Questions et Réponses
1 …beaucoup qu’il me faudrait aborder, mais je dois…
J’ai amené ma concordance. Il se peut que je la donne à Léo ici
présent, ou à quelqu’un d’autre qui est assis à côté, qui pourrait
m’aider, s’il le veut bien, au cas où on en arrivait là.
2 Maintenant, si cette dame qui est là, s’il y a… si
elle… où est… Qui est son mari? Oui. Eh bien, si vous voulez que votre
femme vienne s’asseoir à côté de vous, qu’elle – qu’elle le fasse; il
n’y a rien qu’on dit parmi les frères qu’on ne dirait aussi à une sœur.
Seulement, nous… vous savez. Est-ce… Est-ce juste? Maintenant, vous
êtes plus qu’heureux de l’avoir à côté de vous. Est – est-elle au chaud
là, Doc? Bien, c’est très bien. Mais elle est un peu seule.
3 Et il n’y a rien – rien ici… quelquefois, la raison
pour laquelle j’ai mentionné les «hommes», c’est que les hommes peuvent
parfois, entre hommes, poser une question à laquelle on ne pourrait
répondre en présence des femmes. Mais il n’y a rien ici, à quoi on ne
répondrait directement sur place dans un service ordinaire, parce qu’en
grande partie cela concerne les ministres, et ainsi de suite et ce
qu’est leur – leur commission et ce qu’ils doivent faire.
4 Maintenant, je crois que ceci est enregistré. Si…
Je ne suis pas certain. Frère Goad, où est ce… Enregistre-t-on ceci
maintenant? Très bien. La raison pour laquelle nous faisons ceci, c’est
pour savoir, frères, ce qui est primordial, le – le rôle, la… ce qui
préoccupe les gens, ce que – ce qui nous regarde.
5 Nous – nous devons tous parler le même langage. Eh
bien, par exemple, si quelqu’un entre et dit, peut-être qu’il fréquente
l’église de ce frère-ci, (Quel est votre prénom, frère? Willard. Frère…
Eh bien, il y a deux Willard ici, je dois vous en présenter un autre.
Si je… Quel est donc votre nom? Crase.). L’église de frère Crase, et
frère Crase pourrait dire une certaine chose. Si donc quelqu’un vient
de Sellesburg et va à l’église de frère Ruddell, l’église de frère
Ruddell sera différente de celle-là. S’il va à l’église de frère Junie,
elle sera tout à fait différente. S’il vient au Tabernacle, ce sera
encore autre chose. Voyez-vous? Cela plonge les gens dans la confusion.
6 Eh bien, si par exemple quelqu’un dit: «Oh, je ne
crois pas que vous… vous devriez vraiment recevoir le Saint-Esprit. Je
ne pense pas que c’est nécessaire.» Disons, par exemple, que frère
Crase dise cela, et qu’après vous veniez chez frère Ruddell, et qu’il
dise: «Si, c’est essentiel.» Et ensuite vous allez chez Junie, et il
dit: «Bien, cela ne change pas grand-chose.» Voyez-vous? Si nous
pouvions nous rassembler même… Je souhaite que nous amenions tous les
ministres de Jeffersonville (dans cette communauté) à se réunir afin
que nous parlions le même langage.
7 Et c’est souvent là que les diacres et les
administrateurs… Ils doivent connaître leurs attributions. Et je vois
que nous avons ici, ce soir, le trésorier et le concierge de l’église,
ainsi nous allons voir quelles sont leurs attributions. Mais, dans tout
cela, la plupart des questions qu’il y a ici sont simplement des
questions qu’on poserait partout, et partout on y donnerait une
réponse. C’est juste des questions simples, portant entre autres sur
les attributions des administrateurs, les attributions de… Maintenant,
s’il ne s’agit que des attributions réelles, je pense que quelque chose
sur les attributions des administrateurs et ce qu’ils sont censés faire
est affiché juste ici au tableau maintenant. Mais je pensais que
peut-être…
8 Et effectivement, il y en a une là-dessus, et je
pense que c’en est une bonne; j’y répondrai dans un instant, si le
Seigneur veut que nous y arrivions, la voici:
Que devrait faire un diacre dans une situation de
crise? Qu’est-ce qu’il… que doit-il faire quand survient une crise?
Comment doit-il agir? (voyez-vous?) ou bien, que doit faire un
administrateur, que doit faire un pasteur, quelqu’un comme cela, en
situation de crise? Nous connaissons ce qu’ils font d’habitude, mais
que faire quand quelque chose arrive en dehors de ce qu’ils font
d’habitude? (voyez-vous?) que doivent-ils faire dans ce cas?
9 Et nous savons bien par où commencer; c’est comme
dans l’entraînement d’une armée, et nous connaissons chacun son poste.
Maintenant, avec un groupe comme celui-ci, nous pouvons rester ici la
moitié de la nuit, cela nous le savons, mais c’est… je ne pense pas que
ce soit nécessaire. Nous y répondrons. Maintenant, je veux que chacun…
10 Eh bien, il n’y a pas de noms, quelques-unes
portent des noms, mais je – je ne citerai pas les noms des gens. Car
quelle que soit la question, je vais juste la lire. Il n’y en a que
deux là-dedans qui portent des noms. Et, attendez, il se peut que j’en
trouve une autre. Je sais, c’est le vieux Docteur Ingleman. Je lui ai
téléphoné là dans la – la région sud au 4-426, dans la région sud.
C’est alors que ce vieux médecin-là, chez qui nous étions aujourd’hui,
là à Georgetown, a été guéri, ou plutôt a repris connaissance après
être resté longtemps inconscient, et – et le reste. Maintenant, je
pense que celles-ci portent des noms, nous commencerons donc avec les
premières questions, celles que j’ai étudiées en premier lieu.
Maintenant, levons-nous juste une minute, s’il vous
plaît.
11 Notre Père céleste, nous nous sommes réunis ici
comme un groupe d’hommes, des chrétiens qui T’aiment, qui croient en
Toi et qui ont consacré leurs vies et leurs services pour Te servir. Il
y a ici des ministres, des jeunes gens, des hommes d’âge moyen, qui ont
des églises, qui sont responsables devant Dieu. Il y a ici des diacres
qui ont la charge des offices dans ces différentes églises. Il y a des
administrateurs, qui ont des responsabilités; des pasteurs, des
évangélistes, tout le monde, Seigneur, nous sommes responsables devant
Toi. Et c’est pourquoi, nous nous sommes réunis, afin que tous nous
puissions avoir le même langage, comme nous le recommandent les
Écritures. Nous devons tous avoir le même langage.
12 Et, Père, nous pensons qu’il se pourrait que nous
nous rendions compte dans ce genre de groupe que certains de nos frères
ou certains d’entre nous ont de petites différences sur des points, et
certains ont posé des questions pour découvrir réellement la Vérité à
ce propos. Et nous savons que chacun de nous est insuffisant. Si je
demandais à l’un de ces frères de venir ici répondre à ces questions,
il se pourrait qu’il soit autant ou plus compétent que moi pour le
faire. Mais ensemble, nous comptons sur Ta révélation, afin que Tu nous
donnes la révélation par la Parole et par… par Ton Esprit, afin que
cela… afin que nous ayons une réponse à chaque question, afin que nos
cœurs… que nous soyons imprégnés des réponses et que nous nous en
allions avec le sentiment que nous avons été, plus – plus que
maintenant, mieux équipés pour Ton service et pour exercer nos offices.
C’est le but de notre présence ici, Père. Accorde-le, maintenant.
13 Et réponds à nos questions, Père, comme nous nous
attendons à Toi. Qu’il ne reste dans aucun de nos esprits une question
difficile, mais que nous puissions rester sur une telle question
jusqu’à ce qu’on y réponde totalement et que nous soyons, de façon
unanime, satisfaits par l’Esprit à cause de Sa Présence. Nous demandons
cela au Nom de Jésus. Amen.
14 J’aimerais juste lire une écriture pour commencer.
Comme l’a dit Ésaïe, comme l’a dit ce prophète: Ô venez… plaidons, dit
l’Éternel,…
15 Et je pense que la raison pour laquelle nous
sommes ici ce soir, c’est pour essayer de plaider, de tirer les choses
au clair. Et maintenant, j’aimerais commencer… et j’ai écrit certaines
choses ici, selon les numéros et ainsi de suite, que j’ai demandées à
frère Wood… On a pris… J’ai cette enveloppe contenant des réponses. Et
maintenant, je veux que chacun de vous, mes chers frères, sachez que –
que je donne ces réponses au mieux de ma connaissance, au mieux de ma
compréhension.
16 Et ces réponses ne sont pas infaillibles,
voyez-vous; en effet, ce sont les Écritures qui sont infaillibles, et
autant que je sache, elles sont en accord avec les Écritures. J’espère
que c’est clair. Et la bande doit donc être gardée, et quiconque en
aura besoin, eh bien, il pourra l’avoir. Et maintenant, je sais que les
Écritures sont infaillibles, mais mes réponses ne sont pas
infaillibles. Ainsi, je suis sûr que tout le monde comprend cela. Et
puisqu’elles ne sont pas – puisqu’elles ne sont pas infaillibles, vous
avez alors peut-être le droit de me poser des questions n’importe quand.
17 Si c’est la question de quelqu’un d’autre, cela ne
doit nécessairement pas être votre question, mais si c’est la question
de quelqu’un d’autre, peut-être que vous n’y aviez jamais pensé, mais
nous sommes ici pour aider. Nous sommes ici pour – pour nous réunir
parce que nous sommes dans les derniers jours, et ces – ces jours sont
mauvais, et – et nous voulons être entraînés, enseignés.
18 Frère Stricker est un soldat, frère Goad
là-derrière est un soldat; et peut-être que frère Ruddell, ici présent,
était un soldat, frère Beeler et tous les autres qui sont – qui sont
passés par la vie militaire; vous vous réunissiez, vous – vous vous
consultiez, vous vous enquériez de la bataille avant d’y aller et, si
possible, de toutes les tactiques de l’ennemi, afin de l’affronter sur
son terrain.
19 Quand je boxais, on se devait de connaître mon
adversaire: qui c’était, quel genre de coups il donnait, si c’était
l’uppercut ou le direct, de gauche ou de droite, s’il était droitier ou
gaucher, combien il était fort; comment il déplaçait ses pieds, et
comment il regardait, de quel angle il partait, et toutes les
différentes tactiques possibles. Et on découvrait ce que… Les – les
entraîneurs avaient au préalable vu cet homme-là se battre. Ainsi on me
donnait alors là un homme pour m’entraîner exactement d’après le style
de combat de cet homme-là, pour – pour que je sache ce qu’il ferait.
20 Et c’est pour cela que nous sommes ici ce soir.
Nous connaissons les coups de l’ennemi. Nous connaissons ses tactiques.
Et nous sommes ici ce soir pour lui braquer les Écritures afin qu’il ne
puisse pas bouger, parce que l’ennemi vient de tous côtés.
21 Je me disais, en voyant frère Roberson là
derrière, qu’il doit sûrement savoir ce que ça veut dire un soldat. Il
en a bien sûr l’expérience. Combien de soldats y a-t-il ici, voyons
voir, ceux qui ont été des soldats dans l’armée? Regardez un peu, vous
voyez, vous êtes un groupe de soldats. Très bien, maintenant, vous,
vous savez ce que c’est. Et c’est ce que vous avez appris, n’est-ce
pas, Frère Roy, Frère Beeler, et vous, les vétérans, et ainsi de suite.
C’est étudier l’ennemi: «Qu’est-ce qu’il va faire, quelle est sa
tactique?» Vous savez alors comment l’affronter.
22 Et c’est pour cela que nous sommes ici, étudier la
tactique de l’ennemi, et – et savoir comment l’affronter et ce qu’il
faut pour le vaincre.
23 Et souvenez-vous, permettez-moi de le dire,
frères, que cette petite église a commencé à avoir des dons,
voyez-vous, les dons viennent dans l’église. Mais qu’il y ait des dons
ou pas, même s’il n’y a jamais eu un seul don, je vous assure que le
don ne vaincra pas toujours l’ennemi, mais la Parole le fera. La Parole
l’affrontera partout.
24 Et quand Jésus était sur la terre, Il démontra
cela. Son… Il était Dieu manifesté dans la chair. Mais Il n’a jamais
utilisé un seul de Ses merveilleux dons pour vaincre l’ennemi. Nous
trouvons dans Matthieu au… je crois que c’est le deuxième ou le
troisième chapitre de Matthieu, Il dit… Non, c’est le deuxième chapitre
de Matthieu, quand Il affronta l’ennemi, Il l’affronta sur base de la
Parole, disant: «Il est écrit.» Et l’ennemi revint, répliqua en disant:
«Il est écrit.»
25 Et Il dit: «Il est aussi écrit», de cette
façon-là, jusqu’à ce qu’Il vainquit l’ennemi. Et c’est pour cette
raison que nous sommes ici, pour affronter l’ennemi avec le matériel
que Dieu nous a donné à – à cet effet.
26 Maintenant, j’ai environ quatre questions ici, sur
le… c’est sur un – c’est sur un bout de papier, et je les ai
numérotées: une, deux, trois, quatre, cinq, six,… huit, dix, et ainsi
de suite. Et aussitôt que j’aurai terminé ceci, je passerai alors à
celles-là. Il est dit:
107. Frère Branham, si ces
questions sortent de la ligne, n’en tenez donc pas compte, et je ne
verrai rien de mal en cela, car je saurai que ce n’était pas la main du
seigneur. Première question: frère Branham, je vous ai entendu… que
cela devait – devait retourner dans le… je – je – je vous ai entendu
dire que je devais retourner dans le ministère, et j’y ai pensé
moi-même, mais j’ai attendu un message précis de sa part a ce sujet.
Jusqu’à ce jour, cela n’est pas venu. Maintenant, puisque je sais que
la fin est très proche, dois-je encore attendre que le seigneur jésus
me parle ou plutôt, lui plairait-il de vous dire ce qu’il faut me dire,
puisque je sais que vous êtes son porte-parole pour ce jour?
27 Bien, maintenant, frère, je… J’ai écrit ma réponse
à cela ici. Dieu a appelé ce frère, il a un appel dans sa vie;
maintenant, il y a quelque chose d’important que nous pouvons prendre
comme thème et y consacrer la prédication de toute la soirée,
voyez-vous, ce seul point: «Un appel». «Être sûr de son appel et de son
élection», voyez-vous. Nous n’avons pas à nous demander si nous avons
été appelés. Vous devez être appelé, sinon vous serez vaincu, nous
livrons un combat. Voyez-vous? Et si vous êtes vraiment sûr, frère, que
votre appel vient de Dieu, que vous avez été appelé de Dieu pour faire
un travail…
28 Maintenant, il y a là un grand tour que l’ennemi
peut vous jouer. Il peut vous faire penser que vous n’avez pas été
appelé alors que vous avez été appelé; ensuite, il peut se retourner
carrément et vous faire penser que vous n’avez pas été appelé, ou vous
faire penser que vous avez été – que vous avez été appelé alors que
vous ne l’avez pas été et vice versa, dans un sens comme dans l’autre.
Et vous devez donc veiller à cela.
29 Maintenant, voici comment agir. Voyez d’abord…
Bien, maintenant, ceci est un conseil, tout ce que je peux vous dire
là-dessus, c’est un conseil. Voyez-vous? Mais, assurez-vous que votre
appel vient de Dieu, et ensuite, voyez quels sont vos motifs et
objectifs. Voyez-vous? Eh bien, vous comprenez ce que je veux dire par
là. Pour quel motif prêchez-vous? Était-ce simplement… Pensez-vous que
c’est un travail plus facile que celui que vous avez? Dans ce cas, vous
feriez mieux d’oublier cela, ce n’était pas un appel.
30 Un appel de Dieu brûle dans votre cœur au point
que vous ne savez pas vous reposer nuit et jour à cause de cela. Vous
ne pouvez tout simplement pas vous en débarrasser, cela vous tourmente
constamment.
31 Et – et si vous deviez prêcher… Vous dites, bien,
maintenant, un autre objectif: «Je crois qu’avec le travail que j’ai,
si j’étais un évangéliste ou un pasteur prospère, avec un bon salaire
fixe, et avec une maison où j’emménagerais et ainsi de suite, pour y
vivre, alors, je – je crois que ce serait une bonne chose, que cela
serait beaucoup plus facile que ce que je fais maintenant. Et je pense
vraiment que ce serait…» Maintenant, voyez-vous, pour commencer votre
objectif n’est pas juste. Voyez-vous? Ce n’est pas juste. Voyez-vous?
Dans ce cas-là, vous – vous êtes dans l’erreur là-dessus.
32 Ensuite, vous dites: «Bien, peut-être comme je
suis un… je pense, peut-être que je serai plus populaire parmi les
gens.» Voyez-vous, vous vous rendrez compte qu’un grand échec vous
attend. Certainement, voyez-vous?
33 Mais, alors, si votre objectif est celui-ci: «Peu
m’importe si je dois manger du pain sec et boire de l’eau plate, je
prêcherai néanmoins l’Évangile.» Quelque chose remue en vous. «Ou je
prêche l’Évangile, ou je meurs!» Voyez-vous? Alors, vous vous – vous
vous rendrez quelque part, parce que c’est Dieu qui traite avec vous.
Dieu Lui-même Se fait connaître à vous parce que Dieu ne vous laissera
simplement pas tranquille. Et d’habitude, un homme appelé de Dieu
n’aime jamais le faire. Avez-vous déjà pensé à cela? Un homme…
34 Tout récemment, quelques très précieux frères
m’ont demandé cela, disant: «Maintenant que nous nous trouvons sur le
chemin, Frère Branham, maintenant que nous avons trouvé le Seigneur et
avons reçu le Saint-Esprit, devrions-nous chercher des dons pour le
ministère que nous devons exercer?»
