La Persévérance
1 Merci. Merci, Frère Joseph. Maintenant je crois.
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Toutes choses sont possibles, maintenant je crois;
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Toutes choses sont possibles, maintenant je crois.
2 Inclinons nos coeurs dans Sa Présence maintenant. Notre Père céleste, nous Te sommes encore reconnaissants ce soir, parce que Tu as été avec nous tout au long de la journée et que Tu as guidé nos pas. Ce soir, nous nous sommes encore rassemblés au Nom du Merveilleux Seigneur Jésus. Et nous sommes ici dans une grande attente. Maintenant, nous nous attendons au temps où Tu nous accorderas le point culminant de ce rassemblement, où Tu guériras les malades et tous les affligés ce soir. Qu’il ne reste aucune personne faible parmi nous ce soir. Que leur foi augmente, Seigneur, depuis...Et qu’ils ne regardent plus leurs problèmes, mais qu’ils regardent à Celui qui a–qui est le Remède, ou la Cure pour leurs problèmes. Et, ô Dieu, nous Te prions de rompre, une fois de plus, le Pain de Vie pour nous, à partir de Ta Parole, qui nous donnera du courage. «Car, la foi vient de ce que l’on entend et ce que l’on entend de la Parole de Dieu.» Et nous Te louerons, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
3 Vous pouvez vous asseoir. Je suis très heureux d’être encore ici ce soir. Je suis passé près de la porte là à l’extérieur, il y a quelques instants, et les rues grouillaient d’une multitude de gens qui montaient et descendaient. Et le–le conducteur du bus a dit que... ou plutôt le... Excusez-moi, le conducteur du taxi a dit: «Ces gens ne sont pas venus à l’église, n’est-ce pas?» J’ai dit: «Si, ils n’ont pas pu entrer», ai-je dit. On prétend que les gens ne veulent pas aller à l’église. Vous voyez? Mais ils–ils... Je crois que l’Evangile reste encore la–reste–reste la plus grande puissance d’attraction qui existe sur terre; mais c’est dans la simplicité.
4 On a passé des moments glorieux au déjeuner des Hommes d’Affaires du Plein Evangile ce matin. Le Seigneur nous a vraiment bénis. Il nous a rencontrés là de façon glorieuse. Ils ont vendu, je pense d’après ce qu’ils ont dit, mille sept cents billets, et ils ont fait entrer trois cents personnes de plus; et puis, ils n’ont pas pu en faire entrer davantage, et les gens se sont tenus là dans les allées et près des portes. Et–et lorsque nous avons fait l’appel à l’autel, le Seigneur nous a donné beaucoup d’âmes qui se sont levées, pour recevoir la Vie Eternelle. Nous en sommes donc très reconnaissants.
5 Et–et ensuite, j’aimerais remercier un frère. Il n’a pas pu entrer là; je ne le pense pas. Et il–il a remis à Billy, il y a quelques instants, un carton des balles de calibre 22 pour moi. Et je les ai mises ici derrière. Je les apprécierai. Merci beaucoup, si vous êtes dehors et que vous pouvez entendre cela, ou à l’intérieur, où que ce soit. Certainement, je...
6 Ç’a été une grande bénédiction pour moi, de tirer parfois sur les cibles. Et, maintenant, il vous faut avoir quelque chose pour en quelque sorte laisser échapper la pression, et ainsi, c’est de cette façon que je m’y prends parfois, lorsque j’en ai l’occasion et que je peux... eh bien, je m’empresse d’aller au champ des tirs pour tirer un peu quelques coups de feu, tout simplement pour laisser échapper la vapeur. Vous... Je pense que Jésus a dit: «Allons un peu à l’écart dans un lieu désert.»
7 Eh bien, nous vous aimons tant! Demain, c’est dimanche, et tout le monde aime aller à l’église le dimanche. Et je sais, ou presque vous tous vous savez où le–le (j’essaie de dire l’Eglise la Pierre [En anglais Stone Church–N.D.T], c’est Roc Church [l’Eglise le Rocher], c’est ça. C’est l’église qui parraine cette série de réunions, je pense, et d’autres sont ici en visiteurs. Et vous, les étrangers qui n’êtes pas de cette ville, qui êtes venus à ces réunions, si vous ne... Eh bien, si vous avez un poste du devoir, allez-y. C’est ce que vous êtes censés faire. Tenez-vous toujours à votre poste du devoir. C’est là votre–c’est là votre devoir envers Dieu, envers votre pasteur et envers le reste de la congrégation. Mais si vous n’avez pas d’endroit où aller, je suis sûr que vous serez certainement les bienvenus au Roc Church, car je pense qu’on a annoncé les réunions.
8 Et–et vous qui avez été sauvés dans ces réunions-ci... on ne sait jamais. Eh bien le... d’habitude, nous faisons un appel à l’autel, ce que nous appelons un appel à l’autel, voyez, et c’est–c’est en ordre. Je n’ai rien contre cela. C’est bon. Mais je crois, si vous vous souvenez des Ecritures, qu’on–on n’avait pas d’appel à l’autel [à l’époque]. «Tous ceux qui avaient cru, vous voyez, s’ajoutaient à l’église.» Les croyants!
9 Et–et si vous n’avez pas d’église, eh bien, je suis certain que le frère Vick vous accueillera dans son église ou n’importe lequel de ces autres hommes par ici. Si vous n’avez pas encore reçu le baptême chrétien, consultez-les. Et ne vous arrêtez pas là. Continuez tout simplement d’avancer, continuez d’avancer.
10 Nous ne savons jamais, nous ne savons même pas combien de personnes sont guéries. Et vous les pasteurs, les frères, rappelez-vous tout simplement que lorsque la réunion se termine, ça prendra peut-être des semaines après, quelqu’un viendra à vous, par exemple une petite dame, et elle dira: «Vous savez, j’avais un problème gynécologique, je n’en ai plus.» Quelqu’un d’autre dira: «Je–je... vous savez, tout d’un coup, je n’avais plus envie de cigarettes. Cela m’avait complètement quitté.» Voyez? Les gens–les gens sont guéris, tant de gens, vous ne saurez pas les citer. Voyez, c’est vraiment partout. Jusque-là, je n’ai jamais eu de réunions sans qu’il y ait des résultats par après, des réunions où le Seigneur a guéri les gens sans que ceux-ci n’en soient conscients aussitôt; mais ils–ils ont été guéris. Et la première chose vous savez, ils étaient–ils se sont tout simplement levés et ils sont partis, et tout est terminé. Mais peut-être qu’ils ne comprennent pas à l’instant même la chose juste, mais, c’est... peu de temps après, la chose est terminée.
11 Je me rappelle ce qui s’était passé en Finlande il y a bien longtemps; je pense qu’il y a des Finlandais ici. Il y avait un petit garçon qui était ressuscité des morts. Vous avez probablement lu–lu le livre à ce sujet. Les nouvelles se sont répandues jusque-là en Russie. Mais j’ai vu cela en vision avant que la chose n’arrive, deux ans avant, et j’ai annoncé cela à travers la nation.
12 Je me rappelle cette petite fille finlandaise qui, ce soir là, était debout là à l’extérieur dans le hall, et qui avait une jambe d’environ six ou huit pouces plus courte que l’autre. Elle portait une grosse chaussure à semelle compensée, avec une–une lanière autour d’elle, et une autre lanière attachée à son orteil, un petit crochet. Et elle avait une–une ceinture par-dessus son épaule, traversant comme ceci et qui descendait jusqu’à l’orteil dans sa chaussure. Elle portait deux béquilles. Et quelle pauvre petite créature déguenillée! Et chaque fois qu’elle voulait se mettre en mouvement pour avancer, elle devait soulever ce pied avec son épaule, cette lanière; et puis le projeter comme cela, et déposer cela, et ensuite poser la béquille. Et nous avons dû...
13 Nous étions à ce qu’ils appellent (eh bien, il y a un frère ou une soeur finlandaise par ici, je–je ne prononce pas ceci correctement) Messuhalli, et cela prend toutes les lettres de l’alphabet. Et on laissait entrer environ vingt mille personnes ou peu importe le nombre que c’était, et puis on les laissait sortir, et ensuite on me laissait prêcher à un autre groupe de vingt mille personnes.
14 Et le petit garçon qui a été ressuscité des morts à Kuopio, avait été tué par une automobile. Oh! la la! Et là-bas, on ne diffuse pas le rock-and-roll et d’autres choses, il n’y a que des informations et tout, ainsi on a parlé de cas dans les informations. Et les gens sont venus de très loin depuis la Russie, pour monter jusque-là à l’intérieur.
15 Et ce soir-là, j’ai vu... C’était juste après la guerre, environ cinq ans je pense, après la guerre. Et j’ai vu des soldats russes et des soldats finlandais les uns, les bras autour des autres, se témoignant de l’amour les uns envers les autres, se tapotant les uns les autres dans le dos. Tout ce qui amènera un Russe à tapoter un Finlandais, mettra fin aux guerres; il faut l’amour de Jésus-Christ pour faire cela.
16 Mais ces soldats communistes, costauds, étaient debout là... Nous sommes passés près d’un groupe de petits soldats finlandais, des jeunes gens imberbes, ayant le visage tout lisse; ils portaient de grosses bottes, ils descendaient la rue et contemplaient les gens. Il y avait plein de monde de deux côtés de la rue, sur une distance de plusieurs pâtés de maisons. Et ces soldats se tenaient là au garde-à-vous, les larmes coulant sur leurs joues. Ils disaient: «Nous recevrons un Dieu qui peut ressusciter les morts.» Voyez-vous? Ce sont des humains comme nous.
17 Mais voici ce qu’il y a: quelque chose qui professe le christianisme et qui ne produit pas de résultats, ils le mettent de côté. Ils veulent quelque chose de réel. Vous voyez, c’est la raison pour laquelle le communisme est né; parce que l’église a déçu. L’église est coupable du communisme parce que l’église a déçu. Et pensez-y, il n’y a donc qu’un pour cent de la Russie qui est communiste, un pour cent. Quatre-vingt-dix-neuf pour cent de gens sont néanmoins des chrétiens. Ce dont ils ont besoin, c’est d’un véritable feu qui soit allumé, avec un prophète ayant l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Cela–voyez... C’est ce qui repousserait les forces communistes jusque dans la mer. Ce dont nous avons besoin, c’est... Ils ont besoin du véritable christianisme.
18 Et ces soldats russes se tenaient là ce soir-là; je suis entré dans un petit vestibule et puis, je suis entré dans un petit hall. Et cette petite fille, je ne l’oublierai jamais, elle avait–elle avait les cheveux un peu ébouriffés et elle portait une petite jupe en guenilles. Et elle est sortie de–de la salle des dames. Et on leur avait dit de ne pas me déranger.
19 Je suis sorti dans la rue pour acheter des bonbons. J’ai–J’ai des enfants, moi-même, et je–j’aime les enfants. Je pense que toute personne qui n’aime pas les enfants, il a en lui quelque chose qui cloche. Et ainsi ces petits amis, j’en avais à ma suite toute une file longue d’environ un pâté de maisons. Je leur donnais des bonbons. On m’avait remis de l’argent de là, et il ne servirait pas ici, de gros billets comme cela, et j’achetais des bonbons. Je ne me rappelle plus ce que j’achetais, mais je leur donnais cela. Et ils demandaient cela dans les rues, vous savez, quand je me promenais, je progressais pour me distraire, je pense, pour faire un petit exercice.
20 Et ensuite, lorsque je suis entré ce soir-là, cette petite fille pensait qu’elle avait fait quelque chose de mal, et je me souviens qu’elle gardait sa petite tête baissée. Et elle a levé ces petits yeux bleus, elle cherchait à voir ce que j’allais dire.
21 Et les deux soldats qui étaient devant moi se sont avancés vers la porte. Et on chantait Crois Seulement. Il y en avait deux autres derrière moi. Et je leur ai fait signe de s’arrêter.
22 Je voulais voir ce que cette enfant allait faire. Elle avait environ, je pense, environ huit, ou dix ans. Plus tard, j’ai appris qu’elle était une petite finlandaise orpheline de guerre. Son père et sa mère avaient été tués pendant la guerre contre les Russes. Et ainsi je–j’ai regardé la petite créature, et–et elle avait ces béquilles. Et elle pensait que j’allais... qu’elle avait fait quelque chose de mal, vous savez.
23 Et je l’ai regardée. J’ai dit: «Tu veux me voir?» Et, naturellement, elle ne comprenait pas l’anglais. Et je lui ai fait signe avec mon doigt de venir là. Et elle a levé la tête et elle avait plutôt un air enfantin. Elle a sorti ses petites béquilles, elle a soulevé sa petite jambe, presque comme cela. Et la voici venir en marchant.
24 Je me suis dit: «Je vais vraiment voir ce que fait cette enfant.» Et je me suis tout simplement tenu là comme cela. Et elle s’est vraiment approchée de moi, et m’a regardé; elle a levé les yeux comme cela, et elle a baissé les yeux. Je me suis dit: «Je vais tout simplement voir ce qu’elle fait.» Et elle a soulevé mon veston, l’a regardé dans sa main, et a embrassé la poche de mon veston et elle a baissé sa main.
25 Je voulais lui dire: «Ma petite soeur», je ne savais pas comment le lui dire. Et j’ai regardé devant, je l’ai vue en train de courir dans la rue, tout aussi normale que n’importe quel enfant. Et j’ai donc dit... Je ne pouvais pas lui parler, j’ai dit: «Chérie, Jésus-Christ te guérit.»
26 Et elle a déployé sa petite jupe, une petite fille finlandaise typique, et elle a dit: «Kiitos», ce qui veut dire: «Merci.» Voyez, pour avoir embrassé la poche. Je–je pense, si je pouvais être le plus grand hypocrite du monde, Dieu aurait honoré la foi de cette enfant.
27 Ainsi, elle... Je me suis dit: «Eh bien, elle se rendra compte de cela, après quelque temps, de toute façon. Voyez, cela va continuer, elle ira très bien, parce que je l’ai déjà vue dans la vision.» Cela doit arriver! Ce que je dis... Cela doit arriver.
28 Ainsi, ce soir-là, il y avait tant de choses que le Seigneur avait accomplies, et j’étais presque sur le point de partir. Et j’ai dit: «Eh bien, appelez encore quelques personnes.»
29 Et mon frère a dit: «Non, a-t-il dit, tu es...» Et frère Baxter a dit: «Vous êtes fatigué maintenant, Frère Branham.» Il a dit: «Eh bien, arrêtez maintenant, allez, parce que nous devons aller ailleurs.» Et il a dit: «Simplement vous...»
30 J’ai dit: «Eh bien, je pense peut-être qu’il faudra qu’il ajoute encore environ quatre ou cinq personnes, il y en a beaucoup ici.»
31 Et la personne suivante dans la ligne de prière était donc cette petite fille. Le Seigneur sait vraiment comment faire concourir parfaitement les choses. J’ai donc dit: «Madame Isaacson...» Elle est peut-être ici en ce moment. C’est elle qui était mon interprète en Finlande. Et j’ai donc dit: «Maintenant, rendez mot pour mot ce que je dis.» Elle a dit: «Très bien.»
32 Et j’ai dit: «Chérie, le Seigneur Jésus t’a guérie, Il t’a récompensée là-bas, pour ce que tu as fait.» J’ai dit: «Maintenant, va là-bas et demande à quelques hommes d’enlever cet appareil orthopédique. Observez tout simplement ce qui va se passer.» Et elle a traversé l’estrade en clopinant. Et moi j’ai continué avec les autres.
33 Quelques instants après, la voilà revenir normale au possible avec des chaussures, et cet appareil orthopédique sur sa tête; avec toutes les deux jambes en parfait état, et elle montait et descendait les marches en courant. Voyez, la foi, la foi, l’amour trouve sa place. C’est vrai.
34 Aujourd’hui, j’ai fait une petite expérience, et c’est tout simplement pour vous montrer ce que la communion veut dire. J’étais... La dernière fois ici à New York, ou plutôt, j’étais ici chez frère Hudson, je pense à... Cette fois-là, je ne pense pas que c’était à New York. C’est... Je ne sais pas où se limite New York. Pour moi, tout c’est New York, tout le long depuis Tucson jusqu’ici, à ce qu’il me semble.
35 Ainsi donc, je venais d’habitude ici avec la soeur Brown et le frère Berg. Je suis sûr que beaucoup d’entre vous les connaissent. Et j’essaie d’entrer en contact avec ce cher vieux saint depuis ce dernier jour, ou plutôt ces deux derniers jours. Et il n’y avait personne à l’église, et puis aujourd’hui, je l’ai eu au téléphone. J’ai attrapé le concierge. Et, eh bien, je pensais que j’étais en train de parler à une fille de seize ans, elle a beaucoup de vivacité dans sa voix. J’ai dit: «Soeur Brown, jamais de la vie, vous ne devinerez qui c’est.»
Et elle a dit: «Que vous êtes gentil! Certainement non.»
36 Elle était vraiment heureuse au possible. J’ai dit: «Frère Branham», et elle a tout simplement commencé à pousser des cris; une si douce et vieille créature.
37 Et elle a quatre-vingt-trois ans, et elle prêche deux fois par semaine. Et pensez-y, elle est entrée au ministère avant que je sois né. Et j’étais presque prêt à abandonner, parce que je devenais si vieux. J’ai repris courage.
38 Je lui ai dit que j’étais là avec frère Vick par ici. Et quelle chose merveilleuse elle a dite au sujet de frère Vick! Je vous assure, je–je... cela–cela rend... Ça, c’est le véritable christianisme. Toutes les deux sont de grandes églises, juste ici à New York, il n’y a pas de compétition parmi elles, vous voyez, ce sont vraiment des frères et des soeurs en Christ. Je vous assure, cela signifie beaucoup pour le pasteur, vous savez. Toutes les deux ici, de vieilles églises établies comme ceci, et ils sont toujours des frères et des soeurs, travaillant la main dans la main. C’est ainsi que vous devriez vous y prendre. C’est très bien. Je pense que c’est élogieux pour frère Vick, le grand travail qu’il fait ici pour le Seigneur, sa compassion pour les autres et pour tous les deux. Que le Seigneur leur accorde encore une très, très longue vie.
39 Et, frère Vick, je pensais que nous devenions très vieux, mais nous sommes encore des enfants, voyez. Nous ne sommes que des enfants.
40 Je me souviens de frère Bosworth lorsqu’il était mourant, il avait quatre-vingt-quatre ans. J’ai dit... j’ai failli consumer ma vieille voiture, en me démenant pour arriver là, afin de le voir. Puis, je l’ai vu lever sa petite tête chauve, il a levé ses bras comme cela. Je me suis tout simplement jeté dans ses bras, et je me suis écrié: «Mon père, mon père, char d’Israël et sa cavalerie!» Et j’ai dit: «Frère Bosworth, j’aimerais vous poser une question», je lui ai demandé: «Etes-vous malade?»
Il a répondu: «Non.»
J’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce qu’il y a?»
41 Il a dit: «Je rentre à la maison.» Oui; vous connaissez son sens d’humour.
42 Et je–j’ai dit: «Eh bien, Frère Bosworth, ai-je dit, j’aimerais vous poser une question. Quel a été votre meilleur moment?» Il a dit: «Ce moment-ci.»
Et j’ai dit: «Mais, savez-vous que vous êtes mourant?»
43 Il a dit: «Je ne peux pas mourir.» Il a dit: «Je suis mort il y a environ soixante-dix ans», a-t-il dit. Il a dit: «Je–je suis une nouvelle créature en Christ.» Et il a dit: «Frère Branham, pendant les soixante dernières années, j’ai vécu uniquement pour le Seigneur Jésus. Et à chaque minute, j’attends qu’Il franchisse la porte et que je parte avec Lui pour l’éternité.» Je me suis mis à réfléchir.
44 Je me souviens de Paul Rader. Combien se souviennent de lui? Plusieurs se souviennent de Paul lorsqu’il est mort là. Et on a appelé, ils avaient le... L’Institut Biblique Moody, je crois, a envoyé un–un petit quatuor pour chanter pour lui. Ils étaient en train de chanter Plus près de Toi, mon Dieu, vous savez. Et il a dit...Il avait un sens d’humour, vous savez. Il a dit: «Qui est en train de mourir, moi ou bien vous?» a-t-il dit. Il a dit: «Dites donc, a-t-il dit, soulevez ces stores, et chantez-moi un–un bon cantique de l’Evangile plein d’entrain.»
45 Ils se sont mis à chanter: «Là à la croix où mourut mon Sauveur, là j’ai crié pour être purifié du péché!»
46 Il a dit: «Ça sonne mieux.» Il a dit: «Où est mon frère Luc?»
47 Eh bien, Luc ne voulait pas voir son frère mourir; ainsi, il était dans la pièce voisine.»
Il a dit: «Allez le chercher.»
48 Luc et Paul voyageaient ensemble, comme Billy Paul, mon fils, et moi nous voyageons ensemble.
49 Luc est entré; il a essayé de rassembler ses forces et il a saisi la main de Paul. Et celui-ci a tendu la main, a saisi Luc et a dit: «Luc, nous avons fait du chemin ensemble, n’est-ce pas, frère?»
Luc a dit: «Oui.»
50 Paul a dit: «Mais penses-y! Dans cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Oh! la la! Voilà la chose.
51 Laissez-moi m’en aller de la même manière. C’est cela, «revêtu de Sa justice». Cinq minutes à partir du moment où il tenait la main de son frère, il a dit: «Je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.»
Il a serré très fort la main de son frère, et il est allé à la rencontre de Jésus. Oh! la la! quel jour ce sera, ces vaillants soldats!
52 Voyez, je me tiens ici et je vous parle, et tout mon temps est passé, je pense qu’il en est ainsi. Vingt et une heure juste, mais je vais me dépêcher ce soir, absolument. J’ai tout simplement quelques petites Ecritures.
53 J’écris les passages des Ecritures et je sais quand m’y référer par la suite. Parfois, je fais un... J’inscris un nom, et puis, je demande à frère Vayle ce que ça veut dire, avant d’entrer, vous savez. Je peux le tirer de cette Bible, et il me dit comment le prononcer. J’ai donc beaucoup de lacunes, côté instruction.
54 Mais j’ai promis de prier pour les malades ce soir. Et maintenant mon but principal, dans mes–mes réunions... C’est la raison pour laquelle je n’ai pas beaucoup trop d’occasions; une fois ou deux fois, peut-être, pendant une campagne, je ferai monter les gens comme je vais le faire ce soir, sans le discernement, pour leur imposer tout simplement les mains. Beaucoup de gens croient cela. Maintenant, cela, c’est–c’est bon. C’est l’Ecriture. Voyez? Mais vous vous souvenez, c’était plutôt une tradition juive. Voyez, Jaïrus a dit: «Viens imposer les mains à ma fille, et elle vivra.»
55 Mais le Romain a dit: «Je ne suis pas digne de Te recevoir sous mon toit. Dis un mot!» Observez ce qu’a été son témoignage. Il a dit: «Je suis soumis à des supérieurs.» Il était un centurion. «Et je–je dis à un homme: ‘Va’ et il va. Et à un autre: ‘Viens’ et il vient.» Qu’est-ce qu’il était en train de témoigner? Que juste une Parole de Jésus suffisait pour guérir son serviteur, et que Jésus avait la puissance sur toute maladie. «Dis un mot, mon serviteur vivra.»
56 Il s’est retourné et a dit: «Je n’ai jamais trouvé une foi pareille en Israël.» Voyez?
Maintenant, c’est là que j’essaie d’amener les gens, à croire.
57 Vous savez, beaucoup de gens disent: «Oh! gloire à Dieu. Frère Untel m’a imposé les mains, alléluia! Je suis guéri!» Cela donne en quelque sorte l’impression que le frère a eu quelque chose à voir à faire avec cela. Voyez?
58 Eh bien, si vous pouvez tout simplement reconnaître la Présence de Jésus-Christ, voyez, et laisser... Ce sont Ses mains à Lui qui comptent, voyez. Et acceptez-Le tout simplement, alors personne ne vous aura imposé les mains, sinon Christ. Voyez? Vous L’avez touché, et Ses mains à Lui vous ont touché. Voyez. Et personne n’en tire gloire quelque part. C’est toute la gloire... En effet, c’est tout ce qui peut être fait de toute façon. Si nous en tirons une gloire, nous sommes en train d’usurper la gloire de Dieu, parce que Dieu est Celui qui guérit.
59 Et souvenez-vous, il n’y a aucun–aucun homme, que ce soit un médecin ou un ministre, qui soit un guérisseur. «Je suis l’Eternel ton Dieu qui guéris toutes tes maladies», vous voyez, «toutes». Aucun médicament ne guérit. Il n’y a aucun médecin qui prétend que les médicaments guérissent. Non, non. Les médicaments gardent seulement l’endroit pur pendant que Dieu guérit. Les médicaments ne peuvent pas reconstituer les tissus, ils ne peuvent pas réparer un os. Vous voyez? Vous pourriez faire l’incision de l’appendice, mais qui va guérir l’endroit d’où cela a été ôté? Voyez? On peut arracher une dent, mais qui va guérir l’endroit d’où la dent a été arrachée? Vous voyez, vous voyez cela? C’est Dieu qui est le Guérisseur. Il est l’unique Guérisseur. Les Ecritures ne mentent pas; Elles sont parfaitement justes. C’est donc Lui qui est le Guérisseur.
60 Je suis très reconnaissant pour toutes les–les choses que nous avons, comme des médicaments auxquels nous pouvons penser, qui tuent les microbes. Je n’ai rien contre cela. Je prie constamment pour cela. Mais nous en arrivons au point où nous n’avons aucun médicament pour aider certains cas. Et puis autre chose, parfois, un médicament qui peut aider une personne tuera l’autre. Vous voyez?
61 Mais je connais une Toxine qui n’est absolument pas un remède, mais une cure, c’est le Sang de Jésus-Christ. La foi dans ce Sang!
62 Maintenant, ce soir, oh! nous–je... Est-ce que Billy... J’ai oublié de le lui demander. Je suis entré ici précipitamment. Est-ce qu’il–il a distribué les cartes de prière? Est-ce qu’il l’a fait ou pas?» [Quelqu’un dit: «Oui, on en a distribué.»–N.D.E] S’il ne l’avait pas fait, j’allais lui demander de le faire maintenant. Nous allons tout simplement parler un petit peu sur la foi; et ensuite–ensuite nous allons continuer et appeler cette ligne de prière, et prier pour les malades, en leur imposant les mains; on essayera de prendre toutes les personnes que nous pouvons dans le bâtiment. Eh bien, ayez la foi maintenant.
63 J’aimerais que vous puissiez m’accorder toute votre attention, juste pour quelques instants, pendant que je vais lire cette Parole. Et maintenant, j’aimerais lire dans l’Evangile de saint Matthieu, verset 15, ou plutôt chapitre 15, à partir du verset 21. Et ceci n’est pas tellement un passage des Ecritures trop long à lire, vous voyez, c’est un tout petit passage. Mais, vous savez, c’est la–ce n’est pas le–le... Il ne s’agit pas de la longueur. C’est la qualité qui compte. Non pas la quantité; mais la qualité! Voyez, là, dans ces quelques versets là, il y a assez de quoi sauver le monde entier. Certainement. Voyez, ce n’est pas–ce n’est pas la taille de la chose, il s’agit de ce que la chose est.
64 Il y a quelque temps, je racontais l’histoire d’un–un petit garçon.
(Je pense que c’était dans cet Etat.) Un garçon qui était en train de fouiller dans un vieux grenier, et qui a trouvé un–un vieux timbre-poste. Et–et il connaissait un collectionneur de timbres; ainsi il–il a amené le timbre-poste là pour savoir combien ça valait. Et le collectionneur des timbres a dit... Oh! bien sûr que le petit garçon avait à l’esprit une crème glacée, vous savez. Il lui a dit: «Je vais–je vais te donner un dollar pour cela.» Eh bien, oh! la la! c’était... Et le marché a été conclu dans l’immédiat. Je pense que le collectionneur l’avait vendu à environ... je pense que c’était à cinq cents dollars; et cela est allé jusqu’à... la dernière fois nous avons appris... Je ne me rappelle plus combien de centaines de dollars ç’a coûté. Vous voyez, le vieux petit timbre, ce qui comptait ce n’était pas le papier, ce n’était qu’un vieux morceau de papier qui ne valait même pas la peine d’être ramassé. Mais ce qui comptait, c’était ce qui était écrit dessus.
