La Persévérance
1 Merci. Merci, Frère Joseph. Maintenant je crois.
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Toutes choses sont possibles, maintenant je crois;
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Toutes choses sont possibles, maintenant je crois.
2 Inclinons nos coeurs dans Sa Présence maintenant. Notre Père céleste, nous Te sommes encore reconnaissants ce soir, parce que Tu as été avec nous tout au long de la journée et que Tu as guidé nos pas. Ce soir, nous nous sommes encore rassemblés au Nom du Merveilleux Seigneur Jésus. Et nous sommes ici dans une grande attente. Maintenant, nous nous attendons au temps où Tu nous accorderas le point culminant de ce rassemblement, où Tu guériras les malades et tous les affligés ce soir. Qu’il ne reste aucune personne faible parmi nous ce soir. Que leur foi augmente, Seigneur, depuis...Et qu’ils ne regardent plus leurs problèmes, mais qu’ils regardent à Celui qui a–qui est le Remède, ou la Cure pour leurs problèmes. Et, ô Dieu, nous Te prions de rompre, une fois de plus, le Pain de Vie pour nous, à partir de Ta Parole, qui nous donnera du courage. «Car, la foi vient de ce que l’on entend et ce que l’on entend de la Parole de Dieu.» Et nous Te louerons, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
3 Vous pouvez vous asseoir. Je suis très heureux d’être encore ici ce soir. Je suis passé près de la porte là à l’extérieur, il y a quelques instants, et les rues grouillaient d’une multitude de gens qui montaient et descendaient. Et le–le conducteur du bus a dit que... ou plutôt le... Excusez-moi, le conducteur du taxi a dit: «Ces gens ne sont pas venus à l’église, n’est-ce pas?» J’ai dit: «Si, ils n’ont pas pu entrer», ai-je dit. On prétend que les gens ne veulent pas aller à l’église. Vous voyez? Mais ils–ils... Je crois que l’Evangile reste encore la–reste–reste la plus grande puissance d’attraction qui existe sur terre; mais c’est dans la simplicité.
4 On a passé des moments glorieux au déjeuner des Hommes d’Affaires du Plein Evangile ce matin. Le Seigneur nous a vraiment bénis. Il nous a rencontrés là de façon glorieuse. Ils ont vendu, je pense d’après ce qu’ils ont dit, mille sept cents billets, et ils ont fait entrer trois cents personnes de plus; et puis, ils n’ont pas pu en faire entrer davantage, et les gens se sont tenus là dans les allées et près des portes. Et–et lorsque nous avons fait l’appel à l’autel, le Seigneur nous a donné beaucoup d’âmes qui se sont levées, pour recevoir la Vie Eternelle. Nous en sommes donc très reconnaissants.
5 Et–et ensuite, j’aimerais remercier un frère. Il n’a pas pu entrer là; je ne le pense pas. Et il–il a remis à Billy, il y a quelques instants, un carton des balles de calibre 22 pour moi. Et je les ai mises ici derrière. Je les apprécierai. Merci beaucoup, si vous êtes dehors et que vous pouvez entendre cela, ou à l’intérieur, où que ce soit. Certainement, je...
6 Ç’a été une grande bénédiction pour moi, de tirer parfois sur les cibles. Et, maintenant, il vous faut avoir quelque chose pour en quelque sorte laisser échapper la pression, et ainsi, c’est de cette façon que je m’y prends parfois, lorsque j’en ai l’occasion et que je peux... eh bien, je m’empresse d’aller au champ des tirs pour tirer un peu quelques coups de feu, tout simplement pour laisser échapper la vapeur. Vous... Je pense que Jésus a dit: «Allons un peu à l’écart dans un lieu désert.»
7 Eh bien, nous vous aimons tant! Demain, c’est dimanche, et tout le monde aime aller à l’église le dimanche. Et je sais, ou presque vous tous vous savez où le–le (j’essaie de dire l’Eglise la Pierre [En anglais Stone Church–N.D.T], c’est Roc Church [l’Eglise le Rocher], c’est ça. C’est l’église qui parraine cette série de réunions, je pense, et d’autres sont ici en visiteurs. Et vous, les étrangers qui n’êtes pas de cette ville, qui êtes venus à ces réunions, si vous ne... Eh bien, si vous avez un poste du devoir, allez-y. C’est ce que vous êtes censés faire. Tenez-vous toujours à votre poste du devoir. C’est là votre–c’est là votre devoir envers Dieu, envers votre pasteur et envers le reste de la congrégation. Mais si vous n’avez pas d’endroit où aller, je suis sûr que vous serez certainement les bienvenus au Roc Church, car je pense qu’on a annoncé les réunions.
8 Et–et vous qui avez été sauvés dans ces réunions-ci... on ne sait jamais. Eh bien le... d’habitude, nous faisons un appel à l’autel, ce que nous appelons un appel à l’autel, voyez, et c’est–c’est en ordre. Je n’ai rien contre cela. C’est bon. Mais je crois, si vous vous souvenez des Ecritures, qu’on–on n’avait pas d’appel à l’autel [à l’époque]. «Tous ceux qui avaient cru, vous voyez, s’ajoutaient à l’église.» Les croyants!
9 Et–et si vous n’avez pas d’église, eh bien, je suis certain que le frère Vick vous accueillera dans son église ou n’importe lequel de ces autres hommes par ici. Si vous n’avez pas encore reçu le baptême chrétien, consultez-les. Et ne vous arrêtez pas là. Continuez tout simplement d’avancer, continuez d’avancer.
10 Nous ne savons jamais, nous ne savons même pas combien de personnes sont guéries. Et vous les pasteurs, les frères, rappelez-vous tout simplement que lorsque la réunion se termine, ça prendra peut-être des semaines après, quelqu’un viendra à vous, par exemple une petite dame, et elle dira: «Vous savez, j’avais un problème gynécologique, je n’en ai plus.» Quelqu’un d’autre dira: «Je–je... vous savez, tout d’un coup, je n’avais plus envie de cigarettes. Cela m’avait complètement quitté.» Voyez? Les gens–les gens sont guéris, tant de gens, vous ne saurez pas les citer. Voyez, c’est vraiment partout. Jusque-là, je n’ai jamais eu de réunions sans qu’il y ait des résultats par après, des réunions où le Seigneur a guéri les gens sans que ceux-ci n’en soient conscients aussitôt; mais ils–ils ont été guéris. Et la première chose vous savez, ils étaient–ils se sont tout simplement levés et ils sont partis, et tout est terminé. Mais peut-être qu’ils ne comprennent pas à l’instant même la chose juste, mais, c’est... peu de temps après, la chose est terminée.
11 Je me rappelle ce qui s’était passé en Finlande il y a bien longtemps; je pense qu’il y a des Finlandais ici. Il y avait un petit garçon qui était ressuscité des morts. Vous avez probablement lu–lu le livre à ce sujet. Les nouvelles se sont répandues jusque-là en Russie. Mais j’ai vu cela en vision avant que la chose n’arrive, deux ans avant, et j’ai annoncé cela à travers la nation.
12 Je me rappelle cette petite fille finlandaise qui, ce soir là, était debout là à l’extérieur dans le hall, et qui avait une jambe d’environ six ou huit pouces plus courte que l’autre. Elle portait une grosse chaussure à semelle compensée, avec une–une lanière autour d’elle, et une autre lanière attachée à son orteil, un petit crochet. Et elle avait une–une ceinture par-dessus son épaule, traversant comme ceci et qui descendait jusqu’à l’orteil dans sa chaussure. Elle portait deux béquilles. Et quelle pauvre petite créature déguenillée! Et chaque fois qu’elle voulait se mettre en mouvement pour avancer, elle devait soulever ce pied avec son épaule, cette lanière; et puis le projeter comme cela, et déposer cela, et ensuite poser la béquille. Et nous avons dû...
13 Nous étions à ce qu’ils appellent (eh bien, il y a un frère ou une soeur finlandaise par ici, je–je ne prononce pas ceci correctement) Messuhalli, et cela prend toutes les lettres de l’alphabet. Et on laissait entrer environ vingt mille personnes ou peu importe le nombre que c’était, et puis on les laissait sortir, et ensuite on me laissait prêcher à un autre groupe de vingt mille personnes.
14 Et le petit garçon qui a été ressuscité des morts à Kuopio, avait été tué par une automobile. Oh! la la! Et là-bas, on ne diffuse pas le rock-and-roll et d’autres choses, il n’y a que des informations et tout, ainsi on a parlé de cas dans les informations. Et les gens sont venus de très loin depuis la Russie, pour monter jusque-là à l’intérieur.
15 Et ce soir-là, j’ai vu... C’était juste après la guerre, environ cinq ans je pense, après la guerre. Et j’ai vu des soldats russes et des soldats finlandais les uns, les bras autour des autres, se témoignant de l’amour les uns envers les autres, se tapotant les uns les autres dans le dos. Tout ce qui amènera un Russe à tapoter un Finlandais, mettra fin aux guerres; il faut l’amour de Jésus-Christ pour faire cela.
16 Mais ces soldats communistes, costauds, étaient debout là... Nous sommes passés près d’un groupe de petits soldats finlandais, des jeunes gens imberbes, ayant le visage tout lisse; ils portaient de grosses bottes, ils descendaient la rue et contemplaient les gens. Il y avait plein de monde de deux côtés de la rue, sur une distance de plusieurs pâtés de maisons. Et ces soldats se tenaient là au garde-à-vous, les larmes coulant sur leurs joues. Ils disaient: «Nous recevrons un Dieu qui peut ressusciter les morts.» Voyez-vous? Ce sont des humains comme nous.
17 Mais voici ce qu’il y a: quelque chose qui professe le christianisme et qui ne produit pas de résultats, ils le mettent de côté. Ils veulent quelque chose de réel. Vous voyez, c’est la raison pour laquelle le communisme est né; parce que l’église a déçu. L’église est coupable du communisme parce que l’église a déçu. Et pensez-y, il n’y a donc qu’un pour cent de la Russie qui est communiste, un pour cent. Quatre-vingt-dix-neuf pour cent de gens sont néanmoins des chrétiens. Ce dont ils ont besoin, c’est d’un véritable feu qui soit allumé, avec un prophète ayant l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Cela–voyez... C’est ce qui repousserait les forces communistes jusque dans la mer. Ce dont nous avons besoin, c’est... Ils ont besoin du véritable christianisme.
18 Et ces soldats russes se tenaient là ce soir-là; je suis entré dans un petit vestibule et puis, je suis entré dans un petit hall. Et cette petite fille, je ne l’oublierai jamais, elle avait–elle avait les cheveux un peu ébouriffés et elle portait une petite jupe en guenilles. Et elle est sortie de–de la salle des dames. Et on leur avait dit de ne pas me déranger.
19 Je suis sorti dans la rue pour acheter des bonbons. J’ai–J’ai des enfants, moi-même, et je–j’aime les enfants. Je pense que toute personne qui n’aime pas les enfants, il a en lui quelque chose qui cloche. Et ainsi ces petits amis, j’en avais à ma suite toute une file longue d’environ un pâté de maisons. Je leur donnais des bonbons. On m’avait remis de l’argent de là, et il ne servirait pas ici, de gros billets comme cela, et j’achetais des bonbons. Je ne me rappelle plus ce que j’achetais, mais je leur donnais cela. Et ils demandaient cela dans les rues, vous savez, quand je me promenais, je progressais pour me distraire, je pense, pour faire un petit exercice.
20 Et ensuite, lorsque je suis entré ce soir-là, cette petite fille pensait qu’elle avait fait quelque chose de mal, et je me souviens qu’elle gardait sa petite tête baissée. Et elle a levé ces petits yeux bleus, elle cherchait à voir ce que j’allais dire.
21 Et les deux soldats qui étaient devant moi se sont avancés vers la porte. Et on chantait Crois Seulement. Il y en avait deux autres derrière moi. Et je leur ai fait signe de s’arrêter.
22 Je voulais voir ce que cette enfant allait faire. Elle avait environ, je pense, environ huit, ou dix ans. Plus tard, j’ai appris qu’elle était une petite finlandaise orpheline de guerre. Son père et sa mère avaient été tués pendant la guerre contre les Russes. Et ainsi je–j’ai regardé la petite créature, et–et elle avait ces béquilles. Et elle pensait que j’allais... qu’elle avait fait quelque chose de mal, vous savez.
23 Et je l’ai regardée. J’ai dit: «Tu veux me voir?» Et, naturellement, elle ne comprenait pas l’anglais. Et je lui ai fait signe avec mon doigt de venir là. Et elle a levé la tête et elle avait plutôt un air enfantin. Elle a sorti ses petites béquilles, elle a soulevé sa petite jambe, presque comme cela. Et la voici venir en marchant.
24 Je me suis dit: «Je vais vraiment voir ce que fait cette enfant.» Et je me suis tout simplement tenu là comme cela. Et elle s’est vraiment approchée de moi, et m’a regardé; elle a levé les yeux comme cela, et elle a baissé les yeux. Je me suis dit: «Je vais tout simplement voir ce qu’elle fait.» Et elle a soulevé mon veston, l’a regardé dans sa main, et a embrassé la poche de mon veston et elle a baissé sa main.
25 Je voulais lui dire: «Ma petite soeur», je ne savais pas comment le lui dire. Et j’ai regardé devant, je l’ai vue en train de courir dans la rue, tout aussi normale que n’importe quel enfant. Et j’ai donc dit... Je ne pouvais pas lui parler, j’ai dit: «Chérie, Jésus-Christ te guérit.»
26 Et elle a déployé sa petite jupe, une petite fille finlandaise typique, et elle a dit: «Kiitos», ce qui veut dire: «Merci.» Voyez, pour avoir embrassé la poche. Je–je pense, si je pouvais être le plus grand hypocrite du monde, Dieu aurait honoré la foi de cette enfant.
27 Ainsi, elle... Je me suis dit: «Eh bien, elle se rendra compte de cela, après quelque temps, de toute façon. Voyez, cela va continuer, elle ira très bien, parce que je l’ai déjà vue dans la vision.» Cela doit arriver! Ce que je dis... Cela doit arriver.
28 Ainsi, ce soir-là, il y avait tant de choses que le Seigneur avait accomplies, et j’étais presque sur le point de partir. Et j’ai dit: «Eh bien, appelez encore quelques personnes.»
29 Et mon frère a dit: «Non, a-t-il dit, tu es...» Et frère Baxter a dit: «Vous êtes fatigué maintenant, Frère Branham.» Il a dit: «Eh bien, arrêtez maintenant, allez, parce que nous devons aller ailleurs.» Et il a dit: «Simplement vous...»
30 J’ai dit: «Eh bien, je pense peut-être qu’il faudra qu’il ajoute encore environ quatre ou cinq personnes, il y en a beaucoup ici.»
31 Et la personne suivante dans la ligne de prière était donc cette petite fille. Le Seigneur sait vraiment comment faire concourir parfaitement les choses. J’ai donc dit: «Madame Isaacson...» Elle est peut-être ici en ce moment. C’est elle qui était mon interprète en Finlande. Et j’ai donc dit: «Maintenant, rendez mot pour mot ce que je dis.» Elle a dit: «Très bien.»
32 Et j’ai dit: «Chérie, le Seigneur Jésus t’a guérie, Il t’a récompensée là-bas, pour ce que tu as fait.» J’ai dit: «Maintenant, va là-bas et demande à quelques hommes d’enlever cet appareil orthopédique. Observez tout simplement ce qui va se passer.» Et elle a traversé l’estrade en clopinant. Et moi j’ai continué avec les autres.
33 Quelques instants après, la voilà revenir normale au possible avec des chaussures, et cet appareil orthopédique sur sa tête; avec toutes les deux jambes en parfait état, et elle montait et descendait les marches en courant. Voyez, la foi, la foi, l’amour trouve sa place. C’est vrai.
34 Aujourd’hui, j’ai fait une petite expérience, et c’est tout simplement pour vous montrer ce que la communion veut dire. J’étais... La dernière fois ici à New York, ou plutôt, j’étais ici chez frère Hudson, je pense à... Cette fois-là, je ne pense pas que c’était à New York. C’est... Je ne sais pas où se limite New York. Pour moi, tout c’est New York, tout le long depuis Tucson jusqu’ici, à ce qu’il me semble.
35 Ainsi donc, je venais d’habitude ici avec la soeur Brown et le frère Berg. Je suis sûr que beaucoup d’entre vous les connaissent. Et j’essaie d’entrer en contact avec ce cher vieux saint depuis ce dernier jour, ou plutôt ces deux derniers jours. Et il n’y avait personne à l’église, et puis aujourd’hui, je l’ai eu au téléphone. J’ai attrapé le concierge. Et, eh bien, je pensais que j’étais en train de parler à une fille de seize ans, elle a beaucoup de vivacité dans sa voix. J’ai dit: «Soeur Brown, jamais de la vie, vous ne devinerez qui c’est.»
Et elle a dit: «Que vous êtes gentil! Certainement non.»
36 Elle était vraiment heureuse au possible. J’ai dit: «Frère Branham», et elle a tout simplement commencé à pousser des cris; une si douce et vieille créature.
37 Et elle a quatre-vingt-trois ans, et elle prêche deux fois par semaine. Et pensez-y, elle est entrée au ministère avant que je sois né. Et j’étais presque prêt à abandonner, parce que je devenais si vieux. J’ai repris courage.
