Le Son Confus
1 ... Nous étions très heureux d’être ici ce matin, et nous croyons que les bénédictions du Bienveillant Seigneur reposeront sur chacun de vous. Et je ne savais pas que j’allais venir ici ; c’était plutôt une surprise pour moi. Mais ils ont annulé la réunion en Allemagne, ça a été retardé d’une semaine, à cause d’un événement qui a eu lieu, ils ont dû utiliser ce stade. Nous n’irons donc pas avant une–une semaine à partir du dimanche prochain.
Le dimanche prochain, nous serons au... le samedi et le dimanche prochains, au terrain de camping de l’Eglise méthodiste de Campbellsville, dans le Kentucky, pour une campagne de guérison. Ce samedi soir ce sera un service de guérison à Campbellsville, sur le terrain de camping de l’Eglise méthodiste.
2 L’après-midi du dimanche prochain, j’aimerais prêcher un message évangélique, le Seigneur voulant. Et puis dimanche soir, on aura encore un service de guérison pour les gens à... C’est tout près de ma ville natale, là où je suis né et où j’ai grandi, ou plutôt là où je suis né. Et j’ai grandi ici en Indiana. Alors vous qui avez des amis qui veulent venir à un service de guérison, eh bien, le Seigneur voulant, nous serons là le samedi prochain après-midi, ou plutôt le soir. Je pense que je commencerai vers dix-neuf heures trente. Notre bien-aimé pasteur sera avec nous pour nous conduire dans les chants et le reste.
3 Et il y aura des réunions ici au tabernacle, le dimanche prochain, le matin et le soir. Et il y aura ici un–un très bon ministre qui vous prêchera, ce sera une surprise. Alors, je vais simplement laisser la chose comme cela, parce que nous essayerons d’amener quelqu’un qui sera pour vous une surprise pour le dimanche prochain. Et ainsi donc, vous qui ne pourrez pas être là à Campbellsville, pour être avec nous à la réunion, eh bien, venez carrément au petit tabernacle, et les réunions continueront comme d’habitude le dimanche prochain le matin et le soir.
4 Nous allons–terminerons, si par hasard il y a quelqu’un ici qui vient des environs de Campbellsville, généralement nous essayons de terminer les réunions, mais là-bas... Nous avons des gens qui ne pourront pas venir à l’heure, assister à ces réunions. Et nous tiendrons particulièrement des réunions pour eux et pour les jeunes gens. Alors, tout le monde est cordialement invité à ces belles réunions.
5 Ensuite, il se trouve que nous avons un... Eh bien, nous parlons du temps, comment ça s’allonge réellement. Pensez-y tout simplement. Je quitterai ici à onze heures, l’avant-midi, à partir de Louisville. Et le lendemain dans l’après-midi, immédiatement après le dîner, je serai en train de prêcher au Luxembourg, puis à Frankfort, en Allemagne. Pensez-y tout simplement, à partir de onze heures ici, au... Je quitte Louisville à onze heures, et le lendemain dans l’après-midi, je serai en train de prêcher à Frankfort, en Allemagne ; avec un décalage horaire de cinq heures, ce sont des heures retranchées dans votre temps. Pensez-y. Oh ! la la! c’est difficile à croire, n’est-ce pas? C’est tellement rapide... Mais il se fait que, par la grâce de Dieu, nous avons obtenu une bonne ligne express, un avion DC-9 d’ici jusqu’à New York, et de là nous prenons le Panam qui nous amènera sans escale à Frankfort.
6 Et puis, nous serons là pendant–pendant plusieurs jours, puis de là nous irons à Berlin. Et avec le–le célèbre Hal Herman, je dois être avec lui durant deux soirées à Berlin, en Allemagne. Le célèbre directeur de cinéma de Hollywood qui a été converti, et il a été converti dans l’une des réunions qui ont été tenues là-bas. Et c’est un Allemand de naissance. Et il est retourné en Allemagne, et il prêche l’Evangile sous une grande tente à Berlin. Et plusieurs milliers de gens viennent, traversant le rideau de fer. C’est...
7 C’est certainement pathétique. Un matin, je me trouvais à Zurich, en Suisse, et puis, il y avait là beaucoup de gens. Nous avons eu cent vingt-six mille personnes là à la réunion, alors il nous–nous était difficile de partir de là. Et alors tout le monde, vous savez, c’était pathétique, et les gens imploraient pour que l’on prie pour eux, et ils voulaient savoir ce que le Seigneur allait leur dire.
8 Et le Seigneur m’a dit: «Sors d’ici et descends vers le rivage de la mer, ou plutôt du lac.» La Suisse est un très beau pays.
9 Et j’ai dit: «Billy, accompagne-moi.»
Il a dit: «Eh bien, papa, tu vas te mettre dans le pétrin là-bas, et ils iront prendre la police pour te chasser.»
10 Et j’ai dit: «Eh bien, le Seigneur me dit de descendre vers la plage.» Et ainsi je suis allé me promener le long du rivage, personne... [Il y avait] des Allemands, des Suisses, des Belges, des Français, et des Italiens qui assistaient à la réunion. Personne ne m’avait reconnu du tout. Je me promenais juste là le long du rivage. Et j’ai une façon de me déguiser un peu, un petit peu. Et je doute que mon propre frère me reconnaisse s’il me rencontre là-bas. Voyez-vous? Alors... Et il était...
11 Je marchais le long du rivage, nous nous sommes avancés jusque-là, et nous nous sommes assis. Et Billy a dit: «Eh bien, tu sais, les gens me reconnaissent, papa.»
12 J’ai dit: «Bien,» j’ai dit: «Ils peuvent te reconnaître, mais, ai-je dit, le Seigneur m’a dit de venir ici.»
13 Il a dit: «Mais qu’est-ce que le Seigneur veut que tu fasses?» C’est l’impatience d’un enfant, vous savez.
14 J’ai dit: «Il en prendra soin.» Voyez?
15 Alors nous avons commencé à retourner, le long de la plage. J’ai vu un vieil homme assis là, en train de pleurer, de lire comme cela. J’ai dit: «Le voilà. C’est Lui.»
Il a dit: «Tu ne vas pas t’approcher de cet homme-là pour lui parler?»
16 J’ai dit: «Non, c’est lui qui va s’avancer vers moi pour me parler.» J’ai dit: «Il...» J’ai dit: «Maintenant, il vient de très loin.» Et j’ai dit: «Il est venu ; c’est un cas urgent. Observe cet homme et vois s’il n’a pas quelque chose pour moi. Et c’est quelque chose qu’on met au bras d’une femme. Tu vois?» Je dis...
Il a dit: «Comment le sais-tu?»
17 J’ai dit: «Une vision venait d’apparaître, et c’est ce même homme ; c’est lui qui est assis juste là.»
18 Et alors j’ai dit: «Regarde de l’autre côté maintenant, avançons vers lui.»
Nous sommes passés près de lui. Et après quelques instants, Billy a dit: «Papa, l’homme est en train de nous suivre.»
J’ai dit: «Je le sais. Et nous allons arriver à un virage ; nous allons traverser un petit pont, et il marchera devant toi et il me rattrapera juste là sur le pont. Observe s’il ne fera pas cela.»
Il a dit: «Très bien.»
19 Alors, nous avons continué à marcher. Et là il s’est arrêté, il marchait devant moi et il m’a rattrapé juste là sur le petit pont. Il a dit: «Freure Branham.» [Frère Branham imite le mauvais accent de l’homme.–N.D.T.] Et il a tiré de son petit... Il avait un petit cartable semblable à un sac de dame, d’où il a tiré quelque chose comme un portefeuille, son passeport. Et il venait de la Russie. Il avait là un mouchoir sur lequel il désirait que je prie, et il avait déchiré cela en six lanières pour une femme dont le bras était en très mauvais état, un bras qui était blessé et qui ne guérissait pas, et son bras se rétrécissait. Et elle était mère de cinq enfants, six lanières, vous voyez, c’était parfait.
20 Et j’ai jeté un coup d’oeil sur son passeport. Il venait de la Russie, là derrière le rideau de fer. Et de penser comment le Seigneur Jésus, voyant ce pauvre Russe... Je lui ai demandé combien de Russes se trouvaient là. Il a dit: «Nous sommes plusieurs centaines à avoir traversé la frontière, et nous sommes venus assister à vos réunions.»
21 J’ai dit: «Comment avez-vous su que j’étais ici?»
Il a dit: «Eh bien, nous avons appris cela par le canal de la radio suisse.»
Et j’ai dit: «Avez-vous déjà entendu parler de mes réunions là-bas?»
22 Et il a dit: «Lorsque le petit garçon a été ressuscité en Finlande, la nouvelle est allée jusqu’en Russie.» Tout le long jusqu’en Russie ; la nouvelle de ce petit garçon qui était ressuscité des morts. Alors cela montre tout simplement que Dieu a Ses enfants partout, n’est-ce pas?
23 Et Hal Herman m’a parlé, il a dit: «Billy, nous serons là...» Vous savez, c’est près de la frontière, puis on est à Berlin. Il a dit: «Il y aura, peut-être, cinq mille personnes, ou dix mille personnes, qui seront là. Lorsque vous clôturerez la réunion, en dix minutes (dans des métros) vous ne verrez plus personne.»
24 Ils retourneront derrière le rideau de fer. Ils disparaîtront comme des taupes.
25 Ainsi cela montre tout simplement qu’en dépit de tout cet athéisme, de tout ce système impie, de tout le nazisme, de l’hitlérisme, du fascisme et du communisme, cela n’éteindra jamais la Lumière de l’Evangile. Ça se trouve toujours dans les coeurs des gens. Cela se répandra comme des vagues continuellement et continuellement. Cela ne finira jamais. Car Jésus a dit: «Sur ce roc Je bâtirai Mon Eglise, et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre Elle.»
26 N’est-ce pas merveilleux de savoir que la raison même pour laquelle vous êtes assis dans cette petite salle chaude ce matin, avec des ventilateurs qui soufflent, est qu’il y a à l’intérieur d’un homme quelque chose qui appelle, une puissance cachée, dont le monde ne connaît rien. Seuls ceux qui en sont participants savent ce que c’est.
27 Est-ce que ces petits haut-parleurs fonctionnent correctement là en haut? Il y a quelques instants, je pouvais à peine entendre mon bien-aimé frère là derrière, avec ces ventilateurs qui soufflent, et–et je ne comprenais pas tellement ce qu’il disait.
28 Bien, nous sommes heureux ce matin de vous voir ici, en cette journée où il fait chaud. N’oubliez pas la réunion de mercredi soir au tabernacle. Je pense que vous allez écouter frère Neville au même moment, le matin du dimanche prochain, et ensuite probablement qu’il va–de là il va alors se rendre à Campbellsville, ou plutôt ce soir-là, pour les réunions.
29 Et nous sommes heureux de voir la petite Edith, et la famille Wright là- haut encore ce matin, soeur Lawton, et beaucoup parmi vous ici. J’aimerais entendre soeur Angie et les autres chanter: «Il conduit l’aigle dans les airs sans sentier.» Ou je ne sais comment c’était, lorsque nous sommes entrés. J’ai apprécié cela.
30 Et j’ai cherché à serrer la main de frère Fleeman là derrière, et à lui parler pendant un moment. Et c’est de cette manière... Je n’ai pas compris exactement de quoi il s’agissait. Voyons voir [Frère Branham lit doucement une requête de prière.–N.D.E.] «...?... désire que frère Branham prie pour ma jambe...?... Il aimerait qu’il prie pour...?... pour ma jambe.» Il y a quelqu’un ici qui aimerait... C’est une prière pour un membre, une personne.
31 Eh bien, le soir du dimanche passé nous avions eu une merveilleuse réunion là à l’Eglise de la Porte Ouverte, le Seigneur est en train d’accomplir un glorieux miracle là-bas. Et cela fait que la maison se trouve pratiquement bondée, c’est rempli des gens ce–cette semaine. Ça a donc été un moment glorieux, bien qu’il faisait très chaud. Mais, cependant, grâces soient rendues à Dieu, nous avons pu nous trouver ici dans la maison du Seigneur ce matin et nous sommes prêts à servir le Seigneur. Prions.
