Le Son Confus
1 ... Nous étions très heureux d’être ici ce matin, et nous croyons que les bénédictions du Bienveillant Seigneur reposeront sur chacun de vous. Et je ne savais pas que j’allais venir ici ; c’était plutôt une surprise pour moi. Mais ils ont annulé la réunion en Allemagne, ça a été retardé d’une semaine, à cause d’un événement qui a eu lieu, ils ont dû utiliser ce stade. Nous n’irons donc pas avant une–une semaine à partir du dimanche prochain.
Le dimanche prochain, nous serons au... le samedi et le dimanche prochains, au terrain de camping de l’Eglise méthodiste de Campbellsville, dans le Kentucky, pour une campagne de guérison. Ce samedi soir ce sera un service de guérison à Campbellsville, sur le terrain de camping de l’Eglise méthodiste.
2 L’après-midi du dimanche prochain, j’aimerais prêcher un message évangélique, le Seigneur voulant. Et puis dimanche soir, on aura encore un service de guérison pour les gens à... C’est tout près de ma ville natale, là où je suis né et où j’ai grandi, ou plutôt là où je suis né. Et j’ai grandi ici en Indiana. Alors vous qui avez des amis qui veulent venir à un service de guérison, eh bien, le Seigneur voulant, nous serons là le samedi prochain après-midi, ou plutôt le soir. Je pense que je commencerai vers dix-neuf heures trente. Notre bien-aimé pasteur sera avec nous pour nous conduire dans les chants et le reste.
3 Et il y aura des réunions ici au tabernacle, le dimanche prochain, le matin et le soir. Et il y aura ici un–un très bon ministre qui vous prêchera, ce sera une surprise. Alors, je vais simplement laisser la chose comme cela, parce que nous essayerons d’amener quelqu’un qui sera pour vous une surprise pour le dimanche prochain. Et ainsi donc, vous qui ne pourrez pas être là à Campbellsville, pour être avec nous à la réunion, eh bien, venez carrément au petit tabernacle, et les réunions continueront comme d’habitude le dimanche prochain le matin et le soir.
4 Nous allons–terminerons, si par hasard il y a quelqu’un ici qui vient des environs de Campbellsville, généralement nous essayons de terminer les réunions, mais là-bas... Nous avons des gens qui ne pourront pas venir à l’heure, assister à ces réunions. Et nous tiendrons particulièrement des réunions pour eux et pour les jeunes gens. Alors, tout le monde est cordialement invité à ces belles réunions.
5 Ensuite, il se trouve que nous avons un... Eh bien, nous parlons du temps, comment ça s’allonge réellement. Pensez-y tout simplement. Je quitterai ici à onze heures, l’avant-midi, à partir de Louisville. Et le lendemain dans l’après-midi, immédiatement après le dîner, je serai en train de prêcher au Luxembourg, puis à Frankfort, en Allemagne. Pensez-y tout simplement, à partir de onze heures ici, au... Je quitte Louisville à onze heures, et le lendemain dans l’après-midi, je serai en train de prêcher à Frankfort, en Allemagne ; avec un décalage horaire de cinq heures, ce sont des heures retranchées dans votre temps. Pensez-y. Oh ! la la! c’est difficile à croire, n’est-ce pas? C’est tellement rapide... Mais il se fait que, par la grâce de Dieu, nous avons obtenu une bonne ligne express, un avion DC-9 d’ici jusqu’à New York, et de là nous prenons le Panam qui nous amènera sans escale à Frankfort.
6 Et puis, nous serons là pendant–pendant plusieurs jours, puis de là nous irons à Berlin. Et avec le–le célèbre Hal Herman, je dois être avec lui durant deux soirées à Berlin, en Allemagne. Le célèbre directeur de cinéma de Hollywood qui a été converti, et il a été converti dans l’une des réunions qui ont été tenues là-bas. Et c’est un Allemand de naissance. Et il est retourné en Allemagne, et il prêche l’Evangile sous une grande tente à Berlin. Et plusieurs milliers de gens viennent, traversant le rideau de fer. C’est...
7 C’est certainement pathétique. Un matin, je me trouvais à Zurich, en Suisse, et puis, il y avait là beaucoup de gens. Nous avons eu cent vingt-six mille personnes là à la réunion, alors il nous–nous était difficile de partir de là. Et alors tout le monde, vous savez, c’était pathétique, et les gens imploraient pour que l’on prie pour eux, et ils voulaient savoir ce que le Seigneur allait leur dire.
8 Et le Seigneur m’a dit: «Sors d’ici et descends vers le rivage de la mer, ou plutôt du lac.» La Suisse est un très beau pays.
9 Et j’ai dit: «Billy, accompagne-moi.»
Il a dit: «Eh bien, papa, tu vas te mettre dans le pétrin là-bas, et ils iront prendre la police pour te chasser.»
10 Et j’ai dit: «Eh bien, le Seigneur me dit de descendre vers la plage.» Et ainsi je suis allé me promener le long du rivage, personne... [Il y avait] des Allemands, des Suisses, des Belges, des Français, et des Italiens qui assistaient à la réunion. Personne ne m’avait reconnu du tout. Je me promenais juste là le long du rivage. Et j’ai une façon de me déguiser un peu, un petit peu. Et je doute que mon propre frère me reconnaisse s’il me rencontre là-bas. Voyez-vous? Alors... Et il était...
11 Je marchais le long du rivage, nous nous sommes avancés jusque-là, et nous nous sommes assis. Et Billy a dit: «Eh bien, tu sais, les gens me reconnaissent, papa.»
12 J’ai dit: «Bien,» j’ai dit: «Ils peuvent te reconnaître, mais, ai-je dit, le Seigneur m’a dit de venir ici.»
13 Il a dit: «Mais qu’est-ce que le Seigneur veut que tu fasses?» C’est l’impatience d’un enfant, vous savez.
14 J’ai dit: «Il en prendra soin.» Voyez?
15 Alors nous avons commencé à retourner, le long de la plage. J’ai vu un vieil homme assis là, en train de pleurer, de lire comme cela. J’ai dit: «Le voilà. C’est Lui.»
Il a dit: «Tu ne vas pas t’approcher de cet homme-là pour lui parler?»
16 J’ai dit: «Non, c’est lui qui va s’avancer vers moi pour me parler.» J’ai dit: «Il...» J’ai dit: «Maintenant, il vient de très loin.» Et j’ai dit: «Il est venu ; c’est un cas urgent. Observe cet homme et vois s’il n’a pas quelque chose pour moi. Et c’est quelque chose qu’on met au bras d’une femme. Tu vois?» Je dis...
Il a dit: «Comment le sais-tu?»
17 J’ai dit: «Une vision venait d’apparaître, et c’est ce même homme ; c’est lui qui est assis juste là.»
18 Et alors j’ai dit: «Regarde de l’autre côté maintenant, avançons vers lui.»
Nous sommes passés près de lui. Et après quelques instants, Billy a dit: «Papa, l’homme est en train de nous suivre.»
J’ai dit: «Je le sais. Et nous allons arriver à un virage ; nous allons traverser un petit pont, et il marchera devant toi et il me rattrapera juste là sur le pont. Observe s’il ne fera pas cela.»
Il a dit: «Très bien.»
19 Alors, nous avons continué à marcher. Et là il s’est arrêté, il marchait devant moi et il m’a rattrapé juste là sur le petit pont. Il a dit: «Freure Branham.» [Frère Branham imite le mauvais accent de l’homme.–N.D.T.] Et il a tiré de son petit... Il avait un petit cartable semblable à un sac de dame, d’où il a tiré quelque chose comme un portefeuille, son passeport. Et il venait de la Russie. Il avait là un mouchoir sur lequel il désirait que je prie, et il avait déchiré cela en six lanières pour une femme dont le bras était en très mauvais état, un bras qui était blessé et qui ne guérissait pas, et son bras se rétrécissait. Et elle était mère de cinq enfants, six lanières, vous voyez, c’était parfait.
20 Et j’ai jeté un coup d’oeil sur son passeport. Il venait de la Russie, là derrière le rideau de fer. Et de penser comment le Seigneur Jésus, voyant ce pauvre Russe... Je lui ai demandé combien de Russes se trouvaient là. Il a dit: «Nous sommes plusieurs centaines à avoir traversé la frontière, et nous sommes venus assister à vos réunions.»
21 J’ai dit: «Comment avez-vous su que j’étais ici?»
Il a dit: «Eh bien, nous avons appris cela par le canal de la radio suisse.»
Et j’ai dit: «Avez-vous déjà entendu parler de mes réunions là-bas?»
22 Et il a dit: «Lorsque le petit garçon a été ressuscité en Finlande, la nouvelle est allée jusqu’en Russie.» Tout le long jusqu’en Russie ; la nouvelle de ce petit garçon qui était ressuscité des morts. Alors cela montre tout simplement que Dieu a Ses enfants partout, n’est-ce pas?
23 Et Hal Herman m’a parlé, il a dit: «Billy, nous serons là...» Vous savez, c’est près de la frontière, puis on est à Berlin. Il a dit: «Il y aura, peut-être, cinq mille personnes, ou dix mille personnes, qui seront là. Lorsque vous clôturerez la réunion, en dix minutes (dans des métros) vous ne verrez plus personne.»
24 Ils retourneront derrière le rideau de fer. Ils disparaîtront comme des taupes.
25 Ainsi cela montre tout simplement qu’en dépit de tout cet athéisme, de tout ce système impie, de tout le nazisme, de l’hitlérisme, du fascisme et du communisme, cela n’éteindra jamais la Lumière de l’Evangile. Ça se trouve toujours dans les coeurs des gens. Cela se répandra comme des vagues continuellement et continuellement. Cela ne finira jamais. Car Jésus a dit: «Sur ce roc Je bâtirai Mon Eglise, et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre Elle.»
26 N’est-ce pas merveilleux de savoir que la raison même pour laquelle vous êtes assis dans cette petite salle chaude ce matin, avec des ventilateurs qui soufflent, est qu’il y a à l’intérieur d’un homme quelque chose qui appelle, une puissance cachée, dont le monde ne connaît rien. Seuls ceux qui en sont participants savent ce que c’est.
27 Est-ce que ces petits haut-parleurs fonctionnent correctement là en haut? Il y a quelques instants, je pouvais à peine entendre mon bien-aimé frère là derrière, avec ces ventilateurs qui soufflent, et–et je ne comprenais pas tellement ce qu’il disait.
28 Bien, nous sommes heureux ce matin de vous voir ici, en cette journée où il fait chaud. N’oubliez pas la réunion de mercredi soir au tabernacle. Je pense que vous allez écouter frère Neville au même moment, le matin du dimanche prochain, et ensuite probablement qu’il va–de là il va alors se rendre à Campbellsville, ou plutôt ce soir-là, pour les réunions.
29 Et nous sommes heureux de voir la petite Edith, et la famille Wright là- haut encore ce matin, soeur Lawton, et beaucoup parmi vous ici. J’aimerais entendre soeur Angie et les autres chanter: «Il conduit l’aigle dans les airs sans sentier.» Ou je ne sais comment c’était, lorsque nous sommes entrés. J’ai apprécié cela.
30 Et j’ai cherché à serrer la main de frère Fleeman là derrière, et à lui parler pendant un moment. Et c’est de cette manière... Je n’ai pas compris exactement de quoi il s’agissait. Voyons voir [Frère Branham lit doucement une requête de prière.–N.D.E.] «...?... désire que frère Branham prie pour ma jambe...?... Il aimerait qu’il prie pour...?... pour ma jambe.» Il y a quelqu’un ici qui aimerait... C’est une prière pour un membre, une personne.
31 Eh bien, le soir du dimanche passé nous avions eu une merveilleuse réunion là à l’Eglise de la Porte Ouverte, le Seigneur est en train d’accomplir un glorieux miracle là-bas. Et cela fait que la maison se trouve pratiquement bondée, c’est rempli des gens ce–cette semaine. Ça a donc été un moment glorieux, bien qu’il faisait très chaud. Mais, cependant, grâces soient rendues à Dieu, nous avons pu nous trouver ici dans la maison du Seigneur ce matin et nous sommes prêts à servir le Seigneur. Prions.
32 Notre Père céleste, nous Te remercions en cet instant même au Nom de Jésus, Ton Bien-Aimé Fils, pour tout ce qu’Il a accompli pour nous, en pardonnant nos péchés, et en nous invitant à cette merveilleuse et glorieuse communion de Sa souffrance, et à cette communion de Sa gloire qui a suivi la résurrection, de savoir avec certitude que Jésus-Christ est ressuscité des morts et qu’Il est vivant parmi nous aujourd’hui. Combien nous L’aimons pour ce qu’Il a fait: Le voir, comment Il guérit les malades, comment Il a fait que cette petite fille aveugle (qui lisait le braille) l’autre soir, que ses yeux puissent s’ouvrir, et qu’elle traverse cette salle, montrant aux gens qu’Il est ressuscité des morts.
33 Et maintenant nous Te prions, ô Toi le Grand Dieu ressuscité, le Dieu de tous les dieux, l’Autorité suprême sur tout ce qui existe dans les cieux et sur la terre, le Souverain et le Créateur, nous prions que Ta glorieuse et auguste Présence nous bénisse aujourd’hui, et que Ta Glorieuse Majesté entre dans chaque coeur ce matin, Père, et que Tu prennes le contrôle de tout. Nous le demandons pour la gloire de Dieu. Au Nom de Jésus, nous prions. Amen.
34 Dans le Livre de 1 Corinthiens, juste comme texte de référence, si nous voulons appeler cela ainsi, pendant quelques minutes, nous aimerions lire un ou deux versets ici pour nous donner un contexte et un petit témoignage que j’aimerais vous raconter avant de commencer à prêcher.
35 J’ai inscrit quelques notes ici sur différentes choses que j’aimerais vous dire au sujet des réunions et sur quelque chose qui est arrivé l’autre jour. Ainsi, je n’oublierai pas cela, j’espère.
36 Maintenant, dans 1 Corinthiens... La Parole de Dieu doit toujours avoir la prééminence. Elle doit occuper la première place. Observez Sa Parole. Et maintenant au chapitre 14, à partir du verset 6, je lis ce qui suit:
Et maintenant, frères, de quelle–de quelle utilité vous serais-je, si je venais à vous parlant en langues, et si je ne vous parlais pas par révélation, ou par connaissance, ou par prophétie, ou par doctrine?
Si les objets inanimés qui rendent un son, comme une flûte ou une harpe, ne rendent pas des sons distincts, comment reconnaîtra-t-on ce qui est joué sur la flûte ou sur la harpe?
Et si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat? (C’est Paul qui parle.)
37 Et ensuite, dans Psaumes, le premier chapitre des Psaumes, nous lisons ce qui suit: «Heureux l’homme à qui Dieu n’impute pas son inj-... justice, ou plutôt son péché.» Et cet homme béni est un homme particulier. David parle, disant combien cet homme était béni, car «cet homme béni est comme un arbre planté près des courants d’eau.» Dans Psaumes 1: «Et combien il porte son fruit en sa saison. Il n’en est pas ainsi de l’impie, mais il va–il périra.» Et ainsi de suite. Mais le–l’homme béni, c’est l’homme de Dieu.
38 Et maintenant j’aimerais... étant donné qu’il n’y a pas beaucoup de gens ici aujourd’hui (Et j’espère qu’il ne fait pas trop chaud pour que vous restiez assis là pendant quelques instants, ou au moins pendant quarante-cinq minutes), j’aimerais juste vous parler de coeur à coeur aujourd’hui.
39 Au tabernacle je n’ai pas l’occasion de faire ceci très souvent, ou là dans les réunions pour enseigner la doctrine ou dire des choses que je veux dire, mais là-bas à l’extérieur, c’est toujours sur la guérison divine. Et là dans les autres églises où ils ont des gens de toutes espèces et certaines dénominations qui enseignent différentes théologies, eh bien, alors, je–je n’arrive pas à le dire, parce que cela blesse les sentiments des gens et tout. Même que parfois, lorsque la Parole est prêchée, d’une manière simple et claire, cela blesse les sentiments des gens. Et la meilleure chose à faire, c’est de s’en tenir simplement aux principes fondamentaux de–de Jésus-Christ, lorsque nous sommes là dehors, comme Sa mort, Son ensevelissement, Sa résurrection, et Sa–Sa puissance et Son amour pour les gens. Et de cette manière cela n’apporte aucune confusion.
40 Parce que je ne... Quant à moi, peu m’importe l’église dont les gens sont membres, l’essentiel c’est qu’ils soient des chrétiens. Que vous soyez un catholique, que vous soyez un protestant, que vous soyez méthodiste, baptiste, ou quoi que vous puisiez être, aussi longtemps que vous êtes un chrétien, c’est ça l’essentiel.
41 Christ ne tient pas compte de l’église dont vous êtes membre. Parce qu’elles périront toutes et disparaîtront un jour ; et elles seront en pièces, et on n’y pensera plus. Mais le–le principe du christianisme, c’est la condition du coeur vis-à-vis de Dieu. Et c’est la chose sur laquelle nous voulons nous concentrer: de connaître un frère, non pas par l’église qu’il fréquente, ni par sa manière de se vêtir, mais par ce qu’il est dans son coeur.
Alors, mon sujet ce matin, bien sûr, c’est: Le Son confus.
42 Eh bien, il y a beaucoup d’objets qui produisent un son. Mais il y a beaucoup de sons confus aujourd’hui. Il y a l’incertitude partout. Partout où vous regardez dans les affaires nationales, c’est–c’est l’incertitude. La réunion des quatre grands, c’est... Ils se réunissent. Ils rédigent leurs déclarations, mais il y a une incertitude quant à savoir si l’autre camp tiendra son–son engagement ou pas.
43 Il y a une incertitude de savoir s’il va pleuvoir demain ou s’il fera beau temps. Il y a une incertitude dans tout ce que vous regardez, à l’exception d’une seule chose: Christ. Voyez? C’est la seule chose dont vous pouvez être sûr que c’est certain.
44 Il y a une autre chose qui est tout à fait certaine pour chaque personne ici. J’aimerais vous laisser cette pensée pour commencer. Cela n’est pas certain si vous serez vivant pour pouvoir sortir de cette église ou pas. C’est incertain de savoir si oui ou non vous reviendrez. C’est incertain de savoir si vous verrez une autre année de plus dans votre vie. Mais il y a une seule chose qui est absolument certaine: c’est la mort et le jugement qui viendront plus tard. Vous allez faire face à cela, aussi sûr que Dieu existe au Ciel.
45 Vous pouvez prendre un rendez-vous avec votre femme et dire: «Chérie, je vais t’amener à tel endroit.» Quelque chose pourrait survenir, qui fera que vous ne puissiez pas le faire. Vous pourriez ne pas être en mesure de respecter ce rendez-vous-là.
46 Vous pourriez dire à votre meilleur ami: «Frère, je vais te voir. Je vais faire telle chose. Je vais te donner de l’argent, ou je te donnerai ma voiture.» Il y a toute sorte d’in-... d’incertitudes contre cela.
47 Mais une seule chose est certaine: c’est que, vous allez mourir, et après cela vous allez comparaître au Jugement. Gardez donc cela à l’esprit pendant que nous parlons de l’incertitude.
48 Eh bien, il y a des gens qui pensent ceci: «Puisque nous allons à l’église, puisque nous sommes membres de l’église, puisque nous écoutons un bon sermon de temps en temps, et ainsi de suite, tout va bien.»
49 Maintenant, étant donné qu’il fait chaud et tout, et je transpire beaucoup, et de me trouver sous ce ventilateur et tout, généralement cela m’enroue. J’aimerais simplement vous parler aujourd’hui, si je le pourrai, vous enseigner sur certaines choses que je sais que vous devriez connaître: et c’est quelque chose qui vous aidera à vous améliorer, qui vous aidera le long du chemin.
50 J’espère que Dieu m’aidera aujourd’hui à vous transmettre quelque chose, qui fera que vous compreniez ce que vous devriez être et ce que vous devez être. Et en vous disant cela, cela me fera aussi comprendre que je dois être un homme meilleur que ce que je suis, et meilleur que ce que j’ai été. Et chaque jour, que je monte un peu plus haut et me rapproche un peu plus de Christ. C’est la raison de notre présence ici ce matin dans la sincérité et l’intégrité de nos coeurs.
