La Reine De Séba
1 Restons debout juste un instant maintenant pour la prière, alors que nous inclinons la tête. Dieu bien-aimé, nous Te sommes reconnaissants pour le privilège que nous avons de nous assembler encore une fois. Et nous demandons que Tes bénédictions reposent sur nous ce soir, pour sauver les impurs, guérir les malades et les affligés et bénir ceux qui peuvent être bénis ce soir. Et puissions-nous avoir une grande effusion de Ton Esprit.
2 Bénis les frères prédicateurs. Comme demain, c’est le sabbat et qu’il nous faut partir, demain, pour–pour témoigner de Toi partout dans la ville, nous Te prions de bénir chaque chaire dans cette ville et dans les villes voisines, et à travers le monde. Et puissent les prédicateurs devenir une nouvelle lumière pour les gens. Accorde, Seigneur, que beaucoup de grands miracles s’accomplissent demain au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, du haut de leurs chaires, et par le ministère, dans toutes les nations. Accorde-nous également ce soir, Seigneur, quelque chose d’extraordinaire, afin que ces bien-aimés qui sont venus sous la pluie et dans la boue, pour venir écouter l’Evangile, puissent-ils rentrer chez eux, joyeux et se réjouissant d’une âme satisfaite, d’avoir été dans la Présence du Seigneur Jésus.
Accorde ces choses, Père, car nous les demandons au Nom de Ton Fils. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
3 On a dit qu’aujourd’hui beaucoup avaient téléphoné, racontant l’expérience de leur guérison hier soir dans l’assistance. Et certains disaient qu’ils n’étaient même pas à l’estrade; ils étaient juste assis dans la réunion et, à un moment de la journée, ils se sont rendu compte que la maladie dont ils souffraient était partie. J’aime donc cela. Alors, nous ne pouvons donc pas dire: «Untel, tels prédicateurs m’avaient imposé les mains, et...» Voyez? Dieu en tire toute la gloire. Et j’aime donc cela, quand Dieu en tire la gloire, car notre objectif, c’est que tout soit pour Sa gloire, qu’Il la reçoive, tout pour Sa gloire.
4 Bon, ce soir, nous aimerions prendre un petit passage dans la Bible juste pour quelques minutes. Et alors, demain soir, c’est la fin de notre petite campagne, juste trois soirées pour un peu faire connaissance avec les gens. Et alors, cela semble étrange, juste le temps de faire connaissance, puis nous disons: «Eh bien, à nous revoir une autre fois.» Cela... Apparemment, cela a été ainsi pendant les douze dernières années à travers le monde, juste faire connaissance et se hâter.
5 Dieu voulant, à mon retour d’outre-mer cette fois-ci, je tâcherai de me procurer une tente, ou quelque chose comme cela, afin qu’on n’ait pas à se presser pour quitter la ville, juste dresser cela et y rester un moment. Et je suis sûr que ce sera mieux, car vous allez... Si les gens ne savent donc pas comment s’approprier la guérison divine, il y a pour cela plus que le simple fait de s’avancer et de dire: «Je crois», et s’en aller.
Si un patient a un... quelque chose comme une tumeur, ou quelque chose du genre, ce patient se sentira mieux sur-le-champ, mais dans environ soixante-douze heures, il tombera plus malade que jamais auparavant, parce que cette grosseur ou quoi que ce soit, la vie qui était en elle est morte. Et la grosseur est toujours là. Cela commence donc à–à se décomposer. Et alors, quand cela se fait, le coeur pompe du sang, et le sang purifie le corps, cela provoque donc la fièvre. On dirait alors que le patient se dit: «Oh! J’ai perdu ma guérison.» Eh bien, la–la foi a pu ôter la vie de la tumeur, l’incrédulité la ramènera de nouveau. Là, il perd sa–sa guérison. Il ne connaît simplement pas l’approche.
6 Mais rappelez-vous, quand on traite avec... C’est comme par exemple une substance, une tumeur, nous ne traitons pas avec cette grosseur ou le cancer. Qu’est-ce qu’un cancer? C’est une vie, et ce n’est pas votre vie; c’est une autre vie. C’est une multiplication de cellules. Et qu’est-ce qui a fait qu’elle se retrouve là? C’est une autre vie qui affronte la vôtre pour vous tuer. La Bible appelle cela un démon. Aujourd’hui, nous appelons cela un cancer, ce qui est un terme médical qui vient du mot crabe. Mais la Bible appelle cela un démon, un tueur.
Eh bien, nous ne traitons pas avec cette petite maison dans laquelle il a grandi; qui développe les cellules juste comme c’est le cas pour vous. Saviez-vous que vous provenez d’une petite cellule? Cette cellule est venue de votre père. Le germe a fécondé l’ovule qui était dans votre mère, et de là il y a eu un développement, la cellule s’est mise à grossir, à se multiplier jusqu’à vous donner la stature que vous avez aujourd’hui.
7 Et alors, cette vie que vous avez en vous maintenant, c’est grâce à ces cellules qui sont de bonnes cellules, les cellules de votre vie. Mais voici venir un cancer, ou une tumeur, ou toute autre maladie, et c’est une cellule différente et un germe différent. Et qu’est-ce que cela fait? Ce n’est pas... si cela s’attaque à votre vie, alors c’est la mort. C’est donc un démon, et nous ne traitons pas avec cette enveloppe dans laquelle il vit, cette maison; nous traitons avec la vie qui est dans cette maison.
C’est juste comme si je traitais avec vous, si vous étiez un cancer, et que j’étais... que j’essayais de gratter votre corps jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Mais qu’on en ôte simplement la vie, il sera réduit en poussière de la terre. C’est cela chasser les démons, c’est en faire sortir la vie. La substance est toujours là, le corps.
8 Mais qu’arrive-t-il à un petit animal qui se fait tuer? Qu’arrive-t-il à un cerf, vous les chasseurs par ici, si vous le tuez aujourd’hui, que vous le placiez sur une balance et que vous le pesiez? Vous dites à vos camarades que votre cerf pèse autant, mais mettez-le sur la balance le matin, et voyez combien il va peser; il aura quelques grammes de moins. Tout ce qui arrive, c’est qu’il se rétrécit jusqu’à ce que la corruption commence à s’installer; alors, il gonfle et devient plus lourd et plus grand qu’auparavant.
La même réaction arrive à une tumeur ou à un cancer. Alors, le patient se met à dire: «Eh bien, j’ai perdu ma guérison.» Le meilleur signe au monde que vous l’avez... Et c’est pourquoi, souvent, en tenant de petites réunions comme celles-ci, nous n’avons pas l’occasion de tenir ces réunions de l’après-midi pour les instructions et pour dire aux gens comment s’en tenir à Dieu. Nous devons juste profiter de ce que les gens ont foi, malgré tout ce qu’ils ressentent, ou le symptôme de toute rechute; ils croient toujours cela. Restez simplement avec cela. C’est l’essentiel.
9 Maintenant, j’aimerais lire une portion de la Parole bénie de Dieu ce soir dans l’Evangile selon saint Matthieu, avant que nous... chapitre 12, le verset 42.
La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.
Que le Seigneur bénisse Sa Parole.
10 Jésus, au chapitre précédent, était simplement en train de réprimander des villes à cause de leur incrédulité. Vous savez, l’incrédulité, c’est l’une des choses les plus odieuses qui puissent frapper quelqu’un.
Et il n’y a que deux facultés qui vous dirigent; c’est soit la foi, soit l’incrédulité. Vous ne pouvez pas être à cheval, entre les deux; il n’existe pas d’oiseau à la fois noir et blanc, ou des hommes à la fois ivres et sobres, ou des pécheurs et saints. Soit vous êtes un croyant, soit vous ne l’êtes pas. Et l’unique péché qui existe, c’est l’incrédulité.
Vous pouvez donc être si religieux que vous ne proférez jamais un mensonge. Vous pouvez être un membre d’église tel que tout le quartier dira: «Quelle personne célèbre!» et néanmoins être toujours un pécheur aux yeux de Dieu. Vous n’êtes pas jugé par cela; c’est par votre foi. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.»
11 Si–si ce qui plaît à Dieu, c’est la justice (En fait, c’est ça), mais si c’est tout ce que Dieu réclame, les pharisiens auraient été trouvés irréprochables, mais cependant, Jésus a dit: «Vous êtes de votre père, le diable», parce qu’ils ne croyaient pas. Cette chose horrible qu’est l’incrédulité. Et Jésus avait accompli beaucoup d’oeuvres dans la ville et Il a dit aux gens: «Oh! toi, Capernaüm, qui as été élevée jusqu’au ciel, tu seras abaissée jusqu’au séjour des morts, car, si les miracles qui ont été faits au milieu de toi–qui–qui ont été faits au milieu de toi avaient été faits dans Sodome et Gomorrhe, elles subsisteraient encore aujourd’hui.»C’est cette grande incrédulité, cette attitude prétentieuse, on s’élève jusqu’au ciel, on est plus saint que vous... Et Jésus a accompli des miracles à Capernaüm, et Il a été taxé de Béelzébul, de prince des démons, et Il les réprimandait à cause de cela.
12 Et je dis ceci avec respect: Amis et chrétiens, si Dieu laisse cette nation s’en tirer... Il ne peut simplement pas la laisser s’en tirer avec cette vague horrible du péché qui balaie notre nation. Si Dieu nous laissait continuer tels que nous sommes, sans jugement, alors, comme Il est juste, Il devrait ressusciter Sodome et Gomorrhe et leur demander pardon pour les avoir détruites, à cause de la même vague du péché.
13 Dieu ne fait acception de nations ni de gens. Il aime le pécheur, mais Il hait le péché. Et nous sommes condamnés; notez-le bien, vous que je vois prendre des notes, que j’ai dit cela. Il ne reste rien pour l’Amérique, sinon le jugement; c’est tout. Préparez-vous donc pour cela. Mais l’Eglise sera partie avant que le jugement frappe. C’est la promesse de Dieu.
Nous venons de passer quelques semaines sur ces choses, pour développer cela. Mais écoutez, Jésus a dit que si les oeuvres qui ont été faites dans ces villes avaient été faites à Sodome, elle se serait repentie.
Ainsi donc, nous comprenons que dans tous les âges, Dieu a eu des dons et des prodiges, grâce auxquels Il a opéré pour appeler les–les gens. Dans chaque âge, pratiquement, Dieu a eu un serviteur, ou de fois une personne quelque part sur qui Il pouvait mettre la main, ou un peuple. Il n’a jamais manqué de témoin, et Il ne manquera jamais de témoin, tant que la terre existera, qui rendra témoignage.