32 Notre Père céleste, nous Te remercions en cet instant même au Nom de Jésus, Ton Bien-Aimé Fils, pour tout ce qu’Il a accompli pour nous, en pardonnant nos péchés, et en nous invitant à cette merveilleuse et glorieuse communion de Sa souffrance, et à cette communion de Sa gloire qui a suivi la résurrection, de savoir avec certitude que Jésus-Christ est ressuscité des morts et qu’Il est vivant parmi nous aujourd’hui. Combien nous L’aimons pour ce qu’Il a fait: Le voir, comment Il guérit les malades, comment Il a fait que cette petite fille aveugle (qui lisait le braille) l’autre soir, que ses yeux puissent s’ouvrir, et qu’elle traverse cette salle, montrant aux gens qu’Il est ressuscité des morts.
33 Et maintenant nous Te prions, ô Toi le Grand Dieu ressuscité, le Dieu de tous les dieux, l’Autorité suprême sur tout ce qui existe dans les cieux et sur la terre, le Souverain et le Créateur, nous prions que Ta glorieuse et auguste Présence nous bénisse aujourd’hui, et que Ta Glorieuse Majesté entre dans chaque coeur ce matin, Père, et que Tu prennes le contrôle de tout. Nous le demandons pour la gloire de Dieu. Au Nom de Jésus, nous prions. Amen.
34 Dans le Livre de 1 Corinthiens, juste comme texte de référence, si nous voulons appeler cela ainsi, pendant quelques minutes, nous aimerions lire un ou deux versets ici pour nous donner un contexte et un petit témoignage que j’aimerais vous raconter avant de commencer à prêcher.
35 J’ai inscrit quelques notes ici sur différentes choses que j’aimerais vous dire au sujet des réunions et sur quelque chose qui est arrivé l’autre jour. Ainsi, je n’oublierai pas cela, j’espère.
36 Maintenant, dans 1 Corinthiens... La Parole de Dieu doit toujours avoir la prééminence. Elle doit occuper la première place. Observez Sa Parole. Et maintenant au chapitre 14, à partir du verset 6, je lis ce qui suit:
Et maintenant, frères, de quelle–de quelle utilité vous serais-je, si je venais à vous parlant en langues, et si je ne vous parlais pas par révélation, ou par connaissance, ou par prophétie, ou par doctrine?
Si les objets inanimés qui rendent un son, comme une flûte ou une harpe, ne rendent pas des sons distincts, comment reconnaîtra-t-on ce qui est joué sur la flûte ou sur la harpe?
Et si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat? (C’est Paul qui parle.)
37 Et ensuite, dans Psaumes, le premier chapitre des Psaumes, nous lisons ce qui suit: «Heureux l’homme à qui Dieu n’impute pas son inj-... justice, ou plutôt son péché.» Et cet homme béni est un homme particulier. David parle, disant combien cet homme était béni, car «cet homme béni est comme un arbre planté près des courants d’eau.» Dans Psaumes 1: «Et combien il porte son fruit en sa saison. Il n’en est pas ainsi de l’impie, mais il va–il périra.» Et ainsi de suite. Mais le–l’homme béni, c’est l’homme de Dieu.
38 Et maintenant j’aimerais... étant donné qu’il n’y a pas beaucoup de gens ici aujourd’hui (Et j’espère qu’il ne fait pas trop chaud pour que vous restiez assis là pendant quelques instants, ou au moins pendant quarante-cinq minutes), j’aimerais juste vous parler de coeur à coeur aujourd’hui.
39 Au tabernacle je n’ai pas l’occasion de faire ceci très souvent, ou là dans les réunions pour enseigner la doctrine ou dire des choses que je veux dire, mais là-bas à l’extérieur, c’est toujours sur la guérison divine. Et là dans les autres églises où ils ont des gens de toutes espèces et certaines dénominations qui enseignent différentes théologies, eh bien, alors, je–je n’arrive pas à le dire, parce que cela blesse les sentiments des gens et tout. Même que parfois, lorsque la Parole est prêchée, d’une manière simple et claire, cela blesse les sentiments des gens. Et la meilleure chose à faire, c’est de s’en tenir simplement aux principes fondamentaux de–de Jésus-Christ, lorsque nous sommes là dehors, comme Sa mort, Son ensevelissement, Sa résurrection, et Sa–Sa puissance et Son amour pour les gens. Et de cette manière cela n’apporte aucune confusion.
40 Parce que je ne... Quant à moi, peu m’importe l’église dont les gens sont membres, l’essentiel c’est qu’ils soient des chrétiens. Que vous soyez un catholique, que vous soyez un protestant, que vous soyez méthodiste, baptiste, ou quoi que vous puisiez être, aussi longtemps que vous êtes un chrétien, c’est ça l’essentiel.
41 Christ ne tient pas compte de l’église dont vous êtes membre. Parce qu’elles périront toutes et disparaîtront un jour ; et elles seront en pièces, et on n’y pensera plus. Mais le–le principe du christianisme, c’est la condition du coeur vis-à-vis de Dieu. Et c’est la chose sur laquelle nous voulons nous concentrer: de connaître un frère, non pas par l’église qu’il fréquente, ni par sa manière de se vêtir, mais par ce qu’il est dans son coeur.
Alors, mon sujet ce matin, bien sûr, c’est: Le Son confus.
42 Eh bien, il y a beaucoup d’objets qui produisent un son. Mais il y a beaucoup de sons confus aujourd’hui. Il y a l’incertitude partout. Partout où vous regardez dans les affaires nationales, c’est–c’est l’incertitude. La réunion des quatre grands, c’est... Ils se réunissent. Ils rédigent leurs déclarations, mais il y a une incertitude quant à savoir si l’autre camp tiendra son–son engagement ou pas.
43 Il y a une incertitude de savoir s’il va pleuvoir demain ou s’il fera beau temps. Il y a une incertitude dans tout ce que vous regardez, à l’exception d’une seule chose: Christ. Voyez? C’est la seule chose dont vous pouvez être sûr que c’est certain.
44 Il y a une autre chose qui est tout à fait certaine pour chaque personne ici. J’aimerais vous laisser cette pensée pour commencer. Cela n’est pas certain si vous serez vivant pour pouvoir sortir de cette église ou pas. C’est incertain de savoir si oui ou non vous reviendrez. C’est incertain de savoir si vous verrez une autre année de plus dans votre vie. Mais il y a une seule chose qui est absolument certaine: c’est la mort et le jugement qui viendront plus tard. Vous allez faire face à cela, aussi sûr que Dieu existe au Ciel.
45 Vous pouvez prendre un rendez-vous avec votre femme et dire: «Chérie, je vais t’amener à tel endroit.» Quelque chose pourrait survenir, qui fera que vous ne puissiez pas le faire. Vous pourriez ne pas être en mesure de respecter ce rendez-vous-là.
46 Vous pourriez dire à votre meilleur ami: «Frère, je vais te voir. Je vais faire telle chose. Je vais te donner de l’argent, ou je te donnerai ma voiture.» Il y a toute sorte d’in-... d’incertitudes contre cela.
47 Mais une seule chose est certaine: c’est que, vous allez mourir, et après cela vous allez comparaître au Jugement. Gardez donc cela à l’esprit pendant que nous parlons de l’incertitude.
48 Eh bien, il y a des gens qui pensent ceci: «Puisque nous allons à l’église, puisque nous sommes membres de l’église, puisque nous écoutons un bon sermon de temps en temps, et ainsi de suite, tout va bien.»
49 Maintenant, étant donné qu’il fait chaud et tout, et je transpire beaucoup, et de me trouver sous ce ventilateur et tout, généralement cela m’enroue. J’aimerais simplement vous parler aujourd’hui, si je le pourrai, vous enseigner sur certaines choses que je sais que vous devriez connaître: et c’est quelque chose qui vous aidera à vous améliorer, qui vous aidera le long du chemin.
50 J’espère que Dieu m’aidera aujourd’hui à vous transmettre quelque chose, qui fera que vous compreniez ce que vous devriez être et ce que vous devez être. Et en vous disant cela, cela me fera aussi comprendre que je dois être un homme meilleur que ce que je suis, et meilleur que ce que j’ai été. Et chaque jour, que je monte un peu plus haut et me rapproche un peu plus de Christ. C’est la raison de notre présence ici ce matin dans la sincérité et l’intégrité de nos coeurs.
51 Je crois que nous ne viendrions pas à une église où il fait si chaud aujourd’hui, où nous devons nous asseoir ici et souffrir sous cette chaleur juste pour le plaisir de venir à l’église. Je crois qu’il y a une certaine chose pour laquelle vous venez: c’est pour Christ.
52 Vous ne venez jamais pour m’écouter moi. Même si je peux faire de tout mon mieux, toujours est-il que je n’ai jamais attiré quelqu’un à Dieu. Personne ne peut attirer quelqu’un vers Dieu à part Christ.
53 Peut-être que vous venez écouter les cantiques. Les cantiques, c’est très bien. Nous aimons ce genre de cantiques. Mais ce ne sont pas les chants qui attirent les gens à Christ. Ce–c’est le Saint-Esprit qui attire les gens vers Christ. Voyez?
54 Prêcher n’attire pas les gens, bien que nous fassions tout notre possible. Le pasteur et moi, nous faisons tout ce que nous pouvons pour–pour amener les gens à Christ, ou plutôt pour prêcher l’Evangile, mais c’est le Saint-Esprit qui doit attirer votre coeur et vous donner ce son certain. Nous pouvons prêcher l’Evangile, ce que nous pensons être juste, mais c’est le Saint-Esprit qui doit donner le son qui retentit dans votre coeur. Il existe un son certain.
55 «Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort.» C’est un peu en dehors du sujet, mais j’aimerais m’y attarder juste un moment, en rapport avec une–une personne, que je peux tout simplement considérer dans mon esprit, une personne mythique, et que j’appellerais madame Dupont.
56 Cette nommée madame Dupont, lorsqu’elle était élevée dans l’église, elle était une bonne femme. Elle aimait Dieu. Oh ! elle allait à l’église en compagnie de sa mère. On lui avait enseigné à–à faire ce qui est juste.
57 Maintenant, ô Dieu, donne-nous encore davantage de ces bonnes mères à l’ancienne mode, qui enseigneront à leurs filles et à leurs garçons à faire ce qui est juste et à distinguer le bien du mal. C’est ce qu’il nous faut aujourd’hui.
58 Nous avons aussi beaucoup d’autres types d’exemples que nous plaçons devant nos jeunes, tels que fumer, prendre de l’alcool, faire la beuverie, et ainsi de suite, des choses qui ne devraient pas se faire, et ce sont des prétendues mères qui les commettent.
59 Maintenant, remarquez. Dans le–le corps humain, notre constitution, notre simple anatomie dans laquelle nous vivons ici, n’est pas faite pour pécher. Cela a été créé pour faire ce qui est juste. Cela a été créé pour servir Dieu. Dieu ne vous a jamais créé juste pour travailler, rentrer chez vous et aimer vos enfants. C’est très bien. Dieu vous a créé pour travailler. Dieu vous a créé pour rentrer chez vous, et aimer vos enfants, aimer votre femme, et que la femme soit fidèle et qu’elle aime son mari, que les enfants aiment leur père et leur mère. Tout ça c’est bon. Mais Dieu vous a créé...
60 Ça c’est simplement le contexte pour quelque chose, pour lequel Dieu vous a créé afin que vous le fassiez. Dieu vous a créé pour être un adorateur, Son adorateur à Lui. Vous adorerez quelque chose, peu importe de quoi il s’agit. Vous adorerez votre femme. Vous adorerez vos enfants. Vous adorerez n’importe quoi, votre voiture, votre... Vous adorerez votre plaisir. Vous adorerez quelque chose, parce que c’est dans la nature de l’homme d’adorer. Eh bien, nous voulons savoir ce que nous adorons.
61 Jésus a dit à la femme au puits, Il a dit: «Vous adorez ce que vous ne connaissez pas. Nous les Juifs, nous adorons... Nous savons que nous adorons Dieu, parce que le salut vient des Juifs.»
62 Eh bien, et ensuite la femme s’est mise à Lui expliquer comment elle... «Les uns disent: ‘A la montagne’ ; les autres disent: ‘A Jérusalem.’»
63 Il a dit: «L’heure vient, et elle est déjà venue, où le Père cherche des adorateurs qui L’adoreront en Esprit et en Vérité. Car Dieu est Esprit, et ceux qui L’adorent doivent L’adorer en Esprit et en Vérité.»
64 C’est comme je le disais il y a quelques jours, ici ou quelque part, en parlant du détecteur de mensonge. Maintenant, suivez donc attentivement. J’aimerais que vous suiviez très attentivement. Lorsqu’on met sur vous un détecteur de mensonge et que vous essayez d’imiter la–cette vérité, vous essayez de dire que c’est vrai, mais là au-dedans de vous, dans le subconscient, il y a un endroit appelé l’âme. Et cette pensée intellectuelle ne gouverne pas cette vibration du système. L’esprit, c’est seulement un directeur. Cela vous conduira et sera vraiment incapable de vous amener vers Dieu: votre esprit.