38 Je lui ai dit que j’étais là avec frère Vick par ici. Et quelle chose merveilleuse elle a dite au sujet de frère Vick! Je vous assure, je–je... cela–cela rend... Ça, c’est le véritable christianisme. Toutes les deux sont de grandes églises, juste ici à New York, il n’y a pas de compétition parmi elles, vous voyez, ce sont vraiment des frères et des soeurs en Christ. Je vous assure, cela signifie beaucoup pour le pasteur, vous savez. Toutes les deux ici, de vieilles églises établies comme ceci, et ils sont toujours des frères et des soeurs, travaillant la main dans la main. C’est ainsi que vous devriez vous y prendre. C’est très bien. Je pense que c’est élogieux pour frère Vick, le grand travail qu’il fait ici pour le Seigneur, sa compassion pour les autres et pour tous les deux. Que le Seigneur leur accorde encore une très, très longue vie.
39 Et, frère Vick, je pensais que nous devenions très vieux, mais nous sommes encore des enfants, voyez. Nous ne sommes que des enfants.
40 Je me souviens de frère Bosworth lorsqu’il était mourant, il avait quatre-vingt-quatre ans. J’ai dit... j’ai failli consumer ma vieille voiture, en me démenant pour arriver là, afin de le voir. Puis, je l’ai vu lever sa petite tête chauve, il a levé ses bras comme cela. Je me suis tout simplement jeté dans ses bras, et je me suis écrié: «Mon père, mon père, char d’Israël et sa cavalerie!» Et j’ai dit: «Frère Bosworth, j’aimerais vous poser une question», je lui ai demandé: «Etes-vous malade?»
Il a répondu: «Non.»
J’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce qu’il y a?»
41 Il a dit: «Je rentre à la maison.» Oui; vous connaissez son sens d’humour.
42 Et je–j’ai dit: «Eh bien, Frère Bosworth, ai-je dit, j’aimerais vous poser une question. Quel a été votre meilleur moment?» Il a dit: «Ce moment-ci.»
Et j’ai dit: «Mais, savez-vous que vous êtes mourant?»
43 Il a dit: «Je ne peux pas mourir.» Il a dit: «Je suis mort il y a environ soixante-dix ans», a-t-il dit. Il a dit: «Je–je suis une nouvelle créature en Christ.» Et il a dit: «Frère Branham, pendant les soixante dernières années, j’ai vécu uniquement pour le Seigneur Jésus. Et à chaque minute, j’attends qu’Il franchisse la porte et que je parte avec Lui pour l’éternité.» Je me suis mis à réfléchir.
44 Je me souviens de Paul Rader. Combien se souviennent de lui? Plusieurs se souviennent de Paul lorsqu’il est mort là. Et on a appelé, ils avaient le... L’Institut Biblique Moody, je crois, a envoyé un–un petit quatuor pour chanter pour lui. Ils étaient en train de chanter Plus près de Toi, mon Dieu, vous savez. Et il a dit...Il avait un sens d’humour, vous savez. Il a dit: «Qui est en train de mourir, moi ou bien vous?» a-t-il dit. Il a dit: «Dites donc, a-t-il dit, soulevez ces stores, et chantez-moi un–un bon cantique de l’Evangile plein d’entrain.»
45 Ils se sont mis à chanter: «Là à la croix où mourut mon Sauveur, là j’ai crié pour être purifié du péché!»
46 Il a dit: «Ça sonne mieux.» Il a dit: «Où est mon frère Luc?»
47 Eh bien, Luc ne voulait pas voir son frère mourir; ainsi, il était dans la pièce voisine.»
Il a dit: «Allez le chercher.»
48 Luc et Paul voyageaient ensemble, comme Billy Paul, mon fils, et moi nous voyageons ensemble.
49 Luc est entré; il a essayé de rassembler ses forces et il a saisi la main de Paul. Et celui-ci a tendu la main, a saisi Luc et a dit: «Luc, nous avons fait du chemin ensemble, n’est-ce pas, frère?»
Luc a dit: «Oui.»
50 Paul a dit: «Mais penses-y! Dans cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Oh! la la! Voilà la chose.
51 Laissez-moi m’en aller de la même manière. C’est cela, «revêtu de Sa justice». Cinq minutes à partir du moment où il tenait la main de son frère, il a dit: «Je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.»
Il a serré très fort la main de son frère, et il est allé à la rencontre de Jésus. Oh! la la! quel jour ce sera, ces vaillants soldats!
52 Voyez, je me tiens ici et je vous parle, et tout mon temps est passé, je pense qu’il en est ainsi. Vingt et une heure juste, mais je vais me dépêcher ce soir, absolument. J’ai tout simplement quelques petites Ecritures.
53 J’écris les passages des Ecritures et je sais quand m’y référer par la suite. Parfois, je fais un... J’inscris un nom, et puis, je demande à frère Vayle ce que ça veut dire, avant d’entrer, vous savez. Je peux le tirer de cette Bible, et il me dit comment le prononcer. J’ai donc beaucoup de lacunes, côté instruction.
54 Mais j’ai promis de prier pour les malades ce soir. Et maintenant mon but principal, dans mes–mes réunions... C’est la raison pour laquelle je n’ai pas beaucoup trop d’occasions; une fois ou deux fois, peut-être, pendant une campagne, je ferai monter les gens comme je vais le faire ce soir, sans le discernement, pour leur imposer tout simplement les mains. Beaucoup de gens croient cela. Maintenant, cela, c’est–c’est bon. C’est l’Ecriture. Voyez? Mais vous vous souvenez, c’était plutôt une tradition juive. Voyez, Jaïrus a dit: «Viens imposer les mains à ma fille, et elle vivra.»
55 Mais le Romain a dit: «Je ne suis pas digne de Te recevoir sous mon toit. Dis un mot!» Observez ce qu’a été son témoignage. Il a dit: «Je suis soumis à des supérieurs.» Il était un centurion. «Et je–je dis à un homme: ‘Va’ et il va. Et à un autre: ‘Viens’ et il vient.» Qu’est-ce qu’il était en train de témoigner? Que juste une Parole de Jésus suffisait pour guérir son serviteur, et que Jésus avait la puissance sur toute maladie. «Dis un mot, mon serviteur vivra.»
56 Il s’est retourné et a dit: «Je n’ai jamais trouvé une foi pareille en Israël.» Voyez?
Maintenant, c’est là que j’essaie d’amener les gens, à croire.
57 Vous savez, beaucoup de gens disent: «Oh! gloire à Dieu. Frère Untel m’a imposé les mains, alléluia! Je suis guéri!» Cela donne en quelque sorte l’impression que le frère a eu quelque chose à voir à faire avec cela. Voyez?
58 Eh bien, si vous pouvez tout simplement reconnaître la Présence de Jésus-Christ, voyez, et laisser... Ce sont Ses mains à Lui qui comptent, voyez. Et acceptez-Le tout simplement, alors personne ne vous aura imposé les mains, sinon Christ. Voyez? Vous L’avez touché, et Ses mains à Lui vous ont touché. Voyez. Et personne n’en tire gloire quelque part. C’est toute la gloire... En effet, c’est tout ce qui peut être fait de toute façon. Si nous en tirons une gloire, nous sommes en train d’usurper la gloire de Dieu, parce que Dieu est Celui qui guérit.
59 Et souvenez-vous, il n’y a aucun–aucun homme, que ce soit un médecin ou un ministre, qui soit un guérisseur. «Je suis l’Eternel ton Dieu qui guéris toutes tes maladies», vous voyez, «toutes». Aucun médicament ne guérit. Il n’y a aucun médecin qui prétend que les médicaments guérissent. Non, non. Les médicaments gardent seulement l’endroit pur pendant que Dieu guérit. Les médicaments ne peuvent pas reconstituer les tissus, ils ne peuvent pas réparer un os. Vous voyez? Vous pourriez faire l’incision de l’appendice, mais qui va guérir l’endroit d’où cela a été ôté? Voyez? On peut arracher une dent, mais qui va guérir l’endroit d’où la dent a été arrachée? Vous voyez, vous voyez cela? C’est Dieu qui est le Guérisseur. Il est l’unique Guérisseur. Les Ecritures ne mentent pas; Elles sont parfaitement justes. C’est donc Lui qui est le Guérisseur.
60 Je suis très reconnaissant pour toutes les–les choses que nous avons, comme des médicaments auxquels nous pouvons penser, qui tuent les microbes. Je n’ai rien contre cela. Je prie constamment pour cela. Mais nous en arrivons au point où nous n’avons aucun médicament pour aider certains cas. Et puis autre chose, parfois, un médicament qui peut aider une personne tuera l’autre. Vous voyez?
61 Mais je connais une Toxine qui n’est absolument pas un remède, mais une cure, c’est le Sang de Jésus-Christ. La foi dans ce Sang!
62 Maintenant, ce soir, oh! nous–je... Est-ce que Billy... J’ai oublié de le lui demander. Je suis entré ici précipitamment. Est-ce qu’il–il a distribué les cartes de prière? Est-ce qu’il l’a fait ou pas?» [Quelqu’un dit: «Oui, on en a distribué.»–N.D.E] S’il ne l’avait pas fait, j’allais lui demander de le faire maintenant. Nous allons tout simplement parler un petit peu sur la foi; et ensuite–ensuite nous allons continuer et appeler cette ligne de prière, et prier pour les malades, en leur imposant les mains; on essayera de prendre toutes les personnes que nous pouvons dans le bâtiment. Eh bien, ayez la foi maintenant.
63 J’aimerais que vous puissiez m’accorder toute votre attention, juste pour quelques instants, pendant que je vais lire cette Parole. Et maintenant, j’aimerais lire dans l’Evangile de saint Matthieu, verset 15, ou plutôt chapitre 15, à partir du verset 21. Et ceci n’est pas tellement un passage des Ecritures trop long à lire, vous voyez, c’est un tout petit passage. Mais, vous savez, c’est la–ce n’est pas le–le... Il ne s’agit pas de la longueur. C’est la qualité qui compte. Non pas la quantité; mais la qualité! Voyez, là, dans ces quelques versets là, il y a assez de quoi sauver le monde entier. Certainement. Voyez, ce n’est pas–ce n’est pas la taille de la chose, il s’agit de ce que la chose est.
64 Il y a quelque temps, je racontais l’histoire d’un–un petit garçon.
(Je pense que c’était dans cet Etat.) Un garçon qui était en train de fouiller dans un vieux grenier, et qui a trouvé un–un vieux timbre-poste. Et–et il connaissait un collectionneur de timbres; ainsi il–il a amené le timbre-poste là pour savoir combien ça valait. Et le collectionneur des timbres a dit... Oh! bien sûr que le petit garçon avait à l’esprit une crème glacée, vous savez. Il lui a dit: «Je vais–je vais te donner un dollar pour cela.» Eh bien, oh! la la! c’était... Et le marché a été conclu dans l’immédiat. Je pense que le collectionneur l’avait vendu à environ... je pense que c’était à cinq cents dollars; et cela est allé jusqu’à... la dernière fois nous avons appris... Je ne me rappelle plus combien de centaines de dollars ç’a coûté. Vous voyez, le vieux petit timbre, ce qui comptait ce n’était pas le papier, ce n’était qu’un vieux morceau de papier qui ne valait même pas la peine d’être ramassé. Mais ce qui comptait, c’était ce qui était écrit dessus.
65 Il en est de même de Ceci. Ceci n’est qu’un morceau de papier, mais ce qu’il y a dessus, c’est la Parole du Seigneur, et c’est ce qui le rend si précieux. Bien, verset 21.
Jésus, étant parti de là, se retira dans le territoire de Tyr et de Sidon.
Et voici, une femme cananéenne, qui venait de ces contrées, lui cria: Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David! Ma fille est cruellement tourmentée par le démon.
Il ne lui répondit pas un mot, et Ses disciples s’approchèrent, et lui dire avec instance: Renvoie-la, car elle crie derrière nous.
Il répondit: Je n’ai été envoyé–Je n’ai été envoyé qu’aux–qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. Mais elle vint se prosterner devant Lui, disant: Seigneur, secours-moi! Il répondit: Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux chiens.
Oui, Seigneur, dit-elle, mais les chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Alors Jésus lui dit: femme, ta foi est grande; qu’il te soit fait comme tu veux. Et, à l’heure même, sa fille fut guérie.
66 Maintenant, juste pendant quelques instants, de façon à faire un... à bâtir sur ceci, j’aimerais prendre un sujet pour parler sur ce que j’ai écrit ici concernant ces Ecritures. J’aimerais intituler cela Persé-... le mot Persévérant, juste un seul mot.
67 Persévérant, maintenant nous connaissons ce mot; je pense qu’il signifie «persister», et persister dans quelque chose que vous faites. En vous fixant un idéal ou quelque chose, vous devez persister.
68 Et dans tous les âges, les hommes qui ont eu la foi dans ce qu’ils essayaient d’accomplir, ont dû persister, surtout si on essaie de faire quelque chose de juste. Parce que, vous allez rencontrer–vous allez rencontrer l’opposition.
69 Ce soir, vous, pour qui on va prier, je vous dis ceci pour votre gloire, pour votre compréhension. Si vous n’êtes pas prêts à venir dans la ligne de prière, ne venez pas. Vous voyez? En effet, vous devez vous souvenir que ceci est le temps où Dieu va vous prendre au mot, et il vous faut Le prendre au mot, Lui. Et ce que quelqu’un d’autre dit importe peu, ou comment vous vous sentez, vos sentiments n’ont rien à faire avec la chose. Jésus n’a jamais dit: «Avez-vous senti cela?» Il disait: «Avez-vous cru cela?» Voyez, vous devez croire cela. Et votre guérison est déjà acquise. Jésus-Christ vous a guéri au Calvaire. Et peu importe ce qu’est votre problème, vous devez accepter cela, et avant d’accepter cela, il vous faut croire cela. En effet, la foi est basée... ou plutôt la guérison est basée sur la foi, et la foi est basée sur la Parole.
70 Eh bien, vous ne pouvez pas dire: «Si je touche ce microphone, je serai guéri.» Il–il n’y a aucune base à cela, voyez. Ça, c’est dans votre esprit.
71 Mais lorsque c’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, alors vous pouvez être sûr que la chose est vraie, parce que: «Tous les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne sera jamais changée.» C’est donc vrai.
72 Maintenant, il vous faut persister. Peu importe combien le diable essaie de vous dire: «Eh bien, tu te sens malade.» N’en croyez pas une seule parole!
73 Il n’y a pas longtemps, on m’a appelé à un chevet. On est allé me prendre d’une réunion et on m’a appelé pour aller au chevet d’un–d’un jeune homme qui était mourant. Et le vieux père est venu à moi, ça fait environ quinze ans, je pense, et il a dit: «Voudriez-vous venir auprès de mon fils, il est–il est mourant d’une–d’une chose terrible!» C’est une–une maladie du coeur, j’appelle... Je pense qu’on appelle cela une sorte de–de maladie du coeur, je ne me rappelle plus comment on appelle cela maintenant, mais c’était très très grave. Et ainsi j’ai dit: «Oui.»
74 Oh! je vous demande pardon, cela a atteint son coeur, mais c’est de la polio que souffrait ce garçon. C’était la polio. Et c’était avant qu’on mette au point le vaccin de Salk. Et alors le garçon était sérieusement malade. Et ainsi, lorsque je suis allé pour prier, le médecin ne voulait pas me laisser entrer. Et il a dit: «Je ne peux pas vous laisser entrer.»
75 Et j’ai: «Eh bien, je suis...» J’avais environ quarante ans, et j’ai dit: «Eh bien, j’ai quarante ans.» J’ai dit que je... «Ma foi me dit que c’est tout à fait en ordre que j’aille prier pour le fils de cet homme, parce qu’il veut que–que j’aille prier pour lui.»
76 Il a dit: «Mais écoutez, a-t-il dit, vous êtes un homme marié. Vous avez un enfant. Vous allez amener à votre fils cette polio.»
Et j’ai dit: «Eh bien, laissez-moi entrer.» Il ne voulait pas me le permettre.
77 Et cet homme lui-même, le médecin, si je comprends bien, était un catholique. J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. Si j’étais un prêtre, et que cet homme était un catholique, et que ce jeune homme était à l’article de la mort, m’auriez-vous permis d’aller donner l’extrême action?»
Il a dit: «Ça, c’est différent. Il s’agit là d’un prêtre.»
78 J’ai dit: «Non. Je représente pour ces gens exactement ce qu’un prêtre représente pour cet homme qui serait un catholique.»
Et finalement il a dit: «A condition que vous signiez ce papier.»
79 J’ai dit: «Je signerai tout, voyez.» Et ainsi, il m’a habillé comme un Ku–Klux, et je–je suis entré là. Je ne voulais pas dire la chose de cette façon-là; pardonnez-moi, voyez; mais de toute façon, en blanc, tout mon visage était couvert.
80 Et je suis entré là, et le jeune homme avait une tension si basse qu’il respirait à peine. Et ça faisait environ deux jours qu’il était inconscient. Et je ne comprends pas la médecine et les grandes réalisations scientifiques que Dieu a permis aux hommes d’accomplir; les médecins pour les malades et ainsi de suite, mais il y a une espèce de–de cardiogramme, quelque chose qu’on avait pris. Son pouls avait tellement baissé, j’oublie combien de fois son coeur battait par minute. Son coeur avait presque cessé de battre. Et la maman se tenait donc là, et je lui ai parlé. Et ainsi, je suis allé de l’autre côté du lit. Et la petite infirmière, oh! une gentille petite dame, elle, je pense qu’elle était au début de la vingtaine, peut-être, elle avait vingt et un ou vingt-deux ans, c’était elle l’infirmière qui était attachée au... ou qui devait prendre soin du patient.