14 Et Il s’est référé à ce jour, Il a dit dans la réunion précédente qu’il en sera comme aux jours de Jonas, le prophète. Et Il était inquiet, car les gens avaient taxé de Béelzébul l’Esprit qui était en Lui. Cela signifie qu’Il avait une–une puissance démoniaque. Et si vous remarquez bien, c’était parce qu’Il avait discerné leurs pensées et qu’Il avait connu ce qu’ils pensaient. Ils ne L’avaient jamais traité de Béelzébul en face; ils n’étaient même pas assez gentlemen pour faire cela. Ils se le disaient dans le coeur, et Jésus a dit: «Il a connu leurs pensées.» Ils se disaient qu’Il était Béelzébul, et ils étaient tous choqués parce qu’Il n’acceptait pas leur théologie. Et puis, certains sont venus vers Lui, après tout ce qu’Il avait fait, et ils ont dit: «Nous cherchons un miracle de Ta part.» Et Il a dit: «Une génération méchante et adultère demande un miracle, il ne lui sera donné d’autre miracle que celui de Jonas. Car, de même que Jonas fit trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme fera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.»
15 Avant que nous abordions notre texte, ou ce que je veux dire, j’aimerais examiner cette déclaration de notre Seigneur. Les gens cherchaient un miracle, et Il a dit qu’une–une génération méchante et adultère demandait un miracle. Et je crois que notre Seigneur se référait à cette génération-ci. Toutes les Ecritures ont plus d’un sens; tout étudiant sait cela. Par exemple, dans Matthieu 3, quand il est dit: «Afin que s’accomplit: J’ai appelé Mon Fils hors d’Egypte.» Et si vous suivez la référence de cela, c’était Son fils, Israël, mais cela se rapportait aussi à Son Fils, Jésus. Les Ecritures ont plus d’un sens.
Et Jésus a dit qu’une génération faible, méchante et adultère, demandait un miracle. Eh bien, j’aimerais que vous écoutiez attentivement. Il a dit qu’ils recevraient un miracle, qui serait celui de la résurrection, la résurrection, car, de même que Jonas fit trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme ferait trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.
16 Et quand Dieu a donné la commission à Jonas, et que celui-ci s’est mis en route vers–vers Ninive, il a trouvé un navire des loisirs; il n’avait donc pas pu payer son ticket et son prix du transport, peut-être vers Ninive, il est donc juste allé à Tarsis. Et on a vu qu’il s’est retrouvé en détresse.
Je pense que c’est ça le problème de l’Eglise chrétienne ce soir; nous sommes en détresse. Nous avons pris le mauvais chemin. Et Dieu n’est pas en difficulté; c’est l’église qui est en détresse. Dieu veut que nous soyons tous un, Il veut que nous ayons communion les uns avec les autres, pendant que le Sang de Son Fils, Jésus, nous purifie de tout péché. Mais, nous construisons de petits murs et nous disons: «Non, nous n’allons pas collaborer dans une telle réunion. Non, nous ne pouvons pas faire ceci, parce que notre église n’y participe pas.» Oh! Quelle baliverne, comme des petits enfants!
17 Et, remarquez, alors le navire se mis à tanguer, et Jonas était en détresse. Et on lui a lié les pieds et les mains, on l’a jeté par-dessus bord, et Dieu avait un très grand poisson tout préparé pour l’engloutir. J’ai toujours éprouvé une profonde compassion pour Jonas. Il était dans un état terrible, cependant, il était un prophète de l’Eternel.
Or, tout le monde sait qu’un poisson rôde dans l’eau en quête de sa proie. Et aussitôt qu’il a mangé, il va au fond, se repose, avec ses nageoires au fond de l’eau... de l’étang. Donnez à manger à vos petits poissons rouges et observez ce qui se passe. Il ira droit au fond de l’étang pour se reposer là. Et ce poisson était là, après qu’il eut avalé ce prophète, là au fond de la mer, à plusieurs brasses de profondeur.
18 Et remarquons bien ce soir, vous qui êtes dans des fauteuils roulants, et vous qui vous servez des béquilles, et peut-être que vous pensez que vous ne pouvez pas vous rétablir. Nous n’avons jamais connu une situation comme celle de Jonas. Pour commencer, il était rétrograde, il avait les mains et les pieds liés et il était dans le ventre d’un grand poisson, tout au fond de la mer, et il y avait une tempête sur la mer. S’il regardait dans cette direction-ci, c’était le ventre du grand poisson. S’il regardait en arrière, c’était le ventre du grand poisson. Tout autour de lui, c’était le ventre du grand poisson.
Vous parlez d’un bon cas de symptômes, Jonas en avait eus. Je ne pense pas que quelqu’un parmi nous ait pu avoir ce genre de symptômes. Mais savez-vous ce qu’il a dit? Il connaissait Dieu, et il a dit: «Ce sont des vanités mensongères; je ne les regarderai même pas.»
Car il savait qu’à la dédicace du temple de Dieu par Salomon, ce dernier a prié, disant: «Seigneur, si Ton peuple se retrouve en difficultés quelque part, qu’il tourne le regard vers ce saint lieu et qu’il prie, écoute donc des cieux.» Et il avait confiance, avec ce genre de symptômes, il avait confiance dans la prière de Salomon et il croyait que Dieu avait exaucé la prière de Salomon.
19 Et le grand poisson l’a gardé dans son ventre pendant trois jours et trois nuits et l’a vomi juste à l’endroit qu’il fallait. Dieu a simplement fait faire demi-tour au grand poisson et lui a fait faire une course taxi dans la contrée, de Tarsis à Ninive. Et Dieu l’a gardé en vie, car Jonas disait: «Je ne regarderai pas à mes symptômes; je regarderai à Ton saint temple.»
Et si Dieu a fait cela, face à ce genre de symptômes et dans pareille circonstance, à combien plus forte raison le fera-t-Il ce soir dans cette circonstance-ci avec nos symptômes, si nous regardons, non pas à un temple fait de mains d’homme, mais au Temple du Ciel, où Christ est assis à la droite de Dieu, intercédant sur base de notre confession. A combien plus forte raison nous délivrera-t-Il? Je ne regarderai pas à mes symptômes; je regarderai à ce que Jésus a dit. Il a dit: «C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri», et je confesse cela, car Dieu ne peut rien faire pour vous avant que vous le confessiez d’abord. La Bible dit dans Hébreux 3: «Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession.» Or, King James utilise professer. Mais professer et confesser, c’est la même chose.
20 Il ne peut rien faire avant que vous confessiez d’abord qu’Il a fait cela, et que vous acceptiez cela comme votre propre propriété personnelle. Vous ne pouvez pas être sauvé en tapant sur l’autel, ou vous ne pouvez pas être sauvé en payant votre dîme, ou en observant certains jours, ou en vous abs–vous abstenant des viandes. Vous n’êtes pas sauvé par cela. Vous êtes sauvé par la foi, et cela au moyen de la grâce de Dieu. Il vous faut premièrement accepter cela, et croire cela comme votre propriété personnelle, alors vous êtes sauvé. C’est pareil pour la guérison.
Ainsi, ce soir, détournons le regard de nos symptômes, et rappelons-nous que Dieu est toujours vivant, et que Sa promesse est toujours vraie. Et Jésus est assis à la droite de la Majesté divine au Ciel pour intercéder comme Souverain Sacrificateur, pour tout ce que vous confessez qu’Il a déjà fait pour vous, qui était dans la bénédiction de la rédemption. C’est si simple qu’un petit garçon ou une petite fille ici peut comprendre, n’est-ce pas? Il est assis comme Souverain Sacrificateur afin d’intercéder pour tout ce qui est juste que vous Lui demandez.
21 Et Il a dit dans Marc 11.24: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.» Tout, priez et croyez que vous recevez cela maintenant (temps présent) et cela vous sera donné. Vous pouvez recevoir cela, si vous le croyez lorsque vous le demandez, parce qu’Il va rapidement, se mettre à intercéder devant le Père sur base de votre confession. C’est réglé. C’est pourquoi les gens sont guéris juste pendant qu’ils sont assis dans la réunion. Cela n’exige pas le passage d’un évangéliste spécial; il faut juste votre foi dans le Tout Suffisant Christ, l’omniprésent Christ, qui est partout, n’importe où que vous L’invoquiez, Il est là pour faire face aux conditions, un secours qui ne manque jamais au temps de la détresse.
22 Alors, Jésus s’est référé à l’époque de Salomon. Et Dieu, au cours des âges, lorsqu’Il fait un don à Son peuple et que ce don est rejeté, cette nation-là est fichue, cette génération périt. Mais si ça a été... Si c’est–est accepté, alors c’est le–le glorieux temps de leur vie. Et il a parlé du don de Dieu qui est venu à l’époque de Salomon.
Eh bien, Dieu a donné un don à Salomon, et nous savons tous (vous qui lisez la Bible) que c’était un âge d’or pour Israël, l’époque de Salomon. Et aussitôt qu’ils ont vu ce don à l’oeuvre dans Salomon, ayant vu cette grande puissance du discernement, les gens se sont tous rassemblés autour de lui. Et quoi qu’il disait, les gens le faisaient, parce qu’ils croyaient en lui, et ils croyaient qu’il était serviteur de Dieu, et Dieu doit honorer cela. Peu importe ce que Dieu fait, si vous n’approchez pas Son don avec respect, vous n’en recevrez jamais quelque chose.
23 Que serait-il arrivé si Marthe et Marie... Je pense que c’était Marthe, lorsqu’elle est sortie en courant, à la rencontre de Jésus; apparemment, elle avait le droit de Le réprimander. Il l’avait quittée, et son frère était mort. Et encore, Il n’avait pas répondu à son appel, Il a simplement ignoré cela et a continué Son chemin. Mais quand elle est partie Le voir, apparemment, elle aurait pu dire: «Pourquoi n’es-Tu pas venu quand je T’ai appelé.» Si elle avait dit cela, elle n’aurait jamais reçu ce qu’elle avait demandé. Mais elle s’est approchée avec respect, et elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. C’est ainsi que cela doit se passer. Ça doit se passer ainsi, à cause de votre respect. Elle a respecté cela. Elle savait que la femme sunamite était allée vers Elie et elle avait reçu ce qu’elle désirait. Elle savait que si Dieu était dans le prophète Elie, assurément qu’Il était dans Son Fils Jésus.
24 Il y a quelque temps, une femme m’a dit, c’est un membre d’une église dénominationnelle qui ne croit pas que–que Jésus était plus qu’un prophète. Ami, Il était plus qu’un prophète. Il était soit Dieu, soit le plus grand séducteur que ce monde ait jamais connu. Il était Dieu. Alors, cette femme m’a dit: «Monsieur Branham, vous vantez trop Jésus, qu’Il était Dieu.» J’ai dit: «Il était Dieu, et je ne peux pas suffisamment Le vanter à moitié.»