65 Vous ne pouvez pas connaître Dieu par votre esprit, par l’intellect. C’est l’une des ressources, ou l’un des canaux qui vous y conduira, mais c’est votre âme qui vous gouverne. Vous êtes ce que vous êtes, par votre âme.
66 Jésus disait aux pharisiens, Il disait: «Eh bien, vous hypocrites. Comment pouvez-vous dire de bonnes choses?»
Lorsque ces derniers L’appelaient «Bon Maître», et tout.
Il a dit: «C’est de l’abondance du coeur que les lèvres parlent. Et dans votre coeur vous Me haïssez. Et de vos lèvres vous m’appelez ‘Bon maître’.» Il a dit: «Vous hypocrites !»
67 Voyez, votre âme pense une chose, et de vos lèvres vous dites autre chose. Quel dommage ! Quelle chose horrible ! Quelle fourberie que d’être un hypocrite ! Car de leur pensée ils disent une chose, alors que leur âme en dit une autre.
68 Maintenant, le détecteur de mensonge ne marchera pas sur votre esprit. Cela marchera sur votre âme. Cela ne marchera pas sur votre intellect. Il y a des gens qui peuvent imiter la vérité. Ils imitent la vérité. Cependant, c’est un mensonge, et ils peuvent imiter la vérité au point qu’ils peuvent séduire n’importe qui.
69 Et Satan est le meilleur séducteur qui soit, car c’est de cette manière qu’il avait séduit Ève, en lui disant les mêmes choses. Et le plus grand mensonge qui ait jamais été dit renfermait beaucoup de vérité.
70 Maintenant, cette personne, que se passerait-il si vous pouviez amener cette âme qui se trouve à l’intérieur dans une parfaite harmonie avec Dieu, à tel point que votre âme et Dieu seront un? A ce moment-là vous pouvez demander tout ce que vous voulez, et cela vous sera accordé.
71 Bien des fois, beaucoup de gens viennent me voir, dans la ligne de prière, et ils se tiennent là, et disent: «Oh ! Frère Branham, j’ai beaucoup de foi. J’ai la foi pour déplacer des montagnes.»
Et pourtant, ils n’ont pas de foi. Ils ont à peine assez de foi pour monter sur l’estrade. Mais ils sont conscients d’une chose, c’est qu’ils croient. Ils croient par leur esprit d’une manière intellectuelle. Et leur esprit ne les conduira jamais à Dieu. Votre esprit est constitué des raisonnements. Il n’y a pas de raisonnements en Dieu.
72 Si vous raisonnez sur la chose, votre esprit vous dira: «Eh bien, écoute, le médecin dit que je ne pourrais pas en guérir. C’est impossible.»
73 Or, le médecin, par son intellect, son intelligence, sa connaissance de la médecine, vous a parlé au mieux de sa pensée. Et vous utilisez votre esprit, vous utilisez la même chose que vous a dite votre médecin, vous... Dieu ne pourra jamais toucher cette ligne-là, aussi longtemps que vous raisonnerez. Mais abandonnons le raisonnement. Dieu ne nous a point créés pour vivre par notre intellect. Nous vivons par le Saint-Esprit qui se trouve dans notre âme, qui dit: «Non» à tous les raisonnements qui sont contraires à la Parole de Dieu.
74 Lorsque la Parole de Dieu dit que c’est ainsi, rien au monde ne peut faire obstacle à Cela. Alors, lorsque vous le faites, vous vous tenez du bon côté, du côté de Dieu. Vous vous humiliez au point que vous pouvez demander tout ce que vous voulez, et cela vous sera accordé, parce qu’il n’y a rien là au milieu. Il n’y a aucun raisonnement. Chassons ces raisonnements. Ils vous font obstacle. Mettez votre esprit hors du chemin. Et ne dites rien de ce que vous raisonnez, de ce que vous voyez, de ce que vous pensez ; dites que ce que Dieu dit être la Vérité. Et cela ne peut venir que de l’intérieur, du coeur, et non de l’intellect.
75 C’est là que bien des gens aujourd’hui seront vraiment déçus au jour du Jugement, de savoir qu’ils avaient vécu dans l’église, qu’ils avaient accompli de bonnes oeuvres, qu’ils avaient traité correctement leurs voisins, qu’ils avaient été loyaux envers les gens, loyaux envers l’église, et que dans leur esprit ils avaient cru que Jésus est le Fils de Dieu, et après être condamnés au jour du Jugement.
76 Jésus a dit: «Il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus. Etroite est la porte et resserré le chemin qui conduit à la Vie. Mais il y en aura très peu qui le trouveront.»
77 Maintenant, à vous qui êtes ici ce matin, je–j’aimerais que vous soyez établis et que vous remarquiez ceci. Vous êtes assez grand maintenant. Vous avez suffisamment entendu prêcher l’Evangile, à tel point que vous devrez être en mesure de–d’abandonner le lait et passer à un régime très solide de l’Evangile ; vous devez arriver à un point où les hommes et les femmes doivent se tenir debout. Paul a dit: «Alors que vous devriez être des maîtres, eh bien, on doit encore vous enseigner.»
78 Maintenant, c’est dans l’âme que l’homme vit, vous êtes ce que vous êtes dans votre âme, pas dans votre esprit, pas dans votre raisonnement. Ce n’est pas parce que vous dites: «J’aurai un meilleur standing. Je vais m’associer à de meilleures gens si je deviens chrétien.» Ça c’est le raisonnement. Voyez? Ce n’est pas ce que vous devez faire. Ne le faites pas. Que cela vienne d’une nouvelle expérience, d’une nouvelle naissance, quelque chose qui est arrivé, pas dans l’esprit, mais dans l’âme, qui a enlevé tous les raisonnements, et vous êtes devenus une nouvelle créature. Et vous êtes en Jésus-Christ.
79 Madame Dupont était une bonne femme, à ce que nous sachions. Elle avait épousé monsieur Dupont. C’était un très bon chrétien. A l’âge d’environ, (oh !) trente ans, ou quelque chose comme cela, madame Dupont était une belle femme. Elle s’est écartée du chemin, elle s’est mise à s’associer aux voisins. Elle s’est mise à s’associer aux mondains. Eh bien, remarquez, elle s’est mise à s’associer aux gens du monde. Elle s’est mise à s’associer au reste du monde: ce ne sont pas de mauvaises gens, ce sont de bonnes gens, ce sont peut-être des gens pieux de son quartier. Elle commence à fréquenter ces gens. Et pendant qu’elle fréquente ces gens... Elle est consciente qu’elle est une bonne femme.
80 Et, bien vite, vous savez, quelque chose s’empare d’elle. Elle commence à être attirée par un autre homme. Eh bien, c’est un très bel homme. Il est plus beau que son mari. Et quelque chose se produit en elle, elle sent qu’elle tombe amoureuse de cet homme.
81 Maintenant, écoutez. Là tout au fond de son âme, la Parole de Dieu se met à bouillonner, et dit: «Tu as tort. Ton voeu, c’est de t’attacher à cet homme jusqu’à ce que la mort vous séparera, peu importe à quoi il ressemble.»
82 Que ça soit une plus belle femme, ou un plus bel homme, c’est vice-versa. Vos voeux vous lient à cette personne jusqu’à ce que la mort vous sépare. Vous vous référez à l’intellect. Vous allez vous dire: «Voici madame Unetelle. Elle joue au piano. C’est une bonne femme. Eh bien, elle a fait ceci,» et vous vous mettez à raisonner. Vous verrez les autres femmes commencer à s’habiller d’une manière immorale, porter ces piètres petits vêtements qu’elles portent par ici, particulièrement en été, et même en hiver si elles le peuvent, c’est simplement des vêtements vulgaires. Et vous allez sortir...
83 Eh bien, mesdames, j’aimerais que vous me pardonniez. Je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments. Je ne suis pas ici pour blesser vos sentiments. Dieu sait que ce n’est pas le cas. Mais je suis ici comme un prédicateur de l’Evangile pour vous faire savoir ce qu’est la vérité, ensuite faites-en tout ce que vous voulez. Et puis, lorsque vous vous mettrez à faire ces choses, vous allez commencer à raisonner: «Si cette femme peut faire ça. Elle est bien considérée. Elle fréquente l’église. Elle fait partie de la haute société. Pourquoi ne puis-je pas le faire?» Ça c’est le raisonnement, alors que votre âme vous dit que c’est faux. Dieu avait couvert les femmes, et les hommes, là dans le jardin d’Eden, Il ne les avait pas déshabillés. Voyez-vous? Mais c’est le raisonnement. Vous raisonnez sur cela: «Les autres font de même.»
84 Vous jeunes filles, vous–prêtez attention à l’Evangile ce matin. L’Evangile dit: «Que les femmes s’habillent avec modestie.» Pas d’une manière immorale, «avec modestie». Et cela devient... c’est une disgrâce.
85 Vous savez ce qui serait arrivé à Zurich, en Suisse, si une femme descendait la rue vêtue comme ces femmes le font ici en Amérique? On la jetterait directement en prison là-bas et clarerait–la déclarerait folle. Certainement.
86 Lorsque je suis allé à Rome, en Italie, je suis allé là où on a enterré les saints, ils avaient même placé une inscription au portail, au cimetière de Saint Angelo, aux catacombes, et il y était écrit: «Vous femmes américaines, s’il vous plaît, habillez-vous avant d’entrer en cet endroit par respect aux morts.» Et un pays aussi méchant, dégradé, débauché et vil comme l’Italie, devoir faire de telles déclarations. Et ce sont nos prédicateurs qui en sont la cause, du haut de l’estrade, en ne disant pas la vérité. Amen. C’est juste.
87 Remarquez, la femme fricote. Elle pense que c’est en ordre. Quelque temps après, elle quitte son mari. Elle sort carrément du sentier et se marie avec ce voyageur de commerce, parce qu’il est beau et corpulent. Et après un moment, elle se rend compte que cet homme n’est pas comme son mari. Voyez, il n’est pas gentil comme son mari.
88 Et quelque temps après, elle se dit donc: «Oh ! eh bien, j’ai fait cela, je vais aimer quelqu’un d’autre.» Elle continue. Elle poursuit son bonhomme de chemin. Elle continue bonnement à fréquenter l’église. Le pasteur n’a jamais rayé son nom du registre. Elle continue à fréquenter l’église. Elle vit simplement comme elle veut.
89 Et, bien vite, oh ! faites... Vous direz: «Bon, écoutez, Madame Dupont, croyez-vous en Jésus-Christ?»
90 «Je le crois de tout mon coeur.» Mais ses actions, ses fruits prouvent qu’elle ne croit pas. N’écoutez pas un son confus. Laissez cela retentir à partir de l’Evangile ici. Cela prouve qu’elle ne croit pas. Car elle ne serait pas en train de faire ces choses. Elle ne se comporterait pas de la sorte. Elle aurait des pensées différentes. Elle serait dirigée par autre chose: son âme.
91 La première fois qu’elle avait attristé cela là-bas, lorsqu’elle avait commencé à sortir, à tromper son mari... Voici son intellect ici... Voici son âme ici. Il y a une ligne de démarcation là, si jamais vous traversez cela, vous ne reviendrez plus jamais de l’autre côté. Vous ne reviendrez plus jamais. Pensez-y. Et elle continue sur sa lancée.
92 Et après un certain temps, lorsqu’elle pèche contre cette chose qui est dans son fort intérieur, qui parle de la Parole de Dieu, tout d’abord, elle sera entièrement plongée dans son intellect, laissant son âme seule. La Bible dit: «L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra.» Mourir signifie se séparer.
93 Ensuite, l’âme, cette conscience qui vous a autrefois condamnée, n’y est plus, et vous passez entièrement dans l’intellect. Vous allez adhérer à une vieille église froide et formaliste qui ne croit pas dans ces choses, et vous en arrivez là où les loups s’entre-dévorent et, bien vite, l’âme qui vous a condamnée la première fois que vous avez dit un mensonge, la première fois que vous avez porté ces vêtements courts, la première fois que vous avez commis ces actes immoraux, cela mourra en vous, et vous ne sentirez plus cela. Et vous allez carrément continuer sur votre lancée. Et, après un certain temps, la mort vous attrapera.