51 Je crois que nous ne viendrions pas à une église où il fait si chaud aujourd’hui, où nous devons nous asseoir ici et souffrir sous cette chaleur juste pour le plaisir de venir à l’église. Je crois qu’il y a une certaine chose pour laquelle vous venez: c’est pour Christ.
52 Vous ne venez jamais pour m’écouter moi. Même si je peux faire de tout mon mieux, toujours est-il que je n’ai jamais attiré quelqu’un à Dieu. Personne ne peut attirer quelqu’un vers Dieu à part Christ.
53 Peut-être que vous venez écouter les cantiques. Les cantiques, c’est très bien. Nous aimons ce genre de cantiques. Mais ce ne sont pas les chants qui attirent les gens à Christ. Ce–c’est le Saint-Esprit qui attire les gens vers Christ. Voyez?
54 Prêcher n’attire pas les gens, bien que nous fassions tout notre possible. Le pasteur et moi, nous faisons tout ce que nous pouvons pour–pour amener les gens à Christ, ou plutôt pour prêcher l’Evangile, mais c’est le Saint-Esprit qui doit attirer votre coeur et vous donner ce son certain. Nous pouvons prêcher l’Evangile, ce que nous pensons être juste, mais c’est le Saint-Esprit qui doit donner le son qui retentit dans votre coeur. Il existe un son certain.
55 «Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort.» C’est un peu en dehors du sujet, mais j’aimerais m’y attarder juste un moment, en rapport avec une–une personne, que je peux tout simplement considérer dans mon esprit, une personne mythique, et que j’appellerais madame Dupont.
56 Cette nommée madame Dupont, lorsqu’elle était élevée dans l’église, elle était une bonne femme. Elle aimait Dieu. Oh ! elle allait à l’église en compagnie de sa mère. On lui avait enseigné à–à faire ce qui est juste.
57 Maintenant, ô Dieu, donne-nous encore davantage de ces bonnes mères à l’ancienne mode, qui enseigneront à leurs filles et à leurs garçons à faire ce qui est juste et à distinguer le bien du mal. C’est ce qu’il nous faut aujourd’hui.
58 Nous avons aussi beaucoup d’autres types d’exemples que nous plaçons devant nos jeunes, tels que fumer, prendre de l’alcool, faire la beuverie, et ainsi de suite, des choses qui ne devraient pas se faire, et ce sont des prétendues mères qui les commettent.
59 Maintenant, remarquez. Dans le–le corps humain, notre constitution, notre simple anatomie dans laquelle nous vivons ici, n’est pas faite pour pécher. Cela a été créé pour faire ce qui est juste. Cela a été créé pour servir Dieu. Dieu ne vous a jamais créé juste pour travailler, rentrer chez vous et aimer vos enfants. C’est très bien. Dieu vous a créé pour travailler. Dieu vous a créé pour rentrer chez vous, et aimer vos enfants, aimer votre femme, et que la femme soit fidèle et qu’elle aime son mari, que les enfants aiment leur père et leur mère. Tout ça c’est bon. Mais Dieu vous a créé...
60 Ça c’est simplement le contexte pour quelque chose, pour lequel Dieu vous a créé afin que vous le fassiez. Dieu vous a créé pour être un adorateur, Son adorateur à Lui. Vous adorerez quelque chose, peu importe de quoi il s’agit. Vous adorerez votre femme. Vous adorerez vos enfants. Vous adorerez n’importe quoi, votre voiture, votre... Vous adorerez votre plaisir. Vous adorerez quelque chose, parce que c’est dans la nature de l’homme d’adorer. Eh bien, nous voulons savoir ce que nous adorons.
61 Jésus a dit à la femme au puits, Il a dit: «Vous adorez ce que vous ne connaissez pas. Nous les Juifs, nous adorons... Nous savons que nous adorons Dieu, parce que le salut vient des Juifs.»
62 Eh bien, et ensuite la femme s’est mise à Lui expliquer comment elle... «Les uns disent: ‘A la montagne’ ; les autres disent: ‘A Jérusalem.’»
63 Il a dit: «L’heure vient, et elle est déjà venue, où le Père cherche des adorateurs qui L’adoreront en Esprit et en Vérité. Car Dieu est Esprit, et ceux qui L’adorent doivent L’adorer en Esprit et en Vérité.»
64 C’est comme je le disais il y a quelques jours, ici ou quelque part, en parlant du détecteur de mensonge. Maintenant, suivez donc attentivement. J’aimerais que vous suiviez très attentivement. Lorsqu’on met sur vous un détecteur de mensonge et que vous essayez d’imiter la–cette vérité, vous essayez de dire que c’est vrai, mais là au-dedans de vous, dans le subconscient, il y a un endroit appelé l’âme. Et cette pensée intellectuelle ne gouverne pas cette vibration du système. L’esprit, c’est seulement un directeur. Cela vous conduira et sera vraiment incapable de vous amener vers Dieu: votre esprit.
65 Vous ne pouvez pas connaître Dieu par votre esprit, par l’intellect. C’est l’une des ressources, ou l’un des canaux qui vous y conduira, mais c’est votre âme qui vous gouverne. Vous êtes ce que vous êtes, par votre âme.
66 Jésus disait aux pharisiens, Il disait: «Eh bien, vous hypocrites. Comment pouvez-vous dire de bonnes choses?»
Lorsque ces derniers L’appelaient «Bon Maître», et tout.
Il a dit: «C’est de l’abondance du coeur que les lèvres parlent. Et dans votre coeur vous Me haïssez. Et de vos lèvres vous m’appelez ‘Bon maître’.» Il a dit: «Vous hypocrites !»
67 Voyez, votre âme pense une chose, et de vos lèvres vous dites autre chose. Quel dommage ! Quelle chose horrible ! Quelle fourberie que d’être un hypocrite ! Car de leur pensée ils disent une chose, alors que leur âme en dit une autre.
68 Maintenant, le détecteur de mensonge ne marchera pas sur votre esprit. Cela marchera sur votre âme. Cela ne marchera pas sur votre intellect. Il y a des gens qui peuvent imiter la vérité. Ils imitent la vérité. Cependant, c’est un mensonge, et ils peuvent imiter la vérité au point qu’ils peuvent séduire n’importe qui.
69 Et Satan est le meilleur séducteur qui soit, car c’est de cette manière qu’il avait séduit Ève, en lui disant les mêmes choses. Et le plus grand mensonge qui ait jamais été dit renfermait beaucoup de vérité.
70 Maintenant, cette personne, que se passerait-il si vous pouviez amener cette âme qui se trouve à l’intérieur dans une parfaite harmonie avec Dieu, à tel point que votre âme et Dieu seront un? A ce moment-là vous pouvez demander tout ce que vous voulez, et cela vous sera accordé.
71 Bien des fois, beaucoup de gens viennent me voir, dans la ligne de prière, et ils se tiennent là, et disent: «Oh ! Frère Branham, j’ai beaucoup de foi. J’ai la foi pour déplacer des montagnes.»
Et pourtant, ils n’ont pas de foi. Ils ont à peine assez de foi pour monter sur l’estrade. Mais ils sont conscients d’une chose, c’est qu’ils croient. Ils croient par leur esprit d’une manière intellectuelle. Et leur esprit ne les conduira jamais à Dieu. Votre esprit est constitué des raisonnements. Il n’y a pas de raisonnements en Dieu.
72 Si vous raisonnez sur la chose, votre esprit vous dira: «Eh bien, écoute, le médecin dit que je ne pourrais pas en guérir. C’est impossible.»
73 Or, le médecin, par son intellect, son intelligence, sa connaissance de la médecine, vous a parlé au mieux de sa pensée. Et vous utilisez votre esprit, vous utilisez la même chose que vous a dite votre médecin, vous... Dieu ne pourra jamais toucher cette ligne-là, aussi longtemps que vous raisonnerez. Mais abandonnons le raisonnement. Dieu ne nous a point créés pour vivre par notre intellect. Nous vivons par le Saint-Esprit qui se trouve dans notre âme, qui dit: «Non» à tous les raisonnements qui sont contraires à la Parole de Dieu.
74 Lorsque la Parole de Dieu dit que c’est ainsi, rien au monde ne peut faire obstacle à Cela. Alors, lorsque vous le faites, vous vous tenez du bon côté, du côté de Dieu. Vous vous humiliez au point que vous pouvez demander tout ce que vous voulez, et cela vous sera accordé, parce qu’il n’y a rien là au milieu. Il n’y a aucun raisonnement. Chassons ces raisonnements. Ils vous font obstacle. Mettez votre esprit hors du chemin. Et ne dites rien de ce que vous raisonnez, de ce que vous voyez, de ce que vous pensez ; dites que ce que Dieu dit être la Vérité. Et cela ne peut venir que de l’intérieur, du coeur, et non de l’intellect.
75 C’est là que bien des gens aujourd’hui seront vraiment déçus au jour du Jugement, de savoir qu’ils avaient vécu dans l’église, qu’ils avaient accompli de bonnes oeuvres, qu’ils avaient traité correctement leurs voisins, qu’ils avaient été loyaux envers les gens, loyaux envers l’église, et que dans leur esprit ils avaient cru que Jésus est le Fils de Dieu, et après être condamnés au jour du Jugement.
76 Jésus a dit: «Il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus. Etroite est la porte et resserré le chemin qui conduit à la Vie. Mais il y en aura très peu qui le trouveront.»
77 Maintenant, à vous qui êtes ici ce matin, je–j’aimerais que vous soyez établis et que vous remarquiez ceci. Vous êtes assez grand maintenant. Vous avez suffisamment entendu prêcher l’Evangile, à tel point que vous devrez être en mesure de–d’abandonner le lait et passer à un régime très solide de l’Evangile ; vous devez arriver à un point où les hommes et les femmes doivent se tenir debout. Paul a dit: «Alors que vous devriez être des maîtres, eh bien, on doit encore vous enseigner.»
78 Maintenant, c’est dans l’âme que l’homme vit, vous êtes ce que vous êtes dans votre âme, pas dans votre esprit, pas dans votre raisonnement. Ce n’est pas parce que vous dites: «J’aurai un meilleur standing. Je vais m’associer à de meilleures gens si je deviens chrétien.» Ça c’est le raisonnement. Voyez? Ce n’est pas ce que vous devez faire. Ne le faites pas. Que cela vienne d’une nouvelle expérience, d’une nouvelle naissance, quelque chose qui est arrivé, pas dans l’esprit, mais dans l’âme, qui a enlevé tous les raisonnements, et vous êtes devenus une nouvelle créature. Et vous êtes en Jésus-Christ.
79 Madame Dupont était une bonne femme, à ce que nous sachions. Elle avait épousé monsieur Dupont. C’était un très bon chrétien. A l’âge d’environ, (oh !) trente ans, ou quelque chose comme cela, madame Dupont était une belle femme. Elle s’est écartée du chemin, elle s’est mise à s’associer aux voisins. Elle s’est mise à s’associer aux mondains. Eh bien, remarquez, elle s’est mise à s’associer aux gens du monde. Elle s’est mise à s’associer au reste du monde: ce ne sont pas de mauvaises gens, ce sont de bonnes gens, ce sont peut-être des gens pieux de son quartier. Elle commence à fréquenter ces gens. Et pendant qu’elle fréquente ces gens... Elle est consciente qu’elle est une bonne femme.
80 Et, bien vite, vous savez, quelque chose s’empare d’elle. Elle commence à être attirée par un autre homme. Eh bien, c’est un très bel homme. Il est plus beau que son mari. Et quelque chose se produit en elle, elle sent qu’elle tombe amoureuse de cet homme.
81 Maintenant, écoutez. Là tout au fond de son âme, la Parole de Dieu se met à bouillonner, et dit: «Tu as tort. Ton voeu, c’est de t’attacher à cet homme jusqu’à ce que la mort vous séparera, peu importe à quoi il ressemble.»
82 Que ça soit une plus belle femme, ou un plus bel homme, c’est vice-versa. Vos voeux vous lient à cette personne jusqu’à ce que la mort vous sépare. Vous vous référez à l’intellect. Vous allez vous dire: «Voici madame Unetelle. Elle joue au piano. C’est une bonne femme. Eh bien, elle a fait ceci,» et vous vous mettez à raisonner. Vous verrez les autres femmes commencer à s’habiller d’une manière immorale, porter ces piètres petits vêtements qu’elles portent par ici, particulièrement en été, et même en hiver si elles le peuvent, c’est simplement des vêtements vulgaires. Et vous allez sortir...
83 Eh bien, mesdames, j’aimerais que vous me pardonniez. Je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments. Je ne suis pas ici pour blesser vos sentiments. Dieu sait que ce n’est pas le cas. Mais je suis ici comme un prédicateur de l’Evangile pour vous faire savoir ce qu’est la vérité, ensuite faites-en tout ce que vous voulez. Et puis, lorsque vous vous mettrez à faire ces choses, vous allez commencer à raisonner: «Si cette femme peut faire ça. Elle est bien considérée. Elle fréquente l’église. Elle fait partie de la haute société. Pourquoi ne puis-je pas le faire?» Ça c’est le raisonnement, alors que votre âme vous dit que c’est faux. Dieu avait couvert les femmes, et les hommes, là dans le jardin d’Eden, Il ne les avait pas déshabillés. Voyez-vous? Mais c’est le raisonnement. Vous raisonnez sur cela: «Les autres font de même.»
84 Vous jeunes filles, vous–prêtez attention à l’Evangile ce matin. L’Evangile dit: «Que les femmes s’habillent avec modestie.» Pas d’une manière immorale, «avec modestie». Et cela devient... c’est une disgrâce.
85 Vous savez ce qui serait arrivé à Zurich, en Suisse, si une femme descendait la rue vêtue comme ces femmes le font ici en Amérique? On la jetterait directement en prison là-bas et clarerait–la déclarerait folle. Certainement.
86 Lorsque je suis allé à Rome, en Italie, je suis allé là où on a enterré les saints, ils avaient même placé une inscription au portail, au cimetière de Saint Angelo, aux catacombes, et il y était écrit: «Vous femmes américaines, s’il vous plaît, habillez-vous avant d’entrer en cet endroit par respect aux morts.» Et un pays aussi méchant, dégradé, débauché et vil comme l’Italie, devoir faire de telles déclarations. Et ce sont nos prédicateurs qui en sont la cause, du haut de l’estrade, en ne disant pas la vérité. Amen. C’est juste.
87 Remarquez, la femme fricote. Elle pense que c’est en ordre. Quelque temps après, elle quitte son mari. Elle sort carrément du sentier et se marie avec ce voyageur de commerce, parce qu’il est beau et corpulent. Et après un moment, elle se rend compte que cet homme n’est pas comme son mari. Voyez, il n’est pas gentil comme son mari.
88 Et quelque temps après, elle se dit donc: «Oh ! eh bien, j’ai fait cela, je vais aimer quelqu’un d’autre.» Elle continue. Elle poursuit son bonhomme de chemin. Elle continue bonnement à fréquenter l’église. Le pasteur n’a jamais rayé son nom du registre. Elle continue à fréquenter l’église. Elle vit simplement comme elle veut.
89 Et, bien vite, oh ! faites... Vous direz: «Bon, écoutez, Madame Dupont, croyez-vous en Jésus-Christ?»
90 «Je le crois de tout mon coeur.» Mais ses actions, ses fruits prouvent qu’elle ne croit pas. N’écoutez pas un son confus. Laissez cela retentir à partir de l’Evangile ici. Cela prouve qu’elle ne croit pas. Car elle ne serait pas en train de faire ces choses. Elle ne se comporterait pas de la sorte. Elle aurait des pensées différentes. Elle serait dirigée par autre chose: son âme.
91 La première fois qu’elle avait attristé cela là-bas, lorsqu’elle avait commencé à sortir, à tromper son mari... Voici son intellect ici... Voici son âme ici. Il y a une ligne de démarcation là, si jamais vous traversez cela, vous ne reviendrez plus jamais de l’autre côté. Vous ne reviendrez plus jamais. Pensez-y. Et elle continue sur sa lancée.
92 Et après un certain temps, lorsqu’elle pèche contre cette chose qui est dans son fort intérieur, qui parle de la Parole de Dieu, tout d’abord, elle sera entièrement plongée dans son intellect, laissant son âme seule. La Bible dit: «L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra.» Mourir signifie se séparer.
93 Ensuite, l’âme, cette conscience qui vous a autrefois condamnée, n’y est plus, et vous passez entièrement dans l’intellect. Vous allez adhérer à une vieille église froide et formaliste qui ne croit pas dans ces choses, et vous en arrivez là où les loups s’entre-dévorent et, bien vite, l’âme qui vous a condamnée la première fois que vous avez dit un mensonge, la première fois que vous avez porté ces vêtements courts, la première fois que vous avez commis ces actes immoraux, cela mourra en vous, et vous ne sentirez plus cela. Et vous allez carrément continuer sur votre lancée. Et, après un certain temps, la mort vous attrapera.
94 Vous vivez de l’autre côté. Votre pasteur viendra et dira: «Tout est en ordre, ma soeur. Vous êtes maintenant prête pour partir. Tout va très bien.» Elle croira la même chose. Et aussitôt, lorsqu’on en arrive à...
95 Pourquoi? Avec toute la puissance du raisonnement qu’elle a, elle a fréquenté l’église. Elle a fait des dons aux sociétés de bienfaisance. Elle a fait tout ce qui est juste, c’est ce qu’elle se disait, tout ce qui était en ordre dans sa pensée. Elle suivait la conduite de sa pensée. «Je sais que je dois aller à l’église. Je sais que je dois être amicale. Je sais que je dois traiter mon voisin correctement. Je sais que je dois faire ceci et cela.» Mais qu’est-ce, néanmoins? Elle avait attristé et chassé cette Personne.
96 Et puis, à l’heure de sa mort, lorsqu’elle arrive à l’article de la mort, elle est étendue sur le lit. Et tout d’un coup, elle se réveille et se met à hurler: «Oh ! mon Dieu ! Je suis perdue !»
97 Le pasteur dira: «Donnez-lui une piqûre. Elle délire.» Et on lui injectera une piqûre. Et elle essayera de parler. Elle n’arrivera plus à parler. Elle va murmurer. Qu’est-ce? Son âme l’a rattrapée, avant la mort. Ce n’est pas seulement les femmes, mais les hommes aussi, qui ont rejeté l’amour de Jésus-Christ, qui L’ont rejeté, qui s’En sont moqués.
98 Cela vous rattrapera un jour, aussi sûr que je me tiens ici ce matin. Vous avez tellement attristé cela que vous ne sentez plus cela. Mais cela vous attrapera un jour. Cela reviendra complètement sur vous, ces choses sales, ces choses mauvaises, les commérages, les bavardages, les médisances, l’égoïsme, et toutes ces choses que vous avez faites. Tout cela vous reviendra un jour, pendant que vous serez couché sur votre lit de mort.
99 L’aiguille de la seringue dans ces derniers jours a arrêté la confession sur le lit de morts des milliers de gens. «Donnez-lui une piqûre. Engourdissez-le.» Il essaie de parler. Qu’est-ce? Son âme l’a rattrapé ici.
100 Cette âme et cet esprit, c’est cette chose qui se trouve ici, que l’intellect est sur le point de détruire. C’est seulement dans la pensée. L’intellect, la chose par laquelle vous avez vécu périra. Mais cette âme que vous avez attristée par votre intellect va vous hanter pendant l’éternité. Amen.
101 N’écoutez pas un son confus. Croyez l’Evangile dans Sa plénitude. Oui monsieur. Oh ! vous direz: «J’ai fréquenté l’église. J’ai fait ce qui était juste. J’ai payé mes dîmes.» Toutes ces choses sont bonnes, mais ce n’est que de l’intellect.
102 Et, écoutez, pendant qu’on essaie d’arrêter, avec cette aiguille de seringue dans le bras, la personne, est tellement engourdie qu’elle ne sait plus rien, elle essaie de parler. Son âme l’a rattrapée. Elle se rend compte que son raisonnement, sa pensée périt avec son cerveau.