81 Et ainsi, je suis passé de l’autre côté du lit, et je me suis agenouillé, et je... une simple petite prière, et j’ai imposé les mains au–au jeune homme. J’ai dit: «Seigneur Jésus, ce père et cette mère m’ont fait venir ici pour que je prie pour leur fils, et il est agonisant. Seul Toi, Seigneur, peux l’aider. Et je sais que Tu as dit: ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.’ Je viens intercéder auprès de Toi sur base de cette promesse, Seigneur Jésus, en faveur de la vie de ce garçon.» Il n’y a pas eu de changement du tout. J’ai dit: «Merci, Seigneur.»
82 Et le vieux père s’est levé et a dit: «Seigneur, je Te suis très reconnaissant, très reconnaissant, pour avoir guéri mon fils.» Et il a étendu la main et la mère de l’enfant s’est jetée dans ses bras, et elle a dit: «Papa, penses-y, il va se rétablir maintenant.» Et je me suis levé et j’ai regardé, et ils étaient contents, ils se réjouissaient et pleuraient. La tension du garçon était toujours aussi basse que possible. Ils ont dit: «Oh! c’est merveilleux!»
83 Et la petite infirmière a regardé autour d’elle, et elle m’a regardé. Elle a dit: «Je–je crois que vous comprenez mal les ordres du médecin.» Elle a dit: «Je crois que vous comprenez mal. Le garçon est mourant.»
84 «Oh! s’est exclamé le vieil homme, non, il ne va pas mourir. Il va vivre.»
85 Et elle a donc dit: «Ecoutez, monsieur, a-t-elle dit, je–j’apprécie quiconque a une foi comme celle-la, mais, a-t-elle continué, comment pouvez-vous rire et continuer comme cela, a-t-elle poursuivi, et vous voyez qu’il n’y a aucun changement chez le garçon.» Et elle a ajouté: «Le jeune homme va mourir.» Elle a dit: «Il ne peut pas vivre. Eh bien, nous ne comprenons pas comment il est en vie jusqu’à présent.» Elle a dit: «Jamais on a connu un tel cas dans–chez les malades, ou plutôt dans la science, qu’une personne ait jamais connu une tension aussi basse, avec un pouls comme celui-là», d’après une sorte de cardiogramme, quelque chose du genre, «et qui soit revenue à la vie».
86 Et je n’oublierai jamais ce vieil homme. Il a mis ses mains sur les épaules de l’infirmière, juste comme un père le ferait à sa fille, et il a dit: «Ecoute, ma chère enfant.» Il a dit: «Ce cardiogramme, c’est ce que vous regardez. C’est ce qu’on vous a appris à regarder et c’est tout ce que vous connaissez à ce sujet, ce cardiogramme. Mais, a-t-il poursuivi, moi je regarde à une promesse divine.» Voyez?
87 Ce jeune homme est marié et il a trois enfants maintenant. Cela dépend de ce que vous regardez. Pendant deux ou trois jours sa situation ne s’était pas améliorée. Mais quelque temps après, la première chose, vous savez, il s’en est tiré, et il est rentré chez lui. Pour le moment, il est missionnaire en Afrique du Sud et il a trois enfants.
88 Eh bien, voyez, ceci montre que vous devez persister. Cela n’avait point inquiété ce vieil homme. Le cas a été réglé.
89 C’est juste comme lorsque cette femme a touché le vêtement de Jésus-Christ, la situation était réglée. C’est tout. Elle–elle a persisté jusqu’à ce qu’elle est arrivée là, et le cas était réglé.
90 Vous devez vous comporter de la même façon. Vous devez persister. Et quiconque a jamais reçu quelque chose, et qui a jamais été en mesure d’accomplir quelque chose, a été persévérant.
91 George Washington a persisté à Valley Forge. Il n’avait pratiquement pas la chance de vaincre; et le–l’ennemi était de l’autre côté du fleuve. Mais après avoir passé toute la nuit dans la prière... Et les soldats américains, nus pieds; (environ un tiers parmi eux portaient des chaussures) ont traversé le fleuve à Valley Forge, à travers la glace. Et trois balles d’un mousquet ont transpercé son manteau. Mais il avait une réponse venant de Dieu, et il ne devait pas battre en retraite. Rien ne pouvait l’arrêter à ce moment-là. Il a fait la traversée parce qu’il a persisté. Il avait entendu Dieu lui parler.
92 Et c’est ainsi que nous devons être. Si Dieu dit une chose, cela règle la question.
93 Noé était très persévérant après avoir entendu Dieu lui parler. Lorsqu’il a entendu la Parole de Dieu lui dire de construire une arche, il l’a construite. Peu importe ce que quelqu’un d’autre disait à ce sujet, et ce que quelqu’un d’autre pensait à ce sujet, Noé persistait. Peut-être que les gens disaient: «Eh bien, ce vieil homme, avec cette histoire de pluie», et ainsi de suite, «ce vieil homme est resté là-haut sous le soleil pendant trop longtemps. Il a quelque chose qui cloche.» Cela ne l’a pas du tout arrêté. Il n’a fait attention à aucune parole de cela. Il entendait seulement ce que Dieu avait dit: «Il va pleuvoir; construis une arche», et il a persisté en faisant cela.
94 Eh bien, Moise a vraiment persisté; d’abord, il était un poltron de fugitif. Il avait été instruit; et oh! il a pu même enseigner la sagesse aux Egyptiens. Il était très intelligent, mais cependant, il a manqué à son devoir, il a fallu quarante ans pour qu’il acquiert l’instruction que Pharaon lui a donnée; il a fallu à Dieu quarante ans pour ôter cela de lui, avant qu’Il puisse l’utiliser là-bas au désert. Et parfois, il faut être vidé avant d’être rempli. Et maintenant il a échoué. Et il a fui et il est allé épouser cette belle fille éthiopienne, et était–et s’est installé là, et il a eu un fils, Guerschom, et il allait hériter des brebis de Jéthro et tout. Il avait depuis longtemps oublié ce que ressentait le peuple.
95 Mais un jour, pendant qu’il était derrière le désert, en train de voyager, suivant un vieux sentier familier, il a vu un buisson ardent. Eh bien, il n’a point essayé d’examiner le buisson, disant: «Je pense qu’il me faut aller là-bas arracher quelques feuilles, et amener cela au laboratoire pour voir ce qui se passe, ce qui fait qu’elles ne se consument pas. Et elles brûlent là depuis une heure, mais elles ne–elles ne semblent pas... L’arbre ne semble pas se consumer.» S’il avait eu une telle pensée, la Voix ne lui aurait point parlé. Mais il s’est approché avec cette pensée dans son coeur, d’aller découvrir ce qu’il y avait. Et une Voix lui a dit: «Ôte tes souliers, car tu es sur une terre sainte.»
96 J’aimerais que vous remarquiez ceci. Un jour, il était un poltron de fugitif, et le jour suivant le voilà un–un radical, le jour suivant; lorsqu’il a quitté l’Egypte, alors qu’il avait toute l’armée dans ses mains, pour délivrer le peuple... Et, vous savez, lorsque vous entendez la Voix de Dieu, Elle vous fait agir de façon étrange, vous fait faire des choses drôles, bizarres et particulières. Eh bien, pensez-y tout simplement; maintenant il a quatre-vingt ans, probablement avec une barbe qui pend jusqu’à la taille; peut-être que sa tête chauve brillait, avec un cou recouvert de barbe. Et le voilà en route vers l’Egypte, avec sa femme assise à califourchon sur un petit mulet, et son bébé à la hanche; un bâton recourbé à la main, les yeux levés, louant Dieu. Quel spectacle étrange.
- Où vas-tu, Moise?- Nous descendons en Egypte, pour faire une invasion.
97 Une invasion par une seule personne! Vous n’auriez pas pu l’arrêter. Il persistait. Pourquoi? Il avait entendu la Voix de Dieu, c’était suffisant pour qu’il persiste. Un vieil homme de quatre-vingts ans, qui s’en allait envahir une nation, et il l’a fait. Il avait entendu la Voix de Dieu. Comment va-t-il faire la conquête avec ce bâton dans sa main? Une armée bien formée, avec un million d’hommes se tenait là, plus d’un million d’hommes, qui avaient conquis le monde à l’époque; et voici un vieil homme qui descend là, âgé de quatre-vingts ans, avec sa femme assise sur un mulet, un bâton à la main, il descend là pour envahir cette nation. Eh bien, les gens auraient pensé qu’il était fou.
98 Vous savez, lorsque vous entendez la Voix de Dieu, et que vous entendez la Parole de Dieu, vous êtes en quelque sorte fou aux yeux du monde. Mais si vous entendez la Voix, vous êtes sûr de ce que vous faites.
99 Et rien n’allait arrêter Moïse à ce moment-là, il s’est mis en route! Il avait vraiment persisté, même lorsque Pharaon... Il s’est tenu devant lui, a jeté à terre le bâton qui s’est changé en serpent, les magiciens sont venus et ont pu faire la même chose, Moïse n’a pas fui comme un poltron. Il s’est tenu là. Il savait que c’est Dieu qui l’avait envoyé, peu importe combien d’imitateurs charnels le diable pouvait amener sur scène. Il est resté à son poste du devoir, parce qu’il avait entendu la Voix de Dieu. Il est tout simplement resté là et il a observé les serpents ramper, et quelque temps après, son serpent s’est avancé là et a dévoré les autres serpents. Qu’est-il arrivé à ces bâtons que le serpent de Moïse avait mangés, où sont-ils partis? Imaginez-vous cela un peu. Très bien.
100 David, après qu’il s’est confié en Dieu et qu’il a vu l’Eternel Dieu être avec lui, l’Eternel qui l’avait aidé à tuer tout seul un ours, et un lion aussi... Et alors, il a pris courage parce que Dieu était avec lui. Il savait que Dieu était avec lui parce que Dieu avait accompli quelque chose pour lui.
101 Dieu a accompli quelque chose pour vous. Il vous a sauvé, c’est le plus grand miracle qui soit.
102 Eh bien, Il est prêt à faire quelque chose d’autre. Et le temps est arrivé ou Goliath a fait sa fanfaronnade. Eh bien, David a dit: «Vous voulez dire que–que vous allez laisser cet incirconcis de Philistin se tenir là et défier l’armée du Dieu vivant? Qu’est-ce qui se passe avec vous, mes amis?»
103 Eh bien, Saul était l’homme le plus apte parmi eux, il dépassait tous d’une tête dans son armée. Et ce David n’était qu’un petit avorton, un tout petit garçon, blond, une espèce de–de petit garçon, au dos voûté, un petit–un petit gardien des brebis. Et ainsi Saul a dit: «J’admire ton courage, mon fils. Mais, souviens-toi que cet homme est un guerrier depuis sa jeunesse, et tu n’es qu’un petit enfant.»
104 David a dit: «Mais un jour ton serviteur était en train de garder les brebis de ton serviteur, un ours est entré et en a attrapé une. Je l’ai poursuivi et le Seigneur l’a livré dans mes mains.» Il a dit: «Un lion est allé et, a-t-il poursuivi, je l’ai terrassé avec ma fronde. Et lorsqu’il s’est relevé pour m’attaquer en rugissant, j’ai pris mon couteau et je l’ai saisi par la barbe et je l’ai tué.» Et il a dit: «A combien plus forte raison le Seigneur Dieu va-t-Il livrer cet incirconcis de Philistin dans ma main!» Amen.
105 Et si Dieu a sauvé votre âme d’une vie de péché, à combien plus forte raison peut-Il ôter ce cancer!
106 Remarquez le petit David. Saul a dit: «J’admire ton courage, mais tu n’es pas un combattant. Mais si tu veux aller, je vais te revêtir d’une armure», ainsi, il a enlevé son armure et il l’en a revêtu.
107 Eh bien, le petit David avec tout ce doctorat d’Etat et ce doctorat en théologie qu’on lui a attaché, eh bien, il a vu que la veste ecclésiastique de Saul ne convenait pas à un homme de Dieu. Ainsi il a dit: «Je n’ai jamais éprouvé cette histoire, ôtez-la de moi. Laissez-moi aller comme je le veux, avec ce que je sais être juste.» Oh! la la! et le voilà parti. Il a persisté, sachant qu’il battrait Goliath, et il l’a fait. Et il l’a égorgé.
108 Je pense à ses brebis. David était là, un homme très loyal à son poste du devoir. Et ce lion qui aurait pu le tuer sans difficulté, est entré et a attrapé l’une des brebis de son père, et est sorti. Et il n’avait vraiment rien pour lutter contre ce lion si ce n’est une petite fronde.
109 Vous les jeunes gens vous le savez. Combien de fois j’ai dû payer pour une fenêtre... Un petit morceau de cuir, avec un fil, vous savez, et il y a placé ce caillou et il a lancé cela. Et autrefois, nous faisions tomber ces vieux serpents de la clôture, et d’autres petites bêtes, et–et nous lancions cela à l’aide de ces frondes.
110 C’est tout ce que David avait, c’est à peine s’il pouvait tuer un lapin. Mais nous voyons que David, peu importe ce qu’il avait à la main; ce n’était pas grand chose, mais il avait le courage. Et il savait que c’était les brebis de son père. Et il était–il était envoyé par son père, pour prendre soin de ces brebis. Et il était responsable de ces brebis. Et maintenant, il a pris ce qu’il avait dans sa main, et il s’est engagé pour arracher cette brebis, avec persévérance, déterminé à l’arracher des griffes de ce lion.
111 Avez-vous déjà vu un lion, à quoi il ressemble? Vous avez vu ces lions-ci qui sont dans la cage; eh bien, ce sont–ce sont des chatons. Vous devriez entendre l’un de ces lions de la jungle. Ceux qu’on a par ici, ils ont été dans la cage, en captivité; lorsque vous entendez l’un d’eux rugir, son rugissement et piètre. Vous devriez entendre l’un de ces lions de la jungle, allez le chasser et vous saurez que lui aussi est en train de vous chasser. Alors, oh! la la, c’est un grand gaillard! Lorsqu’il rugit, les coléoptères, les singes, les babouins, les chacals et toutes les autres bêtes s’arrêtent. Il est roi, et ils lui laissent la place.
112 Mais voici que David s’en va avec cette petite fronde, pour ramener cette brebis, et il l’a fait.
113 Oh! la la! comme je pourrais tirer un sujet là-dessus pendant quelques minutes. Oui, oui. Vous êtes les brebis de Dieu, vous aussi. La maladie s’est saisie de vous. Je n’ai pas grand chose, pas–pas même une fronde, mais j’ai la Parole. Je cours après vous ce soir pour vous ramener. Je viens pour vous délivrer avec la Parole du Seigneur. Je ne connais rien de la médecine et des opérations faites au moyen des bistouris, et tout, mais j’ai éprouvé Ceci. Je sais que Ceci est la Vérité, ainsi je viens après vous, vous les brebis, pour vous ramener une fois de plus dans les verts pâturages ombrageux de l’amour de Dieu. Ô Dieu, aide-moi avec cette petite fronde.
114 David avait enroulé cela autour de–autour de ses doigts, et il avait cinq pierres dans sa main. Qu’était-ce? La f-o-i [en anglais F-a-i-t-h–N.D.T.] en J-é-s-u-s. Et le voici venir, ramenant la brebis.
115 Eh bien, c’est ainsi que nous y allons ce soir, en ayant la foi en Jésus; et avec persévérance nous allons nous tenir sur Sa Parole pure. Et nous croyons que Dieu tiendra Sa Parole. S’Il ne le fait pas, alors nous sommes tous perdu. Chaque Parole de Dieu est ponctuée d’un «Amen.» pour les croyants. C’est vrai. Oui, il a persisté.
116 Et Samson aussi, lorsqu’il a rencontré ce Philistin, y avez-vous déjà pensé? Eh bien, Samson, on se le représente comme un homme aux épaules pareilles au portail d’une grange. Eh bien, ç’a n’aurait pas été un–un mystère, de voir un homme de ce genre-là soulever un lion, et le déchirer en deux. Mais Samson était un... Pardonnez-moi cette expression; je dirais tout simplement qu’il était une espèce de petit gringalet aux cheveux bouclés, juste un petit garçon à maman, ayant sept petites boucles [des cheveux] qui pendaient, un genre de petit efféminé. Vous voyez? Ce que... Et vous vous rappelez, il était un homme faible sauf quand l’Esprit du Seigneur est venu sur lui, alors il a attrapé le lion et l’a déchiré en morceaux. C’est vrai. Premièrement, l’Esprit du Seigneur venait sur lui, ensuite il savait où il se tenait.
117 Et si l’église peut seulement être ointe, ointe de la véritable foi! Lorsque ce lion a rugi, je pense que Samson a tremblé. Mais l’Esprit du Seigneur est venu sur lui. Il a persisté, il a dit: «Je suis prêt à t’affronter», il a saisi ce lion, il l’a déchiré et l’a jeté d’un côté et a continué sa marche.
118 Il a été enfermé dans une clôture, une nuit. Et il a arraché les portes de Gaza, les a mises sur ses épaules, et il les a transportées jusqu’au sommet de la colline. Oh! la la! Quel homme! Un petit gringalet comme lui. Mais, ce qu’il en était, c’est que l’Esprit du Seigneur était sur lui. Il était... C’est ce qui faisait la différence.
119 Et puis un jour, mille philistins l’ont entouré. Et il était là, n’ayant rien sur lui; il a donc ramassé la mâchoire d’un mulet, qui était probablement mort depuis quarante ans ou plus; et c’était vraiment un vieil os desséché. Et ces philistins portaient des casques et des cottes de mailles comme on les appelle, de très larges recouvrements d’acier ou d’airain; un casque avait environ un pouce d’épaisseur. Et il a ramassé cette mâchoire de mulet, et a tué mille philistins.