35 J’ai dit: «Ne le faites jamais.» Voyez-vous? Ne
conseillez jamais aux gens de faire une telle chose, parce que
d’habitude, celui qui veut le faire, c’est celui qui – qui n’est pas
appelé à le faire.
36 C’est la personne qui essaie de s’éloigner de cela
que Dieu utilise. Voyez-vous? Si elle essaie de s’en défaire, disant:
«Oh! frère, je vous assure, je… j’ai un appel, mais je… Bof, mon vieux,
je n’aimerais pas faire cela.» Bien, vous y êtes. Vous voyez? Ce –
c’est ça essayer de fuir.
37 S’il est – s’il brûle de le faire, vous savez,
premièrement il se montre prétentieux. Il dira par exemple: «Ô Dieu,
donne-moi la puissance pour déplacer des montagnes; je T’assure que je
ferai quelque chose pour Toi si Tu me permets de déplacer des
montagnes.» Non, il ne le fera pas, il ne sait même pas afficher une
attitude correcte, voyez-vous; ainsi, il ne pourra jamais déplacer des
montagnes pour Dieu.
38 Prenez, par exemple, Paul. Pensez-vous que Paul
pouvait se défaire de son appel? Oh! frère, Il ne le pouvait pas. Cela
le tourmentait jour et nuit au point qu’il quitta son église, il quitta
tout, et –et il se rendit en… je crois que c’était en Asie, n’est-ce
pas? Et il y resta trois ans, à étudier les Écritures, pour savoir si
cela était correct ou pas, voyez-vous, pour savoir si Dieu l’avait
réellement appelé.
39 Ainsi, frère, si Dieu vous appelle, et que cela
continue à ronger votre cœur, alors je dirai: «Rejetez tout fardeau et
le péché qui vous enveloppe si facilement.» Vous voyez? Si… Mais si
cela ne vous ronge pas, alors, je – je – je n’y penserais pas tellement
à ce moment-là. Laissez simplement cela se manifester. Maintenant, il a
dit – ce frère a dit ici:
Frère Branham, devrait… Pensez-vous que Dieu
parlera… (me parlera pour le lui dire.)
40 Je crois que Dieu lui parlera directement. Parce
que, vous savez, Dieu… Nous ne sommes pas si important, excepté s’Il
nous parle. Et Il – Il – Il nous parlera, assurément. Voyez-vous, Il…
Il nous parlera.
41 Et je vous assure que s’Il me le disait, le frère
pourrait dire alors: «Eh bien, Il l’a dit à frère Branham, Gloire à
Dieu!»
42 Mais, voyez-vous, ce n’est pas frère Branham qui
vous donne l’appel, c’est le Seigneur Jésus qui vous donne l’appel. Et
si c’est le Seigneur Jésus qui vous donne l’appel, Il parlera.
Voyez-vous? Je pourrais parler à vos oreilles, mais quand Christ vous
appelle au ministère, c’est dans votre cœur. Voyez-vous? C’est là que
la chose doit s’ancrer et vous ne pouvez vous en défaire. Bien, je
crois que dans la seconde question…
43 Maintenant, s’il y a une question là-dessus, une
question à ce sujet, voyez-vous, quand l’appel d’un homme vient de
Dieu, cela doit être dans son cœur. Et – et un autre frère… Oh, je sais
qui a écrit ceci. Voyez-vous, je sais qui l’a écrit; c’est un cher
frère, précieux et aimable, que je crois vraiment être appelé de Dieu.
Mais je… Je ne voudrais pas qu’il le fasse en s’appuyant sur moi (c’est
pourquoi j’ai répondu de cette façon), voyez-vous, en s’appuyant sur le
fait que j’aurais dit: «Eh bien, oui, Frère Untel doit entrer dans le
ministère.» Voyez-vous?
44 Alors, vous direz: «Frère Branham m’a dit que je
devais faire cela.» Voyez-vous, et si quelque chose arrivait peut-être
à frère Branham, que j’étais tué ou que je mourais, ou – ou que je m’en
allais. Alors, voyez-vous, votre appel cesserait d’être à ce moment-là.
Mais si Jésus vous appelle, frère, aussi longtemps qu’il y a une
éternité, cela continuera à résonner. Voyez-vous? Et alors, vous savez
où vous vous tenez.
45 Maintenant quant à la seconde ou à quelque chose
comme: «Sachant que c’est le dernier jour…», j’apprécie vraiment cela
de la part de ce frère. J’apprécie certainement cela de ce frère, qui
comprend que nous sommes dans les derniers jours, et j’apprécie la
sincérité de son cœur, de vouloir faire quelque chose pour Christ.
La question suivante est comme ceci:
108. Maintenant, si notre précieux
seigneur me laissait faire une petite chose pour lui, devrais-je
retourner dans les communautés où j’ai exercé mon ministère étant
partiellement dans la – dans l’erreur (chose que je regrette)… Il a mis
cela entre parenthèse… Et essayer de leur dire la vérité? Je les porte
tellement – je les porte tellement dans mon cœur.
46 Non, frère, je ne pense pas que ce soit nécessaire
que vous retourniez dans la même communauté. Et je crois, cher frère,
que quand le Seigneur vous appelle, Il ne peut jamais vous permettre de
continuer comme par le passé, quand vous étiez dans une communauté; et
peut-être que vous enseigniez des choses ou que vous aviez des choses
qui n’étaient pas… que vous voyez, à vrai dire, différemment
maintenant, voyez-vous, sur lesquelles vous auriez une vision
différente de celle de jadis. Bon, et quand le Seigneur vous a appelé,
Il peut… s’Il rend cela effectif pour vous, Il pourra vous envoyer
n’importe où. Voyez-vous? Vous n’avez pas à aller vers une certaine
communauté ou vers quelque chose de ce genre.
47 Quand vous étiez là-bas, vous étiez sincère. Je
connais le frère, comme je l’ai dit, celui qui a écrit ces questions.
Avec la plus profonde sincérité et en tant qu’un véritable et
authentique chrétien, vous avez fait de votre mieux et au mieux de
votre connaissance, et c’est tout ce que Dieu exige. Voyez-vous?
Maintenant, si Dieu devrait vous appeler à retourner vers cette
communauté-là, j’y retournerai directement. Mais si ce n’était pas le
cas, je – je crois que j’irais simplement où qu’Il m’enverrait. Y
a-t-il une question? Numéro trois:
109. Comment peut-on reconnaître
sa véritable position dans le corps de Christ?
48 En voilà une bonne, une très bonne: «Comment
peut…» C’est le genre de questions que beaucoup d’entre nous, ici ce
soir, se posent: «Comment reconnaître réellement cela?» Maintenant, je
présume que la question que ce frère pose, c’est: «Quelle est ma
position, ma position en Christ, quel rôle je joue en Christ?»
49 Maintenant, par exemple, j’aimerais dire ceci,
frère, pour vous répondre au mieux de ma connaissance. Votre position
est… en Christ vous est révélée par le Saint-Esprit. Et si donc vous
voulez savoir si c’est le Saint-Esprit ou non, voyez si oui ou non Il
bénit ce que vous faites. Et s’Il bénit cela, alors, c’est Lui. S’Il ne
bénit pas…
50 C’est comme me l’a dit quelqu’un, il n’y a pas
longtemps, il a dit: «Le Seigneur m’a appelé à prêcher.» J’ai dit: «Eh
bien, prêchez alors.» Voyez-vous? Et ainsi, il – il…
51 Je pense réellement que c’est si… Si Satan peut
simplement se saisir de quelqu’un et – et le faire agir de telle
manière et ensuite le tromper, c’est tout ce qu’il cherche à faire.
Alors aussitôt, tout le monde pointera cela du doigt. Certains pensent
avoir le don de parler en langues et d’interprétation; d’autres le don
de guérison divine; d’autres des choses comme… Quelquefois, ils sont
dans l’erreur sur ces choses, voyez-vous. Et quelquefois, ils pensent
qu’Ils n’en ont pas, alors qu’ils en ont. Ainsi, c’est très délicat.
52 Ainsi, faites toujours ceci, frères, chaque fois
que vous sentez que vous devez faire quelque chose, voyez d’abord si
c’est scripturaire que vous, vous le fassiez (si cela se trouve dans
les Écritures). Pas simplement écrit à un seul endroit, mais je veux
dire, absolument scripturaire d’un bout à l’autre de la Bible, que vous
le fassiez, de par votre position, disons que vous soyez un
évangéliste, un pasteur, un docteur, un prophète, ou tout ce à quoi
Dieu pourrait vous avoir appelé. Voyez-vous? Ou bien, si vous avez le
don des langues, le don d’interprétation, n’importe – n’importe lequel
des neuf dons spirituels dans l’église, et des quatre offices
spirituels de l’église; pour n’importe quelle position, voyez d’abord
si Dieu vous a appelé.
53 Ensuite, la manière dont moi, j’observe d’habitude
la chose, juste… ça, c’est moi; j’observe la nature de la personne et
je considère le genre de don qu’elle prétend avoir. Voyez-vous, Dieu
utilise Sa créature selon la nature qu’Il lui a donnée. Voyez-vous? Il
fera qu’une créature…
54 Si vous voyez qu’il est vraiment frivole et qu’il
se conduit mal, vous… et qu’il dise: «Le Seigneur m’a appelé pour telle
chose, à être pasteur.» Or, un pasteur ne peut pas être une personne
frivole. Un pasteur est digne de confiance, il est honorable.
Voyez-vous?
55 «Dieu m’a appelé à être docteur.» Et, voyez
comment il interprète la Parole. Voyez-vous? S’il L’embrouille
complètement et tout le reste, alors vous êtes fixé. Voyez-vous?
56 Et alors, ce qu’il faut faire… généralement on
connaît votre position selon que vous pouvez faire la chose ou pas.
57 Eh bien, quand Dieu m’a appelé à être un
évangéliste, je voulais être un pasteur. Et je pensais que rester ici à
la maison serait vraiment une bonne chose. Alors, le Seigneur m’a
appelé. Et finalement, tout le monde s’est rassemblé. Il n’y en a aucun
ici ce soir encore en vie, ils pleurèrent et s’en allèrent au n° 1717
de la rue Spring. Et une dame, madame Hawkins d’ici, me rencontra et
dit (elle pleurait; c’était pendant la crise, quand quelqu’un dans le
voisinage préparait un plat de haricots et que nous venions tous pour
en manger), et elle dit: «Je rationnerais mes enfants à table si
seulement vous construisiez un tabernacle.» Voyez-vous?
58 Mais, j’ai été appelé à être un évangéliste. Le
matin… Cela se trouve juste ici dans cette pierre angulaire; si on
pouvait y accéder ce soir, vous liriez sur une feuille de garde
arrachée de ma Bible, là où c’est écrit qu’Il m’a dit d’être un
évangéliste. Voyez-vous? Et je n’étais pas un pasteur prospère, je ne
le serai jamais, parce que je n’ai pas la patience et ce qu’il faut
pour être un pasteur. Voyez-vous? C’est pourquoi, si j’avais essayé
d’être pasteur, je me serais trompé autant qu’un pasteur qui essayerait
d’être un évangéliste.
59 Voyez-vous ce que je veux dire? Vous pouvez voir,
par la façon dont le Seigneur vous appelle, ce qu’est votre position
dans le Corps. Y a-t-il une question?
110. Tous ceux qui sont remplis du
saint-esprit parleront-ils en langues tôt ou tard?
60 C’est la première question: «Est-ce que tous ceux…
Saint-Esprit…» Donc, tout cela est contenu dans une seule question;
j’ai donné à cette question le numéro quatre. Mais je – je dirai
d’abord ceci, voyez-vous:
Tous ceux qui sont remplis du Saint-Esprit
parleront-ils en langues tôt ou tard? J’ai lu là où Paul dit qu’il
parlait en langues plus qu’eux tous.
Très bien, question n°4: tout le monde parle-t-il en
langues quand il reçoit le… Ou plutôt, non, il est dit: tout le monde
parle-t-il en langues… Non… Tous ceux qui sont remplis du Saint-Esprit
parleront-ils en langues tôt ou tard?
61 Maintenant, frère, je… Ceci est une question
profonde. Maintenant, là, probablement que vous… J’aurai probablement
une réponse à cela.
62 Le Saint-Esprit, la justification est une étape du
Saint-Esprit. C’est quand d’abord vous… Dieu doit vous appeler ou alors
vous ne serez jamais appelé. Voyez-vous, vous ne pouvez rien faire de
vous-même. «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire
premièrement.» Est-ce juste? Ainsi, l’étape de la justification est le
Saint-Esprit.
63 Vous m’avez entendu expliquer cela à ce doyen
luthérien l’autre jour en parlant du champ de maïs? Voyez-vous? «Le
maïs… Un homme sortit et sema deux… sema le maïs dans son champ. Le
matin suivant, il sortit et il n’y avait rien. Après un certain temps,
il remarqua que deux petites feuilles avaient poussé et il dit: «Gloire
à Dieu pour mon champ de maïs!» Et je dis: «Avait-il un champ de maïs?»
Et le doyen luthérien dit: «Potentiellement.»
64 Je dis: «C’est vrai, potentiellement il l’avait.»
Et je dis: «Ra-…», je dis: «C’était vous, les luthériens.»
65 «Plus tard, les pousses crûrent et une aigrette
sortit. C’était les méthodistes. La seconde étape du maïs est une
aigrette.» (Je pense que c’est juste, vous, frères agriculteurs.) «Et
alors, l’aigrette regarda en arrière, à la feuille et dit: ‘Ouf! Je
suis une aigrette, toi tu n’es qu’une feuille! Voyez-vous? Je n’ai plus
besoin de toi.’ Et alors l’aigrette… Le pollen tombe de l’aigrette et
retombe sur la feuille; il faut qu’il y ait la feuille.»
66 Et ensuite, à partir de celle-ci pousse l’épi.
C’était la Pentecôte, la restauration des dons comme il en était au
commencement, le retour à l’original. Alors, une fois sorti, l’épi dit:
«Je n’ai pas besoin de toi aigrette, je n’ai pas non plus besoin de toi
feuille.»
67 Mais, en fin de compte, la même vie qui était dans
la – la feuille de maïs a formé l’aigrette. Et ce qui était dans la
feuille et dans l’aigrette a formé le grain. Ainsi, qu’est-ce que le
parler en langues du Saint-Esprit? C’est la justification à un stade
plus avancé. Voyez-vous? Qu’est-ce que l’Église pentecôtiste? C’est
l’Église luthérienne à un stade plus avancé. Voyez-vous?
68 Mais maintenant, à l’étape suivante, on devrait se
poser cette question: «Dois-je alors simplement rester sur place?» Non!
Non! Le maïs est arrivé à maturité. Voyez-vous? Commencez avec le
grain. Commencez avec la – la Parole, le grain. Elle produira la
justification. Et restez dans la justification jusqu’à ce qu’Elle
produise la sanctification. Restez dans la sanctification jusqu’à ce
que vous receviez le Saint-Esprit.
69 Maintenant, quand vous recevez le Saint-Esprit,
que fera-t-Il? Qu’est-ce… On a encore une question, n’est-ce pas? Très
bien.
111. Qu’est-ce que le parler en
langues?
70 Le parler en langues n’est rien d’autre que le
baptême du Saint-Esprit qui vous a justifié et sanctifié. On est
tellement rempli! Maintenant, j’ai voulu… Je désirais tomber sur cette
question. Dieu sait que j’ignorais que cet homme allait poser – y
répondre… plutôt la poser.
71 Maintenant, est-ce trop… S’il fait trop chaud ici,
ouvrez cette porte, si vous avez sommeil ou quelque chose comme ça.
J’aimerais que vous reteniez fermement ceci. En effet, il – il fait
réellement un peu chaud, ça peut vous amener à avoir sommeil.
72 Maintenant, remarquez, remarquez ceci: la
justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit.
73 Maintenant, écoutez, c’est ceci. Laissez-moi
illustrer cela. Maintenant, je suis là, je suis un pécheur, je marche
dans cette direction. A un moment donné, quelque temps après, Quelque
chose me parle. Et rien ne peut me faire changer de direction si ce
n’est Dieu. Est-ce juste? J’ai pris cette direction. Maintenant,
lorsque j’ai tourné dans l’autre sens, c’était ma justification. Est-ce
juste? Maintenant, mon objectif dans ma marche, c’est la ressemblance,
voyez-vous, la ressemblance avec Christ.
74 Maintenant, je désire atteindre ce niveau où je me
sentirais dans une bonne atmosphère. Voyez-vous, je suis justifié.
Alors, j’arrive à cette étape où je peux Lui parler, parce que… J’ai
encore honte de moi-même. Je fume encore, je mens encore et je fais
encore de petites choses sournoises que je ne devrais pas faire, et
j’ai tout le temps des hauts et des bas, des hauts et des bas, mais je
veux qu’Il me purifie de toutes ces choses pour que je puisse
réellement m’approcher de Lui et Lui parler. Voyez-vous? Très bien, la
voici, c’est la sancti-… l’étape de la sanctification. Maintenant,
qu’est-ce que cela a fait? Cela m’a redressé. Voyez-vous?
75 Maintenant, je continue jusqu’au Saint-Esprit.
Voyez-vous? Et quand j’arrive ici, je suis dans le Saint-Esprit par un
baptême. Est-ce juste? Que fait le Saint-Esprit? Il me donne la
puissance, la puissance pour être un prédicateur, la puissance pour
être un chanteur, la puissance pour parler en langues, la puissance
pour interpréter les langues. C’est beaucoup de puissance, car le
Saint-Esprit est la puissance de Dieu. Et c’est la puissance de Dieu
qui m’a fait changer de direction. C’est la puissance de Dieu qui m’a
sanctifié. C’est donc la puissance de Dieu qui m’a rempli.
76 Bien, à une certaine occasion, je me tiens ici et
j’essaie de dire quelque chose, et la puissance de Dieu vient sur moi
d’une façon si glorieuse que je ne peux même plus parler. Voyez-vous?