94 Vous vivez de l’autre côté. Votre pasteur viendra et dira: «Tout est en ordre, ma soeur. Vous êtes maintenant prête pour partir. Tout va très bien.» Elle croira la même chose. Et aussitôt, lorsqu’on en arrive à...
95 Pourquoi? Avec toute la puissance du raisonnement qu’elle a, elle a fréquenté l’église. Elle a fait des dons aux sociétés de bienfaisance. Elle a fait tout ce qui est juste, c’est ce qu’elle se disait, tout ce qui était en ordre dans sa pensée. Elle suivait la conduite de sa pensée. «Je sais que je dois aller à l’église. Je sais que je dois être amicale. Je sais que je dois traiter mon voisin correctement. Je sais que je dois faire ceci et cela.» Mais qu’est-ce, néanmoins? Elle avait attristé et chassé cette Personne.
96 Et puis, à l’heure de sa mort, lorsqu’elle arrive à l’article de la mort, elle est étendue sur le lit. Et tout d’un coup, elle se réveille et se met à hurler: «Oh ! mon Dieu ! Je suis perdue !»
97 Le pasteur dira: «Donnez-lui une piqûre. Elle délire.» Et on lui injectera une piqûre. Et elle essayera de parler. Elle n’arrivera plus à parler. Elle va murmurer. Qu’est-ce? Son âme l’a rattrapée, avant la mort. Ce n’est pas seulement les femmes, mais les hommes aussi, qui ont rejeté l’amour de Jésus-Christ, qui L’ont rejeté, qui s’En sont moqués.
98 Cela vous rattrapera un jour, aussi sûr que je me tiens ici ce matin. Vous avez tellement attristé cela que vous ne sentez plus cela. Mais cela vous attrapera un jour. Cela reviendra complètement sur vous, ces choses sales, ces choses mauvaises, les commérages, les bavardages, les médisances, l’égoïsme, et toutes ces choses que vous avez faites. Tout cela vous reviendra un jour, pendant que vous serez couché sur votre lit de mort.
99 L’aiguille de la seringue dans ces derniers jours a arrêté la confession sur le lit de morts des milliers de gens. «Donnez-lui une piqûre. Engourdissez-le.» Il essaie de parler. Qu’est-ce? Son âme l’a rattrapé ici.
100 Cette âme et cet esprit, c’est cette chose qui se trouve ici, que l’intellect est sur le point de détruire. C’est seulement dans la pensée. L’intellect, la chose par laquelle vous avez vécu périra. Mais cette âme que vous avez attristée par votre intellect va vous hanter pendant l’éternité. Amen.
101 N’écoutez pas un son confus. Croyez l’Evangile dans Sa plénitude. Oui monsieur. Oh ! vous direz: «J’ai fréquenté l’église. J’ai fait ce qui était juste. J’ai payé mes dîmes.» Toutes ces choses sont bonnes, mais ce n’est que de l’intellect.
102 Et, écoutez, pendant qu’on essaie d’arrêter, avec cette aiguille de seringue dans le bras, la personne, est tellement engourdie qu’elle ne sait plus rien, elle essaie de parler. Son âme l’a rattrapée. Elle se rend compte que son raisonnement, sa pensée périt avec son cerveau.
103 Vous direz: «Périr avec le cerveau, la pensée?» Oui, oui. Oui, oui. Votre pensée périra à votre mort.
104 Je vais vous le prouver. Le détecteur de mensonge ne capte pas votre esprit ; il capte votre âme. Les vibrations de vos nerfs ne parcourent pas votre esprit ; cela parcourt votre âme. Amen.
105 Alors votre intellect mourra lorsque votre cerveau cessera de fonctionner. Lorsque le sang ne parvient plus à irriguer le cerveau, et que les nerfs meurent, à ce moment-là votre esprit s’en va et votre âme vous rattrape.
106 Au moment où l’âme de cette femme la rattrape, et elle dit: «Mon Dieu, je suis perdue !»...
107 Et les gens pensent que c’est–oh ! que la personne délire. On lui fait une injection hypodermique, on lui fait une injection, et elle commence à s’engourdir. Elle n’arrive plus à parler. Elle essaie de parler. Elle commence à se tordre. Elle est dans l’agonie. Et le médecin dit: «Donnez-lui une autre ; pour l’endormir,» jusqu’à ce que l’ange de la mort vienne prendre son esprit.
108 Mais cette injection hypodermique peut endormir la chair ; elle peut endormir l’esprit ; mais cela ne peut pas endormir cette âme qui sait qu’elle va comparaître devant Dieu. Cela la hantera à travers des âges éternels, durant l’éternité. Cette âme la hantera et continuera à la hanter, aussi longtemps que les âges continueront.
109 Vous venez d’où? Vous allez où? Vous venez de l’éternité. Vous êtes entré dans un petit espace appelé le temps. Vous sortez du temps pour entrer dans l’éternité. Et ce que vous êtes dans votre âme, lorsque vous sortirez, vous serez toujours la même personne. Oh ! la la ! Très bien.
110 Est-ce que c’est un peu mieux maintenant? Ma voix devient vraiment–je remarque que c’est un peu plus fort avec ça. Très bien. Lorsque–lorsque le... [La sonorisation ou quelqu’un attire l’attention de frère Branham.–N.D.E.] Je crois qu’il est... C’est pour frère Neville. Je prêche un peu fort.
Très bien, dans l’éternité, voilà.
111 Un pasteur s’approchera de cette femme, et dira: «Eh bien, notre bien-aimée soeur, elle était vraiment un membre fidèle dans notre église. Elle venait chaque sabbat. Elle assistait les pauvres. Elle assistait les nécessiteux. Elle faisait toutes ces choses. Aujourd’hui elle est dans la Gloire.»
112 Mais si seulement on connaissait la vérité, là dans cet endroit hanté appelé l’enfer, cette âme qui s’est séparée d’elle ici sur terre, lorsqu’elle avait écouté un son confus... Et elle est entrée dans l’éternité sans connaître Dieu, sans connaître Christ par la nouvelle naissance. Elle croyait cela dans son coeur. Elle croyait cela dans son esprit. Elle se disait qu’elle était en ordre, mais elle était dans l’erreur. C’est votre âme qui fait cela. Ô Dieu, aie pitié.
113 Ecoutez un son certain. L’Evangile n’a pas de son confus. Paul a dit: «Si un–si une trompette retentit, si un soldat entend un clairon sonner...»
114 Il y a beaucoup de vétérans ici ce matin. Ils savent ce que signifie la retraite. Ils connaissent ces différents signaux, les sons du clairon. Et si ce clairon ne donne pas un son certain, mais produit simplement beaucoup de bruit, comment le soldat saura-t-il se préparer?
115 Si une église dit: «Faites ceci», une autre dit: «Faites cela,» et une église dit: «Faites ceci,» et une autre: «Faites cela», comment le chrétien saura-t-il ce qu’il doit faire? L’une dit une chose et l’autre dit autre chose.
116 Mais je vous assure, mon bien-aimé frère, je vous montrerai un endroit où il n’y a pas de son confus: c’est dans la Bible, la Parole éternelle de Dieu. C’est l’Evangile. Et l’Evangile, c’est la puissance et la démonstration du Saint-Esprit en action. Oui, il y a des sons confus.
117 Quand Jésus se tenait sur la terre, Il savait où Il se tenait. Il savait qui Il était. Il a dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie. J’ai le pouvoir de La reprendre.» Il n’y avait aucune incertitude là-dedans. «J’ai.» Alléluia ! «J’ai maintenant le pouvoir de La donner. J’ai le pouvoir de La reprendre.» Effectivement. Personne ne peut M’empêcher.
118 Tout homme ou toute femme qui est né de l’Esprit de Dieu sait où il se tient, quoi qu’il arrive, ou combien de gens disent oui ou non. Il sait où il se tient. Il n’y a pas de son confus. Alléluia ! Oh ! la la !
119 L’homme qui possède cela, la femme qui possède cela, oh ! quelle personne bénie ! Ce n’est pas étonnant que David ait dit que cette personne était bénie, cette personne est bénie. Qu’on l’étale sur une table d’opération, et que l’on prenne–que l’on cherche à lui retrancher cette bénédiction, vous ne trouverez jamais cela. C’est une puissance cachée. C’est une chose cachée ; oh ! mais ça se trouve là. Chaque homme et chaque femme qui l’ont déjà eue savent qu’ils ont reçu Cela. Il n’y a aucune incertitude du tout à ce sujet. Tout homme qui est né de l’Esprit de Dieu connaît à quel moment il est passé de la mort à la Vie, il connaît l’endroit, l’heure, la minute, lorsque la mort a été changée en Vie, lorsque l’incrédulité vis-à-vis de la Bible a été changée pour devenir la foi dans chaque Parole de la Bible, à quel moment les choses hautaines, les fanfaronnades sont passées, pour qu’on devienne un chrétien humble, ils savent quand la mort s’est transformée en Vie. Amen.
120 Chaque homme qui avait Cela avait quelque chose de différent. Le monde a reconnu cela. Chaque femme qui avait Cela avait quelque chose de différent, et le monde a reconnu cela. Le monde peut Le voir. Vos actions prouvent ce que vous êtes. Vous pouvez dire que vous possédez Cela, mais vos actions parlent tellement fort que l’on ne peut entendre votre voix. Votre vie prouve ce que vous êtes.
121 Samson était un homme qui En était possédé. Maintenant, beaucoup de gens essaient de peindre le portrait de Samson comme un homme doté de très larges épaules, et un grand homme qui est sorti là et a arraché les portes de la ville, et s’en est allé. Ça, ce n’est pas... Ce ne serait pas un mystère pour moi de voir un homme d’une si forte carrure faire cela. Samson n’était pas un homme de grande taille. Toutes les Ecritures déclarent qu’il était un gringalet, un bout d’homme. Et il était béni. Pourquoi? Il était né ainsi.
122 C’est de cette manière que vous êtes béni, c’est lorsque vous naissez de cette manière, ce n’est pas quand un prêtre vous bénit, ou qu’un prédicateur vous baptise, mais lorsque Dieu, par le Saint-Esprit, vous accorde la nouvelle naissance. C’est à ce moment-là que vous êtes né un enfant de Dieu.
123 Samson avait Cela en lui. Ce n’était pas Samson ; c’était la puissance qui était cachée en lui. Ce n’est pas une formule magique. Ce n’est pas le fait de vous frotter l’oreille avec une patte de lapin derrière, de cracher sur un fer à cheval et de le jeter, qui produit le miracle. Ce n’est pas ce qui fait qu’un homme puisse mener une vie différente ; pas plus que le fait d’adhérer à l’église, ou d’inscrire votre nom sur un registre, ou d’être baptisé.
124 Ce qui fait un homme, c’est lorsque Dieu, par une naissance, lui donne la puissance cachée, et le bénit par le Saint-Esprit dans sa vie, c’est ce qui fait de lui ce qu’il est.
125 Pendant que Samson se promenait là-bas, un lion a chargé sur lui. Oh ! la la ! le lion allait l’attraper, lui un petit gringalet aux cheveux bouclés, qui avait environ cette taille, avec sept petites tresses comme une femme, qui lui tombaient sur les épaules. Et il était un gringalet, il était un nain ; il était un chétif, comme n’importe quel homme qui était sans Dieu. Oui. Mais tout d’un coup, alors que le lion était sur le point de l’attraper, la puissance cachée survint. Le Saint-Esprit vint sur lui, et il saisit le lion et le tua, comme si c’était un agneau.
126 C’est là que la chose réside. Le chrétien ne riposte pas. Le chrétien ne se dispute pas. Le chrétien reste tranquille. Et cette puissance cachée, la bénédiction du Saint-Esprit se met à l’oeuvre en sa faveur, et manifeste la chose. Alléluia ! C’est...
127 David avait Cela. Lorsqu’il a dansé devant l’arche de l’Eternel, il avait Cela. Il savait de quoi il parlait, c’est pour cette raison qu’il n’avait pas peur de Goliath. Ce n’était pas la pierre que David avait placée dans la fronde qui tua Goliath. Ce n’était pas la fronde qu’il tenait en main qui tua Goliath. Ce n’étaient pas les pierres qu’il avait dans son petit sac qui tuèrent Goliath. C’était la puissance cachée, cette bénédiction de Dieu. Lorsque David a lâché ce qu’il avait, Dieu prit cela et bénit cela par une puissance cachée. Donc ce n’était pas David ; ce n’était pas la pierre ; ce n’était pas la fronde ; c’était cette bénédiction qui était sur David, qui tua l’ennemi de David. Amen.
