sacrifice, alors c’est réglé. En ce qui me concerne, c’est tout. Si Dieu l’a fait là-bas, Il a promis qu’Il le fera ; c’est réglé.

68        C’était pareil pour Abraham. Advienne que pourra, Abraham croyait cela de toute façon. Peut-être qu’il avait tout apprêté pour le petit enfant, puis Dieu l’a laissé aller jusqu’à atteindre cent ans, Il les a rajeunis, lui et Sara, en un jeune homme et une jeune fille. Il leur a donné l’enfant.

69        Quel beau tableau nous avons maintenant là devant nous à l’étude ! Voici l’enfant, il atteint l’âge d’environ seize ans, dix-sept ans, le coeur même de ce vieil homme et de cette vieille femme ; tendre, le petit garçon.

70        Eh bien, un soir, Dieu parla à Abraham, disant: «Abraham, amène-le là-haut sur la montagne et offre-le. Immole-le.» Et pourtant, Dieu avait promis à Abraham que toutes les nations du monde seraient bénies en Isaac. Comment va-t-il maintenant, après toutes ces années d’attente, de foi, et maintenant après que tout ce temps s’était écoulé, comment cet enfant était... l’unique espérance de la promesse de Dieu, et Dieu dit à Abraham de détruire toute l’espérance qu’il avait encore.

71        Voyez-vous comment Dieu s’y prend? L’épreuve, Dieu permet des fois que votre état empire un peu, après qu’on a prié pour vous, afin de vous tester. Les tests et les épreuves de la foi, mais: «Celui qui persévérera...» Ça y est. Tenez ferme ; prenez Dieu au Mot. Croyez-En chaque Parole. Quoi qu’on dise ou qu’on fasse, croyez-le de toute façon. Peu importe les circonstances, croyez Dieu de toute façon.

72        Alors, Dieu dit là: «Prends le jeune homme et amène-le là, Je vais bénir le monde entier par lui. Tu as attendu toutes ces années ; maintenant, tu as cent ans, environ cent seize, cent dix-huit. Maintenant, Je veux que tu prennes le jeune homme, que tu l’amènes sur une colline, là, et que tu l’immoles.»

73        Oh ! la la ! Cela parut très étrange, irréfléchi, que Dieu ait demandé à Abraham de détruire son fils unique. Mais derrière cela donc, nous voyons le tableau qu’Il était en train de peindre: Dieu livrant Son Fils unique.

74        Abraham n’a pas voulu l’annoncer à la maman, évidemment ; cela lui aurait brisé le coeur. Il a sellé quelques ânes, il a pris quelques serviteurs, ils ont chevauché vers la montagne.

75        J’aime vraiment cette partie ici. Puis, il monta là où était la montagne, et il dit au serviteur: «Attendez donc ici, pendant que moi et le jeune homme, nous allons là pour adorer. Moi et le jeune, nous reviendrons.»

76        Comment va-t-il revenir, alors qu’il va l’immoler? Mais Abraham savait ceci, qu’il l’avait reçu comme un type, comme quelqu’un venant d’entre les morts, et Dieu était capable de le ressusciter d’entre les morts. Dieu frayerait une issue, d’une certaine façon. Comment? Il ne le savait pas. Dieu lui a dit: «Amène-le et immole-le.» Et c’était tout ce qu’il devait faire.

77        «Attendez ici. Le jeune homme et moi, nous irons là pour adorer, et le jeune homme et moi, nous reviendrons.»

78        Remarquez, le petit Isaac a pris le bois, il a gravi la colline, le père conduisait, Isaac était derrière, avec le bois sur son dos. Regardez ça, c’est un beau tableau de ce qui arriverait huit cents ans plus tard: Dieu conduisant Son propre Fils au Calvaire avec du bois sur le dos pour le Sacrifice. Un tableau, Dieu frayant une issue...

79        Eh bien, quand Abraham est arrivé au sommet de la montagne, il a rassemblé les pierres, il a dressé l’autel, il a disposé le bois. Le petit garçon a dit: «Papa?»

80        Il a dit: «Me voici, fils.»

            Il a dit: «Voici l’autel, et voici le bois, mais où est l’agneau pour le sacrifice?»

81        Et Abraham, d’une voix tremblotante, a dit: «Dieu se pourvoira d’un agneau pour le sacrifice.» Regardez le moment sombre. Mais la foi pure ne pouvait pas lui faire douter de Dieu. Remarquez. Oh ! Parfois, je considère simplement cette histoire et je pleure de joie.

82        Abraham a lié les mains de son propre fils, il l’a déposé sur l’autel, il a dégainé le couteau, prêt à ôter la vie à son fils, car Dieu le lui avait ordonné.

83        Et à ce moment-là, une Voix retentit du ciel, disant: «Abraham, retiens ta main.» Et quand le Saint-Esprit eut retenu sa main, Il dit: «Je vois que tu n’as pas épargné ton propre fils. Je sais que tu M’aimes.»

84        Et en ce moment-là, quelque chose se mit à bêler là dans le désert, c’était retenu là-bas, il y avait un petit bélier. Dieu s’est pourvu d’un sacrifice.

            Observez, un bélier ; ça devait être un mouton, un mâle, un bélier: le type de Christ, qui prendrait la place de la mort. C’est là le Sacrifice auquel Dieu a pourvu. Et Abraham offrit le sacrifice à la place d’Isaac. Quel beau tableau là !

85        Remarquez. Dieu a toujours frayé une issue. Il frayera une issue ce soir pour chacun de vous.

86        Et Israël, quand ils étaient en Egypte, ils étaient dans la servitude et ils avaient des ennuis, alors ils se mirent à crier à Dieu pour la délivrance. Remarquez: comment Dieu va pourvoir, c’est quand nous sommes dans la Parole de Dieu. Israël avait la Parole de Dieu selon Laquelle ils sortiraient de là un jour. Ils se mirent donc à crier à Dieu, conformément à la volonté de Dieu, pour que Dieu pourvoie à ce qu’Il avait promis de faire.

87        Vous y êtes. Si vous priez pour quelque chose en dehors de la volonté de Dieu, vous ne pouvez pas avoir la foi pour cela. Mais quand Dieu promet quelque chose, je crois qu’Il tiendra Sa Parole. Ils le savaient aussi.

88        C’est la raison pour laquelle Abraham savait que Dieu le délivrerait d’une façon ou d’une autre, c’est qu’Il avait promis que, par Isaac, toutes les nations du monde seraient bénies.

89        Les enfants d’Israël, là en Egypte, savaient que Dieu leur avait promis la délivrance, aussi se mirent-ils à prier pour la promesse.

90        Vous dites: «Frère Branham, si je savais que la guérison divine, Dieu l’a promise !»

91        Très bien, considérons cela juste un instant. Jacques 5.14. S’il n’y a pas de campagne de guérison divine quelque part dans la ville, Il a dit: «Si quelqu’un parmi vous est malade, qu’il appelle les anciens de l’église, qu’ils l’oignent d’huile et qu’ils prient pour lui. La prière de la foi sauvera le malade.» C’est la Parole de Dieu, c’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. C’est exact.

92        Remarquez, aussitôt qu’Israël s’est mis à crier, Dieu a entendu, et Il a pourvu à une issue: Il leur envoya Moïse. Combien c’était étrange, après qu’ils eurent réclamé la délivrance ! Et quand la délivrance leur fut accordée, ils manquèrent de reconnaître cela, ils rejetèrent cela et ils durent souffrir quarante autres années.

93        N’est-ce pas le type d’aujourd’hui? Dieu vous accordera quelque chose et vous, vous allez en avoir peur.

94        Dieu vous a envoyé le Saint-Esprit, vous qui ne voulez pas toute cette église formaliste, ces religions ritualistes. Dieu vous a envoyé le Saint-Esprit ; de grands groupes parmi eux ont peur de Cela.

95        Une nuit, les disciples étaient sur le point de sombrer à bord d’une petite barque qui tanguait sur la mer, ils ont crié au secours. Et quand ils ont vu venir l’unique Homme qui pouvait arrêter les vagues, ils ont eu peur de Lui et ils ont pensé qu’Il était un fantôme. L’unique espoir qu’ils avaient, ils en ont eu peur.

96        Il y a des hommes et des femmes assis ici ce soir, souffrant du cancer, souffrant du coeur, des maladies dangereuses, sans doute. Et l’unique espoir qui vous reste, après que le médecin a déjà fait tout son possible, vous avez simplement peur de tendre la main et de Lui faire confiance.

97        N’ayez pas peur. Recevez Sa Parole. Tenez-vous juste là. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour vous. Dieu vous a envoyé ici ce soir dans ce but-là. Il ne vous a jamais envoyé ici ce soir pour que moi, je prie pour vous. Il vous a envoyé ici ce soir pour accepter la Voie à laquelle Il a pourvu: Jésus-Christ, le Sacrifice expiatoire pour le péché et la maladie. J’espère que vous comprenez cela.

98        Remarquez, ils ont réclamé la délivrance. Dieu leur a envoyé la délivrance. Ils ont dû attendre quarante autres années pour recevoir cela.

