La Porte De La Porte

Date: 57-1212 | La durée est de: 1 heure et 39 minutes | La traduction: Shp
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1          Restons donc debout un instant pour un mot de prière, s’il vous plaît. Inclinons la tête.

            Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissant du privilège que nous avons de venir auprès de Toi par la prière. En effet, nous sommes invités à venir par ce moyen-ci, nous avons cette assurance que Dieu exauce, car Il a promis par Son Fils que si nous Te demandons quoi que ce soit en Son Nom, cela nous sera accordé.

            Nous Te prions de sauver les perdus ce soir, qui sont assemblés, de consoler le coeur de tout celui qui est venu écouter cela, Ton Message. Et nous Te prions de guérir tous les malades qui sont dans la Présence divine, et ceux qui, à travers le pays, ont des requêtes de prière, et qui désiraient être ici, s’ils le pouvaient. Nous Te prions de tirer gloire de nos efforts. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          Je suis content d’être de retour ce soir au service de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Et j’ai confiance ce soir que Sa–Sa Présence nous bénira tous. J’étais content de voir mon cher ami frère Gardener ici, d’ici au... dans le–l’Etat de New York. Et nous avions beaucoup communié ensemble. Et je n’arrive pas à prononcer ce nom comme il le faut, Binghampton, Bingham, Binghampton. Nous avions tenu une merveilleuse réunion là-bas il y a quelque temps, et nous nous souvenons toujours de merveilleux moments de communion que nous avons passés avec ces bien-aimés là à New York.

3          Les lumières sont un peu faibles [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... lire ce soir au chapitre 12, ou 3, du Livre de l’Apocalypse, comme passage des Ecritures, et prier que Dieu nous accorde un contexte à partir de ceci:

Ecris à l’ange de l’église de Laodicée: Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu:

Je connais tes oeuvres... tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant!

Ainsi, parce que tu es tiède... ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche.

Parce que tu dis: Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu,

Je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies.

Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi.

Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.

            J’aimerais prendre pour sujet ce soir: La porte de la porte. Et que le Seigneur nous accorde les contenus de ce texte. C’est un texte vraiment frappant à lire à cette occasion. C’était notre Seigneur Jésus qui s’adressait à Jean sur l’île de Patmos, il y a deux mille ans; Il décrivait exactement la condition de l’église en ce jour-ci. Comment elle serait ni froide ni chaude, juste tiède. Et Dieu n’aime pas que Son Eglise soit tiède. Il a dit: «Puisses-tu être soit froide, soit chaude, et parce que tu n’es que tiède, Je te vomirai de Ma bouche.»

4          Maintenant, cela convient certainement à la situation d’aujourd’hui, de l’église moderne d’aujourd’hui, l’Eglise pentecôtiste d’aujourd’hui: une condition juste tiède, ni chaude ni froide. Ça aurait été mieux si nous étions soit en arrière, dans leur ancien état, statut dénominationnel, soit en haut dans les sphères des bénédictions de Dieu, plutôt que de rester dans une condition tiède où nous sommes maintenant. Le Seigneur nous apprécierait beaucoup si nous faisions cela.

5          Et comment aujourd’hui, vous le constatez là, la condition de l’église, qu’ils ont été dans cette condition-ci, et ils ne le savaient pas. Pouvez-vous vous imaginer un homme dans la rue, nu, misérable, aveugle, malheureux, et il ne le sait pas? C’est le côté triste. S’il le savait, il s’améliorerait. Mais il ne le sait pas. Comment le pauvre homme s’amenderait-il (Voyez?), parce qu’il ne le sait pas?

            Jésus a comparé l’Eglise pentecôtiste de ces jours-ci juste bien exactement à cela. Tu es nu, misérable, aveugle, malheureux, et tu ne le sais pas. Eh bien, quand Il s’adressait directement au reste de chacune de ces–ces–ces églises... Et l’âge de l’Eglise de Laodicée, c’est le dernier âge de l’église, nous le savons, et nous y sommes maintenant, l’âge de l’Eglise de Laodicée. Et c’est la condition laodicéenne.

6          Maintenant, remarquez qu’Il a aussi donné une invitation, disant: «Sois zélé, car Je châtie tous ceux que J’aime.» Et c’est un peu de discipline, de correction, de fouet, et Il a dit: «Sois zélé et repens-toi.» Maintenant, Il ne s’adresse pas aux pécheurs, Il s’adresse à l’église. Soyons zélés pour Lui et repentons-nous de notre condition tiède dans laquelle nous sommes aujourd’hui.

            Maintenant, nous voyons qu’Il a dit: «Je me tiens à la porte et Je frappe.» Pourquoi quelqu’un frappe-t-il à la porte? Il cherche à entrer. Il a quelque chose dont il aimerait vous parler.

7          Au cours de l’âge, beaucoup d’hommes ont frappé à la porte, de grands hommes ont frappé aux portes des gens. Par exemple, du temps du grand César, quel privilège ça aurait été pour un de ses sujets, un pauvre paysan, que le grand César Auguste descende frapper à sa porte! Pensez à l’honneur que ça représenterait pour un–pour un paysan. Quand le César, le grand empereur de Rome, arrivait à sa porte et frappait, cherchant à entrer chez lui afin de lui parler pour une raison.

            Que serait-il arrivé, il y a quelques années en Allemagne, du temps du grand Führer d’Allemagne, Adolf Hitler? Et s’il devait venir à la porte de l’un de ses soldats et qu’il frappait à la porte? Cela n’aurait-il pas été un honneur pour le grand Hitler, à l’époque où il était réputé en Allemagne, qu’il soit allé à la porte d’un pauvre soldat allemand moderne frapper à sa porte pour s’entretenir avec lui? Ce qui rend cela si important, c’est l’importance de la personne à la porte. C’est ce qui rend cela si glorieux.

8          Ce soir, dans cette ville de Newark, il n’y a pas un bon démocrate, dans cette ville, qui ne serait pas honoré si notre président Dwight Eisenhower venait à sa porte frapper ce soir. Même s’il est en désaccord avec lui sur la politique, ça serait un honneur vu l’importance du Président des Etats-Unis qui frapperait à sa porte. Même s’il est en désaccord avec lui, ça serait une chose importante pour lui que de faire cela.

            Tout récemment, nous avons eu la visite de la reine d’Angleterre, elle était en visite au Canada et puis, elle est venue aux Etats-Unis d’Amérique en visite. Et pendant qu’elle était en visite ici, qu’arriverait-il si elle venait frapper à votre porte? Pensez-y donc. Quel honneur ça serait pour n’importe quelle personne ici ce soir d’accueillir la reine d’Angleterre, même si on n’est pas son sujet, cependant, compte tenu de ce qu’elle est, une femme importante! Et si elle venait à votre porte et qu’elle y frappait, vous considéreriez cela comme un grand honneur. En effet, elle est une reine. C’est une personne importante. Et de rendre visite aux gens ordinaires comme nous serait un honneur compte tenu de sa grande importance.

9          Mais, oh! jamais on n’a frappé à la porte comme c’est le cas quand Jésus-Christ, le Fils de Dieu, frappe au coeur humain. Si la reine frappait à votre coeur, à votre porte, celle de votre maison, vous ouvririez large la porte et diriez: «Entrez. C’est pour moi un honneur de vous accueillir. Prenez tout ce qu’il y a dans ma maison. Je vous donnerai tout ce que vous désirez comme souvenir. Ou tout ce que je peux faire pour vous témoigner du respect pour être venu chez moi, je serais content de le faire.»

            Le soldat allemand agirait sans doute de même, il se prosternerait sur sa face et dirait: «Grand Führer, entrez chez moi, et tout ce que j’ai comme biens, ça vous appartient, car vous êtes le Führer d’Allemagne», ou vous êtes la reine d’Angleterre... Ou vous êtes le Président des Etats-Unis, ou l’un des hommes les plus honorés de la nation... Président Dwight Eisenhower, vous lui donneriez tout ce qu’il désirerait chez vous. Et si vous n’ouvriez pas totalement votre maison, il ne se sentirait pas le bienvenu.

10        Mais Jésus peut se tenir là et frapper, il n’y a personne d’aussi important que le Roi des rois, qui s’humilie jusqu’à venir au coeur bas, vil, pécheur, et frapper à ce coeur-là pour chercher à entrer dans ce coeur-là. Et nous, en retour, nous Le rejetons. Oh! Vous dites: «Mais, Frère Branham, j’ai ouvert mon coeur au Seigneur Jésus il y a longtemps. Il est entré dans mon coeur il y a des années.» Mais je m’adresse maintenant à l’église. Mais quand Il entre dans votre coeur, est-Il le bienvenu?

            Vous savez, dans le coeur, il y a plusieurs petites portes, comme il y en a dans votre maison. Si le Président vient chez vous et que vous lui disiez: «Maintenant, monsieur le Président, vous pouvez vous asseoir ici à la porte. Mais n’entrez pas dans telle chambre ou dans telle autre. Je n’aimerais pas que vous entriez là-dedans», Il ne serait pas le bienvenu.

            Et si j’ai assez de considération pour un homme pour lui ouvrir la porte de ma maison et le laisser entrer, il est mon hôte, il est le bienvenu à tout ce qu’il y a dans ma maison. Si j’entrais chez vous et que je ne me sentais pas le bienvenu, je ne me sentirais pas du tout bien accueilli.

11        Mais Jésus entre par la porte du coeur du chrétien, mais nous avons de petits appartements dans notre coeur dans lesquels Il ne peut pas entrer. Oh! Vous direz: «Je veux qu’Il soit mon Sauveur. Je ne veux pas aller en enfer, mais je veux être sauvé. Jésus, Tu peux être mon Sauveur.»

            Mais Il veut être plus que votre Sauveur, Il veut être votre Seigneur. Le Seigneur est le Propriétaire, le Chef. C’est pourquoi l’église tombe dans sa condition tiède. Elle accepte Christ comme Sauveur, mais pas comme Seigneur. Christ veut être le Seigneur de votre être, vous diriger et vous guider. C’est pourquoi Il frappe à la porte, pour entrer dans ce but-là, c’est pour être votre Guide spirituel, le Chef de votre bien-être.

            Mais dans nos coeurs, nous avons beaucoup de petits appartements. Je souhaiterais parler maintenant de certains de ces petits appartements. L’un d’eux, c’est une chambrette sur le côté, où beaucoup de gens qui se disent chrétiens n’osent cependant pas laisser Christ entrer, dans ce petit compartiment, parce que c’est l’appartement de l’égoïsme. Eh bien, vous constatez parmi beaucoup de soi-disant chrétiens, vous êtes juste, vous avez des motifs égoïstes. «Oh! C’est en ordre, si c’est pour moi et ma dénomination, c’est en ordre. Mais si ma dénomination n’a rien à faire avec cela, alors je ne veux rien avoir à faire avec.» C’est un petit appartement de l’égoïsme dont tous les chrétiens devraient ouvrir la porte, et dire: «Entre, Seigneur Jésus, et sois le Seigneur de mon coeur.»

12        Puis, il y a un petit compartiment dans le coeur appelé l’indifférent. Oh! Dans quelle condition cette histoire se retrouve! Un peu indifférent. Vous aimez être un peu indifférent envers les autres. Vous voulez votre propre voie. Vous seriez disposé à laisser Jésus entrer, mais vous aimeriez continuer à vivre dans le même lieu où vous avez toujours vécu. Vous ne voulez pas vous débarrasser de vos anciens associés. Vous ne voulez simplement pas les abandonner. Vous pensez qu’ils sont de braves gens, et vous ne voulez simplement pas les abandonner.

            Ainsi, vous voulez donc être un peu différent. C’est un autre mauvais appartement dans le coeur.

            Puis, il y a une autre petite porte appelée jalousie. Je ne sais pas si vous les yankees vous savez quoi que ce soit à ce sujet ou pas, mais là dans le sud, nous en avons beaucoup. Oh! Juste un peu inférieur à l’autre homme. Juste un peu mieux que l’autre église. Que les voisins peignent en rouge leurs marches, il vous faut avoir les vôtres en rouge. Oh! Quel horrible esprit à avoir pour un chrétien! Pourquoi ne laissez-vous pas Christ entrer et devenir Seigneur de toute cette chambrette spirituelle d’égoïsme et d’indifférence? Laissez-Le accéder à votre coeur et à tout ce qui est dans votre coeur. Abandonnez-Lui simplement tout votre être. Qu’Il soit Dieu et Chef de tout votre être.

13        Il y a un autre petit compartiment dont j’aimerais parler. Et c’est l’appartement, là à l’intérieur, qui est appelé la foi. Beaucoup de gens veulent accepter Christ comme leur Sauveur, mais ils disent: «Le temps des miracles est passé.» Ils ne veulent donc pas croire que le temps des miracles, c’est aujourd’hui. Christ ne peut pas entrer dans ce coeur-là. Si Christ pouvait entrer ce soir dans le coeur de chaque personne qui est ici, il n’y aurait pas une personne faible parmi nous dans dix minutes. La foi est en vous, mais vous avez peur d’ouvrir large la porte pour Le laisser être le Seigneur de cette foi-là. Vous cherchez à sympathiser avec une partie de la Bible, disant: «Une partie de Cela est vraie, mais l’autre n’est pas inspirée.»

            Ce qui est à la base de cela, c’est peut-être, peut-être, quelqu’un qui n’est pas mieux avisé, qui vous a enseigné cela. Toute la Parole de Dieu est inspirée. Et si nous ouvrons large notre coeur, que nous ouvrons large la porte de notre chambrette de la foi, Christ entrera et sera le Seigneur, Il accomplira de grandes et puissantes oeuvres et de grands et puissants signes, si seulement Il accède au coeur de foi.

14        «Oh! diriez-vous, je crois que toutes ces choses sont passées avec les apôtres.» Voyez, vous gardez la porte fermée. Christ viendra au milieu des gens et accomplira des signes et des prodiges pour les gens. Et ils gardent ce petit compartiment là fermé. «Oh! C’est peut-être en ordre pour elle, mais pour moi, mon cas est différent.» Il n’y a pas de différence pour Christ. Il ne fait acception de personne, pas du tout. Le cancer ou un mal de dent, cela Lui importe peu, pourvu qu’Il soit le Seigneur de toute la chose. Vous n’ouvrez simplement pas large ce coeur-là pour le laisser entrer par la porte de la foi, afin qu’Il soit Chef.

            Or, cela renverse le raisonnement. Quand vous laissez Christ entrer dans le compartiment de votre coeur, sous forme de foi, alors, les raisonnements meurent complètement.

15        Tout récemment, nous avons eu un... il y a eu une grande réunion là du célèbre Billy Graham. Quand Billy Graham était à Louisville, j’étais à son petit-déjeuner. Un grand serviteur du Seigneur, il a soulevé la Bible au petit-déjeuner, il a dit: «Voici le Modèle.» Il a dit: «Quand saint Paul allait quelque part, il faisait un converti, a-t-il dit; l’année suivante, il rentrait et en avait cinquante à partir de ce seul-là. Mais, a-t-il dit, moi, je vais et j’en fais vingt mille dans une ville, et dans un an, il y en a à peine vingt.»

            Oh! Combien j’avais voulu dire quelque chose! J’avais un ardent désir de dire cela. «Billy, quel est le problème? Ils ont une conception intellectuelle de Christ, et ils n’ouvrent jamais large le coeur pour Le laisser devenir le Seigneur.»

16        Si un homme... et n’allez pas penser que cela s’applique uniquement aux baptistes; c’est aussi aux pentecôtistes, aux gens du Plein Evangile. Vous L’acceptez comme un signe, ou comme un prodige, ou une émotion, ou une évidence. L’évidence que Christ est dans le coeur, Il porte les fruits de l’Esprit: la foi, l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la gentillesse, la patience, voilà le fruit de l’Esprit. Mais nous avons confondu cela avec d’autres choses: le don de la guérison divine, le parler en langues, ou l’huile dans les mains, ou du sang sur le visage, ou une petite émotion. Nous avons confondu cela avec le véritable Esprit de Dieu, et nous avons accepté une contrefaçon à la place de la Personne de Christ, dans le coeur.

            Voyez-vous dans quelle condition l’église, l’Eglise du Plein Evangile se retrouve? C’est l’âge de l’Eglise de Laodicée, pour que chaque Parole que notre Sauveur béni a prononcée là dans la Bible s’accomplisse: tiède, danser sous l’effet de la musique, crier et taper les mains. Oh! Ces choses sont bonnes, mais si Christ n’est pas là, quand on arrête de taper les mains, quand on arrête de parler en langues, quand le service de guérison est terminé, quand la musique s’arrête, s’il n’y a pas cette profonde paix établie, avec ces portes de la foi large ouvertes pour Le laisser être Seigneur de la situation, cela ne nous sert à rien de jouer de la musique, de taper les mains, de parler en langues, d’avoir eu un service de guérison. C’est vrai.

17        Nous Le laissons très loin: «Mais maintenant, Seigneur, reste là derrière, peut-être que Tu as fait cela pour le... pour–pour frère Untel, ou soeur Unetelle, ou pour leur enfant, mais mon cas est différent.» Ce n’est pas différent; c’est vous qui faites la différence en Le gardant hors de votre porte de la foi. Voyez-vous ce que je veux dire? Il veut l’intérieur là, alors, Il pousse pour ouvrir la porte et exposer toute votre incrédulité, et devenir le Seigneur de la situation.

            Le médecin dit: «Vous ne pouvez pas guérir.» Vous acceptez ce qu’Il dit.

            Christ dit: «Et c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris.» Voyez, vous Lui fermez la porte. «Il était blessé pour nos péchés; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» C’est ce que déclare la Bible. Mais parfois, vous laissez le médecin vous fermer la porte au visage. Ce n’est pas le médecin seul qui le fera, mais le pasteur, plusieurs fois. «Oh! Ces choses, c’est du fanatisme. Si notre église avait... Si le Seigneur donnait quelque chose comme cela, ça se passerait dans notre église.» Oh! Vous et votre église! Je pense que cela donne de la nausée au Seigneur.

            Il a dit: «Il les vomirait de Sa bouche.» Il est temps que l’Amérique se réveille. L’âge du réveil est pratiquement terminé dans ce pays. C’est vrai.

18        Le Seigneur Jésus dans Son... pour accomplir Sa Parole, Il doit tenir Sa Parole. Je me suis souvent demandé, alors qu’on voyait Sa Parole être manifestée, qu’en font-ils? «Oh! Eh bien, disent certains, c’est de la télépathie.» Les autres disent: «C’est de l’imagination sauvage.» Examinez cela avec la Parole. La Parole de Dieu a promis cela. Et les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point. Ouvrez large la porte de la foi.

