Et Tu Ne Le Sais Pas
1 Merci, Frère Neville. Que le Seigneur vous bénisse. Je me suis fourré dans quelque chose, n'est-ce pas? Je - je veux vraiment remercier le Seigneur de S'être occupé du fils de Frère Capps. Il - il se trouve donc que c'est maintenant le petit moment où je reviens dans l'Indiana. Je sais qu'on n'est pas en train d'enregistrer ceci; je ne pense pas. Et puis, je ne vois donc personne là-dedans. Alors ils... Je suis revenu pour aller chasser l'écureuil. Ainsi, je pense que Charlie va donc devoir me supporter, lui et Nellie, et les autres dans le Kentucky, pendant un jour ou deux, pour la chasse à l'écureuil. Je - je préférerais manquer n'importe quoi, n'importe quel autre genre de détente, pour venir ici... vers mi-août pour aller chasser l'écureuil avec Charlie et Banks, ainsi que tous les autres. C'est presque devenu une tradition pour moi. Alors j'ai emmené Joe...
2 Quand on était ici l'autre fois, tout le monde est tombé malade, à cause du changement du climat très chaud à ce - à ce climat frais qu'il y a ici. Je sais que vous, vous ne trouvez pas ça frais, mais venez une fois en Arizona. Il faisait 109 [43°c - N.D.T.] à l'ombre quand je quittais l'autre matin; et vers minuit, pendant la nuit quand l'air frais descendait des montagnes, il faisait encore 96 [36°c]. Ouais. Voyez, ça, c'était à minuit, quand l'air frais descendait. Alors c'est... Dans cette contrée, on est bien en hiver, mais en été, ça arrange les scorpions et les lézards, pas les êtres humains. Et même tous les animaux s'en vont dans les montagnes. Ils ne peuvent simplement pas supporter cela.
3 Et j'ai été m'exercer au tir pour ma petite carabine et je... Je... D'une façon ou d'une autre j'aimerais vous parler du petit Capps. Et, j'ai dit... Et Joe, il va falloir que je lui donne la carabine, parce qu'il est capable de tirer mieux que moi. Nous l'avons ajustée en tirant, et je - j'enfonçais des punaises à cinquante verges [environ 46 m - N.D.T.]. Et j'ai dit à - à Joe... Joe a dit: "Papa, je crois que je peux faire ça." Le pauvre petit avait mal à la tête. J'avais prié pour lui, une forte fièvre. Il est venu au champ de tire avec moi, et...
Avec un diamètre de deux sur dix dans une carabine vingt-deux, on croise sa ligne de tir à vingt-cinq verges [23 m - N.D.T.], et puis de nouveau à cinquante, exactement comme si c'était du deux sur dix. Ainsi donc - donc... Je l'avais ajustée à vingt-cinq verges. Et il me restait deux punaises, alors je les ai plantées, et Joe les a enfoncées toutes les deux! Comme je n'avais plus de punaises, j'ai mis un tout petit morceau de pigeon en argile que ceux qui s'exercent au ball-trap avaient fait éclater là, et qui mesurait à peine un quart de pouce [6 mm - N.D.T.] de large; il l'a atteint à cinquante verges, et il l'a coupé en deux. Et le viseur était réglé à ma vue étant de juste quelques années plus âgé que lui. Alors il m'a dit: "Tu sais quoi? Il faut que je passe dire à Billy de se tenir à distance à partir de maintenant." Voyez? [Frère Branham et l'assemblée rient. - N.D.E.]
4 Alors - alors j'ai dit: "Eh bien, écoute," ai-je dit, allons montrer ça à frère Norman."
J'ai dit: "Joe, dans des compétitions, dans le monde entier, (peu importe de qui il peut s'agir) personne..." Or, les punaises n'étaient pas enfoncées de travers, elles étaient enfoncées tout droit. Et ce morceau qui ne mesurait pas plus d'un quart de pouce [6 mm - N.D.T.], je pense, un seizième [2 mm] d'épaisseur et un quart de pouce [6 mm] de hauteur, il l'a coupé en deux, à cinquante verges. J'ai dit: "Personne au monde n'aurait pu mieux viser que ça. Ils pourraient... Des champions auraient pu faire la même chose, mais on n'aurait pas pu faire trois meilleurs tirs que ça." La punaise ne s'était pas pliée en traversant le papier elle avait fait un trou tout rond. Alors j'ai dit: "Personne n'aurait pu faire un meilleur tir." Bon. Je pense que son mal de tête était parti immédiatement.
Et j'ai dit: "Eh bien, montrer ça à frère Norman", qui travaille au magasin d'articles de sport Field and Stream de Frère Tony Stromei.
Il a dit: "Passons d'abord chez Billy." Il a dit: "Je - je veux juste dire quelque chose à Bubby. "Voyez? Et, honnêtement, son frère n'a jamais fait aussi bien. Alors il a dit: "Passons d'abord par-là."
5 Puis, j'avais à peine franchie la porte... Billy était encore en pyjama. Et il a dit... Nous sommes sortis tôt, parce qu'après, il fait tellement chaud. Et il a donc dit... Le téléphone a sonné, et j'ai dit... Il m'a plutôt regardé comme ça. J'ai dit: "C'est peut-être l'appel d'un malade." Et c'est Frère Capps, qui l'appelait pour son fils qui était à ce moment-là, dans la salle d'opération, souffrant d'une péritonite et ce qui s'ensuit. Et il vient de me dire que son fils s'est rétabli très, très bien.
6 Alors, vous voyez comment Dieu a agi, même par la voix de ce petit garçon, Joe. Au lieu d'aller chez Frère Norman... Il n'aurait pas été là, on est venu, et Frère Capps et moi on est entré en contact... Je ne dis pas que c'était à cause de nos prières, mais ça signifiait vraiment beaucoup pour lui que nous ayons un contact comme ça. Et, honnêtement, c'est la raison pour laquelle... Eh bien, il faut - il faut que vous ayez foi en ce que vous faites. Voyez? Et cette - sa foi pour appeler, et Billy a dit qu'il...
Y dépensait de l'argent; et il a dit: "Ça doit être un appel à très longue distance, a-t-il dit, il a dépensé près de cinq dollars en monnaie, dans un - pour un appel de trois minutes."
7 Je pensais que ça venait de New York, ou d'une des îles ou quelque chose comme cela. Mais il avait fait une communication téléphonique avec préavis, pour parler à Billy au lieu de Loyce, vous voyez, et c'est ce qui a fait que ça lui coûtait cher.
Et maintenant, son fils se rétablit. Frère Capps disait que d'après le médecin, il avait très peu de chances de s'en tirer, vous voyez, de l'opération. Et nous sommes reconnaissants à Dieu ce matin, nous sommes très contents pour lui.
Eh bien, nous sommes rentrés ce matin vers l'aube, et ainsi j'ai dormi à peu près trois heures, et - et je suis très fatigué. Mais quand le culte... il était temps pour venir au culte, eh bien, je suis venu.
8 Et je... Si le Seigneur le veut, maintenant, je dois me rendre dans le Kentucky, comme je l'ai dit. Aussi j'ai - j'ai promis de prêcher un dimanche à mon retour ici, alors je ferais mieux de le faire dimanche prochain, parce que le dimanche qui va suivre, je serai... je devrai retourner, étant donné que je vais repartir, là au Canada. Alors je - je ferais mieux de le faire dimanche prochain, et, dimanche prochain au matin.
9 Et Frère Neville m'a dit: "Pourquoi ne sortiras-tu pas saluer les gens et leur parler quelques minutes?"
Je lui ai dit: "Frère Neville, c'est à peine si j'ai même ouvert ma Bible." J'ai dit: "Je..."
Il m'a dit: "Eh bien, va leur dire quelque chose." Soeur Neville, je - je ne sais pas comment vous vous en sortez. C'est un gars très persuasif.
10 Mais pendant que... Je n'ai pas l'occasion de dire ça quand la salle est pleine à craquer, bondée et tout, mais je suis vraiment reconnaissant à Dieu pour un pasteur comme frère Orman Neville, fidèle, aussi fidèle que possible à la Cause, et on ne l'entend jamais murmurer. J'étais assis là-derrière... J'ai eu une bonne conversation d'une demi-heure avec lui, pendant que j'avais le plaisir d'écouter frère Mann, et alors, je lui en dirai plus long là-dessus quand on sera dans le Colorado cette année.
11 Nous étions en train d'apprécier son message, et j'ai eu une bonne conversation avec frère Neville. Je lui ai dit: "Je n'arrive même pas à parler aux gens de notre brave pasteur." Je lui ai demandé: "Est-ce que les gens prennent bien soin de vous?"
Il a dit: "Ça ne pourrait pas être mieux."
Et j'ai dit: "Eh bien, je suis bien content d'entendre ça."
Quand un pasteur est satisfait, et que les gens sont satisfaits, ça fait vraiment une bonne église; et alors Dieu est satisfait. Et je m'attends à les voir tous satisfaits, surtout en ce jour-ci, où nous apportons le Message. Je pense que cela montre l'unité du Message avec les gens, et avec Dieu. Voyez?
12 Et je suis vraiment reconnaissant pour Frère Orman Neville, pour sa précieuse épouse et sa famille. Je prie Dieu de les garder fidèles à Lui et à la Cause. Et, s'Il le trouve bon, puissions-nous être ici dans le tabernacle, quand le Seigneur Jésus viendra nous chercher, vous voyez, pour nous emmener dans l'Enlèvement. On espère qu'on sera tous les deux tellement vieux, Frère Neville, qu'on aura chacun un bras autour de l'autre, se tenant là debout, appuyés sur notre canne, essayant encore de tenir bon. Voyez?
13 "Alors nous serons changés en un instant, en un clin d'oeil."
Et ces vieilles robes de chair tomberont, et
Nous monterons nous emparer du prix éternel,
Et nous crierons, en traversant les airs:
"Adieu, adieu," douce heure de prière.
Alors on sera parti là-haut.
14 J'ai appris que le Seigneur a guéri frère Coomer, et j'en suis vraiment reconnaissant. Il y a beaucoup de choses. Alors, je suis reconnaissant d'être ici ce matin. Et je me suis dit qu'au lieu de...
J'arrive toujours ici avec un sujet précis, et je prêche... Je me suis dit que ce matin, j'allais juste m'avancer. J'ai dit: "Frère Neville, je veillerai vraiment sans problème à l'horloge, et je laisserai probablement les gens sortir à l'heure, et juste vous parler à coeur ouvert, pendant quelques minutes; juste des choses, que l'on a juste - qu'on sait qu'on n'enregistre pas ni rien, alors on va simplement fraterniser, comme il n'y a que des gens de l'assemblée ici, vous voyez, juste entre nous."
Alors, prions.
15 Bien-aimé Jésus, nous Te sommes reconnaissants pour le privilège que nous avons de nous rassembler ici. Et, oh, en regardant ce tabernacle tôt ce matin, après minuit, pendant que je passais, j'ai pensé à ma mère dont Toi, Tu as soutenu.
Et je me souviens du vieil étang qui était ici, et aux grandes mauvaises herbes qui se dressaient pratiquement à l'endroit même où se trouve cette chaire. Quand j'étais petit, je - je me sui tenu ici. M. Ingram avait dit qu'on pourrait avoir le terrain pour très peu d'argent, qu'on n'avait qu'à donner un acompte; on n'avait pas d'argent, rien à donner en gage, rien à offrir, mais juste essayer. Et, à l'époque, il avait une valeur totale d'un peu plus de deux mille dollars; à payer dans vingt ans.
Maintenant, Seigneur, regarde-le aujourd'hui! Quand il en était encore à ses débuts, encore ici dans le creux, et que l'eau s'infiltrait, Tu nous avais fait cette promesse, par la Parole: "Moi, l'Eternel, Je l'ai plantée, Je l'arroserai jour et nuit, de peur qu'on ne l'arrache de Ma main."
Au même moment, les gens disaient: "Dans moins de six mois, il sera transformé en garage."
16 Mais il y a littéralement des milliers d'âmes qui ont trouvé Christ ici à l'autel. Et le tabernacle, le baptistère a constamment... Des gens ont été baptisés au Nom du Seigneur Jésus; en invoquant Son Nom et ils ont été lavés de leurs péchés. Des centaines d'infirmes, d'affligés, d'aveugles, de boiteux, d'estropiés, de gens rongés par le cancer sont partis depuis cette estrade; ils étaient venus mourants, des hommes et des femmes, des garçons et des filles, et ils sont repartis pour vivre une nouvelle vie, avec la chair de leur corps renouvelée, et marchant de nouveau; ils ont abandonné leur fauteuil roulant, leurs béquilles, et tout. Ô Dieu, ces trente années de service!
17 Père, souviens-Toi du matin où nous avons posé la première pierre. Et Tu nous as donné une vision là, qui nous montrait la salle pleine à craquer, un beau coin; je - je savais que ça ne pouvait pas faillir. C'est pourquoi je Te remercie pour toutes ces choses.
18 Beaucoup d'entr'eux ont combattu le bon combat, ils ont fini la course, ils ont gardé la Foi; ils reposent là-bas, ils attendent, ils se reposent maintenant de leurs travaux, car leurs oeuvres les suivent; ils attendent l'heure où la trompette retentira, où ils se relèveront pour une nouvelle vie, dans un nouveau corps. Beaucoup d'entre eux étaient vieux et tremblants, d'autres jeunes, d'âge moyen, et ainsi de suite. Mais que Ton Nom soit loué pour chacun d'eux.
19 Maintenant, nous nous tenons de nouveau ici, devant les - les vivants et les morts. Je Te prie d'oindre Tes Paroles ce matin. Je ne sais quoi dire, mais je Te prie d'y pourvoir, ce que Tu as toujours fait, Seigneur.
Bénis notre pasteur, frère Neville, et son épouse. Bénis le conseil des administrateurs, le conseil des diacres, chaque membre du corps. Puissions-nous, tous ensemble, vivre de telle manière dans cette vie-ci que nous ayons la Vie Eternelle dans la vie à venir.
20 Aide-nous ce matin à accepter la correction de la part de l'Esprit et de la Parole, pour que nous puissions nous préparer, quand nous partirons d'ici ce matin, avec la ferme détermination dans notre coeur de mener une vie meilleure que celle qui a été la nôtre par le passé. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
21 Eh bien, je - je viens d'ouvrir la Bible là, c'était il y a quelques minutes. Je suis dans Apocalypse 3, alors je vais juste lire, là, sur le - le Message à l'Eglise de Laodicée.
