Un Paradoxe

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Date: 63-0801 | La durée est de: 1 heure et 23 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Merci. Inclinons la tête maintenant pour un mot de prière. Alors que nous avons les têtes inclinées, je me demande combien aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière. Faites-le simplement savoir en levant la main.

2          Notre Père céleste, nous venons humblement à Toi, Seigneur, confessant que nous n’en sommes pas dignes. Mais parce que Jésus a frayé la voie pour nous et qu’Il a payé le prix, nous pouvons donc nous approcher avec assurance de Ton Trône de grâce en temps de besoin. Et maintenant, Seigneur, alors que nous sommes ici pour présenter l’Evangile, les richesses insondables de Christ, nous avons besoin de Toi, Seigneur.

3          Et il se pourrait que quelqu’un soit assis ici, Père, que Tu cherches à former de façon glorieuse, que Tu as résolu d’envoyer quelque part à une grande mission. Si c’est le cas, je prie, ô Père, que ce soir Ton dessein s’accomplisse. Et aide-nous alors que nous nous recommandons à Toi pour le service.

4          Maintenant, Tu as vu toutes les mains, et regarde encore celles qui sont levées. Toi, Tu connais les besoins. Et je Te prie de pourvoir à cela, Père. J’offre ma prière avec la leur, et leur désir avec mes désirs, sur l’autel d’or où repose notre Sacrifice ce soir. Au Nom du Seigneur Jésus, nous Te prions de rompre pour nous le Pain de Vie venant de Ta Parole. Amen.

            Vous pouvez vous asseoir.

5          Je regrette d’être un tout petit peu en retard, seulement j’ai compris que ce soir c’était juste un–un peu tard; le service a commencé un peu en retard. Et nous allons pallier à cela en sortant aussi vite que possible. Maintenant, nous voulons nous approcher de la Parole, ce soir, et avec tout ce qui est en nous.

6          Je sais que vous êtes ici, vous, certains de ces bons chanteurs que je... Mel Johnson, par exemple, que je connais, est assis ici. Je lui ai demandé de chanter pour nous ce cantique qui me revient toujours à l’esprit. Je fredonne sans cesse cela; et cela parle des larmes qui coulent. Je–j’aime cela. Et je pense qu’il va chanter pour nous au déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens, ou quelque part.

7          Jim, j’aimerais que tu t’assures de m’obtenir cela. Et si tu as une petite bande, enregistre cela spécialement pour moi, je vous payerai donc. Mes enfants veulent écouter cela. Lorsque je suis un peu déprimé, je–je–et que j’écoute cela, cela me fait du bien d’écouter un bon cantique.

            Et, Billy, lorsque je me rends là au bureau, il joue constamment ces cantiques, chaque fois, et je pense que cela l’aide un peu.

8          Vous savez, il y a quelque chose dans les chants, il y a une puissance là-dedans. Nous le savons tous. Nous sommes–nous en sommes conscients. Vous voyez? C’est... Considérez une armée, lorsqu’ils chantent et jouent de la musique. Savez-vous que dans l’armée de Dieu, la musique occupe la première place quand on va en guerre? Les chanteurs marchaient devant l’arche, jubilant et chantant; ensuite venait l’arche, et puis c’était la bataille. C’est vrai. Donc, c’est ça l’approche correcte.

9          Et c’est pour cette raison que nous entrons dans le service ce soir. Que faisons-nous? Nous chantons les cantiques du Seigneur; et ensuite vient l’Arche, la Parole, nous lisons la Parole; et ensuite, c’est la bataille, puis nous sommes–nous entrons dans la bataille. Alors les grandes bannières sont en train de flotter, ce soir; le Nom de Jésus-Christ, le Seigneur Dieu, peut être glorifié, l’ennemi peut être mis en fuite.

10        Et, ô Dieu, remporte la victoire ce soir, et sauve les âmes, guéris les malades et console les affligés; amène ceux qui sont fatigués et courbés à lever la tête et à se réjouir, tires-en gloire. Car nous demandons ceci au Nom du Seigneur Jésus.

11        Si vous avez votre Bible, j’aimerais que vous L’ouvriez avec moi ce soir; et des fois les gens marquent le petit texte sur lequel le ministre prêche. D’habitude je me rappelais très vite ces choses, sans même les avoir écrites. Mais après que j’ai dépassé 25 ans, eh bien, cela fait quelques mois, je veux dire pour la seconde fois, cela devient un peu plus difficile pour moi de m’en souvenir. Je porte beaucoup de cicatrices de la bataille. Et alors que nous nous faisons vieux, nous n’arrivons simplement pas à nous rappeler comme nous le faisions, et j’ai... Lorsque je regarde aux Ecritures et que je vois, alors je me souviens de quel texte il s’agit.

12        Prenons nos Bibles dans Josué, chapitre 10, nous allons commencer à lire à partir du verset 12.

          Alors Josué parla à l’Eternel, le jour où l’Eternel livra les Amoréens aux enfants d’Israël, et il dit en présence d’Israël: Soleil, arrête-toi sur Gabaon, et toi, lune, sur la vallée d’Ajalon!

          Et le soleil s’arrêta, et la lune suspendit sa course, jusqu’à ce que la nation eût tiré vengeance de ses ennemis. Cela n’est-il pas écrit dans le livre du Juste? Le soleil s’arrêta au milieu du ciel, et ne se hâta point de se coucher, presque tout un jour.

          Il n’y a point eu de jour comme celui-là, ni avant ni après, où l’Eternel ait écouté la voix d’un homme; car l’Eternel combattait pour Israël.

13        Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. J’aimerais tirer de là un sujet pour environ trente minutes, si je peux m’en tenir à cela: Un Paradoxe. Je ne vais utiliser que ce seul mot: Un Paradoxe.

14        Eh bien, selon le Webster, un paradoxe c’est «quelque chose qui semble incroyable, mais qui est vrai», par conséquent un paradoxe, c’est donc la même chose qu’un miracle. Un paradoxe c’est lorsque quelque chose semble simplement impossible d’après la–la connaissance de la pensée humaine; c’est tout à fait incroyable, mais pourtant cela s’avère vrai. Eh bien, un miracle c’est la même chose, car on ne peut pas expliquer un miracle. Un miracle c’est quelque chose qui se produit et qu’on ne peut pas expliquer, c’est ce qui en fait un paradoxe. C’est incroyable, mais cependant c’est la vérité.

15        Eh bien, les gens aujourd’hui, bon nombre de modernistes, croient que les jours des miracles sont passés. Ils ne croient pas que le–le miracle existe. Mais cependant, je crois que le monde est plein de miracles. Je crois que le paradoxe existe toujours.

16        Par exemple, je crois que chaque membre du Corps de Christ qui est né de nouveau est en soi un paradoxe. Je crois que chacun de vous méthodistes, presbytériens et luthériens, qui n’aviez jamais expérimenté le baptême du Saint-Esprit, vous qui étiez dans une certaine église formaliste, ne croyant pas à la véritable nouvelle naissance, mais qui maintenant avez reçu le baptême du Saint-Esprit, vous êtes un parfait exemple de paradoxe. En effet, quelque chose vous est arrivé, cela a changé tout votre être, et n’importe qui pourrait regarder cela et reconnaître ce que c’est qu’un paradoxe: un miracle.

17        A moins que cela ne se produise, vous ne pouvez pas être un chrétien. Il doit y avoir un paradoxe pour que vous deveniez un chrétien. En effet, nul ne peut–ne peut changer l’esprit qui est dans un homme et lui donner la nouvelle naissance, en dehors de Dieu. Dieu et Dieu seul est capable de faire cela. Et c’est un miracle de voir comment Dieu peut prendre la pensée de l’homme, ses voies, sa vie et tout, et changer cela de ce que c’était en ce que cela peut être, et ce qu’Il peut en faire.

18        Par exemple, il y a quelques jours, j’ai été sollicité pour intervenir ou plutôt pour un–un petit problème qui se passait. Il y avait un bon jeune homme, un très bon garçon, il sortait avec une petite fille, une très bonne petite fille d’une bonne famille. Et tout d’un coup, ce garçon a eu une certaine idée, puis il s’en est allé. Il a fait du mal à la petite fille en lui promettant notamment de faire une certaine chose qu’il n’a pas ensuite accomplie. Et au lieu de venir vers la fille et de présenter des excuses, comme devrait le faire un–un gentleman, lui, ce n’était tout simplement pas en lui de faire cela.

19        Et le père et la mère ont sollicité mon intervention, et ils ont dit: «Nous voulons savoir ce qui ne va pas chez notre garçon.»

20        Eh bien, quelquefois ce n’est pas facile à faire, mais on doit être honnête et sincère. Donc, ce jeune homme était un chrétien, pour ce qui est d’être un croyant. Il s’était repenti et avait été baptisé, et il avait une place parmi les croyants, mais cependant il n’avait pas encore reçu le baptême du Saint-Esprit, peu importe combien il pensait L’avoir reçu.

21        Et penser que vous L’avez et L’avoir sont deux choses différentes. Il se pourrait que vous soyez capable de déclarer que vous L’avez, il se pourrait que vous soyez capable de manifester une évidence d’une certaine émotion; mais si votre vie ne confirme pas ce que vous confessez avoir, vous ne L’avez cependant pas. Peu importe les émotions, combien vous sautez, vous courez, vous avez des sensations, vous parlez en langues, criez, ou quoi que ce soit sur lequel vous reposez cela (ce qui n’est pas mal, je crois tout cela aussi), mais si votre vie ne s’accorde pas avec votre témoignage, vous ne L’avez donc pas. En effet, les fruits de l’Esprit confirment ce que vous êtes, tout comme les fruits de n’importe quel arbre montrent ce qu’est cet arbre. Jésus a dit: «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.»

22        Eh bien, les parents de ce jeune homme, sa mère est une Allemande. Je ne critique pas les Allemands, mais il y a une prédisposition dans cette famille. Et, c’est qu’ils restent simplement assis, et vous pouvez leur parler, et ils vous regardent simplement droit en face. Ils ont... La soeur de cette fille, la mère de ce garçon, sa soeur. J’ai descendu la rue bien des fois le matin, et cette jeune dame était assise là-bas au jardin, et j’ai dit: «Bonjour.» Elle me regardait simplement. Et je pouvais m’arrêter, et dire: «C’est sûrement une belle matinée.» Elle se tenait simplement là et me regardait; une femme intelligente. Et je pouvais dire: «Venez quelques fois nous voir.» Elle se tenait simplement là et me regardait. Eh bien, ses frères sont comme cela, le père et la mère aussi.

23        Eh bien, le père de ce garçon est un Irlandais typique, d’humeur changeante, très colérique et nerveux. Toute sa famille est comme cela, à l’exception d’un seul, dans toute la famille, qui est converti. Eh bien, à ce propos, ce jeune homme...

24        Le père et la mère sont tous deux des chrétiens remplis du Saint-Esprit, et ils ont élevé ce jeune homme dans la voie du Seigneur. Et à présent, ce jeune homme a environ dix-sept ou dix-huit ans, ou à peu près cela, un très bon gosse, et il est–il a été un vrai modèle à la maison, un gentil petit. Et il a un frère qui est tout juste le contraire.

25        Mais la famille de la fille... la famille de la mère habite près de la–d’une bonne église. Mais pensez-vous qu’ils viennent là? Non. Et ils savent que c’est correct, mais ce n’est simplement pas en eux de–de demander pardon ou d’implorer le pardon. Ils ne voudront simplement pas le faire. Cela n’est pas en eux.