            Jésus, quand Il était sur terre, savait que cette Ecriture se rapportait à Lui, quand Il a dit: «Détruisez ce corps, Je le relèverai dans trois jours.»

            Le prophète avait déjà dit: «Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption, ni n’abandonnerai Son âme dans le séjour des morts.» Il savait que cette Ecriture s’appliquait à Lui, car Il était le Messie, et Il le savait. Sa foi infaillible L’a mis en état de savoir qu’Il était le Fils de Dieu né parfait.

            Si votre foi vous met en état de savoir que chaque promesse divine de la Bible de Dieu est pour vous, tout aussi certainement que cela se rapportait à Lui, chaque promesse se rapporte à vous. Votre guérison, le salut, votre affranchissement du péché, de l’égoïsme, de votre indifférence, de votre petite carapace de tortue où vous vous retirez... Christ veut entrer, être le Seigneur et le Chef, et vous libérer de ces choses. Mais nous ne voulons pas faire cela. C’est pour accomplir les Ecritures qu’ils seraient tièdes, et ils le sont.

19        Remarquez donc. Ceci n’est pas adressé à un individu personnellement, c’est juste suivant que le Saint-Esprit vous le montrera. Mais remarquez donc, c’est juste la Parole. Aujourd’hui, les gens n’aiment pas ouvrir large leur coeur à ces choses, ils ne veulent pas croire cela. Oh! Ils cherchent à appliquer cela ailleurs ou à quelqu’un d’autre, sans savoir que c’est pour vous.

            Vous dites: «Eh bien, maintenant, attendez une minute, Frère Branham. J’ai parlé en langues il y a dix ans.» C’était très bien. Mais qu’est-ce que Christ représente pour vous aujourd’hui? Voyez-vous toujours Ses puissances merveilleuses? Produit-Il toujours le même ravissement? Quelque chose vous envahit-il quand vous voyez Sa puissante main commencer à se mouvoir et les pécheurs être convertis? Cela vous amène-t-il à prier toute la nuit? Cela vous amène-t-il à jeûner? Cela vous envoie-t-il vite à l’autel pour travailler avec quelqu’un, l’instruire sur la manière d’avoir le Saint-Esprit? Cela réchauffe-t-il votre coeur pour circuler dans le quartier à la recherche des perdus? Parlez-vous au laitier, au releveur le compteur, à l’homme dans la rue? Ces choses vont de pair avec cette expérience-là que vous avez reçue il y a longtemps. Quelque chose est arrivé. Vous L’avez mis dehors, à la porte. Dieu veut le coeur.

20        Ensuite, il y a une autre porte. Oh! Il y en a beaucoup dont nous pouvons parler, mais à cause du temps. Il y en a une dont j’aimerais parler juste quelques instants, et c’est la porte de l’oeil. «Oh! dites-vous, j’ai une bonne vue, Frère Branham.» Vous pouvez physiquement avoir une très bonne vue et être spirituellement un aveugle tout fait. C’est vrai.

            Maintenant, vous ne voyez pas avec vos yeux de toute façon. Jésus a dit à Nicodème, le grand chef: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume de Dieu.»

            Le mot voir, sa traduction correcte, c’est comprendre. Vous voyez quelque chose devant vous, vous dites: «Je n’arrive pas à voir ça.» Vous voulez dire que vous n’arrivez pas à comprendre cela.

            Jésus a dit: «Venez et achetez de Moi le collyre afin que Je puisse oindre vos yeux, et que vos yeux s’ouvrent et que vous voyiez. Car vous êtes aveugle, vous êtes nu, et vous êtes misérable, malheureux et pauvre.»

            Les églises ont les bâtiments les plus grands qu’elles n’avaient jamais eus, les érudits les plus raffinés, je pense, qui sont jamais montés en chaire; elles ont cela aujourd’hui. Mais cependant, l’église est plus faible qu’elle ne l’a jamais été; elle devient de plus en plus faible tout le temps.

21        Remarquez: «Achetez de Moi le collyre, afin que Je puisse oindre vos yeux avec ce collyre.» Quand j’étais un petit garçon, je suis né là dans l’Etat du Sud, du Kentucky, je ne pense pas que beaucoup parmi vous aient jamais été là-bas. Nous étions très pauvres. Et nous voyions les petits enfants, à leur réveil le matin, ils avaient une espèce, maman appelait cela de la matière, dans les yeux. Et les petits yeux étaient collés. Alors, maman sortait et prenait de la graisse de raton-laveur dans une vieille bouilloire. Grand-papa dressait des pièges aux ratons-laveurs, on extrayait de la graisse, et on nous l’appliquait aux yeux pour ramollir ces petites matières qui collaient les sourcils. Cela se formait ainsi pendant que nous dormions. Et c’est ça le problème avec l’Eglise du Plein Evangile ce soir: dormir au travail. Et il faudra plus que la graisse du raton-laveur pour vous ouvrir les yeux, il faudra l’huile du Saint-Esprit pour ouvrir les yeux de l’Eglise, afin qu’ils voient encore. Ouvrez vos yeux...

22        Cela m’alarme, quand je parcours le pays, surtout l’Amérique, et que je vois de grands signes que le Saint-Esprit peut accomplir, de grands prodiges qu’Il peut accomplir, et les gens restent assis comme si de rien n’était. Ils ne voient simplement pas cela. Oh! Je prie pour un réveil en Amérique. Et je me demande parfois s’il n’y aura pas... si je ne suis pas en train de prier en vain. J’espère que non.

            Aujourd’hui, j’ai rencontré certains hommes qui venaient des Etats de la Nouvelle-Angleterre, et le Seigneur voulant, tout le mois de mai, il y aura un réveil là-bas, si le Seigneur le permet. Nous viendrons ici pour tout un mois plein, le mois de mai, pour un réveil d’un mois. J’aimerais essayer avec tout ce qui est en moi, si Dieu le permet, chercher à apporter le collyre de Dieu, afin que les gens soient oints et que leurs yeux s’ouvrent.

23        Oh! La Californie et les autres ont eu leurs réunions, mais vous, vous avez été négligés, je pense, ici sur la Côte Est. Les gens ne viennent pas parce qu’il n’y a pas beaucoup d’argent, et autres, mais ce n’est pas d’argent que nous avons besoin. Ce dont nous avons besoin, c’est de Dieu, et que la porte de nos coeurs s’ouvre. Et ces Etats de la Nouvelle-Angleterre ont été négligés, les petites contrées montagneuses et partout ici, il n’y a pas eu une grande démonstration. Tous semblent aller en Californie, le cimetière des prédicateurs, et ils restent là, ils sont endoctrinés là avec certaines de ces choses fantastiques, et ils s’en vont.

            Mais, oh! je prie, ô Dieu, secoue encore une fois cette région de la Nouvelle-Angleterre. Et je dirais ceci par respect pour l’Evangile et pour le Seigneur Jésus: Si jamais cette nation a un réveil, elle ne l’aura jamais sur base de la théologie intellectuelle. Il faudra une véritable puissance authentique du Saint-Esprit et des manifestations pour secouer les gens, jusqu’à ce qu’ils aient un ardent désir de voir la gloire de Dieu. Nous en avons terriblement besoin. Et on en a terriblement besoin ici.

24        Alors que je parcours des villes de cette grande région de l’Est et que je vois, comme partout, le péché de tout côté... mais Dieu a le collyre: «Je châtie ceux que J’aime et Je les reprends; sois zélé et repens-toi.»

            Eh bien, je me suis demandé, alors qu’on enseignait, le Saint-Esprit prend la Bible, Lui qui a écrit la Bible, qui a donné les promesses. Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais»... Et puis, Il se met aussitôt, après avoir expliqué cela Parole après Parole, page après page, Ecriture après Ecriture, alors, le Saint-Esprit se met aussitôt à accomplir tout ce qu’Il a promis; et les gens du Plein Evangile resteront assis comme si de rien n’était. Il nous faut ouvrir les yeux pour voir le jour et l’heure dans lesquels nous vivons. Quel est le problème? Vous devenez ordinaire, cela devient une chose ordinaire pour vous.

25        Il n’y a pas longtemps, si seulement vous aviez remarqué, comme j’allais le dire, je parcours le pays, je vois la bonté de Dieu, combien Il est bon envers nous, et combien nous Le traitons avec indifférence. Si je frappais à votre porte, et que vous ne sortiez pas pour venir me faire entrer, mais que vous jetiez simplement un coup d’oeil par les treillis, que vous regardiez et que vous disiez: «Oh! c’est le prédicateur Branham, qu’il rentre, je l’accueillerai à un autre moment», vous aurez du mal à me voir revenir.

            Et si je venais à votre porte, ou que vous veniez chez moi, et que je vous traitais ainsi, ça serait pareil, mais ce n’est pas le cas avec notre Adorable Seigneur. Il est si bon. «Je me tiens et je frappe, continuellement.» Celui qui frappe, pas juste cogner un peu, mais qui frappe, continuellement.

26        Un grand artiste, son nom m’échappe maintenant, avait peint un célèbre tableau de Jésus en train de frapper à la porte. Je pense que c’était un Grec. Et quand il a rencontré... Il a passé des années à peindre, à étudier... Chaque célèbre tableau doit premièrement passer par la commission de censure avant d’être placé au musée. Ce sont des hommes qui savent faire la critique. Et quand un des critiques de ce tableau s’est présenté devant le peintre, il a dit: «Il n’y a qu’une seule chose qui vous manque dans votre tableau.»

            Il a dit: «Qu’est-ce?»

            Il a dit: «Vous avez une porte sans loquet dessus.»

            «Oh! a dit le peintre, le loquet est à l’intérieur.»

            Eh bien, c’est ce qui se passe, vous avez le loquet à l’intérieur. Et Christ ne peut pas ouvrir votre coeur, étant en dehors de cela, Il ne peut pas non plus entrer dans la chambre, alors que vous-même vous l’avez fermée de l’intérieur. C’est vous qui avez le loquet à votre disposition. Mais Il est bon pour se tenir et frapper...

27        Il y a quelque temps, là dans ma patrie du sud, il y avait un ami, un vieux prédicateur, et c’était un merveilleux vieux frère. Et ils avaient un frère de couleur là, un homme de couleur plutôt, du nom de Gabriel. Et nous l’appelions tous Gabe. C’était un bon vieil homme, mais nous n’arrivions simplement pas à le mettre en ligne avec l’église. Il voulait simplement... Il ne fréquentait pas l’église. Et nous disions: «Gabe, pourquoi ne viens-tu pas à l’église?»

            «Oh! Je viendrai un jour.»

28        Alors, un jour, lui et le prédicateur étaient allés à la chasse. Eh bien, le vieux Gabe était un très piètre tireur; il n’arrivait à tirer sur rien. Mais ils étaient allés à la chasse ce jour-là, et ils avaient chassé toute la journée. Et en rentrant ce soir-là, ils étaient si surchargés de gibiers qu’ils... soit ils arrivaient à peine à marcher. Ils avaient des lapins, des canards, des oiseaux, partout sur eux, au point qu’ils arrivaient à peine à marcher. Et le vieux Gabe était si surchargé qu’il venait derrière le pasteur, il arrivait à peine à porter son fusil. Et pendant qu’ils cheminaient sur un sentier familier, le vieux Gabe s’est avancé et a tapoté le pasteur sur l’épaule; et quand le pasteur s’est retourné, il y avait des larmes dans les yeux du vieux noir, et il lui a dit: «Qu’y a-t-il, Gabe?»

            Il a dit: «Pasteur, le dimanche matin, ce sera demain, vous allez me trouver au banc des pénitents, j’ai l’intention d’occuper ma place à l’église jusqu’à ce que la mort me libère.»

            Le pasteur a dit: «Je suis très content d’entendre cela, Gabe. Mais il y a une seule chose que j’aimerais vous demander. Pourquoi ce changement brusque? Eh bien, vous–vous avez changé tout d’un coup.»

            Il a dit: «Pasteur, vous savez que je suis un très piètre tireur. Je n’arrive à tirer sur rien. Mais regardez simplement les gibiers que j’ai.» Il a dit: «Je marchais ici en train de penser: ‘Il doit certainement m’aimer, sinon Il ne m’aurait pas donné cela.’»

29        Si seulement vous en arriviez à ce que le Saint-Esprit vous ouvre les yeux sur la bonté de Dieu envers vous, cela susciterait la repentance; si seulement vous pouvez ouvrir les yeux. Mais c’est devenu une chose ordinaire.

            Une fois, un homme allait prendre un petit repos sur le rivage. Et il voulait flairer la fraîcheur de l’eau salée, il voulait entendre le cri sauvage des mouettes de mer. Il voulait observer les vagues puissantes, alors que l’eau salée déferlait par de grandes vagues et faisaient des clapotis pour revenir faire encore des clapotis. Oh! Il était si ravi de savoir qu’il se retrouverait là sur le rivage. Il avait un ardent désir de voir et de jouir de la présence de la mer.

30        Sur son chemin vers là, il a rencontré un vieux loup de mer (Un vieux loup de mer, c’est un vieux marin.) qui lui a demandé: «Où vas-tu?»

            Il a dit: «Au bord de la mer pour jouir des bénédictions, des mugissements de la mer, voir les vagues alors qu’elles bondissent, entendre les mouettes.»

            Il a dit: «Ce ne sont que des oiseaux. Il n’y a que de l’eau salée. Je ne vois pas de quoi se ravir.» Quel était le problème? Il avait tellement vu cela que c’était devenu si ordinaire pour lui qu’il ne voyait plus cela.

31        Et la bonté de Dieu envers vous est devenue si ordinaire que vous n’appréciez plus cela comme autrefois. Oh! Si Dieu nous ouvrait les yeux et nous accordait le désir de faire quelque chose pour Lui! La deuxième soirée du réveil, cent cinquante personnes dans l’assistance.

            Vous savez, je me demande ce qui pourrait arriver si nos yeux pouvaient voir ce que notre Seigneur a fait hier soir, voir ce qu’Il fera n’importe quelle soirée. Chaque âme chrétienne devrait être si zélée et si remplie de feu de Dieu, ses yeux ouverts pour voir la Venue du Seigneur, car ce sont des signes et des bornes kilométriques de Son apparition pour bientôt. Et nous voyons cela. Le monde des Gentils est pratiquement à la fin. Et nous voyons ces choses, et nous bâillons, nous nous tapotons la bouche, et nous allons dormir et: «Pourquoi a-t-il prêché si longtemps?»

            Et le Seigneur descend et accomplit des choses qu’Il avait dit qu’Il accomplirait.

32        Quand Il se tenait là, et qu’Il parlait à la femme au puits de Samarie, elle se tenait là, et Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «C’est vrai; tu en as eu cinq; et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari.»

            Regardez combien ses yeux s’étaient vite ouverts. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Or, nous savons que quand le Messie sera venu... (Voyez-vous cet ardent désir, cette attente, cette expectative?) Nous savons, nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses, Il accomplira ces choses. Tu dois être Son prophète.»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Plein de zèle, ses yeux étaient ouverts. Elle a laissé la cruche d’eau au puits de Jacob, elle est entrée dans la ville, alarmant le message: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait; ne serait-ce point le Messie même?»

            Mais nous, nous disons: «Eh bien, eh bien, c’est peut-être de la télépathie mentale, je ne comprends pas tout cela, je pense donc que ça se terminera bien.» Oh! la la!

33        Considérez le Juif, quand Philippe était si zélé, ses yeux avaient été ouverts du fait qu’il avait été dans la Présence du Messie, qu’il a eu à trouver son ami. Il avait parcouru trente miles [48 km] jusqu’à l’autre côté de la montagne, et il l’a trouvé sous un arbre en train de prier. Et il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé. Nous avons trouvé quelque chose.» Oh! Il voulait que tout le monde le sache, chaque ami qu’il avait et tout, connaisse cela. «Viens voir Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph. C’est le Messie que nous attendions.» Et ce... Il n’avait point eu un accueil très chaleureux, mais cela ne l’a pas du tout dérangé.

            «Oh! a-t-il dit, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Eh bien, viens, accompagne-moi, et vois de toi-même. Viens donc et vois toi-même.»

34        Et quand il est entré dans la Présence du Seigneur Jésus, dans la ligne de prière, ou dans l’assistance, où que cela ait été, ses yeux étaient toujours fermés, il est simplement venu parce que quelqu’un l’avait invité. Eh bien, voici un Juif, voyons ce qu’il dira.

            Jésus n’a point guéri sa jambe estropiée. Il ne s’est pas non plus mis à parler dans une autre langue qu’il ne connaissait pas. Mais Il l’a regardé et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Rapidement, l’huile a commencé à baigner la nuit...?... Il s’est mis à regarder et il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu? Comment sais-Tu qui je suis?»

            Et Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Alors, ses yeux se sont tout grandement ouverts jusqu’au bout, il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

35        Eh bien, il y avait là des gens qui dormaient. Il y avait le docteur en philosophie, docteur en droit, Jones. Il y avait le Rabbi Levinski, tous ceux-là se tenaient là, les célébrités aussi, alors ils ont dit: «C’est du spiritisme; c’est du diable; Il est Béelzébul, le grand diseur de bonne aventure.»

            Jésus s’est retourné et lui a dit: «Parce que Je t’ai dit cela, tu le crois?»

            «Oui, Seigneur.»

            «Alors, tu verras de plus grandes choses que ça, parce que tes yeux sont ouverts.»

            «Mais à vous qui dormez, vous les grands docteurs en théologie, vous les membres d’église qui êtes satisfaits de la condition dans laquelle vous êtes, parce que vous dormez, Je vous pardonnerai pour avoir dit cela de Moi. Mais il arrivera un temps où le Saint-Esprit fera la même chose, prononcer un seul mot contre Cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»

36        Et nous voyons cela arriver, et nous restons assis comme si de rien n’était. «Cependant, Je me tiens à la porte du coeur et Je frappe, si un homme entend Ma Voix et ouvre, J’entrerai.»