65 Il en est de même de Ceci. Ceci n’est qu’un morceau de papier, mais ce qu’il y a dessus, c’est la Parole du Seigneur, et c’est ce qui le rend si précieux. Bien, verset 21.
Jésus, étant parti de là, se retira dans le territoire de Tyr et de Sidon.
Et voici, une femme cananéenne, qui venait de ces contrées, lui cria: Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David! Ma fille est cruellement tourmentée par le démon.
Il ne lui répondit pas un mot, et Ses disciples s’approchèrent, et lui dire avec instance: Renvoie-la, car elle crie derrière nous.
Il répondit: Je n’ai été envoyé–Je n’ai été envoyé qu’aux–qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. Mais elle vint se prosterner devant Lui, disant: Seigneur, secours-moi! Il répondit: Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux chiens.
Oui, Seigneur, dit-elle, mais les chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Alors Jésus lui dit: femme, ta foi est grande; qu’il te soit fait comme tu veux. Et, à l’heure même, sa fille fut guérie.
66 Maintenant, juste pendant quelques instants, de façon à faire un... à bâtir sur ceci, j’aimerais prendre un sujet pour parler sur ce que j’ai écrit ici concernant ces Ecritures. J’aimerais intituler cela Persé-... le mot Persévérant, juste un seul mot.
67 Persévérant, maintenant nous connaissons ce mot; je pense qu’il signifie «persister», et persister dans quelque chose que vous faites. En vous fixant un idéal ou quelque chose, vous devez persister.
68 Et dans tous les âges, les hommes qui ont eu la foi dans ce qu’ils essayaient d’accomplir, ont dû persister, surtout si on essaie de faire quelque chose de juste. Parce que, vous allez rencontrer–vous allez rencontrer l’opposition.
69 Ce soir, vous, pour qui on va prier, je vous dis ceci pour votre gloire, pour votre compréhension. Si vous n’êtes pas prêts à venir dans la ligne de prière, ne venez pas. Vous voyez? En effet, vous devez vous souvenir que ceci est le temps où Dieu va vous prendre au mot, et il vous faut Le prendre au mot, Lui. Et ce que quelqu’un d’autre dit importe peu, ou comment vous vous sentez, vos sentiments n’ont rien à faire avec la chose. Jésus n’a jamais dit: «Avez-vous senti cela?» Il disait: «Avez-vous cru cela?» Voyez, vous devez croire cela. Et votre guérison est déjà acquise. Jésus-Christ vous a guéri au Calvaire. Et peu importe ce qu’est votre problème, vous devez accepter cela, et avant d’accepter cela, il vous faut croire cela. En effet, la foi est basée... ou plutôt la guérison est basée sur la foi, et la foi est basée sur la Parole.
70 Eh bien, vous ne pouvez pas dire: «Si je touche ce microphone, je serai guéri.» Il–il n’y a aucune base à cela, voyez. Ça, c’est dans votre esprit.
71 Mais lorsque c’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, alors vous pouvez être sûr que la chose est vraie, parce que: «Tous les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne sera jamais changée.» C’est donc vrai.
72 Maintenant, il vous faut persister. Peu importe combien le diable essaie de vous dire: «Eh bien, tu te sens malade.» N’en croyez pas une seule parole!
73 Il n’y a pas longtemps, on m’a appelé à un chevet. On est allé me prendre d’une réunion et on m’a appelé pour aller au chevet d’un–d’un jeune homme qui était mourant. Et le vieux père est venu à moi, ça fait environ quinze ans, je pense, et il a dit: «Voudriez-vous venir auprès de mon fils, il est–il est mourant d’une–d’une chose terrible!» C’est une–une maladie du coeur, j’appelle... Je pense qu’on appelle cela une sorte de–de maladie du coeur, je ne me rappelle plus comment on appelle cela maintenant, mais c’était très très grave. Et ainsi j’ai dit: «Oui.»
74 Oh! je vous demande pardon, cela a atteint son coeur, mais c’est de la polio que souffrait ce garçon. C’était la polio. Et c’était avant qu’on mette au point le vaccin de Salk. Et alors le garçon était sérieusement malade. Et ainsi, lorsque je suis allé pour prier, le médecin ne voulait pas me laisser entrer. Et il a dit: «Je ne peux pas vous laisser entrer.»
75 Et j’ai: «Eh bien, je suis...» J’avais environ quarante ans, et j’ai dit: «Eh bien, j’ai quarante ans.» J’ai dit que je... «Ma foi me dit que c’est tout à fait en ordre que j’aille prier pour le fils de cet homme, parce qu’il veut que–que j’aille prier pour lui.»
76 Il a dit: «Mais écoutez, a-t-il dit, vous êtes un homme marié. Vous avez un enfant. Vous allez amener à votre fils cette polio.»
Et j’ai dit: «Eh bien, laissez-moi entrer.» Il ne voulait pas me le permettre.
77 Et cet homme lui-même, le médecin, si je comprends bien, était un catholique. J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. Si j’étais un prêtre, et que cet homme était un catholique, et que ce jeune homme était à l’article de la mort, m’auriez-vous permis d’aller donner l’extrême action?»
Il a dit: «Ça, c’est différent. Il s’agit là d’un prêtre.»
78 J’ai dit: «Non. Je représente pour ces gens exactement ce qu’un prêtre représente pour cet homme qui serait un catholique.»
Et finalement il a dit: «A condition que vous signiez ce papier.»
79 J’ai dit: «Je signerai tout, voyez.» Et ainsi, il m’a habillé comme un Ku–Klux, et je–je suis entré là. Je ne voulais pas dire la chose de cette façon-là; pardonnez-moi, voyez; mais de toute façon, en blanc, tout mon visage était couvert.
80 Et je suis entré là, et le jeune homme avait une tension si basse qu’il respirait à peine. Et ça faisait environ deux jours qu’il était inconscient. Et je ne comprends pas la médecine et les grandes réalisations scientifiques que Dieu a permis aux hommes d’accomplir; les médecins pour les malades et ainsi de suite, mais il y a une espèce de–de cardiogramme, quelque chose qu’on avait pris. Son pouls avait tellement baissé, j’oublie combien de fois son coeur battait par minute. Son coeur avait presque cessé de battre. Et la maman se tenait donc là, et je lui ai parlé. Et ainsi, je suis allé de l’autre côté du lit. Et la petite infirmière, oh! une gentille petite dame, elle, je pense qu’elle était au début de la vingtaine, peut-être, elle avait vingt et un ou vingt-deux ans, c’était elle l’infirmière qui était attachée au... ou qui devait prendre soin du patient.
81 Et ainsi, je suis passé de l’autre côté du lit, et je me suis agenouillé, et je... une simple petite prière, et j’ai imposé les mains au–au jeune homme. J’ai dit: «Seigneur Jésus, ce père et cette mère m’ont fait venir ici pour que je prie pour leur fils, et il est agonisant. Seul Toi, Seigneur, peux l’aider. Et je sais que Tu as dit: ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.’ Je viens intercéder auprès de Toi sur base de cette promesse, Seigneur Jésus, en faveur de la vie de ce garçon.» Il n’y a pas eu de changement du tout. J’ai dit: «Merci, Seigneur.»
82 Et le vieux père s’est levé et a dit: «Seigneur, je Te suis très reconnaissant, très reconnaissant, pour avoir guéri mon fils.» Et il a étendu la main et la mère de l’enfant s’est jetée dans ses bras, et elle a dit: «Papa, penses-y, il va se rétablir maintenant.» Et je me suis levé et j’ai regardé, et ils étaient contents, ils se réjouissaient et pleuraient. La tension du garçon était toujours aussi basse que possible. Ils ont dit: «Oh! c’est merveilleux!»
83 Et la petite infirmière a regardé autour d’elle, et elle m’a regardé. Elle a dit: «Je–je crois que vous comprenez mal les ordres du médecin.» Elle a dit: «Je crois que vous comprenez mal. Le garçon est mourant.»
84 «Oh! s’est exclamé le vieil homme, non, il ne va pas mourir. Il va vivre.»
85 Et elle a donc dit: «Ecoutez, monsieur, a-t-elle dit, je–j’apprécie quiconque a une foi comme celle-la, mais, a-t-elle continué, comment pouvez-vous rire et continuer comme cela, a-t-elle poursuivi, et vous voyez qu’il n’y a aucun changement chez le garçon.» Et elle a ajouté: «Le jeune homme va mourir.» Elle a dit: «Il ne peut pas vivre. Eh bien, nous ne comprenons pas comment il est en vie jusqu’à présent.» Elle a dit: «Jamais on a connu un tel cas dans–chez les malades, ou plutôt dans la science, qu’une personne ait jamais connu une tension aussi basse, avec un pouls comme celui-là», d’après une sorte de cardiogramme, quelque chose du genre, «et qui soit revenue à la vie».
86 Et je n’oublierai jamais ce vieil homme. Il a mis ses mains sur les épaules de l’infirmière, juste comme un père le ferait à sa fille, et il a dit: «Ecoute, ma chère enfant.» Il a dit: «Ce cardiogramme, c’est ce que vous regardez. C’est ce qu’on vous a appris à regarder et c’est tout ce que vous connaissez à ce sujet, ce cardiogramme. Mais, a-t-il poursuivi, moi je regarde à une promesse divine.» Voyez?
87 Ce jeune homme est marié et il a trois enfants maintenant. Cela dépend de ce que vous regardez. Pendant deux ou trois jours sa situation ne s’était pas améliorée. Mais quelque temps après, la première chose, vous savez, il s’en est tiré, et il est rentré chez lui. Pour le moment, il est missionnaire en Afrique du Sud et il a trois enfants.
88 Eh bien, voyez, ceci montre que vous devez persister. Cela n’avait point inquiété ce vieil homme. Le cas a été réglé.
89 C’est juste comme lorsque cette femme a touché le vêtement de Jésus-Christ, la situation était réglée. C’est tout. Elle–elle a persisté jusqu’à ce qu’elle est arrivée là, et le cas était réglé.
90 Vous devez vous comporter de la même façon. Vous devez persister. Et quiconque a jamais reçu quelque chose, et qui a jamais été en mesure d’accomplir quelque chose, a été persévérant.
91 George Washington a persisté à Valley Forge. Il n’avait pratiquement pas la chance de vaincre; et le–l’ennemi était de l’autre côté du fleuve. Mais après avoir passé toute la nuit dans la prière... Et les soldats américains, nus pieds; (environ un tiers parmi eux portaient des chaussures) ont traversé le fleuve à Valley Forge, à travers la glace. Et trois balles d’un mousquet ont transpercé son manteau. Mais il avait une réponse venant de Dieu, et il ne devait pas battre en retraite. Rien ne pouvait l’arrêter à ce moment-là. Il a fait la traversée parce qu’il a persisté. Il avait entendu Dieu lui parler.
92 Et c’est ainsi que nous devons être. Si Dieu dit une chose, cela règle la question.
93 Noé était très persévérant après avoir entendu Dieu lui parler. Lorsqu’il a entendu la Parole de Dieu lui dire de construire une arche, il l’a construite. Peu importe ce que quelqu’un d’autre disait à ce sujet, et ce que quelqu’un d’autre pensait à ce sujet, Noé persistait. Peut-être que les gens disaient: «Eh bien, ce vieil homme, avec cette histoire de pluie», et ainsi de suite, «ce vieil homme est resté là-haut sous le soleil pendant trop longtemps. Il a quelque chose qui cloche.» Cela ne l’a pas du tout arrêté. Il n’a fait attention à aucune parole de cela. Il entendait seulement ce que Dieu avait dit: «Il va pleuvoir; construis une arche», et il a persisté en faisant cela.
94 Eh bien, Moise a vraiment persisté; d’abord, il était un poltron de fugitif. Il avait été instruit; et oh! il a pu même enseigner la sagesse aux Egyptiens. Il était très intelligent, mais cependant, il a manqué à son devoir, il a fallu quarante ans pour qu’il acquiert l’instruction que Pharaon lui a donnée; il a fallu à Dieu quarante ans pour ôter cela de lui, avant qu’Il puisse l’utiliser là-bas au désert. Et parfois, il faut être vidé avant d’être rempli. Et maintenant il a échoué. Et il a fui et il est allé épouser cette belle fille éthiopienne, et était–et s’est installé là, et il a eu un fils, Guerschom, et il allait hériter des brebis de Jéthro et tout. Il avait depuis longtemps oublié ce que ressentait le peuple.
95 Mais un jour, pendant qu’il était derrière le désert, en train de voyager, suivant un vieux sentier familier, il a vu un buisson ardent. Eh bien, il n’a point essayé d’examiner le buisson, disant: «Je pense qu’il me faut aller là-bas arracher quelques feuilles, et amener cela au laboratoire pour voir ce qui se passe, ce qui fait qu’elles ne se consument pas. Et elles brûlent là depuis une heure, mais elles ne–elles ne semblent pas... L’arbre ne semble pas se consumer.» S’il avait eu une telle pensée, la Voix ne lui aurait point parlé. Mais il s’est approché avec cette pensée dans son coeur, d’aller découvrir ce qu’il y avait. Et une Voix lui a dit: «Ôte tes souliers, car tu es sur une terre sainte.»
96 J’aimerais que vous remarquiez ceci. Un jour, il était un poltron de fugitif, et le jour suivant le voilà un–un radical, le jour suivant; lorsqu’il a quitté l’Egypte, alors qu’il avait toute l’armée dans ses mains, pour délivrer le peuple... Et, vous savez, lorsque vous entendez la Voix de Dieu, Elle vous fait agir de façon étrange, vous fait faire des choses drôles, bizarres et particulières. Eh bien, pensez-y tout simplement; maintenant il a quatre-vingt ans, probablement avec une barbe qui pend jusqu’à la taille; peut-être que sa tête chauve brillait, avec un cou recouvert de barbe. Et le voilà en route vers l’Egypte, avec sa femme assise à califourchon sur un petit mulet, et son bébé à la hanche; un bâton recourbé à la main, les yeux levés, louant Dieu. Quel spectacle étrange.
- Où vas-tu, Moise?- Nous descendons en Egypte, pour faire une invasion.
97 Une invasion par une seule personne! Vous n’auriez pas pu l’arrêter. Il persistait. Pourquoi? Il avait entendu la Voix de Dieu, c’était suffisant pour qu’il persiste. Un vieil homme de quatre-vingts ans, qui s’en allait envahir une nation, et il l’a fait. Il avait entendu la Voix de Dieu. Comment va-t-il faire la conquête avec ce bâton dans sa main? Une armée bien formée, avec un million d’hommes se tenait là, plus d’un million d’hommes, qui avaient conquis le monde à l’époque; et voici un vieil homme qui descend là, âgé de quatre-vingts ans, avec sa femme assise sur un mulet, un bâton à la main, il descend là pour envahir cette nation. Eh bien, les gens auraient pensé qu’il était fou.
98 Vous savez, lorsque vous entendez la Voix de Dieu, et que vous entendez la Parole de Dieu, vous êtes en quelque sorte fou aux yeux du monde. Mais si vous entendez la Voix, vous êtes sûr de ce que vous faites.
99 Et rien n’allait arrêter Moïse à ce moment-là, il s’est mis en route! Il avait vraiment persisté, même lorsque Pharaon... Il s’est tenu devant lui, a jeté à terre le bâton qui s’est changé en serpent, les magiciens sont venus et ont pu faire la même chose, Moïse n’a pas fui comme un poltron. Il s’est tenu là. Il savait que c’est Dieu qui l’avait envoyé, peu importe combien d’imitateurs charnels le diable pouvait amener sur scène. Il est resté à son poste du devoir, parce qu’il avait entendu la Voix de Dieu. Il est tout simplement resté là et il a observé les serpents ramper, et quelque temps après, son serpent s’est avancé là et a dévoré les autres serpents. Qu’est-il arrivé à ces bâtons que le serpent de Moïse avait mangés, où sont-ils partis? Imaginez-vous cela un peu. Très bien.
100 David, après qu’il s’est confié en Dieu et qu’il a vu l’Eternel Dieu être avec lui, l’Eternel qui l’avait aidé à tuer tout seul un ours, et un lion aussi... Et alors, il a pris courage parce que Dieu était avec lui. Il savait que Dieu était avec lui parce que Dieu avait accompli quelque chose pour lui.
101 Dieu a accompli quelque chose pour vous. Il vous a sauvé, c’est le plus grand miracle qui soit.
102 Eh bien, Il est prêt à faire quelque chose d’autre. Et le temps est arrivé ou Goliath a fait sa fanfaronnade. Eh bien, David a dit: «Vous voulez dire que–que vous allez laisser cet incirconcis de Philistin se tenir là et défier l’armée du Dieu vivant? Qu’est-ce qui se passe avec vous, mes amis?»
103 Eh bien, Saul était l’homme le plus apte parmi eux, il dépassait tous d’une tête dans son armée. Et ce David n’était qu’un petit avorton, un tout petit garçon, blond, une espèce de–de petit garçon, au dos voûté, un petit–un petit gardien des brebis. Et ainsi Saul a dit: «J’admire ton courage, mon fils. Mais, souviens-toi que cet homme est un guerrier depuis sa jeunesse, et tu n’es qu’un petit enfant.»
104 David a dit: «Mais un jour ton serviteur était en train de garder les brebis de ton serviteur, un ours est entré et en a attrapé une. Je l’ai poursuivi et le Seigneur l’a livré dans mes mains.» Il a dit: «Un lion est allé et, a-t-il poursuivi, je l’ai terrassé avec ma fronde. Et lorsqu’il s’est relevé pour m’attaquer en rugissant, j’ai pris mon couteau et je l’ai saisi par la barbe et je l’ai tué.» Et il a dit: «A combien plus forte raison le Seigneur Dieu va-t-Il livrer cet incirconcis de Philistin dans ma main!» Amen.
105 Et si Dieu a sauvé votre âme d’une vie de péché, à combien plus forte raison peut-Il ôter ce cancer!
106 Remarquez le petit David. Saul a dit: «J’admire ton courage, mais tu n’es pas un combattant. Mais si tu veux aller, je vais te revêtir d’une armure», ainsi, il a enlevé son armure et il l’en a revêtu.
107 Eh bien, le petit David avec tout ce doctorat d’Etat et ce doctorat en théologie qu’on lui a attaché, eh bien, il a vu que la veste ecclésiastique de Saul ne convenait pas à un homme de Dieu. Ainsi il a dit: «Je n’ai jamais éprouvé cette histoire, ôtez-la de moi. Laissez-moi aller comme je le veux, avec ce que je sais être juste.» Oh! la la! et le voilà parti. Il a persisté, sachant qu’il battrait Goliath, et il l’a fait. Et il l’a égorgé.
108 Je pense à ses brebis. David était là, un homme très loyal à son poste du devoir. Et ce lion qui aurait pu le tuer sans difficulté, est entré et a attrapé l’une des brebis de son père, et est sorti. Et il n’avait vraiment rien pour lutter contre ce lion si ce n’est une petite fronde.
109 Vous les jeunes gens vous le savez. Combien de fois j’ai dû payer pour une fenêtre... Un petit morceau de cuir, avec un fil, vous savez, et il y a placé ce caillou et il a lancé cela. Et autrefois, nous faisions tomber ces vieux serpents de la clôture, et d’autres petites bêtes, et–et nous lancions cela à l’aide de ces frondes.
110 C’est tout ce que David avait, c’est à peine s’il pouvait tuer un lapin. Mais nous voyons que David, peu importe ce qu’il avait à la main; ce n’était pas grand chose, mais il avait le courage. Et il savait que c’était les brebis de son père. Et il était–il était envoyé par son père, pour prendre soin de ces brebis. Et il était responsable de ces brebis. Et maintenant, il a pris ce qu’il avait dans sa main, et il s’est engagé pour arracher cette brebis, avec persévérance, déterminé à l’arracher des griffes de ce lion.
111 Avez-vous déjà vu un lion, à quoi il ressemble? Vous avez vu ces lions-ci qui sont dans la cage; eh bien, ce sont–ce sont des chatons. Vous devriez entendre l’un de ces lions de la jungle. Ceux qu’on a par ici, ils ont été dans la cage, en captivité; lorsque vous entendez l’un d’eux rugir, son rugissement et piètre. Vous devriez entendre l’un de ces lions de la jungle, allez le chasser et vous saurez que lui aussi est en train de vous chasser. Alors, oh! la la, c’est un grand gaillard! Lorsqu’il rugit, les coléoptères, les singes, les babouins, les chacals et toutes les autres bêtes s’arrêtent. Il est roi, et ils lui laissent la place.
112 Mais voici que David s’en va avec cette petite fronde, pour ramener cette brebis, et il l’a fait.
113 Oh! la la! comme je pourrais tirer un sujet là-dessus pendant quelques minutes. Oui, oui. Vous êtes les brebis de Dieu, vous aussi. La maladie s’est saisie de vous. Je n’ai pas grand chose, pas–pas même une fronde, mais j’ai la Parole. Je cours après vous ce soir pour vous ramener. Je viens pour vous délivrer avec la Parole du Seigneur. Je ne connais rien de la médecine et des opérations faites au moyen des bistouris, et tout, mais j’ai éprouvé Ceci. Je sais que Ceci est la Vérité, ainsi je viens après vous, vous les brebis, pour vous ramener une fois de plus dans les verts pâturages ombrageux de l’amour de Dieu. Ô Dieu, aide-moi avec cette petite fronde.
114 David avait enroulé cela autour de–autour de ses doigts, et il avait cinq pierres dans sa main. Qu’était-ce? La f-o-i [en anglais F-a-i-t-h–N.D.T.] en J-é-s-u-s. Et le voici venir, ramenant la brebis.
115 Eh bien, c’est ainsi que nous y allons ce soir, en ayant la foi en Jésus; et avec persévérance nous allons nous tenir sur Sa Parole pure. Et nous croyons que Dieu tiendra Sa Parole. S’Il ne le fait pas, alors nous sommes tous perdu. Chaque Parole de Dieu est ponctuée d’un «Amen.» pour les croyants. C’est vrai. Oui, il a persisté.
116 Et Samson aussi, lorsqu’il a rencontré ce Philistin, y avez-vous déjà pensé? Eh bien, Samson, on se le représente comme un homme aux épaules pareilles au portail d’une grange. Eh bien, ç’a n’aurait pas été un–un mystère, de voir un homme de ce genre-là soulever un lion, et le déchirer en deux. Mais Samson était un... Pardonnez-moi cette expression; je dirais tout simplement qu’il était une espèce de petit gringalet aux cheveux bouclés, juste un petit garçon à maman, ayant sept petites boucles [des cheveux] qui pendaient, un genre de petit efféminé. Vous voyez? Ce que... Et vous vous rappelez, il était un homme faible sauf quand l’Esprit du Seigneur est venu sur lui, alors il a attrapé le lion et l’a déchiré en morceaux. C’est vrai. Premièrement, l’Esprit du Seigneur venait sur lui, ensuite il savait où il se tenait.
117 Et si l’église peut seulement être ointe, ointe de la véritable foi! Lorsque ce lion a rugi, je pense que Samson a tremblé. Mais l’Esprit du Seigneur est venu sur lui. Il a persisté, il a dit: «Je suis prêt à t’affronter», il a saisi ce lion, il l’a déchiré et l’a jeté d’un côté et a continué sa marche.
118 Il a été enfermé dans une clôture, une nuit. Et il a arraché les portes de Gaza, les a mises sur ses épaules, et il les a transportées jusqu’au sommet de la colline. Oh! la la! Quel homme! Un petit gringalet comme lui. Mais, ce qu’il en était, c’est que l’Esprit du Seigneur était sur lui. Il était... C’est ce qui faisait la différence.
119 Et puis un jour, mille philistins l’ont entouré. Et il était là, n’ayant rien sur lui; il a donc ramassé la mâchoire d’un mulet, qui était probablement mort depuis quarante ans ou plus; et c’était vraiment un vieil os desséché. Et ces philistins portaient des casques et des cottes de mailles comme on les appelle, de très larges recouvrements d’acier ou d’airain; un casque avait environ un pouce d’épaisseur. Et il a ramassé cette mâchoire de mulet, et a tué mille philistins.
120 Y avez-vous déjà pensé? Ramassez cette vieille mâchoire sèche là au désert et cognez l’un de ces casques, eh bien, cette mâchoire volerait en mille morceaux. Mais il s’est tenu là, au milieu de ces casques d’acier et des lances, il les a frappés à gauche et à droite, jusqu’à ce qu’il en a abattu mille. Et les autres se sont sauvés vers les rochers.
121 Qu’était-ce? Tant qu’il pouvait mettre la main là et sentir ces sept tresses, c’était là l’alliance de Dieu, rien n’allait l’inquiéter tant qu’il avait cette promesse de l’alliance.
122 Et rien ne peut inquiéter l’Eglise du Dieu vivant tant que nous pouvons sentir ce Saint-Esprit, l’alliance de la Parole de Dieu dans nos coeurs, la bénédiction de la Pentecôte. «Car les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. La Vie qui est en Moi, sera en vous. Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi, Je vous envoie.» Le Père qui L’a envoyé est entré en Lui. Le Jésus qui envoie l’homme entre dans l’homme. Il ne s’agit pas de l’homme; il s’agit de Jésus. Ce n’était pas Jésus, c’était Dieu. «Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie. Voici, Je suis tous les jours avec vous jusqu’à la consommation. Je serai avec vous, jusqu’à la fin du monde. Et les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Et encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus; mais vous vous Me verrez, les croyants, car Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde», Jésus-Christ. Tant que je peux sentir cet Esprit de Dieu tout autour, quelque chose va se produire. Je vois que les gens qui croiront cela, qui refléteront les louanges de la gloire de Dieu.
123 Chaque fois que vous regardez la lune, ce n’est pas la lune qui brille, c’est le soleil qui brille en se reflétant sur la lune. Si je pouvais lui poser cette question: «Toi, lune, qu’est-ce qui te fait briller?» Elle répondrait: «Ce n’est pas moi qui brille. C’est quelque chose qui reflète sa lumière sur moi. Je suis censée toujours refléter la lumière en l’absence du soleil.»
124 Et l’église est le type de la lune. Nous sommes censés refléter la Lumière en l’absence du Fils de Dieu, parce que nous sommes les fils et les filles de Dieu, une Lumière plus petite, et tant que nous pouvons voir cette Lune refléter la même sorte de Lumière que le soleil. Oh! il ne s’agit pas–il ne s’agit pas du peuple, il s’agit de Dieu dans le peuple.
125 Autrefois, lorsque j’avais l’habitude de... J’étais garde-chasse pendant plusieurs années. J’aime les animaux, et je–j’aime prendre soin d’eux. Ainsi, je–j’ai été un agent de la protection de l’environnement pendant sept ans. J’avais l’habitude de passer près d’un vieux ruisseau. C’était le meilleur ruisseau auquel j’aie jamais bu. Et je l’aimais toujours parce qu’il était si joyeux, il bouillonnait toujours et il bouillonnait continuellement. Et je me suis dit: «Oh! la la! je me suis baissé là pour boire.» Un jour, je pensais: «Petit ruisseau, qu’est-ce qui te rend si heureux? Est-ce parce que les lapins boivent de ton eau?»
126 S’il pouvait parler, il dirait: «Non, ce n’est pas ce qui me fait bouillonner.»
127 Et moi, je dirais: «Peut-être qu’une biche boit de ton eau de temps en temps.»
- Non, ce n’est pas ce qui me fait bouillonner.
128 Eh bien, je dirais: «Peut-être c’est parce que moi je bois de ton eau une fois par mois.»
129 Il dirait: «Non, ce n’est pas ça.» Et moi je dirais: «Eh bien, qu’est-ce qui te fait bouillonner comme cela tout le temps?»
130 S’il pouvait parler, il dirait: «Ce n’est pas moi qui bouillonne. C’est quelque chose derrière moi, qui me fait bouillonner. C’est cela qui bouillonne.»
