Dieu A Une Voie À Laquelle Il A Pourvue
1 Bonsoir, mes amis. C’est un grand privilège d’être ici ce soir dans cet auditorium pour assister les enfants de Dieu, les malades et les affligés, venir en aide à ceux qui ne sont pas sauvés quant au salut. Et nous sommes désolé de ce que celle-ci soit notre dernière soirée dans cette campagne spéciale, les séries de ces réunions, mais nous aimerions certainement remercier tout un chacun parmi vous pour votre précieuse collaboration, pour tout ce que vous avez fait pour nous, nous accordant votre foi, ainsi que votre... tout ce que vous avez fait. Nous apprécions cela du fond de notre coeur. Seule l’éternité révélera combien nous apprécions cela.
2 Et nous aimerions témoigner notre reconnaissance à notre frère Cauble pour nous avoir parrainé ici dans cette ville et pour la précieuse collaboration que nous avons eue avec lui, son église et ses membres. Nous vous remercions vous tous qui êtes venus de différents endroits, de l’Indiana et des alentours, des Etats environnants. Cela n’a même pas été annoncé là-bas. Je pense que vous l’avez simplement fait savoir par courrier, d’une façon ou d’une autre, pour que ça se tienne ici. En effet, nous savons que nous n’aurions pas disposé de beaucoup de places dans cette église-là. Alors, nous nous sommes dit que si ça devenait vraiment catastrophique, alors nous pourrions peut-être nous retrouver une soirée ou deux dans l’auditorium.
3 Maintenant, nous sommes reconnaissant aux gens qui nous ont permis d’avoir cet auditorium ce soir ; en effet, nous apprécions cela, qu’ils nous aient ouvert cette salle pour ces réunions ce dimanche soir, pour la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ. Nous Le remercions.
4 Et maintenant, juste au moment où j’arrivais tout à l’heure, mon frère, Billy et certains d’entre eux se tenaient là dehors, ils m’ont dit qu’il y avait assez, suffisamment de fonds pour payer toutes les dettes. Ils ont payé les frais de location de l’église, le journal, les concierges de l’église, la musique, et toutes les annonces dans les journaux, les émissions à la radio. Tout a été payé, jusqu’à ce soir. Je pense qu’ils en ont eu assez, de sorte que cela a laissé l’offrande d’amour de ce soir disponible pour moi.
5 En effet, j’ai toujours essayé de sauvegarder, comme vous le savez, ma réputation en ce qui concerne l’argent. Nous ne faisons pas cela. Et s’il n’y en a pas assez pour financer des rubriques, alors, je vais prélever cela sur l’offrande d’amour. Et l’offrande d’amour, je ne prendrais même pas cela si je n’étais pas un homme pauvre et que je devais vivre comme le reste parmi nous le fait. Si je pouvais travailler et continuer à tenir ces réunions à travers le pays, je ne mentionnerais même pas l’offrande d’amour pour moi-même. Juste les dépenses à effectuer, c’est tout ce que nous réclamons. Et ce n’est pas seulement à Louisville, c’est à travers le monde. Tant que je serai en vie et que Dieu m’aidera, ça restera ainsi. Pas d’argent, je ne cherche pas l’argent. Je cherche à amener les gens à croire le Seigneur Jésus-Christ pour leur salut et pour leur guérison.
6 Et c’est à cette fin que vos dîmes et tout, que vous avez donnés cette dernière semaine, ont été affectés. Et le dimanche soir, généralement, ou la dernière soirée de la série des réunions, je ne sais quoi, une semaine ou deux semaines, dix jours ou je ne sais quoi, on–on prélève une offrande d’amour pour moi. Et s’il en reste quelque chose, c’est affecté directement aux oeuvres missionnaires à l’étranger. Peut-être que mon secrétaire et les autres qui s’occupent de l’argent et tout sont ici présents, ma femme et les autres ; ils savent que c’est la vérité. Et Dieu Tout-Puissant qui est notre Juge sait que c’est vrai. Ainsi donc, nous vous remercions pour tout ce que vous avez fait.
7 Maintenant, comme celle-ci est la soirée de clôture des réunions... Eh bien, demain, nous commencerons à Shreveport, en Louisiane, commencer là à l’auditorium municipal pour les réunions ; la prochaine série de réunions aura lieu là-bas.
8 Et puis, de là, nous irons à Denver, au Colorado, où les hommes d’affaires chrétiens de Denver nous parrainent là-bas dans une–une campagne. Et je crois que ce sera au Civic ou au City Auditorium, là ; il n’y a pas d’églises qui parrainent cela, juste les hommes d’affaires chrétiens.
9 Et puis, de là, nous irons à–à Edmonton, Alberta. Et puis, de là, à Grande Prairie, en Colombie-Britannique ; Dawson Creek ; jusque dans le territoire des Eskimo.
10 Et nous reviendrons encore dans les environs, pour recommencer ici aux Etats-Unis vers juin ; ça sera à Des Moines, dans l’Iowa, et nous irons aux terrains de camping des méthodistes, à Cedar Lake, à la convention, là ; et puis, on ira au Pacifique Nord-Ouest.
11 Et puis, de là, à Durban, en Afrique du Sud. Cette fois-ci, ce n’est pas mon choix, mes dispositions. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, d’aller en Afrique, en Inde, en Palestine, à Luxembourg, à Francfort en Allemagne, à Londres, et puis à Paris, et puis on reviendra à la maison.
12 Puis, de là, il nous faudra revenir vers janvier ou février, nous irons en Nouvelle-Zélande, en Australie, et à l’est.
13 Et je vais m’attendre à ce que les prières montent depuis Louisville, dans le Kentucky, pour soutenir cette série de réunions que nous allons tenir, cet itinéraire.
14 A l’un de ces moments, s’il m’arrivait de revenir même dans une année, il y en a beaucoup qui sont assis ici ce soir qui ne seront peut-être plus ici si moi, je suis épargné. Dans une assistance de cette taille, oh ! mille personnes ou plus, je ne sais combien, il y en aura–il y en aura beaucoup parmi vous qui seront partis. Alors, je vous rencontrerai, l’un de ces glorieux matins, à la résurrection, quand les saints (les rachetés), seront ramenés sur la terre pour le glorieux Millénium. J’espère passer l’éternité sans fin avec vous dans le Royaume de Dieu, que je représente ici ce soir.
15 Que Dieu vous bénisse tous. Je n’aimerais oublier personne. Les petites dames qui jouent la musique et, oh ! tout le monde, que Dieu vous bénisse.
16 Maintenant, il m’incombe ce soir de parler juste quelques minutes encore. Je ne sais à quelle heure il nous faut fermer l’auditorium. Mais, comme on a commencé bien à temps, à vingt heures trente, peut-être que je parlerai une heure et demie, et puis je commencerai la ligne de prière, prier pour les malades...
17 Et maintenant, vous les bien-aimés chrétiens ici, de Louisville au Kentucky, de Jeffersonville et de New Albany, l’un de ces jours, j’aimerais faire des annonces pour les réunions à l’échelle nationale et faire dresser une grande tente ici, qui offrira des sièges à plusieurs milliers de personnes, et tenir un réveil à l’ancienne mode. C’est ce dont, à mon avis, nous avons besoin à Louisville ; c’est d’un réveil envoyé de Dieu, à l’ancienne mode. Priez. Si c’est la conduite du Seigneur, je viendrai.
18 Maintenant, il y a deux ou trois campagnes de guérison en cours dans cette ville. C’est la raison pour laquelle nous n’en avons point fait une réunion à l’échelle nationale. Nous sommes juste venus à l’église de frère Cauble. Voyez? Nous ne sommes pas venus ici pour faire la compétition à ces autres frères. Nous ne croyons pas à la compétition dans la religion de Jésus-Christ. Nous sommes ensemble des frères, travaillant ensemble pour tout ce que nous pouvons, pour le bien du Royaume de Dieu, avec chaque église, tout le monde.
19 Nous pouvons être un peu en désaccord sur des idées, les prédicateurs, mais pas par rapport aux gens. Nous croyons toujours que le Sang de Jésus-Christ nous purifie de toute iniquité. Nous devenons fils et filles de Dieu en confessant nos péchés et en acceptant ce Sang, peu importe l’église dont on est membre. Nous croyons cela de tout notre coeur. Mes réunions sont toujours inter-évangéliques... ou interdénominationnelles. Nous espérons donc que Dieu vous bénira tous.
20 Or, quand on est dans une ville ou dans un bâtiment, principalement, nous ne sommes pas ici pour représenter la guérison divine. Nous ne mettons même pas en relief la guérison divine. Nous mettons en vedette Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et quand vous Le mettez en vedette, Jésus-Christ, vous mettez en relief la guérison divine. En effet, ce sont les attributs de Sa mort, ce qui nous accorde le salut et la guérison de nos corps.
21 Et il n’y a pas–pas de puissance en un quelconque homme, qui puisse guérir quelqu’un d’autre. La guérison a déjà été acquise au Calvaire. Et tout ce que nous pouvons faire, c’est montrer aux hommes là où le Sacrifice unique, tout-suffisant, a été offert par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Pour cela, nous ne faisons que regarder pour vivre. Dieu a frayé la voie, et nous L’acceptons.
22 Un prédicateur ne peut sauver personne ; il peut seulement prêcher l’Evangile, s’il est oint du Saint-Esprit, et montrer aux gens là où ils ont été sauvés. Ils ont été sauvés il y a mille neuf cents ans au Calvaire. Vous devez L’accepter comme votre Sauveur personnel maintenant pour tirer profit ou des dividendes de Sa mort et jouir des attributs de ce pour quoi Il est mort.
23 Or, c’est pareil pour la guérison divine: «Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris», tout le même jour, par le même Homme. C’est inséparable, ça va de paire, l’un et l’autre ; le Sang qui coula de Son dos et Celui qui sortit de Ses blessures, ça s’est mélangé et ça a coulé sur Ses pieds... Voyez, c’est ça. Le salut, la guérison, la paix, la satisfaction, la joie, tout ce dont nous avons besoin dans le pèlerinage sur terre, ça a été acquis au Calvaire. Dieu donnera à tout celui qui acceptera cela sur ces bases et qui croira cela de tout son coeur.
24 Maintenant: «Dieu a placé dans l’Eglise certains comme docteurs, d’autres comme apôtres, d’autres comme prophètes, les dons de guérison», et, oh ! différentes sortes de dons. Il a placé cela dans l’Eglise pour le perfectionnement de l’Eglise, le rassemblement de l’Eglise.
25 Et maintenant, les jours se sont écoulés depuis la première génération des apôtres. Ils avaient tous les neuf dons opérant dans l’Eglise. A la deuxième génération, ils ont commencé à se refroidir. A la troisième génération, c’était pratiquement tout terminé. Puis, ils ont connu les mille cinq cents ans des âges des ténèbres. Ensuite, la réforme a eu lieu.
26 Après la réforme est venue la sanctification ; après la justification est venu John Wesley, prêchant la sanctification. C’est là qu’apparurent Calvin, Knox, ainsi que tous ceux qui suivirent jusqu’à la pentecôte, les nazaréens, cet âge-là.
27 Et maintenant, nous entrons droit dans un autre glorieux âge ; on en arrive à l’Enlèvement de l’Eglise. Et avec ça, nous vivons au temps de la restauration des dons. Cela a achoppé beaucoup parmi les très bonnes églises ; cela a bouleversé les nazaréens ; ça a rendu fanatiques beaucoup de pentecôtistes. Néanmoins, malgré tout, Dieu avance directement, introduisant la foi de l’Enlèvement pour Son Eglise. C’est vrai. Ce soir, je représente donc cette foi-là, la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, sous forme d’un don divin.
28 En effet, à mon avis, les dons et les appels... Non pas à mon avis, mais la Bible déclare que les dons et les appels sont sans repentir. Il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. Vous ne pouvez pas faire que vous ayez des yeux bleus alors que vous en avez des bruns. Vous êtes juste ce que vous êtes, par la grâce de Dieu.
29 Vous ne pouvez même pas venir à Dieu si Dieu ne vous a pas premièrement appelé. Vous ne pouvez pas chercher Dieu si Dieu ne vous a pas premièrement cherché ni appelé. «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire.» C’est donc Dieu qui cherche. «Dieu a placé dans l’Eglise...»
30 Ainsi donc, depuis que j’étais un petit enfant, né ici dans cet Etat du Kentucky, j’avais des visions tout comme–comme je mangeais ou n’importe quoi d’autre. C’est juste selon la volonté de Dieu, c’est Lui qui y pourvoit. J’exécute simplement ce qu’Il m’ordonne.
31 Certainement, j’ai beaucoup de critiqueurs. Je connais beaucoup de gens qui ne croient pas cela. Advienne que pourra, ils ne croiraient pas cela de toute façon. Je m’attends à avoir cela.
32 Et si je n’avais pas cela, je m’agenouillerais à l’autel quelque part et je dirais: «Bien-Aimé Seigneur, qu’est-ce qui cloche chez moi? Car tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés.» Exact. Nous devons avoir cela. C’est vrai.
33 De même, Jésus avait cela. Il a dit, si... Quand Il pouvait être là devant Son assistance, et savoir ce qui les gens... clochait et s’ils étaient guéris ou pas. On L’a touché avec la–la foi. Quand Il s’est retourné, Il a demandé: «Qui M’a touché?» Il a dit: «Ta foi t’a sauvée. Maintenant, ta perte de sang s’est arrêtée. Ta foi t’a guérie.»
34 Une fois, une femme est venue auprès de Lui, ou plutôt Il se tenait là où elle était, à la piscine, ou à l’abreuvoir, au puits, au puits de Jacob. Alors, une femme est venue, et Il a engagé une conversation avec elle pendant quelques instants jusqu’à ce qu’Il a découvert son problème ; Il a dit: «Va chercher ton mari.»
Elle a dit: «Je n’en ai point.»
Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»
35 Lui, alors qu’Il était là, Il savait où était un poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche. Il savait où il y avait deux ânes attachés, à un carrefour. Il savait où il y avait un homme qui portait une cruche. Il connaissait beaucoup de choses. Il connaissait Philippe quand il est venu vers Lui, qu’il était en train de prier avant de venir, sous un arbre ; il savait qu’il était un homme de bien, un homme juste.
36 Mais Il a dit en Ses propres termes: «Je ne peux rien faire de Moi-même avant que le Père Me montre quoi faire.» Que tous ceux qui croient ce passage de l’Ecriture disent: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est cela, Saint Jean 5.19
37 Il est passé à côté d’un grand nombre, deux ou trois mille personnes là, des estropiés, des gens aux membres tordus, des infirmes, des boiteux, des aveugles, des paralytiques, Il était plein d’amour et de compassion. Il est passé directement à côté de chacun d’eux, Il a guéri un homme qui souffrait d’une petite maladie du genre... Oh ! Je ne sais pas, il était peut-être sujet à un gros rhume, à ce que je sache. Cela, il en avait souffert pendant trente-huit ans. Cela n’allait pas lui faire du mal ni le tuer ; cela avait duré. Et Il a guéri cet homme-là, Il s’en est allé, laissant ce grand nombre couché là. Et puis, quand Il fut interrogé, Il a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même, Je ne fais que ce que Je vois faire au Père.»
38 Maintenant, parfois, les gens veulent qu’Il fasse le clown avec cela, après qu’ils eurent vu qu’Il avait cette puissance-là. Ils le Lui ont demandé. Hérode Lui a dit: «Fais pour moi un miracle. Laisse-moi Te voir faire quelque chose.» Et il Lui a demandé de parler de Lui-même. Il s’est tenu là comme un muet devant ceux qui Le tondaient, comme une brebis muette devant ceux qui la tondent.
39 On Lui a mis un lambeau autour de la tête un jour ; une bande de soldats critiqueurs L’ont frappé à la tête et ont dit: «Maintenant, si Tu es un Prophète, si Tu connais toutes ces choses, et tout, dis-nous qui T’a frappé. Accomplis pour nous un miracle.»
40 Quand Satan L’a d’abord rencontré, Satan a dit: «Maintenant, si Tu fais un miracle pour moi, je croirai que Tu es le Fils de Dieu. Change ces pierres en pain. Laisse-moi Te voir faire cela.» Jésus lui a directement répliqué en lui citant l’Ecriture.
41 Et puis, chaque fois, Satan voulait Le voir faire un miracle. Les gens qui sont possédés de Satan veulent Le voir: «Fais quelque chose pour moi. Laisse-moi Te voir guérir celui-ci. Laisse-moi T’égratigner la main et Te voir guérir cela, alors, je croirai en Toi.» Vous y êtes. Le même mauvais esprit qui avait dit: «Descends de la croix maintenant et nous croirons en Toi. Tes mains sont clouées là-haut. Tu appelles Elie, qu’on le voie venir Te délivrer maintenant. Si Tu as trouvé tant de grâce auprès de Lui, auprès de Dieu, voyons-Le Te délivrer. Descends de la croix et nous croirons en Toi. Fais un miracle devant nous.»
42 Les miracles ont toujours rendu les incroyants perplexes. Mais malgré tout, notre Père céleste est un Dieu qui opère des miracles. C’est ça. Partout où Il est, toujours, quelque soit Son ministère, là où Il a exercé Son ministère, il y a eu des signes, des prodiges et des miracles.
43 Maintenant, que le Seigneur vous bénisse, pendant que je lis un passage des Ecritures ici pour quelques instants, et ensuite nous allons commencer le service, puis aborder directement le service de guérison.
44 Maintenant, regardez. Jésus, quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Maintenant, vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage (ou de plus grandes), car Je m’en vais au Père. Maintenant, encore un peu de temps (Je cite Jésus), encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde»: Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.
45 Combien de chrétiens y a-t-il ici ce soir qui croient de tout leur coeur que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est vivant ce soir? Faites voir les mains. Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, n’accomplira-t-Il pas ce soir dans Son Eglise la même oeuvre qu’Il avait accomplie dans Son Eglise, quand Il était ici sur terre, dans la chair? Voyez? C’est juste... Le Saint-Esprit est l’Esprit de Jésus-Christ. Il est ici sous forme spirituelle, tout aussi vivant qu’Il l’était donc autrefois, ici, vivant en nous, accomplissant des oeuvres qu’Il accomplissait quand Il était ici sur terre, pour confirmer qu’Il est avec nous. «Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Que le Seigneur vous bénisse.
46 Prions. Père céleste, ce soir, tire gloire, Père céleste, de nos efforts que nous essayons de fournir pour Ta gloire. Maintenant, Ta Parole est ici sur la chaire, ouverte. Mais qui peut La comprendre? Alors qu’Elle est écrite par inspiration, qu’il est promis qu’Elle a été cachée aux yeux des sages et des intelligents, et qu’Elle serait révélée aux enfants qui veulent apprendre, maintenant, Père, nous Te prions de nous considérer comme des enfants qui ne savent rien afin que nous puissions apprendre quelque chose par la révélation du Saint-Esprit. Puisse-t-Il prendre la Parole de Dieu maintenant et L’apporter à chaque coeur selon que nous en avons besoin. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
47 Dans Genèse... Il fait juste un peu chaud ici à l’estrade, je pense que c’est aussi le cas là dans l’assistance. Que les concierges veuillent bien alimenter juste d’un peu d’air frais dans la salle, afin que les gens se sentent juste un peu mieux. J’en vois parmi eux qui s’éventent.
48 Maintenant, dans Genèse, chapitre 22, j’aimerais attirer votre attention sur quelques paroles ici, juste à la fin de cette série de réunions, sur l’Evangile. J’aime toujours dire, ou lire une portion de la Parole ici, car cette Parole ne passera jamais. Elle est éternelle, pour toujours.
49 Et s’il me fallait intituler le texte de ce soir, j’aimerais parler sur: Dieu a une voie à laquelle il est pourvu. Il a pourvu à une voie pour s’approcher de Lui. Il a pourvu à une issue. Il a pourvu à une voie pour tout ce dont nous avons besoin. Si seulement nous arrivons à trouver cette voie à laquelle Dieu a pourvu, alors nous sommes sûrs de réussir. Si Dieu...
50 Si cette salle a été pourvue ici pour prendre soin de... pour nous abriter contre la pluie, dès que nous entrons dans la salle, alors nous sommes à l’abri de la pluie.
51 Si Dieu a pourvu à une voie pour le salut, et que nous pouvons trouver cette voie à laquelle il a été pourvu, nous pouvons avoir le salut. Si Dieu a pourvu à une voie pour la guérison divine, qu’ensuite nous pouvons trouver, suivre cette voie-là, nous trouverons la guérison divine. S’Il a pourvu à la paix pour ceux qui sont instables, qu’ensuite nous suivons cette voie-là et que nous trouvons la voie à laquelle Il a pourvu, nous pouvons avoir la paix.