103 Vous direz: «Périr avec le cerveau, la pensée?» Oui, oui. Oui, oui. Votre pensée périra à votre mort.
104 Je vais vous le prouver. Le détecteur de mensonge ne capte pas votre esprit ; il capte votre âme. Les vibrations de vos nerfs ne parcourent pas votre esprit ; cela parcourt votre âme. Amen.
105 Alors votre intellect mourra lorsque votre cerveau cessera de fonctionner. Lorsque le sang ne parvient plus à irriguer le cerveau, et que les nerfs meurent, à ce moment-là votre esprit s’en va et votre âme vous rattrape.
106 Au moment où l’âme de cette femme la rattrape, et elle dit: «Mon Dieu, je suis perdue !»...
107 Et les gens pensent que c’est–oh ! que la personne délire. On lui fait une injection hypodermique, on lui fait une injection, et elle commence à s’engourdir. Elle n’arrive plus à parler. Elle essaie de parler. Elle commence à se tordre. Elle est dans l’agonie. Et le médecin dit: «Donnez-lui une autre ; pour l’endormir,» jusqu’à ce que l’ange de la mort vienne prendre son esprit.
108 Mais cette injection hypodermique peut endormir la chair ; elle peut endormir l’esprit ; mais cela ne peut pas endormir cette âme qui sait qu’elle va comparaître devant Dieu. Cela la hantera à travers des âges éternels, durant l’éternité. Cette âme la hantera et continuera à la hanter, aussi longtemps que les âges continueront.
109 Vous venez d’où? Vous allez où? Vous venez de l’éternité. Vous êtes entré dans un petit espace appelé le temps. Vous sortez du temps pour entrer dans l’éternité. Et ce que vous êtes dans votre âme, lorsque vous sortirez, vous serez toujours la même personne. Oh ! la la ! Très bien.
110 Est-ce que c’est un peu mieux maintenant? Ma voix devient vraiment–je remarque que c’est un peu plus fort avec ça. Très bien. Lorsque–lorsque le... [La sonorisation ou quelqu’un attire l’attention de frère Branham.–N.D.E.] Je crois qu’il est... C’est pour frère Neville. Je prêche un peu fort.
Très bien, dans l’éternité, voilà.
111 Un pasteur s’approchera de cette femme, et dira: «Eh bien, notre bien-aimée soeur, elle était vraiment un membre fidèle dans notre église. Elle venait chaque sabbat. Elle assistait les pauvres. Elle assistait les nécessiteux. Elle faisait toutes ces choses. Aujourd’hui elle est dans la Gloire.»
112 Mais si seulement on connaissait la vérité, là dans cet endroit hanté appelé l’enfer, cette âme qui s’est séparée d’elle ici sur terre, lorsqu’elle avait écouté un son confus... Et elle est entrée dans l’éternité sans connaître Dieu, sans connaître Christ par la nouvelle naissance. Elle croyait cela dans son coeur. Elle croyait cela dans son esprit. Elle se disait qu’elle était en ordre, mais elle était dans l’erreur. C’est votre âme qui fait cela. Ô Dieu, aie pitié.
113 Ecoutez un son certain. L’Evangile n’a pas de son confus. Paul a dit: «Si un–si une trompette retentit, si un soldat entend un clairon sonner...»
114 Il y a beaucoup de vétérans ici ce matin. Ils savent ce que signifie la retraite. Ils connaissent ces différents signaux, les sons du clairon. Et si ce clairon ne donne pas un son certain, mais produit simplement beaucoup de bruit, comment le soldat saura-t-il se préparer?
115 Si une église dit: «Faites ceci», une autre dit: «Faites cela,» et une église dit: «Faites ceci,» et une autre: «Faites cela», comment le chrétien saura-t-il ce qu’il doit faire? L’une dit une chose et l’autre dit autre chose.
116 Mais je vous assure, mon bien-aimé frère, je vous montrerai un endroit où il n’y a pas de son confus: c’est dans la Bible, la Parole éternelle de Dieu. C’est l’Evangile. Et l’Evangile, c’est la puissance et la démonstration du Saint-Esprit en action. Oui, il y a des sons confus.
117 Quand Jésus se tenait sur la terre, Il savait où Il se tenait. Il savait qui Il était. Il a dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie. J’ai le pouvoir de La reprendre.» Il n’y avait aucune incertitude là-dedans. «J’ai.» Alléluia ! «J’ai maintenant le pouvoir de La donner. J’ai le pouvoir de La reprendre.» Effectivement. Personne ne peut M’empêcher.
118 Tout homme ou toute femme qui est né de l’Esprit de Dieu sait où il se tient, quoi qu’il arrive, ou combien de gens disent oui ou non. Il sait où il se tient. Il n’y a pas de son confus. Alléluia ! Oh ! la la !
119 L’homme qui possède cela, la femme qui possède cela, oh ! quelle personne bénie ! Ce n’est pas étonnant que David ait dit que cette personne était bénie, cette personne est bénie. Qu’on l’étale sur une table d’opération, et que l’on prenne–que l’on cherche à lui retrancher cette bénédiction, vous ne trouverez jamais cela. C’est une puissance cachée. C’est une chose cachée ; oh ! mais ça se trouve là. Chaque homme et chaque femme qui l’ont déjà eue savent qu’ils ont reçu Cela. Il n’y a aucune incertitude du tout à ce sujet. Tout homme qui est né de l’Esprit de Dieu connaît à quel moment il est passé de la mort à la Vie, il connaît l’endroit, l’heure, la minute, lorsque la mort a été changée en Vie, lorsque l’incrédulité vis-à-vis de la Bible a été changée pour devenir la foi dans chaque Parole de la Bible, à quel moment les choses hautaines, les fanfaronnades sont passées, pour qu’on devienne un chrétien humble, ils savent quand la mort s’est transformée en Vie. Amen.
120 Chaque homme qui avait Cela avait quelque chose de différent. Le monde a reconnu cela. Chaque femme qui avait Cela avait quelque chose de différent, et le monde a reconnu cela. Le monde peut Le voir. Vos actions prouvent ce que vous êtes. Vous pouvez dire que vous possédez Cela, mais vos actions parlent tellement fort que l’on ne peut entendre votre voix. Votre vie prouve ce que vous êtes.
121 Samson était un homme qui En était possédé. Maintenant, beaucoup de gens essaient de peindre le portrait de Samson comme un homme doté de très larges épaules, et un grand homme qui est sorti là et a arraché les portes de la ville, et s’en est allé. Ça, ce n’est pas... Ce ne serait pas un mystère pour moi de voir un homme d’une si forte carrure faire cela. Samson n’était pas un homme de grande taille. Toutes les Ecritures déclarent qu’il était un gringalet, un bout d’homme. Et il était béni. Pourquoi? Il était né ainsi.
122 C’est de cette manière que vous êtes béni, c’est lorsque vous naissez de cette manière, ce n’est pas quand un prêtre vous bénit, ou qu’un prédicateur vous baptise, mais lorsque Dieu, par le Saint-Esprit, vous accorde la nouvelle naissance. C’est à ce moment-là que vous êtes né un enfant de Dieu.
123 Samson avait Cela en lui. Ce n’était pas Samson ; c’était la puissance qui était cachée en lui. Ce n’est pas une formule magique. Ce n’est pas le fait de vous frotter l’oreille avec une patte de lapin derrière, de cracher sur un fer à cheval et de le jeter, qui produit le miracle. Ce n’est pas ce qui fait qu’un homme puisse mener une vie différente ; pas plus que le fait d’adhérer à l’église, ou d’inscrire votre nom sur un registre, ou d’être baptisé.
124 Ce qui fait un homme, c’est lorsque Dieu, par une naissance, lui donne la puissance cachée, et le bénit par le Saint-Esprit dans sa vie, c’est ce qui fait de lui ce qu’il est.
125 Pendant que Samson se promenait là-bas, un lion a chargé sur lui. Oh ! la la ! le lion allait l’attraper, lui un petit gringalet aux cheveux bouclés, qui avait environ cette taille, avec sept petites tresses comme une femme, qui lui tombaient sur les épaules. Et il était un gringalet, il était un nain ; il était un chétif, comme n’importe quel homme qui était sans Dieu. Oui. Mais tout d’un coup, alors que le lion était sur le point de l’attraper, la puissance cachée survint. Le Saint-Esprit vint sur lui, et il saisit le lion et le tua, comme si c’était un agneau.
126 C’est là que la chose réside. Le chrétien ne riposte pas. Le chrétien ne se dispute pas. Le chrétien reste tranquille. Et cette puissance cachée, la bénédiction du Saint-Esprit se met à l’oeuvre en sa faveur, et manifeste la chose. Alléluia ! C’est...
127 David avait Cela. Lorsqu’il a dansé devant l’arche de l’Eternel, il avait Cela. Il savait de quoi il parlait, c’est pour cette raison qu’il n’avait pas peur de Goliath. Ce n’était pas la pierre que David avait placée dans la fronde qui tua Goliath. Ce n’était pas la fronde qu’il tenait en main qui tua Goliath. Ce n’étaient pas les pierres qu’il avait dans son petit sac qui tuèrent Goliath. C’était la puissance cachée, cette bénédiction de Dieu. Lorsque David a lâché ce qu’il avait, Dieu prit cela et bénit cela par une puissance cachée. Donc ce n’était pas David ; ce n’était pas la pierre ; ce n’était pas la fronde ; c’était cette bénédiction qui était sur David, qui tua l’ennemi de David. Amen.
128 Les enfants hébreux avaient cela. Ils avaient du courage. Ils ont dit: «Notre Dieu est capable de nous délivrer de la fournaise ardente. Mais nous ne nous inclinerons jamais.» Il n’y avait aucune incertitude là-dessus, aucun son confus.
129 Ce n’était pas un son confus pour David, lorsqu’il a dit: «Vous voulez me dire que vous allez laisser le–cet incirconcis de Philistin se tenir là et défier l’armée du Dieu vivant?» Il a dit: «J’irai me battre avec lui moi-même.» Amen. Il n’y avait aucune incertitude, David savait où il se tenait.
130 Dieu a dit: «David, Je t’ai pris derrière le pâturage, lorsque tu n’étais qu’un jeune berger, et j’ai rendu ton nom grand parmi les hommes, comme les grands hommes de la terre.»
131 Nathanaël l’a regardé, il a dit: «Fais tout ce qui est dans ton coeur, car Dieu est avec toi.»
Il n’y avait aucune incertitude. Il connaissait Dieu. Ils avaient de l’expérience, il n’y avait aucun son confus à ce sujet.
132 David a dit: «J’irai me battre avec lui ; et aujourd’hui, je lui trancherai la tête.» Il n’y avait aucune incertitude. Ce n’était pas David ; c’était Dieu en lui. C’était cette puissance cachée. Il n’y avait pas la moindre incertitude du tout, tout était positif, rien de négatif.
133 Les enfants hébreux ont dit: «Nous ne nous prosternerons pas devant vos dieux. Nous n’adorerons pas votre vieille religion formaliste. Dieu est capable de nous délivrer. Mais s’Il ne le fait pas, nous sommes disposés à mourir.» Dans la fournaise ardente... Et savez-vous ce qui est arrivé? Lorsqu’ils ont pris Dieu au Mot et qu’ils sont entrés dans la fournaise ardente, cette puissance cachée est sortie (Amen !) et les a entourés.
134 Et ils ont eu une communion ; Quelqu’Un de semblable à un Fils de Dieu s’est tenu à côté d’eux, en train de neutraliser les flammes chaudes, et ils ont communié au beau milieu de la plus grande difficulté qu’ils aient jamais traversée.
135 Et tout homme ou toute femme qui est né de l’Esprit de Dieu, lorsque cette heure vient, prenez votre décision et prenez position pour Dieu sans aucune incertitude. Au milieu des troubles vous aurez la communion. Aucune incertitude...
136 On avait jeté Daniel dans la fosse aux lions. Il n’y avait aucune incertitude, il s’est tenu là. Il avait la puissance cachée, ce n’était pas une patte de lapin dans sa poche ni une amulette à porter au cou.
137 Ces gens me rendent malades avec toutes ces croix, ces amulettes, et tout, que portent les protestants aussi bien que les catholiques, et dans lesquels il n’y a aucune vertu. C’est très bien d’avoir cela ; mais adorer cela tel que vous le faites ; vous suspendez cela dans votre voiture et vous pensez qu’avec cela vous ne ferez pas d’accident, ça ne marchera pas. Seule la main de Dieu peut le faire. Amen.
138 Le serpent d’airain, c’était tout à fait en ordre. Il n’y avait aucune condamnation dans le serpent d’airain. Mais lorsque les gens se sont mis à s’éloigner de Dieu, et à adorer le serpent, le prophète démolit cela. Amen. Voilà.
139 Daniel est entré dans la fosse sans aucune incertitude: «Dieu est capable de me délivrer de ces lions.» Mais les gens l’avaient jeté dans la fournaise ardente... Et je crois que lorsque ces lions se sont approchés là pour le regarder, un Halo de Feu s’est tenu là, entourant Daniel. Tout animal craint le feu, vous savez cela. Ces lions ont reculé. Qu’était-ce? La puissance cachée qui était dans le coeur de Daniel est sortie et l’a enveloppé entièrement. C’était cette puissance cachée, cette bénédiction de Dieu, qui était sur la vie de ce prophète-là, cela l’a environné d’une flamme de Feu ; c’était comme là à Dothan ce jour-là, lorsque Guéhazi regarda et vit ce qui était autour d’Elie: les Anges de feu, des chars de feu. Là, cette puissance cachée environnait Daniel.
140 Pierre et Jean, alors qu’ils passaient par la porte appelée La Belle, le Seigneur leur avait parlé d’un boiteux qui était couché là. Il n’y avait aucune incertitude. Ils n’avaient aucune instruction. Ils n’avaient pas... Ils n’étaient membres d’aucune église. Ils n’étaient pas membres d’une dénomination. Mais il n’y avait aucune incertitude quant à leur expérience. Ils avaient la chose réelle. Ils n’avaient pas d’argent. Ils n’avaient aucune affiliation. Ils n’avaient aucune instruction. Mais Pierre a dit: «Ce que j’ai, je te le donne. Au Nom de Jésus-Christ, lève-toi et marche.» Ils avaient la puissance cachée. Ils s’habillaient comme tous les hommes. Ils marchaient sur la rue. Ils mangeaient comme tous les hommes. Mais ils avaient en eux une bénédiction, qui leur donnait l’assurance de connaître leur position.
141 Il a dit: «Je n’ai aucune instruction. Je ne suis membre d’aucune église. Je ne connais aucune théologie. Je n’ai aucun sou. La seule chose que j’ai, je vais te la donner, si tu l’acceptes.»
Cet homme a dit: «Qu’est-ce?»
142 Il a dit: «Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche !» Il n’y avait aucune incertitude, ce n’était pas: «Lève-toi et essaie pour voir si tu peux bouger ton pied.» Non. «Lève-toi et essaie pour voir si ton état va s’améliorer.» Mais: «Au Nom de Jésus-Christ, lève-toi et marche maintenant !» Voilà !
143 Le son confus est un–produit un son confus, c’est ce qui arrivera. Oh ! la la !
144 Etienne avait une si grande portion de cette bénédiction en lui, il a dit, pendant qu’on le lapidait... Oh ! la la ! il avait une si grande portion de cette bénédiction en lui, une si grande portion de cette puissance cachée qu’il était devenu un autre homme, il a levé les yeux, et il a vu Jésus se tenant à la droite de Dieu, et il n’a même pas senti une seule motte de terre lorsqu’on le lapidait à la tête.
145 Eh bien, je peux voir Etienne là. Il s’est agenouillé, et ses ennemis, crachaient sur lui, et tout le reste, et on le lapidait. Il s’est levé, et a levé les yeux vers le Ciel et a dit: «Père, ne leur impute pas ce péché. Je les pardonne, Père.» Une si grande portion de cette bénédiction en lui, qu’est-il arrivé? Je vous assure, à ce moment-là les cieux s’ouvrirent. Ce petit Esprit qui était sur lui, s’est frayé un chemin à travers les nuages, à travers les étoiles, à travers la brume, jusqu’à ce qu’il vit Jésus se tenant à la droite de Dieu. Il a dit: «Voici, je vois les cieux ouverts.»
146 Frère, je préférerais avoir Cela plutôt qu’avoir toute l’instruction, tout l’argent que vous pourrez entasser devant moi. Toute mon instruction, je l’abandonnerai ici. Toute ma théologie intellectuelle, je la laisserai ici. Toute ma richesse, je la laisserai ici. Mais la puissance cachée, cette chose qui rend l’Evangile certain, vous amènera au Ciel, et vous fera traverser les vallées de l’ombre de la mort. Amen.
147 Il savait de quoi il parlait. Il a dit: «Je vois les cieux ouverts.» Il avait une bénédiction. Il avait une puissance cachée. Et il n’a plus senti les mottes de terre après cela. Les gens lui cognaient la tête avec des pierres, ils le cognaient d’un côté, puis de l’autre. Pauvre petit Etienne, comme un bébé, il s’est couché dans les bras de sa mère, et Dieu, l’a bercé pour l’endormir sur Son sein.
148 La Bible ne dit pas: «Etienne mourut.» La Bible dit: «Etienne s’endormit.» Que Dieu soit miséricordieux ! Frère, c’est ce que je désire à la fin du chemin. Il a été placé sur le sein de Dieu, et Il l’a bercé pour l’endormir, Il a dit: «Tu vois, mon fils, là où Je t’emmène.»
149 Il avait une bénédiction. Il avait cette puissance cachée, ce n’était pas une patte de lapin, ni une amulette dans sa poche, mais quelque chose dans son âme qui l’avait changé et avait fait de lui un homme différent.
150 Paul a dit: «La vie que je vis maintenant...» Cela montrait qu’il avait mené une vie différente autrefois. «Ce n’est pas moi qui vis, mais c’est Christ qui vit en moi.», a-t-il dit. Oui.
151 Jean, le révélateur, sa voix avait un son certain. Il aimait le Seigneur. Il se reposait sur Son sein. Il communiait avec Jésus. Il avait vécu presque cent ans. Il avait accompli des miracles et des prodiges et il avait vu des visions.
152 Et lorsque les gens... ils ont dit: «C’est un sorcier.» Alors on l’a emporté et on l’a fait bouillir, pendant vingt-quatre heures dans un grand tonneau de graisse. Vous savez quoi? Cette puissance cachée est sortie. Cette puissance cachée qui était dans son coeur l’a entièrement environné. Et lorsqu’on a regardé dans le pot de graisse, la bénédiction était sur Jean. Et ils l’ont fait sortir de l’huile, il n’y avait même pas l’odeur de l’huile sur lui. Et ils ont dit: «C’est un sorcier. C’est un diseur de bonne aventure. C’est Béelzébul.»
153 Chaque homme, chaque femme qui a jamais essayé de vivre pour Dieu a été accusé de choses impies. «C’est un sorcier. Il a ensorcelé l’huile.» Il avait tellement de puissance de Dieu en lui, tellement... Ce n’était pas de la sorcellerie. Mais qu’était-ce? C’était la puissance cachée de Dieu qui était en lui. Il avait l’air d’un homme ordinaire. Il mangeait comme un homme. Il dormait comme un homme. Il pleurait comme un homme. Il était un homme. Mais Dieu était dans Son homme. La bénédiction était dans cet homme.
154 «Heureux l’homme,» a dit David. Il n’y a aucune incertitude quant à cet homme. L’homme qui sait de quoi il parle. Peu m’importe ce que dit le monde, ce que vous dites de lui, vous essayez de le rendre fou, il ne deviendra pas fou. Peu m’importe combien vous parlez de lui, il n’y prêtera aucune attention. Il ira carrément de l’avant, parce qu’il a une bénédiction ici à l’intérieur. Il priera pour vous. C’est juste. Vous pourriez donc faire n’importe quoi ; il n’y prêtera aucune attention. Il ne va pas dénigrer ses voisins, et aller partout susciter des troubles. Il sera un pacificateur. Il fera tout son possible, car il est un enfant de Dieu. Heureux est cet homme. Oui.