            Allez-vous Le laisser entrer? Ouvrez et faites de Lui votre Seigneur, sur tout votre être. «Ôte mon égoïsme, Seigneur; sois mon Seigneur là. Ôte mon indifférence; sois le Seigneur là. Ôte ma jalousie; sois le Seigneur là. Ôte l’orgueil; sois le Seigneur là. Prends ma foi; sois le Seigneur là. Prends mes yeux, sois le Seigneur là. Prends mes mains; sois le Seigneur là. Prends mes oreilles; sois le Seigneur là. Prends mes pieds; sois le Seigneur là. Sois le Seigneur de mon être, de mon âme, de mon corps, et de mon esprit. Conduis-moi et guide-moi, ô Seigneur, et ouvre mes yeux afin que je voie.» Que ce soit là donc notre prière pendant que nous nous attendons à Lui juste un instant, avec nos têtes inclinées.

37        Je me demande, dans la Présence de Son Etre (Mon temps est passé), mais je me demande simplement s’il y aurait quelqu’un ici qui se sent assez convaincu, même si c’est un membre d’église, de ce que Christ a été votre Sauveur, mais pas votre Seigneur. Voudriez-vous lever la main vers Lui pour dire: «Seigneur, sois miséricordieux»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que le Seigneur vous bénisse, vous, mon frère; vous, soeur; vous, frère; que le Seigneur vous bénisse.

            Vous avez dit: «Cela représente-t-il quelque chose pour moi de lever la main?» Ô chers amis, vous brisez toutes les lois de la gravitation. Que Dieu vous bénisse, soeur. Qu’est-ce que cela fait? La gravitation démontre que vos mains doivent pendre, mais il y a en vous un esprit qui a pris une décision, disant que vous êtes en erreur. Quelque chose qui se tenait à côté de vous vous a convaincu que vous êtes en erreur, vous défiez donc les lois de la gravitation grâce à un esprit en vous. Que Dieu vous bénisse, frère, ici.

            L’esprit en vous dit: «Vous êtes en erreur, levez la main vers votre Créateur.» Et votre main se lève discrètement, inconsciemment. Dieu voit cela, certainement. Il voit.

38        Y en a-t-il un ici qui n’a jamais accepté Christ comme son Sauveur, mais qui dit: «En cette heure-ci, Frère Branham, avant que je voie même une quelconque manifestation de Son Etre...»? Juste la foi qui vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole. «Je veux qu’Il soit mon Sauveur à partir de ce soir. Je lève la main vers Lui.»

            Y a-t-il ici quelqu’un qui est un pécheur qui n’a jamais accepté Christ et qui veut être... Christ pour vous sauver ce soir? Vous dites: «Je L’accepte maintenant sur base de Sa Parole, qu’Il vient bientôt, et je veux qu’Il soit mon Sauveur. Je vais Le laisser entrer dans mon coeur maintenant même. Je veux qu’Il prenne la pleine possession de chaque porte, chaque secret, qui est dans mon coeur; qu’Il vienne maintenant et qu’Il soit le Seigneur de tout.» Je suppose que dans ce petit groupe il n’y en a pas. Vous êtes tous chrétiens, j’en suis reconnaissant.

39        Maintenant, chrétiens, combien parmi vous, avec vos têtes inclinées maintenant, disent: «J’ai été un peu différent, frère Branham, et Seigneur, Tu sais que j’ai été différent, mais je veux l’être jusqu’au bout; j’aimerais que mes yeux soient ouverts. Ouvre mes yeux afin que je voie. Ouvre mes yeux, Seigneur.»? Voudriez-vous lever la main, même si vous êtes chrétien, mais indifférent? Que le Seigneur vous bénisse.

            Maintenant, Père, Tu vois les mains de Tes enfants ici présents. Ô Seigneur, je Te prie de rendre cela possible, afin que nous puissions passer tout un mois, le mois de mai, dans un grand réveil ici, prendre notre temps et enseigner les après-midi et les soirs, et voir Ta puissante main commencer à se mouvoir parmi ces hommes et les gens.

40        Ô Seigneur, comme on est les premiers à s’établir dans cette grande région ici, puissent-ils devenir les premiers à commencer un réveil à l’ancienne mode, du temps de la Bible, à la fin de cette grande nation; accorde-le, Seigneur. Bénis ceux qui ont levé les mains; qu’ils s’abandonnent complètement à Ta Présence maintenant.

            Et Seigneur Jésus, viens. Presque eux tous ont été dans des réunions, ils savent à quoi s’attendre de la part du Seigneur. Et je Te prie de manifester Ta grande puissance ce soir et d’ouvrir chaque oeil, chaque oreille, chaque entendement. Sanctifie nos corps, nos âmes, notre esprit, par Ta Présence, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

41        Que le Seigneur soit bienveillant et bon envers vous tous. Maintenant, ne vous inquiétez pas, comme nous pensons qu’il y a juste quelques personnes ici. Cela n’a rien à faire avec la chose. Christ a promis d’être là où deux ou trois sont assemblés. Je fournirais tous les efforts pour deux personnes tout autant que j’en fournirais pour deux millions, ça serait tout pareil. Comment saurai-je ce que notre Seigneur veut? Je suis seulement responsable pour la Parole.

            Maintenant, comme nous allons prier pour les malades, comme je le fais d’habitude, prier pour les malades, essayer de prêcher, non pas juste une partie de l’Evangile, mais le plein Evangile, tout cela. «Il était blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» C’est le plein Evangile.

42        Et si cela relevait de mon pouvoir, je serais très content ce soir, si j’en avais le pouvoir, de guérir les malades qui sont dans cette salle. La plupart des gens qui viennent à mes réunions, ils suivent la prédication et tout, ils sont malades et nécessiteux. Si j’avais le pouvoir de faire cela, je le ferais, mes chers amis. Je le ferais certainement. Je n’ai pas le pouvoir de le faire. Et je dis cela avec respect et révérence, je ne crois pas qu’il y ait un homme sur terre qui ait le pouvoir de le faire, pas la guérison divine. En effet, la guérison divine a été acquise au Calvaire. Il s’agit de votre foi dans une oeuvre achevée. Christ vous a guéri quand Il a été meurtri pour vous au Calvaire. Il était (au passé) blessé pour nos péchés. Et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été (au passé) guéris.»

43        Maintenant, vous ne pouvez pas payer un bien deux fois, c’est déjà acheté. Si notre Seigneur Jésus se tenait ici ce soir, sur cette estrade, et qu’une personne malade venait vers Lui et disait: «Mon Seigneur et mon Maître, je reconnais en Toi mon Seigneur et mon Maître, je suis malade et nécessiteux, ô Maître; veux-Tu me guérir?» Que pensez-vous qu’Il dirait?

            Ça devrait être quelque chose de ce genre: «Mon enfant, ne peux-tu pas Me croire sur Parole, que j’ai déjà fait cela?» Il ne peut pas dire: «Oui, Je vais te guérir», parce qu’Il a déjà fait cela; certainement qu’Il l’a déjà fait.

            Quand Il était ici sur terre, le Seigneur Jésus, prétendait-Il guérir les gens? Faites attention. Non, Il disait: «Ce n’est pas Moi qui accomplis les oeuvres; c’est Mon Père qui demeure en Moi qui accomplit les oeuvres.» Combien savent cela? C’est Lui qui accomplit les oeuvres.

            Eh bien, s’Il accomplit donc les oeuvres, qu’a dit alors Jésus dans Saint Jean 5.24, ou voyons, non, dans Saint Jean 5.19? C’est là. Jésus, après être passé près de la piscine de Béthesda, là où les boiteux et les aveugles étaient couchés... Le Père lui avait donné une vision, Il est descendu, Il a promené le regard sur cette foule jusqu’à ce qu’Il eût trouvé une certaine personne couchée sur un petit grabat. Et le petit grabat...

44        Combien savent ce que c’est un grabat? C’est bien. J’ai grandi sur un. C’est juste une couverture piquée déposée sur le plancher. Il y avait une ribambelle d’enfants; nous n’avions pas de chambre à coucher pour tous, alors nous... J’ai dormi pratiquement tout le temps, comme j’étais l’aîné de la famille, sur un petit grabat.

            Alors, cet homme était couché sur un petit grabat. Et Jésus est passé, Il l’a vu, et Il savait qu’il était dans cette condition depuis plusieurs années. Il a dit: «Prends ton lit, rentre chez toi.» Il s’en est allé, laissant les autres. Pourquoi? Le Père ne Lui avait rien montré à leur sujet. Alors, il fut interrogé, l’homme qui portait le lit sur l’épaule, et ensuite Jésus fut interrogé. Et voici ce qu’Il a dit, Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même; mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»

            Maintenant, cela... Est-ce la vérité, ou est-ce une erreur? Si c’est une erreur, alors Jésus était menteur. Jésus n’a jamais accompli un miracle, sans premièrement que Dieu Lui ait montré en vision quoi faire, sinon Il a dit quelque chose de faux là. S’Il a dit quelque chose de faux, Il n’était pas le Fils de Dieu. «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même; mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Voyez?

45        Lazare, la résurrection, toutes ces choses, le Père le Lui avait montré.

            Eh bien, il y avait une petite femme qui est passée au milieu de l’assistance, et elle ne... pas... Le Père ne lui avait pas montré... ne Lui avait rien montré à son sujet. Mais elle croyait. Alors, elle est passée au milieu de la foule, elle a touché Son vêtement, elle est rentrée et s’est assise. Jésus s’est retourné et a dit: «Eh bien, qui M’a touché?»

            Et Pierre L’a repris, disant: «Seigneur, toute la foule Te touche. Et pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’»

            Jésus a dit: «Mais Je me suis senti faible (La force, la vertu, et tout le monde sait que la vertu veut dire la force), la vertu est sortie de Moi; Je me suis senti faible.»

            Alors, Il a promené le regard sur l’assistance jusqu’à ce qu’Il a repéré la petite dame. Et alors, elle souffrait d’une perte de sang, et Il lui a dit qu’elle était guérie; sa foi l’avait guérie. Et elle a senti dans son coeur que la perte de sang s’était arrêtée, et elle était guérie. Oh! Quelle différence!

46        Maintenant, vous direz: «Oh! S’Il était ici ce soir, j’aurais voulu faire cela.» Mais Il est ici. «Eh bien, Frère Branham, y a-t-il une Ecriture qui nous dit qu’Il fera la même chose?»

            «Oui, il y en a. Grâces soient rendues à Dieu! La Bible déclare, le Nouveau Testament, qu’Il est notre Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Hébreux: Nous pouvons Le toucher avec le sentiment de nos infirmités.»

            «Alors, comment sauriez-vous que vous L’avez touché?» Il se retournerait et dirait la même chose qu’Il avait dite à l’époque, si nous Le touchons. Très bien.

            Alors, comment le saurais-je?

            Maintenant, Il... après qu’Il eut quitté la terre, Il est devenu le Cep, ou Il est devenu Celui par qui l’Esprit passe. «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Eh bien, ce n’est pas le cep qui porte les fruits; il ne fait que produire la vie, et c’est le sarment qui porte le fruit. L’Eglise, ce sont donc les sarments; et si cela est effectivement connecté à Christ, cela portera les fruits de Christ.

47        La Bible déclare, Hébreux 13.8: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et s’Il a fait ces choses dans le passé, Il doit les faire aujourd’hui pour être le même.

            Oh! J’espère que c’est si clair que même les enfants comprendront cela. Je ne peux pas le faire avec des lèvres humaines. Mais que le Saint-Esprit entre dans vos compartiments ce soir. Ouvrez large les portes de la foi; ouvrez large vos yeux afin que vous voyiez; ouvrez large votre ouïe, votre entendement; ouvrez large tout votre être; venez et dites: «Maintenant, Jésus, sois le Seigneur de ma maison. Tu es le Bienvenu ce soir, Seigneur. Me voici; prends-moi. Je suis malade; je suis misérable; je suis un douteur; je suis un incroyant; je suis très sceptique de tout cela, entre et sois mon Seigneur.»

            Observez ce qui se passe. Oh! Les cloches de joie du Ciel retentiront de nouveau. Vos yeux s’ouvriront et verront que ce n’est pas un petit prédicateur non instruit, qui ne peut même pas parler un bon anglais. Cela n’a rien à faire avec la chose; c’est la Présence de la manifestation de Son Etre, selon Sa promesse, Sa Parole. Que Dieu l’accorde.

48        Maintenant, Père, le reste est entre Tes mains. J’ai dit ce que je pensais que Tu me demanderais de dire. Et tout est accompli, que Ton Nom soit loué; accorde-le, Père. Je confie ce petit groupe de gens entre Tes mains. Et avec eux, je me présente moi-même comme Ton serviteur. Maintenant, Seigneur, «la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole.» Et je Te prie, ce soir, d’opérer des prodiges parmi nous pour la gloire de Dieu. Au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Combien de malades y a-t-il parmi nous? Regardez donc. Combien y en a-t-il ici sans cartes de prière? Levez la main. Eh bien, je pense deux tiers, sans cartes de prière. Il ne faut pas de cartes de prière. Il vous faut simplement ouvrir la porte. Maintenant, juste... Voudriez-vous m’accorder cinq autres minutes pour quelque chose que je... le Saint-Esprit place sur mon coeur? Je pense que cela vous aiderait maintenant même. Supportez-moi donc encore cinq minutes.

49        Qu’est-ce que la foi? J’ai parlé des portes, maintenant, voyons ce que c’est. Qu’est-ce que la foi? Oh! Cela a été si mal interprété. Beaucoup appellent foi l’émotion, oh! sautiller et crier. Eh bien, rappelez-vous, quand je parle de ces choses... Je crois au fait de crier; je crois dans la louange du Seigneur. Je crois qu’il y a un don de parler en langues et d’interprétation. Je crois dans tout ce que la Bible dit, mais nous ne pouvons pas nous laisser aller à cause d’une seule chose. Voyez? Recevez le Donateur, et le don s’occupera de soi. Voyez? Si vous recevez le don sans le Donateur... Je peux vous donner une pomme cueillie à un arbre, et vous n’aurez toujours pas eu le pommier. Voyez? Voyez? Et cet arbre porte neuf différentes sortes de fruits.

            Si donc cet arbre qui est l’Eglise... Et un–un don diffère d’un autre; par un seul don, nous ne pouvons pas dire que nous avons la chose. Tous les neuf dons doivent être à l’oeuvre dans l’Eglise. Et les fruits de l’Esprit, ce sont l’amour, la joie, la foi, la longanimité, la gentillesse, la patience, la bonté, la douceur, la tempérance; ce sont là les fruits de l’Esprit.

50        Eh bien, si cela opère dans votre vie, avec l’autre, béni soit le Nom du Seigneur. Mais si l’un est là sans l’autre, faites attention, vous êtes sur un terrain dangereux. Voyez? Satan peut pratiquement, imiter tout ce que Dieu fait. Mais vous pouvez voir que cela n’est pas mêlé d’amour, ou cela n’a pas non plus la foi. La Parole qui est prêchée ne leur a pas profité parce qu’Elle n’a pas été mêlée de foi.

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Si je vous demandais d’abord de me donner un pain et que vous disiez: «Le prix du pain, c’est vingt-cinq cents», et que vous me remettiez vingt-cinq cents, je serai tout aussi heureux que si vous m’aviez donné du pain. Le pain m’appartient, parce que j’ai le prix d’achat d’un morceau de pain. Je peux être tout aussi heureux en étant ici avec vingt-cinq cents, même si je crevais de faim, et qu’un morceau de pain me sauverait la vie, et peut-être qu’il me faudrait parcourir six pâtés de maisons avant, m’arrêter devant chaque feu de signalisation, et être arrêté vingt fois par la police, être critiqué par plusieurs critiqueurs, je pourrais être tellement affamé qu’une fois arrivé là j’aurais des crampes et toutes sortes de symptômes, mais tant que j’ai les vingt-cinq cents, qu’est-ce que cela change?

51        La foi, si elle est dans votre coeur et que Dieu l’a plantée là, et que vous croyez cela, rien ne fera obstacle. Chaque médecin peut vous dire le contraire; chaque pasteur peut vous dire quelque chose de différent; cela ne fera pas la moindre différence, vous avez la chose. Et vous êtes tout aussi heureux, une fois que cela tombe dans votre coeur, que vous le serez en possédant ce que vous demandez. Vous y êtes.

            Eh bien, si notre Seigneur béni veut être si bienveillant pour venir ici ce soir et se manifester devant nous, et montrer qu’Il est... Eh bien, comment la foi est-elle envoyée? Vous dites: «Frère Branham, j’ai un enfant malade; ma mère est malade. Je suis moi-même malade, voudriez-vous nous guérir?» J’aurais bien voulu pouvoir le faire, mais je ne le peux pas.

52        Mais par un don divin, cela peut vous montrer que chaque promesse dans la Bible est vraie et qu’elle est vôtre. Et quand Christ est présent, tendez donc la main et dites: «Seigneur Jésus, manifeste-Toi à moi maintenant même et donne-moi la foi pour croire cela.»

            Alors, ce pouvoir d’achat se déverse dans votre coeur: «J’ai cela.» Pas de bousculade pour la ligne de prière, vous descendez simplement la rue en vous réjouissant, c’est réglé. C’est la démonstration des choses que vous n’avez pas, mais vous avez le pouvoir d’achat. Et alors, la Bible dit que Moïse se montra ferme, voyant Celui qui est invisible.

53        Abraham se montra ferme. Quand Dieu lui a parlé, il en était sûr. Et il appela des choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Comment va-t-il s’y prendre, à soixante-quinze ans, sa femme en avait soixante-cinq, environ vingt-cinq ans depuis la ménopause? Comment va-t-elle avoir un enfant? Cela n’entrait même pas en ligne de compte, ni son corps mort ou son sein à elle. «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.»

            Et nous affirmons être Ses enfants. Eh bien, voyez-vous pourquoi nous sommes tièdes? Vous voyez pourquoi Christ... Est-ce que cela accomplit Sa Parole? S’Il vient ici ce soir et qu’Il se manifeste, que fait-Il? Il frappe au coeur. «Je sais que vous êtes tiède; vous n’êtes ni bouillant ni froid. Oh! Mais Je me tiens à la porte et Je frappe. Si quelqu’un entend Ma Voix, J’entrerai, Je souperai avec lui.»

            «Tu as enseigné Ta promesse, Seigneur; si Tu me guéris, je promettrai; j’arrêterai de pécher. J’arrêterai de douter, si seulement Tu me donnes une promesse que...» Tout d’un coup, quelque chose commence à se mouvoir dans votre coeur, Il soupe avec vous. Oh! Je prie qu’Il le fasse.