120 Y avez-vous déjà pensé? Ramassez cette vieille mâchoire sèche là au désert et cognez l’un de ces casques, eh bien, cette mâchoire volerait en mille morceaux. Mais il s’est tenu là, au milieu de ces casques d’acier et des lances, il les a frappés à gauche et à droite, jusqu’à ce qu’il en a abattu mille. Et les autres se sont sauvés vers les rochers.
121 Qu’était-ce? Tant qu’il pouvait mettre la main là et sentir ces sept tresses, c’était là l’alliance de Dieu, rien n’allait l’inquiéter tant qu’il avait cette promesse de l’alliance.
122 Et rien ne peut inquiéter l’Eglise du Dieu vivant tant que nous pouvons sentir ce Saint-Esprit, l’alliance de la Parole de Dieu dans nos coeurs, la bénédiction de la Pentecôte. «Car les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. La Vie qui est en Moi, sera en vous. Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi, Je vous envoie.» Le Père qui L’a envoyé est entré en Lui. Le Jésus qui envoie l’homme entre dans l’homme. Il ne s’agit pas de l’homme; il s’agit de Jésus. Ce n’était pas Jésus, c’était Dieu. «Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie. Voici, Je suis tous les jours avec vous jusqu’à la consommation. Je serai avec vous, jusqu’à la fin du monde. Et les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Et encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus; mais vous vous Me verrez, les croyants, car Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde», Jésus-Christ. Tant que je peux sentir cet Esprit de Dieu tout autour, quelque chose va se produire. Je vois que les gens qui croiront cela, qui refléteront les louanges de la gloire de Dieu.
123 Chaque fois que vous regardez la lune, ce n’est pas la lune qui brille, c’est le soleil qui brille en se reflétant sur la lune. Si je pouvais lui poser cette question: «Toi, lune, qu’est-ce qui te fait briller?» Elle répondrait: «Ce n’est pas moi qui brille. C’est quelque chose qui reflète sa lumière sur moi. Je suis censée toujours refléter la lumière en l’absence du soleil.»
124 Et l’église est le type de la lune. Nous sommes censés refléter la Lumière en l’absence du Fils de Dieu, parce que nous sommes les fils et les filles de Dieu, une Lumière plus petite, et tant que nous pouvons voir cette Lune refléter la même sorte de Lumière que le soleil. Oh! il ne s’agit pas–il ne s’agit pas du peuple, il s’agit de Dieu dans le peuple.
125 Autrefois, lorsque j’avais l’habitude de... J’étais garde-chasse pendant plusieurs années. J’aime les animaux, et je–j’aime prendre soin d’eux. Ainsi, je–j’ai été un agent de la protection de l’environnement pendant sept ans. J’avais l’habitude de passer près d’un vieux ruisseau. C’était le meilleur ruisseau auquel j’aie jamais bu. Et je l’aimais toujours parce qu’il était si joyeux, il bouillonnait toujours et il bouillonnait continuellement. Et je me suis dit: «Oh! la la! je me suis baissé là pour boire.» Un jour, je pensais: «Petit ruisseau, qu’est-ce qui te rend si heureux? Est-ce parce que les lapins boivent de ton eau?»
126 S’il pouvait parler, il dirait: «Non, ce n’est pas ce qui me fait bouillonner.»
127 Et moi, je dirais: «Peut-être qu’une biche boit de ton eau de temps en temps.»
- Non, ce n’est pas ce qui me fait bouillonner.
128 Eh bien, je dirais: «Peut-être c’est parce que moi je bois de ton eau une fois par mois.»
129 Il dirait: «Non, ce n’est pas ça.» Et moi je dirais: «Eh bien, qu’est-ce qui te fait bouillonner comme cela tout le temps?»
130 S’il pouvait parler, il dirait: «Ce n’est pas moi qui bouillonne. C’est quelque chose derrière moi, qui me fait bouillonner. C’est cela qui bouillonne.»
131 Et c’est ainsi que le Saint-Esprit agit vis-à-vis du croyant. Il y a quelque chose derrière vous. Vous ne pouvez pas pousser Cela, déchirer Cela. C’est cette Chose qui prend soin de vous. C’est la chose qui bouillonne, Quelque Chose au-dedans de vous. C’est comme Jésus l’a dit à la femme au puits: «Une source d’eau bouillonnera jusque dans la Vie Eternelle», des geysers constants faisant jaillir les joies de Dieu dans votre âme, tout le temps. Et tant que l’église peut sentir cela autour d’elle. De quoi–de quoi avez-vous peur, voyez?
132 Samson n’avait pas peur. Il avait persisté. Tout ce qu’il avait, c’était une–une mâchoire de mulet, mais il avait persisté parce qu’il savait que ses tresses pendaient toujours là.
133 Il est possible que le médecin vous ait dit: «Vous n’avez aucune chance de guérir. Vous allez mourir. Vous avez le cancer.» Mais tant que vous pouvez vous asseoir ici et sentir la glorieuse résurrection de Jésus-Christ, qu’est-ce que ce que le docteur dit change? Qu’est-ce que ça change? Voyez, soyez persévérant. Il vous apprécierait si c’est un bon médecin, il vous dirait qu’il aimerait que vous soyez guéri. C’est ce que–c’est ce qu’il souhaiterait pour vous. Et il vous faut être guéri; pour avoir la foi, vous devez être persévérant.
134 Jean était très sûr qu’il verrait le vrai signe! Il–il savait que Dieu lui avait dit qu’il saurait qui serait le Messie. Il a vraiment persisté.
135 Et peut-être que quelqu’un a dit: «Eh bien, ne pensez-vous pas que c’est bien Lui?»
136 Il a dit: «Je Le reconnaîtrai lorsqu’Il viendra.» Il était tellement sûr qu’il a dit: «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde.» Il savait bien que c’était Lui. Il a témoigné de cela. «J’ai vu l’Esprit de Dieu descendre du ciel sur Lui comme une colombe, et je sais que c’est le Fils de Dieu.» Persévérant. Oh, nous pourrions continuer sans cesse avec les personnages.
137 Cette petite femme, c’était une Grecque venue de la contrée syro-phénicienne, et nous voyons qu’elle doit avoir entendu parler de la louange et de la gloire du Seigneur Jésus. «La foi vient de ce que l’on entend, et de ce que l’on entend de la Parole de Dieu.» Elle avait entendu, et lorsqu’elle a entendu...
138 Vous savez, la foi trouve des sources que d’autres ne voient pas. Eh bien, si vous n’avez pas la foi, eh bien, alors, ça ne sert à rien d’essayer de vous le montrer. En effet, c’est la foi qui peut voir cela. «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.» La foi voit ce que les gens aveugles ne voient pas. La foi, c’est le sixième sens. Les cinq sens sont bien tant qu’ils ne sont pas en désaccord avec le sixième. Mais le sixième sens c’est la foi: «C’est une ferme assurance des choses qu’on espère.» Vous ne voyez pas, vous ne goûtez pas, vous ne touchez pas, vous ne sentez pas l’odeur, ou vous n’entendez pas, et pourtant vous êtes sûr de la chose. C’est la foi qui vous le dit et elle est tellement sûre qu’elle est réelle, au point que cela devient pour vous une assurance. Pas une simple imagination. C’est quelque chose que vous avez.
139 Je vois les gens venir à l’estrade, disant: «Frère Branham, je suis plein de foi!»
«Eh bien, que faites-vous alors ici?» Voyez? Voyez? Voyez?
140 «Je n’en ai pas.» Et, mais là lorsque vous avez... Lorsque quelque chose...
141 Vous avez eu des choses qui devaient arriver, vous saviez tout simplement que cela allait arriver. Pourtant, vous ne saviez pas comment cela allait arriver, mais cela allait certainement arriver. Ce–c’est la foi. C’est la véritable foi. La chose va alors arriver lorsque vous savez que cela va arriver. Eh bien, la foi trouve une source que d’autres ne voient pas.
142 La Parole est une Epée. C’est la Bible qui le dit dans Hébreux 4.12, il est dit que c’est une Epée, mais il faut un bras de la foi pour manier cette Epée. Seule la foi peut le faire, tenir l’épée.
143 Cette petite femme a connu beaucoup d’obstacles. Eh bien, elle avait une fille qui était–qui souffrait de l’épilepsie, et elle était dans un état très très grave. Et elle avait appris que Jésus guérissait l’épilepsie. Or, «la foi vient de ce que l’on entend», et il s’agissait de son enfant à elle; aussi était-elle déterminée à–à se rendre quelque part pour entendre Jésus. Et maintenant, elle avait connu beaucoup d’obstacles, vraiment beaucoup beaucoup d’obstacles. Mais sa foi n’a connu aucun obstacle.
144 Ce soir, les gens ont beaucoup d’obstacles. Si vous... Votre esprit a beaucoup d’obstacles. Mais, votre foi, rien ne peut lui barrer la route. La foi ne connaît aucun obstacle.
145 Pensons à certaines choses qui étaient peut-être arrivées à cette petite femme. Peut-être qu’on lui avait dit: «Vous êtes une Grecque.» En d’autres termes: «Votre dénomination ne parraine pas cette série de réunions qui se déroulent là-bas. Vous n’avez aucun droit de vous rendre là.» Eh bien, si cela pouvait être dans son esprit, elle ne se serait pas assise pendant très longtemps de toute façon. Elle... Elle en aurait eu ras le bol, et elle serait partie. Mais nous voyons que cela ne l’avait pas arrêtée. Qu’elle soit une Grecque ou pas, elle avait la foi. Tout ce dont elle avait besoin, c’était la foi.
146 Eh bien, peut-être que quelqu’un était venu auprès d’elle et lui a dit: «Eh bien, le temps de miracles est passé. Ça n’existe plus. Ces gens ne sont qu’une bande de–de fanatiques.» Mais elle a malgré tout persisté. Elle tenait à y aller de toute façon.
147 Considérons une autre chose. Certaines personnes lui avaient peut-être dit: «Tu sais que ton mari est un–est un notable ici dans la ville, et si on te surprenait là-bas avec ce groupe-là, eh bien, ton mari va certainement t’abandonner.» Mais elle a néanmoins persisté. Elle avait la foi, elle avait un besoin, et elle devait l’utiliser.
148 Certaines personnes lui ont peut-être dit: «Eh bien, si tu te rends là à cette partie de cartes, ou peu importe la sorte d’amusement où vous allez, les gens se moqueront de vous. Elle persistait toujours.
149 Et alors, cette vieille chose lui est peut-être venue à l’esprit, disant: «Tu sais, le pasteur te chassera de l’église si tu te rends là et que tu t’associes à une chose de ce genre-là.» Mais cela ne l’a pas arrêtée, Elle persistait toujours. Elle y est partie de toute façon. Pourquoi? Elle avait touché la foi. La foi va accomplir la chose. Je me moque de ce que les autres pensent; la foi accomplit la chose.
150 Finalement, elle s’est frayé une voie et a franchi tous ces obstacles et elle est arrivée jusqu’à Jésus. Eh bien, apparemment, tout son problème était terminé du fait qu’elle était arrivée jusqu’auprès de Jésus; mais ce n’était pas le cas, ce n’était que le début.
151 Bien des gens peuvent dire: «Eh bien, si je connais Jésus...» Oui, nous voyons cela chaque soir. Voyez, Il vient effectivement au milieu de nous, chaque soir; Il confirme qu’Il est là Lui-même, mais toutefois, nous revenons le soir suivant avec tous nos problèmes une fois de plus, vous voyez. Voyez? Est-ce vrai? C’est donc vrai.
152 Elle est arrivée jusqu’auprès de Jésus. Peut-être, elle va peut-être... Si elle n’avait pas eu ce genre de foi au premier découragement après avoir rencontré Jésus, eh bien, elle aurait été... Elle se serait emportée, et serait retournée. Mais vous voyez, la foi ne fera pas cela. La foi ne lâchera pas prise. La foi est persistante. Elle tient ferme. Maintenant observez, elle avait toute la confiance et la foi dans cet Homme. Eh bien, si seulement elle s’était moquée de la Chose ou si elle disait simplement: «Je vais tenter ma chance, je verrai ce qu’Il va dire. S’Il dit quelque chose contre nos credos, nous allons–nous quitterons tout simplement. C’est tout.» Mais elle était venue pour recevoir quelque chose, et elle était déterminée à rester là jusqu’à ce qu’elle ait reçu la chose. Voilà! Voilà la personne qu’il faut! C’est comme la reine du Midi, nous avons prêché là-dessus l’autre soir.
153 Remarquez, lorsqu’elle est arrivée auprès de Jésus. Au lieu d’être bien accueillie, on l’a envoyée promener. Eh bien, lorsque vous... Que pensez-vous des gens d’aujourd’hui s’ils pouvaient arriver jusque-là et qu’on les traitait ainsi? Jésus a parlé à cette femme sans tarder. Après qu’elle avait franchi toutes ces barrières, et finalement...» [Espace vide sur la bande.–N.D.E.] elle a dit...
154 Elle est arrivée auprès de Lui. Elle s’était empressée d’aller auprès de Lui, pour L’adorer, et elle a dit: «Ô, Toi, Fils de David, aie pitié de moi, ma fille est tourmentée bien des fois par un démon. Et je sais que Tu es le grand Guérisseur, et je suis venu Te demander de m’aider.» Il n’a fait aucun cas d’elle. Il l’a regardée, et a continué à marcher. Oh! la la! elle valait un peu plus que notre Pentecôte moderne; oh! la la! d’un air dédaigneux, ils auraient rebroussé chemin, disant: «Je ne suis pas obligé de faire cela», mais pas cette femme. Elle avait la foi. Elle est restée juste là.
155 Eh bien, elle L’a encore suivi, disant: «Seigneur, ne puis-je pas recevoir ne fût-ce que...?» Et elle n’a pas considéré les choses par lesquelles elle était passée. Elle ne pensait pas aux choses qu’elle devrait endurer. L’unique chose qu’elle savait... Elle croyait que si elle pouvait Le persuader à accepter... C’est tout ce qu’elle voulait savoir, s’Il pouvait accepter. Elle savait que ç’a marché avec les autres, pourquoi cela ne marcherait-il pas avec sa propre fille?
156 Vous devez vous battre pour chaque centimètre du chemin. Dieu, là en Egypte, avait donné la Palestine aux Juifs, mais ils ont combattu pour chaque centimètre du chemin! Dieu a dit à Josué: «Tout lieu que foulera la plante de vos pieds, je vous le donne.» Les pas signifiaient la victoire, la possession; aussi longtemps que vous pouvez monter jusque dans le Royaume de Dieu. Si vous voulez tout simplement monter un peu et dire: «Eh bien, je crois que je ne dois peut-être pas aller en enfer, mais je crois que je serai sauvé à la fin, si j’adhère à l’église», vous n’avez pas encore gagné beaucoup de terrain. Or chaque promesse dans la Bible est vôtre, mais il vous faudra combattre chaque garde du diable et le chasser loin de cela, avec une épée à double tranchant, et revendiquer cela pour vous-même. Soyez persévérant, pénétrez là-dedans.
157 Elle était bien arrivée jusqu’auprès de Dieu Lui-même. Mais Dieu l’a ignorée. Et elle a couru après Lui en criant. Elle était persévérante. «Seigneur, viens à mon secours», a-t-elle dit. Elle L’a adoré, disant: «Viens à mon secours!» Ecoutez cette réprimande. «Je ne suis pas envoyé à votre race.» Oh! la la!
158 Alors beaucoup de gens ont dû se lever et ont dit: «Eh bien, je pense qu’Il n’a pas été envoyé vers nous. Ce réveil n’est pas pour nous. Je pense que je dois m’en aller.»
Voyez, Jésus savait que cette femme avait ce genre de foi. Vous voyez?
159 Et une autre chose, Il a dit: «Ta race n’est qu’une bande de chiens. Fiou! Oh!la la!
160 Ne parlez pas comme cela aux pentecôtistes modernes! M-m-m. Si vous dites cela, ils diront: «Eh bien, je vais tout simplement quitter cette bande de gens pour me joindre aux assemblées. Et si les assemblées me disent cela, j’irai chez les autres, et puis chez les autres et ainsi de suite. Vous voyez.»
Mais pas cette femme. Elle avait la foi.
161 Jésus a dit: «Ta... Je n’ai pas été envoyé auprès de vous. Je n’ai pas été envoyé à ta race. Et, en plus, vous n’êtes qu’une bande de chiens. Il n’est pas convenable que Je prenne ces pains des enfants, et que Je vous les jette à vous une bande de chiens.» Oh! la la!
162 Cela n’arrête pas la foi. La foi est toujours là. Elle est tout aussi fraîche qu’elle l’a toujours été. Qu’est-ce que la foi admet? La Vérité. Cette femme a dit: «C’est la Vérité, Seigneur.» Oh! la la! voyez combien vous pouvez devenir petit, pas combien vous pouvez devenir grand. La foi vous rend petit. Remarquez, elle était toujours persévérante.
163 Toutefois, Il n’a pas voulu faire cas d’elle. Il l’a ignorée. Et finalement elle s’est mise en travers de Son chemin et Il n’a pas pu se détourner d’elle, et alors Il lui a adressé la parole, disant: «Je n’ai pas été envoyé auprès de vous, ainsi qu’à ta–à ta race. Et ta race n’est rien qu’une bande de chiens. Et je ne vais pas prendre les pains des enfants, il n’est pas correct que je prenne les pains des enfants, la guérison pour ces gens, pour la donner à vous, les chiens.