99        Dans le désert, Dieu avait promis qu’Il pourvoirait à tout ce dont ils auraient besoin. Ils étaient à court de pain. Et le même Jéhovah-Jiré, le Dieu qui avait pourvu à un sacrifice pour Abraham, quatre cents ans plus tard, Il était toujours Jéhovah-Jiré pour pourvoir à tout ce dont Ses enfants avaient besoin.

100      Ça y est. J’aimerais que cela entre profondément du côté gauche, sous la cinquième côte. Ecoutez. Il est toujours Jéhovah-Jiré, l’Eternel s’est pourvu d’un Sacrifice. Acceptez Cela. N’essayez pas du tout de raisonner là-dessus. N’essayez pas de raisonner. Vous ne le pouvez pas. Les voies de Dieu dépassent tout entendement. On ne raisonne pas sur Dieu. On ne Le connaît pas par la connaissance. On ne Le connaît pas par l’instruction. On Le connaît par cette unique chose: la foi. On ne peut pas raisonner. C’est irréfléchi de croire que vous pouvez résoudre cela par la raison. On ne le peut pas. On doit simplement accepter cela.

101      Remarquez, une fois de plus, en ce moment très critique, ils étaient à court de pain. «Qu’allons-nous faire?» Si Dieu leur avait dit qu’ils iraient à la Terre promise, c’était à Dieu de prendre soin d’eux jusqu’à ce qu’ils y arrivent. Et le même Jéhovah-Jiré était juste avec eux. Et alors, quand ils furent à court de pain, Jéhovah-Jiré pourvut à un moyen pour le pain. D’un bout à l’autre du désert, la manne tombait du ciel.

102      Ils furent à court d’eau. A quoi bon s’inquiéter? Jéhovah-Jiré, l’Eternel qui s’était pourvu d’un sacrifice, était juste avec eux. Et il a frappé le rocher. Ils lui parlaient depuis lors, et les eaux jaillissaient en abondance, abreuvant tout leur bétail, des milliers de gallons par seconde, coulant en abondance d’un rocher dans un désert aride. C’est irréfléchi, n’est-ce pas? Mais Dieu avait pourvu. Vous ne raisonnez pas sur la façon dont Il s’y prend. Il le fait simplement parce qu’Il a dit qu’Il le ferait.

103      Comment les patients couchés, mourant de cancer, les meilleurs docteurs disent qu’il n’y a pas du tout d’espoir, comment peuvent-ils se rétablir? C’est irréfléchi. Mais Il est Jéhovah-Jiré, l’Eternel s’est pourvu d’un sacrifice. Oh ! comme c’est beau !

104      Un jour, la maladie avait frappé le camp. Ils n’avaient probablement pas de médicaments ni de traitements. Quel était... Moïse était là avec tout ce groupe de gens, environ deux millions d’entre eux, jeunes et vieux, malades et tout ; quand ils sont sortis du désert, il n’y avait personne de faible parmi eux. Mais maintenant, remarquez. Quand ils étaient là-bas, ils ont péché, les serpents se sont mis à les mordre, il n’y avait rien qu’ils pouvaient faire. Et Dieu, pendant qu’il... Moïse Lui parlait, Il a pourvu à une expiation ; Il a dit à Moïse: «Va prendre un morceau d’airain. Fais-en un serpent et place-le sur une perche. Et quiconque regardera ce serpent sera guéri.»

105      C’est encore un beau type, l’airain ; le serpent lui-même représentait le péché déjà jugé. Eden, quand Dieu prononça le jugement sur le serpent, cela a été déjà jugé.

106      L’airain représente le jugement divin, sur l’autel d’airain, là où les corps des animaux étaient brûlés. Après que le sang fut retiré, chaque neuf heures du matin, douze heures et quinze heures, des gallons de sang étaient déversés sur cet autel, sur des corps de bêtes mortes, une fumée noire s’élevait. Chaque Juif en Palestine tombait sur ses pieds, les mains levées vers le ciel, et pendant que cette fumée montait, ses prières montaient avec elle. Très bien. Le jugement divin ; les corps brûlaient sur un autel d’airain.

107      Juste comme en Israël, quand Achab avait amené Israël à pécher ; Elie est sorti regarder les cieux ; trois ans et six mois, sans pluie. On lui a dit: «Cela a l’aspect de l’airain», le jugement divin.

108      Dans Apocalypse, quand on a vu Jésus, dans Apocalypse 1: Ses pieds avaient l’aspect de l’airain ; le jugement divin.

109      Le serpent représentait le jugement divin, pour apaiser Dieu. Ses jugements sont divins. Et puis, la perche représentait la croix. Et le serpent représentait Jésus, le Tendre Seigneur Jésus ; Il est descendu, Il a été fait péché. Dieu Lui-même s’est révélé dans un corps, rendu semblable au corps du péché, pour ôter la maladie et le péché du monde. Oh ! que c’est beau ! Par là, Il fraya une issue. Jésus a dit: «De même que Moïse a élevé le serpent d’airain dans le désert, il faut que le Fils de l’homme soit élevé.»

110      Or, pourquoi le serpent d’airain a-t-il été élevé? Pour une double raison. Ils avaient péché et ils étaient tombés malades. Eh bien, alors Jésus fut élevé, Il fut blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris: une double raison. Et ce soir, pour Christ, c’est toujours tout aussi réel de guérir les malades que de sauver les pécheurs.

111      C’est plus un miracle pour Lui de sauver un pécheur ; Il doit changer sa voie. Et certainement, après qu’il est déjà changé, il saura comment croire en Dieu pour sa guérison. Voyez-vous ce que je veux dire?

112      Un autre beau type, rapidement ; il m’est arrivé d’y penser tout à l’heure. Dans le Livre de Ruth... Beaucoup parmi vous passent par-dessus ce Livre, ils ne réfléchissent pas, sans réfléchir à ce que c’est. C’est l’une des histoires les plus glorieuses là-dedans, sur un type de Christ, de tout l’Ancien Testament.

113      Au premier chapitre du–du Livre de Ruth, Naomi... Le mot Naomi veut dire doux. Elle, son mari et ses deux fils, ils avaient quitté la Palestine, un type de l’église. Ils avaient quitté la Palestine, ils sont allés dans le pays de Moab. Là, ils ont établi leur demeure loin de la patrie. C’est le... un symbole de l’état de rétrograde, comme Israël l’avait fait. Tout Juif qui quittait la Palestine était en dehors de la volonté de Dieu. Dieu avait donné la Palestine aux Juifs, et Il leur avait dit: «Restez ici.» Et Ruth était sortie, ou plutôt pas Ruth, mais Naomi.

114      Puis, ses deux fils s’étaient mariés. Tous les hommes moururent: son mari et les deux fils. Elle s’est mise en route vers sa patrie. Ses belles-filles firent une partie de la route avec elle. L’une leva les yeux et regarda la patrie, elle y retourna. Mais Ruth la Moabite, elle ne voulut pas rentrer. Elle aimait sa belle-mère.

115      Elle a dit: «Rentre auprès de ton propre peuple, je suis vieille. Et si j’avais d’autres enfants, eh bien...» Vous connaissez les lois, comment ça devait se passer à l’époque, vous les érudits de la Bible. Elle a dit: «Si j’avais un enfant, ça serait... tu serais trop vieille pour lui quand il aura grandi. Rentre donc, tu peux te remarier.» Oh ! J’aime ça !

116      Naomi, là, le type de l’Eglise juive ; Ruth, le type de l’Eglise des nations... Remarquez. Et alors, la voici revenir. Voyez?

117      Ruth, étant des Nations, une adoratrice païenne, elle regarda de nouveau et dit: «J’irai avec toi. Là où tu vivras, je vivrai. Là où tu mourras, je mourrai. Là où tu seras ensevelie, je serai ensevelie. Ton Dieu sera mon Dieu.» C’est l’Eglise des Gentils qui accepte le salut par Jésus-Christ, notre Seigneur. Remarquez, quel beau tableau ! Et j’aurais voulu disposer du temps maintenant.

118      Dans Ruth, chapitre 2, on révèle le temps où elle retourne ; quand elle revient, c’est juste au temps de la moisson, à la saison de l’orge. Et quand elle a vu, elle a regardé la patrie, elle a pleuré: «J’ai ardemment désiré entrer en Palestine.» Voyez? Elles pleuraient en voyant la patrie.

119      Ces Juifs qui, par milliers, affluent en Palestine, c’est le calendrier du jour, frère.

120      Je vous assure, nous vivons au bout de la route. Je ne serai pas du tout surpris qu’il y ait beaucoup de gens assis ici, avancés en âge, qui verront le temps où il ne restera pas pierre sur pierre à Louisville dans le Kentucky. Ça peut arriver dans une autre année. Je ne sais pas ; je ne dis pas que j’ai indiqué une année. Je ne sais pas ; personne ne le sait. Mais nous sommes au bout de la route. Je le sais. Ces bombes à hydrogène et autres sont prêts à exploser à tout moment.