Et je commence à balbutier. Par exemple, si je voulais dire: «Frères»,
je prononce…
77 C’est comme ceci, tenez, je vais illustrer cela de
cette façon-ci. Je vais vous parler, frères, afin que vous compreniez
très bien cela. «Comment – comment – comment allez-vous, frère?»
«Voyez-vous, je suis toujours coupable. Euh, je – je suis sans doute
content, de – d’être quand même l’un de vous. Je – je –je suis très
content.» Vous voyez? Très bien. Eh bien, qu’arrive-t-il quelque temps
après? Je sais que vous m’observez bien et je sais que je fais encore
de vilaines choses, que je fais encore des choses dégoûtantes de ce
monde.
78 Après un moment, je suis nettoyé. Maintenant,
quelque chose s’est passé, je suis sanctifié. Je peux vous regarder
droit en face, je suis l’un de vous. Voyez-vous? Très bien. «Frère,
gloire à Dieu! Je suis content d’être dans ce groupe de gens remplis du
Saint-Esprit. Je suis content d’être parmi vous, frères saints.»
Pourquoi? On ne peut pas me pointer du doigt, je suis nettoyé. Et
maintenant, Dieu va me mettre en service. Eh bien, oui, monsieur!
79 «Frère Branham, avez-vous été justifié?»
80 «Oui! Je me souviens du moment où je pouvais à
peine vous regarder. Frère, je peux maintenant vous regarder en face.»
81 Voyez-vous, nous y sommes. Maintenant, quelle est
cette autre chose? Maintenant, je vais… Ça c’est “nettoyé et mis à part
pour le service”, et ça c’est “entrer en service”. Maintenant, nous
savons tous que le mot sanctifier est un mot grec, un mot grec composé
signifiant «nettoyé et mis à part pour le service». Les vases étaient
nettoyés à l’autel, et sanctifiés par l’autel et mis à part pour le
service. Mais être en service, c’est être rempli et mis en service.
82 Ensuite, je passe ici et j’entre alors en service.
Maintenant, c’est Dieu qui m’a fait changer de direction, disant:
«Écoute-Moi! Écoute-Moi! Écoute-Moi!» Et Il a dit…
83 Saisissez-vous ce que je veux dire? Voyez? Et ici,
[Frère Branham illustre le parler en langues. – N.D.É.] Voyez-vous,
ici, vous êtes tellement rempli que vous… C’est cela. Vous y êtes,
c’est le parler en langues.
84 Et maintenant, voici ce que je crois: Je ne crois
pas que le parler en langues est une évidence du Saint-Esprit. Non, car
j’ai vu des sorcières, des sorciers, des charmeurs de serpents, des
démons et tout le reste, parler en langues. Et quand vous parlez en
langues, cela n’est pas une preuve infaillible de Dieu que vous avez le
Saint-Esprit. Mais, souvenez-vous, le Saint-Esprit parle effectivement
en langues et le diable peut imiter cela.
85 La – l’évidence que vous avez le Saint-Esprit,
c’est la vie que vous menez, voyez-vous, «vous les reconnaîtrez à leurs
fruits». Et le fruit du Saint-Esprit ce n’est pas (cela ne se trouve
nulle part dans les Écritures) le parler en langues. Le fruit de
l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la foi, la longanimité, la bénignité,
la douceur, la bonté, la patience. Voyez-vous, eh bien, ce sont là les
fruits. C’est ce que vous voyez sur l’arbre qui révèle la nature de
l’arbre. Voyez-vous? C’est ce que…
86 Les hommes vous regardent, vous prédicateurs, vous
diacres, vous administrateurs, ainsi que vous évangélistes. Vous
pourriez parler en langues toute la journée ici dans cette rue, ils ne
vous croiront jamais. Mais vivez ce que vous dites, montrez de la
douceur, ôtez de vous toutes les racines d’amertume, alors les hommes
se rendront compte qu’il y a quelque chose.
87 «Parler en langues.» Eh bien, je crois réellement
que l’un ou l’autre jour, une personne remplie du Saint-Esprit, qui
reste sous l’autel de Dieu parlera en langues. Mais j’en ai vu beaucoup
parler en langues sans connaître absolument rien de Dieu. Voyez-vous?
Ils ne connaissaient rien du tout de Lui, et pourtant ils parlaient en
langues. On peut imiter tous ces dons. Voyez-vous?
88 Mais le fruit de l’Esprit prouve que l’Esprit est
en vous; vous portez le témoignage de la Vie de Jésus-Christ. En effet,
si la sève du pêcher est dans un pommier, ce dernier produira des
pêches, aussi sûr que le monde existe. C’est vrai. Voyez-vous, parce
que sa vie est à l’intérieur.
89 Eh bien, il en est de même pour ceci. Mais alors,
afin que je puisse vous le faire comprendre à vous tous, et que nous
sachions tous la même chose… Je crois qu’une personne remplie du
Saint-Esprit, qui… Bon, elle entre en Christ par un baptême et juste…
ce n’est pas… Le parler en langues n’est pas l’évidence du baptême.
Voyez-vous?
90 Le baptême… Vous pouvez être baptisé de la
puissance du diable et parler en langues par un baptême de l’esprit
séducteur du diable. Combien de fois n’avons-nous pas vu cela se faire!
Combien de fois n’ai-je pas vu cela se faire!
91 Je sais aussi que des gens boivent du sang dans un
crâne humain tout en parlant en langues.
92 J’ai vu des danseurs aux serpents dans le désert
enrouler ce gros serpent autour d’eux et s’avancer en parlant. Le
sorcier se présentait comme cela, puis parlait en langues et en donnait
l’interprétation.
93 J’ai été dans un camp des sorciers où on posait un
crayon comme cela et on déposait un cahier comme ceci, et le crayon
montait et descendait le tuyau de poêle rapidement, et jouait «Shave
and a haircut, two bits», et écrivait en langues inconnues; et le
sorcier interprétait cela et disait exactement ce qu’il en était. Je –
j’en sais quelque chose, moi. Voyez-vous? Ainsi, je… Voyez-vous, vous
ne pouvez pas…
94 Paul a dit: «Les langues cesseront. Les prophéties
prendront fin. Tous ces dons disparaîtront bientôt.» (Nous avons reçu
cette question un peu en retard.) «Mais quand ce qui est parfait sera
venu, ce qui est partiel disparaîtra.» Voyez-vous? Ainsi, nous voulons
ce qui est parfait, frères. Voyez-vous? Nous avons eu trop de choses
fausses et nous en avons donné une fausse interprétation.
95 En vous tenant devant quelqu’un, ne pensez jamais
qu’il a le Saint-Esprit parce qu’il parle en langues. Voyez-vous? Mais
croyez qu’il a le Saint-Esprit à cause des fruits qu’il porte, car
Jésus a dit: «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.»
Voyez-vous? C’est vrai: «C’est à leurs fruits.»
96 Bien, mais maintenant, je ne vais pas m’éloigner
de cela, parce que je ne veux pas déconsidérer ce grand don que Dieu a
donné. Voyez-vous? Et je crois qu’un homme ou une femme, ou un enfant
rempli du Saint-Esprit, qui vit sous l’autel de Dieu, n’y restera pas
longtemps sans parler en langues. Voyez-vous? Je crois qu’il (ou elle)
le fera.
97 Maintenant, vous pouvez avoir reçu le Saint-Esprit
sans que vous ayez peut-être parlé en langues quand vous L’avez reçu.
Voyez-vous? Mais si vous restez là constamment, tout le temps, dans la
Présence de Dieu, recevant sur vous baptême après baptême, quelque
chose se passera, voyez-vous? Un jour, vous serez tellement rempli que
vous ne pourrez plus rien dire d’autre, voyez-vous; vous – vous – vous
essayerez de dire quelque chose, et vous ne pourrez plus le faire, et
vous n’y arriverez simplement pas. Et bien des fois, si les gens se
rendaient compte que c’était le Saint-Esprit, ils iraient de l’avant et
ouvriraient simplement leur cœur pour laisser Dieu leur parler.
98 La Bible dit: «C’est par des hommes aux lèvres
balbutiantes et au langage barbare que Je parlerai à ce peuple.» Ésaïe
28, voyez-vous, 28.18. «Eh bien, c’est par des hommes aux lèvres
balbutiantes, et au langage barbare que Je parlerai.»
99 Qu’est-ce qu’un «balbutiement»? C’est quand
quelqu’un qui ne peut pas parler distinctement fait [Frère Branham
imite quelqu’un qui balbutie. – N.D.É.] Simplement vous… Vous
balbutiez, vous essayez simplement. Voyez-vous, vous êtes tellement
rempli de l’Esprit! Il essaie de dire… C’est comme si je disais: «Frère
Ja – Jack– … Ja-… Frère Jack– … Frère Ja – Ja – Jack – Jack – Jackson.»
Voyez-vous, c’est comme cela, vous essayez de dire quelque chose, vous
n’y arrivez pas. Voyez-vous? Vous êtes tellement rempli de l’Esprit!
Cela…
100 Je veux vous poser une question, frères:
Avez-vous déjà senti le Saint-Esprit vous secouer au point où vous
n’arrivez plus à parler, vous restez simplement calme pendant un
moment, vous restez simplement assis là, à pleurer? Cela vous est-il
déjà arrivé? Eh bien, c’est le Saint-Esprit. Si vous… Souvent, la
raison pour laquelle les gens ne parlent pas en langues, c’est parce
qu’ils ne savent pas comment s’abandonner à l’Esprit et ils attendent
quelque chose de lointain, alors que Cela est juste sur eux.
Voyez-vous? C’est pourquoi, ils ne…
101 Et alors, des gens se laissent emballer par des
émotions et prononcent un flot de mots dénués de sens; alors qu’ils
n’ont pas le Saint-Esprit, ils essaient de dire qu’ils L’ont parce
qu’ils ont parlé en langues. «C’est à leurs fruits que vous les
reconnaîtrez.» Voyez-vous?
102 Maintenant, y a-t-il une question? [Frère Junior
Jackson dit: «Frère Branham!» – N.D.É.] Oui, frère. [«Je suis content
que cette question ait été posée, parce que sans aucun doute, quelqu’un
se demandait si peut-être ce que je croyais et enseignais était faux.
Mais je crois la chose exactement telle que vous l’avez enseignée.»]
Merci, Frère Jackson. [«Peu importe combien de fois je pourrais parler
en langues, ou quoi que ce soit d’autre, si ma vie ne rend pas
témoignage de ce que la Bible dit, alors je ne vaux pas plus qu’un
chien méchant se promenant dans les rues.»] C’est vrai! [«Et je n’ai
parlé en langues inconnues que six mois après avoir reçu mon baptême.»]
C’est presqu’ainsi que cela m’est aussi arrivé, Frère Jackson.
103 J’ai reçu le baptême du Saint-Esprit là dans ma
cabane, voyez-vous. Et environ une ou deux années plus tard, ou quelque
chose comme cela, j’étais – j’étais… J’ai parlé en langues.
104 Et une ou deux années plus tard, je prêchais
encore dans une église, et j’étais – j’étais debout sur l’estrade comme
ceci, et je… Quand j’étais jeune et pas aussi raide et âgé que
maintenant, je pouvais me déplacer un peu mieux et j’étais très mobile
quand je prêchais. Pendant que j’étais là en train de prêcher, j’ai
sauté par dessus la chaire. C’était dans une église baptiste, l’église
baptiste de Milltown, et je me suis engagé directement dans l’allée,
prêchant de toutes mes forces comme cela. Et juste au moment où
j’arrêtais de prêcher, Quelque Chose me saisit et me transporta
totalement, je dis plusieurs mots, quatre, cinq, ou six mots, en
langues inconnues. Et avant que je sache ce que je faisais, je me suis
entendu crier: «Rocher dans un lieu desséché, Abri pendant la tempête.»
Voyez-vous?
105 Et alors, un jour je descendais la voie ferrée,
je marchais le long de la voie ferrée, du côté de Scottsburg, je
descendais la voie ferrée, patrouillant. Le vent soufflait fort, oh, la
la! et la voie ferrée était toute couverte de glace, et je suis passé
de l’autre côté pour pouvoir parcourir mes 45,3 km; dans l’autre sens
c’était 90,6 km, c’était en quelque sorte parallèle à la voie. Et je
descendais la voie ferrée, quand tout à coup… Je longeais cela en
chantant. Je chantais toujours. Il y avait plusieurs endroits où
j’allais prier. Et je longeais cela en chantant quand, tout à coup, je
me rendis compte que je parlais en langues, voyez-vous, je ne savais
pas ce que je faisais.
106 Le parler en langues vient avec une telle
excitation que les gens savent à peine ce qu’ils font. Ils sont… Ils ne
savent pas ce qu’ils disent. Et c’est pareil pour l’interprétation. Ils
ne savent pas ce qu’ils vont dire. Ils n’ont aucune idée de ce qu’ils
vont dire, parce que c’est surnaturel. Voyez-vous, aussi longtemps que
vous y mettez du naturel, alors vous ne… vous – vous – vous êtes
naturel, vous voyez. Mais quand quelque chose se saisit de vous,
s’empare de vous, vous faites cela. Voyez-vous? [Frère Neville dit:
«Frère Branham, puis-je dire quelque chose juste là-dessus?» – N.D.É.]
107 Bien sûr que oui, Frère Neville. [«Eh bien, en
disant cela de cette façon, vous ne voulez néanmoins pas dire, que –
que les langues devraient être ordonnées dans une réunion quand la
personne ne peut pas les contrôler? Car il est… un homme qui a un don
est censé en avoir le contrôle.»] Il peut se contrôler. Oui. C’est
comme… [«On est censé être assez conscient pour savoir qu’on est près
de parler en langues,»] Oui, c’est juste. [«sinon, on est en dehors de
l’ordre dès le départ.»] C’est juste, on sent cela. Voyez-vous? Eh
bien, comme le dit la Bible: «Si – s’il y en a un qui parle en langues,
et qu’il n’y a pas d’interprètes, alors qu’il se taise.» Eh bien,
naturellement.
108 Disons, par exemple, que je me tienne ici,
n’importe qui… Quand on est sur le point de crier, c’est la même chose.
Avez-vous déjà senti la puissance de Dieu venir sur vous quand vous
vous mettez à crier? Combien ont déjà senti cela? Eh bien, nous tous.
Voyez-vous? Vous êtes simplement assis là, vous sentez cela venir. Eh
bien, il y a des fois où vous pouvez étouffer cela. Voyez-vous? Vous
pouvez retenir cela, voyez-vous? Ce n’est pas en ordre.
109 Qu’arriverait-il si vous étiez debout, parlant au
– au Président des États-Unis, ou que vous étiez debout ici, parlant au
maire de la ville, et que vous parliez de quelque chose, juste ici dans
cette rue, que vous parliez à un groupe de gens, et que tout à coup,
vous sentiez comme si vous pouviez sautiller, hurler, crier: «Gloire!
Alléluia!», et donner des coups de pied sur n’importe quoi et courir
d’un bout à l’autre de la rue comme cela, ils diraient que vous êtes
fou. Voyez-vous? Ils diraient: «Cet homme est fou.» Voyez-vous?
110 Bien, voyez-vous, vous êtes donc mieux avisé.
Retenez cela, même si cela brûle en vous, et que vous avez de la peine
à le retenir. Vous dites: «Oui, monsieur. Oui, monsieur. Oui, oui. Oui,
oui. Oui. Oui, monsieur. Oui, oui.» Dites donc, cela vous met en pièce,
mais vous savez garder le silence à ce moment-là. Voyez-vous?
111 C’est comme dans un tribunal par ici il n’y a pas
longtemps, on a convoqué des pentecôtistes pour – pour avoir fait une
chose, pour avoir crié trop fort ou quelque chose comme cela, ce qui
était… C’était absolument légitime de leur part, vous voyez; c’est
juste. Mais chaque fois que le juge voulait leur parler ou leur
dire quelque chose, ils parlaient en langues. Voyez-vous? Le juge a
dit: «Faites-moi sortir ces fous d’ici.» Voyez-vous?
112 Maintenant, si ces langues étaient interprétées
et qu’il était dit au juge: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», un certain fait
qui aurait été vrai, «AINSI DIT LE SEIGNEUR! Juge, pourquoi vous
tenez-vous ici pour Me juger, alors que hier soir vous êtes allé avec
une prostituée? Elle s’appelle Sally Jones, elle habite au n°44 de tel,
tel ou tel autre endroit (comme cela). Pourquoi Me jugez-vous? C’est
AINSI DIT LE SEIGNEUR! Eh bien, si vous niez cela, vous tomberez mort.»
Eh bien, oh, frère. Là c’est autre chose.
113 Mais quand vous vous levez simplement et parlez,
il dit: «Vous êtes un barbare pour eux.» Voyez-vous? Maintenant, vous
savez quand garder le silence et quand ne pas le faire. Voyez-vous?
Maintenant, c’est… Vous voyez? Je suis… Comprenez-moi bien maintenant,
vous savez ce que je veux dire. Voyez? C’est cela certainement…
114 Nous avons eu une question à ce sujet ici. La
raison pour laquelle je la gardais comme ceci, c’est parce que nous
avons eu la même question: «Sont-ils censés se taire?» Vous voyez?
C’est pourquoi dans ma réponse je n’ai pas dit plus que ce que vous
avez dit. Mais c’est maintenant le moment d’y répondre, voyez-vous,
maintenant même. Et nous aborderons aussi cela dans cette question-ci,
et j’y reviendrai simplement. Tout le monde a-t-il bien compris cette
question? [Frère Fred demande: «Frère Branham?» – N.D.É.] Oui. Oui,
Frère Frère? [«quelqu’un peut – peut-il parler dans – dans l’Esprit,
s’exprimer s’il est (par exemple anglais, et qu’il parle anglais)
l’Esprit pourrait-il alors s’exprimer?»]