155 Lorsque les pentecôtistes sont allés à la Pentecôte, c’était des hommes ordinaires lorsqu’ils sont montés là-haut, mais tout d’un coup... Pendant qu’ils étaient là-haut, ils avaient peur ; ils avaient fermé les fenêtres, ils avaient fermé les portes. Ils craignaient la persécution. Ils avaient été de bons membres d’église jusqu’alors. Ils avaient été baptisés dans l’eau, jusqu’alors. Mais ils n’avaient pas encore cette puissance cachée. Ils n’avaient pas cette certitude.
156 L’un d’eux a dit: «Si Tu es... Laisse-moi introduire mes mains dans Ton côté. Laisse-moi introduire mes doigts dans les empreintes des clous, dans Ta main.»
157 Un autre a dit aux femmes: «Oh ! c’est de la folie. Vous n’avez rien vu.»
158 Mais lorsqu’ils ont gravi les marches de l’escalier et qu’ils sont montés là-haut, tout d’un coup il vint du ciel un bruit, et la puissance cachée est descendue. Cela entra en eux. Après un moment ils étaient là dehors dans la rue, jouissant–se réjouissant et louant Dieu, prêchant l’Evangile, glorifiant Dieu. Ils avaient une puissance cachée. Ils avaient une puissance dont le monde ne savait rien.
159 Maintenant, c’est la même chose. Le son confus. Ne croyez pas au son confus. L’Evangile n’a pas de son confus.
160 Vous direz: «Frère Branham, je crois que mon église prêche l’Evangile.» Très bien.
161 Jésus a dit: «Maintenant, je vais vous donner une chose à croire.» Il a dit: «Allez par tout le monde maintenant, et prêchez l’Evangile à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et...» Amen. Oh ! je me sens bien. «Et» c’est une conjonction. Ne vous arrêtez pas ici, «prêchez l’Evangile. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Ce n’est pas un son confus. C’est l’Evangile. Amen. Ils chasseront des démons. «En Mon Nom ils chasseront les démons.» Ce n’est pas un son confus.
162 L’Evangile déclare que c’est le timbre qu’a la cloche. Gloire ! Alléluia ! Oh ! la la ! C’est le timbre de la cloche lorsqu’ils chasseront les démons.
163 «Ils parleront de nouvelles langues.» Je ne parle pas d’un son confus maintenant. Ils parleront avec connaissance, avec révélation ; ces gens-là avaient le véritable don du parler en langues. Quelque chose se produit lorsqu’ils parlent en langues. Ce n’est pas un son confus. Ce n’est pas le son de l’incrédulité, pas du tout. Si c’est un tas d’histoires, comme nous en voyons bien des fois, c’est l’incrédulité. Mais lorsque vous vous exprimez avec des Paroles, avec l’interprétation, avec révélation, alléluia ! C’est la cloche de l’Evangile qui retentit. Ce n’est pas un son confus.
164 «S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Ce n’est pas un son confus.
165 Vous les bien-aimés, vous qui êtes membres de l’Eglise de Christ, là derrière, vous direz: «C’est du diable.» Est-ce vrai? Dans ce cas la Bible est du diable. Voyez?
166 La Bible dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Ce n’est pas un son confus.
167 Faites attention ! Vous écoutez beaucoup de théologies d’églises qui sont des sons confus. Cela ne co-... avec la Bible. Paul a dit: «Si la–si la trompette ne produit pas un son clair, comment peut-on se préparer pour la bataille?» Oui, oui. Oh ! la la !
168 Jésus a dit: «Ces choses que Je fais, vous les ferez aussi, et même de plus grandes, car Je vais au Père.» Ce n’est pas un son confus, rien du tout.
169 Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit dans Actes 2.38: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Ce n’est pas un son confus.
170 Il n’y a jamais eu un passage dans la Bible, nulle part, de la Genèse à l’Apocalypse, où Dieu ait jamais «aspergé» une personne. C’est un son confus. Il n’y a jamais eu un seul passage dans la Bible où quelqu’un ait été baptisé autrement qu’au Nom de Jésus-Christ. Tout ce qui est contraire est un son confus.
171 Lisez la Bible. C’est ce qui constitue l’Evangile. Voici la Semence. La Semence portera Ses fruits. Fiou ! c’est un peu chaud, n’est-ce pas? Mais c’est bon.
172 Le genre de feu qu’il nous faut c’est «le Saint-Esprit et le Feu,» pour brûler ce qui est charnel et les histoires d’églises en nous, pour nous ramener à l’Etat des fils et des filles de Dieu, là où ces théologies intellectuelles et tout ce que vous apprenez au séminaire par ici, et le reste disparaîtra, et Dieu pourra entrer dans votre coeur. C’est ce qui compte.
173 Ce n’est pas si vous allez réciter un «je vous salue Marie». Ce n’est pas si vous irez là à l’église protestante réciter le Credo des apôtres ; cela n’a rien à voir avec la chose ; rien du tout.
174 Jésus a dit: «Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera pas dans le Royaume.» Amen. Ce n’est pas un son confus, pas du tout.
175 Lorsqu’Elie est monté là... Ecoutez, laissez-moi vous montrer quelque chose. Pendant qu’Elisée observait Elie, il est monté et il l’observait. Il a dit: «Que désires-tu?» Un type de Christ et de l’Eglise.
176 Il a dit: «J’aimerais voir quelque chose.»
Il a dit: «Que désires-tu?»
Il a dit: «J’aimerais avoir une double portion de ton Esprit lorsque tu partiras.» C’était une faim. C’était la théologie. C’était quelque chose de mental. Il avait faim de cela. Son esprit voulait de cela. Son âme réclamait cela. Cela ne veut pas dire qu’il avait cela.
177 Elie a dit: «Tu as demandé une chose difficile. Mais si tu me vois lorsque je partirai, très bien, cela viendra sur toi.» Frère, il surveillait ce prophète, chaque mouvement qu’il faisait.
178 Et lorsque cet appel final vint, et qu’Elie a été appelé à monter au Ciel pour paraître dans la Présence de Dieu, Dieu fit descendre un charriot pour le transporter. Gloire ! Oh ! la la ! Il lui a envoyé un charriot avec des chevaux des charriots–des chevaux de Feu et un char de Feu ; Il a dit: «Mon bien-aimé serviteur, monte. C’était bien.»
179 Il a dit: «Très bien, Elisée, je vois que tu m’observes.» Il a ôté son manteau et l’a jeté en bas. Elisée a ramassé ce même manteau et l’a porté. Il n’y avait aucune incertitude, il a marché jusqu’à la rivière. Alléluia ! Il avait vu ce qu’Elie avait fait. Il a ouvert cela pour traverser de cette manière-là. Il a dit: «S’Il est toujours le même Dieu, et si Son Esprit est sur moi, la rivière s’ouvrira encore.» Il n’y avait aucune incertitude. Avec ça, il frappa la rivière et dit: «Où est le Dieu d’Elie?» Et la mer s’est partagée de part et d’autre, et il a traversé.
180 Avez-vous remarqué? Il n’était pas obligé d’aller à l’école des prophètes pour recevoir une certaine instruction. Gloire ! Fiou ! Ce jeune homme n’avait aucune instruction, et il a marché. La théologie intellectuelle avait pris fin. Il avait cela dans son âme. Observez-le, il avait fait comme Elie.
181 Jésus a dit: «Vous boirez la même coupe que Je bois. Vous serez baptisé du même baptême dont J’ai été baptisé. Et vous ferez aussi les mêmes oeuvres que Je fais.» Qu’a-t-Il fait? Il a parlé en langues, chassé les démons, prêché l’Evangile, guéri les malades. Les mêmes choses qu’Il a faites, nous pouvons aussi les faire. Et à la fin de nos jours, de même qu’Il est ressuscité des morts, nous qui sommes en Lui nous ressusciterons aussi.
182 J’ai du mal à réveiller mon fils le matin. Pour lui c’est comme s’il confond le jour et la nuit. Je lui dis: «Billy, il ne te servira à rien de rester couché là comme cela. Lève-toi ! Tu ferais mieux de sortir, te brosser les dents, d’aller là dans la cour, d’examiner ta voiture, de revenir t’asseoir et lire. Ne reste pas couché au lit: cela ne te fera aucun bien, c’est de la paresse.»
183 Que Dieu ait pitié de ces chrétiens paresseux, ils ne sont plus bons à rien: ils en savent trop là-dessus et en parlent si peu aux autres.
184 Il a dit: «Papa, je n’arrive pas à me lever de bonne heure.»
J’ai dit: «Ecoute, Billy, un de ces jours, tu n’auras plus de papa pour s’occuper de toi. Papa sera parti un de ces quatre matins. Tu entreras dans la chambre, tu jetteras un coup d’oeil peut-être, et papa sera étendu là. Tu le bougeras, mais il ne se réveillera plus.» J’ai dit: «A ce moment-là on m’emportera dans cette petite église dans un cercueil. Tu passeras à côté, ton mouchoir en main, en train de pleurer, tu baisseras les yeux, et tu diras: ‘Voilà ! mon vieux papa. Je regrette de ne l’avoir pas écouté.’»
185 J’ai dit: «Mais, souviens-toi, Billy, je me suis toujours levé tôt.» Alléluia ! [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... la trompette bénie sonnera, je ressusciterai à la première résurrection.
186 Je crois dans la première résurrection (Alléluia !), un glorieux jour par la grâce de Dieu. Je crois cet Evangile que je prêche. Je crois que c’est la pure vérité.
La robe d’Elie n’avait pas un son confus. Il n’y a pas de son confus.
187 Le membre du Congrès Upshaw... Il n’y avait pas de son confus lorsque le Saint-Esprit m’a dit d’aller là, avant que les médecins n’aient même pu trouver les amibes. Il n’y avait aucun son confus, lorsque le médecin a dit que j’allais mourir, et c’était Dieu qui m’a guéri. Ce n’était pas un son confus. Ce n’était pas un son confus à Green’s Mill cette nuit-là, lorsque l’Ange du Seigneur s’est avancé vers moi et a dit: «C’est dans ce but que tu es venu au monde.» Ce n’était pas un son confus.
188 Je suis allé en parler à des prédicateurs. Ils ont dit: «Billy, tu as fait un cauchemar.» Mais il y a eu des millions d’âmes qui ont été gagnées à Christ. Il n’y avait pas de son confus. C’était la voix de Dieu s’adressant à un pauvre: ce n’était pas un son confus. Oh ! je n’arrive pas à prêcher lorsque je pense à cela.
189 Je m’adressais à ma femme, il n’y a pas longtemps. Peut-être que j’ai déjà raconté cela ici avant. Vous connaissez le milieu familial dont je suis issu. J’aime mon papa. Il est déjà mort. Il est mort dans mes bras, alors que je priais pour lui. Mais il buvait.
190 Toute ma famille buvait. Ils ont fait des choses très néfastes, et c’est encore une honte pour la société. Mes frères boivent ; ce n’est pas parce que je désire qu’ils boivent. Je pleure pour eux, je prie pour eux et tout.
191 Autrefois, avant que Dieu m’appelle, j’étais–je me tenais dans la rue, essayant de parler à quelqu’un, les gens... A cause de ce nom, les gens disaient: «Oh ! Branham? Oooh ! éloignez-vous.» Lorsque quelqu’un d’autre passait à côté et qu’il cherchait quelqu’un, il disait: «Eloignez-vous de lui.» Très bien, alors à ce moment-là ils s’éloignaient. Ils ne voulaient pas me parler.
192 L’autre jour j’ai dit à ma femme: «Maintenant, je dois me glisser quelque part dans les bois et me cacher pour me tenir loin des gens qui viennent de partout dans le monde.»
193 Qu’est-ce qui a fait cela? Est-ce parce que j’ai beaucoup étudié? Est-ce parce que j’ai appris la théologie? Est-ce parce que j’ai été instruit? Est-ce parce que j’ai adhéré à une église? Non. Ça aurait été un son confus. Mais un jour quelque chose avait retenti là au fond de mon coeur, pas dans ma pensée, dans mon coeur. Dieu est entré. Et depuis lors, ça a été bon. C’est la grâce étonnante.
194 J’étais étonné l’autre jour, par-dessus tout ce qui est arrivé depuis longtemps. J’aime beaucoup la nature. Vous savez bien que j’aime la nature. J’aime les animaux. Et je pense qu’ils sont merveilleux.
195 Je me tenais dans l’entrebâillement de ma porte. Frère Léo et Gene étaient là. Et frère et soeur Wood étaient là. Et le petit Billy Gillmore, le laitier, se tenait là. Et à dix heures du matin, là sur la route, quelque chose venait en boitillant, en traînant une patte derrière. Ça a tourné et ça a franchi mon portail, et ça s’est avancé jusque sur les marches du perron. C’était un vieil opossum, à dix heures du matin. Ils sont aveugles à cette heure-là de la journée, les opossums. Ils sont aveugles à cette heure-là, pendant la journée. Ils sont tous aveugles, pendant la journée. C’est un animal nocturne qui se déplace la nuit. Ils chassent, et ils chassent partout, et ils cherchent leur nourriture la nuit. Vous le savez tous. Un opossum est un animal comestible.
196 Et il a tourné et franchi mon portail. Je suis allé à la rencontre de cet opossum. J’ai pris un râteau. Je me suis dit: «C’est étrange. Il peut être aveugle. Qu’est-ce qui le fait agir et chanceler comme cela? J’ai posé le râteau sur lui. Il s’est retourné et m’a regardé, il a grogné. Je me suis dit: «Il y a quelque chose d’étrange.»
197 J’ai regardé à l’intérieur de sa poche. L’opossum est un animal proche du Kangourou ; ce sont les deux animaux qui ont des poches dans lesquelles ils transportent leurs petits. Et dans la poche de cet opossum, elle avait huit ou neuf petits sans poils là-dedans. Et un chien l’avait attrapé, ou une voiture, et lui avait brisé la patte, l’os de l’épaule. Elle était couverte de mouches vertes, elle avait des asticots dans les oreilles, et tout ; et elle était là, boitillant comme cela. Et elle a grogné parce qu’elle pensait que j’allais toucher ses petits.
198 J’ai dit: «Cet opossum a plus de sens de maternité que beaucoup de femmes, particulièrement cette femme qui a jeté son bébé dans la rivière l’autre jour pour s’en débarrasser. J’ai dit à Gene et Léo, qui étaient assis là derrière, j’ai dit: «Venez ici, et je vais vous prêcher un sermon.» J’ai dit: «Regardez la moralité de cette femme. Regardez la moralité de cette dame. C’est une brute muette, mais elle a plus de qualité de dame en elle que quarante pour cent d’Américaines.» C’est juste. J’ai dit: «Il ne lui reste qu’environ une heure à vivre à la voir, mais elle passera cette heure à se battre pour protéger ses petits. Et ces femmes qui sortent par ici et qui ont de petits bébés, elles les étouffent, et les noient, et les jettent au feu et tout: elles sont pires que des chiennes, elles sont pires que des animaux.»
199 Cette petite dame n’a pas voulu attendre. Elle n’a même pas voulu s’arrêter, en partie. Elle est montée droit sur mon perron, et–elle était épuisée, et elle s’est couchée là. Nous avons essayé de la réveiller. Elle s’était évanouie. Elle continuait de grogner, elle souffrait atrocement.
200 Madame Wood s’est avancée, et monsieur Wood et les autres, ils ont dit: «Frère Branham, je crois que ce qu’on devrait faire en tant qu’hommes, ce serait de tuer cet opossum. Ces pauvres petits bébés vont mourir de faim.»Ils ont dit: «C’est la seule chose que vous pouvez faire, faites-le.»Quelqu’un d’autre est passé par là et a dit: «Frère Branham, n’allez-vous pas tuer cet opossum?»
201 J’ai dit: «Tuez-la. Elle est en train de mourir.» J’ai dit: «Elle est étendue là en train de souffrir.» J’ai dit: «Sortez les petits et tuez-les. Ce serait mieux pour eux.» J’ai dit: «Ils n’ont pas d’âme. Ce n’est qu’une brute muette, c’est juste un animal.» J’ai dit: «Ces pauvres petits vont mourir de faim. La pauvre mère est étendue là, et ces petits bébés la tètent, et vous savez dans quel état elle se trouve.» J’ai dit: «Ils vont mourir.»
202 J’ai dit, j’ai dit: «C’est vrai, je suis un chasseur, mais pas un assassin.» J’ai dit: «J’aime chasser, mais je ne tue pas juste pour tuer. Ça, c’est être un assassin.» C’est juste. Je ne tue que ce que je peux manger, ou quelque chose dont je peux me servir, ou quelque chose qui détruit. Je ne tue pas pour tuer ; ça, c’est le propre d’un meurtrier. Je ne peux pas le faire. Je ne peux tout simplement pas le faire.
203 Et je savais que raisonnablement, du point de vue mental, selon la manière correcte de penser, en tant qu’homme ce qu’il fallait faire, c’était de tuer l’opossum et ces petits. L’opossum était mourant, il ne reprendrait plus conscience. Et ces petits allaient mourir de faim. Et en se nourrissant de ce vieux lait coagulé de leur mère, ils allaient probablement mourir dans la misère. La meilleure chose à faire, c’était de les ôter de cette souffrance. C’était la seule chose raisonnable. Mais quelque chose ici à l’intérieur ne me permettait pas de le faire.
204 Les gens commençaient à venir. J’avais une visite à faire, je suis parti. Ce soir-là, frère Wood et moi, nous conduisions sur la route, en compagnie de soeur Wood et de ma femme. Nous revenions des environs de Scottsburg, où j’étais allé pour essayer de prendre un petit repos mental, frère Wood a dit: «Voyez-vous ce chiot là-bas sur la route?» Il a dit: «Il va se faire écraser.» J’ai brusquement fait dévier ma voiture et je suis retourné. Nous avons ramassé le petit animal.
205 Il était tout recouvert de mouches et de poux, et il était rongé par la gale. Eh bien, quelle était la chose raisonnable à faire? Le tuer. Je ne pouvais pas le faire. J’ai amené le petit animal chez moi, je me suis procuré un peu de poudre antiseptique, et je l’ai vaporisé, je me suis procuré un traitement contre la gale ; je lui ai donné un bon repas copieux. Je suis allé le cacher très loin, j’essayais de soigner ce petit animal. Il avait besoin de vivre.
206 La vie a quelque chose de réel. N’imitez pas le christianisme ; cherchez la Vie, vivez. N’essayez pas de vous débattre vous-même, et de dire: «Eh bien, je suis un chrétien, je ne devrais pas faire ceci ; je ne devrais pas faire cela.» Vivez. Il y a une Personne qui prend soin de vous.
207 Ce soir-là, à vingt-deux heures trente ou à vingt-trois heures juste, cet opossum était toujours couché là inconscient ; il était couvert de mouches vertes, son épaule brisée, il était étendu là, souffrant, se mourant.
208 Longtemps après, Billy est entré. L’opossum était couché là, couché là au fond, ces petits essayaient de téter le peu de lait qui lui restait, c’est la vie venant de la mère. Elle continuait à grogner terriblement. Elle essayait de se relever, elle n’y arrivait pas. Elle essayait de se relever, et elle n’y arrivait pas.
209 Je n’arrivais pas à oublier ce pauvre vieil opossum. Je me suis dit: «Ô Dieu, je devrais entrer, prendre un fusil, et tuer cet opossum, mais je ne saurais pas le faire. Qu’est-ce qu’il y a, Seigneur?»
210 Je faisais les cent pas là sur le plancher. Le jour se levait, la vieille mère opossum était toujours étendue là. Je suis retourné et je me suis dit: «Ô Dieu, elle est là sous ce soleil brûlant, elle est couchée là sur mon perron.» J’ai commencé à faire demi-tour.
211 Le Bienveillant Saint-Esprit m’a arrêté, Il a dit: «Tu l’as appelée une dame. Tu as eu pitié d’elle, parce qu’elle est une vraie mère. Et Je l’ai envoyée chez toi pour que tu pries pour elle, et tu la laisses étendue là comme une femme sur ton seuil.»
212 J’ai dit: «Ô Dieu, pardonne Ton serviteur stupide.» Je suis sorti là et j’ai dit: «Ô Dieu, si–si Tu es assez miséricordieux pour T’occuper d’un animal muet, qui a suffisamment de qualité de dame en elle pour élever ses bébés, pour envoyer un opossum ignorant sur mon seuil afin que je prie pour lui, ô Dieu, guéris cet opossum. Au Nom de Jésus, je prie.»