26        Eh bien, les gènes du père et de la mère de ce garçon, peu importe combien ils sont convertis, cela reste toujours de la chair qui a été croisée pour avoir ce garçon. Donc, le garçon a en lui un complexe qui lui vient de la famille de sa mère; et eux ne pardonnent pas, ils ne présentent pas des excuses, et c’est ça la position de ce garçon.

27        Alors, j’ai dit au père: «Peu importe comment vous l’avez élevé...» J’ai dit: «Eh bien, considérez-vous, en dehors de votre famille: tous les autres boivent, et–et se battent, tuent à coups de fusil, blessent, et ainsi de suite.»

28        J’ai dit à la mère: «Eh bien, regardez votre famille. C’est un groupe de gens qui se mettent simplement là sans parler, très indépendants et ainsi de suite, ils n’ont aucun respect pour la religion. Mais, ai-je dit, ce n’est pas le cas pour vous. Vous êtes parmi tous vos frères et soeurs la seule qui est douce, gentille et qui pardonne. Qu’est-ce qui fait cela? Et vous êtes un arbre... faites partie de cet arbre généalogique, cependant vous avez reçu le Saint-Esprit. C’est ce qui vous a rendue tendre et douce. Ce n’est plus votre famille, c’est votre Christ qui vit en vous.

29        J’ai dit au garçon: «Regarde ta famille, tous sont pratiquement des ivrognes et ainsi de suite.» J’ai dit: «Et ils sont d’humeur changeante, et–et ils sont très colériques et nerveux; mais toi, tu ne l’es pas. Tu es gentil, tu pardonnes. Qu’est-ce? Le Saint-Esprit. Tu n’es plus ce que tu étais; c’est Christ en toi.» J’ai dit: «Maintenant cette même chose doit arriver à ton fils.»

30        Et le père s’est levé et a dit: «Mon fils est allé à l’autel. Il s’est fait baptiser correctement dans le Nom de Jésus-Christ, et du baptême d’eau dans le baptistère.» Il a dit: «Je sais que mon fils est venu à Christ.»

31        J’ai dit: «Cela peut être très bien, toutes ces manifestations extérieures. Il pourrait être identifié comme un croyant parmi les croyants. Mais s’il n’est pas régénéré, né de nouveau, je conseillerais à ce jeune homme de ne jamais épouser une femme. Il sera pour elle un enfer sur terre, tant que cet Esprit de Christ, gentil, doux et clément ne sera pas entré en lui. Alors cela sera en soi un paradoxe, que d’ôter la nature même d’un garçon qui est né d’un père et d’une mère. Et cependant, dans son intellect, il fait tout son possible pour vaincre cela. Il n’y arrive pas. Il ne vaincra jamais cela. C’est Christ qui devra vaincre cela. S’il laisse Christ entrer, alors il aura déjà vaincu à ce moment-là. C’est un parfait paradoxe, lorsqu’un homme est né de l’Esprit de Dieu.

32        J’ai vu des critiques se tenir à l’écart et se moquer, faire des histoires contre le réveil du Saint-Esprit. Et après quelque temps, Dieu s’est emparé de ce même homme et l’a changé, et le voici debout juste à la chaire en train de prêcher la même chose qu’il haïssait autrefois. C’est un paradoxe, de voir comment Dieu peut prendre un incroyant et en faire un croyant.

33        Maintenant, je me demande si un homme pense que les miracles c’est du passé, je me demande quel genre de remède scientifique vous pourriez donner à une telle personne pour changer la disposition qui est en elle, pour ôter cette haine, cette malice et ces querelles. Personne ne peut expliquer cela. Mais c’est un paradoxe, parce que c’est un miracle de Dieu. Lorsqu’un homme est changé de la personne qu’il était en une nouvelle créature en Jésus-Christ, il devient une nouvelle création. Il n’est plus ce qu’il était. Il est complètement une nouvelle création en Christ.

34        Ce monde dans lequel nous vivons est lui-même totalement un paradoxe, tel qu’il a été formé. Nous voyons dans Hébreux, chapitre 11, verset 3, que «le monde a été formé par la Parole de Dieu.» Où Dieu a-t-Il trouvé les matériaux pour faire ce monde? Comment l’a-t-Il fait? La Bible dit que le monde a été créé et formé. Toute sa structure et toutes ses parties ont été rassemblées par la Parole de Dieu. Si cela n’est pas un paradoxe, je ne sais pas où en trouver un. Quel endroit pourrions-nous désigner et dire qu’Il a pris les matériaux, alors qu’il n’y avait pas de matériaux; Il a dû appeler cela à l’existence. C’est un paradoxe que ce monde soit là ce soir.

35        Autre chose, c’est un paradoxe de voir comment il reste sur son orbite, suspendu dans l’espace. Comment peut-il être suspendu là à un même endroit, en faisant une rotation comme ceci, à une vitesse d’environ mille cent miles à l’heure [1770, 27 km/h]? Avec une circonférence d’environ 24000 ou 25000 miles [38624, 25 ou 40233, 6 km], et accomplissant une rotation toutes les vingt-quatre heures, et c’est tellement parfait que cela ne manque pas une seconde. Cela tourne si parfaitement à plus de–à plus de mille miles à l’heure [1609,34 km/h], et cela tourne tout autour comme ceci, suspendu dans l’espace. Si cela pouvait monter ou descendre, ou n’importe quoi, oh! la la! cela pourrait–cela interromprait tout le système solaire de Dieu. Et cela tourne sur l’équateur et sur l’orbite plusieurs fois en une année, et cela ne faillit jamais, et c’est avec exactitude pour l’alternance de saisons.

36        Dites-moi ce qui le tient là-haut, ce qui le fait tourner si parfaitement à l’heure. Vous pouvez prendre une montre (je ne sais pas quel prix elle pourrait vous coûter, disons mille dollars), et cette montre, dans l’espace d’un mois, connaîtra un retard de quelques minutes. Ils n’ont jamais obtenu quelque chose qui puisse fonctionner aussi parfaitement; mais cependant cette terre tourne de façon parfaite. Pourquoi? C’est Dieu qui fait cela. C’est un paradoxe. Dieu avait ordonné à la terre de faire cela, et elle le fait.

37        Qu’en est-il de la lune? Elle se trouve pourtant à des millions de kilomètres de la terre, et cependant elle–elle contrôle la marée sur la terre. A des millions de kilomètres, elle exerce son influence, se tenant là dans l’espace. Elle se tient sur son orbite et influence la terre. Chaque planète influence une autre, tout en restant à sa place.

38        Oh! quel sermon je pourrais tirer de ceci, quelle leçon! Comment chaque créature de Dieu, en restant à sa place, influencerait les autres. Mais nous piquons une certaine crise de colère, à un moment donné nous formons une organisation et nous nous séparons, à ce qu’il paraît, sans avoir la foi, et ensuite nous embrouillons tout le système du christianisme. Si chaque homme restait à sa place, ce serait un paradoxe de Dieu, de voir comment Dieu pourrait ramener ensemble les presbytériens, les luthériens, les baptistes, les méthodistes, les catholiques, et tout le monde. Si nous revenions à la Parole de Dieu, ce serait un vrai paradoxe. Et alors, l’Eglise tout entière pourrait s’accorder, non pas sur base de vos credos, et ainsi de suite, mais sur base de la Parole, telle qu’Elle est écrite. En effet, «Elle ne peut être un objet d’interprétation particulière», disent les Ecritures.

39        Comment se fait-il que cette lune influence la terre. Il n’y a pas longtemps, un de mes amis, mon voisin, creusait des trous pour des puits de pétrole, là dans le Kentucky. Et lorsque la lune commence à se lever là-dessus, cette marée montera du fin fond de la terre jusqu’à la surface. Cette eau salée, au fond du trou où ils avaient effectué le forage, montera lorsque cette lune apparaîtra. Peu importe que cela se trouve à des centaines de kilomètres en dessous de la surface de la... ou plutôt ici à la surface de la terre. Cela descend à des centaines de kilomètres, cependant, lorsque cette lune fait son tour, cette eau monte pour la rencontrer. C’est ce qu’elle a fait.

40        Vous ne pouvez rien cacher, lorsque Dieu a ordonné la chose. Elle doit obéir à Dieu, lorsque Dieu donne l’ordre. C’est la raison pour laquelle je sais qu’Il aura «une Eglise sans tache ni ride». Dieu l’a ordonné. Cela devra obéir. Dieu aura cela, car c’est ce que dit la Parole de Dieu.

41        Comme la marée, la lune et tout le reste influencent les actions de la terre! Prenez...

42        Lorsque nous voyons une étoile filante, nous appelons cela une étoile. Ce n’est pas une étoile qui file. C’est une lumière. Bien sûr, nous savons cela, mais nous appelons cela une étoile. Une étoile ne peut pas se déplacer si vite que ça. Si une seule étoile sortait de son orbite, cela influencerait probablement tout ce qui se trouve dans le cycle, dans l’univers tout entier. Cela–cela provoquerait une interruption. Chaque chose doit rester à sa place, afin de garder le système de Dieu en place.

43        Nous devons donc rester à notre place, nous devons rester comme des fils et des filles de Dieu. Si nous n’étions pas du tout tombés autrefois là, la chose aurait continué à tourner, il n’y aurait ni mort ni quoi que ce soit d’autre. Mais grâces soient rendues à Dieu, un paradoxe approche, lorsque Dieu Lui-même ramènera la chose dans sa position, où elle devrait être. Oui, un paradoxe.

44        Vous qui ne croyez pas au–au paradoxe et qui ne croyez pas aux miracles, comment pouvez-vous justifier votre intelligence, et vous regardez en face des choses que vous ne pouvez pas expliquer? C’est absolument impossible pour n’importe quel homme d’expliquer comment la terre peut faire sa rotation et continuer à être parfaitement à l’heure, et sans jamais... tout le système solaire et ces autres planètes, et comment la lune arrive à influencer la terre. Et il y a tant d’autres choses dont nous pourrions parler.

45        Comment en automne la–la sève descend dans les racines de l’arbre sans qu’il y ait une quelconque intelligence pour la faire descendre là et la faire remonter au printemps, avec une nouvelle vie? Eh bien, c’est un paradoxe. Personne ne peut expliquer cela. Nous ne savons pas comment cela se fait. Mais Dieu le sait, par conséquent c’est constamment un paradoxe. C’est un mystère, la manière dont Dieu fait cela. Nous voyons tellement ces choses que cela devient si ordinaire. Cela ne nous dit plus rien.

46        Et c’est cela le problème qu’ont les–que nous avons, nous les pentecôtistes. Nous avons vu Dieu accomplir tellement de paradoxes que c’est juste occasionnellement que nous pouvons même y penser. Si seulement nous pouvions nous arrêter une minute et réfléchir! Dieu est partout. C’est–c’est Dieu qui accomplit les paradoxes. Et Sa vieille horloge est en train de bien égrener le temps, jusqu’à ce que finalement cela aboutira tout droit dans l’éternité, parce que c’est ce que Dieu a promis de faire. Maintenant, nous savons que c’est là un paradoxe.

47        Eh bien, autrefois du temps de Noé, avant que la pluie ne tombe, que le déluge ne vienne, c’était vraiment une–une chose difficile pour Noé, dans ce grand âge intellectuel où il vivait, d’essayer de dire aux gens, sur base de la Parole de Dieu, qu’il allait pleuvoir. Eh bien, cela serait... sans doute que cela ne correspondait pas aux exigences de leur recherche scientifique. Il n’y avait pas de pluie dans le ciel. Mais, voyez-vous, Noé déclarait qu’il pleuvrait parce que Dieu l’avait dit. Et Noé, par la foi, avant que la pluie tombe, avait dit qu’elle serait là.