115 Certainement. Oui, monsieur. Vous voyez, parce
que le Saint-Esprit parle toutes les langues. Voyez-vous? Le jour de la
Pentecôte, toutes les langues sous le ciel étaient réunies, voyez-vous.
Parler anglais… Maintenant, moi-même, j’ai toujours su ceci, Frère
Freddie, que je… si jamais il y a une onction quand je prêche un
sermon, c’est l’Esprit qui S’exprime, voyez-vous. C’est le… Voyez-vous?
Ainsi, ce serait une langue inconnue pour l’homme qui ne comprend pas
l’anglais. Et pourtant…
116 Et comme une langue inconnue n’est pas
«inconnue», c’est… il y a là quelqu’un… C’est comme le jour de la
Pentecôte, les gens disaient, tous ces pécheurs disaient: «Comment les
entendons-nous dans notre propre langue à chacun? Comment
entendons-nous ces Galiléens parler notre propre langue à chacun?» Il
n’y avait rien d’inconnu dans tout cela. Il n’existait pas de langues
«inconnues» à la Pentecôte. Bien, voyez-vous, ce n’est pas du tout
scripturaire. Voyez-vous? Il n’y avait pas… inconnues… Il ne s’agissait
pas de langues inconnues, il s’agissait d’un langage. «Comment les
entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue
maternelle?» Il n’y avait rien du tout d’inconnu dans tout cela.
Voyez-vous? Cela… Y a-t-il une question à ce sujet maintenant,
maintenant même avant d’en finir avec ceci? «Comment les entendons-nous
dans notre propre langue à chacun?» Voyez-vous? [Un frère dit: «C’est
là qu’il y a une petite erreur due à la faiblesse humaine, car quand
les gens refusent d’accepter quelque chose, ils disent simplement: ‘Je
n’y croirai d’aucune autre façon que selon Actes 2.4!’» – N.D.É.]
117 Bien, s’ils y croyaient conformément à Actes 2.4,
eux n’avaient certainement pas parlé dans une langue inconnue. [«Non
dans une langue.»] Oui, oui. Ils durent parler dans une – dans une
langue que les gens comprenaient, parce que chaque homme les entendit
dans sa propre langue.
118 Maintenant, si je reçois le Saint-Esprit
maintenant même, selon… Je dis… Je crois qu’il y a un frère ici qui
cherche le Saint-Esprit, c’est – c’est – c’est frère Wood. Est-ce
juste, Frère Wood? Je ne voulais pas citer votre nom, mais tous… Il n’y
a que des frères ici et nous voulons dire ceci. Il cherche le baptême
du Saint-Esprit. Bien, si frère Banks là recevait correctement le
Saint-Esprit, s’il Le recevait conformément à la Bible, il se tiendrait
là et parlerait, il parlerait en anglais, disant: «Jésus-Christ, le
Fils de Dieu, est ressuscité», il le dirait dans une prophétie
impétueuse. «Je sais qu’Il l’est, parce qu’Il est entré dans mon cœur.
Il est le Fils de Dieu! Mes péchés sont effacés, quelque chose m’est
arrivé.» Voyez-vous? Vous y êtes. C’est le parler en…
«Comment les entendons-nous dans notre propre langue
à chacun?»
119 Par exemple, qu’arriverait-il si nous de
l’Indiana, nous parlions une langue différente de celle de ceux du
Kentucky et que frère Banks était du Kentucky, qu’ils parlaient donc
une autre langue et qu’ici nous savions qu’il ne connaît pas la langue
de l’Indiana? Et alors, il se lèverait là, parlerait la – la langue de
l’Indiana, tout en sachant qu’il ne la connaît pas. Vous voyez? Mais
nous, nous l’entendrions dans la langue de l’Indiana, et lui penserait
qu’il parle dans la langue du Kentucky. Il témoignerait simplement,
disant: «Gloire à Dieu! Jésus est ressuscité des morts. Alléluia!».
Mais nous, nous l’entendrions dans la langue de l’Indiana.
120 C’est ainsi que cela s’était passé le jour de la
Pentecôte. Voyez-vous? «Comment les entendons-nous…» voyez-vous, ou
plutôt «voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens,
voyez-vous, des gens du Kentucky? «Et comment nous, de l’Indiana, de
l’Ohio, de l’Illinois, du Maine, du Massachussets et de la Californie,
les entendons-nous dans notre langue maternelle?» Comprenez-vous?
Voyez-vous, c’est l’inspiration. Voyez-vous, l’inspiration leur était
donnée pour comprendre, l’inspiration leur était donnée.
121 Voyez-vous, le message… Il s’agit du témoignage
de la résurrection de Jésus-Christ. Voyez-vous? C’est juste.
Maintenant, si Dieu ne vit pas cette Vie en vous, peu importe combien
vous témoignez de cela, vous n’avez pas encore reçu Cela. Voyez-vous?
C’est vrai. Peu importe combien vous…
122 Y a-t-il une autre question maintenant? [Frère
Roy Roberson dit: «Bien, Frère Branham, je pense que nous avons vu cela
arriver dans la ligne de prière avec cette fille espagnole.» – N.D.É.]
Oui. Très bien, Frère Roy. Cela s’est passé juste là où je vais
maintenant, à Beaumont – Beaumont. Etait-ce Beaumont? Oui, monsieur.
123 Eh bien, la ligne de prière était terminée. Une
petite fille espagnole est venue sur la plate-forme. Eh bien,
franchement, je crois que je sortais, n’est-ce pas? Howard me
conduisait dehors et – et cette… Je – je – j’ai entendu quelqu’un
pleurer, c’était une petite fille espagnole qui se trouvait là, oh,
d’environ quinze, seize ans, juste… juste une enfant. Et – et j’ai
regardé et sa carte de prière aurait été la suivante si j’avais
continué. J’en avais un tas là, sa carte de prière était la suivante.
J’ai dit: «Amenez-la.» Ainsi, on l’a fait monter. Je me rendais à une
autre réunion et j’ai dit: «Faites-la monter.»
124 Ainsi, j’ai fini par discerner, je lui ai dit
quelque chose comme ceci: «Maintenant, crois-tu? Si Jésus m’aide à te
dire ce qu’est ton problème, crois-tu que – qu’Il te guérira?» Et elle
garda simplement sa tête inclinée. Je pensais qu’elle devait être
sourde-muette. Voyez-vous?
125 Ainsi, quand j’ai encore regardé, j’ai dit: «Non,
elle ne connaît pas l’anglais.» Ainsi, on fit venir là un interprète,
et je dis: «Crois-tu Cela?» En réponse, elle fit un signe pour… Elle
pouvait donc bien sûr comprendre par l’interprète. Voyez-vous?
126 Eh bien, j’ai alors dit… Et j’ai regardé et j’ai
eu une vision. J’ai dit: «Je te vois assise à côté d’une vieille
cheminée et d’une grande marmite qui se balance là, pleine d’épis de
maïs jaune.» Vous qui êtes âgés… Vous souvenez-vous de cela, Frère Roy?
J’ai dit: «Tu as trop mangé de ce maïs. Et après, tu es brusquement
tombée malade et ta mère t’a mise au lit et tu as commencé à piquer des
crises d’épilepsie.» Et je dis: «Tu en as depuis lors.»
127 Et elle se tourna vers l’interprète et lui dit
dans sa propre langue: «Je pensais qu’il ne connaissait pas l’anglais…
plutôt l’espagnol!»
128 Et lui se tourna vers moi et dit: «Vous n’avez
pas parlé en espagnol, n’est-ce pas?»
129 Je dis: «Non.» Ainsi, nous avons regardé à
l’enregistreur, on a arrêté les enregistreurs, c’était absolument de
l’anglais.
130 Et alors, l’interprète dit: «Dis-moi alors ce
qu’il a dit.» Voyez-vous, il devait en saisir l’interprétation. Il dit:
«Dis-moi ce qu’il a dit.» Et elle lui répéta exactement les mêmes
paroles, et il les répéta.
131 Elle m’avait entendu donc dans sa propre langue
maternelle, moi je parlais en anglais. Elle entendit cela en espagnol.
«Comment les entendons-nous dans notre propre langue maternelle?» Et
cette enfant fut guérie. Voyez-vous, c’est cela. Ce sont les oeuvres
merveilleuses de Dieu.
[Un frère demande: «Dans ce cas, le vase dans lequel
il y a le Saint-Esprit ne… est simplement un vase, et celui qui le
remplit peut le remplir de ce qu’il veut?» – N.D.É.]
132 Tout ce qu’Il désire, c’est vrai. C’est tout à
fait juste. Et, voyez donc de quoi il est rempli, alors vous saurez à
ce moment-là si oui ou non vous avez le Saint-Esprit. Voyez-vous? Voyez
simplement de quoi il est rempli. Si le – si le vase est rempli
d’impuretés, alors, ce n’est pas un vase de Dieu. Mais s’il est rempli
de ce qui est pur, alors c’est le vase de Dieu. Comprenez-vous ce que
je veux dire? [Le frère dit: «Mais le vase… des fois le vase est
utilisé sans qu’il ne le sache, sans qu’il le sache à quel moment…
quand il est utilisé?» – N.D.É.] Oh, c’est vrai. [Le frère donne un
témoignage.] Oui, oui. Oui, oui. C’est tout à fait juste, c’est vrai.
Oh, tous, nous voyons cela. J’ai vu cela bien des fois. Oui, monsieur.
Oui, monsieur. Tous nous… Nous savons que nous sommes habitués à ces
choses-là.
Je crois que c’était le numéro quatre:
Tous – tous ceux qui sont remplis du
Saint-Esprit parleront-ils en langues tôt ou tard? J’ai lu là où Paul
dit: «Je parle plus de langues que -qu’eux tous.»
Eh bien, voici ce que je pense donc pour en finir
avec la question du frère.
Paul parlant plus de langues que tous les autres.
133 Paul était un érudit, il connaissait à lui seul
plusieurs langues. Voyez-vous, il parlait… il… Souvenez-vous, quand il
était jugé, il parlait telle ou telle langue, ou quoi que c’était. Et
c’étaient des langues inconnues des gens, mais ce n’était pas inspiré.
C’étaient des langues en usage, voyez-vous? Mais… et…
134 Mais je crois vraiment que celui qui est rempli
du Saint-Esprit, qui vit sous l’autel de Dieu, sans aucun doute, fera,
tôt ou tard, l’expérience du parler en langues, parce que c’est l’une
des plus petites et des moindres choses, selon l’exposé de Paul. Si on
les classait, le parler en langues serait la dernière chose en ce qui
concerne les dons, voyez-vous?
135 Mais maintenant, vous êtes d’abord baptisé… Ici,
chacun de vous constitue un don. Moi, je suis dehors. Bien, «par une
seule porte, un seul Esprit»; une seule porte donne accès à cette
salle-ci. Est-ce juste? Maintenant, je ne peux pas entrer par-là, je ne
peux entrer par ici et sortir par-là. Voyez-vous? Comment est-ce que
j’entre ici? Par frère Roberson? Non, monsieur. Par, eh bien, disons,
frère Leo? Disons qu’il soit un don de parler en langues, voyez-vous,
est-ce que j’y entre par Léo? Non, monsieur. Non, non. Bien, comment
est-ce que j’y entre? «Par une seule Porte, par un seul Esprit.»
L’Esprit n’est pas simplement toutes les langues. Oh, non. Non.
Voyez-vous? Voyez-vous? «Par un seul Esprit, je suis baptisé pour
entrer dans le Corps.»
136 Maintenant, ceci, c’est l’Esprit, vous tous, vous
représentez les dons. Vous dites: «Bien, Dieu soit béni!» Je vais là,
et disons qu’il y a là – qu’il y a là frère Wood, il représente les
miracles. Voyez-vous? «Oh, j’ai accompli un miracle. Je sais que j’ai
le Saint-Esprit parce que j’ai accompli un miracle.» Ce n’est pas par
un «miracle» que nous sommes tous baptisés pour former le Corps.
137 Je vais ensuite chez frère Junie; lui, c’est la
connaissance: «Eh bien, eh bien, j’ai la connaissance de la Bible! Mon
gars, je t’assure, je sais que j’ai le Saint-Esprit à cause de cela.»
Non, ce n’est pourtant pas le chemin par où entrer.
138 Très bien. Ce n’est pas par frère Léo, ce n’est
pas par frère Wood, ce n’est pas – ce n’est pas par frère Junie.
Voyez-vous? Non. Mais par un seul quoi? [L’assemblée dit: «Esprit.» –
N.D.É.] Très bien, j’ai été baptisé pour faire partie de ce Corps;
maintenant, j’Y suis. Maintenant, où le Père va-t-Il m’utiliser?
Voyez-vous? Il se pourrait que Léo soit assis près de la porte; sans
doute que ce serait l’une des premières choses qui pourrait arriver, et
cela pourrait ne pas. Il se peut que je sois tellement riche en Esprit
que Dieu pourrait descendre directement ici jusque vers frère Wood,
sans passer par tous les autres. Vous ne pouvez donc pas me dire que je
n’ai pas le Saint-Esprit, car je suis dans ce Corps par le baptême.
Mais Dieu ne m’y a jamais amené pour que je dise: «Eh bien, Dieu soit
béni, je pense que je vais m’asseoir maintenant, ne pas m’en faire, je
vais au Ciel.» Hum! Voyez-vous ce que je veux dire?
139 Mais je pourrais passer directement de ce côté-ci
à l’autre. Voyez-vous ce que je veux dire? Je pourrais aller d’un
extrême à l’autre, ou je pourrais aller au milieu, ou n’importe où.
Mais quelque chose arrivera, quelque chose doit se passer. Et
qu’est-ce? C’est par le baptême de l’Esprit que j’ai la révélation que
je suis dans le Corps: «Par un seul Esprit.» L’avez-vous saisi ici,
frère? Très bien. Est-ce cela? Très bien.
112. Comment les langues et les
prophéties doivent-elles être utilisées durant la réunion… (Cela ne
doit pas du tout être utilisé durant la réunion! Voyez-vous?)… Pour
glorifier Dieu… (pas du tout!)… Et édifier l’Église? Je sais que les
gens disent que l’esprit du prophète est… Je sais que le… Je – je sais
que le… (… je pense que… Non, excusez-moi, c’est la «Bible», B-i-b-l-e.
J’ai d’abord lu «g-e-n-s» ou quelque chose comme cela. Non)… La Bible
dit que l’esprit des prophètes est soumis au prophète. (Exactement.)
140 Le parler en langues et la prophétie de l’Esprit
sont destinés à l’édification de l’église, mais cela se passe dans un
service à part, consacré à cela. Voyez-vous? Cela ne doit pas gêner
aussi longtemps que le prophète de l’église est… que la réunion se
déroule normalement. Voyez-vous? Cela ne doit jamais interrompre la
réunion.
141 Maintenant, voyez-vous, «les esprits des
prophètes». Nous – nous avons une autre question maintenant, laissons
cela juste pour une minute. Voyez-vous? La manière vraiment correcte
pour ces… pour l’opération de ces dons… Ceci constitue la réponse pour
plusieurs dons. Voyez-vous? Quand nous arriverons à ces dons, nous
dirons que nous y avons répondu dans cette première question, à la
personne qui a posé celle-ci. Voyez-vous? C’est le numéro cinq:
Les langues et les prophéties doivent-elles être
utilisées durant la réunion pour glorifier Dieu?
142 Voyez-vous, maintenant, le ministre… si le
ministre est oint de Dieu, et que l’ordre est établi dans l’église, eh
bien, la manière correcte… Beaucoup d’entre vous savent comment je – je
vous ai parlé au sujet de «maintenir cela dans l’ordre». Ces dons sont
censés… Maintenant, voici ce que nous ferons au Tabernacle, le Seigneur
voulant. Je suis donc en train d’observer. Je suis en train de voir
quelque chose, je laisse en place frère Neville et ces autres
frères-ci. Eh bien, vous êtes… et la plupart d’entre vous, frères, sont
des jeunes frères.
143 Eh bien, je suis – je suis un vieux vétéran dans
cette Voie par rapport – par rapport à vous tous. Cela fait trente et
un ans que j’Y suis. C’est depuis près de trente ans que j’ai posé là
cette pierre. J’ai dû affronter tout ce qu’il y avait à affronter,
aussi feriez-vous mieux de savoir de quoi vous parlez, quand vous êtes
face à cela. Il ne suffit pas seulement de savoir cela, mais aussi il
est mieux que Dieu soit là pour soutenir cela quand vous – quand vous
passerez par cela.
144 Eh bien, la meilleure façon de – de faire ceci…
Eh bien, vous pouvez avoir une réunion spéciale. Je crois que c’est ce
qu’ils ont fait là dans I Corinthiens 14: «Si quelqu’un qui est assis a
une révélation, alors, que l’autre se taise.» Je crois que c’était une
réunion spéciale pour les dons, c’était tout à fait correct. Si les
gens voudraient avoir une réunion spéciale où se rencontreraient une
fois par semaine tous ceux qui ont des dons, ceux qui ont des dons et
qui viennent à l’église, ce serait correct. Qu’ils tiennent cette
réunion, il n’y a pas de… pas de prédication, c’est consacré aux dons
de l’Esprit.
145 Ce n’est ni pour les gens de l’extérieur ni pour
les incroyants. Les gens pourraient venir, s’asseoir, dire… Un se
lèverait et dirait: «Ah – ah», parlant en langues; un autre dirait:
«Wha – ah.» «Qu’est-ce que c’est donc?» Les gens viendraient et
diraient: «Où sont les chants? Qu’est-ce qui va suivre?» Voyez-vous?
146 Mais maintenant, ceux qui parlent en langues,
beaucoup d’entre eux (ainsi que ceux qui interprètent, etc.) sont des
bébés dans l’Évangile. Voyez-vous? Ne – ne les offensez pas,
laissez-les – laissez-les grandir jusqu’à ce que ce don… Certains de
ces dons, on voit comment Satan essaie de s’y glisser. Bien sûr, nous
les vétérans, nous – nous – nous voyons cela. Voyez-vous, nous pouvons
saisir cela, et vous le verrez.
