Être Persévérant
1 ... notre amour pour Lui, j’en suis sûr. Mais il y a un grand refroidissement parmi les gens. Le réveil est terminé. Les feux s’éteignent. Voyez, il est temps pour que quelque chose se produise. Vous savez, dans l’ancien temple romain, le temple de Vesta, lorsque les feux s’éteignaient, tout le monde rentrait chez lui, ainsi rien ne se faisait. Et je pense que c’est... Je suis assez quaker pour croire cela, qu’il–qu’il devrait en être ainsi.
2 Eh bien, ce soir, je pense que... j’ai laissé cela chaque soir, mais... Je–j’aime honorer cette Parole de Dieu, parce que je pense que c’est la Parole de Dieu, et c’est bien Lui. C’est Lui sous forme de lettre. La lettre elle-même, il s’agit de... Il vous faut avoir l’Esprit là pour vivifier la lettre. Ainsi maintenant, par respect pour cette Parole, tenons-nous debout pendant que nous La lisons. Marc, chapitre 7, à partir du verset 24, et lisons jusqu’au verset 30 inclus. Vous qui avez votre Bible, et qui aimeriez plutôt prendre un passage juste pour peut-être planter un peu de façon formelle quelques semences une fois de plus ce soir, afin d’édifier cette foi jusqu’à ce que le moment vienne.
3 Lorsque je sentirai que l’Esprit a accordé ce sommet, juste à ce moment-là chacun de vous sera appelé à l’estrade. Ne–ne vous en faites pas, ce sera juste à ce moment-là. Mais pas avant que cet Esprit en arrive au point où vous sentez que les gens ont saisi la chose.
4 A quoi sert-il de monter ici, si vous n’avancez que pour la forme? Vous passez dans la ligne de Tommy Hicks, de Tommy Osborn et d’Oral Roberts, et vous faites des tours et des tours dans la ligne. Cela ne fait qu’affaiblir votre foi. C’est tout.
5 Lorsque vous venez ici avec une pleine assurance que vous ne vous présentez pas devant votre frère, ni devant quelqu’un d’autre, et que vous venez ici parce que l’Esprit de Dieu en vous vous a invité à venir, quelque chose va se produire. Rien ne peut empêcher cela. Avant ce temps-là, vous ne faites que vous promener, tournant en rond; et le prochain ministre qui viendra dans la ville, et vous serez là; le ministre suivant qui viendra, vous serez là. Cela ne sera rien. Il n’y a rien dans un prédicateur, pas plus qu’il n’y en a dans votre mari ou dans votre frère, ni dans qui que ce soit. Nous sommes simplement Ses représentants, vous annonçant la Parole. Certains d’entre eux ont des dons différents, la Bible parle de ces dons. Tout cela se fait pour confirmer Sa Présence.
6 Eh bien, si c’était moi, ou si c’était vous qui veniez vers moi, si nous ne pouvons pas accepter l’un la parole de l’autre, eh bien, cela réglerait la chose. Mais Dieu, qui est plein de miséricorde, a envoyé des dons et la confirmation, pour confirmer, et Il est si... Il est si patient, Il est si doux et bienveillant qu’Il–Il ne veut que personne soit perdu ni connaisse aucun mal. Il veut s’assurer que chacun de nous entre. Très bien.
7 Maintenant, avez-vous ouvert vos Bibles dans Marc, chapitre 7, verset 24?
Jésus étant parti de là, s’en alla dans le territoire de Tyr et de Sidon. Il entra dans une maison, désirant que personne–désirant que personne ne le sût; mais il ne put rester caché.
Car une femme, dont la fille était possédée d’un esprit impur, entendit parler de lui, et vint se jeter à ses pieds.
Cette femme était grecque, syro-phénicienne d’origine. Elle le pria de chasser le démon hors de sa fille. Jésus lui dit:
Laisse d’abord les enfants se rassasier–se rassasier, car il n’est pas bien de prendre le pain des enfants et le jeter aux petits chiens.
Oui, Seigneur, lui répondit-elle, mais les petits chiens, sous la table mangent les miettes des enfants.
Alors il lui dit: à cause de cette parole, va, le démon est sorti de ta fille.
Et quand elle rentra–rentra dans sa maison, elle trouva l’enfant couchée sur le lit, le démon étant sorti.
8 Maintenant prions, la tête et le coeur inclinés. Pendant que nous prions, je demanderais... combien ici aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière pour une requête spéciale? Veuillez lever la main disant peut-être: «Seigneur, que ça soit moi, ce soir», voyez ou: «J’ai un bien-aimé, que ça soit lui, ce soir.»
9 Notre Père céleste, Tu connais nos besoins avant que nous ne puissions même demander. Jésus nous a enseigné: «Votre Père sait de quoi vous avez besoin avant que vous ne demandiez», mais toutefois, nous devons demander.
10 Lorsqu’Il a regardé la moisson, Il était le Maître de la moisson, et Il a dit: «La moisson est mûre, il y a peu d’ouvriers; priez le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans Sa moisson», se liant tellement avec l’homme qu’Il ne travaille que par l’intermédiaire de l’homme. Il a choisi l’homme pour travailler pour Lui. Il aurait pu choisir le soleil pour prêcher l’Evangile; Il aurait pu choisir les vents, les arbres ou les étoiles. Mais Il a choisi l’homme; Il se voile à l’intérieur, Il se cache aux yeux de l’incroyant, et se révèle à celui à qui Il veut.
11 Seigneur Dieu, nous sommes ici ce soir dans le seul but de Te voir Te révéler à nous, en pardonnant les péchés que nous avons commis, et–et en nous aidant, en encourageant les saints sur le chemin, en sauvant les pécheurs, et en rappelant les rétrogrades à la communion du Père céleste et à l’Eglise des croyants, les premiers-nés. Accorde-le, Seigneur.
12 Tu connais ce qui est derrière chacune de ces mains qui se sont levées. Tu connais ce qu’il y avait sous cela, dans le coeur. Tu connais leur désir. J’offre ma prière en leur faveur, afin que Tu accordes à chacun d’eux son désir. Mes mains étaient aussi levées, Seigneur. Exauce nos requêtes.
13 Bénis la lecture de Ta Parole. Et maintenant, comme nous prenons un texte, nous Te prions de nous ouvrir le contexte, afin que nous Le connaissions mieux. Et lorsque nous quitterons ce lieu, ce soir, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, après que Jésus était ressuscité des morts. Ils avaient marché toute la journée avec Lui; ils s’étaient entretenus avec Lui, et cependant ils ne savaient pas qui Il était. Il y a tant de gens dans cette ville, Seigneur, ce soir, qui sans doute se sont entretenus avec Toi et qui ont marché avec Toi et qui pourtant n’ont jamais encore reconnu Ta Présence.
14 Mais ce soir-là, lorsque Tu... lorsqu’ils T’ont invité à entrer dans la maison et à rester avec eux, Cléopas et son ami, et lorsque Tu as fait fermer la porte, et que Tu T’es assis, Tu as fait quelque chose exactement comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion. Aucun autre homme ne l’avait fait de cette manière-là. Tu l’as fait d’une manière qui T’est propre et, par cela, ils ont reconnu que Tu étais le Christ ressuscité. Aussitôt Tu as disparu de devant eux. Et, le coeur léger et rempli de joie, ils ont vite rejoint les autres apôtres, et ils ont dit: «Réellement, Il est ressuscité des morts.»
15 Et lorsque nous quitterons ce bâtiment, ce soir, puissions-nous Te voir entrer en scène et faire les mêmes choses que Tu as faites avant Ta crucifixion, comme Tu as promis que Tu répéterais cela dans les derniers jours. Et accorde, Seigneur, que lorsque nous quitterons ici, que nous allions comme eux, disant: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
16 J’aimerais juste prendre un mot comme sujet ce soir, et le mot que j’aimerais prendre, c’est Persévérant.
17 Vous pourriez dire: «Frère Branham, c’est un–c’est un très petit mot pour trois ou quatre cents personnes qui sont assises ici ce soir», ou peu importe le nombre de gens qu’il y a (Je suis piètre en matière d’estimation de–de–d’une assistance.) Et vous direz: «C’est un très petit mot.» Eh bien, ce qui compte, ce n’est pas la–la taille, ce qui compte c’est–c’est–c’est en réalité ce que je vais dire là-dessus.
18 Eh bien, la persévérance, d’après Webster, c’est–c’est être... C’est–c’est un–un mot qui signifie que vous êtes... «C’est être tenace», aussi, ça signifie être tenace en essayant d’atteindre un but, essayer de–de réaliser quelque chose, essayer de faire quelque chose. Vous êtes persévérant lorsque vous persistez.
19 Eh bien, tous les chrétiens doivent être tenaces, ils doivent être persévérants. Et la seule façon pour vous d’être en mesure de–d’y arriver, c’est premièrement d’avoir la foi dans ce que vous essayez de faire. Et si vous n’avez pas de foi, vous sautez simplement sur la chose, et puis vous–vous–vous ne pouvez pas–vous ne pouvez pas être persévérant. Mais lorsque vous êtes réellement sûr que c’est la vérité, alors rien ne va vous arrêter, vous êtes vraiment persévérant à ce moment-là.
20 Et dans tous les âges, les hommes, qui ont été en mesure d’accomplir quelque chose, et qui avaient la foi dans ce qu’ils essayaient de faire, étaient persévérants.
21 Prenons, par exemple, celui que nous appelons le père de notre nation, George Washington. Il était persévérant lorsqu’il–lorsqu’il essayait de remporter cette victoire sur les Britanniques, et qu’il a traversé le fleuve Delaware glacé. Il était persévérant. Il n’y avait rien... Ses soldats, la moitié d’entre eux n’avaient même pas de chaussures aux pieds; leurs pieds étaient enveloppés dans des haillons. Le vent soufflait. Mais il avait prié toute la nuit; et il avait la victoire dans son coeur. Et l’armée britannique ni rien d’autre ne pouvait l’arrêter, le fleuve glacé non plus ne pouvait l’arrêter. Il avait prié jusqu’au bout, aucune entrave ne pouvait l’arrêter. Il était persévérant, et il a accompli la tâche qu’il essayait de–de réaliser, parce qu’il avait reçu la réponse de Dieu.
22 Lorsqu’un homme reçoit sa réponse de Dieu, rien ne peut l’arrêter.
23 La plupart des gens aujourd’hui, en répétant ce que j’ai dit hier soir, ont l’espérance au lieu de la foi. On trouve les gens qui viennent à l’estrade, qui se–qui se fondent simplement sur des espérances.
24 «Mais la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère; l’évidence.» Ce n’est pas un mythe; ce n’est pas de l’imagination. C’est quelque chose que vous avez. Vous avez déjà reçu cela. Et vous êtes tout aussi heureux en ayant cela, cette foi que vous avez, que vous le seriez si vous aviez la chose même dans votre main.
25 Disons par exemple ceci: si je mourais de faim, et qu’un pain coûtait vingt-cinq cents, ce qu’il faut pour acheter le pain. Eh bien, lorsque j’ai les vingt-cinq cents dans la main, je suis tout aussi heureux que je le serais si c’était le pain, parce que c’est la valeur pour acheter le pain.
26 Et lorsque je sais dans mon coeur que j’ai accepté cela, et que je crois que Dieu m’a donné la chose, je suis tout aussi heureux avec cette foi que je devrais l’être si j’étais guéri, parce que je vais être guéri, de toute façon. J’ai l’assurance juste en ce moment, personne ne peut me l’arracher. Je sais que la chose est juste, et je peux être persévérant avec cela.
27 Lorsque Dieu annonce quelque chose qui va arriver, comme les visions ou quelque chose d’autre... J’en ai eu des dizaines de milliers, et beaucoup d’entre vous en sont témoins, aucune d’elles n’a jamais failli. Et lorsque Dieu dit quelque chose, je ne... S’Il disait ce soir: «Va au cimetière national, car Je vais ressusciter George Washington le matin», j’inviterais le monde entier à venir voir cela, la chose va arriver.
28 La Parole de Dieu ne peut pas faillir. Il n’a jamais failli, et Il ne peut pas faillir. Il y a une chose qui ne peut pas arriver à Dieu, c’est de faillir. Il ne peut pas faillir. Et Dieu est Sa Parole.
29 Eh bien, Noé vivait dans un âge scientifique où les gens étaient, peut-être... où ils pouvaient sonder la lune au moyen de leur radar. Jésus a dit que c’était un jour semblable à celui-ci. «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»
30 Maintenant nous le savons; là en Egypte, nous voyons ces pyramides. Nous ne pouvons pas les reproduire aujourd’hui. Nous n’avons pas de puissance pour le faire. Eux, ils avaient la maîtrise de la puissance atomique, ou–ou une sorte de puissance avec laquelle ils bâtissaient ces pyramides. Nous ne saurions en aucun cas placer ces grosses pierres à cette hauteur-là. Nous ne saurions pas non plus reproduire ces sphinx. Il n’y a aucun moyen de le faire. Nous n’avons pas les matériaux pour faire une momie, pour embaumer un corps de sorte qu’il garde l’aspect naturel pendant des milliers d’années. Nous avons perdu cet art-là. Une teinture qui ne ternit pas; il y a bien des choses qu’ils avaient à l’époque, auxquelles nous sommes complètement aveugles. Et eux, ils ont bâti cette pyramide qui se tient si parfaitement au centre de la terre que, peu importe la position du soleil, il n’y a jamais d’ombre autour d’elle, jamais une ombre ne peut se former autour de cette pyramide. Oh! l’architecture, les–les– les instruments qu’ils–ils avaient dépassent de loin ce que nous avons aujourd’hui.