48        C’est pour cette raison que nous déclarons la même chose; en effet, les gens disent: «Eh bien, cela fait longtemps qu’on a dit que Jésus allait venir. Cela fait des centaines d’années qu’ils ont prétendu qu’Il allait venir. Les apôtres l’avaient dit; c’était peut-être dans leur génération.» Cela n’arrête pas la chose le moins du monde. Nous savons pourtant qu’Il vient. Comment cela se fera-t-il? Je ne le sais pas. Mais Dieu va L’envoyer. Il l’a promis, et je sais qu’Il sera là.

49        Eh bien, tout ce que Noé disait, c’était: «Dieu l’a dit.» Mais, voyez-vous, ensuite, après tout, cela ne recevait pas leur approbation scientifique en ce jour-là. Mais lorsque vint le temps pour que la Parole de Dieu s’accomplisse, il a plu, exactement. C’était vraiment un paradoxe en ce jour-là, de penser que la pluie pouvait tomber du ciel, où il n’y en avait pas.

50        Mais, si on prend Dieu au mot, Il peut accomplir, faire un paradoxe. Il peut accomplir un miracle. Et tout homme qui est né de ce même Esprit qui accomplit des miracles, eh bien, c’est facile pour lui de croire aux miracles parce qu’il est une partie de Dieu. Amen.

51        Vous êtes un fils et une fille de Dieu, non pas par une dénomination, ni par un credo, ni par une poignée de main, mais par une naissance, étant donné que vous êtes mort à votre propre intellect, et que vous êtes né de l’Esprit de Dieu. Et vous êtes vous-même un paradoxe, du fait que vous avez été changé de la mort à la Vie. Dans votre être intérieur, vous êtes une nouvelle création en Jésus-Christ. C’est un paradoxe.

52        Dieu prononce Sa Parole, Ses enfants La croient et croient en Dieu. La science ne peut pas prouver comment cela peut se faire; ils ne savent rien à ce sujet. Mais les enfants de Dieu croient cela de toute façon, et ensuite Dieu accomplit un paradoxe, Il en fait un. Il en fait un, parce que Sa Parole qui avait appelé le monde à l’existence, peut amener peut faire que chaque Parole qu’Il a promise s’accomplisse.

53        C’est pourquoi Abraham n’a pas douté par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu; mais il avait la pleine conviction que ce que Dieu avait promis Il pouvait l’accomplir et le garder. Il ne douta point au sujet de la promesse de Dieu (bien qu’il avait cent ans, et Sara quatre-vingt-dix) qu’il aurait ce bébé. En effet, il savait que Dieu était capable d’accomplir et de faire qu’un paradoxe s’accomplisse au sujet de quelque chose, qu’un miracle se produise, et Il l’a fait.

54        Les enfants hébreux. Eh bien, comment pouvez-vous amener la science à croire aujourd’hui qu’un homme pouvait entrer dans une fournaise? Oh! je crains de dire à combien de degrés elle était chauffée; mais ils sont entrés autrefois là dans cette fournaise, dans le Livre de–de Daniel, et ils sont restés dans cette fournaise au point que les gens pensaient qu’ils étaient tous réduits en cendre. En effet, même les hommes, les soldats de cette grande armée, les hommes bien musclés qui s’étaient avancés là-bas pour–pour les jeter dans la fournaise, ces hommes qui s’étaient approchés sont morts à cause de l’intensité de la chaleur de la fournaise sur eux. Mais eux sont tombés dans la fournaise et ils y sont restés pendant tout ce temps, et ils en sont sortis sans même l’odeur du feu sur eux.

55        C’était Dieu accomplissant un miracle! C’était un authentique paradoxe, de la puissance protectrice de Dieu, contre tout ennemi, lorsqu’un homme est prêt à reconnaître que Dieu est fidèle. Et Dieu tient Sa Parole et Il honore ceux qui croient en Lui. Je crois certainement dans un paradoxe.

56        Josué, le grand guerrier dont il est parlé dans le passage que je viens de lire, il y a quelques instants, dans le Livre de Josué, au chapitre 10... Remarquez, Josué était un–un ami de Dieu. Il était un soldat, un–un général, et il avait subi l’influence d’un prophète, Moïse. Et Moïse avait été repris, et Josué avait reçu l’ordre de faire entrer les enfants d’Israël dans la Terre promise et de faire le partage du pays. La désobéissance des enfants! Et Moïse avait attendu qu’il soit devenu vieux, et alors Josué est venu remplacer Moïse, pour être le général de Dieu.

57        Et l’Eternel lui a parlé et a dit: «Je serai avec toi, comme J’ai été avec Moïse.» Cela suffisait pour Josué. Il a dit: «Fortifie-toi et aie bon courage, car l’Eternel ton Dieu est avec toi dans tout ce que tu entreprendras. Et tout lieu que foulera la plante de votre pied, Je vous le donne.» Donc, les empreintes des pieds signifiaient la possession. Le pays tout entier leur appartenait. C’était une promesse.

58        Bien avant que cela n’arrive, lorsqu’il était descendu là-bas avec Caleb et les autres espions, et qu’ils avaient vu la grande opposition, les Amalécites et–et les Phérésiens, les Héthiens) et les autres, tous protégés par des murailles, et là-bas à Jéricho on pouvait organiser une course des chars au-dessus de la–de la muraille, et c’étaient des hommes très forts, au point que certains incroyants parmi eux ont dit: «Eh bien, nous avons l’air des sauterelles à côté d’eux.»

59        Mais Caleb et Josué ont dit: «Nous sommes plus que capables de nous en emparer.»

60        Pourquoi? Dieu avait dit: «Je vous ai donné ce pays.» Peu importe l’opposition, l’ampleur des–des–des difficultés, cependant Dieu avait dit que cela leur appartenait. Oh! Dieu est capable de tenir Sa promesse.

61        C’était un paradoxe de voir une poignée de gens, sans armes presque, sinon ce qu’ils avaient ramassé dans le désert, et là où ils avaient chassé d’autres hommes, probablement avec des armes telles que de vieux râteaux et de vieilles scies, et tout ce qu’ils pouvaient trouver. Ils sont allés là-bas et ils ont battu ces hommes qui étaient des géants. C’était un paradoxe. Dieu savait qu’ils avaient le courage de faire cela. Et Il leur a donné la promesse, et ils sont allés là et ont accompli exactement ce que Dieu leur avait promis de faire.

62        Un jour, au plus fort du combat, lorsque des rois avaient fait une grande alliance entre eux et étaient descendus contre Josué et les enfants d’Israël, étant donné que Dieu leur avait promis le pays, il avait mis l’ennemi en déroute, et ils étaient dans les bois et les collines, éparpillés là dans le désert, et Josué a regardé et a vu le soleil décliner. Il savait que si ces armées avaient l’occasion de se retrouver ensemble et de–de revenir de nouveau contre lui, eh bien, il savait qu’il aurait un temps deux fois plus difficile et qu’il perdrait probablement plus d’hommes, si ces gens trouvaient l’occasion de se réunir.

63        C’est là que... nous les ministres, c’est là que nous faillissons. C’est là que l’église faillit. Lorsque ce réveil que nous venons d’avoir, cette grande campagne qui a commencé à travers le pays, lorsque nous avons fait fuir l’ennemi, nous devrions continuer à le faire fuir. Mais le problème est que nous avons dû piquer des crises et tout, avec de grandes folies de construction, faisant davantage pour nos groupes, et ainsi de suite. Et vous y voilà, nous nous sommes séparés de la Parole, et nous vous avons adopté ceci cela, et puis, nous avons édifié d’autres organisations, et nous avons commencé quelque chose d’autre. C’est ainsi que cela se passe toujours. C’est ainsi que cela se passait au temps de Luther, Wesley, Moody, Sankey, Finney, Knox, Calvin, et tout du long. Cela a toujours été ainsi. Les gens détournent leurs yeux du–du réveil, et ils les portent sur ce qu’ils peuvent faire pour eux-mêmes.

64        Mais savez-vous ce qui s’est passé? Josué n’était pas ce genre d’homme. Il avait besoin de temps. Le soleil déclinait, et il savait que si l’ennemi reprenait ses forces... Le réveil était presque arrivé à sa fin, comme là où nous nous tenons aujourd’hui. Il savait que si jamais il attendait que l’ennemi se fortifie contre lui, il lui serait difficile de gagner la bataille. Savez-vous ce qu’il a fait? Il savait que Dieu avait promis ce pays. Il avait besoin de plus de temps. Alors que le soleil était sur le point de se coucher, il a donc dit: «Soleil, arrête-toi!» Amen. Vraiment un paradoxe. Et ce soleil s’est arrêté là pendant toute une journée, sans bouger du tout! Et la lune au-dessus d’Ajalon ne bougeait pas du tout non plus.

65        En effet, la Bible dit ici qu’«il n’y a jamais eu un temps comme celui-là avant ou depuis lors, où Dieu ait écouté la voix d’un homme.»

            Vous direz: «Oh! si j’avais su... si seulement nous avions vécu en ce temps-là!»

66        Jésus a dit dans Saint Marc 11.24: «Si vous dites à cette montagne: Ôte-toi de là, et si vous ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que ce que vous dites arrive, vous le verrez s’accomplir.» C’est toujours la grâce, et le paradoxe, jusque dans notre âge. Bien sûr.

67        La lune et le soleil se sont arrêtés jusqu’à ce que Josué et Israël aient fini de combattre, et qu’ils se soient vengés de leurs ennemis. Pourquoi? C’était dans la ligne du devoir.

68        Maintenant, si vous sortez d’ici et dites: «Montagne, ôte-toi de là! J’aimerais vous montrer que je suis capable de le faire.» Cela ne bougera pas.

69        Mais si c’est dans la ligne du devoir, lorsque Dieu vous a ordonné de faire quelque chose... Comme Il avait dit à Moïse: «Pourquoi cries-tu à Moi? Parle aux enfants.»

70        Aujourd’hui les gens crient tout le temps: «Seigneur, quelle est la chose suivante, quelle est la chose suivante?» Parlez simplement et allez de l’avant! C’est ça. Dieu nous a donné la commission de faire quelque chose, faisons-le. Ne vous tenez pas là pour penser à la chose et dire: «Comment est-ce possible? Eh bien, voilà telle chose.»

            Cela ne change rien; si Dieu vous a dit de le faire, faites-le de toute façon. Il est toujours le Dieu des miracles.

71        Pour Josué, c’était certainement un paradoxe lorsque ce soleil s’est arrêté. Un jour, je m’entretenais avec un–un homme de science à l’école, et il était un docteur de la Bible. Et il a dit... Je lui ai posé la question sur ceci. J’ai dit: «Je pensais que vous disiez que la–la terre tourne, voyez-vous, mais–mais, c’est le soleil qui s’est arrêté?» J’ai dit: «Qu’en est-il de la Bible dont vous venez de nous parler comme étant la vérité? Dieu... Josué a dit: «Soleil, arrête-toi.» Eh bien, il ne pouvait pas répondre à cette question.

72        Et le soleil s’était vraiment arrêté. Il n’a fait aucun mouvement, vous voyez? En réalité, c’est la terre qui s’était arrêtée. Et maintenant, vous dites...

            Il a dit: «La terre s’arrêta.»

73        J’ai dit: «Vous dites: ‘Si la terre s’arrêtait, elle perdrait sa gravitation et tout le monde tomberait de cela.’ Maintenant qu’allez-vous faire?»

74        C’est un paradoxe. Amen. Dieu empêcha la terre entière de tourner, amen, parce qu’un homme avait dit: «Arrête-toi là, jusqu’à ce que je termine cette bataille.» C’est un paradoxe. Amen.