52 Maintenant, lisons à partir du verset 7 du chapitre 22. Remarquez ceci maintenant, c’est une grande histoire dramatique ici devant nous.
Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: ... père! Et il répondit: Me voici, mon fils ! Isaac reprit: Voici le feu et le bois ; mais où est l’agneau pour l’holocauste?
Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste...
53 Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de cette Parole. Je peux aussi lire, en réponse à cela, le verset 14.
Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.
54 Jéhovah-Jiré, c’est le Nom Rédempteur de Dieu. Dieu, le mot Jéhovah-Jiré veut dire Dieu se pourvoira d’un sacrifice. Dieu frayera une voie, en d’autres termes. Or, Dieu a sept Noms composés de la rédemption: Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Manassé, Jéhovah-Rapha, le Guérisseur, ainsi que tous ces autres Noms composés qu’Il avait, ce qu’Il était, représentant ce qu’Il était envers les gens. Et ce sacrifice auquel il est pourvu ce soir, Jéhovah-Jiré, l’Eternel se pourvoira d’un agneau.
55 Il y a là devant nous une grande histoire dramatique, alors que–alors que nous évoluons maintenant, que le Saint-Esprit prenne ces quelques paroles qui vont suivre et engage chaque coeur.
56 Maintenant, c’est la dernière soirée de la série de réunions. J’aimerais que chacun de vous m’accorde toute son attention et écoute attentivement maintenant. Nous essayons d’en faire la plus grande victoire de la série de réunions. Ceci est la dernière soirée. Généralement, il y a plus de gens guéris la dernière soirée que dans le reste des réunions: leur attente est grande.
57 Satan combat plus durement. Tout va mal, apparemment, car Satan essaie de maintenir les gens tendus et tout le reste, afin qu’il puisse leur priver ce grand moment d’effort que nous allons entreprendre maintenant, pour la grande, comme nous le dirions, mise à mort de l’heure.
58 Il a déjà été coincé. Il a été exposé, et toutes ses manoeuvres sont exposées. Des hommes et des femmes ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur. Les gens qui souffraient de cancer, de tumeurs et–et tout le reste ont été guéris: Des déclarations médicales prouvent que c’est la vérité.
59 Maintenant, il y a ici un groupe de gens, assis ce soir, assis, attendant avec une grande expectative. Et Satan, s’il peut interrompre votre pensée, c’est tout ce qu’il a à faire. Mais consacrons-nous maintenant, à la grande tuerie, maintenant même, pour chasser Satan et toutes ses puissances de cette salle, afin que Dieu puisse avoir le droit de passage et qu’Il guérisse chaque malade, pour la gloire de Dieu.
60 Eh bien, Abraham le patriarche est venu de Schinear, de la tour de Babel. Son père et lui ont voyagé dans les–les plaines. Et là, Abraham, à l’âge d’environ soixante-quinze ans, Dieu l’a appelé par élection et lui a demandé de sortir de son propre pays. Il lui a annoncé qu’il aurait un enfant de sa femme Sara, qui avait soixante-cinq ans en ce temps-là. C’est Dieu qui avait promis.
61 J’aimerais que vous voyiez combien les promesses de Dieu sont très réelles pour ceux qui accepteront cela. Il lui a dit ce qu’Il allait faire. Il est sorti sans savoir où il allait, mais il a séjourné dans un pays étranger.
Dieu, quand Il appelle les gens, Il exige une totale séparation d’avec toutes les choses du monde, une annihilation des choses mondaines. Séparez-vous, et Dieu vous bénira. Sortez du milieu d’eux ; ne prenez pas part à leurs péchés. Ne vous mettez pas sous le même joug avec les infidèles, mettez-vous sous le même joug avec les croyants, les concitoyens du Royaume.
62 Et Abraham a eu à prendre sa femme et à quitter le pays. Mais il crut en Dieu par la foi. Il ne pouvait pas résoudre cela par la raison. Il n’y a aucun moyen de trouver comment il a donc pu s’y prendre. Comment cette femme... Il avait vécu avec elle depuis qu’elle était une jeune fille ; tous les deux avaient été de jeunes gens, des gens en bonne santé, tous ces jours-là, jusqu’à ce qu’elle eût alors atteint quarante, cinquante, soixante, probablement qu’elle avait atteint la ménopause ça faisait vingt-cinq ans... Et Dieu a dit: «Tu vas avoir un enfant de cette femme.» Et Abraham crut Dieu, contrairement à tout raisonnement, contrairement à toute recherche scientifique, même jusqu’à ce jour. Comment une femme de soixante-cinq ans pouvait-elle avoir un enfant? Mais Dieu avait dit qu’elle allait l’avoir, Abraham crut donc cela.
63 Il est donc sorti, sans savoir où il allait. Et finalement, après que Sara eut atteint pratiquement cent ans, Abraham croyait toujours (J’aimerais que vous voyiez cela), croyait toujours que Dieu tiendrait Sa promesse, il avait pris toutes les dispositions pour l’enfant. Et finalement, le petit enfant est arrivé. C’est ainsi que Dieu s’y prend toujours. Il a fait venir le petit enfant juste au moment convenable.
64 Voyez, plus cela traînait, plus Abraham comprenait: «Eh bien, je ne l’ai pas eu aujourd’hui. Je ne l’ai pas eu ce mois-ci. Je ne l’ai pas eu le mois passé. Mais peu importe combien cela dure, plus ça dure, plus je vieillis, plus le miracle sera grand», rendant gloire à Dieu pour cela.
65 Au lieu de s’affaiblir comme nous le ferions: On a prié pour vous ce soir, et vous êtes guéri ; puis, vous avez dit que votre situation avait empiré le lendemain. Vous dites: «Oh ! Eh bien, il n’y a rien là.» C’est le raisonnement ; vous ne pouvez pas garder la Parole de Dieu.
66 «J’ai caché Ta Parole dans mon coeur, ô Seigneur», dit David. Cachez la Parole de Dieu dans votre coeur, et alors, Dieu tiendra cette Parole-là. Dieu doit tenir Sa Parole. Dieu n’est pas tenu de guérir quelqu’un pour prouver Sa puissance. Mais Il doit guérir pour tenir Sa Parole. C’est vrai. Dieu n’a pas à prouver quoi que ce soit. Il est Dieu. Mais ce qu’Il dit, Il est tenu à Sa Parole. Vous et moi aussi, nous sommes tenus à notre parole. Et Dieu est tenu à Sa Parole.
67 Si donc la guérison divine est dans la Parole, c’est réglé. S’Il a été blessé pour nos péchés, et que c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris, que c’était là le sacrifice, alors c’est réglé. En ce qui me concerne, c’est tout. Si Dieu l’a fait là-bas, Il a promis qu’Il le fera ; c’est réglé.
68 C’était pareil pour Abraham. Advienne que pourra, Abraham croyait cela de toute façon. Peut-être qu’il avait tout apprêté pour le petit enfant, puis Dieu l’a laissé aller jusqu’à atteindre cent ans, Il les a rajeunis, lui et Sara, en un jeune homme et une jeune fille. Il leur a donné l’enfant.
69 Quel beau tableau nous avons maintenant là devant nous à l’étude ! Voici l’enfant, il atteint l’âge d’environ seize ans, dix-sept ans, le coeur même de ce vieil homme et de cette vieille femme ; tendre, le petit garçon.
70 Eh bien, un soir, Dieu parla à Abraham, disant: «Abraham, amène-le là-haut sur la montagne et offre-le. Immole-le.» Et pourtant, Dieu avait promis à Abraham que toutes les nations du monde seraient bénies en Isaac. Comment va-t-il maintenant, après toutes ces années d’attente, de foi, et maintenant après que tout ce temps s’était écoulé, comment cet enfant était... l’unique espérance de la promesse de Dieu, et Dieu dit à Abraham de détruire toute l’espérance qu’il avait encore.
71 Voyez-vous comment Dieu s’y prend? L’épreuve, Dieu permet des fois que votre état empire un peu, après qu’on a prié pour vous, afin de vous tester. Les tests et les épreuves de la foi, mais: «Celui qui persévérera...» Ça y est. Tenez ferme ; prenez Dieu au Mot. Croyez-En chaque Parole. Quoi qu’on dise ou qu’on fasse, croyez-le de toute façon. Peu importe les circonstances, croyez Dieu de toute façon.
72 Alors, Dieu dit là: «Prends le jeune homme et amène-le là, Je vais bénir le monde entier par lui. Tu as attendu toutes ces années ; maintenant, tu as cent ans, environ cent seize, cent dix-huit. Maintenant, Je veux que tu prennes le jeune homme, que tu l’amènes sur une colline, là, et que tu l’immoles.»
73 Oh ! la la ! Cela parut très étrange, irréfléchi, que Dieu ait demandé à Abraham de détruire son fils unique. Mais derrière cela donc, nous voyons le tableau qu’Il était en train de peindre: Dieu livrant Son Fils unique.
74 Abraham n’a pas voulu l’annoncer à la maman, évidemment ; cela lui aurait brisé le coeur. Il a sellé quelques ânes, il a pris quelques serviteurs, ils ont chevauché vers la montagne.
75 J’aime vraiment cette partie ici. Puis, il monta là où était la montagne, et il dit au serviteur: «Attendez donc ici, pendant que moi et le jeune homme, nous allons là pour adorer. Moi et le jeune, nous reviendrons.»
76 Comment va-t-il revenir, alors qu’il va l’immoler? Mais Abraham savait ceci, qu’il l’avait reçu comme un type, comme quelqu’un venant d’entre les morts, et Dieu était capable de le ressusciter d’entre les morts. Dieu frayerait une issue, d’une certaine façon. Comment? Il ne le savait pas. Dieu lui a dit: «Amène-le et immole-le.» Et c’était tout ce qu’il devait faire.
77 «Attendez ici. Le jeune homme et moi, nous irons là pour adorer, et le jeune homme et moi, nous reviendrons.»
78 Remarquez, le petit Isaac a pris le bois, il a gravi la colline, le père conduisait, Isaac était derrière, avec le bois sur son dos. Regardez ça, c’est un beau tableau de ce qui arriverait huit cents ans plus tard: Dieu conduisant Son propre Fils au Calvaire avec du bois sur le dos pour le Sacrifice. Un tableau, Dieu frayant une issue...
79 Eh bien, quand Abraham est arrivé au sommet de la montagne, il a rassemblé les pierres, il a dressé l’autel, il a disposé le bois. Le petit garçon a dit: «Papa?»
80 Il a dit: «Me voici, fils.»
Il a dit: «Voici l’autel, et voici le bois, mais où est l’agneau pour le sacrifice?»
81 Et Abraham, d’une voix tremblotante, a dit: «Dieu se pourvoira d’un agneau pour le sacrifice.» Regardez le moment sombre. Mais la foi pure ne pouvait pas lui faire douter de Dieu. Remarquez. Oh ! Parfois, je considère simplement cette histoire et je pleure de joie.
82 Abraham a lié les mains de son propre fils, il l’a déposé sur l’autel, il a dégainé le couteau, prêt à ôter la vie à son fils, car Dieu le lui avait ordonné.
83 Et à ce moment-là, une Voix retentit du ciel, disant: «Abraham, retiens ta main.» Et quand le Saint-Esprit eut retenu sa main, Il dit: «Je vois que tu n’as pas épargné ton propre fils. Je sais que tu M’aimes.»
84 Et en ce moment-là, quelque chose se mit à bêler là dans le désert, c’était retenu là-bas, il y avait un petit bélier. Dieu s’est pourvu d’un sacrifice.
Observez, un bélier ; ça devait être un mouton, un mâle, un bélier: le type de Christ, qui prendrait la place de la mort. C’est là le Sacrifice auquel Dieu a pourvu. Et Abraham offrit le sacrifice à la place d’Isaac. Quel beau tableau là !
85 Remarquez. Dieu a toujours frayé une issue. Il frayera une issue ce soir pour chacun de vous.
86 Et Israël, quand ils étaient en Egypte, ils étaient dans la servitude et ils avaient des ennuis, alors ils se mirent à crier à Dieu pour la délivrance. Remarquez: comment Dieu va pourvoir, c’est quand nous sommes dans la Parole de Dieu. Israël avait la Parole de Dieu selon Laquelle ils sortiraient de là un jour. Ils se mirent donc à crier à Dieu, conformément à la volonté de Dieu, pour que Dieu pourvoie à ce qu’Il avait promis de faire.
87 Vous y êtes. Si vous priez pour quelque chose en dehors de la volonté de Dieu, vous ne pouvez pas avoir la foi pour cela. Mais quand Dieu promet quelque chose, je crois qu’Il tiendra Sa Parole. Ils le savaient aussi.
88 C’est la raison pour laquelle Abraham savait que Dieu le délivrerait d’une façon ou d’une autre, c’est qu’Il avait promis que, par Isaac, toutes les nations du monde seraient bénies.
89 Les enfants d’Israël, là en Egypte, savaient que Dieu leur avait promis la délivrance, aussi se mirent-ils à prier pour la promesse.
90 Vous dites: «Frère Branham, si je savais que la guérison divine, Dieu l’a promise !»
91 Très bien, considérons cela juste un instant. Jacques 5.14. S’il n’y a pas de campagne de guérison divine quelque part dans la ville, Il a dit: «Si quelqu’un parmi vous est malade, qu’il appelle les anciens de l’église, qu’ils l’oignent d’huile et qu’ils prient pour lui. La prière de la foi sauvera le malade.» C’est la Parole de Dieu, c’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. C’est exact.
92 Remarquez, aussitôt qu’Israël s’est mis à crier, Dieu a entendu, et Il a pourvu à une issue: Il leur envoya Moïse. Combien c’était étrange, après qu’ils eurent réclamé la délivrance ! Et quand la délivrance leur fut accordée, ils manquèrent de reconnaître cela, ils rejetèrent cela et ils durent souffrir quarante autres années.
93 N’est-ce pas le type d’aujourd’hui? Dieu vous accordera quelque chose et vous, vous allez en avoir peur.
94 Dieu vous a envoyé le Saint-Esprit, vous qui ne voulez pas toute cette église formaliste, ces religions ritualistes. Dieu vous a envoyé le Saint-Esprit ; de grands groupes parmi eux ont peur de Cela.
95 Une nuit, les disciples étaient sur le point de sombrer à bord d’une petite barque qui tanguait sur la mer, ils ont crié au secours. Et quand ils ont vu venir l’unique Homme qui pouvait arrêter les vagues, ils ont eu peur de Lui et ils ont pensé qu’Il était un fantôme. L’unique espoir qu’ils avaient, ils en ont eu peur.
96 Il y a des hommes et des femmes assis ici ce soir, souffrant du cancer, souffrant du coeur, des maladies dangereuses, sans doute. Et l’unique espoir qui vous reste, après que le médecin a déjà fait tout son possible, vous avez simplement peur de tendre la main et de Lui faire confiance.
97 N’ayez pas peur. Recevez Sa Parole. Tenez-vous juste là. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour vous. Dieu vous a envoyé ici ce soir dans ce but-là. Il ne vous a jamais envoyé ici ce soir pour que moi, je prie pour vous. Il vous a envoyé ici ce soir pour accepter la Voie à laquelle Il a pourvu: Jésus-Christ, le Sacrifice expiatoire pour le péché et la maladie. J’espère que vous comprenez cela.
98 Remarquez, ils ont réclamé la délivrance. Dieu leur a envoyé la délivrance. Ils ont dû attendre quarante autres années pour recevoir cela.
99 Dans le désert, Dieu avait promis qu’Il pourvoirait à tout ce dont ils auraient besoin. Ils étaient à court de pain. Et le même Jéhovah-Jiré, le Dieu qui avait pourvu à un sacrifice pour Abraham, quatre cents ans plus tard, Il était toujours Jéhovah-Jiré pour pourvoir à tout ce dont Ses enfants avaient besoin.
100 Ça y est. J’aimerais que cela entre profondément du côté gauche, sous la cinquième côte. Ecoutez. Il est toujours Jéhovah-Jiré, l’Eternel s’est pourvu d’un Sacrifice. Acceptez Cela. N’essayez pas du tout de raisonner là-dessus. N’essayez pas de raisonner. Vous ne le pouvez pas. Les voies de Dieu dépassent tout entendement. On ne raisonne pas sur Dieu. On ne Le connaît pas par la connaissance. On ne Le connaît pas par l’instruction. On Le connaît par cette unique chose: la foi. On ne peut pas raisonner. C’est irréfléchi de croire que vous pouvez résoudre cela par la raison. On ne le peut pas. On doit simplement accepter cela.
101 Remarquez, une fois de plus, en ce moment très critique, ils étaient à court de pain. «Qu’allons-nous faire?» Si Dieu leur avait dit qu’ils iraient à la Terre promise, c’était à Dieu de prendre soin d’eux jusqu’à ce qu’ils y arrivent. Et le même Jéhovah-Jiré était juste avec eux. Et alors, quand ils furent à court de pain, Jéhovah-Jiré pourvut à un moyen pour le pain. D’un bout à l’autre du désert, la manne tombait du ciel.
102 Ils furent à court d’eau. A quoi bon s’inquiéter? Jéhovah-Jiré, l’Eternel qui s’était pourvu d’un sacrifice, était juste avec eux. Et il a frappé le rocher. Ils lui parlaient depuis lors, et les eaux jaillissaient en abondance, abreuvant tout leur bétail, des milliers de gallons par seconde, coulant en abondance d’un rocher dans un désert aride. C’est irréfléchi, n’est-ce pas? Mais Dieu avait pourvu. Vous ne raisonnez pas sur la façon dont Il s’y prend. Il le fait simplement parce qu’Il a dit qu’Il le ferait.
103 Comment les patients couchés, mourant de cancer, les meilleurs docteurs disent qu’il n’y a pas du tout d’espoir, comment peuvent-ils se rétablir? C’est irréfléchi. Mais Il est Jéhovah-Jiré, l’Eternel s’est pourvu d’un sacrifice. Oh ! comme c’est beau !
104 Un jour, la maladie avait frappé le camp. Ils n’avaient probablement pas de médicaments ni de traitements. Quel était... Moïse était là avec tout ce groupe de gens, environ deux millions d’entre eux, jeunes et vieux, malades et tout ; quand ils sont sortis du désert, il n’y avait personne de faible parmi eux. Mais maintenant, remarquez. Quand ils étaient là-bas, ils ont péché, les serpents se sont mis à les mordre, il n’y avait rien qu’ils pouvaient faire. Et Dieu, pendant qu’il... Moïse Lui parlait, Il a pourvu à une expiation ; Il a dit à Moïse: «Va prendre un morceau d’airain. Fais-en un serpent et place-le sur une perche. Et quiconque regardera ce serpent sera guéri.»
105 C’est encore un beau type, l’airain ; le serpent lui-même représentait le péché déjà jugé. Eden, quand Dieu prononça le jugement sur le serpent, cela a été déjà jugé.
106 L’airain représente le jugement divin, sur l’autel d’airain, là où les corps des animaux étaient brûlés. Après que le sang fut retiré, chaque neuf heures du matin, douze heures et quinze heures, des gallons de sang étaient déversés sur cet autel, sur des corps de bêtes mortes, une fumée noire s’élevait. Chaque Juif en Palestine tombait sur ses pieds, les mains levées vers le ciel, et pendant que cette fumée montait, ses prières montaient avec elle. Très bien. Le jugement divin ; les corps brûlaient sur un autel d’airain.
107 Juste comme en Israël, quand Achab avait amené Israël à pécher ; Elie est sorti regarder les cieux ; trois ans et six mois, sans pluie. On lui a dit: «Cela a l’aspect de l’airain», le jugement divin.
108 Dans Apocalypse, quand on a vu Jésus, dans Apocalypse 1: Ses pieds avaient l’aspect de l’airain ; le jugement divin.
109 Le serpent représentait le jugement divin, pour apaiser Dieu. Ses jugements sont divins. Et puis, la perche représentait la croix. Et le serpent représentait Jésus, le Tendre Seigneur Jésus ; Il est descendu, Il a été fait péché. Dieu Lui-même s’est révélé dans un corps, rendu semblable au corps du péché, pour ôter la maladie et le péché du monde. Oh ! que c’est beau ! Par là, Il fraya une issue. Jésus a dit: «De même que Moïse a élevé le serpent d’airain dans le désert, il faut que le Fils de l’homme soit élevé.»