213 La vieille mère opossum s’est retournée et m’a regardé, elle a levé ses pattes, elle a pris ses petits et elle les a introduits dans la poche, elle a incliné la tête, comme pour dire: «Merci.» Et elle est retournée dans les bois, en train de se réjouir. Elle en sait plus que les prédicateurs, parfois. Elle suit la conduite du Saint-Esprit.
214 Si Dieu peut s’occuper d’un opossum, à combien plus forte raison peut-Il s’occuper d’un homme, si seulement celui-ci...?... Il n’y a aucun son confus du tout à ce sujet. Dieu utilise des animaux pour enseigner les gens dans les réunions: Il le fait certainement.
Il a utilisé une mule, autrefois pour réprimander un prédicateur rétrograde.
215 Le grand saint François d’Assise, dont vous les catholiques dites qu’il était catholique, il ne l’était pas. Cependant il a protesté contre l’Eglise catholique aussi fort que je le fais. Mais il n’y avait pas d’autre église en ce jour-là, alors ils l’ont pris et l’ont appelé un saint. Mais lorsqu’il est sorti sur la rue pour prêcher le même Evangile que je prêche maintenant, les oiseaux faisaient du bruit dans les arbres. Il a dit: «Mes petites soeurs, je vais prêcher l’Evangile de Jésus-Christ. Tenez-vous tranquilles pendant que je suis en train de prêcher.» Et chaque oiseau s’est tu.
216 Ceci n’est pas un son confus. Nous vivons dans la Présence du Seigneur Jésus-Christ. Ses bénédictions sont ici.
217 Un Dieu qui a pu retenir un avion au sol là-bas, et le retenir au sol à cause d’une pauvre femme de couleur illettrée, qui ne connaissait même pas son alphabet, pour guérir son fils d’une maladie vénérienne... Vous connaissez ce récit.
218 C’est Dieu qui pouvait parler à un opossum ignorant, pendant qu’il y a des prédicateurs dans cette ville qui se moquaient de la guérison divine, des gens qui, d’un air dédaigneux, disaient que j’étais fou, parce que j’enseignais cela. Et Dieu s’occupe d’une mère opossum ignorante, parce qu’elle était une dame, parce qu’elle aimait ses petits, parce qu’elle était prête à mourir pour eux... Ce même Dieu...
219 Nous sommes envoyés ici sur terre pour différentes choses. Certains sont envoyés pour prêcher l’Evangile. Certains sont envoyés pour prophétiser. Certains sont envoyés pour offrir la prière de la foi. Certains ont des dons de guérison.
220 Et le même Dieu qui a parlé là-bas dans notre chambre ce soir-là, ou ici au–pendant que je conduisais dans cette vision, et qui m’a dit que frère Bosworth était couché à l’article de la mort, en Afrique du Sud... Et le Saint-Esprit avait devancé le télégramme ici, de vingt-quatre heures. Ce même Dieu, ce même Dieu qui honore la fidélité... Oh ! grâces soient rendues à Dieu !
221 La fidélité: Je donnerais la dernière goutte de mon sang pour la femme la plus noire ou la plus jaune qui existe au monde, qui aimerait vivre fidèlement envers son mari. Je mourrais pour elle, comme je mourrais pour ma propre femme. J’ai du respect pour elle en tant que dame.
222 Que pensez-vous que Jésus-Christ a accompli? Et pourquoi ne pouvez–ne pouvez-vous pas Lui être fidèle, et abandonner votre égoïsme, et votre indifférence? Ne pouvez-vous pas abandonner votre église, vos petites affaires mesquines, et venir à Lui, et être fidèle?
223 Ce pauvre opossum ignorant, et le Saint-Esprit... Et j’étais là en vacances, sans même avoir prié, et cette pauvre petite dame opossum était couchée là sur le seuil de ma porte. Alors que le soleil était devenu ardent, elle était couchée là, fidèle.
224 Lorsque la nuit est venue, elle a ouvert ses yeux, elle voyait. Mais le Saint-Esprit n’a pas voulu la laisser partir. Elle est restée couchée là toute la nuit. Elle n’arrivait pas à se lever. Et puis, très tôt matin, montrant qu’elle était couchée là depuis vingt-quatre heures, attendant son tour afin que l’on prie pour elle, car elle était un animal... Et lorsque le Saint-Esprit a dit: «Sors là-bas et prie pour elle.» Le Dieu du Ciel l’a guérie.
225 Elle a immédiatement rassemblé ses petits dans sa poche, elle s’est retournée pour me regarder, avec des yeux les plus tristes que j’aie jamais vus, comme pour dire: «Merci, gentil monsieur.» Et elle a descendu la route.
226 Elle avait dépassé quatre autres maisons qui étaient plus proches de la route que la mienne pour franchir la porte: une, deux, trois, quatre, elle est entrée dans la cinquième, J-é-s-u-s. Elle a franchi la porte. Elle n’a pas attendu là dans la brousse. Elle n’a pas attendu à l’ombre. Elle est sortie sous le soleil pour atteindre le seuil de la maison. Elle est restée couchée là patiemment, sans grommeler, sans murmurer, attendant son tour pour que l’on prie pour elle.
227 Et ensuite, lorsque j’ai obéi au Saint-Esprit, Dieu a rétabli la santé de l’opossum. Elle a pris ses bébés et elle est retournée dans sa demeure: ce n’était pas un son confus. Dieu, qui connaît le nombre de plumes qui sont sur les ailes d’un oiseau, sait là où ils sont tous. Le Dieu qui connaît le nombre de cheveux de votre tête, le Dieu qui se déplace sur les ailes du matin, Celui qui a créé les cieux et la terre, Celui qui connaît chaque créature et chaque être. Il est Dieu. Voici Sa Parole. Les cieux et la terre passeront, mais Elle ne passera jamais. Ne soyez pas séduits par la doctrine des hommes. Croyez en Dieu, et vivez. Prions.
228 Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, Ton Bien-Aimé Fils... Il n’y a pas de son confus, aucune incertitude à ce sujet, Il est le Fils de Dieu. Il est né d’une vierge. Il est venu ici sous la puissance de Dieu. Il est venu ici au travers de la vierge Marie. Il a souffert, Il a saigné, et Il est mort sous Ponce Pilate. Alors qu’ils auraient pu Le délivrer, les Juifs L’ont crucifié, et ont renié le Juste. Et il est écrit: «Pourquoi ces tumultes parmi les nations, et ces vaines pensées parmi les peuples?»
229 Ô Dieu, vraiment, en étendant Ta main pour guérir, afin que des miracles et des prodiges soient accomplis dans les derniers jours pour prouver que ceci, c’est la pluie de la première et de l’arrière-saison... La puissance de Dieu est ici. Le Fils qui avait brillé au jour de la Pentecôte sur les gens de l’Orient est en train de briller maintenant sur les gens de l’Occident. Les gens s’étaient moqués de Cela, ils avaient raillé Cela, et ils ont dit que c’était du faux semblant, ils les ont traités des sorciers, des diseurs de bonne aventure et d’incrédules, et ils les ont même tués, ils les ont brûlés sur le bûcher, ils les ont bouillis dans de l’huile. Mais Tu étais avec eux pour les délivrer.
230 Tu es ici aujourd’hui. Tu es ici, en cette heure de la fin, même pour des plus grandes bénédictions: «Car la pluie de la première et de l’arrière-saison devraient venir ensemble.»
231 Et maintenant, Père, s’il y a une quelconque incertitude dans l’expérience d’une personne qui est dans cette salle ; je prie, Père, qu’en cette heure, ils placent leur foi, non pas dans leur manière mentale de penser, non pas dans le raisonnement en suivant la doctrine des hommes, mais dans la foi dans la Parole éternelle de Dieu pour la Vie Eternelle. Nous demandons ces bénédictions au Nom de Jésus, Ton Fils.
232 Alors que nous avons nos têtes inclinées, je me demande s’il y a une personne ici maintenant, qui aimerait lever la main avec révérence, et dire: «Je lève ma main, non pas vers le prédicateur, mais vers Dieu. Ô Dieu, change ma manière de penser. J’ai essayé de raisonner pour savoir comment ces choses se passeraient. J’ai essayé de raisonner pour savoir ce que diraient mes voisins si jamais je naissais de nouveau, si jamais Dieu me bénissait de telle manière que je me mette à crier, si jamais Dieu me bénissait de sorte que j’aie une expérience qui me ferait pleurer, je devrais quitter mes associés. J’ai essayé de raisonner sur cela, ô Dieu. Mais aujourd’hui, je ne veux plus raisonner. Je lève maintenant ma main vers Toi, ô Dieu, et je déclare que ceci est mon témoignage. Et si Tu ôtes de moi les raisonnements, et si Tu laisses mon âme prendre position pour croire Ta Parole sans aucun raisonnement, je croirai que c’est un son certain qui m’est donné.» Voulez-vous lever la main? Y a-t-il quelqu’un dans cette salle, partout où vous êtes. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous, vous, vous, et vous. Environ quatre-vingt-cinq pour cent de gens dans la salle.
233 Un raisonnement? Abandonnez les raisonnements. Rejetez-les. Dieu ne veut pas que vous puissiez raisonner. Le raisonnement essaie toujours de trouver une échappatoire. La foi ne raisonne pas. La foi croit tout simplement. Votre esprit, c’est ce qui vous fait raisonner. C’est un trompeur. Le détecteur de mensonge le prouve. La Bible de Dieu est la première à prouver cela. Mais votre âme est immortelle, frère, soeur. Votre puissance de raisonnement vous quittera lorsque la mort vous frappera, mais votre âme sera avec vous dans l’éternité. Ne voulez-vous pas croire la Parole de Dieu et L’accepter?
234 Dans un mot de prière, y a-t-il quelqu’un d’autre qui aimerait lever la main? Dites: «Souvenez-vous de moi maintenant, Frère Branham, pendant que vous priez. J’aimerais chasser le raisonnement.» Que Dieu vous bénisse, ma petite dame. Il y en a une autre. Que Dieu vous bénisse, frère, je vous vois. Que Dieu vous bénisse, frère, je vous vois. Que Dieu vous bénisse, frère. Vous, et oui, la soeur. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Y a-t-il quelqu’un d’autre qui aimerait lever sa main, immédiatement, et dire: «Souvenez-vous...» Que Dieu vous bénisse, mon cher frère. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Chassez le raisonnement. Que Dieu vous bénisse, soeur. Je vois votre main. Que Dieu vous bénisse, soeur, je vois votre main. Ne raisonnez plus. Croyez simplement. Que Dieu vous bénisse, soeur.
235 Y a-t-il quelqu’un d’autre juste avant que nous priions maintenant. Je vais prier et demander à Dieu qu’Il vous aide, Il voit votre main. Que Dieu te bénisse, jeune homme, je vois ta main. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, frère, je vois votre main.
236 Oh ! le bonheur de croire. La bénédiction qu’il y a quand on ne cherche pas à comprendre la chose. La bénédiction qu’il y a en ne s’appuyant que sur la Parole de Dieu, et en disant: «C’est vrai», et d’aller de l’avant. C’est ça la Vie. C’est ça réellement vivre.
237 Ma chère et tendre vieille belle-mère qui est assise ici derrière, lorsque je lui en parlais hier, elle a dit: «Billy, j’avais une horloge, je n’arrivais pas à la faire fonctionner.» Elle a dit: «Je ne pouvais simplement pas rester comme ça sans cette horloge. Je n’avais pas d’argent pour m’en acheter une autre.» Alors elle a dit: «Je me suis agenouillée et j’ai dit: ‘Ô Dieu, fais fonctionner cette horloge pour moi, le veux-Tu?’» Elle a dit qu’elle a levé les yeux, et l’horloge a commencé à fonctionner, et elle fonctionne parfaitement.
238 Son réfrigérateur, a-t-elle dit, deux jours après cela, ne se dégiv-... ne cessait de se dégivrer ; il y avait un petit coin qui gardait la glace. Elle a fait tout son possible pour empêcher cela de se dégivrer, ou plutôt pour faire en sorte que cela arrête de se dégivrer, parce qu’elle ne pouvait pas garder son beurre et tout le reste là-dedans.
239 La pauvre vieille, c’est une veuve. Son mari est dans la Gloire. C’est mon beau-père. Il avait donné son dernier témoignage, ici à ma gauche, avant d’aller à la Maison.
240 Elle s’est agenouillée, elle savait qu’elle n’avait pas d’argent pour acheter un autre réfrigérateur. Elle a dit: «Ô Dieu, veux-Tu avoir encore pitié de moi? Tu me connais. Fais que mon réfrigérateur se remette à givrer, je T’en prie.» Elle s’est levée et elle est partie, elle a regardé dans son réfrigérateur, et la givre avait commencé à se former autour des parois.
241 Soyez simple. Demandez tout simplement. N’essayez pas de comprendre. N’essayez pas d’étudier cela. Croyez tout simplement cela. N’essayez pas de comprendre cela d’une manière intellectuelle. Croyez-le tout simplement avec votre âme.
242 Notre Père céleste, beaucoup de gens ont levé la main ce matin. Ils ont besoin de la prière. Je prie, ô Dieu, que ceci soit la touche finale aujourd’hui ; qu’ils ne raisonnent plus ; qu’ils partent en croyant. Accorde-le, Seigneur. C’est un son certain. C’est l’Evangile qui sonne la glorieuse année de jubilée. Le temps de la délivrance est là.
243 Ne veux-tu pas, s’il Te plaît, Père, leur prodiguer à chacun d’eux Tes tendres soins et leur donner le lait pur de l’Evangile maintenant? Et s’ils ont déjà pris cela, qu’ils reçoivent maintenant la nourriture solide, et qu’ils deviennent des chrétiens accomplis, pour ne plus jamais cancaner avec le monde, se livrer au monde, mais qu’ils soient de véritables hommes et femmes, qui croient au son certain: que l’Evangile est vrai, peu importe celui qui dit le contraire. La Bible, chaque Parole est la vérité. «Les hommes enseignent pour doctrine des commandements d’hommes.» Mais la Parole de Dieu ne faillira jamais. Puissent-ils La croire aujourd’hui.
244 Et ceux qui n’ont pas levé la main, qui sont vraiment convaincus, mais qui n’ont pas levé la main, nous prions aussi pour eux, Seigneur, que Tu sois miséricordieux envers eux. Nous demandons ces bénédictions, Père, parce qu’un jour nous viendrons en jugement. Et le message de ce matin sera présenté en ce jour-là. En ce jour-là que leurs âmes ne les hantent pas, en disant: «Tu aurais dû faire ça.» Mais qu’il y ait la paix dans la vallée lorsqu’ils traverseront. Car nous le demandons au Nom de Jésus.
... d’âges, fendu pour moi,
Laisse-moi me cacher en Toi ;
Laisse que l’eau et le Sang,
Qui coulèrent de Ton flanc percé
Soient un double remède pour le péché,
Me sauver du courroux et me rendre pur.
245 Dieu bien-aimé, s’il y a parmi ces gens, en ce jour, quelques afflictions, quelques maladies, quelque chose qui cloche dans leur corps, nous prions, Père, pendant que le Saint-Esprit est ici, nous réclamons simplement à grands cris les bénédictions, la purification de nos âmes de toute injustice, par le Sang du Seigneur Jésus, le Fils de Dieu. Puisse-t-Il aujourd’hui, avec Son Glorieux Esprit qui persuade, Ses glorieuses vertus guérissantes, permettre que chaque âme pure regarde au Calvaire et dise: «C’est là qu’Il a été blessé pour mes péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Accorde-le, Seigneur.
246 Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, s’il y a des gens ici pour lesquels on doit prier, pour la maladie, veuillez vous tenir debout, là où vous êtes. Que Dieu vous bénisse. Ça va, tenez-vous simplement debout. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
... fontaine.
Gratuite pour tous, ce flot guérissant,
Qui coule de la fontaine du Calvaire.
A la croix, à la croix,
Sois ma gloire à jamais ; (Ô Dieu.)
Mon âme enlevée trouvera
Du repos au-delà de la rivière.
247 Bien-Aimé Père céleste, Tu vois tous ces gens qui se sont tenus debout, Père. Ils se tiennent debout en guise de témoignage, montrant qu’ils Te croient, Père. Toi qui as pu envoyer cette pauvre vieille mère opossum à la porte, Toi qui as pu arrêter ce grand taureau dangereux là, et qui l’as fait rebrousser chemin, Toi qui as pu faire retourner ces guêpes dans leur nid ; Toi qui as pu ramener ce chien à la vie, mon vieux chien de chasse, après avoir été traîné à soixante miles à l’heure [96,5 km/h] sur une distance de deux miles [3 km], il était étendu raide, mort...
248 J’aimais cet animal. La prière l’a ramené à la vie. La prière a remis la patte et l’épaule de cet opossum en place, cette petite mère, et l’a renvoyée dans les bois, toute heureuse. La main du Dieu vivant...
249 Ces chrétiens se sont imposé les mains, Seigneur. Et j’impose mes mains à ce frère, pour créer un point de contact pour tous ceux qui sont dans la salle. Nous sommes des croyants, Seigneur. Nous croyons ces choses. Nous T’aimons.
250 Ce n’est pas un son confus: nous T’avons vu guérir les malades, ressusciter les morts, chasser les mauvais esprits, enlever les cancers, faire marcher les infirmes, sauver les âmes, sanctifier les croyants, remplir les gens du Saint-Esprit, donner la Vie immortelle ; nous les entendons pendant qu’ils se meurent, louer, témoigner, glorifier Dieu, croyant que Tu reviendras.
251 Nous avons besoin du secours, Seigneur. Accorde, Seigneur, que tout ce qui a été demandé soit accordé: que les âmes soient sauvées, par-dessus toutes choses, que les rétrogrades soient restaurés. Et nous prions que les corps malades soient guéris maintenant même. J’envoie cette prière de la foi au Nom de Jésus-Christ, pour la guérison des malades, le salut des âmes, la restauration de ceux qui sont au-dehors, au Nom de Jésus.
Ma foi regarde à Toi, (Tenons-nous debout.)
Toi Agneau du Calvaire, Sauveur divin ;
Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,
Ôte toute ma culpabilité,
Ne me laisse pas m’éloigner de Toi.
252 Maintenant, vous qui le pouvez, levez la main, pendant que nous chantons ceci:
Pendant que je parcours les sombres labyrinthes de la
vie,
Et que les chagrins m’environnent,
Oh ! sois mon guide ;
Transforme les ténèbres en jour,
Essuie les larmes de tristesse,
Ne me laisse jamais m’égarer loin de Toi.
1 Was very happy to be here this morning, and we trust the good Lord's blessings rest upon each and every one of you. And didn't know that I was going to be here, kind of surprising to me. But they put the meeting off in Germany, one more week, because that of something that taken place, they had to use that stadium. So we don't go until a--a week from this coming Sunday.
Next Sunday, we be at, next Saturday and Sunday, at the Methodist campgrounds in Campbellsville, Kentucky, for a healing campaign. Saturday night will be a healing service at Campbellsville, the Methodist campgrounds.
The next Sunday afternoon, I want to preach a Gospel Message, if the Lord willing. And then Sunday night again, there will be a healing service for the people down... That's near my home town, where I was born and raised, or born. And I was raised here in Indiana. So you who have friends that's been wanting to come to a healing service, well, the Lord willing, we will be there next Saturday afternoon, or evening, rather. I guess begin about seven-thirty. Our beloved pastor is going to go with us to furnish the singing and so forth.
3 And there will be services at the Tabernacle here, next Sunday morning and Sunday evening. And there will be a--a very fine minister here to speak to you, a surprise. So, I will just let it lay like that, 'cause we're trying to get someone who'll be a surprise to you for next Sunday. And so now, you who cannot be down at Campbellsville, to be with us in the meeting, why, come right to the little tabernacle, and services will continue on as usual next Sunday morning and Sunday evening.
We are--would dismiss, if there happens to be someone here from near Campbellsville, we usually try to dismiss for the services, but there... We have people who just can't at the time, get out to those meetings. And we will have services especially for them and the young folks. So, everyone's a cordially invited to these fine services.