54        Maintenant, Billy, quelles cartes de prière tu...?... Très bien, 50 à 100, est-ce exact, 50 à 100? Très bien, à partir d’où avions-nous commencé hier soir, Frère Sharrit, 50. Commençons un peu plus loin, quelque part ce soir, avec la série U. Hier soir, je pense que c’était quatre-vingts. Ce soir, commençons à 75, ce soir. Qui a la carte de prière U-75? Eh bien, il y a une toute petite carte. La façon dont nous faisons cela, c’est juste pour garder... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

55        Je... Lakeport, c’était dans le champ de foire? Et j’ai perdu un frère, vous savez, et alors, j’étais en retard à la réunion. Mais ce soir sur le–le terrain, je vais vous dire ce qui est arrivé. Eh bien, ceci est tout nouveau pour vous, mais, amis, si jamais vous m’avez entendu prêcher une chose, et avant la fin des réunions, j’aimerais vous le dire, et que l’homme ici témoigne, ceux qui savent combien ces visions sont infaillibles. Elles sont parfaites. Appelez la ville, appelez le maire de la ville de Jeffersonville, ou que quelqu’un appelle le poste de la police, allez là où c’est arrivé pendant quarante-huit ans et voyez si jamais il y a eu une faille quelque part. Vous ne le pouvez pas. C’est Dieu. Ouvrons donc nos coeurs.

56        Sur l’estrade, au cours de la réunion-là, il y avait une Indienne qui était venue. J’ai toujours eu pitié pour elle, la femme indienne. Et elle était aveugle, je pouvais voir, ses yeux s’étaient retournées. Alors, j’ai dit: «Cette femme est aveugle.» Alors, le Saint-Esprit s’est mis à parler, Il a dit: «Vous avez eu une attaque d’apoplexie au niveau du cerveau, qui a fait se révulser vos yeux en arrière, et neuf ans sans paix, jour et nuit, mais c’est cela une souffrance constante.» Pensez à ce que cette pauvre femme avait enduré, neuf ans de souffrance.

            Qu’arriva-t-il? Après tous ces neuf ans, alors le Saint-Esprit a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.» Et pendant qu’elle se tenait là, ses yeux se sont ouverts, ses yeux se sont redressés correctement. Et je l’ai vue pleurer.

57        Eh bien, ma mère, comme vous le savez tous, ma mère est mi-Indienne aussi. La maman de ma mère venait de l’Okl-... ou de la Réserve des Cherokee. Ainsi donc, ma mère lui ressemblait vraiment. Et ma mère, en vieillissant un peu, avait attrapé une paralysie tremblante, quand elle est devenue un peu excitée. Alors, cette pauvre vieille femme tremblait, elle ressemblait à ma mère. Et alors, je n’avais jamais encore vu ses yeux, et alors j’ai dit: «Pouvez-vous voir?»

            Et elle a dit: «Oui, monsieur.»

            Et quand elle a quitté l’estrade, on conduisait... certains Indiens l’ont conduite pour entrer, et c’est elle qui les a fait sortir.

58        Et pendant qu’elle était là, il y avait un homme de la ligue des laïcs luthériens. Quelqu’un en a-t-il déjà entendu parler? Assurément. Et ils étaient... Il avait sa femme assise de ce côté-ci, dans le champ de foire; elle était malade, elle avait souffert d’une tumeur saignante depuis environ quatre ans. Elle ne prenait que les liquides. Et comme les médecins ne pouvaient pas reconstituer son sang, car elle avait une quatre-vingtaine d’années, ils allaient lui faire une transfusion sanguine, car la tumeur saignait à l’intérieur, et ils allaient opérer dans environ une semaine.

            Alors, ce vieux frère luthérien était assis là... Ils étaient d’une petite ville appelée Ukiah. Ils construisaient une église luthérienne. Et pendant qu’il était là, il fut tellement ravi qu’il dit: «Oh!», dans son coeur donc, pas à haute voix. Je lui avais tourné le dos. Alors, il a dit: «Ô Seigneur, si Tu guéris ma femme ce soir, et que Tu laisses cet homme l’appeler, je croirai cela.» Et il a dit: «Si Tu la guéris, j’apporterai les cinq cents dollars qui étaient destinés à l’intervention chirurgicale et je donnerai à cette petite Eglise luthérienne qui est en construction.»

59        A peine venait-il de répéter la prière dans son coeur que le glorieux Saint-Esprit s’est retourné et lui a dit qui il était, il a dit: «Tu étais en train de prier Dieu, disant que si Dieu guérissait ta femme, tu donnerais les cinq cents dollars destinés à l’intervention chirurgicale à l’Eglise luthérienne.» Et il a failli s’évanouir.

            Alors, il–il s’est levé, il a dit: «Mes amis, c’est la vérité.»

            J’ai dit: «Dieu n’a pas besoin de ton argent, mais c’est ta foi, et elle est guérie, car c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

            Et le lendemain matin, au petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens, quand frère Rose là... Il connaissait la famille. Et la femme avait été chez le médecin, et ils ne pouvaient même pas retrouver une trace de tumeur. Et elle était au petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens ce samedi matin-là, mangeant des oeufs brouillés au jambon, se réjouissant, à une quatre-vingtaine d’années, grâce à la bonté du Seigneur Jésus.

60        Oh! Cela n’est qu’une chose minime par rapport à ce qu’Il fait. Il est grand et plein de compassion. Maintenant, soyons respectueux et prions. Très bien, combien avons-nous en ligne? Environ... Eh bien, nous allons commencer maintenant même, ça sera en ordre. Prions maintenant.

            Très Bienveillant Seigneur, maintenant même, même cette petite assistance, Ta Parole doit être manifestée, sinon Tu es un faux Témoin, en donnant Ta Parole. Et, Seigneur, je me rends compte que prendre position pour Te représenter, Ton Esprit, quelle glorieuse chose est-ce! Et je suis indigne, Seigneur, et nous sommes tous indignes. Mais, Père, Tu ne regardes pas à notre état d’indigne, mais Tu honores Ta Parole. Et je prie, du fond de mon coeur sincère, ô Grand Jéhovah, que l’on sache ce soir que Tu es toujours Dieu et que Tu tiens Ta Parole. Que le groupe soit petit ou grand, manifeste-Toi. Et puis, que les gens, que la foi dont ils ont besoin, quand Tu frapperas à la porte, que cette foi-là s’ancre profondément. Que toutes les portes de leur coeur soient ouvertes, qu’ils s’élèvent dans la foi et acceptent leur guérison, ainsi que les choses auxquelles Tu as pourvu pour eux.

            Pardonne-moi mes offenses, Seigneur. Pardonne-nous toutes nos offenses. Et maintenant, conditionne nos coeurs à Te recevoir. Et viens, Sauveur béni, et guéris chaque personne dans la salle ce soir. Car nous le demandons au Nom de Jésus, et à cause de Lui. Amen.

61        Maintenant, j’aimerais solliciter toute votre attention pendant les quelques instants qui vont suivre. Soyez respectueux. Mais si le Seigneur parle à votre coeur, que vous avez la foi, et que cela entre dans votre coeur, recevez donc cela. Dites donc dans votre coeur: «Merci, Seigneur Jésus, c’est réglé.»

            Maintenant, beaucoup parmi vous ne seront pas dans la ligne, mais cela ne bloque pas la guérison. Dieu peut vous guérir n’importe où ici si seulement vous regardez à Lui et que vous croyez.

            Maintenant, rappelez-vous, je dis avant, je ne dis pas qu’Il le fera. Je–je ne peux pas le dire; je ne sais pas. Mais pendant toutes ces années, Il ne m’a jamais fait défaut. Je ne crois pas qu’Il me fera défaut ce soir. C’est là donc Son visage que je montre, à partir du Message, que vous connaissez et que vous avez lu dans le livre.

62        Je ferais mieux de dire ceci: Ces messages sont sur bande. Monsieur Goad, ici, monsieur Mercier, les ont sur bande si vous en voulez. Ils sont assis là, derrière ces lignes de prière, pour voir ce que le Saint-Esprit vous a dit, ou je ne sais quoi d’autre, ou le message de ce soir, c’est sur bande. Très bien; que le Seigneur soit béni. J’espère et j’ai confiance que chacun de vous recevra la foi.

            Maintenant, je suis sûr que vous vous rendez compte de ma position, quand bien même, dans ce petit groupe de gens ici. Voici une femme ici debout, je... Est-ce la patiente? Voudriez-vous venir ici juste un moment? Voici une dame, je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant. C’est notre première rencontre. Maintenant, pouvez-vous vous imaginer... voudriez-vous monter prendre ma place? Vous êtes le bienvenu. Oui, oui. Très bien.

63        Voici une dame. Maintenant, sur quoi je fonde cela? Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je fonde cela sur la Bible, sur une promesse que Dieu a donnée. Eh bien, comment... Si Dieu tient Sa promesse pour ceci, alors Il tiendra chaque promesse qu’Il a faite, non pas il y a mille neuf cents ans, mais aujourd’hui aussi, Il est le JE SUIS, pas le J’étais, le JE SUIS, maintenant.

            Eh bien, si cette dame est malade, je ne sais pas. C’est peut-être un problème au foyer; c’est peut-être pour de l’argent; c’est peut-être... je ne sais pas. Mais, disons qu’elle soit malade. Je–je... Si je pouvais faire une seule chose pour aider la femme à se rétablir, et que je ne le faisais pas, je serais une personne indigne de représenter Jésus-Christ en tant que ministre. Je serais une brute. Même si j’étais un médecin et que je pouvais effectuer une intervention chirurgicale pour elle, si elle en avait besoin. Et si je ne le faisais pas parce qu’elle n’aurait pas d’argent, je ne mériterais pas d’être un médecin. C’est vrai. Je ne suis pas un médecin; je–je–je suis juste le serviteur le plus vil du Seigneur. Et vous étiez dans... Certains de ces hommes assis ici, aux cheveux grisonnants sur la tête, prêchaient alors que j’étais un garçon. C’est juste donc quelque chose que Dieu vous a donné, et Il m’a simplement envoyé Le représenter de cette façon-ci.

64        Comme vous le savez, je ne suis pas tellement un prédicateur, mais mon don, ce sont des visions. Voyez? C’est ça mon domaine. Par conséquent, je me sens à l’aise pendant que je me tiens ici comme se sentirait un ministre à sa chaire, ou votre monitrice de l’école du dimanche, dans sa leçon.

            Maintenant, madame, ceci est un tableau, une fois de plus comme j’en parlais, Jésus avec la femme au puits. Tous deux inconnus ne se connaissaient pas, et–et Il n’était pas dans Son territoire. Il était loin de Son territoire, Il venait de Nazareth. Et alors, Il était dans un autre territoire. Et il y avait une femme étrangère, et quand Il s’est mis à lui parler, Il lui a parlé, Il lui a parlé jusqu’à ce qu’Il a découvert son problème.

65        Maintenant, rappelez-vous, Il était sur Son chemin vers Jéricho, c’est en ligne directe, de Jérusalem à Jéricho. Mais il Lui fallait passer par la Samarie. La vision lui avait dit d’aller à Samarie; c’est tout ce qu’Il savait faire. Il s’est assis là sur le puits. Et quand la femme est venue, Il a senti que Quelque Chose allait se passer. Alors, Il a parlé à cette femme, Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Et Il a engagé une conversation. Aussitôt qu’Il a découvert ce qu’était le problème de la femme, Il lui en a parlé. Et elle a reconnu que C’était le Fils... que C’était le Messie.

            C’était le signe du Messie à l’époque. La Samaritaine avait reconnu cela; Philippe, le Juif, avait reconnu cela. En tant que Gentil, allez-vous reconnaître cela? Allez-vous reconnaître cela, vous les Gentils, de même que le Juif l’avait fait à l’époque? Le signe du Messie, pas le signe de frère Branham, le signe du Messie.

66        Maintenant, s’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, vous saurez alors si c’est la vérité ou pas, vous le saurez. Voyez? Si ce n’est pas la vérité, vous avez le droit de dire que cet homme est en erreur. Mais si c’est la vérité, alors, rendez témoignage à la puissance de Dieu. Voyez? C’est vrai. Et nous ne nous sommes jamais rencontrés, nous ne nous sommes jamais vus l’un l’autre, nous ne nous connaissons pas, et nous nous tenons juste ici. Maintenant, je crois en Dieu, que Dieu le fera.

            Combien là dans l’assistance...? Y a-t-il quelqu’un qui connaît cette femme? Y a-t-il quelqu’un dans la salle qui connaît cette femme? Oui, il y en a ici qui la connaissent. Très bien. Si le Seigneur révèle à cette femme, qu’elle en soit juge, qu’elle dise si c’est la vérité, combien parmi vous diront: «Je crois que c’est le signe du Messie et de Sa très proche Venue; je veux L’accepter»? Oui, oui, voyez, il n’y a rien dans des coins obscurs; c’est ici même devant tous. J’ai confiance qu’Il le fera.

67        Maintenant, juste vous parler jusqu’à ce que je trouve ce qu’est le problème ou ce qu’Il veut que je vous dise, alors que Dieu soit honoré. Maintenant, j’espère que Dieu le fera pour cette dame: la rétablir, la guérir et lui donner ce qu’elle réclame.

            Premièrement, cette femme souffre. Je la vois parcourir la maison, très nerveuse. Vous êtes extrêmement nerveuse. C’est vrai. Et cela est causé par une maladie gynécologique, le médecin vous a dit que c’est une ptose mammaire. C’est vrai. Et vous avez subi une intervention chirurgicale à cause d’une maladie gynécologique, c’est AINSI DIT L’ESPRIT; c’est la vérité.

            Maintenant, puis-je aider la femme? Non. Croyez-vous? C’est donc terminé. Père céleste, bénis cette chère personne, qu’elle parte maintenant et que ce peu de pouvoir d’achat, comme je venais d’en parler il y a quelques instants, de vingt-cinq cents, puisse-t-elle partir avec cela dans son coeur maintenant. «Le Seigneur Jésus m’a révélé, par des lèvres humaines, exactement ma maladie. Je crois en Lui, et c’est réglé.» Amen. Que Dieu vous l’accorde, soeur.

68        Maintenant, madame, je ne vous connais pas. Je suppose que c’est notre première rencontre. Ça l’est. Il y a des gens dans l’assistance qui prient, vous voyez cela... C’est ce qui fait ça. Ils ont attiré l’attention. Quelque chose est arrivé dans l’auditoire. Maintenant, je parlais simplement à la dame de quelque chose qui est arrivé. Maintenant, si le Seigneur Jésus me révèle ce pour quoi vous êtes ici... En tant qu’homme, je–je ne peux rien faire pour vous. Si vous vouliez de l’argent, je–je pense que j’ai... je–j’ai environ vingt-cinq dollars ou trente cents, je peux vous les donner. Mais je–je–je... Si c’est un problème en famille, je peux simplement prier. Si c’est la maladie, je ne peux pas guérir. Mais toutes ces choses vous sont gratuitement accordées par votre foi en Christ.

            Or, si la dame... Que vous sachiez s’Il s’intéresse à vous ou pas, s’Il me dit pourquoi vous êtes–pourquoi vous êtes ici, me croirez-vous? Puisse-t-Il l’accorder. Je regarde en face une femme que je n’ai jamais vue de ma vie. Mais la femme a connu un accident. Elle est tombée. Ses ligaments se sont relâchés au niveau de la jambe, et c’est à peine qu’elle arrive à marcher. Et les ligaments ne regagnent pas leur place. C’est exactement ce qu’il y a: AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai.

69        Maintenant, croirez-vous si je prie pour vous? Vous croyez que... si... Je ne sais pas ce que j’ai dit. Entendez-vous cette voix-là? Ce n’était pas moi. Comment ai-je su ce qui clochait? Mais ce que je... ce qui a été dit était vrai. C’était Lui utilisant simplement ma voix. «Qu’est-ce?», demanderiez-vous. C’est la façon dont je me suis moi-même soumis à l’Esprit. Et c’est Lui qui parle. C’est juste un don grâce auquel je me soumets moi-même, et votre propre foi opère cela. C’est tout à fait vrai. C’est votre foi qui opère cela.

            Observez ceci, afin que vous connaissiez la gloire de Dieu. Il y a une femme assise ici, assise juste là derrière, la deuxième à partir du bout, juste là derrière. Elle était en train de prier quand cela s’est passé; elle souffre de sinusite. C’est vrai. Et si elle croit Dieu, Dieu la guérira. Croyez-vous cela, madame? De tout votre coeur? Que le Seigneur vous guérira? Si vous croyez cela, vous pouvez avoir ce que vous demandez...?...

            La dame a raté cela, c’est devenu sombre au-dessus d’elle, cela s’est encore déplacé. C’est alors que vous manquez. Pourquoi n’est-elle pas alerte? Pourquoi avez-vous manqué cela? Voilà, Cela va vers une femme costaude, assise au bout, pour montrer la souveraineté de Dieu. La femme là derrière, costaude assise au bout, elle souffre d’une maladie gynécologique, d’une maladie de femme. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Vous en avez souffert, mais vous n’en souffrez plus maintenant; votre foi vous a guérie. Amen.

70        Qu’a-t-elle touché? Elle ne m’a jamais touché. Elle a touché le Souverain Sacrificateur. Maintenant, vous pouvez partir, soeur, vous serez guérie. Je pense que vous l’êtes, de quel côté? Ce côté ici... Peu importe le côté où elle va, observez simplement votre marche maintenant.

            Oh! La souveraineté de Dieu! De ces pierres, Dieu peut susciter des enfants à Abraham. Quand Dieu pose un geste, Il le fera.

            Maintenant, voici une dame, elle m’est totalement inconnue. Je ne connais pas la dame, je ne l’ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Nous sommes inconnus. Nous sommes probablement nés à des kilomètres de distance, avec un décalage d’âges, et voici, nous nous rencontrons. Que le Seigneur soit Juge. Mais si le Seigneur me dit ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous... juste comme eux, allez-vous croire cela, madame? Y a-t-il ici quelqu’un qui connaît cette dame? Levez la main. Très bien, elle doit donc être d’ici. Ils la connaissent. Vous connaissez donc son état. Pas moi. Mais si le Seigneur révèle cela, qu’elle en soit donc juge et vous aussi.

71        Combien savent pourquoi cette dame est ici? Levez les mains là dans l’assistance. Y a-t-il quelqu’un... Oui, très bien, oui, d’accord. Peut-être que certaines de ses soeurs ou quelqu’un. Que le Seigneur l’accorde, soeur.

            La dame est ici parce qu’elle a...elle veut que je prie pour un problème spirituel qu’elle a. C’est vrai. Et autre chose, elle souffre de l’arthrite, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Levez la main. Combien savent que c’est vrai? Très bien. Ça y est.