147 Il n’y a pas longtemps, un certain ministre, qui
est assis ici même, est venu me voir et m’a parlé, il m’a ensuite reçu
chez lui, un très précieux frère.
148 Je ne le dis pas parce qu’il est ici, mais vous
êtes tous de précieux frères. Si ce n’était pas ma pensée, je vous
dirais: «Vous et moi arrangeons d’abord cette chose entre nous!»
Voyez-vous? C’est juste. Voyez-vous? Je vous aime tous, et j’aimerais
entendre cela selon l’esprit de tolérance prôné par la Bible,
voyez-vous, pour – pour aider. Voyez-vous?
149 Ce frère m’a reçu chez lui… une certaine femme,
et cette femme était dans l’erreur. Et cette… Je n’avais jamais vu la
femme, mais j’avais entendu cela sur bande, elle interprétait des
langues et disait quelque chose. On pouvait ainsi saisir cela
directement.
150 Un jour, chez un autre ministre, je… ou plutôt la
même personne, nous étions assis sur une souche, pendant la chasse à
l’écureuil, et nous en parlions. Et les deux ministres (ils sont ici
maintenant) savent comment cela tourna. Voyez-vous, observez simplement.
151 Quand vous, ministres, vous corrigez quelqu’un au
sujet d’un don, quand vous le corrigez, vous le corrigez d’après les
Écritures et qu’il est froissé, souvenez-vous, ce n’est pas l’Esprit de
Dieu, parce que l’Esprit de Dieu ne peut pas être froissé par Sa propre
Parole. Il est Sa Parole. Voyez-vous, la personne est toujours
disposée. Un véritable saint de Dieu aime se plier. Oui, monsieur.
152 Je veux être corrigé. Je veux que le Saint-Esprit
me corrige sur les choses que je fais, qui ne sont pas justes. Je n’ai
pas besoin de substitut. Je – je veux quelque chose de réel ou rien du
tout, laissez-moi tranquille, ne – ne me donnez rien du tout.
Voyez-vous? Car, je préférerais cela qu’amener l’opprobre sur Christ.
153 Et je n’enseignerais rien, je ne dirais rien, à
moins que les Écritures…
154 Et si un frère, un frère chrétien me voyait
enseigner quelque chose de faux, je serais reconnaissant s’il
m’appelait à l’écart après la réunion et disait: «Frère Branham,
j’aimerais venir à votre bureau vous parler, vous êtes dans l’erreur
sur une chose.» Voyez-vous? Je – j’en serais vraiment reconnaissant,
frère, parce que je veux être disposé à faire ce qui est juste. C’est
mon désir.
155 Eh bien, tous nous voulons faire ce qui est
juste, c’est pourquoi nous voulons – nous voulons parler de ces choses.
Et celles-ci doivent venir des Écritures pour faire concorder les
Écritures.
156 Eh bien, le parler en langues devrait être… Bien,
un peu plus tard… Eh bien, pour le moment, laissez cela continuer
pendant un temps. Voyez? Je vous conseillerai de laisser cela continuer
ainsi. Maintenant, vous ministres, vous pasteurs, laissez simplement
cela continuer jusqu’à ce que ces bébés grandissent un peu. Eh bien,
tôt ou tard peut-être, si c’est l’ennemi qui essaie de séduire cette
personne, il sera dévoilé. On n’est pas très sûr.
157 Eh bien, après ceci, avant de commencer ceci,
cherchez là un esprit de sagesse, de discernement des esprits, vous
voyez, pour le savoir. Ensuite, vous savez, vous remarquerez que
quelqu’un commence à voir qu’il y a un petit quelque chose de faux,
c’est ça le discernement. Alors, traitez cela avec douceur un petit
moment. Voyez? Puis, quand vous voyez que le discernement opère mal,
corrigez donc cela. Et si cette chose… si ça vient de Dieu, la personne
supportera la correction par la Parole. Voyez?
158 Disons, par exemple, je vais dire qu’on a parlé
en langues, quelqu’un, que nous sommes… voici un – un groupe d’hommes
ayant des dons. Et Léo se lève et parle en langues; ensuite, ce
frère-ci, Willard, donne l’interprétation. Très bien. Maintenant, je
veux dire que frère Neville, frère Junie, et frère Willard Collins sont
les discerneurs. Voyez-vous? Maintenant, comme Léo a parlé… Maintenant,
nous sommes juste ici comme dans une petite réunion des saints, une
réunion des dons; et Léo parle et Willard donne l’interprétation ici,
et il dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR! Mercredi soir, une femme entrera ici
et elle sera – sera brutale. Dites à frère Branham de ne pas la
réprimander, parce qu’elle est folle. Mais dites-lui de l’amener dans
un coin, parce que c’était dans un coin qu’elle s’était mal comportée
un jour et que quelque chose lui était arrivé.» Voyez-vous? Ça semble
très bon, n’est-ce pas? Voyez-vous? Très bien.
159 Eh bien, mais ensuite, vous savez, dans l’Ancien
Testament, peu importe ce que le prophète disait ou ce que n’importe
qui d’autre disait, cela était d’abord testé par l’Urim Thummim.
Voyez-vous, on consultait la Parole. Et si ces lumières ne clignotaient
pas, on ignorait cela. Voyez-vous?
160 Donc, avant tout, ramenons cela à la Parole.
Maintenant, cet homme a parlé en langues, cela a semblé correct.
Celui-ci a interprété, cela a semblé correct. Mais la Parole dit: «Que
cela soit d’abord jugé par deux ou trois juges.» Amenez cela à l’Urim
Thummim.
161 Maintenant, premièrement Willard Collins dit:
«Cela vient du Seigneur.» Junie dit: «Cela vient du Seigneur –
Seigneur.» Ça fait deux sur trois. Ça va! On écrit cela sur une
feuille, on annonce cela juste ici dans cette église. Alors, quand les
gens qui ont entendu cela être lu avant que cela arrive verront ensuite
cela arriver, ils diront: «Frère, ça c’est Dieu! Voyez-vous, ça c’est
Dieu!»
162 Et si cela n’arrive pas, alors que se
passera-t-il? Voyez-vous? (Maintenant, nous allons aborder une autre
chose que j’ai pu trouver juste ici: «Est-ce que toute prophétie
pleinement… toute interprétation et tout message sont des prophéties?»)
Maintenant, juste une minute. Eh bien, et si cela n’arrive pas? Alors,
Léo a parlé sous l’influence d’un mauvais esprit; il a donné une fausse
interprétation; et vous, vous avez donné un faux jugement. Alors ôtez
cette chose-là du milieu de vous. Vous n’en avez pas besoin. C’est
faux. Oubliez cela. C’est le diable. Voyez-vous? [Espace vide sur la
bande – N.D.É.] «Je ne suis pas prédicateur, mais je suis un – je suis
un interprète (voyez-vous?), je suis un interprète, Seigneur, je – je
ne suis pas un prédicateur. Je…» Frère Léo dira: «Seigneur, je ne suis
pas un prédicateur, mais je – j’ai le don des langues, et le diable m’a
dérangé à ce sujet. Ô Dieu, éloigne cette chose de moi.» Vous, vous
direz: «Seigneur, Tu m’as donné l’esprit de discernement, et je T’ai vu
le manifester bien des fois, comment ceci est-il arrivé? Père,
purifie-moi! Qu’est-il arrivé?» Voyez-vous, vous y êtes, alors vous
avez arrangé la chose.
163 Voyez-vous, c’est une réunion ordinaire des
saints. Je pense que c’est ce qui se faisait dans la Bible, parce que
Paul a dit: «Si quelqu’un prophétise et qu’il prophétise sur quelque
chose, que quelque chose est… et que quelque chose est révélé à
quelqu’un qui est assis là, qu’il se taise jusqu’à ce que celui-là aura
d’abord parlé, ensuite il pourra parler. Et vous pouvez tous
prophétiser l’un après l’autre.» Maintenant, ça ne pourrait pas être
pendant une réunion ordinaire, vous le savez, chacun ne pourrait pas…
les dons.
164 Eh bien, c’est pour s’assurer que cela vient de
Dieu, voyez-vous, car si ce ne sont que des sottises, cela ne vient pas
de Dieu. Si cela n’arrive pas, cela ne vient pas de Dieu. Voyez-vous?
Cela doit arriver. Et – et c’est pourquoi, dans nos églises,
voyez-vous, frère, nous avons donc des églises affermies, voyez-vous,
dont personne ne peut dire qu’une chose a été dite ou accomplie…
165 Voyez à quoi cela m’expose, quand je suis là
devant le public. Considérez cela! Et qu’en serait-il si une seule
erreur s’y glissait? Voyez-vous? C’est parce que j’ai confiance en Lui.
Voyez-vous? J’ai confiance en Lui. Quelqu’un dira: «N’avez-vous pas
peur de commettre une erreur, Frère Branham?» Non, non. Non, non. Je
n’ai pas peur de commettre une erreur. Je crois en Lui. Il est ma
protection. J’ai été ordonné à faire ceci, aussi je m’en tiendrai juste
à cela.
166 Si Dieu vous a ordonné à faire quelque chose,
alors Il sera votre protection. Voyez-vous? Il vous protégera. S’Il
vous a envoyé, Il confirmera votre parole. Vous êtes alors un
ambassadeur. Vous êtes un ambassadeur avec le don des langues; vous
êtes un ambassadeur avec le don d’interprétation; vous êtes un
ambassadeur avec le don de discernement; vous trois. Comprenez-vous ce
que je veux dire? Alors qu’avez-vous? Vous avez une église bien bâtie.
Vous n’aurez même plus peur, comme autrefois, de vous tenir là.
167 J’étais dans une réunion ici. Un pauvre petit
garçon anglais, venant de l’Angleterre, est arrivé ici, il cherchait à
se suicider. Frère Banks vint là et dit: «Il est resté là quatre ou
cinq jours.» J’avais beaucoup de choses à faire, et il dit: «Ce garçon
va se suicider.» L’Hôtel Waterview là-bas me parla de l’état de ce
garçon.
168 Et je suis entré dans la pièce pour prier pour
lui. J’en suis ressorti et j’ai dit: «Eh bien, Frère Banks, je n’ai
jamais vu cet homme et je ne connais rien à son sujet, mais je vais
vous dire ce qui ne va pas en lui avant que j’arrive là-bas.» Est-ce
juste, Frère Banks? Et quand nous sommes arrivés là, le Saint-Esprit
descendit et lui dit ce qu’il avait fait, et tout ce qui le concernait,
et où il avait été et tout ce qui concernait sa vie. Il s’effondra
presque.
169 «N’avez-vous pas peur de commettre une erreur,
Frère Branham, quand vous dites une telle chose à un homme?» Et qu’en
serait-il si depuis l’estrade, on disait à un homme qu’il a été
infidèle à sa femme, qu’il a eu un enfant d’une autre femme? Il vous
ferait jeter en prison. Vous feriez mieux d’être sûr! Voyez-vous?
Voyez-vous? N’ayez pas peur, si c’est Dieu. Et si vous n’avez pas
peur,… Si – si vous n’êtes pas sûr que c’est Dieu, alors gardez encore
silence jusqu’à ce que vous soyez sûr que c’est Dieu. Est-ce juste?
Assurez-vous que ce que vous dites est vrai, et alors allez de l’avant.
170 Eh bien, ceci est un enseignement difficile,
frères, mais vous êtes mes frères. Vous êtes – vous êtes – vous êtes de
jeunes ministres qui grandissez, et je suis un vieil homme, qui va vous
quitter un de ces jours. Voyez-vous? Et ainsi, assurez-vous que c’est –
c’est juste.
171 En sortant de la pièce de… Peut-être que j’en
parlerai ici un peu plus tard. Un garçon… Bien, je vais en parler en
partie maintenant. Hier, frère Banks et moi, étions très occupés (oh!
la la!), j’ai fait tout mon possible, et je – je vais vous dire ce que
je comptais faire dans cette réunion. Léo et Gene ainsi qu’un groupe
d’entre nous, et des frères, devions aller là-bas, nous disions que
nous allions à la chasse au porc, à la chasse au cochon. Il y a cinq
jours de chasse au pécari, en Arizona, après la série de réunions,
après notre série de réunions. Nous allons à Phoenix pour une journée,
et nous devrons attendre cinq jours avant d’en avoir une autre, quatre
jours avant qu’il y ait une autre réunion quelque part. Nous devons
rester juste là en Arizona. Bien, il se fait que c’est juste à ce
moment-là que la saison de chasse au pécari s’ouvre.
172 Ainsi, j’ai voulu y aller pour chasser avec mon
petit fusil, pour voir s’il était au point. Banks est allé avec moi.
Nous franchissions la porte – nous franchissions la porte. Et voilà
qu’un homme entra, au-dessus de cet écriteau, il y a cette inscription
(voyez-vous), disant: «S’il vous plaît, ne demandez pas frère Branham.»
173 Voyez-vous, la raison pour laquelle ils font
cela… Ce n’est pas adressé aux malades. Mon… cette maison… demandez à
Banks? Il est mon voisin. Les gens viennent nuit et jour et tout le
reste, avec des enfants malades, et tout. Nous ne renvoyons jamais les
gens comme ça. Mais…
174 Et Léo et les autres m’appellent là à la
roulotte, ainsi que Jim et les autres, disant: «Il y a quelqu’un ici
avec un bébé malade. Il y a ici un homme qui a le cancer.» Nous mettons
tout de côté, et nous allons répondre à son appel.
175 Hier soir, on m’a appelé à une chambre d’hôpital
d’où on m’avait téléphoné, mais un homme n’a même pas voulu me laisser
entrer quand j’y suis arrivé. Voyez-vous, quelqu’un d’autre qui était
simplement excité. Ce n’est pas grave. Je suis pourtant allé,
voyez-vous, parce que c’est mon devoir d’y aller, voyez-vous et
d’essayer d’aider quelqu’un.
176 Bien, ce n’est pas la raison d’être de cette
inscription. Mais cet homme, juste quand nous montions dans la voiture,
et frère Banks sait que je devais… Je ne sais pas trop bien pourquoi
j’ai attendu dans cette maison. Quelqu’un est entré chez frère Banks et
l’a retenu. Et je suis retourné là plus tard, j’ai été retenu. Alors,
aussitôt que nous avons pris nos fusils et que nous nous apprêtions à
monter dans la voiture, un homme est venu. Il s’est approché jusque-là.
177 Et je me préparais à lui dire d’aller appeler le
numéro qui est là (Butler 2–1519) sur cet écriteau. J’ai dit: «Nous
sommes pressés.»
Il dit: «Je pense que vous êtes pressé, monsieur.»
J’ai dit: «Je m’appelle…»
178 Je me suis d’abord approché, il a dit: «Bonjour.»
Et j’ai compris qu’il ne me connaissait pas.
J’ai dit: «Je m’appelle Branham.»
Il a dit: «C’est vous frère Branham?»
J’ai dit: «Oui.»
179 Et il a dit: «Je – je suis… Je voulais vous voir,
Frère Branham.» Il a dit: «Je vois que vous vous apprêtez à sortir.»
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Je sais que vous êtes pressé.»
J’ai dit: «Je le suis en ce moment, monsieur.»
180 Et il a dit: «Bien, je voulais seulement vous
parler pendant quelques minutes.»
181 Et j’allais justement lui dire… Et le
Saint-Esprit dit: «Amène-le dans la pièce, tu peux l’aider.»
Maintenant, là, cela change tout. J’ai mis simplement le fusil de côté,
et tout comme cela, l’œuvre de Dieu d’abord. Voyez-vous? Et il a dit…
182 J’ai dit: «Venez, allons.» J’ai dit: «Je reviens
dans un instant, Frère Banks.»
Il a dit: «Cela concerne mon âme, Frère Branham.»
J’ai dit: «Très bien, entrez.»
Nous sommes entrés dans la maison, Meda a dit: «Vous
n’êtes pas encore parti?»
183 J’ai dit: «Non, non, non, il y a quelqu’un.» J’ai
dit «Garde les enfants là, dans l’autre pièce.» Je l’ai amené dans mon
petit bureau, nous nous sommes assis. Et aussitôt assis…
184 Cet homme était à l’église la veille… Était-il
venu, Frère Banks? Est-ce que vous… Oui, bien, il devait venir la
veille. Il était juste…
185 Premièrement, le Saint-Esprit commença à lui dire
qui il était, ce qu’il avait fait, ce qui s’était passé dans sa vie,
tout à ce sujet, voyez-vous, directement, lui disant tout. Banks est
témoin. Il n’a ouvert la bouche que pour me dire environ deux mots; et
Il vint là et lui parla, disant: «Vous êtes un vagabond; en fait, vous
habitez Madison. Vous venez d’Evansville, dans l’Indiana. Vous avez été
là dans une école biblique, à un culte, vous êtes tout embrouillé. Il y
a quelques minutes, vous êtes allé à Louisville. Il y avait là un homme
et cet homme vous a dit (vous vous êtes assis et vous avez mangé avec
lui), il vous a dit de venir ici me voir et que je vous ramènerai dans
la bonne voie.» J’ai dit: «C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR!»
186 L’homme était assis là, battant des paupières, me
regardant, et il a dit: «Oui, monsieur.»
J’ai dit: «Cela vous a étonné, n’est-ce pas?»
Il a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Croyez-vous au Saint-Esprit?»
Il a dit: «Je le veux, monsieur.»
187 Et j’ai dit: «Voulez-vous que je vous dise ce que
vous En pensez?»
188 Il a dit: «Oui, monsieur.» Et je le lui ai dit.
Il a dit: «C’est la vérité, frère.»
Et j’ai dit: «Changez d’opinion.»