110 Or, pourquoi le serpent d’airain a-t-il été élevé? Pour une double raison. Ils avaient péché et ils étaient tombés malades. Eh bien, alors Jésus fut élevé, Il fut blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris: une double raison. Et ce soir, pour Christ, c’est toujours tout aussi réel de guérir les malades que de sauver les pécheurs.
111 C’est plus un miracle pour Lui de sauver un pécheur ; Il doit changer sa voie. Et certainement, après qu’il est déjà changé, il saura comment croire en Dieu pour sa guérison. Voyez-vous ce que je veux dire?
112 Un autre beau type, rapidement ; il m’est arrivé d’y penser tout à l’heure. Dans le Livre de Ruth... Beaucoup parmi vous passent par-dessus ce Livre, ils ne réfléchissent pas, sans réfléchir à ce que c’est. C’est l’une des histoires les plus glorieuses là-dedans, sur un type de Christ, de tout l’Ancien Testament.
113 Au premier chapitre du–du Livre de Ruth, Naomi... Le mot Naomi veut dire doux. Elle, son mari et ses deux fils, ils avaient quitté la Palestine, un type de l’église. Ils avaient quitté la Palestine, ils sont allés dans le pays de Moab. Là, ils ont établi leur demeure loin de la patrie. C’est le... un symbole de l’état de rétrograde, comme Israël l’avait fait. Tout Juif qui quittait la Palestine était en dehors de la volonté de Dieu. Dieu avait donné la Palestine aux Juifs, et Il leur avait dit: «Restez ici.» Et Ruth était sortie, ou plutôt pas Ruth, mais Naomi.
114 Puis, ses deux fils s’étaient mariés. Tous les hommes moururent: son mari et les deux fils. Elle s’est mise en route vers sa patrie. Ses belles-filles firent une partie de la route avec elle. L’une leva les yeux et regarda la patrie, elle y retourna. Mais Ruth la Moabite, elle ne voulut pas rentrer. Elle aimait sa belle-mère.
115 Elle a dit: «Rentre auprès de ton propre peuple, je suis vieille. Et si j’avais d’autres enfants, eh bien...» Vous connaissez les lois, comment ça devait se passer à l’époque, vous les érudits de la Bible. Elle a dit: «Si j’avais un enfant, ça serait... tu serais trop vieille pour lui quand il aura grandi. Rentre donc, tu peux te remarier.» Oh ! J’aime ça !
116 Naomi, là, le type de l’Eglise juive ; Ruth, le type de l’Eglise des nations... Remarquez. Et alors, la voici revenir. Voyez?
117 Ruth, étant des Nations, une adoratrice païenne, elle regarda de nouveau et dit: «J’irai avec toi. Là où tu vivras, je vivrai. Là où tu mourras, je mourrai. Là où tu seras ensevelie, je serai ensevelie. Ton Dieu sera mon Dieu.» C’est l’Eglise des Gentils qui accepte le salut par Jésus-Christ, notre Seigneur. Remarquez, quel beau tableau ! Et j’aurais voulu disposer du temps maintenant.
118 Dans Ruth, chapitre 2, on révèle le temps où elle retourne ; quand elle revient, c’est juste au temps de la moisson, à la saison de l’orge. Et quand elle a vu, elle a regardé la patrie, elle a pleuré: «J’ai ardemment désiré entrer en Palestine.» Voyez? Elles pleuraient en voyant la patrie.
119 Ces Juifs qui, par milliers, affluent en Palestine, c’est le calendrier du jour, frère.
120 Je vous assure, nous vivons au bout de la route. Je ne serai pas du tout surpris qu’il y ait beaucoup de gens assis ici, avancés en âge, qui verront le temps où il ne restera pas pierre sur pierre à Louisville dans le Kentucky. Ça peut arriver dans une autre année. Je ne sais pas ; je ne dis pas que j’ai indiqué une année. Je ne sais pas ; personne ne le sait. Mais nous sommes au bout de la route. Je le sais. Ces bombes à hydrogène et autres sont prêts à exploser à tout moment.
121 Les Juifs rentrent à Jérusalem. L’étoile de David à six pointes, le plus ancien drapeau du monde, flotte sur Jérusalem, pour la première fois depuis deux mille ans: un signe du temps.
122 Et remarquez, tout comme Naomi qui avait perdu tout ce qu’elle avait, et qui retournait juste à la saison de l’orge...
123 Et aujourd’hui, la Palestine bourgeonne comme une rose. On y trouve quelques-unes des choses les plus importantes, des richesses de tous les pays du monde ; des produits chimiques qu’on trouve dans la mer Morte ne peuvent pas être évalués. La Palestine, le pays de cédrats les plus gros, des citrons qui peuvent peser cinq livres [2 kg] la pièce pratiquement, s’est levée là. Pensez-y, tout cela accomplit la Parole divine de Dieu. A leur retour à la maison, les Juifs rentrent à la période de l’orge.
124 Elle a levé les mains et elle a pleuré. Et les gens ont dit: «Voici venir Naomi.»
125 Elle a dit: «Ne m’appelez plus Naomi, car Dieu a traité amèrement avec moi», sans savoir ce qu’elle ramenait avec elle. Les Juifs savent à peine que le fait pour eux d’avoir rejeté Jésus a donné l’occasion aux Gentils d’entrer. Oh ! J’aime vraiment cela ! Remarquez, alors, quand elle a levé les yeux et qu’elle a pleuré...
126 Et remarquez, on a donc dû obtenir... Tout son héritage lui avait été arraché; alors, il leur fallait subvenir à leurs besoins. Ruth, étant une belle jeune femme, alla aux champs de Boaz pour glaner. C’est ce que faisaient les paysans, les pauvres.
127 J’aimerais vous faire remarquer ce qu’est l’Eglise. C’est une pauvre Eglise. Ruth est donc le type de l’Epouse des Gentils ; là, elle suivait les moissonneurs pour ramasser quelques pailles sur lesquelles il y avait du blé, elle les écossait comme cela, elle les mettait dans un sac, pour avoir de quoi survivre. Elle glanait, pieds nus, dans les champs de Boaz.
128 Et Boaz était le maître de la moisson, il représentait Jésus-Christ, le Fils de Dieu, remarquez, le grand Maître de la moisson. Il est venu inspecter ses champs. Il a vu les glaneurs là-bas ; il a vu les moissonneurs. Et quand ses yeux se sont posés sur Ruth, il est tombé amoureux d’elle: Christ avec Son Eglise.
Il a dit: «Qui est cette demoiselle qui glane dans le champ?»
On lui a dit: «C’est Ruth qui l’a ramenée.»
129 L’Eglise juive, sous la conduite de la Colonne de Feu, sous la conduite de Jéhovah, a ouvert une voie dans l’Ancien Testament, pour le chrétien qui a le Saint-Esprit, dans le Nouveau Testament. Elle l’a ramenée avec eux... Oh ! Si nous avions le temps de rester un peu là-dessus !
130 Remarquez, le retour. Alors, il a dit: «Dites-lui de venir et de se mettre à l’ombre, de manger un peu de nourriture avec nous.» Oh ! Si nous avions le temps de mettre l’accent là-dessus !
131 Remarquez. Alors, Boaz la regarde, il constate qu’elle est une femme vertueuse. Certainement qu’elle devait être de la sainteté. Il s’est donc approché et a dit à tous les moissonneurs, il a dit: «Eh bien, vous, quand cette jeune dame vous suivra, ne le lui dites pas, a-t-il dit, mais, cependant, quand elle vous suivra, de temps en temps, laissez tomber une poignée de plus afin qu’elle puisse avoir cela.» Oh ! la la !
132 Elle allait çà et là, tenant une petite réunion par ici, une réunion de prière dans une petite maison, ridiculisée, raillée par les autres, les autres moissonneurs, ramassant une paille par ici et par là, écossant cela, attrapant une petite bénédiction ici, conduisant sur cinquante miles [80,46 km] pour avoir une autre ; mais je suis très reconnaissant pour une très grosse poignée, de temps en temps, que la petite Eglise née de nouveau trouve au réveil à l’ancien mode, une poignée.
133 Elle ramassait ceci, je pense, et disait: «Béni soit le Seigneur.» Elle écossait cela. Et la nuit, elle en avait un sac plein.
134 Boaz, qui représente Christ, va en ville, très vite. Il ne voulait pas que cette jeune fille s’en aille. Il a dit: «A qui appartient-elle?»
On lui a répondu: «Naomi.»
Et l’Eglise orthodoxe juive a donné naissance à l’Eglise des Gentils. C’est vrai.
135 Il a dit: «Qui est-elle?»
On lui a répondu: «Elle est Naomi.» Elle va donc...
136 Il est donc descendu. Il a dit: «Maintenant, je dois racheter tous ses biens.» Or, la loi de la rédemption dans l’Ancien Testament exigeait un parent rédempteur. La–la loi exigeait que ce ne fût pas n’importe qui qui pouvait racheter un héritage perdu, mais ça devait être quelqu’un qui était un proche parent, et puis, quelqu’un qui était capable de racheter, assez digne pour racheter, financièrement capable.
137 Oh ! Que c’est beau ! Oh ! la la ! Christ, digne, deux fois digne, le Roi du Ciel, ayant vu la petite Eglise remplie du Saint-Esprit, Il laissait tomber une petite poignée de temps à autre.
138 Remarquez, l’unique moyen pour Dieu de pouvoir racheter, c’était que Dieu devait descendre et devenir notre Parent. Dieu était dans l’Esprit. Dieu est descendu, et Il a été fait chair. «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» Alors, pour racheter l’homme, Il a dû devenir un Homme, un Parent. Pouvez-vous vous imaginer la Divinité descendre, se faire chair? L’amour...
139 Que ferait un jeune homme pour sa jeune épouse qu’il aimerait avoir comme une chérie? Il est aveugle. Il ferait tout. Oui, oui. Il la veut. Rien ne peut l’arrêter. Il va l’avoir.
140 C’est ce que Dieu a fait quand Il a vu l’Eglise. Il l’a aimée. Rien n’allait L’arrêter. Il était prêt à donner Sa vie, Dieu est descendu dans un corps de chair: digne, le Roi du Ciel, devenu Parent. Alors, Dieu, après qu’Il était entré dans la chair, en Jésus-Christ, Il est devenu Parent Rédempteur.
141 Observez Boaz. Eh bien, avant qu’il puisse l’avoir, il a dû demander s’il y avait quelqu’un d’autre, un proche parent, qui pouvait prendre cela, la prendre. Alors, pour... Il n’y eut personne qui pouvait le faire ; ainsi donc, il a dû faire un témoignage en public devant Israël qu’il avait racheté Naomi. Et il a racheté Naomi pour avoir Ruth. Oh ! la la !
142 «Il est venu vers les Siens et les Siens ne L’ont pas reçu.» Mais Il a dû racheter Naomi pour avoir Ruth. Voyez? Oh ! Quel beau tableau ! Dites-moi que la Parole de Dieu n’est pas inspirée? Chaque partie de Cela annonçait la Venue. Et Ruth, maintenant attendant...
143 Et Boaz, le roi de la moisson, ou le maître de la moisson, est sorti, en dehors des portes, il a fait venir tous les anciens de la ville, il a rendu un témoignage en public, en dehors de la porte. Il a dit: «Voyez cela, vous tous.» Il a enlevé son soulier, il l’a jeté devant eux en guise de témoignage et il a dit: «En ce jour-ci, j’ai racheté tout l’héritage perdu de Naomi. Et tous ses biens me reviennent aujourd’hui.» Oh ! la la !
144 Soyez prêt, ça y est. Oh ! Je sens simplement quelque chose se mouvoir. Remarquez, Christ, devant les anciens d’Israël, conduit hors des portes de la ville, a fait un témoignage: «Il a été blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris», un témoignage en public qu’Il a racheté l’Eglise (De quoi?) de Son héritage perdu. Dans le jardin d’Eden, nous ne connaissions aucune maladie ; dans le jardin d’Eden, nous n’avions aucun péché ; dans le jardin d’Eden, nous ne connaissions pas de mort. «Et Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique», Il a fait un témoignage en dehors de la porte qu’Il a pourvu à une issue pour tous ceux qui voulaient venir. Quel beau tableau ! J’espère que vous arrivez à voir cela. Maintenant, que le Seigneur soit béni. Et comme je le vois, peut-être, mon temps s’écoule.
145 Dieu pourvoyant à une voie, Il l’a frayée en Jésus-Christ. Quand Jésus gravissait la colline de Golgotha, blessé, saignant, la croix se traînant sur les empreintes des pas ensanglantées, alors qu’Il gravissait la colline, Il est monté là, un témoignage public: «Il a été blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Il est mort, Il est monté en haut (Croyez-vous cela?) et Il a renvoyé des dons spirituels à l’Eglise, pourvoyant à une voie. Et cette joie que nous éprouvons dans nos coeurs maintenant, ce n’est qu’un acompte, un acompte sur ce qu’il y aura quand nous serons pleinement rachetés. Et cette guérison divine que nous avons maintenant, c’est le gage de notre rédemption, de notre corps. Nous sommes rachetés. Dieu a pourvu au Sacrifice.
146 Je dois arrêter, mes amis, comme il y a des gens qui se lèvent et sortent. J’ai dit à ma femme l’autre jour: «J’ai prêché dans environ... je ne sais dans combien de différentes nations, dans chaque ville à travers les Etats-Unis. Et Louisville, dans le Kentucky, est l’unique endroit où les gens se levaient donc et sortaient pendant que je prêchais.» C’est vrai, chez moi (Voyez?), l’unique ville où j’ai donc vu cela.
147 Si quelqu’un a remarqué cela, celui qui a été dans d’autres réunions avec moi, qu’il lève la main, partout dans la salle. Assurément, partout ailleurs, je n’ai connu cela nulle part, jamais de ma vie, sauf ici dans ma propre ville, Louisville, dans le Kentucky. Les gens se lèvent carrément et sortent alors que vous vous appliquez à apporter l’Evangile, directement à la ligne de démarcation. Ils le feront.
148 Je n’ai jamais connu cela nulle part ailleurs, nulle part au monde, où j’ai été, même en Afrique, dans tous les autres endroits, en Suède, en Norvège, où des dizaines de milliers étaient assis.
149 A mon humble avis, je n’ai jamais vu une fois quelqu’un quitter, se lever et sortir pendant que je prêchais, si ce n’est ici même.
150 Vous voyez, mes amis, cette semaine, j’ai durement combattu pour essayer de convaincre certaines personnes, cela...
151 Les Paroles de Jésus-Christ, peu importe ce que c’est, doivent être confirmées. Il a dit: «Un prophète n’est méprisé que parmi son propre peuple, dans sa propre patrie.» Et c’est tout à fait vrai. Ils ne recevront simplement pas Cela. Je ne sais pourquoi. Jésus l’a dit, et c’est réglé. J’ai dans cet Etat des gens qui seraient pratiquement disposés à mourir pour moi. Ils m’aiment. Mais d’une manière générale, c’est la Parole de Dieu, et Dieu doit tenir Sa Parole pour être Dieu. C’est vrai.
152 Et tout celui qui a été dans des réunions auparavant, en dehors d’ici, nous avons eu le moins de signes et de miracles par rapport à ce qui a été accompli dans n’importe quelle réunion que j’aie jamais vue, de ce genre, de cette importance. Généralement, il y a des aveugles, des sourds, des muets, des boiteux et tout, des fauteuils roulants entassés dans le coin, des gens qui quittent les sièges, les civières et les brancards.
153 Il y a seulement, à ce que je sache, il y a deux personnes assises ici. J’ai vu l’une d’elles, devant ce jeune homme ici, assis là. J’ai vu le Saint-Esprit se tenir au-dessus de lui l’autre soir, Il s’est approché de très près... Je pouvais déclarer sa guérison, et juste quand je... avant que je termine de prêcher ; mais j’ai vu Cela s’éloigner de lui une fois de plus. Quelque chose est passé par son siège et l’en a empêché. C’est l’unique personne que j’ai vue qui était même affligée, de quelque manière que ce soit, en dehors de quelques sourds, ou quelque chose comme ça, qui est monté à l’estrade, dont on m’a parlé. Je ne sais pas. Mais vous y êtes. C’est à la maison. C’est chez les vôtres.
154 Maintenant, à mon cher ami, monsieur McSpaddin, monsieur McDowell, et ceux qui sont assis dans la salle ce soir, à qui j’ai essayé de dire ceci, et à vous de Jeffersonville, du tabernacle, voyez-vous de quoi je parle? Vous ne pouvez pas changer la Parole de Dieu. Elle restera éternellement ainsi, car Jésus l’a dit.
155 Maintenant, à vous qui m’implorez de revenir au tabernacle, voyez-vous pourquoi? Alors qu’il devait y avoir probablement cinquante personnes de sauvées cette semaine, ici au cours d’un réveil, il n’y en a peut-être pas autant, peut-être pas dix, à ce que je sache, alors qu’ailleurs, en général, en huit jours, on aurait totalisé des centaines et des centaines et des centaines. Voyez? Voyez-vous la différence? C’était à la maison. C’est parmi les vôtres.
156 Non pas parce qu’ils ne m’aiment pas, mais parce que Jésus l’a dit. Et quand Il est allé chez les Siens, tout ce qu’Il pouvait faire, c’était d’imposer les mains à quelques malades et les guérir ; Il n’a pas pu faire des miracles. Est-ce vrai? C’est l’Ecriture qu’on cite. Il doit en être ainsi. C’est vrai. Ce n’est pas moi, après tout. C’est Lui. C’est bien Lui. Si j’étais un guérisseur...
157 J’ai un frère couché à l’hôpital ce soir, que Dieu m’a montré il y a un an. Et je pense qu’il y a ici même deux cents témoins du cas d’un garçon bien et en bonne santé. Mais Dieu a envoyé une vision et a dit: «Il s’en va. Et advienne que pourra, il s’en va.»
158 Le médecin a dit, il n’y a pas longtemps: «Nous pouvons le sauver.» Mais ils ne l’ont pas fait, et ils ne le feront pas.
159 J’ai vu le Saint-Esprit venir montrer la vision, Il a marqué sa tombe, et Il a dit: «C’est le suivant.» Et c’est ce qui se fera. Combien m’ont entendu dire cela, il y a longtemps, longtemps, longtemps? Levez la main. C’est exact, alors que le jeune garçon était grand, costaud et en bonne santé. Il doit simplement partir. C’est tout. Comment? Si j’étais un guérisseur, je le guérirais. C’est mon propre, mon propre frère.
160 Mais comme Dieu l’a dit, Dieu tiendra Sa Parole. Et c’est la raison pour laquelle je sais cela: AINSI DIT LE SEIGNEUR. Je peux mourir pour Cela, car C’est la Parole de Dieu et Il tiendra Cela. Il a pourvu à une Voie, et je suis content d’accepter Cela ce soir, le Seigneur Jésus-Christ. Pas vous? Que Ses bénédictions éternelles reposent sur vous.
161 Et je le répète, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu ce soir, l’issue, c’est en Jésus-Christ. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Donc, Jésus-Christ a pourvu à une Eglise pour les incroyants, afin qu’ils puissent entrer voir la manifestation de Sa résurrection et qu’ils sachent sans l’ombre d’un doute qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il a pourvu à une voie, pour que quiconque veut, regarde et vive. Si vous refusez de regarder, comment allez-vous faire autre chose que mourir? Jésus a dit: «Si vous ne croyez pas que c’est Moi, vous mourrez dans vos péchés.» C’est exact.
162 Amis, j’ai toujours essayé de garder l’équilibre sur la route. Vous tombez dans le formalisme, tout aussi formaliste et ritualiste que possible. Les gens optent pour ce groupe-là. Si donc vous ne faites pas attention, vous vous écarterez droit du chemin vers l’autre côté, en devenant tout aussi fanatique que possible. Mais il y a un milieu de la route, là où l’Evangile véritable, pur et sain est prêché, et Dieu passe par là et confirme la vérité: «Etroite est la porte, resserré le chemin, et il y en aura très peu qui le trouveront.» D’accord.
163 A vous le petit groupe de gens ici ce soir, qui est assis ici, que l’amour de Dieu vous couvre de Son ombre ce soir. Et surtout les malades et les nécessiteux, je prie qu’il n’y ait personne parmi vous qui rentre chez lui sans être guéri. Si je pouvais faire quoi que ce soit à ce sujet, je le ferais avec joie ; mais je ne peux pas le faire. Tout ce que je peux faire, c’est vous Le représenter par un don divin.