22 Et je voudrais aussi annoncer, (Frère Neville venait de me le dire: Frère Parnell, (il est arrivé qu'en regardant là je l'ai vu assis ici) il tient des - des réunions de réveil, juste de ce côté-ci de Memphis. C'est au - au... s'il y en a parmi vous qui connaissent l'endroit où se trouvait Wimpy, ce kiosque à hamburgers; il a une - une tente là-bas, et il essaie de faire entrer les gerbes, de voir s'il y a des perdus par là qui ont été destinés à la Vie, et qu'il pourrait gagner à Christ par son ministère. Et il n'a pas eu de réunion ce dimanche, à cause des réunions ici au tabernacle, et-et ça, c'est vraiment un beau geste de la part de ce frère. Et nous vous informons que les réunions reprendront lundi soir, la semaine prochaine. Et je sais que vous êtes tous cordialement invités à aller entendre frère Parnell apporter son message de l'amour de Christ.
23 Et maintenant, lisons dans Apocalypse, chapitre 3, juste un passage, pour dire qu'on a lu la Bible. En effet ce que moi je dis, ça peut faillir, mais ce que Lui dit, ça ne faillit pas. Et je ne sais par où commencer, quoi faire, où aller, mais lisons juste l'Age de l'Eglise de Laodicée.
Ecris à l'ange de l'Eglise de Laodicée: Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, et le commencement de la création de Dieu
Je connais tes oeuvres... tu n'es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant!
Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche.
Parce que tu dis: Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle... nu,
Je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche... des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que ta honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies.
Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi.
24 Vous savez, quelque part là-dedans, pendant que je lisais, je... Si vous voulez bien m'excuser un instant, je - j'ai trouvé un endroit qui m'a plu, et maintenant, je ne me souviens plus exactement où c'était. Le voici:
Et... Tu ne sais pas... malheureux, misérable, pauvre, aveugle, nu,
Oh! la la! Ça, là, c'est un peu la description de l'Eglise d'aujourd'hui! Maintenant, c'est, je - je pense que cet âge-ci de l'Eglise ici, dont nous parlons... Bien sûr, je ferai bientôt sortir l'âge de l'Eglise sous forme de livre. Mais étant donné qu'il s'agit de l'âge de l'Eglise de Laodicée dans lequel nous sommes, considérons juste sa condition.
Je ne veux pas prendre de sujet, ni rien, parce qu'on n'est pas... on va juste parler comme ça, comme nous sommes conduits à parler - tout ce que le Seigneur nous conduira à dire, mais quelque chose qui nous aidera.
25 Pensons à l'âge de l'Eglise de Laodicée et à l'état dans lequel elle est aujourd'hui. Pour autant que je sache, je ne vois rien maintenant qui empêche la Venue du Seigneur Jésus, sinon que Son Eglise n'est pas prête. Je pense que c'est l'une des - des prophéties...
26 Hier, en voiture, quand on venait, on a fait le voyage de Tucson jusqu'ici en deux jours, deux mille milles [3000 km - N.D.T.], Billy et moi. Alors on... Et ça, c'était sans dépasser la vitesse maximale autorisée. On restait juste... Quand c'est lui qui conduisait, moi je restais assis à côté, et je - je suis tout - j'ai mes poings en arrière comme un fusil de chasse dont le chien est tiré en arrière. Si je le vois aller... je lui dis: "Attends une minute, mon gars."
Eh bien, il nous est dit: "Rendez à César ce qui est à César".
27 Et quand on est arrivé ici la nuit passée, il y avait une petite fille étendue en travers de la route, elle avait à peu près trois ans; la mère était morte, là dans le fossé. Un jeune homme ivre qui revenait du R.O.T.C. [Centre de formation des officiers de réserve, aux Etats-Unis - N.D.T.], il avait dix-huit ans, roulait à cent vingt milles à l'heure [190 km/h] sur la voie de gauche l'avait tué. Et je pense que lui aussi était en train de mourir. Vous pouvez donc vous rendre compte de ce que c'est:
"Rendez à César ce qui est à César."
28 Des innocents meurent. Une petite fille de trois ans a perdu la vie à cause d'un soldat ivre, vous voyez, qui roulait à cent vingt milles à l'heure, d'après les estimations, du mauvais côté de la route. Pendant qu'il gravissait la colline, il les a percutés en plein devant, et les a tous tués sur le coup. Je... Lui aussi, il était en train de mourir. Alors, vous voyez, même si les innocentes ne faisaient...
Eh bien, ce garçon-là est coupable de meurtre prémédité. Voyez? A mon avis, si un homme est trouvé ivre au volant, il devrait carrément écoper de dix ans pour meurtre prématuré, prémédité; n'importe quel homme, parce qu'il... n'importe quel homme qui...
29 On - on ne fera rien avec la politique. C'est pourri. L'idée de Dieu d'avoir un roi, un roi juste, c'est elle qui est la bonne. Mais avec la politique, c'est vraiment sans consistance, on peut monnayer n'importe quoi, on peut tricher, mentir, voler, et tout le reste. Et, comme je l'ai dit il y a quelques dimanches: regardez ce que ça donne, voyez: rien qu'un tas perverti de tout. Mais un roi juste peut faire ses propres lois. On peut tuer un homme, si on s'y connaît en politique, pas de problème, on peut s'en tirer. Voyez? Alors, c'est, c'est le...
La démocratie, c'est une bonne idée, mais ça ne marchera pas. C'est comme le communisme, avoir tout en commun; ça a l'air d'être une bonne idée, mais ça ne marchera pas. Non. La voie de Dieu, d'avoir un roi, comme David, c'était - c'était bon, vous avez une seule pensée centrée sur... C'est comme un seul leader dans un troupeau d'oies, et ainsi de suite, il ne peut pas y en avoir deux ou trois. Si vous les mettez tous ensemble, vous vous retrouverez avec n'importe quoi, comme idées.
Nous voyons donc que, les conditions sont réunies aujourd'hui pour la Venue du Seigneur.
30 Mais, comme Frère Neville, moi et ces autres frères, on essaie de conduire un troupeau, j'ai quelque chose qui me vient à l'esprit maintenant, dont on peut parler.
C'est que l'autre jour, j'ai reçu une lettre d'une brave dame. Ce n'est pas moi qui l'ai reçue, c'était par une personne interposée. Et elle me mettait vraiment en pièces, ou du moins elle essayait. Elle disait: "A-t-on jamais... Ne pourriez-vous pas, vous les Hommes d'Affaires Chrétiens, faire quelque chose pour arrêter frère Branham?" Elle disait: "Parce que maintenant, il a sorti ce livre intitulé l'Age de l'Eglise de Laodicée, et il va en publier d'autres." Et elle disait: "Il démolit carrément la doctrine pentecôtiste." Elle disait: "Maintenant il dit que le signe initial n'est pas le parler en langues." Et elle disait: "Et puis, il est contre les femmes prédicateurs." Et c'était une femme prédicateur.
Et ses fils sont parmi les meilleurs amis que j'ai au monde. Ils sont parmi mes meilleurs amis. Et elle disait: "Maintenant..."
Cet homme et sa femme, je déjeunais avec eux, ils m'ont dit: "Frère Branham, regardez ceci. Pouvez-vous vous imaginer cela?", et ils ont sorti une lettre.
J'ai dit: "Eh bien, soeur, elle ne comprend tout simplement pas."
Les gars m'avaient dit que leur mère était une femme prédicateur, et qu'elle n'acceptait pas le Message.
Et là elle disait, là-dedans, elle disait: "Bon, il dit: 'Les femmes ne doivent pas prendre autorité sur les hommes.'" Elle disait: "Alors, qu'en est-il de Phoebé, dans la Bible, l'assistante de Paul?"
31 Bien sûr, elle était vendeuse d'étoffes. Et Paul demandait aux gens... Pensez-vous que Paul pouvait dire: "Que les femmes se taisent dans les assemblées", leur interdisant de prêcher", et puis se retourner et dire: "Maintenant, Phoebé, mon assistante dans l'Evangile, va prêcher quelques soirs"? Eh bien, il se contredirait lui-même. Voyez?
Et puis, pour couronner le tout, elle disait... "Je pense que c'est Esther... elle a été parmi les juges de la Bible." Elle disait: "Une femme a été juge dans la Bible. Si ça, ce n'est pas avoir autorité sur l'homme!"
Et cet homme d'affaires qui a été guéri, ici même dans l'église, il n'y a pas longtemps, a dit... Bon, sa femme a dit: "Frère Branham, ça, ça m'a toujours intriguée."
J'ai dit: "Eh bien, soeur, comment cela peut-il vous intriguer?"
Elle a dit: "Eh bien, voilà une femme juge."
32 J'ai dit: "Ça, c'est de la politique, ce n'est pas l'église. Ça n'a rien à voir avec l'église."
Paul a dit: "Qu'elles soient soumises, comme le dit aussi la loi." Et la loi ne peut pas instituer une femme comme sacrificateur, elle ne peut pas instituer cela... On n'a jamais vu une femme souverain sacrificateur. On n'a jamais vu une femme sacrificateur, nulle part dans la Bible. On n'a jamais vu une femme prédicateur dans la Bible. Ça, c'est certain.
Il y en avait qui étaient des prophétesses, et tout ça; Miriam, et d'autres. Et Esther... L'une d'elles était juge sur Israël. Des fois, elles ont été leurs reines, et tout, roi et reine. A la mort du roi, la reine devait prendre sa place jusqu'à ce qu'ils aient élu un autre roi, et ainsi de suite.
33 A Tucson - à Tucson, en Arizona, on a une femme juge là-bas dans la ville. C'est pour ça que la ville est très corrompue. Et on a... Une femme n'a rien à faire dans la politique. Elle n'a rien à faire dans... elle n'a aucune autorité dans l'église.
Sa place, c'est d'être la reine d'un homme à la maison. En dehors de ça, elle n'a rien. Et nous savons que c'est la Vérité. Vous ne trouverez jamais... Je sais que ça a l'air démodé, mais je suis responsable.
34 Et je sais qu'après que j'aurai quitté cette terre, ces bandes et ces brochures resteront vivantes, et beaucoup d'entre vous les jeunes enfants, vous verrez, dans les jours à venir, que ceci est exactement la Vérité, parce que je le dis au Nom du Seigneur.
Or, nous nous demandons comment une femme qui est une bonne femme - qui, grâce à son brave mari, un homme bien, a mis au monde quelques-uns des meilleurs gars que j'aie jamais rencontrés, de vrais hommes, que j'aie jamais rencontrés... Et tout de suite, dès qu'ils ont entendu le Message, ils L'ont accepté, à cent pour cent. Eh bien, ça peut seulement venir par prédestination, ça. C'est la seule voie par laquelle ça peut venir.
35 Bon, voilà la question. J'y pensais. Voyez-vous, eh bien, pendant que le Seigneur me ramenait. "Et tu le sais, tu sais... Tu ne sais pas que tu es nu, misérable, malheureux, aveugle, et tu ne le sais pas."
Avant d'en arriver là, je pourrais résumer ce que j'ai dit il y a quelques jours ici, dans un Message sur, je pense que c'était le Dieu de ce siècle, il a aveuglé les yeux des gens, au point qu'ils ont carrément adoré le diable dans des services religieux. Est-ce que vous avez tous saisi ça? Vous l'avez tous compris? [L'assemblée dit: "Amen." - N.D.E.]
Et puis dans ce même Message, j'ai parlé de ce qu'une femme qui porte des vêtements immoraux, indécents, devra être jugée au Tribunal comme une prostituée de rue. Ç'a l'air bien étrange.
36 Laissez-moi vous brosser un petit tableau.
Voilà un avocat de la ville, un jeune homme, quelqu'un de bien gentil, sur le plan politique, j'imagine qu'il est correct dans sa politique. Et il sort avec une fille qui est très populaire. Ils tombent amoureux l'un de l'autre et ils se marient. Ils vont à toutes sortes de soirées et tout le tralala, et ils boivent ensemble. Finalement, elle... Il a une belle maison. Il habite dans un beau quartier. Il est bien considéré par les gens, mais il... Tous les deux boivent. Elle, elle porte des shorts, elle se coupe les cheveux, elle se maquille, et tout, elle est très sexy, elle... une belle femme qui s'expose.
37 Eh bien, elle ne va jamais à l'église, pas du tout, aucun des deux.
Alors, voilà qu'une femme de l'Eglise baptiste ou de l'Eglise méthodiste emménage dans la maison d'à côté, elle et son mari. Or, cette femme-là...
Disons qu'elle est méthodiste, parce que les méthodistes ont un peu plus de sur sainteté que les baptistes; tous les baptistes, sauf les baptistes du Nouveau Testament qui eux croient à la sainteté. Mais, pour la plupart, les baptistes ne croient pas du tout à la sainteté, voyez. Ils ne croient pas à ça. Alors, disons qu'elle est méthodiste, parce qu'eux, ils croient à la sainteté.
38 Alors, une femme méthodiste emménage à côté de chez cette femme, dans la même rue. Et son mari à elle est... Disons qu'il est comptable de l'Etat, et ou qu'il travaille dans un bureau. Eh bien, cette femme méthodiste, elle regarde l'autre femme.
Et quand cet avocat quitte la ville... Il s'appelle John; disons qu'il s'appelle John. Maintenant, ne faites donc pas de suppositions avec ça. Je ne fais qu'inventer des noms, là. Alors, il s'appelle John. Eh bien, avant, elle sortait avec Ralph. Et ça aussi, c'est un nom inventé, tout ce nom, voyez, c'est juste pour vous faire suivre l'histoire, pour vous donner le tableau.
Eh bien, il arrive bien vite que dans une de leurs soûleries, Ralph l'embrasse de nouveau. Eh bien, la voilà tout enflammée, parce qu'elle est retombée amoureuse de Ralph, pense-t-elle. Alors, après un moment, Ralph se met à la fréquenter. Et elle trompe John là-dessus, John n'y voie que du feu. Et elle se croit très habile, parce qu'elle arrive à courir avec Ralph, tout en étant mariée avec John. Voyez, cette femme n'a même pas la moindre ombre de décence, et elle trouve ça tout à fait normal.
39 Mais cette femme méthodiste, elle est montée un cran plus haut. Elle, au moins, elle va à l'église, et elle trouve cette femme horrible. Eh bien, elle dit à son mari, quand il rentre: "Je vois cet homme entrer là et la rencontrer. Et quand John est parti quelque part s'occuper d'une affaire, à Philadelphie ou ailleurs, il l'emmène à bord de son roadster, et ils vont s'allonger sur la plage. Je les vois quand ils reviennent; des fois, ils ne tirent même pas les rideaux, il l'embrasse et il lui fait l'amour, et après... Oh, comme c'est affreux", dit-elle à son mari. "Oh, elle n'est rien d'autre qu'une prostituée de rue." C'est vrai. Elle est pire qu'une prostituée de rue, parce que c'est une femme mariée. Voyez? Et elle, cette femme, cette femme méthodiste, elle trouve ça affreux, l'autre là ne va jamais à l'église.