131 Et c’est ainsi que le Saint-Esprit agit vis-à-vis du croyant. Il y a quelque chose derrière vous. Vous ne pouvez pas pousser Cela, déchirer Cela. C’est cette Chose qui prend soin de vous. C’est la chose qui bouillonne, Quelque Chose au-dedans de vous. C’est comme Jésus l’a dit à la femme au puits: «Une source d’eau bouillonnera jusque dans la Vie Eternelle», des geysers constants faisant jaillir les joies de Dieu dans votre âme, tout le temps. Et tant que l’église peut sentir cela autour d’elle. De quoi–de quoi avez-vous peur, voyez?
132 Samson n’avait pas peur. Il avait persisté. Tout ce qu’il avait, c’était une–une mâchoire de mulet, mais il avait persisté parce qu’il savait que ses tresses pendaient toujours là.
133 Il est possible que le médecin vous ait dit: «Vous n’avez aucune chance de guérir. Vous allez mourir. Vous avez le cancer.» Mais tant que vous pouvez vous asseoir ici et sentir la glorieuse résurrection de Jésus-Christ, qu’est-ce que ce que le docteur dit change? Qu’est-ce que ça change? Voyez, soyez persévérant. Il vous apprécierait si c’est un bon médecin, il vous dirait qu’il aimerait que vous soyez guéri. C’est ce que–c’est ce qu’il souhaiterait pour vous. Et il vous faut être guéri; pour avoir la foi, vous devez être persévérant.
134 Jean était très sûr qu’il verrait le vrai signe! Il–il savait que Dieu lui avait dit qu’il saurait qui serait le Messie. Il a vraiment persisté.
135 Et peut-être que quelqu’un a dit: «Eh bien, ne pensez-vous pas que c’est bien Lui?»
136 Il a dit: «Je Le reconnaîtrai lorsqu’Il viendra.» Il était tellement sûr qu’il a dit: «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde.» Il savait bien que c’était Lui. Il a témoigné de cela. «J’ai vu l’Esprit de Dieu descendre du ciel sur Lui comme une colombe, et je sais que c’est le Fils de Dieu.» Persévérant. Oh, nous pourrions continuer sans cesse avec les personnages.
137 Cette petite femme, c’était une Grecque venue de la contrée syro-phénicienne, et nous voyons qu’elle doit avoir entendu parler de la louange et de la gloire du Seigneur Jésus. «La foi vient de ce que l’on entend, et de ce que l’on entend de la Parole de Dieu.» Elle avait entendu, et lorsqu’elle a entendu...
138 Vous savez, la foi trouve des sources que d’autres ne voient pas. Eh bien, si vous n’avez pas la foi, eh bien, alors, ça ne sert à rien d’essayer de vous le montrer. En effet, c’est la foi qui peut voir cela. «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.» La foi voit ce que les gens aveugles ne voient pas. La foi, c’est le sixième sens. Les cinq sens sont bien tant qu’ils ne sont pas en désaccord avec le sixième. Mais le sixième sens c’est la foi: «C’est une ferme assurance des choses qu’on espère.» Vous ne voyez pas, vous ne goûtez pas, vous ne touchez pas, vous ne sentez pas l’odeur, ou vous n’entendez pas, et pourtant vous êtes sûr de la chose. C’est la foi qui vous le dit et elle est tellement sûre qu’elle est réelle, au point que cela devient pour vous une assurance. Pas une simple imagination. C’est quelque chose que vous avez.
139 Je vois les gens venir à l’estrade, disant: «Frère Branham, je suis plein de foi!»
«Eh bien, que faites-vous alors ici?» Voyez? Voyez? Voyez?
140 «Je n’en ai pas.» Et, mais là lorsque vous avez... Lorsque quelque chose...
141 Vous avez eu des choses qui devaient arriver, vous saviez tout simplement que cela allait arriver. Pourtant, vous ne saviez pas comment cela allait arriver, mais cela allait certainement arriver. Ce–c’est la foi. C’est la véritable foi. La chose va alors arriver lorsque vous savez que cela va arriver. Eh bien, la foi trouve une source que d’autres ne voient pas.
142 La Parole est une Epée. C’est la Bible qui le dit dans Hébreux 4.12, il est dit que c’est une Epée, mais il faut un bras de la foi pour manier cette Epée. Seule la foi peut le faire, tenir l’épée.
143 Cette petite femme a connu beaucoup d’obstacles. Eh bien, elle avait une fille qui était–qui souffrait de l’épilepsie, et elle était dans un état très très grave. Et elle avait appris que Jésus guérissait l’épilepsie. Or, «la foi vient de ce que l’on entend», et il s’agissait de son enfant à elle; aussi était-elle déterminée à–à se rendre quelque part pour entendre Jésus. Et maintenant, elle avait connu beaucoup d’obstacles, vraiment beaucoup beaucoup d’obstacles. Mais sa foi n’a connu aucun obstacle.
144 Ce soir, les gens ont beaucoup d’obstacles. Si vous... Votre esprit a beaucoup d’obstacles. Mais, votre foi, rien ne peut lui barrer la route. La foi ne connaît aucun obstacle.
145 Pensons à certaines choses qui étaient peut-être arrivées à cette petite femme. Peut-être qu’on lui avait dit: «Vous êtes une Grecque.» En d’autres termes: «Votre dénomination ne parraine pas cette série de réunions qui se déroulent là-bas. Vous n’avez aucun droit de vous rendre là.» Eh bien, si cela pouvait être dans son esprit, elle ne se serait pas assise pendant très longtemps de toute façon. Elle... Elle en aurait eu ras le bol, et elle serait partie. Mais nous voyons que cela ne l’avait pas arrêtée. Qu’elle soit une Grecque ou pas, elle avait la foi. Tout ce dont elle avait besoin, c’était la foi.
146 Eh bien, peut-être que quelqu’un était venu auprès d’elle et lui a dit: «Eh bien, le temps de miracles est passé. Ça n’existe plus. Ces gens ne sont qu’une bande de–de fanatiques.» Mais elle a malgré tout persisté. Elle tenait à y aller de toute façon.
147 Considérons une autre chose. Certaines personnes lui avaient peut-être dit: «Tu sais que ton mari est un–est un notable ici dans la ville, et si on te surprenait là-bas avec ce groupe-là, eh bien, ton mari va certainement t’abandonner.» Mais elle a néanmoins persisté. Elle avait la foi, elle avait un besoin, et elle devait l’utiliser.
148 Certaines personnes lui ont peut-être dit: «Eh bien, si tu te rends là à cette partie de cartes, ou peu importe la sorte d’amusement où vous allez, les gens se moqueront de vous. Elle persistait toujours.
149 Et alors, cette vieille chose lui est peut-être venue à l’esprit, disant: «Tu sais, le pasteur te chassera de l’église si tu te rends là et que tu t’associes à une chose de ce genre-là.» Mais cela ne l’a pas arrêtée, Elle persistait toujours. Elle y est partie de toute façon. Pourquoi? Elle avait touché la foi. La foi va accomplir la chose. Je me moque de ce que les autres pensent; la foi accomplit la chose.
150 Finalement, elle s’est frayé une voie et a franchi tous ces obstacles et elle est arrivée jusqu’à Jésus. Eh bien, apparemment, tout son problème était terminé du fait qu’elle était arrivée jusqu’auprès de Jésus; mais ce n’était pas le cas, ce n’était que le début.
151 Bien des gens peuvent dire: «Eh bien, si je connais Jésus...» Oui, nous voyons cela chaque soir. Voyez, Il vient effectivement au milieu de nous, chaque soir; Il confirme qu’Il est là Lui-même, mais toutefois, nous revenons le soir suivant avec tous nos problèmes une fois de plus, vous voyez. Voyez? Est-ce vrai? C’est donc vrai.
152 Elle est arrivée jusqu’auprès de Jésus. Peut-être, elle va peut-être... Si elle n’avait pas eu ce genre de foi au premier découragement après avoir rencontré Jésus, eh bien, elle aurait été... Elle se serait emportée, et serait retournée. Mais vous voyez, la foi ne fera pas cela. La foi ne lâchera pas prise. La foi est persistante. Elle tient ferme. Maintenant observez, elle avait toute la confiance et la foi dans cet Homme. Eh bien, si seulement elle s’était moquée de la Chose ou si elle disait simplement: «Je vais tenter ma chance, je verrai ce qu’Il va dire. S’Il dit quelque chose contre nos credos, nous allons–nous quitterons tout simplement. C’est tout.» Mais elle était venue pour recevoir quelque chose, et elle était déterminée à rester là jusqu’à ce qu’elle ait reçu la chose. Voilà! Voilà la personne qu’il faut! C’est comme la reine du Midi, nous avons prêché là-dessus l’autre soir.
153 Remarquez, lorsqu’elle est arrivée auprès de Jésus. Au lieu d’être bien accueillie, on l’a envoyée promener. Eh bien, lorsque vous... Que pensez-vous des gens d’aujourd’hui s’ils pouvaient arriver jusque-là et qu’on les traitait ainsi? Jésus a parlé à cette femme sans tarder. Après qu’elle avait franchi toutes ces barrières, et finalement...» [Espace vide sur la bande.–N.D.E.] elle a dit...
154 Elle est arrivée auprès de Lui. Elle s’était empressée d’aller auprès de Lui, pour L’adorer, et elle a dit: «Ô, Toi, Fils de David, aie pitié de moi, ma fille est tourmentée bien des fois par un démon. Et je sais que Tu es le grand Guérisseur, et je suis venu Te demander de m’aider.» Il n’a fait aucun cas d’elle. Il l’a regardée, et a continué à marcher. Oh! la la! elle valait un peu plus que notre Pentecôte moderne; oh! la la! d’un air dédaigneux, ils auraient rebroussé chemin, disant: «Je ne suis pas obligé de faire cela», mais pas cette femme. Elle avait la foi. Elle est restée juste là.
155 Eh bien, elle L’a encore suivi, disant: «Seigneur, ne puis-je pas recevoir ne fût-ce que...?» Et elle n’a pas considéré les choses par lesquelles elle était passée. Elle ne pensait pas aux choses qu’elle devrait endurer. L’unique chose qu’elle savait... Elle croyait que si elle pouvait Le persuader à accepter... C’est tout ce qu’elle voulait savoir, s’Il pouvait accepter. Elle savait que ç’a marché avec les autres, pourquoi cela ne marcherait-il pas avec sa propre fille?
156 Vous devez vous battre pour chaque centimètre du chemin. Dieu, là en Egypte, avait donné la Palestine aux Juifs, mais ils ont combattu pour chaque centimètre du chemin! Dieu a dit à Josué: «Tout lieu que foulera la plante de vos pieds, je vous le donne.» Les pas signifiaient la victoire, la possession; aussi longtemps que vous pouvez monter jusque dans le Royaume de Dieu. Si vous voulez tout simplement monter un peu et dire: «Eh bien, je crois que je ne dois peut-être pas aller en enfer, mais je crois que je serai sauvé à la fin, si j’adhère à l’église», vous n’avez pas encore gagné beaucoup de terrain. Or chaque promesse dans la Bible est vôtre, mais il vous faudra combattre chaque garde du diable et le chasser loin de cela, avec une épée à double tranchant, et revendiquer cela pour vous-même. Soyez persévérant, pénétrez là-dedans.
157 Elle était bien arrivée jusqu’auprès de Dieu Lui-même. Mais Dieu l’a ignorée. Et elle a couru après Lui en criant. Elle était persévérante. «Seigneur, viens à mon secours», a-t-elle dit. Elle L’a adoré, disant: «Viens à mon secours!» Ecoutez cette réprimande. «Je ne suis pas envoyé à votre race.» Oh! la la!
158 Alors beaucoup de gens ont dû se lever et ont dit: «Eh bien, je pense qu’Il n’a pas été envoyé vers nous. Ce réveil n’est pas pour nous. Je pense que je dois m’en aller.»
Voyez, Jésus savait que cette femme avait ce genre de foi. Vous voyez?
159 Et une autre chose, Il a dit: «Ta race n’est qu’une bande de chiens. Fiou! Oh!la la!
160 Ne parlez pas comme cela aux pentecôtistes modernes! M-m-m. Si vous dites cela, ils diront: «Eh bien, je vais tout simplement quitter cette bande de gens pour me joindre aux assemblées. Et si les assemblées me disent cela, j’irai chez les autres, et puis chez les autres et ainsi de suite. Vous voyez.»
Mais pas cette femme. Elle avait la foi.
161 Jésus a dit: «Ta... Je n’ai pas été envoyé auprès de vous. Je n’ai pas été envoyé à ta race. Et, en plus, vous n’êtes qu’une bande de chiens. Il n’est pas convenable que Je prenne ces pains des enfants, et que Je vous les jette à vous une bande de chiens.» Oh! la la!
162 Cela n’arrête pas la foi. La foi est toujours là. Elle est tout aussi fraîche qu’elle l’a toujours été. Qu’est-ce que la foi admet? La Vérité. Cette femme a dit: «C’est la Vérité, Seigneur.» Oh! la la! voyez combien vous pouvez devenir petit, pas combien vous pouvez devenir grand. La foi vous rend petit. Remarquez, elle était toujours persévérante.
163 Toutefois, Il n’a pas voulu faire cas d’elle. Il l’a ignorée. Et finalement elle s’est mise en travers de Son chemin et Il n’a pas pu se détourner d’elle, et alors Il lui a adressé la parole, disant: «Je n’ai pas été envoyé auprès de vous, ainsi qu’à ta–à ta race. Et ta race n’est rien qu’une bande de chiens. Et je ne vais pas prendre les pains des enfants, il n’est pas correct que je prenne les pains des enfants, la guérison pour ces gens, pour la donner à vous, les chiens.
Et elle a dit: «C’est la Vérité, Seigneur.»
164 La foi admettra toujours que la Parole est la Vérité. Amen. Vous voyez? Si vous avez la véritable foi et que la Bible vous dit que vous agissez mal, vous admettrez que vous avez tort. Vous ne direz pas: «Eh bien, attendez une minute là, je suis membre de...» Non, non, ça ce n’est pas la foi. Lorsque la Parole dit cela, que vous... C’est là que vous avez soit raison soit tort, cela est déterminé par la Parole. C’est vrai.
165 Eh bien, elle a dit... Non, non, cela... Il lui était tout simplement impossible de croire qu’elle devait s’arrêter à cause de cela, elle est donc partie. Et elle a dit: «C’est la vérité, Seigneur, nous ne sommes que des chiens, mais je demande seulement que je puisse obtenir tout simplement les miettes qui tombent de la table du maître.» Elle recherchait les miettes. Pensez-y.
166 Aujourd’hui, soit nous obtenons le pain tout entier soit nous n’aurons rien du tout. Voyez? Nous devons prendre le tout, sinon nous ne prendrons rien.
167 Elle avait toujours persévéré. Elle est carrément allée de l’avant. Elle n’était pas une plante de serre qui devait être dorlotée et pulvérisée pour être protégée contre les termites. Non, non. Elle n’était pas une de ces plantes hybrides comme la moisson moderne d’aujourd’hui, des gens qui se disent chrétiens. Lorsque la Parole de Dieu a dit cela, elle a cru cela; elle a vu cela être confirmé, elle était prête à suivre cela sans tenir compte de ce que quiconque disait. Même Christ Lui-même n’a pas pu l’arrêter. C’est ce que fait la foi. Oh! elle admet que la Parole est vraie. Elle recherchait les miettes.
168 Souvenez-vous, elle n’avait jamais vu un miracle. Elle était sortie d’une dénomination qui ne croyait pas aux miracles. Elle croyait, et elle est sortie d’une dénomination qui disait: «Les miracles n’existent pas.» Elle était une femme des nations. Elle n’avait jamais vu un miracle de sa vie. Mais pourtant lorsque la foi se saisit de la chose, Dieu est là. Voyez-vous? Elle n’avait jamais vu cela, mais elle en avait entendu parler.
169 Si vous ne croyez pas que les miracles existent, lisez la Bible et ses promesses pour nous aujourd’hui. Ma foi s’est emparée de la chose.
170 Elle était comme Rahab la prostituée. Lorsqu’elle avait appris [les nouvelles] par le truchement des espions, elle n’a pas cherché à voir Josué, voir comment il était habillé et quel genre de guerrier il était. Elle a dit: «J’ai appris que Dieu est avec vous. J’ai entendu parler de ce que Dieu a fait.» Elle voulait le salut et elle l’a obtenu; c’est vrai, parce qu’elle avait aussi persisté. Elle a dit: «Je vais vous cacher. Je ferai tout. Mais une chose, j’aimerais que vous me promettiez par serment que je serai épargnée pendant ce temps-là.» Oh! la la! c’est ça!
171 Et cette pauvre femme était du même genre. Elle–elle voulait... Elle savait qu’elle allait obtenir la chose. Elle n’avait pas de doute à ce sujet. Peu importe ce qu’elle devait endurer, elle allait obtenir la chose de toute façon. Et si Jésus n’a même pas pu l’amener à rebrousser chemin, en qualifiant sa race de mauvaise race, en la traitant elle, de chienne en disant qu’il n’était pas convenable de prendre les pains des enfants et d’en nourrir les chiens», et que sais-je encore comme cela. Mais elle continuait toujours à poursuivre la chose de toute façon, en effet, elle persistait. Elle avait un besoin, sa fille était mourante. D’autres avaient été guéris, pourquoi sa fille ne pouvait-elle donc pas être guérie? Et ça, c’était le Dieu de la création.
172 Jésus a dit: «A cause de cette parole, le démon a quitté ta fille.» Oh! la la! elle avait l’approche correcte vis-à-vis du don de Dieu.
173 Savez-vous que parfois Dieu fait des choses tout simplement pour–pour... Il fait des choses de façon contraire, tout simplement pour voir comment les gens vont réagir?» Eh bien, cela vous est passé par-dessus la tête, vous n’avez pas vu la chose et vous n’avez pas remarqué. Mais j’ai fait quelque chose tout à l’heure pour accomplir quelque chose. Et cela m’a donc aidé. Et j’ai vu cela marcher. Vous voyez, vous dites des choses, vous changez votre–votre–votre attitude, vous changez votre voix, parfois vous changez votre sermon; en observant et voyant certaines choses, alors vous observez et vous voyez comment cela agit. En effet, la ligne de prière va bientôt commencer, il serait mieux que cette chose ne se passe pas parmi vous. Vous voyez? Vous voyez, tout simplement pour voir cela arriver, alors vous changez vous-même et vous retournez encore quelque part. Voyez? Dieu a fait cette chose même. Il le fait toujours. Remarquez.
174 Elle avait l’approche correcte vis-à-vis du don de Dieu. Et souvenez-vous, elle était la première personne, parmi les gentils, sur qui Dieu a opéré un miracle. Elle était la première parmi les Gentils.
175 La foi admet que la Parole est la Vérité. Et elle est respectueuse, très respectueuse, et c’est ce qui... persévérante, et c’est ce qu’il en est.
176 Lorsque Marthe est allée à la rencontre de Jésus... Eh bien, s’il y a quelqu’un qui avait droit de condamner, ç’aurait été Marthe, parce qu’elle avait envoyé chercher Jésus pour qu’Il vienne prier pour son frère lorsque ce dernier était dans un état critique, à l’agonie, et Jésus... Ils avaient quitté l’église, ils étaient sortis du vieux mouvement mort dans lequel ils avaient été, et ils avaient suivi le Seigneur Jésus, et croyaient que c’était Lui le Messie oint. Et alors son véritable ami, Lazare, avec qui Il avait grandi... Et ils avaient été excommuniés de leur église et de la société. Et Son véritable ami avec qui Il avait grandi, était étendu là, malade, à l’article de la mort. Et le médecin ne pouvait rien faire pour lui.
177 Et elle avait envoyé chercher Jésus. Et Jésus a tout simplement ignoré son message. Et Il s’est rendu dans une autre ville, et Il a fait la même chose là-bas. On L’a encore envoyé chercher, mais Il a ignoré cela et Il a continué Son chemin.
178 Et puis, après que Lazare était mort, et qu’il avait été enterré depuis quatre jours... Son visage commençait déjà à s’affaisser, à ce moment-là, dans ce pays chaud. Et c’est le nez qui s’affaisse en premier, d’après ce qu’on m’a dit, et probablement que sa chair pourrissait déjà. En effet, après soixante-douze heures, la corruption s’installe dans le corps, et ainsi nous voyons...
179 Je dois aller ensevelir un homme dans quelques jours, le mercredi. Et il est mort mercredi passé; on l’a enfermé, et on m’attend là pour que j’aille prêcher à ses funérailles. Probablement, qu’on ne peut pas le garder plus longtemps dehors parce que son–son visage s’affaisserait. Vous voyez?
180 Et c’est ce qui était arrivé à Lazare. Il était déjà mort.
181 Et puis après que Lazare était mort, et que tout était fini; c’est alors qu’on voit Jésus venir, entrant dans la ville sans se faire remarquer. Ainsi donc, ils savaient qu’on allait les critiquer, peut-être parce que Jésus avait déjà été critiqué.
182 Mais Marthe, apparemment avait été très lente, pour ce qui est d’apprêter un endroit où Jésus allait dormir, un endroit où Il allait manger et ainsi de suite. Une fois, elle a même demandé à Jésus de demander à sa soeur d’aller l’aider. Mais là, dans son coeur, la foi l’avait touchée. Pendant que Marie était assise là tranquille, pleurant, et n’y pouvant rien, ayant tout abandonné; Marthe est sortie furtivement de–de la maison, et la voilà traverser la ville. Sans aucun doute, qu’elle a rencontré sur la route des gens qui lui ont demandé: «Où est ce guérisseur divin que vous aviez par ici? Qu’en est-il donc de Lazare?» Elle les a carrément ignorés.
183 Elle est arrivée là où Jésus était. Observez comment elle s’était comportée. Elle a couru vers Lui. Elle avait le droit de Le rabrouer, elle avait le droit de s’adresser à Lui, disant: «Eh bien, pourquoi n’es-Tu pas venu lorsque je T’ai appelé?» Si c’était un–un pentecôtiste d’aujourd’hui, ou un baptiste, ou un presbytérien, ils auraient changé immédiatement d’église. Voyez-vous? Certainement. «Pourquoi n’es-Tu pas venu lorsque je T’ai appelé?» Apparemment, elle avait le droit de le faire. Mais elle n’en avait pas le droit.
184 Comme je l’ai dit hier soir, vous n’avez pas de pensée. C’est Sa pensée à Lui, voyez, ce que Lui fait. «‘Que Ta volonté soit faite,’ priez comme ceci.» Il n’est pas un garçon de course. Il est Dieu. Remarquez: «Que Ton règne vienne. Que Ta volonté soit faite.»
185 Et lorsqu’elle est arrivée auprès de Lui, elle L’a approché de la manière correcte. Elle a dit (en lui donnant Son vrai titre): «Seigneur!» Il ne l’a pas rabroué, mais: «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Oh! la la! je peux Le voir redresser son petit corps fatigué. Et–et Il a dit... «Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Voyez, elle connaissait ce que le Dieu de la création était. Elle savait qu’Il était le Messie oint. Elle L’a approché de la manière correcte, sur ses genoux, disant: «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. Oh! si seulement nous pouvions y penser! «Même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
186 Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.» Aucun autre homme ne pouvait faire une telle déclaration. «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi, vivra quand bien même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»
187 Elle a répondu: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»
Il a dit: «Où l’avez-vous enseveli?»
188 Je parlais à une femme il n’y a pas longtemps, et elle m’a dit–elle a dit: «Je–je–j’aime vous entendre prêcher, Frère Branham, mais, a-t-elle dit, vous avez un défaut.»
J’ai dit: «Merci», juste un défaut. J’ai demandé: «Lequel?»
Elle a répondu: «Vous vous vantez trop de Jésus comme quoi Il était divin.»
J’ai dit: «J’espère que c’est l’unique défaut qu’Il peut trouver en moi», ai-je dit.
189 «Vous vous vantez trop de Jésus comme quoi Il était divin.» Elle a dit: «Il n’était pas divin.»
J’ai dit: «Oh! oui, Il était divin.»
Elle a dit: «Eh bien, vous faites de Lui Dieu.»
190 J’ai dit: «Soit Il était Dieu, soit Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.» Voyez-vous? Et j’ai dit: «Il était Dieu.»
Elle a dit: «Il était un simple homme. Il ne pouvait pas être Dieu.»
J’ai dit: «Il L’était. Il était Dieu et homme à la fois.»
Et elle a dit: «Vous disiez que vous croyez la Bible?»
J’ai dit: «Oui madame, je La crois.»
191 Et elle a dit: «Et si je vous prouve, par votre propre Bible, qu’Il n’était pas divin, accepteriez-vous cela?»
192 J’ai dit: «Certainement, si la Bible dit qu’Il ne l’était pas. Mais, ai-je dit, je ne crois pas que cela soit dans la Bible.»
193 Elle a dit: «Dans Saint Jean au chapitre 11, la Bible dit que lorsque Jésus s’est rendu à la tombe de Lazare, la Bible dit: ‘Il a pleuré’»; et elle a dit: «S’Il a pleuré, Il ne pouvait pas être divin et pleurer.»
194 J’ai dit: «Eh bien, madame, cela ne tiendra pas debout.» J’ai dit: «J’aimerais vous dire quelque chose.» J’ai dit: «Cela est plus léger que la soupe faite à partir de l’ombre d’un poulet mort de faim.» J’ai dit: «Parce que cela ne trouvera aucun appui dans la Bible.» J’ai dit: «Ecoutez, Il s’est rendu à la tombe, voyez, et Il s’est tenu devant la tombe, et Il a dit... Il a redressé son petit corps et Il a dit: «Lazare, sors!»
195 Il pouvait être un homme, pleurant; mais lorsqu’Il a appelé cet homme à sortir de la tombe, un homme qui était mort depuis quatre jours, et dont l’âme avait effectué un voyage quelque part, depuis quatre jours. Je ne sais pas où elle était, vous non plus. Ainsi, de toute façon, Il l’avait rappelé. La corruption a reconnu son Maître. L’âme a reconnu son Créateur. Et un homme, qui était mort, s’est tenu debout et il est revenu à la vie après être mort depuis quatre jours. Ça, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu!
196 C’était un Homme lorsqu’Il est descendu de la montagne, ce soir-là, et qu’Il avait faim; Il a parcouru du regard un figuier pour trouver quelque chose à manger. Il était un Homme lorsqu’Il avait faim. Mais lorsqu’Il a pris cinq biscuits et deux poissons, et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme.
197 C’était un Homme lorsqu’Il était couché à l’arrière de cette barque, cette nuit-là, et que dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Et cette vieille petite barque au milieu de cette tempête, comme le bouchon d’une bouteille là quelque part, montait et descendait en flottant comme cela. C’était un Homme lorsqu’Il était endormi, fatigué, une force étant sortie de Lui. Mais lorsqu’Il a mis son pied sur le bastingage du bateau et qu’Il a levé les yeux et dit: «Silence, tais-toi», et que le vent et les vagues Lui ont obéi, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
198 Il était un homme lorsqu’Il mourait sur la croix, implorant miséricorde. C’est vrai. Mais Il était Dieu au matin de Pâque lorsqu’Il a brisé les sceaux, alors qu’Il était dans le tombeau, Il est ressuscité et Il est monté au ciel, (oui, oui) étant toujours vivant pour intercéder. Tout homme et toute femme qui jamais soient parvenus à quelque chose de louable ont cru cela. Oui, oui.
199 Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement! «Croyez-vous cela?» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Oui, oui. Il est tout aussi grand ici même parmi nous, ce soir, qu’Il l’a été alors. Croyez-vous cela? [«Amen.»] Il est le même Guérisseur ce soir qu’Il l’a été à l’époque. Croyez-vous cela? [«Amen.»] Certainement. Il ne peut faillir. Persistez. Gardez votre position en Christ, votre confession. Retenez fermement votre confession en Christ.
200 Elle a persisté et elle a obtenu la résurrection de son frère.
201 La femme sunamite a persisté dans la présence d’Elie. Elie est passé là, l’a bénie et lui a dit qu’elle aurait un fils. Et ce fils a atteint l’âge de douze ans environ. Pendant qu’il était dans le champ, il a dû attraper une insolation. Cette femme avait été très gentille envers Elie. C’était une sunamite, et elle venait du pays de Sunem. Et elle a trouvé... Elle a parlé à son mari qui était un homme riche, et lui a dit: «Je vois que cet homme qui passe ici est un homme saint.» Elle a dit: «Témoignons-lui de la bienveillance.» Elle a dit: «Construisons-lui une petite pièce à côté de notre maison par ici et mettons-y pour lui un petit lit et une cruche d’eau; afin que lorsqu’il passera, il puisse s’y reposer.»