121      Les Juifs rentrent à Jérusalem. L’étoile de David à six pointes, le plus ancien drapeau du monde, flotte sur Jérusalem, pour la première fois depuis deux mille ans: un signe du temps.

122      Et remarquez, tout comme Naomi qui avait perdu tout ce qu’elle avait, et qui retournait juste à la saison de l’orge...

123      Et aujourd’hui, la Palestine bourgeonne comme une rose. On y trouve quelques-unes des choses les plus importantes, des richesses de tous les pays du monde ; des produits chimiques qu’on trouve dans la mer Morte ne peuvent pas être évalués. La Palestine, le pays de cédrats les plus gros, des citrons qui peuvent peser cinq livres [2 kg] la pièce pratiquement, s’est levée là. Pensez-y, tout cela accomplit la Parole divine de Dieu. A leur retour à la maison, les Juifs rentrent à la période de l’orge.

124      Elle a levé les mains et elle a pleuré. Et les gens ont dit: «Voici venir Naomi.»

125      Elle a dit: «Ne m’appelez plus Naomi, car Dieu a traité amèrement avec moi», sans savoir ce qu’elle ramenait avec elle. Les Juifs savent à peine que le fait pour eux d’avoir rejeté Jésus a donné l’occasion aux Gentils d’entrer. Oh ! J’aime vraiment cela ! Remarquez, alors, quand elle a levé les yeux et qu’elle a pleuré...

126      Et remarquez, on a donc dû obtenir... Tout son héritage lui avait été arraché; alors, il leur fallait subvenir à leurs besoins. Ruth, étant une belle jeune femme, alla aux champs de Boaz pour glaner. C’est ce que faisaient les paysans, les pauvres.

127      J’aimerais vous faire remarquer ce qu’est l’Eglise. C’est une pauvre Eglise. Ruth est donc le type de l’Epouse des Gentils ; là, elle suivait les moissonneurs pour ramasser quelques pailles sur lesquelles il y avait du blé, elle les écossait comme cela, elle les mettait dans un sac, pour avoir de quoi survivre. Elle glanait, pieds nus, dans les champs de Boaz.

128      Et Boaz était le maître de la moisson, il représentait Jésus-Christ, le Fils de Dieu, remarquez, le grand Maître de la moisson. Il est venu inspecter ses champs. Il a vu les glaneurs là-bas ; il a vu les moissonneurs. Et quand ses yeux se sont posés sur Ruth, il est tombé amoureux d’elle: Christ avec Son Eglise.

            Il a dit: «Qui est cette demoiselle qui glane dans le champ?»

            On lui a dit: «C’est Ruth qui l’a ramenée.»

129      L’Eglise juive, sous la conduite de la Colonne de Feu, sous la conduite de Jéhovah, a ouvert une voie dans l’Ancien Testament, pour le chrétien qui a le Saint-Esprit, dans le Nouveau Testament. Elle l’a ramenée avec eux... Oh ! Si nous avions le temps de rester un peu là-dessus !

130      Remarquez, le retour. Alors, il a dit: «Dites-lui de venir et de se mettre à l’ombre, de manger un peu de nourriture avec nous.» Oh ! Si nous avions le temps de mettre l’accent là-dessus !

131      Remarquez. Alors, Boaz la regarde, il constate qu’elle est une femme vertueuse. Certainement qu’elle devait être de la sainteté. Il s’est donc approché et a dit à tous les moissonneurs, il a dit: «Eh bien, vous, quand cette jeune dame vous suivra, ne le lui dites pas, a-t-il dit, mais, cependant, quand elle vous suivra, de temps en temps, laissez tomber une poignée de plus afin qu’elle puisse avoir cela.» Oh ! la la !

132      Elle allait çà et là, tenant une petite réunion par ici, une réunion de prière dans une petite maison, ridiculisée, raillée par les autres, les autres moissonneurs, ramassant une paille par ici et par là, écossant cela, attrapant une petite bénédiction ici, conduisant sur cinquante miles [80,46 km] pour avoir une autre ; mais je suis très reconnaissant pour une très grosse poignée, de temps en temps, que la petite Eglise née de nouveau trouve au réveil à l’ancien mode, une poignée.

133      Elle ramassait ceci, je pense, et disait: «Béni soit le Seigneur.» Elle écossait cela. Et la nuit, elle en avait un sac plein.

134      Boaz, qui représente Christ, va en ville, très vite. Il ne voulait pas que cette jeune fille s’en aille. Il a dit: «A qui appartient-elle?»

            On lui a répondu: «Naomi.»

            Et l’Eglise orthodoxe juive a donné naissance à l’Eglise des Gentils. C’est vrai.

135      Il a dit: «Qui est-elle?»

            On lui a répondu: «Elle est Naomi.» Elle va donc...

136      Il est donc descendu. Il a dit: «Maintenant, je dois racheter tous ses biens.» Or, la loi de la rédemption dans l’Ancien Testament exigeait un parent rédempteur. La–la loi exigeait que ce ne fût pas n’importe qui qui pouvait racheter un héritage perdu, mais ça devait être quelqu’un qui était un proche parent, et puis, quelqu’un qui était capable de racheter, assez digne pour racheter, financièrement capable.

137      Oh ! Que c’est beau ! Oh ! la la ! Christ, digne, deux fois digne, le Roi du Ciel, ayant vu la petite Eglise remplie du Saint-Esprit, Il laissait tomber une petite poignée de temps à autre.

138      Remarquez, l’unique moyen pour Dieu de pouvoir racheter, c’était que Dieu devait descendre et devenir notre Parent. Dieu était dans l’Esprit. Dieu est descendu, et Il a été fait chair. «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» Alors, pour racheter l’homme, Il a dû devenir un Homme, un Parent. Pouvez-vous vous imaginer la Divinité descendre, se faire chair? L’amour...

139      Que ferait un jeune homme pour sa jeune épouse qu’il aimerait avoir comme une chérie? Il est aveugle. Il ferait tout. Oui, oui. Il la veut. Rien ne peut l’arrêter. Il va l’avoir.

140      C’est ce que Dieu a fait quand Il a vu l’Eglise. Il l’a aimée. Rien n’allait L’arrêter. Il était prêt à donner Sa vie, Dieu est descendu dans un corps de chair: digne, le Roi du Ciel, devenu Parent. Alors, Dieu, après qu’Il était entré dans la chair, en Jésus-Christ, Il est devenu Parent Rédempteur.

141      Observez Boaz. Eh bien, avant qu’il puisse l’avoir, il a dû demander s’il y avait quelqu’un d’autre, un proche parent, qui pouvait prendre cela, la prendre. Alors, pour... Il n’y eut personne qui pouvait le faire ; ainsi donc, il a dû faire un témoignage en public devant Israël qu’il avait racheté Naomi. Et il a racheté Naomi pour avoir Ruth. Oh ! la la !

142      «Il est venu vers les Siens et les Siens ne L’ont pas reçu.» Mais Il a dû racheter Naomi pour avoir Ruth. Voyez? Oh ! Quel beau tableau ! Dites-moi que la Parole de Dieu n’est pas inspirée? Chaque partie de Cela annonçait la Venue. Et Ruth, maintenant attendant...

143      Et Boaz, le roi de la moisson, ou le maître de la moisson, est sorti, en dehors des portes, il a fait venir tous les anciens de la ville, il a rendu un témoignage en public, en dehors de la porte. Il a dit: «Voyez cela, vous tous.» Il a enlevé son soulier, il l’a jeté devant eux en guise de témoignage et il a dit: «En ce jour-ci, j’ai racheté tout l’héritage perdu de Naomi. Et tous ses biens me reviennent aujourd’hui.» Oh ! la la !

144      Soyez prêt, ça y est. Oh ! Je sens simplement quelque chose se mouvoir. Remarquez, Christ, devant les anciens d’Israël, conduit hors des portes de la ville, a fait un témoignage: «Il a été blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris», un témoignage en public qu’Il a racheté l’Eglise (De quoi?) de Son héritage perdu. Dans le jardin d’Eden, nous ne connaissions aucune maladie ; dans le jardin d’Eden, nous n’avions aucun péché ; dans le jardin d’Eden, nous ne connaissions pas de mort. «Et Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique», Il a fait un témoignage en dehors de la porte qu’Il a pourvu à une issue pour tous ceux qui voulaient venir. Quel beau tableau ! J’espère que vous arrivez à voir cela. Maintenant, que le Seigneur soit béni. Et comme je le vois, peut-être, mon temps s’écoule.

145      Dieu pourvoyant à une voie, Il l’a frayée en Jésus-Christ. Quand Jésus gravissait la colline de Golgotha, blessé, saignant, la croix se traînant sur les empreintes des pas ensanglantées, alors qu’Il gravissait la colline, Il est monté là, un témoignage public: «Il a été blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Il est mort, Il est monté en haut (Croyez-vous cela?) et Il a renvoyé des dons spirituels à l’Eglise, pourvoyant à une voie. Et cette joie que nous éprouvons dans nos coeurs maintenant, ce n’est qu’un acompte, un acompte sur ce qu’il y aura quand nous serons pleinement rachetés. Et cette guérison divine que nous avons maintenant, c’est le gage de notre rédemption, de notre corps. Nous sommes rachetés. Dieu a pourvu au Sacrifice.