40 Maintenant, cette femme méthodiste ne ferait jamais une chose pareille. Jamais de la vie. C'est une femme respectable. Autre chose: Elle ne toucherait pas une goutte de whisky, parce que l'Eglise méthodiste, quatre-vingt-dix pour cent de leur programme, c'est la prohibition, contre le whisky, contre le whisky. Ils ont donc un programme de prohibition, et les gens de l'Eglise méthodiste ne vivent pas plus haut que ce que leur Eglise enseigne.
Mais cette même femme, cette femme méthodiste, elle sort le soir avec son mari, en shorts le dimanche, après l'école du dimanche. Elle se coupe les cheveux, elle met du rouge à lèvres, et elle fume même un peu.
41 Or, selon la Parole de Dieu, toutes les deux sont des prostituées, mais celle-ci, elle est "nue, misérable, malheureuse, aveugle, et elle ne le sait pas". L'une est tout aussi coupable que l'autre, car "un homme qui regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur".
Et si cette femme, ... eh bien, elle peut dire: "Minute, M. Branham. Je vous fais savoir que je ne suis pas une prostituée." Ma soeur, peut-être que, si on mettait une Bible devant vous, vous poseriez la main dessus dans la Présence de Dieu, et vous jureriez que vous avez été aussi fidèle, fidèle à votre mari que possible. Votre corps appartient à votre mari, mais votre âme appartient à Dieu. Il y a un mauvais esprit qui vous ointe. Si cela - si ce n'est pas le cas pour vous, alors vous êtes... je peux vous prouver que vous êtes complètement folle.
Que serait-il arrivé à votre grand-mère si elle s'était promenée dans la rue vêtue de ces shorts? On l'aurait fait enfermer dans un asile de fous: pour être sortie sans avoir porté sa robe. Elle a un problème mental. S'il en était ainsi à l'époque, il en est de même aujourd'hui.
Alors le monde entier est frappé de folie. C'est de la folie partout. Et cela s'est infiltré si graduellement que les gens ne s'en rendent même pas compte.
42 Maintenant, est-elle une prostituée? Pas vis-à-vis de son mari, non pas en rapport avec les voeux qu'elle a faits à son mari concernant son corps mauvais. Mais, devant Dieu, elle a un mauvais esprit sur elle, un esprit de prostitution, qui la pousse à s'habiller ainsi. Et elle est dans l'âge de l'Eglise de Laodicée, et elle ne sait pas qu'elle fait ça. Cette femme innocente ne sait pas que Dieu va la juger comme une prostituée. Voilà.
Et essayez donc de le lui faire comprendre! Il n'y a pas moyen de lui dire. Il n'y a aucun moyen de le lui faire comprendre. La Bible dit: "Ils sont nus et ils ne le savent pas."
43 Si vous lui disiez en face qu'elle est une prostituée, elle vous ferait arrêter. Elle le ferait. Je ne parle jamais nommément de qui que ce soit. Je parle du péché. Je ne dis pas: "Telle église là, monsieur Untel, le révérend Untel, c'est un..." Non, non. Je dis là, que la doctrine qu'il y a là, voyez, le tout... Je ne nomme pas les individus. Il ne s'agit pas des individus. C'est le système dans lequel ils se trouvent. C'est le système du monde.
44 Frère George Wright qui est assis ici, il a... Il a soixante-quinze ou soixante-dix-huit ans, je pense. Que serait-il arrivé, à votre avis, si vous étiez allé voir Soeur Wright un jour, et qu'elle s'était tenue là en shorts? Oh, vous n'auriez jamais, vous auriez - vous auriez fait enfermer la pauvre femme. Vous ne l'auriez jamais épousée.
Eh bien, si n'importe quel jeune homme aurait fait ça à l'époque, là même chose aurait eu lieu. Eh bien, si c'était un péché et si c'était mal à l'époque, c'est la même chose; mais les gens ont sombré dans la folie.
45 Je vais vous prophétiser quelque chose, juste avant que ça arrive. Le monde entier est en train d'avancer à tâtons dans la folie, et ça va sans cesse s'empirer, si bien qu'à la fin, ce sera une vraie bande de fous. Et c'est pratiquement ainsi aujourd'hui.
Pouvez-vous vous imaginer un homme qui roule tous feux éteints et du mauvais côté de la route? Un "ricky", un jeune homme, qui vient à peine, semble-t-il, de sortir du secondaire, et qui tue tout un groupe de gens. Cela les arrête-t-il? Un autre vient derrière lui, et il fait autant. Pouvez-vous imaginer un jeune homme qui se... qui se respecte tant soit peu sortir et se conduire comme eux?
Pouvez-vous vous imaginer une jeune femme, en plein floraison comme femme, belle, bien bâtie, de belles formes, un beau profil, un beau visage, une beauté... Et le fait même qu'elle est jolie montre qu'on est au temps de la fin. Voyez, elle a tout misé sur les apparences du monde, les choses du monde, au lieu de la beauté de la sainteté, de la douceur de l'âme. J'ai vu des femmes dont l'aspect extérieur n'avait rien d'attrayant, mais parlez-leur une fois, parlez avec elles pendant quelques minutes, elles sont vraiment authentiques, quelque chose d'attachant. Vous voyez, la beauté extérieure, c'est du diable, c'est du monde.
46 Regardez les enfants de Caïn, comme ils se sont adonnés à cela: "Quand les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, ils en prirent pour femmes", et Dieu ne le leur a jamais pardonné.
Regardez, quand les femmes israélites avec - avec leurs mains calleuses et leurs cheveux pendant; quand les fils de Dieu sont passés par le pays de Moab, et qu'ils ont vu les femmes coquettes de là-bas, toutes bien coiffées, bien arrangées, et avec la figure pleine de manucure ou de je ne sais comment vous appeler cela; quand ces fils de Dieu ont vu ces très belles femmes, un faux prophète a dit: "Nous sommes tous pareils." [Frère Branham donne six coups sur la chaire. - N.D.E.] Et ils se sont mariés, et Dieu ne le leur a jamais pardonné.
Ils ont péri dans le désert.
47 Chacun d'eux est mort là, sans espoir, sans Dieu, et ils sont Eternellement perdus; damnés à jamais, bien qu'ils aient vu la bonté de Dieu, bien qu'ils aient bu à la fontaine intarissable. Ils avaient bu au rocher frappé. Ils avaient vu le serpent d'airain accomplir des miracles. Ils sont passés par le baptême de Moïse dans la mer. Ils avaient vu la main de Dieu. Ils avaient mangé de la nourriture des Anges, et fait toutes ces choses. Mais ils s'étaient mariés les femmes dans... laisser... et les avaient amenées, ils avaient juste pris des femmes parmi elles. Ils n'avaient pas commis adultère, ils s'étaient seulement mariés avec elles; Dieu ne leur a jamais pardonné cela.
C'était la deuxième fois que ça arrivait. Maintenant, nous en sommes à la troisième fois, maintenant c'est plus trompeur que jamais.
Je sais que c'est dur. Et je me suis souvent demandé de plusieurs manières comment cela se fera-t-il? Pourquoi faut-il que je sois si tranchant avec les gens? Pourquoi en est-il ainsi? Et pourtant, je constate que n'eut été Dieu, il n'y aurait personne, pas une seule femme ne resterait assise à m'écouter. Mais les gens reviennent, parce que quelqu'un a une petite ancre de Vérité là, et il sait que c'est vrai. Peu importe, ils savent que c'est vrai.
48 Maintenant, observez ce qui se passe. Je sais que c'est dur.
C'est comme si un médecin vous donne un remède, et que vous refusez de le prendre, alors ne condamner pas le médecin, si vous mourez. Et Ceci, c'est comme un remède. Qu'en est-il de ces gens qui prétendent toujours que je suis un misogyne?
Vous voyez, rien qu'à observer le comportement des femmes, je peux vous dire où l'Eglise en est. La moralité des femmes, dans le monde, physiquement, c'est Laodicée: "Nus, misérables, aveugles, et ils ne le savent pas", les - les gens, les femmes du monde. Et l'Eglise est dans le même état. Voyez comment le naturel, c'est toujours le type du spirituel, chaque fois. Et, un jour, au Tribunal du Jugement...
Je sais que ce n'est pas populaire de dire ça. Et si un homme n'a pas été établi pour le dire, vous faites mieux de ne pas le dire, parce que vous feriez une imitation, et là, vous aurez des ennuis, c'est sûr.
Maintenant, remarquez. Des fois, on aurait vraiment dit que je tenais la bouche ouverte à une femme et que je lui versais le Remède dedans; et ensuite, je mettais mes mains sur sa bouche, et elle Le recrachait chaque fois. Qu'en serait-il si un médecin faisait ça à un patient, et puis que le patient meure pour avoir refusé d'avaler le remède? A la barre du Jugement, quand toutes ces choses, comme de se couper les cheveux, de porter des shorts, et...
49 Je suis seulement en train de construire. L'heure est proche où vous allez voir quelque chose arriver, où il va arriver quelque chose. Et toute cette toile de fond, ici n'a fait que poser le fondement d'un Message court et rapide qui ébranlera toute la nation.
50 Eh bien, je m'en prends aux femmes; il se prépare quelque chose avec lequel on pourrait mettre le doigt dessus. Même en essayant de leur dire ce qui est juste. Et je mets ma main comme ceci, sur leur bouche, et elles crachent cela. Qui peut alors condamner le médecin?
Qu'est-ce que vous allez dire, au Jour du Jugement, quand les voix mêmes qui ont crié contre cela se feront entendre, quand la bande sera jouée juste en plein devant les gens? Comment y échapperont-ils alors?
Elles vous Le recrachent entre les doigts. Vous en versez encore, et elles secouent en quelque sorte la tête et elles s'en retournent, elles s'en vont; ça ne marchera pas. Et, malgré tout, elles reviennent, et vous En versez encore. Alors, à qui la faute? Pas au médecin, ni au Remède, mais à l'attitude de la personne. C'est exactement ça. Ce sera un jour terrible, un de ces jours, quand cette génération pécheresse et adultère se tiendra devant le Dieu Tout-Puissant.
En voyant mes années s'accumuler, mes épaules s'affaisser; et, je sais... trente ans ici sur cette estrade, oui, trente-trois ans ici, dans le champ missionnaire. C'est une longue vie, ça. Ça fait trente-trois ans de service. Mon seul regret, c'est de ne pas en avoir eu cent trente-trois. En effet, ceci sera la dernière occasion que j'aurai jamais, pendant que je suis ici en tant que mortel, de prêcher l'Evangile. Que Dieu m'aide à rester aussi fidèle que possible à cette Parole, - dire exactement ce qu'Il dit.
51 Qu'est-ce qui fait que cette méthodiste... Comment pourriez-vous jamais arriver à Le lui faire comprendre? La voici, dans cet âge de l'Eglise de Laodicée.
52 Maintenant, prenons la femme pentecôtiste. Elle ne devrait pas porter de shorts, de maquillage, ni se couper les cheveux, mais elle regarde derrière elle la femme méthodiste avec mépris, disant: "Dites donc, regarde cette femme faire telle et telle chose!" Disons que cette femme, elle ne porte pas de shorts, mais elle a dit... et elle-même, elle a les cheveux coupés... Voyez?
Plus vous vous élevez en Dieu, plus tout vous semble impie.
53 Et puis des fois, en prière, vous pouvez vous imaginer, quand le Saint-Esprit vous élève jusque dans une certaine sphère, alors tout a l'air chaotique. Alors, lorsqu'on redescend, c'est comme si on est, pour les gens on est un vaurien, qu'on est... on n'est rien d'autre qu'un pauvre sarcastique, que vous êtes un fou, parce que vous êtes là comme un vieux timbré, toujours en train de réprimander les gens. Mais s'il vous arrivait une fois de monter jusque dans ces sphères, où vous pouvez être dans la Présence de Dieu (pas par l'émotion, mais en étant élevé par le véritable Saint-Esprit), c'est tout écrit "ICHABOD". La Gloire du Seigneur s'est retirée de tout l'attirail des dénominations. C'est vrai. Il n'y en a pas une qui soit dans le vrai.
54 Eh bien, je vais vous dessiner un petit cercle. Si j'avais un tableau noir... Mais je veux que vous regardiez bien, ici. [Frère Branham dessine des cercles. - N.D.E.] Je vais faire un cercle comme ça, et je vais faire un autre cercle à l'intérieur de ce cercle-là, ça fait deux, et puis je vais faire encore un cercle à l'intérieur de ce cercle-là. Ça fait trois cercles, trois cercles. Eh bien, ça c'est vous.
Ça, c'est Dieu. Dieu est Un dans une trinité, et sans trinité, Il n'est pas Dieu. Il ne peut pas se manifester autrement.
Et vous, en tant que personne, vous ne pouvez pas non plus être manifesté sans être composé d'une trinité, c'est-à-dire corps, esprit et âme. S'il vous en manque un, vous n'êtes pas complet. Voyez? Si vous n'aviez pas d'âme, vous ne seriez rien; si vous n'aviez pas d'esprit, vous ne seriez rien; si vous n'aviez pas de corps, vous seriez un esprit, pas un corps.
Donc, Dieu est complet dans la tri-unité d'un Etre, pas une tri-unité d'êtres, mais Un seul Etre dans une tri-unité. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit, c'est un seul vrai Dieu manifesté. Dieu!
55 Dieu... Observez ici... Attendez un peu, je - je crois que je l'ai lu il y a quelques minutes. Ecoutez ça:
Ecris à l'ange de l'Eglise de Laodicée: Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu
Dieu est le Créateur. Alors, comment peut-Il avoir été créé? Mais ceci est: "le commencement de la création de Dieu". Quand Dieu, l'Esprit, a été créé sous la forme d'un Homme, c'était Dieu Qui était créé. Dieu le Créateur, Qui devenait Lui-même une création. Dieu, Qui a fait la poussière, Qui a fait le calcium, Qui a fait la potasse, la lumière cosmique, les pétroles, Il a rassemblé tout ça et Il S'est créé Lui-même, au commencement de la création de Dieu.
"L'Amen", le final. Amen veut dire "ainsi soit-il". "Le final de Dieu", quand Dieu S'est rendu complet dans Sa création.
Eh bien, comment est-ce? "Personne n'a jamais vu Dieu, mais le Fils unique du Père est celui qui L'a fait connaître." Vous comprenez?