75        C’était un paradoxe lorsque toute l’armée d’Israël était acculée dans un coin, et qu’ils avaient peur d’un énorme grand géant préhistorique du nom de Goliath, qui se tenait là. Et là se tenait l’armée d’Israël qui était bien formée par Saül, l’homme qui dépassait de la tête toute son armée, mais qui tremblait dans ses bottes. Personne n’était capable de relever le défi de cet homme-là, ce jour-là.

76        Mais voilà venir un petit gars rougeaud aux épaules voûtées, pesant environ 90 livres [40,8 kg], et enveloppé d’une peau de brebis comme cela. Il a dit: «Honte à cette armée du Dieu vivant; vous vous tenez là et vous laissez ce Philistin, cet incirconcis insulter l’armée du Dieu vivant!»

77        Lorsque ces paroles parvinrent à Saül, Saül dit: «Tu n’es qu’un enfant, et il est un homme de guerre dès sa jeunesse. Et tu es un enfant, et regarde comment il est. Eh bien, tu ne peux pas aller te battre avec lui.»

78        Mais qu’avait-il pris? Il n’a jamais pris une lance, il n’a jamais pris une épée, mais il a pris une fronde. Et l’unique endroit où ce géant pouvait être touché, c’était juste au front, là où son armure retombait sur son visage pour cacher ses yeux. Et cette pierre, à partir d’une bonne distance de cette lance semblable à une ensouple de 14 pieds [4,27 m] que ce géant avait dans sa main; elle était toute aussi longue pour ainsi dire, et il aurait pu embrocher le petit David et lui faire n’importe quoi, et le suspendre à un arbre, comme il menaçait de le faire, et laisser les oiseaux dévorer son cadavre.

79        Mais que s’est-il passé? C’était un paradoxe, lorsque Dieu prit un petit homme rougeaud qui n’avait rien pour attirer le regard, pas du tout, qui n’était même pas un soldat formé, mais qui n’était qu’un enfant ayant foi en Lui, et il faisait la honte de tout un pays. Dieu l’a fait en guise de paradoxe.

80        Amen. Ce soir, Il est toujours le Dieu de paradoxe, Il est exactement le même qu’Il était en ce temps-là.

81        Il a amené l’armée entière à se déchaîner. Lorsqu’ils ont vu cela, ils se sont mis à courir et à faire de même, parce qu’ils avaient vu que ce petit gars avait foi en un Dieu qui pouvait changer toute la nature, qui pouvait faire tout ce qu’il voulait, lorsqu’un homme croit Sa Parole. Certainement. Je crois que c’était un paradoxe.

82        Moïse était un grand militaire qui avait essayé de délivrer Israël, et qui n’y était pas parvenu. Il voulait tuer les Egyptiens. Il avait tué un seul homme, et il a eu des ennuis à cause de cela, en faisant cela selon sa propre volonté. Mais après, il prit un bâton, un vieux bâton sec du désert, et extermina toute une armée. Amen. Si cela n’est pas un paradoxe, j’ignore pourquoi. Lorsqu’il frappa ce bâton sur la mer, et ordonna à la mer de se refermer, il noya l’Egypte, toute une nation en une fois, à l’aide d’un bâton qu’il avait dans sa main. Amen.

83        C’était un paradoxe, la manière dont il a conduit Israël pendant quarante ans à travers le désert. Et lorsqu’ils en sont sortis, il n’y avait aucune personne faible parmi eux. C’est un paradoxe. Certainement. Quel grand homme c’était, quelle grande chose Dieu avait faite pour lui, parce qu’il croyait en Dieu! C’était un paradoxe. Certainement.

84        C’était un paradoxe lorsque Dieu choisit un petit homme, du nom de Michée, devant quatre cents prophètes d’Israël bien formés, parce que cet homme avait choisi de rester avec la Parole, alors que toute l’opposition était contre lui.

85        Lorsque les quatre cents ont dit: «Euh, monte!», il a dit à Achab et à Josaphat: «Montez, l’Eternel est avec vous. Nous avons la révélation. L’Eternel est avec vous. Montez, vous allez les bouter complètement hors de notre pays, parce qu’il nous appartient. C’est Dieu qui nous l’a donné. Josué a partagé le pays, et cette portion nous appartient. Et il y a là des Philistins, qui mangent le maïs de nos champs. Alors, rien n’est plus raisonnable, notre révélation est correcte.»

86        Puis, Dieu choisit un petit homme comme Michée, qui ne pouvait même pas faire partie de l’association, mais il s’est présenté là avec la Parole de l’Eternel. Et il a dit: «Montez, mais je vois Israël dispersé comme des brebis sans berger.» C’était un paradoxe, la manière dont Dieu pouvait placer un tout petit homme qui passait inaperçu là-bas au milieu de tout un grand groupe de quatre cents prophètes, des prophètes israélites, des prophètes juifs qui se tenaient là, prophétisant des faussetés. Comment Michée savait-il qu’il était dans le vrai? Parce qu’il était en accord avec la Parole. Elie avait dit que la même chose allait arriver; alors, comment pouvait-il bénir ce que Dieu avait maudit? C’était un paradoxe, mais Dieu a accompli cela. C’était certainement un paradoxe.

87        C’était un paradoxe, lorsqu’un tout petit garçon efféminé qui avait sept petites tresses de cheveux pendant de sa tête, et peut-être avec un noeud, à ce que je sache, comme une toute petite fille. Il s’appelait Samson. Et lorsqu’un lion qui pesait environ cinq cents livres [227 kg], peut-être que le lion a rugi et a foncé sur lui, et lui, avec ses mains il a déchiré le lion. Amen. Mais avez-vous observé ce qui s’est passé? L’Esprit de l’Eternel était d’abord venu sur lui.

88        C’est ce qui produit le paradoxe. C’est cela. Un tel paradoxe mettrait ce soir cet amphithéâtre en feu, avec la gloire de Dieu. Si on pouvait faire descendre l’amour du Seigneur sur ces gens, alors ils prieraient. C’était vraiment un paradoxe. Oui.

89        Lorsque Samson tua ce lion avec ses mains nues, il le déchira, un tout petit garçon du genre efféminé, avec sept petites tresses de cheveux qui lui pendaient dans le dos...

90        C’était un paradoxe lorsqu’il prit la mâchoire de cette mule et assomma avec cela un millier de Philistins; alors qu’ils portaient ces grands casques et ces grandes cuirasses à écailles, tout en airain, pesant une centaine de livres [45, 35 kg] environ, ou à peu près cela, de grands boucliers, des lances et tout. Ces hommes bien formés, portant des casques en airain d’un pouce et demi d’épaisseur [3,8 cm], virent et surgirent, juste leurs visages... Et Samson s’est tenu là avec cette mâchoire de mule, qui avait été là dans le désert pendant peut-être quarante, cinquante ans, toute sèche. Eh bien, un coup sur un morceau de fer de ce genre l’aurait brisée en un million de morceaux. Mais il s’est tenu là, voilà l’unique chose, il avait reçu la commission de se battre et de détruire ce pays. Il était né et avait été élevé pour exterminer cette nation. Alléluia!

91        Si seulement l’Eglise pouvait comprendre le but pour lequel Elle est ici! Si seulement l’Eglise pentecôtiste pouvait comprendre le but pour lequel elle est ici! Qu’est-ce que vous représentez? Pourquoi êtes-vous sortis de ces choses pour être ce que vous êtes?

92        Il connaissait le but pour lequel il était né. Il savait où il se tenait. La chose qu’il tenait en mains ne changeait rien. Il s’est tenu là, alors que ces Philistins approchaient. Et d’un puissant coup, ce petit gringalet se tenait sur un rocher, afin de frapper le sommet de leurs têtes. Lorsque ces gens se ruaient là, il cognait un d’un côté et un autre de l’autre. Et un millier d’entre eux étaient étendus là, morts. C’était un paradoxe, la façon dont cette mâchoire de mule avait tenu. C’était un paradoxe, la façon dont ce petit morceau d’os fragile brisait ces casques d’airain d’un pouce d’épaisseur [2,54 cm] et tuait ces Philistins, un millier d’entre eux. Et il se tenait toujours là avec cela en main, et c’était tout aussi solide que lorsqu’il l’avait ramassé. C’était un paradoxe. Amen et amen!

93        Il est toujours le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est toujours le même Dieu, pour tout homme qui a été appelé à prendre la Parole de Dieu. Dieu se tiendra à côté de lui s’il n’est pas un lâche. Samson aurait pu fuir, mais il ne l’a pas fait. C’est juste.

94        C’était un paradoxe lorsque Dieu appela Jean-Baptiste, le fils d’un sacrificateur loin d’une grande école des sacrificateurs, d’un grand séminaire. Pourquoi n’avait-il pas suivi cela? En effet, c’était une coutume que les hommes marchent sur les pas de leurs pères. Eh bien, c’était un paradoxe, lorsque Dieu a amené Jean dans le désert, pour lui dire ce que le Messie serait, pour lui dire ce que serait le signe du Messie, comment il reconnaîtrait cela. Au lieu qu’il aille à l’école pour apprendre ce que le Messie serait, Dieu l’a amené dans le désert, pour lui dire ce que le Messie serait. C’était vraiment un paradoxe pour ces gens en ce temps-là. Oui.

95        Lorsque la naissance virginale s’est produite, c’était un paradoxe; comment ce Dieu-là, pour se révéler à l’homme, devint un Homme. Comment ce Dieu-là, le Grand Esprit... Dieu, à mon avis, existait avant; il n’y avait même pas une seule lumière, il n’y avait pas un seul météore, il n’y avait pas un–un–un–un seul atome, il n’y avait pas une seule molécule, il–il–il n’y avait rien, et tout était Dieu. Oui, voilà à quel point Il est grand. Il s’étend de l’éternité à l’éternité. Il a toujours été Dieu. Il sera toujours Dieu. Et comment la plus glorieuse Vie est devenue un petit germe dans le sein d’une femme, afin d’obéir à Sa propre loi, de payer la peine exigée par Sa loi, la mort; comment Dieu s’était manifesté dans la chair, comment le Grand Dieu du Ciel a changé Son rang, de Dieu qu’Il était pour devenir un homme, au travers de la naissance virginale, personne ne peut comprendre cela.

96        Aujourd’hui la science ne peut pas vous expliquer comment s’est faite la naissance virginale, mais c’est Dieu qui l’a accomplie. Il est venu. Personne n’en était capable; tout le monde était né par le sexe. C’est comme les au-... un homme était exactement comme tous les autres, aucun d’eux ne pouvait aider l’autre. Nous étions dans le pétrin, et alors Dieu Lui-même est descendu, Il est né, non pas un Juif, ni un Gentil, mais Son Sang était le Sang de Dieu. Le sang vient du sexe mâle. Dans ce cas, c’était Dieu, Dieu le Créateur qui créa la cellule de sang dans le sein de Marie, et Il s’est formé un tabernacle dans lequel Il est descendu Lui-même et a vécu.

97        «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» Le terme même Christ signifie «L’Oint». Oh! Il était Dieu, Dieu dans Sa plénitude habitait en Lui. Amen. «Et en Lui habitait corporellement la plénitude de la divinité.» C’était là un paradoxe, cela avait secoué les gens en ce temps-là, «Toi qui es un homme, Tu te fais Dieu.» Cela secoue encore. C’est exactement la même chose, c’est toujours le même paradoxe qui continue. Il était Dieu. Il est toujours Dieu. Il sera toujours Dieu. Oui, oui. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Certainement.