Et son mari a dit: «Ce serait une très bonne chose.»
202 «Ainsi donc, si vous faites quelque chose à l’un de ces petits, c’est à Moi que vous le faites», a dit Jésus.
203 Et ainsi il a dit... Il s’est adressé à son serviteur Guéhazi. Il lui a dit: «Va demander à cette femme: que je parle au capitaine ou que puis-je faire pour elle?»
Elle a répondu: «Non, j’habite parmi mon peuple. Je n’ai aucun problème.»Et Guéhazi–Guéhazi a dit: «Mais elle n’a pas d’enfants.»
204 Il a dit: «Va dire à cette femme...» Une vision est apparue. Il a dit: «Va dire à cette femme qu’à cette même époque, elle mettra au monde un enfant.» Et c’est ce qui lui était arrivé.
205 Le garçon a atteint environ douze ans. Son–son père était vieux. Un jour, il était sorti dans le champ, et il doit avoir attrapé une insolation. C’était vers midi, et il a commencé à crier: «Ma tête! ma tête!» Il a renvoyé l’enfant à la maison et l’a étendu sur les genoux de sa mère jusqu’à ce qu’il était mort. Regardez quel endroit approprié, elle l’a déplacé pour le faire entrer dans cette chambre où était le lit sur lequel le prophète avait dormi. Vous voyez?
206 Et elle a dit au serviteur: «Selle un mulet et va à la montagne de Carmel, là où se trouve une caverne quelque part, où habite ce prédicateur. C’était lui qui avait le pouvoir de voir une vision, et qui a dit que je mettrais au monde ce fils; et s’il est si près de Dieu, c’est qu’il est le messager de Dieu de l’heure. Et je sais que s’il peut me dire pourquoi... Si j’allais auprès de lui, il peut me dire pourquoi Dieu a retiré cet enfant. Laisse-moi monter là.» Elle a dit: «Si quelqu’un te salue, ne lui répond pas. Et ne t’arrête pas, continue tout simplement ton chemin.»
207 Oh! j’aime cela! Maintenant, c’est un temps d’urgence. Les gens se meurent, nous ne devrions pas perdre notre temps sur la route. Continuez votre chemin. Et elle a persisté.
208 Et Elie... Vous savez, Dieu ne dit toujours pas tout ce qui va arriver à Ses prophètes. Il a levé les yeux et il a vu cette femme venir, il a dit: «Voici venir cette Sunamite.» Et il a dit: «Son coeur est accablé de tristesse et Dieu m’a caché la chose.» Il a dit: «Cours, va à sa rencontre.» Et elle...
209 Il a dit: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Et ton fils, se porte-t-il bien?»
210 J’aime cette–cette persistance qui a fait qu’elle soit entrée dans la présence du messager. Et elle a dit: «Tout va bien.» Mari–son mari se tordait les mains, faisant les cent pas dans la chambre, pleurant et le bébé était étendu, mort, sur le lit, mais: «Tout va bien.» Amen. Pourquoi? Elle était parvenue à son but. Elle avait atteint son but. Sa persistance l’a fait parvenir auprès de l’homme de Dieu; l’homme de Dieu pouvait lui dire ce qu’il y avait. Et alors, elle est tombée aux pieds de l’homme de Dieu et a révélé ce qui était arrivé.
211 Eh bien, celui-ci a étendu sa main et a pris son bâton, et a dit à son serviteur: «Prends ceci et va le poser sur l’enfant.» Eh bien, je pense que c’est là que Paul a eu l’imposition des mouchoirs sur les gens. Voyez? Parce qu’Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni, mais s’il pouvait amener la femme à croire cela!
212 Mais la foi de la femme n’était pas dans le bâton; c’était dans le prophète. Vous voyez? Et elle a dit: «L’Eternel Dieu est vivant, ton âme est vivante», voyez, elle avait témoigné là qu’il avait la Vie Eternelle. Elle a dit: «Et ton âme est vivante, je ne veux pas te quitter.» Oh! la la! tenez-vous-en à cela! C’est cela.
213 C’est la manière d’obtenir ce que l’on veut. Comme cette femme sunamite, comme cette femme syro-phénicienne, tenez-vous-en à la chose! Restez tout simplement là. Accrochez-vous à Christ. Saisissez la chose, ce soir, et restez là. Ne bougez pas. Demain, si quelqu’un dit: «C’est simplement...» Fermez tout simplement vos oreilles à ces gens-là. Vous avez la foi. Restez là.
Elle a dit: «Je ne te quitterai pas.»
214 Et Elie a dit: «Eh bien, je n’arrive pas à me débarrasser d’elle, je ferais mieux de l’accompagner.» Ainsi, il a ceint ses reins et il est parti.
215 Observez lorsqu’il est entré dans la chambre. Il savait quoi faire. Il n’avait pas prié. Il a fait tout simplement les cent pas, des allées et des venues sur le plancher, jusqu’à ce qu’il a senti l’Esprit de Dieu venir sur lui. Alors, il est allé s’étendre lui-même sur l’enfant, et l’enfant a éternué sept fois et il est revenu à la vie.
216 Marthe savait que si Dieu a été dans ce prophète-là, certainement qu’Il était dans Son Fils, voyez; et c’est la raison pour laquelle elle a pu persister.
217 Et si nous avons eu des milliers d’années d’expérience depuis lors, pour apprendre que Dieu tient Sa promesse, combien devrions-nous persister ce soir pendant que nous voyons la Présence de Jésus-Christ, oh! la la! et briller comme les étoiles!
218 Je me rappelle, une nuit, il n’y a pas longtemps, chez moi; il y avait une femme et je ne savais pas que cette femme voulait qu’on prie pour elle. Je n’étais pas allé prier pour les malades ce soir là. Et le lieu était vraiment bondé, partout! Et certains de mes administrateurs qui sont assis ici quelque part, ce soir, étaient là. Une femme qui était venue de la Californie, avait une tumeur de vingt-cinq kilos [cinquante livres–N.D.T.] elle ne voulait pas se rendre chez les médecins; et ensuite, quand on l’a persuadée d’y aller, c’était devenu trop grand pour être opéré, une grosse tumeur remplie d’eau. Et elle avait une protubérance comme ceci, une très grande tumeur. Et on l’a amenée là. On l’a amenée là. On n’avait pas pu l’amener en voiture. On a dû la mettre dans une caravane, ou quelque chose de semblable, pour l’amener. Et on l’avait fait entrer là. Je ne le savais pas, j’ai tout simplement continué à prêcher. Et elle a dit: «Eh bien, ne va-t-il pas...» J’ai fait un appel à l’autel. Elle a demandé: «Ne va-t-il pas prier pour les malades?» On lui a dit: «Non.»
219 Elle a demandé: «Par quelle porte sort-il?» Hum - hum. Eh bien, pensez-y, sa foi! Et on a transporté cette femme, on l’a transportée en contournant jusqu’à la porte de derrière par où je sors en passant par le bureau du pasteur, et je suis allé vers ma voiture.
220 Et la femme qui était couchée là, m’a saisi par la jambe du pantalon, et a dit: «Frère Branham... priez!» Une grosse... Oh! la la! elle avait une protubérance comme ceci. Elle a dit: «Si vous voulez bien m’imposer les mains, Dieu me guérira.» Et je l’ai fait.
221 Et environ trois mois plus tard, j’étais dans une réunion, et voici qu’elle était debout là, en aussi parfait état de santé que n’importe quelle femme du pays; et j’ai invité n’importe quelle soeur qui était là d’aller avec elle dans une pièce et de lui enlever les vêtements pour voir si elle avait subi une opération ou pas.
222 Pourquoi? Elle avait persisté. Elle était déterminée à recevoir ce pourquoi elle était venue. C’est ce qu’il en est. Oui, oui. Leur foi s’était emparée de la Parole.
223 Michée, une fois, lorsqu’il a été invité... Lorsque Josaphat a fait une alliance avec Achab, c’est alors que le croyant et l’incroyant se sont associés. Et il a dit qu’ils voulaient aller livrer une guerre, qu’ils iraient quelque part pour reprendre leur propre terre. En principe, elle leur appartenait. Il a dit: «Pourquoi ces Assyriens devraient-ils manger le blé qui appartient à Israël? Josué nous l’a donné!» C’est tout à fait correct. Ils sont donc allés et ont formé une grande école de prédicateurs là-bas, tout un séminaire; cinq, quatre ou cinq cents de ces prophètes, des hébreux bien formés.
224 Ainsi, Josaphat a dit, étant un homme juste, il a demandé: «Mais ne devrions-nous pas consulter le Seigneur?»
225 Achab a répondu: «Oh! oui, peut-être.» Achab, vous savez quel genre d’homme il était, il s’est donc rendu là. Il a dit: «J’ai la réponse, j’ai quatre cents prophètes. Nous allons les amener ici.»
226 Et ils se sont donc rendus là, et l’un d’eux, Sédécias, je pense que c’était lui, s’est fait deux cornes et il est monté là disant: «AINSI DIT LE SEIGNEUR. Montez, cela vous appartient. AINSI DIT LE SEIGNEUR, avec ces cornes, vous repousserez ces Assyriens hors du pays.»
227 Josaphat a regardé partout, vous savez, et il–il a demandé: «N’en avez-vous pas un autre?»
228 «Un autre? Alors qu’il y a quatre cents prophètes hébreux formés et sortis de l’école, pourquoi avez-vous encore besoin d’un autre? Nous en avons quatre cents. Tout le séminaire est ici, et eux tous d’un commun accord disent: ‘Montez, le Seigneur est avec vous. AINSI DIT LE SEIGNEUR.’»
Josaphat a demandé: «Eh bien, n’en avez-vous pas un autre?»
229 Achab a dit: «Oh! j’en ai un autre que je pourrais consulter», a-t-il dit, C’est Michée le fils de Jimla, mais, a-t-il dit, je le déteste.» Oh! certainement. Oui. Il a dit: «Eh bien, il n’est même pas d’accord avec ces dénominations et ces choses.» Il a dit: «Nous, vous–vous devez... c’est–c’est un drôle de type», ont-ils dit.
«Oh, a dit Joseph, que le roi ne parle pas ainsi. Qu’on aille le chercher.»
230 Ils ont donc envoyé un des leurs là-bas et celui-ci a dit: «Eh bien, Michée, tu sais qu’on t’a excommunié de l’association, tu n’as plus de communion avec eux. Mais maintenant si tu acceptes de dire la même chose qu’eux, ils pourraient te rendre la carte de membre, si tu reviens.» Pouvez-vous vous imaginer qu’on tienne un tel langage à un prophète?
231 Michée a dit: «L’Eternel est vivant, je ne dirai que ce qu’Il dit.» Eh bien, voilà. Amen. Voilà la chose.
«Eh bien, sais-tu ce qu’il peut faire pour toi?»
232 «Cela importe peu. Je ne dirai que ce que Dieu dira.» Il est retourné auprès du roi [avec Michée], et il a dit: «Eh bien, accorde-moi ce soir, et je verrai ce que le Seigneur a dit.»
233 Il est revenu le lendemain matin, et il a dit: «Montez-y. Oui, oui. Montez. Mais j’ai vu Israël comme des brebis dispersées, n’ayant point de berger.»
234 Alors cet homme de Sédécias est venu là, avec sa main, il a giflé Michée en plein sur la bouche, disant: «Ce petit saint exalté», et il lui a demandé de s’asseoir et a dit: «Par quel chemin l’Esprit de Dieu est-il passé lorsqu’il est sorti de moi?»
Michée a dit: «Tu le verras.»Ainsi il a dit: «Qu’en pensez-vous?»
235 Il a dit: «J’ai eu une vision hier soir. J’ai vu Dieu assis sur un lieu élevé dans ce–Son grand Trône élevé.» Et il a dit: «Et toute l’armée des cieux l’entourait. Il tenait un conseil au cours duquel Il a demandé: ‘Qui pouvons-nous prendre pour qu’il descende là et séduise Achab, pour le convaincre de monter là, afin d’accomplir ce que le prophète Elie avait annoncé? Que puis-je faire à ce sujet?’» Et il a dit: «Un esprit de mensonge est monté et a dit: «‘Je descendrai là et j’entrerai dans ces prophètes, et je les pousserai à dire un mensonge.’ Et le Seigneur a dit: ‘C’est bien toi qui es capable de le faire, parce que ces gens ont reçu une formation du séminaire.’ Il a dit: ‘Va le faire. C’est tout ce que tu peux faire.’» Et cet esprit est descendu là et a accompli cela!
236 Eh bien, vous direz: «Eh bien, qui pourrait savoir ce qui était juste?» Michée était en accord avec la Parole!
237 Comment pouvez-vous bénir ce que Dieu a maudit. Comment pouvez-vous dire aux gens qu’ils peuvent vivre comme ceci et faire ces choses et toujours maintenir la communion de Jésus-Christ? Vous ne pouvez pas le faire. Vous devez être né de nouveau et être rempli du Saint-Esprit. [Espace vide sur la bande.–N.D.E.] «... Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» C’était ça la prescription. Vous n’avez pas besoin de falsifier cette prescription.
238 Un médecin peut établir une ordonnance pour vous, et si vous amenez cela chez un charlatan de pharmacien et que celui-ci ne fasse pas la solution correcte, vous tuerez votre malade.
239 Et c’est ça le problème aujourd’hui, vous avez adopté des poignées de main et toutes les autres choses, au lieu de Cela. Revenez! Dieu a laissé Pierre écrire une ordonnance éternelle pour le salut. Elle n’a jamais été changée. Et elle ne peut être changée. La poignée de main ainsi que l’adhésion aux églises, et tout, ne remplaceront jamais cela. Il faudra qu’on revienne, mot pour mot tel que cela est écrit là, voilà l’ordonnance qu’ils ont utilisée tout au long de la Bible. On a utilisé cette ordonnance jusqu’au Concile de Nicée, et puis on l’a changée. C’est la raison pour laquelle nous avons tant de membres morts aujourd’hui. Absolument. Vous devez prendre la véritable ordonnance. Alors sachez-le, si cela avait atteint la cible là-bas, ça atteindra la cible maintenant: «C’est pour vous, pour vos enfants et ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que l’Eternel notre Dieu les appellera. N’adoptez pas quoi que ce soit à la place. N’y ajoutez rien de plus. Et si vous ajoutez quelque chose de plus à...
240 Souvenez-vous, une ordonnance contient assez d’anti-dote pour ôter la maladie, et assez d’anti-dote pour tuer... assez de–de médicament pour le patient. Et si vous ne–si vous mettez trop de–d’anti-dote là-dedans, ou l’une ou l’autre chose qui ne marchera pas, qui affaiblira trop cela, cela n’aidera pas le patient. Si vous y mettez trop de poison, ça tuera le patient. Ça doit être bien approprié.
241 Et Il a prescrit une Ordonnance éternelle, car elle vaut pour toutes les générations. Pas une poignée de main, adhérer à l’église et toutes ces autres choses. Il a dit: «Repentez-vous, et puis, soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Cela vous a été promis, à vous et à vos enfants.
242 Ils ont pris cette ordonnance et ils l’ont appliquée au grand comptoir de Dieu. Et lorsqu’ils l’ont fait, le jour de la Pentecôte, ils ont guéri les malades, ils ont fait tout ce qu’on devait faire; parce que c’était Dieu, Christ en eux. Bien.
243 Michée savait que c’était la Parole du Seigneur, car c’était exactement ce que la–la Bible, le véritable Prophète avait dit. Dieu avait maudit cet homme et Il avait aussi maudit sa femme à cause de leur mal. Et s’ils–Dieu avait maudit cela, comment ces hommes pouvaient-ils venir là et bénir cela?
244 Voici d’où ils ont eu leur idée. La terre leur appartient. Effectivement, elle leur avait été donnée. Mais ils avaient été chassés de là à cause de leurs péchés. Ainsi, ils se sont dit que parce que la terre leur appartenait, ils devaient ainsi en prendre entièrement possession. Non, non.
245 C’est sous condition. Absolument. Vous pouvez avoir la guérison divine, vous pouvez avoir le salut, vous pouvez avoir le baptême du Saint-Esprit, mais sous conditions, et vous devez remplir les exigences de Dieu. En dehors de cela, ce n’est pour personne sauf pour les croyants.
246 Un homme m’a dit il n’y a pas longtemps, un prédicateur, il disait: «Peu m’importe si vous avez ressuscité les morts et que vous avez des attestations des médecins comme quoi il y a eu résurrection des morts et que sais-je encore, a-t-il dit, moi je ne crois pas cela.»
J’ai dit: «Certainement pas, ce n’est pas pour les incroyants.»
247 C’est destiné uniquement aux croyants. Cela n’a pas été donné aux incroyants. Cela a été uniquement envoyé aux croyants. C’est à eux que c’est destiné, aux croyants, pas aux incroyants. Certainement, ils admettent par là ce que–ce qui est faux.
248 Mais Michée savait. Quand il a vu que sa vision était exactement en accord avec la Parole de Dieu, alors il a su qu’elle était correcte. Et il a persisté même si cela devait lui coûter la vie ou pas. Il a dit: «Vous le verrez lorsque tout ce que j’ai prédit s’accomplira, alors vous saurez où on en est.
249 De même, l’homme aveugle ne pouvait pas discuter leur théologie, mais il savait qu’il avait recouvré la vue, ainsi, il a vraiment persisté à ce sujet. C’est comme Philippe, et c’est comme Nathanaël et la femme au puits, ils étaient tous persévérants après qu’ils avaient saisi Dieu.
250 Maintenant pour terminer, nous allons commencer la ligne de prière très bientôt, dans une minute, il y a quelque chose qui me vient à l’esprit que je dois dire à l’instant même.
251 Il n’y a pas longtemps, j’étais là-bas à Mexico. Le Seigneur m’a envoyé là à Mexico City, dans cette grande arène-là. Oh! des milliers et des milliers de gens étaient là. Et l’avant-dernière soirée, un aveugle est monté à l’estrade, et, eh bien, c’était l’un des spectacles les plus horribles. Il y avait un...
252 Combien de gens connaissent frère Espinoza? Voyez, plusieurs personnes. Certainement. Bien, eh bien, il était mon interprète. Il peut vous raconter ceci. Un aveugle est monté à l’estrade, un pauvre vieux Mexicain.
253 Et leur économie est très déséquilibrée là-bas. Par exemple, peut-être qu’un–un maçon gagne tant de pesos par jour, disons peut-être cinq pesos par jour. Je n’en connais pas le pouvoir d’achat. Et disons qu’il s’agit de Pedro, et il touche... C’est un maçon, ainsi il gagne cinq pesos par jour, mais il lui faut travailler pendant cinq jour pour pouvoir s’acheter une paire de souliers, voyez, avec leur économie. Et que dire du petit Pancho alors, Chico, le petit gars qui doit travailler ici à l’extérieur pour ne gagner que deux pesos par jour, et qui a cinq enfants à nourrir? Mais, il leur faut épargner assez de cet argent, pour brûler une chandelle de graisse sur un autel d’or d’un million de dollars pour ses péchés. Et c’est ce qui m’a enflammé, de voir les gens donc faire pénitence pour des femmes mortes, et de marcher à genoux et des choses semblables.
254 Au cours d’une soirée, ce vieil homme a traversé l’estrade, il n’avait pas de chaussures aux pieds. Ses cheveux étaient gris. Il avait un vieux chapeau qui était rattaché avec des ficelles. Il venait en traversant l’estrade. J’ai regardé ce vieil homme, et j’étais là debout avec une belle paire des souliers et un beau costume. Il était aveugle, lui. Et il marchait comme ceci. Et il a dit, et il continuait à dire quelque chose. Naturellement, je ne suis pas en mesure de prononcer quelques mots d’espagnol. Il est venu en traversant comme ceci. Et je suis allé vers lui, j’ai mis... Je me suis dit que personne ne me verrait; je–j’ai ressorti mon pied comme ceci, pour voir si mon pied, si ma chaussure allait lui convenir. Si elles pouvaient lui convenir, j’allais les enlever et le laisser les prendre. Alors, son pied était trop grand. Et si en quelque sorte je–je... J’ai dit: «Que Dieu vous bénisse, papa.»
255 Et j’ai redressé les épaules pour voir si ma veste allait lui convenir. Et elle n’allait pas lui convenir, il était trop grand. Il ne portait pas de chemise, si ce n’est un vieux veston. Et je me suis dit: «Pauvre vieux type, peut-être qu’il n’a jamais pris un bon et décent repas de sa vie.» Son vieux pantalon était en lambeaux et il était tout couvert de poussière. Et voici que le diable l’avait même rendu aveugle. Et il était là, il traversait là et disait quelque chose. Et je me suis dit: «Si mon père était resté en vie, il aurait environ l’âge de ce vieil homme.» Je me suis dit: «Oh! Dieu!»
256 Et je l’ai entouré de mes bras. Vous devez éprouver de la compassion pour les gens. Si vous n’éprouvez pas de la compassion pour eux, ça ne sert à rien de prier, si vous n’avez pas de compassion. Et je l’ai entouré de mes bras.
257 J’ai dit: «N’interprète pas ceci, Frère Espinoza.» On n’interprète pas la prière, de toute façon.
258 Ainsi, j’ai dit: «Père céleste, sois miséricordieux envers lui.» Et je lui ai imposé mes mains comme cela.
259 Il s’est écrié: «Gloria a Dios!» Cela veut dire: «Gloire à Dieu!» Voyez-vous? Il a regardé tout autour comme cela, et le vieil homme pouvait voir tout aussi parfaitement que moi. Le voilà partir, marchant sur l’estrade.
260 Eh bien, le–le soir suivant, on avait environ, oh! presque d’ici jusqu’à la porte... ce qui pouvait constituer l’estrade, de vieux châles et de vieux vêtements en lambeaux entassés là, pour qu’on prie dessus. Et la pluie tombait à verse, les gens ne pouvaient pas accéder... Et ils étaient venus là, ce matin-là, vers 8 h ou 9 h; et moi ce soir là, je n’allais être là que vers 20 h ou 21 h. Ainsi, il y avait beaucoup de monde partout là. Il n’y avait pas de sièges où s’asseoir comme vous en avez. Les gens s’appuyaient les uns contre les autres. Et ils étaient debout sous cette pluie, les femmes avec leurs cheveux qui leurs tombaient, trempées, attendant pour entendre la Parole de Vie.
261 Et le général Valdena m’a fait entrer là. Je pense que vous le connaissez, c’est l’un des hommes d’affaires chrétiens. Et j’étais le premier protestant à bénéficier de la protection du gouvernement. Le général Valdena de Mexico; ainsi donc j’étais...
262 Ce soir-là, je suis entré, on m’a fait descendre par des cordes, depuis l’extérieur jusque-là au fond de cette arène. Je suis entré en descendant comme ceci, par des cordes, en sortant par l’arrière d’une voiture. Et lorsque je suis descendu dans l’arène, je me suis mis à marcher. Et Billy, mon fils, est venu vers moi, il a dit: «Il y a un homme qui était là en train de distribuer les cartes de prière.» Moi, je l’appelle Mañana, ce qui veut dire: «Demain», il était très lent, et il n’aurait jamais pu venir me prendre. Ainsi il distribuait les cartes de prière.
263 Billy a dit: «Eh bien, a-t-il dit, papa, il y a là une femme qui a un enfant mort.» Et vous avez tous vu cet article dans la Voix des hommes d’affaires et il a dit: «Elle a un bébé mort.» Et il a dit: «Nous n’avons plus de cartes de prière.» Et il a dit: «J’ai trois cents huissiers par là qui n’arrivent pas à la maîtriser.»
264 Et elle–elle était une toute petite femme, une jeune dame, une très belle jeune femme. Et elle était... elle tenait dans ses bras ce petit bébé mort, qui était recouvert d’une petite couverture bleue rayée; elle tenait une petite forme raide d’environ cette longueur, et elle était restée debout depuis ce matin-là. Le bébé était mort à 9 h, et ceci s’est passé vers 22 h ce soir-là. Ainsi, elle tenait dans ses bras ce petit bébé.
265 Et j’ai dit–dit, j’ai dit: «Eh bien, dites simplement aux huissiers de la retenir à l’écart. Et si vous la mettez là à côté de ces gens qui détiennent une carte de prière, ai-je dit, cela va causer...» Et j’ai dit: «Ne pouvez-vous pas lui dire de venir tout près?»
266 Il a répondu: «Elle ne veut rien entendre.» Il a dit: «Elle ne veut tout simplement pas écouter cela.»
Et j’ai dit: «Eh bien, il y a certainement assez de huissier par là, pour la retenir.» Il a dit: «On n’y arrive pas.»
267 J’ai dit: «Frère Moore.» Combien connaissent frère Jack Moore? C’est un... J’ai dit: «Et elle ne saurait pas faire la distinction entre vous et moi. Et elle ne me connaît pas.» J’ai dit: «Descendez-là et priez pour elle, Frère Moore.»
Il a dit–il a dit: «D’accord.»
268 J’ai dit: «Descendez là pour prier pour l’enfant. Cela va la satisfaire, et elle va rentrer chez elle.»
Il a dit: «D’accord.»
269 Ainsi, je me suis retourné. Je prêchais sur «la foi qui est l’assurance des choses que l’on espère», et sur Jésus, ce qu’Il a fait lorsqu’Il était ici sur terre; je leur parlais. Et juste lorsque j’ai commencé à parler, j’ai regardé devant moi, dans une vision, il y avait là un petit bébé au visage sombre, qui était en train de... il était en train de me sourire. Et j’ai encore regardé.
Frère Espinoza a dit: «Qu’est-ce, Frère Branham?»
270 J’ai dit: «Ne vous en faites pas, Frère Espinoza, occupez-vous de la foule pendant un moment.»
271 Et je suis sorti. J’ai dit: «Attendez une minute, Frère Moore.» Et j’étais déjà donc descendu vers l’endroit où la petite... où était la petite femme. Et j’ai dit: «Dites-lui d’amener l’enfant ici.»
272 Et elle est donc montée à l’estrade. Elle s’est agenouillée d’une jambe, et elle tenait dans sa main un chapelet. Elle disait: «Padre», ce qui veut dire: «Père», vous savez.
273 J’ai dit: «Levez-vous maintenant. Levez-vous. Je l’ai fait lever. J’ai dit: «L’enfant est mort?» Elle ne comprenait pas. Les larmes coulaient sur son petit visage, et ses cheveux pendaient. Eh bien, ceci est vrai. Voilà ma Bible. Et voyez, j’ai posé ma main sur ce petit enfant, et j’ai pensé que cela pouvait satisfaire la femme. Je ne savais pas qu’il s’agissait de ce bébé-là. Je ne pouvais pas le dire.
274 Et j’ai dit: «Père céleste, ai-je dit, devant moi est apparue une vision d’un petit enfant, il s’agirait peut-être de celui-ci. Et si c’est le cas, je Te prie, ô Seigneur, d’honorer la foi de cette petite femme, en lui rendant son bébé.»
275 Juste à ce moment-là, ce petit enfant a poussé un cri et a commencé à pleurer de toutes ses forces. Et la petite femme ne savait que faire. Ainsi, elle... Je me suis adressé à frère Espinoza, j’ai dit: «Eh bien, ne dites pas ceci. Attendez, allez et qu’un médecin signe l’attestation pour témoigner de cela.»
276 Et dans la Voix... la Voix des hommes d’affaires chrétiens, très récemment, cela est apparu. Voyez, avant que vous écriviez quelque chose, il vous faut avoir une preuve témoignant que la chose est vraie. Ce médecin a signé cette attestation, disant: «Le bébé est mort de la pneumonie; il ne respirait plus, ce matin-là à 9 h, dans son cabinet. Et il était vingt-deux heures et quelques ce soir-là, lorsque ce bébé est revenu à la vie parce qu’une petite femme a persisté.