Et elle a dit: «Si je vous prouve par la Bible qu’Il n’était pas Dieu, allez-vous accepter cela?»
J’ai dit: «Certainement, si la Bible le dit. Mais je ne crois pas que vous puissiez le prouver par la Bible.»
Et elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, la Bible dit: ‘Quand Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, Il a pleuré.’» Elle a dit: «Vous voyez, Il ne pouvait pas être plus qu’un homme et puis, pleurer.»
J’ai dit: «Soeur, votre argument est trop léger. Il était à la fois Dieu et homme. Et quand Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, Il a pleuré comme un homme. Mais quand Il s’est tenu là et qu’Il a redressé Son petit corps frêle et a dit: ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est mis debout et a vécu encore, là, c’était plus qu’un homme.»
25 Il était un Homme quand Il est descendu de la montagne, affamé, cherchant quelque chose à manger sur cet arbre-là. C’était un Homme qui avait faim, mais c’était plus qu’un homme, lorsqu’Il a pris cinq pains et deux morceaux de poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes. C’était plus qu’un homme. Il était un Homme quand la vertu était sortie de Lui toute la journée, et qu’Il était couché à la poupe d’une petite barque, il y avait des vagues où dix mille démons de la mer juraient de L’y noyer. Et Lui dormait, Il était fatigué; un Homme. Mais quand Il a placé Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence! Tais-toi!», et que les vents et les vagues Lui ont obéi, c’était plus qu’un homme.
Il était un Homme quand Il implorait la miséricorde au Calvaire, mais Il a prouvé qu’Il était Dieu quand Il a brisé les sceaux et qu’Il est ressuscité de la tombe, et Il a dit qu’Il était Lui-même la résurrection. Il était Dieu manifesté dans la chair, Dieu en Lui.
26 Et cette Marthe, elle avait du respect pour cela et elle croyait en cela. Et à l’époque où Il était sur la terre dans Sa chair, beaucoup ont respecté cela et ils ont reçu Sa récompense. Mais Il parlait à ces gens d’un autre grand peuple qui était venu sur terre, et comment ils avaient respecté cela et ce qu’ils avaient reçu, et ceux qui avaient rejeté cela, ce qu’ils avaient reçu. Et alors, du temps de Salomon, Dieu lui avait donné Son don, et toutes les églises s’étaient rassemblées tout autour de lui. Les nouvelles doivent avoir parcouru toute la nation. Et je me demande bien, en ces derniers jours où le Saint-Esprit descend, les grands réveils, comme celui de Billy Graham, Jack Shuler, Oral Roberts, et beaucoup de ces grands évangélistes, secouent la nation, et que Dieu accomplit de grands signes et des miracles devant les gens, si ce ne serait pas merveilleux si tous pouvaient unir leur coeur et se rassembler autour de cela. Eh bien, le monde entier viendrait à Christ dans une année ou moins. Mais, nous nous divisons simplement, et tant que nous nous tirons les uns sur les autres, Satan se retire et les laisse décharger leurs fusils. Si nous pouvons donc nous unir, unir nos coeurs, nos efforts et nos soucis, nous aboutirons quelque part.
27 Ils respectaient donc ce grand don de Salomon, que Dieu avait donné à Salomon. Et voici qu’il était au temple, accomplissant des oeuvres, et les gens... tous les passants doivent avoir pensé: «Oh! C’est une grande chose.» Et tout le monde (personne ne parlait contre cela), tout le monde était pour cela; ils disaient: «Notre frère Salomon, Dieu lui a donné un grand don, et, oh! vous devriez venir voir cela», à tous les passants, et la nouvelle s’est répandue partout.
Et là loin, dans le sud, dans le pays de Séba, il y avait une petite reine, une petite reine païenne, apparemment tout le monde qui passait par chez elle disait: «Il vous faut voir les grandes oeuvres qui s’accomplissent en Israël. De grands et puissants miracles sont accomplis par un homme qui a un don de la part de leur Dieu, il s’appelle Salomon. Oh! Sa sagesse est sans pareille. Son discernement est parfait; jamais un cas n’a failli. Il l’exerce parfaitement.
28 Vous savez, la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Et vous savez, la Bible dit que nous sommes le sel de la terre. Et si ce sel garde encore sa saveur et que cela entre en contact, cela a de la saveur. Mais si ce sel a perdu sa force, si nos témoignages sont très irréguliers, et qu’un jour, nous sommes en haut et que le jour suivant, nous sommes en bas, et qu’aujourd’hui nous croyons et que le jour suivant nous ne croyons pas, comment un pécheur peut-il trouver quelque chose si nous ne sommes pas fidèles? Voyez? Nous devons prendre position pour Dieu, et y rester jusqu’à ce que mort nous libère.
29 Alors, cette petite reine a appris cela, elle a dit: «Oh! Je me demande si c’est effectivement vrai.» Finalement donc, elle a décidé d’aller voir de ses propres yeux. J’aime ça; ne prenez pas juste ce que quelqu’un d’autre dit là-dessus; venez découvrir de vous-même, comme Nathanaël l’a fait dans notre message d’hier soir.
Ainsi, comme l’enthousiasme commençait à l’attirer davantage, le temps approchait où elle allait décider de partir.
Eh bien, rappelez-vous, elle avait beaucoup d’opposition. Elle était une païenne. Et que pensez-vous que l’évêque de son église païenne aurait dit, si elle lui avait dit qu’elle allait dans un autre pays pour écouter un autre prédicateur? Que s’était-il passé, à votre avis? Eh bien, elle avait tout ça à affronter. Eh bien, peut-être que le pape de son église, ou un évêque, ou quelque chose de ces... de ses temples pouvait dire: «Eh bien, juste un instant, reine, tu vas souiller toute notre nation, si tu y vas.»
30 Mais, vous savez, il y a là quelque chose qui fait que quand Dieu se met à parler à un coeur, il n’y a rien qui puisse empêcher cela de découvrir ce qui appelle, quand Dieu se met à appeler. Et elle a peut-être dit au prêtre, je suppose: «Monsieur, je vais bien aller découvrir moi-même. Tenez, nous voici, adorant un vieux tas de credos morts qui nous ont été transmis, et nous ne voyons rien d’autre que de la théologie et des écrits sur des tablettes, ou quelque chose comme cela, mais on me raconte que leur Dieu est réel et qu’Il se manifeste directement en public.» J’aime un tel Dieu, pas un Dieu de l’histoire, un Dieu du temps présent, un Dieu qui est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ce qu’Il était hier, Il est le même aujourd’hui à tout point de vue.
Et elle a dit: «J’aimerais aller voir.»
«Eh bien, si tu y vas, nous t’excommunierons.»
«Bon, vous feriez tout aussi mieux de vous y apprêter, car j’y vais de toute façon.» Alors, elle a dit: «Eh bien, si je vais, et que je découvre que c’est vrai, alors, il y a une chose que je vais faire: je soutiendrai cela avec tout ce que j’ai.» Elle a donc chargé quelques chameaux d’or, de la myrrhe, de l’encens et des objets précieux. Mais d’abord, elle avait gardé ses dons jusqu’à ce qu’elle ait découvert si c’était la vérité ou pas, si c’était une petite affaire louche ou un petit... une espèce d’émotion qui était suscitée. Elle voulait se rassurer si c’était la vérité. Si tout ce dont elle avait entendu parler, si cela se manifestait et que ça se confirmait, alors elle était pour cela. C’est une bonne approche raisonnable.
31 Si la Parole le dit, ou si c’est quelque chose de promis, et que cette promesse s’accomplit, alors, il n’y a rien à dire, mais vous devez croire, sinon être égaré, non aliéné. Remarquez, elle a chargé ses chameaux, et elle a tout apprêté pour partir. Et alors, rappelez-vous, elle avait un long voyage à effectuer. Elle n’avait pas juste à traverser la ville; elle avait à effectuer un voyage d’environ trois mois dans un désert chaud. Mesurez la distance de la Palestine jusque là. Et elle n’avait pas une cadillac climatisée ni une bonne voiture climatisée à bord de laquelle voyager, mais elle devait s’asseoir sur le dos d’un chameau. Mais puisque quelque chose faisait pression dans son coeur, elle s’est mise en route malgré les circonstances.
32 Et si Dieu vous dit ce soir qu’Il est présent, qu’Il est le Dieu qui vous guérit, il n’y a personne qui peut vous en dissuader. Et s’Il chuchote au pécheur qu’il est sauvé et qu’Il est son Sauveur, il n’y a pas assez de docteurs en théologie dans le pays pour vous en dissuader. Vous le savez. Chaque croyant a un lieu sacré, derrière le désert, qu’il peut désigner de doigt et dire: «C’est là que j’ai rencontré Dieu.» Si ce n’est que de la théologie, on peut vous en dissuader, mais cela est impossible quand vous avez eu ce genre d’expérience: avoir rencontré Dieu et avoir une vie changée.
33 Quelque chose lui était donc arrivé. La profondeur appelait la profondeur. Et si la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. Comme David l’a dit: «A la bouche de Tes ondées... au bruit de Tes ondées» plutôt...
S’il y a ici à l’intérieur une profondeur qui appelle, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il a dû y avoir premièrement de l’eau où il devait nager en se servant de cette nageoire, sinon il n’aurait pas eu de nageoire. Avant qu’il y ait un arbre dans la terre, il a dû y avoir premièrement une terre où il devait croître, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre.
Qui a existé le premier, un pécheur ou un Sauveur? Qui a existé le premier: une maladie ou un Guérisseur? Béni soit Son Saint Nom. C’est Lui qui a existé le premier! Il y avait un Sauveur qui devait s’exprimer, et c’est pourquoi Il laisse cela arriver pour se glorifier aux yeux de Ses sujets, pour leur faire savoir qu’Il existe.
34 Remarquez, il y a quelque temps, je lisais dans un journal un article qui racontait qu’un petit garçon mangeait les gommes de crayon à l’école. Et le maître a envoyé un mot à sa maman et lui en a fait part. Et un jour, à la surprise de la maman, le petit garçon était dehors, sous la véranda de derrière, mangeant la pédale d’une bicyclette. Elle fut alors alarmée. Elle prit le petit garçon et l’amena à la clinique. Et les médecins lui firent passer un examen, et ils finirent par découvrir que son petit organisme avait besoin de soufre. Or, le caoutchouc contient du soufre. Donc, vous voyez, avant qu’il puisse y avoir un besoin impérieux du soufre, il a dû y avoir premièrement du soufre pour satisfaire à ce besoin impérieux, sinon il n’aurait pas éprouvé ce besoin impérieux. Et vous êtes ici ce soir parce que vous croyez qu’il existe un Dieu qui peut guérir. Et avant qu’il y ait une création, il a dû y avoir un Créateur qui a créé cette création. Et la raison même pour laquelle vous êtes ici, c’est un signe qu’il y a une fontaine ouverte quelque part, sinon vous n’aurez jamais eu le désir de venir. Quelque chose est en train de tirer. C’est un Dieu Créateur qui cherche à vous amener dans la Présence de Son Etre, afin que vous reconnaissiez cela comme Sa bonté et Sa miséricorde envers vous.