Et elle a dit: «C’est la Vérité, Seigneur.»
164 La foi admettra toujours que la Parole est la Vérité. Amen. Vous voyez? Si vous avez la véritable foi et que la Bible vous dit que vous agissez mal, vous admettrez que vous avez tort. Vous ne direz pas: «Eh bien, attendez une minute là, je suis membre de...» Non, non, ça ce n’est pas la foi. Lorsque la Parole dit cela, que vous... C’est là que vous avez soit raison soit tort, cela est déterminé par la Parole. C’est vrai.
165 Eh bien, elle a dit... Non, non, cela... Il lui était tout simplement impossible de croire qu’elle devait s’arrêter à cause de cela, elle est donc partie. Et elle a dit: «C’est la vérité, Seigneur, nous ne sommes que des chiens, mais je demande seulement que je puisse obtenir tout simplement les miettes qui tombent de la table du maître.» Elle recherchait les miettes. Pensez-y.
166 Aujourd’hui, soit nous obtenons le pain tout entier soit nous n’aurons rien du tout. Voyez? Nous devons prendre le tout, sinon nous ne prendrons rien.
167 Elle avait toujours persévéré. Elle est carrément allée de l’avant. Elle n’était pas une plante de serre qui devait être dorlotée et pulvérisée pour être protégée contre les termites. Non, non. Elle n’était pas une de ces plantes hybrides comme la moisson moderne d’aujourd’hui, des gens qui se disent chrétiens. Lorsque la Parole de Dieu a dit cela, elle a cru cela; elle a vu cela être confirmé, elle était prête à suivre cela sans tenir compte de ce que quiconque disait. Même Christ Lui-même n’a pas pu l’arrêter. C’est ce que fait la foi. Oh! elle admet que la Parole est vraie. Elle recherchait les miettes.
168 Souvenez-vous, elle n’avait jamais vu un miracle. Elle était sortie d’une dénomination qui ne croyait pas aux miracles. Elle croyait, et elle est sortie d’une dénomination qui disait: «Les miracles n’existent pas.» Elle était une femme des nations. Elle n’avait jamais vu un miracle de sa vie. Mais pourtant lorsque la foi se saisit de la chose, Dieu est là. Voyez-vous? Elle n’avait jamais vu cela, mais elle en avait entendu parler.
169 Si vous ne croyez pas que les miracles existent, lisez la Bible et ses promesses pour nous aujourd’hui. Ma foi s’est emparée de la chose.
170 Elle était comme Rahab la prostituée. Lorsqu’elle avait appris [les nouvelles] par le truchement des espions, elle n’a pas cherché à voir Josué, voir comment il était habillé et quel genre de guerrier il était. Elle a dit: «J’ai appris que Dieu est avec vous. J’ai entendu parler de ce que Dieu a fait.» Elle voulait le salut et elle l’a obtenu; c’est vrai, parce qu’elle avait aussi persisté. Elle a dit: «Je vais vous cacher. Je ferai tout. Mais une chose, j’aimerais que vous me promettiez par serment que je serai épargnée pendant ce temps-là.» Oh! la la! c’est ça!
171 Et cette pauvre femme était du même genre. Elle–elle voulait... Elle savait qu’elle allait obtenir la chose. Elle n’avait pas de doute à ce sujet. Peu importe ce qu’elle devait endurer, elle allait obtenir la chose de toute façon. Et si Jésus n’a même pas pu l’amener à rebrousser chemin, en qualifiant sa race de mauvaise race, en la traitant elle, de chienne en disant qu’il n’était pas convenable de prendre les pains des enfants et d’en nourrir les chiens», et que sais-je encore comme cela. Mais elle continuait toujours à poursuivre la chose de toute façon, en effet, elle persistait. Elle avait un besoin, sa fille était mourante. D’autres avaient été guéris, pourquoi sa fille ne pouvait-elle donc pas être guérie? Et ça, c’était le Dieu de la création.
172 Jésus a dit: «A cause de cette parole, le démon a quitté ta fille.» Oh! la la! elle avait l’approche correcte vis-à-vis du don de Dieu.
173 Savez-vous que parfois Dieu fait des choses tout simplement pour–pour... Il fait des choses de façon contraire, tout simplement pour voir comment les gens vont réagir?» Eh bien, cela vous est passé par-dessus la tête, vous n’avez pas vu la chose et vous n’avez pas remarqué. Mais j’ai fait quelque chose tout à l’heure pour accomplir quelque chose. Et cela m’a donc aidé. Et j’ai vu cela marcher. Vous voyez, vous dites des choses, vous changez votre–votre–votre attitude, vous changez votre voix, parfois vous changez votre sermon; en observant et voyant certaines choses, alors vous observez et vous voyez comment cela agit. En effet, la ligne de prière va bientôt commencer, il serait mieux que cette chose ne se passe pas parmi vous. Vous voyez? Vous voyez, tout simplement pour voir cela arriver, alors vous changez vous-même et vous retournez encore quelque part. Voyez? Dieu a fait cette chose même. Il le fait toujours. Remarquez.
174 Elle avait l’approche correcte vis-à-vis du don de Dieu. Et souvenez-vous, elle était la première personne, parmi les gentils, sur qui Dieu a opéré un miracle. Elle était la première parmi les Gentils.
175 La foi admet que la Parole est la Vérité. Et elle est respectueuse, très respectueuse, et c’est ce qui... persévérante, et c’est ce qu’il en est.
176 Lorsque Marthe est allée à la rencontre de Jésus... Eh bien, s’il y a quelqu’un qui avait droit de condamner, ç’aurait été Marthe, parce qu’elle avait envoyé chercher Jésus pour qu’Il vienne prier pour son frère lorsque ce dernier était dans un état critique, à l’agonie, et Jésus... Ils avaient quitté l’église, ils étaient sortis du vieux mouvement mort dans lequel ils avaient été, et ils avaient suivi le Seigneur Jésus, et croyaient que c’était Lui le Messie oint. Et alors son véritable ami, Lazare, avec qui Il avait grandi... Et ils avaient été excommuniés de leur église et de la société. Et Son véritable ami avec qui Il avait grandi, était étendu là, malade, à l’article de la mort. Et le médecin ne pouvait rien faire pour lui.
177 Et elle avait envoyé chercher Jésus. Et Jésus a tout simplement ignoré son message. Et Il s’est rendu dans une autre ville, et Il a fait la même chose là-bas. On L’a encore envoyé chercher, mais Il a ignoré cela et Il a continué Son chemin.
178 Et puis, après que Lazare était mort, et qu’il avait été enterré depuis quatre jours... Son visage commençait déjà à s’affaisser, à ce moment-là, dans ce pays chaud. Et c’est le nez qui s’affaisse en premier, d’après ce qu’on m’a dit, et probablement que sa chair pourrissait déjà. En effet, après soixante-douze heures, la corruption s’installe dans le corps, et ainsi nous voyons...
179 Je dois aller ensevelir un homme dans quelques jours, le mercredi. Et il est mort mercredi passé; on l’a enfermé, et on m’attend là pour que j’aille prêcher à ses funérailles. Probablement, qu’on ne peut pas le garder plus longtemps dehors parce que son–son visage s’affaisserait. Vous voyez?
180 Et c’est ce qui était arrivé à Lazare. Il était déjà mort.
181 Et puis après que Lazare était mort, et que tout était fini; c’est alors qu’on voit Jésus venir, entrant dans la ville sans se faire remarquer. Ainsi donc, ils savaient qu’on allait les critiquer, peut-être parce que Jésus avait déjà été critiqué.
182 Mais Marthe, apparemment avait été très lente, pour ce qui est d’apprêter un endroit où Jésus allait dormir, un endroit où Il allait manger et ainsi de suite. Une fois, elle a même demandé à Jésus de demander à sa soeur d’aller l’aider. Mais là, dans son coeur, la foi l’avait touchée. Pendant que Marie était assise là tranquille, pleurant, et n’y pouvant rien, ayant tout abandonné; Marthe est sortie furtivement de–de la maison, et la voilà traverser la ville. Sans aucun doute, qu’elle a rencontré sur la route des gens qui lui ont demandé: «Où est ce guérisseur divin que vous aviez par ici? Qu’en est-il donc de Lazare?» Elle les a carrément ignorés.
183 Elle est arrivée là où Jésus était. Observez comment elle s’était comportée. Elle a couru vers Lui. Elle avait le droit de Le rabrouer, elle avait le droit de s’adresser à Lui, disant: «Eh bien, pourquoi n’es-Tu pas venu lorsque je T’ai appelé?» Si c’était un–un pentecôtiste d’aujourd’hui, ou un baptiste, ou un presbytérien, ils auraient changé immédiatement d’église. Voyez-vous? Certainement. «Pourquoi n’es-Tu pas venu lorsque je T’ai appelé?» Apparemment, elle avait le droit de le faire. Mais elle n’en avait pas le droit.
184 Comme je l’ai dit hier soir, vous n’avez pas de pensée. C’est Sa pensée à Lui, voyez, ce que Lui fait. «‘Que Ta volonté soit faite,’ priez comme ceci.» Il n’est pas un garçon de course. Il est Dieu. Remarquez: «Que Ton règne vienne. Que Ta volonté soit faite.»
185 Et lorsqu’elle est arrivée auprès de Lui, elle L’a approché de la manière correcte. Elle a dit (en lui donnant Son vrai titre): «Seigneur!» Il ne l’a pas rabroué, mais: «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Oh! la la! je peux Le voir redresser son petit corps fatigué. Et–et Il a dit... «Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Voyez, elle connaissait ce que le Dieu de la création était. Elle savait qu’Il était le Messie oint. Elle L’a approché de la manière correcte, sur ses genoux, disant: «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. Oh! si seulement nous pouvions y penser! «Même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
186 Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.» Aucun autre homme ne pouvait faire une telle déclaration. «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi, vivra quand bien même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»
187 Elle a répondu: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»
Il a dit: «Où l’avez-vous enseveli?»
188 Je parlais à une femme il n’y a pas longtemps, et elle m’a dit–elle a dit: «Je–je–j’aime vous entendre prêcher, Frère Branham, mais, a-t-elle dit, vous avez un défaut.»
J’ai dit: «Merci», juste un défaut. J’ai demandé: «Lequel?»
Elle a répondu: «Vous vous vantez trop de Jésus comme quoi Il était divin.»
J’ai dit: «J’espère que c’est l’unique défaut qu’Il peut trouver en moi», ai-je dit.
189 «Vous vous vantez trop de Jésus comme quoi Il était divin.» Elle a dit: «Il n’était pas divin.»
J’ai dit: «Oh! oui, Il était divin.»
Elle a dit: «Eh bien, vous faites de Lui Dieu.»
190 J’ai dit: «Soit Il était Dieu, soit Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.» Voyez-vous? Et j’ai dit: «Il était Dieu.»
Elle a dit: «Il était un simple homme. Il ne pouvait pas être Dieu.»
J’ai dit: «Il L’était. Il était Dieu et homme à la fois.»
Et elle a dit: «Vous disiez que vous croyez la Bible?»
J’ai dit: «Oui madame, je La crois.»
191 Et elle a dit: «Et si je vous prouve, par votre propre Bible, qu’Il n’était pas divin, accepteriez-vous cela?»
192 J’ai dit: «Certainement, si la Bible dit qu’Il ne l’était pas. Mais, ai-je dit, je ne crois pas que cela soit dans la Bible.»
193 Elle a dit: «Dans Saint Jean au chapitre 11, la Bible dit que lorsque Jésus s’est rendu à la tombe de Lazare, la Bible dit: ‘Il a pleuré’»; et elle a dit: «S’Il a pleuré, Il ne pouvait pas être divin et pleurer.»
194 J’ai dit: «Eh bien, madame, cela ne tiendra pas debout.» J’ai dit: «J’aimerais vous dire quelque chose.» J’ai dit: «Cela est plus léger que la soupe faite à partir de l’ombre d’un poulet mort de faim.» J’ai dit: «Parce que cela ne trouvera aucun appui dans la Bible.» J’ai dit: «Ecoutez, Il s’est rendu à la tombe, voyez, et Il s’est tenu devant la tombe, et Il a dit... Il a redressé son petit corps et Il a dit: «Lazare, sors!»
195 Il pouvait être un homme, pleurant; mais lorsqu’Il a appelé cet homme à sortir de la tombe, un homme qui était mort depuis quatre jours, et dont l’âme avait effectué un voyage quelque part, depuis quatre jours. Je ne sais pas où elle était, vous non plus. Ainsi, de toute façon, Il l’avait rappelé. La corruption a reconnu son Maître. L’âme a reconnu son Créateur. Et un homme, qui était mort, s’est tenu debout et il est revenu à la vie après être mort depuis quatre jours. Ça, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu!
196 C’était un Homme lorsqu’Il est descendu de la montagne, ce soir-là, et qu’Il avait faim; Il a parcouru du regard un figuier pour trouver quelque chose à manger. Il était un Homme lorsqu’Il avait faim. Mais lorsqu’Il a pris cinq biscuits et deux poissons, et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme.
197 C’était un Homme lorsqu’Il était couché à l’arrière de cette barque, cette nuit-là, et que dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Et cette vieille petite barque au milieu de cette tempête, comme le bouchon d’une bouteille là quelque part, montait et descendait en flottant comme cela. C’était un Homme lorsqu’Il était endormi, fatigué, une force étant sortie de Lui. Mais lorsqu’Il a mis son pied sur le bastingage du bateau et qu’Il a levé les yeux et dit: «Silence, tais-toi», et que le vent et les vagues Lui ont obéi, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
198 Il était un homme lorsqu’Il mourait sur la croix, implorant miséricorde. C’est vrai. Mais Il était Dieu au matin de Pâque lorsqu’Il a brisé les sceaux, alors qu’Il était dans le tombeau, Il est ressuscité et Il est monté au ciel, (oui, oui) étant toujours vivant pour intercéder. Tout homme et toute femme qui jamais soient parvenus à quelque chose de louable ont cru cela. Oui, oui.
199 Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement! «Croyez-vous cela?» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Oui, oui. Il est tout aussi grand ici même parmi nous, ce soir, qu’Il l’a été alors. Croyez-vous cela? [«Amen.»] Il est le même Guérisseur ce soir qu’Il l’a été à l’époque. Croyez-vous cela? [«Amen.»] Certainement. Il ne peut faillir. Persistez. Gardez votre position en Christ, votre confession. Retenez fermement votre confession en Christ.
200 Elle a persisté et elle a obtenu la résurrection de son frère.
201 La femme sunamite a persisté dans la présence d’Elie. Elie est passé là, l’a bénie et lui a dit qu’elle aurait un fils. Et ce fils a atteint l’âge de douze ans environ. Pendant qu’il était dans le champ, il a dû attraper une insolation. Cette femme avait été très gentille envers Elie. C’était une sunamite, et elle venait du pays de Sunem. Et elle a trouvé... Elle a parlé à son mari qui était un homme riche, et lui a dit: «Je vois que cet homme qui passe ici est un homme saint.» Elle a dit: «Témoignons-lui de la bienveillance.» Elle a dit: «Construisons-lui une petite pièce à côté de notre maison par ici et mettons-y pour lui un petit lit et une cruche d’eau; afin que lorsqu’il passera, il puisse s’y reposer.»
Et son mari a dit: «Ce serait une très bonne chose.»
202 «Ainsi donc, si vous faites quelque chose à l’un de ces petits, c’est à Moi que vous le faites», a dit Jésus.
203 Et ainsi il a dit... Il s’est adressé à son serviteur Guéhazi. Il lui a dit: «Va demander à cette femme: que je parle au capitaine ou que puis-je faire pour elle?»
Elle a répondu: «Non, j’habite parmi mon peuple. Je n’ai aucun problème.»Et Guéhazi–Guéhazi a dit: «Mais elle n’a pas d’enfants.»
204 Il a dit: «Va dire à cette femme...» Une vision est apparue. Il a dit: «Va dire à cette femme qu’à cette même époque, elle mettra au monde un enfant.» Et c’est ce qui lui était arrivé.
205 Le garçon a atteint environ douze ans. Son–son père était vieux. Un jour, il était sorti dans le champ, et il doit avoir attrapé une insolation. C’était vers midi, et il a commencé à crier: «Ma tête! ma tête!» Il a renvoyé l’enfant à la maison et l’a étendu sur les genoux de sa mère jusqu’à ce qu’il était mort. Regardez quel endroit approprié, elle l’a déplacé pour le faire entrer dans cette chambre où était le lit sur lequel le prophète avait dormi. Vous voyez?
206 Et elle a dit au serviteur: «Selle un mulet et va à la montagne de Carmel, là où se trouve une caverne quelque part, où habite ce prédicateur. C’était lui qui avait le pouvoir de voir une vision, et qui a dit que je mettrais au monde ce fils; et s’il est si près de Dieu, c’est qu’il est le messager de Dieu de l’heure. Et je sais que s’il peut me dire pourquoi... Si j’allais auprès de lui, il peut me dire pourquoi Dieu a retiré cet enfant. Laisse-moi monter là.» Elle a dit: «Si quelqu’un te salue, ne lui répond pas. Et ne t’arrête pas, continue tout simplement ton chemin.»
207 Oh! j’aime cela! Maintenant, c’est un temps d’urgence. Les gens se meurent, nous ne devrions pas perdre notre temps sur la route. Continuez votre chemin. Et elle a persisté.