31 Et Noé a vécu dans cet âge scientifique et intellectuel. Certainement. Et il était un prophète, et le Seigneur lui a dit qu’il allait pleuvoir. Et après que Noé a entendu la Voix de Dieu, étant un prophète qui écoutait la Voix de Dieu (la Parole de Dieu vient à Son prophète), il était sûr qu’il allait pleuvoir, peu importe ce que quelqu’un d’autre disait, même si la pluie n’était jamais tombée auparavant.
32 Et il n’était jamais tombé de pluie auparavant. Dieu irriguait le sol, la végétation, à partir–à partir des sources, et autres, de la terre. Il n’y avait jamais eu des nuages dans le ciel, mais pourtant Noé savait que de l’eau viendrait du ciel. Comment Dieu va-t-Il faire cela? Il ne le sait pas, mais il était si persévérant qu’il est allé construire une arche d’après les spécifications que Dieu lui avait données pour sa construction, parce qu’Il avait entendu la Voix de Dieu et s’était tenu dans la Présence de Dieu, lorsque la Voix de Dieu lui avait été manifestée.
Cela devrait mettre en feu cette église née de nouveau, et la rendre persévérante.
33 Peu importe combien de critiqueurs s’en moquent, combien de gens disent que c’est impossible, et ensuite ils vont là et prouvent scientifiquement la chose en sondant la lune au moyen du radar pour démontrer qu’il n’y a pas d’eau là dans les cieux. Mais après s’être tenu dans la Présence de Dieu, Noé savait que c’est Dieu qui lui avait parlé, et qu’Il était clairement identifié que c’était la Parole de Dieu; et après s’être tenu dans la Présence de Dieu, il était–il était tenace. Et il construisait l’arche, de toute façon; et personne ne voulait l’aider, il construisait l’arche lui-même. Il était tenace parce qu’il était... Il savait que c’était la Parole de Dieu, et il a construit l’arche.
34 Je peux penser à–à Moïse, un grand érudit, qui était si intelligent qu’il pouvait–qu’il pouvait enseigner la sagesse aux Egyptiens. Il pouvait enseigner aux enseignants. Il connaissait toute la–la théologie que les Egyptiens connaissaient, et il avait toute la connaissance de sa famille juive. Il était un homme intelligent, sagace, un grand... Il nous est rapporté qu’il était un militaire. Toutefois, il avait complètement échoué, à cause d’une seule chose. Il tua cet Egyptien, et c’en était fini de son instruction; lorsqu’il fut alors accusé: «Vas-tu nous tuer comme tu as tué l’Egyptien?» Il pensait que ses frères allaient comprendre la chose. Et il–il a lamentablement échoué.
35 Et cela m’amène à cette pensée: C’est la raison pour laquelle, ce soir, nos systèmes ont failli. C’est la raison pour laquelle nous ne serons jamais en mesure d’amener les gens à Dieu par l’instruction. Nous ne serons jamais en mesure d’amener les gens à Dieu par les dénominations. Nous avons essayé tous ces systèmes, et ils ont tous failli, comme... ils sont tous tombés comme la tour de Babel. Et ils tomberont toujours.
36 Dieu, le Dieu immuable, a pris Sa décision au jardin d’Eden, sur la manière dont Il sauverait l’homme.
37 Et lorsque Dieu prend une décision, cela doit rester pour toujours ainsi. Il ne peut pas changer. Il ne peut pas devenir plus intelligent. Il est la Source de toute intelligence. Peu importe ce que dit notre science, si cela s’oppose à l’Intelligence ou à la Parole de Dieu, c’est contraire, ce n’est pas juste; peu m’importe combien la chose peut être confirmée scientifiquement, cela est faux malgré tout.
38 Dieu a décidé qu’Il sauverait l’homme par le Sang versé d’un Innocent. Les gens ont essayé de bâtir des villes, ils ont essayé d’unir les hommes, ils ont essayé de bâtir des tours, d’y faire entrer les gens par l’instruction, et constamment ils s’éloignent. Vous ne serez jamais en mesure de sauver l’homme tant que celui-ci ne revient pas au Sang. C’est le seul lieu où Dieu rencontrera donc l’homme. Ce n’est pas sur base de son intellectualisme, ce n’est pas sur base du degré de son intelligence, du nombre d’hommes qui ont fait de lui un prêtre, ou un évêque, ou un intendant de district, ou peu importe ce qu’il pourrait être, prédicateur, diacre, ce n’est pas sur cette base que Dieu rencontre un homme. La base sur laquelle Dieu rencontre l’homme, c’est quand l’homme est sous le sang versé. C’est le seul lieu où Israël était en mesure de rencontrer Dieu, d’adorer; c’était sous le sang versé. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. Aucune autre voie ne marchera. Et sous le Sang versé, Dieu rencontre l’homme; et Il se tient dans la présence de l’homme.
39 Moïse, cet intellectuel fugitif, ce prophète fugitif, là derrière le désert, a épousé cette belle Ethiopienne, et il vivait là; il a eu un enfant, le petit Guerschom. Un jour, pendant qu’il se promenait dans le désert, derrière le désert, un vieil homme de quatre-vingts ans, paraissant complètement amorti comme prédicateur, mais il a vu un buisson en Feu, et qui ne se consumait pas. Et il s’est détourné pour voir ce qui se passait, et il est entré dans la Présence de Dieu; il a entendu la Présence de Dieu, il a entendu la Voix de Dieu pendant qu’il était dans Sa Présence, pendant que cette Colonne de Feu se tenait dans ce buisson, en train de lui parler. Alors qu’il avait même peur de s’approcher de l’Egypte, sachant que Pharaon lui ôterait la vie; cette fois, rien ne pouvait l’arrêter.
40 Et parfois, lorsqu’un homme entre dans la Présence de Dieu et qu’il entend la Voix de Dieu, il fait des choses si–si radicales pour la pensée ordinaire des gens que cela paraît ridicule.
41 Voyons alors le jour qui a suivi. Un homme qui avait peur de prendre une armée pour attaquer l’Egypte... tous les esclaves qu’il y avait en Egypte, il avait peur d’attaquer Pharaon comme cela; le voici, le jour suivant, à l’âge de quatre-vingts ans, la barbe lui pendant jusqu’aux hanches, la tête chauve et luisante, un bâton tordu dans la main, sa femme assise sur un mulet avec un petit enfant à la hanche, le voilà qui descend, les yeux levés, glorifiant Dieu.
«Où vas-tu, Moïse?»
42 «Je me rends en Egypte pour prendre le contrôle.» Une invasion par un seul homme! Pourquoi? Il avait été dans la Présence de Dieu. Il avait vu ce que Dieu pouvait faire avec un bâton. Il ne savait pas ce que Dieu pouvait faire avec une armée. Il savait ce que Dieu pouvait faire avec un bâton.
43 Je ne sais pas ce qu’Il peut faire par une dénomination. Je sais ce qu’Il peut faire avec un seul homme qui veut s’abandonner complètement à Lui. Tout ce dont Dieu a besoin, c’est d’une seule personne, et c’est vous. Alors, cette personne est persévérante. Rien ne va l’arrêter.
44 Moïse était entré dans la Présence de Dieu, il avait entendu Sa Voix dans un–un signe miraculeux. Il savait qu’Il était un Feu dévorant, et Le voici dans la Colonne de Feu, là dans un buisson. Toute son instruction, toute sa théologie l’avait quitté. Et il connaissait une seule chose: il y avait un Dieu, et il avait reçu de Lui des ordres. Un bâton tordu était bien suffisant. Il avait été dans la Présence de Dieu.
45 Le nombre d’hommes entraînés que l’Egypte avait ne changeait rien. Toutes ces choses ne représentaient rien pour Moïse. Il avait été dans la Présence de Dieu, et il était persévérant. Il se rend là pour prendre le contrôle, avec un bâton tordu à la main, face à ces boucliers et aux hommes entraînés qui étaient là, par dizaines de milliers. Arrêtez-le si vous le pouvez. Rien ne peut l’arrêter. Et il y est parvenu, il s’est rendu là et a pris le contrôle parce qu’il était persévérant du moment qu’il savait absolument qu’il avait été dans la Présence de Dieu, et qu’il avait entendu la Voix de Dieu dans la Présence de Dieu. Amen. Ce n’était pas seulement la Voix, mais c’était une Voix scripturaire.
Il y a toutes sortes de voix. Examinez-les par la Parole.
46 La Voix avait dit: «Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. J’ai fait une promesse selon laquelle je délivrerais ce peuple. L’heure est proche. J’ai entendu ses lamentations, J’ai vu ses oppresseurs l’accabler, et Je me suis souvenu de Ma promesse. Et Je suis descendu pour le délivrer, et c’est toi que J’envoie pour le faire.» Ça, c’est bien suffisant. Il a vu Sa gloire, et le voilà parti.
47 David était très persévérant lorsqu’il s’était rendu auprès de–de l’armée d’Israël qui se tenait sur une colline à ce moment-là, d’un côté de la petite rivière, alors que les–les Philistins se tenaient de l’autre côté. Goliath était là, ce grand challenger, ayant environ deux fois la carrure et la taille d’un homme ordinaire, avec des doigts mesurant quatorze pouces [35,5 cm], une grande lance longue de plusieurs pieds, qui pouvait se tenir là, et de sa lance percer un homme et le soulever comme cela, et le jeter de côté; il pouvait percer ces hommes et les soulever avec sa lance et les jeter d’un côté pendant qu’ils monteraient la colline.
48 Et lorsque l’ennemi sait qu’il a le dessus sur vous, il aime faire des fanfaronnades. Et ainsi, il a dit: «Ne répandons pas beaucoup de sang.» Il a dit: «Saül, qu’un de tes hommes vienne ici et se batte avec moi. Et si je le tue, eh bien, alors vous nous servirez. Mais s’il me tue, nous vous servirons.» Voyez, lorsque l’ennemi a le dessus!
49 Et chaque soldat tremblait tellement qu’il–qu’il pouvait à peine tenir son armure. Et Saül, le plus habile de tous, et qui dépassait tous les militaires de son armée d’une tête, n’osait pas l’affronter, et pourtant il était supposé être l’oint du Seigneur.
50 Mais du désert est venu un petit homme rougeaud, aux épaules tombantes, qui avait une fronde dans la main. Et ce géant a fait sa fanfaronnade devant la personne qu’il ne fallait pas. Et David a dit: «Voulez-vous me dire que vous allez laisser cet incirconcis de Philistin se tenir là et défier l’armée du Dieu vivant? Voulez-vous me dire que vous allez faire une chose pareille?»
51 Alors, ses frères ont dit: «Eh bien, petit malin. Rentre là auprès de tes brebis, où se trouve ta place.»
52 Et la nouvelle est parvenue jusqu’à Saül. Saül a dit: «Amenez-moi ce garçon ici, que je le voie.»
53 Et lorsqu’il est arrivé, un petit homme rougeaud au dos voûté se tenait là, les cheveux probablement lui tombaient dans les yeux. Et il a dit: «Eh bien, toi, tu ne peux pas te battre avec cet homme.» Il a dit: «Tu n’es qu’un gamin, un petit–petit homme rougeaud dans la fleur de l’âge. Lui, il est un homme de guerre dès sa jeunesse.» Il a dit: «Tu ne peux pas te battre avec lui. J’admire ton courage, mais le... Le défi est trop grand.»
54 Et qu’est-il arrivé? Il a dit: «Voyons voir si tu peux te servir de mon armure.» Ainsi, il l’a revêtu de son armure, et il lui a donné son bouclier.
55 Eh bien, le pauvre petit David ne pouvait même pas se tenir debout avec. Il–il–il a dit qu’il–qu’il ne connaissait rien de cela. Il a trouvé que la veste ecclésiastique de Saül ne convenait pas à un homme de Dieu.
56 Ainsi il a dit: «Je vais l’envoyer recevoir l’instruction, un diplôme de doctorat, un doctorat en droit, et que sais-je encore, pour voir ce qu’il peut faire à ce sujet.»
57 David a dit: «Je ne connais rien de ces choses. Ôtez-les de moi. Je–je ne sais rien de ceci.»
58 «Mais, voici une chose que je connais. J’étais en train de paître les brebis de mon père, un lion a surgi et en a attrapé une. Et j’ai couru après lui, parce que mon père m’avait donné la responsabilité de veiller sur ces brebis.» Amen. Et tout bon berger est un gardien des brebis. Et il a dit: «Je n’avais que cette fronde dans ma main, mais j’ai terrassé ce lion, et lorsqu’il s’est relevé pour m’attaquer, je l’ai abattu. Et un ours est venu et a attrapé une brebis. J’ai couru après lui et j’ai arraché la brebis de sa gueule, et lorsque celui-ci s’est dressé contre moi, je l’ai tué.» Et il a dit: «A combien plus forte raison, le Dieu d’Israël, le Dieu du Ciel, livrera-t-Il cet incirconcis de Philistin dans ma main!»
59 Ce petit homme était persévérant parce qu’il savait de quoi il parlait. Il savait en qui il avait cru, et il était pleinement persuadé que Dieu avait la puissance de garder ce qu’il Lui avait confié jusqu’à ce jour-là. Eh bien, il n’avait qu’une fronde, c’est tout ce qu’il avait. Il a dit: «Je vais aller me battre avec ce Philistin.» En effet, la raison pour laquelle il était persévérant, c’est parce qu’il savait que si Dieu, alors qu’il prenait soin d’une brebis, l’avait aidé à délivrer celle-ci afin de la ramener à son père, combien plus Le ferait-Il pour un homme.