146      Je dois arrêter, mes amis, comme il y a des gens qui se lèvent et sortent. J’ai dit à ma femme l’autre jour: «J’ai prêché dans environ... je ne sais dans combien de différentes nations, dans chaque ville à travers les Etats-Unis. Et Louisville, dans le Kentucky, est l’unique endroit où les gens se levaient donc et sortaient pendant que je prêchais.» C’est vrai, chez moi (Voyez?), l’unique ville où j’ai donc vu cela.

147      Si quelqu’un a remarqué cela, celui qui a été dans d’autres réunions avec moi, qu’il lève la main, partout dans la salle. Assurément, partout ailleurs, je n’ai connu cela nulle part, jamais de ma vie, sauf ici dans ma propre ville, Louisville, dans le Kentucky. Les gens se lèvent carrément et sortent alors que vous vous appliquez à apporter l’Evangile, directement à la ligne de démarcation. Ils le feront.

148      Je n’ai jamais connu cela nulle part ailleurs, nulle part au monde, où j’ai été, même en Afrique, dans tous les autres endroits, en Suède, en Norvège, où des dizaines de milliers étaient assis.

149      A mon humble avis, je n’ai jamais vu une fois quelqu’un quitter, se lever et sortir pendant que je prêchais, si ce n’est ici même.

150      Vous voyez, mes amis, cette semaine, j’ai durement combattu pour essayer de convaincre certaines personnes, cela...

151      Les Paroles de Jésus-Christ, peu importe ce que c’est, doivent être confirmées. Il a dit: «Un prophète n’est méprisé que parmi son propre peuple, dans sa propre patrie.» Et c’est tout à fait vrai. Ils ne recevront simplement pas Cela. Je ne sais pourquoi. Jésus l’a dit, et c’est réglé. J’ai dans cet Etat des gens qui seraient pratiquement disposés à mourir pour moi. Ils m’aiment. Mais d’une manière générale, c’est la Parole de Dieu, et Dieu doit tenir Sa Parole pour être Dieu. C’est vrai.

152      Et tout celui qui a été dans des réunions auparavant, en dehors d’ici, nous avons eu le moins de signes et de miracles par rapport à ce qui a été accompli dans n’importe quelle réunion que j’aie jamais vue, de ce genre, de cette importance. Généralement, il y a des aveugles, des sourds, des muets, des boiteux et tout, des fauteuils roulants entassés dans le coin, des gens qui quittent les sièges, les civières et les brancards.

153      Il y a seulement, à ce que je sache, il y a deux personnes assises ici. J’ai vu l’une d’elles, devant ce jeune homme ici, assis là. J’ai vu le Saint-Esprit se tenir au-dessus de lui l’autre soir, Il s’est approché de très près... Je pouvais déclarer sa guérison, et juste quand je... avant que je termine de prêcher ; mais j’ai vu Cela s’éloigner de lui une fois de plus. Quelque chose est passé par son siège et l’en a empêché. C’est l’unique personne que j’ai vue qui était même affligée, de quelque manière que ce soit, en dehors de quelques sourds, ou quelque chose comme ça, qui est monté à l’estrade, dont on m’a parlé. Je ne sais pas. Mais vous y êtes. C’est à la maison. C’est chez les vôtres.

154      Maintenant, à mon cher ami, monsieur McSpaddin, monsieur McDowell, et ceux qui sont assis dans la salle ce soir, à qui j’ai essayé de dire ceci, et à vous de Jeffersonville, du tabernacle, voyez-vous de quoi je parle? Vous ne pouvez pas changer la Parole de Dieu. Elle restera éternellement ainsi, car Jésus l’a dit.

155      Maintenant, à vous qui m’implorez de revenir au tabernacle, voyez-vous pourquoi? Alors qu’il devait y avoir probablement cinquante personnes de sauvées cette semaine, ici au cours d’un réveil, il n’y en a peut-être pas autant, peut-être pas dix, à ce que je sache, alors qu’ailleurs, en général, en huit jours, on aurait totalisé des centaines et des centaines et des centaines. Voyez? Voyez-vous la différence? C’était à la maison. C’est parmi les vôtres.

156      Non pas parce qu’ils ne m’aiment pas, mais parce que Jésus l’a dit. Et quand Il est allé chez les Siens, tout ce qu’Il pouvait faire, c’était d’imposer les mains à quelques malades et les guérir ; Il n’a pas pu faire des miracles. Est-ce vrai? C’est l’Ecriture qu’on cite. Il doit en être ainsi. C’est vrai. Ce n’est pas moi, après tout. C’est Lui. C’est bien Lui. Si j’étais un guérisseur...

157      J’ai un frère couché à l’hôpital ce soir, que Dieu m’a montré il y a un an. Et je pense qu’il y a ici même deux cents témoins du cas d’un garçon bien et en bonne santé. Mais Dieu a envoyé une vision et a dit: «Il s’en va. Et advienne que pourra, il s’en va.»

158      Le médecin a dit, il n’y a pas longtemps: «Nous pouvons le sauver.» Mais ils ne l’ont pas fait, et ils ne le feront pas.

159      J’ai vu le Saint-Esprit venir montrer la vision, Il a marqué sa tombe, et Il a dit: «C’est le suivant.» Et c’est ce qui se fera. Combien m’ont entendu dire cela, il y a longtemps, longtemps, longtemps? Levez la main. C’est exact, alors que le jeune garçon était grand, costaud et en bonne santé. Il doit simplement partir. C’est tout. Comment? Si j’étais un guérisseur, je le guérirais. C’est mon propre, mon propre frère.

160      Mais comme Dieu l’a dit, Dieu tiendra Sa Parole. Et c’est la raison pour laquelle je sais cela: AINSI DIT LE SEIGNEUR. Je peux mourir pour Cela, car C’est la Parole de Dieu et Il tiendra Cela. Il a pourvu à une Voie, et je suis content d’accepter Cela ce soir, le Seigneur Jésus-Christ. Pas vous? Que Ses bénédictions éternelles reposent sur vous.

161      Et je le répète, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu ce soir, l’issue, c’est en Jésus-Christ. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Donc, Jésus-Christ a pourvu à une Eglise pour les incroyants, afin qu’ils puissent entrer voir la manifestation de Sa résurrection et qu’ils sachent sans l’ombre d’un doute qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il a pourvu à une voie, pour que quiconque veut, regarde et vive. Si vous refusez de regarder, comment allez-vous faire autre chose que mourir? Jésus a dit: «Si vous ne croyez pas que c’est Moi, vous mourrez dans vos péchés.» C’est exact.

162      Amis, j’ai toujours essayé de garder l’équilibre sur la route. Vous tombez dans le formalisme, tout aussi formaliste et ritualiste que possible. Les gens optent pour ce groupe-là. Si donc vous ne faites pas attention, vous vous écarterez droit du chemin vers l’autre côté, en devenant tout aussi fanatique que possible. Mais il y a un milieu de la route, là où l’Evangile véritable, pur et sain est prêché, et Dieu passe par là et confirme la vérité: «Etroite est la porte, resserré le chemin, et il y en aura très peu qui le trouveront.» D’accord.

163      A vous le petit groupe de gens ici ce soir, qui est assis ici, que l’amour de Dieu vous couvre de Son ombre ce soir. Et surtout les malades et les nécessiteux, je prie qu’il n’y ait personne parmi vous qui rentre chez lui sans être guéri. Si je pouvais faire quoi que ce soit à ce sujet, je le ferais avec joie ; mais je ne peux pas le faire. Tout ce que je peux faire, c’est vous Le représenter par un don divin.

164      Or, si je dis la vérité, que Dieu a pourvu à un Sacrifice, et que ce Sacrifice, Jéhovah-Jiré, c’était Jésus-Christ... Et tous les sept Noms composés de la rédemption étaient en Jésus-Christ. Jéhovah-Jiré: «L’Eternel s’est pourvu d’un sacrifice.» Jéhovah-Rapha: «L’Eternel qui guérit tes maladies.» Et Jéhovah... «La bannière.» Et–et tous les autres sept Noms composés étaient tous en Jésus-Christ. Et c’est là que tous les types et les ombres de l’Ancien Testament, tout s’est uni en Jésus-Christ.

165      Il a payé le prix suprême, Il est monté en haut, et Il a envoyé le Saint-Esprit ce soir. C’est Lui, votre issue de secours à laquelle Dieu a pourvu. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... nous avions le temps d’aborder.

166      Je peux voir les mages charger leurs chameaux, très vite. «Où vas-tu, chéri?», demande une femme.

167      «Je vais voir le jeune Roi qui est né, là loin en Palestine.»

            «Eh bien, tu n’as même pas pris ta boussole.»