208 Et Elie... Vous savez, Dieu ne dit toujours pas tout ce qui va arriver à Ses prophètes. Il a levé les yeux et il a vu cette femme venir, il a dit: «Voici venir cette Sunamite.» Et il a dit: «Son coeur est accablé de tristesse et Dieu m’a caché la chose.» Il a dit: «Cours, va à sa rencontre.» Et elle...
209 Il a dit: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Et ton fils, se porte-t-il bien?»
210 J’aime cette–cette persistance qui a fait qu’elle soit entrée dans la présence du messager. Et elle a dit: «Tout va bien.» Mari–son mari se tordait les mains, faisant les cent pas dans la chambre, pleurant et le bébé était étendu, mort, sur le lit, mais: «Tout va bien.» Amen. Pourquoi? Elle était parvenue à son but. Elle avait atteint son but. Sa persistance l’a fait parvenir auprès de l’homme de Dieu; l’homme de Dieu pouvait lui dire ce qu’il y avait. Et alors, elle est tombée aux pieds de l’homme de Dieu et a révélé ce qui était arrivé.
211 Eh bien, celui-ci a étendu sa main et a pris son bâton, et a dit à son serviteur: «Prends ceci et va le poser sur l’enfant.» Eh bien, je pense que c’est là que Paul a eu l’imposition des mouchoirs sur les gens. Voyez? Parce qu’Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni, mais s’il pouvait amener la femme à croire cela!
212 Mais la foi de la femme n’était pas dans le bâton; c’était dans le prophète. Vous voyez? Et elle a dit: «L’Eternel Dieu est vivant, ton âme est vivante», voyez, elle avait témoigné là qu’il avait la Vie Eternelle. Elle a dit: «Et ton âme est vivante, je ne veux pas te quitter.» Oh! la la! tenez-vous-en à cela! C’est cela.
213 C’est la manière d’obtenir ce que l’on veut. Comme cette femme sunamite, comme cette femme syro-phénicienne, tenez-vous-en à la chose! Restez tout simplement là. Accrochez-vous à Christ. Saisissez la chose, ce soir, et restez là. Ne bougez pas. Demain, si quelqu’un dit: «C’est simplement...» Fermez tout simplement vos oreilles à ces gens-là. Vous avez la foi. Restez là.
Elle a dit: «Je ne te quitterai pas.»
214 Et Elie a dit: «Eh bien, je n’arrive pas à me débarrasser d’elle, je ferais mieux de l’accompagner.» Ainsi, il a ceint ses reins et il est parti.
215 Observez lorsqu’il est entré dans la chambre. Il savait quoi faire. Il n’avait pas prié. Il a fait tout simplement les cent pas, des allées et des venues sur le plancher, jusqu’à ce qu’il a senti l’Esprit de Dieu venir sur lui. Alors, il est allé s’étendre lui-même sur l’enfant, et l’enfant a éternué sept fois et il est revenu à la vie.
216 Marthe savait que si Dieu a été dans ce prophète-là, certainement qu’Il était dans Son Fils, voyez; et c’est la raison pour laquelle elle a pu persister.
217 Et si nous avons eu des milliers d’années d’expérience depuis lors, pour apprendre que Dieu tient Sa promesse, combien devrions-nous persister ce soir pendant que nous voyons la Présence de Jésus-Christ, oh! la la! et briller comme les étoiles!
218 Je me rappelle, une nuit, il n’y a pas longtemps, chez moi; il y avait une femme et je ne savais pas que cette femme voulait qu’on prie pour elle. Je n’étais pas allé prier pour les malades ce soir là. Et le lieu était vraiment bondé, partout! Et certains de mes administrateurs qui sont assis ici quelque part, ce soir, étaient là. Une femme qui était venue de la Californie, avait une tumeur de vingt-cinq kilos [cinquante livres–N.D.T.] elle ne voulait pas se rendre chez les médecins; et ensuite, quand on l’a persuadée d’y aller, c’était devenu trop grand pour être opéré, une grosse tumeur remplie d’eau. Et elle avait une protubérance comme ceci, une très grande tumeur. Et on l’a amenée là. On l’a amenée là. On n’avait pas pu l’amener en voiture. On a dû la mettre dans une caravane, ou quelque chose de semblable, pour l’amener. Et on l’avait fait entrer là. Je ne le savais pas, j’ai tout simplement continué à prêcher. Et elle a dit: «Eh bien, ne va-t-il pas...» J’ai fait un appel à l’autel. Elle a demandé: «Ne va-t-il pas prier pour les malades?» On lui a dit: «Non.»
219 Elle a demandé: «Par quelle porte sort-il?» Hum - hum. Eh bien, pensez-y, sa foi! Et on a transporté cette femme, on l’a transportée en contournant jusqu’à la porte de derrière par où je sors en passant par le bureau du pasteur, et je suis allé vers ma voiture.
220 Et la femme qui était couchée là, m’a saisi par la jambe du pantalon, et a dit: «Frère Branham... priez!» Une grosse... Oh! la la! elle avait une protubérance comme ceci. Elle a dit: «Si vous voulez bien m’imposer les mains, Dieu me guérira.» Et je l’ai fait.
221 Et environ trois mois plus tard, j’étais dans une réunion, et voici qu’elle était debout là, en aussi parfait état de santé que n’importe quelle femme du pays; et j’ai invité n’importe quelle soeur qui était là d’aller avec elle dans une pièce et de lui enlever les vêtements pour voir si elle avait subi une opération ou pas.
222 Pourquoi? Elle avait persisté. Elle était déterminée à recevoir ce pourquoi elle était venue. C’est ce qu’il en est. Oui, oui. Leur foi s’était emparée de la Parole.
223 Michée, une fois, lorsqu’il a été invité... Lorsque Josaphat a fait une alliance avec Achab, c’est alors que le croyant et l’incroyant se sont associés. Et il a dit qu’ils voulaient aller livrer une guerre, qu’ils iraient quelque part pour reprendre leur propre terre. En principe, elle leur appartenait. Il a dit: «Pourquoi ces Assyriens devraient-ils manger le blé qui appartient à Israël? Josué nous l’a donné!» C’est tout à fait correct. Ils sont donc allés et ont formé une grande école de prédicateurs là-bas, tout un séminaire; cinq, quatre ou cinq cents de ces prophètes, des hébreux bien formés.
224 Ainsi, Josaphat a dit, étant un homme juste, il a demandé: «Mais ne devrions-nous pas consulter le Seigneur?»
225 Achab a répondu: «Oh! oui, peut-être.» Achab, vous savez quel genre d’homme il était, il s’est donc rendu là. Il a dit: «J’ai la réponse, j’ai quatre cents prophètes. Nous allons les amener ici.»
226 Et ils se sont donc rendus là, et l’un d’eux, Sédécias, je pense que c’était lui, s’est fait deux cornes et il est monté là disant: «AINSI DIT LE SEIGNEUR. Montez, cela vous appartient. AINSI DIT LE SEIGNEUR, avec ces cornes, vous repousserez ces Assyriens hors du pays.»
227 Josaphat a regardé partout, vous savez, et il–il a demandé: «N’en avez-vous pas un autre?»
228 «Un autre? Alors qu’il y a quatre cents prophètes hébreux formés et sortis de l’école, pourquoi avez-vous encore besoin d’un autre? Nous en avons quatre cents. Tout le séminaire est ici, et eux tous d’un commun accord disent: ‘Montez, le Seigneur est avec vous. AINSI DIT LE SEIGNEUR.’»
Josaphat a demandé: «Eh bien, n’en avez-vous pas un autre?»
229 Achab a dit: «Oh! j’en ai un autre que je pourrais consulter», a-t-il dit, C’est Michée le fils de Jimla, mais, a-t-il dit, je le déteste.» Oh! certainement. Oui. Il a dit: «Eh bien, il n’est même pas d’accord avec ces dénominations et ces choses.» Il a dit: «Nous, vous–vous devez... c’est–c’est un drôle de type», ont-ils dit.
«Oh, a dit Joseph, que le roi ne parle pas ainsi. Qu’on aille le chercher.»
230 Ils ont donc envoyé un des leurs là-bas et celui-ci a dit: «Eh bien, Michée, tu sais qu’on t’a excommunié de l’association, tu n’as plus de communion avec eux. Mais maintenant si tu acceptes de dire la même chose qu’eux, ils pourraient te rendre la carte de membre, si tu reviens.» Pouvez-vous vous imaginer qu’on tienne un tel langage à un prophète?
231 Michée a dit: «L’Eternel est vivant, je ne dirai que ce qu’Il dit.» Eh bien, voilà. Amen. Voilà la chose.
«Eh bien, sais-tu ce qu’il peut faire pour toi?»
232 «Cela importe peu. Je ne dirai que ce que Dieu dira.» Il est retourné auprès du roi [avec Michée], et il a dit: «Eh bien, accorde-moi ce soir, et je verrai ce que le Seigneur a dit.»
233 Il est revenu le lendemain matin, et il a dit: «Montez-y. Oui, oui. Montez. Mais j’ai vu Israël comme des brebis dispersées, n’ayant point de berger.»
234 Alors cet homme de Sédécias est venu là, avec sa main, il a giflé Michée en plein sur la bouche, disant: «Ce petit saint exalté», et il lui a demandé de s’asseoir et a dit: «Par quel chemin l’Esprit de Dieu est-il passé lorsqu’il est sorti de moi?»
Michée a dit: «Tu le verras.»Ainsi il a dit: «Qu’en pensez-vous?»
235 Il a dit: «J’ai eu une vision hier soir. J’ai vu Dieu assis sur un lieu élevé dans ce–Son grand Trône élevé.» Et il a dit: «Et toute l’armée des cieux l’entourait. Il tenait un conseil au cours duquel Il a demandé: ‘Qui pouvons-nous prendre pour qu’il descende là et séduise Achab, pour le convaincre de monter là, afin d’accomplir ce que le prophète Elie avait annoncé? Que puis-je faire à ce sujet?’» Et il a dit: «Un esprit de mensonge est monté et a dit: «‘Je descendrai là et j’entrerai dans ces prophètes, et je les pousserai à dire un mensonge.’ Et le Seigneur a dit: ‘C’est bien toi qui es capable de le faire, parce que ces gens ont reçu une formation du séminaire.’ Il a dit: ‘Va le faire. C’est tout ce que tu peux faire.’» Et cet esprit est descendu là et a accompli cela!
236 Eh bien, vous direz: «Eh bien, qui pourrait savoir ce qui était juste?» Michée était en accord avec la Parole!
237 Comment pouvez-vous bénir ce que Dieu a maudit. Comment pouvez-vous dire aux gens qu’ils peuvent vivre comme ceci et faire ces choses et toujours maintenir la communion de Jésus-Christ? Vous ne pouvez pas le faire. Vous devez être né de nouveau et être rempli du Saint-Esprit. [Espace vide sur la bande.–N.D.E.] «... Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» C’était ça la prescription. Vous n’avez pas besoin de falsifier cette prescription.
238 Un médecin peut établir une ordonnance pour vous, et si vous amenez cela chez un charlatan de pharmacien et que celui-ci ne fasse pas la solution correcte, vous tuerez votre malade.
239 Et c’est ça le problème aujourd’hui, vous avez adopté des poignées de main et toutes les autres choses, au lieu de Cela. Revenez! Dieu a laissé Pierre écrire une ordonnance éternelle pour le salut. Elle n’a jamais été changée. Et elle ne peut être changée. La poignée de main ainsi que l’adhésion aux églises, et tout, ne remplaceront jamais cela. Il faudra qu’on revienne, mot pour mot tel que cela est écrit là, voilà l’ordonnance qu’ils ont utilisée tout au long de la Bible. On a utilisé cette ordonnance jusqu’au Concile de Nicée, et puis on l’a changée. C’est la raison pour laquelle nous avons tant de membres morts aujourd’hui. Absolument. Vous devez prendre la véritable ordonnance. Alors sachez-le, si cela avait atteint la cible là-bas, ça atteindra la cible maintenant: «C’est pour vous, pour vos enfants et ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que l’Eternel notre Dieu les appellera. N’adoptez pas quoi que ce soit à la place. N’y ajoutez rien de plus. Et si vous ajoutez quelque chose de plus à...
240 Souvenez-vous, une ordonnance contient assez d’anti-dote pour ôter la maladie, et assez d’anti-dote pour tuer... assez de–de médicament pour le patient. Et si vous ne–si vous mettez trop de–d’anti-dote là-dedans, ou l’une ou l’autre chose qui ne marchera pas, qui affaiblira trop cela, cela n’aidera pas le patient. Si vous y mettez trop de poison, ça tuera le patient. Ça doit être bien approprié.
241 Et Il a prescrit une Ordonnance éternelle, car elle vaut pour toutes les générations. Pas une poignée de main, adhérer à l’église et toutes ces autres choses. Il a dit: «Repentez-vous, et puis, soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Cela vous a été promis, à vous et à vos enfants.
242 Ils ont pris cette ordonnance et ils l’ont appliquée au grand comptoir de Dieu. Et lorsqu’ils l’ont fait, le jour de la Pentecôte, ils ont guéri les malades, ils ont fait tout ce qu’on devait faire; parce que c’était Dieu, Christ en eux. Bien.
243 Michée savait que c’était la Parole du Seigneur, car c’était exactement ce que la–la Bible, le véritable Prophète avait dit. Dieu avait maudit cet homme et Il avait aussi maudit sa femme à cause de leur mal. Et s’ils–Dieu avait maudit cela, comment ces hommes pouvaient-ils venir là et bénir cela?
244 Voici d’où ils ont eu leur idée. La terre leur appartient. Effectivement, elle leur avait été donnée. Mais ils avaient été chassés de là à cause de leurs péchés. Ainsi, ils se sont dit que parce que la terre leur appartenait, ils devaient ainsi en prendre entièrement possession. Non, non.
245 C’est sous condition. Absolument. Vous pouvez avoir la guérison divine, vous pouvez avoir le salut, vous pouvez avoir le baptême du Saint-Esprit, mais sous conditions, et vous devez remplir les exigences de Dieu. En dehors de cela, ce n’est pour personne sauf pour les croyants.
246 Un homme m’a dit il n’y a pas longtemps, un prédicateur, il disait: «Peu m’importe si vous avez ressuscité les morts et que vous avez des attestations des médecins comme quoi il y a eu résurrection des morts et que sais-je encore, a-t-il dit, moi je ne crois pas cela.»
J’ai dit: «Certainement pas, ce n’est pas pour les incroyants.»
247 C’est destiné uniquement aux croyants. Cela n’a pas été donné aux incroyants. Cela a été uniquement envoyé aux croyants. C’est à eux que c’est destiné, aux croyants, pas aux incroyants. Certainement, ils admettent par là ce que–ce qui est faux.
248 Mais Michée savait. Quand il a vu que sa vision était exactement en accord avec la Parole de Dieu, alors il a su qu’elle était correcte. Et il a persisté même si cela devait lui coûter la vie ou pas. Il a dit: «Vous le verrez lorsque tout ce que j’ai prédit s’accomplira, alors vous saurez où on en est.
249 De même, l’homme aveugle ne pouvait pas discuter leur théologie, mais il savait qu’il avait recouvré la vue, ainsi, il a vraiment persisté à ce sujet. C’est comme Philippe, et c’est comme Nathanaël et la femme au puits, ils étaient tous persévérants après qu’ils avaient saisi Dieu.
250 Maintenant pour terminer, nous allons commencer la ligne de prière très bientôt, dans une minute, il y a quelque chose qui me vient à l’esprit que je dois dire à l’instant même.
251 Il n’y a pas longtemps, j’étais là-bas à Mexico. Le Seigneur m’a envoyé là à Mexico City, dans cette grande arène-là. Oh! des milliers et des milliers de gens étaient là. Et l’avant-dernière soirée, un aveugle est monté à l’estrade, et, eh bien, c’était l’un des spectacles les plus horribles. Il y avait un...
252 Combien de gens connaissent frère Espinoza? Voyez, plusieurs personnes. Certainement. Bien, eh bien, il était mon interprète. Il peut vous raconter ceci. Un aveugle est monté à l’estrade, un pauvre vieux Mexicain.
253 Et leur économie est très déséquilibrée là-bas. Par exemple, peut-être qu’un–un maçon gagne tant de pesos par jour, disons peut-être cinq pesos par jour. Je n’en connais pas le pouvoir d’achat. Et disons qu’il s’agit de Pedro, et il touche... C’est un maçon, ainsi il gagne cinq pesos par jour, mais il lui faut travailler pendant cinq jour pour pouvoir s’acheter une paire de souliers, voyez, avec leur économie. Et que dire du petit Pancho alors, Chico, le petit gars qui doit travailler ici à l’extérieur pour ne gagner que deux pesos par jour, et qui a cinq enfants à nourrir? Mais, il leur faut épargner assez de cet argent, pour brûler une chandelle de graisse sur un autel d’or d’un million de dollars pour ses péchés. Et c’est ce qui m’a enflammé, de voir les gens donc faire pénitence pour des femmes mortes, et de marcher à genoux et des choses semblables.
254 Au cours d’une soirée, ce vieil homme a traversé l’estrade, il n’avait pas de chaussures aux pieds. Ses cheveux étaient gris. Il avait un vieux chapeau qui était rattaché avec des ficelles. Il venait en traversant l’estrade. J’ai regardé ce vieil homme, et j’étais là debout avec une belle paire des souliers et un beau costume. Il était aveugle, lui. Et il marchait comme ceci. Et il a dit, et il continuait à dire quelque chose. Naturellement, je ne suis pas en mesure de prononcer quelques mots d’espagnol. Il est venu en traversant comme ceci. Et je suis allé vers lui, j’ai mis... Je me suis dit que personne ne me verrait; je–j’ai ressorti mon pied comme ceci, pour voir si mon pied, si ma chaussure allait lui convenir. Si elles pouvaient lui convenir, j’allais les enlever et le laisser les prendre. Alors, son pied était trop grand. Et si en quelque sorte je–je... J’ai dit: «Que Dieu vous bénisse, papa.»