164 Or, si je dis la vérité, que Dieu a pourvu à un Sacrifice, et que ce Sacrifice, Jéhovah-Jiré, c’était Jésus-Christ... Et tous les sept Noms composés de la rédemption étaient en Jésus-Christ. Jéhovah-Jiré: «L’Eternel s’est pourvu d’un sacrifice.» Jéhovah-Rapha: «L’Eternel qui guérit tes maladies.» Et Jéhovah... «La bannière.» Et–et tous les autres sept Noms composés étaient tous en Jésus-Christ. Et c’est là que tous les types et les ombres de l’Ancien Testament, tout s’est uni en Jésus-Christ.
165 Il a payé le prix suprême, Il est monté en haut, et Il a envoyé le Saint-Esprit ce soir. C’est Lui, votre issue de secours à laquelle Dieu a pourvu. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... nous avions le temps d’aborder.
166 Je peux voir les mages charger leurs chameaux, très vite. «Où vas-tu, chéri?», demande une femme.
167 «Je vais voir le jeune Roi qui est né, là loin en Palestine.»
«Eh bien, tu n’as même pas pris ta boussole.»
168 Il a dit: «Je n’ai pas besoin de boussole.»
169 «Comment vas-tu traverser les déserts, les vallées, les collines sans une boussole?»
Il a indiqué une Etoile, il a dit: «Je vais suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu.» L’Etoile l’a guidé tout droit vers Jésus.
170 Ecoutez, avant que nous terminions. Dieu a pourvu à une voie ici ce soir, ce n’est pas par une église, par une théologie, mais par le Saint-Esprit qui vous conduira dans la voie à laquelle Dieu a pourvu pour votre sanctification, pour la guérison de votre corps, pour le baptême du Saint-Esprit, la joie, la paix et tout ce dont vous avez besoin. Jésus-Christ est le Sacrifice auquel Dieu a pourvu.
171 Et je déclare qu’Il est ressuscité d’entre les morts, qu’Il est monté en haut, qu’Il a renvoyé le Saint-Esprit comme la voie à laquelle Dieu a pourvu pour conduire l’Eglise. Il a dit: «Il ne parlera pas de Lui-même, mais Il témoignera de Moi», a dit Jésus. Et quand Il viendra, Il vous rappellera ces choses, et Il vous annoncera les choses à venir, car vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Le monde ne verra pas Cela, mais vous, vous verrez cela, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de l’âge.»
172 Ecoutez cela, Louisville, mon dernier message pour vous. Le Sacrifice auquel Jésus a pourvu, c’est Jésus-Christ, le Ressuscité, ici, qui donne la puissance à l’Eglise par le Saint-Esprit. Ceci est la Lumière. Marchez-y, trouvez le repos pour votre âme, la guérison de vos maladies.
Prions.
173 Père céleste, ô Dieu, quand le jour... au fin fond de mon âme, je me demande, comme je suis amené à me demander, en voyant cette très belle nation de l’Amérique, voyant ces puissantes bombes entassées là de l’autre côté de la mer... des méchants, des impies qui renient Dieu, qui renient le Seigneur Jésus-Christ, le Saint-Esprit, avec toute la méchanceté, la malice et les ruses que Satan peut inculquer dans leur esprit pour détruire ce monde, accomplir exactement ce que Tu as dit, ça se brûlera par la chaleur. Et même les grands hommes de science du monde disent: «Dans dix ans, il y aura un anéantissement total, personne ne subsistera, rien ne vivra sur la terre, elle aura été balayée par une bombe à hydrogène.»
174 Ô Dieu, des hommes et des femmes sont assis ici, ils ne sont pas préparés ce soir. Cette semaine, Tu as été glorieux pour nous. Nous étions assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ, et nous Te remercions pour ces chers saints à Louisville. Et, ô Dieu, puissent-ils quitter cette réunion avec une voix d’avertissement pour tous les alentours.
175 Bien-Aimé Père céleste, je Te prie d’envoyer quelqu’un ici avec un réveil à l’ancienne mode qui fera s’écrouler les murs autour de Louisville. Oh ! Fais-le, ô Dieu ! Que beaucoup de bien-aimés soient amenés à la connaissance du salut par notre Seigneur Jésus-Christ.
176 J’ai fait de mon mieux, Seigneur Jésus, tout ce que je sais faire, livrant ma voix à retentir contre le péché, de toutes mes forces, et Tu as été plus que magnifique pour nous. Tu as confirmé chaque parole par des signes et des prodiges, et nous T’en remercions. Maintenant, Père, quant aux résultats, nous Te confions tout cela. Que Ta volonté soit faite.
177 Bénis frère Cauble, Seigneur, notre frère. Bénis toute son équipe ainsi que tous les autres ministres. Nous pensons au jeune frère Durban, ici, et à ces autres frères, par ici, qui sont de braves frères, qui essaient de leur mieux de marteler contre le péché et la méchanceté, le whisky et la boisson, et les comportements bizarres, et le rassemblement, ou tout à travers la ville. Ils essaient de faire entendre une voix d’avertissement. Ô Dieu, bénis ces hommes et oins-les du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Qu’ils soient de bons intendants, qu’ils aient un grand succès en faisant sortir les gens de ténèbres pour les faire entrer dans la merveilleuse Lumière.
178 Et maintenant, Seigneur, dans ce service de clôture de ce soir, ne veux-Tu pas venir? Viens juste encore une fois seulement, ô glorieux Saint-Esprit, puissance divine, et couvre-nous de l’ombre avec Tes bénédictions. Et que l’Ange de Dieu se tienne ici à l’estrade comme un témoin de la résurrection du Sacrifice auquel Dieu a pourvu, le Seigneur Jésus-Christ. Puisse-t-Il accomplir de grands signes et de grands prodiges pour confirmer la Parole. Car nous le demandons en Son Nom, Celui de Ton Bien-Aimé Fils, Jésus-Christ. Amen.
179 Que le Seigneur vous bénisse, ami chrétien. Maintenant, j’aimerais prier pour les malades. J’aimerais vous poser une question maintenant, bien à l’avance. Y a-t-il quelqu’un ici présent dans la salle qui n’est pas sauvé, qui n’a même pas encore été converti, qui demande à Christ de lui pardonner ses péchés? Je vous le demande clairement, de façon bien rude. Et je crois que vous serez assez homme ou assez femme, assez jeune homme ou assez jeune fille, pour le faire. Si jamais vous n’avez accepté Jésus comme votre Sauveur personnel, et que vous voulez le faire maintenant, voudriez-vous vous lever comme croyant pour dire: «Moi, à partir de cette heure-ci, je serai un croyant en Jésus-Christ»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame.
180 Vous confessez votre foi en Jésus-Christ en faisant cela. Environ cinq âmes seraient mortes il y a cinq minutes, elles seraient parties dans l’éternité sombre. Si elles meurent maintenant, elles sont couvertes du Sang.
181 Y en a-t-il un autre? Où est-ce? Juste derrière, que Dieu vous bénisse. Oui, mon frère. Que Dieu vous bénisse, frère. C’est... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est bien. Juste une vieille rugueuse... Que Dieu vous bénisse, frère, qui accepte Jésus. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Là-haut au balcon, quelque part? Que Dieu vous bénisse, soeur.
182 C’est merveilleux. Oh ! la la ! J’aurais voulu que nous ayons de l’espace ici pour le banc des pénitents et un appel à l’autel à l’ancienne mode. C’est ce dont nous avons besoin maintenant même.
183 Combien ici présents disent: «Frère Branham, j’ai été un pécheur, mais maintenant, je confesse, j’accepte dans mon coeur Jésus-Christ, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu»? Environ deux douzaines se sont levées. Voulez-vous vous lever pour dire... Que Dieu–Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui se lève pour dire: «Maintenant, j’accepte Jésus-Christ maintenant même, comme mon Sauveur. Je fais cette confession ouvertement devant les gens et devant Dieu, que j’accepte maintenant le Remède de Dieu pour mes péchés, Jésus-Christ.» Y aurait-il un autre par ici, n’importe où? Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est de la bravoure. Que Dieu vous bénisse. C’est bien.
184 Quelqu’un d’autre qui se lèverait pour dire: «J’accepte maintenant Jésus-Christ comme mon Sauveur personnel. Je reçois le Sacrifice auquel Dieu a pourvu pour mes péchés»? Que Dieu vous bénisse, papa ; l’homme âgé, à la tête grisonnante, en train de trembloter, il se lève pour accepter Jésus-Christ comme Sauveur.
185 Maintenant, Dieu connaît votre coeur ; Il regarde droit vers vous. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Je vous ai vu là-bas en pullover rouge, levez-vous. Très bien, quelqu’un d’autre, levez-vous pour dire: «J’accepte.» Que Dieu vous bénisse, et vous, la dame et le jeune garçon là-haut. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu...
186 Votre nom est inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau dès que vous vous levez publiquement devant cette assistance. «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints anges. Si vous avez honte de Moi ici devant les hommes, J’aurai honte de vous en ce jour-là.»
187 Avez-vous été un pécheur et aimeriez-vous être pardonné? N’importe qui d’autre qui ne s’est pas encore levé, qui aimerait se lever et accepter simplement le Sacrifice auquel Dieu a pourvu pour votre péché, voudriez-vous vous lever? Quelque... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. [Quelqu’un dit: «C’est un jeune soldat.»–N.D.E.] C’est un jeune soldat. Que Dieu vous bénisse par ici aussi. Que le Seigneur soit avec vous, mon frère.
188 Y aurait-il quelqu’un d’autre? [Quelqu’un dit: «Madame, là même.»–N.D.E.] Très bien. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est magnifique. Quelqu’un d’autre qui a besoin de la Vie Eternelle en acceptant Jésus-Christ? Que Dieu vous bénisse. Oui. Que Dieu vous bénisse, vous trois, là-haut au balcon. C’est merveilleux, n’est-ce pas? Quelque trente ou plus maintenant... Très bien.
189 Que Dieu vous bénisse. C’est comme ça, accepter Jésus, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu. Il est Jéhovah-Jiré. Très bien. Que le Seigneur vous bénisse au balcon, ma soeur, qu’Il vous donne la Vie Eternelle.
190 Maintenant, vous trouvez grâce auprès de Dieu. Il n’y a aucun chrétien ici présent, qui sait quoi que ce soit au sujet de Dieu, qui ait manqué de constater, n’ignore que pendant les cinq dernières minutes, l’atmosphère a complètement changé dans cette salle. C’est vrai. Voyez? Juste à l’heure la plus sombre, puis Jésus vint.
191 Quelqu’un d’autre qui dirait: «J’accepte maintenant Jésus-Christ. Je veux...?» Que Dieu vous bénisse, madame. «Je L’accepte, je veux que mon nom soit inscrit dans Son Livre. Je L’accepte maintenant même comme le Chef suprême de ma vie.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse.
192 Quelqu’un d’autre, un rétrograde, voudriez-vous vous lever pour dire: «Autrefois, j’étais chrétien, Frère Branham, mais je me suis éloigné de Dieu. Ce soir, je reviens à la Maison»? Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, frère. Oh ! Dieu vous voit. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est bien. Oh ! la la ! Que Dieu vous bénisse, frère. Je vous vois au balcon. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, frère avec les mains levées. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, madame. C’est merveilleux. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est merveilleux. C’est... continuez simplement à venir. Si... Que Dieu vous bénisse, soeur ; je vous vois debout. Que Dieu vous bénisse, monsieur, là à l’estrade avec la main levée. Que Dieu vous bénisse.
193 Là derrière, au fin fond, y aurait-il quelqu’un qui dirait: «Frère Branham, j’avais donc rétrogradé, je reviens à la maison. J’accepte mon Remède, Jésus-Christ, le Sacrifice auquel il a été pourvu pour mon état de rétrograde. Je reviens à la maison ce soir même. Je règle cela ici même, une fois pour toutes. Je sais que quand...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Ouvre large Tes
bras d’amour,
Seigneur, je reviens à la maison.
Je reviens à la maison, je reviens à la maison,
Pour ne plus jamais errer ;
Ouvre large Tes bras d’amour,
Seigneur, je reviens à la maison.
194 Je me demande si nous pouvons fredonner cela. [Frère Branham se met à fredonner Seigneur, je reviens à la maison.–N.D.E.] Pendant qu’on fredonne cela, y en a-t-il un qui est resté ici, qui dirait: «Seigneur, Tu me vois alors que je me lève. Je reviens à la maison maintenant. Je suis fatigué de ce vagabondage, de cette paix instable»?
195 J’accepte Ton issue, Jésus-Christ, comme mon Sauveur. Je viens maintenant, Seigneur, tel que je suis. Je viens ; je lève la main. Je vais me lever pour que Tu voies, que cette assistance aussi voie, que je crois maintenant, et je reviens à la maison? [Frère Branham fredonne Seigneur, je reviens à la maison.–N.D.E.] Que Dieu vous bénisse, soeur.
Je reviens à la maison, je reviens à la maison,
Ja-...
Celui qui sent dans son coeur qu’il lui faut L’accepter, qu’il se lève.
Ouvre large Tes bras d’amour,
Seigneur, je reviens à la maison.
Continuez simplement, s’il vous plaît, soeur.
197 Je vais vous demander quelque chose maintenant. Tout celui qui s’est levé, j’aimerais que vous vous teniez debout pendant que j’offre la prière pour vous. Tout celui qui s’était levé, levez-vous encore, juste pendant quelques instants. Levez-vous simplement, partout dans la salle. Tout celui qui s’était levé, levez-vous encore, partout, aux balcons et partout, afin que nous puissions offrir la prière. C’est ça. C’est ça. Vous tous qui vous étiez levés, qui vous étiez levés il y a quelques instants... Et s’il y en a d’autres qui aimeraient se lever avec eux, accepter Christ, voulez-vous vous lever maintenant? Que Dieu vous bénisse. Inclinons la tête maintenant.
198 Bienveillant Père céleste, ceux-ci viennent maintenant comme Tes enfants. Ils étaient déjà venus. Dès que le Saint-Esprit a parlé à leur âme, ils se sont levés et T’ont accepté, et Tu leur as donné la Vie Eternelle. Ô Dieu, bénis-les. Marche avec eux dans la vie, Père. Certains parmi eux ont été Tes serviteurs, dans le passé, mais ils ont fait défection. Ce soir, le Saint-Esprit, au travers de la prédication de la Parole, est descendu et les a oints. Et ils se lèvent maintenant, T’acceptent, Te rendent des actions de grâce pour leur Vie Eternelle qu’ils possèdent maintenant en Jésus-Christ. Merci, Père. Qu’ils mènent une vie heureuse et agréable. Que la maladie se tienne loin de leur porte. Qu’ils vivent longtemps et heureux, et qu’ils viennent en paix entrer dans le Royaume de Dieu, à la fin du monde. Nous le demandons, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
199 Que Dieu vous bénisse. Et les gens ont dit... [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Amen. Que Dieu bénisse tout le monde. Si vous êtes assis à côté de quelqu’un qui s’était levé, serrez-lui la main, chrétien, et dites-lui combien vous êtes content de lui.
200 Nous n’avons pas de place ici pour les faire venir à l’autel. Nous n’avons simplement pas de–d’espace ici pour le faire. Que le Seigneur vous bénisse. Beaucoup, beaucoup d’âmes...
201 Eh bien, vous savez, d’après la Parole de Dieu, qu’est-ce qui est arrivé au Ciel en ce moment-ci? Les anges se réjouissent. Les drapeaux noirs de Satan ont été vaincus. Ils sont rabaissés et ôtés. Les anges et leurs drapeaux blancs de la victoire flottent dans le ciel ce soir, les cloches de la Gloire retentissent, faisant juste entendre des mélodies, quand un seul pécheur vient à Christ. Que le Seigneur soit béni et soit loué à jamais. Oh ! la la !
202 Je crois vraiment que nous allons avoir un vrai service de guérison maintenant. Oui? Quoi? Les cartes de prière? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
203 Dans ce service-ci, je prends chaque esprit dans la salle sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. La raison pour laquelle je dis cela, c’est que cela place le Nom de Jésus-Christ sur toute l’assistance. Si Satan fait du désordre, vous verrez ce qui arriverait. On transportera probablement celui-là pour le sortir directement par la porte. Voyez?
204 Maintenant, vous devez donc être obéissant. Ne vous levez pas et ne vous déplacez pas. Restez tranquille. Ces maladies vont d’une personne à l’autre. Vous savez, vous les érudits de la Bible, que c’est vrai. Voyez? On ne fait pas de religion maintenant, et je ne suis pas responsable des critiqueurs ni des incroyants. Ecoutez cela. Je parle en Son Nom.
205 Maintenant, l’Ange du Seigneur est proche, j’ai confiance que Dieu manifestera la résurrection de Son Fils.
206 Maintenant, approchez-vous. Je suppose, soeur, alors que vous et moi, nous nous tenons ici ensemble, que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue. Mais Dieu nous connaît tous deux. Vous êtes juste quelqu’un qui a été tiré de l’assistance. L’un d’eux vous a donné une carte de prière qui portait un numéro. Vous avez juste votre numéro, et cela a été appelé. Et vous êtes ici.
207 Et il ne vous faut pas avoir la carte de prière. Tout celui qui est assis dans l’assistance, qu’il se mette simplement à prier ; voyez si le Saint-Esprit n’est pas exactement le même ce soir, Celui qui est sur l’Eglise, qui était sur Jésus-Christ...?... Voyez s’Il ne L’est pas. S’Il ne L’est pas–s’Il ne L’est pas, alors je vous ai mal présenté l’Evangile ; alors je deviens un faux témoin de la résurrection. Si Dieu confirme que c’est la vérité, alors j’ai dit la vérité, et Dieu a déclaré que c’est la vérité.
208 Maintenant, la dame ici, une inconnue, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle ne m’a jamais vu, je pense. Nous nous sommes simplement rencontrés ici ; c’est tout. Je ne la connais pas. Dieu la connaît certainement.
209 Maintenant, quand notre Seigneur Jésus était ici, Il a une fois parlé à une femme qu’Il n’avait jamais vue de Sa Vie. Elle puisait de l’eau au puits. Et Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Il lui a parlé assez longtemps pour saisir son esprit, puis Il lui a dit quel était son problème.
210 Et elle a dit: «Eh bien, je vois que Tu es Prophète.»
Eh bien, Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, jusqu’à la fin du monde.»
211 Un homme est venu une fois dans Sa ligne de prière, c’était un homme juste. Il a dit: «Tu es un chrétien, un homme de bien, un homme honorable.»
212 Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?» Ou: «Révérend, Docteur», n’importe comment que vous interprétez cela.
213 Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» En d’autres termes: «Tu priais avant de venir à la réunion et Je t’ai vu faire cela.»
214 Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» 215 Eh bien, si Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il agira donc de même.
216 Maintenant, assistance, Il est ici maintenant, l’Ange du Seigneur. Vous le savez maintenant, que quelque chose est arrivé tout à l’heure. N’est-ce pas vrai? C’est vrai. Il est ici.
217 Maintenant, quant à vous guérir, je ne le peux pas. Vous ne pouvez pas la cacher, votre vie, car vous n’êtes pas dans la présence de votre frère ; c’est dans Sa Présence. N’est-ce pas la vérité? Et vous croyez en Lui de tout votre coeur, que Dieu nous a envoyé ici pour essayer de vous aider. A part le fait que vous êtes vous-même malade, vous avez un bien-aimé malade. C’est votre mari. Il souffre de la hernie, n’est-ce pas? Oui. Tous deux, vous êtes guéris. Vous pouvez rentrer chez vous à la maison maintenant. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, soeur. Une simple foi a touché et a guéri la femme.
218 Venez. Bonsoir, soeur. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Maintenant, je suis juste votre frère. C’est pour votre enfant, c’est pour lui que vous êtes ici. Il y a une ombre noire suspendue sur l’enfant. Sa maladie est incurable, d’après les médecins. Croyez-vous qu’Il me révélera ce qui cloche chez l’enfant? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Il y a eu une espèce d’expérience d’hôpital. L’enfant a subi une intervention chirurgicale. Et il y a quelque chose dans les intestins. Et il y a une espèce d’os ou quelque chose comme cela là qui cloche. Et l’enfant a le foie gonflé maintenant. N’est-ce pas vrai? C’est la vérité, n’est-ce pas?
219 Or, ce n’était pas moi qui disais cela. C’était juste un abandon total à Jésus-Christ. Sa Présence est ici. Maintenant, tout ce que je peux faire, c’est implorer Dieu pour votre enfant. Acceptez-vous la guérison de l’enfant?