56 Tenez, un petit instant; vous n'êtes pas pressés. Prenons Colossiens, juste un instant. Je... Un passage de l'Ecriture m'est venu à l'esprit. Prenons Colossiens, l'Epître aux Colossiens, au... Je crois que c'est au chapitre 1. Je vais devoir vérifier cela, parce que ce n'était pas prévu. Alors, je vais... Avant, quand j'étais jeune prédicateur, je pouvais me rappeler ces choses [Frère Branham fait claquer ses doigts. - N.D.E.] tout de suite, mais comme je prends de l'âge, je n'arrive pas... Commençons au verset 9, je crois. "C'est pour cela..." C'est Paul, qui parle de Christ aux Colossiens, de Qui Il était.
C'est pour cela que nous aussi, depuis le jour où nous en avons été informés, nous ne cessons de prier Dieu pour vous, et... demander que vous soyez remplis de toute la connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle,
Pour marcher d'une manière digne du Seigneur et lui être entièrement agréables, portant des fruits en toutes sortes de bonnes oeuvres et croissant par la connaissance de Dieu,
Fortifiés à tous égards par sa puissance glorieuse, en sorte que vous soyez toujours et avec joie persévérants et patients.
Rendez grâces au Père, qui nous a rendus capables... capables d'avoir part à l'héritage des saints...
Qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour,
Voilà, on y arrive maintenant. Observez.
En qui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés. Il est à l'image du Dieu invisible...
Vous comprenez? Verset 15, Colossiens 1.15 .
...le premier-né de toute la création.
Amen! Le quoi? "Le premier-né de toute la création." Qu'il s'agisse d'un Ange, qu'il s'agisse de n'importe quoi; Il est le premier-né de toute la création.
Car en lui ont été créées toutes les choses - été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.
Qu'il s'agisse de n'importe quoi; pas d'un aucun autre être! Remarquez: "Et dans... Et il est donc..."
Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui.
Que ce soit Père, Fils, Saint-Esprit, quoi que ce soit, et Il est avant toutes choses.
57 Avant toutes les choses qui sont dans les cieux, sur la terre, les visibles, les invisibles, tout", ce Fils de Dieu était avant toutes choses. N'est-ce pas vrai? Peu m'importe que ce soient des trônes, des dominations, quoi que ce soit; des trônes Célestes, des royaumes, quoi que ce soit dans les glorieuses dimensions surnaturelles de l'au-delà, dans les Eternités, où que c'était; quoi que c'était, des Anges, des dieux, quoi que c'était, "Il est avant toutes choses". Amen! Ne pouvez-vous pas Le voir? "Il était avant toutes choses, et elles ont été créées par Lui. Il..." Maintenant, verset 17.
Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui.
58 Il n'y a rien que Lui qui peut faire marcher cela. Que ce soit Dieu le Père, Dieu le Saint-Esprit, que ce soient des Anges, des dominations, des autorités, des dignités, quoi que ce soit, toutes choses marchent par Lui. "Toutes choses subsistent en Lui."
Il... Il est la tête du corps de l'Eglise; il est le commencement - il est le commencement, le premier-né d'entre les morts (c'est-à-dire qui sont ressuscités quand Il est venu pour racheter), afin d'être en tout le premier.
"Afin d'être le premier", vous savez ce que ça veut dire? Ça veut dire "au-dessus de tout". Il est au-dessus de toutes les choses qui ont été créées, chaque Ange, chaque être, chaque - chaque chose qui existe. Il est au-dessus de toutes choses. De quelle Créature s'agit-il? Qui cela peut-il être? Au-dessus de toutes choses! "En faisant la paix..." Voyons... je... un instant.
Car Dieu a voulu que toute la plénitude habitât en lui;
59 "Toute la plénitude de toutes choses." Toute la plénitude de Dieu, toute la plénitude des Anges, toute la plénitude du temps, toute la plénitude de l'Eternité, tout habite en Lui. Il s'agit de cet Homme.
Il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix.
Voilà cet Etre glorieux dont nous parlons. "Le commencement de la création de Dieu."
Maintenant, maintenant, là, l'Eglise, tout Son dessein, c'était l'Eglise. Comment donc entre-t-on dans cette Eglise? "Par un seul Esprit nous sommes tous baptisés dans un seul Corps", l'Eglise, le Corps de Christ. Ça ne peut pas faillir.
Maintenant, voici comment ça se passe. Regardez bien ça, juste un petit schéma, ici. [Frère Branham montre de nouveau son dessin des trois cercles. - N.D.E.]
60 Maintenant, cet homme extérieur, c'est la chair. C'est ce qu'on regarde, ce qu'on voit. Et ce corps, il a cinq entrées. Et n'importe quel enfant de niveau primaire comme moi-même sait qu'il y a cinq sens qui contrôlent le corps: la vue, le goût, le toucher, l'odorat et l'ouïe. Sans eux, on ne peut pas entrer en contact avec le corps. C'est le seul moyen d'avoir accès au corps: la vue, le goût, le toucher, l'odorat, l'ouïe; on voit, on goûte, on touche. Eh bien, ça, c'est le mauvais, à l'extérieur.
Maintenant, à l'intérieur de ça, il y a un esprit, c'est ce que vous devenez quand vous naissez, ici et le souffle de vie est soufflé en vous. Cet esprit a une nature mondaine, parce qu'il n'a pas été donné par Dieu, mais il a été permis par Dieu.
61 Maintenant, avez-vous compris cela? Car chaque enfant qui naît dans ce monde "est né dans le péché, conçu dans l'iniquité, venu au monde en proférant des mensonges". N'est-ce pas vrai? Donc cette personne, là, à l'intérieur, c'est un pécheur dès le départ. Main, maintenant, il a cinq entrées, et ces cinq entrées...
Je ne sais pas si je pourrai toutes les énumérer d'un trait. D'abord, je sais qu'il y a la pensée, la conscience, et l'amour, le choix... Non. La conscience, l'amour, le raisonnement... Il y a cinq entrées qui donnent accès à l'esprit. Vous ne pouvez pas penser avec votre corps, vous devez penser avec votre esprit. Vous ne pouvez pas avoir une conscience dans votre corps. Il n'a aucune faculté mentale du tout, votre corps n'en a pas; vous devez donc penser avec votre esprit. Vous devez raisonner. Vous ne pouvez pas raisonner avec votre être physique, parce que le raisonnement ne voit pas, ne goûte pas, ne touche pas, ne sens pas et n'entend pas. Le raisonnement, c'est quelque chose que vous pouvez faire dans votre esprit.
62 Si vous êtes endormi ou si vous êtes parti, votre corps est étendu là, mort, mais votre esprit, lui, il peut encore raisonner. Il y a cinq sens qui contrôlent cet homme intérieur.
Maintenant, ce dernier homme, qui est l'âme, il n'y a qu'un seul sens qui le contrôle, et c'est le libre arbitre, le propre gré, de choisir ou de rejeter.
63 Et maintenant la raison pour laquelle aujourd'hui, les gens... Maintenant, n'oubliez pas donc ceci, et vous - vous verrez ce que le Saint-... ce qu'est l'évidence initiale du Saint-Esprit. Voyez?
Eh bien, les gens peuvent vivre dans cet esprit. Ils dansent dans l'esprit. Ils crient dans l'esprit. Ils vont à l'église dans l'esprit. Et ils peuvent absolument avoir l'onction du vrai Esprit de Dieu sur leur esprit, mais néanmoins être perdus et aussi possédés du diable que possible, avec cet esprit-là. Car...
64 Ecoutez. C'est pour ça qu'on ne peut pas dire à cette femme, qui porte des shorts, que c'est mal. On ne peut pas lui dire que de se couper les cheveux, c'est mal. "Voyons, qu'est-ce que les cheveux ont à voir avec ça?" Eh bien, pour Samson, ç'avait quelque chose à voir. Voyez?
"Quiconque ajoutera un seul mot à Ceci ou En retranchera un seul Mot..." Vous devez avoir un absolu quelque part.
Maintenant, par exemple si j'étais un baptiste, et que vous veniez me dire que je dois - que je dois être baptisé au Nom de Jésus-Christ; c'est dans la Bible. Eh bien, la première chose vous savez, je dirais: "Je vais demander à mon pasteur."
65 J'irais voir le pasteur, et il dirait: "Oh, ça, c'était pour une autre époque, voyez. Vous voyez, nous les baptistes, voici ce que nous croyons: nous croyons qu'on doit être immergés dans les titres de 'Père, Fils, Saint-Esprit'. C'est comme ça que toutes les églises l'ont toujours fait. Depuis sa fondation par John Smith, c'est comme ça qu'on fait." Eh bien, si c'est ça votre absolu. "On s'en fiche pas mal, de ce que ce gars-là dit!"
66 Et si vous êtes méthodiste, et que le système, chez vous, c'est d'asperger, et qu'on vous dise que vous devez être immergé? Vous voyez ce que je veux dire? Vous allez voir le pasteur méthodiste, et lui, il va écrire à l'évêque pour lui demander: "Untel a dit telle et telle chose à ce sujet-là." Mais nous, l'Eglise méthodiste, nous avons été fondés il y a trois ou quatre cents ans, en Angleterre, par John Wesley, et Whitefield, et tous les autres là-bas, et Asbury. Et nous avons établi ce document, en suivant John Wesley, selon lequel on doit être aspergé, parce que c'est juste une forme extérieure. Et nous pensons que l'aspersion a tout autant de valeur que l'autre manière." Si vous êtes un vrai... Si c'est l'Eglise méthodiste qui est votre absolu, vous vous limitez là.
67 Si vous êtes catholique... et que je vous dise que ce n'est pas dans la Bible de ne pas manger de viande le vendredi, et toutes ces choses comme ça, et que la Sainte Eucharistie, ce n'est pas une hostie, parce que c'est un Esprit et ainsi de suite, vous allez voir votre curé, et le curé dira: "C'est écrit ici même dans notre document." Si c'est l'Eglise votre absolu, vous vous fichez de ce que n'importe qui dit. C'est votre absolu.
Ô Dieu, fais que ceci entre bien! Pour moi, tout est faux. C'est la Parole de Dieu qui est l'absolu. Tout ce que cette Parole dit, alors c'est ça qui est vrai.
Maintenant, là-haut dans ces sphères, la seule façon pour vous d'être dans ce petit homme intérieur, il faut que vous soyez prédestiné; en effet, vous étiez avec Dieu; vous êtes une partie de Dieu.
68 J'étais dans mon père. J'étais aussi dans mon grand-père, et dans le grand-père de mon grand-père. Sous forme de semence, j'étais dedans.
Et j'étais en Christ. Vous étiez en Christ avant la fondation du monde. Il est venu racheter les Siens, les Siens qui étaient en Lui. Alléluia! Ses enfants, qui étaient en Lui!
II n'est point venu pour - pour sauver les enfants du diable. Eux ne connaîtront jamais ça. Et ils sont si habiles dans leur connaissance intellectuelle que vous ne pourriez jamais rivaliser avec eux. Vous ne pouvez pas mieux parler qu'eux. Mais c'est par la foi que vous voyez cela.
Maintenant, la science n'a pas besoin de foi. La science prouve ce qu'elle déclare. Elle n'a pas besoin de foi.
Le prêtre catholique vous dira: "Regardez depuis combien de temps l'Eglise catholique a été agitée. Regardez depuis combien de temps elle a enduré les persécutions des païens."
L'Eglise méthodiste dira: "Regardez ici. Depuis combien de temps..."
J'ai vu une église... Vous parlez d'une enseigne hypocrite! Hier sur la route en venant, j'ai vu cela. Il était écrit: "Eglise de Christ, fondée en 33 ap. J.-C." Elle n'a même pas encore cent ans, vous voyez, cette dénomination.
69 Oh! la la! La doctrine des apôtres, ils n'ont presque rien. Ce sont les sadducéens d'aujourd'hui; pas d'Esprit, pas de... Et on ne peut pas leur dire quelque chose; on ne peut pas leur parler, on ne peut pas raisonner avec eux; en effet, nous, nous allons au-delà du raisonnement…
"Ne t'appuie pas sur ta propre intelligence." La foi ne raisonne pas du tout. La foi croit cela.
Ils disent: "Eh bien, regardez ici. Pensez-vous qu'il faut qu'on fasse ces choses qu'ils faisaient, autrefois? C'est absurde. Ça..."
Mais la Bible le dit. Je ne peux pas expliquer comment ça arrive, mais ça arrive. Dieu l'a dit. Alors on n'a pas à... Je ne peux rien vous dire là-dessus. La foi ne L'explique pas. Saviez-vous cela? La foi croit simplement cela.
Jésus a dit à Nicodème, du conseil oecuménique de Son temps... Il est venu vers Lui de nuit, il a dit: "Maître, nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu, parce que personne ne pourrait faire les choses que Tu fais, si Dieu n'est pas avec lui."
Il a dit: "En vérité, Je te le dis: 'Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut même pas voir le Royaume de Dieu.'"
Il a dit: "Moi, un vieil homme, entrer dans le sein de ma mère, et naître?"
Il lui a répondu: "Eh bien, comment est-ce que Je pourrais te parler de choses Célestes, si tu ne crois même pas les choses terrestres?" Voyez?
Et puis un jour, Il a dit: "Si vous ne mangez la chair du Fils de l'Homme, et si vous ne buvez Son Sang, vous n'avez point la Vie en vous-mêmes." Il ne l'a pas expliqué.
70 Ces apôtres et les autres de ce jour-là, eux étaient destinés à la Vie; Il savait cela. Il a dit: "Tous ceux que le Père M'a donnés viendront. Tout ce qu'Il avait à faire, c'est de faire connaître Ma Voix; ils La connaissent, car Mes brebis connaissent Ma Voix." Et une voix, c'est une parole exprimée. [Espace vide sur la bande. - N.D.E.] "Ils le croient de toute façon. Ils n'ont pas besoin de prouver quoi que ce soit par la science, ou de demander l'avis d'un sadducéen ou d'un pharisien, ou de quoi que ce soit d'autre à ce sujet. Je l'ai dit, ils le croient. Car Mes brebis entendent Ma Voix."
Et Ça, c'est la Voix de Dieu sous forme écrite, parce que Ça, c'est la révélation entière de Jésus-Christ, l'Ancien et le Nouveau Testament ensemble. Amen. Voilà.
Pourquoi? Vous dites que ce sont de braves gens. Qu'est-ce qui fait qu'ils le sont? A cause d'une chose: leur poteau d'attache, c'est une Eglise. Et ici...
71 Vous vous souvenez, dimanche passé, il y a une semaine... Combien étaient ici et ont entendu ma prédication sur les Oints dans les derniers jours? Je pense vous tous. Voyez, ils sont oints. Leur esprit est oint, dans cette deuxième dimension.
Maintenant, la première femme dit: "Non." Elle, elle se fiche pas mal de ce que dit l'Eglise, ou quelqu'un d'autre. Elle est habile. Elle a été à l'université. Elle pouvait tromper son mari, pensant être maligne en faisant cela.