255 Et j’ai redressé les épaules pour voir si ma veste allait lui convenir. Et elle n’allait pas lui convenir, il était trop grand. Il ne portait pas de chemise, si ce n’est un vieux veston. Et je me suis dit: «Pauvre vieux type, peut-être qu’il n’a jamais pris un bon et décent repas de sa vie.» Son vieux pantalon était en lambeaux et il était tout couvert de poussière. Et voici que le diable l’avait même rendu aveugle. Et il était là, il traversait là et disait quelque chose. Et je me suis dit: «Si mon père était resté en vie, il aurait environ l’âge de ce vieil homme.» Je me suis dit: «Oh! Dieu!»
256 Et je l’ai entouré de mes bras. Vous devez éprouver de la compassion pour les gens. Si vous n’éprouvez pas de la compassion pour eux, ça ne sert à rien de prier, si vous n’avez pas de compassion. Et je l’ai entouré de mes bras.
257 J’ai dit: «N’interprète pas ceci, Frère Espinoza.» On n’interprète pas la prière, de toute façon.
258 Ainsi, j’ai dit: «Père céleste, sois miséricordieux envers lui.» Et je lui ai imposé mes mains comme cela.
259 Il s’est écrié: «Gloria a Dios!» Cela veut dire: «Gloire à Dieu!» Voyez-vous? Il a regardé tout autour comme cela, et le vieil homme pouvait voir tout aussi parfaitement que moi. Le voilà partir, marchant sur l’estrade.
260 Eh bien, le–le soir suivant, on avait environ, oh! presque d’ici jusqu’à la porte... ce qui pouvait constituer l’estrade, de vieux châles et de vieux vêtements en lambeaux entassés là, pour qu’on prie dessus. Et la pluie tombait à verse, les gens ne pouvaient pas accéder... Et ils étaient venus là, ce matin-là, vers 8 h ou 9 h; et moi ce soir là, je n’allais être là que vers 20 h ou 21 h. Ainsi, il y avait beaucoup de monde partout là. Il n’y avait pas de sièges où s’asseoir comme vous en avez. Les gens s’appuyaient les uns contre les autres. Et ils étaient debout sous cette pluie, les femmes avec leurs cheveux qui leurs tombaient, trempées, attendant pour entendre la Parole de Vie.
261 Et le général Valdena m’a fait entrer là. Je pense que vous le connaissez, c’est l’un des hommes d’affaires chrétiens. Et j’étais le premier protestant à bénéficier de la protection du gouvernement. Le général Valdena de Mexico; ainsi donc j’étais...
262 Ce soir-là, je suis entré, on m’a fait descendre par des cordes, depuis l’extérieur jusque-là au fond de cette arène. Je suis entré en descendant comme ceci, par des cordes, en sortant par l’arrière d’une voiture. Et lorsque je suis descendu dans l’arène, je me suis mis à marcher. Et Billy, mon fils, est venu vers moi, il a dit: «Il y a un homme qui était là en train de distribuer les cartes de prière.» Moi, je l’appelle Mañana, ce qui veut dire: «Demain», il était très lent, et il n’aurait jamais pu venir me prendre. Ainsi il distribuait les cartes de prière.
263 Billy a dit: «Eh bien, a-t-il dit, papa, il y a là une femme qui a un enfant mort.» Et vous avez tous vu cet article dans la Voix des hommes d’affaires et il a dit: «Elle a un bébé mort.» Et il a dit: «Nous n’avons plus de cartes de prière.» Et il a dit: «J’ai trois cents huissiers par là qui n’arrivent pas à la maîtriser.»
264 Et elle–elle était une toute petite femme, une jeune dame, une très belle jeune femme. Et elle était... elle tenait dans ses bras ce petit bébé mort, qui était recouvert d’une petite couverture bleue rayée; elle tenait une petite forme raide d’environ cette longueur, et elle était restée debout depuis ce matin-là. Le bébé était mort à 9 h, et ceci s’est passé vers 22 h ce soir-là. Ainsi, elle tenait dans ses bras ce petit bébé.
265 Et j’ai dit–dit, j’ai dit: «Eh bien, dites simplement aux huissiers de la retenir à l’écart. Et si vous la mettez là à côté de ces gens qui détiennent une carte de prière, ai-je dit, cela va causer...» Et j’ai dit: «Ne pouvez-vous pas lui dire de venir tout près?»
266 Il a répondu: «Elle ne veut rien entendre.» Il a dit: «Elle ne veut tout simplement pas écouter cela.»
Et j’ai dit: «Eh bien, il y a certainement assez de huissier par là, pour la retenir.» Il a dit: «On n’y arrive pas.»
267 J’ai dit: «Frère Moore.» Combien connaissent frère Jack Moore? C’est un... J’ai dit: «Et elle ne saurait pas faire la distinction entre vous et moi. Et elle ne me connaît pas.» J’ai dit: «Descendez-là et priez pour elle, Frère Moore.»
Il a dit–il a dit: «D’accord.»
268 J’ai dit: «Descendez là pour prier pour l’enfant. Cela va la satisfaire, et elle va rentrer chez elle.»
Il a dit: «D’accord.»
269 Ainsi, je me suis retourné. Je prêchais sur «la foi qui est l’assurance des choses que l’on espère», et sur Jésus, ce qu’Il a fait lorsqu’Il était ici sur terre; je leur parlais. Et juste lorsque j’ai commencé à parler, j’ai regardé devant moi, dans une vision, il y avait là un petit bébé au visage sombre, qui était en train de... il était en train de me sourire. Et j’ai encore regardé.
Frère Espinoza a dit: «Qu’est-ce, Frère Branham?»
270 J’ai dit: «Ne vous en faites pas, Frère Espinoza, occupez-vous de la foule pendant un moment.»
271 Et je suis sorti. J’ai dit: «Attendez une minute, Frère Moore.» Et j’étais déjà donc descendu vers l’endroit où la petite... où était la petite femme. Et j’ai dit: «Dites-lui d’amener l’enfant ici.»
272 Et elle est donc montée à l’estrade. Elle s’est agenouillée d’une jambe, et elle tenait dans sa main un chapelet. Elle disait: «Padre», ce qui veut dire: «Père», vous savez.
273 J’ai dit: «Levez-vous maintenant. Levez-vous. Je l’ai fait lever. J’ai dit: «L’enfant est mort?» Elle ne comprenait pas. Les larmes coulaient sur son petit visage, et ses cheveux pendaient. Eh bien, ceci est vrai. Voilà ma Bible. Et voyez, j’ai posé ma main sur ce petit enfant, et j’ai pensé que cela pouvait satisfaire la femme. Je ne savais pas qu’il s’agissait de ce bébé-là. Je ne pouvais pas le dire.
274 Et j’ai dit: «Père céleste, ai-je dit, devant moi est apparue une vision d’un petit enfant, il s’agirait peut-être de celui-ci. Et si c’est le cas, je Te prie, ô Seigneur, d’honorer la foi de cette petite femme, en lui rendant son bébé.»
275 Juste à ce moment-là, ce petit enfant a poussé un cri et a commencé à pleurer de toutes ses forces. Et la petite femme ne savait que faire. Ainsi, elle... Je me suis adressé à frère Espinoza, j’ai dit: «Eh bien, ne dites pas ceci. Attendez, allez et qu’un médecin signe l’attestation pour témoigner de cela.»
276 Et dans la Voix... la Voix des hommes d’affaires chrétiens, très récemment, cela est apparu. Voyez, avant que vous écriviez quelque chose, il vous faut avoir une preuve témoignant que la chose est vraie. Ce médecin a signé cette attestation, disant: «Le bébé est mort de la pneumonie; il ne respirait plus, ce matin-là à 9 h, dans son cabinet. Et il était vingt-deux heures et quelques ce soir-là, lorsque ce bébé est revenu à la vie parce qu’une petite femme a persisté.
277 Si Dieu a pu ouvrir les yeux d’un aveugle, c’est qu’Il pouvait aussi lui rendre à elle son enfant. Il est toujours le même Dieu ce soir, mon ami. Vous devez être persévérant pour accomplir quelque chose. Que se serait-il passé si elle avait suivi ce qu’on lui avait dit et qu’elle l’abandonne et s’en aille disant: «Eh bien, l’enfant est mort»? Vous voyez? Et voyez si cette même foi qui demeurait dans ces femmes comme la sunamite, demeure toujours dans les gens aujourd’hui. De temps en temps, ils pourraient toucher cette chose. Non pas une simulation, pas une imitation, mais quelque chose de réel, quelque chose qui est–quelque chose d’authentique. Ne pensez-vous pas que nous pouvons faire cela ce soir? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
278 A présent, nous allons prier pour les malades, en leur imposant les mains au Nom du Seigneur Jésus, on va prier pour eux. Eh bien, nous pourrons probablement terminer avec la ligne dans environ, oh! peut-être dans vingt–trente minutes. Eh bien, nous ne pouvons pas nous arrêter pour un discernement; vous comprenez réellement cela, parce que ce serait trop. Mais nous allons prier et imposer les mains aux malades. Etes-vous prêts ce soir? Est-ce que vous sentez dans votre coeur que quelque chose est ancrée, la Présence?
279 Combien ont assisté aux réunions ici au cours de la semaine? Faites voir vos mains. Je pense que c’est pratiquement vous tous. Très bien. Combien n’ont jamais été dans l’une des réunions auparavant? Levez la main. Eh bien, oh! la la! ça fait la moitié. Eh bien, je pense que certaines personnes n’ont pas pu entrer. Eh bien, permettez-moi de leur dire... Naturellement, peut-être que certains d’entre eux ont une carte de prière.
280 La guérison divine, c’est quelque chose que Dieu a déjà accompli. Voyez, ça, c’est quelque chose. Nous croyons, et je crois de tout mon coeur que la Bible, dans Hébreux 13.18, dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Il est le même. Et je crois que la Vie qui était en Christ devrait être en nous, si nous sommes des chrétiens. Et Il a dit dans Saint-Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi, fera aussi les oeuvres que Je fais.» Il a dit dans Saint-Jean 5.19: «Je ne fais rien avant que le Père me le montre.» Est-ce vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
281 Eh bien, tenez par exemple, tenez. Chacun d’entre vous, à ce que je sache, m’est étranger. Ça va. J’aimerais que tout le monde soit très respectueux pendant un moment. Et si Jésus-Christ n’apparaît pas parmi nous, dans Sa même puissance, alors je suis un faux prophète, ne m’écoutez plus.
282 Combien ici n’ont pas de cartes de prière? Vous n’entrerez pas dans la ligne de prière. Levez la main partout où vous êtes. Regardez ici et priez de tout votre coeur et croyez. C’est un... difficile. Nous n’étions pas... Eh bien, en venant, nous ne nous étions pas préparés pour ceci, mais je sais que nous n’allons plus rester ici pour longtemps.
283 Maintenant, je vais prendre tout esprit ici dans la salle sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ. Maintenant tenez-vous tranquilles. Et si vous ne croyez pas, eh bien, vous feriez mieux de garder votre tête inclinée, voyez. Voyez-vous?
284 Mais si vous êtes un croyant, la Bible dit: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Et comment a-t-Il agi lorsque la femme L’a touché? Il s’est retourné et Il a su qui elle était, et quel était son problème. Il percevait les pensées de leurs coeurs. Ne croyez-vous pas qu’Il est le même aujourd’hui et éternellement? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Si vous avez un besoin, priez maintenant. Et qu’est-ce que...
285 «De quoi parlez-vous, Frère Branham?» Si je suis Son serviteur et que je déclare que Sa Vie est ici à l’intérieur, alors les mêmes oeuvres se manifesteront. Eh bien, vous savez qu’un homme ne peut pas faire ces choses. C’est impossible. Mais Christ reste le même. Et je veux que vous croyiez cela.
286 Partout dans le bâtiment, j’aimerais que vous ayez foi en Dieu, que vous croyiez tout simplement et que vous disiez: «Seigneur Jésus, cet homme ne me connaît pas. Et j’ai entendu parler de ceci, mais peut-être que c’est vrai, et peut-être... Je ne sais pas. Mais je suis sûr qu’il ne me connaît pas. Et je sais que s’il peut me révéler... eh bien, il dit: «Votre guérison est déjà acquise.»
287 Si Jésus se tenait debout juste ici en ce moment, portant ce costume qu’Il m’a donné, Il ne pourrait pas vous guérir. Combien savent cela, vous les étudiants de la Bible? Non, Il l’a déjà fait. Voyez? Voyez? Il a pu prouver qu’Il était Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement; pas par des cicatrices de clous. Sa Vie! N’importe qui peut porter des cicatrices de clous et avoir de longs cheveux et peut-être une barbe. Et nous ne savons même pas si c’est ainsi qu’Il se coiffait. Nous ne pouvons même pas dire si c’était comme cela. Vous voyez? Mais n’importe quel homme peut faire cela. Mais Sa Vie, c’est de cela qu’il s’agit, Sa Vie en vous.
288 Maintenant priez et dites: «Seigneur Jésus, laisse-moi Te toucher», et découvrir s’Il reste le même hier, aujourd’hui et éternellement. S’Il le fait, croirez-vous? Vous savez bien que c’est comme cela qu’Il l’a prouvé. Il a ainsi prouvé qu’Il était le Messie.
289 Cette petite dame assise là, qui continue à lever les yeux vers moi, et qui met ses mains sur son visage et ainsi de suite, vous avez un... Vous n’avez pas de carte de prière, je pense. Vous, je veux dire cette petite dame, vous n’avez pas de carte de prière. Non. Ça va, croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Si alors le Seigneur Jésus-Christ... Nous sommes totalement étrangers; nous sommes–nous sommes de races différentes, l’un et l’autre. Mais si je peux tout simplement vous parler.
290 Devant vous est assis l’un de mes bons amis, monsieur Dauch, de l’Ohio, il a eu un arrêt cardiaque total, il n’y a pas longtemps, à l’âge de quatre-vingt-dix ans. Les médecins l’ont abandonné et tout. Je me suis mis en route vers chez lui. C’est un aimable frère, lui et son aimable épouse, ils sont assis là. Ce sont de bons amis à moi. Et je me suis mis en route vers chez lui et je venais de sortir d’une station d’essence, essayant de l’atteindre, à environ quelques deux ou trois cents miles de chez moi. Et je conduisais à vive allure pour l’atteindre, parce qu’il... Sa femme m’a téléphoné, disant: «Bill est mourant.» Un arrêt cardiaque total et une crise cardiaque à quatre-vingt-dix ans; je suis sorti de la station d’essence en trombe et j’ai vu Bill debout devant moi, il marchait vers moi sur la rue. «Je suis venu avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il ne mourra pas.»
291 Le voici assis juste ici en ce moment. Ça fait des mois que cela est arrivé. Il a beaucoup de foi. Il est assis près de cette femme. Elle est assise juste derrière lui. Il croit. Elle croit aussi.
292 Eh bien, je ne vous connais pas. Mais si Jésus-Christ... pendant que... Nous sommes en train de parler maintenant comme notre Seigneur parlait à la femme au puits. Et s’Il me révèle ce qu’est votre problème, ce que vous désirez, ou quelque chose de ce genre, eh bien, vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou pas, n’est-ce pas? C’est pour un fils, et ce fils a une maladie mentale. C’est un... Si c’est vrai, levez les mains, si c’est cela. C’est–c’est vrai. C’est vrai. Ça va. Si vous croyez de tout votre coeur, et que vous preniez ce foulard avec lequel vous avez essuyé votre visage et que vous le posiez sur lui, directement sur son corps, et que vous ne doutiez pas, cette maladie le quittera. Maintenant, le Dieu même qui peut vous révéler... Ne doutez pas. Ne pouvez-vous pas voir ce qui est arrivé?
293 Regardez à cela, juste à cette–cette femme, Cela va vers elle, celle qui est assise ici, une–une dame de couleur. Je vous suis étranger. Mais il y a quelque chose que vous désirez. Et moi, étant un étranger, d’une autre race, c’est juste comme notre Seigneur et la femme au puits; l’un, un Juif, et l’autre, une Samaritaine. Si Dieu... Avez-vous une carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière. Je veux dire cette petite dame qui porte une robe rouge à rayures, juste là-bas. Oui. Ça va. Je–je–je ne vous connais pas. Nous sommes complètement étrangers. Est-ce vrai? Et maintenant si Dieu peut me révéler votre problème, ou quoi que ce soit, eh bien, vous reconnaîtrez si cela est vrai ou pas, n’est-ce pas? Franchement, vous n’avez rien qui cloche, seulement vous avez un coeur affamé. Vous cherchez le baptême du Saint-Esprit. Si c’est vrai, levez la main. Alors vous le recevrez, c’est vrai, si vous...?... Si vous croyez de tout votre coeur. Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu. Amen. Oui. Est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Je veux que vous croyiez avec tout ce qu’il y a en vous.