35 Et c’était le même Dieu qui avait parlé à la petite reine, lui faisant savoir dans la sincérité de son coeur, qu’Il était Dieu. Et elle décida d’aller, à tout prix. Et elle savait donc qu’elle–qu’elle soutiendrait cela. C’est comme ça; si c’est vrai, soutenez cela. Si ce n’est pas vrai, n’ayez rien à faire avec. Elle a donc chargé les chameaux. Et autre chose qu’elle avait à affronter, elle devait traverser le désert avec toute cette richesse.
Or, pensez-y, trois mois dans le désert, alors que certaines personnes ici à Hartford ne traverseront même pas la rue pour voir la même chose. «Oh! Il pleut abondamment.» Ou: «Mon église n’y collabore pas.» Qu’en sera-t-il, au jour du Jugement, quand cette petite reine se tiendra à côté de vous? Qu’en sera-t-il quand Salomon se tiendra là, que Jonas se tiendra là ainsi que toute Ninive qui s’était repentie après sa prédication?
36 Si vous comprenez la petite histoire, le dieu de Ninive était le grand poisson, et quand le grand poisson a expulsé le prophète juste devant les pêcheurs, et qu’il l’a vomi là sur la rive, ce fut un miracle. Beaucoup de choses sont providentielles; c’était la volonté de Dieu que Jonas descende là comme ça. Il devait accomplir un miracle.
Et c’est ce qu’Il fait aujourd’hui: accomplir un miracle, la résurrection de Son Fils après mille neuf cents ans. Il reste le même, et la génération méchante et adultère voit cela. Que deviendront-ils au jour du Jugement, alors que ceux de Ninive, qui ne savaient pas distinguer leur main droite de la main gauche, s’étaient repentis à la prédication de Jonas? Combien plus grand est-ce aujourd’hui? Et la petite reine, elle a commencé...
37 Maintenant, autre chose, elle avait toute cette richesse, et les enfants d’Ismaël opéraient dans le désert, et ils étaient des voleurs. Quelle proie facile! Eh bien, ils pouvaient enlever ce grand groupe de cavaliers agiles, avec leurs lances, et monter sur sa petite caravane là, les tuer, et s’emparer de toute cette richesse. Elle avait cela à affronter.
Or, vous n’avez pas à affronter cela en traversant la rue ou en parcourant la ville, ou en venant d’un lieu proche. Vous n’avez pas à passer trois mois, traversant un désert chaud, assis sur le dos d’un chameau. Or, en toute sincérité, je me demande ce soir combien ici présents effectueraient ce même voyage. Pensez-y.
Mais elle l’a effectué, elle une païenne, ayant appris qu’il y avait un Dieu vivant qui avait manifesté un don sur la terre. Elle est venue voir le don de Dieu à l’oeuvre dans un homme. Et elle a effectué son voyage, abandonnant ses amis, son prêtre, tout, parce que Dieu tirait dans son coeur.
Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.»
38 Tout Hartford ne sera pas sauvé. Il y aura des millions de membres d’église, à travers le monde, qui périront bien avec le monde. Or, rappelez-vous, ceux que Dieu a choisis pour être sauvés, il n’y aura pas assez de puissance en enfer pour les empêcher de venir à Jésus. Et Dieu se manifestera malgré tout. Il se manifeste... Le monde entier a eu une opportunité, mais ils ne vont pas recevoir cela. Jésus l’a dit: «Etroite est la porte qui mène à la vie, spacieux est le chemin qui mène à la perdition, et il y en a beaucoup qui entreront par là, et il y en aura très peu qui seront sauvés. Ce qui arriva du temps de Noé, et du temps de Lot, arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Il n’y a rien qui puisse anéantir cela. Cela a été dit, et c’est Dieu. Et Sa–Sa Parole est tout aussi éternelle que Lui.
39 Maintenant, la voilà venir, et elle ne venait donc pas en disant: «J’y vais m’asseoir dix minutes, et si je n’apprécie pas le style de prédication de ce prédicateur Salomon, je me lèverai pour sortir. S’il dit quelque chose de contraire à notre théologie, je vais partir; je ne vais simplement pas rester là à écouter cela. (Ça en serait là la version 1958.) Je verrai s’il dit quelque chose de contraire à notre credo.» Ce n’est pas ce qu’elle avait dit.
«Je ne peux aller que pour une soirée, parce que nous devons avoir une partie de cartes et il nous faut faire des arrangements cette soirée pour voir... (C’est quoi cette émission télévisée?) Nous aimons Suzy», ou quelque chose comme cela. Pouvez-vous vous imaginer des gens affamés rester là pour suivre de telles sottises du genre Arthur Godfrey, Elvis Presley, et se dire chrétiens tout en écoutant de tels non-sens? Cela montre ce qui est dans votre coeur.
La Bible dit: «Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous.»
40 Non, elle n’est pas venue pour rester juste une heure ou à un seul service du soir; elle a établi son camp, et elle est restée là jusqu’à ce qu’elle fut convaincue. J’aime ça. Elle est venue pour rester jusqu’à ce que ça soit terminé. Elle a simplement amené ses servantes, et tout; elle a donc établi son camp et elle est restée là. Je peux la voir là dans les cours, et ils ont demandé: «A quand la prochaine réunion?»
«Pour ce soir; on vient de terminer, reine.»
«Mais, Salomon... Eh bien, est-il un saint?»
«Non. C’est juste un homme.»
«Est-il saint?»
«Non, il y a un Dieu saint qui traite avec lui.»
«Eh bien, j’aimerais voir qui il est.»
«Allez simplement à la réunion du matin. Vous le verrez.»
41 Je peux voir la petite reine se trouver un siège et s’asseoir, et Salomon est sorti. Et tout le monde parlait là: «Oh! C’est une petite chose, vous devriez voir notre Dieu à l’oeuvre au travers de notre frère.» Ne serait-ce pas merveilleux d’avoir une telle église? Ne serait-ce pas merveilleux de voir même notre nation oeuvrer ensemble dans l’harmonie, et reconnaître que notre Dieu vit toujours et règne comme par le passé, accomplissant les mêmes oeuvres? Les nations afflueraient ici, de partout. Et c’est pourquoi nous avons le communisme. J’ai pitié d’eux. C’est la faiblesse des églises en Russie qui était à la base du communisme.
42 Il y a madame Isaacson, mon interprète finlandais, qui est assise ici dans cette salle ce soir, je pense; elle était là en Finlande quand la vision s’était accomplie et que ce petit garçon était ressuscité d’entre les morts; il était étendu au bord de la route; c’était une vision qui avait été annoncée deux ans avant qu’elle se produise. Et ce soir-là, on faisait entrer vingt-cinq mille dans le Messuhalli, et puis, on les faisait sortir pour me permettre de parler à un autre groupe de vingt-cinq mille. Quand je descendais la rue, les soldats russes se tenaient là. (Et quand je passais là à côté, un petit soldat finlandais essayait de me protéger contre la foule pour que j’atteigne Messuhalli.) Ils se tenaient là, exécutant le salut russe, les larmes leur coulant sur les joues, et ils disaient: «Nous recevrons un tel Dieu.» Certainement, un Dieu puissant, mais leurs credos ne sont pas plus que les nôtres.
Et j’ai vu, de mes propres yeux, des soldats russes entourer de leurs bras des soldats finlandais et ils se tapotaient dans le dos, s’embrassaient au cou et s’appelaient frères. Et toute puissance qui fera qu’un Russe et un Finlandais s’embrassent mettra définitivement fin aux guerres; c’est ça le problème. Christ est la réponse. Vous n’y arriverez jamais en distribuant des tracts ou en enseignant la théologie. Ça sera la puissance de Sa résurrection qui leur prouvera que Christ vit toujours.
43 Elle est venue voir. Je peux bien m’imaginer, juste avant que le service commence, la nervosité de la petite reine. Elle a commencé à se demander: «Eh bien, advienne que pourra, je vais passer plusieurs jours. Je vais rester jusqu’à découvrir si c’est vrai ou pas. Je ne vais pas me faire une idée, peut-être, la première fois, alors que, peut-être, il pourrait se passer ce matin quelque chose que je ne pourrais pas comprendre, mais je reviendrai. Je resterai jusqu’à la fin du service. Je vais tout voir.»
Et quand on faisait passer des cas devant Salomon, et que l’Esprit de Dieu était là pour discerner ce cas, cette petite femme observait. Elle a attendu, et quand elle fut complètement convaincue, elle s’est levée un matin, et elle a dit: «Tout ce que j’avais appris était la vérité, et c’est plus vrai que ce que j’avais appris. Car ce que j’ai vu dépasse ce dont tout le monde témoignait.» Et Jésus a dit qu’elle se lèvera au jour du Jugement et condamnera cette génération de sacrificateurs et des gens qui fréquentaient l’église. Et elle...
44 Jésus a dit cela à son sujet concernant cette génération-là; à combien plus forte raison cette reine se lèvera-t-elle aujourd’hui contre la génération dans laquelle nous vivons, et condamnera-t-elle cette bande de gens qui fréquentent l’église, qui se moquent et taxent l’Esprit de Dieu de télépathie mentale ou de quelque chose comme cela? Oh! Quelles heures critiques dans lesquelles nous vivons!
Et maintenant, j’aimerais que vous vous rappeliez, Jésus a promis que la génération faible et adultère recevrait un signe, et que ce serait le signe de la résurrection. C’est ce que déclare la Bible. Et qu’est-ce que la résurrection? C’est Jésus-Christ qui se manifeste le même hier, aujourd’hui et éternellement, accomplissant la même oeuvre qu’Il faisait, ou être taxé du même nom que Lui, autrefois, l’Esprit de Dieu taxé de chose impure, cela condamnerait la génération des incroyants et sauverait la génération qui a cru.
45 Ceux qui s’étaient moqué de ce que la pluie de Noé tomberait, la pluie a noyé le monde méchant et a sauvé Noé. Le même Esprit, aujourd’hui, que le monde taxe de fanatisme et d’une espèce de nom démoniaque qui a été collé à l’église, disant que c’est une bande d’illettrés, h-r, holy-rollers [Saints qui se roulent par terre sous l’effet de l’Esprit]... J’ai survolé les sept mers et je suis allé dans chaque nation sur la terre, pratiquement, et je n’ai jamais vu un holy-roller, ça n’existe pas. C’est un nom que le diable a collé à l’Eglise du Dieu vivant, ce n’est qu’un épouvantail.