98        Cette naissance virginale était un mystère pour les gens; ils n’arrivaient pas à comprendre cela, exactement comme la nouvelle naissance aujourd’hui. La nouvelle naissance est un mystère pour les gens. Ils ne peuvent pas comprendre cela. Ils ne savent pas de quoi vous parlez. Ils ont rabaissé cela, ils ont ramené cela très bas, en disant: «Eh bien, du fait que vous croyez quelque chose.» Les démons croient la même chose, et tremblent. Il ne s’agit pas de ce que vous croyez; il s’agit de ce que Dieu a réellement fait. La nouvelle naissance est une naissance. C’était une nouvelle. C’était un paradoxe, lorsque Dieu amena une nouvelle Vie à la race humaine. Rejeter cela, c’est la séparation éternelle. Recevoir cela, c’est la Vie Eternelle. Vous avez...

99        Vous vous tenez sur la même base qu’Adam et Ève. Vous pouvez prendre... Si Dieu vous plaçait sur quelque chose d’autre, ce serait injuste pour Adam et Ève. Pour chaque Adam et Ève, le mal et le bien sont placés devant eux ce soir. Vous pouvez faire votre choix. Vous pouvez opter pour la Parole de Dieu ou laisser la Parole de Dieu. Vous pouvez opter pour la Parole de Dieu ou pour le credo de votre dénomination à ce sujet. Vous pouvez opter pour vos idées modernes sur la chose. Vous pouvez naître de nouveau et être rempli du Saint-Esprit, sinon vous pouvez devenir un membre ecclésiastique, l’un ou l’autre que vous voudriez être.

100      «Pour moi la Vie c’est Christ.» Alléluia! Je crois que ce même Dieu qui est descendu au jour de la Pentecôte, comme une Colonne de Feu, et qui s’est divisé comme des langues de feu sur Son Eglise, parmi Son peuple, est ici ce soir. C’est le même Dieu qu’Il était alors, Il est le même aujourd’hui, avec le même Saint-Esprit. Je sais que c’est un paradoxe. Cela ne peut être expliqué. Les émotions, les cris, les pleurs, et ainsi de suite, ne peuvent pas être expliqués, sinon que c’est un paradoxe, comment Dieu fait cela. C’est le Dieu invisible habitant dans le coeur de l’homme, se rendant visible, en confirmant Sa Parole, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

101      C’était un paradoxe, lorsqu’un Fils de charpentier, appelé Jésus de Nazareth, a pris cinq petits pains et deux poissons, et en a nourri cinq mille personnes. Si ce n’était pas un paradoxe, j’aimerais voir quelqu’un le faire aujourd’hui. J’aimerais que vous m’expliquiez quel genre d’atome Il avait libéré. Qu’avait-Il fait? Non seulement c’était du poisson, mais c’était un poisson mature; c’était un poisson qui avait été écaillé, nettoyé, cuit; c’était un poisson en tout, et le pain avait été planté et avait poussé; et tout cela avait été contourné, et Dieu avait changé cela du–du poisson cuit à un poisson cuit. Il avait simplement fait pousser cela et Il a coupé cela, et Il a fait pousser cela et Il a coupé cela, et Il avait fait pousser cela au point de nourrir cinq mille personnes. Amen.

102      Que voulait dire cette routine: briser cela, faire pousser cela; briser cela, faire pousser cela, nourrir, faire pousser cela? Cela signifie qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est le même Dieu qui était. Il est toujours le Pain de Vie pour tout homme qui a faim et soif. Vous ne pourrez pas épuiser Ses bontés.

103      Les gens disent: «Nous n’avons pas besoin de miracles, nous n’avons pas besoin de paradoxe.»

104      Il attend. C’est là Son programme. C’est ce qu’Il est. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il attend que vous puissiez tendre la main et prendre votre part. Avez-vous peur de le faire? Voudriez-vous plutôt descendre à la rivière pêcher un poisson, et essayer de le cuire ou de le frire dans une sorte de saindoux ou quelque chose de ce genre, ou bien voulez-vous plutôt prendre cela tel que Dieu l’a fait? Etendez simplement la main par la foi, et dites: «Ô Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement, je déclare, Seigneur, que je crois en Toi. Place en moi la nourriture, la force, la foi dont j’ai besoin.» Observez et voyez ce qui va arriver. Il satisfera chaque faim venant d’un coeur sincère. Il le fera.

105      Jésus était un... avait fait un... avait un paradoxe, lorsqu’Il a nourri cinq mille personnes avec cinq poissons, et–et ensuite on a emporté deux paniers pleins ou plutôt plusieurs paniers pleins, après cela.

106      C’était un paradoxe, lorsqu’un Homme ayant des pieds comme vous et moi a marché sur les eaux d’un lac comme le lac Michigan qu’il y a ici, alors qu’il y avait une tempête et que les vagues étaient probablement...

107      Eh bien, si vous avez déjà été là-bas, et que vous avez vu comment ces tempêtes descendent, cela se produit encore là sur la Galilée, et c’est presque comme si cela sèche le fond de l’océan. Lorsque cela descend là-bas, ces vents terribles et cela se met à balayer. Et les vagues faisaient tanguer cette barque à tel point que tout espoir avait disparu. Et sur cette mer, où les gens étaient en train de ramer depuis 16 heures, je dirai jusqu’à la (dernière) quatrième veille, environ à 3 heures ou 4 heures du matin. Combien ils s’étaient éloignés en ramant sur la mer! Et ils L’avaient laissé de l’autre côté. Amen.

108      Et à la quatrième veille, Le voici venir, marchant sur des vagues. C’était un paradoxe. Comment pouvait-Il se rendre aussi léger? Comment arrivait-Il à marcher sur ces vagues, et passer d’une vague à l’autre? Ces grosses vagues venaient, et Il montait carrément au-dessus d’une vague et descendait directement sur une autre et montait carrément sur une autre, sans attraper une goutte d’eau sur Lui. Il venait, marchant sur les vagues! Expliquez-moi cela, et vous n’y arriverez pas. Qu’était-ce? C’était un paradoxe, absolument.

109      C’était un paradoxe, lorsque Pierre (qu’Il n’avait jamais vu dans Sa vie, il s’appelait Simon) s’est avancé dans la Présence de Jésus-Christ, parce que son frère André lui avait dit qu’Il était le Messie. Et lorsque Jésus regarda cet homme en face (c’était la première fois qu’Il le voyait), et Il a dit: «Ton nom est Simon, et tu es le fils de Jonas,» voilà un paradoxe. Si ce n’est pas le cas, dites-moi comment Il a fait cela. C’était un paradoxe.

110      Pourquoi? Parce qu’Il est la Parole. Et la Bible dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, et Elle juge les sentiments et les pensées du coeur.» Cela prouvait qu’Il était la Parole, amen, «le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

111      C’était un paradoxe, lorsque Philippe contourna la colline et trouva Nathanaël, et il le ramena dans la Présence de Jésus, et Jésus lui dit où il avait été la veille. C’était un paradoxe, amen, montrant qu’Il était la Parole. «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?»

112      Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Un paradoxe. Amen.

113      C’était un paradoxe, lorsqu’un petit homme d’affaires de la ville de Jéricho, un critiqueur du Seigneur Jésus, était monté dans un sycomore pour se cacher et Le voir passer. Et lorsque Jésus de Nazareth est arrivé là, en descendant la rue, et qu’Il s’est arrêté juste en dessous de l’arbre dans lequel se trouvait l’homme, Il a levé la tête et l’a appelé par son nom, disant: «Zachée, descends! Je vais chez toi dîner avec toi.» Un paradoxe! Il n’avait jamais vu cet homme de Sa vie. Il n’avait jamais posé Son regard sur lui.

114      C’était un paradoxe, lorsqu’il y avait peut-être des centaines de gens, oui, peut-être mille cinq cents, deux mille personnes qui sortaient de la ville de Jéricho, qui se riaient de Lui, et qui se moquaient de Lui, lorsqu’Il quittait la ville cet après-midi-là, ou plutôt ce matin-là. Et comme Il sortait de la ville, au moment où les gens Lui jetaient des fruits pourris, je peux entendre un sacrificateur dire: «Eh! on me dit que Tu ressuscites les morts. Eh! Toi le prophète, Toi qui Te dis prophète, a-t-il dit, nous en avons tout un cimetière plein par ici, des hommes justes, des hommes bons, des sacrificateurs comme moi; montes-y et ressuscite-les. Nous voulons Te voir ressusciter les morts.» Il n’a même pas entendu un mot de ce qu’ils disaient, car l’un Lui criait une chose, et l’autre une autre.

115      Mais là, tout au fond contre un mur, à une distance de deux cent cinquante yards [228,6 m], un pauvre vieux mendiant tremblait là dans le froid, avec ses manches..., il a dit: «Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi!», et il L’a arrêté sur Son chemin. Alléluia! Un cri de Josué, pas tellement loin, pas–pas à dix miles [16 km] de l’endroit où Lui se tenait, juste là, avait arrêté le soleil, un jour. Mais un pauvre mendiant a arrêté le F-i-l-s de Dieu, Il s’est arrêté net sur Son chemin à cause de la foi de cet homme, le même genre de foi qu’avait Josué. Amen. En effet, il savait que s’Il était le Fils de David, Il était le Messie manifesté, et Il pouvait lui redonner la vue. Un paradoxe! Oh! la la! Certainement, c’était un paradoxe. Oui, oui.

116      Ô Dieu, c’était un paradoxe que Dieu ait pu devenir un homme, pour mourir. Dieu, la Vie, la Vie Eternelle, a pu devenir Dieu (la vie naturelle) afin de mourir, de sauver l’homme, de le ramener à la Vie Eternelle. C’était un paradoxe, que ce grand Dieu qui remplissait tout l’espace et toute l’éternité ait pu descendre et devenir un homme, en vue de mourir pour sauver un hu-... sa propre création. Comment Dieu est devenu l’un de Sa propre création, afin de sauver, parce qu’Il avait créé Son propre corps. Jéhovah le Père, dans Sa plénitude, a habité en Jésus-Christ Son Fils. Jésus était le corps de Dieu. Dieu était représenté dans le tabernacle, la chair de Jésus-Christ, et Celui qui remplissait tout l’espace et toute l’éternité devint un Homme. Amen. Voyez-vous ce que je veux dire? Voilà, et ce Dieu pouvait faire cela, mourir, et, oh! c’était en soi un paradoxe, qu’Il ait pu se révéler de cette façon en vue de mourir pour toute la race humaine.

117      Mais, oh! quel paradoxe, lorsqu’un Homme a été crucifié, mis à mort, Son coeur transpercé par une grosse lance romaine d’environ six ou huit pouces [15,2 cm ou 20,3 cm] de large, et le sang et l’eau ont jailli. Et on L’a fait descendre de la croix, mort, on L’a enveloppé dans–dans un linge, et on L’a déposé dans une tombe. Il était tellement mort que le centurion romain a déclaré qu’Il était mort, tout le monde là déclarait qu’Il était mort, la lune a déclaré qu’Il était mort, les étoiles ont déclaré qu’Il était mort, le soleil a déclaré qu’Il était mort, la terre a fait une dépression nerveuse, elle a déclaré qu’Il était mort. Et au troisième jour, Il a pu revenir à la vie, immortel, venant de la mort. C’est un paradoxe. Amen. Il a dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma vie, J’ai le pouvoir de la reprendre.» Sa résurrection était un authentique paradoxe de Dieu.