5 Then, we happen to get a... Now, just talk about time, how it is really increasing. Just think. I will leave here at eleven o'clock, in the morning, out of Louisville. And the next afternoon, immediately after lunch, I'm preaching in Luxembourg, and Frankfurt, Germany. Just think, from eleven o'clock here, at... I leave Louisville at eleven o'clock, and the next afternoon I'm preaching in Frankfurt, Germany; with five hours difference in the time, taken off of it, of the time. Just think of that. My, it's hard to believe, isn't it? So fast... But we happen, by the grace of God, to get a good through-line, the DC-9 from here to New York, and from there on by the Pan American. It takes us right straight to Frankfurt.
And then we will be there for--for several days, and then we go from there to Berlin. And with the--the famous Hal Herman, I'm to be with him two nights at Berlin, Germany. The famous converted movie director, of Hollywood, and was converted in one of the meetings out there. And he's a German by birth. And he is back in Germany, preaching the Gospel under a great tent at Berlin. And many thousands are coming from behind the iron curtain. It's...
7 It certainly is a pathetic thing. One morning, I was setting at Zurich, Switzerland, and then, there was so many people. We had a hundred and twenty-six thousand people there at the meeting, so we--we couldn't get out of the place, hardly. And so everyone, you know, pathetic, and begging to be prayed for, and wanted to know what the Lord would have to say to them.
And the Lord said to me, "Get out and go down towards the seashore, or the lakeshore." Switzerland is such a beautiful country.
And I said, "Billy, you walk with me."
He said, "Now, dad, you're fixing to get all tangled up out there, and they'll have to get the police to get you out."
And I said, "Well, the Lord is telling me to go down towards the shore." So I went down and walked way up along, no one... The Germans, and Swiss, and Belgium, and France, and Italians, at the meeting. Nobody recognized me, at all. I was walking right on along there. And I have a way of kind of disguising myself, a little bit. And I doubt if my own brother would know me if he'd meet me. See? So... And he was...
11 I was walking right along, and we went up there and set down. And Billy said, "Why, you know they know me, dad."
I said, "Well," I said, "they might do it." But I said, "The Lord told me to come up."
Said, "But what does the Lord want you to do?" Impatience of a kid, you know.
I said, "He will take care of that." See?
So we started walking back, alongside of the shore. I seen an old fellow setting there, crying, reading, like that. I said, "There he is. That's him."
He said, "You ain't going to walk up and talk to that man?"
I said, "No, he's going to walk up and talk to me." I said, "He..." I said, "Now, he is from away away." And I said, "He's come here; it's emergency case. You watch and see if that man don't have something for me. And it's pertaining a woman's arm. See?" I said...
Said, "How do you know?"
I said, "A vision just struck, and that's the same man; that's him setting right there." And so I said, "Just look the other way now, and walk on by him."
We went walking on by. In a few moments, he said "Daddy, that man is following us."
I said, "I know it. And we're going to come around a bend; and we're going to cross a little bridge, and he's going to walk in front of you and overtake me right there at the bridge. See if he don't."
He said, "All right."
19 So, we went on. And there he stopped, walked in front of me and overtook me right at a little bridge. He said, "Bruder Branham." And he pulled out of his little... had a little satchel, like a lady packs, pulled out of there a little handbag of a thing, his passport. And he was from Russia. And he had a handkerchief in there that he wanted me to pray over, and tear it in six strips for a woman with her real bad arm, that had been hurt and wouldn't get well, and shrinking up. And she was the mother of five children, six strips, you see, just perfect.
And I looked at his passport. He was from Russia, up in behind the iron curtain. And to think that how the Lord Jesus, seeing that poor Russian... I asked him how many was down there. He said, "There is several hundred of us had got through the line and come down to your meeting."
I said, "How did you know I was down here?"
He said, "Well, we heard it through the Swiss radio."
And I said, "Did you ever hear of my services up there?"
He said, "When the little boy was raised in Finland, that went plumb through Russia." All the way through Russia; that little boy raised from the dead. So it just goes to show, God's got His children everywhere, hasn't He?
23 And Hal Herman told me, said, "Billy, we'd be there..." You know, it's close to the line, then at Berlin. He said, "There'll be, maybe, five thousand people, or ten thousand people, standing. When you dismiss the service, in ten minutes (underground passages) you can't see a person." They go back behind the iron curtain again. Come through like moles.
So it just goes to show, that in the spite of all the atheistic, all of the ungodly, all the Nazism, Hitlerism, and fascism, and communism, will never beat out the Light of the Gospel. It's still in the hearts of people. And It'll wave on, and on, and on, and on, and on. It'll never end. For Jesus said, "Upon this Rock I will build My Church and the gates of hell cannot prevail against It."
26 Isn't it marvelous to know that the very reason that you're setting in this little old hot building this morning, with fans a fanning, it's something inside of a man calling, a hidden power that the world knows nothing about. Only those who have been partakers of It, knows what It is.
Is the little speakers working up there now? Awhile ago, I couldn't hardly hear my beloved brother back there, the fans a going, and--and I couldn't understand much he was saying.
28 Well, we're glad this morning to see you in, out at this hot day. Don't forget Wednesday night service at the Tabernacle. And I guess you'll hear Brother Neville at the same time, next Saturday morning, and then probably he will--he will go right on from there down to Campbellsville then, or that evening, rather, for the services.
And glad to see little Edith, and the Wright family up again this morning, Sister Lawton, many of the rest of you here. And I'd like to hear Sister Angie and them singing, "He guides the eagle through the pathless air," whatever it was, when we was coming in. I was enjoying it.
30 And I was trying to shake hands with Brother Fleeman, back there, and speak to him a moment. And that's the way... I didn't get just exactly what it was. Let's see. [Brother Branham quietly reads a prayer request--Ed.]"...?... wants Brother Branham to pray for my leg...?... He wants him to pray for...?... on my leg." Somebody here wants... It's a prayer for a limb, a person.
Well, last Sunday night we had a marvelous meeting over at the Church of the Open Door, the Lord doing a great miracle there. And it's about filled there house full of people this--this week. So been a great time though, a lot of hot weather. But, yet, thanks be to God, we're able to be here at the house of the Lord this morning and ready to serve the Lord. Shall we pray?
32 Our heavenly Father, we thank Thee just now in the Name of Jesus, Thy beloved Son, for all that He has did for us in forgiving us of our sins, and inviting us into this wonderful, marvelous fellowship of His suffering, and this fellowship of His glory that followed the resurrection, to know this of a certainty: that Jesus raised from the dead and is alive among us today. How we love Him for what He's done: to see Him, how He heals the sick, made that little, blind girl (reading Braille) the other night, her eyes to come open, and walk through the building, proving to the people that He's raised from the dead.
And now we pray Thee, oh, great risen God, the God of all gods, the supreme Authority over everything there is in heavens and earth, Ruler and Maker, we pray that Your great august Being will bless us today, and Thy great Majesty ride into every heart, this morning, Father, and take control of all. We ask for the glory of God. In Jesus' Name we pray. Amen.
34 Over in the Book of I Corinthians, just by the way of text, if we would call it that, for a few moments, we'd like to read a verse or two here to give us a background and a little testimony that I want to tell you before we start speaking.
I've got a few notes wrote down here of different things I want to say to you about services, and something that happened the other day. So, I won't forget it, I hope.
Now, in I Corinthians... God's Word always has the preeminence. It's first. Keep His Word. And now in the 14th chapter, and beginning with the 6th verse, I read this:
Now, brethren, if I come unto you speaking with tongues, what shall--what shall it profit you, except you... speak to you either by revelation, or by knowledge, or by prophesying, or by doctrine?
And everything without life give a sound, whether it be pipe... harp, or except it give a distinction in the sound, how shall it be known whether it is pipe or harp?
For if the trumpet gives an uncertain sound, who shall prepare himself for... battle? (Paul speaking.)
37 And then over in Psalms, the 1st Psalm, we read this. "Blessed is the man who God will not impute to him unright--righteousness, or sin." And the blessed man is a different man. David speaking, saying that how blessed he was, that, "The blessed man, he was like a tree that's planted by the rivers of water," in Psalms 1, "and how that he would bear his fruit in the season. The ungodly would not be so, but he would--he would perish," and so forth. But the--the blessed man was God's man.
And now I want, being there's just not too many here today (And I hope it's not too hot for you to set there for a few moments, or at least forty-five minutes.), I'd like to just talk to you heart-to-heart today.
39 In the Tabernacle I don't get a chance to do this too often, or out in the meetings to teach doctrine, or to say things that I want to say, but out there, it's always on the subject of Divine healing. And out in the other churches where their different mixes up and certain denominations that teach different theology, well, then, I--I can't say it, because it hurts feelings and so forth. Even, sometime, the Word being preached, simple and plain, it hurts feelings. And the best thing to do is just stay on the fundamental principles of--of Jesus Christ when we're out there, and His death, burial, resurrection, and His--and His power and love for the people. And that way it causes no confusion.
40 Because I don't... To me, it doesn't matter to me what church, people belongs to. The main thing is if they're Christian. If you're a Catholic, if you're a Protestant, if you're Methodist, Baptist, or whatever you might be, as long as you are a Christian, that's the main thing. Christ don't look at your church you belong to. Because they'll all perish and go away some day, and break up, and they'll not be thought of any more. But the--the principle of Christianity is the conditions of the heart towards God. And that's the thing that we like to concentrate on: is to know a brother, not by the church he belongs to, or how he wears his clothes, but what he is in his heart.
Now, my subject this morning, of course, is: "The Uncertain Sound."
Now there's many things that gives sounds. And there's many uncertain sounds today. There is uncertainty on every hand. Everywhere you look in the national affairs, it's--it's uncertainty. The big-four meetings, it's... They come together. They write out declarations, but there's an uncertainty whether the other side will keep their--their pledge or not.
There's uncertainty about whether it's going to rain tomorrow, or whether it's going to be fair weather. It's uncertainty in everything that you look at, but one thing: that's in Christ. See? That's one thing that you can be assure that's certain.
44 And there's another thing that's absolutely sure to every person in here. I want to leave that thought to you to begin with. It's uncertain whether you're going to live to get out of this church or not. It's uncertain whether you'll ever be back again or not. It's uncertain whether you'll see another year's life. But there's one thing that certainly is sure: that's death and the judgment afterwards. You're just as sure to meet that as God is in heaven.
You may make an appointment with your wife, and say, "Honey, I will take you to a certain place." Something may arise that you can't do that. You might not be able to keep that appointment.
You might tell your best friend, "Brother, I'm going to meet you. I'm going to do a certain thing. I will let you have money, or I will let you have my car." All kind of in--uncertainty against that.
But there's one thing that's sure: that is, you're going to die, and after that you're going to meet the judgment. So bear that in mind while we're talking on uncertainty.
48 Now, there is people who thinks, that, "Just so that we go into church, just so we belong to church, so we hear a good sermon now and then, and so forth, that it's all right."
Now, being it hot and everything, and I perspire so, and under this fan and all, usually makes me hoarse. I just want to talk to you today, if I can, teach to you, some things I know you ought to know: and that is, something that'll make you better, that'll help you along the road. I hope that God will help me today to pass something on to you, that'll make you realize what you ought to be and what you should be. And by telling you, will also make me realize, that I've got to be a better man than what I am and what I have been. And each day, let me raise up just a little higher, closer to Christ. That's what we're here for this morning in the sincerity and in the integrity of our hearts.
I believe we wouldn't come to a church, hot today, where we have to sit here and suffer under the heat, just to be coming to church for the fun of coming. I believe there's a certain thing that you come for: that is, for Christ.
52 You never come to hear me. Although I may do the best I can, but I never did draw anybody to God. No one could draw it but Christ.
You come to hear the singing, perhaps. The singing is very fine. We like that kind of singing. But singing doesn't draw people to Christ. It--it's the Holy Spirit that draws people to Christ. See?
Preaching doesn't draw, although we try the best we can. The pastor and I, we do our very best to--to draw people to Christ, or to preach the Gospel, but it is the Holy Spirit Who has to draw your heart and give you that certain sound. We can preach the Gospel, of what we think is right, but the Holy Spirit has to give the sound that echoes in your heart. And there is a certain sound.
55 "There is a way too, that seemeth right unto a man, but the end thereof is the ways of death." It's a little off the subject, but I want to dwell on that just a moment, pertaining to a--a certain person, that I might just take in my mind, a mythical person, and name it Mrs. John Doe.
This Mrs. John Doe, when she was brought up in church, she was a fine woman. She loved God. Oh, she went to church with her mother. She was taught to--to do what was right.
Now, God give us more of those old fashion mothers that'll teach their girls and boys how to do right to know right from wrong. That's what we need today. We got too many other kind of examples before our young people, such as, smoking, drinking, carousing, and so forth, that ought not to be, and it's by mothers, so called.
Now, notice. In the--the human body, our make-up, our regular anatomy that we live in here, is not made to sin. It's made to do righteous. It's made to serve God. God never made you just to work, and come home and love your children. That's all good enough. God made you to work. God made you to come home, love your children, love your wife, and the wife to be loyal and love her husband, the children love their father and mother. That's all good. But God made you...
That's just the backgrounds for something that God made you to do. God made you to be a worshiper, a worshiper of Him. You'll worship something, regardless of what it is. You'll worship your wife. You'll worship your children. You'll worship anything, your automobile, your... You'll worship your pleasure. You'll worship something, because it's in mankind to worship. Now, we want to know what we worship.
61 Jesus told the woman at the well, said, "You worship, you know not what. We Jews, we worship... We know that we worship God, 'cause salvation is of the Jew."
Now, and then the woman begin to explain to Him how she... "One said, 'In the mountain,' one said, 'Jerusalem.'
He said, "The hour is coming, and now is, when the Father will seek worshipers who'll worship Him in Spirit and in Truth. For God is Spirit, and they that worship Him must worship Him in Spirit and Truth."
64 As I was saying a few days ago, either here or somewhere, speaking on the lie detector. Now, notice close now. I want you pay close attention. Put a lie detector on you, and you try to impersonate the--that truth, and try to say that it's truth, but down on the inside of you, in the subconscious, lays a place called the soul. And this intellectual mind does not govern that vibration of the system. The mind is only a director. It will direct you, and it's very incapable of bringing you to God: your mind. You cannot know God by your mind, intellectual. It's one of the resources, or the channels that would lead to it, but your soul is what governs you. You are what you are, by your soul.
Jesus said to the Pharisee, said, "Why, you hypocrites. How can you speak good things?"
When, they was calling Him, "Good Master," and so forth.
Said, "Out of the abundance of the heart speaketh the lips. And in your heart you hate Me. And in your lips you call Me, 'Good Master."' He said, "You hypocrites."
See, your soul is thinking one thing, and you're speaking with your lips another thing. What a case. What a horrible thing. What a deceitful thing is a hypocrite. For our of their mind they say one thing, when their soul says another thing.
68 Now, the lie detector will not work on your mind. It'll work on your soul. It'll not work on your intellects. There's some people can impersonate the truth. They impersonate. Yet, it being a lie, and can impersonate it till they can deceive like anything.
And Satan is the best of that there is, for he has deceived Eve by that way, saying them same things. And the biggest lie was ever told, had a lot of truth in it.
70 Now, this person, what if you could ever get this soul on the inside, so in harmony with God, that your soul and God would be one together, then you could ask what you will, and it shall be given to you.
Many people come to me, many times in the prayer line, and stand there, and say, "Oh, Brother Branham, I have plenty faith. I've got faith like to move mountains." And, yet, they haven't any faith. They hardly have enough faith to get to the platform. But they are conscious of one thing, that they do believe. They are believing intellectually with their mind. And their mind will never bring them to God. Your mind is reasonings. And God has no reasonings.
72 If you can reason it out, your mind will tell you, "Now, looky here, the doctor says I can't get over that. It's impossible."
Now, the doctor, with his intellects, with His intelligence, with His knowledge of medical science, he's told you the best of the travel of his mind. And you taking your mind, and using the same thing the doctor has told you, you... God can never touch that line, as long as you reason. But let's put down reasoning. God never made us to live by our intellect. We live by the Holy Spirit that's in our soul, that says "no" to any reasonings that's contrary to God's Word.
When God's Word says it's so, there's nothing in the world stands in Its way. Then when you do that, you're getting down on the right side of God. You're getting down, till you can ask what you want to, and it'll be given to you, 'cause there's nothing between there. There's no reason. Let's cast away those reasonings. They stand in your way. Get your mind out of the way. And don't you say what you reason, what you see, what you think; say what God says to be the Truth. And that can only come from the inside, from the heart, not from the intellects.
75 There's where so many people today, is going to be so terribly disappointed at the day of judgment: to know that they've lived in church, to know that they have done good deeds, to know that they have treated their neighbor right, to know that they have been loyal to the people, loyal to the church, and in their mind have believed that Jesus Christ the Son of God and be condemned at the day of judgment.
Jesus said, "Many are called and few are chosen. Straight is the gate and narrow is the way that leads to Life, and but few there will be that find it."
Now, to you people here this morning, I--I want you to set up and take notice to this. You're old enough now. You've heard enough Gospel preaching, till you ought to be able to--to get off of milk and to come to a real solid Gospel diet: come to a place where men and women ought to stand. Paul said, "When you ought to be teachers, why, you have to be taught to, yet."
78 Now, in the soul where the man lives, you are what you are in your soul, not in your mind, not in your reasoning. Not because you say, "I will have a better standing. I can associate with better company if I become a Christian." That's reasoning. See? You mustn't do that. Don't do that. Let it become from a new experience, a new Birth, something that's happened, not in the mind, but in the soul, that's taken all reasonings away, and you become a new creature. And you're in Christ Jesus.
Mrs. John Doe, she was a good woman, as far as we know. She married Mr. Doe. He was a fine Christian man. At the age of about, oh, thirty, or something another like that, Mrs. Doe was an attractive woman. She goes away, and she begins to associate with the neighbors. She gets out amongst the worldly crowd. Now, notice, she gets out amongst the crowd. She begin to associate with the rest of the people: not bad people, good people, the religious people maybe in her neighborhood. She begins to associate with those people. And while she is associating with those people... She knows that she is a good woman.
80 And the first thing you know, something takes a hold of her. She becomes attracted to another man. Why, he's a very attractive man. He's more attractive than her husband. And something happens into her, that she feels she falls in love with this man.
Now, listen. Way down deep in her soul, the Word of God begins to boil up, and says, "You are wrong. Your vow is that you'll stick to this man until death shall separate you, no matter what he looks like."
What a more attractive woman or man, and it work either way. You're vowed to this person until death, you separate. But you will go to intellectual. You'll think, "Here is Mrs. Jones. She plays the piano. She's a good woman. Why, she's did this," and reasoning. You'll see the other women begin to dress immorally, that they wear those little old clothes that they wear in summertime around here, mostly, in winter if they could, just simply vulgar. And you'll get out...
83 Now, ladies, I want you to forgive me. I don't want to hurt your feelings. I'm not here to hurt your feelings. God knows it's not. But I'm here as a Gospel preacher to let you know what's truth, then you do with it whatever you wish to. Then when you go to doing those things, you'll begin to reason, "If this woman can do it. She's well thought of. She goes to church. She lives in ranks of society. Why can't I do it?" That's reasoning, when your soul tells you it's wrong. God covered women up, and men up, in the garden of Eden, never stripped them. See? But it's reasoning. You'll reason it out, "The rest of them are doing it."
Younger girls, you--you take heed this morning to the Gospel. The Gospel said, "Let the women dress themselves in modest apparel," not immodest, "modest apparel." And it's getting... It's a disgrace.
85 You know what would happen in Zurich, Switzerland, if a woman come down the street dressed like these women do in America? They'd throw her in jail right there and clare--declare her insane. Sure.
When I went to Rome, Italy, and went up to the burying grounds of the saints, they even had a sign at the gate, at Saint Angelo burial place, the catacombs, and said, "American women, please put on clothes before you enter this place to respect the dead." And a ornery, degraded, debauched, low-down place as Italy, and have to speak such words as that. And our preachers are the cause of it from the platform, by not telling the Truth. Amen. That's right.
87 Notice, the woman carries on. She thinks she's all right. After while, she leaves her husband. She goes off and marries this traveling salesman, because he's a handsome, big fellow. And after while she finds out he's not the man that her husband was. See, he's not kind like her husband was.