            Maintenant, vous voyez, plus je parle à la dame, plus il en sera révélé. Voyez? Mais la raison... Vous voyez, j’ai bien une ligne ici, j’aimerais faire passer autant de gens que possible. C’est la raison pour laquelle je ne parle pas beaucoup. Et je suis vraiment épuisé; ceci est censé être le temps des vacances pour moi. Mais comme frère Hutchinson et frère Boze m’ont appelé, j’ai quitté la maison pour venir ici pour un petit moment de communion.

72        Elle semble être une personne aimable, elle a à peu près la taille de ma mère. Eh bien, que nous... que je lui parle encore. Oui, vous avez aussi une grosseur, et vous voulez que je prie pour cela, c’est dans votre flanc. Et voici autre chose, je vois un grand bâtiment d’église, et d’une façon ou d’une autre, je vois frère Hutchinson, et vous vous tenez là, et quelqu’un est en train de prier, c’était moi. J’ai prié pour vous à l’église de frère Hutchinson la dernière fois que j’étais ici. C’était un caillot de sang, vous étiez étendue sur une civière et le Seigneur vous avait guérie, AINSI DIT LE SEIGNEUR. Allez, soeur, c’est terminé maintenant.

            Disons: «Béni soit le Nom du Seigneur!» Croyez-vous maintenant? Sentez-vous ces vingt-cinq cents au fond ici en bas? Pouvez-vous voir que c’est Sa Présence, Sa bonté?

73        Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, jeune fille? Non. Je ne sais rien sur la femme. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Je ne la connais pas. Eh bien, qu’est-ce que cela fait? Eh bien, Jésus, cela Lui est arrivé une fois, la force était sortie de Lui, et moi, je ne suis qu’un pécheur sauvé par la grâce. Alors, pourquoi aurais-je la force de subsister ici plus que Lui l’avait fait? Il se passe plus de choses maintenant même dans cette seule réunion, ici même, que ce qui est pratiquement écrit dans la Bible, sur ce que Jésus avait fait, quand Il était ici sur terre.

            Pourquoi? Pourquoi m’a-t-Il permis de me tenir ici alors que Lui-même s’affaiblissait? Il a dit: «Vous ferez davantage. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, même davantage (davantage de cela), vous en ferez de plus grandes, car Je m’en vais au Père, et Il est Ma force.» Cela accomplit Sa Parole. Voyez, tout est droit en ligne avec la Parole, si c’est Dieu qui fait cela.

74        Maintenant, sur cette petite dame... Si Dieu me décrit, me révèle ce pour quoi vous priez (En fait, vous êtes une chrétienne), et s’Il me dit ce pour quoi vous priez, allez-vous croire? Ce n’est pas pour vous-même; c’est pour quelqu’un d’autre: c’est votre frère, un malade mental. C’est vrai. Ce mouchoir que vous tenez en main, allez le poser sur lui. Remerciez-Le et croyez de tout votre coeur. Que Dieu vous accorde votre...?... le Seigneur guérisse le...

            Croyez-vous? Avez-vous foi en Dieu? Maintenant, si tu peux croire. Eh bien, ces visions, évidemment elles m’affaiblissent. Il y a de la sueur dans les mains et...?... vous pouvez dire. Voyez? C’est une faiblesse. Voyez? Ce n’est pas juste dans cette petite réunion, soirée après soirée, année après année.

75        Mais, soeur, à ce que je sache, nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je–je ne vous connais pas. Dieu vous connaît certes. Eh bien, si nous sommes inconnus l’un à l’autre, alors l’assistance verra; levez la main, ainsi...?... Ils le sauront. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Eh bien, nous sommes–nous sommes chrétiens ici, et voici la Bible de Dieu, et nos mains sont levées. Voyez? Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Eh bien, ceci devait régler la question. Vous dans la ligne, regardez par ici. Vous partout, regardez et croyez.

            Eh bien, si Christ a promis ces choses, Christ doit les accomplir. S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors, Il est le même quant à la puissance, est-ce vrai? Il est le même dans les actes. Est-ce vrai? Il est le même dans les motifs; Il est le même dans les objectifs; Il est le même quant à la miséricorde, Il est le même dans les attitudes, Il est le même.

76        Croyez-vous cela, madame assise là, la petite dame ici sur le siège de devant? Très bien, vous tenez une carte en main, mais vous n’êtes pas dans la ligne. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu, ou serviteur? Vous croyez cela. Si Dieu me révèle votre problème, allez-vous accepter cela et croire pour votre guérison? Vous paraissez si heureuse à ce sujet. Eh bien, vous Lui demandez simplement dans votre coeur qu’Il me fasse voir.

            Oui, madame, vous voulez que je prie pour une maladie qui vous affecte les yeux et la tête. Si c’est vrai, levez la main. Très bien, vous avez cela maintenant. Allez simplement de l’avant dans votre rangée, jetez votre carte, et vous pouvez partir recevoir ce que vous demandez.

            Je défie votre foi, là dans l’assistance, de croire cela. Croyez-vous tous...?... tous deux, des jeunes hommes.

77        Une femme, juste en ce moment-ci, elle souffre là, une dame de couleur, elle a quelque chose dans ses–dans ses yeux aussi, elle veut qu’on prie pour elle. Elle a aussi quelque chose qui cloche à la poitrine. C’est vrai. Croyez-vous que je suis proph-... ou serviteur de Dieu? Croyez-vous cela? Croyez-vous que vous avez votre guérison maintenant? Cora, croyez-vous réellement cela? Mademoiselle Cora Smith, c’est là votre nom; oui, oui. D’accord. Partez donc, votre foi vous a sauvée. Amen.

            Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur? Cela a ravi cette petite dame assise ici. Devez-vous entrer dans la ligne de prière? Est-ce une patiente? Vous souffrez horriblement. Vous souffrez de l’arthrite. Vous souffrez des maux de tête. Vous souffrez des hémorroïdes. Vous avez une tumeur de l’estomac. C’est vrai. Faites demi-tour et quittez l’estrade, rentrez chez vous, bien portante. Christ vous rétablit.

            «Si tu peux croire, tout est possible, si tu peux croire.» Croyez-vous, L’acceptez-vous comme votre Guérisseur, votre Sauveur?

78        Maintenant, à cette personne ici debout. Maintenant, soyons vraiment respectueux. Je n’avais pas l’intention d’entendre, je dois suivre l’Esprit (Voyez?), c’est un... Vous voyez Sa photo. Combien ont déjà vu la photo de l’Ange, cette Lumière-là? Je... N’avez-vous pas Cela ici? Quelques-uns en ont. Gene, avez-vous cela ici? Je ne sais pas si vous avez des photos ou pas. Y en a-t-il?

            C’était confirmé par le FBI, le service des empreintes digitales et des documents douteux; ça y est, la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Elle est à Washington, D.C., comme l’unique Etre surnaturel qui ait jamais été photographié. En Allemagne, on l’a photographié trois fois, en Allemagne, avec leur appareil photo l’année dernière, pendant qu’Elle descendait, pendant qu’Elle exerçait le discernement et pendant qu’Elle retournait. Et George J. Lacy, le responsable du département de FBI chargé des empreintes digitales et des documents douteux, a examiné cela. Voici son rapport là-dessus. Voyez? C’est le... Ce même Ange n’est pas à deux pieds [60 cm] de là où je me tiens maintenant même. Qu’est-ce? C’est la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël.

79        Combien savent que Jésus était devenu la Colonne de Feu quand Il avait quitté la terre? Combien savent cela? Quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Je viens de Dieu, je vais à Dieu.» Quand Il était... Combien savent que C’était Jésus, le Logos, le–l’Ange de l’alliance, le Christ qui avait conduit les enfants d’Israël dans le désert? Il était la Colonne de Feu. Il était le Rocher. Il... Voyez? Ensuite, Il est retourné à Dieu.

            Et quand Paul l’a rencontré sur le chemin de Damas, Il était toujours cette Colonne de Feu, qui a même crevé les yeux à Paul. Et Il a dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-Tu?»

            Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

            Il a dit: «Je suis Jésus que Tu persécutes.»

            Qui était Celui qui était entré dans la prison et avait fait sortir Pierre, cette Lumière-là cette nuit-là? L’Ange du Seigneur avait simplement ouvert les portes et Pierre était sorti de la prison. Et Cela est ici après mille neuf cents ans, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ses oeuvres prouvent qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Sa photo, Sa Lumière...

            Que dites-vous? Pourquoi ne vois-je pas Cela, Frère Branham? Les gens qui étaient avec Paul n’avaient pas vu Cela. C’est juste si... Si seulement vous laissez–vous laissez Dieu oindre vos yeux, ils s’ouvriront. Maintenant, parlons à la dame.

80        Madame, si le Seigneur Jésus révèle ce qu’est votre problème, allez-vous croire cela? Croirez-vous cela? Maintenant, je ne vous connais pas, et je ne vous ai jamais vue. Mais Dieu vous connaît certes. Vous souffrez d’un saignement, d’un ulcère saignant. C’est vrai. Je vois du sang alors que cette Lumière se meut au-dessus de vous, je vois du sang couler, un ulcère saignant. Croyez-vous que Jésus vous rétablira?

            Maintenant, vous tous là dans l’assistance, croyez-vous? Maintenant, si je disais, si le Seigneur me révèle quelque chose d’autre au sujet de la femme, juste comme Il l’a fait il y a quelques minutes, combien ici vont...?... et croire en Lui même ici dans la ligne, qui vont croire que la foi est ancrée dans votre coeur et que tout votre groupe peut être guéri en cette minute même? Croyez-vous cela, que le Seigneur le fera?

81        Le Seigneur sait que je ne connais pas cette femme. Elle sait que je ne la connais pas. Mais, voyez, nous pouvons continuer avec ceci ici, il va être vingt-trois heures, et nous pouvons bien continuer. Voyez? Mais que ceci vous convainque. Oh! C’est... Je prie Dieu que vous compreniez ceci, que c’est Christ qui frappe à votre porte pour entrer, afin que vous puissiez Lui parler et Lui dire ce que vous pouvez...

            Regardez les gens là dans l’assistance maintenant, sans cartes de prière, qui ne pourraient pas être ici à l’estrade. Comment ils...?... et le Seigneur entre directement et se met à souper. Il se met à parler: «Tu as ceci, cela ou autre, ce que c’est.» Voyez-vous?

82        Maintenant, je ne sais pas ce qu’Il a dit que c’était son problème. Je ne me rappelle pas cela maintenant même. Le saignement, c’est vrai, l’ulcère saignant. Maintenant, parlons juste quelques instants et voyons. Vous êtes–vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose, une sensation vous envahit, très douce, humble, une sensation douce. N’est-ce pas vrai? Tout, entre vous et moi, il y a cette Lumière qui se meut. Vous avez autre chose à coeur pour laquelle vous voulez qu’on prie pour vous. Et c’est votre mari, un homme. Il souffre de quelque chose qui cloche dans ses jambes. Il a été écrasé par un véhicule, sur les jambes, et c’est un coiffeur. C’est tout à fait vrai. Maintenant, c’est terminé, allez maintenant, remerciant Dieu pour sa guérison.

83        Croyez-vous? Maintenant, combien parmi vous disent cela dans leur coeur: «Maintenant même, Seigneur béni, j’ai le pouvoir d’achat de ma guérison.» Levez la main. «J’ai le pouvoir d’achat de ma guérison.» Croyez-vous cela? Tenez, vous pour qui on doit prier, Il connaît votre maladie; avez-vous le pouvoir d’achat de votre guérison? Alors, levons les mains vers Lui, ceux qui le peuvent, comme ceci. Maintenant, soyez vraiment respectueux. Maintenant, répétez cette prière après moi.

            Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, je Te remercie maintenant de m’avoir ouvert l’entendement. Je crois maintenant cela dans mon coeur, je suis complètement convaincu que Jésus-Christ, Ton Fils, est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je L’accepte maintenant comme mon Guérisseur. J’ouvre mon coeur. J’ouvre la porte de la foi. Je T’abandonne toute ma foi. Sois le Seigneur de ma foi. Je Te reçois maintenant.

84        Maintenant, avec vos têtes inclinées, c’était donc votre prière. Maintenant, restez simplement enfermé avec Dieu, restez très calme. Oh! Frère Hutchinson, au-dessus de cette assistance, cette Lumière émeraude verdâtre, oh! quelle confession ça représente pour l’assistance! Assurément, vous pouvez comprendre, je ne suis pas un fanatique. Je suis votre frère. Le Seigneur Jésus est ici avec une grande puissance, et Sa Présence est ici pour vous guérir absolument. Maintenant, restez donc enfermés et croyez. Croyez que cette Semence est en train de pénétrer droit dans votre âme maintenant, droit dans votre coeur. Et pendant que vous croyez ces choses, étant enfermé avec Lui, je vais prier pour vous. Et il n’y a qu’une seule chose qui puisse vous empêcher de recevoir votre guérison, c’est cette petite ombre de ténèbres, juste un peu deviner, juste un peu d’incrédulité à côté de vous. Je vais prier que Dieu enlève cela et que, par une glorieuse explosion de foi, tout le monde soit guéri.

85        Seigneur Jésus, Toi qui entends les confessions, Tu as entendu ces gens, ce qu’ils ont dit. Viens; Tu T’es manifesté. Et ils sont assis ici avec leurs mains en l’air, leurs têtes tournées vers la poussière de la terre d’où Tu les as tirés. Ils étaient malades dans leurs corps. Satan les avait aveuglés. Mais ce soir, il est vaincu.

            Ô Satan, tu n’es qu’un bluffeur, et tu es exposé. Tu as été vaincu au Calvaire par notre Seigneur Jésus. Et nous prenons position en tant que chrétiens, victorieux ce soir, grâce à Sa souffrance suffisante, Sa mort à notre place, Sa glorieuse résurrection. Et nous t’adjurons, par le Dieu vivant, par Jésus-Christ, de quitter ces gens, chacun d’eux. Sors d’eux, au Nom de Jésus-Christ. Pars. Et que chacun d’eux soit guéri pour la gloire de Dieu.

E-1 Let us just remain standing for a moment for a word of prayer, if you will. Let's bow our heads.
Our heavenly Father, we're grateful to Thee for the privilege that we have of coming to Thee in the way of prayer. Because we've been bid to come this a way, we have this assurance that God hears, because He promised through His Son that if we asked You anything in His Name, it would be granted.
We pray that You'll save the lost tonight, that's gathered out, comfort the heart of everyone who's come to hear it, with Thy message. And we pray that You'll heal all the sick that's in Divine Presence. And those across the nation who's requesting prayer, who is desired to be here, if they could. We pray that You'll get glory from our efforts. We ask in Jesus' Name. Amen.
You may be seated.

E-2 I am happy to be back again tonight into the service of our Lord and Saviour, Jesus Christ. And I am trusting tonight, that His--His Presence will bless us all. I was happy to see my good friend Brother Gardener here from down at the--in the--the state of New York. And we've had much fellowship together. And I can't pronounce that name just right, Binghampton, Bingham, Binghampton. We had a wonderful meeting down there some time ago, and we always remembered them wonderful times of fellowship that we had with those dear people there in New York.

E-3 The lights are a little poor [Blank.spot.on.tape--Ed.]... read tonight from the 12th, or the 3rd chapter of the book of Revelations for a reading and pray that God will give us a context from this:
And unto the angel of the church of Laodicea write; These things saith the Amen, the faithful and true witness, the beginning of the creation of God;
I know thy works... thou art neither cold nor hot: I would that thou wert cold or hot.
So then because thou art lukewarm... neither cold nor hot, I will spue thee out of my mouth.
Because thou sayest, I am rich, and increased with goods, and have need of nothing; and knowest not that thou art wretched, and miserable, and poor, and blind, and naked:
I counsel thee to buy of Me gold tried in the fire, that thou mayest be rich; and white raiment, that thou mayest be clothed, and that thy shame of thy nakedness do not appear; and anoint thine eyes with eyesalve, that thou mayest see.
As many as I love, I rebuke and chasten: be zealous therefore, and repent.
Behold, I stand at the door, and knock: if any man hear My voice, and open the door, I will come in to him, and will sup with him, and he with me.
I wish to take the subject for the evening, "The Door Of The Door." And may the Lord give us the contents of the text. It is such a striking text for this time to read. This was our Lord Jesus speaking to John on the Isle of Patmos, two thousand years ago, and described exactly the condition of the church in this day. How that it would be neither cold nor hot, just lukewarm. And God does not like His church to be lukewarm. He said, "Either be cold or be hot. And because that you're just lukewarm, I will spue thee from My mouth."

E-4 Now, that certainly fits the situation today, of the modern a--church today, and the Pentecostal church today: just a lukewarm condition, neither hot nor cold. It would be better if we would be either back in their old denominational state, status, or either be up in the realms of the blessings of God, than to sit in a lukewarm condition as we are now. The Lord would appreciate us much more if we would do it.

E-5 And how today, you notice in there, the condition of the church, that they were in this condition, and didn't know it. Could you imagine a man on the street that's naked, miserable, blind, wretched, and don't know it. That's the sad part. If he knew it, he would better himself. But if he doesn't know it, how can the poor fellow better hisself (See?), because he doesn't know it?
And Jesus likened the Pentecostal church in these last days, just like that. Thou art naked, miserable, blind, wretched, and don't know it. Now, when He was speaking directly to the remnant of each of those--those--those churches... And the Laodicean church age, is the last church age, we know that, and we're in it now, the Laodicean church age. And it's in the Laodicean condition.

E-6 Now, you notice, that He also give a invitation and said, "Be zealous, for those I love I chasten." And that is a little scourge, and correct, and--and whip, and He said, "Be zealous, and repent." Now, He's not speaking to sinners, He's speaking to the church. Be zealous of Him, and repent from our lukewarm condition that we're in today.
Now, we notice, He said, "I stand at the door and knock." What is a person knocking at the door for? He's trying to gain the entrance. He has something that He wants to speak to you about.

E-7 Down through the age many men has knocked at the door; great man has knocked at the doors of people. For instance, in the days of the great Caesar, what a--a privilege it would've been to one of his subjects, a poor peasant, for the great Caesar Augustus to come down and knock at his door. Think of what an honor that would be to a--to a peasant. When the Caesar, the great emperor of Rome, came to his door and knocked, trying to gain entrance to his home to speak with him for some reason.
How would it been a few years ago in Germany, when the great fuhrer of Germany, Adolf Hitler. What if he were to come to the door of one of his soldiers and would've knocked at the door? Wouldn't that not been an honor for the great Hitler in his days of his fame in Germany to come to the door of the modern, poor, German soldier, and knock on his door to have a council with him? What makes it so important is the importancy of the person at the door. That's what makes it so great.