168      Il a dit: «Je n’ai pas besoin de boussole.»

169      «Comment vas-tu traverser les déserts, les vallées, les collines sans une boussole?»

            Il a indiqué une Etoile, il a dit: «Je vais suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu.» L’Etoile l’a guidé tout droit vers Jésus.

170      Ecoutez, avant que nous terminions. Dieu a pourvu à une voie ici ce soir, ce n’est pas par une église, par une théologie, mais par le Saint-Esprit qui vous conduira dans la voie à laquelle Dieu a pourvu pour votre sanctification, pour la guérison de votre corps, pour le baptême du Saint-Esprit, la joie, la paix et tout ce dont vous avez besoin. Jésus-Christ est le Sacrifice auquel Dieu a pourvu.

171      Et je déclare qu’Il est ressuscité d’entre les morts, qu’Il est monté en haut, qu’Il a renvoyé le Saint-Esprit comme la voie à laquelle Dieu a pourvu pour conduire l’Eglise. Il a dit: «Il ne parlera pas de Lui-même, mais Il témoignera de Moi», a dit Jésus. Et quand Il viendra, Il vous rappellera ces choses, et Il vous annoncera les choses à venir, car vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Le monde ne verra pas Cela, mais vous, vous verrez cela, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de l’âge.»

172      Ecoutez cela, Louisville, mon dernier message pour vous. Le Sacrifice auquel Jésus a pourvu, c’est Jésus-Christ, le Ressuscité, ici, qui donne la puissance à l’Eglise par le Saint-Esprit. Ceci est la Lumière. Marchez-y, trouvez le repos pour votre âme, la guérison de vos maladies.

            Prions.

173      Père céleste, ô Dieu, quand le jour... au fin fond de mon âme, je me demande, comme je suis amené à me demander, en voyant cette très belle nation de l’Amérique, voyant ces puissantes bombes entassées là de l’autre côté de la mer... des méchants, des impies qui renient Dieu, qui renient le Seigneur Jésus-Christ, le Saint-Esprit, avec toute la méchanceté, la malice et les ruses que Satan peut inculquer dans leur esprit pour détruire ce monde, accomplir exactement ce que Tu as dit, ça se brûlera par la chaleur. Et même les grands hommes de science du monde disent: «Dans dix ans, il y aura un anéantissement total, personne ne subsistera, rien ne vivra sur la terre, elle aura été balayée par une bombe à hydrogène.»

174      Ô Dieu, des hommes et des femmes sont assis ici, ils ne sont pas préparés ce soir. Cette semaine, Tu as été glorieux pour nous. Nous étions assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ, et nous Te remercions pour ces chers saints à Louisville. Et, ô Dieu, puissent-ils quitter cette réunion avec une voix d’avertissement pour tous les alentours.

175      Bien-Aimé Père céleste, je Te prie d’envoyer quelqu’un ici avec un réveil à l’ancienne mode qui fera s’écrouler les murs autour de Louisville. Oh ! Fais-le, ô Dieu ! Que beaucoup de bien-aimés soient amenés à la connaissance du salut par notre Seigneur Jésus-Christ.

176      J’ai fait de mon mieux, Seigneur Jésus, tout ce que je sais faire, livrant ma voix à retentir contre le péché, de toutes mes forces, et Tu as été plus que magnifique pour nous. Tu as confirmé chaque parole par des signes et des prodiges, et nous T’en remercions. Maintenant, Père, quant aux résultats, nous Te confions tout cela. Que Ta volonté soit faite.

177      Bénis frère Cauble, Seigneur, notre frère. Bénis toute son équipe ainsi que tous les autres ministres. Nous pensons au jeune frère Durban, ici, et à ces autres frères, par ici, qui sont de braves frères, qui essaient de leur mieux de marteler contre le péché et la méchanceté, le whisky et la boisson, et les comportements bizarres, et le rassemblement, ou tout à travers la ville. Ils essaient de faire entendre une voix d’avertissement. Ô Dieu, bénis ces hommes et oins-les du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Qu’ils soient de bons intendants, qu’ils aient un grand succès en faisant sortir les gens de ténèbres pour les faire entrer dans la merveilleuse Lumière.

178      Et maintenant, Seigneur, dans ce service de clôture de ce soir, ne veux-Tu pas venir? Viens juste encore une fois seulement, ô glorieux Saint-Esprit, puissance divine, et couvre-nous de l’ombre avec Tes bénédictions. Et que l’Ange de Dieu se tienne ici à l’estrade comme un témoin de la résurrection du Sacrifice auquel Dieu a pourvu, le Seigneur Jésus-Christ. Puisse-t-Il accomplir de grands signes et de grands prodiges pour confirmer la Parole. Car nous le demandons en Son Nom, Celui de Ton Bien-Aimé Fils, Jésus-Christ. Amen.

179      Que le Seigneur vous bénisse, ami chrétien. Maintenant, j’aimerais prier pour les malades. J’aimerais vous poser une question maintenant, bien à l’avance. Y a-t-il quelqu’un ici présent dans la salle qui n’est pas sauvé, qui n’a même pas encore été converti, qui demande à Christ de lui pardonner ses péchés? Je vous le demande clairement, de façon bien rude. Et je crois que vous serez assez homme ou assez femme, assez jeune homme ou assez jeune fille, pour le faire. Si jamais vous n’avez accepté Jésus comme votre Sauveur personnel, et que vous voulez le faire maintenant, voudriez-vous vous lever comme croyant pour dire: «Moi, à partir de cette heure-ci, je serai un croyant en Jésus-Christ»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame.

180      Vous confessez votre foi en Jésus-Christ en faisant cela. Environ cinq âmes seraient mortes il y a cinq minutes, elles seraient parties dans l’éternité sombre. Si elles meurent maintenant, elles sont couvertes du Sang.

181      Y en a-t-il un autre? Où est-ce? Juste derrière, que Dieu vous bénisse. Oui, mon frère. Que Dieu vous bénisse, frère. C’est... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est bien. Juste une vieille rugueuse... Que Dieu vous bénisse, frère, qui accepte Jésus. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Là-haut au balcon, quelque part? Que Dieu vous bénisse, soeur.

182      C’est merveilleux. Oh ! la la ! J’aurais voulu que nous ayons de l’espace ici pour le banc des pénitents et un appel à l’autel à l’ancienne mode. C’est ce dont nous avons besoin maintenant même.

183      Combien ici présents disent: «Frère Branham, j’ai été un pécheur, mais maintenant, je confesse, j’accepte dans mon coeur Jésus-Christ, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu»? Environ deux douzaines se sont levées. Voulez-vous vous lever pour dire... Que Dieu–Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui se lève pour dire: «Maintenant, j’accepte Jésus-Christ maintenant même, comme mon Sauveur. Je fais cette confession ouvertement devant les gens et devant Dieu, que j’accepte maintenant le Remède de Dieu pour mes péchés, Jésus-Christ.» Y aurait-il un autre par ici, n’importe où? Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est de la bravoure. Que Dieu vous bénisse. C’est bien.

184      Quelqu’un d’autre qui se lèverait pour dire: «J’accepte maintenant Jésus-Christ comme mon Sauveur personnel. Je reçois le Sacrifice auquel Dieu a pourvu pour mes péchés»? Que Dieu vous bénisse, papa ; l’homme âgé, à la tête grisonnante, en train de trembloter, il se lève pour accepter Jésus-Christ comme Sauveur.

185      Maintenant, Dieu connaît votre coeur ; Il regarde droit vers vous. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Je vous ai vu là-bas en pullover rouge, levez-vous. Très bien, quelqu’un d’autre, levez-vous pour dire: «J’accepte.» Que Dieu vous bénisse, et vous, la dame et le jeune garçon là-haut. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu...

186      Votre nom est inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau dès que vous vous levez publiquement devant cette assistance. «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints anges. Si vous avez honte de Moi ici devant les hommes, J’aurai honte de vous en ce jour-là.»

187      Avez-vous été un pécheur et aimeriez-vous être pardonné? N’importe qui d’autre qui ne s’est pas encore levé, qui aimerait se lever et accepter simplement le Sacrifice auquel Dieu a pourvu pour votre péché, voudriez-vous vous lever? Quelque... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. [Quelqu’un dit: «C’est un jeune soldat.»–N.D.E.] C’est un jeune soldat. Que Dieu vous bénisse par ici aussi. Que le Seigneur soit avec vous, mon frère.

188      Y aurait-il quelqu’un d’autre? [Quelqu’un dit: «Madame, là même.»–N.D.E.] Très bien. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est magnifique. Quelqu’un d’autre qui a besoin de la Vie Eternelle en acceptant Jésus-Christ? Que Dieu vous bénisse. Oui. Que Dieu vous bénisse, vous trois, là-haut au balcon. C’est merveilleux, n’est-ce pas? Quelque trente ou plus maintenant... Très bien.

189      Que Dieu vous bénisse. C’est comme ça, accepter Jésus, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu. Il est Jéhovah-Jiré. Très bien. Que le Seigneur vous bénisse au balcon, ma soeur, qu’Il vous donne la Vie Eternelle.