220 Christ, Fils de Dieu, aie pitié de cet enfant mourant. Qu’il soit guéri cette nuit même. Accorde, Seigneur Jésus, que Tes bénédictions reposent sur lui et qu’il soit rétabli, car je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.
221 Que Dieu vous bénisse, maman. Faites-moi entendre des nouvelles de l’enfant, ce qui–ce qui est arrivé. Vous allez constater une différence en lui dans les vingt-quatre heures qui suivent. Eh bien, rappelez-vous ce que je vous ai dit. Celui qui connaît ce qui a été, connaît ce qui arrivera. Très bien.
222 Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que le Seigneur Jésus-Christ est ici pour guérir et pour rétablir? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous êtes conscient que vous êtes dans la Présence de Quelque chose d’autre qu’un homme, et C’est Son Esprit.
223 L’assistance peut ne pas comprendre ceci. Mais, regardez l’expression sur le visage des patients quand ils s’approchent d’ici. Ce n’est pas à cause de moi ; je n’ai rien à faire avec cela. Je suis juste une voix. Mais cette femme ici, ou n’importe qui d’autre, comprend et sait qu’il y a Quelque Chose de surnaturel ici. Et vous pouvez voir cela comme un miracle. Un miracle, c’est quoi? C’est quelque chose qu’on ne comprend pas.
224 Eh bien, la femme m’est inconnue, et moi, je lui suis inconnu, nous ne nous connaissons pas ; c’est la première rencontre dans la vie, peut-être, mais Dieu nous a nourris tous deux depuis notre naissance, madame. Croyez-vous cela, le même Seigneur Jésus qui avait parlé à la femme au puits, que j’ai représenté ici ce soir, que trois cents... ou cent et trois âmes L’ont accepté comme Sauveur? Croyez-vous maintenant qu’Il connaît votre coeur, qu’Il connaît tout ce que vous avez fait? S’Il me révèle ce que vous désirez maintenant, accepterez-vous cela? La névrite. Est-ce vrai? Me croyez-vous maintenant?
225 Maintenant, voici autre chose. Vous vous intéressez à un bien-aimé, c’est un jeune garçon. Et ce jeune garçon souffre du coeur. C’est un membre d’une église ici à Louisville, une Eglise baptiste. Va, que le Seigneur Jésus te bénisse et t’accorde le désir de ton coeur. Amen.
226 [Un frère sur l’estrade dit: «Dites: Gloire au Seigneur !» L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.»–N.D.E.] Soyez vraiment respectueux ; acceptez, croyez.
227 Maintenant, je vois une dame, une dame de couleur assise en train de prier. Elle souffre de rein. Vous n’en souffrez plus, madame. Votre foi vous a guérie. Levez-vous. Que Dieu vous bénisse. Croyez simplement de tout votre coeur, et vous aurez cela. Le Saint-Esprit, la religion du Nouveau Testament... Amen.
228 Croyez-vous que cette tension sanguine vous quittera, monsieur, assis là, en train de me regarder? Oui. Très bien, vous pouvez recevoir cela. Que Dieu vous bénisse.
Croyez simplement en Lui.
229 Ayez foi, soeur, assise là, regardant de ce côté-ci, en train de prier aussi. Vous avez quelque chose qui cloche dans la gorge, n’est-ce pas? Vous assise juste derrière cette petite fille là, croyez-vous que Dieu vous rétablira, la petite dame assise ici? Vous étiez assise là en train de prier que je vous dise quelque chose. Je sais qu’il s’agit de votre mal de gorge. Vous n’avez pas besoin de carte de prière. Vous avez juste besoin de ce que vous avez, la foi. Acceptez-vous votre guérison maintenant? Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous et soyez rétablie maintenant. Amen.
230 Ayez foi. Croyez de tout votre coeur ; Jésus-Christ fera s’accomplir cela. Oh ! Je L’aime, pas vous? Très bien.
231 Venez, monsieur.
Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur. Dieu fera s’accomplir cela.
232 Bonsoir, monsieur. Etes-vous l’un de ceux qui étaient debout il y a quelques minutes? Je vois que c’est toujours clair autour de vous. Vous avez accepté Christ comme votre Sauveur personnel. Vous souffrez des nerfs. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous avez contracté une mauvaise habitude: fumer. Dieu ne veut pas que vous fassiez cela. Ça vous fait mal–fait mal aux nerfs, et c’est ce qui vous fait cela. N’est-ce pas la vérité? Vous aimeriez en guérir ; abandonnez les cigarettes, vous avez tout abandonné. Jésus-Christ a déjà touché votre corps, et vous allez vous rétablir et Le servir. Croyez-vous maintenant?
233 Afin que vous sachiez cela, vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez de l’extérieur de la ville, n’est-ce pas? Vous êtes de l’Indiana. Vous avez traversé la rivière. Vous venez d’une ville appelée Greensburg, ou quelque chose comme cela, dans l’Indiana. Est-ce vrai? Maintenant, vous êtes bien portant. Oui. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous, bien portant. Que Dieu vous bénisse.
234 Que l’assistance soit respectueuse ; soyez en prière, soyez dans l’expectative d’être bénis et guéris par Dieu. Amen. Ayez foi en Dieu.
235 Vous assise là, madame, avec votre doigt levé comme ceci, souffrant de... Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette hypotension dont vous souffrez? Croyez-vous cela? Oui. Vous croyez qu’Il va le faire. Levez-vous donc et acceptez cela, cela vous quittera, et vous pouvez rentrer chez vous, bien portante.
236 Vous dites: «Qu’est-ce qui a fait cela?»
Le même Jésus-Christ qui s’était retourné vers la femme à la perte de sang et avait dit: «Ta foi t’a sauvée.» Il a dit... Il connaît toutes choses et Il révèle cela selon Sa volonté. Très bien. Faites venir votre patient. Ayez foi.
237 Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous croyez que vous êtes dans Sa Présence, pas celle de votre frère. Mais savez-vous qu’il se passe quelque chose?
238 Quelqu’un a dit tout à l’heure que je lisais votre pensée. C’est faux. Jésus-Christ connaissait leurs pensées. Est-ce vrai? Les gens ne pensent pas à leurs péchés, et autres, qu’ils ont commis. C’est le Saint-Esprit. Très bien.
239 Regardez de ce côté-ci, monsieur, et croyez. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Nous ne nous connaissons pas ; probablement que nous ne nous sommes jamais vus de toute notre vie. Juste cette rencontre-ci. S’il y a donc quelque chose chez vous, ou quoi que ce soit, votre maladie ou n’importe quoi, Dieu seul le saurait. En ce qui me concerne, je ne le sais pas.
240 Mais je vous vois être amené à un hôpital. Vous venez de sortir d’un hôpital. [Le frère dit: «C’est exact.» –N.D.E.] Il y a quelque chose qui cloche avec le sang, ce sont des globules qui se brisent ou quelque chose comme cela. Et vous avez eu... Je vous vois dans un lit, et il y a une espèce de quelque chose suspendu à côté de vous, c’est quelque chose qui coule... c’est du sang. Je vois une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept transfusions sanguines que vous venez de subir. Est-ce vrai? C’est la vérité.
241 Vous avez une femme malade. Elle souffre de l’arthrite et de foie. Est-ce vrai? Et vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous venez d’en haut de la rivière, de Cincinnati, dans l’Ohio. Votre nom est Berghaus. R. P., ce sont vos initiales. Rentrez chez vous, rétabli. Jésus-Christ vous a guéri.
242 Ayez foi en Dieu. Lui dire son nom? Jésus-Christ n’a-t-Il pas dit à Pierre: «Tu es Pierre»?
243 Maintenant, soyez respectueux, amis. Des visions peuvent vous rendre très faible. Vous avez été dans des réunions cette semaine, et vous savez de quoi je parle. Ayez juste foi en Dieu. Croyez. Et il y avait quelque chose... Juste un instant.
244 Je vois une dame devant moi. Non, c’est–c’est cette dame assise ici même au bout. Vous êtes... Ce n’est pas vous ; c’est quelqu’un qui a un aspect différent. C’est un bien-aimé qui est dans un hôpital, il souffre du cancer. Et c’est une dame, elle est mourante. Et c’est votre belle-soeur. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez-vous maintenant et acceptez la guérison de votre belle-soeur à l’hôpital. Le Seigneur Jésus-Christ qui connaît tout à ce sujet...
245 Très bien, soeur, vous tapez les mains en vous réjouissant. Vous aviez quelque chose qui clochait à vos mains, n’est-ce pas? Très bien, elles sont guéries maintenant et vous pouvez rentrer chez vous.
246 Et vous assise à côté d’elle là, vous souffrez des calculs biliaires, n’est-ce pas, madame, assise là-bas? Levez-vous. Vous pouvez rentrer aussi chez vous et être bien portante. Ils vous quittent au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
247 Croyez simplement. «Tout est possible à ceux qui croient.» Ayez foi en Dieu.»
248 Faites venir la dame. Croyez-vous, madame, alors que vous venez? Acceptez-vous Jésus comme Sauveur, et m’acceptez-vous comme Son prophète?
249 Si c’est donc vrai et que j’ai témoigné de la résurrection de Jésus-Christ, Lui qui se tenait là et qui avait parlé à la femme au puits, qui connaissait exactement ce qui clochait chez elle, Il a dit: «Va chercher ton mari.»
250 Elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’aie jamais fait.» Il ne lui avait point dit tout ce qu’elle eût jamais fait. Mais Il savait, selon que le Père le Lui révélait, tout ce qu’elle eût jamais fait. Est-Il le même Seigneur Jésus ressuscité?
Vous avez connu un accident. Non, vous avez quelque chose comme c’est un... Vous avez été... C’est le Saint-Esprit que vous cherchez, le baptême du Saint-Esprit. C’est vrai. Et vous avez... J’ai vu quelque chose. Vous avez un... Vous souffrez aussi de l’hypertension, n’est-ce pas?
251 Juste un instant, une vision est apparue devant moi. Oh ! C’est la femme assise là, en train de prier. C’est vous qui avez connu un... Vous vous êtes fracturé le pied, n’est-ce pas? Un accident, et vous vous êtes fracturé le pied. Est-ce vrai? Et vous souffrez de rein. Est-ce vrai? Passez avec la dame, vous allez toutes les deux être rétablies. Jésus-Christ...
252 Alléluia. Oh ! Le Glorieux et Incomparable Seigneur Jésus-Christ qui a sauvé votre âme, il y a quelques instants, est en train de confirmer Sa Présence. Amen. Vérifiez sur votre bande magnétique et voyez si ce qu’Il dit n’est pas la vérité. Oh ! Ayez foi en Dieu. Croyez. «Tout est possible à ceux qui croient.» Très bien, Billy ; est-ce votre patient? Amenez-le.
253 Croyez-vous de tout votre coeur? Vous avez aussi un bien-aimé qui a des ennuis, n’est-ce pas? Il n’est pas non plus ici dans cette ville. Il a une espèce de tremblote. C’est la chorée, on dirait. Est-ce vrai? Et il habite une ville où il y a une rivière. C’est une grande ville, et il y a une rivière qui passe à côté d’elle. Il y a beaucoup de bri-... C’est Saint Louis. Est-ce vrai? C’est vrai.
254 Et vous avez un autre membre de famille, c’est une soeur ou quelque chose comme cela, elle vient d’un Etat qui a des collines, des arbres toujours verts. C’est l’Arkansas. Elle souffre du coeur. Allez, que vos désirs vous soient accordés par Jésus-Christ, le Fils de Dieu.
255 Disons: «Gloire au Seigneur Jésus-Christ, le Ressuscité, l’Homme du Calvaire.»
256 Soyez respectueux. Ne vous agitez pas. Juste une minute, et nous allons terminer d’ici quelques minutes. Ne vous agitez pas comme cela. Cela me gêne. J’ai... ici ce soir, veillant... Soyez respectueux.
257 Que cette dame vienne. Croyez-vous que vous pouvez vous rétablir par la foi, et que cette tumeur vous quittera sans que vous soyez opérée? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Acceptez-vous cela maintenant? Au Nom de Jésus-Christ, qu’il vous soit fait selon ce que votre foi a déclaré. Amen.
258 Monsieur, vous assis là, en cravate rouge, vous souffrez de la hernie. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous rétablit? Acceptez-vous cela? Vous venez aussi de l’extérieur de la ville. Je vous vois aussi venir d’en haut de la rivière: Cincinnati. N’est-ce pas vrai? Très bien. Pendant que vous faites un travail double, tenez-vous tous deux debout maintenant même et soyez guéris au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse. Cela vous quitte. Rentrez chez vous, bien portants.
259 Venez, madame, avec foi. Croyez-vous que cette maladie gynécologique vous a quittée? Acceptez-vous Jésus comme votre Guérisseur pour cela maintenant? C’était un abcès, il y avait un écoulement et cela se serait très bientôt transformé en cancer. Mais votre foi vous a sauvée. Maintenant, allez, rendez gloire à Dieu pour cela, et vous recevrez tout ce que vous demandez.
260 Venez, monsieur, en croyant de toute votre âme. Si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, accepterez-vous votre guérison? La maladie du coeur, est-ce vrai? Croyez-vous qu’Il vous a guéri maintenant? Il le fait donc. Votre foi vous guérit. Allez, et que la paix de Dieu règne.
261 Venez, madame. Croyez-vous que Dieu guérira cet enfant-là alors que je traverse l’estrade? Il a l’affection rénale. Allez maintenant ; Jésus-Christ rétablit le petit garçon, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous étiez nerveuse ; cela vous a aussi quittée. Que Dieu soit avec vous.
262 Croyez-vous en Lui? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Ayez foi en Dieu.
263 Voulez-vous guérir de cette bronchite? Croyez-vous que Dieu vous en guérit? Si vous croyez cela de tout votre coeur, levez-vous, madame. Acceptez votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant et être bien portante. Très bien.
264 Croyez-vous de tout votre coeur? Allez-vous accepter votre guérison si Jésus-Christ parle, révèle votre maladie? Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais Il connaît votre maladie. Vous souffrez d’une maladie gynécologique, de femmes ; c’est le ventre et l’ovaire. Maintenant, allez, Dieu vous a guérie. Votre foi vous sauve, madame, au Nom de Jésus-Christ.
Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Vous tous, vous pouvez être guéris en ce moment-ci, si vous croyez.
265 Maintenant, madame, tenez-vous là où vous êtes ; regardez de ce côté-ci. Toute cette assistance, un grand pourcentage parmi eux, souffre de cette nervosité là. Parfois, vous pensez que vous allez perdre la tête, n’est-ce pas? Vous devenez très nerveuse. Récemment, vous avez laissé tomber quelque chose ; c’était une assiette ou quelque chose comme cela ; vous traversiez avec cela. Mais maintenant, Jésus-Christ vous en a guérie, et vous le savez. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant.
266 Maintenant, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, je demande à chaque croyant ici présent de croire que ceci est la vérité. Croyez-vous cela? Eh bien alors, si ceci est la vérité de Dieu confirmée, écoutez-moi. Imposez-vous les mains les uns aux autres, pendant que je prie pour vous. Et j’aimerais que chaque personne ici présente maintenant accepte sa guérison.
267 Dieu Tout-Puissant, sois miséricordieux envers les malades et les nécessiteux. Ils sont ici debout, et toute la salle semble devenir comme une grande Colonne de Lumière maintenant, je sais que quelqu’un se tient près avec ses mains autour de moi, posées sur les mouchoirs ; bénis-les, Seigneur, pour la guérison des malades. Tous ces gens nécessiteux ici avec leurs bras et leurs mains posés, les uns aux autres, que la Puissance, la Voie à laquelle Dieu a pourvu, le Fils de Dieu, par Sa grande puissance et Sa grande majesté, parcoure cette salle comme un vent impétueux et...?... cela condamne chaque maladie, chasse chaque mauvais esprit.
Maintenant, je condamne Satan, je réclame la victoire sur lui maintenant même. Et, toi Satan, sors de ces gens, au Nom de Jésus-Christ.
Et que tout le monde ici présent, qui croit que Jésus le guérit, se lève et rende gloire à Dieu, au Nom de Jésus-Christ.
O Dieu, au Nom de Jésus-Christ, ils acceptent maintenant leur guérison.
1 Good evening, friends. It's a great privilege to be here tonight in this auditorium to minister to God's children, to the sick and the afflicted, and to minister to the unsaved in the way of salvation. And we're sorry that this has to be our last night in this special campaign, series of these services, but we certainly want to thank each and every one of you for your wonderful cooperation, for all that you have done for us, giving us your faith, and your... all that you have done. We appreciate it from the depths of our heart. Only eternity will tell how that we appreciate.
And we want to be grateful to our Brother Cobbles, for his sponsoring us here in the city; and for the fine cooperation we've had with him and his church, and his people. And we thank all of you who's come from different places, from Indiana and around, the states about. It wasn't even advertised out there. I guess you just got it through the mail somehow, for it to be here. 'Cause we know we wouldn't have room much in that church. And we thought, if it got too bad, then maybe we could find a night or two at the auditorium.
Now, we're grateful for the people who let us have this auditorium tonight, for we appreciate that, for them opening up this place for these services on this Sunday night, for the glory of our Lord Jesus Christ. We thank Him.
4 And now, just as I was coming in just now, my brother, and Billy, and some of them was standing out there, told me that there had been adequate, enough sufficient of the funds to pay off all the debts. They paid off the rent on the church, and the newspaper, and the custodians of the church, and the music, and all the newspaper advertisements, the radio broadcast. Everything has been paid, up till tonight. I think they had enough, so that left the night love-offering free for me.
That, I have always tried to keep, as you know, a reputation about money. We don't do that. And if there's not enough to take care of the things, then I'll take it out of my love-offering. And the love-offering, I wouldn't even take that, if I wasn't a poor man and had to live like the rest of us does. If I could work, and still run these meetings across the nation, I'd never mention a love-offering for myself. Just expenses to be paid is all we require. And that's not only been in Louisville; that's been around the world. And as long as I live, and God will help me, it'll remain that way. Not money, I'm not after money. I'm trying to get the people to believe the Lord Jesus Christ for their salvation and for their healing.
6 And your tithings, and so forth, that you've put in this last week, has gone for that purpose. And on Sunday night, they usually, or the last night of the meeting, whatever, it's a week or two weeks, ten days or whatever, they take a love-offering for me. And if there would be something in there that would be left over, it'd go right straight to foreign missions. Perhaps my secretary and them who takes care of the money, and so forth, are setting present now, and my wife and them, who knows that that's the truth. And Almighty God, Who is our Judge, knows that to be true. And so we're thanking you for everything that you have done.
7 Now, this being the closing night of the service... Now, we start tomorrow for Shreveport, Louisiana, to begin there in the Municipal Auditorium for the services; the next service is to begin there.
And then we go from there to Denver, Colorado, where the Christian Business Men, of Denver, sponsors us there in a--a campaign. And I believe it's the Civic or the City Auditorium there; no churches sponsoring it, just the Christian Business Men.
And then from there, we go to--to Edmonton, Alberta. And then from there, to Grande Prairie, British Columbia; Dawson Creek; on up into the Eskimo land.
10 And we get back down then again around, to begin down here in the states again, around June, which will be over in Des Moines, Iowa. And we go to Methodist campgrounds at Cedar Lake, in the convention there; and then on over to the Pacific northwest.
And then from there, to Durban, South Africa. This time, it isn't my choice, my setting. It's THUS SAITH THE LORD. And to go to Africa, India, Palestine, Luxembourg, Frankfurt, Germany, and London, and then to Paris, then back home.
Then from there, we ought to get in around January or February, we go to New Zealand, Australia, and to the East.
And I'll be expecting prayers to be coming from Louisville, Kentucky, in support of this meeting that we're going, the itinerary.
14 One of these times, if I'd happen to get back even a year from today, there's many setting here tonight, perhaps, won't be here, if I'm spared. In a audience of this size, oh, a thousand people or more, whatever, they'll be--they'll be many of you will be gone. Then I'll meet you again, some of these glorious mornings, at the resurrection, when the saints (the redeemed) are brought back to earth again for the great Millennium. I hope to spend an endless eternity with you in the Kingdom of God, to which I represent here tonight.
God bless you all. And I don't want to leave out anyone. The little ladies that plays the music, and, oh, everyone, God bless you.
16 Now, it's my lot tonight to speak just a few moments again. And I don't know what time we have to close the auditorium. But a getting started just the time, at eight-thirty, maybe speak a half hour, and then start our prayer line, praying for the sick...