277 Si Dieu a pu ouvrir les yeux d’un aveugle, c’est qu’Il pouvait aussi lui rendre à elle son enfant. Il est toujours le même Dieu ce soir, mon ami. Vous devez être persévérant pour accomplir quelque chose. Que se serait-il passé si elle avait suivi ce qu’on lui avait dit et qu’elle l’abandonne et s’en aille disant: «Eh bien, l’enfant est mort»? Vous voyez? Et voyez si cette même foi qui demeurait dans ces femmes comme la sunamite, demeure toujours dans les gens aujourd’hui. De temps en temps, ils pourraient toucher cette chose. Non pas une simulation, pas une imitation, mais quelque chose de réel, quelque chose qui est–quelque chose d’authentique. Ne pensez-vous pas que nous pouvons faire cela ce soir? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
278 A présent, nous allons prier pour les malades, en leur imposant les mains au Nom du Seigneur Jésus, on va prier pour eux. Eh bien, nous pourrons probablement terminer avec la ligne dans environ, oh! peut-être dans vingt–trente minutes. Eh bien, nous ne pouvons pas nous arrêter pour un discernement; vous comprenez réellement cela, parce que ce serait trop. Mais nous allons prier et imposer les mains aux malades. Etes-vous prêts ce soir? Est-ce que vous sentez dans votre coeur que quelque chose est ancrée, la Présence?
279 Combien ont assisté aux réunions ici au cours de la semaine? Faites voir vos mains. Je pense que c’est pratiquement vous tous. Très bien. Combien n’ont jamais été dans l’une des réunions auparavant? Levez la main. Eh bien, oh! la la! ça fait la moitié. Eh bien, je pense que certaines personnes n’ont pas pu entrer. Eh bien, permettez-moi de leur dire... Naturellement, peut-être que certains d’entre eux ont une carte de prière.
280 La guérison divine, c’est quelque chose que Dieu a déjà accompli. Voyez, ça, c’est quelque chose. Nous croyons, et je crois de tout mon coeur que la Bible, dans Hébreux 13.18, dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Il est le même. Et je crois que la Vie qui était en Christ devrait être en nous, si nous sommes des chrétiens. Et Il a dit dans Saint-Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi, fera aussi les oeuvres que Je fais.» Il a dit dans Saint-Jean 5.19: «Je ne fais rien avant que le Père me le montre.» Est-ce vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
281 Eh bien, tenez par exemple, tenez. Chacun d’entre vous, à ce que je sache, m’est étranger. Ça va. J’aimerais que tout le monde soit très respectueux pendant un moment. Et si Jésus-Christ n’apparaît pas parmi nous, dans Sa même puissance, alors je suis un faux prophète, ne m’écoutez plus.
282 Combien ici n’ont pas de cartes de prière? Vous n’entrerez pas dans la ligne de prière. Levez la main partout où vous êtes. Regardez ici et priez de tout votre coeur et croyez. C’est un... difficile. Nous n’étions pas... Eh bien, en venant, nous ne nous étions pas préparés pour ceci, mais je sais que nous n’allons plus rester ici pour longtemps.
283 Maintenant, je vais prendre tout esprit ici dans la salle sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ. Maintenant tenez-vous tranquilles. Et si vous ne croyez pas, eh bien, vous feriez mieux de garder votre tête inclinée, voyez. Voyez-vous?
284 Mais si vous êtes un croyant, la Bible dit: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Et comment a-t-Il agi lorsque la femme L’a touché? Il s’est retourné et Il a su qui elle était, et quel était son problème. Il percevait les pensées de leurs coeurs. Ne croyez-vous pas qu’Il est le même aujourd’hui et éternellement? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Si vous avez un besoin, priez maintenant. Et qu’est-ce que...
285 «De quoi parlez-vous, Frère Branham?» Si je suis Son serviteur et que je déclare que Sa Vie est ici à l’intérieur, alors les mêmes oeuvres se manifesteront. Eh bien, vous savez qu’un homme ne peut pas faire ces choses. C’est impossible. Mais Christ reste le même. Et je veux que vous croyiez cela.
286 Partout dans le bâtiment, j’aimerais que vous ayez foi en Dieu, que vous croyiez tout simplement et que vous disiez: «Seigneur Jésus, cet homme ne me connaît pas. Et j’ai entendu parler de ceci, mais peut-être que c’est vrai, et peut-être... Je ne sais pas. Mais je suis sûr qu’il ne me connaît pas. Et je sais que s’il peut me révéler... eh bien, il dit: «Votre guérison est déjà acquise.»
287 Si Jésus se tenait debout juste ici en ce moment, portant ce costume qu’Il m’a donné, Il ne pourrait pas vous guérir. Combien savent cela, vous les étudiants de la Bible? Non, Il l’a déjà fait. Voyez? Voyez? Il a pu prouver qu’Il était Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement; pas par des cicatrices de clous. Sa Vie! N’importe qui peut porter des cicatrices de clous et avoir de longs cheveux et peut-être une barbe. Et nous ne savons même pas si c’est ainsi qu’Il se coiffait. Nous ne pouvons même pas dire si c’était comme cela. Vous voyez? Mais n’importe quel homme peut faire cela. Mais Sa Vie, c’est de cela qu’il s’agit, Sa Vie en vous.
288 Maintenant priez et dites: «Seigneur Jésus, laisse-moi Te toucher», et découvrir s’Il reste le même hier, aujourd’hui et éternellement. S’Il le fait, croirez-vous? Vous savez bien que c’est comme cela qu’Il l’a prouvé. Il a ainsi prouvé qu’Il était le Messie.
289 Cette petite dame assise là, qui continue à lever les yeux vers moi, et qui met ses mains sur son visage et ainsi de suite, vous avez un... Vous n’avez pas de carte de prière, je pense. Vous, je veux dire cette petite dame, vous n’avez pas de carte de prière. Non. Ça va, croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Si alors le Seigneur Jésus-Christ... Nous sommes totalement étrangers; nous sommes–nous sommes de races différentes, l’un et l’autre. Mais si je peux tout simplement vous parler.
290 Devant vous est assis l’un de mes bons amis, monsieur Dauch, de l’Ohio, il a eu un arrêt cardiaque total, il n’y a pas longtemps, à l’âge de quatre-vingt-dix ans. Les médecins l’ont abandonné et tout. Je me suis mis en route vers chez lui. C’est un aimable frère, lui et son aimable épouse, ils sont assis là. Ce sont de bons amis à moi. Et je me suis mis en route vers chez lui et je venais de sortir d’une station d’essence, essayant de l’atteindre, à environ quelques deux ou trois cents miles de chez moi. Et je conduisais à vive allure pour l’atteindre, parce qu’il... Sa femme m’a téléphoné, disant: «Bill est mourant.» Un arrêt cardiaque total et une crise cardiaque à quatre-vingt-dix ans; je suis sorti de la station d’essence en trombe et j’ai vu Bill debout devant moi, il marchait vers moi sur la rue. «Je suis venu avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il ne mourra pas.»
291 Le voici assis juste ici en ce moment. Ça fait des mois que cela est arrivé. Il a beaucoup de foi. Il est assis près de cette femme. Elle est assise juste derrière lui. Il croit. Elle croit aussi.
292 Eh bien, je ne vous connais pas. Mais si Jésus-Christ... pendant que... Nous sommes en train de parler maintenant comme notre Seigneur parlait à la femme au puits. Et s’Il me révèle ce qu’est votre problème, ce que vous désirez, ou quelque chose de ce genre, eh bien, vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou pas, n’est-ce pas? C’est pour un fils, et ce fils a une maladie mentale. C’est un... Si c’est vrai, levez les mains, si c’est cela. C’est–c’est vrai. C’est vrai. Ça va. Si vous croyez de tout votre coeur, et que vous preniez ce foulard avec lequel vous avez essuyé votre visage et que vous le posiez sur lui, directement sur son corps, et que vous ne doutiez pas, cette maladie le quittera. Maintenant, le Dieu même qui peut vous révéler... Ne doutez pas. Ne pouvez-vous pas voir ce qui est arrivé?
293 Regardez à cela, juste à cette–cette femme, Cela va vers elle, celle qui est assise ici, une–une dame de couleur. Je vous suis étranger. Mais il y a quelque chose que vous désirez. Et moi, étant un étranger, d’une autre race, c’est juste comme notre Seigneur et la femme au puits; l’un, un Juif, et l’autre, une Samaritaine. Si Dieu... Avez-vous une carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière. Je veux dire cette petite dame qui porte une robe rouge à rayures, juste là-bas. Oui. Ça va. Je–je–je ne vous connais pas. Nous sommes complètement étrangers. Est-ce vrai? Et maintenant si Dieu peut me révéler votre problème, ou quoi que ce soit, eh bien, vous reconnaîtrez si cela est vrai ou pas, n’est-ce pas? Franchement, vous n’avez rien qui cloche, seulement vous avez un coeur affamé. Vous cherchez le baptême du Saint-Esprit. Si c’est vrai, levez la main. Alors vous le recevrez, c’est vrai, si vous...?... Si vous croyez de tout votre coeur. Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu. Amen. Oui. Est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Je veux que vous croyiez avec tout ce qu’il y a en vous.
294 Il y a une dame assise ici, qui me regarde droit en face, juste là dans cette allée ici, elle souffre d’une maladie de coeur. J’espère qu’elle ne manquera pas la chose. Ô Dieu, dis-moi de qui il s’agit. Elle s’appelle madame Fitzgerald. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous pouvez obtenir votre guérison. Levez la main. Je vous suis étranger. Est-ce vrai? Votre maladie de coeur est terminée, est-ce là votre nom? C’est vrai. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie.
295 La dame qui est juste derrière vous, a une grande foi maintenant. Elle a une carte de prière dans sa main, mais cette dame souffre. Et étant donné que c’est le Saint-Esprit, cette Lumière qui est encore suspendue là au-dessus de cette femme... Elle souffre d’un... Elle a une tumeur au cou. Et elle a aussi un estomac qui s’affaisse. C’est vrai. C’est vrai, n’est-ce pas? Déposez tout simplement votre carte de prière par terre, vous n’en avez plus besoin. Ayez foi en Dieu. Croyez.
296 Croyez-vous de tout votre coeur? Voyez-vous? Ayez tout simplement la foi. Ne doutez pas. Il y a un homme là tout au fond, il a une tumeur.
297 Voyez, ce démon pensait que cet homme allait manquer cela à ce moment-là. Il y a un homme assis juste par ici, qui a une tumeur. La tumeur se trouve dans son dos. Je ne connais pas cet homme. Je ne l’ai jamais vu. Il m’est complètement étranger. Mais lorsque j’ai vu ce démon sortir là, cette ombre noire, et je l’ai vu ensuite aller vite dans cette direction, il est allé vers cette personne pour chercher un secours. Ils essaient de s’attrouper là. Satan pensait qu’il allait manquer cela, voyez, il pensait que j’allais manquer cela. Mais le Seigneur me l’a montré.
298 L’homme qui est assis juste ici, il a une tumeur dans le dos, et il s’appelle monsieur Carson. Si cela est vrai, levez-vous, et soyez guéri au Nom de Jésus-Christ.
299 Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Ayez la foi. Si vous...
300 Il y a une femme qui est assise par ici. Elle a un problème de reins. Elle a des complications. Elle s’appelle madame Byrd. C’est vrai. Est-ce là votre nom, Madame? Je vous suis étranger, et c’est ça la maladie que vous aviez, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez-vous et acceptez votre guérison, au Nom de Jésus-Christ.
301 Allez demander à ces gens. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ne–ne vous rendez-vous pas compte que Sa Présence est ici?
302 C’était mon fils qui me parlait, disant: «Il serait mieux de ne pas continuer.» Voyez, j’ai une réunion demain, le lendemain et ainsi de suite, voyez.
303 J’invite tout homme ou toute femme ici dans la salle à croire. Vous ne pouvez pas cacher votre vie si vous l’avez fait, maintenant dans la Présence de Dieu. C’est exactement ce que notre Seigneur a fait. C’est exactement ce qu’Il a promis pour les derniers jours. C’est exactement ce qui est arrivé avant que Sodome soit brûlée. C’est exactement le dernier signe qui devait venir dans l’église, et nous sommes maintenant au temps de la fin. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
304 Quel est le numéro de votre carte de prière? [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] Ça va, je vais vous dire ce qui serait mieux, prenons les gens par section. Il dit qu’il y a beaucoup de cartes de prière. Maintenant vous voyez que Dieu est ici.
305 Eh bien, y a-t-il des prédicateurs? Ça, c’est bien, Frère Vick? Y a-t-il ici des prédicateurs, mes frères? Maintenant, je vais imposer les mains à ces gens, je n’aimerais pas que les gens aillent dire: «C’est frère Branham qui a fait cela.» Vous voyez? Je–je ne suis que votre frère. Votre pasteur a tout autant le droit de prier pour les malades que moi.
306 Peut-être qu’il n’a pas ce don-ci; non, il n’en a pas, voyez. Une seule personne sur la terre en a, à une période donnée. C’est exactement ce que la Bible dit, voyez. C’est vrai. Et, c’est... Maintenant remarquez.
307 Mais votre pasteur est ordonné de Dieu, si c’est un croyant, à prier pour les malades. Et je demande à certains d’entre vous, les frères prédicateurs, de venir ici et de vous tenir avec moi pendant que nous allons prier; que les ministres remplis de Dieu–de l’Esprit qui croient dans la prière pour les malades, avec frère Vick et frère Boze... Où est le docteur Lee Vayle et les autres qui voudraient venir ici, afin que... La Bible dit: «Voici les miracles...»
308 Arrêtons-nous juste ici, mes frères. Et si vous veniez juste ici? Venez juste ici. Oui.
309 «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Croyez-vous que nous sommes dans la Divine Présence de Christ? [«Amen.»] Amen.
310 Je voulais tout simplement que vous voyiez. En effet, j’ai parlé comme je l’ai fait, dans un but, voyez, ou le but a été atteint. De grandes choses sont sur le point de s’accomplir. Si seulement vous croyez cela.
311 Eh bien, je vais vous dire ce que j’aimerais que vous fassiez, mes frères. J’aimerais que vous puissiez vous partager une moitié de ce côté-ci, et une moitié de l’autre côté, et que vous formiez quelque chose comme une petite allée par ici, afin que les gens puissent venir par là. Je vais descendre pour être avec vous.
312 Je vais demander à une personne, qui est un conducteur des chants, qu’il veuille bien venir ici, afin de conduire les chants. Je vais descendre là pour prier pour les gens. Qu’une personne se tienne ici afin de diriger les gens pour qui on va prier. Nous remercions la chorale pour nous avoir donné... C’est vraiment gentil de votre part, de nous avoir donné cet espace pour qu’on puisse passer comme cela. C’est bien.
313 Que les prédicateurs s’alignent juste comme ceci, tout droit. Tournez-vous et regardez-vous l’un l’autre en face, voyez, comme ceci, comme le frère et moi. Comme Billy Paul et moi ici, tenez-vous comme ceci, l’un avec l’autre.
314 Maintenant, combien ont de carte de prière de ce côté-ci? Faites voir vos mains. Il y en a un bon nombre. Je pense que ce serait mieux si nous pouvions laisser les gens sortir de ce côté-ci, et qu’ils descendent de ce côté-ci, dans cette direction. Maintenant avant que vous... Mais laissons la première partie de la ligne, de ceux qui ont des cartes, qu’on les laisse s’aligner juste ici, et nous commencerons à prier pour les malades, et à leur imposer les mains.
315 Je me demande combien de personnes il y a ici ce soir, qui sont–qui sont en très bonne santé et qui s’intéressent à la guérison de ces gens. Levez la main. Certainement que vous vous y intéressez. Maintenant souvenez-vous, voudriez-vous prier avec moi? Priez avec moi. Maintenant priez avec vos pasteurs.
316 Maintenant, à vous les malades qui allez vous aligner et pour qui on va prier. Souvenez-vous, lorsque vous passerez par cette ligne et que ce prédicateur et moi-même nous vous toucherons, souvenez-vous, ce n’est qu’un acte identique à votre baptême. Vous êtes venus pour qu’on vous impose les mains par ces prédicateurs qui sont des croyants, cela... Dieu a promis: «La prière de la foi sauvera le malade. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Ces hommes sont venus ici pour témoigner qu’ils croient dans ce ministère. Et ils sont venus ici comme des associés à cela, avec vous ensemble. Nous sommes tous d’un même accord. Nous sommes dans un seul lieu au même moment. Il est temps maintenant pour la guérison. Mais, si vous n’y croyez pas, ne venez pas, parce que ça ne vous fera aucun bien. Voyez, vous devez croire cela. Maintenant, croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]
317 Maintenant inclinons la tête pendant juste quelques instants. Et nous allons chanter tout doucement maintenant. Que tout le monde incline la tête. «Seigneur, je crois,» Crois Seulement, maintenant tous ensemble. Restons maintenant en prière, voyez?
318 Imaginons-nous que nous voyons Jésus descendre de la montagne. Quel Jésus? Ce même Jésus qui est ici sous la forme du Saint-Esprit. Le même qui connaît ce qui se trouve dans votre coeur, que vous croyez réellement ou pas. Le même qui connaît tout à votre sujet, qui vous révèle cela soir après soir. C’est Lui. Vous savez que ça ne peut pas être moi.
319 Et maintenant, après que Sa–Sa Présence... Maintenant, la petite femme syro-phénicienne, souvenez-vous, après qu’elle était entrée dans la Présence de Jésus, elle avait toujours des ennuis. Vous aurez des ennuis. Lorsque vous passerez dans cette ligne, j’aimerais que vous tous, vous croyiez que vous serez guéris. Sinon, n’y entrez pas. Ne–ne prenez tout simplement pas la place des autres. Restez là jusqu’à ce que vous ayez assez de foi pour croire que vous serez guéri, et alors Dieu vous l’accordera.
320 Maintenant, ceux qui sont à ma droite par ici, alignez-vous de côté, pendant que les autres chantent Crois Seulement. Vous qui avez une carte de prière, certains jeunes gens se tiendront là pour recevoir votre carte de prière pendant que vous entrerez dans la ligne de ce côté-ci, du côté droit. Sortez du côté droit si vous le pouvez, parce que cela risquerait de leur donner de la confusion, en commençant par ici. Vous ne pouvez pas aller en reculant. Il vous faut venir tout autour comme ceci dans cette direction, voyez; vous devez venir par un seul chemin et tourner. Si vous, les frères vous voudriez–voudriez un peu aller là derrière et leur permettre de passer par ici. C’est un peu... Peut-être que ça semble un peu comme de la confusion, parce qu’il y a un–un–un groupe considérable de gens dont on doit s’occuper. Mais maintenant, observez mon fils, Billy Paul; observez les huissiers là-bas; ils vous diront juste comment vous y prendre, vous ne serez pas du tout dans la confusion. Et puis, vous voyez, de ce côté-ci, au fur et à mesure que vous passerez dans la ligne de prière, ensuite vous retournerez à votre siège. Et puis, nous prendrons cet autre côté par ici, et les gens viendront de cette direction et passeront, voyez.
321 Maintenant, nous allons nous tenir ici et vice versa, d’un côté à l’autre de la ligne, et nous prierons pour les gens. Très bien.
322 Maintenant, je crois que si vous les frères, vous descendiez un tout petit peu, pour que ces frères par ici puissent entrer juste ici, afin que nous puissions tous imposer les mains aux malades. C’est très bien.
323 Maintenant écoutez, frères, chacun de vous maintenant. Chacun de vous les frères, est-ce que vous vous rendez compte de ce que vous êtes en train de faire, voyez, connaissez-vous la position où Dieu vous a placés? Maintenant ceci interpelle votre foi. Souvenez-vous tout simplement qu’il vous faut croire que toute personne que vous touchez, vous, doit être guérie. Ils doivent l’être. C’est ce que Dieu a dit. Je vais les toucher avec vous, et je crois qu’en rentrant, ils vont recouvrer la santé. Ne croyez-vous pas cela? [Les frères disent: «Amen.» - N.D.E.] Offrons juste un mot de prière entre nous, pendant que les autres parmi vous continuent à s’aligner, nous allons prier pour l’état de notre propre foi.
324 Père céleste, il y a beaucoup de malades ici. Et certains d’entre eux, Seigneur, croient toujours que les anciens devraient leur imposer les mains. C’est tout à fait correct, Père. Nous savons que c’est ce que Tu as enseigné. Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Tu l’as promis, et les gens croient à cette promesse qui est la leur. Ta Présence est ici. Personne ne peut en douter, Seigneur. Et voici Tes ministres ordonnés qui se tiennent ici, ordonnés du Saint-Esprit pour offrir la prière pour les malades.
325 Maintenant, Seigneur Dieu, permets que toute personne que nous allons toucher ce soir, soit guérie. Nous offrons la prière de la foi pour ces gens-ci en ce moment. Nous allons croire que quand nous leur imposerons les mains, ils seront guéris. Amen. Conditionne-nous, Seigneur. Ôte notre péché et notre–et notre iniquité. Purifie-nous avec le Sang du Seigneur Jésus-Christ, afin que nous puissions... Nos mains ne sont pas saintes. Ce n’est que par Ta sainteté qu’il nous est permis de faire ceci. Ainsi, accorde cela, Seigneur, alors que je me remets moi-même, avec ce groupe de frères avec lesquels nous sommes ici pour aider ces gens à être guéris. Accorde-le, Seigneur.
326 Et maintenant, je prie pour ces gens, tous ceux qui passeront dans la ligne de prière. Ô Dieu, ils viennent comme s’ils venaient pour le baptême d’eau, ils viennent tout droit à la table du Seigneur; ils viennent sous la Croix du Calvaire. Au fur et à mesure qu’ils passeront ici, qu’ils se rendent compte que le Christ invisible qui se tient parmi ces frères, se tient ici maintenant pour leur accorder la récompense pour leur foi. Et je remets le tout à Toi maintenant, Père, au Nom de Jésus-Christ.
327 Maintenant, j’aimerais que tous les autres inclinent la tête. Maintenant, suivez attentivement les instructions qui vous sont données. Sinon, vous ne faites qu’une promenade, voyez. Maintenant souvenez-vous, si Dieu me permet de connaître les maladies et les autres choses, et si vous croyez cela, voyez, maintenant croyez ma parole, vous devez croire que ceci règle la question. Sinon, cela peut empirer votre cas. Voyez, réglez toute chose! Si dans votre vie vous avez un péché, quittez la ligne et confessez cela. Et n’entrez pas dans la ligne avant d’avoir prié à fond. Et si vous allez utiliser votre vie pour quelque chose d’autre que la gloire de Dieu, n’entrez pas dans la ligne. Vous voyez? Si vous êtes prêt à vous consacrer à Christ, à vous abandonner complètement, et que vous êtes pleinement persuadé que c’est Jésus-Christ, ce grand Saint-Esprit qui est ici, et que vous allez recevoir votre guérison lorsque vous passerez par cette ligne, peu importe si vous sentez un changement ou ce que c’est, vous allez persister pour vous accrocher à la promesse de Dieu, jusqu’à ce que vienne la victoire, comme cette femme dont nous avons parlé. Auditoire, est-ce que c’est ce que vous ressentez? Si c’est le cas, levez la main et dites: «J’accepte cela.» [L’assemblée se réjouit.–N.D.E.] Je ne vois aucune raison pour que quelqu’un ressorte d’ici malade, ce soir.
328 Maintenant, j’aimerais que vous qui n’êtes pas dans la ligne, vous puissiez prier. Je pense que frère Joseph va se tenir ici pour conduire les chants, et moi je vais descendre d’ici, pour que je puisse prier aussi, et imposer les mains à ces gens au fur et à mesure qu’ils vont passer.
329 Maintenant écoutez, les amis; les services se tiendront demain soir. Nous ne savons pas ce qui va arriver, si quelqu’un sera guéri, poussera des cris, louera Dieu, et ainsi de suite. Nous pourrions ne pas être officiellement congédiés d’ici peu maintenant, mais s’il vous plaît, restez et priez avec nous. Nous avons besoin de vous juste maintenant. Priez afin que l’ennemi ne puisse pas bourrer de doute l’esprit de ces gens. Qu’en serait-il si c’est votre mère qui se tenait là, votre soeur, votre femme, votre époux, votre bébé? Vous aimeriez que quelqu’un prie très sincèrement. Souvenez-vous, il s’agit de la mère de quelqu’un, de la soeur de quelqu’un, du frère de quelqu’un, de l’enfant de quelqu’un et nous voudrions être sincères à ce sujet.
330 Et lorsque nous prions, j’aimerais que vous les hommes, de tout votre coeur, lorsque vous imposerez les mains à ces malades que vous croyiez que Dieu va guérir cette personne, parce qu’elle va croire cela.
331 Et maintenant, d’ici demain soir, eh bien, avant que je ne monte à l’estrade, demain soir, il devrait y avoir trois ou quatre cents témoignages qui passeront ici comme quoi: «Je portais des béquilles. J’étais... et je ne les porte plus. J’étais malade, je ne le suis plus.» Dans les vingt-quatre prochaines heures, les démons seront en train de quitter cet endroit, parce que les bénédictions sont prononcées sur ces gens.
332 Maintenant, inclinons la tête alors que nous prions, chacun pendant que ces gens passent dans la ligne maintenant. Frère, imposez tout simplement vos mains aux malades. Bien.
333 [Frère Branham descend avec les ministres et prient pour les malades. Frère Joseph Boze conduit l’assemblée dans les chants. Espace vide sur la bande.–N.D.E.]
334 Ne vous sentez-vous pas bien maintenant? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Combien parmi vous croient qu’ils sont guéris? [«Amen.»] En passant ici dans la ligne, bien des fois continuellement, il est arrivé juste ici, avant que les gens ne quittent l’estrade... Je crois que chacun de vous sera guéri. Oh! je–je le crois. J’accepte cela pour vous. J’associe ma foi à la vôtre, afin que vous soyez guéris. Croyez-vous cela, frères? [«Amen.»] Oh! la la! N’est-il pas merveilleux?
335 Maintenant, chantons-Lui un chant de louange avant d’être congédiés. Et puis levons nos mains, et gardons-les levées très haut. Et souvenez-vous, nous sommes restés du début jusqu’à la fin près de la croix, et c’est là que nous avons reçu la Lumière.
A la croix,... où j’ai vu la Lumière pour la première fois,
Et le fardeau de mon coeur a été ôté,
Oh! c’était là que par la foi j’ai recouvré la vue,
Et maintenant je suis heureux tout le long du jour!
A la croix, à la croix où j’ai vu la Lumière pour la première fois,
Et le fardeau de mon coeur a été ôté,
Oh! c’était là que par la foi j’ai recouvré la vue,
Et...
1 Thanks. Thank you, Brother Joseph. "Now I believe."
Now I believe, now I believe,
All things are possible, now I believe;
Now I believe, now I believe,
All things are possible, now I believe.
Let us bow our hearts now in His Presence. Our heavenly Father, we are grateful to Thee again tonight, because that You have been with us through the day, and have guided our steps. And we are assembled together again tonight, in the Name of the lovely Lord Jesus. And we are here under great expectations. We are looking now for the time that You will give us the climax of this gathering together, that when You will heal the sick, all the afflicted people tonight. May there not be a feeble person left among us tonight. May their faith move up, Lord, from--and don't look at their troubles any more, but to the One Who has--is the Remedy, or the Cure for their troubles. And, God, we pray that You will break the Bread of Life to us afresh from Thy Word that'll encourage us. "For faith cometh by hearing, and that the Word of God." And we will praise Thee, for we ask it in Jesus' Name. Amen. (Can be seated.)
3 So glad to be back here tonight. I just passed by the door out there a few moments ago, and there was a great multitude of people milling around, walking up-and-down the streets. And the--the bus driver said that... or the (Pardon me.)--the cab driver said, "Them people didn't come to church, did they?"
I said, "Yes, sir. They can't get in," I said. The people has claimed that people don't like to go to church. See? But they--they... I believe that the Gospel yet is the--is--is the greatest drawing power there is on earth, yet in its simplicity.
4 Had a great time at the Full Gospel Business Men's breakfast this morning. The Lord did bless us. He met with us there in a great way. They had sold, I believe they said, seventeen hundred tickets, and they let in three hundred more, and then they couldn't let no one in no more, and they stood in the aisles and around the doors. And--and the Lord, when we made the altar call, gave us many to rise to receive Eternal Life. So that we're very thankful for.
5 And--and then I want to thank some brother. He couldn't get in out there, I don't think. And he--he gave Billy awhile ago a carton of .22 bullets for me. I got them back here. I'll enjoy them, sure. Thank you very much, if you're outside and can hear it, or inside, whichever it is. I certainly...