60 Maintenant, pensez-y, vous tous les ministres. C’est ce que nous ressentons à votre sujet, vous les brebis, ce soir. Le diable est venu et vous a frappé d’une maladie. C’est vrai. Il vous a arraché votre bonne santé. Je–je n’ai pas de diplôme de doctorat. Je n’ai point de doctorat en droit. Je n’ai même pas l’instruction de l’école primaire. Mais je sais ce que j’ai. Je viens à votre recherche, ce soir, pour vous ramener aux verts pâturages ombragés et aux eaux paisibles. Voilà pourquoi nous sommes ici à l’estrade ce soir; c’est pour venir vous prendre, vous arracher des griffes du lion là-bas, pour vous ramener. Soyez patient, suivez attentivement et observez, cherchez à comprendre ce que nous essayons de faire, c’est-à-dire essayer de vous aider.
61 Maintenant, David était très tenace, parce qu’il savait en qui il avait cru, il savait qu’Il avait la puissance de confier... ce qu’il Lui avait confié, Il était capable de le garder.
62 Nous voyons que Samson, un autre grand juge en Israël, que certaines personnes se représentent comme ayant des–des épaules presque comme la porte d’une grange; eh bien, il n’y aurait rien d’étrange en cela qu’un tel homme soit en mesure d’arracher les portails de Gaza et de partir avec, ou de saisir un lion et de le déchirer. Mais, vous savez, Samson n’était qu’un tout petit... selon le langage de la rue, un petit gringalet, un petit bout d’homme aux cheveux bouclés, un efféminé, un fils à maman, ayant sept tresses. C’était étrange. Alors que les gens pensaient qu’un homme, un grand gaillard de 3 mètres, pouvait soulever un lion, certainement, et le tuer, mais la chose étrange c’était que ce petit homme semblait impuissant avant que l’Esprit du Seigneur vienne sur lui. Ce n’était pas Samson. C’était l’Esprit du Seigneur.
63 Voilà pourquoi ce n’était pas les apôtres. Jésus les avait tous choisis, pratiquement aucun d’eux n’avait même pas assez d’instruction pour signer son nom. Il n’a pas choisi des sacrificateurs. Il n’a pas choisi des théologiens. Il a choisi des pécheurs et des bergers ignorants et sans instruction, afin qu’Il puisse les prendre dans Sa main, et prendre un rien et en faire quelque chose. C’est Sa nature. Ainsi, Il ne prend pas des écoles entraînées, et des érudits entraînés, Il prend quelque chose qui s’aperçoit qu’il n’est rien. Il entre dans cela, et en fait quelque chose.
64 Nous voyons que cet homme de Samson était un naziréen; il avait sept petites tresses qui lui pendaient dans le dos. Et lorsque l’Esprit du Seigneur venait sur lui, il n’avait peur de rien. Pourquoi? Il était tenace tant qu’il pouvait sentir que ce voeu de naziréat était avec lui. Et tant qu’il pouvait toucher là derrière et sentir ces tresses, il savait qu’il était dans la volonté de Dieu et rien ne pouvait le lier. La ville ne pouvait pas le lier. Un lion ne pouvait pas le tuer. Il a pris la mâchoire d’une mule, qui était desséchée, et il a terrassé mille Philistins avec cela.
65 Savez-vous que ces casques, ces casques d’airain avaient plus d’un pouce [2,5 cm] d’épaisseur? Savez-vous ce qui serait arrivé si un vieil os desséché du désert heurtait cela? Eh bien, ça aurait volé en un million d’éclats. Mais il s’est tenu là, tout seul, avec cette mâchoire de mule, cognant ces Philistins à la tête, et il en a tué mille. Pourquoi? Il était tenace. Chaque fois qu’il frappait, il sentait ce voeu de naziréat revenir sur lui.
66 A combien plus forte raison, ce soir, l’église qui déclare être née de l’Esprit de Dieu devrait-elle être tenace! Comment pouvez-vous vous tenir dans les réunions et voir la confirmation de Jésus-Christ ressuscité, et prétendre être rempli du Saint-Esprit, et pouvoir vous tenir tranquille et laisser Satan vous pousser çà et là comme il le fait? Voilà qui est étrange! Tant que vous pouvez sentir la Présence du Saint-Esprit, et savoir que c’est Sa Parole et Sa promesse pour ce jour, vous devriez être tenace pour vous efforcer d’entrer jusqu’à ce que ce soit terminé. Persévérant! Accrochez-vous-y! Dieu l’a promis. Ce n’est pas vous. C’est Dieu!
67 Qu’en est-il de la petite vierge Marie. Maintenant ceci s’adresse à vous les femmes. Eh bien, elle n’était qu’une fille ordinaire qui vivait dans une ville très méchante, de loin pire que Topeka. Et elle habitait là, mais elle menait une vie pure et loyale, et elle était fiancée à un homme du nom de Joseph. Et un jour, pendant qu’elle se rendait au puits, pour puiser de l’eau, une grande Lumière est apparue devant elle. Et un Ange s’est tenu là, c’était Gabriel, et lui a dit qu’elle allait avoir un Enfant, sans connaître d’homme. Et au même moment, il lui a parlé d’Elisabeth, sa–sa cousine, qui était avancée en âge, la femme de Zacharie, et qui avait conçu dans sa vieillesse.
68 Et maintenant Marie, vous pouvez imaginer quelle risée elle était pour les gens, de penser que cette jeune fille, que fréquentait ce garçon, un garçon intègre, et voilà qu’elle est visiblement enceinte. Mais, cela lui était égal. Elle avait été dans la Présence de Dieu. Elle avait entendu la Voix de Dieu. Les moqueries des gens, ou les rires des gens, ou ce qu’ils disaient à ce sujet, ça lui était égal. Elle était tenace. Et la voilà partie pour la contrée montagneuse.
69 Et les femmes de l’époque n’étaient pas comme celles d’aujourd’hui, qui sortent là en shorts, à quelques jours de l’accouchement, elles sont là dans la rue devant les hommes. C’est une disgrâce pour l’humanité! C’est vrai.
70 Elle s’était cachée. Et la petite Marie est montée là avant qu’elle accouche; elle est montée dans ces collines de Judée pour voir Elisabeth. Et pendant qu’Elisabeth se cachait, sans doute, un matin, regardant au travers du rideau, elle a vu venir en courant cette jeune fille, et elle a reconnu que c’était sa–sa cousine, Marie. Et comme les femmes de l’époque, elles aimaient se visiter, elles étaient si précieuses l’une pour l’autre. Elle est sortie en courant peut-être, et a jeté ses bras autour d’elle et l’a étreinte en la saluant.
Elle a dit: «Si je comprends bien, tu es enceinte.»
- Oui.
Elle a dit: «Tu sais, moi aussi, je suis enceinte.»
- Oh! Etes-vous déjà mariés, Joseph et toi?
- Non, nous ne sommes pas encore mariés.
71 Et elle a remarqué qu’elle avait l’air d’être enceinte. Elle a dit: «Tu veux dire, ma chère, que vous n’êtes pas encore mariés, Joseph et toi, tu es enceinte?»
- Oui.
- Comment est-ce possible?
72 «Le Saint-Esprit me couvrira de Son ombre, Il va... Il m’a couverte de Son ombre. La Voix de Dieu l’a dit.» Et elle a dit, elle a dit: «Je sais que toi aussi tu es enceinte.»
73 Elle a dit: «Oui, mais je suis déjà dans mon sixième mois, et je–je suis inquiète parce que le bébé n’a pas encore bougé.»
74 Eh bien, tout le monde sait que c’est tout à fait anormal; à deux ou trois mois, on sent la vie. Mais ça faisait déjà six mois, et il n’y avait aucun signe de vie. Cet enfant était donc mort, six mois sans vie. Elle a dit qu’elle était inquiète à ce sujet.
75 Elle a dit: «Mais le Saint-Esprit est venu sur moi», a dit Marie à Elisabeth, «le Saint-Esprit est venu sur moi, et m’a couverte de Son ombre; et Il a dit que j’aurai un Fils, et qu’Il sera le Fils de Dieu, et que je Lui donnerai le Nom de ‘Jésus’.»
76 Et aussitôt que ce Nom humain de Dieu, «Jésus», a été prononcé par les lèvres mortelles, par un être humain, un enfant mort est revenu à la vie dans le sein d’une mère, et a reçu le Saint-Esprit. Si cela a eu un tel effet sur un bébé mort dans le sein d’une femme, qu’est-ce que cela devrait faire à une église née de nouveau? La première fois que le Nom de Jésus-Christ a été prononcé par des lèvres mortelles, un bébé mort dans le sein de sa mère est revenu à la vie et a reçu le Saint-Esprit. «Comment se fait-il que la mère de mon Seigneur...?», a dit Elisabeth. «Car aussitôt que ta salutation est parvenue à mes oreilles, mon enfant a bondi de joie dans mon sein.»
77 Et aujourd’hui nous disons avoir ce Saint-Esprit, et avec Cela nous nous comportons en poltrons, nous avons peur de sortir. Nous devons devenir tenaces. Si nous avons le véritable et authentique Saint-Esprit, nous serons tenaces.
78 Eh bien, je m’éloigne vraiment; je m’éloigne, je m’éloigne de mon texte. Et voici qu’il est maintenant presque temps pour commencer la ligne de prière, et je n’ai même pas encore abordé mon texte. C’est trop court.
79 Cette femme dont nous parlons, cette femme syro-phénicienne, était une Grecque et avait entendu parler de Jésus. Or, «la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu.» Et elle avait entendu.
80 Et, d’une manière ou d’une autre, la foi trouve une source que les autres ne voient pas. Un–un médecin pourrait dire: «Mon enfant, j’ai fait tout ce que je peux pour toi.» Il est au bout du rouleau. C’est tout ce qu’un homme peut faire. Il voit que la chose est à un stade très avancé, et qu’il n’y peut rien. Mais, vous voyez, la foi trouve une source dont lui ne sait rien. La science ne saura pas prouver cela, parce que la foi...
81 Toute l’armure de Dieu est surnaturelle. Quelle est l’armure de Dieu? L’amour; qu’est-ce que l’amour? Scientifiquement prouvez-moi que l’amour existe. Où est-il? Vous, combien aiment? Levez la main; vous qui aimez votre femme, vous qui aimez votre frère, vous qui aimez vos amis. Eh bien, j’aimerais que quelqu’un, une certaine science, me prouve quelle partie de vous constitue l’amour. Où l’achetez-vous, dans quelle pharmacie? J’aimerais m’en procurer une bonne quantité, une bonne quantité de cet amour. La joie, avez-vous la joie? La paix, la longanimité, la douceur, la patience, qu’est-ce que c’est? Tout cela est surnaturel.
82 Dieu est surnaturel. Vous ne pouvez pas prouver Dieu scientifiquement. Dieu, on Le croit. Vous croyez cela. Si vous ne croyez pas cela, alors un homme qui dit que toute chose qui n’est pas prouvée scientifiquement, ce n’est pas orthodoxe, cela n’est pas juste», alors un tel homme ne peut jamais être un chrétien. Il faut qu’il croie. C’est par la foi que nous croyons en Dieu; ce n’est pas par l’instruction, ce n’est pas par la théologie. «Mais c’est par la foi que vous êtes sauvés.»
83 Remarquez, la foi trouve une source que les autres ne voient pas. Sa Parole est une épée; Hébreux 4.12 dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, Elle discerne même les pensées, les sentiments du coeur.» Il s’agit là de la Parole de Dieu. Et l’unique chose qui peut tenir cette Epée c’est la main de la foi.
84 Rien d’autre ne peut le faire, rien d’autre. Vous devez voir quelque chose autrement. Scientifique... Vous, par la science, par l’instruction, vous ne pouvez pas tenir cette Epée. Vous ne pouvez pas le faire par l’instruction; Elle est trop entremêlée, trop compliquée; si vous le faites, cela pourrait La rendre... Elle va essayer de se contredire, et que sais-je encore. Vous ne pouvez pas le faire. Jésus a dit: «Elle est cachée à vos yeux», ainsi, oubliez la chose. Vous ne pouvez pas connaître cela. C’est caché. Et lorsque Dieu cache quelque chose, cela est vraiment caché.
85 Voilà pourquoi vous êtes très caché, si vous êtes un chrétien. «Car vous êtes mort, et votre vie est cachée en Dieu, en Jésus-Christ, et scellée par le Saint-Esprit.» Comment le diable va-t-il vous trouver? Il ne peut pas vous trouver. Vous êtes caché. Dieu vous cache. Amen. Quelle cachette que d’être dans le sein de Jésus-Christ!
86 Maintenant, la foi tient cela, elle manie cela. Eh bien, vous pouvez ne pas être assez fort, avec ce bras de la foi, pour faire un trou de part en part dans la chose et traverser là comme certains le peuvent. Mais continuez simplement à frapper, la chose se produira. Continuez sans relâche.
87 Elle a connu beaucoup d’obstacles, cette petite femme grecque, mais sa foi n’en connaissait aucun. La foi n’a pas d’obstacle du tout. Il n’y a rien qui puisse faire obstacle à la foi. Ne vous souciez pas de ce que quelqu’un d’autre dit, rien ne fait obstacle à la foi. Voyons certaines de ces «éventualités» qui pouvaient lui arriver. Peut-être qu’elle...
88 Quelqu’un lui avait peut-être dit: «Tu es une Grecque. Ta dénomination ne parraine pas Sa série de réunions.» Mais elle était tenace, malgré tout. Elle était décidée à se rendre là, de toute façon, parce qu’elle avait entendu parler de cela. Et «la foi vient de ce qu’on entend.» Ce n’est pas par la collaboration, mais c’est en écoutant.