And now, you dear Christian people here, of Louisville, Kentucky, and Jeffersonville, New Albany, one of these days, I would like to advertise the meeting nationally and have an old, big old tent set out here, that'll seat several thousand people, and have an old fashion revival. That's what I think we need in Louisville, is an old fashion, God-sent revival. You pray. If the Lord leads that way, I'll come.
18 Now, there's two or three healing campaigns going on in the city. That's the reason we never made it no national affair. We just come to Brother Cobbles' church. See? And we didn't come here to be competitors to these other brethren. We don't believe in being competitors to the religion of Jesus Christ. We are brethren together, working together for all that we can, for the good of the Kingdom of God, and every church, every one.
We might different a little bit on ideas, the ministers, but not to the peoples. We still believe the Blood of Jesus Christ cleanses us from all unrighteousness. We become sons and daughters of God by confessing our sins and accepting this Blood, no matter what church you belong to. And we believe that with all of our heart. My services is always inter-evangelical, or interdenominational, so we trust that God will bless you all.
20 Now, in standing, mainly, in a city or a place, we are not here to represent Divine healing. We're not even featuring Divine healing. We're featuring Jesus Christ, the Son of God. And when you feature Jesus Christ, you feature Divine healing. Because it's the attributes of His death, what gives us salvation and healing for our bodies.
And there's no--no power within any man, that can heal another person. Healing has already been purchased at Calvary. And only thing that we can do is point men to where that one-time, all-sufficient sacrifice was made by Jesus Christ the Son of God. In there we just look and live. God made the way, and we accept it.
A minister couldn't save no one; he could only preach the Gospel, if he's anointed of the Holy Spirit, and point people to the place where they were saved. They were saved nineteen hundred years ago at Calvary. You have to accept it as your personal Saviour now to have benefits, or dividends off of His death, and enjoy the attributes of what He died for.
23 Now, and Divine healing is the same thing. "He was wounded for our transgressions, bruised for our iniquity, chastisement of our peace upon Him, with His stripes we were healed," all in the same day, by the same Man. Inseparable, run parallel, one to the other, the Blood coming from His back and the ones coming from His wound, mixed together and run off of His feet... See, that's it. Salvation, healing, peace, satisfaction, joy, everything that we have need of in the earthly journey, was met in Calvary. And God will minister to everyone who will accept it upon those basis and believe it with all their heart.
24 Now, "God set in the Church, some teachers, apostles, prophets, gifts of healing," and, oh, different kinds of gifts. He put that in the Church for the perfecting of the Church, getting the Church together.
And now, days has passed since the first round of the apostles. They had all the nine gifts working in the Church. The second round, they begin to cool off. The third round was about all gone. Then went out into the fifteen hundred years of dark ages. Then come the reformation.
After the reformation come sanctification, after justification come John Wesley, preaching sanctification. In there come Calvin, Knox, and all of those who came down into the Pentecostal, Nazarene, that age.
27 And now we're moving right on into another great age, coming for the rapture of the Church. And in this, we're living in the time of the restoration of the gifts. It stumbled many of the big fine churches; it sent Nazarene backwards; it made fanatics out of a lot of Pentecost. But just the same, God's moving right on, bringing in the rapturing faith for His Church. That's right. So tonight I represent that faith, the faith that was once delivered to the saints, in the way of a Divine gift.
Which, to my opinion, "Gifts and callings..." Not my opinion; but the Bible says that gifts and callings are without repentance. There's nothing you can do about it. You can't make yourself with blue eyes when you got brown. You're just what you are, by the grace of God.
You can't even come to God without God calling you first. You can't seek God without God seeking you first and calling you. "No man can come to me, except My Father draws him." So God is seeking. "God has set in the Church..."
30 And then from a little child, born here in this state of Kentucky, visions just comes to me just the same as--as eating or anything else. It's just as God will, He provides it. I just do as He tells me to do.
Certainly, I have many critics. I have many people who disbelieve it. No matter what would take place, they'd disbelieve it anyhow. I expect to have that. And if I didn't have that, I'd go down to an altar somewhere and say, "Dear Lord, what's wrong with me?" "For all that live godly in Christ Jesus shall suffer persecution." Right. We must have it. That's right.
33 So Jesus had it. He said, if... When He could stand in His audience, and know what (the people) was wrong, and how whether they was healed or not. And they touched Him, with the--their faith. When He turned and said, "Who touched Me?" He said, "Your faith has saved you. Now, your blood issue has stopped. Your faith has made you whole."
A woman come to Him one time. Or He was standing where she was at, at the pool, or the drinking place, the well, Jacob's well. And a woman come, and He carried a conversation with her for a few moments till He found her trouble; said, "Go, get your husband."
She said, "I have none."
Said, "That's right. You have five."
35 He, when He was here, He knew where a fish was, had a coin in his mouth. He knew where two mules was stand, hitched to, where two ways came together. And He knew where a man would be packing a pitcher. Many things that He knew. He knew Philip when he come to Him, that he'd been praying before he come, under a tree; knew that he was a good, righteous man.
But He said in His Own Words, "I can do nothing of Myself, until the Father shows Me what to do." All that believes that Scripture, say "Amen." [Congregation says, "Amen."--Ed.] That's what, Saint John 5:19.
37 He passed by a big multitude, two or three thousand people in there, crippled, twisted, lame, halt, blind, withered; full of love and compassion, walked right by every one of them, healed a man with some little disease like... Oh, I don't know; he might just been subject to bad colds, for all I know. It, he had it thirty-eight years. It wasn't going to hurt him or kill him; it was retarded. And He made that man whole, and walked away and left that multitude laying there. And then when He was questioned, He said, "I can do nothing of Myself, but what I see the Father doing."
38 Now, sometimes people want Him to clown with that, when they seen He had that power. They asked Him. Herod said, "Do me a miracle. Let me see You do something." And he asked Him to speak for Himself. He stood, like dumb before shearers, like a sheep dumb before the shearers.
They wrapped a rag around His head one day, a bunch of critical soldiers, and hit Him on the head, and said, "Now, if you're a prophet, if you know all these things, and so forth, tell us who hit You. Do a miracle for us."
40 When Satan first met Him, Satan said, "Now, if you will do a miracle for me, I'll believe that you're the Son of God. Turn these stones to bread. Let me see you do it." Jesus just quoted the Scripture right back to him.
And then, every time Satan wanted to see Him do a miracle. The people who's possessed of Satan, wants to see Him, "Do something for me. Let me see You heal this one. Let me put a scratch on Your hand, and You heal it, and I'll believe You." There you are. The same evil spirit that said, "Come off the cross now and we'll believe You. Your hands are tacked up there. You're calling Elijah; let's see Him come, deliver You now. If you found so much favor in Him, in God, let's see Him deliver You. Come off the cross and we'll believe you. Do a miracle before us."
Miracles has always stumped the unbeliever. But just the same, our heavenly Father is a miracle-working God. That's it. Everywhere He's always been, whatever His ministry has been, where He's had His ministers, there's been signs, wonders, and miracles.
43 Now, the Lord bless you, while I read a text of Scripture here for a few moments, and then we will go into the service, and then right to the healing service.
44 Now, look. Jesus, when He was here on earth, He said, "Now, the things that I do, shall you do also. More than this will you do (or greater), for I go to My Father. Now, yet a little while," I'm quoting Jesus, "yet a little while and the world sees Me no more, yet You shall see Me, for I'll be with you, even in you, to the end of the world: Jesus Christ the same yesterday, today, and forever."
How many Christians in here tonight, believe with all your heart, that Jesus Christ has risen from the dead and lives tonight? Let's see your hand. Well, if He is the same yesterday, today, and forever, won't He produce tonight in His Church the same thing He did in His Church, when He was here on earth in flesh? See? It's just... The Holy Spirit is the Spirit of Jesus Christ. He's here in a spiritual form, just as much alive as He ever was, here, living in us, performing the things that He did when He was here on earth, as a confirmation of His being with us. "I'll be with you, even in you, to the end of the world." The Lord bless you.
46 Shall we pray. Heavenly Father tonight, get glory, heavenly Father, out of our efforts that we're trying to put forth for Your glory. Now, here lays the Word here on the pulpit, opened up. But who can understand It? When, It's written by inspiration, promised that It was hid from the eyes of the wise and prudent, and would be revealed to babes such as would learn, now, Father, we pray that You'll let us consider ourselves babes, not knowing anything, that we might learn some things through the revelation by the Holy Spirit. May He take the Word of God now and give It to every heart as we have need. For we ask it in His Name. Amen.
47 In Genesis... Just a little warm up here; I guess it is out there also. If the custodians will, give just a little air in the building, so the people will feel just a little better. I see some of them fanning.
48 Now, in Genesis the 22nd chapter, I want to draw your attention to a few words here, just on the close of this meeting, of the Gospel. I always like to say, or read some of the Word here, because this Word will never pass away. And It's eternal, forever.
And if I would say anything about a text, for tonight, I wish to speak on this: "God Has A Provided Way." He has a provided way of approach to Him. He has a provided way of escape. And He has a provided way for everything we have need of. If we can only find that way God has provided, then we're sure to get it. If God...
If this building was provided here to take care of, keep the rain off of us, as long as we get into the building, then we're out of the rain.
If God has provided a way for salvation, we can find that provided way, we can have salvation. If God's provided a way of Divine healing, then we can find, get in that way, we find Divine healing. If He's provided peace for the unstable, then if we get in that way and find His provided way, we can have peace.
52 Now, reading from the 7th verse of the 22nd chapter, notice this now, great, dramatic story here before us.
And Isaac spake unto Abraham his father, and said,... father: and he said, Here am I, my son. And he said, Behold the fire and the wood: but where is the lamb for the burnt-offering?
And Abraham said, My son, God will provide for himself a lamb for a burnt-offering:...
May the Lord add His blessings to the reading of that Word. I might read in respond to that, the 14th verse also.
And Abraham called the name of the place Jehovah-jireh: as it is said in this day, In the mount of the LORD shall it be seen.
54 Jehovah-jireh was God's Name of redemption. God, the word "Jehovah-jireh," means, "God will provide Himself a sacrifice." "God will make a way," otherwise. Now, God had seven compound redemptive Names: Jehovah-jireh, and Jehovah-manasses, and Jehovah-rapha, the Healer; and all these different compound Names that He had, what He was, representing what He was to the people. And this provided sacrifice tonight, Jehovah-jireh, "The Lord will provide Himself a lamb."...
The great dramatic story laying before us, as--as we move in now, may the Holy Spirit take these next few words and bind every heart.
56 Now, this is the last night of the service. I want each one of you to give me your undivided attention and listen close now. We're trying to go in for the greatest victory of the meeting. This is the last night. Usually there's more people healed on the last night than there is in the rest of the meeting: their great anticipation.
Satan fights harder. Everything goes wrong, seemingly, because Satan is trying to keep that people in tension and everything else, so that he can keep them away from this great time of strain that we're now entering into, for the great, as we'd say, "Going in for the kill now."
He's already beat up in the corner. He's been exposed and all of his devises is exposed. And men and women has accepted Jesus Christ as their Saviour. People with cancer, and tumors, and--and everything else, has been healed: doctors' statements proving that it's the truth.
59 Now, here sets a group of people here tonight, setting, waiting under great anticipation. And Satan, if he can interrupt your mind, that's all he has to do. But let's go in now for the great kill, just now, to drive Satan and all of his powers plumb out of the building, that God can have the right-a-way and heal every sick person, for the glory of God.
60 Now, Abraham the patriarch come down out of Shinar, away from the tower of Babel. He and his father journeyed down into the--the plains. And there Abraham, at the age of about seventy-five years old, God called Abraham by election and sent him out of his own country, telling him that he was going to have a child by his wife, Sarah, who was sixty-five years old at the time. God promised.
I want you to see how God's promises are so real to those who will accept it. And He told him what He was going to do. And he moved out, not knowing where he was going, but sojourned in a strange land.
God, when He calls people, He calls for total separation from all the things of the world: annihilation from the worldly things. Separate yourself, and God will bless you. Come out from among them; be not partakers of their sins. Yoke yourself not up among unbelievers, but yoke yourself with believers, fellow citizens of the Kingdom.
62 And Abraham had to take his wife and leave the country. But he believed God by faith. You couldn't reason it out. There's no way of finding how he could ever do it. How, this woman, lived with her since she was a young girl; both of them young, healthy people, all these days; till she was then forty, fifty, sixty, probably twenty-five years a past menopause... And God said, "You're going to have a baby by this woman." And Abraham believed God, against all reason, against all scientific research, even to this day. How could a woman sixty-five years old have a baby? But God said she's going to do it, so Abraham believed it.
So he went out, not knowing where he was going. And finally, after Sarah got to be almost a hundred years old, Abraham still believing (I want you to see it.)--still believing that God was going to keep His promise, he had everything ready for the baby. And finally the youngster arrived. God always does it that way. He brought the baby just in due season.
64 See, longer it went, Abraham figured, "Well, I didn't get it today. I didn't get it this month. I didn't get it last month. But no matter how long it is, the longer it is, the older I'm getting, the more of a miracle it'll be," give God praise for it.
Instead of being weak like we'd be: prayed for tonight, and get--get healed, said you got worse tomorrow, you say, "Oh, well, there's nothing to it." That's the reason; you can't keep God's Word.
"Thy Word have I hid in my heart, O Lord," David. Hide God's Word away in your heart, and then God will keep that Word. God has to keep His Word. God doesn't have to heal to prove His power. But He has to heal to keep His Word. That's right. God don't have to prove nothing. He's God. But what He speaks, He's obligated to His Word. So are you and I obligated to our word. And God's obligated to His Word.
67 So if Divine healing's in the Word, that settles it. If He was wounded for our transgressions, with His stripes we were healed, that was the sacrifice, that settles it. As far as I'm concerned, that's all. If God did it there, promised He'd do it, that settles it.
68 That's the way it was with Abraham. No matter what come or went, Abraham believed it anyhow. Perhaps got everything ready for the youngster, then God let him go till he was a hundred years old, turned him and Sarah back to a young woman, young man again, and gave them the baby.
69 There, what a beautiful picture now we have before us under consideration. Here's the youngster, becomes about sixteen years old, seventeen, the very heart of this old man and woman; lovely, the little fellow.
Now, God speaks to Abraham, one night, said, "Abraham, take him up there to the mount, and offer him up. Kill him." And yet, God had promised Abraham that, "Through Isaac all the nations of the world would be blessed." How is he going now, after all these years waiting, believing, and now after all this time has passed, how is the baby... The only hope of God's promise, and God told Abraham to destroy every hope he had again.
71 See how God does? Testing, God permits you sometime to get a little worse after you're prayed for just to test you. The testings and trials of faith, but, "He that endureth..." There it is. Hold on; take God at His Word. Believe every Word of It. No matter what anything else says or does, believe it anyhow. No matter what the circumstance look like, believe God anyhow.
72 Then, there God says, "You take the boy and take him up there. I'm going to bless all the world with him. You've waited for all these years; now, you're a hundred years old, about a hundred and sixteen, eighteen years old. Now, I want you to take the little fellow, and take him up on the hill there, and kill him."
My, oh, seemed very strange, unreasonable, that God would ask Abraham to destroy his only son. But behind it now, we see the picture He was painting: God giving His only Son.
74 Abraham didn't want to tell the mother, of course, it would break her heart, saddled up some mules, and taken a few servants, and rode off to the mountain.
I just love this part here. Then he got up to where the mount was, and he said to the servant, "You wait here now, while the boy and I go yonder to worship. And the boy and I will return."
How is he going to return, when he's going to kill him? But Abraham knew this, that he had received him in a figure, as one from the dead, and God was able to raise him up from the dead. God would make a way of escape some way, how, he didn't know. God told him, take him and kill him, and that was his only thing he had to do.
"You wait here. The boy and I'll go yonder to worship, and the boy and I will return."
78 Notice, little Isaac picked up the wood, went up the hill, the father leading, Isaac, behind, with the wood on his back. Look at it, beautiful picture of some eight hundred years later, God leading His own Son up Calvary with the wood on His back for the sacrifice. Picture, God making a way of escape...
79 Now, and when Abraham got up on top of the mount, rolled the rocks together and built the altar, laid the wood down, the little lad said, "Father?"
He said, "Here am I, son."
He said, "Here is the altar, and here is the wood, but where is the lamb for a sacrifice?"
And Abraham, with trembling voice, said, "God will provide a lamb for the sacrifice." Look at that dark moment. Yet, faith unadulterated, wouldn't let him disbelieve God. Notice. Oh, I just look at this story sometimes and weep for joy.
82 Abraham bound his own son's hand, laid him up on the altar, pulled the knife from his belt, and was ready to take his son's life, because God had told him to do so.
And at that time, a Voice screamed from the heaven, said, "Abraham, stay your hand." And when the Holy Spirit caught his hand, said, "I see that you haven't withheld your own son. I know you love Me."
84 And about that time, something begin to bleat over in the wilderness, caught up over there, and there was a little ram. God provided a sacrifice.
Watch, a ram, it had to be a sheep, a male, a ram: Type of Christ, Who would take the place of death. There's God's provided sacrifice. And Abraham offered up the sacrifice in Isaac's stead. What a beautiful picture now.
Notice, God always made a way. He will make a way tonight, for every one of you.
86 And Israel, when they were down in Egypt, they were in bondage and in trouble, and they begin to cry to God for deliverance. Notice, the way God will provide is when we're in God's Word. Israel had God's Word that they were going out of there someday. So they went to crying to God, according to the will of God, for God to provide what He had promised to do.
There you are. You're praying for something that's out of the will of God, you can't have faith for it. But when God promises anything, I believe that He will keep His Word. So they knew.
That's the reason Abraham knew that God was going to deliver him somehow, because He had promised that through Isaac, all the nations in the world would be blessed.
The children of Israel down in Egypt, they knew God had promised them deliverance, so they went to praying for the promise.
90 You say, "Brother Branham, if I knowed Divine healing, that God had promised it."
All right, let's take it just a moment: James 5:14. If there ain't a healing campaign in the city somewhere, he said, "If there's any among you sick, let him call the elders of the church; anoint them in oil, and pray over them. The prayer of faith shall save the sick." That's God's Word, God's provided way. That's right.
92 Notice, when Israel begin to cry, God begin to hear, and provided a way of escape: sent Moses to them. How strange it was, after crying for deliverance, and when deliverance was brought to them, they fail to recognize it, and refused it, and had to suffer forty years more.
Isn't that typical of today? God will bring you something, and you'll get scared of it.
God sent the Holy Spirit to you people who didn't like all this formal church, ritualistic religions. God sent you the Holy Spirit; great groups of them are scared of It.
95 The disciples were about to sink one night in a little boat, and it bounced around out on the sea, and they were crying for help. And when they seen the only Man that could stop the waves, coming, they were scared of Him and thought He was a ghost. The only hope they had, they were scared of It.
96 There's men and women setting here tonight, with cancer, heart trouble, dangerous diseases, no doubt. And the only hope that you have, after your doctor's done done all he can do, you're just scared to reach out and trust Him.
Don't be scared. Take His Word. Stand right out there. It's God's provided way for you. God sent you here tonight for that purpose. He never sent you here tonight for me to pray for you. He sent you here tonight to accept His provided Way, Jesus Christ the atoning Sacrifice for sin and sickness. I hope you get it.
98 Notice, they cried for deliverance. God sent them deliverance. They had to wait forty years again to receive it.
In the wilderness God promised He'd supply everything they had need of. They got out of bread. And the same Jehovah-jireh, God will provide the sacrifice to Abraham; four hundred years later, was still Jehovah-jireh, to provide everything that His children had need of.
100 Here it is. I want it to go way deep on the left side, under the fifth rib. Listen. He's still Jehovah-jireh, the Lord's provided Sacrifice. Accept it. Don't just try to reason it out. Don't try to reason; you can't reason. God's ways are a past finding out. You don't reason God. You don't know Him by knowledge. You don't know Him by education. You know Him by one thing only: faith. You can't reason. It's unreasonable to believe that you could reason it out. You can't. You just have to accept it.
101 Notice, again in this great tremendous time. They run out of bread. "What are we going to do?" If God told them they was going to the promised land, it's up to God to take care of them till they get there. And the very Jehovah-jireh was right with them. And then when they run out of bread, Jehovah-jireh provided a way of bread. All the way through the wilderness manna rained out of heaven.
They run out of water. What's the use of worrying? Jehovah-jireh, the Lord's provided Sacrifice, was right with them. And he smote the rock. And they spake to it, from then on, and waters come abundantly, water all their cattle, thousands of gallons per second, pouring out of a rock in a dry desert. Unreasonable, isn't it? But God provided. You don't reason how He does do it. He just does it because He said He would.