Où place-t-on un épouvantail, à un arbre aux pommes aigres? On laisse les oiseaux picorer cela. Mais l’épouvantail est placé à un bon arbre, qui est précieux. Et Dieu a un arbre qui est précieux; c’est Son Fils ressuscité qui est parmi nous ce soir, dans la puissance du Saint-Esprit, pour faire et accomplir ce qu’Il avait fait quand Il était ici sur terre. C’est Sa Parole, Sa promesse.
46 Qu’allons-nous faire, lorsque nous viendrons? Allons-nous prendre position et occuper notre place en tant que croyants, s’Il accomplit ce qu’Il avait accompli? S’Il nous montre, comme je l’avais dit hier soir, le même signe par lequel Il leur avait prouvé qu’Il était le Messie, s’Il accomplit les mêmes oeuvres, de telle manière que le monde pourra dire que c’est du diable, ou quelque chose comme cela, pour qu’ils soient condamnés et que vous, vous soyez sauvés... Je me demande si nous allons nous tenir, prendre position pour Lui.
Il y a quelque temps, environ cinquante ans, en Amérique Centrale, il y avait un évangéliste (Et je termine), et son nom était Daniel Green. Il eut un songe, une nuit, qu’il était mort et qu’il était allé au Ciel. Et quand il est arrivé à la porte, le gardien est sorti et lui a dit: «Qui es-tu, toi qui t’approches de cette porte?»
Il a répondu: «C’est moi Daniel Green.» Il a dit: «J’étais un grand évangéliste américain. J’ai contribué au salut des milliers d’âmes.»
Il a dit: «Juste un instant, monsieur.» Et il est entré, il a consulté le Livre, il a dit: «Je n’ai pas ton nom, monsieur Green.»
«Oh! a-t-il dit, sûrement que vous l’avez.»
Il a dit: «Non, il n’est pas ici.»
Il a dit: «Eh bien, que puis-je faire?»
Il a dit: «Tu peux interjeter appel pour ton cas au Jugement du grand Trône blanc, si tu le désires. C’est l’unique espoir que vous avez.»
Il a dit: «Eh bien, si c’est mon seul espoir, je dois le faire.»
47 Et il a dit qu’il s’était senti se déplacer, traversant l’espace pendant quelque temps. Peu après, il commençait à faire clair, plus clair, plus clair. Et plus il faisait clair, moins il se mettait à avancer. Et finalement, il s’est arrêté. La Lumière ne provenait de nulle part, mais Elle était simplement partout. Et il a entendu une voix; il a dit: «Oh! Quel endroit où se tenir!»
Et il a entendu une Voix dire: «Daniel Green, j’apprends que tu as interjeté appel pour ton cas à Mon Trône du Jugement.» Il a dit: «Oui, Seigneur. J’ai interjeté appel pour mon cas devant Ta justice.»
Il a dit: «Je vais alors te juger selon Mes lois.» Il a dit: «Daniel Green, n’as-tu jamais proféré un mensonge quand tu étais sur terre?»Il a dit: «Si jamais je pensais avoir fait quelque chose, c’était d’être un homme loyal. Mais, a-t-il dit, dans la Présence de cette Lumière-là, j’ai vu que j’avais dit des choses qui n’étaient pas correctes.» Il a dit: «Oui, Seigneur, je–je l’ai fait. J’ai menti.»
Il a dit: «Alors Daniel Green, n’as-tu jamais volé?»
Il a dit: «Je pensais avoir été honnête, mais dans la Présence de cette grande Lumière, j’ai vu beaucoup de petites affaires louches que j’avais traitées.» Il en sera de même pour vous ou pour moi.
48 Ça peut paraître en ordre pendant que vous êtes assis ici dans l’auditorium de cette école; ça peut paraître en ordre là dans votre église, mais dans la Présence de cette Lumière, il y aura des choses que vous aviez oubliées il y a longtemps, dont vous vous souviendrez. Il peut y avoir de petits moments où vous avez dit: «Cette bande de holy-rollers; je n’aurai rien à faire avec eux.» Vous avez oublié cela il y a longtemps, mais cela est toujours là, ça continue à vivre.
«Oh! Je crois que c’est du non-sens; je crois que c’est de la télépathie mentale.» Cela vous rencontrera à la barre du Jugement. Certainement. Vous serez jugé là de la même manière que vous Le jugez.
49 Et puis, il a dit: «Une voix s’est fait entendre, disant: ‘Daniel Green, étais-tu parfait quand tu étais en vie?»
«Oh! a-t-il dit, non, Seigneur, j’étais loin d’être parfait.» Il a dit: «Je m’attendais à entendre une détonation: ‘Retire-toi de Moi, toi pécheur horrible.’» Et il a dit: «J’ai senti comme si chaque os en moi se désarticulait, je faisais attention pour entendre cette forte détonation et me voir m’enfoncer dans l’enfer du diable.» Il a dit: «J’ai entendu la plus douce Voix que j’aie jamais entendue de ma vie.» Et il a dit: «Quand je me suis retourné pour regarder, j’ai vu le visage le plus doux que j’aie jamais vu.» Il a dit: «La voix ou le visage d’aucune mère ne peut paraître aussi doux.» Et il a dit: «Il s’est approché de moi, il a fait passer Son bras autour de moi, et Il a dit: ‘Père, c’est vrai. Daniel Green n’était pas parfait sur la terre, mais il y a une seule chose qu’il avait faite: quand il était sur la terre, il avait pris position pour Moi, et maintenant, Je vais prendre position pour lui ici.’»
Ô Dieu, que ce soit le cas pour moi ce soir, malgré toutes mes erreurs, malgré tout, que je prenne position pour Lui, car en ce jour-là, j’aurai besoin qu’Il prenne position pour moi.
50 Je me demande ce soir, si vous êtes mourant, ami pécheur, qui prendra position pour vous. Votre pasteur ne le peut pas; votre mère ne le peut pas; ou un saint ne le peut pas. Il faut Christ, et Lui seul. Pensons-y, pendant que nous inclinons la tête, juste un instant pour la prière. Il se peut que vous soyez venu voir un don de Dieu comme l’a fait la reine de Séba. J’aimerais vous poser une question pendant que vous priez. Voudriez-vous dire: «Sonde-moi, ô Dieu, et vois maintenant; je n’ai jamais vu cela arriver, mais je viens d’arriver dans les cours. Je sais qu’il n’y a rien dans ce petit homme qui se tient à l’estrade, mais je suis venu par la foi, m’attendant à voir quelque chose se produire. Et je sais que Tu le feras. Et, Seigneur, je veux T’accepter comme mon Sauveur, et je veux prendre position pour Toi, maintenant même, afin qu’en ce jour-là, Tu prennes position pour moi.»
51 Combien ici présents vont rapidement... Nous ne pouvons pas vous faire venir ici, mais voudriez-vous juste lever la main pour dire par là: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi»? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Oh! la la! Trente, quarante mains, cinquante, oui, peut-être plus que ça. «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je veux maintenant accepter Christ comme mon Sauveur personnel. Je veux prendre cette position toute suffisante pour Lui maintenant même. Je crois que je suis dans Sa Présence, et je veux prendre position pour Lui, afin qu’Il prenne position pour moi en ce jour-là.»
Y en aura-t-il d’autres qui aimeraient lever la main? Là-haut au balcon, levez la main. Jeunes gens, vous êtes juste à la croisée des chemins de la vie. Ecoutez, soeur et frère, oh! c’est votre heure. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est un acte de bravoure. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse là-bas. C’est bien.
52 Vous direz: «Frère Branham, qu’est-ce que ça fait, quand je lève la main?» Cela vous fait passer de la mort à la Vie. Si vous êtes sincère, je vous crois sur parole, et Dieu aussi.
Vous savez, selon la science, vous ne pouvez pas soulever votre main; la gravitation est censée retenir votre main vers le bas, le long de votre flanc. Mais quand vous défiez la gravitation, en levant la main vers votre Créateur, cela montre qu’il y a en vous un Esprit qui a pris une décision. Et vous avez défié les lois de la nature, vous... Que Dieu vous bénisse, monsieur. Vous avez défié les lois de la gravitation et vous avez levé votre main vers le Créateur, que vous croyez que c’est Lui qui vous crée... que c’est Lui qui vous a créé et pour dire: «Je T’accepte maintenant, Seigneur, comme mon Sauveur.» Dieu inscrit votre nom dans le Livre, à la minute même où vous le faites. Vous passez de la mort à la Vie.
53 Regardez bien ce qui se passe ici ce soir. Que s’est-il passé? Priez maintenant. Peut-être qu’il y en aurait un autre, ou peut-être plus, qui aimeraient dire par la main levée, pendant que tout le monde a la tête inclinée, prier: «Ô Dieu, je lève maintenant la main, pas vers le prédicateur, mais vers Toi, Seigneur. Je suis convaincu que Tu es le Fils de Dieu, et je veux que Tu sois mon Sauveur, et je lève la main pour prendre position pour Toi ce soir.» Levez la main, s’il vous plaît, pendant que nous prions. Oui, que Dieu vous bénisse, là derrière, monsieur. C’est très bien. Que Dieu te bénisse, petit enfant. Peut-être que Dieu n’a jamais... vous n’avez même jamais vu le Saint-Esprit agir puissamment, mais vous L’acceptez quand même à l’avance. Celui qui n’a jamais vu et qui pourtant croit à la résurrection, est plus grand. Que Dieu vous bénisse, monsieur, par ici. Certainement.
54 Maintenant, est-ce fini avec vous là-haut? Je crois bien ceci, que Dieu a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire. Et tout celui qui vient à Moi, Je lui donnerai la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.» Saint Jean 5.24 dit: «Celui qui écoute Ma Parole (Or, Il [En anglais, c’est He, la Bible rend par Celui] est un pronom personnel, pas une église, un groupe de gens, une personne.) Celui qui écoute Mes Paroles et croit en celui qui M’a envoyé, a (au temps présent) la Vie Eternelle, et ne viendra point en jugement; mais il est passé de la mort à la Vie.
Alors, les nuages sombres de la mort qui se sont dissipés d’au-dessus de cinquante ou soixante-quinze personnes ici présentes ce soir et les nuages clairs de la lumière qui sont venus sur eux... Prions:
55 Ô Adorable Dieu, mon coeur est ravi de voir la petite assemblée des gens, simplement une poignée de gens rassemblés ici ce soir, et beaucoup d’entre eux qui entendent juste la Parole, prendre leur position. Ils sont même devenus plus grands que la reine de Séba; elle attendait voir la puissance de Dieu à l’oeuvre dans Salomon. Mais ces gens n’ont pas attendu; ils croient la Parole, et ils ont confessé leurs fautes, et ils ont accepté Jésus comme leur Sauveur personnel.