294 Il y a une dame assise ici, qui me regarde droit en face, juste là dans cette allée ici, elle souffre d’une maladie de coeur. J’espère qu’elle ne manquera pas la chose. Ô Dieu, dis-moi de qui il s’agit. Elle s’appelle madame Fitzgerald. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous pouvez obtenir votre guérison. Levez la main. Je vous suis étranger. Est-ce vrai? Votre maladie de coeur est terminée, est-ce là votre nom? C’est vrai. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie.
295 La dame qui est juste derrière vous, a une grande foi maintenant. Elle a une carte de prière dans sa main, mais cette dame souffre. Et étant donné que c’est le Saint-Esprit, cette Lumière qui est encore suspendue là au-dessus de cette femme... Elle souffre d’un... Elle a une tumeur au cou. Et elle a aussi un estomac qui s’affaisse. C’est vrai. C’est vrai, n’est-ce pas? Déposez tout simplement votre carte de prière par terre, vous n’en avez plus besoin. Ayez foi en Dieu. Croyez.
296 Croyez-vous de tout votre coeur? Voyez-vous? Ayez tout simplement la foi. Ne doutez pas. Il y a un homme là tout au fond, il a une tumeur.
297 Voyez, ce démon pensait que cet homme allait manquer cela à ce moment-là. Il y a un homme assis juste par ici, qui a une tumeur. La tumeur se trouve dans son dos. Je ne connais pas cet homme. Je ne l’ai jamais vu. Il m’est complètement étranger. Mais lorsque j’ai vu ce démon sortir là, cette ombre noire, et je l’ai vu ensuite aller vite dans cette direction, il est allé vers cette personne pour chercher un secours. Ils essaient de s’attrouper là. Satan pensait qu’il allait manquer cela, voyez, il pensait que j’allais manquer cela. Mais le Seigneur me l’a montré.
298 L’homme qui est assis juste ici, il a une tumeur dans le dos, et il s’appelle monsieur Carson. Si cela est vrai, levez-vous, et soyez guéri au Nom de Jésus-Christ.
299 Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Ayez la foi. Si vous...
300 Il y a une femme qui est assise par ici. Elle a un problème de reins. Elle a des complications. Elle s’appelle madame Byrd. C’est vrai. Est-ce là votre nom, Madame? Je vous suis étranger, et c’est ça la maladie que vous aviez, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez-vous et acceptez votre guérison, au Nom de Jésus-Christ.
301 Allez demander à ces gens. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ne–ne vous rendez-vous pas compte que Sa Présence est ici?
302 C’était mon fils qui me parlait, disant: «Il serait mieux de ne pas continuer.» Voyez, j’ai une réunion demain, le lendemain et ainsi de suite, voyez.
303 J’invite tout homme ou toute femme ici dans la salle à croire. Vous ne pouvez pas cacher votre vie si vous l’avez fait, maintenant dans la Présence de Dieu. C’est exactement ce que notre Seigneur a fait. C’est exactement ce qu’Il a promis pour les derniers jours. C’est exactement ce qui est arrivé avant que Sodome soit brûlée. C’est exactement le dernier signe qui devait venir dans l’église, et nous sommes maintenant au temps de la fin. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
304 Quel est le numéro de votre carte de prière? [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] Ça va, je vais vous dire ce qui serait mieux, prenons les gens par section. Il dit qu’il y a beaucoup de cartes de prière. Maintenant vous voyez que Dieu est ici.
305 Eh bien, y a-t-il des prédicateurs? Ça, c’est bien, Frère Vick? Y a-t-il ici des prédicateurs, mes frères? Maintenant, je vais imposer les mains à ces gens, je n’aimerais pas que les gens aillent dire: «C’est frère Branham qui a fait cela.» Vous voyez? Je–je ne suis que votre frère. Votre pasteur a tout autant le droit de prier pour les malades que moi.
306 Peut-être qu’il n’a pas ce don-ci; non, il n’en a pas, voyez. Une seule personne sur la terre en a, à une période donnée. C’est exactement ce que la Bible dit, voyez. C’est vrai. Et, c’est... Maintenant remarquez.
307 Mais votre pasteur est ordonné de Dieu, si c’est un croyant, à prier pour les malades. Et je demande à certains d’entre vous, les frères prédicateurs, de venir ici et de vous tenir avec moi pendant que nous allons prier; que les ministres remplis de Dieu–de l’Esprit qui croient dans la prière pour les malades, avec frère Vick et frère Boze... Où est le docteur Lee Vayle et les autres qui voudraient venir ici, afin que... La Bible dit: «Voici les miracles...»
308 Arrêtons-nous juste ici, mes frères. Et si vous veniez juste ici? Venez juste ici. Oui.
309 «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Croyez-vous que nous sommes dans la Divine Présence de Christ? [«Amen.»] Amen.
310 Je voulais tout simplement que vous voyiez. En effet, j’ai parlé comme je l’ai fait, dans un but, voyez, ou le but a été atteint. De grandes choses sont sur le point de s’accomplir. Si seulement vous croyez cela.
311 Eh bien, je vais vous dire ce que j’aimerais que vous fassiez, mes frères. J’aimerais que vous puissiez vous partager une moitié de ce côté-ci, et une moitié de l’autre côté, et que vous formiez quelque chose comme une petite allée par ici, afin que les gens puissent venir par là. Je vais descendre pour être avec vous.
312 Je vais demander à une personne, qui est un conducteur des chants, qu’il veuille bien venir ici, afin de conduire les chants. Je vais descendre là pour prier pour les gens. Qu’une personne se tienne ici afin de diriger les gens pour qui on va prier. Nous remercions la chorale pour nous avoir donné... C’est vraiment gentil de votre part, de nous avoir donné cet espace pour qu’on puisse passer comme cela. C’est bien.
313 Que les prédicateurs s’alignent juste comme ceci, tout droit. Tournez-vous et regardez-vous l’un l’autre en face, voyez, comme ceci, comme le frère et moi. Comme Billy Paul et moi ici, tenez-vous comme ceci, l’un avec l’autre.
314 Maintenant, combien ont de carte de prière de ce côté-ci? Faites voir vos mains. Il y en a un bon nombre. Je pense que ce serait mieux si nous pouvions laisser les gens sortir de ce côté-ci, et qu’ils descendent de ce côté-ci, dans cette direction. Maintenant avant que vous... Mais laissons la première partie de la ligne, de ceux qui ont des cartes, qu’on les laisse s’aligner juste ici, et nous commencerons à prier pour les malades, et à leur imposer les mains.
315 Je me demande combien de personnes il y a ici ce soir, qui sont–qui sont en très bonne santé et qui s’intéressent à la guérison de ces gens. Levez la main. Certainement que vous vous y intéressez. Maintenant souvenez-vous, voudriez-vous prier avec moi? Priez avec moi. Maintenant priez avec vos pasteurs.
316 Maintenant, à vous les malades qui allez vous aligner et pour qui on va prier. Souvenez-vous, lorsque vous passerez par cette ligne et que ce prédicateur et moi-même nous vous toucherons, souvenez-vous, ce n’est qu’un acte identique à votre baptême. Vous êtes venus pour qu’on vous impose les mains par ces prédicateurs qui sont des croyants, cela... Dieu a promis: «La prière de la foi sauvera le malade. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Ces hommes sont venus ici pour témoigner qu’ils croient dans ce ministère. Et ils sont venus ici comme des associés à cela, avec vous ensemble. Nous sommes tous d’un même accord. Nous sommes dans un seul lieu au même moment. Il est temps maintenant pour la guérison. Mais, si vous n’y croyez pas, ne venez pas, parce que ça ne vous fera aucun bien. Voyez, vous devez croire cela. Maintenant, croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
317 Maintenant inclinons la tête pendant juste quelques instants. Et nous allons chanter tout doucement maintenant. Que tout le monde incline la tête. «Seigneur, je crois,» Crois Seulement, maintenant tous ensemble. Restons maintenant en prière, voyez?
318 Imaginons-nous que nous voyons Jésus descendre de la montagne. Quel Jésus? Ce même Jésus qui est ici sous la forme du Saint-Esprit. Le même qui connaît ce qui se trouve dans votre coeur, que vous croyez réellement ou pas. Le même qui connaît tout à votre sujet, qui vous révèle cela soir après soir. C’est Lui. Vous savez que ça ne peut pas être moi.
319 Et maintenant, après que Sa–Sa Présence... Maintenant, la petite femme syro-phénicienne, souvenez-vous, après qu’elle était entrée dans la Présence de Jésus, elle avait toujours des ennuis. Vous aurez des ennuis. Lorsque vous passerez dans cette ligne, j’aimerais que vous tous, vous croyiez que vous serez guéris. Sinon, n’y entrez pas. Ne–ne prenez tout simplement pas la place des autres. Restez là jusqu’à ce que vous ayez assez de foi pour croire que vous serez guéri, et alors Dieu vous l’accordera.
320 Maintenant, ceux qui sont à ma droite par ici, alignez-vous de côté, pendant que les autres chantent Crois Seulement. Vous qui avez une carte de prière, certains jeunes gens se tiendront là pour recevoir votre carte de prière pendant que vous entrerez dans la ligne de ce côté-ci, du côté droit. Sortez du côté droit si vous le pouvez, parce que cela risquerait de leur donner de la confusion, en commençant par ici. Vous ne pouvez pas aller en reculant. Il vous faut venir tout autour comme ceci dans cette direction, voyez; vous devez venir par un seul chemin et tourner. Si vous, les frères vous voudriez–voudriez un peu aller là derrière et leur permettre de passer par ici. C’est un peu... Peut-être que ça semble un peu comme de la confusion, parce qu’il y a un–un–un groupe considérable de gens dont on doit s’occuper. Mais maintenant, observez mon fils, Billy Paul; observez les huissiers là-bas; ils vous diront juste comment vous y prendre, vous ne serez pas du tout dans la confusion. Et puis, vous voyez, de ce côté-ci, au fur et à mesure que vous passerez dans la ligne de prière, ensuite vous retournerez à votre siège. Et puis, nous prendrons cet autre côté par ici, et les gens viendront de cette direction et passeront, voyez.
321 Maintenant, nous allons nous tenir ici et vice versa, d’un côté à l’autre de la ligne, et nous prierons pour les gens. Très bien.
322 Maintenant, je crois que si vous les frères, vous descendiez un tout petit peu, pour que ces frères par ici puissent entrer juste ici, afin que nous puissions tous imposer les mains aux malades. C’est très bien.
323 Maintenant écoutez, frères, chacun de vous maintenant. Chacun de vous les frères, est-ce que vous vous rendez compte de ce que vous êtes en train de faire, voyez, connaissez-vous la position où Dieu vous a placés? Maintenant ceci interpelle votre foi. Souvenez-vous tout simplement qu’il vous faut croire que toute personne que vous touchez, vous, doit être guérie. Ils doivent l’être. C’est ce que Dieu a dit. Je vais les toucher avec vous, et je crois qu’en rentrant, ils vont recouvrer la santé. Ne croyez-vous pas cela? [Les frères disent: «Amen.» - N.D.E.] Offrons juste un mot de prière entre nous, pendant que les autres parmi vous continuent à s’aligner, nous allons prier pour l’état de notre propre foi.
324 Père céleste, il y a beaucoup de malades ici. Et certains d’entre eux, Seigneur, croient toujours que les anciens devraient leur imposer les mains. C’est tout à fait correct, Père. Nous savons que c’est ce que Tu as enseigné. Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Tu l’as promis, et les gens croient à cette promesse qui est la leur. Ta Présence est ici. Personne ne peut en douter, Seigneur. Et voici Tes ministres ordonnés qui se tiennent ici, ordonnés du Saint-Esprit pour offrir la prière pour les malades.
325 Maintenant, Seigneur Dieu, permets que toute personne que nous allons toucher ce soir, soit guérie. Nous offrons la prière de la foi pour ces gens-ci en ce moment. Nous allons croire que quand nous leur imposerons les mains, ils seront guéris. Amen. Conditionne-nous, Seigneur. Ôte notre péché et notre–et notre iniquité. Purifie-nous avec le Sang du Seigneur Jésus-Christ, afin que nous puissions... Nos mains ne sont pas saintes. Ce n’est que par Ta sainteté qu’il nous est permis de faire ceci. Ainsi, accorde cela, Seigneur, alors que je me remets moi-même, avec ce groupe de frères avec lesquels nous sommes ici pour aider ces gens à être guéris. Accorde-le, Seigneur.
326 Et maintenant, je prie pour ces gens, tous ceux qui passeront dans la ligne de prière. Ô Dieu, ils viennent comme s’ils venaient pour le baptême d’eau, ils viennent tout droit à la table du Seigneur; ils viennent sous la Croix du Calvaire. Au fur et à mesure qu’ils passeront ici, qu’ils se rendent compte que le Christ invisible qui se tient parmi ces frères, se tient ici maintenant pour leur accorder la récompense pour leur foi. Et je remets le tout à Toi maintenant, Père, au Nom de Jésus-Christ.
327 Maintenant, j’aimerais que tous les autres inclinent la tête. Maintenant, suivez attentivement les instructions qui vous sont données. Sinon, vous ne faites qu’une promenade, voyez. Maintenant souvenez-vous, si Dieu me permet de connaître les maladies et les autres choses, et si vous croyez cela, voyez, maintenant croyez ma parole, vous devez croire que ceci règle la question. Sinon, cela peut empirer votre cas. Voyez, réglez toute chose! Si dans votre vie vous avez un péché, quittez la ligne et confessez cela. Et n’entrez pas dans la ligne avant d’avoir prié à fond. Et si vous allez utiliser votre vie pour quelque chose d’autre que la gloire de Dieu, n’entrez pas dans la ligne. Vous voyez? Si vous êtes prêt à vous consacrer à Christ, à vous abandonner complètement, et que vous êtes pleinement persuadé que c’est Jésus-Christ, ce grand Saint-Esprit qui est ici, et que vous allez recevoir votre guérison lorsque vous passerez par cette ligne, peu importe si vous sentez un changement ou ce que c’est, vous allez persister pour vous accrocher à la promesse de Dieu, jusqu’à ce que vienne la victoire, comme cette femme dont nous avons parlé. Auditoire, est-ce que c’est ce que vous ressentez? Si c’est le cas, levez la main et dites: «J’accepte cela.» [L’assemblée se réjouit.–N.D.E.] Je ne vois aucune raison pour que quelqu’un ressorte d’ici malade, ce soir.
328 Maintenant, j’aimerais que vous qui n’êtes pas dans la ligne, vous puissiez prier. Je pense que frère Joseph va se tenir ici pour conduire les chants, et moi je vais descendre d’ici, pour que je puisse prier aussi, et imposer les mains à ces gens au fur et à mesure qu’ils vont passer.
329 Maintenant écoutez, les amis; les services se tiendront demain soir. Nous ne savons pas ce qui va arriver, si quelqu’un sera guéri, poussera des cris, louera Dieu, et ainsi de suite. Nous pourrions ne pas être officiellement congédiés d’ici peu maintenant, mais s’il vous plaît, restez et priez avec nous. Nous avons besoin de vous juste maintenant. Priez afin que l’ennemi ne puisse pas bourrer de doute l’esprit de ces gens. Qu’en serait-il si c’est votre mère qui se tenait là, votre soeur, votre femme, votre époux, votre bébé? Vous aimeriez que quelqu’un prie très sincèrement. Souvenez-vous, il s’agit de la mère de quelqu’un, de la soeur de quelqu’un, du frère de quelqu’un, de l’enfant de quelqu’un et nous voudrions être sincères à ce sujet.
330 Et lorsque nous prions, j’aimerais que vous les hommes, de tout votre coeur, lorsque vous imposerez les mains à ces malades que vous croyiez que Dieu va guérir cette personne, parce qu’elle va croire cela.
331 Et maintenant, d’ici demain soir, eh bien, avant que je ne monte à l’estrade, demain soir, il devrait y avoir trois ou quatre cents témoignages qui passeront ici comme quoi: «Je portais des béquilles. J’étais... et je ne les porte plus. J’étais malade, je ne le suis plus.» Dans les vingt-quatre prochaines heures, les démons seront en train de quitter cet endroit, parce que les bénédictions sont prononcées sur ces gens.
332 Maintenant, inclinons la tête alors que nous prions, chacun pendant que ces gens passent dans la ligne maintenant. Frère, imposez tout simplement vos mains aux malades. Bien.
333 [Frère Branham descend avec les ministres et prient pour les malades. Frère Joseph Boze conduit l’assemblée dans les chants. Espace vide sur la bande.–N.D.E.]
334 Ne vous sentez-vous pas bien maintenant? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Combien parmi vous croient qu’ils sont guéris? [«Amen.»] En passant ici dans la ligne, bien des fois continuellement, il est arrivé juste ici, avant que les gens ne quittent l’estrade... Je crois que chacun de vous sera guéri. Oh! je–je le crois. J’accepte cela pour vous. J’associe ma foi à la vôtre, afin que vous soyez guéris. Croyez-vous cela, frères? [«Amen.»] Oh! la la! N’est-il pas merveilleux?
335 Maintenant, chantons-Lui un chant de louange avant d’être congédiés. Et puis levons nos mains, et gardons-les levées très haut. Et souvenez-vous, nous sommes restés du début jusqu’à la fin près de la croix, et c’est là que nous avons reçu la Lumière.
A la croix,... où j’ai vu la Lumière pour la première fois,
Et le fardeau de mon coeur a été ôté,
Oh! c’était là que par la foi j’ai recouvré la vue,
Et maintenant je suis heureux tout le long du jour!
A la croix, à la croix où j’ai vu la Lumière pour la première fois,
Et le fardeau de mon coeur a été ôté,
Oh! c’était là que par la foi j’ai recouvré la vue,
Et...