118      C’était un paradoxe de Dieu, lorsque Jésus choisit des pêcheurs, sans... plutôt que des sacrificateurs instruits, pour porter Son Message. En principe, lorsqu’Il était venu, Il devrait venir vers les éminents pharisiens et sadducéens, et dire: «Frères, c’est vous qui, tout au long des âges, avez gardé cette dénomination pure. Je viens vous prendre maintenant. Vos pères seront fiers de vous, lorsqu’ils regarderont par-dessus les rampes du Ciel,» où peu importe l’endroit où ils étaient. J’en doute. (Jésus a dit: «Vous êtes de votre père, le diable.») «Ainsi donc, ils regarderont en bas, et diront: ‘ Eh bien, nous sommes heureux.» Ils seraient heureux de le savoir. Je suis donc venu maintenant prendre en mains la chose là où vous l’avait tous amenée.»

119      C’était un paradoxe, lorsqu’Il condamna chacun d’eux et leur dit qu’ils étaient du diable, et Il est descendu à la mer de Galilée et a pris des pêcheurs sans instruction, qui ne savaient même pas écrire leur propre nom, pour leur confier les clés du Royaume des Cieux, au lieu de les donner à Caïphe, le souverain sacrificateur. Comment un religieux qui avait été éprouvé (ce qu’eux considéraient comme éprouvé) dans leurs traditions et tout pour garder les choses de Dieu... et voici que Lui vient et choisit un autre groupe, là-bas sur la rivière. Alors qu’il y a un homme instruit et éduqué, qui a fréquenté des séminaires, et des écoles et tout le reste, ensuite Lui vient carrément là et ignore cela, et prend un pêcheur sans instruction et lui donne les clés du Royaume! Amen.

120      Ce qui produit un paradoxe, c’est lorsque quelqu’un croit Dieu et qu’il Le prend au mot. La Parole de Dieu a amené ce monde à l’existence. Vous devez croire la même chose, ce soir, la Parole promise de Dieu.

121      Regardez cette pauvre petite femme qui se tenait là au puits. Elle a dit: «Nous savons que lorsque le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses.» Il lui avait dit ce qu’était son problème. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que lorsque le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses.»

122      Suivez. Dieu parlant à une prostituée. Gloire à Dieu! Dieu parlant à une pute (amen), et sollicitant une faveur: «Apporte-Moi à boire.» Pensez-y. Vous parlez d’un paradoxe!

123      Et quel paradoxe que cette semence de la Vie Eternelle (prédestinée avant la fondation du monde) puisse se retrouver dans une chose comme celle-là, par le désir de la chair! Cette pauvre petite femme, qui avait été probablement jetée à la rue, là au fond de son coeur, elle était prédestinée à la Vie Eternelle.

124      Lorsque l’Agneau fut immolé avant la fondation du monde, conformément à ce que dit la Bible, nos noms furent inscrits dans ce Livre. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire, et tous ceux que le Père M’a donné viendront.» Répandez simplement la lumière.

125      Observez lorsque cette Lumière a touché ces sacrificateurs et tout leur intellect. Que s’est-il passé? Ils ont dit: «Il est Béelzébul, un diseur de bonne aventure, un démon.»

126      Il a dit: «Vous êtes de votre père, le diable.» C’est de là que cela venait.

127      Mais lorsque cette petite femme immorale parla à Dieu, et comment cette semence prédestinée pouvait-elle s’enraciner dans une–une telle–personne aussi vile? C’est un paradoxe. Mais observez, lorsque la Lumière toucha cela. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Maintenant, un prophète, c’est celui à qui la Parole du Seigneur vient, Elle vient au prophète, vous voyez. Et c’était là son péché, et Lui le prophète avait la Parole. Alors elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Or, nous savons que lorsque le Messie viendra, Il fera ces choses.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

128      Frère, elle laissa ce seau, et elle s’en alla. Son témoignage sauva sa ville, Sychar. Eh bien, c’était là un paradoxe, lorsque Dieu, lorsque Jésus fit cela. Certainement.

129      C’était un paradoxe, lorsque Dieu plaça Son Esprit dans les gens de la pentecôte, les pauvres pêcheurs, des gens sans instruction, plutôt que dans Caïphe, le souverain sacrificateur. Et, oh! comment Il plaça Son Evangile! C’était un paradoxe, lorsque Dieu choisit la voie qui était appelée «secte, folie», des gens qui titubaient, sautaient, faisaient des histoires, et se comportaient comme s’ils étaient fous. On les a traités des fous. C’est un paradoxe, lorsque Dieu a contourné ces très grandes synagogues, les grandes cours du sanhédrin et les grands sacrificateurs hautement instruits, pour prendre une bande des pêcheurs sans instruction et illettrés qui ne savaient que croire en Lui, Le prendre au mot, et voir les résultats.

            Et il a plu à Dieu de contourner ce qu’on appelait là la chose la plus sainte du monde, pour prendre une bande de rebuts comme on les appelait, avec leur façon d’adorer, appelée «secte,» afin de frayer le chemin du salut. Oui. Eh bien, c’est la vérité, vous ne pouvez pas nier cela. Paul a dit: «Selon la voie qu’ils appellent secte, c’est-à-dire ma façon d’adorer mon Dieu, le Dieu de nos pères; selon la voie qu’ils appellent secte». Oui.

130      C’était un paradoxe, lorsque cette glorieuse Colonne de Feu qui descendit du Ciel, l’Ange de l’Eternel, la Colonne de Feu, conduisit les enfants d’Israël dans le désert. C’était un paradoxe, lorsqu’Elle parla à Moïse là dans le buisson ardent. C’était un paradoxe. Et huit cents ans plus tard... et selon les Ecritures, dans Saint Jean 8.58, si vous voulez savoir là où cela est écrit. Si vous voulez savoir là où cela avait commencé, premièrement, c’était dans Exode 13.31. Et c’était un paradoxe lorsque, après tout ce voyage et tout ce temps, Jésus s’est tenu là et a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» JE SUIS était dans le buisson ardent. C’était JE SUIS qui parla à Moïse.

131      C’était étrange, qu’après la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Jésus, Saul, ce petit Juif au nez crochu, grincheux et méchant, et qui mettait même à mort certains membres de l’Eglise, était en route pour Damas, pour arrêter ces gens... Et là-bas, il y avait un prophète appelé Ananias, et il était là, donnant des prophéties aux gens, un prophète du Seigneur, leur annonçant la Parole du Seigneur, parce qu’Elle était venue à lui. Et pendant que pasteur Ananias se trouvait là, prophétisant, Saul alla là-bas pour l’arrêter. Et au beau milieu de la journée, cette même Colonne de Feu qui descendit et conduisit les enfants d’Israël frappa Paul et le terrassa. Et tous les gens qui se tenaient autour de lui ne La voyaient pas. Mais Elle était si brillante pour Paul qu’Elle aveugla ses yeux. Amen. Il devint aveugle. C’était si réel pour lui, mais le reste d’entre eux ne voyait pas Cela. C’est un paradoxe. Oh! la la! Oh!

132      Ce que le sens d’une personne déclare, il le déclarera à une autre. C’est la raison pour laquelle les gens peuvent assister à la–à la réunion, contempler les oeuvres du Seigneur, puis se lever, et sortir et s’En moquer; tandis que les autres s’y accrochent de tout leur coeur. C’est un paradoxe, la manière dont Dieu a pu former les hommes de la même chair. C’est un paradoxe, de voir comment Dieu fait cela, même en ce jour-ci. C’était un paradoxe pour Paul.

133      Vous savez, Paul n’avait jamais vu Jésus dans Sa chair. Il a dû accepter la révélation juste comme Pierre. Pierre n’a point connu Jésus selon la chair.

            Il a dit: «Qui dit-on que Je suis, Moi, le Fils de l’homme?»

134      «Certains d’entre eux ont dit, eh bien, que Tu es ‘Moïse’, et d’autres disent que Tu es ‘Elie’, et d’autres, ‘Jérémie.’»

            Il a dit: «Ce n’est pas ce que J’ai demandé. Vous, que dites-vous?»

            Pierre a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»

135      Jésus a dit: «Tu es heureux, Simon, fils de Jonas; ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les Cieux qui t’a révélé cela. Et sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» Vous y êtes, un paradoxe. Lorsqu’Il se trouvait là, les gens ne L’ont pas reconnu dans la chair humaine; mais lui L’a reconnu par Ses oeuvres et par la révélation, il L’a vu accomplir exactement ce que les Ecritures disaient.

136      C’est le même genre de paradoxe qui fait sortir un homme d’un vieux credo formaliste froid, pour entrer dans le Dieu vivant. C’est un paradoxe, de voir le même homme lire la même Bible, puis La renier, alors qu’un autre croit Cela et En accepte l’évidence.

            Oui, c’est un paradoxe, alors qu’il voit cela agir sur un autre homme, il devait sûrement reconnaître qu’il s’agit du même Dieu. Son credo est faux, si cela était contraire à la Parole. Si Dieu confirme Sa Parole, alors votre credo est faux. Amen. Je n’ai pas l’intention d’être si rude, mais c’est la Vérité, un paradoxe.

137      J’ai dit: «Trente minutes,» et c’est très exactement ça. J’ai encore environ six pages de notes ici. Un paradoxe, croyez-vous à cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Amen, je crois à cela. Et je vais arrêter.

138      Permettez-moi de vous dire quelque chose. Ecoutez. Il y a quelque temps, ici dans le Sud d’où je viens, je prenais un jour un tout petit peu de crème glacée. Un vieux pharmacien qui était un de mes amis, un très vieux saint né de nouveau, qui était un vrai homme, ça faisait un certain temps que je ne l’avais pas vu; je traversais la ville et je me suis arrêté pour le voir. Et j’ai vu son nom là, et je me suis dit: «Eh bien, voilà! C’est lui qui tient cette affaire», et cela faisait des années qu’il se trouvait là.

139      Je me suis approché, je suis entré, et il se trouvait là; il était assis là, il regardait par-dessus ses petites lunettes, vous savez, et il regardait par-dessus ses petites lunettes qui pendaient sur ses joues. Et il a dit: «Tiens! C’est bien frère Branham!» Et il s’est levé, et il est venu passer ses bras autour de moi, et s’est mis à me tapoter. Il a parlé à son fils, il a dit: «Va nous acheter de la–de la crème glacée.» Nous nous tenions là. «Voulez-vous une tasse de café?»

140      J’ai dit: «Non, non. Je pourrais vous parler à en mourir, si on me donnait une tasse de café.» J’ai dit: «Cela me rend nerveux.» J’ai dit: «Je prendrai bien un peu de crème glacée.»

141      Alors, nous avons pris de la crème glacée dehors. Et–et les filles se trouvaient là derrière, et ainsi de suite, dans la pharmacie, et nous nous sommes assis et nous avons eu un petit moment de communion autour de cette crème glacée.

142      Il a dit: «Frère Branham, je–j’aimerais vous dire quelque chose.» Il a dit: «Je–j’ai été un peu réticent pour le dire à d’autres personnes.» Nous nous sommes mis à parler du Seigneur et de Sa bonté. Et le vieil ami pleurait, et les larmes coulaient sur ses joues, et il a dit: «Je–j’aimerais vous dire quelque chose.» Il a dit: «Cela–cela pourrait vous sembler étrange, a-t-il dit, mais je crois qu’une personne comme vous comprendra cela.»

            J’ai dit: «Eh bien, allez-y, frère. De quoi s’agit-il?»

143      Il a dit: «Autrefois, pendant la crise, a-t-il dit, mon fils, celui qui a des cheveux gris là, était juste un jeune homme.» Et il a dit: «Nous étions ici à l’époque, exerçant là... cette activité.» Et il a dit: «Mais les gens étaient pauvres, ils n’avaient rien à manger. Et pour avoir une ordonnance, afin d’acheter des médicaments ou quelque chose de ce genre, ils devaient aller et faire une file.»