56 Ô Dieu, c’est un nouveau jour et une nouvelle Vie pour eux. Bénis chacun d’eux. Ils sont à Toi, Seigneur. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... les a tiré de la prédication du Message. Ils sont les trophées du message de ce soir et de Ta grâce. Et maintenant, Tu les as donnés à Ton Fils comme une offrande d’amour. Nul ne peut les arracher de mains. Un jour, si jamais je ne serrais ces mains qui se sont levées ce soir, je crois que quand la vie sera complètement terminée, et que la grande table sera dressée au Souper des noces, et que les larmes de joie couleront de nos joues, alors le Roi apparaîtra, essuiera toutes les larmes de nos yeux et dira: «Mes enfants, ne pleurez plus; tout est terminé. Entrez dans la joie du Seigneur, qui a été préparée pour vous depuis la fondation du monde.»
57 Je crois que je leur serrerai la main là-bas. Ô Dieu, bénis-les, ils sont à Toi. Donne-leur le meilleur que Tu as pour eux dans Ton Royaume, Seigneur. Accorde qu’ils mènent une longue vie, qu’ils soient en bonne santé, qu’ils soient heureux et qu’ils Te servent tous les jours de leur vie. Qu’ils soient les phares dans la communauté où ils vivent, dans la ville et dans leurs églises. Accorde-le, Père, ils sont à Toi maintenant. Au Nom de Ton Fils, Jésus, je Te les présente comme les trophées du Message. Amen.
58 Oh! Il y a dans l’Evangile quelque chose qui vous récure simplement. Vous sentez-vous ainsi à ce sujet? [L’assemblée dit: «Amen.» - N.D.E.] C’est si simple, tellement si simple que cela passe par-dessus la tête de gens qui cherchent quelque chose, une certaine grande chose, mais c’est simple.
Maintenant, nous allons former la ligne de prière et prier pour les malades, et croyez que Dieu guérira les malades et les affligés qui sont dans la salle ce soir.
Maintenant, je souhaiterais que vous restiez tout aussi calmes que possible. Et combien ici présents se sentent vraiment bien dans leur âme? Levez simplement la main. Oh! C’est très bien. Que Dieu vous bénisse, mes chers amis.
Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Le Seigneur Jésus, quand Il était ici sur terre, Il a promis dans notre message de ce soir que cette génération dans laquelle nous vivons maintenant verra le signe de la résurrection. Ce sera l’unique signe qui sera donné à cette génération, ce sera le signe de la résurrection. Les Ecritures enseignent que Jésus reste le même hier, aujourd’hui et éternellement: Hébreux 13.8.
59 Combien sont ici pour la première fois et n’étaient pas ici hier? Faites voir la main, partout dans la salle ce soir. Eh bien, c’est une bonne chose; la–la foule qui était ici hier soir n’est pas revenue. Les deux tiers d’entre eux sont des nouveaux venus.
Eh bien, hier soir, je parlais de... Je suppose que le docteur Vayle vous a expliqué ce soir que Jésus ne prétendait pas accomplir les oeuvres de Lui-même, mais c’était par la vision qu’Il avait que Son Père Lui montrait quoi faire. Croyez-vous cela? Saint Jean 5.19. Jésus a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»
60 Si vous remarquez bien, Il est passé à un–un endroit où il y avait une grande foule, peut-être plusieurs milliers de gens. Les historiens nous rapportent que les gens étaient étendus à cette piscine de Béthesda, et quand les anges agitaient l’eau, ils se donnaient des coups en cherchant à entrer le premier pour éprouver leur foi devant l’Ange. Et, rappelez-vous, une fois que le premier était guéri, toute la force de l’ange était partie jusqu’à une autre saison. Ils attendaient, peut-être, des mois. Un homme avait attendu pendant des années. Et Jésus est passé à ce même endroit, alors que quelques jours auparavant, une femme avait touché Son vêtement; Il s’est retourné, Il a demandé: «Qui M’a touché?»
Et tous avaient nié cela. Et Jésus a dit: «Mais Je me suis senti faible; la vertu est sortie de Moi.» Et Il a promené le regard sur l’assistance, jusqu’à repérer la personne qui L’avait touché. Il a dit... Il lui a révélé sa maladie, et lui a dit que sa foi l’avait guérie.
61 Eh bien, là, c’était Jésus hier. La Bible dit qu’Il est le même aujourd’hui et qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Si ce n’est pas la vérité, alors je–je déposerai ce Livre et je partirai d’ici, parce que si ce n’est pas la vérité, je ne veux rien à voir à faire avec. Mais voici ce que j’ai trouvé, que chaque Parole est la Vérité. Vous pouvez reposer votre âme... Il se peut que je n’aie pas la foi de faire agir tout cela comme il faut, mais je le crois de toute façon. Je ne ferai jamais obstacle... Il se peut que je n’aie pas la foi de marcher comme Enoch autrefois, faire une petite promenade et rentrer à la maison un après-midi, sans devoir passer par la mort. Il se peut que je n’aie pas ce genre de foi; il se peut que je n’aie pas assez de foi pour faire tomber les murs de la ville par des cris comme Josué, mais je ne ferai jamais obstacle à quelqu’un d’autre qui a cette foi-là. Je vais–je vais remercier Dieu pour ce genre de foi. Je L’aime pour ce que j’ai comme foi, et je demande davantage.
62 S’Il est donc le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que quand la femme L’a touché, Il ne savait pas ou... Il ne peut pas mentir, Il était Dieu. La femme L’avait donc touché, et Il a dit: «Qui M’a touché?»
Et Pierre a dit: «Eh bien, toute la multitude Te touche?» C’est ce qu’Il fait aujourd’hui.
Mais Il a dit: «J’ai connu que la vertu est sortie de Moi. (C’est la force.) Je suis devenu faible.» Et Il a promené le regard sur l’eau dans la piscine (c’est plutôt l’ange) sur l’eau, Il a dit: «Eh bien, Je–Je suis devenu faible.» Il a donc vu la femme et lui a parlé.
Eh bien, s’Il est le même, la Bible dit dans l’Epître aux Hébreux: «Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités.» Combien de lecteurs de la Bible peuvent dire: «Amen», maintenant même? [L’Assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Eh bien alors, s’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur, Il doit agir comme Il avait agi à l’époque, pour être le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai? Il ne fait que ce que le Père Lui montre.
63 Or, soit Il a dit la vérité, donc, Il n’a jamais accompli un seul miracle avant que Dieu lui ait montré en vision quoi faire, d’après Sa propre Parole, Saint Jean 5.19. Sondez les Ecritures. Aucun prophète n’a jamais accompli quoi que ce soit au hasard, c’est toujours Dieu. Aucune chair ne peut se glorifier devant Dieu.
Et Jésus ne se disait pas un Guérisseur divin. Non, Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi. Il Me montre, ou Il fait l’oeuvre. Je ne fais qu’exécuter ce qu’Il Me montre à faire.»
Et Il se tenait au milieu des multitudes de gens, et les gens venaient à Lui, et Il savait qui ils étaient, leurs noms, d’où ils venaient, ce qu’ils avaient fait dans leur vie. Combien savent cela? Pouvez-vous dire: «Amen?» [L’Assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
64 La femme au puits, Il lui a parlé et Il lui a dit quel était son péché. Et elle est entrée dans la ville en courant, elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait, ne serait-ce point le Messie?» Cette femme connaissait plus au sujet de Dieu que la moitié de prédicateurs au monde aujourd’hui. C’est vrai. Bien que prostituée, elle était mieux enseignée. Elle connaissait plus à ce sujet que tous les pharisiens religieux instruits de son époque.
Ils ont dit: «Ça, c’est un démon. Eh bien, cet Homme... C’est un démon. Il est un diseur de bonne aventure.»
Mais qu’avait dit le diable à ce sujet? «Nous savons qui Tu es, le Saint de Dieu.»
65 Qu’en est-il là-haut quand Jé-... Quand Paul et Silas faisaient les oeuvres de Dieu, et que cette petite diseuse de bonne aventure a couru là et a dit... Eh bien, tous les prédicateurs disaient: «Ces hommes sont horribles; ils bouleversent le monde.» C’étaient des hommes religieux. Mais cette drôle de petite diseuse de bonne aventure a dit: «Ce sont des hommes de Dieu, ils nous annoncent la voie de la Vie.» Qui disait vrai, les prédicateurs ou le démon? C’est assez tranchant, mais c’est la vérité. Qui disait vrai quand on criait: «Ôtez un tel Homme, ôtez un tel Homme. Il n’est qu’un Béelzébul»?Et le démon a dit: «Nous savons qui Tu es, le Saint de Dieu. Pourquoi viens-Tu nous tourmenter avant que notre temps arrive?» Qui connaissait le plus, Caïphe ou Satan? Satan. Voyez, ils sont tellement liés par la Parole, tellement liés par l’église qu’ils ne peuvent pas en accepter le côté spirituel. Cela leur passe par-dessus la tête.
66 Ecoutez, lorsque Philippe est allé, il a trouvé Nathanaël et l’a amené... l’a trouvé sous un arbre; il est venu vers Jésus, et Jésus allait se manifester devant la race juive, et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»
Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Qu’a-t-il dit? «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»
Il a dit: «Parce que Je t’ai dit cela, tu Me crois?»
Qu’a dit la femme? «Cet Homme m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?» C’était le signe du Messie.
67 Pierre est venu, il ne savait guère distinguer la main droite de la main gauche, il ne pouvait pas écrire son nom, un homme du peuple sans instruction. Il est venu devant le Seigneur Jésus, et Jésus l’a regardé, Il a dit: «Ton nom est Simon, et désormais tu seras appelé Pierre; et le nom de ton père, c’est Jonas.»
Que pensez-vous qu’il avait eu comme pensée? Certainement. C’est Jésus hier. Il s’est manifesté et Il s’est révélé devant les Juifs et devant les Samaritains. Il n’y a que trois races: les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Les Samaritains sont mi-Juifs, mi-Gentils. C’est tout. Les descendants de Cham, Sem, et Ja–Japhet. Or, Il a dit: «N’allez pas chez les Gentils» et Il n’y est pas non plus allé. Mais Il attendait cet âge, et ceci est la fin; les Gentils sont les païens. Eh bien, nous avons fini tout cet âge de l’église, avec des raisonnements sur la Bible, la formation des écoles, des théologiens et autres, et tout.
68 Or, on en est arrivé à la fin; ils devraient s’en rendre compte. Eh bien, Il a promis qu’Il le ferait encore. S’Il s’est manifesté et qu’Il a montré à ces gens qu’Il était Christ, et qu’Il ne fait pas de même à la fin de l’âge de Gentils, alors Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est vrai.