That's been a great blessing to me, sometimes target shooting. And now, you have to have something to kinda let off the pressure. And so that's the way I do it. Sometime when I get a chance, and can, why, I run out to the range and shoot a little while, just merely to let off the steam. You... I believe Jesus said, "Let's come apart into the wilderness awhile."
7 Now, we love you so much. And tomorrow is Sunday, and everyone wants to go to church on Sunday. And I know, or pretty sure, you all know where the--the (I try to say stone church, it's) Rock Church is. That's the church that's sponsoring this meeting, I guess, and others are visiting here. And you strangers that's out of town, that's come in to the meeting, and if you don't... Now, if you have a post of duty, you go there. That's what you're supposed to do. Always stand at your post of duty. That's your--that's your duty to God and to your pastor, to the rest of the congregation. But if you don't have any place to go, I'm sure you'd be certainly welcome at the Rock Church, for I guess they've announced the services.
8 And--and you people that get saved in these meetings, we never know. Now, the--we usually make an altar call, what we call an altar call (See?), and that's--that's all right. I have nothing against that. That's good. But I believe, if you'll remember the Scripture, they--they didn't have an altar call. "As many as believed (See?), they were added to the church": believers.
And--and if you don't have a church, well, I'm sure that Brother Vick would welcome you to his church, or any of these other men around here. If you haven't had Christian baptism yet, consult them. And don't stop. Just keep on going; just keep pressing on.
10 We never know, never even know how many is healed. And you pastors, brethren, just remember, when the meeting's over, maybe weeks, somebody come up to you, like a little lady, and say, "You know, I used to have a lady's trouble, it isn't there no more." Somebody, "I--I, you know, all at once, I just --didn't want no more cigarettes. It just all left me." See? They--they're healed, so many, you can't call them. See, it's just everywhere. And I've never had a meeting yet but what that was the results afterwards, where the Lord healed the people, and they wasn't conscious of it right then, but they--they got all right. And first thing you know, they was, they just get up and walk away, and it's all over. But maybe they don't understand it right then, but it's, by-and-by it's over.
11 I remember in Finland, long ago. I guess there's Finnish people here. There was a little boy had been raised from the dead. You probably read--read the book of it. The news went in, all into Russia...?... But I saw it in a vision before it happened, two years, and told it across the nation.
I remember that little Finnish girl, that night standing out there in the hall, and she had one leg was about six or eight inches shorter than the other one. She had a big built up shoe, with a--a strap around her, and one in her toe, a little hook. And she had the--the belt over her shoulder, and come across this a way and down into the toe of her shoe. She had two crutches. And poor little ragged-looking fellow... And every time she'd go to move, she'd have to lift that foot up with her shoulder, that strap; and then shove it out like that, and set it down, and then put the crutch down. And we had to...
We was at what they call (now the Finnish brother, sister here, I--I don't pronounce this right) Messuhalli, and it run all the alphabets. And they'd let about twenty thousand come in, or whatever it was; and then had them go out, and then let me speak to another twenty thousand.
14 And the little boy had been raised from the dead, at Kuopio, had been killed by an automobile. And, oh, my. They don't broadcast rock-and-roll and things there; it's just news and things; so this got on the news. And they come all the way from Russia up in there.
And I seen that night... That was right after the war, about five years, I guess, after the war. And I seen Russian soldiers and Finnish soldiers with their arms around one another, loving each another, patting each other on the back. Anything will make a Russian pat a Finn will settle wars; that--that takes the love of Jesus Christ to do that.
16 But, and those great big communistic soldiers standing there... We passed by a group of little Finnish soldiers, little fellows had never shaved yet, just slick-faced, with them big boots on, coming down the street, watching the people. They was just crowded on both sides for city blocks. And those soldiers standing at attention, the tears run off their cheeks. They said, "We'll receive a God that can raise the dead." See? They're human beings like we are.
But what it is, thing that professes Christianity and doesn't produce any results, they lay it aside. They want some reality. See, that's the reason communism's raised up, because the letdown of the church. The church is guilty of communism, because it was the one who let down. And now just think, only one percent of Russia now is communist: one percent. Ninety-nine percent of the people are still Christians. What they need is a real on Fire, with a prophet with THUS SAITH THE LORD, that (See?)--that would drive the communistic force into the sea. What we need... They need the real Christianity.
And these Russian soldiers standing there that night, I come into a little vestibule and into a little hall. And this little girl, I'll never forget her, she was--she was little ragged hair and little skirts ragged. And--and she'd come out of the--the ladies' room. And they were told not to bother me.
19 I'd get out on the street and buy candy. I--I have children myself, and I--I like children. I think anybody that doesn't like children, there's something wrong with them. And so these little fellows, I'd have a string a half a block long following me. I'd give them candy. They'd give me some of that money there, and it was no good here, great big bills like that, and I'd buy candy. I don't know what I was buying, but I give it to them. And then... And they asked them on the streets, you know, if I walked around, just kind of go ahead and ignore me, I guess, so get a little exercise.
And then when I come in that night, that little girl thought she'd done something wrong, and I know she ducked her little head. And she looked up out of her little blue eyes, and she was going to see what I was going to say.
21 And the two soldiers in front of me, had went on to the door. And they were singing, "Only Believe." Two more was behind me. I motioned to them, "Stop."
I wanted to see what that child would do. She was about, I guess, about eight years old, ten. I learned later, she was a little Finnish war orphan. Her father and mother had been killed in the Russian war. And so I--I looked at the little fellow, and--and she had these crutches. And she thought that I'd--she had done something wrong, you know.
23 And I looked at her. I said, "You want to see me?" And 'course she couldn't understand English. And I motioned my finger to her, come over there. And she raised up her head and looked kind of childish like. She put these little crutches out, and raised her little limb up, kinda like that. And here she come, walking over.
I thought, "I'll just see what the child does." And I just stood there like that. And she got real close to me, and she looked at me; and looked up like that, and looked down. I thought, "I'll just see what she does." And she picked up my coat, looked at it in her hand, and kissed my coat pocket, and put her hand down.
25 I was going to say to her, "My little sister," I didn't know how to talk. And I looked out in front; I seen her running down the street just as normally as any child. And I said now, I couldn't talk to her, I said, "Honey, Jesus Christ makes you well."
And she pulled her little skirt out, typical little Finnish, and said, "Kiitos." That means, "Thank you," (See?), for kissing the pocket. I--I believe, if I'd have been the biggest hypocrite in the world, God would've honored that child's faith.
And so she... I thought "Well, she'll find it out after while anyhow. See, it'll go on, she'll be all right, 'cause I done seen her in the vision." It has to be. What I tell, it just--it has to be.
28 So that night, there had been so many things the Lord had did, and I was just about ready to leave. And I said, "Well, just call a few more. "
And my brother said, "No," said, "you're..." And Brother Baxter said, "You're worn out now, Brother Branham." Said, "Now, you just--you just quit now, come on, 'cause we got to go somewhere else." And said, "You just...
I said, "Well, I just feel maybe to have about four or five more, there's so many here."
And so the next one in the prayer line was that little girl. The Lord just knows how to work things just right. So I said, "Mrs. Isaacson..." She may be here now. She was my voice of Finland. And so I said, "Now, you just say the words that I say." She said, "All right."
And I said, "Honey, the Lord Jesus healed you, rewarded you out there, for that what you did." I said, "Now, you go over there and have some of the men to take those braces off. Just watch what happens." And she hobbled across the platform. And I kept on with the rest of them.
In a few moments, here she come with the shoes, braces over her head, just as normal, both limbs as they could be, and run up-and-down the steps. You see? Faith, faith, love finds its place. That's right.
34 I had a little experience today, and just show you what fellowship means. I was... The last time here in New York, or I was over here to Brother Hudson, I think, in... That one, I don't think that was in New York. That's... I don't know which is New York around here. And it's all New York to me, all the way from Tucson here, looks to be.
So then I used to come here with Sister Brown and Brother Berg. I'm sure many of you know them. And I've been trying to get ahold of that dear old saint for the last day or two. And there's no one in church, and then today I got her on the phone. I got ahold of the janitor. And, well, I thought I was talking to a sixteen-year-old girl; she's got so much spring in her voice. I said, "Sister Brown, you would never guess in a--in a month of Sundays, who this is."
And she said, "Bless your heart, I sure wouldn't."
And just as happy as she could be. I said, "Brother Branham," and she just started screaming; just such a sweet old thing.
And she's eighty-three years old, and preaches twice a week. And just think, she entered the ministry before I was born. And I was about ready to give up, because I was getting so old. I took new courage.
38 And I told her I was here with Brother Vick over here. And the nice things that she said about Brother Vick... I tell you, I--I... That--that makes... That's real Christianity. Both of them big churches right here in New York, no competition among them (You see?), just really brothers and sisters in Christ. I tell you, that means a whole lot for the pastor, you know. Both of them here, old churches established like this, and still just brother and sister, working hand in hand. That's the way you should do it. That's very fine. I think that's complimentary to Brother Vick of his great work here for the Lord, and his great feelings for others, and both of them. The Lord let them live a long, long time yet.
And, Brother Vick, I thought we were getting pretty old, but we're children yet. See? We're just children.
40 I remember Brother Bosworth when he was dying; he was eighty-four. I said, I liked to a burnt my old car up from getting down there to see him. Then I seen him raise up, his little bald head; he raised his arms out like that, I just fell right in his arms, and screamed, "My father, my father, the chariots of Israel and the horsemen thereof." And I said, "Brother Bosworth, I want to ask you," I said, "are you sick?"
Said, "No."
I said, "Well, what's the matter?"
He said, "I'm just going home." Yes. You know his sense of humor.
And I--I said, "Well, Brother Bosworth," I said, "I'd like to ask you something. When was your best time?"
He said, "Right now."
And I said, "Yet you know you're dying?"
He said, "I can't die." Said, "I died about seventy years ago," he said. He said, "I--I'm a new creature in Christ." And he said, "Brother Branham, all that I have lived for, for the past sixty years, has been the Lord Jesus. And any minute I'm looking for Him to walk in the door and go with Him for eternity." I thought.
44 I remember Paul Rader. How many can? Many remember Paul when he died out there. And they called, they had the Moody Bible Institute, I believe, sent down a--a little quartet to sing for him. And they were singing "Nearer, My God, to Thee," you know. And he said... He had a sense of humor, you know. He said, "Who's dying, me or you?" he said. He said, "Say," said, "raise up them shades, and sing me some, sing me some good snappy Gospel songs."
And they got to singing, "Down at the cross where my Saviour died, down there for cleansing from sin I cried!"
He said, "That sounds better." Said, "Where's my brother, Luke?"
"Well, Luke didn't want to see his brother die, so he was in the next room."
Said, "Go get him."
And Luke and Paul traveled together, like Billy Paul, my son and I travel together.
And Luke come in, tried to brace hisself up, and took ahold of Paul's hand. Paul reached up and got him, said, "Luke, we've come a long ways together, haven't we, brother?"
He said, "Yes."
Said, "But think of it. In five minutes from now, I'll be standing in the Presence of Jesus Christ, clothed in His righteousness." Oh, my. That's that... Let me go like that. That's it: clothed in His righteousness. In five minutes from the time he was holding his brother's hands, "I'll be standing in the Presence of Jesus Christ, clothed in His righteousness." He squeezed his brother's hands and went to meet Him. Oh, my, what a day that'll be, them gallant soldiers...
52 See, I stand here and talk to you, and all my time's gone, and guess that's the way it goes. Nine o'clock, and--but I'm going to hurry tonight, sure enough. Just got just a few little Scriptures that... I write down Scriptures and know where to refer to it next. Sometime make a... write out a name, and then ask Brother Vayle what it means, 'fore I come in, you know. I might get it out of the Bible here, and he tell me how to pronounce it. And so I lack a whole lot in education.
54 But I promised tonight to pray for the sick. And now, my main purpose, my--my meetings, is the reason I don't have too many times; once or twice, maybe, during a campaign, I'll bring the people up like I'm going to tonight, without the discerning, because just to lay hands on the sick. Many people believe that. Now, that, that's--that's good. That's the Scripture. See? But you remember, that was kind of the Jewish tradition. See, Jairus said, "Come lay Your hands upon my daughter, and she'll live."
But the Roman said, "I'm not worthy that You come under my roof. Just speak the Word." Watch what he testified. Said, "I'm a man under authority." He was a centurion. "And I--I say to this man, 'Goes' and he goes. And this one 'Comes,' and he comes." What was he testifying? That just Jesus' Word was enough to heal his servant; He had power over all sickness. "You just say the Word; my servant will live."
He turned around and said, "I never found faith like that in Israel." See? Now, that's where I try to get the people to believe.
57 You know, many people say, "Oh, glory to God, Brother So-and-so laid hands on me (Hallelujah.); I got well." That kinda looks like the brother had something to do with it. See?
Now, if you can just recognize the Presence of Jesus Christ (See?), and let... It's His hands that counts. See? And just accept Him, then nobody laid hands on you but Christ. See? You touched Him, and His hands touched you. See? And no man gets praise anywhere. It's all the praise... 'Cause that's all can be done anyhow. If we take any praise, we're robbing God from it, because God's the One that does the healing.
59 And remember, there is no such a thing as any--any man, be doctor or minister, that's a healer. "I'm the Lord thy God that heals all thy diseases." See? "All..." No medicine heals. There's not no doctor claims medicine to heal. No, no. Medicine only keeps clean while God heals. Medicine cannot build tissue, cannot mend a bone. See? You might cut appendix out, but who's going to heal the place it come out from. See? Might pull a tooth, but who's going to heal the place it come out of. See, see it? God's the Healer; He's the only Healer. The Scriptures doesn't lie, they're perfectly right, so He's the Healer.
60 I'm very grateful for all the--the things that we got, like medicines that they can think of that'll kill germs. Nothing against that. I pray constantly for that. But we get some place, we don't have any medicine to help the case. And then another thing, sometimes a medicine that'll help one will kill the other one. See?
But I know a Toxin that's absolutely not a remedy, but a cure; that's the Blood of Jesus Christ: faith in that Blood.
62 Now, tonight, oh, we--I... Did Billy... I forgot to ask him. I run in. Did he--he give out prayer cards, did he or didn't he? If he didn't, I was going to have him do it now. We are going to just talk a little bit about faith, and then--and then go right ahead and call this prayer line up, and pray for the sick, by laying hands upon them, try to get every person in the building that we can. Now, you have faith now.
63 I want you to give me your undivided attention just for a few moments as I read this Word. And now, I want to read from Saint Matthew's Gospel, the 15th verse--the 15th chapter, rather, beginning with the 21st verse. And this is not too much Scripture to read (You see?), it's a little bitty text. But, you know, it--it isn't the--the... It isn't how much; it's the quality of--not the quantity; the quality. See, there's enough on there, in them few verses there, to save the whole world. Sure. See, it's not--it's not the size of it; it's what it is. The...
64 I was telling here sometime ago, a--a little boy, I believe it was in this state, that was searching around an old attic and he found an--an old postage stamp. And--and he knowed a stamp collector, so he--he took it down to find out how much it was worth. And the stamp collector said... Oh, 'course, the little boy had ice cream in his mind, you know. He said, I'll--I'll give you a dollar for it." Well, my, that was, the sale was made right away. I think he sold it for about, I think, it was five hundred; and it went on to, the last time we heard, I forget how many hundreds it was worth. You see, the little old stamp, the paper wasn't the thing; it was just an old piece of paper not even worth picking up. But it was what was on it that counted.
65 That's the way with This here. This is just a piece of paper, but what's on it is the Word of the Lord, and that's what makes it so valuable. All right, 21st verse.
Then Jesus went thence, and departed into the coasts of Tyre and Sidon.
And, behold, a woman of Canaan came out of the same coasts, and cried unto him, saying, Have mercy on me, O Lord, thou son of David; my daughter is grievously vexed with a devil.
But he answered her not a word. And his disciples came and besought him, saying, Send her away; for she crieth after us.
But he answered and said, I am not--I am not sent but to the... unto the lost sheep of the house of Israel.
Then came she and worshipped him, saying, Lord, help me.
But he answered and said, It is not meet for me to take the children's bread, and to cast it unto dogs.
... she said, Truth, Lord: yet the dogs eat... the crumbs which fall from their masters' table.
Then Jesus answered and said unto her, O woman, great is thy faith: be it unto thee even as thou wilt.
And her daughter was made whole from that very hour.
66 Now, just for a few moments, in the way to make a--to build on this, I want to take a text to say what I've got written here on these Scriptures. I want to call perse--the word "Perseverance," and just one word, "Perseverant." Now, we know the word, I think that it means "to be persistent," and persistent in something that you're doing. In making a goal or something, you have to be persistent.
And men through all ages, that's had faith in what they're trying to achieve, had to be persistent, especially if you're trying to do something right. Because you're going to meet--you're going to meet an opposition.
69 You people, tonight, that's going to be prayed for, I'm saying this for your glory, for your understanding. If you're not ready to come in the prayer line, don't come. See? Because you must remember that this is the time when God is going to take you at your word, and you've got to take Him at His Word. And it doesn't matter what anyone else says, or how you feel, your feeling has nothing to do with it. Jesus never did say, "Did you feel it?" He said, "Did you believe it?" See? You must believe it. And your healing is already secured. Jesus Christ healed you at Calvary. And no matter what your trouble is, you must accept it. And before you can accept it, you've got to believe it. Because faith is based--or healing is based on faith, and faith is based on the Word.
Now, you can't say, "If I touch this microphone, I'll be healed." There's--there is no basic to that. See? That's in your mind.
But when it's the--THUS SAITH THE LORD, then you can know that's true, 'cause, "All heavens and earth will pass away, but His Word will never be changed." So it's true.
Now, you've got to be persistent. No matter how much the devil tries to tell you, "Well, you're just feeling bad." Don't you believe one word of it.
73 Here sometime ago, I was called to a bedside, took out of a meeting and called to a bedside where there was a--a young boy dying. And the old father came to me (It's been about fifteen years ago, I guess.), and he said, "Would you come to my son, he's--he's dying with a--a horrible thing?" It's a--a disease of the heart, I call... I believe it's called some kind of a--a heart disease; I forget what the name of it is now, but it was real, real bad.
And so I said, "Yes."
Oh, I beg your pardon; it went on to his heart, but it was polio that was in his body. It was polio. And that was before we had the Salk vaccine. And then the boy was real bad. And so when I went to pray, the doctor wouldn't let me in. And he said, "I can't let you in."
75 And I said, "Well, I'm..." I was about forty years old, and I said, "Well, I--I'm forty years old." I said I... "My faith tells me that it's all right for me to go pray for this man's boy, because he wants me to--to pray for him."
He said, "But, look," he said, "you're a married man. You have a child of your own. You'll pack that polio to the boy."
And I said, "Well, let me go in." He wouldn't do it.
And the man himself, the doctor, as I understood was Catholic. I said, "I want to ask you something. If I was a priest, and this man was Catholic, and that boy was dying, would you let me go give him the last rites."
He said, "That's different. That's a priest."
I said, "No. I mean just as much to them as a priest would to the man who was a Catholic."
And finally he said, "It's... If you'll sign this paper."
I said, "I'll sign anything. See?" And so he dressed me up like a Ku-Klux, and I--I got in there. I didn't mean to say that like that; forgive me (See?); but anyhow, white, and all over my face.
80 And I went in there, and the boy was so low till he was just barely breathing. And he'd been unconscious about two days. And I don't understand medicine and a great scientific researches that God has let men do, doctors for sick people, and so forth, but there's some kind of a--a cardiogram, something had taken. His heart was so low, I forget just what the beat was. It was just about gone. And so the mother was standing there, and I spoke to her. So I got on the other side of the bed. And the little nurse, oh, some nice little lady, she, I guess she was in her early twenties, maybe, twenty-one, twenty-two years old, she was the nurse that was attached to the--or had to take care of the patient.
81 And so I went across on the other side of the bed, and knelt down, and I just... A little simple prayer, and laid hands upon the--upon the boy. I said, "Lord Jesus, this father and mother has brought me here to pray for their son, and he's dying. And only You, Lord, can help him. And I know that You said, 'These signs shall follow them that believe; if they lay hands on the sick, they shall recover.' I plead that promise to You, Lord Jesus, for the sake of this boy's life." No change come at all. I said, "I thank You, Lord."
And the old father raised up, and said, "Lord, I am so grateful to You ever grateful for healing my son." And he reached around and the mother fell into his arms, and she said, "Dad, think of it, he's going to be well now." And I stood and looked, and they were happy and rejoicing, and weeping. The boy was just as low as he could be. They said, "Oh, it's wonderful."
83 And the little nurse looked around; she look at me. She said, "I--I believe you misunderstand the doctor's orders." She said, "I believe you misunderstand. The boy is dying."
"Oh," the old man said, "no, he isn't dying. He's going to live."
And so she said, "Look, sir," said, "I--I appreciate anyone having faith like that," but said, "how can you laugh and go on like that," said, "and you see there is no difference in the boy." And said, "The boy will die." Said, "He can't live. Well, we don't see how he's lived this long." Said, "It's never been knowing in--in among the sick people, or science, rather, that a person ever went that low with a heart beat like that," some kind of a cardiogram, something, "that ever come back again."
86 And I'll never forget that old man. He put his hands upon her shoulder, just like a father to a daughter, he said, "Look, my dear child." He said, "That cardiogram is what you're looking at. That's what you're trained to look at. And that's all you know about, is that cardiogram." But said, "I'm looking at a Divine promise." See?
The boy's married and got three children now. It depends on what you're looking at. He never got any better for two or three days. But after while, the first thing you know, here he come right out of it and went home. He's a missionary in South Africa now with three children.
88 Now, see, it just goes to show, you've got to be persistent. That never bothered that old man. That settled it.
Just as when that woman touched the garment of Jesus Christ, that settled it. That's all. She--she was persistent till she got there, but that settled it.
You must be the same way. You must be persistent. And anybody that's ever got anything, and ever been able to achieve anything, has been persistent.
91 George Washington was persistent at Valley Forge. All the odds was against him, and the--the enemy was across the river. But after all night in prayer... And the American soldiers with no shoes on their feet, about one third of them had shoes, and they crossed the river at Valley Forge through the ice. And three musket bullets went through his coat. But he had an answer from God, and there was no need of him backing down. Nothing could stop him then. He crossed it because that he was persistent. He had heard from God.
And that's the way we've got to be. If God says so, that settles it.
93 Noah was very perseverant after he had heard from God. When he heard the Word of God tell him to build an ark, he built it. No matter what anyone else said about it, and how anyone else thought about it, Noah was persistent. They might said, "Well, that old man, that rain story," and so forth, "The old fellow has just stayed up there in the sun too long. There's something wrong with him." That didn't stop him at all. He didn't hear a word of it. He just only heard; God said, "It's going to rain; build an ark," and he was persistent in doing it.
94 Now, Moses was very persistent; first, a running coward. He had been educated, and, oh, he could even teach the Egyptians wisdom. He was so smart, and yet he failed on the job. It took forty years to put the education in him, that Pharaoh give him; it took God forty years to take it out of him 'fore He could use him out in the wilderness. And sometimes we have to get emptied up before you can be filled up. And now, he'd been a failure. And he run out and married this beautiful Ethiopian girl, and was--and had settled down and had a son, Gershom, and going to fall heir to Jethro's sheep and everything. He had long forgot the feeling of the people.
95 But one day, while he was on the backside of the desert, traveling down a familiar old path, he saw a bush burning. Now, he never tried to examine the bush, and said, "I believe I'll go over and take off a few leaves, and take it down to the laboratory, and see what's the matter, that they don't burn up. And had been burning there for an hour, but they--they don't seem to, tree be consumed." If he'd have thought that, It'd never talked to him. But he drew up with this in his heart, that he would go to find out. And a Voice said, "Take off your shoes, for you're on holy ground."
96 I want you to notice. One day he's a running coward, and the next day he's a--a radical. The next day... When he had left Egypt, when he had the whole army in his hands, to deliver the people. And, you know, when you hear the Voice of God, It makes you act funny, do things funny, odd and peculiar. Now just think, he's eighty years old now, probably a beard hanging down to his waist, maybe his bald head shining, hair around his neck. And here he's on his road down to Egypt with his wife setting astraddle of a little mule, and the baby on her hip; a crooked stick in his hand, eyes up, just praising God. What an odd-looking sight.
"Where you going, Moses?"
"We're going down to Egypt to take over."
A one-man invasion... You couldn't stop him. He was persistent. Why? He'd heard the voice of God; that was enough to make him persistent.
An old man eighty years old was going to take over the nation, and he done it. He'd heard the voice of God. How's he going to take over, with that stick in his hand? A trained army, a million men standing there, more than a million men, had conquered the world in that day; and here goes an old man, eighty years old, wife setting on a mule, and a stick in his hand, going down to take the nation over. Why, people would thought he was crazy.
98 You know, when you hear the Voice of God, and hear the Word of God, you are kinda crazy to the world. But if you hear the Voice, you know what you're doing.
And nothing's going to stop Moses then, he was on his road. He was very persistent. Even when Pharaoh, he stood before him, and throwed down the stick and it turned into a serpent, and the magicians came and could do the same thing, Moses didn't run out like a coward. He stood there. He knowed God sent him, no matter how many carnal impersonators that the Devil could bring up. He stayed at his post of duty, 'cause he'd heard the Voice of God. He just stayed there and watched the serpents crawl, and, after while, his serpent come over, eat the rest of them up. What happened to them sticks that the serpent eat, where did they go to? Figure that one out. All right.
100 David, after he had trusted God, and saw the Lord God being with him, that helped him kill a bear single-handed and also a lion... And then he got a courage up, that God was with him. He knew God was with him, because God had done something for him. God's done something for you. He saved you; that's the greatest miracle there is.
Now, He's ready to do something else. And the time came that when Goliath made his boast. Why, David said, "You mean to say that the--that you'll let that uncircumcised Philistine stand there and defy the armies of the living God? What's the matter with you fellows?"
103 Well, Saul was the most able man among them, head and shoulders above his army. And this David was just a little runt, a little bitty fellow, ruddy-looking, kind of a--a boy like, little stoop-shouldered, little sheepherder. And so Saul said, "I admire your courage, son. But, you remember, that man's a warrior from his youth, and you're nothing but a youth."
He said, "But thy servant was keeping thy servant's sheep one time, and a bear come in and took one. I went after him, and the Lord delivered him in my hands." Said, "A lion went," and said, "I knocked him down with my slingshot. And when he got up, to roar against me, I took my knife, and caught him by the beard and killed him." And said, "How much more will the Lord God deliver that uncircumcised Philistine in my hand." Amen.
And if God saved your soul from a life of sin, how much more can He take that cancer.
106 Notice little old David. Saul said, "I admire your courage, but you're not a fighter. But if you want to go, I'll dress you up." So he took his armor off and put it on him.
Why, little old David with all that Ph.D. and D.D.D. hung onto him, he--why, he found out that Saul's ecclesiastical vest didn't fit a man of God. But he said, "I've never proved this stuff; take it off of me. Let me go the way I want to go, of what I know is right." Oh, my. And here he goes. And he was persistent, that he'd take Goliath, and he did. And he slew Goliath.
108 I think of his sheep. There David was such a loyal man to his post of duty. And this lion, which could've killed him easy, come in and took one of the father's sheep, and went out. And he didn't have nothing really to fight the lion with, but a little slingshot.
You boys know. How many times I've had to pay for a window. And a little piece of leather, with a string, you know, and ram this rock around and sling it. And we used to knock these old snake doctors off the fence, and things, and--and throw it with these slingshots.
That's all David had; wouldn't hardly kill a rabbit. But we find out that David, whatever he had in his hand, it wasn't very much, but he had courage. And he knew that was the father's sheep. And he was--he was sent out by the father to take care of these sheep. He was responsible for them. And now, he took whatever he had in his hand, and took out to get that sheep, persistently, that he'd take it away from that lion.
111 Did you ever see a lion, what it looks like? You've seen these in a cage; why, they're--they're kittens. You ought to hear one in the jungle. These fellows around here, they been in cage and captivity; you hear one of them roar, it sounds bad. You ought to hear one out in the jungle, hunting him, and know that he's hunting you too. Then, oh, my, he's a great fellow. When he roars, the beetles, monkeys, baboons, and jackals, everything stops. He's a king, and they give him room.
But here David goes with this little slingshot to bring back that sheep, and he did it.