Cette autre femme, est "nue, aveugle, et elle ne le sait pas". [Frère Branham frappe deux fois sur la chaire. - N.D.E.] Oh! c'est lamentable, mais c'est ça le tableau que la Bible nous dépeint.
72 Or, elle va à l'église. Cette femme, il vaudrait probablement mieux que cette femme soit... Elle mène une vie correcte, pure. Il n'y a rien à redire. Dieu en sera le juge. Moi, je ne sais pas, je ne suis pas le Juge.
Je suis seulement le... responsable de ce qu'Il me montre. C'est ce qu'ont dit les apôtres: "Nous disons ce que nous savons, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu." C'est tout ce dont je suis responsable. C'est tout ce dont vous êtes responsables.
Mais maintenant, vous voyez, si vous prenez cette même femme... Où est-ce qu'elle a abouti, finalement? Voyez? Elle s'est carrément détournée. Elle a entendu; qu'elle a allumé la radio plusieurs fois. La Voix de Dieu a parlé plusieurs fois.
73 Eh bien, maintenant, vous voyez, elle entre dans cette secte, là, ou clan. Toutes les Eglises sont des clans, toutes. C'est tout à fait vrai, ce ne sont que des loges où les gens se rassemblent en tant que membres. Et elle va là; eh bien, ça lui convient parfaitement. Maintenant, si vous vous mettez à lui dire ce qu'elle doit faire, elle ne vous écoutera pas. Si vous le lui montrez dans la Bible, elle n'écoutera pas cela.
Maintenant, mon cher frère ou ma chère soeur, encore juste une ou deux commentaires avant de terminer. Dans un quart d'heure il sera temps de sortir, dans quinze minutes.
74 Maintenant, écoutez, je voudrais vous poser une question. Pourquoi est-ce que cette femme-là ne voit pas cela? Pourquoi? Pour ce qui est de vivre en adultère physiquement, envers son mari, elle n'est pas coupable, elle n'a rien à confesser. Elle est aussi pure que le jour où elle est née, aucun homme ne l'a touchée.
Je suis en train de faire un parallèle, maintenant, entre la femme et l'Eglise. Elle est aussi pure que quand elle est née. Eh bien, l'Eglise est exactement dans cet état-là: comme quand elle est née; seulement elle est née dans le péché, elle a été conçue dans l'iniquité, elle est venue... Vous voyez ce que je veux dire?
75 Eh bien, dites-lui qu'elle a tort de se couper les cheveux, que c'est la Bible qui le dit; qu'elle a tort de porter ces culottes, que c'est la Bible qui le dit; elle vous répondra: "C'est absurde." Pourquoi? Son absolu n'est pas ici dans ce troisième homme, cette âme prédestinée et envoyée de Dieu; mais son absolu, c'est dans une organisation, là-bas, qu'un homme a organisée, en dehors de Ceci. Voyez?
76 Mais si la Parole de Dieu est là dans cette âme, elle dira: "Amen! Je le vois." Elle s'Y conforme.
Maintenant, écoutez ceci. C'est pourquoi l'homme qui est né de l'Esprit de Dieu...
Voyez, ceci, c'est la chair, à l'extérieur. Maintenant, je parle à un auditoire mixte, mais je parle en tant que votre - en tant que votre pasteur, en tant que votre frère. Ça, c'est la chair, elle est faible, C'est sur. Une jeune femme marche dans la rue. Un jeune homme en pleine jeunesse dix-sept, dix-huit, vingt, vingt-cinq, trente ans, passe par-là. Et cette jeune femme vient en tortillant, toutes les formes de son corps, elle marche avec des chaussures à hauts talons, elle est moulée dans sa robe qui fait ressortir le devant et le derrière, et sa robe est à ce niveau au-dessus du genou, ou elle porte une culotte. Savez-vous que la Bible dit qu'elle agirait ainsi? Vous savez, la Bible dit qu'elle agirait comme ça, qu'elle serait corrompue à ce point.
77 Est-ce que vous avez lu, dans le Reader's Digest de ce mois-ci, que les hommes et les femmes d'aujourd'hui - les jeunes filles de vingt à vingt-cinq ans ont leur ménopause; en effet, on passe par le retour d'âge [euphémisme pour parler de la ménopause - N.D.T.] l'âge mûr, selon la science c'est entre vingt et vingt-cinq ans. De mon temps, c'était vers les trente ou trente-cinq ans. Du temps de ma mère, une femme n'avait jamais sa ménopause avant quarante ou quarante-cinq ans.
Qu'est-ce que c'est? C'est à cause de la science, et de la nourriture, des aliments hybrides qui ont perverti le corps humain au point qu'on est devenu qu'un tas de - un amas de corruption. Eh bien, si le corps physique est corrompu, les cellules du cerveau de ce corps ne le sont-elles pas aussi? [Frère Branham donne quatre coups sur la chaire. - N.D.E.]
78 Maintenant, voyez l'esprit suivre cela. Au Nom du Seigneur, il viendra un temps où les gens deviendront complètement fous. La Bible le dit. Ils crieront et ils hurleront, d'énormes choses hideuses dans l'imagination de leur esprit. Ce sont les radios et tout, les programmes de télévision, qui produisent cela. Il apparaîtra des choses sur la terre comme des fourmis de la hauteur de quatorze arbres; il y aura... Un oiseau volera au-dessus de la terre, avec des ailes de quatre ou cinq milles d'envergure [6,4 ou 8 km - N.D.T.]; et les gens en voyant cela, ils crieront, ils hurleront et ils imploreront miséricorde. Mais ce sera un fléau. Attendez que je prêche sur ces fléaux qui s'ouvrent.
79 Regardez ce que Moïse a fait dans le physique, pas l'Esprit, quand Il a dit: "Moïse..." Dieu a dit à Moïse: "Va là-bas," à Son prophète, "ramasse une poignée de poussière, jette-la en l'air et dis: 'AINSI DIT LE SEIGNEUR, il viendra des puces sur la terre.'" Il n'y avait pas de puces. Tout à coup, ils ont commencé à voir quelque chose ramper sur un buisson. Ils ont jeté un coup d'oeil, et en voilà encore. Au bout d'un moment, il y en avait une couche si épaisse qu'on n'arrivait même pas à se frayer un chemin pour traverser cela.
D'où est-ce qu'elles venaient? Dieu est le Créateur. Il peut faire ce qu'Il veut. Il est souverain. Il peut créer un oiseau qui peut étendre les ailes d'un bout à l'autre de la terre.
Il a dit: "Qu'il y ait des mouches qui couvrent toute la face de la terre." Il n'y avait pas une seule mouche dans le pays. Tout à coup, une mouche à viande bleue s'est mise à voler tout autour. Et puis il y en avait huit, dix, douze... Et ensuite, on ne pouvait même plus se frayer un chemin pour les traverser. Dieu, le Créateur, tient Sa Parole.
80 Et il a étendu son bâton, sur l'ordre de Dieu, et il a dit: "Qu'il apparaisse des grenouilles, et qu'elles recouvrent la terre." Et des grenouilles sont apparus au point qu'on en faisait des tas, ça puait partout, peut-être quarante à cinquante pieds de hauteur [10 à 15 m - N.D.T.]. Il y en avait dans le placard de - de Pharaon. Il y en avait dans le... on soulevait le drap, on trouvait cinq cents grenouilles sous le drap, sous le lit, sous les couvertures. Partout où ils allaient, il y avait des grenouilles, des grenouilles, et encore des grenouilles. D'où est-ce qu'elles venaient? [Frère Branham donne quatre coups sur la chaire. - N.D.E.] Dieu, le Créateur, est souverain. Ce qu'Il dit, Il le fait!
81 Et Il a dit qu'on verrait des choses horribles sur la terre. Des sauterelles avec des cheveux comme les femmes, des cheveux longs, pour tourmenter les femmes qui se sont couper les cheveux. Des dents comme celles des lions, et des dards dans la queue comme les scorpions; elles tourmenteront les hommes pendant des mois. Attendez seulement qu'on arrive à l'ouverture de ces fléaux, de ces Sceaux, et de ces Sept Tonnerres, regardez ce qui arrive. Oh, frère, vous feriez mieux d'aller à Goshen pendant qu'il est encore temps d'aller à Goshen. Ne faites pas attention à l'extérieur, ici.
82 Regardez ici. Voilà une jeune fille qui marche dans la rue en se tortillant; voilà un jeune homme, et ça attire son regard. C'est un membre d'Eglise. Il est pentecôtiste. Il est ce qu'il est. Mais bien vite vous constatez qu'il n'a pas de poteau d'attache là à l'intérieur. Elle lui dira: "Salut." Il a les cheveux bouclés, pour ainsi dire c'est un beau jeune homme aux épaules bien droites, peut-être qu'il a essayé de mener une vie droite. Elle s'avance vers lui, ça peut même être un prédicateur. Et bien vite...
Qu'est-ce que c'est? Ça, ici, le désir charnel; et pourtant l'esprit, là à l'intérieur, il est oint, et il dit: "Ne le fais pas, ne le fais pas." Mais qu'est-ce qui va se passer? Ça lui fait tourner la tête, il est pris, et le voilà parti. Ensuite, il cherche à prendre rendez-vous avec elle. Il est coupable d'avoir commis adultère, qu'il la touche ou non.
Mais un vrai fils de Dieu né de nouveau... Amen!
83 Vous ne pouvez pas y arriver tout seul. C'est absolument impossible pour un - un homme digne de ce nom de passer devant une fille comme celle-là sans qu'il se passe quelque chose. Mais quand il y a Quelque Chose à l'intérieur, ce petit Quelque Chose-là, qui est né de nouveau...
Cet homme peut avoir crié, parlé en langues, sauté, dansé, et tout le reste, oint de l'Esprit; il peut avoir accompli tous les signes et les miracles que Dieu a promis là-dedans, par Son Esprit... [Frère Branham donne trois coups sur la chaire. - N.D.E.]
84 Jésus a dit: "Beaucoup viendront à Moi en ce jour-là, et diront: 'Seigneur, n'ai-je pas prophétisé en Ton Nom? N'ai-je pas chassé des démons en Ton Nom? N'ai-je pas...'" Il a dit: "Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l'iniquité." L'iniquité, c'est quoi? C'est quand vous savez ce qu'il faut faire et que vous ne le faites pas. "Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l'iniquité; Je ne vous ai même pas connus."
Mais à l'intérieur de cet homme, si ce petit poteau d'attache était là, cette Semence de Dieu qui a été prédestinée avant la fondation du monde; peu importe ce qui arrive, elle le retient. Elle demeure là.
85 C'est pour ça que cette femme-là porte des culottes. Elle est considérée comme une prostituée, exactement comme celle qui commet l'acte. Voyez? Elle ne sait pas que cet esprit... Comment le sait-elle? Par son absolu.
Qu'est-ce qu'un absolu? C'est le dernier mot. L'absolu, c'est l'amen. C'est la fin de toute contestation - votre absolu.
86 Et si votre église, une Eglise pentecôtiste, vous dit que les cheveux longs et tout ça, c'est du fanatisme, "Vous avez une roue de secours derrière la tête", et ainsi de suite, ce genre de choses, cet homme est possédé du diable.
Car la Parole de Dieu dit qu'il est honteux pour une femme de se couper les cheveux, elle déshonore son chef. Et si elle déshonore son mari, et son mari, c'est l'Eglise, et l'Eglise, c'est Christ... elle est une infâme prostituée religieuse qui est nue, et qui ne le sait pas. Nue! La Bible ne dit-elle pas que le voile de la femme, c'est sa chevelure? Sa chevelure ne lui a-t-elle pas été donnée comme voile?
87 Un jour, là-bas au tribunal du jugement... J'ai essayé de vous faire avaler le remède, et de le retenir avec mes mains, et vous l'avez aussitôt recraché entre les doigts. Un jour, Dieu les jugera. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ce n'était pas un tas de stupidités, ni un vieux fou dans tous ses états. Ce n'est pas ça, car c'est la Parole du Seigneur.
88 Et un vrai, un authentique chrétien, va s'accorder avec cet homme intérieur, cet Esprit qui était là-bas au commencement, qui est la Parole.
Comme Lui était la plénitude de vous tous, vous étiez en Lui là-bas au Calvaire. Il savait d'avance que vous seriez ici. Il a seulement montré ce qui allait se passer. Et vous étiez en Lui; vous êtes morts avec Lui. Vous êtes morts à votre orgueil, vous êtes morts à vos passions, vous êtes morts au monde. Quand Il... Vous êtes morts avec Lui au Calvaire, et vous êtes ressuscités avec Lui quand Il est ressuscité le troisième jour. [Frère Branham donne trois coups sur la chaire. - N.D.E.] Et parce que vous L'avez accepté, vous êtes maintenant assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Alléluia!
89 Vous y êtes. C'est cet homme intérieur. C'est cet intérieur qui ponctue la Parole, qui s'accroche à la Parole, peu importe... C'est plus fort que vous. J'ai appris ça il y a bien des années.
Mon petit bébé était étendu là en train de mourir. Ma femme gisait là, dans une -une - dans une morgue, embaumée et apprêtée. On m'a fait venir, Sharon était en train de mourir. C'est la tentation la plus forte que j'aie jamais eu de ma vie. J'avais à peu près vingt-cinq ans. Je suis allé là-bas, et Billy Paul était à l'article de la mort.
90 Le docteur Sam est venu, et m'a dit: "Bill, je ne crois pas qu'on arrivera à sauver Billy." Il a dit: "Il va très mal." Il a dit: "Bill, ça me fait tellement de peine pour toi." Il a passé les bas autour de moi.
J'ai dit: "Doc, je n'ai plus aucune force."
Au bout de quelques heures, on a appelé au sujet de mon bébé, Sharon, on l'avais amenée là-bas en vitesse... juste la voir faire des spasmes, sans arrêt. On lui a planté une aiguille dans la colonne vertébrale, on a fait une ponction, on a mentionné le symptôme: la méningite tuberculeuse.
Oh, je me suis frayé un chemin jusqu'à l'hôpital, j'ai arrêté mon vieux camion là-bas, je suis descendu, et je me suis mis à aller vers la chambre. Et voilà Sam qui arrive dans le couloir, son chapeau à la main, en train de pleurer. Il a passé son bras autour de moi et il a dit: "Rentre, Bill."
J'ai dit: "Qu'est-ce qu'il y a?"
Il m'a dit: "Tu ne peux pas la voir." Il a dit: "Elle est en train de mourir, Bill."
Et j'ai dit: "Non, Sam! pas mon bébé!"