Il a dit: «D’accord, c’est fait.»
J’ai dit: «C’est ce que vous En pensez.»
Il a dit: «C’est vrai! C’est vrai!»
189 J’ai dit: «Maintenant, vous n’avez pas besoin
d’une vision, vous avez besoin seulement d’être redressé.» Et là, je
lui dis quelque chose que vous n’accepteriez pas que je dise. S’il
s’agissait de vous, vous ne l’auriez pas voulu. C’est quelque chose de
vilain, d’horrible, ainsi, vous ne voudriez pas que je vous le dise
s’il s’agissait de vous. Et je ne dis pas ce que le Seigneur me montre
sur les gens. Ainsi, j’ai simplement dit: «Très bien, le ferez-vous?»
Il a dit: «Je le ferai.» J’ai dit: «Poursuivez votre chemin.»
190 Nous sommes restés là pas plus de dix minutes,
n’est-ce pas, Frère Banks? Entre sept et dix minutes. Nous sommes
ressortis, nous sommes revenus sur la route, en descendant la route,
lui et moi, ainsi que Banks Wood et mon petit garçon, Joe, je crois que
c’était lui; nous avons roulé ensemble, nous étions sur l’autoroute. Il
s’est retourné vers moi et a dit: «Monsieur, je voudrais vous poser une
question.»
J’ai dit: «Allez-y.»
191 Il a dit: «Je suis un peu confus.» Il a dit:
«Comment avez-vous su toute cette histoire à mon sujet?» Voyez-vous?
Banks était assis là.
192 Et j’ai dit: «Monsieur, avez-vous déjà entendu
parler de mes visions et de mon ministère?»
193 Il a dit: «Je n’ai jamais su votre nom jusqu’à il
y a environ une heure. Quelqu’un m’a parlé, m’a seulement dit cela là à
Louisville, m’a dit de venir ici, et j’ai traversé le pont.» Est-ce
juste, Banks? Il a dit: «Je n’avais jamais su votre nom, ni qui vous
étiez.»
194 J’ai dit: «C’est un don que Dieu a envoyé dans
mon ministère.»
195 Il a dit: «Alors, s’il en est ainsi, a-t-il dit,
eh bien, je suis… Il a dit: «Je vais simplement très… Je vais très bien
maintenant.» Il a dit: «Tout est parti.» Voyez-vous? Il a dit: «Ce
qu’il en est, c’est que Dieu me parlait à travers vous.» J’ai dit:
«Exactement.»
196 Il a dit: «Eh bien, je comprends que dans la
Bible… J’ai lu une fois dans la Bible, a-t-il dit, que Jésus parlait à
Ses disciples.» Il voulait dire «aux gens», voyez-vous? Il a dit: «Il
parlait à Ses disciples, et leur disait les choses qu’ils pensaient.»
Voyez-vous, Il saisissait leurs pensées», c’est à cela qu’il en
arrivait. Il a dit: «Et Il dit que c’était Son Père qui parlait à
travers Lui.» J’ai dit: «C’est vrai.»
197 Il a dit: «Eh bien, eh bien, le Père vous a
simplement utilisé pour me parler à travers vous, pour me dire ces
choses afin de m’amener à croire que ce que vous m’avez dit était la
vérité.»
J’ai dit: «Était-ce la Vérité?»
Il a dit: «Oui.» Il a dit: «Alors, cela doit être
Dieu.»
198 J’ai dit: «Frère, vous en savez donc plus (Banks
et moi l’avions remarqué) que certains qui ont assisté aux réunions
depuis dix ans et qui n’en savent toujours rien.» Seulement cet – cet
homme! Eh bien, c’est ce qu’il en est. Voyez-vous?
Selon l’ordre, quand l’Esprit parle en langues, cela
est-il une prophétie qui doit être utilisée pendant le service?
199 Non. Cela devrait être utilisé de cette façon, et
ensuite être communiqué durant la réunion. Mais pour cette fois, pour
le moment, laissez-les parler. Eh bien, si cela échappe à tout
contrôle, et cela ne le devrait pas, vous devez surveiller cela. Eh
bien, quelquefois, cela pourrait être Dieu. Et ces petits amis, juste
comme un petit enfant qui essaie de marcher, eh bien, s’il tombe quatre
ou cinq fois… Eh bien, j’ai vu cela depuis que je suis ici à l’église,
et – et, eh bien, je – je laisserai cela juste comme ça. Voyez-vous? Et
pourtant, vous voyez, pourtant qu’auriez-vous donc dit de cela: «Frère
Branham, pourquoi n’avez-vous pas corrigé cela?» Non, non.
200 Quand Billy Paul, qui est là au fond, a commencé
à faire ses premiers pas, il se levait et tombait, et il était plus au
sol qu’il ne restait debout. Mais il ne savait pas marcher. Mais je
crois qu’il avait le don de marcher. Voyez-vous? Je le laissais marcher
un petit peu. Et ensuite, quand il lui arrivait de trébucher de ses
grands pieds, je lui expliquais alors cela. Voyez-vous ce que je veux
dire? Voyez-vous? Il marche en regardant quelque chose d’autre, puis il
se cogne, ou quelque chose comme ça, je dis: «Remets-toi sur tes pieds,
mon garçon. Où en es-tu?» Voyez-vous? Eh bien, c’est – c’est cela la
différence. Vous voyez?
201 Eh bien, laissez-les – laissez-les trébucher et
laissez-les être bloqués un moment. Maintenant, quand vous devez les
corriger, s’ils en sont contrariés, alors vous savez vous-mêmes que ce
n’était pas Dieu, car l’Esprit de Dieu est soumis. Comme vous l’avez
ici dans ce petit passage: «L’esprit des prophètes est soumis au
prophète.» Voyez-vous? C’est juste.
[Frère Stricker dit: «Frère Banham, je voudrais être
corrigé.» – N.D.É.] D’accord, frère. [Pusieurs fois, j’ai assisté à des
réunions et j’ai entendu le parler en langues et l’interprétation. Et
la plupart du temps, cela m’ennuyait beaucoup. De retour chez moi, il
me semblait que je me repentais tout au long du chemin. Était-ce parce
que je sentais que cela ne venait pas de Deu, ou bien était-ce parce
que cela sortait de l’ordre?»]
202 C’était peut-être, frère, c’était peut-être l’une
de ces deux choses. Voyez-vous? Je voudrais dire… Eh bien, ceci c’est –
ceci c’est William Branham, voyez-vous; avant que je n’aborde les
Écritures, eh bien, c’est toujours moi. Vous voyez? Eh bien, je
voudrais dire ceci, Frère Stricker, que c’était peut-être l’une de ces
deux choses. C’était peut-être parce que ça sortait de l’ordre; c’était
peut-être du fait que vous aviez quelque chose qui n’allait pas;
c’était peut-être du fait que la personne avait quelque chose qui
n’allait pas, quelque chose de faux dans le message ou n’importe quoi
d’autre qui faisait que vous vous ennuyiez.
203 Bien, maintenant, laissez-moi vous aider un peu
ici, Frère Stricker. Voyez-vous? Toujours… ne jugez jamais quelque
chose d’après ce qu’on en ressent, voyez-vous. Jugez cela d’après ses
attributs, vous voyez, quels que soient les fruits que cela porte,
voyez-vous. Parce que quelquefois…
204 Evidemment, nous nous rendons compte qu’il y a
des choses au sujet desquelles on éprouve un sentiment bizarre.
Moi-même, cela m’arrive, et, bon sang, je commence à m’en éloigner
vraiment - vraiment sans peine, vous savez. Mais je ne dis rien. Je
mets simplement cela de côté parce que je ne sais pas ce que cela
pourrait être, voyez-vous, jusqu’à ce que je sache ce que c’est.
205 Maintenant, par exemple beaucoup de gens
disent: «Youpi! Frère, je sais que j’ai le Saint-Esprit! Alléluia!
Gloire à Dieu!» Et pourtant ils n’ont pas le Saint-Esprit. Ils
pourraient parler en langues, et tout le reste, crier, danser dans
l’esprit et pourtant ne pas avoir le Saint-Esprit, car la pluie tombe
sur les justes et les injustes. Ce n’est pas par ce qu’on ressent,
c’est par les fruits.
206 Par exemple, il y a… Vous souvenez-vous de ma
vision à ce sujet? Comment ce… Hébreux 6, voyez-vous: «La pluie qui
tombe souvent sur la terre pour l’abreuver… elle n’est pas cultivée
pour des épines et des chardons, qui sont près d’être réprouvés, et
auxquels on finit par mettre le feu.»
207 Excusez-moi, je vais un peu aérer, je sais que
vous commencez tous à avoir sommeil et à vous fatiguer. Je dois donc me
hâter et aller un peu plus vite avec celles-ci, autrement je ne les
aborderai pas. Ceci doit… Nous sommes au point de départ de – de tout
ceci, juste dans cette poignée qu’il y a ici. Mais elles… Vous voyez,
le…
208 Voici un – un champ plein de blé. Et dans ce
champ sont plantés de la stramoine, des graterons, ou que sais-je
encore, de l’ivraie. Eh bien, une sécheresse survient. Eh bien, la
stramoine et le grateron n’ont-ils pas autant soif que le blé? Et quel
genre de pluie… Y a-t-il une pluie spéciale qui tombe sur le blé puis
une autre qui tombe sur le grateron? Est-ce juste? Non. C’est la même
pluie qui tombe. Est-ce juste? Le même Esprit qui tombe sur l’hypocrite
tombe aussi sur le chrétien, c’est le même. Mais c’est à leur «fruit»!
Cela pénètre-t-il, frère?
209 L’évidence du Saint-Esprit, c’est Son fruit, le
fruit de l’Esprit. Bien cela… Eh bien, maintenant, vous dites: «Je suis
une tige, je suis un grateron. Je suis une tige tout comme la tige du
blé.» Mais quel genre de vie y a-t-il en vous? La vie qui est à
l’intérieur produit des chardons, quand vous faites toujours des
histoires, vous faites tout le temps le pitre, que vous êtes très
méchant et très mauvais, et tout. Comprenez-vous ce que je veux dire?
L’arrogance, voyez-vous, ce n’est pas le fruit de l’Esprit. Le fruit de
l’Esprit, c’est la douceur, la patience, la bonté, voyez-vous, tout
cela. Voyez-vous?
210 Quelqu’un peut dire: «Eh bien, eh bien, je peux
crier aussi fort que vous. Que Dieu soit béni, le Saint-Esprit tombe
sur moi!» Cela pourrait être absolument vrai, mais la vie qu’il mène ne
reflète pas ce qu’il dit. Voyez-vous? C’était de l’ivraie, c’était
l’ivraie au départ.
211 Eh bien, nous abordons maintenant une question
importante, voyez-vous, sur l’élection, voyez-vous. Ainsi c’est… Vous
devez être ainsi. Vous comprenez cela.
212 C’était un grateron dès le départ; c’était un blé
dès le départ. Ainsi, la sécheresse est survenue; et la pluie est
tombée sur les justes et les injustes. Bien, compris?
[Un frère demande: «Qu’en est-il des fruits pour un
prédicateur? Serait-ce… Est-ce le fait de prêcher la Parole?» – N.D.É.]
213 Ça, c’est le prédicateur, même s’il se tenait là
et qu’il prêchait la Parole comme un archange, voyez-vous, qu’il
comprenait les mystères de la Bible et se montrait un très bon pasteur,
rendant visite aux gens et des choses de ce genre, il pourrait
cependant être perdu. Voyez-vous? Ce sont toujours ses fruits qui
montrent cela, frère. Voyez-vous? Peu importe combien il est bon ou ce
qu’il est, il doit avoir le Saint-Esprit dans sa vie. Voyez-vous?
214 Eh bien, Jésus n’a-t-Il pas dit: «Beaucoup
viendront à Moi en ce jour-là et diront: ‘Seigneur, n’ai-je pas
prophétisé (prêché) en Ton Nom, et n’ai-je pas fait des miracles en Ton
Nom?’» Il se pourrait qu’il ait parlé en langues, qu’il ait fait des
miracles, qu’il ait donné l’interprétation, les mystères de Dieu et
toutes ces choses-là; Il a dit: «Retirez-vous de moi, vous qui
commettez l’iniquité, Je ne vous ai jamais connus.» Voyez-vous ce que
je veux dire?
[Frère Taylor demande: «Que dire de l’homme qui
apporte un – un faux message? Je veux dire, quelqu’un qui pense qu’il
dit la vérité, mais qui prêche ce qui est faux.» – N.D.É.]
215 Bien, je crois que cet homme est sincère, comme
le frère qui est assis ici, qui voulait retourner à sa… retourner à des
choses de ce genre. Si cet homme est un élu de Dieu, et qu’on lui
présente la Vérité, il – il La reconnaîtra. Voyez–vous? «Mes brebis
connaissent Ma Voix.» Vous compr–… Voyez-vous ce que je veux dire,
Frère Taylor? Est-ce de cela que vous parliez? Voyez-vous?
216 Eh bien, disons par exemple que frère Crase –
Crase – Crase… supposons qu’il soit un prédicateur baptiste et qu’il
n’ait jamais rien su du baptême du Saint-Esprit, ni rien de ces choses
(les dons de l’Esprit) et qu’il fût un prédicateur baptiste bon et
fidèle. Voyez-vous? Mais ensuite, vous savez, on lui présente ceci. Et
je crois que chaque enfant de Dieu sera… Chaque âge lancera son filet
jusqu’à ce que Lui l’attrape. Le Royaume ne peut pas venir avant que la
volonté de Dieu soit faite. C’est juste. Et nul ne sera perdu,
voyez-vous. Eh bien, voyez-vous, c’est ainsi.
217 Et le Royaume des Cieux est semblable à un homme
qui a jeté un filet dans la mer et qui l’a tiré. Quand il l’a fait, il
en a attrapé de toute espèce. Il garda le poisson, et rejeta les
tortues, et les tortues d’eau douce retournèrent dans l’eau. Il jeta à
nouveau le filet, il en attrapa encore, peut-être qu’il n’attrapa qu’un
seul poisson. Mais Il continua à jeter la seine jusqu’à les attraper
tous. Voyez-vous maintenant ce que je veux dire?
218 Mais ce poisson était poisson dès le départ. Ils
étaient mis au service du Maître, c’est tout, Il les a mis dans un
autre étang, meilleur et plus clair. Mais Il continuait encore à pêcher
à la seine dans cet étang des grenouilles jusqu’à ce qu’Il fit sortir
toutes les perches. Voyez-vous ce que je veux dire? Saisissez-vous ce
que je veux dire, Frère Taylor. Vous devriez le savoir par les vôtres
qui sont là-bas.
Très bien, maintenant:
113. A-t-on – a-t-on chaque fois
le contrôle de l’Esprit, concernant le moment et la manière d’agir?
219 Oui, monsieur. Oui, monsieur. Le Saint-Esprit a
le contrôle. Oui, monsieur. Il a le contrôle sur vous et vous avez le
contrôle sur Lui, et Il ne vous fera jamais faire quelque chose de
contraire aux Écritures. Il fera… «L’Esprit ne fait rien de
malhonnête.» C’est juste. Très bien.
220 «De la part de quelqu’un qui vous aime…» Oui,
c’est…?… Très bien. Maintenant, nous allons passer à autre chose ici et
nous allons voir où nous en sommes.
221 Bien, je pense que c’était l’essentiel. Eh bien –
eh bien alors que je lis celle-ci maintenant, s’il y a une question… Y
a-t-il une autre question sur ceci? Le comprenons-nous tous?
Comprenons-nous comment nous y croyons? [Un frère dit: «J’ai une
question.» - N.D.É.]
222 Allez-y. Toujours sur ceci? Très bien. [«Oui, en
rapport avec celle-là. J’ai hésité un peu, mais…»] N’hésitez pas, c’est
– c’est… [«Vous avez parlé d’un homme qui prêche, disant que s’il ne
prêche pas le message que Christ a apporté, peu importe ce qui se passe
dans son ministère, quand il entre en contact avec la Vérité et qu’il
La rejette, qu’arrive-t-il à ce moment-là?] Il est perdu. Excusez-moi
un instant pour… [«Si on considère la prédestination ou plutôt son
ordination en venant dans le monde?»] C’est juste. C’est juste.
Voyez-vous? [«Alors, comme tel, il ne devait pas l’être?»] Il ne devait
pas l’être au commencement, voyez-vous? «Ils sont sortis du milieu de
nous, parce qu’ils n’étaient pas des nôtres.»
223 Par exemple, c’est comme ceci, c’est la même
chose que dans Hébreux 6. Voyez-vous? Les gens interprètent tellement
mal cette Écriture, ils pensent que c’est «impossible». Il a dit: «Il
est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, et qui ont eu
part au Saint-Esprit et qui sont tombés…» Voyez-vous, ils ne L’ont
simplement pas reçu. Il dit: «Il est impossible que ceux qui ont été
une fois éclairés et qui ont eu part au Saint-Esprit, puisqu’ils sont
tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils
crucifient pour leur part le Fils de Dieu et L’exposent à l’ignominie;
ceux qui ont tenu pour profane le Sang de l’Alliance avec lequel Il fut
crucifié et qui ont méprisé les oeuvres de la grâce.»
224 Eh bien, pour moi, c’est une révélation.
Assurément. C’est exactement comme Actes 2.38, et Actes… et Matthieu
28.19. Vous devez simplement saisir Cela, voyez-vous.
225 Maintenant, observez, voici la chose, la même
chose. Eh bien, maintenant, il parle aux Hébreux. Voyez-vous?
Maintenant, si vous continuez à lire le chapitre, plus loin il continue
en disant: «Car c’est une chose terrible que de tomber – de tomber
entre les mains du Dieu Vivant.» Maintenant, voici – voici un homme
exactement comme ce croyant limitrophe. Voici – voici un… C’était donc
la même chose ici, j’ai un parfait exemple à l’esprit.