And after while, then she thinks, "Oh, well, I've done that, I will fall in love with somebody else." She goes on. She travels on. She goes to church, continually. The pastor has never took her name from the book. She goes right on to church. She lives just like she wants to live.
And the first thing you know, oh, do... You say, "Now look, Mrs. Doe, do you believe in Jesus Christ?"
"With all my heart I believe in it." But her action, her fruits prove that she's not. Don't listen to an uncertain sound. Let it sound out from the Gospel here. Proves that she's not. For she wouldn't be doing them things. She wouldn't be acting that way. She'd have different thoughts. She'd be governed by a different thing: her soul.
91 The first time she grieved it back there, when she started out, running around on her husband... Here's her intellect here; here's her soul here. There's a separating line there, that if it ever crosses, it'll never cross back again. It'll never come again. Think of it. And she keeps on.
And after while, when she sins against this thing on the inside of her, that speaks about the Word of God, the first thing you know, she will become all involved in this intellect, leaving the soul alone. The Bible said, "The soul that sinneth, that soul shall die." "Die" means to "separate."
Then, the soul, the conscience that once condemns you, isn't there anymore, and you've gone altogether into intellectual. You go join some old, cold, formal church that don't believe in those things, on out into hog-eat-hog, and the first thing you know, the soul that condemns you for the first time you told a lie, the first time you put on those short clothes, the first time you did immoral acts, will become so dead to you, you won't feel it anymore. On and on you'll go. And after while death will catch up with you.
94 You're living out yonder. Your pastor will come and say, "All things are all right, my sister. You're ready to go now. Everything is all right." She will believe the same. And the first thing you know, when it comes down...
Why? With all of the reasoning power she has, she's gone to church. She's give to charity. She's done everything that's right, she thinks so, everything that's right in her mind. She has followed the dictates of her mind. "I know I should go to church. I know I should be friendly. I know I should treat my neighbor right. I know I should do this and that." But still, what is it? She has grieved away this fellow.
96 And then, in the hour of her death, when she gets ready to die, she is laying on the bed. And all at once, she wakes up and hollers, "Oh, my God. I'm lost."
The pastor will say, "Give her a hypo. She is delirious." And he will shoot a hypo in it. And she will try to speak. She can't speak. She will murmur. What is it? Her soul has caught up with her, before death. Not only women, men, also, who spurned the love of Jesus Christ, who's turned Him down, made fun of It. It'll catch up with you someday, as certain as I'm standing here this morning. You grieved it so far, till you can't feel it no more. But it'll catch you sometime again. It'll all come back to you, the dirty things, the bad things, the tattling, the babbling, the back-biting, the selfishness, and things that you've done. That'll all come back to you someday, laying on the deathbed.
99 How the hypo needle in these last days has stopped the deathbed confessions of thousands. "Shoot the needle in him. Numb him." He's trying to speak. What is it? His soul has caught up with him here. That soul and spirit is this thing here, that the intellectual is fixing to fail. It's only in the mind. The intellectual, what you've lived by, is going to perish. But that soul that you've grieved from your intellectual, is going to haunt you through eternity. Amen.
Don't you listen to an uncertain sound. You believe the Gospel in its fulness. Yes, sir. Oh, say, "I went to church. I did what was right. I paid my tithes." Those things are all right, but that's intellectual.
102 And look, when they're trying to stop, with that hypo needle in their arm, let them be numbed off so they don't know nothing, and they're trying to speak. Their soul has caught up with them. They realize that their reasoning, their mind is perishing with their brain.
"Perishing with their brain, the mind?" Yes, sir. Yes, sir. Your mind will perish with your death.
I will prove it to you. The lie detector don't take your mind; it takes your soul. The vibration of your nerves don't run on your mind; it runs on your soul. Amen. So your intellects will die when your brain ceases to function. When the blood fails to pour through the brain, and the nerves cease, then your mind goes away and your soul catches up with you.
106 And when this woman's soul catches up with her, and she says, "My God, I 'm lost."...
And they think it's, oh, it's delirious. They shoot a hypo in, the needle to her, and she begins to numb off. She can't speak no more. She's trying. She's a rolling. She's in agony. And the doctor says, "Give her the other one; deaden her," until the death angel sweeps her spirit from her.
But that hypo needle might deaden the flesh; it might deaden the mind; but that can't deaden that soul that knows it's seen before God. It'll haunt her through ceaseless ages, and through eternity. That soul will still haunt and haunt and haunt, as the ages roll on.
You came from where? You go to where? You came out of eternity. You stepped into a little space called time. You go out of time into eternity. And what you are in your soul as you go out, the same you'll be. Oh, my. All right.
110 That a little better now? I'm getting just--I notice, just a little loud with it. All right. When--when the... [The sound system or someone distracts Brother Branham--Ed.] I believe he's... It's to Brother Neville. I'm just preaching a little hard.
All right, into eternity, there you are.
Some pastor will come up to the woman, say, "Well, our dear beloved sister, she was such a loyal member in our church. She came every sabbath day. She helped the poor. She helped the needy. She done all these things. Today she is in glory."
But if the truth was only knowed, out into a haunting place called hell, that soul that separated from her here on earth, that she listened to an uncertain sound... And she went off into eternity without knowing God, without knowing Christ as the new birth. She believed it in her heart. She believed it in her mind. She thought she was right, but she was wrong. It's your soul, what does it. O God, have mercy.
113 Listen to a certain sound. The Gospel has no uncertain sound. Paul said, "If a--if a trumpet sounds, if a soldier hears a bugle blow..."
There's many veterans here this morning. They know what retreat means. They know what these different signals of this, bugle sounds. And if this bugle doesn't give a certain sound, just a big bunch of noise, how will the soldier know to prepare himself?
If one church says do this, another church says do that, and one church says do this, another one says do that, how can the Christian know what to do? One says one thing and one another.
But I tell you, my dear brother; I will tell you a place where there's no uncertain sound: That's in the Bible, God's Eternal Word. It's the Gospel. And the Gospel is the power and demonstration of the Holy Spirit put in action. Yes. Uncertain sounds.
117 Jesus, standing on earth, He know where He stood. He knew Who He was. He said, "I have power to lay My life down. I have power to take it up again." No uncertainty about that. "I have." Hallelujah. "I now have the power to lay it down. I have the power to take it up." Yes, sir. No one holds Me.
Any man or woman that's borned of the Spirit of God knows where they stand, regardless of what takes place, or how many says yes or no. They know where they stand. There's no uncertain sound. Hallelujah. Oh, my.
119 The man who possesses it, the woman who possesses it, oh, what a blessed person they are. No wonder David said they were blessed, the blessed person. Lay him upon the operating table, and take--try to cut the blessing out of him, you'll never find it. It's a hidden power. It's a hidden something; oh, but it's there. Every man and woman that ever had It, knew they got It. No uncertainty about It. Every man that's born of the Spirit of God, knows when he passed from death unto Life, knows the place, the hour, the minute, when death changed to Life, when unbelief of the Bible, changed to believe every Word of It. When haughty, high-minded things passed, to humble Christian, they know when death passed to Life. Amen.
Every man that had It, had something different. The world knew it. Every woman had It, had something different, and the world knew it. The world can see It. Your actions prove what you are. You can say you got It, but your actions speak so loud that they can't hear your voice. Your life speaks what you are.
121 Samson, he was a man possessed with It. Now, a lot of people try to make Samson a great big shoulders and a great big man that'd go out, and pick up the gates of the city, and walk away. That's no... That's not no great mystery to me to see a man do that, with shoulders that big. Samson was not a big man. All the Scripture declares him to be a little shrimp, little bitty fellow. And he was blessed. Why? He was born that way.
That's the way you get blessed, is when you are born that way, not when some priest bless you, or some preacher baptizes you, but when God, by the Holy Spirit, gives new Birth. Then you're born, a child of God.
123 Samson had It in him. And it wasn't Samson; it was the hidden power in him.
It isn't some magic word. It isn't rubbing a rabbit foot behind your ear, spitting on a horse shoe and throwing it over, that makes the...?... That isn't what makes a man live a different life; no more than joining church, or putting your name on a book, or being baptized. What makes a man, is when God, by a birth, gives him the hidden power, and blesses him by the Holy Spirit in his life, what makes him what he is.
125 Samson, when he walked out there, the lion come towards him. Oh, my, the lion was going to get him, a little, curly-headed shrimp, about like that, seven little, sissy locks hanging from his shoulders. And he was a weakling; he was a midget; he was a dwarf, like every man is without God. Yes. But all at once, when the lion got ready to get him, the hidden power come out. The Holy Spirit come on him, and he grabbed the lion and slew it, like it was a lamb.
That's where it is. The Christian don't fight back. The Christian don't fuss about it. The Christian sets still. And that hidden power, the blessing of the Holy Ghost goes to work for him, brings it out. Hallelujah. That it is...
127 David had It. When he danced before the ark of the Lord, he had it. He knowed what he was talking about, so that's the reason he wasn't afraid of Goliath. It wasn't the rock that David had in the sling that killed Goliath. It wasn't the sling that he had in his hand that killed Goliath. It wasn't the stones that he had in his pocket that did it. It was the hidden power, that blessing of God. When David let loose what he had, God took it and blessed it with a hidden power. So it wasn't David; it wasn't the stone; it wasn't the slingshot; it was that blessing that was on David, that slew the enemy of David. Amen.
The Hebrew children had it. They had courage. They said, "Our God is able to deliver us from the fiery furnace. But we will never bow." There was no uncertainty to that, no uncertain sound.
129 Was no uncertain sound to David, when he said, "Do you mean to tell me that you will let the--that uncircumcised Philistine stand there and defy the armies of the living God?" Said, "I will fight him myself." Amen. No uncertainty, David knew where he stood.
God said, "David, I took you out of the sheep cote, when you were nothing but a sheep boy, and I made your name great among men, like great men of the world."
Nathanael looked at him, said, "Do all is in your heart, for God is with you."
No uncertainty. They knew God. They had the experience, no uncertain sound about it.
David said, "I will go fight him, and today I will cut his head off," no uncertainty. Wasn't David; it was God in him. It was that hidden power. Not a bit of uncertainty, all positive, no negative...
133 The Hebrew children said, "We will not bow to your gods. We will not worship your old formal religions. God's able to deliver us. But if He don't, we're willing to die." Into the fiery furnace... And you know what happened? When they took God at His Word, and walked into the fiery furnace, that hidden power come out (Amen.) stood all around them. And they had fellowship; One like the Son of God stood among them, fanning away the hot breezes, and having fellowship in the midst of the greatest difficulty they ever went through.
And every man or woman that's born of the Spirit of God, when the hour comes, make your decision and stand for God without any uncertainty. In the midst of trouble you'll have fellowship. No uncertainty...
136 They throwed Daniel in the lions' den. No uncertainty, he stood there. He had hidden power, not a rabbit foot in his pocket, not a charm to wear around his neck.
They make me sick with all those crosses, and charms, and everything, Protestant and Catholic both wear, no virtue in them. It's all right to have it; but to worship it the way you do: hang it in your car and think it'll keep you from having a wreck, it won't do it. Only the hand of God can do that. Amen.
The brass serpent was all right. There was no condemnation in the brass serpent. But when they begin to get away from God, and worship the serpent, the prophet tore it up. Amen. There you are.
139 Daniel went in without any uncertainty: "God is able to deliver me from them lions." But they threw him in the fiery furnace... And I believe when them lions started up there to look at him, there stood a Halo of Fire around Daniel. Any animal is a scared of fire, you know that. Those lions backed off. What was it? The hidden power that was in Daniel's heart come out and clothed him all over. It was that hidden power, that blessing of God, that was upon that prophet's life, that enshrouded him with a flaming Fire; like down at Dothan that day when Gehazi looked and saw what was around Elijah: Angels of Fire, chariots of Fire. There that hidden power was around Daniel.
140 Peter and John, when they passed through the gate called Beautiful, the Lord spoke to them about a lame man laying there. There was no uncertainty. They didn't have any education. They didn't have... They didn't even belong to a church. They didn't belong to a denomination. But there was no uncertainty about their experience. They had the positive. They didn't have money. They didn't have membership. They didn't have education. But Peter said, "Such as I have, I will give it to you. In the Name of Jesus Christ, rise up and walk." They had hidden power. They dressed like other men. They walked on the street. They eat like other men. But they'd had a blessing inside of them, that give them a certainty to know where they were standing. Said, "I don't have any education. I don't belong to any church. I don't know any theology. I don't have any money. The only thing I have, I will give it to you if you'll accept It."
He said, "What is it?"
He said, "In the Name of Jesus Christ of Nazareth, stand up and walk." No uncertainty, not, "Stand up and try, and see if you can move your foot," not, "Stand up and try, and see if you'll get better." But "In the Name of Jesus Christ, rise up and walk now." There you are.
143 The uncertain sound is a--gives the uncertain sound, what will happen. Oh, my.
Stephen had so much of that blessed in him, said, when they was stone Stephen. Oh, my. He had so much of the blessing in him, so much of the hidden power, till Stephen become another person, looked up and seen Jesus standing at the right-hand of God, and never even felt a clod when it boned him in the head.
Why, I can see Stephen there. He knelt down, and His enemies, spitting on him, and everything else, and clodding him. He raised up, and looked up to heaven, and he said, "Father, lay not this sin to their charge. I forgive them, Father." So much of the blessing on the inside of him, what happened? I tell you, then the heavens opened up. That little Spirit was on him, opened the way through the clouds, through the stars, through the mist, until he seen Jesus standing at the right-hand of God. He said, "Behold, I see heavens open."
146 Brother, I'd rather have It than all the education, all the money you could pile before me. All my education, I will drop here. All my mental theology, I will leave here. All my wealth, I will leave here. But the hidden power, that thing that made the certainty of the Gospel, will take you to heaven, and carry you through the valleys of the shadow of death. Amen.
He knowed what he was talking about. Said, "I see heavens open." He had a blessing. He had a hidden power. And he didn't feel any clods after that. They was hitting him on the head with the rocks, hitting him on one side, the other one. Poor little Stephen, like a baby, laid up in his mother's arms, and God, and He rocked him to sleep on His bosom.
The Bible didn't say Stephen died. The Bible said, "Stephen fell asleep." God have mercy. Brother, that's what I want at the end of the road. Put him on the bosoms of God and rocked him to sleep, said, "See, son, where I'm taking you."
He had a blessing. He had hidden power, not a rabbit's foot, not a charm in his pocket, but something in his soul that changed him and made him a different man.
150 Paul said, "The life that I now live..." Showed that he lived a different one, one time. "Not me, but Christ lives in me," He said. Yes.
John, the revelator, he had a certain sound to his voice. He loved the Lord. He laid on His bosom. He had fellowship with Jesus. He lived to be nearly a hundred years old. He done miracles and signs and saw visions.
And when they did, they said, "He's a witch." So they took him over and boiled him, twenty-four hours in a big pot of grease. You know what? That hidden power come out. That hidden power, that was in his heart, enshrouded him all around. And when they looked in the pot of grease, that blessing was on John. And they brought him out of the grease, without even a smell of grease on him. And they said, "He's a witch. He's a fortuneteller. He's Beelzebub."
153 Every man or woman that's ever tried to live for God is accused of ungodly things. "He's a witch. He bewitched the grease." He had so much power of God in Him, so much... Not witchery, but what was It? The hidden power of God that was in him. He looked like a man. He eat like a man. He slept like a man. He cried like a man. He was a man. But God was in His man. The blessing was in the man.
"Blessed is the man," said David. No uncertainty to him. That man knows what he's talking about. I don't care what the world says, what you say about him, try to make him mad, he won't get mad. I don't care how much you talk about him, he won't pay no attention to it. He will go on, 'cause he's got a blessing in here. He will pray for you. That's right. You might do anything in the world; he never pay no attention to it. Won't back-bite his neighbors, and go around and stir up trouble. He will be a peacemaker. He will do everything he can, for he's a child of God. Blessed is that man. Yes.
155 When the Pentecostal people went up into a Pentecost, they were just men when they went up there, but all of a sudden... While they were up there, they were scared; they had the windows closed, the doors closed. They were afraid of persecution. They were good church members up to the time. They'd been baptized in water, up to the time. But they didn't have that hidden power. They didn't have that certainty.
One of them said, "If Thou be... Let me put my hands in Thy side. Let me put my fingers in the prints of the nails, in Your hand."
Another one said to the women, "Oh, it's foolish. You didn't see nothing."
But when they climbed them steps and went upstairs, all of a sudden there came a sound from heaven, and the hidden power come down. It come into them. Afterwards they were out in the street, joicing--rejoicing and praising God, preaching the Gospel, glorifying God. They had hidden powers. They had powers the world knowed nothing about.
159 Now, it's the same. The uncertain sound, don't believe the uncertain sound. The Gospel has no uncertain sound.
Say, "Brother Branham, I believe my church preaches the Gospel." All right.
Jesus said, "Now, I'm going to give you a certain thing to believe." He said, "You go into all the world now and preach the Gospel to every creature. He that believeth and is baptized shall be saved; he that believeth not shall be damned. And..." Amen. Oh, I feel good. "And" is a conjunction. Don't stop here, "preach the Gospel. And these signs shall follow them that believe." No uncertain sound. It's the Gospel. Amen. They cast out devils. "In My Name they shall cast out devils." That's no uncertain sound. The Gospel said that's the tone that's in the bell. Glory. Hallelujah. Oh, my. That's the tone of the bell, when they are casting out devils.
163 "They shall speak with new tongues." I don't mean the uncertain sound now. They speak with knowledge, with revelation; they had the real gift of speaking in tongues. There's something takes place when they do. That's no uncertain sound. That's no sound of unbelief, not at all. If it's a lot of carrying on, like we see a lot of times, that's unbelief. But when you speak with Words, with interpretation, with revelation, hallelujah, that's the Gospel bell tolling. It's no uncertain sound.
"If they lay their hands on the sick, they shall recover." That's no uncertain sound.
165 You dear people, belong to church of Christ, back there, you say, "That's of the Devil." It is? Then the Bible is of the Devil. See?
The Bible said, "They'll lay hands on the sick; they shall recover. I will be with you, even in you to the end of the world." No uncertain sound.
Be careful, you hear a lot of church theology that's uncertain sounds. It don't co--with the Bible. Paul said, "If the--if the trumpet don't give a certain sound, how can we know who's to prepare for battle?" Yes, sir. Oh, my.
168 Jesus said, "These things that I do shall you do also even greater, for I go unto My Father." No uncertain sound, not a thing.
Peter said, on the day of Pentecost, in Acts 2:38, "Repent, every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ, for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost." That's no uncertain sound.
There wasn't a place in the Bible, anywhere, from Genesis to Revelation, where God ever "sprinkled" a person. That's an uncertain sound. There never was a place where anybody was baptized any other way than in the Name of Jesus Christ. Anything contrary is an uncertain sound.
171 Read the Bible. That's what the Gospel's made out of. This is the Seed. The Seed will bear Its fruit. Whew. Kind of warm, isn't it? But it's good.
The kind of Fire we need is "Holy Ghost and Fire," to burn carnality and churchanity out of us to get us back to sons and daughters of God; where this mental theology and what you learn in the seminary out here, and so forth, will pass away, and God can get into your heart. That's what counts.
Not if you'll say a "Hail Mary," or not if you'll go down and say the Apostles' creed at the Protestant church; that has nothing to do with it, not a thing.
Jesus said, "Except a man be borned again, he will in no wise enter the Kingdom." Amen. No uncertain sound, not a bit...
175 When Elijah went up there... Look, let me show you something. When Elisha was watching Elijah, he goes up and watches him. Said, "What do you want?" A type of Christ and the church...
He said, "I want to see something." Said, "What do you want?"
He said, "I want a double portion of your Spirit when you leave." That was a hunger. That was theology. That was mental. He was hungering for it. His mind wanted it. His soul cried for it. That don't mean he had it.
Elijah said, "You've asked a hard thing. But if you see me when I go away, all right, It'll come to you." Brother, he watched that prophet, every move he made.
178 And when that final call come, and Elijah was summons to on high to appear in the Presence of God, God sent him down a chariot ride. Glory. Oh, my. Sent him down a chariot with horses of chariot--horses of Fire and a chariot of Fire; said, "My beloved servant, step on. It's been well done."