128 Les enfants hébreux avaient cela. Ils avaient du courage. Ils ont dit: «Notre Dieu est capable de nous délivrer de la fournaise ardente. Mais nous ne nous inclinerons jamais.» Il n’y avait aucune incertitude là-dessus, aucun son confus.
129 Ce n’était pas un son confus pour David, lorsqu’il a dit: «Vous voulez me dire que vous allez laisser le–cet incirconcis de Philistin se tenir là et défier l’armée du Dieu vivant?» Il a dit: «J’irai me battre avec lui moi-même.» Amen. Il n’y avait aucune incertitude, David savait où il se tenait.
130 Dieu a dit: «David, Je t’ai pris derrière le pâturage, lorsque tu n’étais qu’un jeune berger, et j’ai rendu ton nom grand parmi les hommes, comme les grands hommes de la terre.»
131 Nathanaël l’a regardé, il a dit: «Fais tout ce qui est dans ton coeur, car Dieu est avec toi.»
Il n’y avait aucune incertitude. Il connaissait Dieu. Ils avaient de l’expérience, il n’y avait aucun son confus à ce sujet.
132 David a dit: «J’irai me battre avec lui ; et aujourd’hui, je lui trancherai la tête.» Il n’y avait aucune incertitude. Ce n’était pas David ; c’était Dieu en lui. C’était cette puissance cachée. Il n’y avait pas la moindre incertitude du tout, tout était positif, rien de négatif.
133 Les enfants hébreux ont dit: «Nous ne nous prosternerons pas devant vos dieux. Nous n’adorerons pas votre vieille religion formaliste. Dieu est capable de nous délivrer. Mais s’Il ne le fait pas, nous sommes disposés à mourir.» Dans la fournaise ardente... Et savez-vous ce qui est arrivé? Lorsqu’ils ont pris Dieu au Mot et qu’ils sont entrés dans la fournaise ardente, cette puissance cachée est sortie (Amen !) et les a entourés.
134 Et ils ont eu une communion ; Quelqu’Un de semblable à un Fils de Dieu s’est tenu à côté d’eux, en train de neutraliser les flammes chaudes, et ils ont communié au beau milieu de la plus grande difficulté qu’ils aient jamais traversée.
135 Et tout homme ou toute femme qui est né de l’Esprit de Dieu, lorsque cette heure vient, prenez votre décision et prenez position pour Dieu sans aucune incertitude. Au milieu des troubles vous aurez la communion. Aucune incertitude...
136 On avait jeté Daniel dans la fosse aux lions. Il n’y avait aucune incertitude, il s’est tenu là. Il avait la puissance cachée, ce n’était pas une patte de lapin dans sa poche ni une amulette à porter au cou.
137 Ces gens me rendent malades avec toutes ces croix, ces amulettes, et tout, que portent les protestants aussi bien que les catholiques, et dans lesquels il n’y a aucune vertu. C’est très bien d’avoir cela ; mais adorer cela tel que vous le faites ; vous suspendez cela dans votre voiture et vous pensez qu’avec cela vous ne ferez pas d’accident, ça ne marchera pas. Seule la main de Dieu peut le faire. Amen.
138 Le serpent d’airain, c’était tout à fait en ordre. Il n’y avait aucune condamnation dans le serpent d’airain. Mais lorsque les gens se sont mis à s’éloigner de Dieu, et à adorer le serpent, le prophète démolit cela. Amen. Voilà.
139 Daniel est entré dans la fosse sans aucune incertitude: «Dieu est capable de me délivrer de ces lions.» Mais les gens l’avaient jeté dans la fournaise ardente... Et je crois que lorsque ces lions se sont approchés là pour le regarder, un Halo de Feu s’est tenu là, entourant Daniel. Tout animal craint le feu, vous savez cela. Ces lions ont reculé. Qu’était-ce? La puissance cachée qui était dans le coeur de Daniel est sortie et l’a enveloppé entièrement. C’était cette puissance cachée, cette bénédiction de Dieu, qui était sur la vie de ce prophète-là, cela l’a environné d’une flamme de Feu ; c’était comme là à Dothan ce jour-là, lorsque Guéhazi regarda et vit ce qui était autour d’Elie: les Anges de feu, des chars de feu. Là, cette puissance cachée environnait Daniel.
140 Pierre et Jean, alors qu’ils passaient par la porte appelée La Belle, le Seigneur leur avait parlé d’un boiteux qui était couché là. Il n’y avait aucune incertitude. Ils n’avaient aucune instruction. Ils n’avaient pas... Ils n’étaient membres d’aucune église. Ils n’étaient pas membres d’une dénomination. Mais il n’y avait aucune incertitude quant à leur expérience. Ils avaient la chose réelle. Ils n’avaient pas d’argent. Ils n’avaient aucune affiliation. Ils n’avaient aucune instruction. Mais Pierre a dit: «Ce que j’ai, je te le donne. Au Nom de Jésus-Christ, lève-toi et marche.» Ils avaient la puissance cachée. Ils s’habillaient comme tous les hommes. Ils marchaient sur la rue. Ils mangeaient comme tous les hommes. Mais ils avaient en eux une bénédiction, qui leur donnait l’assurance de connaître leur position.
141 Il a dit: «Je n’ai aucune instruction. Je ne suis membre d’aucune église. Je ne connais aucune théologie. Je n’ai aucun sou. La seule chose que j’ai, je vais te la donner, si tu l’acceptes.»
Cet homme a dit: «Qu’est-ce?»
142 Il a dit: «Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche !» Il n’y avait aucune incertitude, ce n’était pas: «Lève-toi et essaie pour voir si tu peux bouger ton pied.» Non. «Lève-toi et essaie pour voir si ton état va s’améliorer.» Mais: «Au Nom de Jésus-Christ, lève-toi et marche maintenant !» Voilà !
143 Le son confus est un–produit un son confus, c’est ce qui arrivera. Oh ! la la !
144 Etienne avait une si grande portion de cette bénédiction en lui, il a dit, pendant qu’on le lapidait... Oh ! la la ! il avait une si grande portion de cette bénédiction en lui, une si grande portion de cette puissance cachée qu’il était devenu un autre homme, il a levé les yeux, et il a vu Jésus se tenant à la droite de Dieu, et il n’a même pas senti une seule motte de terre lorsqu’on le lapidait à la tête.
145 Eh bien, je peux voir Etienne là. Il s’est agenouillé, et ses ennemis, crachaient sur lui, et tout le reste, et on le lapidait. Il s’est levé, et a levé les yeux vers le Ciel et a dit: «Père, ne leur impute pas ce péché. Je les pardonne, Père.» Une si grande portion de cette bénédiction en lui, qu’est-il arrivé? Je vous assure, à ce moment-là les cieux s’ouvrirent. Ce petit Esprit qui était sur lui, s’est frayé un chemin à travers les nuages, à travers les étoiles, à travers la brume, jusqu’à ce qu’il vit Jésus se tenant à la droite de Dieu. Il a dit: «Voici, je vois les cieux ouverts.»
146 Frère, je préférerais avoir Cela plutôt qu’avoir toute l’instruction, tout l’argent que vous pourrez entasser devant moi. Toute mon instruction, je l’abandonnerai ici. Toute ma théologie intellectuelle, je la laisserai ici. Toute ma richesse, je la laisserai ici. Mais la puissance cachée, cette chose qui rend l’Evangile certain, vous amènera au Ciel, et vous fera traverser les vallées de l’ombre de la mort. Amen.
147 Il savait de quoi il parlait. Il a dit: «Je vois les cieux ouverts.» Il avait une bénédiction. Il avait une puissance cachée. Et il n’a plus senti les mottes de terre après cela. Les gens lui cognaient la tête avec des pierres, ils le cognaient d’un côté, puis de l’autre. Pauvre petit Etienne, comme un bébé, il s’est couché dans les bras de sa mère, et Dieu, l’a bercé pour l’endormir sur Son sein.
148 La Bible ne dit pas: «Etienne mourut.» La Bible dit: «Etienne s’endormit.» Que Dieu soit miséricordieux ! Frère, c’est ce que je désire à la fin du chemin. Il a été placé sur le sein de Dieu, et Il l’a bercé pour l’endormir, Il a dit: «Tu vois, mon fils, là où Je t’emmène.»
149 Il avait une bénédiction. Il avait cette puissance cachée, ce n’était pas une patte de lapin, ni une amulette dans sa poche, mais quelque chose dans son âme qui l’avait changé et avait fait de lui un homme différent.
150 Paul a dit: «La vie que je vis maintenant...» Cela montrait qu’il avait mené une vie différente autrefois. «Ce n’est pas moi qui vis, mais c’est Christ qui vit en moi.», a-t-il dit. Oui.
151 Jean, le révélateur, sa voix avait un son certain. Il aimait le Seigneur. Il se reposait sur Son sein. Il communiait avec Jésus. Il avait vécu presque cent ans. Il avait accompli des miracles et des prodiges et il avait vu des visions.
152 Et lorsque les gens... ils ont dit: «C’est un sorcier.» Alors on l’a emporté et on l’a fait bouillir, pendant vingt-quatre heures dans un grand tonneau de graisse. Vous savez quoi? Cette puissance cachée est sortie. Cette puissance cachée qui était dans son coeur l’a entièrement environné. Et lorsqu’on a regardé dans le pot de graisse, la bénédiction était sur Jean. Et ils l’ont fait sortir de l’huile, il n’y avait même pas l’odeur de l’huile sur lui. Et ils ont dit: «C’est un sorcier. C’est un diseur de bonne aventure. C’est Béelzébul.»
153 Chaque homme, chaque femme qui a jamais essayé de vivre pour Dieu a été accusé de choses impies. «C’est un sorcier. Il a ensorcelé l’huile.» Il avait tellement de puissance de Dieu en lui, tellement... Ce n’était pas de la sorcellerie. Mais qu’était-ce? C’était la puissance cachée de Dieu qui était en lui. Il avait l’air d’un homme ordinaire. Il mangeait comme un homme. Il dormait comme un homme. Il pleurait comme un homme. Il était un homme. Mais Dieu était dans Son homme. La bénédiction était dans cet homme.
154 «Heureux l’homme,» a dit David. Il n’y a aucune incertitude quant à cet homme. L’homme qui sait de quoi il parle. Peu m’importe ce que dit le monde, ce que vous dites de lui, vous essayez de le rendre fou, il ne deviendra pas fou. Peu m’importe combien vous parlez de lui, il n’y prêtera aucune attention. Il ira carrément de l’avant, parce qu’il a une bénédiction ici à l’intérieur. Il priera pour vous. C’est juste. Vous pourriez donc faire n’importe quoi ; il n’y prêtera aucune attention. Il ne va pas dénigrer ses voisins, et aller partout susciter des troubles. Il sera un pacificateur. Il fera tout son possible, car il est un enfant de Dieu. Heureux est cet homme. Oui.
155 Lorsque les pentecôtistes sont allés à la Pentecôte, c’était des hommes ordinaires lorsqu’ils sont montés là-haut, mais tout d’un coup... Pendant qu’ils étaient là-haut, ils avaient peur ; ils avaient fermé les fenêtres, ils avaient fermé les portes. Ils craignaient la persécution. Ils avaient été de bons membres d’église jusqu’alors. Ils avaient été baptisés dans l’eau, jusqu’alors. Mais ils n’avaient pas encore cette puissance cachée. Ils n’avaient pas cette certitude.
156 L’un d’eux a dit: «Si Tu es... Laisse-moi introduire mes mains dans Ton côté. Laisse-moi introduire mes doigts dans les empreintes des clous, dans Ta main.»
157 Un autre a dit aux femmes: «Oh ! c’est de la folie. Vous n’avez rien vu.»
158 Mais lorsqu’ils ont gravi les marches de l’escalier et qu’ils sont montés là-haut, tout d’un coup il vint du ciel un bruit, et la puissance cachée est descendue. Cela entra en eux. Après un moment ils étaient là dehors dans la rue, jouissant–se réjouissant et louant Dieu, prêchant l’Evangile, glorifiant Dieu. Ils avaient une puissance cachée. Ils avaient une puissance dont le monde ne savait rien.
159 Maintenant, c’est la même chose. Le son confus. Ne croyez pas au son confus. L’Evangile n’a pas de son confus.
160 Vous direz: «Frère Branham, je crois que mon église prêche l’Evangile.» Très bien.
161 Jésus a dit: «Maintenant, je vais vous donner une chose à croire.» Il a dit: «Allez par tout le monde maintenant, et prêchez l’Evangile à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et...» Amen. Oh ! je me sens bien. «Et» c’est une conjonction. Ne vous arrêtez pas ici, «prêchez l’Evangile. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Ce n’est pas un son confus. C’est l’Evangile. Amen. Ils chasseront des démons. «En Mon Nom ils chasseront les démons.» Ce n’est pas un son confus.