E-8 Tonight, where in this city of Newark, there is not a good democrat in this city, but what would be honored if our President Dwight Eisenhower would come to his door and knock tonight. Though he different with him in politics, it would be an honor because of the importance of the President of the United States knocking at his door. Though he differed with him, it would be an important thing for him to do so.
Just recently, we had a visitor from England, the Queen, she visit Canada, and then came to the United States of America for a visit. And while she was visiting here, what if she would've come to your door and knocked? Just think what an honor that would be for any person here tonight, to have the Queen of England, though you're not her subject, yet because she is an important woman; and if she would've come to your door and would've knocked, you would've counted it a great honor. Because she's the Queen; she's an important person. And to pay a visit to people like common people like we are, what an honor it would've been because of her great importance.

E-9 But oh, there has never been a knock on the door like there is when Jesus Christ, God's Son, knocks at the human heart. If the Queen should knock at your heart, your door, of your home, you would open the door, say, "Come in. I am honored to have you. Take anything that's in my house. I'll give you anything that you desire as a souvenir. Or anything that I might do to show my respect of you coming to my home, I'd gladly do it."
The German soldier would've likewise, no doubt, fallen prostrate on his face and said, "Great fuhrer, enter into my house, and anything that I have in my possession is yours, because you are the fuhrer of Germany." Or you are the Queen of England... Or you are the President of the United States, one of the highest honored men in the nation... President Dwight Eisenhower, you would give him anything that he desired in your house. And if you would not open up your house completely, he would not feel welcome.

E-10 But Jesus can stand and knock, there's no one as important as the King of kings, to humble Himself to come to a low, degraded, sinful heart and knock at that heart to try to gain entrance into that heart. And we in return, turn Him away. Oh, you say, "But Brother Branham, I opened my heart to the Lord Jesus long ago. He came into my heart years ago." But I'm speaking now to the Church. But when He comes into your heart, is He welcome?
You know, in the heart there's many little doors, like there is in your house. If the President come to your house, and you said, "Now, Mr. President, you may set here at the door. But don't you go in that room or this room. I don't want you in there." He would not be welcome.
And if any man that I think enough of to open the door of my house to let him in, he's my guest, and he's welcome to anything there is in my house. If I come to your house and didn't feel that welcome, I would not feel like I was welcome at all.

E-11 But Jesus comes inside the door of the Christian's heart, but we've got little apartments in our heart that He cannot come in. Oh, you say, "I'm willing for Him to be my Saviour. I don't want to go to hell, but I want to be saved. Jesus, You can be my Saviour."
But He wants to be more than your Saviour, He wants to be your Lord. Lord is ownership, ruler. That's why the Church gets in its lukewarm condition. It accepts Christ as Saviour, but not as Lord. Christ wants to be the Lord of your being, to rule and to guide you. That's why He knocks at the heart, to come in for that purpose, is to be your spiritual Guide, and to be the ruler of your welfare.
But in our hearts we have many little apartments. I wish to speak now on some of these little apartments. One of them is a little closet over on one side that many people who call themselves Christian, yet they would not dare to let Jesus in that little compartment, because it's the apartment of selfishness. Now, you notice among so called Christians, you're right, selfish motives. "Oh, it's all right, if it's for me and my denomination, it's all right. But if my denomination has nothing to do with it, then I don't want anything to do with it." That's a little apartment of selfishness that all Christians ought to open the door and say, "Come in, Lord Jesus, and be Lord of my heart."

E-12 Then there is the little compartment in the heart called indifferent. Oh, what a condition that thing gets into. A little indifferent. You love to be just a little indifferent towards others. You want your own way. You'd be willing to let Jesus in, but you want to continue to live in the same place that you always lived. You don't want to get away from your old associates. You just won't give them up. You think they're nice people, and you just don't want to give them up. So you want to be a little different. That's another bad apartment in the heart.
Then there's another little door called jealousy. I don't know whether you yankees know anything about it or not, but down south you have a lot of that. Oh, just a little inferior to the other man. Just a little better than the other church. If the Joneses paint their steps red, you got to have yours red. Oh, what a horrible spirit to be in a Christian. Why don't you let Christ come in and make Him Lord over that little spirit room of selfishness and indifference. Let Him gain the entrance to your heart and to everything that's in your heart. Just surrender your whole being to Him. Let Him be God and ruler of your entire being.

E-13 There's another little apartment that I'd like to speak on. And that is the apartment in there that's called faith. So many people wants to accept Christ as their Saviour, but they say, "The days of miracles is past." So they don't want to believe that the days of miracles are now. Christ can't get into that heart. If Christ could gain entrance to the heart tonight, of every person here, there would not be a feeble person among us in ten minutes. The faith is in you, but you're afraid to open up the door and let Him be Lord of that faith. You try to sympathize with a part of the Bible, say, "Some of it is right, but the other is not inspired."
What causes that, is perhaps maybe, some person not knowing any different, taught you that. All of God's Word is inspired. And if we'll open up our heart, and open up our door in our little room of faith, Christ come in and be Lord, He will show great and mighty works and signs, if He could only gain entrance to that heart of faith.

E-14 "Oh," you say, "I believe it to be that all these things passed with the apostles." See, you keep the door closed. Christ will come into the midst of the people and do signs and wonders on people. And they let that little compartment stay shut. "Oh, it might be all right for her, but for me, my case is different." There is no difference with Christ. He's no respect of person, none at all. Cancer or a toothache, it matters not with Him, if He can be Lord over the matter. You just don't open up that heart to let Him in that faith door, so He can be Ruler.
Now, they cast down reason. When you let Christ into the compartment of your heart as faith, then reasons die out.

E-15 Just recently, we had a--they had a great meeting here of the famous Billy Graham. When Billy Graham was in Louisville, I was at his breakfast. A great servant of the Lord, and he held up the Bible at the breakfast, he said, "This is the Example." He said, "When Saint Paul went somewhere and had a convert," Said, "the next year he went back and had fifty out of that one." But said, "I go and have twenty thousand in a city, and in a years time there's scarcely twenty."
Oh, how I wanted to say something. I just longed to say it. "Billy, what's the matter? They have an intellectual conception of Christ and never open up the heart and let Him be Lord."

E-16 If a man... And don't think that just applies to Baptist; that's the Pentecostals, and the Full Gospel also. You accept Him as some sign, or some wonder, or some emotion, or some evidence. The evidence that Christ is in the heart, bears the fruit of the Spirit: faith, love, joy, peace, long-suffering, gentleness, patience, that's the fruit of the Spirit. But we have confused it with other things: Divine healing gift, speaking with tongues, or oil in the hands, or blood in the face, or some little sensation. We've confused the real Spirit of God with that, and accepted something bogus, instead of the Person Christ, in the heart.
You see what a condition the church, the Full Gospel church has got into? It's the Laodicean age to bring to pass the very Word that our blessed Saviour spoke there in the Bible: lukewarm, dance by the music, shout and clap hands. Oh, them things are all right, but if Christ isn't there, when the hand clapping's over, when the speaking with tongues are over, when the healing service is over, when the music stops, if that deep settled peace, them doors of faith standing wide open to let Him be Lord over the situation, it doesn't do us any good to play the music, or clap our hands, or speak in tongues, or have a healing service. That's right.

E-17 We let Him so far, "But now, Lord, You stay back there, You might have done that to the--to--to Brother So-and-so, or to Sister So-and-so, or to their child, but my case is different." It isn't different; you're the one that's making the difference by keeping Him out of your faith door. You see what I mean? He wants inside there, so He just push open the door and expose all your unbelief, and become Lord of the situation.
The doctor says, "You can't get well." You take his word.
Christ says, "By His stripes you were healed." See, you close the door on Him. "He was wounded for our transgressions; with His stripes we were healed." The Bible says that. But some times you let the doctor push the door in your face.
Not only the doctor won't do it so much, as the pastor will many times. "Oh, those things are fanaticism. If our church would have... If something like that, the Lord had given, it would be in our church." Oh, you and your church. I think it makes the Lord sick at His stomach.
He said, "He would spew them from His mouth." It's time that America woke up. The age of revival is about finished in this land. That is true.

E-18 The Lord Jesus in His... To fulfill His Word, He must keep His Word. I've often wondered, when they would see His Word manifested, what do they do about it? "Oh, well," some says, "It's a telepathy." The other says, "It's some wild imagination." Examine it by the Word. God's Word promised it. And heavens and earth shall pass away, but My Word shall never fail. Open up the door of faith.
Jesus when on the earth, He knew that that Scripture pertained to Him, when He said, "You destroy this body, I'll raise it up in three days."
The prophet had already said, "I will not suffer My Holy One to see corruption, neither will I leave His soul in hell." He knew that Scripture pertained to Him, for He was the Messiah, and He knew it. His unfailing faith put Him in position to know that He was the perfect born Son of God.
If your faith will put you in position to know that every Divine promise of God's Bible is for you. Just as sure as that pertained to Him, every promise pertains to you. You're healing, the salvation, your freedom from sin, and from selfishness, and from your indifference, and your little turtle shell that you pull yourself into... Christ wants to come in and be Lord and Ruler and to set you free from these things. But we won't do it. It's to fulfill the Scriptures that they would be lukewarm, and they are.

E-19 Now, notice, this is not personally to anyone, just as the Holy Spirit will point it to you. But notice, now, it's just the Word. The people today, they don't want to open up their heart to those things, they don't want to believe it. Oh, they try to apply somewhere else or to somebody else, knowing not, that it's to you.
You say, "Well, now, wait a minute, Brother Branham, I spoke in tongues ten years ago." That was very fine. But what is Christ to you today? Are you still seeing His marvelous powers? Does He still bring the same thrill, does something go through you when you see His mighty hand begin to move and sinners be converted. Does it bring you to all night prayer? Does it bring you to fasting? Does it send you to the altar quickly to work with someone, to instruct them how to come through to the Holy Spirit? Does it warm your heart to go into the neighborhood and seek out the lost? Do you speak to the milkman, to the meter-man, to the man on the street? Those things they going to accompany that experience that you received long ago. Something's happened. You pushed Him out the door. God wants the heart.

E-20 Then there is another door. Oh, there is many that we could speak of, but because of time. There's another one that I want to speak on just for a few moments, and that's the door of the eye. "Oh," you say, "I got good sight, Brother Branham." You may physically have very good eyes and spiritually completely blind. That's right.
Now, you don't see with your eyes anyhow. Jesus said unto Nicodemus, the great ruler, "Verily, verily, I say unto you, Except a man be borned again, he cannot see the Kingdom of God."
The word "see" by the right translation, is "understand." You see something before you, you say, "I just can't see it." You mean you can't understand it.
Jesus said, "Come, and buy from Me, some eye salve, that I might put on your eyes, and your eyes might be opened, and you could see. For you're blind, and you're naked, and you're miserable and wretched, and poor."
The churches has got the biggest buildings they've ever had, the best polished scholars, I guess, that's walked into the pulpit, they have it now. But yet, the church is weaker as it ever was; it's growing weaker all the time.

E-21 Notice, "Buy of Me some eye salve, that I might put the eye salve on your eyes." When I was a little boy born down in the southern state of Kentucky. I don't guess many of you was ever down there. We were real poor. And we seen the little babies when they would get a--a wake up of a morning, and would have some kind, mama used to call it matter, in your eyes. And the little eyes would be stuck together. And mama would go out and get some coon grease out of the old kettle, where grandpa had been trapping coon, and rendering out the grease, and put it on our eyes and soften up those little matters that stuck our eyelids together. It become that way while we were asleep. And that's what's the matter with the Full Gospel Church tonight: asleep on the job. And it'll take more than coon grease to open your eyes, it'll take the oil of the Holy Spirit to open the eyes of the Church, that they might see again. Open your eyes...

E-22 It alarms me, as I cross through the nation, and especially in America, and see great signs that the Holy Spirit will do, and great wonders that He will perform, and the people set as though nothing had happened. They just don't see it. Oh, I'm praying for a revival in America. And I'm wondering sometimes if it won't--if I'm not praying in vain. I hope not.
Today I met with some men from your New England States, and if the Lord willing, the complete month of May is going to be a revival in here, if the Lord permits. We're coming here for a one solid month in May, for a month's revival. Want to try with all that's in me, if God will permit, to try to bring God's eye salve, that the people might be anointed and their eyes be opened.

E-23 Oh, California and them's had their meetings, but you people have been neglected, I feel, upon the east side here. They don't come, because there's not much money, and so forth, but we don't need money. What we need is God, and the door of our hearts open. And these New England States has been neglected, the little mountain countries and throughout here, there hasn't been a great display. They all seem to go to California, the preacher's graveyard, and there stay, Get indocumated out there with some of those fantastics, and away they go.
But, oh, I pray, God, shake this New England country again. And I'll say this in respect of the Gospel, and of the Lord Jesus: If this nation ever has a revival, it'll never have it upon intellectual theology. It'll take the real true, genuine, Holy Spirit power and manifestations to shake the people, until they'll long to see the glory of God. We need it so badly. And it's so badly needed here.

E-24 As I go through the cities of these great eastern countries and see, as everywhere, sin on every side... But God has eye salve, "Those that I love, I chasten and rebuke those; and be zealous and repent."
Now, I have wondered, when in the teaching, the Holy Spirit taking the Bible, Who wrote the Bible, Who gave the promises, that Jesus said, "The things that I do shall you also..." And then He will turn right back around, after explaining it Word by Word, page by page, Scripture by Scripture; and the Holy Spirit will turn right around and perform everything that He promised to do; and Full Gospel people will set as though nothing happened. We need to open our eyes and see the day and the hour that we are living in. What's the matter? You become common, it becomes a common thing to you.

E-25 Here some time ago, if you'd only notice, as I was going to say, crossing the country, seeing the goodness of God, how good He is to us, and how indifferent we treat Him. If I knocked at your door, and you didn't come out and let me in, but just peeped out the trellis, and looked, and said, "Oh, that's Preacher Branham, go on back out, I'll let him some other time." You'll have an awful time getting me back again.
And if I come to your door, or you come to mine, and I treated you that way, it would be likewise, but not our blessed Lord. He's so good. "I stand and knock, continuation. He that knocketh, not just pecking around, but knocketh, continually."

E-26 The great artist, I can't call his name now, who painted the famous picture of Jesus knocking at the door. I think he was a Greek. And when he met... Years of painting, studying... Every famous picture has to first go the hall of critics before it can go in the hall of fame. That is men who know how to criticize. And when one of the critics of the picture came to the painter, he said, "There is one thing you lack on your picture."
And he said, "What is it?
He said, "You have a door with no latch on it."
"Oh," the painter said, "the latch is on the inside."
Now, that's the way it is, you have the latch on the inside. And Christ cannot open your heart, being out of it, neither can He go in the closet when you've got yourself shut up in there. You've got the latch in your own power. But He's goodness to stand and knock...

E-27 Sometime ago, down in my southland, there was an old minister friend, and he was a wonderful old brother. And they had a colored brother there, a colored man, rather, and his name was Gabriel. And we all called him Gabe. He was a good old fellow, but we just couldn't keep him lined up with the church. He would just--wouldn't go to church. And we'd say, "Gabe, why don't you come on to church?"
"Oh, I's will someday."

E-28 And one day he and the minister went hunting. Now, old Gabe was a very poor shot; he couldn't hit nothing. But they went hunting that day, and they hunted all day long. And when they come in that evening, they were so loaded with game, till they--either could hardly walk. They had rabbits, and duck, and birds all over them, till where they couldn't hardly walk. And old Gabe was so loaded, till he was back behind the pastor, could hardly pack his gun. And while they were making the way down an old familiar pathway, old Gabe walked up and tapped him on the shoulder; and as the pastor looked around, there was tears in the old darky's eyes, and he said to him, "What's the matter, Gabe?"
He said, "Parson, Sunday morning, that's tomorrow, you're going to find me at the mourners bench, and I intend to take my place in the church until death sets me free."
The Pastor said, "I am so glad to hear that, Gabe. But's there's one thing I want to ask you Gabe: Why the sudden change? Why, you--you've changed all of a sudden."
He said, "Parson, you know I's a very poor shot. I can't hit nothing. But just look at the game that I have." Said, "I was just walking along here thinking: 'He surely must love me or He wouldn't have give it to me.'"

E-29 If you would only to a place that the Holy Spirit could open your eyes to God's goodness to you, it would bring repentance, if you could only get your eyes open. But it's become a common thing.
One time a man was going to the seashore for a little rest. And he wanted to smell the freshness of the saltwater; he wanted to hear the wild scream of the sea gulls. He wanted to watch the great waves, as the salty water burst up into great big waves and splash, to roll back to splash again. Oh, he was so thrilled to know that he would be down by the seashore. He longed to see and to enjoy the presence of the sea.

E-30 On his road down, he met an old salt (a salt is an old sailor), and he said, "Where are you going?"
He said, "Down to the seashore to enjoy the blessings of the roaring of the sea, to see the waves as they jump, and to hear the gulls."
He said, "They're just birds. That's just saltwater. I don't see anything to be thrilled about it." What was the matter? He had seen it so much, until it become so common to him, till he didn't notice it anymore.

E-31 And God's goodness to you people, has become so common till you don't enjoy it anymore like you used to. Oh, if God would open our eyes and give us a desire to do something for Him. Second night in revival, a hundred and fifty people in the audience.
Do you know, I wonder, what could happen if our eyes could see what our Lord did last night, to see what He will do any night. Each Christian soul should be so zealous and so full of fire of God, his eyes open to see the coming of the Lord; for these are signs and milepost of His soon appearing. And we see it. And the Gentile world is just about at the end. And we see those things, and we yawn, pat our mouth, and go to sleep, and, "Why did he preach so long?"
And the Lord comes down and performs things like He said He would.