Said, "All right, Elisha, I see you're watching me." He pulls off his coat and throws it back. Picked up that same coat and put it on. No uncertainty, walked down to the river. Hallelujah. He seen what Elijah done. He opened it for him to cross that way. He said, "If He's still the same, and His Spirit is upon me, it'll open again." No uncertainty. He whips that around, and said, "Where is the God of Elijah?" And the sea parted from side to side, and he walked across. Did you notice? He didn't have to go to the school of prophets to get any education. Glory. Whew. No education in that boy, and he walked. Mental theology was finished. He had it in his soul. Watch him, he done like Elijah done.
181 Jesus said, "The same cup that I drink, you'll drink. And the same baptism that I'm baptized with, you shall be baptized with. And the same things that I do, shall you also." What did He do? Spoke in tongues, cast out devils, preached the Gospel, heal the sick. The same thing that He did, we can too. At the end of our days, as He raised from the dead, so will we who are in Him.
I can't get my boy up at morning. He looks like if he just got his day and night turned around. I said, "Billy, you'll never be no account laying there like that. Get up. If you don't do no more than go out and wash your teeth, and go out in the yard, look at your car, and come back in and set down, read. Don't lay in the bed: no good, laziness."
183 God have mercy on these lazy-hearted Christians, become no good: know so much about It, and tell so little to other people about It.
He said, "Daddy, I just can't get up early."
I said, "Look, Billy, one of these days, you ain't going to have no daddy to take care of you. Daddy is going to be gone one of these mornings. You come in the room and look, perhaps, daddy will be laying there. You'll shake him, but he won't wake." I said, "Then they'll haul me down, this little old church in a box. You'll pass by, your handkerchief in your hand, crying, look down, say, 'That's my old dad. I wished I'd a listened to him.'" I said, "But remember, Billy, I've always been an early riser."
Hallelujah. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... blessed trumpet sounds, I will come forth in the first resurrection. I believe in rising early (Hallelujah), some glorious day by the grace of God. I believe this Gospel that I preach. I believe It's the honest Truth.
Elisha's robe don't have an uncertain sound. There's no uncertain sound.
187 The Congressman Upshaw... There was no uncertain sound when the Holy Spirit told me up yonder, before the doctors could even find the ameba. There was no uncertain sound, when the doctor said that I was dying, and it was God healed me. It was no uncertain sound. It was no uncertain sound at Green's Mill that night. when the Angel of the Lord walked up to me, He said, "For this reason you was born in the world." No uncertain sound.
I went and talked to some preachers about it. They said, "Billy, you had a nightmare." But there's been a million souls won to Christ. There was no uncertain sound. That was the voice of God speaking to a pauper: no uncertain sound. Oh, I just can't preach when I think of that.
189 I was telling the wife, sometime ago. I may have told it here before. You know my family's background. I love my daddy. He has gone on. He died in my arms, praying. But he drank. All my family drank. They done great, harmful things; yet, disgrace to society. My brothers drink; not because I want them to. I cry for them, pray for them, everything else.
It used to be, before God called me, I'd be standing on the street, talking; somebody, they... On account of the name, they'd, oh, "Branham? Oooh. get away." Somebody else come by, look for somebody, say, "Get away from him." All right, then they'd get away. They wouldn't talk to me.
I said to the wife, the other day, "Now, I have to slip out in the woods somewhere and hide to keep people from all over the world, coming."
What did it? Because I studied a lot? Because I learned theology? Because I got an education? Because I joined some church? No. That would've been an uncertain sound. But something sounded one day, down in my heart, not in my mind, in my heart. God came in. It's been good ever since. That's amazing grace.
194 The other day I was amazed, above anything that's happened in a long time. I'm a great lover of nature. You know I am. I love animals. I just think they're wonderful. I was setting in my door. Brother Leo and Gene was there. And Brother and Sister Wood was down there. And little Billy Gillmore, the milkman, was standing there. And at ten o'clock in the morning, down the road come something a limping, pulling a leg behind it. It turned into my gate, and come up to my steps. It was an old opossum, at ten o'clock in the day. They're blind at that time of day. They're blind, all, in daylight. They're a night animal that runs at night. They prey, and prey around, and get their food at night. All you know that. A opossum is a edible animal.
196 And he turned into the gate. I went out to meet the opossum. I took a rake. I thought, "Strange. He may be blind. What makes him act and reeling like that?" I laid the rake over him. And he turned and looked at me, and growled. I thought, "There is something strange."
And I happened to look down in her pocket. A opossum is one thing, besides the kangaroo, there's only two that has a pocket they carry their young in. And in the pocket of the opossum, she had eight or nine little hairless babies in there. And a dog had got a hold of her, or either a car, broke her leg, her shoulder bone. Green flies all over her, maggots in the ears, and so forth, and here she was, hobbling up like that. And she growled because she thought I was reaching for her little ones.
198 I said, "That opossum has got more motherhood about her than a lot of women, especially this woman throwed her baby in the river the other day to get rid of it." I said to Gene and Leo, setting back there, I said, "Come here and I will teach you a sermon." I said, "Look at the morals of this woman. Look at the morals of this lady. It's a dumb brute, but she's got more lady about her than forty percent of the American women." Right. I said, "She has got just about an hour to live from the looks of her, but she will spend that hour fighting to protect them little ones. And these women go out here and have little babies, and smother them, and drown them, throw them in fire, and things: worse than dogs, worse than animals."
199 The little lady wouldn't wait. She wouldn't even stop, partly. She went straight to my steps, and--exhausted, and laid there. We tried to get her up. She was gone. She was still grunting, suffering so tremendously.
Mrs. Wood come up, and Mr. Wood and them, said, "Brother Branham, I believe the humane thing to do would be kill the opossum. Them poor little babies will starve." Said, "It's the only thing you could do, would do it."
Someone else come by and said, "Brother Branham, won't you kill the opossum?" Said, "Kill her. She's dying." Said, "She's laying there suffering." Said, "Take the little ones out and kill them. They'd be better off." Said, "They haven't got a soul. It's just a dumb brute, just an animal." Said, "The poor little things will starve to death. The poor mother laying there, and them little babies nursing that milk from her, and you know what condition she was in," said, "they'll die."
202 Said, I said, "It's true, I'm a hunter, but I'm not a killer." I said, "I love to hunt, but I don't kill just to be killing. That's a killer." That's right. I don't kill nothing that I can't eat, or something I can't make use of, or something that's destroying. Not kill to be killing, that's a murderer. Couldn't do it. I just couldn't do it.
And I knowed sensibly, in the mental realms in the right way of thinking, the humane thing would be to do, will be kill the opossum and them little ones. The opossum was dying, would never gain conscious again. And the little ones would starve to death. And drinking that old curdled milk from their mother, would probably die in misery. The best thing to do is put them out of their misery. That was the sensible thing. But something down here wouldn't let me do it.
204 Crowds begin to come. I had a call, went out. That night, Brother Wood and I were riding out on the road, and Sister Wood and my wife. Coming down from up around towards Scottsburg, where I was trying to get a little mental rest, Brother Wood said, "You see that little puppy back there on the road?" Said, "It's going to get run over." I whirled my car around and went back. We picked the poor little fellow up.
He was full of fleas and lice, and mange eat him up. Well, what would be the sensible thing to do? Kill him. I couldn't do it. I brought the little fellow home, got me some flea power, and sprayed him, got me some mange cure; give him a good, decent meal. Got him hid away up there, trying to get the little fellow to get well. He wants to live.
206 There is something about life that's real. Don't impersonate Christianity; get Life, live. Don't just have to battle yourself around, say, "Well, I'm a Christian, I oughtn't to do this; I oughtn't to do that." Live. There's One Who cares for you.
That night, at ten-thirty or eleven o'clock, that little opossum was still laying unconscious, green flies all over it, shoulder broken out, laying there suffering, dying.
Long, later, Billy come in. There laid the old opossum, laying back there, them little ones trying to nurse the little more milk from her, life coming from the mother. She was still groaning terribly. She'd try to get up, and she couldn't do it. She'd try to get up, and she couldn't do it.
209 I couldn't get that poor old opossum off my mind. I thought, "God, I ought to go in, and get a gun, and kill that opossum, but I can't do it. What's the matter, Lord?" I walked up-and-down the floor. Daylight come, old opossum laying there. I went back, thought, "O God, there she is, that hot sun, laying right at my step." Started walking back through the floor.
The blessed Holy Spirit stopped me, said, "You called her a lady. You took up for her, for being a real mother. And I sent her to your house to be prayed for, and you're letting her lay there like a woman at your doorstep."
I said, "God, forgive Your stupid servant." I walked out there and said, "God, if--if You are merciful enough to deal with a dumb animal, who has got lady enough about her to raise her babies, to send an ignorant opossum to my doorstep to be prayed for, O God, heal the opossum. In Jesus' Name, I pray."
213 The old opossum turned over and looked at me, raised up on her feet, picked up her babies and put them in there, as if to bow her head, and said, "Thank you," and took off to the woods, rejoicing. She knows a lot more than preachers do, sometimes. She will follow the leading of the Holy Spirit. If God can deal with a opossum, how much could He deal with a human, if they'd only...?... No uncertain sound about that. God uses animals to teach services: sure does.
He used a mule, one time to rebuke a backslidden preacher.
215 Great Saint Francis of Assisi, who you Catholic people claim was a Catholic, but he wasn't. He protested the Catholic church as hard as I do. But there wasn't no other church in that day, so they took him and called him a saint. When he went out on the street to preach the same Gospel that I'm preaching now, the birds was chattering in the trees. He said, "My little sisters, I'm going to preach the Gospel of Jesus Christ. Keep still while I'm preaching." And every bird hushed their mouth.
This is no uncertain sound. We're living in the Presence of the Lord Jesus Christ. His blessings is here.
217 A God that could floor an airplane down yonder, and hold it for the sake of a poor, ignorant, colored woman, who didn't know her ABC's to heal her boy with a venereal disease... You know the story.
God, that could speak to an ignorant opossum, when there is preachers in this city that would laugh about Divine healing, people would turn up their nose and say I was "crazy," because I taught it. And God is dealing with an ignorant opossum, because she was a lady, because she loved her children, because she was ready to die for them... The same God...
219 We're sent here on this earth for different things. Some are sent to preach the Gospel. Some are sent to prophesy. Some are sent to pray the prayer of faith. Some has gifts of healing.
And the same God that spoke yonder in our room that night, or down here on the--driving in that vision, and told me Brother Bosworth was laying yonder at the point of death, in South Africa... And the Holy Ghost beat the telegram here, twenty-four hours. That same God, the same God that was for respects of loyalty... O God, bless your heart.
Loyalty: I'd give the last drop of my blood for the blackest or yellowest woman in this world, that would want to live true to her husband. I'd die for her, like I would my own wife. I respect, as a lady.
222 What do you think Jesus Christ did? And why can't--can't you be loyal to Him, and to forsake your selfishness, and your indifference? Can't you 'sake your church, petty things, and come to Him, and be loyal?
That poor ignorant opossum, and the Holy Spirit... And me up there on vacation, not even prayed up, and that poor little lady opossum laid at my doorstep. When the sun was hot, she laid there faithfully. When the night come, her eyes would come open, she could see. But the Holy Ghost wouldn't let her go. She laid there all night. She couldn't get up. And then, in the early morning, showing she had been laying there around twenty-four hours, waiting for her turn to be prayed for, for she was an animal... And when the Holy Spirit said, "Go out there and pray for her," the God of heaven healed her. She quickly gathered up her little babies in her pocket, and looked back to me, with the saddest-looking eyes I ever seen, as if to say, "Thank you, kind sir." And down the road she went.
226 She passed four other houses, closer to the road than mine to turn into the gate: One, two, three, four, fifth one she turned in, J-e-s-u-s. She dropped into the gate. She didn't wait out there the bushes. She didn't wait in the shade. She took up through the sun to get to the doorstep. She laid there patiently, not growling, not murmuring, waiting for her turn to be prayed for.
And then when I obeyed the Holy Spirit, God restored the health to the opossum. She picked up her babies and went back into her place of abode: No uncertain sound. God, Who numbers the feathers in the birds wings, knows where every one of them is. The God Who numbers the hairs of your head, God Who rides on the wings of morning, He Who created the heavens and earth, knows every creature and every being. He is God. This is His Word. Heavens and earth will pass away, but It never will. Don't be deceived by doctrine of men. Believe God, and live. Shall we pray.
228 Heavenly Father, in the Name of the Lord Jesus, Thy beloved Son... No uncertain sound, no uncertainty about this, He's the Son of God. He's virgin born. He came here under the power of God. He came here through the virgin Mary. He suffered, bled, and died, under Pontius Pilate. When they would, delivered Him up, the Jews crucified Him, and denied the Just One. And it is written, "Why do the heathens rage, and the people imagine a vain thing?"
O God, truly, by stretching forth Thy hand to heal, that signs and wonders might be done in the last days to prove that this is the former and latter rain. The power of God is here. The Son shone at the day of Pentecost on the Eastern people. It's shining on the Western now. They mocked, and made fun of It, and said It was make-belief, and called them witches, and fortunetellers, and unbelievers, and even killed them, burnt them at the stake, and throwed them in oil. But Thou was with them to deliver them.
230 Thou art here today. You're here, for the closing hour, for even greater blessings, "for the former and latter rain should come together."
And now, Father, if there be any uncertainty in any person's experience in this room; I pray, Father, at this hour, they'll confine their faith, not to their mental way of thinking, not to reasoning after men's doctrine, but to the believing of God's Word to Everlasting Life. These blessings we ask in Jesus' Name, Thy Son.
232 With out heads bowed, I wonder if there's a person in here now, would reverently raise your hand, and say, "I do this, not to the preacher, but to God. God, change my way of thinking. I've tried to reason how these things would be. I tried to reason what my neighbors would say if I was ever borned again, if God ever blessed me in such a way that I would shout, if God ever blessed me in such a way that I would have an experience that would make me weep, and I'd have to leave my associates. I've tried to reason it all out, God. But today, I won't reason anymore. I'm right now raising my hand to You, God, and saying this is my testimony. If You'll take reasonings out of me, and let my soul take its place to believe Your Word without reasoning, I will believe it's a certain sound given to me."? Will you raise your hand? Anybody in the building, wherever you are. God bless you, you, you, and you, and you, and you. About eighty-five percent of the building.
233 A reasoning? Cast down reasonings. Cast them down. God don't want you to have reason. Reason always tries to find a way out. Faith don't reason. Faith just believes. Your mind, what makes you reason. It's a liar. The lie detector proves that. God's Bible, first, proves it. But your soul is immortal, brother, sister. Your reasoning power will leave you when death strikes you, but your soul will be with you through eternity. Won't you believe God's Word today and accept Him?
In a word of prayer, someone else would raise your hand? Say, "Remember me now, Brother Branham, while you're praying. I want to cast away reasoning." God bless you, little lady. There's another one. God bless you, brother, I see you. God bless you, brother, I see you. God bless you, brother. You, and yes, sister. Somebody else? Somebody else raise your hand, right quick, say, "Remember..." God bless you, dear brother. God bless you, brother. Cast away reasoning. God bless you, sister, I see your hand. God bless you, sister, I see your hand. Don't reason anymore. Just believe. God bless you, sister.
235 Someone else, just before we pray now? I 'm going to pray and ask God that He will help you. He sees your hand. God bless you, young man, I see your hand. Someone else? God bless you, brother, I see your hand.
Oh, the blessedness of believing. The blessing of not trying to figure it out. The blessing of just resting on God's Word, and say, "It's true," and go on. It's Life. It's Life. It's real living.
237 My dear, loving, old mother-in-law sitting back here, when I was telling her yesterday about it. She said, "Billy, I had a clock, that I couldn't make it run." Said, "I just couldn't stay without that clock. I didn't have money to buy me another one." So said, "I got down and said, 'God, make that clock run for me, will You?'" Said she looked up, and it started running, just run perfectly.
Her refrigerator, she said, a couple days after that, wouldn't defro--kept defrosting; just a little spot there it would hold ice. She done everything she could do to keep it from defrosting, or keeping it from defrosting, 'cause she couldn't keep her butter and stuff in it. Poor old thing, she's a widow. Her husband is in glory. That's my father-in-law. Give his last testimony, over here to my left-hand side, before he went home.
240 She got down, knowed she didn't have money to buy another refrigerator. She said, "God, will You be merciful to me again? You know me. Start my refrigerator to freezing again, will You?" Said she got up and went, looked in her refrigerator, and it was froze around.
Be simple. Just ask. Don't try to figure it out. Don't try to study it. Just believe it. Don't mentally figure it out. Just believe it with your soul.
242 Our heavenly Father, many raised their hands this morning. They want prayer. I pray, God, that this will be the final touch today; they won't reason anymore; they'll go, believing. Grant it, Lord. It's a certain sound. It's the Gospel sounding the glorious jubilee year. The time of deliverance is here.
Won't You, please, Father, take each one of them into Thy loving care? And give them of the sincere milk of the Gospel now. And if they have already taken that, may they receive strong meat now, and become full Christians, never no more to tattle with the world, and indulge in the world, but be real men and women, believing the certain sound: that the Gospel is true, no matter who says It's not. The Bible, every Word is truth. "Men teach for Doctrine the commandments of men." But God's Word will never fail. May they believe It today.
244 And those who did not raise their hands, really convinced, but did not raise their hands, we pray for them also, Lord, that You'll be merciful to them. These blessings we ask, Father, because that someday we're coming to judgment. And this morning's Message will be brought into view at that day. And then may their soul not haunt them, in saying, "You should've did this." But may it be peace in the valley when they pass through. For is Jesus' Name we ask it.
... of Ages, cleft for me,
Let me hide myself in Thee;
Let the water and the Blood,
From Thy wounded side which flowed
Be for sin a double cure,
Save from wrath and make me pure.
245 Dear God, if there be in the midst of the people, this day, any afflictions, any diseases, anything that's wrong with their physical being, we pray, Father, as the Holy Spirit is here, just screaming out the blessings, cleansing our souls from all unrighteousness, through the Blood of the Lord Jesus, the Son of God, may He, today, with His great persuading Spirit, His great healing virtues, let every clean soul look yonder to Calvary and say, "There He was wounded for my transgressions, and with His stripes we were healed." Grant it, Lord.
Now, with our heads bowed. If there is any to be prayed for, for sickness, would you stand to your feet, wherever you are. God bless you. That's right, just stand right up. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
fountain,
Free to all, the healing stream,
Flows from Calvary's fountain.
In the cross, in the cross,
Be my glory ever; (O God.)
my raptured soul shall find
Rest beyond the river.
247 Dear heavenly Father, You see all these standing, Father. They're standing testimonies, that they believe You, Father. You Who could send that poor old opossum into the gate, You Who could make that big dangerous bull, stand there, and back off, You Who could make those hornets go into the box, You Who could bring that dog to life, my old hound, after being drug sixty miles an hour, for two miles, laying stiff, dead... I loved the old thing. Prayer brought it around. Prayer put that opossum's leg and shoulder in its place, that little mother, sent her back into the woods, rejoicing. The hand of the living God...
These Christians has their hands laid on another, Lord. And I have my hands laid on this brother, as giving a point of contact for everyone in the building. We're believers, Lord. We believe these things. We love You.
250 No uncertain sound: We've seen You heal the sick, raise the dead, cast out evil spirits, take cancers away, make the crippled to walk, save the soul, sanctify the believer, fill with the Holy Ghost, give immortal Life; hear them dying, praising, testifying, glorifying God, believing You're coming again.
We need help, Lord. Grant, Lord, that everything that's asked for will be granted: Souls will be saved, above all things, backsliders restored. And we pray that sick bodies will be healed just now. I send forth this prayer of faith in Jesus Christ's Name, for the healing of the sick, the saving of the soul, restoring of those who are out, through Jesus' Name.
My faith looks up to Thee, (Shall we stand.)
Thou Lamb of Calvary, Saviour Divine;
Now, hear me while I pray,
Take all my guilt away,
Nor let me ever stray From Thee aside.
Now, you that can, raise your hands, while we sing this.
While life's dark maze I tread,
And griefs around me spread,
Oh, be Thou my Guide;
Bid darkness turn to day,
Wipe sorrow's tears away,
Nor let me ever stray From Thee aside.