162 L’Evangile déclare que c’est le timbre qu’a la cloche. Gloire ! Alléluia ! Oh ! la la ! C’est le timbre de la cloche lorsqu’ils chasseront les démons.
163 «Ils parleront de nouvelles langues.» Je ne parle pas d’un son confus maintenant. Ils parleront avec connaissance, avec révélation ; ces gens-là avaient le véritable don du parler en langues. Quelque chose se produit lorsqu’ils parlent en langues. Ce n’est pas un son confus. Ce n’est pas le son de l’incrédulité, pas du tout. Si c’est un tas d’histoires, comme nous en voyons bien des fois, c’est l’incrédulité. Mais lorsque vous vous exprimez avec des Paroles, avec l’interprétation, avec révélation, alléluia ! C’est la cloche de l’Evangile qui retentit. Ce n’est pas un son confus.
164 «S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Ce n’est pas un son confus.
165 Vous les bien-aimés, vous qui êtes membres de l’Eglise de Christ, là derrière, vous direz: «C’est du diable.» Est-ce vrai? Dans ce cas la Bible est du diable. Voyez?
166 La Bible dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Ce n’est pas un son confus.
167 Faites attention ! Vous écoutez beaucoup de théologies d’églises qui sont des sons confus. Cela ne co-... avec la Bible. Paul a dit: «Si la–si la trompette ne produit pas un son clair, comment peut-on se préparer pour la bataille?» Oui, oui. Oh ! la la !
168 Jésus a dit: «Ces choses que Je fais, vous les ferez aussi, et même de plus grandes, car Je vais au Père.» Ce n’est pas un son confus, rien du tout.
169 Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit dans Actes 2.38: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Ce n’est pas un son confus.
170 Il n’y a jamais eu un passage dans la Bible, nulle part, de la Genèse à l’Apocalypse, où Dieu ait jamais «aspergé» une personne. C’est un son confus. Il n’y a jamais eu un seul passage dans la Bible où quelqu’un ait été baptisé autrement qu’au Nom de Jésus-Christ. Tout ce qui est contraire est un son confus.
171 Lisez la Bible. C’est ce qui constitue l’Evangile. Voici la Semence. La Semence portera Ses fruits. Fiou ! c’est un peu chaud, n’est-ce pas? Mais c’est bon.
172 Le genre de feu qu’il nous faut c’est «le Saint-Esprit et le Feu,» pour brûler ce qui est charnel et les histoires d’églises en nous, pour nous ramener à l’Etat des fils et des filles de Dieu, là où ces théologies intellectuelles et tout ce que vous apprenez au séminaire par ici, et le reste disparaîtra, et Dieu pourra entrer dans votre coeur. C’est ce qui compte.
173 Ce n’est pas si vous allez réciter un «je vous salue Marie». Ce n’est pas si vous irez là à l’église protestante réciter le Credo des apôtres ; cela n’a rien à voir avec la chose ; rien du tout.
174 Jésus a dit: «Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera pas dans le Royaume.» Amen. Ce n’est pas un son confus, pas du tout.
175 Lorsqu’Elie est monté là... Ecoutez, laissez-moi vous montrer quelque chose. Pendant qu’Elisée observait Elie, il est monté et il l’observait. Il a dit: «Que désires-tu?» Un type de Christ et de l’Eglise.
176 Il a dit: «J’aimerais voir quelque chose.»
Il a dit: «Que désires-tu?»
Il a dit: «J’aimerais avoir une double portion de ton Esprit lorsque tu partiras.» C’était une faim. C’était la théologie. C’était quelque chose de mental. Il avait faim de cela. Son esprit voulait de cela. Son âme réclamait cela. Cela ne veut pas dire qu’il avait cela.
177 Elie a dit: «Tu as demandé une chose difficile. Mais si tu me vois lorsque je partirai, très bien, cela viendra sur toi.» Frère, il surveillait ce prophète, chaque mouvement qu’il faisait.
178 Et lorsque cet appel final vint, et qu’Elie a été appelé à monter au Ciel pour paraître dans la Présence de Dieu, Dieu fit descendre un charriot pour le transporter. Gloire ! Oh ! la la ! Il lui a envoyé un charriot avec des chevaux des charriots–des chevaux de Feu et un char de Feu ; Il a dit: «Mon bien-aimé serviteur, monte. C’était bien.»
179 Il a dit: «Très bien, Elisée, je vois que tu m’observes.» Il a ôté son manteau et l’a jeté en bas. Elisée a ramassé ce même manteau et l’a porté. Il n’y avait aucune incertitude, il a marché jusqu’à la rivière. Alléluia ! Il avait vu ce qu’Elie avait fait. Il a ouvert cela pour traverser de cette manière-là. Il a dit: «S’Il est toujours le même Dieu, et si Son Esprit est sur moi, la rivière s’ouvrira encore.» Il n’y avait aucune incertitude. Avec ça, il frappa la rivière et dit: «Où est le Dieu d’Elie?» Et la mer s’est partagée de part et d’autre, et il a traversé.
180 Avez-vous remarqué? Il n’était pas obligé d’aller à l’école des prophètes pour recevoir une certaine instruction. Gloire ! Fiou ! Ce jeune homme n’avait aucune instruction, et il a marché. La théologie intellectuelle avait pris fin. Il avait cela dans son âme. Observez-le, il avait fait comme Elie.
181 Jésus a dit: «Vous boirez la même coupe que Je bois. Vous serez baptisé du même baptême dont J’ai été baptisé. Et vous ferez aussi les mêmes oeuvres que Je fais.» Qu’a-t-Il fait? Il a parlé en langues, chassé les démons, prêché l’Evangile, guéri les malades. Les mêmes choses qu’Il a faites, nous pouvons aussi les faire. Et à la fin de nos jours, de même qu’Il est ressuscité des morts, nous qui sommes en Lui nous ressusciterons aussi.
182 J’ai du mal à réveiller mon fils le matin. Pour lui c’est comme s’il confond le jour et la nuit. Je lui dis: «Billy, il ne te servira à rien de rester couché là comme cela. Lève-toi ! Tu ferais mieux de sortir, te brosser les dents, d’aller là dans la cour, d’examiner ta voiture, de revenir t’asseoir et lire. Ne reste pas couché au lit: cela ne te fera aucun bien, c’est de la paresse.»
183 Que Dieu ait pitié de ces chrétiens paresseux, ils ne sont plus bons à rien: ils en savent trop là-dessus et en parlent si peu aux autres.
184 Il a dit: «Papa, je n’arrive pas à me lever de bonne heure.»
J’ai dit: «Ecoute, Billy, un de ces jours, tu n’auras plus de papa pour s’occuper de toi. Papa sera parti un de ces quatre matins. Tu entreras dans la chambre, tu jetteras un coup d’oeil peut-être, et papa sera étendu là. Tu le bougeras, mais il ne se réveillera plus.» J’ai dit: «A ce moment-là on m’emportera dans cette petite église dans un cercueil. Tu passeras à côté, ton mouchoir en main, en train de pleurer, tu baisseras les yeux, et tu diras: ‘Voilà ! mon vieux papa. Je regrette de ne l’avoir pas écouté.’»
185 J’ai dit: «Mais, souviens-toi, Billy, je me suis toujours levé tôt.» Alléluia ! [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... la trompette bénie sonnera, je ressusciterai à la première résurrection.
186 Je crois dans la première résurrection (Alléluia !), un glorieux jour par la grâce de Dieu. Je crois cet Evangile que je prêche. Je crois que c’est la pure vérité.
La robe d’Elie n’avait pas un son confus. Il n’y a pas de son confus.
187 Le membre du Congrès Upshaw... Il n’y avait pas de son confus lorsque le Saint-Esprit m’a dit d’aller là, avant que les médecins n’aient même pu trouver les amibes. Il n’y avait aucun son confus, lorsque le médecin a dit que j’allais mourir, et c’était Dieu qui m’a guéri. Ce n’était pas un son confus. Ce n’était pas un son confus à Green’s Mill cette nuit-là, lorsque l’Ange du Seigneur s’est avancé vers moi et a dit: «C’est dans ce but que tu es venu au monde.» Ce n’était pas un son confus.
188 Je suis allé en parler à des prédicateurs. Ils ont dit: «Billy, tu as fait un cauchemar.» Mais il y a eu des millions d’âmes qui ont été gagnées à Christ. Il n’y avait pas de son confus. C’était la voix de Dieu s’adressant à un pauvre: ce n’était pas un son confus. Oh ! je n’arrive pas à prêcher lorsque je pense à cela.
189 Je m’adressais à ma femme, il n’y a pas longtemps. Peut-être que j’ai déjà raconté cela ici avant. Vous connaissez le milieu familial dont je suis issu. J’aime mon papa. Il est déjà mort. Il est mort dans mes bras, alors que je priais pour lui. Mais il buvait.
190 Toute ma famille buvait. Ils ont fait des choses très néfastes, et c’est encore une honte pour la société. Mes frères boivent ; ce n’est pas parce que je désire qu’ils boivent. Je pleure pour eux, je prie pour eux et tout.
191 Autrefois, avant que Dieu m’appelle, j’étais–je me tenais dans la rue, essayant de parler à quelqu’un, les gens... A cause de ce nom, les gens disaient: «Oh ! Branham? Oooh ! éloignez-vous.» Lorsque quelqu’un d’autre passait à côté et qu’il cherchait quelqu’un, il disait: «Eloignez-vous de lui.» Très bien, alors à ce moment-là ils s’éloignaient. Ils ne voulaient pas me parler.
192 L’autre jour j’ai dit à ma femme: «Maintenant, je dois me glisser quelque part dans les bois et me cacher pour me tenir loin des gens qui viennent de partout dans le monde.»
193 Qu’est-ce qui a fait cela? Est-ce parce que j’ai beaucoup étudié? Est-ce parce que j’ai appris la théologie? Est-ce parce que j’ai été instruit? Est-ce parce que j’ai adhéré à une église? Non. Ça aurait été un son confus. Mais un jour quelque chose avait retenti là au fond de mon coeur, pas dans ma pensée, dans mon coeur. Dieu est entré. Et depuis lors, ça a été bon. C’est la grâce étonnante.
194 J’étais étonné l’autre jour, par-dessus tout ce qui est arrivé depuis longtemps. J’aime beaucoup la nature. Vous savez bien que j’aime la nature. J’aime les animaux. Et je pense qu’ils sont merveilleux.
195 Je me tenais dans l’entrebâillement de ma porte. Frère Léo et Gene étaient là. Et frère et soeur Wood étaient là. Et le petit Billy Gillmore, le laitier, se tenait là. Et à dix heures du matin, là sur la route, quelque chose venait en boitillant, en traînant une patte derrière. Ça a tourné et ça a franchi mon portail, et ça s’est avancé jusque sur les marches du perron. C’était un vieil opossum, à dix heures du matin. Ils sont aveugles à cette heure-là de la journée, les opossums. Ils sont aveugles à cette heure-là, pendant la journée. Ils sont tous aveugles, pendant la journée. C’est un animal nocturne qui se déplace la nuit. Ils chassent, et ils chassent partout, et ils cherchent leur nourriture la nuit. Vous le savez tous. Un opossum est un animal comestible.
196 Et il a tourné et franchi mon portail. Je suis allé à la rencontre de cet opossum. J’ai pris un râteau. Je me suis dit: «C’est étrange. Il peut être aveugle. Qu’est-ce qui le fait agir et chanceler comme cela? J’ai posé le râteau sur lui. Il s’est retourné et m’a regardé, il a grogné. Je me suis dit: «Il y a quelque chose d’étrange.»
197 J’ai regardé à l’intérieur de sa poche. L’opossum est un animal proche du Kangourou ; ce sont les deux animaux qui ont des poches dans lesquelles ils transportent leurs petits. Et dans la poche de cet opossum, elle avait huit ou neuf petits sans poils là-dedans. Et un chien l’avait attrapé, ou une voiture, et lui avait brisé la patte, l’os de l’épaule. Elle était couverte de mouches vertes, elle avait des asticots dans les oreilles, et tout ; et elle était là, boitillant comme cela. Et elle a grogné parce qu’elle pensait que j’allais toucher ses petits.