Il a dit: "Oui." Il a dit: "Ne la réclame même pas, Bill." Il a dit: "Si elle survivait, a-t-il dit, elle serait affligée." Il a dit: "Elle resterait raide, et elle souffrirait toute sa vie." Il a dit: "Elle a la méningite, a-t-il dit, ne t'approche pas d'elle, tu - tu vas tuer Billy, en faisant ça."
J'ai dit: "Sam, il faut que je la voie."
Il a dit: "Tu ne peux pas, Bill. Je te le défends. Eh bien, tu sais combien j'ai de l'estime pour toi, tu es mon copain et tout." Il a dit: "J'ai beaucoup d'estime pour toi, a-t-il dit, et je te crois, Bill, a-t-il dit, mais ne - ne t'approche pas du bébé." Il a dit: "Si tu fais cela... Elle a une méningite." Voyez? Il a dit: "Dans quelques minutes, elle sera partie, a-t-il dit, Nous allons l'enterrer." Il a dit: "Bill, ça me fait tellement de peine pour toi."
Il a appelé - appelé une infirmière pour qu'elle m'apporte un genre de médicament. Il a dit: "Je ne sais pas comment cet homme arrive à tenir encore debout."
Je suis resté là un petit moment. II a amené le médicament. Je me suis assis, dans le couloir. Il a dit: "Assis." Et l'infirmière l'a apporté, elle m'a dit: "Buvez ça, Frère Branham."
Je lui ai dit: "Merci. Mettez cela là un instant."
91 Quand elle est partie, j'ai versé ça dans le crachoir, et j'ai déposé le verre.
J'ai dit: "Oh, Dieu! Qu'ai-je fait? Tu es un Dieu bon. Pourquoi l'as-tu laissée mourir...?... pendant que je tenais ses deux petits bras comme ça?" Te suppliant en sa faveur. Pourquoi l'as-Tu laissée partir? Billy est là, en train de mourir; et la voici elle aussi, en train de mourir. Qu'ai-je fait? Dis-le-moi! Seigneur, je ferais aussi bien de partir avec eux."
J'ai ouvert la porte, il n'y avait pas d'infirmière, là. Je me suis glissé dans le sous-sol. C'était avant que tout soit mis en place à l'hôpital. Des moustiquaires, il n'y avait presque pas de moustiquaires aux fenêtres, et des mouches se posaient sur ses petits yeux. On lui avait mis un petit bout de moustiquaire (nous appelons cela tulle) sur le visage. J'ai chassé les mouches. Elle était étendue là. Elle souffrait tellement que ses petits yeux louchaient.
Alors Satan est venu là tout près de moi, et il m'a dit: "Disons qu'Il est un Dieu bon n'est-ce pas?"
J'ai dit: "Oui, c'est ce que j'ai dit."
"Tu disais qu'Il est un guérisseur, n'est-ce pas? Eh bien, comment expliquer que ton père est mort là dans tes bras, pendant que tu priais, il était un pécheur, et tu réclamais sa vie? Comment expliquer que ton frère est mort dans les bras de l'un de tes frères, là-bas, pendant que tu étais à la chaire en train de prêcher, il y a quelques semaines?" Il m'a dit: "Alors, pourquoi ne t'a-t-Il pas répondu? Tu disais qu'Il t'aime, et qu'Il t'a sauvé."
92 Il ne pouvait pas me dire que Dieu n'existe pas, car je L'avais déjà vu. Mais il me disait qu'Il ne se souciait pas de moi.
Il m'a dit: "Ta femme gît là-bas. Tes enfants vont bientôt y être aussi. Ton papa a été enterré. Ton frère a été enterré. Et ta femme va donc être enterrée, demain. Et voilà encore un des enfants qui est en train de mourir. C'est un Dieu bon, c'est un Guérisseur?" Il m'a dit: "Tu t'es rendu ridicule!"
Qu'est-ce qui se passait? Il agissait donc à partir de l'extérieur, sur ce premier homme.
Il m'a dit: "Maintenant écoute. Tu sais, quand tu étais il y a quelques années, il y a environ deux ou trois ans, avant que tu acceptes Ça, tu étais bien considéré parmi les gens. Tu menais une vie pure et droite. N'importe quelle fille de la ville qui voulait sortir pouvait sortir avec toi, parce qu'avec toi, elles se sentaient propres et décentes."
93 Je pourrais me tenir devant n'importe laquelle d'entre elles. Je n'en ai jamais insulté une seule, je n'ai jamais rien dit. Si même elle faisait le malin, je la ramenais chez eux à la maison. "Et les gens t'appréciaient. Mais qu'est-ce que tu es devenu aujourd'hui? Un fanatique religieux!"
C'est vrai, c'est ce qui était. Vous voyez, ces choses commençaient à travailler ensemble? L'extérieur raisonnait, et l'esprit faisait travailler ces choses ensemble. "C'est vrai, Satan."
- Et alors tu disais qu'Il est Guérisseur, n'est-ce pas?
- Oui. Oui, oui. Oui.
- Et tu suppliais et tu pleurais, et les gens te disaient que tu te trompais, que tu faisais fausse route. Ta propre église t'a mis à la porte, à cause de ceci. Ta propre Eglise baptiste, là-bas, t'a mis à la porte, justement pour la même raison.
- Ouais!
- Ton père a été enterré, ton frère a été enterré, ta femme gît là-bas, prête à être enterrée. Voici ton enfant, dans environ quinze minutes il sera mort. Et Il est un Guérisseur, n'est-ce pas? Ta propre chair et ton propre sang; un seul mot de Sa part sauvera la vie de cet enfant. Tu as dit qu'Il est le Guérisseur. Les gens ont essayé de te parler. Le prédicateur t'a dit que tu étais tout embrouillé, que tu étais complètement fou, que tu étais devenu un fanatique religieux. Et Tu dis qu'Il t'aime. Est-il possible qu'Il t'aime?"
94 "Et combien tu as pleuré pour ton papa! Combien tu as jeûné, soir après soir. Et le jour, il fallait que tu pries, que tu montes sur un poteau, pour travailler. Et Il l'a laissé mourir pécheur, dans tes bras!"
"Et ta femme, quelle brave femme, et tu l'aimais tant!" La mère de Billy, beaucoup d'entre vous, vous souvenez de Hope. "Quelle brave jeune femme elle était! Que vous étiez heureux dans votre petite maison, là-bas, avec des meubles valant environ sept ou huit dollars, ce que vous aviez comme meubles. Mais cependant tu l'aimais, et vous - vous vous aimiez. Et tu es allé prier pour d'autres personnes, et par une sorte d'émotion mentale, ils se levaient, ils marchaient, et ils disaient qu'ils étaient guéris. Mais maintenant ta propre femme... La voilà morte, depuis deux jours maintenant, elle gît là, chez l'entrepreneur de pompes funèbres Scott & Combs. II est un Guérisseur, n'est-ce pas?
"Et ton petit garçon de dix-huit mois, Billy Paul, est à l'article de la mort. Et ta petite fille de huit mois, elle est couchée ici en train de mourir d'une méningite. Tu as prié, et Dieu a tiré les rideaux, II a dit: 'Tais-toi!' Il n'a pas écouté - Il ne veut pas écouter du tout. Il t'a tourné le dos. C'est un Dieu bon, n'est-ce pas? II t'aime, n'est-ce pas? Toutes les filles que tu as fréquentées, tous les garçons qui étaient autrefois tes camarades, tes meilleurs amis, ils t'ont quitté, parce que tu es un fanatique religieux."
95 Tout ce qu'il me disait, était la vérité. Tout ce qu'il disait, c'était parfaitement logique. Voyez, ici? A ce moment-là, j'étais sur le point de dire: "Alors je... Si c'est comme ça qu'Il doit agir, alors je ne Le servirai plus."
Et pendant je me disais ça, Quelque Chose est venu d'ailleurs, du plus profond de l'intérieur, et a dit: "Qui es-tu, pour commencer? Le Seigneur a donné, et le Seigneur a repris."
96 Voyez, c'est cet homme intérieur. Lui, il ne raisonne pas du tout.
J'ai considéré le passé, et je me suis dit: "Comment suis-je venu sur terre? Je suis issu d'une bande d'ivrognes. Comment suis-je venu ici? Qui m'a donné la vie? Qui m'a donné cette femme? Qui m'a donné cet enfant? D'où est venue ma femme? D'où est venue ma vie" J'ai dit: "Même s'Il me tue, j'aurai toujours confiance."
J'ai dit: "Arrière de moi, Satan!"
J'ai posé ma main sur l'enfant. J'ai dit: "Sharon, ma chérie, je vais te déposer dans les bras de ta maman dans quelques minutes, quand les Anges de Dieu viendront t'enlever. Mais un jour papa te reverra. Je ne sais pas comment ça va se passer, ma chérie, je ne peux pas te le dire, alors qu'Il me tourne le dos, Il ne veut même pas m'écouter à ton sujet."
Il a laissé ma femme mourir, pendant que je tenais ses mains, pleurant pour elle. Et mon papa, (dans ses bras) il est mort sur ce bras-ci, juste ici, me regardant, cherchant à reprendre son souffle. Et j'ai prié de toutes mes forces. "Comment pourrais-je encore me tenir devant les gens pour prêcher la guérison divine? Comment pourrais-je prêcher qu'Il est un Dieu bon, alors qu'II a laissé mon propre papa mourir pécheur? Comment pourrais-je prêcher cela? Je ne sais pas, mais je sais qu'Il a raison."
97 La Parole de Dieu ne faillira jamais. Elle vaincra, quoi qu'il arrive. Alors j'ai su qu'il y avait Quelque Chose de plus profond que tous les raisonnements, Quelque Chose de plus profond que toutes les émotions, que toute autre de ce genre. Il y avait un homme intérieur, et lui, il a tenu bon à ce moment-là. Rien d'autre n'aurait pu le faire. Tout raisonnement, tout pouvait être démontré, tout pouvait prouver que c'était faux, que j'étais dans l'erreur. Mais la Parole de Dieu, qui avait été prédestinée avant la fondation du monde, Elle a tenu bon, à l'intérieur.
J'ai senti un petit vent la salle. Son esprit est allé rencontrer Dieu.
98 Frère, soeur, je vais vous dire ceci: C'est là la seule chose. N'essayez pas de raisonner là-dessus. N'essayez pas d'avoir les cheveux longs parce que c'est moi qui l'ai dit. N'essayez pas de faire toutes ces choses juste parce que, dans la chair... N'essayez pas de le faire juste pour être à la hauteur. Mais attendez devant le Seigneur, jusqu'à ce que Quelque Chose, tout au fond, à l'intérieur!
99 Beaucoup pensent puisqu'ils ont des longs cheveux, ça veut dire qu'ils iront au Ciel. Ça ne veut pas dire cela. Beaucoup d'entre elles pensent que si on est une femme de bonne conduite, alors on va...?... Ça ne veut pas dire cela. Beaucoup pensent que, parce que leurs Eglises... ils sont membres de tel ou de tel grand groupe, avec de grands docteurs en théologie... Ça ne veut pas dire cela. Vous voyez?
Beaucoup pensent que, parce qu'ils parlent en langues, ils ont le Saint-Esprit. Ce n'est pas ce que ça veut dire, bien que le Saint-Esprit parle en langues. Mais tant que ce véritable et authentique Saint-Esprit n'est pas là à l'intérieur pour s'accorder avec chaque Parole...
100 Si ce Saint-Esprit en vous, qui vous fait parler en langues, regarde là, et ne s'accorde pas avec le reste de la Parole, alors ce n'est pas le bon esprit. Voyez?
Ça doit venir de l'intérieur, qui est la Parole depuis le commencement. "Au commencement de la création de Dieu", quand Dieu a commencé à créer, à vous amener à l'existence... Vous voyez. Là-bas, vous avez commencé en tant que semence, et vous en êtes arrivés là où vous êtes maintenant. Et alors, vous étiez tous en Christ. Et puis, quand Christ est mort, Il est mort pour vous racheter tous. Et vous êtes une partie de cette Parole. Comment la Bible peut-elle... Tout est "Précepte sur précepte, règle sur règle, un peu ici, un peu là." "Pas un seul iota ne faillira." Comment se peut-il donc que vous qui êtes une partie de cette Parole, vous ne puissiez pas être d'accord avec le reste de la Parole, ou avec une portion de la Parole?
101 Que Dieu vous bénisse. J'ai dépassé l'heure maintenant. Ce n'était pas mon intention de vous retenir si longtemps. Je regrette de vous avoir retenus; je ne regrette pas pour ce que j'ai dit.
Nous sommes tout à la fin de quelque chose, mes amis.
Vous tous ici, je pense, vous êtes tous membres de cette église. Je ne suis pas là en temps voulu pour savoir qui sont membres. Je suppose que vous venez tous ici régulièrement. Permettez-moi de vous dire quelque chose qui est arrivé. Voulez-vous m'accorder disons, six minutes de plus? [L'assemblée dit: "Amen." - N.D.E.]
102 Est-ce là monsieur le révérend ORLAND Walker, de l'Oregon, celui qui était là, le - le dimanche où j'étais ici? Quelqu'un est-il au courant de cette chose très étrange?
Quand je suis arrivé ici, il y avait tellement de gens, je - j'avais... j'avais tout un tas d'interviews, et chacune d'elles en vaut la peine: leurs enfants mariés, des ivrognes et - et différentes choses, des choses qui valaient la peine. Il aurait fallu que je voie chacun d'eux. Je n'arrive pas à faire tout ça. Je vous confie à Dieu, je pose les mains dessus et je prie. Je dis: "Ô Dieu, je - je n'arriverais pas à le faire. Va vers eux, Seigneur. Fais... Toi, Tu sais comment le faire. Je prie pour chacun d'eux."
103 Billy m'a appelé, Et je venais d'arriver avec frère Banks. Il m'a dit: "Papa, tu..."
Ecoutez, des fois je vois des gens qui passent en voiture là, dans la ruelle, ils regardent à l'intérieur, et moi, je les regarde à l'extérieur et je leur fais signe de la main, comme cela, et ils - ils détournent pratiquement la tête. Je ne veux pas que vous fassiez cela.
104 L'autre jour, quand on achetait cette maison pour que j'y habite, là-bas à Tucson, il y avait une maison là-bas que frère Tony voulait m'acheter, et qui coûtait trois ou quatre fois plus cher que celle-ci. Il était même prêt à payer plusieurs milliers de dollars de sa poche. Mais la seule façon d'entrer là, un gardien était posté à l'entrée. Un énorme... eh bien, c'est une annexe, là. Mais... pour voir toute personne qui habite là, il vous faut une autorisation écrite, alors le gardien appelle la personne pour voir si on peut vous laisser entrer.
105 Je lui ai dit: "Tu peux te représenter moi, alors qu'il y a mes frères et soeurs qui viennent me voir, qui veulent me serrer la main et demander à Dieu de me bénir, tu peux te représenter moi, habiter là-bas, Tony?"