144      Et beaucoup d’entre vous s’en souviennent. Bien sûr que vous vous en souvenez. Vous vous teniez dans la ligne, pour obtenir un petit aval du comté, afin que vous puissiez vous procurer ces médicaments ou quelque chose à manger.

145      Et il a dit: «J’étais assis ici, un jour, lisant ma Bible, et–et, a-t-il dit, quelqu’un est entré par la porte. Et mon fils s’est levé, il était jeune, et il s’est avancé au devant de lui.» Et il a dit: «Je l’ai entendu dire: ‘Non, nous ne pouvons pas le faire.’»

146      Et il a dit: «J’ai écouté attentivement. J’ai posé ma Bible et j’ai écouté attentivement. Et cet homme a dit: ‘Monsieur,’ a-t-il dit, ma femme est sur le point de s’évanouir.’» Et lorsqu’il a regardé, il a dit qu’il a vu que cette femme était sur le point d’accoucher; c’était un jeune couple. Et le jeune homme lui a dit, il a dit: «Je–je–je me suis tenu là dans cette ligne, a-t-il dit, oh! ayant la longueur d’un pâté de maisons. Et, a-t-il dit, ma femme ne peut plus rester là debout.’ Il a dit: ‘Je me demande... J’ai reçu l’ordonnance du médecin; elle doit prendre ce médicament immédiatement.’ Il a dit: ‘Je Te prie de remplir cela, et après je vais la ramener chez nous, et puis j’irai me tenir là dans la ligne. Je vais–je vais chercher la–l’ordonnance pour cela. Si vous voulez bien...’»

147      «Et mon fils, le jeune homme, a dit: ‘Monsieur, c’est contre le règlement d’ici. Nous–nous ne pouvons pas le faire.’»

148      «Il a dit: ‘Eh bien, je ne savais pas.’ Il a dit: ‘Merci beaucoup, mon fils.’ Et il s’est retourné pour s’en aller.»

149      Et il a dit, juste au moment où il commençait à s’en aller, Quelqu’un lui a parlé, au fond–au fond de son coeur, et a dit: «Un jour, Joseph et Marie avaient été renvoyés aussi.»

150      Et il a dit: «Je me suis levé et j’ai dit: ‘Attends, fiston! Un instant!’» Et il a dit: «Ce monsieur s’est arrêté. Je suis allé prendre l’ordonnance, je suis rentré là derrière et je l’ai remplie, pendant qu’il attendait, tenant sa femme par la main. Et elle était tellement faible qu’elle s’appuyait tout simplement sur son épaule.»

151      Et il a dit: «Je suis sorti là, et je...» Il a dit: «Je regrette d’avoir dû faire ça, monsieur.»

            Il a dit: «Ce n’est pas un problème.»

152      «Il avait la tête inclinée, et il a simplement tendu la main.» Et lorsqu’il a déposé cela dans sa main, il a dit: «Frère Branham, j’ai vu Jésus.» Il a dit: «J’ai déposé cela juste dans Sa main.» Il a dit: «Frère Branham, Il était là, exactement tel qu’Il est dans la photo.» Et il a dit: «Je–je ne pouvais pas parler. Et cet homme s’est retourné, il est sorti de la pharmacie.»

            Il a dit: «Croyez-vous cela, Frère Branham?»

153      J’ai dit: «Je le crois avec tout ce qui est en moi. Certainement!»

154      Saint Martin de Tours, si vous avez déjà lu son histoire, était un soldat. Et il était–il était son... Il marchait sur les pas de son père. Il sentait toujours un appel de Dieu. Seulement, je pense, sa famille n’était pas vraiment pratiquante. Et un jour, alors qu’il venait...

155      D’après l’histoire, l’hiver était rude. Et il était... Un vieux mendiant était couché à la porte, et il mourait de froid; et plusieurs personnes qui auraient pu donner à manger ou des vêtements à ce vieil homme... Il criait, la main tendue. C’était un vieil homme barbu, sale, couché à la porte de la ville. Et il disait: «Que quelqu’un m’aide. Je–je gèle. Je vais mourir cette nuit. Que quelqu’un me donne un vêtement.»

156      Saint Martin avait déjà distribué tout ce qu’il avait. Il... en tant que soldat, il ne portait qu’un manteau. Il s’est tenu d’un côté, et il a regardé pour voir si quelqu’un n’allait pas le faire. Les gens venaient et s’en allaient, et personne ne voulait aider le mendiant.

157      Alors il s’est approché, et il a regardé ce vieil homme. Il a eu pitié de lui. Il a ôté son propre manteau, il a pris son épée et a coupé cela en deux. Et avec une partie de son manteau, il s’est enveloppé les épaules, et il a pris l’autre moitié et en a enveloppé le vieux mendiant, afin qu’il puisse survivre toute la nuit, et il s’en est allé.

158      Les gens se sont moqués de lui, en disant: «Quel drôle de soldat, portant juste la moitié d’un manteau!»

159      Cette nuit-là, alors qu’il dormait dans son lit, il s’est réveillé. Quelqu’un était entré dans la pièce. Il a regardé, et voilà, se tenant dans la pièce, Jésus était là, enveloppé dans ce vieux morceau de vêtement. Et il a reconnu par cela...

160      Il était cet homme, saint Martin, c’était l’un des hommes qui avaient combattu autrefois pour la foi qui avait été une fois transmise aux saints une fois pour toutes. Il croyait aux miracles de Dieu. Il croyait au parler en langues. Il croyait tout le Nouveau Testament qui avait été écrit par les apôtres. Il croyait cela et il combattait pour cela aussi longtemps qu’il vivait, et Dieu accomplissait des miracles. Il a reconnu, lorsqu’il a vu ce vieux mendiant enveloppé dans le morceau de son propre manteau, que cette Parole de Dieu était accomplie: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits, c’est à Moi que vous les avez faites.» Vous direz: «Cet homme n’a pas vu cela.»

161      Je crois qu’il a vu cela. Je crois qu’il avait saisi cela. Je crois que ça se trouve là. Je crois que c’est Jésus qu’il regardait. C’était une révélation du Dieu rendu manifeste, parce qu’il avait accompli...

162      Vous parlez d’un paradoxe, il en vient un, lorsque les morts en Christ ressusciteront, et que nous les vivants, serons changés en un instant, en un clin d’oeil, pour être enlevés ensemble, à la rencontre du Seigneur dans les airs. Oui.

163      Oh! comme Dieu tient Sa Parole dans cet âge intellectualiste! Comme Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement! Comme Il est toujours capable de discerner les pensées du coeur de l’homme! Comme Il est toujours capable de changer les hommes! Comme Il est toujours capable de tenir chaque Parole qu’Il a promise pour ce jour! Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement! Comme Il est toujours capable de se manifester et permettre aux gens de photographier cette même Colonne de Feu qui suivait Israël, la même qui accompagnait le Seigneur Jésus, la même qui était là-bas avec Saul en route, la même qui est entrée dans la prison et a fait sortir Pierre! Ce même Ange de Dieu est ici ce soir, accomplissant exactement la même chose qu’Il avait accomplie lorsqu’Il était ici sur terre, manifesté dans la chair humaine. Pourquoi? Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

164      Croyez-vous au paradoxe? [L’assemblée dit: «Amen!»–N.D.E.] Je crois que Dieu veut que les gens croient au paradoxe. J’ai dépassé mon temps. Je crois qu’il pourrait y avoir un paradoxe juste ici. Amen. Je crois que Dieu le veut bien et Il désire prendre Son peuple et se manifester Lui-même. Si seulement Il peut amener un homme ou une femme, un jeune homme ou une jeune fille à se débarrasser de ses propres pensées, pour devenir Son prisonnier et croire en Lui!

165      Il est Sa Parole. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.»

166      Et maintenant, Il est en vous, l’espérance de la gloire, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a dit dans Saint Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.»

167      Il a promis dans Saint Luc que ce qui arriva au temps de Sodome... lorsque l’Eglise élue, le groupe d’Abraham, recevra un signe comme celui qu’Abraham avait reçu, et que le groupe de Lot recevra un signe comme celui que Lot avait reçu.

168      C’est très étrange que nous ayons eu tous ces grands réformateurs: Luther, Wesley, mais que jamais nous n’ayons eu là un homme dont le nom se termine avec h-a-m, un messager pour le monde. G-r-a-h-a-m, ça fait six lettres. A-b-r-a-h-a-m c’est Abraham. Nous avons eu Moody, Sankey, Finney, Knox et Calvin, mais jamais un ham,«père des nations». Nous en avons un maintenant. C’est un paradoxe. Le savez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Et, regardez, c’est exactement ce qu’il est en train de faire, en les appelant à sortir de Sodome.

169      Mais, rappelez-vous, Abraham avait reçu aussi un Messager là-bas pour son groupe. Amen. Et quel genre de signe avait-Il accompli, alors qu’Il avait le dos tourné à la tente? Il a dit: «Je vais te visiter au temps de Ma promesse, au temps de la vie.» Et Il a dit: «Où est ta femme, Sara?»

170      Il a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.» Et lorsqu’il a dit cela, Sara a ri sous cape.

171      Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri, en disant: ‘Ces choses ne peuvent pas arriver’?» Vous voyez?

172      Jésus a dit: «Ce qui arriva au temps de Lot arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme, les oeuvres que Je fais!» C’est ce que devient la Parole de Dieu. «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voudrez, et cela vous sera rendu manifeste.» C’est un paradoxe, de voir une promesse que Dieu–une promesse de Dieu qui a été faite il y a deux mille ans, et l’éthique de l’église a amené les gens si loin. Mais au milieu de tout cela, Dieu descend carrément, Il ouvre cette Parole et La ramène directement dans Son Eglise, exactement. C’est un paradoxe. Croyez-vous en Lui? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Prions.

173      S’il y a ici ce soir des gens qui aimeraient voir un paradoxe être accompli sur eux, et voir leur coeur être changé, passer de l’incrédulité à la foi en Dieu, voudriez-vous lever la main et dire: «Seigneur, souviens-Toi de moi, souviens-Toi de moi.» Que Dieu vous bénisse. Oh! regardez les mains!

174      Père céleste, il y a beaucoup de mains, et je ne serais pas en mesure de dire «que Dieu vous bénisse,» à chacun d’eux, mais Toi, Tu les connais tous. Change leurs pensées, Seigneur. Oh! qu’un paradoxe se produise. Ils se sont toujours inclinés en quelque sorte. Peut-être qu’ils ont cru à moitié. Peut-être que certains d’entre eux sont membres d’une église, mais cependant ils n’ont jamais connu ce moment où ils ont eu cette ultime liberté, où ils ont cru, et où ils ont reconnu que ce que Dieu a promis, Il est capable de l’accomplir. Cependant, nous confessons être la postérité d’Abraham, qui ne douta pas de la promesse de Dieu par incrédulité, mais qui fut fortifié, donnant gloire à Dieu. Maintenant, Dieu notre Père, je Te prie au Nom de Jésus, d’avoir pitié d’eux.

175      Ô Dieu, descends au milieu de nous, ce soir, pour Te mouvoir sur nous et nous montrer que Tu es toujours un Dieu des miracles. Accomplis un paradoxe, Seigneur, et montre que Ta Parole peut toujours discerner les sentiments et les pensées du coeur. Tu es toujours le Même qui s’était manifesté là-bas, Celui qu’Abraham avait appelé Elohim, l’Eternel Dieu, le Créateur, le Tout-suffisant, Celui qui existe par Lui-même. Ô Dieu, Tu es toujours le Dieu éternel, le même hier, aujourd’hui et éternellement, et le Sang de Ton Fils a sanctifié une Eglise et L’a purifiée. Si seulement la Parole, oh! si seulement ils avaient pu La recevoir sans ajouter des credos, Seigneur!