190      Maintenant, vous trouvez grâce auprès de Dieu. Il n’y a aucun chrétien ici présent, qui sait quoi que ce soit au sujet de Dieu, qui ait manqué de constater, n’ignore que pendant les cinq dernières minutes, l’atmosphère a complètement changé dans cette salle. C’est vrai. Voyez? Juste à l’heure la plus sombre, puis Jésus vint.

191      Quelqu’un d’autre qui dirait: «J’accepte maintenant Jésus-Christ. Je veux...?» Que Dieu vous bénisse, madame. «Je L’accepte, je veux que mon nom soit inscrit dans Son Livre. Je L’accepte maintenant même comme le Chef suprême de ma vie.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse.

192      Quelqu’un d’autre, un rétrograde, voudriez-vous vous lever pour dire: «Autrefois, j’étais chrétien, Frère Branham, mais je me suis éloigné de Dieu. Ce soir, je reviens à la Maison»? Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, frère. Oh ! Dieu vous voit. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est bien. Oh ! la la ! Que Dieu vous bénisse, frère. Je vous vois au balcon. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, frère avec les mains levées. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, madame. C’est merveilleux. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est merveilleux. C’est... continuez simplement à venir. Si... Que Dieu vous bénisse, soeur ; je vous vois debout. Que Dieu vous bénisse, monsieur, là à l’estrade avec la main levée. Que Dieu vous bénisse.

193      Là derrière, au fin fond, y aurait-il quelqu’un qui dirait: «Frère Branham, j’avais donc rétrogradé, je reviens à la maison. J’accepte mon Remède, Jésus-Christ, le Sacrifice auquel il a été pourvu pour mon état de rétrograde. Je reviens à la maison ce soir même. Je règle cela ici même, une fois pour toutes. Je sais que quand...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Ouvre large Tes bras d’amour,
Seigneur, je reviens à la maison.

Je reviens à la maison, je reviens à la maison,
Pour ne plus jamais errer ;
Ouvre large Tes bras d’amour,
Seigneur, je reviens à la maison.

194      Je me demande si nous pouvons fredonner cela. [Frère Branham se met à fredonner Seigneur, je reviens à la maison.–N.D.E.] Pendant qu’on fredonne cela, y en a-t-il un qui est resté ici, qui dirait: «Seigneur, Tu me vois alors que je me lève. Je reviens à la maison maintenant. Je suis fatigué de ce vagabondage, de cette paix instable»?

195      J’accepte Ton issue, Jésus-Christ, comme mon Sauveur. Je viens maintenant, Seigneur, tel que je suis. Je viens ; je lève la main. Je vais me lever pour que Tu voies, que cette assistance aussi voie, que je crois maintenant, et je reviens à la maison? [Frère Branham fredonne Seigneur, je reviens à la maison.–N.D.E.] Que Dieu vous bénisse, soeur.

Je reviens à la maison, je reviens à la maison,
Ja-...

            Celui qui sent dans son coeur qu’il lui faut L’accepter, qu’il se lève.

Ouvre large Tes bras d’amour,
Seigneur, je reviens à la maison.

            Continuez simplement, s’il vous plaît, soeur.

197      Je vais vous demander quelque chose maintenant. Tout celui qui s’est levé, j’aimerais que vous vous teniez debout pendant que j’offre la prière pour vous. Tout celui qui s’était levé, levez-vous encore, juste pendant quelques instants. Levez-vous simplement, partout dans la salle. Tout celui qui s’était levé, levez-vous encore, partout, aux balcons et partout, afin que nous puissions offrir la prière. C’est ça. C’est ça. Vous tous qui vous étiez levés, qui vous étiez levés il y a quelques instants... Et s’il y en a d’autres qui aimeraient se lever avec eux, accepter Christ, voulez-vous vous lever maintenant? Que Dieu vous bénisse. Inclinons la tête maintenant.

198      Bienveillant Père céleste, ceux-ci viennent maintenant comme Tes enfants. Ils étaient déjà venus. Dès que le Saint-Esprit a parlé à leur âme, ils se sont levés et T’ont accepté, et Tu leur as donné la Vie Eternelle. Ô Dieu, bénis-les. Marche avec eux dans la vie, Père. Certains parmi eux ont été Tes serviteurs, dans le passé, mais ils ont fait défection. Ce soir, le Saint-Esprit, au travers de la prédication de la Parole, est descendu et les a oints. Et ils se lèvent maintenant, T’acceptent, Te rendent des actions de grâce pour leur Vie Eternelle qu’ils possèdent maintenant en Jésus-Christ. Merci, Père. Qu’ils mènent une vie heureuse et agréable. Que la maladie se tienne loin de leur porte. Qu’ils vivent longtemps et heureux, et qu’ils viennent en paix entrer dans le Royaume de Dieu, à la fin du monde. Nous le demandons, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

199      Que Dieu vous bénisse. Et les gens ont dit... [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Amen. Que Dieu bénisse tout le monde. Si vous êtes assis à côté de quelqu’un qui s’était levé, serrez-lui la main, chrétien, et dites-lui combien vous êtes content de lui.

200      Nous n’avons pas de place ici pour les faire venir à l’autel. Nous n’avons simplement pas de–d’espace ici pour le faire. Que le Seigneur vous bénisse. Beaucoup, beaucoup d’âmes...

201      Eh bien, vous savez, d’après la Parole de Dieu, qu’est-ce qui est arrivé au Ciel en ce moment-ci? Les anges se réjouissent. Les drapeaux noirs de Satan ont été vaincus. Ils sont rabaissés et ôtés. Les anges et leurs drapeaux blancs de la victoire flottent dans le ciel ce soir, les cloches de la Gloire retentissent, faisant juste entendre des mélodies, quand un seul pécheur vient à Christ. Que le Seigneur soit béni et soit loué à jamais. Oh ! la la !

202      Je crois vraiment que nous allons avoir un vrai service de guérison maintenant. Oui? Quoi? Les cartes de prière? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

203      Dans ce service-ci, je prends chaque esprit dans la salle sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. La raison pour laquelle je dis cela, c’est que cela place le Nom de Jésus-Christ sur toute l’assistance. Si Satan fait du désordre, vous verrez ce qui arriverait. On transportera probablement celui-là pour le sortir directement par la porte. Voyez?

204      Maintenant, vous devez donc être obéissant. Ne vous levez pas et ne vous déplacez pas. Restez tranquille. Ces maladies vont d’une personne à l’autre. Vous savez, vous les érudits de la Bible, que c’est vrai. Voyez? On ne fait pas de religion maintenant, et je ne suis pas responsable des critiqueurs ni des incroyants. Ecoutez cela. Je parle en Son Nom.

205      Maintenant, l’Ange du Seigneur est proche, j’ai confiance que Dieu manifestera la résurrection de Son Fils.

206      Maintenant, approchez-vous. Je suppose, soeur, alors que vous et moi, nous nous tenons ici ensemble, que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue. Mais Dieu nous connaît tous deux. Vous êtes juste quelqu’un qui a été tiré de l’assistance. L’un d’eux vous a donné une carte de prière qui portait un numéro. Vous avez juste votre numéro, et cela a été appelé. Et vous êtes ici.

207      Et il ne vous faut pas avoir la carte de prière. Tout celui qui est assis dans l’assistance, qu’il se mette simplement à prier ; voyez si le Saint-Esprit n’est pas exactement le même ce soir, Celui qui est sur l’Eglise, qui était sur Jésus-Christ...?... Voyez s’Il ne L’est pas. S’Il ne L’est pas–s’Il ne L’est pas, alors je vous ai mal présenté l’Evangile ; alors je deviens un faux témoin de la résurrection. Si Dieu confirme que c’est la vérité, alors j’ai dit la vérité, et Dieu a déclaré que c’est la vérité.

208      Maintenant, la dame ici, une inconnue, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle ne m’a jamais vu, je pense. Nous nous sommes simplement rencontrés ici ; c’est tout. Je ne la connais pas. Dieu la connaît certainement.

209      Maintenant, quand notre Seigneur Jésus était ici, Il a une fois parlé à une femme qu’Il n’avait jamais vue de Sa Vie. Elle puisait de l’eau au puits. Et Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Il lui a parlé assez longtemps pour saisir son esprit, puis Il lui a dit quel était son problème.

210      Et elle a dit: «Eh bien, je vois que Tu es Prophète.»

            Eh bien, Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, jusqu’à la fin du monde.»

211      Un homme est venu une fois dans Sa ligne de prière, c’était un homme juste. Il a dit: «Tu es un chrétien, un homme de bien, un homme honorable.»

212      Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?» Ou: «Révérend, Docteur», n’importe comment que vous interprétez cela.

213      Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» En d’autres termes: «Tu priais avant de venir à la réunion et Je t’ai vu faire cela.»

214      Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» 215  Eh bien, si Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il agira donc de même.

216      Maintenant, assistance, Il est ici maintenant, l’Ange du Seigneur. Vous le savez maintenant, que quelque chose est arrivé tout à l’heure. N’est-ce pas vrai? C’est vrai. Il est ici.