89 Remarquez, peut-être que les gens lui ont dit ceci, cela: «Tu es une Grecque. Tu n’es pas de leur race. Toi, il–il y a... La couleur de ta peau est différente de la leur. Ils sont d’une autre race.» Toutefois, cela ne l’a pas dérangée. Cela ne l’a pas dérangée
90 Et certains d’entre eux sont peut-être venus lui dire: «Eh bien, c’est du non-sens. Le temps des miracles est passé. Cette guérison dont tu entends parler, ça n’existe pas. C’est tout simplement un autre fanatique qui s’est levé.» Assurément, les gens ont toutes sortes de faux dollars, mais il y en a un de véritable quelque part, à partir duquel est fait le faux. C’est vrai. Eh bien, on lui a dit: «Le temps des miracles est passé, ces affaires-là n’existent pas. Ce n’est qu’une bande de fanatiques qui se trouve là-bas, juste une petite poignée de ces gens-là qui sont... Nous les avons eus.»
91 Mais, toutefois, quelque chose avait frappé cette femme; elle était toujours tenace. Le temps des miracles était peut-être passé pour celui-là qui lui parlait; mais pas pour elle. Cela est peut-être passé pour certains de vos compagnons, mais pas pour vous, si vous avez la foi.
92 Peut-être qu’il y avait un autre groupe, peut-être certaines femmes qui se sont tenues là au coin, disant: «Marthe.» (J’espère qu’il n’y a pas de Marthe ici.) «Marthe, tu sais quoi? Ton mari va te quitter, aussi sûr que tu te rends à ces réunions. Eh bien, je sais que ta fille souffre de l’épilepsie, mais je t’assure, cela va... Si jamais ton mari te surprend pendant que tu te rends là! Il est membre d’importants clubs et associations de la ville; si tu te rends là, il va te quitter.» Cela ne lui disait rien. Elle était décidée d’y aller, de toute façon. La foi s’était déjà emparée d’elle. La foi ne connaît pas d’obstacles.
93 Eh bien, alors, peut-être il y a eu un groupe par là au coin, qui disait: «Tu sais quoi? Tu seras la risée de l’église, parce que tu te rends là juste pour rien. Et les gens sauront que toi, tu te rends là. Et aussitôt que tu seras identifiée comme étant une des leurs, alors, tu seras la risée des gens. Tout le monde se moquera de toi.» Cela ne lui disait rien, pas du tout. Elle était tenace.
94 Peut-être qu’un groupe lui a dit: «Ils te chasseront de l’église; ils te retireront ta carte de membre.» Néanmoins, elle était tenace. Cela ne l’a pas arrêtée le moins du monde. Pourquoi? Elle s’était déjà emparée de la foi.
95 J’aurais bien voulu avoir du temps pour m’arrêter ici pendant quatre heures pour vous parler juste des–des expériences sur des choses similaires, où des hommes, des femmes ainsi que des enfants étaient mourants, d’après les déclarations des médecins, et ils sont vivants ce soir, par la grâce de Dieu. En effet, quelque chose s’était emparé d’eux, la foi! C’est ça. Très bien.
96 Elle a traversé toutes ces portes, toutes les critiques, toutes les moqueries, tous les «ton mari va te répudier; l’église te retirera ta carte de membre, il te faudra trouver quelque chose d’autre, tu seras une proscrite; on te traitera de sainte exaltée.» Cela ne lui disait rien, parce qu’elle avait déjà vu Dieu. Elle avait entendu, et la foi vient de ce qu’on entend. Et elle savait que d’autres avaient été guéris; pourquoi sa fille ne pourrait-elle pas être guérie? Voilà, la voilà venir.
97 Finalement, elle arrive aux pieds de Jésus, et remarquez quel choc! Bien des gens pensent que parce qu’ils peuvent parvenir jusque-là, c’est tout ce qu’il y a à faire; mais vous n’avez fait alors que commencer. Lorsqu’elle est arrivée auprès de Jésus, quelle déception pour elle! Ou quelle déception cela aurait été, peut-être, pour nous en ce temps-ci! Jésus a dit qu’Il n’était même pas envoyé vers sa race.
98 Si c’était certains d’entre vous les pentecôtistes d’aujourd’hui, eh bien, avec un air dédaigneux vous vous en seriez allés, en disant: «C’est donc ça? S’ils ne veulent pas de moi chez les assemblées, je vais adhérer aux unitaires. S’ils ne m’aiment pas là, j’irai à l’église de Dieu. Je–je ne suis pas obligé de supporter une telle affaire.» Oh! c’est la raison pour laquelle les miracles ont quitté l’église. Voilà pourquoi la foi a quitté l’église. Voyez?
99 Même Jésus, le Dieu même! Ecoutez ceci. Le Dieu même chez qui elle allait pour L’adorer, et–et qui devait changer ses pensées, afin qu’elle puisse croire en Lui; lorsqu’elle est arrivée auprès de Lui, Il lui a tourné le dos.
100 Vous souvenez-vous qu’hier soir, j’ai prêché sur les fleurs hybrides et autres? Aujourd’hui le christianisme est une reproduction. Ce n’est pas l’original. Si vous aviez le baptême original comme les gens l’avaient autrefois, cette Eglise pentecôtiste serait une... Rien ne pourrait l’arrêter. Elle serait comme une maison en feu par un temps sec où souffle un vent chaud. Rien ne pourrait l’arrêter; elle est en feu. Mais qu’a-t-on aujourd’hui? Non, c’est un groupe différent aujourd’hui. C’est une reproduction, voilà mon opinion.
Remarquez, Il lui a tourné le dos.
101 Aujourd’hui il nous faut tapoter les gens en leur disant: «Je vous fais la promesse; si simplement vous venez, je mettrai votre carte dans mon registre que voici, votre lettre, et je–je–je verrai ce que je peux faire. Nous nous réunirons avec le comité des diacres, pour voir si nous ne pouvons pas vous prendre au comité des diacres ou–ou quelque chose du genre.» C’est ainsi qu’ils doivent les traiter aujourd’hui. Voyez quelle bande nous avons!
102 Mais même lorsqu’elle était arrivée là, Jésus a dit: «Je n’ai même pas été envoyé vers ta race. Et, à part cela, ils ne sont qu’une bande de chiens.»
103 Oh! la la! qu’aurions-nous fait? Qu’auriez-vous fait? Posez-vous cette question, et soyez sincère. Si quelqu’un se bute à un refus méprisant, eh bien, si on ne prie pas pour vous, la première soirée, vous dites que vous ne reviendrez plus. Avez-vous donc la foi? Certainement. Eh bien, souvenez-vous, cette bande va aller partout dans le monde. Je ne pointe pas simplement mon doigt ici; je le pointe partout. Voyez? Oui, vous, vous n’allez pas revenir. Non. Vous n’êtes même pas capable de vous asseoir pour écouter jusqu’à la fin de la réunion. Vous voyez? «Oui, j’ai la foi.» Oui.
104 Mais elle a été traitée de chien. C’est la chose la plus vile que l’on puisse avoir, ou pour eux c’était la chose la plus vile à l’époque, un animal impur. Naturellement, aujourd’hui c’est une idole; et une femme prendra un pauvre petit chien et lui prodiguera des soins maternels, et elle pratiquera la limitation des naissances, parce qu’elle veut aller aux bals dansants et aux fêtes, et faire des extravagances pareilles, et elle n’a pas de temps pour son enfant. Vous savez, elle fera sortir le chien d’une petite cage quelque part, [et] elle le trimbalera avec elle. C’est l’exacte vérité. Voyez. Elle pratique la limitation des naissances, et ensuite elle va à l’église et chante dans la chorale; elle porte des vêtements courts, des pantalons, tout le reste, et elle se dit chrétienne; et elle se coupe les cheveux au carré et elle continue à affirmer qu’elle est en communion avec Dieu, alors que la Bible dit qu’elle ne l’est pas. C’est l’exacte vérité. Peu m’importe... Ecoutez. Vous direz: «Cette petite chose, pourquoi en parlez-vous?»
105 Au commencement, une seule Parole a causé toutes les maladies et la mort. Le même Dieu, à la fin du Livre, a dit: «Quiconque retranchera une seule Parole du Livre, ou Y ajoutera une seule parole...» Ainsi, peu importe ce que vous faites, combien vous prétendez être saint, combien vous sautillez et poussez des cris, combien vous parlez en langues, combien vous courez sur le plancher, ou peu importe ce que vous voulez faire, ou ce que vous donnez aux pauvres, ou quoi que vous soyez; ce n’est pas cela. Vous avez brisé cette Parole; et, à cause de cette seule Parole brisée, vous ne pouvez plus retourner dedans! C’est l’exacte vérité, une seule Parole. Vous adoptez un credo au lieu de la Parole, parce que cela vous convient mieux.
106 Voilà pourquoi les gens peuvent adhérer à l’église, et se rendre à ceci ou à cela, et s’asseoir là, ce n’est rien qu’une loge. Ce n’est pas une église. Vous entrez dans l’Eglise par une naissance; mais une loge, vous vous y joignez. Toutefois, vous entrez dans une église par une naissance, l’Eglise, pas une église; l’Eglise. Il n’y a qu’une seule Eglise. Et vous...
107 Je suis dans la famille Branham depuis cinquante-cinq ans, et on ne m’a jamais demandé de me joindre à cette famille. J’y suis né. C’est vrai.
Oui, elle était rejetée, taxée de «chienne», toutefois elle a tenu bon.
108 Voyez, elle avait la foi. Elle était déçue par tous ses amis, elle était déçue par sa famille, avec toutes sortes de choses qui essayaient de lui faire obstacle. De toute façon, les choses n’ont pas tellement changé. Cela montre que Satan essaie de–de repousser la foi authentique, mais il ne peut pas y arriver. Peu importe ce que quelqu’un dit, cette foi est toujours là. Cette femme est tenace. Elle continue à avancer.
109 Elle est arrivée auprès de Jésus, et Jésus lui a dit: «Je n’ai pas été envoyé vers ta race. Je n’ai pas été envoyé vers ton église. Eux, ils ne collaborent pas avec Moi. Vous n’êtes qu’une bande de chiens, de toute façon.» Malgré tout, elle a continué à avancer. Jésus lui dit: «Moi, Je suis venu pour–pour guérir ceux-ci, les Miens, Je ne suis pas venu pour vous guérir, vous. Il n’est pas convenable que Je prenne les pains des enfants et vous les donne, à vous une bande de chiens.»
Elle a dit: «C’est la vérité, Seigneur.» Amen.
110 La foi admet toujours que la Parole est vraie. Amen. Eh bien, si vous voulez vous accrocher à un credo, allez de l’avant; mais la foi, la foi véritable et authentique admet que la Parole est la Vérité.
111 Elle a dit: «C’est la vérité, Seigneur, mais les chiens peuvent manger les miettes qui sont sous la table des enfants.» C’était réglé. C’était réglé. Elle n’était pas une–une plante de serre. Elle n’était pas de cette bande d’hybrides, de soi-disant croyants, que nous avons aujourd’hui comme moisson. Elle avait la foi authentique. Elle a accepté que Jésus avait raison. Mais ce qu’elle cherchait, ce n’était pas tout le pain que les enfants pouvaient manger; elle ne cherchait que des miettes.
112 Soit nous recevons ce qu’il y a de mieux, soit nous n’acceptons rien du tout. Nous nous éloignerons de Cela, ensuite nous dirons: «Nous avons la foi. On ne me traite pas comme il faut, je sors.» Ça, ce n’est pas la foi. Ça, ce n’est pas la foi.
113 La foi est là. Ce que j’essaie de vous dire, mes amis, c’est que nous allons tenir une ligne de prière ici une de ces soirées. Et je n’aimerais voir aucune civière, aucun fauteuil roulant, aucune béquille, ni rien qui ne reste ici sur le plancher ni personne de ce genre qui ne sorte en marchant. Voyez? Si vous ne venez pas avec la bonne sorte d’approche, vous n’allez rien recevoir. C’est vrai; vous ne ferez que passer juste dans la ligne, et quelqu’un vous donnera une tape de la main, et vous allez sortir. Ça, ça ne sert à rien. Vous devez savoir ce que vous venez... «Celui qui vient à Dieu doit croire.»
114 Observez, souvenez-vous, elle n’avait jamais vu des miracles. Elle était une Grecque. Elle savait... Elle était une femme des nations. Elle n’avait jamais vu un miracle, cependant elle avait la foi que cela existait. Et année après année, jour après jour, nous voyons des miracles, et nous ne pouvons vraiment pas supporter une ou deux heures.
115 Elle était comme Rahab, la prostituée. Rahab n’avait pas besoin... Cette femme des nations, elle n’avait pas besoin de voir comment Josué était habillé ni de voir Josué. Elle a dit: «J’ai entendu, et je crois.» C’est tout. Elle a entendu, et elle a cru.
116 Jésus a dit: «A cause de cette parole!» Elle a eu la bonne approche vis-à-vis du don de Dieu. Souvenez-vous, elle était la première personne des nations sur qui un miracle avait été opéré, à cause de sa foi. La foi admet que la Parole a raison, elle s’humilie, elle agit de même aujourd’hui.
117 Considérons Marthe dans la Présence de Dieu. Marthe, la soeur de Lazare, était humble dans la Présence de Jésus. Elle était persévérante lorsqu’elle est arrivée là. Jésus a dit... Elle a dit: «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort; mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
118 Jésus a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie; celui qui croit en Moi, quand même il serait mort, il vivra; quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»
119 Souvenez-vous, elle avait le droit de Le réprimander. Elle L’avait envoyé chercher, à deux reprises pendant que Lazare était malade; Il l’a laissé mourir. Mais, vous voyez, elle avait la foi. Elle le savait bien.