226 Dieu a appelé Israël à sortir de l’Egypte. Tout
ce peuple sortit, chacun d’eux fut délivré, traversa la mer Rouge pour
entrer dans le désert. Est-ce juste? La mer Rouge… Quand ils furent
prêts, qu’ils écoutèrent le Message de Moïse, ils se mirent en marche
(justification), ils avaient fait demi-tour et s’étaient mis alors en
route.
227 Ils arrivèrent à la mer Rouge (le Sang), et
traversèrent la mer Rouge, et derrière eux, tous les tyrans étaient
morts. A ce moment-là, ils n’étaient qu’à trois jours de la terre
promise, voyez. C’est tout ce qu’il y avait, moins de 64,36 km,
voyez-vous. Ainsi ils étaient là, rien que deux jours auraient suffi
pour les amener là-bas.
228 C’est ce que je compte prêcher à Phœnix dans
quelques jours, à la rencontre des Hommes d’Affaires: «Rester sur cette
montagne». Mais Il les garda juste là pendant 40 ans, parce qu’ils…
Oui, oui. Voyez-vous?
229 Alors, ils arrivèrent à cet endroit mais ils
regardèrent en arrière (sanctifiés): «Oh, alléluia! Dieu soit loué!
Gloire à Dieu! Alléluia! Les vieilles choses qui, autrefois, me
faisaient souffrir sont restées là, mortes. Ces sales cigarettes que je
fumais jadis sont mortes. Cette sale liqueur que je buvais jadis a été
engloutie dans la mer Rouge du Sang de Jésus-Christ. Oh! Gloire à Dieu!
Alléluia!»
230 Chacun d’eux est alors arrivé là pour prendre
Canaan, et ils ont traversé le Jourdain. Eh bien, Il a pris un
représentant de chaque tribu. Est-ce juste? Et il les a envoyés de
l’autre côté. Eh bien, certains d’entre eux dirent: «Ah, ah, ah, nous
n’y arriverons pas. Non, cela – cela… Eh bien, nous avons l’air des
sauterelles à côté d’eux!» Voyez-vous?
231 «Maintenant, à quelle sorte d’église pourrais-je
prêcher si j’enseignais le Saint-Esprit ainsi que toutes ces choses de
cette façon-là? Eh bien, je n’aurais personne. Mes méthodistes, mes
baptistes, mes presbytériens s’en iraient.» Qu’ils s’en aillent. Ils
étaient des boucs dès le départ. Vous avez besoin des brebis,
voyez-vous. Voyez-vous? Ne paissez pas les boucs. Paissez les brebis. A
quoi bon paître les boucs alors que…?… leur temps et qu’il y a des
brebis à paître? Voyez-vous? Et ainsi – ainsi vous êtes ici,
voyez-vous. J’ai toujours dit que j’aimerais mieux prêcher aux quatre
poteaux, et prêcher la Vérité à l’Église. Oui, monsieur, venez ici.
232 Mais, maintenant, vous voyez, qu’ont-ils fait?
Ils sont revenus, et Josué et Caleb, deux pour cent ou, est-ce un
pourcentage de ce genre… deux sur – deux douzièmes d’entre eux, deux
douzièmes. Eh bien, il y en avait douze, c’était deux sur douze, deux
douzièmes d’entre eux croyaient cela. Ils traversèrent et entrèrent
simplement dans la terre promise et dirent: «Dites donc, c’est un
endroit où il fait bon vivre.» Les pauvres Josué et Caleb, eh bien, ils
croyaient dans la Parole. Dieu leur donna cela, en disant: «Cela vous
appartient.» Ils y sont allés, ils ont arraché une grosse grappe de
raisins, et les voici revenir, la transportant comme ceci. «Allons-y,
frères! C’est un endroit merveilleux! Mangez». Voyez-vous, des raisins
d’environ cette grosseur.
233 Et, oh, mon vieux, ils les virent et dirent: «Ah,
nous n’y arriverons pas.» Quand ils s’en retournèrent, ils dirent:
«Non, frères, ce Moïse nous a amenés ici dans le désert», ce
Saint-Esprit (voyez-vous) qu’il représentait, «nous a amenés ici dans
le désert. Et nous voilà ici, notre ministère est ruiné, et nous
n’aurions pas dû faire quelque chose de ce genre.»
234 «Retournez», voyez-vous, «ceux qui ont été une
fois éclairés», justifiés par la foi, sanctifiés. Voyez-vous? Ils
arrivèrent jusqu’à ce deuxième autel et jetèrent un coup d’œil à la
terre promise. «Nous qui avons été une fois éclairés et qui avons été…
avons goûté les dons célestes…» Vous voyez, qui ont goûté Cela. Ils
ramenèrent cela. Nous voyons que c’est juste. En fait, nous voyons
cela, «…goûté les dons célestes, qui avons eu part à cette Chose, vous
voyez, ce Saint-Esprit, qui ont eu part à Cela.»
235 «C’est bien, dites donc, regardez cet – cet
homme. Eh bien, je sais qu’il était aveugle, maintenant il voit.
Regardez ce vieux… Dites donc, qu’est-il arrivé à cet homme? N’importe
qui pensait que cet enfant-là sans instruction… il est là dans le
monde, accompagné par un Feu.» Voyez-vous? Voyez-vous? Voyez-vous?
236 Et qui sont ensuite tombés, voyez-vous, et qui
sont… soient encore renouvelés, soient encore ramenés à la repentance,
soient ramenés pour prêcher la repentance au lieu de ce qu’Il a dit en
premier, posant le… que nous… Vous savez, poser de nouveau le fondement
du renoncement aux oeuvres mortes, et ainsi de suite. C’est ce que nous
ferons, Dieu voulant. Voyez-vous, voyez-vous? Nous le ferons.
Retournons donc poser de nouveau ce fondement, mais retourner pour nous
repentir, nous repentir d’en avoir été là. Je regrette d’en avoir été
là, et d’avoir tenu pour profane le Sang de l’alliance par Lequel j’ai
été sanctifié, et d’avoir outragé les oeuvres de la grâce.» Il est
mort, frère! C’est tout! C’en est fini de lui. Voyez-vous?
237 Eh bien, maintenant, voyez-vous, il est
impossible qu’un enfant élu fasse cela. Il ne va pas faire cela. «Mes
brebis connaissent Ma Voix.» S’il est appelé en Canaan ou n’importe où,
il ira. Voyez-vous? «Mes brebis connaissent Ma Voix.»
[Un frère demande: «Et on doit aussi croire Actes
2.38, n’est-ce pas? – N.D.É.]
238 Il faudrait accepter cela, chaque portion de
l’Écriture, considérer le tout. C’est tout à fait vrai, frère.
114. Y a-t-il deux – y a – y
a-t-il deux différents types de langues dans la Bible? Y a-t-il une
différence entre les langues parlées dans une prière individuelle et
celles parlées dans l’église où l’interprétation est requise? Le jour
de la pentecôte, les hommes de différentes nations comprenaient ces
langues; mais dans I corinthiens 14.2, les langues inconnues
s’adressent à Dieu, et non aux hommes. I corinthiens 13.1 montre qu’il
y en a qui appartiennent aux hommes… (C-o-r, je pense que c’est
Corinthiens 13, qui…)… Appartiennent aux hommes et d’autres aux anges.
Oh, oui, voyez-vous. Eh bien cela… Maintenant,
frère, qui que vous soyez, vous – vous avez vous-même répondu ici.
Voyez-vous? Voyez-vous?
Existe-t-il deux langues différentes? (Il existe
plusieurs langues différentes. Voyez-vous?) Y a-t-il deux langues
différentes dans la Bible, deux langues différentes?
240 Le jour de la Pentecôte, chaque nation sous le
ciel y était représentée dans ces langues. Voyez-vous? Très bien.
Et y a-t-il une différence entre les langues parlées
dans une prière individuelle et celles parlées dans l’église où
l’interprétation est requise? Oui.
241 Ce que vous demandez ici, Paul en a aussi parlé
ici dans les Corinthiens, et il a dit: «Il y a des langues des anges et
il y a des langues des hommes.» Maintenant, les langues des anges,
c’est quand l’homme parle en prière, quand c’est entre lui - lui et
Dieu seul. Mais quand il parle une – une langue, cela doit être
interprété dans l’église pour l’édification de l’église. «Celui qui
parle dans une langue inconnue s’édifie lui-même, mais celui qui parle…
celui qui prophétise édifie l’église.»
Ainsi, il a dit: «J’aime mieux dire cinq paroles
avec mon intelligence que dix mille paroles dans une langue inconnue
(sauf) à moins qu’il y ait une interprétation.» Ainsi, c’est – c’est ce
qui est donc donné par la prophétie qui édifie. Comprenez-vous ce que
je veux dire?
242 Bon, le… Il y a donc deux langues différentes:
celle des hommes et celle des anges. Voyez-vous? Et Paul dit: «Quand je
parlerais les langues des hommes et des anges», voyez-vous. Les deux
langues, celle des hommes et celle des anges, celle qui ne peut pas…
243 Maintenant, c’est là-dessus que les
Pentecôtistes, ceux qui parlent de l’évidence des langues ont dit,
m’ont dit: «Eh bien, Frère Branham, vous êtes tout embrouillé!»
244 J’ai dit – j’ai dit: «Eh bien, si vous comprenez
cela selon Actes 2.4, alors tout le monde vous a entendus parler dans
sa langue maternelle.»
«Oh, a-t-il dit, mais non, non, a-t-il dit.»
J’ai dit: «Bien sûr que oui, monsieur.»
245 Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, vous êtes tout
embrouillé.» Il a dit: «Vous parlez de…» Il a dit: «Il y a les langues
des ‘anges’. C’est l’ange du Saint-Esprit qui descend et vous parle.»
246 Eh bien, c’est très bien, voyez, c’est comme s’il
s’agissait d’une bonne part de vérité, mais ce n’est pas toute la
Vérité. Quand Satan dit à Ève: «Vous ne mourrez certainement pas»,
c’était un… il lui dit une bonne part de vérité, mais ce n’était pas la
Vérité. Voyez-vous?
247 Alors, il a dit: «Les hommes et les anges, et
l’ange dont il parlait était…»
248 Maintenant, voyons comment cela ne blague pas
avec les Écritures. Voyez? Eh bien, ça ne concorde pas, c’est ce que je
veux dire. Pardonnez-moi, je n’ai pas voulu dire «blaguer» avec les
Écritures. J’ai voulu dire «concorder» avec les Écritures, ou «se
conformer, s’ajuster» aux Écritures, c’est cela le terme approprié.
249 Il dit: «Maintenant, les hommes parlent les
langues des anges, dit-il, ce sont les langues du Saint-Esprit, dit-il,
eh bien, c’est quand vous, nous et les autres avons reçu le
Saint-Esprit.»
250 J’ai dit: «Est-ce que… Quand et où L’avez-vous
reçu?» Bien, il me dit exactement l’endroit, la minute et l’heure. Je
ne doute pas qu’il l’ait reçu. Je n’ai aucun… Je ne suis pas son juge.
Il dit: «C’est là que j’ai parlé en langues.» Il connaissait exactement
l’endroit. Il a dit: «Quelque chose m’était arrivé.»
251 J’ai dit: «Je crois cela. Vous voyez? Mais ce
n’était toujours pas l’évidence que vous aviez reçu le
Saint-Esprit, mon gars.»
– Oh, si! dit-il, cela – ça l’était!
Et… «Non.»
Il a dit: «Eh bien, regardez, j’aimerais vous dire
quelque chose, frère.»
252 J’ai dit: «Votre auditoire, cette église là à
Indianapolis, où vous avez dit que vous L’avez reçu, ces gens vous
ont-ils entendu parler anglais, parlant de la résurrection, et de la
puissance de Dieu, et tout?»
Il a dit: «Eh bien, non! J’ai parlé en – en langues
inconnues.»
253 J’ai dit: «Vous ne l’avez jamais reçu selon Actes
2.4, parce que chaque… pas un seul mot n’était inconnu. ‘Nous les
entendons dans notre propre langue à chacun.’»
254 «Oh, a-t-il dit, Frère Branham, je vois par où
vous avez de la confusion.» Il a dit: «Voyez-vous, a-t-il dit, il
existe des langues qui sont les langues des anges, quand vous recevez
le Saint-Esprit, a-t-il dit, alors vous parlez en langues et personne
n’a à interpréter cela, c’est – c’est le Saint-Esprit qui parle.
Voyez-vous? Mais alors, vous avez un don de langues, et cela doit être
interprété.»
255 J’ai dit: «Alors, vous mettez la charrue avant
les bœufs. Le jour de la Pentecôte, ils ont mis la charrue avant les
bœufs. Avant qu’ils n’aient reçu le Saint-Esprit, les langues
inconnues, ils ont parlé en des langues qui furent comprises.»
Voyez-vous? Ainsi, réellement cela…
256 Il existe deux langues différentes. Les langues
des anges, c’est quand l’homme parle à Dieu là, quelque part dans une
prière personnelle; il parle à Dieu dans des langues des anges. Je
pourrais vous donner un cas à l’instant, mais je n’en ai pas le temps.
Vous souvenez-vous quand cette dame est venue dans cet
auditorium, là à… d’où vient le Docteur Alexander Dowie – Zion. Vous
souvenez-vous que j’y étais? Et Billy m’a suivi là pour m’amener à la
réunion, et j’ai dit: «Billy, retourne.» Et je… Il a dit: «Pourquoi
pleures-tu? Quelqu’un est venu ici?»
257 J’ai dit: «Non. Retourne, dis à frère Baxter de
prêcher ce soir.»
258 Je me suis jeté à terre et j’ai dit: «Seigneur,
qu’est-ce que j’ai?»
259 Et tout à coup, j’entendis quelqu’un à la porte,
parler en d’autres langues. Je me suis dit… c’était de l’allemand. Je
me suis dit: «Eh bien, cet homme est monté lui chercher un…» J’ai cessé
de prier, vous savez, je l’écoutais, me tenant là ainsi. Et je me suis
dit: «Eh bien, comment cet homme comprendra-t-il cela?» Je connaissais
l’homme qui dirigeait ce motel, c’était à environ 8 km de la ville,
vous savez. Je devais y aller (il y avait beaucoup de gens), c’était
une petite ville. J’ai dit: «Eh bien, c’est étrange! Hum!» Et j’ai dit:
«Il… eh bien, dis donc, avez-vous déjà entendu un… ce que… C’est à
peine si cet homme retient son souffle.» Voyez-vous, c’est ce que je me
disais: «Tellement il parlait rapidement!» Eh bien, j’ai dit: «Eh bien,
cela… eh bien, c’était moi!» Aussi, suis-je resté vraiment tranquille.
Il n’a rien dit. Il est resté vraiment tranquille. Après un moment, il
s’est arrêté de parler, et alors, c’était comme si je pouvais traverser
une troupe et sauter par-dessus un mur.
260 Et je suis sorti, et Billy franchissait le
portail et je lui ai dit en criant: «Attends une minute!»
261 Il est revenu, il buvait un soda. Et il a dit:
«Papa, qu’y a-t-il?»
262 J’ai dit: «Attends une minute, juste une minute,
je vais avec toi.»
263 Je me mis à me laver le visage très rapidement.
Il a dit: «Qu’y a-t-il?» Il se garde bien de me parler quand je vais à
la réunion. Il a dit: «Qu’y a-t-il?»
264 J’ai dit: «Rien, rien, rien, rien du tout. Allons
simplement à la réunion.»
265 Nous sommes allés à la réunion, frère Baxter
était assis là, en train de jouer: «Il n’y a rien entre mon âme et le
Sauveur.» Il est venu et a dit: «Ouf! Je pensais que vous ne viendriez
pas!» J’ai dit: «Chuuut!» Je suis monté et je me suis simplement mis à
prêcher.
266 Quand j’ai terminé, au moment où j’ai terminé de
prêcher, eh bien, dis donc, c’était comme si quelqu’un s’était emparé
du fond du bâtiment, là au fond de ce grand auditorium. On avait
installé un microphone de plus là au fond; il y avait là au fond une
femme qui faisait des va et vient dans l’allée, en criant aussi fort
que possible.
267 On vint à découvrir qu’elle avait la tuberculose
et qu’elle avait quitté Twin Cities, St. Paul; l’ambulance n’avait pas
pu l’amener parce que l’on craignait que ses poumons n’éclatent. Le
médecin avait dit: «Il n’y a rien à faire, ses poumons sont comme des
rayons de miel, avait-il dit, si jamais ils se désagrégeaient, elle
mourra. Ce sera fini.» Et quelques saints ont pris une vieille
Chevrolet, modèle 38, ils ont pris la banquette arrière et l’ont
arrangée, ils l’ont installée à l’intérieur et se sont mis en route.
Ils ont heurté une petite bosse ou quelque chose de ce genre là-bas, et
elle a commencé à faire une hémorragie, et le sang a simplement
commencé à jaillir d’elle… il sortait par le nez et tout comme cela.
Elle s’affaiblissait de plus en plus et finalement… Elle ne voulait pas
mourir dans la voiture, elle leur a demandé de s’arrêter et de la
mettre sur le gazon.
268 Ils l’ont fait sortir. Et ils étaient tous autour
d’elle, priant. Et tout à coup, elle a dit que quelque chose l’avait
touchée, et elle s’est levée. Et elle s’en est allée, criant le long de
cette route, aussi fort qu’elle le pouvait. Voilà qu’elle était à
l’église, marchant de long en large dans ces allées.
269 J’ai dit: «Sœur, à quelle heure était-ce?»
C’était exactement au moment où le Saint-Esprit parlait au travers de
moi. Qu’était-ce? Des dons.
270 C’était quoi ce – ce pauvre opossum qui était
étendu là à la porte pour que je prie pour lui? Un animal ignorant, qui
n’a même pas d’âme, qui ne sait pas distinguer le vrai du faux, voyez,
qui n’a pas d’âme (il a un esprit), qui n’a pas d’âme.