113 Oh, my, how I could take a text on that for a few minutes. Yes, sir. You're God's sheep too. Disease has took ahold of you. I ain't got very much, not--not even a slingshot, but I got the Word. I'm coming after you tonight to bring you back. I'm coming to rescue you with the Word of the Lord. I don't know nothing about medicine and cutting on with knives, and things, but This I've proved. I know that This is right, so I'm coming after you sheep to bring you back to the shady green pastures of God's love again. God, help me with this little slingshot.
114 David had it wrapped in--in his fingers, and he had five stones in his hand. What is that? F-a-i-t-h in J-e-s-u-s. And here he comes, and he brought back the sheep.
Now, that's the way we're doing tonight, having faith in Jesus, and persistently we're going to stand on His untouched Word. And we believe that God will keep His Word. If He doesn't, then we're all lost. Every Word of God is punctuated with an "amen," to the believer. That's right. Yes, he was persistent.
116 And also Samson, when he met those Philistines, did you ever think of that? Why, Samson, they've got him pictured as a man having shoulders like barn doors. Well, it wouldn't be no--no secret to find a man like that, could pick up a lion and tear him in two. But Samson was a... Forgive me for this expression. I'll just make it like; he was a little curly-headed shrimp, just a little mama's boy, seven little sissy-like curls hanging down. See? What, and you remember, he was a weakling until the Spirit of the Lord came upon him, then he took the lion and tore him to pieces. That's right. First, the Spirit of the Lord upon him, then he knew where he was standing.
117 And if the church can only get anointed, anointed with real faith... When that lion roared, I guess Samson shook. But the Spirit of the Lord come upon him. He was persistent, said, "I'm ready to meet you," grabbed that lion, pulled him apart and throwed him over to one side, and walked on.
They fenced him in one night. And he picked up the gates of Gaza, put them upon his shoulders, and walked up to the top of the hill with them. My, oh, my, what a man, a little shrimp like that. But the thing of it was, the Spirit of the Lord was upon him. He was. That's what made the difference.
119 Then one day, he was surrounded by a thousand Philistines. And there he was; there wasn't nothing he had, so he picked up the jawbone of a mule, probably been dead for forty years or more; it was a real old dry bone. And those Philistines had on helmets, and coats of what they call mail, which is great big laps of steel or brass, and a helmet about an inch thick. And he picked up that jawbone of that mule and killed a thousand Philistines.
Did you ever think? Take that old dry jawbone off the desert there, and strike one of those helmets, why, that jawbone would go into a thousand pieces. But he stood there, and through them steel helmets, them with spears, just beat them right and left, till he beat down a thousand. The rest of them run up in the rocks.
What was it? As long as he could reach back there and feel them seven locks, that was God's covenant. There wasn't nothing going to bother him as long as he had that covenant promise.
122 And nothing can bother the Church of the living God as long as we can feel that Holy Ghost, the Covenant of God's Word in our hearts, the Pentecostal blessing. "For the works that I do, shall you do also. The Life that's in Me, will be in you. As the Father hath sent Me, so send I you." The Father that sent Him, come in Him. The Jesus that sends the man, goes in the man. It isn't the man; it's Jesus. It wasn't Jesus; it was God. "As the Father sent Me, so send I you. Lo, I am with you always, even to the consummation. I'll be with you to the end of the world. And the works that I do, shall you also. A little while and the world won't see Me no more; yet ye shall see Me (the believer), for I'll be with you, even in you, to the end of the world," Jesus Christ. As long as I can feel that Spirit of God around, something's going to happen. I can see people that'll believe It, that will reflect the praises and glory of God.
123 Every time you look at the moon, it isn't the moon shining; it's the sun shining on the moon. If I could to say, "Moon, what makes you shine?" he'd say, "It's not me shining. It's something shining on me. I'm supposed to keep the light going in the absence of the sun."
And the Church is a type of the moon. We're supposed to reflect the Light while the absence of the Son of God, 'cause we are sons and daughters of God, the lesser Light, and as long as we can see that moon reflects the same kind of Light the sun does... Oh, it isn't--it isn't the people, it's God in the people.
125 I used to, when I used to... I was game warden for several years. I love animals, and I--I like to take care of them. So I--I--I was a conservation officer for seven years. I used to pass by an old spring. That was the best spring I ever drank from. And I always liked it because it was so jolly, always bubbling up, just bubble, bubble, bubble. And I thought, "My." I lay down and drink. One day, I thought, "Little spring, what makes you so happy? Is it because that rabbits drink from you?"
If he could speak, he'd say, "No, that isn't what make me bubble."
And I'd say, "Maybe a deer drinks from you, once in a while."
"No, that isn't what makes me bubble."
"Well," I say, "little spring, maybe it's because I drink from you, about once a month."
Say, "No, that isn't it." I'd say, "Well, what makes you bubble like that all the time?"
If he could speak, he'd say, "It isn't me bubbling. It's something behind me, making me bubble. It's bubbling up."
And that's the way the Holy Spirit is to the believer. There's something behind you. You can't push It, tear It. It takes care of you. It's the One that does the bubbling. Something within you. As Jesus told the woman at the well, "A wells of water bubbling up into Everlasting Life," regular geysers just spraying up the joys of God through your soul all the time. And as long as the Church could feel that around them, what you--what you scared about. See?
132 Samson didn't fear. He was persistent. All he had was a--a jawbone of a mule, but he was persistent because he knowed his locks still hung there.
The doctor might've told you there is not a chance for you to get well. You're dying. You got cancer. But as long as you can sit here and feel the glorious resurrection of Jesus Christ, what difference does what the doctor says now makes any difference? See, you be persistent. He'd appreciate you if he's a good doctor, he'd tell you that he wants you to get well. That's what--that's what he wants you to do. And you must do it; to have faith, you must be persistent.
134 John was so sure that he'd see the right sign. He--he knowed God told him he'd know Who the Messiah was. He was so persistent.
And somebody might have said, "Well, don't you think this is Him?"
He said, "I'll know Him when He comes." He was so sure, that he said, "This is the Lamb of God that takes away the sin of the world." He knew it was. He testified to it. "I saw the Spirit of God descending from heaven upon Him like a dove, and I know that is the Son of God." Persistent. Oh, we could go on and on, with characters.
137 This little woman, she was a Greek from the country of Syrophenicia, and we find out that she must've heard about the praises and glory of the Lord Jesus. "Faith cometh by hearing, hearing the Word of God." She heard, and when she heard...
You know, faith finds sources that others don't see. Now, if you don't have faith, well, then there's no need of trying to show it to you. Because faith can see it. "Faith is the substance of things hoped for, the evidence of things not seen." Faith sees what the blind people doesn't see. Faith is the sixth sense. Five senses are fine, as long as they don't disagree with the sixth. But the sixth sense is faith, "It's the substance of things hoped for," you don't see, taste, feel, smell, or hear, but yet you know it. Faith tells you so. And it's so sure that it's real, that it comes to you a substance, not just imagination, it's something you have.
I see people come on the platform, say, "Brother Branham, I've got all faith."
"Well, what are you doing up here then?" See, see? See?
"I don't have it." And--but there when you got, when anything...
141 You've had things to happen, you just knew it was going to be. Yet you didn't know how it was going to be, but it was going to be. That--that's faith. That's real faith. It's going to happen then, when you know that it's going to be. Now, faith finds a source that others don't see.
His Word is a Sword. The Bible said so in Hebrews 4:12, that It is a Sword. But it takes an arm of faith to yield that sword. Only faith can do it, hold the sword.
143 She had many hindrances, this little woman. Now, she had a daughter that was--was having epilepsy, and she was very, very bad. And she'd heard that Jesus healed epilepsy. Now, "faith cometh by hearing," and that was her child, so she was determined to--to get down somewhere and hear Jesus. And now, she had many hindrances, just many, many hindrances, but her faith didn't have no hindrance.
Tonight people has lots of hindrances. If you... Your mind has lots of hindrances. But, your faith, there's nothing can stand in its way. Faith knows no hindrances.
145 Let's just think of some of the things that might've happened to this little woman. They might have said unto her, that, "You are a Greek." In other words, "Your denomination's not sponsoring that meeting down there. You don't have any right to go down there." Well, if that would been in her mind, she wouldn't have set very long anyhow. She... The jug would have filled up, and she'd have left. But we find out that didn't stop her. Whether she was Greek or not, she had faith. That's all she needed was faith.
146 Now, somebody might've come to her, and said, "Well, the days of miracles is passed. There is no such a thing. Those people are just a bunch of--of fanatics." But still she was persistent. She was going to go anyhow.
Let's think another one. Some of them might've said, "Well, you know what, your husband is a--is a notable man here in the city, and if you'd be caught down there with that group, well, your husband will actually leave you." But still she was persistent. She had faith and had a need to use it.
Some of them might've said, "Why, if you'd go down to the card game, or whatever kind of an amusement you go to, the people will laugh at you." She was still persistent.
And then that old thing might've come to her, "You know, the pastor will put you out of church if you go down there and get mixed up in something like that." But that didn't stop her. She was still persistent. She was going anyhow. Why? She had struck faith. Faith's going to do it. I don't care what others think; faith does it.
150 Finally, she made her way through all these obstacles, and she arrived at Jesus. Now, seemingly, all of her trouble was over; she arrived at Jesus; but it wasn't; it was just starting.
Many people would say, "Well, if I know Jesus..." Yes, we see that every night. See? He comes right with us, each night, proves Hisself to be here, but still we come back the next night with all of our troubles again. You see? See? Is that right? Now that's right.
152 She arrived at Jesus. She'll perhaps maybe... If she hadn't had that kind of faith, the first discouragement after finding Jesus, why, she would have been--she'd have blowed up, and went back. But, you see, faith won't do that. Faith won't turn it loose. Faith is persistent. It holds right on. Now, watch. She had all confidence and faith in this Man. Now, if she'd just been mocking, or just saying, "I'm going down to give it a try, I'll see what He's got to say. If He says some thing against our creed, we'll--we'll just leave. That's all." But she come to get something, and she was determined to stay there till she got it. There you are; that's the person; like the queen of the south, we preached on the other night.
153 Notice. When she got to Jesus, instead of getting a welcome, she got a turndown. Now, when you... What would you think of the people today would get to that spot and would be treated like that? Jesus told her right quick. After she come through all these barriers, and finally... [Blank.spot.on.tape--Ed.]...?... she said...
She come to Him. And she run up to Him to worship Him, and said, "Thou Son of David, have mercy on me, my daughter's variously vexed with a devil. And I've known that You're the great Healer, and I've come to--to ask You to help me." He just ignored her, looked at her, and walked on. Oh, my. She was a little more than our modern Pentecost; my, they'd have turned up their nose and walked back, and said, "I don't have to do that." But not that woman. She had faith. She stayed right there.
155 Now, she went after Him again, "Lord, can't I just have?" And she wasn't thinking about what she'd come through. She wasn't thinking about what she'd have to go through. The only thing she knowed, she believed if she could get Him to say so. That's all she needed to know, if He would say so. She knowed it was working on others, why wouldn't it work on hers?
You fight every inch of the way. God, down in Egypt, give Palestine to the Jews, but they fought every inch of the way. God told Joshua, "Everywhere the soles of your feet rests, that I have given you." Footsteps meant victory, possession. And just as far as you can climb into the Kingdom of God, if you just want to climb a little piece, and say, "Well, I believe I may not have to go to hell, but I--I believe that I'll be saved at the end, if I join church," you ain't got much ground yet. But every promise in the Bible is yours, but you'll have to fight every devil guard away from it with a two-edged sword, and claim it for yourself. Be persistent, walking right into it.
157 Now, she got right up to the very God Himself. And He ignored her. And she run after Him, crying. She was persistent. "Lord, help me," she said. She worshipped Him, said, "Help me."
Listen to that rebuke. "I'm not sent to your race." Oh, my.
Then a lot of them would've got up and said, "Well, I guess He wasn't sent to us. This revival don't... Guess I'll go away."
See, Jesus knowed she had that kind of faith. See?
And another thing He said, "Your race is only a bunch of dogs." Whew. My. Don't talk like that to the modern Pentecostals. Oh. You say that, they say, "Well, I'll just leave this bunch and go join the Assemblies. And the Assemblies say it to me, I'll go to the others, and the others, and the others. You see?"
But not that woman. She had faith.
Said, "Your... I wasn't sent to you. I wasn't sent to your race. And besides, you're nothing but a bunch of dogs. It's not meet for Me to take the children's bread here, and cast it to you bunch of dogs." Oh, my.
162 But that don't stop faith. Faith's still there. It's just as fresh as it ever was. What does faith admit? The truth. She said, "That's the truth, Lord." Oh, my. See how little you can get, not how big you can get. Faith makes you little. Notice, still she was perseverant.
Yet, He wouldn't pay no attention to her. He ignored her. And finally she got in His way, and He couldn't get around her, and then He told her, said, "I'm not sent to you, and your--to your race. And your race is nothing but a bunch of dogs. And I'm not going to take the children's bread. It's not right for me to take the children's bread, healing to this group, and give it over to you dogs."
And she said, "That's the truth, Lord."
Faith will always admit the Word is Truth. Amen. See? If you got real faith, and the Bible tells you that you're doing wrong, you'll admit that you're wrong. You won't say, "Now, wait a minute here, I belong to... No, no, that's not faith. When the Word says it, that you... That's where you're right or wrong is by the Word. That's right.
165 Now she said. No, sir, that, she just couldn't believe that she could stop at that, so away she goes. And she said, "Truth, Lord, we're nothing but dogs, but I'm only asking that I could just get some of the crumbs that falls from the Master's table." She was crumb hunting. Just think of that.
Today, we either get the whole loaf or we won't take any at all. See? We got to be all of it or we don't take anything.
Still she was persistent. She went right on. She was not a hotbed plant that had to be babied and sprayed over to keep the termites off. No, sir. She wasn't one of these hybrids like the modern crop of today that call themselves Christians. When the Word of God said it, and she believed it, she seen it vindicated, she was ready to go after it regardless of what anybody said. Even Christ Himself couldn't stop her. That's what faith does. Oh, that admits the Word being right. She was hunting for crumbs.
168 Remember, she had never seen a miracle. She come out of a denomination that didn't believe in miracles. She believing--come out of a denomination that said, "There is no such a thing as miracles." She was a Gentile. She had never seen a miracle in her life. But yet, when faith takes ahold, God's there. See? She'd never seen it, but she had heard about it.
If you don't believe there's miracles, read the Bible and they're promises to us today. Faith took ahold.
She was something like the harlot Rahab. When she heard by the spies, she didn't want to see Joshua, and see the way he dressed and what kind of a warrior he was. She said, "I have heard that God is with you. I have heard what God did." And she wanted salvation, and she got it (That's right.), because she was persistent, also. She said, "I'll hide you. I'll do anything. But one thing I want you to swear to me, that I'll be saved during this time." Oh, my, that's the idea.
171 And this poor woman was the same. She--she wanted... She knowed that she was going to get it. There was no doubt. No matter what she had to climb through, she's going to get it anyhow. So Jesus couldn't even turn her back by calling her of--of the wrong race, calling her a dog, "It wasn't right to take the children's bread and feed dogs," and so forth like that. But still she went right on after it anyhow, because she was persistent. She had a need; her daughter was dying. Others had been healed, so why couldn't her daughter be healed? And that was the God of creation.
Jesus said, "For this saying, the devil left your daughter." Oh, my. She had the right approach to God's gift.
173 Do you know God does things sometimes just to--to do things a different way, and just to find out what people will do? Now, it's over your head; you haven't seen it and haven't noticed it, but I done something just now to do something. And that so helped me. And I watched it work. See, you--you say things, you change your--your--your attitude, you change your voice, you change sometimes your sermon, watching and seeing certain things, then watch and see how it acts. Because the prayer line's fixing to come up, and it'd be better for that not to be among you. See? See, just to see it happen, then you change yourself and go back somewhere again. See? God did that very thing. He still does it. Noticing.
She had the right approach to God's gift. And remember, she was the first one, the Gentile, that God ever done a miracle on. She was the first Gentile.
Faith admits the Word is Truth. And it's reverent, very reverent, and that's what, and perseverant, and that's what it is.
176 Martha, when she went to meet Jesus... Now, if there's anyone had a right to condemn, it would been Martha, 'cause she had sent for Jesus to come pray for her brother when he was in a serious condition, dying, and Jesus... They'd left the church; they had come out of the old dead movement that they were in and had followed the Lord Jesus, believing Him to be the anointed Messiah. And then His very friend, Lazarus, that He come up with... And they had been excommunicated from their church and from society. And His very friend that He come up with, was laying sick, at the point of death. The doctor could do him no good.
And she sent for Jesus, and Jesus just simply ignored her sending. And He went to another city, and He did the same thing there. They sent again, and He just ignored it and went on.
178 And then after Lazarus was dead, and had been buried four days. His face had already fell in, by that time, that hot country. And the nose falls first, as I'm told, and probably his flesh had already fell in. Because after seventy-two hours, corruption sets in the body, and so we find out...
I got to bury a man in a few days, Wednesday. He died last Wednesday, and they just locked him up, and just waiting there for me to come to preach his funeral. Probably they couldn't hold him out any longer, because his--his face would fall in. See?
And that's what was happening to Lazarus. He was already dead.
181 And then after he was dead, and it was all over, then here come Jesus slipping into the city. So then they knowed they was going to get criticized, because perhaps He was already criticized.
But Martha, she'd been very dilatory, seemingly, about fixing a place for Jesus to sleep, a place for Him to eat, and so forth. Even asked Jesus, one time, to make her sister come help her. But down in her heart, faith struck. While Mary set still, crying, and doing nothing about it, and give up, Martha slips out of the--out of the house, and down through the city. No doubt, she met some on the street, said, "Where is that divine healer that you had around here? What about Lazarus now?" She passed right on by them.
183 She got to where He was at. Watch how she was. She run up to Him. She had a right to upbraid Him; she had a right to tell Him, saying, "Now, why didn't You come when I called You?" If that would've been a--a Pentecostal of today, or a Baptist, or a Presbyterian, they'd change churches right quick See? Sure. "Why didn't You come when we called You?' She had a right to, seemingly. But she didn't have a right to.
As I said last night, you've got no thought. It's His thought (See?) what He does. "'Thy will be done,' pray like this." He's not an errand boy. He's God. Notice, "Thy Kingdom come. Thy will be done."
185 And when she got to Him, she approached Him in the right way. She said, give Him His right title, "Lord." Not upbraid Him, but, "Lord, if Thou would have been here, my brother would not have died." Oh, my. I can see Him pull His little, tired body together. And--and He said... "If You'd have been here, my brother would not have died. But even now, whatever You ask God, God will give it to You." See, she knowed what the God of creation was. She knowed He was the anointed Messiah. She approached Him right, upon her knees, said, "Lord, if You would've been here, my brother would not have died. But even now, whatever You ask God, God will give it to You." Oh, if we could only think that. "Even now, Lord, whatever You ask God, God will give it to You."
186 He said, "I am the Resurrection and Life." No other man could ever say that. "I am the Resurrection and Life. He that believeth in Me, though he were dead, yet shall he live. Whosoever liveth and believeth in Me shall never die. Believest thou this?"
She said, "Yea, Lord. I believe that You're the Son of God that was to come into the..." Oh.
He said, "Where have you buried him?"
I was talking to a woman not long ago, and she said to me, she said, "I--I--I like to hear you speak, Brother Branham," but said, "there's just one fault you have."
I said, "Thank you," just one fault. I said, "What's that?"
She said, "You brag too much about Jesus, of being Divine."
I said, "I hope that's the only one He can find in me,." I said.
"You brag too much about Jesus being Divine." Said, "He wasn't Divine."
I said, "Oh, yes, He was Divine."
She said, "Well, you make Him God."
I said, "He was either God or the greatest deceiver the world ever had," See? And I said, "He was God."
She said, "He was just a man. He couldn't have been God."
I said, "He was--He was God and man, together."
And she said, "You said you believe the Bible."
I said, "Yes, ma'am, I do."
And she said, "If I'll prove to you, by your own Bible, that He was not Divine, would you accept it?"
I said, "Certainly, if the Bible said He wasn't." But I said, "I don't believe it's in the Bible."
She said, "In Saint John the 11th chapter, the Bible said when Jesus went down to the grave of Lazarus, the Bible said, He wept." And said, "If He wept, He could not be Divine, and weeping."
194 I said, "Well, lady, that won't stand up." I said, "I want to tell you." I said, "That's thinner than the broth made out of a shadow of a chicken that starved to death," I said, "because that won't hold up to the Bible." I said, "Look, He goes down to the tomb (See?), and He stood before the tomb, and He said, straightened His little body up and said, 'Lazarus, come forth!'
He might been a man, crying; but when He called that man out of the grave that had been dead four days, and his soul a four-day's journey somewhere... I don't know where it was at, neither do you. So, anyhow, He called him back. Corruption knew its Master. The soul knew its Creator. And a man had been dead, stood on his feet and lived again after being dead four days. That was more than a man. That was God.
196 It was a man when He come down off the mountain that night, and was hungry, looked all around over a fig tree to find something to eat. He was a man when He was hungry. But when He taken five biscuits and two fish and fed five thousand, that was more than a man.
He was a man when He was laying out in the back of that boat that night, where ten thousand devils of the sea swore they'd drown Him. And that little old boat in that storm, like a bottle stopper out there somewhere, floating up-and-down like that. He was a man when He was asleep; He was tired; virtue had went out of Him. But when He put His foot up on the brail of the boat, and looked up and said, "Peace, be still," and the winds and the waves obeyed Him, that was more than a man. That was God in Christ, reconciling the world to Himself.
198 He was a man when He died on the cross, crying for mercy. That's right. But He was God on Easter morning, when He broke the seals of the tomb, rose up and ascended on high (Yes, sir.), ever living to make intercessions. Every man and woman that ever amounted to a hill of beans believed that. Yes, sir.
He's the same yesterday, today, and forever. "Believest thou this?" Yes, sir. He's just as great right here among us, tonight, as He was then. Believest thou this? He's the same Healer tonight, He was then. Believest thou this? Sure. He can't fail. Be persistent. Hold your position in Christ, your confession. Hold fast your confession in Christ.
She was persistent and she got the resurrection of her brother.
201 The Shunammite woman was persistent in the presence of Elijah. Elijah come by and blessed her, and told her that she'd have a son. The son got about twelve years old. Out in the field, he must've had a sunstroke. This woman had been very kind to Elijah. She was a Shunammite woman, and she came from the land of Shunem. And she find out... She said to her husband, being a rich man; she said, "I perceive that this man that passes by here is a holy man." She said, "Let's do him some kindness." Said, "Let's build him a little room on our side of the house here, when he comes by, and put him a little bed and a pitcher out there, so he can rest himself."
And her husband said, "That'd be very nice."
"So you do something to these little ones, you do it unto Me," Jesus said.
So he said, told his servant, Gehazi. Said, "Go ask her, can I speak to the captain, or what can I do for her?"
She said, "No, I dwell among my people. I'm all right."
And Gehazi--Gehazi said, "But she hasn't got any children."
Said, "Go tell her." There come a vision. Said, "Go tell her, about this time she's going to bear a child." And she did.
205 The boy got about twelve years old. His--his father being old... He was out in the field one day; he must've had a sunstroke. It was about noon, begin to cry, "My head, my head." He sent the boy in. And he laid on his mother's lap until he died. Look what an appropriate place, she took him out in that room where that prophet had laid on that bed. See?
And she said to the servant, "Saddle a mule, and you take out to Mount Carmel. Up there there's a den somewhere, where this preacher's living. He was the one who had the power to see a vision, said that I would bear this son; and if he's close enough to God, he's God's messenger of the hour. And I know, if he could tell me why, if I'd get to him, he's tell me what God took the child for. Let me get up there." She said, "If anybody salutes, don't you salute. And don't stop; just keep going."
Oh, I like that. The urgent's time now. People are dying, we oughtn't to be fooling around on the road. Get going. And she was persistent.
208 And Elijah... You know, God don't always tell His prophets everything's going to happen. He looked up and he seen her coming; he said, "Here comes that Shunammite." And said, "She's full of sorrow, but God's hid it from me." He said, "Run, meet her." And she...
He said, "Is all well with thee? Is all well with thy husband? Is all well with the son?"
I like this, that persistency until she got into the presence of the messenger. And she said, "All is well." Hus... Her husband wringing his hands, and walking up-and-down the room, a crying, and the baby lying on the bed dead, but, "All is well." Amen. Why? She had come to the--her goal. She had made her goal. Her persistency, that she could get to the man of God, the man of God could tell her why. And then she fell down at his feet and revealed what was happened.
211 Now, he reached over and got his staff and said to his servant, "Take this, and go lay it on the baby." Now, I think that's where Paul got laying handkerchiefs on the people (See?), because Elijah knew that everything he touched was blessed, but if he could get the woman to believe it.
But the woman's faith wasn't in the staff; it was in the prophet. See? And she said, "As the Lord God lives, and your soul never dies," (See?), she'd witnessed there he had Eternal Life. Said, "And thy soul never dies, I'm not going to leave you." Oh, my, stay with it. That's it.
213 That's the way to get what you want. Like this Shunammite woman, like this Syrophenician woman, stay with it. Stay right there. Stay right with Christ. Take ahold of it tonight, and hold there. Just don't move. Tomorrow, if somebody say, "That's just..." Just shut their ears up to them. You got faith. You stay there.
Said, "I won't leave you."
And Elijah said, "Well, can't get rid of her, I might as well go with her." So he girded up his loins and away he went.
Watch when he got into the room. He didn't know what to do. He never prayed. He just walked back and forth, up-and-down the floor, until he felt the Spirit of God come on him. Then he went and laid hisself over the baby, and he sneezed seven times, and come to life.
216 Martha knew, if God was in that prophet, surely He was in His Son (See?) and that's the reason she could be persistent.
And if we have had thousands of years of experience since then, to know that God keeps His promise, how persistent ought we to be tonight when we can see the Presence of Jesus Christ, oh, my, and shine like the stars.
218 I remember one night, at home not long ago, there was a woman, and I didn't know the woman wanted to be prayed for. I didn't go down and pray for the sick that night. And it was so packed around the place. And some of my trustees are setting in here somewhere tonight, was there. There was a woman come from California, had a fifty-pound tumor. She wouldn't go to a doctor; and then when they made her go, it was too large to be operated on, a big water tumor. And she was way out like this, a great big tumor. And they'd brought her there. They had. They couldn't bring her in the car. They had to put her in a trailer, like, to bring her. And they'd brought her in. I didn't know it, and I just went ahead and spoke. And she said, "Well, isn't he going..." I made an altar call. Said, "Isn't he going to pray for the sick?"
Said, "No."
She said, "What door does he go out of?" Uh-huh. Now just think, her faith. And they took the woman around, and packed her around to the back door, where I go out through the pastor's study and I'd went to my car.
220 And the woman laying there, caught me by the trouser leg, and she said, "Brother Branham..." Great... Oh, my, she was out like that. Said, "If you'll just lay your hands on me, God will make me well." And I did that.
And about three months from then, I was in a meeting. And here she stood just as perfectly normal as any woman in the country; and invited any sister there to go with her into a room, and undress and see if she'd had an operation or not.
Why? She was persistent. She was determined to get what she come for. That's the way it is. Yes, sir. Their faith had ahold of the Word.
223 Micaiah, one time, when he was called in. When Jehoshaphat made an alliance with Ahab, that's when the believer and the unbeliever mixes up. And he said they wanted to go have war; they was going up to a place to take their own ground. Fundamentally, it belonged to them. Said, "Why should these Assyrians be eating corn that belongs to Israel? Joshua give us that." That's exactly right. So they went and had a big school of preachers down there, a whole seminary: five, four or five hundred of them, well-trained Hebrew men.
224 And so Jehoshaphat said, being a righteous man, he said, "But shouldn't we consult the Lord?
He said, "Oh, yes, maybe that's so.'" Ahab, you know what a fellow he was. So he goes down and said, "I've got the answer, I've got four hundred prophets. We'll bring them up here."
So they got down there, and one of them, Zedekiah, I believe it was, made hisself two big horns and went up there, saying, "THUS SAITH THE LORD. Go up; it belongs to you. And THUS SAITH THE LORD, you'll push them Assyrians plumb out of the country, with these horns.