Il m'a répondu: "Eh bien, vous avez..."
Je lui ai dit: "Tony, l'église et tous les autres ont demandé aux gens de ne pas venir là, - ai-je dit, "c'est à cause des gens qui veulent que je réponde à toutes leurs préoccupations."
Ils - ils disent: "Eh bien, le Seigneur m'a dit... Alléluia! Je ne partirai pas d'ici. Gloire à Dieu! Le Seigneur m'a dit que vous devez venir tenir des réunions ici, dans notre groupe. Certainement, gloire à Dieu! C'est Dieu qui me l'a dit. Si vous ne le faites pas, Frère Branham, vous êtes rétrograde, ça, c'est sûr. "Et moi, je suis là à l'intérieur essayant d'étudier, voyez. C'est pour ça. Vous voyez? Et bien des braves gens sont empêchés d'entrer, à cause de ça.
106 C'est comme quand un homme va chasser là dans une ferme. Un fermier lui dit: "Allez-y, vous pouvez chasser." Et il va là et abat une de ses vaches; un lapin passe sous la vache, et vous tirez malgré tout sur le lapin. Vous montez sur la clôture, au lieu d'aller jusqu'au poteau et de grimper par-là, comme un homme respectable devrait le faire; vous escaladez la clôture et vous la démolissez, comme cela. Voyez? Alors il dira: "Je vais mettre une interdiction d'entrer!" Je ne - je ne le condamne pas du tout, pas du tout. Mais qu'est-ce qu'il fait? Il empêche le chasseur respectable d'y entrer. C'est toujours comme ça. C'est le mal qui empêche le bien d'avoir le dessus. Toujours.
Mais ces gens sont... il y en a des milliers qui sont vraiment dans le besoin, et de braves gens, des gens pleins d'amour, remplis de la grâce de Dieu.
107 Maintenant nous avons cette maison... ces gens viennent comme cela. On ne veut pas, on ne veut pas de ça, non.
Mais cet homme est arrivé.
Billy m'a dit: "Va, dépêche-toi maintenant très vite, papa." Il a dit: "Mme Waldorf est là avec, quelqu'un qui se meurt; il faut que tu les voies tout de suite." Alors je me suis dépêché de venir ici.
Et à mon retour, on m'a dit: "Ici, il n'y a qu'un seul homme, qui dort là à côté, là, sur un oreiller tous les jours, là à côté du bâtiment." Il a dit: "Il veut que tu pries pour lui."
108 J'ai dit: "D'accord." Il a dit: "Je le ferai entrer." Je suis venu.
Il y avait, je crois, une Cadillac stationnée, là, derrière, une sorte de grosse voiture. Je suis arrivé en voiture... Et cet homme a dit: "Bonjour." Il ne me connaissait pas.
Je suis entré. Et soeur Waldorf, la pauvre, elle est entrée. Vous savez, elle était...
Vous connaissez son cas, n'est-ce pas? Voyez, elle avait le cancer, elle était morte dans la ligne de prière, à peu près une heure avant que j'arrive jusqu'à elle. Son médecin était venu, il avait montré... Il y a environ dix-huit ans, un cancer du coeur, voyez, et elle est en vie aujourd'hui. Maintenant elle habite dans l'Arkansas.
Et à l'époque, elle était à Phoenix. Elle a dit: "Frère Willie, je déteste d'entrer comme ceci mais", elle a dit, "je n'avais pas d'endroit où rester. Je ne voulais pas... ces gens ont dit que cette femme va mourir, Frère Willie."
Elle m'a dit: "J'aurais voulu nous apporter une petite offrande dans ma main Frère Willie," a-t-elle dit, "mais je n'ai pas pu. Mais j'ai mis en conserve de la confiture de mûres."
109 Quand je suis allé là et que j'ai vu ces petits pots de confiture qu'elle avait posés là, je... pour moi, cela me paraissait trop sacré pour en manger. Cette bien-aimée petite femme, d'environ soixante-dix ans. Je lui ai dit: "Soeur Hattie..." Je - je ne pouvais pas refuser. Non. Jésus a vu cette veuve mettre trois cents, et II - Il - Il l'a laissé faire. Voyez? Non. Dieu la récompensera pour ça. Oui.
Et alors le Seigneur a guéri cette femme, Il l'a guérie de tout ce qu'elle avait, Il a révélé à son pasteur ce qu'il, ce qu'elle, qui le préoccupait, ce qu'il devait faire, et autres. Et, oh! ils sont tous sortis en criant.
Alors Billy est entré en courant, et il m'a dit: "Papa, cet homme est parti. Je ne peux pas..."
Je lui ai dit: "C'est qui dans la voiture, là-bas?"
"Oh!" a-t-il dit, c'est un type qui est venu de l'Oregon, il dit qu'il a eu un genre de songe, et je lui ai dit: 'Je ne voudrais pas lui donner un faux espoir. Il y en a ici trois cents qui attendent en e moment.' "Et il a dit... "Et je lui ai dit d'écrire simplement le songe. De toute façon, j'en ai là toute une pile comme ça. Je vais le mettre avec les autres.'"
Je lui ai dit: "Fais-le entrer. Donne-lui cinq minutes."
110 Eh bien, dès que cet homme est entré... cinq minutes. Il m'a dit: "Je suis le révérend Walker," je pense que c'est comme ça qu'il s'appelait, "de l'Oregon." Je pense qu'il appartenait à une certaine dénomination, je ne sais pas, presbytérien, épiscopalien, ou autre chose.
Il m'a dit: "Je vous ai rencontré il y a vingt ans. J'étais descendu à Grants Pass, où..." Ou... ce n'était pas Grants Pass, j'ai plutôt oublié le nom de l'endroit. Là, a-t-il dit: "Toute la région... les gros titres des journaux tous les matins, a-t-il dit, tout le monde était au courant." Il a dit: "Je n'ai même pas pu entrer dans le bâtiment où vous étiez, mais je vous ai vu un jour, monter la rue, je me suis approché." Il a dit: "Il y avait quatre ou cinq hommes autour de vous, et je vous ai serré la main. Et vous... je vous ai dit que j'étais Frère Walker, et vous m'avez dit qui vous êtes." Il a dit: "On a échangé quelques mots, puis les trois ou quatre grands hommes qui étaient avec vous, vous ont fait avancer." Il a dit: "Je n'étais pas de ceux qui vous critiquaient, et je n'étais pas non plus pour vous." Il a dit: "Je ne comprenais pas, c'est tout."
Il m'a dit: "Ç'a continué ainsi pendant quelques années, et après quelque temps," il a dit, "je... un homme m'a dit de venir écouter des bandes, il y a environ trois ans de ça. "Et il a dit: "Cet homme a joué les bandes. Et quand il l'a fait," il a dit, "je l'ai entendu parler." Et il a dit: "Cet homme croit que vous êtes un - un prophète. J'ai dit, j'ai dit à cet homme: 'Je ne m'y connais pas; dans ces choses là. C'est possible à ce que je sache?'"
111 Alors il a dit: "Après ça, un autre homme est venu dans notre ville, il a tenu une réunion, je l'ai rencontré. Et il disait: 'Je suis le prophète de Dieu pour ce jour-ci.'"
Il lui a dit: "De toute façon, vous êtes à combien?' Il a dit: 'Je - je - j'ai entendu qu'un homme ici, qui écoute des bandes, il dit: "William Branham, là-bas dans l'est, est le prophète pour ce jour-ci," et des choses comme cela."
112 Il a dit: "Cet homme..." Je ne vais pas mentionner son nom, parce que ce ne serait pas bien de le faire ici, vous voyez. Il a dit: 'William Branham, je le connais,' il a dit, 'mais sa Doctrine est complètement fausse.' Il a dit: 'Ce n'est pas un pentecôtiste, il ne croit pas à l'évidence initiale.' Et il a dit: 'Autre chose, il dit: "ces prophètes majeurs et prophètes mineurs; cela n'existe pas." Il a dit: 'On est prophète ou on ne l'est pas, c'est tout.'
Il a dit: "'Eh bien, monsieur, je suis... je ne voulais pas discuter avec vous à ce sujet. Je disais seulement que j'ai entendu cet homme dire que cet homme là, William Branham est... et cet homme disait qu'il était prophète.'" Il a dit: "'Je me demandais seulement combien il y en a.'
"Il a dit: 'Mais je veux que vous sachiez ceci: C'est moi qui suis le prophète de cet âge.'"
Alors il lui a répondu: "Vraiment?" Il a dit: "Alors, que le Seigneur vous bénisse et soit avec vous."
Il a continué, sans plus s'en occuper. Et il disait qu'il avait commencé à tenir une série de trois ou quatre réunions parmi ses frères. Et il est allé à la poste, pour dire: "Ne - ne faites pas suivre mon courrier. Laissez ça ici, a-t-il dit, "Je reviens, dans quatre ou cinq jours."
Ils ont dit: "Très bien." Ils ont mis une petite note là, pour dire de ne pas faire suivre le courrier.
Il est parti voir sa fille.
Et sur son chemin, il - il s'est arrêté à une église. Et il a prêché ce soir-là. Le lendemain matin, il disait qu'il lui est arrivé de penser: "Va chercher la poste restante." Et quand il y est allé, il y avait une lettre qui avait quand même été transmise par la poste, et qui était arrivée à sa fille; sa fille l'avait faite arriver là, en poste restante.
113 Et il l'a ouverte. Et il disait qu'elle venait d'un homme, M. Hildebrandt, qui est un de mes amis, et c'était lui qui jouait les bandes. Il a dit que M. Hildebrandt avait appris par Roy Borders (qui est un des organisateurs, vous savez), que j'allais tenir une série de réunions ici, du vingt-huit au premier. Il est revenu pour lui-même.
Il s'est dit: "Eh bien, écoute ceci que ces gars essaient de me tirer dans une telle histoire." Voyez? Et il a tout simplement jeté la lettre à la poubelle et il a continué, vous voyez, comme ça. Il a continué et a tenu sa réunion ce soir-là. Et le matin suivant...
Alors il a mis la main sur son coeur, et il s'est mis à pleurer, juste là dans le bureau.
Il m'a dit: "M. Branham, je sais bien que j'aurai à me tenir devant Dieu." Il a dit: "Je ne sais pas si je dormais ou qu'est-ce qui s'est passé." Il a dit: "J'ai eu un songe. Disons que je dormais et j'ai eu un songe."
Il a dit: "Il m'a semblé voir mon fils, au marché, enfoncer sa main dans un - un sac." Il a dit: "Quand il l'a fait, c'était un sac de pommes, elles se sont toutes renversées." Il a dit: "Quand je me suis approché pour les ramasser, c'étaient toutes des pommes vertes et on avait mordu et arraché une bouchée à chacune." Il a dit: "Je les ramassais, pour les remettre dans le sac." Il a dit: "Il y en a qui avaient roulé, qui étaient descendues en roulant, a-t-il dit, je me suis mis à essayer de les chercher, sous... dans l'herbe." Il a dit: "Elles avaient roulé sous une clôture fermée avec une chaîne. Et une grande autoroute passait par là. Je me suis retourné vers l'est," il a dit, "et la - la - la chaîne était accrochée à une - une grosse pierre là-bas à l'est. Je suis retourné là-bas, je pensais décrocher cette chaîne, aller là ramasser les pommes pour cet homme." Il a dit: "Je me suis mis à décrocher cette chaîne."
Il a dit: "Une voix a fait trembler la terre tout entière." Il a dit: "La terre a tremblé sous mes pieds."
114 Il a dit: "Quand le tremblement a cessé, j'ai entendu une voix." Et il a dit: "Frère Branham, c'était votre voix," a-t-il dit, "je le sais, quelque chose me le disait, a-t-il dit. Cela a dit: "Elle disait: 'Je parcourrai encore une fois ce sentier!'"
Il a dit: "J'ai commencé à lever les yeux vers le rocher, comme ceci, et j'ai regardé plus loin, au-delà des nuages. Et très loin là-haut, sur un rocher qui s'étendait d'est à l'ouest en forme pointu comme cela, comme une pyramide, je suis revenu là en courant vers l'est, a-t-il dit, et vous étiez là sur un cheval, comme je n'en avais jamais vu de ma vie; un grand cheval blanc, avec une longue crinière blanche." Il a dit: "Vous étiez habillé comme un chef indien, avec tout ce que les Indiens utilisent." Il a dit: "Avec un pectoral, des bracelets aux bras, et des choses qui pendaient tout autour, comme ça." Il a dit: "Vous aviez les mains en l'air comme ça." Et il a dit: "Ce cheval se tenait là comme un cheval militaire en caractère comme ceci, il trottait, et moi, je me tenais là immobile." Et, il a dit: "Vous avez tiré sur les rênes, et vous êtes parti vers l'ouest."
Il a dit: "J'ai regardé en bas, et là il y avait un groupe de savants."
115 Et le lendemain matin (C'était le samedi.) c'est le lendemain matin que j'ai prêché sur les savants, vous savez, comme étant du diable. Et il a dit: "Les savants versaient des choses dans des éprouvettes et les mélangeaient." II a dit: "Vous avez arrêté le cheval, vous avez levé les mains et vous avez commencé à crier: 'Je parcourrai une fois de plus ce sentier!'" Et il a dit: "Toute la terre a tremblé. Ces gens ont été secoués." il a dit, "Ils se sont regardés comme cela, et ils ont levé les yeux vers vous. Ils ont tout simplement haussé les épaules, et ils ont continué leurs recherches scientifiques."
116 Il a dit: "Vous êtes reparti vers l'ouest."
"Et à ce moment-là, a-t-il dit, j'ai vu l'homme qui se disait prophète, vous savez," Il a dit: "Il est arrivé, monté sur un cheval noir et blanc." Et il a dit: "Il est monté derrière cet énorme cheval." Il a dit: "C'était, très haut au-delà des nuages, et le chemin n'était pas plus large que ça." Et il a dit: "Ce cheval..." Il a dit: "Le vent faisait souffler les plumes et tout sur - sur votre costume." Puis il a dit: "et la crinière et la queue du cheval flottaient au vent. Un grand maître, un grand cheval blanc trottant juste en ligne..." Et il a dit-il a dit: "Ce type est arrivé derrière vous; il venait de la direction du Canada." Et cet homme habite au Canada. Il a dit: "Il est revenu et il a dit qu'il a pris son petit cheval et il essayait de faire tomber votre grand cheval, de le renverser; il le retournait pour faire frapper sa croupe contre la..." Il a dit: "Il n'a pas du tout bougé le grand cheval; celui-ci continuait de trotter."