120 Et si cette femme sunamite, dans son âge, lorsque son enfant était mort, comme elle croyait que Dieu était dans ce prophète, Elie, elle s’est carrément attachée à Elie... Elle a dit: «Le Seigneur Dieu est vivant, et ton âme est vivante et tu ne mourras jamais, je ne te quitterai pas.» Elle était persévérante. Et Elie ne savait que faire. Il est simplement entré dans la pièce, il s’est mis à faire les cent pas, jusqu’à ce que l’Esprit de Dieu, la Présence de Dieu est venue. Il s’est étendu sur l’enfant, et celui-ci a éternué sept fois et il est revenu à la vie. C’est parce que quelqu’un persévérait, quelqu’un s’était emparé de la foi pour aller auprès de l’homme de Dieu.
121 Et elle avait compris que si Dieu était dans Elie, à combien plus forte raison était-Il dans Son propre Fils. Elle le savait bien. La foi vient de ce qu’on entend. Et dans la Présence de Jésus, elle était persévérante.
122 Apparemment, Jésus essayait de la repousser, et de dire: «Il ressuscitera», et toutes ces choses et ainsi de suite. Mais elle était persévérante. Elle a percé et traversé chaque critique qui disait: «Eh bien, où est ce programme de guérison divine dont tu parlais? Où se trouve donc tout cela? Ton frère est mort, et il est enterré là maintenant. Et le Pasteur est sorti furtivement de la ville jusqu’à ce que ton frère est mort, et Le voilà qui revient après.» Mais toutefois, cela n’a pas constitué une entrave pour elle. Elle a percé et traversé carrément chaque critique jusqu’à ce qu’elle est arrivée auprès de Jésus. Elle a reçu ce qu’elle demandait.
123 Eh bien, il y a quelque temps, je viens de m’en souvenir, au Tabernacle... Je vois certains frères assis là, qui viennent du Tabernacle, ce soir. Il y avait une dame... J’étais entré dans l’église. Et presque chaque soir, nous avions à peu près ce que nous avons ici dans nos réunions. Ainsi donc, nous étions... Je–je n’allais pas prier pour les malades ce soir-là. Et une femme venue de la Californie avait une tumeur; la tumeur elle-même pesait environ 23 kilos. Ainsi, on lui avait demandé de se tenir là derrière. Ainsi, ils avaient dit que nous n’allions pas prier pour les malades ce soir-là; on venait simplement pour la prédication, parce que je venais fraîchement d’une autre série de réunions.
124 Et lorsque je suis sorti par la porte de derrière, deux diacres l’avaient déplacée le long du bâtiment, dans un fauteuil roulant, et l’avaient fait asseoir à la porte, et à même le sol. Et quand je suis sorti, elle m’a saisi par la jambe de mon pantalon, alors que je sortais. Elle a dit: «Frère Branham, la seule chose que je vous demande, c’est de m’imposer les mains.» Elle a dit: «Ma tumeur partira.» Et elle était presque comme ceci.
125 Environ six semaines plus tard, elle était dans une réunion, et elle a pris les soeurs pour qu’elles entrent là et l’examinent. Sans aucune opération, il n’y avait pas la moindre trace de la tumeur, nulle part. Peu importe, même si ce n’était pas le soir où on devait prier pour les malades, elle était persévérante. Et elle a obtenu ce qu’elle cherchait. La foi a trouvé sa place, et elle s’est emparée de la chose.
126 Prenons Michée. Et dans quelques instants, je vais terminer. Michée, devant quatre cents prêtres bien formés, des prophètes hébreux ayant tout. Le messager a dit: «Viens, Michée, tu as été excommunié de l’association des ministres d’ici; mais si tu parles le même langage que les autres maintenant, et que tu dises qu’Achab peut monter là, qu’Achab et Josaphat peuvent monter là, nous pensons que–qu’ils vont te faire revenir dans la communion.»
127 Il a dit: «L’Eternel est vivant, je ne dirai que ce qu’Il me dira.» Ô Dieu, donne-nous davantage de Michées! Vous voyez?
128 Ainsi, il a attendu. Ce soir-là la vision est venue. Il a examiné sa vision par la Parole. En effet, la Parole de Dieu avait prédit au sujet d’Achab que les chiens lécheraient son sang, comme ils avaient léché le sang de Naboth. Ainsi, nous voyons que sa vision était parfaitement en accord avec la Parole.
129 Ainsi, il était persévérant lorsqu’il s’était présenté là le lendemain matin. Il a dit: «Vous pouvez monter, mais j’ai vu Israël dispersé sur la colline, comme des brebis sans berger.»
130 Et ce grand prêtre, ou le chef des prophètes, s’est avancé là, il l’a giflé à la bouche et a dit: «Par où l’Esprit de Dieu est-Il passé lorsqu’Il est sorti de moi?» Toutefois, Michée ne s’occupait pas de ce que les gens disaient. Il s’est tenu là. Achab a dit: «Mettez cet homme en prison; mettez-le dans la prison intérieure, et nourrissez-le du pain et de l’eau d’affliction. Je m’occuperai de lui lorsqu’il... lorsque je serai de retour», en d’autres termes, décapitez-le, ou quelque chose du genre.
131 Il a dit: «Si jamais tu reviens, l’Eternel ne m’a pas parlé.» Oh! il savait où il se tenait. Ce que les autres pensaient ne changeait rien; il savait qu’il avait été dans la Présence de Dieu. Il avait entendu la Voix de Dieu. Celle-ci était parfaitement en accord avec la Parole de Dieu.
132 Ainsi, nous devrions, ce soir, considérer cette heure dans laquelle nous vivons, et voir la promesse de ce jour, cette promesse que la Parole de Dieu a faite. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit; la Parole l’a dit, et Jésus vient pour se faire connaître. Etre persévérant!
133 L’aveugle que Jésus a caché, qu’Il a plutôt guéri n’était pas capable–il n’était pas capable d’expliquer ni de discuter sur leur théologie. Mais il savait une chose, il était persévérant.
134 Son père et sa mère ne pouvaient pas parler. Ils ont dit: «Eh bien, nous craignons d’être chassés de la synagogue.» Et ils ont dit: «Demandez-lui, il a de l’âge.»
On lui a demandé: «Qui t’a guéri?»
Il a dit: «Un Homme, Jésus de Nazareth.»
135 Ils ont dit: «Donne gloire à Dieu!» Ils ont dit: «Nous savons que cet Homme est un pécheur.»
136 Il a dit: «Eh bien, s’Il est un pécheur ou non, je ne sais. Je ne saurais le dire. Mais, a-t-il dit, je sais une chose, autrefois j’étais aveugle, mais maintenant je vois.»
Ils ont dit: «Nous ne savons d’où vient cet Homme.»
137 Il dit: «C’est étrange. Vous êtes censés être les conducteurs de ce jour, connaissant toutes les choses spirituelles; et voici venir un Homme qui m’a ouvert les yeux, alors que je suis né aveugle, et pourtant vous ne savez pas d’où Il vient?» Oh! il était persévérant, rien n’allait le déranger. Il avait parlé à Dieu.
138 Nathanaël ne s’est pas embarrassé de l’appeler: «Seigneur, Roi d’Israël», devant son pasteur et tous les autres, lorsqu’Il lui a dit où il se trouvait la–la veille. Nathan ne s’est pas embarrassé.
139 La femme au puits n’a pas regardé le grand nombre de gens qui lui disaient que ce n’était pas légal pour elle de dire quoi que ce soit, du fait qu’elle était une prostituée. Elle avait rencontré un Homme qu’elle attendait depuis qu’elle était une–une petite fille; elle savait que Jésus devait venir sur la scène, un Prophète. Et elle avait trouvé ce Prophète, elle L’a vu lui dire les choses qu’elle avait faites. Pouvait-on l’arrêter? Comme je le dirai encore, c’est comme une maison en feu par un temps de grand vent. C’était impossible de l’arrêter. Son coeur était enflammé de joie et de paix. Elle avait été pardonnée de ses péchés. Elle avait vu le Messie. Elle avait vu Sa Présence. Elle avait vu Sa Parole.
140 «Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu? Tu dois être Son Prophète.»Il a dit: «Je Le suis.»
141 Si cet Homme pouvait faire une telle chose, Il ne mentait pas; elle a su que c’était le Messie; la bonne nouvelle devait donc être répandue.
142 Combien devrions-nous être enflammés de la même façon ce soir, être tenaces pour faire en sorte que tout le monde sache que le Saint-Esprit est réel aujourd’hui, et qu’Il descend sur nous et fait la même chose qu’Il avait faite, en rapport avec les promesses de cette heure. Nous ne sommes pas tenaces. Je me demande si réellement cela nous a frappés? Vous voyez? Considérez la femme au puits.
143 Une chose... Il faut que je termine. J’ai environ une demi-page de notes là, mais j’aimerais terminer en disant ceci. Ça me rappelle une histoire. Nous allons ensuite prier pour les malades. Nous serons un tout petit peu en retard, mais peut-être de dix ou quinze minutes, cependant je vous demande encore un peu de patience.
144 J’étais dans la ville de Mexico il y a environ trois ans. Combien connaissent le frère Espinoza, vous les Espagnols qui êtes ici? Eh bien, je pense, beaucoup d’entre vous. C’était lui mon interprète. Nous étions là à Mexico City. J’étais, pour autant que je sache, le seul protestant qui soit jamais allé là, et j’étais parrainé par le gouvernement. Mais le général Valdivia, vous vous souvenez de lui, il fait partie des Hommes d’Affaires Chrétiens, il avait reçu... avait été sauvé et rempli du Saint-Esprit, et il est passé par le gouvernement et m’a fait venir.
145 Ainsi donc, nous avons obtenu une autre grande arène, là-bas, qui pouvait recevoir plusieurs milliers de personnes. Il n’y avait pas de places assises, les gens devaient se tenir debout. Et vous–vous en faites un problème de devoir vous tenir ici pendant deux ou trois heures dans cette salle; ces gens-là restaient debout là sous ce soleil ardent du désert, là depuis 9 h 00 du matin jusqu’à 21 h 00 ce soir-là, jour après jour. Et un soir, pendant qu’il y avait une averse, ils se tenaient là; et ces jeunes femmes mexicaines, les cheveux leur tombaient sur le visage, et il pleuvait si abondamment que je n’arrivais pas à voir l’autre moitié de l’auditoire. Ça ne les dérangeait pas du tout; ils s’en tenaient à cette Parole de Vie.
146 Je me souviens d’un soir quand je suis entré. Je n’ai fait là que trois soirées. L’estrade était presque aussi longue que ça, ou peut-être un peu plus longue. Un vieil aveugle est passé à l’estrade, et on l’avait amené là.
147 L’homme qui était venu me prendre, je l’appelais Mañana, ce qui veut dire «demain». Il était si lent. Jamais il n’arrivait là, et, eh bien, il regardait tout autour, et il arrivait là à n’importe quel moment. Et moi, je priais, et il... Et je l’appelais simplement «Mañana.»
148 Ainsi, on m’avait fait monter par l’arrière de ce grand mur, à l’aide d’une échelle, et ensuite, ils m’ont fait descendre sur une estrade. Frère Jack Moore, combien le connaissent? Certainement, et je pense que vous le connaissez; et frère John Sharrit et beaucoup d’autres qui sont ici. Ils étaient là à l’estrade. Ce soir-là, passant sur l’estrade...
149 Mañana distribuait les billets, les–les cartes de prière, mais Billy marchait à ses côtés pour veiller à ce que tout marche bien. Il pouvait parler aux gens et leur donner les cartes de prière, mais Billy allait pour voir si les choses se passaient correctement ou pas, si l’homme vendait des cartes, ou ce qu’il faisait, ou s’il faisait acception des personnes, s’il permettait à tous ceux qui voulaient une carte de prière d’en avoir une.
150 Ainsi donc, ce soir-là, lorsque les cartes de prière étaient appelées, un vieil homme est passé à l’estrade, pieds-nus, les jambes de son pantalon étaient complètement déchirées, et il tenait dans sa main un vieux chapeau qui avait une ficelle tout autour. Et lorsqu’il est arrivé près de moi, il était aveugle, et j’ai regardé ce vieil homme. Et je me tenais là, portant de beaux habits comme ce soir; quelqu’un m’avait offert un beau complet neuf, je portais de bons souliers. Et ce pauvre vieil homme-là portait une vieille chemise en lambeaux, et il était couvert de poussière. Il était là, complètement aveugle, et ses yeux étaient pratiquement aussi blancs que ma chemise à la suite de cataracte. Et–et je me suis dit: «Quelle chose cruelle Satan a faite!» Le pauvre vieil homme n’avait probablement jamais pris un bon repas dans sa vie.
151 L’économie est très mal équilibrée là-bas. Et les gens... Imaginez donc, disons que Pedro, Pierre, est un–est un maçon, il gagne 30 pesos par jour, et il doit travailler quatre jours durant pour se procurer une paire de chaussures. Voyez-vous? Et puis, que dire du petit Pancho, ou Chico, le petit qui travaille là et qui ne gagne que quatre pesos par jour, et qui a quatre ou cinq enfants à nourrir? Il pourrait descendre là pour se procurer des tortillas des haricots infectés d’amibes pour ses enfants, et ce soir Martina peut en avoir un et–et le petit Chico peut en avoir un, mais quelqu’un devra avoir besoin d’un... s’en passer. Ils sont obligés d’épargner une certaine somme afin de se procurer une chandelle qui doit être brûlée sur un autel en or, pour leurs péchés. C’est ce qui m’exaspère. Voilà donc.
152 Eh bien, ce vieil homme se tenait là, et il disait quelque chose en espagnol. Et il avait un petit chapelet enroulé autour de ses doigts, et je lui ai dit: «Ôte-le», par l’intermédiaire de frère Espinoza.