Jehoshaphat looked around, you know, and he--he said, "Haven't you got another one?"
"Another one? When four hundred trained Hebrew prophets from the schools, what do you need with another one? We've got four hundred. The whole seminary is here, and all of them with one accord, saying, 'Go up, the Lord is with you. THUS SAITH THE LORD.'"
Jehoshaphat said, "Well, haven't you got another one?"
He said, "Oh, I got another one I might consult," said, "that's Micaiah the son of Imlah," but said, "I hate him." Oh, sure. Yeah. Said, "Well, he don't even agree with these denominations and things." Said, "We, you--you have to... There--there's a strange fellow," they said.
"Oh," he said, "don't let the king say so. Go get him."
230 So they sent one of the fellows down, said, "Now, Micaiah, you know you're put out of the association; you don't have fellowship with them no more. But now if you will just say the same thing they do, they might give you your fellowship card back when you come back again." Could you imagine talking to a prophet like that?
Micaiah said, "As the Lord God lives, I'll only say what He says." Now, there you are. Amen. That's it.
"Well, you know what they could do for you?"
"That doesn't matter. I'll only say what He says." He went back to him; he said, "Now, you let me have tonight, and I'll see what the Lord said."
He come back the next morning, and--and he said, "Go on up. Yes, sir. Go on up. But I seen Israel like sheep scattered, having no shepherd."
234 Then this Zedekiah comes up, and takes his hand, and smacks him right in the mouth, "that little holy-roller," and set him down and said, "Which way did the Spirit of God go when it went out of me?"
He said, "You'll see."
So he said, "What about it?"
Said, "I saw a vision last night. I saw God setting up on a high place, and in this, His great high throne." And said, "All of them was around Him. They had a council, 'Who can we get to go down and to deceive Ahab, to get him up there to fulfill what the prophet Elijah had said? What can I do about this?'" And said, "A lying spirit come up, and said, 'I'll go down and get in those prophets, and cause them to make a lie.' And the Lord said, 'You're the one that can do it,' ('cause they were seminarially trained, you know.). Said, 'You go do it. That's all you can do.'" Went down there, and he did it.
236 Now, you say, "Well, who would know what was right?" Micaiah was with the Word.
How can you bless what God has cursed? How can you tell people that they can live like this and do these things, and still maintain the fellowship of Jesus Christ? You cannot do it. You've got to be borned again and filled with the Holy Ghost. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... Jesus Christ, for the remission of your sins, and ye shall receive the gift of the Holy Ghost. For the promise is unto your children, and them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." That was the prescription. You don't want to tamper with that prescription.
238 A doctor can write out a formula to you. And you take that to some quack druggist, and he don't mix it right, you'll kill your patient.
And that's what's the matter today; you've adopted handshakes and everything else, instead of That. Come back. God let Peter write an eternal prescription for salvation. It's never been changed, and It can't be changed. Shaking hands, and joining church, and things, will never take Its place. It's got to come back Word by Word the way It's wrote There. That's the prescription they used all the rest the way through the Bible. They used it on up to the Nicaea Council, and then they changed the prescription. That's the reason we got so many dead members today. Truly. You've got to get the real prescription, and then know, if it hit the target there, it'll hit the target now: "It's for you and your children, and them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." Don't adopt anything to It. Don't add any more to It. If you put any more to It...
240 You remember, a prescription's just enough antidote in there to take the disease, and enough to kill enough of the--the medicine for the patient. And if you don't, you put too much of the--of the antidote in it, or something another that won't work, weaken it down too much, it won't help the patient. You put too much of the poison in, it'll kill the patient. It's got to be just right.
And He wrote a eternal prescription, for it's for every generation. Not shake hands, join church, and all these other things. He said, "Repent, and then be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost. It's promised to you and your children."
They took that prescription and fulfilled it at God's great counter. And when they did, on the day of Pentecost, they healed the sick, they done everything that there was to be done; 'cause it was God, Christ in them. All right.
243 Micaiah knew that that was the Word of the Lord, because it was exactly what the--the Bible, the real Prophet, said. God had cursed that man and cursed his wife, because of their evil. And if they--He had cursed it, how could these men come around and bless it?
Here is where they got their idea. The land belongs to them. It actually was given to them. But their sins had drove them away from it. So they thought, because the land belonged to them, that that was all they had to have. No, sir.
It's on conditions. Absolutely. You can have Divine healing; you can have salvation; you can have the baptism of the Holy Ghost; but that's on conditions, that you meet God's conditions. Outside of that, it's not for nobody but believers.
246 A man said to me not long ago, a minister; he said, "I don't care if you'd raise and have doctors' statements of raising the dead, and everything else," said, "I don't believe it."
I said, "Certainly not, it's not for unbelievers. It's only to believers." It wasn't given to unbelievers. It's only sent to believers. That's all it's for, is for believers, not unbelievers. Certainly, they admit there what--what's wrong.
248 But Micaiah knew. When he seen his vision was exactly with the Word of God, then he knew it was right. And he was persistent, whether it took his life or not. He said, "You'll find out, when all this happens that I've said, comes to pass, then you'll know where It's at."
Same way, the blind man, he couldn't argue their theology; but he knowed his eyes was opened, so he was very persistent about it. Like Philip, and like Nathanael, woman at the well, they were all persistent after they got ahold of God.
250 Now in closing, we're going to start the prayer line just now in a minute, just something comes on my mind just now to say.
Not long ago, I was in Mexico, down... The Lord had sent me down to Mexico City, that big ring there. Oh, people were by the thousands times thousands. And the night before, there'd been an old blind man come on the platform, and now, it was one of the most horrible sights. There was a...
How many knows Brother Espinosa? See, there's many. Sure. Well, now, he was my interpreter. He can tell you this. And there'd been a blind man come up on the platform, poor old Mexican.
253 And their economics are so poorly balanced there... For instance, maybe a--a brick mason will get so many pesos a day, maybe say five pesos a day. I don't know what it would. And that's Pedro, and he gets... He's a brick mason, so he gets five pesos a day, but he has to work five days to buy himself a pair of shoes (See?) in their economics. And what about little Pancho then, Chico, the little one that has to work out here and only gets two pesos a day and got five children to feed? But they have to save enough out of that to burn a grease candle on a million-dollar gold altar for his sins. You see? That's what burnt me up, and so then see them doing penitence to dead women, and crawling on their knees, and things like that.
254 So one night this old man come across the platform; he didn't have no shoes on. His hair was gray. He had an old hat tied up with strings. He was coming across the platform. I looked at the old fellow. And here I was standing with a nice pair of shoes and a good suit. He was blind. He was walking like this. And he said, and he kept saying something. 'Course I can't speak just a few words of Spanish. He come across this a way. And I got to him, I put... I thought nobody'd see me; I--I put my foot out like this, to see if my foot, if my shoe would fit him. If it was, I was going to slip them off and let him have them. And then, his foot was much bigger. And so I--I kind of... I said, "Bless you, dad."
255 And I put my shoulders up, see if my coat would fit him. And it wouldn't fit him, and much bigger. Didn't have no shirt, just an old coat on. And I thought, "Poor old fellow, maybe never had a good decent meal in his life." His old trousers, ragged, and dust all over him, and here the Devil had even blinded him. And there he was, walking across there, saying something. And I thought, "If my daddy would've lived, he'd been about the age of that old man." I thought, "O God."
And I put my arms around him. You have to feel for the people. If you don't feel for them, there's no need of praying; you don't have compassion. And I put my arm around him.
I said, "Don't say this, Brother Espinosa." They don't interpret the prayer anyhow.
So I said, "Heavenly Father, be merciful to him." And I had my hands laying on like that.
He hollered, "Gloria a Dios." That means, "Glory to God." See? He looked around like that, and the old man could see as good as I could. There he went walking on the platform.
260 Well, the--the next night, they had about, oh, almost from here to the door would be the platform, and just old shawls and old ragged clothes piled up there to be prayed over. And it was pouring down rain, they couldn't get... And they come there that morning around eight or nine o'clock; and I wouldn't be there until that night, about eight or nine. So there was so many people around. No seats to sit down in like you got, they leaned against each other. And standing in that rain, the women with their hair all down, wet, just waiting to hear the Word of Life.
261 And General Valdena taken me in. I guess you knowed of him; he's one of the Christian Business Men. And first Protestant ever taken in under the government protection... General Valdena in Mexico, so then I was...
That night I got in; they let me down on some ropes, back out the back of the ring. I come down into it like this by ropes, from back off of a car. And while I got down into the ring, I walked over there. And Billy come to me, my son; he said, "There's a fellow there been giving out prayer cards." I called him Manana, that means "tomorrow," he was so slow, and he never would come get me. So he'd give out the prayer cards.
263 And Billy said, "Well," he said, "Daddy, there's a woman down there that's got a dead baby." And you all seen this article in the Business Men's "Voice." And he said, "She's got a dead baby." And said, "We haven't got no prayer cards." And said, "I've got around three hundred ushers that can't hold her."
And she--she was a little bitty woman, just young lady, very pretty young woman. And she was--had this little dead baby, and a little blue striped blanket on it, holding a little stiff form, about this long in her arms, had been standing there since that morning. The baby died at nine o'clock, and this was about ten that night. And so she was holding this little baby in her arms.
265 And I said--said... I said, "Well, just tell them ushers to hold her off. If you put her in with them people holding a prayer card," I said, "it'll make..." And I said, "Won't you tell her come around?"
Said, "You can't tell her nothing." Said, "She just won't listen to it."
I said, "Well, enough ushers over there, surely, to hold her off."
Said, "You can't do it."
I said, "Brother Moore..." How many knows Brother Jack Moore? He is a... I said, "And she wouldn't know the difference between you and I... She don't know me." I said, "You go on down there and pray for her, Brother Moore."
He said--he said, "All right."
I said, "You go down and pray for the baby. And that'll satisfy her, and she'll go on home."
He said, "All right."
269 So I turned back around. I was speaking on faith being the substance of things hoped for, and about Jesus, and how He did when He was here on earth, speaking to them. And just as I started to speak, I looked out in front of me in a vision, and there was a little dark-faced baby, and he was--he was laughing at me. And I looked again.
Brother Espinosa said, "What is it, Brother Branham?"
I said, "Never mind, Brother Espinosa. Just keep the crowd entertained, just a moment."
And I went out. I said, "Wait a minute, Brother Moore." And so he had done got down to where the little--where the little woman was. And I said, "Tell her to bring the baby here."
And so here she come up on the platform. She fell down on one knee with a rosary in her hand. She was saying, "padre," and I... That means "father," you know.
I said, "Stand up now. Stand up." Got her stand up. I said, "Baby dead?" She couldn't understand. The tears running down her little face, and her hair stringing down. Now this is true; there's my Bible. And, see, I put my hand over on the little baby, and I thought that would satisfy her. I didn't know that that was the baby. I couldn't say it.
274 And I said, "Heavenly Father," I said, "the--before me was a vision of a little baby, and maybe this would be the one. And if it is, I pray Thee, Lord, to honor this little woman's faith, to give her baby back."
And just then that little fellow let out a scream and begin to cry out, just as hard as he could. And the little woman, she didn't know what to do. So she... I told Brother Espinosa. I said, "Now, don't you say it. And wait, you go and let a doctor sign the statement to that."
276 And in the "Voice," the Christian Business Men's "Voice," just recently, it appeared. See, before you write anything, you got to have evidence that that's right. Doctor signed the statement, "The baby died with pneumonia; all respiration left it that morning at nine o'clock," in his office. And this was ten something that night, when it come back to life again, because a little woman was persistent.
If God could open the eyes of a blind man, He also could give her baby back. He's still the same God tonight, friend. You've got to be persistent to achieve something. What if she'd have listened, and said, "Well, the baby's dead," and just give it up and go on? See? And see if that same faith that lived in the women like the Shunammite woman, it still lives in people today. Once in a while they could strike that something. Not a put on, not a make-belief, but something that's real, something that's--that's genuine. Don't you think we can do that tonight?
278 Now, we are going to pray for the sick, laying hands upon them, in the Name of the Lord Jesus, to pray for them. Now, we probably can have the line through in about, oh, perhaps twenty, thirty minutes. Now, we can't stop for a discernment; you really understand that, because it'd be so much. But we're going to pray and lay hands on the sick. Are you ready tonight? Do you feel in your heart, something's anchored, the Presence?
How many has been here in the meetings through the week, let's see your hands. I guess practically all of you. All right. How many that's never been in one of the meetings before, raise your hands. Well, my, that's half. Well, I guess some can't get in. Well, let me just say to them... 'Course some of them may have a prayer card.
280 Divine healing is something that God has already done. See, it's something. We believe, and I believe with all my heart, that the Bible of Hebrews 13:8, that Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever, He's the same. And I believe that the Life that was in Christ should be in us, if we're Christians. And He said, in Saint John 14:12, "He that believeth on Me, the works that I do, shall he do also." Said in Saint John 5:19, "I do nothing, till the Father shows Me. Is that right?
Now here, for instance, here. Every one of you, as far as I know, is strangers to me. All right, I want everybody to be real reverent for a moment. And if Jesus Christ doesn't appear among us in His same power, then I'm a false prophet; don't listen to me no more.
How many here doesn't have a prayer card, you won't be in no prayer line, raise up your hand, anywhere you're at. You look this way, and pray with all your heart, and believe. This is a hard... Wasn't, didn't come prepared for this now, but I know we ain't got much longer to stay here.
Now, I'm going to take every spirit in here under my control, in the Name of Jesus Christ. Now, set still. And if you don't believe, why, better keep your head bowed. See, see?
284 But if you're a believer, the Bible said that He's the High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities. And how did He act when the woman touched Him? He turned around and knowed who she was and what was wrong with her. He perceived the thoughts of their heart. Don't you believe He's the same today and forever? [Congregation says, "Amen."--Ed.] If you have a need, you pray now. And what is...
"What are you talking about, Brother Branham?"
If I'm His servant, and I claim that His life is in here, then the same works will show theirself. Now, you know a man can't do those things. It's impossible. But Christ remains the same. And I want you to believe that.
Anywhere in the building, I want you to have faith in God and just believe, and you say, "Lord Jesus, the man doesn't know me. And I've been hearing about this, but maybe it's so, and maybe. I don't know. But I know he doesn't know me. And I know if he could tell me..." Now, he says, 'Your healing's already done.'"
287 If Jesus was standing right here now with this suit on, that He gave me, He could not heal you. How many knows that, you Bible students? No, He's already done it. See, see? He could prove that He was Jesus, same yesterday, today, and forever; not by nail scars: His Life. Anybody could have nail scars and wear long hair, and maybe a beard. We don't even know He dressed like that. We couldn't say that that was right. See? But any man could do that. But His Life is what it is, His Life in you.
Now, you pray and you say, "Lord Jesus, let me touch You," and find out whether He remains the same yesterday, today, and forever. If He'll do it, will you believe? You know that's the way He did it. That proved Him being Messiah.
289 This little lady setting here, keeps looking up at me, and putting her hands over her face, and so forth. You have a... You don't have a prayer card, I suppose. You, I mean the little lady, you don't have a prayer card? No. All right, do you believe me to be God's servant? If the Lord Jesus Christ then... We're perfectly strangers, we're--we're a different race, one from the other. But if I can just speak to you.
Sitting in front of you is a good friend of mine, Mr. Dauch, from down in Ohio, that had a complete heart failure, not long ago at ninety-one years old. Doctors give him up, and everything. I started to him. He's a lovely brother, he and his lovely wife, setting there. They're good friends of mine. And I started to him. And I was just coming out of a filling station, trying to get to him, about a couple, three hundred miles from me. And I was driving as hard as I could to get to him, 'cause he... She called me, said, "Bill's dying." Complete heart failure, and a heart attack, and ninety-one years old... And I started out of the filling station, I seen Bill standing before me, walking to me on the street. "I come with THUS SAITH THE LORD. He won't die."
291 Here he sets right here now. That's been months ago. He's got much faith. He's setting close to this woman. She's setting right behind him. He believes. She's believing too.
Now, I don't know you. But if Jesus Christ... While, we're talking now like our Lord talked to the woman at the well, if He'll tell me what's your trouble, what you want, or something, well, you'll know whether it's the truth or not, won't you? It's for a son, and that son has a mental condition. It's a... If that's right, raise up your hands, if that... That's--that's right. That's right. All right. If you will believe with all your heart, and take that scarf that you've wiped your face with, lay it close to him, and don't doubt, that condition will leave him. Now, the very God that could tell you... Don't you doubt. Can't you see what's happened?
293 Look, right at that--this woman, going right to her setting here, a--a colored lady. I'm a stranger to you. But there's something you're desiring. And me being a stranger, another race, just like our Lord and the woman at the well, one a Jew, and the other one a Samaritan. If God... Have you got a prayer card? You don't have a prayer card. I mean this little lady with a red striped dress on, right there. Yes. All right. I--I--I don't know you. We're total strangers. Is that right? And now, if God can reveal to me what is wrong with you, or something, now you know whether it's right or not, won't you? Frankly, there's nothing wrong with you, only you have a hungry heart. You're seeking the baptism of the Holy Ghost. If that's right, raise up your hand. Then you will receive It; that's right, if you'll...?... if you'll believe with all your heart. Just don't doubt. Have faith in God. Amen. You believe with all your heart? I want you to believe with all that's in you.
294 Here's a lady setting here, looking right at me, right down that aisle here. She's suffering with a heart trouble. I hope she don't miss it. God, tell me who. She's Mrs. Fitzgerald. You believe with all your heart? You can have your healing. Raise your hand. I'm a stranger to you. Is that right? Your heart trouble is gone. That your name? That's right. I don't know you, never seen you in my life.
The lady right behind you, she's got a lot of faith now. She's got a prayer card in her hand, but the lady is suffering. And being It's the Holy Spirit, that Light hanging right over the woman yet. She's suffering with a... She's got a tumor in her neck. And she's also got a fallen stomach...?... That's right, isn't it? Just lay your prayer card on the floor; you don't need it no more. Have faith in God. Believe.
You believe with all your heart? See? Just have faith. Don't doubt.
297 Here's a man right back here, he's got tumor. See, that devil, thought he would miss it then. There's a man setting right over here, that's got tumor. The tumor's in his back. I don't know the man. I've never seen him. He's a total stranger to me. But when I seen that devil go out there, that black shadow; and then I seen it run over this way, it went to this one for mercy. They're trying to congregate around there. Satan thought he'd miss that (See?), I'd missed it. But the Lord showed it to me.
The man setting right here, he's got tumor in his back, and his name is Mr. Carson. If that's right, raise up to your feet, and be healed in the Name of Jesus Christ.
Do you believe? Have faith. If you...
300 Here's a woman setting here. She's got a kidney trouble. She's got complications. Her name's Mrs. Byrd. That's right. Is that your name, lady? Am I a stranger to you? If that's the trouble you've had? If it is, stand up on your feet and accept your healing, in the Name of Jesus Christ.
Go, ask those people. Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. Don't you--don't you realize that His Presence is here?
That was my son telling me, "Better not go on." See, I got a meeting tomorrow, and tomorrow, and on and on. See?
I challenge any man or woman in here to believe. You couldn't hide your life if you had to now in the Presence of God. That's exactly what our Lord did. That's exactly what He promised in the last days. That's exactly what happened before Sodom burned. That's exactly the last sign that would come to the church, and we're here now at the end time. You believe it?
304 What's your prayer card number? All right, I'll tell you what would be best. Let's take the people by the sections. He says there's many prayer cards. Now you see God is here.
Now, is there any ministers? This is all right, Brother Vick? Is there any ministers here, brethren? Now, in laying hands on these people, I don't want them people go and say, "Brother Branham did this." See? I--I'm just your brother. Your pastor has just as much right to pray for the sick as I do.
He might not have this gift; no, he hasn't. See? There's only one of them in the world at a time. That's exactly what the Bible said. See? That's right. And, that... Now, notice.
307 But your pastor is ordained of God, if he's a believer, to pray for the sick. And I'm asking some of you minister brethren to come here and stand with me while we pray; let some God-, Spirit-filled ministers that believes in prayer for the sick, along with Brother Vick and Brother Boze... Where is Doctor Lee Vayle and some of them that would come here, so that... The Bible said, "These signs..."
Let's stop right here, brethren. How about right here? Come right here. Yes.
"These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick, they shall recover." Do you believe that? Do you believe we're in Divine Presence of Christ? Amen.
I just wanted you to see. Because I spoke the way I did, it was for a purpose (See?), or the purpose worked right. Great things are fixing to happen, if you'll just believe it.
311 I'll tell you what I want you to do, brethren. I want you divide up half on one side, and half on another, and make a little alley-like through here, so the people can come. I'm coming right down with you.
I'm going to ask someone who's a song leader, that would come here, that could lead songs. I want to go down there and pray for the people. Somebody who can stand here and direct the people that's going to be prayed for. Thank you, choir, for giving us... That's mighty nice of you, giving us that room to come like that. All right.
313 Let the ministers line up just like this, right. Turn, face each other (See?) like this, and like the brother and I. Like Billy and I here, stand like this, one with the other.
Now, how many has prayer cards on this side? Let's see your hands. There's quite a number. I suppose it'd be best if we could let them come out on this side, and come right down along the side, this a way. Now, before you... But let's let the first part of the line that has cards, let them line right up over here, and we'll start praying for the sick and laying hands on them.
315 I wonder how many here tonight, that's--that's all right and well, and you're interested in these people getting well? Raise up your hand. Sure, you are. Now remember, will you pray with me? You pray with me. Now, you pray with your pastors.
Now, to you sick people that's going to line up and be prayed for here. Remember, when you come through this line, and these ministers and myself touch you, remember, it's just a act just the same as you was baptized. You've come, having hands laid upon you by believing ministers that God promised that, "The prayer of faith shall save the sick. And these signs shall follow them that believe." These men come here to testify that they believe in this ministry. And they are come here as associates to it, with us together. We're all of one accord. We're in one place at one time. It's time now for the healing. But if you don't believe it, don't come, 'cause it won't do you any good. See, you've got to believe it. Now, do you believe?
317 Now let's just bow our heads just for a few moments. And we're going to sing slowly now. Everybody with your head bowed. "Lord, I believe." "Only Believe," now everyone together. Let's be praying now. See?
Let's imagine seeing Jesus coming down off of the mountain. What Jesus? That same Jesus that's here in the Holy Ghost form, same One that knows what's in your heart, whether you really believe or not, the same One that knows all about you, tells you night after night. It's Him. You know it couldn't be me.
And now, after His--His Presence... Now, the little Syrophenician woman, remember, after she got in the Presence of Jesus, still she had trouble. You're going to have trouble. When you come through this line, I want you, each one, to believe that you're going to be healed. If you're not, don't come in. Don't--don't just don't take the others' place. Stay there until you have enough faith that you're going to be healed, and then God will grant it to you.
320 Now, those on my right side here, line up over on the side, while the rest of us sing "Only Believe." You with a prayer card, some of the boys will be standing there to receive your prayer card as you come in the line, over on this side, the right-hand side. Go out on the right-hand side if you possibly can, 'cause it'll confuse them, starting this way. You can't go backwards. You have to come around this a way (See?); have to come one way, go around. If you brethren will just--just step back there and let them come through this way. It's a bit, may seem a bit confusing, because that there's such a--a--a group of people to be taken care of. But now, watch my son, Billy Paul, watch the ushers there; they'll tell you just how to do it, won't be a bit confused. Then you see, on this side, as you come through the prayer line, then you'll go right back to your seat. And then we'll take this other side, and they'll come from that way, and come through. See?
321 Now, we'll stand here, just vice versa, the line, from one side to the other, and pray for them. All right.
Now, I believe if you brethren will move down just a little bit, so these brothers here can get in right here, so we can all be laying hands on the sick... That's just fine.
Now listen, brethren, each one of you now. Each one of you brethren, do you realize what you're doing (See?); you know the position that God has put you in? Now, this challenges your faith. You just remember that you're going to believe that every person that you touch, you, has to get well. They just have to do it. God said so. I'm going to touch them with you, and I believe they're going back to be well. Don't you believe that? Let's just have a word of prayer among ourselves, while the rest of you go ahead and line up, we're going to pray for the condition of our own faith.
324 Heavenly Father, there's many sick people here. And some of them, Lord, still believe that they should have hands of the elders laid on them. That's all right, Father. We know that You taught that. You said, "These signs shall follow them that believe; if they lay their hands on the sick, they shall recover." You promised it; the people believe their promise. Your Presence is here. No one can doubt that, Lord. And here's Your ordained ministers standing here, ordained of the Holy Spirit, for the ministry to pray for the sick.
Now, Lord God, let every one that we touch tonight be healed. We pray the prayer of faith for these now. We're going to believe, that as we lay our hands on them, they will recover. Amen. Condition us, Lord. Take away our sin and our--and our iniquity. Purge us with the Blood of the Lord Jesus Christ, that we'll... Our hands are not holy. Only through Your holiness are we permitted to do this. So grant it, Lord, as I commit myself, with this bunch of brothers, that we're here to help these people to be healed. Grant it, Lord.
That, now I pray for the people, each one that comes through the prayer line. O God, they're coming as if they were coming for water baptism; they're coming right to the table of the Lord; they're coming beneath the cross of Calvary. As they pass through here, may they realize that the unseen Christ Who is standing amongst these brethren, standing here now to grant to them reward of their faith. And I commit it all to You now, Father, in the Name of Jesus Christ.
327 Now, I want everyone else, have your heads bowed. Listen close now to your instructions. If you don't, you're just taking a walk. See? Now remember, if God will let me know the conditions and so forth, and you believe that. And now just take my word; you've got to believe that this settles it. If it doesn't, it might make you worse (See?); settle everything. If you've got sin in your life, step out of the line and confess it. And don't come in the line till you're prayed through. And if you're going to use your life for something besides the glory of God, don't come in the line. See? If you're ready to make a dedication to Christ, fully surrendered, and fully persuaded that this is Jesus Christ, this great Holy Spirit here; and that you're going to receive your healing when you pass through this line, no matter whether you feel different, or what, you're going to be persistent to hold right onto God's promise until the victory comes, like that woman that we talked about. Do you feel that way, audience? If you do, raise up your hand, say, "I accept that." I don't see no reason for anybody going out of here sick tonight.
328 Now, I want you, that's not in the line to pray. I guess Brother Joseph is going to stand here to lead the singing, and I'm going to get down here, so I can pray too, and lay hands upon these people as they come through.
Now look, friends, the services will be tomorrow night. We don't know what'll happen, somebody getting healed, and screaming and praising God, and so forth. We might get not officially dismissed for a while now, but please stay and pray with us. We need you right now. Pray that the enemy will not be able to crowd any doubt in these people's mind. What if that was your mother standing there, your sister, your wife, your husband, your baby? You'd want somebody to pray real sincere. Remember, it's somebody's mother, somebody's sister, brother, somebody's child, and we want to be sincere about this.
And when we pray, I want you men, with all your heart, when you lay your hands upon these sick, believe that God is going to make that person well, 'cause they're going to believe it.
331 And now, between now and tomorrow night, why, before I come on the platform tomorrow night, there ought to be three or four hundred testimonies going right here, of, "I was wearing crutches, I was--and I don't have them no more. I was sick, I'm not sick no more." Within the next twenty-four hours, devils will be leaving this place, and because the blessings is pronounced upon the people.
Now, let us bow our heads as we pray, each one as they pass through the line now. Brethren, just laying your hands upon the sick. All right.
[Brother Branham goes down with the ministers and prays for the sick. Blank.spot.on.tape--Ed.]
334 Don't you feel right now? [Congregation, "Amen."--Ed.] How many believes that you are healed? Passing through the prayer line here, time after time after time, it happened right here, that before they got away from the platform, I believe that each one of you will be well. Oh, I--I believe it. I accept it for you. My faith goes with you, that you will be well. You believe that, brethren? Oh, my, isn't He wonderful.
Let's just now sing a praise to Him before we're dismissed. And then let's just raise up our hands, and hold them up high. And, remember, we've been through by the cross, and there's where we got the Light.
At the cross,... first saw the Light,
And the burden of my heart rolled away,
Oh, it was there by faith I received my sight,
And now I am happy all the day!
Oh, at the cross, at the cross where I first saw the Light,
And the burden of my heart rolled away,
It was there by faith I received my sight,
And...