E-32 When He stood and talk to the woman at the well of Samaria. And there she was standing there, and He said, "Go, get your husband and come here."
She said, "I have none."
Said, "That's right; you have five; and the one you have now is not your husband."
Look how quickly her eyes come open. She said, "Sir, I perceive that You are a prophet. Now, we know that when the Messiah cometh... (See that longing, waiting, looking?) We know, we Samaritans know, that when the Messiah cometh, He will tell us these things; He will do these signs. You must be His prophet."
Jesus Said, "I'm He that speaks to you."
Full of zeal, her eyes opened. She left the water pot at Jacob's well and into the city she went, alarming the message, "Come, see a Man Who told me the things that I have done, isn't that the very Messiah?"
But we--we say, "Well, well, it could be mental telepathy, I don't understand it all, so I guess it'll come out all right." Oh, my.

E-33 Look at the Jew, when Philip was so full of zeal, his eyes opened, that he was in the Presence of Messiah. He had to find his friend. And he walked thirty miles around the mountain, and he found him under a tree, praying. And he said, "Come, and see Who we found. We have found something." Oh, he wanted everyone to know, every friend he had and everything to know of it. "Come, see what I found, Jesus of Nazareth, the Son of Joseph. It's the Messiah that we've waited on." And this--he never got a very warm reception, but that didn't bother him a bit.
"Oh," he said, "Could there be any good thing come out of Nazareth?"
He said, "Now, you come and go with me and find out for yourself. You just come and see for yourself."

E-34 And when he got in the Presence of the Lord Jesus in the prayer line, or in the audience, wherever it was, his eyes were still closed, he was just coming on account of somebody invited him. Now, here was a Jew, let's see what he will say.
Jesus never healed his crippled leg, neither did He go to speaking with some language to him, that he knowed not. But He looked at him and said, "Behold, an Israelite in whom there's no guile."
Quickly, the oil went to soaking over the night...?... He begin to look and he said, "Rabbi, when did You know me? How do You know who I am?"
And He said, "Before Philip called you, when you were under the tree, I saw you."
Then his eyes flew all the way open, he said, "Thou art the Son of God, Thou art the King of Israel."

E-35 Well, there was people there who were asleep. There was Dr. PH.D. double L.D. Jones. There's a Rabbi Levinski, and all of those standing there, and the celebrity, and they said, "This is spiritualism; it is the devil; He's Beelzebub, the great fortuneteller."
Jesus turned and said to him, "Because I told you that, you believe it?"
"Yea, Lord."
"Then you'll see greater things than this, because your eyes are opened."
"But to you that's asleep, you great doctors of divinity that's asleep, you church members who are satisfied in the condition you're in, because you're asleep, I will forgive you for saying about Me. But there's coming a time when the Holy Ghost will do the same thing, you speak one word against It, it'll never be forgive you in this world or the world to come."

E-36 And we see it happen, and we set as though nothing taken place. "Though I stand at the heart and knock, if any man would hear My voice and open, I'll come in."
Will you let Him in? Open and make Him your Lord over your entire being. "Take my selfishness, Lord; be Lord there. Take my indifference; be Lord there. Take my jealousy; be Lord there. Take my pride; be Lord there. Take my faith; be Lord there. Take my eyes; be Lord there. Take my hands; be Lord there. Take my ears; be Lord there. Take my feet; be Lord there. Be the Lord of my being, of my soul, body, and spirit. Lead me and guide me, oh, Lord, and open my eyes that I might see." That be our prayer, while we wait on Him just a moment, with our heads bowed.

E-37 I'm wondering, in the Presence of His Being, my time is passed. But I just wonder, if there would be a person here, that would feel enough convicted, even though a church member, that Christ has been your Saviour, but not your Lord. Would you raise your hands to Him and say, "Lord, be merciful." God bless you, sir. God bless you, lady. Lord bless you, you, my brother, you sister, you brother, the Lord bless you.
You said, "Does that mean anything for me to raise my hand?" Oh, dear friends, you break all the laws of gravitation. God bless you sister. What does it do? Gravitation proves that your hands must hang down, but there's a spirit in you that's made a decision, that you're wrong. Something that stood by you convinced you you're wrong, so you defy the laws of gravitation, because a spirit in you. God bless you, brother, here.
The spirit in you says, "You are wrong, raise your hands to your Creator." And your hand slips up, subconsciously. God sees it, certainly, He does.

E-38 Is there one here who has never accepted Christ as your Saviour, but say, "This hour, Brother Branham, before I even see any manifestations of His Being... "? Just faith cometh by hearing, and the hearing of the Word. "I want Him to be my Saviour from this night on. I raise my hand to Him."
Is there a person here that's been a sinner, never has accepted Christ, and wants to be--Christ to save you tonight. You say, "I now accept Him upon the basis of His Word, that He's soon coming, and I want Him to be my Saviour. I'm going to let Him in my heart right now. And I want Him to take full possession of every door, and every secret, that's in my heart; may He come now and be Lord of all." I suppose in this little group there wouldn't be one. You're all Christians, to that I'm thankful.

E-39 Now, Christians, how many of you, with your head bowed now, you say, "I have been a little different, Brother Branham, and Lord, You know I've been different, but I need to be thoroughly; I want my eyes to be opened. Open mine eyes that I might see. Open my eyes, Lord." Would you raise your hand up, though you're a Christian and indifferent. The Lord bless.
Now, Father, Thou seest the hands of these Thy children. O Lord, I pray that You will make it possible that we could have the entire month of May in a great revival here, to take our time and teach in the afternoons and the evenings, and see Your great hand begin to move among these men and people.

E-40 O Lord, being the first to settle in this great country here, may they become the first to start the old fashion revival of the Bible days in the ending of this great nation; grant it, Lord. Bless these who raised their hands; may they become fully surrendered to Thy Presence now.
And Lord Jesus, come. Most all of them has been in the meeting, and they know what to expect the Lord to do. And I pray that You'll manifest Your great power tonight and open every eye, every ear, every understanding. Sanctify our bodies, our souls, our spirit with Thy Presence, for we ask it in Jesus' Name, Amen.

E-41 The Lord be gracious and good to you all. Now, don't be weary, when we think that's there's just a few people here. That has nothing to do with it. Christ has promised to meet where two or three were gathered together. I would put every effort with two people as I would if it was two million, would be just the same. How do I know what our Lord wants, only responsible for the Word.
Now, as we're going to pray for the sick. As it is my custom to pray for the sick and to try to preach, not just part of the Gospel, but the full Gospel, all of it. "He was wounded for our transgressions, bruised for our iniquity; the chastisement of our peace was upon Him; with His stripes we were healed." That's the full Gospel.

E-42 And if it laid within my power, I would be so happy tonight, if I had power to heal the sick people that's in this building. Mostly the people that come to my services, they hear the preaching and so forth, are sick people and needy. If I had the power to do it, I would do it, my loving friends. I certainly would do it. I have not the power to do it. And I say this with respect and reverence, I don't believe there's a man on earth has power to do it, not Divine healing. Because Divine healing was purchased at Calvary. It's your faith in a finished work. Christ healed you when He striped for you at Calvary. "He was (past tense) wounded for our transgressions. With His stripes we were (past tense) healed."

E-43 Now, you cannot pay for the thing twice, it's already purchased. If our Lord Jesus stood here tonight, on this platform, and a sick person would come to Him and say, "My Lord and Master, I recognize You to be my Lord and my Master; I am sick and needy, oh Master, will You heal me?"
What do you think He would say? It would have to be something on this manner, "Child, can you not take My Word that I have done that?" He could not say, "Yes, I will heal you." Because He has already done it, certainly He has.
When He was here on earth, the Lord Jesus, did He claim that He healed the people? Be careful. No, He said, "It's not Me that doeth the works; it's My Father that dwelleth in Me, He doeth the work." How many knows that? He doeth the works.
Now, if He does the work then, then what did Jesus say in Saint John 5:24, or let's see, no, in Saint John 5:19 it is. Jesus after He passed the pool of Bethesda, where the crippled and blind was laying... The Father had showed Him a vision, and He went down and looked through that crowd till He found a certain person that was laying on a little pallet. And the little pallet...

E-44 How many knows what a pallet is? That's good. I was raised on one. Just a quilt laying on the floor. There was a big bunch of children; we didn't have bedroom for all, so we--I slept most of the time, being the oldest in the family, on a little pallet.
And this man was laying on a little pallet. And Jesus come by and seen him, and knew that he'd been in this condition for many years. He said, "Take up your bed, go to your house." Walked away and left the rest of them. Why? Father hadn't showed Him nothing about them. Then he was questioned, the man with the bed on his shoulder, and then Jesus was questioned. And here's what He said, Saint John 5:19: "Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself; but what He sees the Father do; that doeth the Son likewise.
Now, that... It is the truth, or it is an error? If that's an error, then Jesus was false. Jesus never performed one miracle, without first, God showing Him in a vision what to do, or He told something wrong there. If He told something wrong, He wasn't the Son of God. "Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself; but what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise." See?

E-45 Lazarus, the resurrection, all these things, the Father had showed Him.
Now, there was a little woman...?... coming through the audience, and she did not--the Father had not showed her--showed Him nothing concerning her. But she believed. So she went through the crowd, and she touched His garment, and went out and set down. And Jesus turned, and He said, "Now, who has touched Me?"
And Peter rebuked Him, said, "Lord, the whole crowd is touching You, and why say, 'Who touched Me?'"
Jesus said, "But I got weak (Strength, virtue, and anyone knows "virtue" means 'strength,'); virtue has gone from Me; I got weak."
Then He looked around over the audience until He found the little lady. And then she had a blood issue, and He told her that she was healed; her faith had made her well. And she felt in her heart that the blood issue stopped, and she was well. Oh, what a difference.

E-46 Now, you say, "Oh, if He was here tonight, I'd like to do that." But He is here. "Well, Brother Branham, is there a Scripture that tells us He will do the same thing?"
Yes, there is, thanks be to God. The Bible said, the New Testament, "He is our High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities," Hebrews: We can touch Him with the feeling of our infirmities.
"Then how would you know you touched Him?" He'd turn and say the same thing that He did then, if we touch Him. All right.
"Then how would I know it?"
Now, He--after He left the earth, He became the Vine, or He became the One through where the Spirit comes. "I am the Vine, ye are the branches." Now, the vine does not bear fruit; it only produces the life, and the branch bears fruit. So the Church is the branches, and if it's really connected in Christ, it'll bear the fruits of Christ.

E-47 The Bible says, Hebrews 13:8, "He's the same, yesterday, today, and forever." And if He did those things in the days gone by, He must do it today to be the same.
Oh, I trust that that's so plain, that even the children will understand it. I can't do it in human lips. But may the Holy Spirit come into your compartments tonight. Open up the doors of faith; open up your eyes that you can see; open up your hearing, your understanding; open up your entire being; you come, and say, "Now, Jesus, be Lord of my house. You are welcome in tonight, Lord. Here I am; take me. I'm sick; I'm miserable; I'm a doubter; I'm an unbeliever; I'm been so skeptic of all of it, come in and be my Lord."
Watch what takes place. Oh, the joy bells of heaven will ring anew. Your eyes will become open and see that's it's not some little ed--uneducated preacher, that can't even speak correct English. That has nothing to do with it; it's the Presence of the manifestation of His Being, according to His promise of His Word. God grant it.

E-48 Now, Father, the rest is in Your hand. I have said what I thought that You would have me say. And whatever is accomplished, Your Name shall be praised; grant it, Father. I commit this little group of people into Your hands. And with them I present myself as Your servant. Now, Lord, "Faith cometh by hearing, hearing by the Word." And I pray that tonight, that You will work wonders among us for the glory of God. In the Name of the Lord Jesus. Amen.
How many sick people's in our midst? Just look. How many's here without prayer cards, raise your hand? Well, I guess two-thirds, has not prayer cards. That don't have to have prayer cards. You just have to open the door. Now, just... Would you spare me another five minutes for something, that I--the Holy Spirit puts on my heart, that I believe would help you right now? Just bear me, just five minutes.

E-49 What is faith? I talked about the doors, now let's find out what it is. What is faith? Oh, it's been so misinterpreted. Many call faith emotion, oh, jumping and shouting. Now, remember, when I'm speaking of those things... I believe in shouting; I believe in praising the Lord. I believe there's a gift of speaking in tongues and interpretation. I believe in everything the Bible says, but we can't go to seed on one thing. See? Get the Giver, and the gift will take care of itself. See? But if you get the gift without the Giver... I could give you an apple off the tree and you'd still not have the apple tree. See, see? And this tree has nine different kinds of fruit on it.
So if this tree is the Church, and one--one gift differents from the other, by one gift we can't say we got it. All nine gifts has to be working in the Church. And the fruits of the Spirit is love, joy, faith, long-suffering, gentleness, patience, goodness, meekness, temperance; there's the fruits of the Spirit.

E-50 Now, if that's operating in your life, with the other, blessed be the Name of the Lord. But if some of it's there without the rest of it, be careful you're on dangerous ground. See? Satan can impersonate most anything that God does. But you can tell it's not mixed with love, or neither has it faith. The Word being preached, not profit them not being mixed with faith.
[Blank.spot.on.tape--Ed.] I'll ask first, you to give me bread and you said, "The purchase price is twenty-five cents. And you give me the twenty-five cents, I'm just as happy as if I had the bread. The bread's mine, because I've got the purchase power of a loaf of bread. I can be just as happy standing here with twenty-five cents if I was starving to death and a loaf of bread would save my life, and maybe I'd have to go six blocks before, and stop at every traffic light, and be stopped twenty times by police, and criticized by many critics, and I might be so hungry when I get there I will have cramps and all kinds of symptoms, but as long as I got the twenty-five cents, what makes the difference?

E-51 Faith, if it's in your heart and God has planted it there, and you believe it, there's nothing going to stand in your way. Every doctor could tell you contrary; every pastor could tell you something different; that wouldn't make one speck of difference; you've got it. And you're just as happy, when it drops in your heart, as you are when you possess what you're asking for. There you are.
Now, if our blessed Lord, will be so good to come here tonight, and will manifest Hisself in our presence, and show that He's here... Now, how is faith sent? You say, "Brother Branham, I got a sick child; my mother's sick. I'm sick myself, would you heal us?" I wish I could, but I can't.

E-52 But through a Divine gift it could show you that every promise in the Bible is true and it's yours. And when Christ is present, then reach up and say, "Lord Jesus, manifest Yourself to me just now and give me faith to believe it."
Then into your heart drops that purchasing power, "I have it." No scramble for the prayer line, just going down the street rejoicing, it's settled. It's the evidence of things you do not have, but you have the purchase power. And then, the Bible said that Moses endured, as seeing Him Who is invisible.

E-53 Abraham endured. When God spoke to him, he knew it. And he called those things which were not as though they were. How's he going to do it, seventy-five years old, his wife sixty-five, about twenty-five years past menopause? How is she going to have a baby? That wasn't even considered, neither the deadness of his body or her womb. "He staggered not at the promise of God through unbelief, but was strong, giving praise to God."
And we claim to be His children. Now, do you see why we're lukewarm? You see why Christ... Does this fulfill His Word? If He will come here tonight and manifest Hisself, what's He doing? Knocking at the heart. "I know you're lukewarm; you're neither hot or cold. Oh, but I stand at the door and knock. If any man will hear My voice, I'll come in. I'll sup with him."
"You taught Your promise, Lord, if You'll heal me, I'll promise; I'll quit sinning. I'll quit doubting, if You'll just give me a promise that..." All of a sudden, something begins to move in your heart, He's supping with you then. Oh, I pray that He will.

E-54 Now, Billy, what prayer cards--you...?... All right, 50 to a 100, is that right, 50 to a 100? All right, where'd we start from last night, Brother Sharritt, 50. Let's start a little farther, somewhere tonight, in the U. Last night I believe it was 80. Tonight let's start at 75 tonight. Who has prayer card U-75? Now, there's a little bitty card. The way we do this, is just keep... [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-55 I... Lakeport, it was at the fairground? And I lost a brother, you know, and so then I was late to the meeting. But tonight on the--the grounds, I tell you what happened. Now, this is all new to you people, but friends, if you ever hear of me preaching one thing, and before the services end, I want to tell you, and let the man here testify, and those who know, how infallible those visions are. They are perfect. Call the city; call the mayor of the city of Jeffersonville; or someone call the police station, go down around where it's happened for forty-eight years and find out if there's ever a failure anywhere. You can't. It's God. So let's open our hearts.

E-56 On the platform, along the meeting there, there was a Indian woman came. I always feel sorry for them, the Indian woman. And she was blind, I could see, her eyes were turned back. And I said, "The woman is blind." Then the Holy Spirit begin to speak, and It said, "You had a stroke in the brain that pulled the eyes backward, and nine years, no peace, day and night, but a constant suffering." Think of what that poor woman went through, nine years of suffering.
What taken place? After all those nine years, then the Holy Spirit said, "THUS SAITH THE LORD, you are healed." And while she was standing there, her eyes come open, her eyes dropped back over in--right. And I seen her weeping.

E-57 Now, my mother, as you all know, my mother's a half Indian too. My mother's mother come from the Okl--or the Cherokee reservation. And so my mother looked just like her. And mama getting old kindy has a shaking of the palsy, when she just gets a little excited. And that poor old woman was shaking and looked just like mother. And now, I never noticed her eyes as yet, and so I said, "Can you see?"
And she said, "Yes, sir."
And when she went from the platform. They led... Some Indians led her in and she led them back out.

E-58 And while she was there, there was a man of the Lutheran Laymen League. Anybody ever heard of it? Sure. And they were--he had his wife setting over this way in the fairgrounds; she had been ill with a bleeding tumor for about four years. She eat nothing but liquids. And when the doctors could not build her blood up, 'cause she was eighty something years old. And they were going to give her blood transfusions into her, for the tumor was bleeding inside, and they were going to operate in about a week.
And this old Lutheran brother set there... And they over a little city called Ukiah. They were building a Lutheran church. And setting there, it thrilled him so much, he said, "Oh," in his heart now, not out loud. I had my back to him. And he said, "O Lord, if You will heal my wife tonight and let that man call her, I'll believe it." And said, "If You'll heal her, I will take the five hundred dollars for the operation and give it to that little Lutheran church that's being built."

E-59 And he no more than repeated the prayer in his heart, till the great Holy Spirit turned and told him who he was, and said, "You were praying that if God would heal your wife, that you'd donate the five hundred dollars for the operation to the Lutheran church." And he just fainted.
So he--he got up and he said, "Friends, that's the truth."
I said, "God doesn't want your money, but it's your faith, and she's healed for it's THUS SAITH THE LORD."
And the next morning at the Christian Businessmen's breakfast, when Brother Rose out there... He knew the family. And the lady had been to the doctor, and they couldn't even find one trace of tumor. And she was at the Christian Businessmen's breakfast that Saturday morning eating scrambled eggs and ham, enjoying herself at eighty something years old, because the goodness of the Lord Jesus.