217      Maintenant, quant à vous guérir, je ne le peux pas. Vous ne pouvez pas la cacher, votre vie, car vous n’êtes pas dans la présence de votre frère ; c’est dans Sa Présence. N’est-ce pas la vérité? Et vous croyez en Lui de tout votre coeur, que Dieu nous a envoyé ici pour essayer de vous aider. A part le fait que vous êtes vous-même malade, vous avez un bien-aimé malade. C’est votre mari. Il souffre de la hernie, n’est-ce pas? Oui. Tous deux, vous êtes guéris. Vous pouvez rentrer chez vous à la maison maintenant. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, soeur. Une simple foi a touché et a guéri la femme.

218      Venez. Bonsoir, soeur. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Maintenant, je suis juste votre frère. C’est pour votre enfant, c’est pour lui que vous êtes ici. Il y a une ombre noire suspendue sur l’enfant. Sa maladie est incurable, d’après les médecins. Croyez-vous qu’Il me révélera ce qui cloche chez l’enfant? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Il y a eu une espèce d’expérience d’hôpital. L’enfant a subi une intervention chirurgicale. Et il y a quelque chose dans les intestins. Et il y a une espèce d’os ou quelque chose comme cela là qui cloche. Et l’enfant a le foie gonflé maintenant. N’est-ce pas vrai? C’est la vérité, n’est-ce pas?

219      Or, ce n’était pas moi qui disais cela. C’était juste un abandon total à Jésus-Christ. Sa Présence est ici. Maintenant, tout ce que je peux faire, c’est implorer Dieu pour votre enfant. Acceptez-vous la guérison de l’enfant?

220      Christ, Fils de Dieu, aie pitié de cet enfant mourant. Qu’il soit guéri cette nuit même. Accorde, Seigneur Jésus, que Tes bénédictions reposent sur lui et qu’il soit rétabli, car je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

221      Que Dieu vous bénisse, maman. Faites-moi entendre des nouvelles de l’enfant, ce qui–ce qui est arrivé. Vous allez constater une différence en lui dans les vingt-quatre heures qui suivent. Eh bien, rappelez-vous ce que je vous ai dit. Celui qui connaît ce qui a été, connaît ce qui arrivera. Très bien.

222      Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que le Seigneur Jésus-Christ est ici pour guérir et pour rétablir? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous êtes conscient que vous êtes dans la Présence de Quelque chose d’autre qu’un homme, et C’est Son Esprit.

223      L’assistance peut ne pas comprendre ceci. Mais, regardez l’expression sur le visage des patients quand ils s’approchent d’ici. Ce n’est pas à cause de moi ; je n’ai rien à faire avec cela. Je suis juste une voix. Mais cette femme ici, ou n’importe qui d’autre, comprend et sait qu’il y a Quelque Chose de surnaturel ici. Et vous pouvez voir cela comme un miracle. Un miracle, c’est quoi? C’est quelque chose qu’on ne comprend pas.

224      Eh bien, la femme m’est inconnue, et moi, je lui suis inconnu, nous ne nous connaissons pas ; c’est la première rencontre dans la vie, peut-être, mais Dieu nous a nourris tous deux depuis notre naissance, madame. Croyez-vous cela, le même Seigneur Jésus qui avait parlé à la femme au puits, que j’ai représenté ici ce soir, que trois cents... ou cent et trois âmes L’ont accepté comme Sauveur? Croyez-vous maintenant qu’Il connaît votre coeur, qu’Il connaît tout ce que vous avez fait? S’Il me révèle ce que vous désirez maintenant, accepterez-vous cela? La névrite. Est-ce vrai? Me croyez-vous maintenant?

225      Maintenant, voici autre chose. Vous vous intéressez à un bien-aimé, c’est un jeune garçon. Et ce jeune garçon souffre du coeur. C’est un membre d’une église ici à Louisville, une Eglise baptiste. Va, que le Seigneur Jésus te bénisse et t’accorde le désir de ton coeur. Amen.

226      [Un frère sur l’estrade dit: «Dites: Gloire au Seigneur !» L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.»–N.D.E.] Soyez vraiment respectueux ; acceptez, croyez.

227      Maintenant, je vois une dame, une dame de couleur assise en train de prier. Elle souffre de rein. Vous n’en souffrez plus, madame. Votre foi vous a guérie. Levez-vous. Que Dieu vous bénisse. Croyez simplement de tout votre coeur, et vous aurez cela. Le Saint-Esprit, la religion du Nouveau Testament... Amen.

228      Croyez-vous que cette tension sanguine vous quittera, monsieur, assis là, en train de me regarder? Oui. Très bien, vous pouvez recevoir cela. Que Dieu vous bénisse.

            Croyez simplement en Lui.

229      Ayez foi, soeur, assise là, regardant de ce côté-ci, en train de prier aussi. Vous avez quelque chose qui cloche dans la gorge, n’est-ce pas? Vous assise juste derrière cette petite fille là, croyez-vous que Dieu vous rétablira, la petite dame assise ici? Vous étiez assise là en train de prier que je vous dise quelque chose. Je sais qu’il s’agit de votre mal de gorge. Vous n’avez pas besoin de carte de prière. Vous avez juste besoin de ce que vous avez, la foi. Acceptez-vous votre guérison maintenant? Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous et soyez rétablie maintenant. Amen.

230      Ayez foi. Croyez de tout votre coeur ; Jésus-Christ fera s’accomplir cela. Oh ! Je L’aime, pas vous? Très bien.

231      Venez, monsieur.

            Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur. Dieu fera s’accomplir cela.

232      Bonsoir, monsieur. Etes-vous l’un de ceux qui étaient debout il y a quelques minutes? Je vois que c’est toujours clair autour de vous. Vous avez accepté Christ comme votre Sauveur personnel. Vous souffrez des nerfs. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous avez contracté une mauvaise habitude: fumer. Dieu ne veut pas que vous fassiez cela. Ça vous fait mal–fait mal aux nerfs, et c’est ce qui vous fait cela. N’est-ce pas la vérité? Vous aimeriez en guérir ; abandonnez les cigarettes, vous avez tout abandonné. Jésus-Christ a déjà touché votre corps, et vous allez vous rétablir et Le servir. Croyez-vous maintenant?

233      Afin que vous sachiez cela, vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez de l’extérieur de la ville, n’est-ce pas? Vous êtes de l’Indiana. Vous avez traversé la rivière. Vous venez d’une ville appelée Greensburg, ou quelque chose comme cela, dans l’Indiana. Est-ce vrai? Maintenant, vous êtes bien portant. Oui. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous, bien portant. Que Dieu vous bénisse.

234      Que l’assistance soit respectueuse ; soyez en prière, soyez dans l’expectative d’être bénis et guéris par Dieu. Amen. Ayez foi en Dieu.

235      Vous assise là, madame, avec votre doigt levé comme ceci, souffrant de... Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette hypotension dont vous souffrez? Croyez-vous cela? Oui. Vous croyez qu’Il va le faire. Levez-vous donc et acceptez cela, cela vous quittera, et vous pouvez rentrer chez vous, bien portante. 

236      Vous dites: «Qu’est-ce qui a fait cela?»

            Le même Jésus-Christ qui s’était retourné vers la femme à la perte de sang et avait dit: «Ta foi t’a sauvée.» Il a dit... Il connaît toutes choses et Il révèle cela selon Sa volonté. Très bien. Faites venir votre patient. Ayez foi.

237      Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous croyez que vous êtes dans Sa Présence, pas celle de votre frère. Mais savez-vous qu’il se passe quelque chose?

238      Quelqu’un a dit tout à l’heure que je lisais votre pensée. C’est faux. Jésus-Christ connaissait leurs pensées. Est-ce vrai? Les gens ne pensent pas à leurs péchés, et autres, qu’ils ont commis. C’est le Saint-Esprit. Très bien.

239      Regardez de ce côté-ci, monsieur, et croyez. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Nous ne nous connaissons pas ; probablement que nous ne nous sommes jamais vus de toute notre vie. Juste cette rencontre-ci. S’il y a donc quelque chose chez vous, ou quoi que ce soit, votre maladie ou n’importe quoi, Dieu seul le saurait. En ce qui me concerne, je ne le sais pas.

240      Mais je vous vois être amené à un hôpital. Vous venez de sortir d’un hôpital. [Le frère dit: «C’est exact.» –N.D.E.] Il y a quelque chose qui cloche avec le sang, ce sont des globules qui se brisent ou quelque chose comme cela. Et vous avez eu... Je vous vois dans un lit, et il y a une espèce de quelque chose suspendu à côté de vous, c’est quelque chose qui coule... c’est du sang. Je vois une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept transfusions sanguines que vous venez de subir. Est-ce vrai? C’est la vérité.

241      Vous avez une femme malade. Elle souffre de l’arthrite et de foie. Est-ce vrai? Et vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous venez d’en haut de la rivière, de Cincinnati, dans l’Ohio. Votre nom est Berghaus. R. P., ce sont vos initiales. Rentrez chez vous, rétabli. Jésus-Christ vous a guéri.