153 Et je me suis dit, je me suis dit: «Je vais relever mes épaules. Je peux simplement déposer mon veston, et lui dire... Mais ses épaules sont beaucoup plus larges que les miennes.» Et j’ai placé mes pieds à côté des siens, me disant: «Je peux ôter carrément mes chaussures en douceur, et personne ne le remarquera, et je vais lui donner mes chaussures», mais ses pieds étaient beaucoup plus grands. Et j’ai pensé: «Eh bien, que puis-je faire?» Je me suis dit: «Ô Dieu!»
154 Si vous n’éprouvez pas de la compassion pour les gens, il ne sert à rien d’essayer d’être à leur service. Il faut avoir de la compassion. C’est la raison pour laquelle Il a éprouvé de la compassion à cause de nos infirmités.
155 J’ai simplement placé mon bras autour de lui, comme ceci et j’ai dit: «Père céleste, si mon père était encore vivant, il aurait à peu près son âge. C’est le père de quelqu’un.» Et je me tenais là comme cela, et je l’ai entendu hurler: «Gloria a Dios!» C’est-à-dire: «Gloire à Dieu!», vous savez. Il a promené le regard là et le vieil homme pouvait voir aussi parfaitement que moi, il marchait simplement çà et là sur l’estrade, faisant des va-et-vient. Eh bien, et naturellement, ils ont dû appeler des huissiers; environ trois ou quatre cents huissiers se tenaient là, pour calmer les gens. Alors ils ont dû me retirer en me faisant monter par la corde.
156 Le soir suivant, en arrivant sur le lieu, il y avait toute une pile haute comme ça, un tas de choses là-bas, de vieux châles et de vieux chapeaux et autres, que les gens avaient déposés là pour qu’on prie dessus. Comment ils savaient qui était propriétaire de quoi? Je ne sais pas, tout était entassé là, c’était posé là. Et il pleuvait. J’étais en retard. Et je suis entré là, et j’ai simplement commencé à prêcher, disant: «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, l’évidence des choses invisibles», et frère Espinoza m’interprétait là.
157 Et Billy est venu là et m’a tapoté à l’épaule, et il a dit: «Papa, il faut que tu fasses quelque chose.» Il a dit: «Mañana a distribué toutes les cartes de prière.» Et il a dit: «Il y a une petite femme qui se tient là, une petite dame, a-t-il dit, elle a un bébé mort, et il est mort ce matin.»
158 Vous avez lu l’article chez les Hommes d’Affaires du Plein Evangile. Et, souvenez-vous, cela doit être authentifié avant que ça soit imprimé. Le médecin doit signer cette déclaration, attestant que c’est vrai, lorsque vous mettez cela sous presse.
159 Et il a dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «Et il est mort ce matin. Elle s’est tenue là sous cette pluie avec ce bébé pendant toute la journée, et elle ne savait pas qu’Espinoza était... ou, je veux dire que Mañana distribuait aux gens les cartes de prière.» Et il a dit: «Elle n’a pas de carte de prière.» Et il a dit: «J’ai quarante ou cinquante huissiers qui n’arrivent pas à la retenir loin de cette estrade.» Il a dit: «Elle leur passe entre les jambes, elle les perturbe, leur monte sur le dos, et tout. Elle lutte pour parvenir ici.»
160 Et j’ai dit: «Eh bien, je vais vous dire quoi.» J’ai dit: «Venez ici, frère Moore.» Vous savez, vous tous, beaucoup d’entre vous ont levé la main, vous connaissez frère Jack Moore. J’ai dit: «Frère Moore, elle ne sait pas qui je suis. Elle ne sait pas. Il y a eu beaucoup de ministres qui se sont tenus ici et qui ont parlé; beaucoup de baptistes et autres, qui ont parrainé les réunions.» Et j’ai dit: «Eh bien, vous, allez là et priez pour cet enfant, et elle ne saura pas nous distinguer, voyez.» Il a dit: «D’accord, Frère Branham.»
161 Il a commencé à descendre l’estrade, il était à peu près à la même distance que ce mur-là, et je me suis retourné. Les gens n’avaient pas compris, parce qu’ils ne comprenaient pas l’anglais. Et j’ai dit: «Maintenant, comme je le disais, la foi est une ferme as-...» Et ayant regardé là devant moi, j’ai vu un petit bébé mexicain au visage sombre, n’ayant pas de dents, assis là me souriant, juste là devant moi.
162 J’ai dit: «Attendez une minute, Frère Moore.» J’ai dit: «Dites à la petite dame de venir ici.»
Et Billy a dit: «Papa, elle n’a pas de carte de prière.»
J’ai dit: «Je viens de voir une vision, Billy.»
163 Et ainsi, ils sont descendus là et ont pris la petite dame. La voilà venir, montant là en courant, et elle est tombée à genoux, et a commencé à crier: «Padre», ce qui veut dire «Père», vous savez, je lui ai demandé par l’intermédiaire de frère Espinoza de se tenir debout. Elle tenait l’enfant; et elle l’avait couvert d’une petite couverture à rayures blanches et bleues, qui était trempée, et l’eau en coulait et ses cheveux pendaient. C’était une ravissante petite femme, c’était probablement son premier enfant, elle était dans la... entre vingt-deux et vingt-cinq ans, elle tenait le petit enfant comme cela; une petite forme raide longue à peu près comme ça, sous cette couverture. J’ai commencé à réfléchir.
164 Tout le monde pensait que j’étais en train de prier pour me débarrasser du cas, vous savez, et l’ôter de leurs mains, là.
165 Et j’ai posé mes mains sur le petit bébé, et j’ai dit: «Père céleste, je ne sais pas si–si c’est de ce bébé qu’il s’agit; mais j’ai vu là il y a quelques instants la vision d’un petit Mexicain, qui avait l’air d’un petit bébé au visage sombre, en train de sourire.» Et j’ai dit... On n’interprète pas la prière, vous savez. Et j’ai dit: «Je l’ai vu en train de sourire.» J’ai simplement posé mes mains sur cet enfant, comme ceci, au Nom de Jésus-Christ, pour prier, et le petit bébé s’est mis à gigoter et il s’est mis à crier aussi fort que... Et il s’est donc mis à crier.
166 Et j’ai dit: «Frère Espinoza, n’écrivez pas ce cas maintenant. Envoyez un messager, avec cet enfant et cette femme, et amenez-le chez le médecin.» Et ce soir-là, ils ont appelé le médecin, le médecin a signé une déclaration attestant que le bébé était mort de la pneumonie ce matin-là dans son hôpital, ou plutôt dans son cabinet, à 9 h 00. Et voici qu’on était autour de 22 h 00 ce soir-là, le bébé était mort depuis ce matin-là, et il est revenu à la vie; et aujourd’hui il vit pour la gloire de Dieu.
167 Pourquoi? Elle était simplement aussi tenace que cette petite femme syro-phénicienne dont nous étions en train de parler ce soir. Cela montre que Dieu est toujours le même hier, aujourd’hui et éternellement. En effet (qu’était-ce?), elle avait entendu parler de ce vieil homme aveugle.
168 Elle était catholique de foi. Ils sont tous des catholiques; donc au Mexique, dès votre naissance, vous êtes automatiquement un catholique.
169 Ainsi, ces gens avaient donc vu ce vieil homme là sur la rue, donnant son témoignage. Elle... Ils en avaient entendu parler. Cette femme n’avait jamais vu un miracle. Mais elle savait que si Dieu a pu faire recouvrer la vue à un aveugle, Il pouvait ressusciter son bébé et le ramener à la vie, parce que c’était le même Jésus-Christ. Parfois, son cas ferait que les pentecôtistes se sentent petits. Et c’est vrai, avec une telle foi; en effet, elle était tenace, se disant que ça devait être Dieu qui avait pu restaurer la vue. «Et si c’était Dieu qui pouvait tenir Sa Parole et restaurer la vue, Il pouvait ressusciter les morts.» Et Dieu a fait cela parce qu’elle était tenace. Je serais là une autre soirée, et peut-être qu’elle... Cette nuit-là était pour elle.
170 Ne pouvons-nous pas... Ce soir, mes amis, ne pouvons-nous pas être persévérants? Ne pouvons-nous pas nous presser à travers ces bardeaux sombres et mystiques par ici et accepter Jésus-Christ comme notre–comme notre Guérisseur? Ne pouvez-vous pas le faire? Prions.
171 Seigneur Jésus, ô Dieu, je–je ne sais que dire de plus. Je prie, ô Dieu, puis-je appeler ne fût-ce qu’une petite ligne de prière, Père? Et peut-être que Tu montreras aux gens cela, peut-être que Tu feras quelque chose exactement comme Tu l’as fait avant Ta–Ta mort et Ton ensevelissement; en effet, en ce jour et en ce moment, peut-être qu’il y a des étrangers ici, afin que nous puissions voir que Tu es encore le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que Tu tiens Ta Parole. Et peut-être qu’il y aura quelqu’un qui aura assez de foi pour franchir cette barrière et aller de l’autre côté, ce mur du son, ce mur du péché, ce mur de l’incrédulité là-bas, franchir cela, et atteindre le point où tout est possible. Accorde-le, Seigneur. Il nous est dit que lorsqu’un avion franchit ce mur du son, il n’y a plus de limite à sa vitesse et à sa puissance. Ô Dieu, si nous pouvions tout simplement franchir cette puissance de l’incrédulité, les miracles et d’autres choses, et les promesses de Dieu n’auront plus de limite «car tout est possible à celui qui croit». Accorde-le, Père. Nous le demandons au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.
172 Si je suis un petit peu en retard, est-ce en ordre que nous allions de l’avant et que nous ayons–que nous appelions une ligne de prière? Je sais que les gens deviennent agités, mais appelons juste une petite ligne de prière. Voyons, lundi soir nous avons eu la série A (Est-ce juste?), lorsque nous avons distribué les cartes de prière? Ou plutôt, non, je veux dire mercredi soir. Je pense que c’était plutôt lun-... Mercredi soir c’était la première soirée, c’était la série A, et la dernière soirée, c’était la série B, et ce soir c’est la série C. Nous avons appelé de 1 à 25, série A. Je pense que c’était ça, n’est-ce pas, de 1 à 25, série A? Est-ce juste, de 1 à 25, série A? De 1 à 15, série A.
173 Eh bien, appelons la série B, les cartes de prière d’hier, alors. Appelons la série B, de 75 à 100. Carte de prière série B. Nous en arriverons à votre série, la série C et aux autres. Nous sommes dans la série B 25... Non. B 75, je pense que c’est ce que j’ai dit, n’est-ce pas? B, de 75 à 100. Ça va. Qu’ils se tiennent debout de ce côté-ci maintenant. B, de 75 à 100, tenez-vous debout de ce côté-ci. Venez juste de ce côté-ci et alignez-vous ici; que certains d’entre vous frères aillent là-bas. Billy, Roy, que certains d’entre vous aillent là et veillent à ce que les gens entrent dans la ligne de prière. Très bien.
174 J’ai besoin de toute votre attention juste un moment. Maintenant, soyez très révérencieux. Eh bien, écoutez, certaines personnes s’en vont et disent: «Le prédicateur ne porte pas le genre de cravate qu’il faut. Il ne porte pas un costume qu’il faut. Ses manières sont de travers. Il ne se tient pas assez droit.» Eh bien, voyez, vous n’avez toujours pas de foi. Vous voyez?
175 Si un homme entre par cette porte là derrière et vous dit qu’il a un... qu’il–qu’il a un mandat postal ou une traite bancaire d’un million de dollars pour vous, qu’il soit instruit ou illettré, qu’il soit en salopettes ou en smoking, qu’il soit un Noir, un Jaune, un Brun ou un Blanc, ce n’est pas ce qui importe pour vous.
176 Ce n’est pas le messager qui importe, c’est le Message que vous voulez écouter. «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Combien en sont conscients? Maintenant, je vous prie tout simplement–tout simplement...
177 Si le–si l’ingénieur là-bas, je pense Mr. Ruby, ou je pense que c’était ça son nom, celui que j’ai rencontré l’autre soir, s’il veut bien... C’est lui qui nous a fourni l’éclairage et ainsi de suite, ici, s’il veut bien patienter quelques minutes pour l’amour de l’Evangile.
178 Maintenant, que tout le monde soit très respectueux; toutefois, soyez très persévérants. Efforcez-vous pour aller directement au-delà du voile.
179 Eh bien, lorsque Jésus-Christ guérit les malades... Eh bien, je ne dis pas qu’ils seront guéris; je ne saurais vous l’affirmer. Souvenez-vous, je n’ai aucune puissance pour guérir. Je n’ai pas de puissance, vous n’avez aucune puissance, personne d’entre nous n’en a. Nous avons l’autorité. Combien comprennent cela?
180 Ecoutez bien, permettez-moi de vous demander quelque chose. Là dans la rue par ici, sur cette autoroute où la circulation est intense, cette autoroute qui vient de la super autoroute, là juste sur ce–sur cette autoroute principale à péage, je vois que la vitesse limite est de quatre-vingts miles à l’heure [128 km/h]. Il y a des voitures qui descendent là dans tous les sens, d’une puissance allant de deux cents chevaux moteur jusqu’à–à–à trois ou quatre cents chevaux moteur.
181 Et le numéro 76, venez s’il vous plaît. On a besoin du numéro 76. B-76, peut-être que c’est quelqu’un qui est sourd. Regardez autour de vous. Oh! je suis désolé. Très bien. B sept-... est-ce ça, mon frère? B-76. Ça va.