Il a dit: "Puis, tout à coup, a-t-il dit, "vous vous êtes retourné." Il a dit: "C'était la troisième fois que vous parliez, mais c'était la deuxième fois que vous disiez: 'Je parcourrai.'" Et il a dit: "Vous ne parliez pas comme avant. Vous donniez un ordre." Il a dit: "Vous vous êtes retourné et vous avez appelé cet homme par son nom, et vous avez dit: 'Va-t-en d'ici! Tu sais qu'aucun homme ne peut chevaucher sur cette route, sans que Dieu ne l'ait ordonné à le faire. Va-t-en d'ici."
Et il a dit: "L'homme a fait demi-tour." Et il a dit: "Cet homme m'a écrit des lettres." Et il a dit: "Sur les hanches de son cheval," ce cheval noir et gris. Il a dit: "Son nom était écrit sur les hanches de son cheval, sa signature, exactement comme sur cette lettre. Et il a chevauché vers le nord."
117 II a dit: "Alors vous avez continué votre chemin; ce grand cheval a fait demi-tour, vous êtes allé aussi loin que vous le pouviez, à l'ouest." Il a dit: "Vous vous êtes tenu là, et vous avez levé les mains comme ceci." Puis il s'est mis à pleurer. Il a dit: "Frère Branham, de voir ce cheval se tenant là, le chapeau indien de cérémonie comme cela..." Et il a dit: "Et ce pectoral et tout qui brillait." Il a dit: "Vous avez gardé les mains en l'air un moment, et, a-t-il dit, vous avez encore regardé cela, vous avez repris les rênes et vous avez dit: 'Je parcourrai une fois de plus ce sentier!'" Il a dit: "La terre entière a été secouée dans tous les sens, comme ça." Et il a dit: "Il n'y avait plus de vie en moi; je me suis affaissé à côté du rocher, puis, je me suis réveillé."
Il a dit: "Qu'est-ce que ça signifie, monsieur?"
J'ai dit: "Je ne sais pas."
118 Le lendemain matin, Junior Jackson, qui avait eu le songe de la pyramide, vous savez, quand je partais vers l'ouest... Rappelez-vous qu'il m'avait appelé, un mois ou deux avant. Il avait eu un songe qu'il brûlait de me raconter. Mais j'ai dit: "Billy..."
Il y a environ vingt là-dehors." Il m'a dit: "Junior Jackson est là, et il a dit qu'il devrait te raconter ce songe."
Je lui ai dit: "Fais-le entrer, cinq minutes."
Il est entré avec sa femme, et a dit que c'est pour qu'elle serve de témoin. Il a dit: "J'ai rêvé, Frère Branham, que j'étais allé faire une balade en voiture avec ma femme." Et il a dit: "J'ai regardé vers l'est, et j'ai vu quelque chose qui ressemblait à un point, comme une de ces soucoupes volantes."
119 Vous voyez, le monde ne sait pas ce que c'est. Vous savez... Vous savez, tout est dans. Nous, nous avons ce que c'est. Voyez? Nous, nous savons que ce sont des Anges qui font l'investigation pour le jugement, vous voyez. Et ils... au Pentagone, tout, concernant la façon dont le service des renseignements détectent cela; ils filent [Frère Branham fait claquer ses doigts. - N.D.E.] comme un éclair, et disparaissent; ils échappent à tout ce que le Pentagone a. Vous voyez, ils ne savent pas ce que c'est. Voyez-vous? Qu'ils pensent ce que le veulent; ils appellent cela des soucoupes volantes, ou n'importe quoi. Ils ne savent pas, voyez.
Il a dit: "Je le voyais venir, et je l'observais. Et en fait: c'était un homme à cheval." Et il a dit: "Il venait à la vitesse d'un l'éclair." Il a dit: "Je voyais qu'il allait atterrir devant moi. Alors j'ai arrêté ma voiture et je suis sorti d'un bond." A ce moment-là, a-t-il dit, la voiture... le cheval se tenait sur la route, un grand cheval militaire blanc, qui caracolait." C'est ça le mot, bien sûr, vous le savait, caracoler.
Il a dit: "Il y avait un homme assis dessus." Il a dit: "Il - il portait un costume de l'Ouest. Ce n'était pas un cow-boy, mais", a-t-il dit, il ressemblait à un commandant de la gendarmerie à cheval, ou quelque chose de ce genre" Voyez? Dans tout son autorité du chef de l'ouest, des Indiens au-dessus des Indiens, gendarmes à cheval au-dessus de... voyez. Et il a dit: "Cet homme avait son chapeau enfoncé sur la tête, et il avait... il regardait de côté." Et il a dit: "Quand il s'est tourné, a-t-il dit, c'était vous, Frère Branham." II a dit: "Vous ne parliez pas comme avant. Vous avez dit: 'Junior!'" Je l'ai appelé trois fois. Il a dit: "Je vais te dire ce qu'il faut faire." Et il a dit: "Alors, vous avez tiré les rênes de ce cheval. Il a fait à peu près trois foulées, et il est monté au ciel, et vous êtes parti vers l'ouest."
Il a dit: "Un instant après, je regardais, et voilà un cheval plus petit est arrivé; de la même race, mais plus petit, et il s'est arrêté là." Il a dit: "Je me suis approché; je me disais: 'Il doit avoir envoyé celui-là pour moi.'" Il a dit: "Je l'ai enfourché." (Junior aussi a fait un peu d'équitation. Il m'a dit: "Vous savez ce que c'est, quand une selle vous va bien, Frère Branham, les étriers et tout." Il a dit: "Je me suis dit: 'Oh! celle-ci me va très bien.' Alors j'ai pris les rênes, et je suis parti vers le ciel." Il a dit: "J'ai tiré sur les rênes pour l'arrêter, je lui ai fait faire demi-tour, et je suis revenu. Voyez?" Il a dit: "Quand je suis revenu, j'ai arrêté le cheval, je suis descendu pour parler avec ma femme. Et le cheval s'en est allé." Et Junior était tout agité.
120 Et puis avant-hier, il y a trois jours, Leo Mercier est venu avec exactement le même songe, sans le savoir; il essayait un fait d'accoupler un grand étalon blanc avec une jument noire, et il n'y arrivait pas; il était nerveux. II m'a dit que je suis arrivé là, j'ai dit: "'Leo,'" et je lui ai dit comment moi, je m'y prenais. Je ne veux pas le répéter ici, voyez, mais je lui ai dit comment je m'y prenais. "Vous avez dit: 'Tu ne vois pas, ne sachant pas ceci: Je ne savais pas qu'Ed Daulton avait un gendre, et que son gendre avait un chien appelé de ce nom. Tu sauras que tu es en train de rêver, Leo. Mais quand tu te réveilleras, souviens-toi de cela!'" Et il a dit: "Je n'avais jamais entendu un tel commandement."
A peu près au même moment, Roy Roberson est venu, il a dit: "Frère Branham, vous vous souvenez de ce temps-là, avant que vous ne quittiez l'église pour la première fois? On était... Je vous avais vu assis, c'était comme en Palestine. On était tous là, le conseil d'administration et tout, assis comme autour de la table du souper du Seigneur, et vous parliez. Et vous... Vous ne saviez pas tellement ce dont vous parliez." Il a dit: "Une nuée blanche est descendue vous prendre, elle vous a emporté."
121 Combien se souviennent du - du songe de Frère Roy? Et il a dit: "Cette nuée blanche vous a emporté," et il a dit, "vous n'étiez plus là. Je parcourais les rues à pieds, en criant et en pleurant."
Quand je suis revenu ici, il était là, avec son bras infirme comme... Il a lâché son râteau et il s'est mis à pleurer, quand il m'a vu arriver. Comme je ne l'avais pas vu avant, il m'a raconté son songe. Et il disait... Il était en train de ratisser. J'ai dit...
"Et - et vous êtes parti." Il disait: "Je parcourais les rues, partout, en essayant de vous retrouver. Je n'arrivais pas à vous retrouver, nulle part. Je criais: 'Oh! Frère Branham, ne partez pas!'" Il a dit: "Une nuée blanche est venue vous prendre, et elle vous a emporté loin de nous, vers l'ouest."
122 C'était avant la pyramide, ou quoi que ce soit. II a dit: "Elle vous a emporté vers l'ouest. Et moi, je pleurais, en parcourant les rues." Après un moment, je suis allé m'asseoir à la table. Et quand j'ai levé les yeux et que j'ai regardé au bout de la table... Il a dit: "Je ne voyais de vous qu'un être blanc comme la neige." Il a dit: "Vous étiez là." Et il a dit: "Vous parliez avec autorité. C'était tout à fait clair." Il a dit: "Chaque homme comprenait exactement ce que vous disiez."
Eh bien, mon frère, ma soeur, chacun de vous en est conscient, je sais ce que ça signifie. Voyez?
Soyez vigilants! Restez attachés à Christ. Laissez-moi en tant que ministre de l'Evangile, vous donner cet avertissement: N'avalez pas n'importe quoi. Ne vous imaginer rien. Ne bougez pas de là, jusqu'à ce que cet intérieur de l'intérieur soit ancré dans la Parole, jusqu'à ce que vous soyez en Christ, parce que c'est la seule chose qui va... Parce que nous vivons dans l'âge le plus séduisant qu'on ait jamais connu. "Ça séduirait même les Elus, si c'était possible", en effet, ils ont de l'onction, ils peuvent tout faire comme les autres.
Mettez vos vies en ordre. Payez vos dettes. Jésus a dit: "Ne devez rien à personne." Non pas... Eh bien, je ne parle pas de loyer pour votre maison et tout, vous ne pouvez pas faire autrement. Déchargez-vous de tout. Mettez tout en ordre. Préparez-vous. Tenez-vous prêts. Souvenez-vous, au Nom du Seigneur, quelque chose est sur le point d'arriver.
Cette semaine, je vais partir dans les collines, ce n'est pas vraiment pour chasser l'écureuil; bien sûr, j'aime bien chasser l'écureuil. Mais la raison pour laquelle j'y vais, c'est pour dire: "Ô Dieu! je ne sais plus de quel côté me tourner, et je ne veux pas rater ceci. Aide-moi!"
Priez pour moi. Allez-vous le faire? Moi, je prierai pour vous. J'espère que, par la grâce de Dieu, je vous rencontrerai tous, et qu'on se retrouvera dans un Pays meilleur que celui-ci.
Pourquoi est-ce qu'on vient ici? Qu'est-ce qu'on fait? Est-ce qu'on vient ici pour jouer? Est-ce qu'on vient ici pour se rassembler comme une loge? [Frère Branham donne trois coups sur la chaire. - N.D.E.] C'est... Christ ne peut pas venir tant que l'Eglise n'est pas parfaitement en ordre. C'est nous qu'Il attend. Je crois que nous sommes à la fin.
Regardez la Californie. Voyez les émeutes. Voyez les dix-neuf meurtres qui ont été commis, des crimes racistes. Ne vous avais-je pas dit ici, il n'y a pas longtemps ici, que ce Martin Luther King allait conduire son peuple au massacre? Combien s'en souviennent? [L'assemblée dit: "Amen." - N.D.E.] Ce ne sont pas ces gens de couleur; ce sont leurs leaders, qui les poussent à la révolte. Ce n'est pas l'intégration, la ségrégation, ou peu importe le nom qu'on veut donner à cela, c'est le diable! C'est vrai. Et pas seulement pour les Blancs, les gens de couleurs; c'est tout le monde. C'est le diable.
Les facultés mentales et le raisonnement humain ce sont dégradés. Il n'y a aucun espoir. Il n'y a pas d'espoir, c'est sans espoir. Tout est pourri. Les facultés mentales des hommes; ils ne savent pas prendre des décisions.
Je ne suis pas un homme politique. Non, ni démocrate, ni républicain. Ils sont tous corrompus. Je suis pour un Royaume, et c'est le Royaume de Jésus-Christ. C'est tout. Mais avez-vous déjà vu une bande de marionnettes comme ceux qu'on a là maintenant, comme cette bande de Texans qu'on a là? Eh bien, ils disent: "C'est selon la volonté du peuple! S'ils veulent le communisme, on leur donnera le communisme. S'ils veulent l'intégration, on leur donnera l'intégration. S'ils veulent la ségrégation, on donnera... quoi que ce soit." Où sont des hommes?
Ô Dieu! C'est comme à la chaire. Où sont des hommes, de vrais hommes, des hommes, ceux qui défendent un principe? Où sont des femmes défendent un principe? Où est l'église qui défend un principe? Je n'ai pas du tout de temps à perdre pour un esprit mou, lâche, qui fait des compromis. Si une femme est femme, qu'elle soit une dame. Si un homme est homme, qu'il soit vraiment un homme.
Si c'est un Président, où sont les John Quincy Adams? Où sont les Abraham Lincoln, des hommes de principe? Où trouver un Patrick Henry, qui disait: "Donnez-moi la liberté, ou la mort"?
Où est l'homme qui prend position pour ce qui est juste? Où est l'homme qui n'a pas peur de parler, peu importe si le monde entier soit contre lui, un homme qui prendra position pour ce qui est juste, défendra cela et qui donnera sa vie pour ça? Où trouver encore un Arnold von Winkelried aujourd'hui? Où trouver des hommes intègres? Où trouver des hommes courageux? Ils sont tellement lâches, tellement mous qu'ils ne connaissent même pas leur position.
Ô Dieu, que je puisse, en tant que prédicateur, défendre les principes d'un seul Homme, la Parole de Jésus-Christ. "Car le ciel et la terre passeront, mais Elle, Elle ne faillira jamais. Sur cette Pierre Je bâtirai Mon Eglise; les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle."
Levons-nous.
Béni soit le lien
Qui unit nos coeurs dans l'amour chrétien,
La communion des âmes soeurs
Est comme celle d'En haut.
Maintenant, tenez-vous par la main.
Quand nous nous séparons
Cela nous cause de la peine
Mais dans nos coeurs, nous sommes toujours unis,
Espérant nous revoir,
Au revoir, au revoir,
Au revoir, aux pieds de Jésus.
Au revoir, au revoir,
Que Dieu soit avec vous
Jusqu'à nous revoir.
Maintenant, inclinons la tête, pendant que frère Neville nous congédie par un mot de prière.
Revenez donc ce soir. Nous prévoyons une glorieuse réunion ce soir, ici au Tabernacle. Que Dieu vous bénisse. Et priez pour moi; je prierai pour vous.
Mes amis, ne pensez pas que je suis un fanatique. Ne pensez pas que j'essaie de vous imposer quelque chose. Je vous aime. J'ai un principe, et c'est la Bible. On ne peut pas En retrancher une seule Parole, ni Y ajouter un seul mot. Je La crois comme Elle est écrite.
Maintenant inclinons la tête, pendant que notre précieux et fidèle pasteur congédie l'assemblée. Que Dieu vous bénisse, Frère Neville.