198 J’ai dit: «Cet opossum a plus de sens de maternité que beaucoup de femmes, particulièrement cette femme qui a jeté son bébé dans la rivière l’autre jour pour s’en débarrasser. J’ai dit à Gene et Léo, qui étaient assis là derrière, j’ai dit: «Venez ici, et je vais vous prêcher un sermon.» J’ai dit: «Regardez la moralité de cette femme. Regardez la moralité de cette dame. C’est une brute muette, mais elle a plus de qualité de dame en elle que quarante pour cent d’Américaines.» C’est juste. J’ai dit: «Il ne lui reste qu’environ une heure à vivre à la voir, mais elle passera cette heure à se battre pour protéger ses petits. Et ces femmes qui sortent par ici et qui ont de petits bébés, elles les étouffent, et les noient, et les jettent au feu et tout: elles sont pires que des chiennes, elles sont pires que des animaux.»
199 Cette petite dame n’a pas voulu attendre. Elle n’a même pas voulu s’arrêter, en partie. Elle est montée droit sur mon perron, et–elle était épuisée, et elle s’est couchée là. Nous avons essayé de la réveiller. Elle s’était évanouie. Elle continuait de grogner, elle souffrait atrocement.
200 Madame Wood s’est avancée, et monsieur Wood et les autres, ils ont dit: «Frère Branham, je crois que ce qu’on devrait faire en tant qu’hommes, ce serait de tuer cet opossum. Ces pauvres petits bébés vont mourir de faim.»Ils ont dit: «C’est la seule chose que vous pouvez faire, faites-le.»Quelqu’un d’autre est passé par là et a dit: «Frère Branham, n’allez-vous pas tuer cet opossum?»
201 J’ai dit: «Tuez-la. Elle est en train de mourir.» J’ai dit: «Elle est étendue là en train de souffrir.» J’ai dit: «Sortez les petits et tuez-les. Ce serait mieux pour eux.» J’ai dit: «Ils n’ont pas d’âme. Ce n’est qu’une brute muette, c’est juste un animal.» J’ai dit: «Ces pauvres petits vont mourir de faim. La pauvre mère est étendue là, et ces petits bébés la tètent, et vous savez dans quel état elle se trouve.» J’ai dit: «Ils vont mourir.»
202 J’ai dit, j’ai dit: «C’est vrai, je suis un chasseur, mais pas un assassin.» J’ai dit: «J’aime chasser, mais je ne tue pas juste pour tuer. Ça, c’est être un assassin.» C’est juste. Je ne tue que ce que je peux manger, ou quelque chose dont je peux me servir, ou quelque chose qui détruit. Je ne tue pas pour tuer ; ça, c’est le propre d’un meurtrier. Je ne peux pas le faire. Je ne peux tout simplement pas le faire.
203 Et je savais que raisonnablement, du point de vue mental, selon la manière correcte de penser, en tant qu’homme ce qu’il fallait faire, c’était de tuer l’opossum et ces petits. L’opossum était mourant, il ne reprendrait plus conscience. Et ces petits allaient mourir de faim. Et en se nourrissant de ce vieux lait coagulé de leur mère, ils allaient probablement mourir dans la misère. La meilleure chose à faire, c’était de les ôter de cette souffrance. C’était la seule chose raisonnable. Mais quelque chose ici à l’intérieur ne me permettait pas de le faire.
204 Les gens commençaient à venir. J’avais une visite à faire, je suis parti. Ce soir-là, frère Wood et moi, nous conduisions sur la route, en compagnie de soeur Wood et de ma femme. Nous revenions des environs de Scottsburg, où j’étais allé pour essayer de prendre un petit repos mental, frère Wood a dit: «Voyez-vous ce chiot là-bas sur la route?» Il a dit: «Il va se faire écraser.» J’ai brusquement fait dévier ma voiture et je suis retourné. Nous avons ramassé le petit animal.
205 Il était tout recouvert de mouches et de poux, et il était rongé par la gale. Eh bien, quelle était la chose raisonnable à faire? Le tuer. Je ne pouvais pas le faire. J’ai amené le petit animal chez moi, je me suis procuré un peu de poudre antiseptique, et je l’ai vaporisé, je me suis procuré un traitement contre la gale ; je lui ai donné un bon repas copieux. Je suis allé le cacher très loin, j’essayais de soigner ce petit animal. Il avait besoin de vivre.
206 La vie a quelque chose de réel. N’imitez pas le christianisme ; cherchez la Vie, vivez. N’essayez pas de vous débattre vous-même, et de dire: «Eh bien, je suis un chrétien, je ne devrais pas faire ceci ; je ne devrais pas faire cela.» Vivez. Il y a une Personne qui prend soin de vous.
207 Ce soir-là, à vingt-deux heures trente ou à vingt-trois heures juste, cet opossum était toujours couché là inconscient ; il était couvert de mouches vertes, son épaule brisée, il était étendu là, souffrant, se mourant.
208 Longtemps après, Billy est entré. L’opossum était couché là, couché là au fond, ces petits essayaient de téter le peu de lait qui lui restait, c’est la vie venant de la mère. Elle continuait à grogner terriblement. Elle essayait de se relever, elle n’y arrivait pas. Elle essayait de se relever, et elle n’y arrivait pas.
209 Je n’arrivais pas à oublier ce pauvre vieil opossum. Je me suis dit: «Ô Dieu, je devrais entrer, prendre un fusil, et tuer cet opossum, mais je ne saurais pas le faire. Qu’est-ce qu’il y a, Seigneur?»
210 Je faisais les cent pas là sur le plancher. Le jour se levait, la vieille mère opossum était toujours étendue là. Je suis retourné et je me suis dit: «Ô Dieu, elle est là sous ce soleil brûlant, elle est couchée là sur mon perron.» J’ai commencé à faire demi-tour.
211 Le Bienveillant Saint-Esprit m’a arrêté, Il a dit: «Tu l’as appelée une dame. Tu as eu pitié d’elle, parce qu’elle est une vraie mère. Et Je l’ai envoyée chez toi pour que tu pries pour elle, et tu la laisses étendue là comme une femme sur ton seuil.»
212 J’ai dit: «Ô Dieu, pardonne Ton serviteur stupide.» Je suis sorti là et j’ai dit: «Ô Dieu, si–si Tu es assez miséricordieux pour T’occuper d’un animal muet, qui a suffisamment de qualité de dame en elle pour élever ses bébés, pour envoyer un opossum ignorant sur mon seuil afin que je prie pour lui, ô Dieu, guéris cet opossum. Au Nom de Jésus, je prie.»
213 La vieille mère opossum s’est retournée et m’a regardé, elle a levé ses pattes, elle a pris ses petits et elle les a introduits dans la poche, elle a incliné la tête, comme pour dire: «Merci.» Et elle est retournée dans les bois, en train de se réjouir. Elle en sait plus que les prédicateurs, parfois. Elle suit la conduite du Saint-Esprit.
214 Si Dieu peut s’occuper d’un opossum, à combien plus forte raison peut-Il s’occuper d’un homme, si seulement celui-ci...?... Il n’y a aucun son confus du tout à ce sujet. Dieu utilise des animaux pour enseigner les gens dans les réunions: Il le fait certainement.
Il a utilisé une mule, autrefois pour réprimander un prédicateur rétrograde.
215 Le grand saint François d’Assise, dont vous les catholiques dites qu’il était catholique, il ne l’était pas. Cependant il a protesté contre l’Eglise catholique aussi fort que je le fais. Mais il n’y avait pas d’autre église en ce jour-là, alors ils l’ont pris et l’ont appelé un saint. Mais lorsqu’il est sorti sur la rue pour prêcher le même Evangile que je prêche maintenant, les oiseaux faisaient du bruit dans les arbres. Il a dit: «Mes petites soeurs, je vais prêcher l’Evangile de Jésus-Christ. Tenez-vous tranquilles pendant que je suis en train de prêcher.» Et chaque oiseau s’est tu.
216 Ceci n’est pas un son confus. Nous vivons dans la Présence du Seigneur Jésus-Christ. Ses bénédictions sont ici.
217 Un Dieu qui a pu retenir un avion au sol là-bas, et le retenir au sol à cause d’une pauvre femme de couleur illettrée, qui ne connaissait même pas son alphabet, pour guérir son fils d’une maladie vénérienne... Vous connaissez ce récit.
218 C’est Dieu qui pouvait parler à un opossum ignorant, pendant qu’il y a des prédicateurs dans cette ville qui se moquaient de la guérison divine, des gens qui, d’un air dédaigneux, disaient que j’étais fou, parce que j’enseignais cela. Et Dieu s’occupe d’une mère opossum ignorante, parce qu’elle était une dame, parce qu’elle aimait ses petits, parce qu’elle était prête à mourir pour eux... Ce même Dieu...
219 Nous sommes envoyés ici sur terre pour différentes choses. Certains sont envoyés pour prêcher l’Evangile. Certains sont envoyés pour prophétiser. Certains sont envoyés pour offrir la prière de la foi. Certains ont des dons de guérison.
220 Et le même Dieu qui a parlé là-bas dans notre chambre ce soir-là, ou ici au–pendant que je conduisais dans cette vision, et qui m’a dit que frère Bosworth était couché à l’article de la mort, en Afrique du Sud... Et le Saint-Esprit avait devancé le télégramme ici, de vingt-quatre heures. Ce même Dieu, ce même Dieu qui honore la fidélité... Oh ! grâces soient rendues à Dieu !
221 La fidélité: Je donnerais la dernière goutte de mon sang pour la femme la plus noire ou la plus jaune qui existe au monde, qui aimerait vivre fidèlement envers son mari. Je mourrais pour elle, comme je mourrais pour ma propre femme. J’ai du respect pour elle en tant que dame.
222 Que pensez-vous que Jésus-Christ a accompli? Et pourquoi ne pouvez–ne pouvez-vous pas Lui être fidèle, et abandonner votre égoïsme, et votre indifférence? Ne pouvez-vous pas abandonner votre église, vos petites affaires mesquines, et venir à Lui, et être fidèle?
223 Ce pauvre opossum ignorant, et le Saint-Esprit... Et j’étais là en vacances, sans même avoir prié, et cette pauvre petite dame opossum était couchée là sur le seuil de ma porte. Alors que le soleil était devenu ardent, elle était couchée là, fidèle.
224 Lorsque la nuit est venue, elle a ouvert ses yeux, elle voyait. Mais le Saint-Esprit n’a pas voulu la laisser partir. Elle est restée couchée là toute la nuit. Elle n’arrivait pas à se lever. Et puis, très tôt matin, montrant qu’elle était couchée là depuis vingt-quatre heures, attendant son tour afin que l’on prie pour elle, car elle était un animal... Et lorsque le Saint-Esprit a dit: «Sors là-bas et prie pour elle.» Le Dieu du Ciel l’a guérie.
225 Elle a immédiatement rassemblé ses petits dans sa poche, elle s’est retournée pour me regarder, avec des yeux les plus tristes que j’aie jamais vus, comme pour dire: «Merci, gentil monsieur.» Et elle a descendu la route.
226 Elle avait dépassé quatre autres maisons qui étaient plus proches de la route que la mienne pour franchir la porte: une, deux, trois, quatre, elle est entrée dans la cinquième, J-é-s-u-s. Elle a franchi la porte. Elle n’a pas attendu là dans la brousse. Elle n’a pas attendu à l’ombre. Elle est sortie sous le soleil pour atteindre le seuil de la maison. Elle est restée couchée là patiemment, sans grommeler, sans murmurer, attendant son tour pour que l’on prie pour elle.
227 Et ensuite, lorsque j’ai obéi au Saint-Esprit, Dieu a rétabli la santé de l’opossum. Elle a pris ses bébés et elle est retournée dans sa demeure: ce n’était pas un son confus. Dieu, qui connaît le nombre de plumes qui sont sur les ailes d’un oiseau, sait là où ils sont tous. Le Dieu qui connaît le nombre de cheveux de votre tête, le Dieu qui se déplace sur les ailes du matin, Celui qui a créé les cieux et la terre, Celui qui connaît chaque créature et chaque être. Il est Dieu. Voici Sa Parole. Les cieux et la terre passeront, mais Elle ne passera jamais. Ne soyez pas séduits par la doctrine des hommes. Croyez en Dieu, et vivez. Prions.
228 Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, Ton Bien-Aimé Fils... Il n’y a pas de son confus, aucune incertitude à ce sujet, Il est le Fils de Dieu. Il est né d’une vierge. Il est venu ici sous la puissance de Dieu. Il est venu ici au travers de la vierge Marie. Il a souffert, Il a saigné, et Il est mort sous Ponce Pilate. Alors qu’ils auraient pu Le délivrer, les Juifs L’ont crucifié, et ont renié le Juste. Et il est écrit: «Pourquoi ces tumultes parmi les nations, et ces vaines pensées parmi les peuples?»