182 Maintenant remarquez, par exemple, voici venir un petit policier là sur cette autoroute, il est si petit que son képi lui couvre même les oreilles, et il ne pèse pas plus de 50 kilos. Eh bien, quelle puissance a-t-il pour arrêter l’un de ces véhicules? Et là certains de ces véhicules, trois ou quatre, l’un à côté de l’autre, filant en trombe sur cette autoroute, et chacun d’eux a une puissance de trois cents chevaux moteur. Il ne pourrait même pas en arrêter un ayant la puissance d’un cheval moteur. Et voici que ces véhicules sont là. Mais que ce grand insigne brille, et que ce policier lève la main! Il pourrait ne pas avoir de puissance, mais il a l’autorité. Et vous entendrez les freins grincer, et les véhicules aller de côté, et tout le monde s’arrêtera. Pourquoi? Parce qu’il a l’autorité.
183 Je n’ai aucune puissance. Vous n’avez aucune puissance. Mais nous avons l’autorité, amen, l’insigne de la foi est attaché à la Parole: «Je La crois. Elle est la Vérité.» C’est ce qui arrête les choses. Alors vous pouvez être tenace.
184 Quand ce petit policier se tient là et qu’il fait retentir ce petit sifflet et qu’il lève sa main, je vous assure, tout va s’arrêter. Il s’agit de son autorité. Il s’agit de son autorité, pour croire.
185 Maintenant, croyez, chacun de vous. Maintenant, vous qui êtes debout là-bas, maintenant ne soyez pas découragés, tenez-vous simplement–simplement là et soyez violents et dites: «Seigneur, cet homme ne sait rien à mon sujet. J’en suis sûr. S’il peut parler, me dire quelque chose, je vais–je vais croire de tout mon coeur.» Eh bien, que pourrions-nous savoir donc?
186 Qui est le Guérisseur? Jésus-Christ. Est-ce vrai? Eh bien, alors, s’Il est ici présent, eh bien, la seule chose que nous devons faire c’est simplement de Lui demander. «Et Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Est-ce juste? Très bien. Alors: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Aujourd’hui Il est le Souverain Sacrificateur. Comment–comment a-t-Il agi lorsqu’une femme a touché Son vêtement il y a deux mille ans? Il s’est retourné et lui a dit ce qu’était sa maladie, et Il lui a dit que sa foi l’avait guérie. Est-ce vrai? Eh bien, Il est le même aujourd’hui, et Il doit agir de la même façon, parce qu’Il est le même.
Maintenant, votre ligne de prière est-elle prête?
187 Maintenant, voici une femme qui avance ici. Au mieux de ma connaissance, je–je ne l’ai jamais vue. Elle m’est totalement inconnue, au mieux de ma connaissance. Nous ne nous connaissons pas. [La soeur dit: «J’ai assisté à vos réunions en 1947, de 1950 à 1953.»–N.D.E.] Elle a dit qu’elle a assisté à mes réunions en 47 et en 53.» Mais... [«De 1951 à 1953.»] De 51 à 53. Mais pour ce qui est de vous connaître, je ne vous connais pas. [«Non.»] Non.
188 Voyez, c’est exactement comme si–si je vous rencontrais d’ici une ou deux semaines, probablement je ne vous reconnaîtrais point. Il y a beaucoup de gens qui ont assisté aux réunions, des dizaines de milliers depuis lors, vous voyez, et je ne saurais pas vous reconnaître. Mais voici ce que je veux dire, est-ce que je... «Me connaissez-vous?», vous me connaissez parce que vous avez assisté à mes réunions. Mais personnellement pour ce qui est de vous connaître, ou de connaître votre problème, ou ce que vous avez fait depuis ce temps-là jusque maintenant, ou avant ce temps-là, ou ce que vous comptez faire, bien sûr, je ne peux pas le savoir. Non.
189 Mais maintenant, pour que nous ne prenions pas beaucoup de temps avec chaque personne, pour essayer de... L’autre soir, je–j’ai arrêté avant. Je ne voyais pas; je–je–je ne pensais pas qu’il restait encore des gens. J’avais laissé deux ou trois personnes debout dans la ligne. Je n’aurais pas dû le faire. Ce n’était pas intentionnellement. Je ne sais pas pourquoi. Simplement je... Eh bien, tout le monde, il semblait que c’était l’apogée. On n’a pas besoin de dorloter les gens. On veut qu’ils soient assez coriaces pour qu’ils atteignent ce niveau-là et qu’ils puissent s’emparer de ce que vous dites, voyez, et c’est alors qu’ils sont guéris. Si vous ne le faites pas, eh bien, ils ne seront–ils ne seront pas guéris.
190 Eh bien, cette dame-ci, c’est la première fois que nous nous rencontrons. Eh bien, s’Il est «le même hier, aujourd’hui et éternellement», eh bien, s’Il se tenait ici, portant ce costume qu’Il m’a donné; par l’intermédiaire d’une personne de bien, Il m’a donné ce costume; eh bien, s’Il se tenait ici portant ce costume, pourrait-Il vous guérir? Non, non. Il l’a déjà fait, vous voyez: «Il a été blessé pour nos péchés.» Il ne pourrait pas vous guérir. Combien savent que c’est la vérité? La chose a déjà été accomplie.
191 N’importe quel pécheur ici présent, Il ne pourrait pas vous sauver; Il l’a déjà fait. Vous devez accepter cela.
192 Eh bien, s’Il se tenait ici, portant ce costume qu’Il m’a donné, Il pourrait... L’unique chose qu’Il pourrait faire, Il dirait... Si vous disiez: «Je suis malade. Je suis dans le besoin. Ou j’ai un bien-aimé qui est malade», ou peu importe la chose, «j’ai un problème financier. J’ai–j’ai un problème domestique», ou peu importe ce que c’est, Il ne pourrait pas–Il ne pourrait pas vous donner la chose. Il vous dirait simplement qu’Il l’a déjà acquise. Maintenant, combien comprennent cela? C’est vrai, voyez, voyez, parce que cela a déjà été fait. Vous voyez? Il ne peut pas faire...
193 Si vous avez été racheté de toutes choses, le–le prêteur sur gage ne peut plus vous retenir, si vous avez été racheté. Si vous avez le reçu, montrant que la chose a été rachetée, cela règle le problème. Il ne peut plus retenir cela.
194 Nous avons le reçu, voyez; maintenant si vous avez la foi pour encaisser cela! Voyez! Mais maintenant, s’Il se tenait ici, et que moi, je basais toute ma campagne sur le fait qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il devrait savoir ce qu’est votre problème. Et cela devrait certainement... Comme moi, je ne connais pas la chose, cela devrait certainement confirmer que ça doit être Lui. Cela devrait être une certaine puissance, une certaine puissance. Cela dépend de ce que vous pensez que la puissance sera. En effet, vous savez que je ne vous connais pas, humainement parlant. Et cela devait être une certaine puissance. Et si vous croyez que c’est Lui... Et si vous ne croyiez pas que c’est Lui, naturellement, vous ne vous tiendriez pas ici. Et, cependant, si vous croyez effectivement que c’est Lui, alors s’Il peut vous révéler ce que vous avez fait, ou ce pour quoi vous êtes ici, ou–ou quelque chose du genre, cela augmenterait votre foi, n’est-ce pas?
195 Cela ne devrait-il pas augmenter votre foi, vous qui êtes là-bas? Lorsque... Voici ma main; au mieux de ma connaissance, je n’ai jamais vu cette femme, de ma vie; je ne connais que certaines personnes dans l’assistance, ou–ou peut-être elle a été dans la ligne de prière, ou quelque chose comme cela, il y a des années et des années. Je n’ai aucun souvenir d’elle, aucun. Mais, puisse le Seigneur m’aider maintenant. Comme un don...
196 Voyez, c’est comme ces ministres qui sont ici. Vous le savez déjà, si vous m’avez entendu prêcher, je–je ne suis pas un prédicateur. Je n’ai pas d’instruction. Je ne pourrais pas me dire prédicateur, mais il y a ici des hommes qui sont plus qualifiés que moi pour le faire.
197 Mais, mon don vient de Dieu, parce que je L’aime. Et–et voici ce que je crois: «Les dons et les appels sont sans repentir.» Ils sont prédestinés par Dieu. Il y en a dans chaque génération. Et ma part dans ceci, c’est vis-à-vis de cette Parole, pour qu’Elle revive encore, que je devienne la Parole pour discerner et connaître. C’est un don prophétique qui a été promis selon Malachie 4, qui devrait être là dans ce jour-ci, cela prouve que nous sommes parfaitement dans les derniers jours.
198 Maintenant, si le Seigneur Jésus me dit où est votre problème, croirez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? Puisse-t-Il l’accorder. Vous souffrez d’une–d’une maladie de la peau. Il y a quelque chose qui cloche au niveau de votre peau. C’est vrai. [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Maintenant, si cela est juste, levez la main. Voyez? Ainsi...
199 Maintenant, je sens continuellement quelque chose venir de là, quelqu’un a dit: «Il a deviné cela.» Eh bien, attendez juste une minute. Je n’ai pas deviné cela, madame. Une... voyez, les gens... Vous ne pouvez pas cacher une pensée en ce moment, voyez, parce qu’Il est ici maintenant. Et je prends chaque esprit ici présent sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ, voyez, pour la gloire de Dieu. Je n’ai pas deviné cela.
200 Il s’agit d’une maladie des nerfs. Vous avez une maladie des nerfs qui fait que vous soyez... Cela vous dérange. Vous priez pour un bien-aimé. [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Il s’agit d’une femme [«Oui.»] C’est votre belle-fille. [«Oui.»] Et elle souffre de l’épilepsie. [«Oui.»] C’est juste.
Eh bien, je n’ai pas deviné cela. C’est ça.
201 Croyez simplement cela! [La soeur dit: «Est-elle délivrée?»–N.D.E.] Croyez cela de tout votre coeur; et il vous sera accordé selon votre foi. Moi, je le crois. [«Elle est délivrée?»] Je–je croirai cela. Si vous croyez cela, cela s’accomplira.
202 Voyez, je ne peux pas l’en délivrer sur la base de ma foi, cela doit se faire sur la base de votre foi. Voyez? Voyez? Comprenez.
203 Bonsoir. Je viens de perdre ma mère, il y a environ deux ans. Et quand je vous vois venir comme cela, cela me fait penser à elle. Ne serais-je pas une personne affreuse en me tenant ici pour représenter Jésus-Christ, en étant un séducteur? Ce serait horrible pour moi de faire une–une telle chose. Mais je–je ne suis pas un séducteur. Je suis Son serviteur. Et si Dieu me permet, par Sa grâce, de connaître quelque chose à votre sujet, eh bien, croirez-vous que cela vient de Dieu? [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.]
204 Maintenant, pour que les gens comprennent, écoutez ceci, voyez. Ce seul cas de discernement est plus que si je prêchais jusqu’à minuit. Jésus a dit: «J’ai connu qu’une vertu est sortie de Moi.» Si c’était ainsi pour le Fils de Dieu, à combien plus forte raison pour moi, un pécheur? Vous voyez? Daniel a vu une seule vision de Dieu et cela a troublé son esprit pendant plusieurs jours. Combien le savent? Certainement. Vous voyez? Vous ne vous rendez pas compte de la grâce que Dieu nous accorde.
205 Maintenant, cette dame souffre d’une maladie de l’estomac. C’est dans votre estomac. Je vous vois reculer de la table, et cela est dû à une–une maladie des nerfs, c’est ce qui vous cause de tels problèmes à l’estomac, c’est ce qui fait que la nourriture ne puisse pas se digérer. C’est un ulcère de l’estomac, c’est en réalité ce qu’il y a, c’est dans l’estomac. Croyez-vous que Dieu vous guérira de cela? [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Croyez-vous que c’est guéri? Croyez que Dieu ôtera cela de vous. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez partir, et puisse le Seigneur Dieu vous l’accorder.
Soyez très respectueux.
206 Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je pense. C’est vraiment la première fois que nous nous rencontrons, n’est-ce pas? [La soeur dit: «J’ai déjà assisté aux réunions.»–N.D.E.] Vous avez déjà assisté aux réunions. Mais quand à vous connaître, je ne vous connais pas.
207 [Frère Branham fait une pause, et puis, il se tourne vers l’auditoire.–N.D.E.] Vous demandiez pour vous-même. Si vous croyez, cette arthrite va vous quitter. Oui. Elle était assise là, la tête baissée, en train de prier. Cela va quitter, si vous le croyez. Votre mari, croyez-vous que Dieu peut me révéler son problème? Croyez-vous que Dieu peut me le révéler? Vous étiez si heureux de savoir qu’elle allait en être guérie. Vous souffrez de la prostatite, c’est ce qui vous dérange. Levez la main.
208 Je n’ai jamais vu ces gens, de ma vie. Dites-moi ce qu’ils ont touché. Eh bien, posez-vous simplement cette question. Qu’ont-ils touché? Ce n’est pas du tout moi qu’ils ont touché; ils se trouvent à trente pieds [9 m] de moi. Mais ils ont touché ce Souverain Sacrificateur.
209 Si je vous suis inconnu, agitez la main comme ceci. Vous–vous–vous deux qui êtes assis ici, si je... Agitez simplement la main comme ceci, si je vous suis inconnu. Voyez? Voyez? Vous étiez simplement assis là. Et la dame était en train de prier, vous voyez; et Lui, se tenant ici, se tourne exactement comme Il l’avait fait dans la Bible. Ce n’est pas–ce n’est pas moi qui me tourne; c’est Lui qui me tourne.
210 Ecoutez, je ne connais pas ces choses. C’est très exactement comme ce microphone, il est totalement muet si quelque chose ne parle au travers. Mais vous pouvez m’entendre au travers de ce microphone (est-ce juste?), mais le microphone ne peut pas parler par lui-même. Il n’a pas de voix. Je ne connais pas ces gens. Ne pouvez-vous pas réaliser qu’on est dans la Présence de Dieu, c’est Lui qui utilise cela, pour vous montrer Sa Présence? Pressez-vous carrément!