103 How could a patients, laying, dying with cancer, the best of doctors says that there's no hope at all, how could they get well? It's unreasonable. But He's Jehovah-jireh, the Lord's provided Sacrifice. How beautiful.
104 One day they got sickness in the camp. They had no, probably, no medics and treatments. What was... Moses out there with all that group of people, about two million of them, old and young, and sick and all; when they come out of the wilderness, there wasn't a feeble one among them. But now notice, when they were out there, and they sinned, and snakes begin to bite them, there was nothing they could do. And God, and while he, Moses speaking to Him, provided an atonement; told Moses, "Go get a piece of brass. Make a serpent out of it and put it on a pole. And it'll come to pass, whosoever shall look upon this serpent will be made well."
Beautiful type again, the brass, the serpent itself spake of sin already judged. Eden, when God pronounced the judgment upon the serpent, it was already judged.
106 The brass speaks of Divine judgment on the brazen altar where the beasts bodies were burnt. After the blood was taken; every nine o'clock at morning, twelve o'clock, and three o'clock in the afternoon, gallons of blood was throwed on this altar, over the bodies of the dead beasts, black smoke rose up. Every Jew in Palestine fell to his feet, and his hands towards heaven; and as that smoke ascended up, his prayers went with it. All right. Divine judgment; the bodies burnt on a brass altar.
Just like in Israel, when Ahab had caused Israel to sin, and Elijah went out to look at the skies; three years and six months, no rain. He said, "It looks like brass," Divine judgment.
In Revelations when they seen Jesus, in Revelations 1, "His feet looked like brass," Divine judgment.
109 The serpent spake of Divine judgment, to appease God. His judgments are Divine. And then, the pole represented the cross. And the serpent represented Jesus, the lovely Lord Jesus; He came down and was made sin. God Himself revealed Hisself in a body, made like unto sinful flesh, to take away sickness and sin from the world. How beautiful. In there He made a way. Jesus said, "As Moses lifted up the brass serpent in the wilderness, so must the Son of man be lifted up."
Now, what was the brass serpent lifted up for? For a compound reason. They had sinned and were sick. Now, then Jesus was lifted up, wounded for our transgressions; with His stripes we are healed: compound reason. And it's still just as real tonight for Christ to heal the sick, as it is to save the sinners.
More of a miracle for Him to save a sinner; He has to change his way. And surely, after he's already changed, he would know how to believe God for his healing. See what I mean?
112 Another beautiful type, quickly, I just happened to think. In the Book of Ruth... Many of you run over the top of that Book; don't think, not thinking what it is. That's one of the most greatest stories in there of a type of Christ, in all the Old Testament.
In the 1st chapter of--of the Book of Ruth, Naomi... The word "Naomi," means "pleasant." She, her husband, and her two sons, left Palestine, type of the church. And they left Palestine, went over in the land of Moab. And there they homesteaded out of the homeland. That's the--a symbol of backsliding, like Israel did. Any Jew that left Palestine was out of the will of the Lord. God gave Palestine to the Jews, and said, "Remain there." And Ruth went out, or, not Ruth, but Naomi.
114 And her two sons got married. And all the men died: her husband and the two sons. She started back to her home. Her daughter-in-laws went part of the way with her. One of them lifted up her eyes and looked back into her homeland; she went back. But Ruth the Moabite, she wouldn't go. She loved her mother-in-law.
She said, "Go back to your own people. I'm old. And if I'd have more children, why..." You know the laws, that how it had to be in them days, you Bible scholars. Said, "If I would have a child, it would be... You'd would be too old for it when it growed up. So go back, and can remarry." Oh, I love this.
116 Naomi now, the type of the Jewish church, Ruth, the type of the Gentile Church... Notice. And now, here she comes back. See?
Ruth, being a Gentile, heathen worshipper, she looked back and she said, "I'll go with you. Where you live, I'll live. Where you die, I'll die. Where you are buried, I'll be buried. Let your God be my God." That's the Gentile Church accepting salvation through Jesus Christ our Lord. Notice, what a beautiful picture. And now wish we had time.
118 The 2nd chapter in Ruth, reveals her time to return, when she come back just in harvest time, barley season. And when she seen, looked over the homeland, she wept, "I just longing to get into Palestine." See, they was weeping as they seen the homeland.
119 Those Jews by the thousands, pouring into Palestine. That's the calendar of the day, brother.
I tell you. We're living at the end of the road. I wouldn't be a bit surprised that there's many people setting here in old age, will see the time when there won't be one stone left upon another in Louisville, Kentucky. That may be in another year. I don't know; don't say I said a year. I don't know; no one does. But we're at the end of the road. I know that. Those hydrogen bombs and things are ready to explode anytime.
The Jews are going back to Jerusalem. And the six-point star of David, the oldest flag in the world, flies over Jerusalem, the first time for two thousand years: Sign time.
122 And notice, just as Naomi, who'd lost everything she had, and was returning back just in barley season...
And Palestine today, is becoming to blossom like a rose. Some of the greatest things is found, riches of all the lands in the world; chemicals found in the Dead Sea, that's priceless to mention. Palestine, greatest citron country, lemons that'll weigh five pounds a piece nearly, raised there. Think of it, all fulfilling God's Divine Word. Going home, the Jews, returning in barley season...
124 She raised up her hands and wept. And they said, "Here comes Naomi."
She said, "Don't call me Naomi, for God has dealt with me bitterly," not knowing what she was bringing with her. Little does the Jew know that his rejecting of Jesus only give the Gentile a place to come in. Oh, I just love it. Notice, then when she lifted up her eyes and wept...
126 And notice, then they had to get... All of her inheritance had been taken away from her, so they had to make a living. Ruth, being a young, beautiful woman, went out into the fields of Boaz to glean. That was what the peasants did, the poor.
Want you to notice the type the Church is. It's a poor Church. Ruth, being a type of the Gentile Bride now, she went out behind the harvesters to pick up a few straws that had some wheat on it, shuck it off like that, in a sack, for a living. Gleaning, barefooted, in the fields of Boaz...
And Boaz was the lord of the harvest, representing Jesus Christ the Son of God. Notice the great Lord of the harvest. And he came out to look upon his fields. He saw the gleaners out there; he saw the reapers. And when he cast his eyes towards Ruth, he fell in love with her: Christ with His Church.
He said, "Who is this damsel that gleans in the field?"
They said, "Ruth brought her back."
129 The Jewish church, under the leading of the Pillar of Fire under the leading of Jehovah made a way of the Old Testament, for the Holy Ghost Christian of the New. Brought Her with them... Oh, we had time to rest on this a little bit.
130 Notice, coming back. Then he said, "Have her to come over and set under the shade, and eat some of the food with us." Oh, if we had time to put some emphasis on that.
Notice, then Boaz looks upon her, seen she's a virtuous woman. That surely must've been holiness. So he walked around and said to all of the reapers; he said, "Now, you, when this young lady is coming behind you," not letting her know it, said, "but now when she gets behind you, every once in a while, drop a extra handful so she can get it." Oh, my.
132 Going around, having a little meeting over here, and a cottage prayer meeting, laughed at, made fun of by the others, the other reapers, picking up a straw here and there and shucking it out, getting a little blessing here, and driving fifty miles for another; but I'm so thankful for a great big handful, once in a while the little born again Church finds at an old fashion revival, a handful.
133 She'd picked this up, I guess, and say, "Bless the Lord." Shucked it out. And at nighttime she had a sack-full.
Boaz, representing Christ, goes to the city, quickly. He didn't want this girl to get away. Said, "Who does she belong to?"
Said, "Naomi."
And the orthodox Jewish church gave birth to the Gentile Church. That's right.
Said, "Who is she?"
Said, "She's Naomi." So she goes...
Then he goes down. He said, "Now, I have got to redeem all of her possessions." Now, the law of redemption in the Old Testament, that it must be a kinsman redeemer. The--the law required, not any person could redeem a lost estate, but it had to be somebody that was kinfolks; and then somebody that was able to redeem, worthy enough to redeem, financially able.
137 How beautiful. Oh, my. Christ, worthy, double worthy, the King of heaven, seeing the little, Holy Spirit-filled Church, dropping a little handful now and then.
Notice, the only way that God could redeem, God had to come down and be made kinfolks to us. God was in Spirit. God come down and was made flesh. "God was in Christ, reconciling the world to Himself." Then in order to redeem man, He had to become man, kinfolks. Could you imagine Deity coming down, made flesh? Love...
139 What will a young man do for his young bride that he wants for a sweetheart? He's blind. He will do anything. Yes, sir. He wants her. Nothing can stop him; he's going to have her.
That's the way God did when He seen the Church. He loved her. Nothing was going to stop. He was ready to give His Life, and God moved down in a body of flesh: worthy, the King of heaven, made kinfolks. Then, God, after He come in the flesh in Jesus Christ, become a kinsman Redeemer.
141 Watch Boaz. Now, before he could have her, he had to ask if there was anybody, near kinsmen, that could take it, take her. So in order... There was no one could do it, so then he had to make a public testimony before Israel that he had redeemed Naomi. And he redeemed Naomi, in order to get Ruth. Oh, my.
"He came to His own, and His own received Him not." But he had to redeem Naomi to get Ruth. See? Oh, what a beautiful picture! Tell me God's Word is not inspired? Every bit of it, speaking of the coming. And Ruth, now waiting...
143 And Boaz, the king of the harvest, or the lord of the harvest, goes outside the gates, and calls all the elders of the city, and made a public testimony, outside the gate. He said, "See to it, all of you people." He took off his shoe, kicked it off before them, as a testimony, said, "I, this day, have redeemed all of Naomi's lost heritage. And all of her possessions is mine, this day." Oh, my.
Get ready; here it is. Oh, I just feel something moving. Notice, Christ, before the elders of Israel, led outside the gates of the city, and made a testimony: "He was wounded for our transgressions; with His stripes we were healed," a public testimony, He's redeemed the Church, from what? Her lost estate. In the garden of Eden, we didn't have any sickness; the garden of Eden, we had no sin; the garden of Eden, we had no death. "And God so loved the world, He gave His only begotten Son," made a testimony outside of the gate, that He had provided a way of escape for all who wanted to come. What a beautiful picture. I hope you can see it. Now, the Lord be blessed.
And as I see, maybe, my time is getting away.
145 God making a provided way, and He made it in Jesus Christ. When Jesus went up Golgotha's hill, wounded, bleeding, the cross dragging out the bloody footprints as He climbed the hill, went up there, public testimony, "He was wounded for our transgressions; with His stripes we were healed." Died, ascended on high (You believe it?) and sent back spiritual gifts to the Church, making a provided way. And this joy that we have in our hearts now, is only the down payment, the earnest money, on what it will be when we're fully redeemed. And this Divine healing we have now is the earnest on our redemption of our body. We are redeemed. God made a provided Sacrifice.
146 I have to stop, friends, 'cause people are getting up and going out.
I said to my wife, the other day, "I have preached in about, I don't know how many different nations, in every city throughout the United States. And Louisville, Kentucky, is the only place that people ever got up and went out when I was preaching." That's right, home (See?), only place I ever seen.
If anybody's noticed that, that's been in other meetings with me, raise up your hands, over the building. Sure, around, everywhere else, and never had it nowhere in my life but here at my own home place, Louisville, Kentucky. People get right up and go out when you go to laying the Gospel right to the hewing line. They'll do it. And I've never had it nowhere else, anywhere in the world I've ever been, even to Africa, all the other places, Sweden, Norway, where tens of thousands set. In my humble opinion I have never one time witnessed one person leaving, getting up and going out, while preaching, only right here.
You see, friends, this week I have battled hard to try to convince some of the people, that...
151 Jesus Christ's Words, no matter what It is, has to be right. He said, "A prophet's not without honor, except among his own people, his own county." And that's exactly right. They just won't receive It. I don't know why. Jesus said so, and that settles it. I got people around this country, that would almost be willing to die for me. They love me. But in the general hold, it's God's Word; and God must keep His Word in order to be God. That's right.
And anybody that's been in the meetings before, outside of here, we've had the fewest signs and miracles that's been done in any meeting I've ever seen of this type--of this long. Usually there's blind, deaf, dumb, cripples, and everything, wheelchairs piled in the corner, and people going places, and cots and stretchers.
And there's only, as far as I know, there's been two people setting here. I seen one of them, before, this boy here, setting there. Seen the Holy Spirit stand over him the other night, come very near... I could've pronounced his healing, and just as I... 'fore I got through preaching; but I seen It drop back away from him again. Something crossed his place there and kept it from him. Is the only person that I seen even afflicted in any way, outside of a couple deaf people, or something come to the platform, they told me about. I don't know. But there you are. It's home. It's around your people.
154 Now, to my good friend, Mr. McSpaddin, Mr. McDowell, and those who are setting in the building tonight, who I've tried to tell this to, and you people at Jeffersonville, out of the Tabernacle, do you see what I speak of? You can't change the Word of God. It'll be forever that way, 'cause Jesus said so.
Now, and to the people that were begging me to come back to the Tabernacle, do you see why? Where probably been fifty people saved this week, around here in a revival, maybe not that many, maybe not ten for all I know... Where, ordinary, in eight days, it would build into the hundreds and hundreds and hundreds, somewhere else. See? See the difference? It's home. It's among your people.
Not because that they don't love me, but because Jesus said so. And when He went to His own people, the only thing He could do was to lay hands on a few sick folks and heal them; no mighty works He could do. Is that right? That's quoting Scripture. And that's the way it has to be. That's right. It isn't me, after all. It's Him. It's just Him. If I was a healer...
157 I got a brother laying in the hospital tonight, that God showed me a year ago. And I guess there's two hundred witnesses right here, of the boy fine and healthy. But God sent a vision and said, "He's going. And no matter what comes to pass, he's going."
The doctor said, not long ago, "We can save him." But they didn't, and they won't.
I seen the Holy Spirit come, show the vision, and marked his grave, and said, "He's the next one." And that's the way it'll be. How many heard me say that, long, long, long time ago? Raise your hands. That's right, when the boy's big, stout, and healthy. He just must go. That's all. How? If I was a healer, I'd heal him. That's my own, my own brother.
But when God has said, God will keep His Word. And that's the reason I know what, THUS SAITH THE LORD. I'll die by It, for It's God's Word and He will keep It. He's provided a way, and I'm glad to accept It tonight, the Lord Jesus Christ. Aren't you? May His eternal blessings rest upon you.
161 And again I say, God's provided sacrifice tonight, the way of escape, is through Jesus Christ. [Blank.spot.on.tape--Ed.] When, Jesus Christ provided a Church for the unbelievers, that they could come in and see the manifestation of His resurrection, and know beyond a shadow of doubt that He rose from the dead. Jesus rose from the dead, making a provided way, for whosoever will might look and live. But if you refuse to look, how can you do anything but die? Jesus said, "If you don't believe that I am He, you'll die in your sin." That's true.
162 Friends, I've always tried to keep a balance of the road. You get way off on formalism, just as formal and ritualistic as they can be, people grab for that lot. Then if you don't watch, you'll get plumb off over on the other side, and be just as fanatic as you can be. But there's a middle of the road, where the true sound, sane Gospel is preached, and God moves in there, vindicating the truth. "Strait is the gate, and narrow is the way, but few there'll be that find it." All right
163 To you little group of people here tonight, seated here, may God's love overshadow you tonight. And especially the sick and needy, I pray that there will not be one of you but what will go home well. If I could do anything about it, I'd gladly do it; but I can't do it. The only thing that I can do is represent Him to you in a way of a Divine gift.
Now, if I speak the truth that God provided a Sacrifice, and that sacrifice, Jehovah-jireh, was Jesus Christ... And all of the seven compound, redemptive Names laid in Jesus Christ. Jehovah-jireh, "the Lord's provided Sacrifice." Jehovah-rapha, "the Lord that heals thy diseases." And Jehovah... "the banner." And--and all the other, seven compound Names, was all in Christ Jesus. And there's where all the types and the shadows of the Old Testament, all come and met in Jesus Christ. He paid the supreme price, ascended on high, and sent back the Holy Ghost tonight, which is God's provided Way of your escape.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... we had time to go in.
166 I can see the wise men packing up their camels, right quick. "Where you going, honey?" says the wife.
"I'm going to see the young King that's born, way in Palestine."
"Well, you didn't even take your compass."
He said, "I don't need any compass."
"How you going through the deserts, and valleys, and hills, without a compass?"
He pointed up to the Star, said, "I'm going God's provided way." The Star led him right straight to Jesus.
170 And listen, 'fore we close. God has a provided way here tonight, not through church, not through theology; but through the Holy Spirit will lead you to God's provided way of your sanctification, the healing of your body, the baptism of the Holy Spirit, to joy, peace, and everything you have need of. Jesus Christ is God's provided Sacrifice.
And I say that He rose from the dead, ascended on high, sent back the Holy Ghost as God's provided Way to lead the Church. He said, "He will not speak of Himself, but he will testify of Me," Jesus said. "And when He comes, He will bring these things to your memory, and will show you things to come. For the things that I do shall you do also. The world won't see it, but you'll see it. For I'll be with you, even in you, to the end of the age."
172 Hear it, Louisville, my last message to you. God's provided Sacrifice is Jesus Christ, the resurrected One here empowering the Church by the Holy Ghost. This is the Light. Walk ye in It, find rest to your soul, healing of your diseases.
Shall we pray.
173 Heavenly Father, O God, when day... Way down deep in my soul, I wonder, as I'm made to wonder, of seeing this great beautiful nation of America, and seeing those big bombs out there being laid up across the sea... Wicked, ungodly men denying God, denying the Lord Jesus Christ, the Holy Spirit, with all the wickedness and mischievousness and devices that Satan can push into their mind to destroy this world, do just exactly like You said, it would burn it with heat. And even the great scientists of the world saying, "Within ten years there'll be a total annihilation, no one left, nothing living on the earth, swept across by the hydrogen bomb."
O God, men and women setting here, unprepared tonight. You've been, this week, glorious to us. We've set in heavenly places in Christ Jesus, and we thank You for these dear saints in Louisville. And God, may they go from this meeting with a voice of warning to all around.
175 Dear heavenly Father, I pray that You'll send somebody in here with an old fashion revival that'll break down the walls around Louisville. Oh, do, God. May many loved ones be brought to the saving knowledge of our Lord Jesus Christ.
I've did my best, Lord Jesus, all that I know how to do, giving a voice against sin as hard as I knowed how, and Thou has been more than glorious to us. You've confirmed every Word with signs and wonders, and we thank Thee. Now, Father, for the results, we commit it all to You. Let Your will be done.
177 Bless Brother Cobbles, Lord, our brother. Bless all of his staff, and all the other ministers. We think of little Brother Durban, down here, and these other brothers around here, who's fine brethren, trying their best to hammer away against sin and wickedness, whiskey and drinking, and carrying on, and rallying, or everything around the city. They're trying to give a voice of warning. God, bless them men and anoint them with the Holy Ghost. Grant it, Lord. May they be good stewards, having great success of calling the people out of darkness into the marvelous Light.
And now, Lord, in the closing service tonight, won't You come? Come just once more, great Holy Spirit, power Divine, and overshadow us with Thy blessings. And may the Angel of God stand here at the platform as a witness of the resurrection of God's provided Sacrifice, the Lord Jesus Christ. And may He do great signs and wonders in confirmation of the Word. For we ask it in His Name, Thy beloved Son, Jesus Christ. Amen.
179 May the Lord bless you, Christian friend. Now, I want to pray for the sick. I want to ask you now, just beforehand. Is there one person present in the building that hasn't been saved, has never yet as even as much as been converted, asking Christ to forgive their sins? I'm asking you openly, just rugged way. And I believe that you'll be man or woman enough, or boy or girl, to do it. If you've never accepted Jesus as your personal Saviour, and want to do it now, will you stand to your feet as a believer, and say, "I now, from this hour, will be a believer in Jesus Christ." God bless you, sir. God bless you, lady. God bless you, lady. God bless you, lady.
You're confessing your faith in Jesus Christ as you do this. About five souls, would a died five minutes ago, would've went in black eternity. If they die now, they're covered by the Blood.
181 One more, where is it? Right in the back, God bless you. Yes, my brother. God bless you, brother. That's... God bless you. God bless you, sister. That's right. Just old rugged... God bless you, brother, accepting Jesus. God bless you, brother. God bless you. Up in the balcony, somewhere? God bless you, sister.