Or, quant à la guérison, je peux venir, vous aligner à l’estrade, au fur et à mesure que vous passez, imposer les mains à chacun de vous. Ce serait très bien. Je n’ai rien contre cela. Mon cher frère Oral Roberts, et beaucoup d’autres ministres le font. Votre pasteur oint d’huile; c’est tout à fait scripturaire. C’est leur don de la part de Dieu. Celui-ci en est un autre. Mais si vous saviez que Celui qui a écrit cette Bible était présent dans l’église, oeuvrant dans l’église...
69 Maintenant, rappelez-vous, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» Est-ce ce qu’Il a dit? Le monde, c’est quoi? L’ordre du monde. «Ils ne Me verront plus, mais vous, vous Me verrez.» Ce sont les élus, l’Eglise. «Car Je (pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Croyez-vous cela? «Vous ferez aussi les oeuvres, les choses que Je fais. Je suis le Cep; vous êtes les sarments. Ce n’est pas le cep qui porte les fruits; il a seulement la vie à transmettre au sarment, et c’est le sarment qui porte le fruit. L’Eglise de Christ est le–est le sarment. Or, si vous allez au sarment et que vous ne trouvez pas le fruit du Cep, alors il y a quelque chose qui cloche. Ce n’est pas dans le Sarment, Jésus-Christ. Mais si cela est dans le Sarment, Jésus-Christ, il portera les fruits de Christ.
70 Vous savez quoi? Combien ici ont des cartes de prière? Faites voir la main. Combien n’ont pas de cartes de prière? Faites voir la main, ceux qui veulent qu’on prie pour eux? Levez la main, ceux qui n’ont pas de cartes de prière, qui n’ont pas de cartes de prière et qui désirent qu’on prie pour eux, levez la main, partout dans la salle, aux balcons, où que vous soyez. Eh bien, il y a environ vingt fois... ou pas vingt fois, il y en a plusieurs fois plus sans cartes de prière qu’il y en a avec des cartes de prière.
71 Je pense que si vous me supportez juste un moment, je vais amener Dieu devant une confrontation, maintenant même, et voir s’Il fera quelque chose pour nous. Je prendrai ceux qui n’ont pas de cartes de prière, et j’aimerais simplement que vous, là dans l’assistance... et je n’aimerais pas de vous ici à l’estrade. J’aimerais que vous là dans l’assistance... Je vais vous donner une Ecriture. Je vais prendre cette Ecriture. Hier soir, nous avons pris une autre. Ce soir, nous prendrons cette Ecriture-ci, qu’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Combien croient cela de tout leur coeur? Eh bien alors, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que vous Le touchiez ce soir, comme l’avait fait cette femme, ne réagirait-Il pas de la même manière pour être le même? Si vous avez fait cela, Il devrait agir, et s’Il est vivant dans l’église, alors Il agira comme Il avait agi dans le passé.
72 Maintenant, prions juste un moment, que chacun de vous y mette son coeur et dise: «Seigneur Dieu, je trace maintenant une petite ligne, et à partir de cette heure...» La raison pour laquelle je fais ceci, c’est que tout ce groupe est venu à Christ il y a juste quelques instants. Ceci est quelque chose de nouveau. Mais tout le groupe est venu à Christ, et je vais croire que Dieu va aider ce groupe de gens ce soir à voir que Christ est là parmi vous, qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Sur base de cette Ecriture, vous verrez cela se manifester.
73 Maintenant, Seigneur, c’est entre Tes mains. Maintenant, nous nous soumettons à Toi, tout ce groupe de croyants, ainsi que Ton humble serviteur. Je–je me soumets simplement à Toi, ainsi que cette assemblée. Ces gens ont levé les mains pour montrer qu’ils croient avant même de voir quelque chose se produire.
Seigneur, le Christ dont nous parlons leur a donné la Parole de Sa promesse, qu’Il oeuvrerait dans Son Eglise juste comme Il l’avait fait dans le passé et qu’Il le ferait éternellement, qu’on sache que ceci est la fin de l’âge des Gentils, que nous sommes Ton Eglise, et que Tu oeuvres au travers de nous ce soir. Donne-moi la foi, Seigneur; donne-leur la foi, et puisse Ton grand Nom être honoré, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
74 Maintenant, soyons vraiment respectueux, et que personne ne parte maintenant, soyez vraiment respectueux. Restez tranquilles juste un moment. Et juste–juste comme dans votre coeur vous disiez: «Eh bien, je sais que les Ecritures sont vraies, et je vais croire en Dieu ce soir de tout mon être. Je vais croire que Dieu me parlera ce soir, et je vais toucher Son vêtement. Et Lui, par ma foi qui touche Son vêtement... Seigneur, utilise la voix de frère Branham pour qu’en retour, il me parle juste comme Tu l’avais fait avec la femme au puits, juste comme ce Christ avait fait à–à–Son–à Son époque ici sur la terre, et je croirai alors que Tu opères au travers de moi et au travers de frère Branham.» Faites simplement cela. Voyez s’Il n’est pas le même. Et s’Il est le même, qu’Il prouve qu’Il est le même, allez-vous tous Le louer et Le glorifier pour Sa bonté? Maintenant, soyez vraiment respectueux et priez.
Je n’ai pas... Et il n’y a personne devant moi que je connaisse. Je ne vois personne. Je pense que celui-ci, c’est le conducteur des chants qui est assis juste ici. Est-ce vrai? Est-ce vous le jeune homme qui conduit, que j’ai rencontré à New York? Et je crois que c’est le docteur Martin qui est assis juste là. Est-ce vrai? Eh bien, le reste de notre groupe est à l’estrade.
75 Combien là dans l’assistance savent que je ne les connais pas, ou que je ne sais rien à leur sujet? Levez la main vers Dieu, afin que vous puissiez juste voir. Très bien.
Maintenant, que Son Esprit... Eh bien, s’Il est le même, Son Esprit oeuvre en nous qui sommes les sarments, alors le grand Cep est ici, dans le Cep Esprit. Alors, Il se met à agir par les canaux de notre coeur. Eh bien, que faisons-nous? Nous abandonner simplement. Juste comme je le disais hier soir: «Ce micro est parfaitement muet tant que quelqu’un ne parle pas au travers de cela.» Il en sera de même de moi ici. Que sais-je à votre sujet? Je ne vous ai jamais vu. Mais, si je suis parfaitement muet, jusqu’à ce que le Saint-Esprit fasse quelque chose pour vous et qu’Il vienne donc ici et dise la chose au travers de moi... C’est un don de Dieu, qu’Il avait promis. Cela ne s’est jamais produit depuis le dernier apôtre jusqu’à ce temps-ci. Sondez l’histoire, les théologiens, et les historiens. Pourquoi? Parce que c’est maintenant la fin de l’âge des Gentils. Cela va passer; ils ne reconnaîtront jamais cela, sauf ceux qui sont censés le reconnaître.
76 Saviez-vous qu’ils n’avaient jamais reconnu Elie, qu’ils n’avaient jamais reconnu Jean, jusqu’à ce qu’il soit déjà parti? Jésus a dit: «C’est lui l’Elie qui devait venir.» Ils n’avaient pas reconnu Jésus, jusqu’à ce qu’Il soit mort, enseveli, et ressuscité. Ils n’avaient pas reconnu saint Patrick. On dit qu’il est catholique, mais il l’était autant que moi. Ils ne l’avaient pas reconnu avant sa mort. Saint François d’Assise, un prédicateur itinérant avec la Bible sous le bras, ils ne l’ont pas reconnu avant sa mort. Jeanne d’Arc, ils ont dit qu’elle était une sorcière et ils l’ont brûlée au bûcher. Cent ou deux cents ans plus tard, ils ont découvert qu’elle était une sainte. Et, évidemment, ils ont fait la pénitence, ils ont déterré les cadavres et les ont jetés dans la rivière. Et aujourd’hui, ce n’est pas moins. Cela... Dieu envoie cela de toute façon; cela leur passe par-dessus. Il appelle ceux qu’Il a choisis. C’est Dieu dans tout cela.
77 J’attends simplement; je suis parfaitement sans secours. Dieu peut ne pas faire cela, mais croyons qu’Il le fera. En effet, je ne sais pas, je... Ceci est quelque chose de nouveau. Puisse-t-Il accorder cela. Il me faut simplement veiller. Nous n’avons pas de photos. Je ne pense pas que Gene en ait. Aucune de... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... les photos sont suspendues à Washington D.C. par le FBI. C’est le seul Etre Surnaturel qui ait jamais été photographié dans le monde entier: la Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël.
Combien ont déjà vu la photo? Faites voir la main, partout dans la salle; ceux qui n’ont jamais vu cette photo? Certains d’entre vous. Nous aurons cela bientôt, mais pas maintenant. Nous en sommes complètement à court. Cela ne m’appartient pas; c’est pour l’Association des Photographes Américains, les Studios Douglas à Houston. Ce sont eux qui avaient pris ça ce soir-là, quand Il s’est tenu là même devant trente mille personnes, et Il entre directement dans des réunions. Croyez simplement de tout votre coeur maintenant.
78 Quel moment solennel! Qu’est-ce qui peut se passer maintenant même que l’église est de commun accord? Maintenant, juste un instant. Ici se tient... Je vois une femme; elle est assise là derrière dans l’assistance; elle me regarde maintenant. Elle porte des lunettes, et elle a une petite plume sur le côté de son chapeau. Priez-vous pour quelque chose, soeur? La dame, juste ici, assise à côté de l’homme en chemise blanche. Oui. Celle qui vient de se retourner et qui a regardé l’homme en chemise blanche. Vous, priez-vous pour quelque chose? Voulez-vous que Dieu fasse quelque chose pour vous? Vous le voulez. Ayez... Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Non. Il s’agit de la dame derrière vous, là, à qui il m’est arrivé de parler. Je souhaiterais... Voyez? C’est juste au-dessus de cette dame. C’est comme si vous pouvez voir cette Lumière, la Lumière de couleur émeraude suspendue juste là à côté de la dame. C’est le Saint-Esprit sous forme d’une Lumière.
Maintenant, attendez, les critiqueurs, ne pensez pas que ce n’est pas le Saint-Esprit. Qu’est-ce qui a appelé Paul sur le chemin de Damas?
79 Si le Seigneur Dieu me dit ce qu’est votre maladie, là, croirez-vous que je suis Son serviteur, madame à qui je parle là? Allez-vous le croire? Eh bien, si vous croyez, Dieu vous guérira de cette hernie et vous rétablira. Si vous croyez, levez-vous. Eh bien, c’est la dame qui... Oui, c’est cela, vous. Vous n’avez pas de carte de prière, mais vous étiez en train de prier, et vous souffrez d’une hernie, ou plutôt vous en souffriez. Qu’avez-vous touché? Je ne vous ai jamais vue, je ne vous ai jamais connue, je ne sais rien à ce sujet, mais Dieu vous connaît. Il connaît votre maladie. Si c’est vrai, ce qu’était votre maladie, levez la main, si c’est vrai. Maintenant, allez-y et soyez rétablie.