211 Maintenant, étant donné que nous sommes des inconnus l’un à l’autre... Vous êtes plus jeune que moi. Probablement que nous étions nés à des années d’intervalle et à des kilomètres de distance, et nous nous rencontrons ici pour la première fois. Maintenant, lorsque Cela est allé là-bas, je ne peux que La suivre; c’est une Lumière, je L’observe, vous voyez. Le Saint-Esprit est une Lumière, nous le savons. Mais si le Seigneur Jésus-Christ m’aide à connaître votre problème, croirez-vous que je suis Son serviteur et comprendrez-vous que ce n’est pas moi, et que c’est Lui?
212 Je suis simplement Son serviteur, comme ce microphone. Eh bien, ce–ce pupitre que voici fait partie des meubles de la maison, mais ça n’a pas été conçu pour parler, ça sert de support à ma Bible. Le microphone ne servira pas de support à ma Bible; ça porte ma voix. Eh bien, il y a des dons différents dans l’Eglise; certains c’est Sa voix, certains c’est pour avoir une vision, et certains c’est pour d’autres choses qu’ils font. Mais le mien, c’est d’avoir des visions, en tant que Son serviteur.
213 Maintenant, si Dieu me permet de connaître votre problème, pourquoi vous êtes ici, me croirez-vous, et croirez-vous que ceci c’est la Parole de Dieu? Vous souffrez d’une infection. C’est une infection de la peau. [La soeur dit: «C’est vrai.»–N.D.E.]
214 Voyez-vous cela? Elle sait si c’est la vérité ou pas. Vous voyez? Maintenant, plus vous parlez à la femme, plus des choses à lui dire viennent. Elle est une très brave personne.
215 A propos, écoutez juste une minute; ensuite les autres, je vous prie de les amener un peu plus rapidement. Parlons juste quelques minutes, étant donné que vous êtes une personne aimable. Eh bien, vous êtes consciente que quelque chose vous est arrivé. Maintenant, entre vous et moi se tient une Lumière. En avez-vous déjà vu la photo? Elle se tient juste entre vous et moi. Je vous regarde au travers de cette Lumière. Voyez-vous? Et croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Il a dit à Simon qui il était.
216 Combien croient cela maintenant? Nous voici ici les mains levées, nous sommes de parfaits inconnus l’un à l’autre.
217 On vous appelle «Florence», et votre nom de famille est McAllister. [La soeur dit: «C’est juste. C’est juste.»–N.D.E.] Croyez-vous que Dieu peut me dire d’où vous venez? [«Oui.»] Vous n’êtes pas d’ici [«Non.»] Vous venez d’une ville appelée Lawrence, dans le Kansas. [«C’est juste.»] C’est juste. Maintenant, vous pouvez retourner, Jésus-Christ vous guérit.
218 Ayez foi en Dieu. Vous voyez? Vous voyez quoi? Maintenant, s’il vous plaît, soyez respectueux. Ne vous déplacez pas. Voyez-vous, ne vous déplacez pas.
219 Dieu guérit le diabète. Croyez-vous cela? Croyez-vous qu’Il peut vous guérir? Allez simplement de l’avant, et dites: «Merci, Seigneur.» Et croyez cela de tout votre coeur, et vous serez guérie.
220 Croyez-vous que Dieu peut guérir cette maladie gynécologique que vous avez? Alors, allez simplement de l’avant, en disant: «Merci, Seigneur. Je crois ça de tout mon coeur.»
221 Très bien, laissez la dame venir. Vous avez un problème gynécologique et vous avez aussi le diabète. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Continuez simplement à marcher, en disant: «Merci, Seigneur», et croyez cela de tout votre coeur maintenant.
222 Approchez. Une maladie des nerfs provoque une maladie d’estomac. Croyez-vous que vous pouvez prendre votre souper maintenant? Partez, en disant: «Merci, Seigneur.» Prenez votre souper, et croyez de tout votre coeur.
223 Dieu guérit la maladie du coeur. Croyez-vous qu’Il guérira votre maladie du coeur? Très bien. Partez en croyant cela, et Il l’accomplira, vous voyez, si vous croyez.
224 Et si je ne vous disais rien, juste pour montrer la foi que je crois que vous avez, si je vous impose simplement la main, croirez-vous que vous serez guéri? Passez. Vous en avez déjà été guéri lorsque vous vous étiez levé là. C’est vrai.
225 Maintenant, approchez. Approchez. Bien sûr, tout le monde voit que cette femme clopine, elle a été ainsi toute sa vie. Mais une autre chose que vous avez, c’est une maladie de l’estomac qui vous dérange, qui vous fait désirer... Continuez simplement à marcher, disant: «Merci, Seigneur.» Croyez de tout votre coeur et partez, et croyez cela.
226 Croyez-vous que Dieu guérira cette arthrite, et qu’Il vous accordera de vous rétablir, en rentrant chez vous? Partez, en croyant cela de tout votre coeur.
227 Vous tous qui êtes là dans l’auditoire, combien croient? Voici un homme assis juste ici en train de me regarder ici. Ne voyez-vous pas cette Lumière suspendue au-dessus de cet homme juste ici?
228 Réellement, ce qui le dérange, c’est un problème lié à l’excès de poids. C’est vrai. Levez la main si c’est cela. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Votre femme est assise près de vous là, vous croyez que Dieu peut me révéler son problème? Le croyez-vous? Voulez-vous croire, madame? Croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur? Cela aveugle les gens lorsque vous dites «prophète». Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que Dieu peut révéler votre problème? C’est l’hypertension. Croyez de tout votre coeur maintenant, et cela vous quittera parce que vous croyez.
229 Ce garçon de couleur assis là à l’extrémité de ce siège, qui me regarde intensément, que pensez-vous de cela, monsieur? Croyez-vous que cela est de Dieu, vous qui êtes assis là? Vous me regardiez instamment. Je ne vous connais pas. Vous m’êtes inconnu. Mais vous souffrez d’une maladie. Croyez-vous que Dieu peut me dire ce que c’est? Croyez-vous? C’est une allergie. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Une chose sérieuse à votre sujet, c’est ceci: l’un de vos plus grands problèmes est que vous êtes rétrograde. Vous voulez réellement revenir à Dieu. Si cela est vrai, levez la main, alors venez ici. [Le frère se lève et s’avance.–N.D.E.] Vos péchés vous sont pardonnés, mon frère.
230 Vous direz: «Comment le savez-vous?» C’est la même Personne qui m’a dit quel était son problème.
231 Combien ici dans la salle veulent que leurs péchés leur soient pardonnés? Voulez-vous bien vous tenir débout? Vous voulez que vos péchés vous soient pardonnés? J’aimerais simplement voir si vous êtes assez sincère pour le faire. Merci. Si vous voulez bien vous avancer directement ici et vous tenir ici à côté de cet homme qui a été pardonné, et dire: «Je veux que mes péchés soient pardonnés. Je suis sincère à ce sujet»? Vous ne pouvez pas...
232 Venez, il y a plus de gens que ceux qui sont ici. Maintenant, si le discernement révèle la maladie et les afflictions, il révèle aussi le péché. Vous le savez. Comment pourrais-je savoir que cet homme était un pécheur? C’est cela, sortez carrément et descendez directement. Simplement nous... Voulez-vous le faire, juste un moment? Venez ici et tenez-vous juste un moment là, dites: «Je veux être pardonné, frère. Je veux que Dieu me pardonne mes torts. Je me rends compte que je suis dans Sa Présence. Je ne me soucie pas de ce que pensent mes voisins. Je–je viens malgré tout. Je suis persévérant. Je veux être sauvé, ce soir. Je crois en Dieu. Je veux venir maintenant même afin que tous mes péchés soient lavés.»
233 Serait-ce en ordre qu’on appelle les ministres? Combien de ministres ici croient que ces gens ont le droit d’être sauvés par la grâce de Dieu? J’aimerais que chaque ministre qui croit cela vienne se tenir ici avec eux maintenant, pendant que nous prions, chaque ministre qui est préoccupé par les âmes perdues. Je ne pensais pas que j’allais faire ceci, mais j’en sais mieux que de désobéir à Sa Voix. C’est Lui qui m’a dit de le faire. Ceci pourrait être leur dernière fois, je ne sais pas.
234 Combien savent que c’est ce qu’Il a fait lorsqu’Il était ici sur terre? Alors, c’est encore Lui, absolument. Il est impossible à un homme, à n’importe quel être humain, de faire une chose pareille. Nous sommes dans Sa Présence. Et nous Le voyons ici, ce soir, faisant... «Lorsque Je serai élevé, J’attirerai tous les hommes à Moi.» Vous voyez? Nous Le voyons ici, faisant la même chose qu’Il fit lorsqu’Il était ici sur terre. Ne pouvons-nous pas être persévérants maintenant? Efforcez-vous d’entrer maintenant. Qu’est-ce qui a fait que nous venions ici? Qu’est-ce qui est à la base de tout ceci, de toute façon? C’est Dieu. Croyez-vous cela?
235 J’aimerais que chacun de vous tous, frères ministres, vous avanciez et imposiez les mains à l’un de ces gens qui sont en train de se confesser là-bas.
236 Maintenant, mon cher frère, ma chère soeur, vous qui êtes en train de vous confesser à l’autel, qu’est-ce qui vous a poussé à venir? Vous n’êtes pas venu par votre propre puissance. Vous êtes venu parce que quelque chose vous a convaincu que vous aviez tort. Vous voulez être pardonné. Lorsque vous avez vu ce pauvre garçon de couleur, ce garçon éthiopien debout là, qui s’était éloigné de Dieu, et le Saint-Esprit a révélé qu’il était un pécheur... Ce même Saint-Esprit ne vous a point appelé par mes lèvres, mais Il vous a appelé, et vous voici ce soir, vous tenant là comme ce garçon-là. Confessez vos péchés maintenant devant Dieu. Croyez en Lui de tout votre coeur, et Il pardonnera chaque péché que vous avez commis, et Il vous recevra à nouveau ce soir sur base de votre confession et de votre communion. Il le fera si seulement vous croyez en Lui.
237 Maintenant, inclinons la tête, partout dans l’auditoire, et que tout le monde soit très révérencieux. Maintenant, prions. Que chacun de vous confesse ses péchés. Il est ici. Le Saint-Esprit est ici. C’est Lui qui appelle. Maintenant, croyez simplement cela de tout votre coeur; confessez que vous êtes dans l’erreur, demandez-Lui de vous pardonner. Et que chacun de vous, frères, prie avec ces gens.
238 Père céleste, nous venons maintenant au Nom du Seigneur Jésus, Te remerciant pour Ta glorieuse grâce et Ta glorieuse puissance envers nous, Seigneur, de ce que nous, des êtres indignes, ici à cette heure avancée de la fin... Nous implorons que Ta grâce s’étende, Seigneur, et continue à agir jusqu’à ce que la dernière âme sera ramenée. Ce soir, Ton apparition devant nous a amené les gens à se presser et à traverser toute circonstance, pour venir ici, pour croire que c’est ici l’heure où leurs péchés leur seront pardonnés, et où ils seront libérés, à partir de ce soir. Accorde-le, Père céleste. Que tous leurs péchés soient ôtés.
239 Tu as dit: «Je ne mettrai point dehors celui qui vient à Moi. Même si vos péchés sont rouges comme le cramoisi, ils seront plus blancs que la laine; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils seront blancs comme la neige.» Nous plongeons dans le flot du Sang de Jésus-Christ. Par la foi nous faisons entrer ces gens qui sont en train de se confesser dans cette Présence de Dieu, dans le Sang du Fils de Dieu, et nous demandons que Tu leur accordes le pardon. Nous faisons cette requête au Nom de Jésus. Pardonne chaque péché, et prends ces gens sous Tes soins, Père. Alors qu’ils se confessent, ramène-les sur base de Ta promesse. Tu as dit que Tu le ferais, et je sais que Tu le feras. Ils sont à Toi, Père. Nous Te les confions, au Nom de Jésus-Christ.
240 Chacun de vous qui êtes debout tout autour de l’autel en ce moment, qui avez confessé sincèrement que vous avez tort, et dans la Présence de Dieu, croyez-vous que je suis Son prophète, et croyez-vous que par conséquent je vous ai dit la Vérité, et croyez-vous que vos péchés sont effacés, et que maintenant par la foi, vous traversez ce voile, pour entrer dans la Présence de Dieu, et dire: «Seigneur, je crois en Toi maintenant même et T’accepte»? Levez la main et dites: «Je T’accepte.» Chacun de vous qui êtes autour de l’autel, levez la main et dites: «Je T’accepte. Maintenant je crois cela.» Que Dieu vous bénisse. Amen. C’est ce qu’il faut faire. C’est cela. Juste par la foi, traversez ce voile.
241 Maintenant, pendant que vous êtes juste sur la même base où vous vous tenez, à savoir que vous êtes pardonnés, maintenant, frères, imposez-leur encore les mains pour le baptême du Saint-Esprit. Juste là où vous vous tenez, imposez les mains à ces gens maintenant, et priez pour qu’ils reçoivent le baptême du Saint-Esprit, pendant que vous vous tenez juste ici.
242 Seigneur Jésus, envoie Ta puissance sur eux, comme un vent impétueux. Envoie une autre répétition de la Pentecôte; et remplis les gens, non pas la salle, mais les gens, du Feu du Saint-Esprit, et accorde-leur le pardon et la démonstration de la puissance, au Nom de Jésus. Amen.