176      Mais, maintenant Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments. C’est le sarment qui porte le fruit du cep; car la vie du cep–du sarment vient du cep.» Combien nous Te remercions pour ceci, Seigneur! Combien c’est parfait.

177      Et en ce jour d’incrédulité et de superstition, et–et de toute sorte de credos, Tu es toujours le même Dieu qui avait arrêté le soleil pour Josué. Tu es le même Dieu qui était dans le bâton que Moïse avait étendu sur la mer. Tu es le même qui pouvait appeler les poux, les mouches, les grenouilles et que sais-je encore, par la bouche de Moïse. Tu es le même Dieu qui pouvait placer la pluie dans les cieux. Tu es le même Dieu qui va faire pleuvoir du ciel le feu. Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement.

178      Ô Seigneur Dieu, montre-nous Ta gloire ce soir, en sauvant et en remplissant chaque personne qui a levé la main. Accorde-le, Seigneur. Qu’il n’y ait aucune autre prière formaliste. Qu’il n’y ait aucune autre façon formaliste de lever la main, sous une petite influence de–de quelque chose. Mais que cela puisse venir du fond de leur coeur, que les gens puissent crier: «Ô Seigneur Dieu, crée en moi une foi qui peut croire en Toi et qui peut accepter chaque Parole, et ponctuer chaque promesse d’un amen.» Accorde-le, Père. Je remets cela entre Tes mains maintenant, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

179      Très bien, il est 10 heures. Nous n’avons pas besoin d’avoir une ligne de prière ici à l’estrade. Nous pouvons en avoir une là-bas. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

180      Combien parmi ceux qui sont ici croient qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et croient que cette petite femme qui avait touché Son vêtement...? Autrefois avec son doigt, (Il était–Il était alors dans Son corps physique), elle a touché Son vêtement. Voilà un paradoxe. Il ne pouvait pas sentir cela, mais Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Et elle ne pouvait pas se cacher. Et Il lui a dit ce qu’était sa maladie, et sa foi l’a guérie.

181      Et la Bible dit aujourd’hui dans Hébreux, qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut-être touché par le sentiment de nos infirmités. Combien de malades croient cela? Levez la main. Très bien, et voyons maintenant si c’est vrai que croyez cela.

182      Vous direz: «Frère Branham, comment cela se fait-il?» En croyant simplement la Parole, juste telle qu’Elle est écrite. Ne considérez pas un quelconque ouï-dire, la déclaration d’un tel homme qui dit que c’est comme ceci, et d’un tel autre qui dit que c’est comme cela. Croyez-La juste telle qu’Elle est écrite.

183      S’Il doit vous juger d’après la Parole telle qu’Elle est écrite, alors pourquoi accepter l’interprétation que quelqu’un d’autre En donne? En effet, c’est de cette façon-là que se fera le Jugement. C’est juste cela, c’est Son critère. Il a veillé sur Sa Parole. Il n’y a rien de faux là-dedans. C’est exactement la Parole. C’est par Ceci que nous serons jugés, la Parole de Dieu.

184      «Et si vous demeurez en Moi (Ce qui signifie la foi), et que Ma Parole demeure en vous (en effet, Il est la Parole), alors demandez ce que vous voudrez.»

185      Maintenant, touchez Son vêtement, dites: «Seigneur Jésus, je crois de tout mon coeur que nous vivons dans les derniers jours. Je crois que Tu es le même Dieu qui a accompli tous ces miracles que notre pasteur nous a montrés ce soir dans la Parole. Je crois que Tu es le Souverain Sacrificateur. Seigneur, laisse-moi toucher Ton vêtement. Puis, parle à travers ce frère, et–et confirme que Tu parles à travers lui. Et puis, il ne me connaît pas, mais Toi, Tu me connais.» Et alors, voyez s’Il n’est pas le même Dieu des miracles, et il y aura encore un paradoxe, quelque chose d’insondable que l’homme ne peut ni discerner ni savoir.

186      Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] S’Il le faisait, nous saurons alors que ce sera un paradoxe. Est-ce juste? [«Amen.»] J’allais avoir une ligne de prière; j’ai été tellement emporté à ce propos que je–je–je me suis simplement éloigné de la chose, et le temps est presque fini. Croyez. Commençons par... Je ne peux pas...

187      Je dois vous séparer. Commençons de ce côté-ci. Quelqu’un de ce côté-ci. Combien y a-t-il par ici qui savent que je ne les connais pas ou que je ne sais rien à leur sujet, qu’ils lèvent la main; ceux qui sont malades, qui savent qu’ils ont une requête qu’ils aimeraient la présenter à Dieu? Très bien.

188      Certains d’entre vous, croyez, prenez simplement–simplement ceci de tout votre coeur. «Seigneur Jésus, Toi qui es le même hier, aujourd’hui et éternellement! Laisse-moi Te toucher, Seigneur. Ma foi monte jusqu’à Toi là-bas, où Tu es assis à la droite de la majesté divine. Et Ton Saint-Esprit, qui était en Toi, est ici ce soir. Laisse-moi simplement Te toucher par la foi, Seigneur.» Alors, voyez s’Il est toujours l’Auteur des paradoxes pour accomplir des choses totalement inconnues. Soyez simplement révérencieux.

189      Ici, voyez-vous Cela juste ici? Il s’agit d’une femme de couleur assise juste par ici derrière. Elle est dérangée par une maladie des reins. Elle vient de subir une opération. Je ne connais pas cette dame.

190      Je vous suis inconnu. Est-ce juste, madame? Mais c’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous que ce même Dieu qui a fait la révélation à cette petite femme qui avait touché Son vêtement là-bas, et–et de l’autre côté du lac, croyez-vous qu’il s’agit là du même Dieu? Vous ne pouviez pas me toucher, physiquement, vous le savez. Alors je vais juste... Et je ne vous connais pas. Il y a donc un Souverain Sacrificateur, car Il a dit qu’Il était le Souverain Sacrificateur. Est-ce juste? Et croyez cela. Lorsque vous étiez là en prière pour que ce soit vous, quelque chose vous a touchée, et immédiatement j’ai déclaré cela. Est-ce juste? Très bien.

191      Cette opération que vous avez subie semble n’avoir pas très bien réussi. Vous ne vous rétablissez pas non plus, et cela vous inquiète, et vous êtes venue ici ce soir dans ce même but. Si le Seigneur Jésus me révélait qui vous êtes, comme Il le fit avec Simon qui s’était présenté là, croirez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur? Croyez-vous cela? Madame Pigrum. C’est juste. Maintenant, croyez de tout votre coeur, rentrez chez vous et portez-vous bien. Vous allez vous rétablir parce que c’est votre foi qui vous guérit.

192      Croyez-vous de tout votre coeur? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Qu’en est-il de ceux qui sont quelque part ici dans cette section, y a-t-il quelqu’un qui croit?

193      Il y a un homme assis par ici au bout, il souffre d’une maladie des yeux. J’ignore s’il est conscient... Oui, il m’a compris maintenant. Il sent l’Esprit. Oui, voyez-vous cette Lumière au-dessus de cet homme? Monsieur Otis, c’est cela votre nom. Je vous suis totalement inconnu, mais vous êtes inquiet pour vos yeux. Christ vous guérit, votre foi.

194      Maintenant demandez à cet homme si je l’ai déjà vu, si je savais quoi que ce soit à son sujet, ou au sujet de cette femme, ou quoi que ce soit. Il y a là un paradoxe. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Il est le même hier et aujourd’hui. Il a promis: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» C’est ainsi qu’Il s’est identifié comme étant le Messie. Est-ce juste? [«Amen.»] Bien, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et vous savez que ça ne peut être moi. Je ne suis pas le Messie. Je ne suis qu’un homme, votre frère. Mais le Saint-Esprit est ici, c’est Lui le Messie. C’est le Conducteur. Il est Celui qui connaît. Je ne connais pas ces gens; ils le savent.

195      Tenez, j’aimerais vous le démontrer. Il y a une femme de couleur assise juste là de côté, par là, elle souffre de la thyroïde. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Mme Kelly. [La soeur s’écrie: «C’est moi.»–N.D.E.] C’est juste. Très bien.

196      Croyez-vous de tout votre coeur? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

197      Monsieur Swanson là derrière, vous souffrez de troubles nerveux, croyez-vous que Dieu peut vous rétablir? Si vous le croyez de tout votre coeur! Très bien, vous pouvez avoir cela. Dieu vous rétablit.

198      Croyez-vous cela? Je ne connais pas ces gens. Demandez-leur si je les connais. C’est un paradoxe.

199      Un instant. Voici cette Lumière, Elle se tient au-dessus d’une femme. Je sais de qui il s’agit. Elle est assise juste ici. Ne vous inquiétez pas, Madame Collins, cessez de vous tracasser à ce sujet, vous vous rendez malade. Tout cela va très bien se terminer. C’est Dieu qui conduit. Eh bien, je connais cette femme. Je sais qui elle est. Elle vient de l’Indiana, ou plutôt du Kentucky. Je la connais. Son mari qui est là est membre de mon église, c’est un–c’est un diacre là-bas, un homme bien. Mais voilà cette Lumière. Ne La voyez-vous pas juste au-dessus d’elle? Elle est tourmentée, elle est malade, et elle est contrariée à cause de quelque chose dont elle ignore si elle doit le faire ou pas. Rappelez-vous simplement, cessez de vous faire du souci, soeur, tout ira bien. Il connaît tout à ce sujet. Il vous conduira si vous Le laissez simplement faire.

200      Amen! Le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il est un paradoxe! Nous en sommes reconnaissants. Croyez-vous cela? [L’assemblée se réjouit.–N.D.E.]

201      Tenez-vous donc debout et acceptez cela, et dites: «Seigneur Dieu, je viens à Toi au Nom de Jésus-Christ; agis en moi et fais descendre sur moi Ta gloire, Tes bénédictions et Ta puissance. Qu’un paradoxe entre dans mon coeur maintenant même. Je crois. Je crois.» De tout votre coeur, croyez.

202      Levez les mains pendant que vous chantez ce vieux cantique: Je L’aime, je L’aime parce qu’Il m’aima le premier. Fermez les yeux. Fermez tous vos propres pensées, et laissez simplement Jésus-Christ entrer en vous, et chacun de vous sera guéri et rempli du Saint-Esprit.

203      Un seul paradoxe ce soir mettra cet... devrait mettre cet endroit en feu. Jésus-Christ est ici. Qui peut expliquer cela? Demandez à ces gens, allez les voir. Vous avez leurs noms et tout, sur cette bande. Allez leur poser la question. Vous voyez, je ne sais rien à leur sujet. Qu’est-ce qui fait cela? Dieu, dans cet âge intellectualiste...

204      «Où y a-t-il de pluie là au ciel?», disait la science au temps de Noé. «Où est-elle là-haut?» Dieu l’avait promis! Elle est venue.

205      Comment ces choses peuvent-elles se produire? Je ne sais pas. Dieu l’a promis! Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Alléluia! Eh bien, Je L’aime, je L’aime parce qu’Il m’aima le premier, et a ouvert mes yeux aveugles afin que je vienne et voir Sa Présence et reconnaître qu’Il est ici. Amen et amen!

206      Levons simplement les mains et adorons-Le maintenant pendant que nous chantons cela. Gloire à Dieu! Grâces soient rendues au Seigneur Jésus-Christ, pour Sa bonté et Sa miséricorde! Que Dieu vous bénisse.

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