229 Ô Dieu, vraiment, en étendant Ta main pour guérir, afin que des miracles et des prodiges soient accomplis dans les derniers jours pour prouver que ceci, c’est la pluie de la première et de l’arrière-saison... La puissance de Dieu est ici. Le Fils qui avait brillé au jour de la Pentecôte sur les gens de l’Orient est en train de briller maintenant sur les gens de l’Occident. Les gens s’étaient moqués de Cela, ils avaient raillé Cela, et ils ont dit que c’était du faux semblant, ils les ont traités des sorciers, des diseurs de bonne aventure et d’incrédules, et ils les ont même tués, ils les ont brûlés sur le bûcher, ils les ont bouillis dans de l’huile. Mais Tu étais avec eux pour les délivrer.
230 Tu es ici aujourd’hui. Tu es ici, en cette heure de la fin, même pour des plus grandes bénédictions: «Car la pluie de la première et de l’arrière-saison devraient venir ensemble.»
231 Et maintenant, Père, s’il y a une quelconque incertitude dans l’expérience d’une personne qui est dans cette salle ; je prie, Père, qu’en cette heure, ils placent leur foi, non pas dans leur manière mentale de penser, non pas dans le raisonnement en suivant la doctrine des hommes, mais dans la foi dans la Parole éternelle de Dieu pour la Vie Eternelle. Nous demandons ces bénédictions au Nom de Jésus, Ton Fils.
232 Alors que nous avons nos têtes inclinées, je me demande s’il y a une personne ici maintenant, qui aimerait lever la main avec révérence, et dire: «Je lève ma main, non pas vers le prédicateur, mais vers Dieu. Ô Dieu, change ma manière de penser. J’ai essayé de raisonner pour savoir comment ces choses se passeraient. J’ai essayé de raisonner pour savoir ce que diraient mes voisins si jamais je naissais de nouveau, si jamais Dieu me bénissait de telle manière que je me mette à crier, si jamais Dieu me bénissait de sorte que j’aie une expérience qui me ferait pleurer, je devrais quitter mes associés. J’ai essayé de raisonner sur cela, ô Dieu. Mais aujourd’hui, je ne veux plus raisonner. Je lève maintenant ma main vers Toi, ô Dieu, et je déclare que ceci est mon témoignage. Et si Tu ôtes de moi les raisonnements, et si Tu laisses mon âme prendre position pour croire Ta Parole sans aucun raisonnement, je croirai que c’est un son certain qui m’est donné.» Voulez-vous lever la main? Y a-t-il quelqu’un dans cette salle, partout où vous êtes. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous, vous, vous, et vous. Environ quatre-vingt-cinq pour cent de gens dans la salle.
233 Un raisonnement? Abandonnez les raisonnements. Rejetez-les. Dieu ne veut pas que vous puissiez raisonner. Le raisonnement essaie toujours de trouver une échappatoire. La foi ne raisonne pas. La foi croit tout simplement. Votre esprit, c’est ce qui vous fait raisonner. C’est un trompeur. Le détecteur de mensonge le prouve. La Bible de Dieu est la première à prouver cela. Mais votre âme est immortelle, frère, soeur. Votre puissance de raisonnement vous quittera lorsque la mort vous frappera, mais votre âme sera avec vous dans l’éternité. Ne voulez-vous pas croire la Parole de Dieu et L’accepter?
234 Dans un mot de prière, y a-t-il quelqu’un d’autre qui aimerait lever la main? Dites: «Souvenez-vous de moi maintenant, Frère Branham, pendant que vous priez. J’aimerais chasser le raisonnement.» Que Dieu vous bénisse, ma petite dame. Il y en a une autre. Que Dieu vous bénisse, frère, je vous vois. Que Dieu vous bénisse, frère, je vous vois. Que Dieu vous bénisse, frère. Vous, et oui, la soeur. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Y a-t-il quelqu’un d’autre qui aimerait lever sa main, immédiatement, et dire: «Souvenez-vous...» Que Dieu vous bénisse, mon cher frère. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Chassez le raisonnement. Que Dieu vous bénisse, soeur. Je vois votre main. Que Dieu vous bénisse, soeur, je vois votre main. Ne raisonnez plus. Croyez simplement. Que Dieu vous bénisse, soeur.
235 Y a-t-il quelqu’un d’autre juste avant que nous priions maintenant. Je vais prier et demander à Dieu qu’Il vous aide, Il voit votre main. Que Dieu te bénisse, jeune homme, je vois ta main. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, frère, je vois votre main.
236 Oh ! le bonheur de croire. La bénédiction qu’il y a quand on ne cherche pas à comprendre la chose. La bénédiction qu’il y a en ne s’appuyant que sur la Parole de Dieu, et en disant: «C’est vrai», et d’aller de l’avant. C’est ça la Vie. C’est ça réellement vivre.
237 Ma chère et tendre vieille belle-mère qui est assise ici derrière, lorsque je lui en parlais hier, elle a dit: «Billy, j’avais une horloge, je n’arrivais pas à la faire fonctionner.» Elle a dit: «Je ne pouvais simplement pas rester comme ça sans cette horloge. Je n’avais pas d’argent pour m’en acheter une autre.» Alors elle a dit: «Je me suis agenouillée et j’ai dit: ‘Ô Dieu, fais fonctionner cette horloge pour moi, le veux-Tu?’» Elle a dit qu’elle a levé les yeux, et l’horloge a commencé à fonctionner, et elle fonctionne parfaitement.
238 Son réfrigérateur, a-t-elle dit, deux jours après cela, ne se dégiv-... ne cessait de se dégivrer ; il y avait un petit coin qui gardait la glace. Elle a fait tout son possible pour empêcher cela de se dégivrer, ou plutôt pour faire en sorte que cela arrête de se dégivrer, parce qu’elle ne pouvait pas garder son beurre et tout le reste là-dedans.
239 La pauvre vieille, c’est une veuve. Son mari est dans la Gloire. C’est mon beau-père. Il avait donné son dernier témoignage, ici à ma gauche, avant d’aller à la Maison.
240 Elle s’est agenouillée, elle savait qu’elle n’avait pas d’argent pour acheter un autre réfrigérateur. Elle a dit: «Ô Dieu, veux-Tu avoir encore pitié de moi? Tu me connais. Fais que mon réfrigérateur se remette à givrer, je T’en prie.» Elle s’est levée et elle est partie, elle a regardé dans son réfrigérateur, et la givre avait commencé à se former autour des parois.
241 Soyez simple. Demandez tout simplement. N’essayez pas de comprendre. N’essayez pas d’étudier cela. Croyez tout simplement cela. N’essayez pas de comprendre cela d’une manière intellectuelle. Croyez-le tout simplement avec votre âme.
242 Notre Père céleste, beaucoup de gens ont levé la main ce matin. Ils ont besoin de la prière. Je prie, ô Dieu, que ceci soit la touche finale aujourd’hui ; qu’ils ne raisonnent plus ; qu’ils partent en croyant. Accorde-le, Seigneur. C’est un son certain. C’est l’Evangile qui sonne la glorieuse année de jubilée. Le temps de la délivrance est là.
243 Ne veux-tu pas, s’il Te plaît, Père, leur prodiguer à chacun d’eux Tes tendres soins et leur donner le lait pur de l’Evangile maintenant? Et s’ils ont déjà pris cela, qu’ils reçoivent maintenant la nourriture solide, et qu’ils deviennent des chrétiens accomplis, pour ne plus jamais cancaner avec le monde, se livrer au monde, mais qu’ils soient de véritables hommes et femmes, qui croient au son certain: que l’Evangile est vrai, peu importe celui qui dit le contraire. La Bible, chaque Parole est la vérité. «Les hommes enseignent pour doctrine des commandements d’hommes.» Mais la Parole de Dieu ne faillira jamais. Puissent-ils La croire aujourd’hui.
244 Et ceux qui n’ont pas levé la main, qui sont vraiment convaincus, mais qui n’ont pas levé la main, nous prions aussi pour eux, Seigneur, que Tu sois miséricordieux envers eux. Nous demandons ces bénédictions, Père, parce qu’un jour nous viendrons en jugement. Et le message de ce matin sera présenté en ce jour-là. En ce jour-là que leurs âmes ne les hantent pas, en disant: «Tu aurais dû faire ça.» Mais qu’il y ait la paix dans la vallée lorsqu’ils traverseront. Car nous le demandons au Nom de Jésus.
... d’âges, fendu pour moi,
Laisse-moi me cacher en Toi ;
Laisse que l’eau et le Sang,
Qui coulèrent de Ton flanc percé
Soient un double remède pour le péché,
Me sauver du courroux et me rendre pur.
245 Dieu bien-aimé, s’il y a parmi ces gens, en ce jour, quelques afflictions, quelques maladies, quelque chose qui cloche dans leur corps, nous prions, Père, pendant que le Saint-Esprit est ici, nous réclamons simplement à grands cris les bénédictions, la purification de nos âmes de toute injustice, par le Sang du Seigneur Jésus, le Fils de Dieu. Puisse-t-Il aujourd’hui, avec Son Glorieux Esprit qui persuade, Ses glorieuses vertus guérissantes, permettre que chaque âme pure regarde au Calvaire et dise: «C’est là qu’Il a été blessé pour mes péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Accorde-le, Seigneur.
246 Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, s’il y a des gens ici pour lesquels on doit prier, pour la maladie, veuillez vous tenir debout, là où vous êtes. Que Dieu vous bénisse. Ça va, tenez-vous simplement debout. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
... fontaine.
Gratuite pour tous, ce flot guérissant,
Qui coule de la fontaine du Calvaire.
A la croix, à la croix,
Sois ma gloire à jamais ; (Ô Dieu.)
Mon âme enlevée trouvera
Du repos au-delà de la rivière.
247 Bien-Aimé Père céleste, Tu vois tous ces gens qui se sont tenus debout, Père. Ils se tiennent debout en guise de témoignage, montrant qu’ils Te croient, Père. Toi qui as pu envoyer cette pauvre vieille mère opossum à la porte, Toi qui as pu arrêter ce grand taureau dangereux là, et qui l’as fait rebrousser chemin, Toi qui as pu faire retourner ces guêpes dans leur nid ; Toi qui as pu ramener ce chien à la vie, mon vieux chien de chasse, après avoir été traîné à soixante miles à l’heure [96,5 km/h] sur une distance de deux miles [3 km], il était étendu raide, mort...
248 J’aimais cet animal. La prière l’a ramené à la vie. La prière a remis la patte et l’épaule de cet opossum en place, cette petite mère, et l’a renvoyée dans les bois, toute heureuse. La main du Dieu vivant...
249 Ces chrétiens se sont imposé les mains, Seigneur. Et j’impose mes mains à ce frère, pour créer un point de contact pour tous ceux qui sont dans la salle. Nous sommes des croyants, Seigneur. Nous croyons ces choses. Nous T’aimons.
250 Ce n’est pas un son confus: nous T’avons vu guérir les malades, ressusciter les morts, chasser les mauvais esprits, enlever les cancers, faire marcher les infirmes, sauver les âmes, sanctifier les croyants, remplir les gens du Saint-Esprit, donner la Vie immortelle ; nous les entendons pendant qu’ils se meurent, louer, témoigner, glorifier Dieu, croyant que Tu reviendras.
251 Nous avons besoin du secours, Seigneur. Accorde, Seigneur, que tout ce qui a été demandé soit accordé: que les âmes soient sauvées, par-dessus toutes choses, que les rétrogrades soient restaurés. Et nous prions que les corps malades soient guéris maintenant même. J’envoie cette prière de la foi au Nom de Jésus-Christ, pour la guérison des malades, le salut des âmes, la restauration de ceux qui sont au-dehors, au Nom de Jésus.
Ma foi regarde à Toi, (Tenons-nous debout.)
Toi Agneau du Calvaire, Sauveur divin ;
Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,
Ôte toute ma culpabilité,
Ne me laisse pas m’éloigner de Toi.
252 Maintenant, vous qui le pouvez, levez la main, pendant que nous chantons ceci:
Pendant que je parcours les sombres labyrinthes de la
vie,
Et que les chagrins m’environnent,
Oh ! sois mon guide ;
Transforme les ténèbres en jour,
Essuie les larmes de tristesse,
Ne me laisse jamais m’égarer loin de Toi.