E-60 Oh, that's just a little thing to what He does. He's great and full of mercy. Now, let us be reverent and pray. All right, how many we got lined up? About--well, we'll start right now, be all right. Let's pray now.
Most gracious Lord, right now, even this little audience, Your Word is to be manifested, or You're a false witness to give Your Word. And Lord, I realize that to take the position to represent You, Your Spirit, what a great thing that is. And I'm unworthy Lord, and we're all unworthy. But, Father, Thou does not look upon our unworthiness, but You honor Your Word. And I pray, from the sincerity of my heart, O great Jehovah, let it be known this night, that Thou art still God and You keep Your Word. Whether the groups are small or large, manifest Yourself. And then, may the people, the faith that they need, when You knock at the door, may that faith anchor deep. May all the doors of their heart be open, and may they rise in faith and accept their healing, and the things that You have provided for them.
Forgive me of my trespasses, Lord. Forgive us all our trespasses. And now, condition our hearts to receive Thee. And come, blessed Saviour, and heal every person in the building tonight. For we ask it in Jesus' Name, and for His sake. Amen.

E-61 Now, I would ask for the next few moments for your undivided attention. Be reverent. But if the Lord should speak to your heart that you have faith, and it's dropped into your heart, then receive it. Then say in your heart, "Thank You, Lord Jesus, it's settled."
Now, many of you will not be in the line, but that doesn't stop the healing. God can heal you anywhere in here if you'll just look to Him and believe.
Now, remember, I say before, I do not say that He will do it. I--I can't say that; I don't know. But all these years He's never failed me;, I don't believe He'd fail me tonight. So that's the face that I put in Him from the message that you know and has read in the book.

E-62 I might say this: These messages are on tape. Mr. Goad here, Mr. Mercier, has them on tape if you wish them. They're set back in these prayer lines to see what the Holy Spirit said to you, or whatmore, or the message tonight, it's on tape. All right, the Lord be blessed. I hope and trust that each of you will receive faith.
Now, I'm sure you realize my position, even though, in this little group here. Here's stands a woman, I... Is this the patient? Would you come here just a moment? Here's a lady, I suppose we're strangers to each other. We never met before? This is our first time meeting. Now, could you imagine, do you wish to come up and take the place? You're welcome. Uh-huh. All right.

E-63 Here's a lady. Now, what do I base it upon? Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. I'm basing it upon the Bible, on a promise that God give. Now, how... If God keeps His promise to this, then He will keep every promise that He made, not nineteen hundred years ago, but today also. He's the I AM, not the I was, the I AM, now.
Now, if this lady is sick, I don't know. It may be domestic; it may be financial, it may be... I don't know. But say that she is sick. I--I... If I could do one thing to help the woman to be well, and wouldn't do it, I would be an unfit person to represent Jesus Christ as a minister. I would be a brute. Even if I was a doctor and could perform a operation for her, if she needed it. And because she didn't have money, and wouldn't do it, I wouldn't be worthy to be a doctor. That's right. I'm not a doctor; I--I--I'm just the servant of the Lord, His lowest. And you were in... Some of these men setting here, with gray hair in their head, was preaching when I was a boy. So it's just something God has give to you, and He just sent me to represent Him in this manner.

E-64 As you know, I'm not much of a preacher, but my gift is visions. See? This is my field. Therefore, I feel just at home standing here as the minister would in his pulpit, or your Sunday School teacher would, in their lesson.
Now, lady, this is a picture, again like I was speaking, Jesus with the woman at the well. They were two strangers, and--and He was not in His home country; He was away from His home country, He was from down at Nazareth. And now, He was in another land. And there was a strange woman, and when He begin to speak to her, He told her--He talked to her till He found what the trouble was.

E-65 Now, remember, He was on His road to Jericho, that's right straight from Jerusalem to Jericho. But He had need to go by Samaria. The vision told Him to go to Samaria; that's all He knowed to do. He set there on the well, and when the woman come out, He felt something was going to take place. So He spoke to the woman, said, "Bring Me a drink." And He started the conversation. As soon as He found what her trouble was, He told her. And she recognized it to be the Son--to be the Messiah.
That was the sign of the Messiah in that day. The Samaritan recognized it, the Jew recognized it, Philip. As a Gentile, would you recognize it? Would you Gentiles recognize it the same as the Jew did then. The sign of the Messiah, not the sign of Brother Branham, the sign of Messiah...

E-66 Now, if He will reveal to me what you're here for, now you know whether it's truth or not, you'll know. See? And if it isn't truth, you have liberty to say the man's wrong. But if it is the truth, then you give witness to the power of God. See? That's right. And us never met, never seen each other, know not each other, just here we stand. Now, I believe God, that God will do it.
How many out there...? Does anybody know the woman? Anybody in the building know the woman? Yes, some people here knows her. All right, if the Lord will reveal to this woman, let her be judge, and say that it's the truth, how many of you'll say, "I believe that's the sign of the Messiah and His soon coming, I want to accept Him."? Yes, sir, See, there's nothing in dark corners; it's right here before all. I trust that He will.

E-67 Now, just to speak to you, till I find what your trouble is, or what He wants me to tell you, then God be honored. Now, I'm trusting that God will do it for this lady, to make her well, heal her, or give her what she's asking for.
The first thing, the woman is suffering; I see her walking through the house real nervously; you're extremely nervous. That's right. And that caused from a--a female disorder, which the doctor told you it was a fallen womb. That's right. And you've had an operation of a female disorder, THAT'S THUS SAITH THE SPIRIT; that's the truth.
Now, could I help the woman? No. Do you believe? Then it's over. Father in heaven, bless this dear person, may she go now and may that little purchase power, as I spoke awhile ago, of twenty-five cents, may she go with that in her heart now. "The Lord Jesus interpreted back to me, through human lips exactly my condition. I believe Him, and it's a settled thing." Amen. God grant it to you, sister.

E-68 Now, lady, I do not know you. I suppose this is our first time meeting? It is. There's people in the audience are praying, you see it... that's what does it. They caught the attention. Something happened in the auditorium. Now, I was just talking to the lady of something that's happened. Now, if the Lord Jesus will reveal to me what you're here for... As a man I--I could do nothing for you. If it was finances you wanted, I--I think I got I--I got about twenty dollars or thirty cents; I could let you have that. But I--I--I... If it was the domestic trouble I could only pray. If it's sickness, I can't heal. But all those things are yours freely by your faith in Christ.
Now, if the lady... Let you know whether He's concerned about you or not, if He will tell me why you're--what you're here for, would you believe me? May He grant it. I'm looking into the face of a woman that I've never seen in my life. But the woman has had an accident; she fell. And she tore her ligaments loose in her leg, and she can hardly walk. And the ligaments won't go back to their right place. That's exactly what it is, THUS SAITH THE LORD. That is true.

E-69 Now, would you believe if I pray for you? You believe that--whatever... I don't know what I said. You hear that voice? That wasn't me. How did I know what was wrong? But what I--what it was said was right. That was Him just using my voice. "What is it?" you say. It's the way I have just submitted myself to the Spirit. And He does the talking; it's just a gift that I just submit myself, and your own faith does it. That's exactly right; your faith does it.
Watch this, that you might know the glory of God. Here sets a woman, setting right back there, second from the end, right back there. She was praying when that taken place; she has sinus trouble. That's right. And if she'll believe God, God will make her well. Do you believe it, lady? With all your heart? That the Lord will make you well? If you'll believe it, you can have what you ask for...?...
The lady missed it, turned black over her, and it moved again. That's when you fail. Why isn't she alert? Why did you miss that? Here It goes to a heavy set woman, sitting on the end, to show the sovereignty of God, the woman back there, heavy set setting on the end is suffering with a lady's trouble, a female trouble. That's right. If that's right raise your hand? You had it, but you don't have it now; your faith has made you well. Amen.

E-70 What did she touch? She never touched me; she touched the High Priest. Now, you may go, sister, you'll get well. I guess she goes, which way? This way over... Doesn't matter, any way, just watch your step now.
Oh, the sovereignty of God. God is able of these stones to rise children to Abraham. When God makes a move, He will do it.
Now, here's a lady, who is totally stranger to me. I don't know the lady, never seen her in my life as I know of. We stand strangers. We were probably born miles apart, years apart, and here we meet. The Lord be the Judge. But if the Lord will tell me what you're here for, would--just like to them people, will you believe it, lady? Is there anybody here who knows the lady? Raise your hand. All right, she must be from here then; they know her. Then you know her condition. I don't. But if the Lord will reveal it, then let her be judge and you be judge.

E-71 How many knows what the woman's up here for? Raise your hands out there. Is anybody... Yes, all right, yeah, all right. Maybe some of her sisters or someone. May the Lord grant it, sister.
The lady is up here because she has--wants me to pray for a spiritual problem she has. That's right. And another thing, she has arthritis, that's THUS SAITH THE LORD. Raise your hand. How many knows that that's true? All right. There it is.
Now, you see, the more I would talk to the lady, more would be told. See? But reason... You see, I got quite a line here, I want to get as many through as I can. That's the reason I don't talk so much. And I'm just worn out; this is supposed to be my vacation. But because of Brother Hutchinson and Brother Boze called me, I left home to come here for this little time of fellowship.

E-72 She seems to be a lovely person, being about the size of my mother. Now, let's--let me talk to her again. Yes, you have a growth too, that you want me to pray for on your side. And here's another thing; I see a large church building, and some how I see Brother Hutchinson, and you're standing and somebody's praying, it was me. I prayed for you at Brother Hutchinson's church the last time I was here; it was a blood clot, laying on a cot and the Lord healed you, THUS SAITH THE LORD. Go, sister; it's over now.
Let's say, "Blessed by the Name of the Lord." Do you now believe? Do you feel that twenty-five cents down in here? Can you see it's His Presence, His goodness?

E-73 I don't know you, do I, young lady? No. I know nothing of the woman; I have never seen her in all my life; I don't know her. Well, what does this do? Why, Jesus, it happened to Him once and strength went out of Him, and I'm just a sinner saved by grace. Then why would I have strength to stand here, more than what He did? More takes place right now in this one meeting right here, than almost written in the Bible of what Jesus did, when He was here on earth.
Why? Why would He let me stand when His ownself got weak? He said, "More than this shall you do. These things that I do shall you do also, even more (more of them), greater shall you do, because I go to My Father, and He is My strength." It fulfills His Word. See, everything falls right to the Word, if it's God doing it.

E-74 Now, if the little lady... If God will describe to me, and tell me, what you're praying about, which you are a Christian... And if He will tell me what you're praying about, will you believe? It's not for yourself; it's for someone else: That's your brother, a mental patient. That's right. That handkerchief that you have in your hand, go put it on him. Thank Him and believe with all your heart. God give you your...?... The Lord heal the...?...
Are you believing? Having faith in God? Now, if thou canst believe... Now, those visions, 'course they make me weak. Perspiration on my hands, and...?... you can tell. See? It's a weakness. See? Just not this little meeting, night after night, year after year.

E-75 But sister, as far as I know we're strangers to each other. I--I don't know you; God does know you. Now, if we're strangers to each other, so the audience will see, raise up your hand, so...?... they'll know it, we're strangers to each other. Now, we're--we're Christians here, and here is God's Bible, and our hands are up. See? We are strangers to each other. Now, this ought to settle it, you in the line look this a way. You everywhere, watch and believe.
Now, if Christ promised these things, Christ must do these things. If He is the same yesterday, today, and forever, then He's same in power, is that right? He's the same in action, is that right? He's the same in motive; He's the same in objectives; He's the same in mercy; He's the same in attitude; He's the same.

E-76 Do you believe it lady, setting there, little lady here on the front seat? All right, you got a card in your hand, but you're not in the line. Do you believe me to be God's prophet, or servant? You believe it. If God will tell me what your trouble is, will you accept it and believe for your healing? You were looking so happy about it. Now, you just ask Him in your heart, to let me see.
Yes, ma'am, you want me to pray for a condition that's in your eyes and in your head. If that's right. raise up your hand? All right, you have it now. Just go on your row, and throw your card away, and you can go and receive what you ask for.
I challenge your faith out there to believe that. Do you all believe?...?... both of you young men.

E-77 A woman, just at the same time, she's suffering there, the colored lady, has something in her--her eyes too, she wants prayed for. And she also has something wrong with her chest. That's right. You believe me to be God's proph--or servant? You believe that? You believe that you have your healing now? Cora, you really believe that? Miss Cora Smith, that's your name, uh-huh, all right, then go, your faith has saved you. Amen.
Now, do you believe with all your heart? That thrilled the little lady setting here. Are you to be in the prayer line? Is that the patient? You're suffering awfully hard. You have arthritis; you have head trouble; you have hemorrhoids; you have a tumor in your stomach. That is right. Just turn around and go off the platform, go home, be well; Christ makes you well.
If thou canst believe, all things are possible, if thou canst believe. Are you believing, taking Him as your Healer, your Saviour?

E-78 Now, to this person that's standing here. Now, let's just be real reverent. I didn't mean to hear--I have to follow the Spirit (See?), It's a--you see a picture of It. How many's ever seen the picture of the Angel, that Light? I--don't you have It here? Some of them has. Gene, do you have them here? I don't know whether you have the pictures or not. Is it here?
This was by the FBI, fingerprint and document; here it is, the same Pillar of Fire that led the children of Israel. It's in Washington D.C. as the only supernatural Being was ever photographed. Germany, got it three times in Germany with their camera last year, coming down, giving the discernment and going back. And George J. Lacy, the head of the FBI fingerprint and document, examined this. There's his write-up on it. See? It's the... That same Angel is not two foot from where I'm standing right now. What is it? It's the Pillar of Fire that led the children of Israel.

E-79 How many knows that Jesus went to a Pillar of Fire when He left the earth? How many knows that? When He was here on earth, He said, "I come from God; I go to God." When He was... How many knows that it was Jesus, the Logos, the--the Angel of the Covenant, the Christ that led the children of Israel through the wilderness, He was the Pillar of Fire. He was the Rock. He... See? Then He went back to God.
And when Paul met Him on the road to Damascus, He was still that Pillar of Fire, that even put Paul's eyes out. And He said, "Saul, Saul, why persecutest thou Me?"
He said, "Who are You, Lord?"
He said, "I'm Jesus Whom you persecuted."
Who was it come into the prison and taken Peter out, that Light, that night? The Angel of the Lord just opened the doors and went out of the prison. And here It is down here nineteen hundred years later, the same yesterday, today, and forever. His works prove the same yesterday, today, and forever. His picture, His Light...
What do you say? "Why don't I see It, Brother Branham?" The people that was with Paul didn't see It. It's just so... If you just let--let God anoint your eyes, it would be open. Now, let's talk to the lady.

E-80 Lady, if the Lord Jesus will reveal what your trouble is, will you believe it? You believe it? Now, I don't know you, and I have never seen you. But God does know you. You are suffering with a bleeding condition, bleeding ulcer. That's true. I see blood as that Light moves over you, I see the blood dropping, the bleeding ulcer. Do you believe that Jesus will make you well?
Now, all you believe out there? Now, if I would say, if the Lord will tell me something else about the woman, just like He did a few minutes ago, how many in here will...?... and believe Him even here in the line here, will believe that the faith is anchored in your heart, and the whole bunch of you can be healed right this minute. Do you believe that, that the Lord will do it?

E-81 The Lord knows that I don't know the woman; she knows that I don't know her. But see, we could carry this on here, it's going on eleven o'clock, and we could just keep on going. See? But let this satisfy you. Oh, it's... I pray to God that you'll understand this is Christ knocking at your heart to come in, that you could talk to Him and tell Him what you could...
Look at the people out there in the audience now, without prayer cards, who wouldn't be up here? How that they...?... and the Lord walked right in and goes to supping; He goes to speaking, "You have this, that, or the other, whatever it is." You see?

E-82 Now, I don't know what He said that was her trouble; I don't remember it right now. Bleeding, that's right, bleeding ulcer. Now, let's just speak a few moments and see. You're--you're conscious that something is going on, a feeling around you, a real sweet, humble, meek feeling. Isn't that right? All between you and I is that Light moving. You do have something else on your heart to be prayed for. And that is your husband, a man. And he's suffering with something wrong in the legs. He was run over by an automobile, over the legs, and here he's a barber. That's exactly right. Now, it's over, go now thanking God for his healing.

E-83 Do you believe? Now how many of you, say it in your heart, "Right now, blessed Lord, I have the purchase power of my healing." Raise your hands. "I have the purchase power of my healing." Do you believe it? Here you that's to be prayed for, He knows your condition, do you have the purchase power of your healing? Then let us raise our hands up to Him, them that's able, like this. Now, real reverent, now you repeat this prayer after me.
Almighty God, Creator of heavens and earth, Author of Everlasting Life, Giver of every good gift, I now thank Thee for opening my understanding; I now believe, that in my heart, I am thoroughly convinced that Jesus Christ Thy Son is the same yesterday, today, and forever. I now accept Him as my Healer. I open my heart. I open the door of faith. I surrender all my faith to Thee. Be Lord of my faith. I receive You now.

E-84 Now, with your heads bowed, now that was your prayer. Now, just stay shut in with God, keep real quiet. Oh Brother Hutchinson, over this audience, that emerald greenish Light, oh, what a confession means over the audience. Surely, you can understand, I'm not a fanatic. I am your brother. The Lord Jesus is here in great power and His Presence is here to make you absolutely well. Now, just stay shut in and believe. Believe that seed is moving right down in your soul now, right down into your heart. And while you believe these things shut in with Him, I'm going to pray for you. And there's only one thing that would keep you from not receiving your healing: that's that little shadow of darkness, of just a little guessing, a little bit unbelief around you. I'm going to pray that God will remove that and one glorious burst of faith may every person be healed.

E-85 Lord Jesus, Thou Who hears confessions, and heard these people, what they said. You come; You've manifested Yourself. And here they are setting here with their hands in the air, their heads turned to the dirt from which You've taken them from. And they been sick in their bodies. Satan has blinded them. But tonight he's defeated.
Oh, Satan, you're just a bluff, and you're exposed. You were defeated at Calvary by our Lord Jesus. And we stand as Christians, victorious tonight, in His all sufficient suffering, His vicarious death, His glorious resurrection. And we adjure thee, by the living God, through Jesus Christ, that you leave these people every one of them; come out of them in the Name of Jesus Christ, go. And may each of these people be healed for the glory of God.

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