That's wonderful. Oh, my. I wish we had some room here for an old fashion mourner's bench and an altar call. That's what we need right now.
183 How many in here says, "Brother Branham, I have been a sinner, but now I'm confessing, accepting in my heart, Jesus Christ, God's provided Sacrifice." About two dozen has stood. Will you stand and say... God--God bless you. God bless you, young man. That's fine. God bless you. Someone else stand and say, "Now, I'm accepting Jesus Christ right now, as my Saviour. I'm making this confession, openly before the people and before God, that I now accept God's Remedy for my sins, Jesus Christ." Would there be one more, over here, anywhere? God bless you, young man. That's gallant. God bless you. That's fine.
Someone else would stand, say, "I now accept Jesus Christ as my personal Saviour. I take God's provided Sacrifice for my sins." God bless you, dad; aged man, gray-headed, trembling, raises up to accept Jesus Christ as Saviour.
185 Now, God knows your heart; He's looking right at you. God bless you, young man. I seen you there, with the red sweater on, raise up. All right, someone else, raise up and say, "I accept." God bless you, and you, the lady and the young boy up there. God bless you. May God...
Your name goes on the Lamb's Book of Life when you stand publicly before this audience. "He that will confess Me before men, him will I confess before My Father and the holy Angels. If you're ashamed of Me here before men, I'll be ashamed of you at that day."
187 Have you been sinful and want to be forgiven? Any other person that hasn't stood yet, and wants to stand, just to accept God's provided Sacrifice for your sin, would you stand. Some... God bless you. God bless you. [Someone says, "That's a soldier boy."--Ed.] That's a soldier boy. God bless you over here too. The Lord be with you, my brother.
Would someone else? [Someone says, "Lady, right there."--Ed.] All right. God bless you, lady. God bless you, sister. That's fine. Someone else wants Eternal Life, by accepting Jesus Christ? God bless you. Yes. God bless you, three of you, up in the balcony. Isn't that marvelous? Some thirty or more now... All right.
God bless you. That's the way, accepting Jesus, God's provided Sacrifice. He's Jehovah-jireh. All right. The Lord bless you in the balcony, my sister, giving you Eternal Life.
190 Now, you're finding favor with God. There's not a Christian in here, that knows anything about God, but knows that the last five minutes the atmosphere has changed completely in this building. That's right. See? Just in the darkest of the moment, then Jesus comes along.
Someone else say, "I now accept Jesus Christ. I want...?" God bless you, lady. "I accept Him, want my name wrote on His Book. I accept Him right now as my supreme Ruler of my life." God bless you, sir. God bless you.
192 Someone else, a backslider, would stand up and say, "I once was a Christian, Brother Branham, but I've traveled away, away from God. Tonight, I'm coming Home." God bless you, sister. God bless you, brother. Oh, God sees you. God bless you, lady. God bless you, brother. God bless you, sister. God bless you, sister. That's right. Oh, my. God bless you, brother; I see you in the balcony. God bless you. God bless you, brother with his hands up. Will somebody else? God bless you, lady. That's wonderful. God bless you, sister. That's wonderful. That's... Just keep coming. If... God bless you, sister; I see you standing. God bless you, sir, up there on the platform with your hand up. God bless you.
In the back, way back in the back, would somebody say, "Brother Branham, I now have backslid; I'm coming home. I accept my Remedy, Jesus Christ, the provided Sacrifice for my backsliding. I'm coming home, right tonight. I settle it right here, now and forever. And I know that when..." [Blank.spot.on.tape--Ed.]
Open wide Thine arms of love,
Lord, I'm coming home.
Coming home, coming home,
Nevermore to roam;
Open wide Thine arm of love,
Lord, I'm coming home.
194 Wonder if we could hum it. [Brother Branham begins humming "Lord, I'm Coming Home"--Ed.] While they're humming it, is there one here, left, would say, "Lord, You see me as I stand. I'm coming home now. I'm tired of this roaming around, unsettled peace. I'm accepting Your way out, Jesus Christ as my Saviour. I now come, Lord, just as I am. I'm coming; raise up my hand. I'm going to stand up and let You see, and this audience, that I now believe, and I'm coming home"? [Brother Branham hums "Lord, I'm Coming Home."--Ed.] God bless you, sister.
Coming home, coming home,
Ne...
Ever who feels in their heart that they want to accept Him, just stand to your feet.
Open wide Thine arm of love,
Lord, I'm coming home.
Just continue on, if you will, sister.
197 I'm going to ask you something now. Every person that stood, I want you to stand to your feet while I offer prayer for you. Every person that stood up, stand again, just for a few moments. Just stand up, everywhere over the building. Everybody that stood, stand again, everywhere, balconies and everywhere, that we can offer prayer. That's it. That's it. Every one of you that stood, that stood up awhile ago... And if there's any more that wants to stand with them, accepting Christ, will you stand now. God bless you. Let's bow our heads now.
198 Kind heavenly Father, these are now coming as Your children. They have already come. The moment that the Holy Spirit spoke to their soul, they stood and accepted You, and You gave them Everlasting Life. God, bless them. Walk with them through life, Father. Some of them have been Your servants, times gone by, but have fallen away; and tonight, the Holy Spirit, by the preaching of the Word, come down and anointed them. And they now stand, accepting You, and giving You thanks for their Eternal Life that they now possess in Jesus Christ. Thank You, Father. May their life be happy and pleasant. May sickness stay away from their door. And may they live long, happy lives, and come at peace, into the Kingdom of God, at the end of the world. In Jesus Christ's Name we ask it. Amen.
199 God bless you. And the people said... [Congregation says, "Amen."--Ed.] Amen. God bless each one. If you're setting near someone who raised up, shake their hand, Christian, and tell them how happy you are for them.
We haven't got the place here to call them up around the altar. We just haven't got the--the room here to do it. The Lord bless you. Many, many souls...
201 Now, you know, according to the Word of God, what's happened in heaven at this time? Angels are rejoicing. The black flags of Satan has been defeated; they're down and chased out. And the angels and their white victory flags are flying through heaven tonight, and the bells of glory are ringing, just ringing melodies, as one sinner coming to Christ. The Lord be blessed and praised forever. Oh, my.
I just believe we're going to have a real healing service now. Yes? What? Prayer cards? [Blank.spot.on.tape--Ed.]
203 I, at this service, take every spirit in the building under my control for God's glory. Reason I say that, that puts the Name of Jesus Christ over the whole audience. If Satan would get unruly, you'd see what would happen. They'd probably pack them right out the door, out of this world. See?
Now, so you must be obedient. Don't get up and walk around. Set still. These diseases go from one to another. You know, Bible scholars, that that's true. See? Not playing church now, and I'm not responsible for critics or unbelievers. Hear it. I speak in His Name.
205 Now, the Angel of the Lord near, I trust that God will manifest the resurrection of His Son.
Now, you come near. I suppose, sister, you and I standing here together, that we're strangers to each other. I don't know you. I've never seen you. But God knows both of us. You're just a person that was brought up out of the audience. Some of them give you a prayer card, had a number on it. You just got your number, and it was called, and here you are.
207 And you don't have to have the prayer card. Anyone setting in the audience, just start praying; see if the Holy Spirit just isn't the same tonight, that's on the church, that was on Jesus Christ...?.... See if It isn't. If It isn't--if It isn't, then I have misrepresented the Gospel to you, then I become a false witness of the resurrection. If God confirms it to be the truth, then I have told the truth, and God has said it's the truth.
208 Now, the lady here, a stranger, never seen her in my life. She never seen me, I guess. We just met here; that's all. I don't know her. God does know her.
Now, when our Lord Jesus was here, He talked to a woman one time, He'd never seen in His life. She was getting some water at the well. And He said, "Bring Me a drink." And He talked to her long enough to catch her spirit, then He told her where her trouble was.
And she said, "Well, I perceive that You're a prophet."
Now, Jesus said, "The things that I do shall you also, plumb to the end of the world."
211 A man come in His prayer line, one time; he was a righteous man. He said, "You are a Christian, a good man, a honorable man."
He said, "When did You know me, Rabbi?" Or, "Reverend, Teacher," whatever you interpret it.
He said, "Before Philip called you, when you were under the tree, I saw you." In other words, "You prayed before you come to the meeting, and I seen you doing it."
He said, "Thou art the Son of God. You're the King of Israel."
Now, if Jesus has risen from the dead, then He will do the same.
216 Now, audience, now He is here, the Angel of the Lord. You're aware of that now, that something happened just then. Isn't that true? That's true. It is here?
Now, to heal you, I couldn't. Your life you could not hide, for you're not in the presence of your brother; it's in the Presence of Him. Isn't that the truth? And you believe Him with all your heart, that God has sent us here to try to help you. Besides being sick yourself, you have a loved one that's sick. That's your husband. He has a rupture, doesn't he? Yes. You're both healed. You can go home now. God be with you and bless you. God bless you, sister. Simple faith touched and healed the woman.
218 Come. How do you do, sister? Suppose we're strangers to each other. We don't know one another. Now, I'm just your brother. For your baby, is what you're here for. A dark shadow hangs over the baby. Its disease is incurable, as far as doctors is concerned. Do you believe He would reveal to me what's wrong with the baby? With all your heart, you believe it? There's been some sort of a hospital experience. The baby has had an operation. And it's something in the bowels. And there's some kind of a bone or something there that's wrong. And the baby has got a swollen liver now. Isn't that true? That's the truth, isn't it?
Now, that wasn't me that said that. That was just fully surrendered to Jesus Christ. And His Presence is here. Now, the only thing I can do is ask God for your baby. You accept the baby's healing?
Christ, Son of God, have mercy on this dying child. May it be made well this very night. Grant, Lord Jesus, that Your blessings come upon it and it'll be well, for I ask this in Jesus Christ's Name. Amen.
God bless you, mother. Let me hear about the baby, what--what happened. You're going to find a difference in it in the next twenty-four hours. Now, remember what I've told you. He Who knows what was, knows what will be. All right.
222 Come, lady. You believing with all your heart? You believe that the Lord Jesus Christ is here to heal and to make well? You believe me as His servant? You're conscious that you're in the Presence of Something besides man, and that's His Spirit.
223 The audience may not understand this. But watch the expression on the patient's face when they walk near here. Not 'cause it's me; I have nothing to do with it. I'm just a voice. But this woman here, or any of the rest, understands and knows that there's something supernatural here. And you can see it as a miracle. What is a miracle? Something that's not understood.
224 Now, the woman, a stranger to me, and I to the woman, know not each other; first time in life to meet, perhaps, but God has fed us both since we were born, lady. You believe that, the same Lord Jesus that talked to the woman at the well, that I have represented here tonight, that three hundred... or a hundred and three souls accepted Him as Saviour? You believe now that He knows your heart, and knows everything you've done? If He will reveal to me what you are desiring now, will you accept it? Neuritis. Is that right? You believe me now?
Now, here's something else. You're interested in a loved one, which is a boy. And that boy has heart trouble. And he's a member of a church here in Louisville, a Baptist church. Go, the Lord Jesus bless thee and grant to thee the desire of thy heart. Amen.
226 [A brother on the platform says, "Say, 'Praise the Lord.'" Congregation says, "Praise the Lord."--Ed.] Just be reverent; accept, believe.
227 Now, I see a lady, colored lady, setting praying. She's got kidney trouble. You don't have it now, lady. Your faith has made you whole. Stand up. God bless you. Just believe with all your heart, and you shall have it. The Holy Spirit, New Testament religion... Amen.
You believe that blood pressure will leave you, sir, setting there, looking at me? Yes. All right, you can have it. God bless you.
Just believe Him.
229 Have faith, sister, setting there looking this a way, praying too. Got something wrong with your throat, haven't you? Setting right back behind that little girl there, you believe that God will make you well, the little lady setting here? You was setting there praying for me to say something to you. I know it's your throat condition. You don't need no prayer card. You just need what you got, faith. Do you accept your healing now? God bless you. You go home and get well now. Amen.
Have faith. Believe with all your heart; Jesus Christ will bring it to pass. Oh, I love Him, don't you? All right.
Come, mister.
Have faith in God. Believe with all your heart. God shall bring it to pass.
232 How do you do, sir. Was you one of the standers, a few minutes ago? I see it's still Light around you. You accepted Christ as your personal Saviour. You're suffering with a nervous condition. Isn't that right? You've had a bad habit: smoking. God don't want you to do that. That's hurt--hurting your nerves, making you do that. Isn't that the truth? You want to get over it; you forsake cigarettes, you forsaken everything. Jesus Christ has already touched your body, and you're going to be well and serve Him. You believe now?
That you might know this. You're not from this city. You're from out of town, aren't you? You're from Indiana. You crossed the river. You're from a city called Greensburg, or something like that, Indiana. Is that right? Now, you're all right. Yeah. Now, you can go home and be well. God bless you.
234 The audience be reverent; be in prayer; be expecting God to bless and to heal. Amen. Have faith in God.
You setting there, lady, with your finger up like this, suffering with a hi... You believe that God is going to heal you of that low blood pressure you got? You believe it? Yes. You believe He is. Stand up on your feet then and accept it, and it'll leave you, and you can go home and be well.
You say, "What did that?"
The same Jesus Christ that turned to the woman with the blood issue, said, "Thy faith has saved thee." Said... He knows all things, and He reveals it as He will. All right. Bring your patient. Have faith.
237 How do you do, sir? Do you believe me to be His servant? You believe you're in His Presence, not your brother. But you're aware that something is going on?
Someone said I was reading your mind just then. That is wrong. Jesus Christ "perceived their thoughts." Is that right? The people's not thinking of their sins and things that they did. It's the Holy Spirit. All right.
Look this a way, sir, and believe. Are we strangers to each other? We don't know one another, probably never seen one another in all of our life. Just this meeting. Then if there's anything about you or anything, your sickness or anything, only God would know. As far as I'm concerned, I don't know.
240 But I see you being taken to a hospital. You're just come out of a hospital. [The brother says, "That's right."--Ed.] There's something wrong with the blood, corpuscles breaking, or something. And you've had... I see you in a bed, and there's some kind of a something hanging up by you, it's something drip... It's blood. I see one, two, three, four, five, six, seven blood transfusions you've just had. Is that true? It is the truth.
You've got a wife that's sick. She's got arthritis and liver trouble. Is that right? And you're not from this city. You come from up the river, from Cincinnati, Ohio. Your name is Berghaus. R. P. is your initial. Return home and be well. Jesus Christ has made you whole.
Have faith in God. Telling him his name? Didn't Jesus Christ tell Peter, "Thou art Peter"?
243 Now, be reverent, friends. Visions make you so weak. You've been in the meetings this week, and you know what I'm speaking of. Just have faith in God. Believe. And there was something... Just a moment.
I see a lady before me. No, it's--it's this lady setting right here at the end. You're... It's not you; it's a different-looking person. It's a loved one that's in a hospital, and they got cancer. And it's a lady, and she's in a dying condition. And she is your sister-in-law. Is that right? If it is, stand up on your feet now and accept healing for your sister-in-law in the hospital. The Lord Jesus Christ Who knows all about it...
245 All right, sister, you clapping your hand, rejoicing. You had something wrong with your hands, didn't you? All right, they're healed now, and you can go home.
And you setting next to her there, you had gall stones, didn't you, lady, sitting there? Stand up on your feet. You can go home, too, and be made well. They leave you in the Name of the Lord Jesus Christ.
Just believe. "All things are possible to them that believe." Have faith in God.
248 Bring the lady. You believe, lady, as you come? You accept Jesus as Saviour, and accept me as His prophet?
Then if that be so and I've testified of the resurrection of Jesus Christ, He Who stood and talked to the woman at the well, knowed exactly what was wrong with her. He said, "Go, get your husband."
She said, "Come, see a Man told me everything I ever done." He never told her all she ever done. But He knowed, as the Father would reveal to Him, all she ever done. Is He the same resurrected Lord Jesus?
You've had an accident. No, you got something like it's a... You have been... It's the Holy Ghost is what you're seeking, the baptism of the Holy Ghost. That's right. And you got... I had seen something. You got a--you got a high blood pressure too, isn't it?
Just a moment, a vision appeared before me. Oh, it's the woman setting there, praying. It's you that had a... You hurt your foot, haven't you? An accident, and hurt your foot. Is that right? And you got kidney trouble. Is that right? Come on across, with the lady, you're both going to be made well. Jesus Christ...
252 Hallelujah. Oh, the glorious, matchless Lord Jesus Christ Who saved your soul, just awhile ago, is a vindicating His Presence. Amen. Check on your tape recording and see if what He says isn't the truth. Oh, have faith in God. Believe. "All things are possible to them that believe." All right, Billy, is this your patient? Bring him on.
Believing with all your heart? Got a loved one's in trouble too, haven't you? They're not here in this city either. Got some kind of a jerking. It's a Saint Vitus' dance, like. Is that right? And they live in a city where there's a river. It's a big city, and there's a river goes by the side of it. And there's a lot of bri... It's St. Louis. Is that right? It is right.
And you've got another relative, which is a sister or something, and she's from a country that's got hills in it, evergreen trees. It's Arkansas. And got heart trouble. Go, your desires is granted to you by Jesus Christ the Son of God.
255 Let's say, "Praise be to the Lord Jesus Christ, the resurrected One, the One from Calvary."
Be reverent. Don't stir. Just a minute, and we'll close in a few minutes. Don't stir around like that. It makes it interfere me. I'm having... here tonight, watching... Be reverent.
257 Let the lady come. Do you believe you could get well by faith, and that tumor would leave you without being operated? You believe it with all your heart? You accept it now? In Jesus Christ's Name, may it be to you as your faith has said. Amen.
258 Sir, setting there, with the red tie on, you're suffering with a--a rupture. You believe that the Lord Jesus makes you well? You accept it? You're from out of town too. I see you come from up the river also, Cincinnati. Isn't that right? All right. While you're dual working, both stand to your feet right now and be made well in the Name of Jesus Christ. God bless you. It leaves you. Go home; be well.
259 Come, lady, having faith. You believe that female trouble has left you? You accept Jesus as your Healer for it now? That was an abscess, had drainage, and it would've pretty soon been to cancer. But your faith has saved you. Now, go, give God praise for it, and you shall have anything you ask for.
Come, sir, believing with all your soul. If God will reveal what's your trouble, will you accept your healing? Heart trouble, is that right? You believe He healed you now? Then He does. Your faith makes you whole. Go, and God's peace being.
Come, lady. You believe God will heal that baby as I come across the platform? It's got kidney trouble. Go now; Jesus Christ makes the little lad well, in Jesus Christ's Name. Amen. You was nervous; that's left you also. God be with you.
You believe Him? [The congregation says, "Amen."--Ed.] Have faith in God.
263 You want to get over that bronchial condition? You believe God heals you of it? If you believe it with all your heart, stand up on your feet, lady. Accept your healing. God bless you. You can go home now and be made well. All right.
You believe with all your heart? Will you accept your healing if Jesus Christ, speaking, will reveal your trouble? We're strangers to each other, but He knows your trouble. You have a lady's trouble, female; it's the womb and ovary. Now, go, God has made you well. Your faith saves you, lady, in Jesus Christ's Name.
Let's say, "Praise the Lord." [Congregation, "Praise the Lord."--Ed.] Every one of you can be made well at this time, if you'll believe.
265 Now, lady, stand where you are; look this a way. This whole audience, a big percent of them, suffers with that nervousness. Sometimes you think you're going to lose your mind, don't you? You get so nervous. Recently you dropped something; it was a dish or something; you was going across with it. But now Jesus Christ has healed you from it, and you're aware of that. Now, go on your road rejoicing.
266 Now, in the Name of Jesus the Son of God, I challenge every believer in here to believe that this is the truth. Do you believe it? Well, then, if this be God's vindicated truth, hear me. Lay your hands over on each other, while I pray for you. And I want every person in here now to accept your healing.
267 Almighty God, be merciful to the sick and the needy. Standing here, and this whole room seems to be one big Pillar of Light now, knowing someone's standing near with their hands around me, laying upon handkerchiefs; bless them, Lord, to the healing of the sick. All these needy people here with their arms and hands laid on each other, may the power, God's provided way, the Son of God, in His great power and majesty, sweep over this building like a rushing mighty wind, and...?... it condemn every disease, cast out every evil spirit.
Now, I condemn Satan, claim victory over him just now. And come out, Satan, of these people, in the Name of Jesus Christ.
And let every one in here, that believes that Jesus heals them, stand to their feet and give God praise in Jesus Christ's Name.
God, in Jesus Christ's Name, they now accept their healing.