242      Ayez foi en Dieu. Lui dire son nom? Jésus-Christ n’a-t-Il pas dit à Pierre: «Tu es Pierre»?

243      Maintenant, soyez respectueux, amis. Des visions peuvent vous rendre très faible. Vous avez été dans des réunions cette semaine, et vous savez de quoi je parle. Ayez juste foi en Dieu. Croyez. Et il y avait quelque chose... Juste un instant.

244      Je vois une dame devant moi. Non, c’est–c’est cette dame assise ici même au bout. Vous êtes... Ce n’est pas vous ; c’est quelqu’un qui a un aspect différent. C’est un bien-aimé qui est dans un hôpital, il souffre du cancer. Et c’est une dame, elle est mourante. Et c’est votre belle-soeur. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez-vous maintenant et acceptez la guérison de votre belle-soeur à l’hôpital. Le Seigneur Jésus-Christ qui connaît tout à ce sujet...

245      Très bien, soeur, vous tapez les mains en vous réjouissant. Vous aviez quelque chose qui clochait à vos mains, n’est-ce pas? Très bien, elles sont guéries maintenant et vous pouvez rentrer chez vous.

246      Et vous assise à côté d’elle là, vous souffrez des calculs biliaires, n’est-ce pas, madame, assise là-bas? Levez-vous. Vous pouvez rentrer aussi chez vous et être bien portante. Ils vous quittent au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

247      Croyez simplement. «Tout est possible à ceux qui croient.» Ayez foi en Dieu.»

248      Faites venir la dame. Croyez-vous, madame, alors que vous venez? Acceptez-vous Jésus comme Sauveur, et m’acceptez-vous comme Son prophète?

249      Si c’est donc vrai et que j’ai témoigné de la résurrection de Jésus-Christ, Lui qui se tenait là et qui avait parlé à la femme au puits, qui connaissait exactement ce qui clochait chez elle, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

250      Elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’aie jamais fait.» Il ne lui avait point dit tout ce qu’elle eût jamais fait. Mais Il savait, selon que le Père le Lui révélait, tout ce qu’elle eût jamais fait. Est-Il le même Seigneur Jésus ressuscité?

            Vous avez connu un accident. Non, vous avez quelque chose comme c’est un... Vous avez été... C’est le Saint-Esprit que vous cherchez, le baptême du Saint-Esprit. C’est vrai. Et vous avez... J’ai vu quelque chose. Vous avez un... Vous souffrez aussi de l’hypertension, n’est-ce pas?

251      Juste un instant, une vision est apparue devant moi. Oh ! C’est la femme assise là, en train de prier. C’est vous qui avez connu un... Vous vous êtes fracturé le pied, n’est-ce pas? Un accident, et vous vous êtes fracturé le pied. Est-ce vrai? Et vous souffrez de rein. Est-ce vrai? Passez avec la dame, vous allez toutes les deux être rétablies. Jésus-Christ...

252      Alléluia. Oh ! Le Glorieux et Incomparable Seigneur Jésus-Christ qui a sauvé votre âme, il y a quelques instants, est en train de confirmer Sa Présence. Amen. Vérifiez sur votre bande magnétique et voyez si ce qu’Il dit n’est pas la vérité. Oh ! Ayez foi en Dieu. Croyez. «Tout est possible à ceux qui croient.» Très bien, Billy ; est-ce votre patient? Amenez-le.

253      Croyez-vous de tout votre coeur? Vous avez aussi un bien-aimé qui a des ennuis, n’est-ce pas? Il n’est pas non plus ici dans cette ville. Il a une espèce de tremblote. C’est la chorée, on dirait. Est-ce vrai? Et il habite une ville où il y a une rivière. C’est une grande ville, et il y a une rivière qui passe à côté d’elle. Il y a beaucoup de bri-... C’est Saint Louis. Est-ce vrai? C’est vrai.

254      Et vous avez un autre membre de famille, c’est une soeur ou quelque chose comme cela, elle vient d’un Etat qui a des collines, des arbres toujours verts. C’est l’Arkansas. Elle souffre du coeur. Allez, que vos désirs vous soient accordés par Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

255      Disons: «Gloire au Seigneur Jésus-Christ, le Ressuscité, l’Homme du Calvaire.»

256      Soyez respectueux. Ne vous agitez pas. Juste une minute, et nous allons terminer d’ici quelques minutes. Ne vous agitez pas comme cela. Cela me gêne. J’ai... ici ce soir, veillant... Soyez respectueux.

257      Que cette dame vienne. Croyez-vous que vous pouvez vous rétablir par la foi, et que cette tumeur vous quittera sans que vous soyez opérée? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Acceptez-vous cela maintenant? Au Nom de Jésus-Christ, qu’il vous soit fait selon ce que votre foi a déclaré. Amen.

258      Monsieur, vous assis là, en cravate rouge, vous souffrez de la hernie. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous rétablit? Acceptez-vous cela? Vous venez aussi de l’extérieur de la ville. Je vous vois aussi venir d’en haut de la rivière: Cincinnati. N’est-ce pas vrai? Très bien. Pendant que vous faites un travail double, tenez-vous tous deux debout maintenant même et soyez guéris au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse. Cela vous quitte. Rentrez chez vous, bien portants.

259      Venez, madame, avec foi. Croyez-vous que cette maladie gynécologique vous a quittée? Acceptez-vous Jésus comme votre Guérisseur pour cela maintenant? C’était un abcès, il y avait un écoulement et cela se serait très bientôt transformé en cancer. Mais votre foi vous a sauvée. Maintenant, allez, rendez gloire à Dieu pour cela, et vous recevrez tout ce que vous demandez.

260      Venez, monsieur, en croyant de toute votre âme. Si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, accepterez-vous votre guérison? La maladie du coeur, est-ce vrai? Croyez-vous qu’Il vous a guéri maintenant? Il le fait donc. Votre foi vous guérit. Allez, et que la paix de Dieu règne.

261      Venez, madame. Croyez-vous que Dieu guérira cet enfant-là alors que je traverse l’estrade? Il a l’affection rénale. Allez maintenant ; Jésus-Christ rétablit le petit garçon, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous étiez nerveuse ; cela vous a aussi quittée. Que Dieu soit avec vous.

262      Croyez-vous en Lui? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Ayez foi en Dieu.

263      Voulez-vous guérir de cette bronchite? Croyez-vous que Dieu vous en guérit? Si vous croyez cela de tout votre coeur, levez-vous, madame. Acceptez votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant et être bien portante. Très bien.

264      Croyez-vous de tout votre coeur? Allez-vous accepter votre guérison si Jésus-Christ parle, révèle votre maladie? Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais Il connaît votre maladie. Vous souffrez d’une maladie gynécologique, de femmes ; c’est le ventre et l’ovaire. Maintenant, allez, Dieu vous a guérie. Votre foi vous sauve, madame, au Nom de Jésus-Christ.

            Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Vous tous, vous pouvez être guéris en ce moment-ci, si vous croyez.

265      Maintenant, madame, tenez-vous là où vous êtes ; regardez de ce côté-ci. Toute cette assistance, un grand pourcentage parmi eux, souffre de cette nervosité là. Parfois, vous pensez que vous allez perdre la tête, n’est-ce pas? Vous devenez très nerveuse. Récemment, vous avez laissé tomber quelque chose ; c’était une assiette ou quelque chose comme cela ; vous traversiez avec cela. Mais maintenant, Jésus-Christ vous en a guérie, et vous le savez. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant.

266      Maintenant, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, je demande à chaque croyant ici présent de croire que ceci est la vérité. Croyez-vous cela? Eh bien alors, si ceci est la vérité de Dieu confirmée, écoutez-moi. Imposez-vous les mains les uns aux autres, pendant que je prie pour vous. Et j’aimerais que chaque personne ici présente maintenant accepte sa guérison.

267      Dieu Tout-Puissant, sois miséricordieux envers les malades et les nécessiteux. Ils sont ici debout, et toute la salle semble devenir comme une grande Colonne de Lumière maintenant, je sais que quelqu’un se tient près avec ses mains autour de moi, posées sur les mouchoirs ; bénis-les, Seigneur, pour la guérison des malades. Tous ces gens nécessiteux ici avec leurs bras et leurs mains posés, les uns aux autres, que la Puissance, la Voie à laquelle Dieu a pourvu, le Fils de Dieu, par Sa grande puissance et Sa grande majesté, parcoure cette salle comme un vent impétueux et...?... cela condamne chaque maladie, chasse chaque mauvais esprit.

            Maintenant, je condamne Satan, je réclame la victoire sur lui maintenant même. Et, toi Satan, sors de ces gens, au Nom de Jésus-Christ.

            Et que tout le monde ici présent, qui croit que Jésus le guérit, se lève et rende gloire à Dieu, au Nom de Jésus-Christ.

            O Dieu, au Nom de Jésus-Christ, ils acceptent maintenant leur guérison. 

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