Croyez-vous qu’Il vit? Certainement, Il vit. Il ne faillit jamais. Je demande à chacun de vous de prier.
80 Voici une petite fille assise ici. La petite fille regarde en bas. Crois-tu, jeune fille, au Seigneur Jésus? Crois-tu? En petite robe verte, assise là. Oui, c’est elle. Crois-tu au Seigneur Jésus? Tu souffres de dos, n’est-ce pas? C’est vrai. As-tu une carte de prière? Tu n’en as pas? D’accord, tu n’en as pas besoin. Laisse-moi te dire: Ton mal de dos est parti. C’est ton papa qui est assis là à côté de toi. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Le croyez-vous? Si Dieu me révèle votre maladie, me croirez-vous en tant que Son serviteur? Vous souffrez des reins. Si c’est vrai, levez la main. Très bien. Vous en souffrez plus maintenant. C’est votre fils qui est assis là en train de sourire. C’est vrai. Croyez-vous? Croyez-vous de tout votre coeur? Vous souffrez du cou, n’est-ce pas? Un cou cassé. Vous souffrez aussi du rhumatisme articulaire aigu, n’est-ce pas? Vous n’en souffrez plus maintenant. Croyez-vous donc au Seigneur Jésus? Ayez simplement foi et croyez.
81 Je ne connais pas ces gens. Vous tous qui avez été appelés, si je ne vous connais pas, levez la main, les gens qui ont été appelés, que le Saint-Esprit a appelés. Levez la main, si je vous suis inconnu, ceux à qui j’ai parlé, levez la main.
Maintenant, ayez foi; ne doutez pas; croyez en Dieu. «Si tu peux croire.»
Il y a une dame grisonnante assise ici maintenant, la tête inclinée. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu, madame? Vous, assise là en train de prier. Elle est toujours en prière. Vous, avez-vous besoin de quelque chose de la part de Dieu? Vous éprouvez une sensation étrange autour de vous maintenant, une sensation vraiment humble et douce. Est-ce vrai? Levez la main. Très bien. C’est le Saint-Esprit. Je ne vous connais pas. Si c’est vrai, levez la main très haut. Croyez-vous que le Seigneur Dieu exaucera votre prière? Vous avez un fardeau sur le coeur. C’est vrai. Et ce fardeau, c’est pour votre fils. Il souffre d’une paralysie cérébrale. C’est vrai. Croyez-vous de tout votre coeur? Alors, recevez ce que vous demandez. «Selon ta foi.»
82 Docteur Barton, disiez-vous quelque chose à la femme? Etait-elle malade? Très bien. Madame, regardez-moi. Très bien. Regardez ici. «Si tu peux croire, tout est possible.» Elle prie pour quelqu’un d’autre. Marie, c’est ça son prénom. Elle prie pour sa fille, et cette fille fait une dépression mentale. C’est pour cela qu’elle prie. Il se fait que vous lui avez imposé les mains; vous êtes aussi sa fille. C’est vrai. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Si Dieu me révèle ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose à votre sujet, croirez-vous que je suis Son serviteur? Vous souffrez de l’arthrite. Effectivement. C’est vrai. Votre nom, c’est madame Picket. C’est vrai. Vous venez d’une ville appelée West Hartford. C’est vrai. Le numéro de votre maison est 167, North Main Street, Hartfort, Connecticut. C’est vrai. Croyez donc, et rentrez chez vous, rétablie. Je vous défie.
Cette dame assise à côté de vous est aussi en train de prier là. Quand je vous ai dit: «Arthrite»... Elle est assise là en train de prier pour sa mère qui souffre de l’arthrite. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Levez la main, si c’est vrai. Très bien. Si vous me croyez, votre mère sera rétablie.
83 Ne pouvez-vous pas croire? Partout, ayez simplement foi, ne doutez pas. Que quelqu’un dans cette section-ci croie en Dieu. Tenez. Regardez ici; voilà la Lumière. La voyez-vous? C’est le Saint-Esprit. Vous direz: «Voyez-vous Cela, Frère Branham?» Tout ce que je peux dire, je vois la Lumière; c’est la science qui L’a mise sur papier et qui a dit: «La psychologie, l’appareil photo ne peut pas prendre cela.»
C’est suspendu au-dessus d’un homme juste là. Il porte une espèce de petit tricot rougeâtre. Il est en train de prier pour une bien-aimée. Et cette bien-aimée est une femme. Et c’est sa soeur, elle est dans une institution psychiatrique. C’est vrai. Je vous suis inconnu, n’est-ce pas? Je le suis. Très bien. Croyez-vous de tout votre coeur? A propos, c’est votre femme qui est assise là à côté de vous. Elle est aussi malade. Elle a une tumeur, elle souffre aussi des glandes. Son nom est Ruth Edward. C’est vrai. Et vous venez de Brookfield, Massachusetts, tous les deux. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Rentrez chez vous, vous êtes guéris maintenant. Amen.
84 «Si tu peux croire.» Si ce n’est pas la Bible de Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement, je ne connais pas les Ecritures, vous non plus. Que Tu es grand!
Soyez simplement respectueux maintenant. Quelque chose est arrivé, mais je n’ai pas vu où c’était. Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Oh! Il est vraiment réel, amis. Combien croient de tout leur coeur que notre Seigneur Jésus...? Eh bien, vous savez que cela doit venir par une puissance surnaturelle. Je n’ai aucun moyen de faire cela. C’est Dieu; c’est votre propre foi; c’est vous qui faites cela. C’est vous qui faites cela. C’est vous qui croyez cela. Je ne peux rien dire, à moins que vous touchiez Son vêtement.
85 Tenez, il y a quelques semaines à Chicago, une femme de couleur était assise... C’est enregistré, c’est authentique. Elle priait pour un bien-aimé qui était là quelque part en Arkansas. Et je lui ai dit: «Vous souffrez de sclérose de foie; mais vous priez pour votre soeur qui est folle dans une institution psychiatrique à Little Rock, en Arkansas.»
Elle a dit: «C’est vrai, monsieur.»
J’ai dit: «Elle est dans un cabanon.»
Elle a dit: «C’est vrai.»
«Mais, ai-je dit, elle est délivrée, car elle est maintenant même revenue à elle-même.»
Et le lendemain matin, les dames sont entrées et l’ont fait sortir, elles l’ont congédiée. Et le soir suivant, elle a pris son avion pour–pour–pour Chicago, elle avait son billet de sortie, et elle s’est mise à témoigner, le soir suivant. Certainement. Cela arrive tout le temps. «Si tu peux croire.» Il est le même Jésus. Oh! Que c’est merveilleux!
86 La dame assise ici en train de jouer... ou de prier, la tête inclinée. Elle est assise juste devant moi; elle a des fleurs sur son chapeau. Mademoiselle Rush, c’est à vous que je m’adresse, veuillez redresser la tête une minute. C’est vous. Croyez-vous que je suis Son prophète ou Son serviteur? Oui. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que le Seigneur Dieu peut vous donner ce que vous désirez? Eh bien, que Dieu vous bénisse. Vous étiez alors en train de prier pour cela. Certainement, oui. Vous souffrez de la gorge. Vous souffrez de la gorge, des intestins et de la colonne vertébrale. C’est vrai. Exact. Vous n’êtes pas de cette ville, vous venez de Newport, Rhode Island. C’est tout à fait vrai. Maintenant, retournez chez vous, vous êtes guérie. Jésus-Christ vous guérit.
Croyez-vous tous de tout votre coeur? Levez la main et dites: «Je crois maintenant comme la reine de Séba, ayant vu le don de Dieu à l’oeuvre dans Salomon; c’est réglé pour moi.» Très bien. Que le Seigneur vous bénisse.
87 Maintenant, je vais vous demander de faire quelque chose pour que chacun de vous soit guéri. Ce qui se passe, ça m’affaiblit, vous voyez cela. Regardez la sueur dans mes mains et tout, et maintenant, toute la foule devient simplement comme ceci. Vous croyez. Comment pouvez-vous... Si Dieu m’a fait trouver grâce à vos yeux, croyez-moi maintenant comme Son serviteur. Je vous ai annoncé la Parole, et Il a confirmé que je dis la vérité. Et si je dis la vérité sur une chose, je le dis maintenant. Vous êtes déjà tous guéris et vous avez été guéris il y a mille neuf cents ans. La Présence de Christ confirme la Parole et vous êtes tous guéris. Croyez-vous cela? Si vous le croyez, la Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Imposez-vous les mains les uns aux autres, et prions. Peu m’importe votre maladie; croyons en Dieu.
88 Père céleste, nous T’apportons cette assemblée, et nous les arrachons directement de la main du diable. Satan, tu es–tu es vaincu, et le Saint-Esprit t’a exposé et a déclaré que dans cette génération, malgré la méchanceté de cette nation, il y a cependant un peuple qui est rassemblé ici ce soir, qui a cru au Seigneur Dieu. Et ils ont vu Sa Présence, ils savent que ça ne peut pas être un homme qui fait cela, que c’est–c’est la confirmation de cette Bible et de la résurrection.
Ô Seigneur Dieu, je Te prie d’envoyer une averse du Saint-Esprit et de la puissance sur cette assistance, qui secouera les sens de chacun d’eux, afin qu’ils comprennent que le glorieux Saint-Esprit est ici et qu’Il les a guéris. Accorde-le, Seigneur.
Satan, je te vaincs par le Sang du Seigneur Jésus, et Ses meurtrissures ont porté Ses souffrances au Calvaire. Tu es vaincu, Satan; sors au Nom du Seigneur Dieu et du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
89 Vous tous qui croyez que vous êtes guéris par la puissance de Dieu, tenez-vous debout et donnez gloire à Dieu. N’ayez pas peur. Si vous acceptez cela, levez-vous. Donnez-nous un accord, Je Le louerai...?... Oh! N’est-ce pas merveilleux? Qu’en est-il de vous dans le fauteuil roulant? Avez-vous peur? N’ayez pas peur. Très bien...?... [L’assemblée chante Je Le louerai.–N.D.E.] C’est vrai...?... Chaque...?... rendez...
Maintenant, débarrassez-vous de toute cette raideur, libérez-vous, levez les mains vers le grand Créateur, qui est présent pour nous juger, et chantez cela de tout votre être. Chantez cela
Je...
[L’assemblée chante Je Le louerai.–N.D.E.] Elevez-Le et rendez-Lui gloire...?
...Louez...
Rendez...