271 Qu’était-ce? Le Saint-Esprit intercédant. Dieu a
envoyé un don sur la terre, et le Saint-Esprit ne pouvait pas attendre
plus longtemps, ainsi Il est simplement venu et S’est saisi de moi et a
commencé à répondre Lui-même comme cela, à répondre Lui-même, Lui-même
intercédant. Et quand nous avons vérifié l’heure, c’était exactement au
moment même où elle… on l’avait couchée sur un endroit plat comme ça,
ils voulaient voir… car ils savaient qu’elle allait mourir, ils
devaient dire à quelle heure elle serait morte. C’était à ce même
moment que le Saint-Esprit est tombé là sur moi et S’est mis à
intercéder, à S’exprimer, à dire des choses que je ne pouvais pas
comprendre, voyez, comme ça. C’était le Saint-Esprit qui parlait.
272 Je n’avais pas à comprendre cela. Voyez, non.
C’était son… peut-être son ange, nous allons y arriver dans quelques
minutes, vous voyez, qui était venu là et qui avait donné ce message,
vous voyez.
273 Eh bien – eh bien, c’est – c’est juste. Il existe
deux différentes langues, l’une d’elles doit être…
274 Y a-t-il une question? Très bien, nous essayons
de comprendre ce que Dieu dit, vous voyez. Eh bien, j’ai… Frère
Stricker, je dirai ceci à ce sujet, quant à ceci, essayez de ne pas y
penser, voyez. Laissez simplement le Saint-Esprit parler Lui-même. Ne
cherchez pas à comprendre cela, voyez, en effet, abandonnez-vous
davantage à l’Esprit. Voyez? Car vous essayez de – de – de dire: «Hé,
que dites-vous?» Voyez? «Hé, vous me parlez? Hein?» Voyez-vous, il est…
voyez, il essaie de le faire.
115. Maintenant, est-ce correct
qu’une personne parle en langues sans interprétation quand elle prie
pour d’autres personnes à l’autel?
275 Permettez que je regarde ce que j’ai noté ici, il
me faut jeter un coup d’œil. S’il n’y a pas d’interprète, qu’ils se
taisent. Dans I Corinthiens, chapitre 1… chapitre 14, verset 28. Qui a
une Bible? [Un frère lit l’Écriture suivante: s’il n’y a pas
d’interprète, qu’on se taise dans l’église… – N.D.É.]
276 Très bien. Bien, s’il n’y a pas d’interprète dans
l’église, n’importe quand, n’importe où dans l’église, qu’on se taise
s’il n’y a pas d’interprète.
277 A l’autel, seulement si quelqu’un… Bien des fois,
on entend parler des gens qui vont à l’autel. Tout récemment, j’ai
entendu un précieux frère à l’autel; il est allé là et a secoué
quelqu’un dans le dos, et ensuite lui-même a parlé en langues, parlant
comme pour essayer de lui montrer ce qu’il devait faire. Voyez-vous,
c’est en quelque sorte essayer d’apporter artificiellement le
Saint-Esprit aux autres. Ne faites pas cela. Ce qu’il faut faire, c’est
de laisser ces gens tranquilles. Laissez-les lever leurs mains jusqu’à
ce que le Saint-Esprit entre, vous voyez. Vous voyez? Donc ça – ça
c’est – ça c’est faux. Non, on devrait se taire dans l’église, vous
voyez. [Un frère intervient: «Frère Branham!» – N.D.É.]
278 Oui, frère. [«Disons qu’une personne a été dans
une réunion, et – et d’habitude à la fin de la réunion, quand un
message est donné, la personne qui a le don est en mesure de dire, ou
plutôt peut-elle faire la différence entre le – l’ange… la langue de
l’ange ou plutôt le message qui en est sorti?»]
279 Maintenant, voyons. Maintenant,… [Espace vide sur
la bande – N.D.É.]… longtemps qu’ils entraient et écrivaient cela,
déposaient cela sur mon pupitre. Voyez? Et je le lisais simplement à
haute voix comme ça. Mais dès que j’entrais là dans cette pièce, frère,
c’était fini. Voyez?
280 Et avant d’entrer ici, ils se mettaient
là-derrière, et chacun restait calme autant que possible. Et une sœur
était là, sœur Irène, là à – à l’autel, ou plutôt là, jouant, jouant
«Là à la Croix». On ne pouvait pas… Les huissiers marchaient simplement
de long en large. S’ils voyaient quelqu’un parler, ils faisaient:
«Chut, chut, chut.» Voyez? Et si les enfants devenaient… Ils
s’asseyaient bien doucement et disaient: «Mes chéris, c’est la maison
du Seigneur. Vous ne devez pas faire cela, vous devez donc être sages
dans la maison du Seigneur.»
281 Et aux hommes et aux femmes, à tous, on
permettait d’accrocher les manteaux et des choses de ce genre.
Quelqu’un se tenait ici à l’entrée pour les accueillir aussitôt que la
porte s’ouvrait. Le… Et tout était disposé, vous savez, de sorte que
l’église soit en ordre. On leur trouvait une place assise, et on
veillait à ce que les gens soient assis.
282 Et je restais dans une pièce, priant, j’y restais
à peu près à partir de 14 heures ou 15 heures, l’après-midi. Personne
ne me dérangeait. Je sortais de là avec mon message.
283 Ensuite, juste au moment de commencer, le
conducteur de chants entonnait un cantique en disant: «Prenons le
cantique numéro tel», par exemple «A la Croix où mourut mon Sauveur»,
et ainsi de suite, vous savez, et il l’entonnait comme cela. Ensuite,
après avoir chanté environ deux cantiques de plus… On ne prenait pas
beaucoup de temps pour les cantiques; l’important c’était la Parole. Si
on veut chanter, on a à cet effet ces cantiques ordinaires. Nous sommes
– nous sommes… La Parole est la chose principale pour laquelle les gens
viennent ici, c’est une maison de correction.
284 Et puis un associé, frère George, par exemple,
frère George De Ark se lève et offre une prière. Et ensuite, nous avons
un cantique spécial, un solo par exemple ou quelque chose de ce genre.
Ensuite, c’était le moment, quelqu’un m’informait que c’était le moment
de venir. Si c’était le cas, eh bien, je sortais étant fraîchement sous
l’onction. Voyez-vous?
285 Bien, peut-être que cette semaine-là, ils ont
tenu une réunion quelque part ici à l’église, ils ont tenu leur propre
réunion à eux. Peut-être qu’avant que le culte ne commence ce soir-là,
ils ont eu une réunion. Et voilà que c’était… Je trouvais cela ici et
je disais: «Il est écrit ici sur ce papier qu’il y aura un orage dans
la contrée la semaine prochaine», ou quelque chose comme cela, quelque
chose… vous savez que quelque chose de ce genre arriverait. «Cela a été
noté, c’était un parler en langues, et ç’a été interprété par deux
saints de cette église, frère Untel et frère Untel. Deux témoins ont
attesté cela ici, ils ont signé. Et il a été attesté que cela venait de
Dieu, c’est ceci et cela, puis ceci et cela.» C’est par là que je
commençais.
286 Ensuite, je disais: «Très bien, nous nous y
préparerons, que chacun soit en prière.» Voyez-vous? «Maintenant,
quelqu’un a-t-il une requête spéciale?» Vous savez. «Prions.» On se
levait et on priait, et on passait tout droit à la Parole, directement
à la Parole.
287 Ensuite, immédiatement à la fin du service, on
faisait l’appel à l’autel, voyez. L’appel à l’autel est ce à quoi on
travaillait intensément, l’appel à l’autel; amener les gens à l’autel.
Et une fois l’appel à l’autel terminé, je priais alors parfois pour les
malades.
288 Voyez, juste quelque chose comme cela. La réunion
était entièrement sous contrôle, parce que l’esprit des prophètes est
soumis au prophète.
289 C’est ce que je pensais de… Vous rappelez-vous le
soir où je vis en vision l’Ange s’approcher de moi? J’étais assis là
dans la chambre en train de réfléchir. C’était aux environs de… oh,
tard la nuit, je disais: «L’esprit des prophètes est… Comment est-ce
possible?» Je vis cette Lumière briller, et voici qu’Il se dirigea en
marchant droit vers là où je me trouvais. Voyez? C’est alors qu’Il me
commissionna, juste-là, voyez, pour tenir ces réunions.
290 Maintenant, non, il s’agit de la – la personne
qui donne le message. C’était ça votre question, je crois. «La personne
qui donne le message, pourra-t-elle… Est-ce que – est-ce que… La
personne qui donne le message, pourra-t-elle savoir si c’est de la part
de l’Ange du Seigneur ou non?» [Un frère dit: «Non, la question était:
Vous dites qu’il y a des langues des anges…» Espace vide sur la bande –
N.D.É.]
291 Je ne pense pas qu’il le pourrait. Eh bien, c’est
ainsi que nous comprenons donc cela. Mais, vous voyez, quand nous
comprenons cela comme il faut, là où vous avez une réunion normale pour
cela, que…
292 Voyez, chacun d’eux a un ministère. Supposons que
vous, vous parliez en langues, et que celui-ci interprète, et que
celui-là parle en langues, et que l’autre prophétise; dans cette église
vous n’êtes que des laïcs, mais pourtant, vous avez un ministère et
vous avez quelque chose. Vous essayez de faire quelque chose pour le
Royaume de Dieu, de faire quelque chose pour Cela, voyez? Par
conséquent, vous frères, rencontrez-vous. La raison pour laquelle nous,
les pasteurs, nous nous rencontrons comme maintenant, c’est parce que
nous avons quelque chose en commun. Frères, rencontrez-vous, étudiez
les Écritures, parlez en langues, interprétez et donnez des messages,
vous voyez.
293 Mais, maintenant, si cet homme se rend alors
compte… Il est venu à la réunion, il a un don des langues. Eh bien,
s’il vient à la réunion et parle en langues mais qu’aucune
interprétation ne soit donnée, c’est que l’interprète ne saisit pas
cela.
[Un frère demande: «Voulez-vous donc dire que ces
gens-là édifient le corps, mais que les offices tels que pasteurs,
docteurs et autres perfectionnent le corps?» – N.D.É.]
294 Oui, c’est pour cela, pour le perfectionnement.
Voyez-vous? Ils ont été donnés pour le perfectionnement. Vous voyez? Je
crois que le – le – l’Esprit a été donné pour perfectionner, pour le
perfectionnement de l’église.
295 Eh bien, ils – ces gens qui parlent, ils sont
sans doute remplis de l’Esprit. Eh bien, voici un homme, peut-être
qu’il parle ici dans la réunion et donne… Eh bien, s’il est juste
devant les interprètes, voyez-vous, et que cependant personne ne donne
l’interprétation, il y a simplement quelque chose de faux. L’interprète
n’y peut rien, voyez-vous. Il – il doit interpréter par inspiration
tout comme celui qui a parlé en langues. Et il se pourrait qu’il ait un
véritable don de parler en langues, mais qu’il n’ait pas le don des
langues, d’une langue. Voyez, il…
296 Et puis, quand il utilise cette langue, ce qu’il
doit faire c’est… alors il voit… Bon, ce qu’il – il n’essaie pas… s’il
essaie de se gonfler, c’est un prétentieux. Il n’est pas… Il est – Il
est dans l’erreur pour commencer, vous voyez, il n’ira nulle part.
Voyez? Vous, vous dites: «Eh bien, que Dieu soit béni, cet homme ne
veut simplement pas interpréter mes langues. Voilà tout.» Eh bien,
voyez-vous, il est dans l’erreur pour commencer. Dans ce cas-là, son
mobile n’est pas – n’est pas juste, son objectif n’est pas juste.
Voyez-vous?
297 Mais s’il est doux et humble, il dira: «Eh bien,
peut-être que le Seigneur n’a pas voulu m’utiliser à Son service. Mais
toutefois je… Il bénit simplement mon âme. Il veut m’édifier, pour que
je sache que je suis près de Lui quand je parle en langues. Ainsi,
j’irai dans la pommeraie et dirai: ‘Ô Dieu!’ Et la puissance se mettra
à descendre sur moi et je me mettrai à parler en langues. Je serai
revigoré.» Voyez-vous? «Oh, Tu vois, Tu me parles, Seigneur; Tu me
gardes en ligne par le parler en langues.» Voyez-vous? «Et, Seigneur,
aujourd’hui, j’aurai dû parler à cet homme-là. Pardonne-moi cela,
Seigneur. Je – je – j’ai négligé quelque chose que je ne devrais pas.
Père, je T’en prie, pardonne-moi.» Et directement, il se met à parler
en langues. «Ah, fiou, je me sens mieux à ce sujet maintenant!»
298 Voyez-vous, c’est très bien. Vous voyez, votre –
votre don ne doit pas être utilisé dans l’église, mais il est destiné à
vous édifier. «Celui qui parle dans une langue inconnue (inconnue)
s’édifie lui-même.» Voyez, maintenant, s’il n’y a pas d’interprète,
alors… Comprenez-vous ce que je veux dire? Voyez-vous, c’est cela.
Ainsi, il ne le saura pas lui-même. Seulement il… Mais il le saura
quand il tombera dans l’erreur. Bon, maintenant, laissez simplement
cela aller de pair, vous voyez, c’est tout ce que vous pouvez faire
avant de séparer cela. C’est la raison pour laquelle je pense que cela…
116. Expliquez I Corinthiens 14.5.
299 Qui l’a vite trouvé? L’un de vous l’a-t-il
trouvé? [Espace vide sur la bande. Un frère lit I Corinthiens 14.5 –
N.D.É.]:
…vous parliez tous en langues, mais encore plus que
vous prophétisiez.
Celui qui prophétise est plus grand que celui qui
parle en langues, à moins que ce dernier n’interprète, pour que
l’église en reçoive l’édification.
300 Très bien. «Je désire plutôt… Je désire que vous
parliez tous en langues.» Paul essayait de dire… Supposons que
l’église, que vous – vous soyez mon église. Certaines des églises de
Paul n’avaient pas autant de membres que ce que j’ai ici. C’est vrai,
des fois dix ou douze. Voyez-vous? Voyez-vous? Or – or, il dit: «Je
désire que vous parliez tous en langues.» Cela vous étonne-t-il?
301 Voyez-vous, quand la – la – l’église que le… Dans
Actes 19, je crois qu’il y avait une douzaine de membres dans l’église.
Voyez? Juste très peu, des missions, vous voyez. Ainsi, cela a toujours
été une minorité, vous voyez. Et je pense qu’il est dit qu’il y en
avait presqu’autant, une douzaine d’hommes et de femmes, vous voyez.
302 Maintenant, si vous – vous remarquez bien ici, il
dit: «Je désire que vous parliez tous en langues. Je – je souhaite que
vous parliez tous, que tous parlent en langues; soyez si remplis du
Saint-Esprit que vous parlerez en langues. Mais, ajoute-t-il, je désire
plus encore que vous prophétisiez; à moins que ça soit interprété,
qu’il y ait une interprétation.»
303 Qu’est-ce qui est dit là? Qui… L’avez-vous là,
juste là…?… Lisons-cela une fois de plus. Écoutez maintenant. [Un frère
commence à lire I Corinthiens 14.5: «Je désire que vous parliez tous en
langues,…» – N.D.É.]
304 Eh bien, attendez une minute, «Je désire que vous
parliez tous en langues.» [«… mais plus encore que vous prophétisiez…»]
«Je désire encore plus que vous tous prophétisiez.» [«… car celui qui
prophétise est plus grand que celui qui parle en langues,…»]
Maintenant, attendez une minute.
305 Eh bien, qui est plus grand que celui qui
prophétise? C’est là que vous vouliez que je m’arrête? [Un frère dit:
«J’ai simplement dit: ‘Etait-ce… de différent?’» – N.D.É.] Oui,
voyez-vous? Oui. Voyez? Maintenant c’est ici que…
306 Eh bien, supposons, par exemple, que nous ayons
là deux hommes du peuple parmi nous ce soir. Ils ne savent rien de
ceci, j’entre et vous tous êtes… Nous commençons cette réunion et – et
vous vous mettez tout simplement à parler en langues, vous tous, et
sans arrêt vous parlez en langues. Eh bien, qu’est-ce? Voyez-vous?
L’homme du peuple dira: «Euh! Ils sont tous fous (voyez?)!» Mais si
quelqu’un prophétise, voyez, alors, il dira quelque chose que cet homme
peut comprendre.
307 Bon, continuez et lisez maintenant la suite. [Le
frère continue: «… à moins qu’il interprète…,» – N.D.É.] Vous y êtes.
Maintenant, «à moins que», voyez… Je – je voudrais… celui qui – celui
qui prophétise est plus grand que celui qui parle en langues, à moins
que ce dernier donne l’interprétation. Bon, continuez, vous voyez. [«…
afin que l’église en reçoive l’édification.»] Vous y êtes, voyez,
l’église est édifiée.
308 Maintenant, en d’autres termes, eh bien,
l’église… cet homme-ci… Ici, beaucoup ici sont des hommes du peuple,
vous êtes assis parmi nous ce soir, nous tenons cette réunion. Nous
sommes tous ici cherchant notre… cherchant à connaître le Seigneur, et
vous commencez tous à parler en langues. On ne dit rien, vous vous
mettez simplement à parler en langues. «Je veux que vous… Je voudrais…
ce serait bien, a dit Paul, que vous parliez tous en langues, ce serait
bien.» Mais qu’arriverait-il si quelques-uns de vous prophétisaient, se
levaient et disaient: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, ‘il y a un homme assis
ici et c’est un étranger parmi nous. C’est monsieur Dupont. Il vient de
tel endroit. Il a laissé sa femme ainsi que ses quatre enfants. Il est
ici ce soir parce qu’il a besoin de l’aide. Aujourd’hui, il était avec
un médecin à Memphis, dans le Tennessee. Et il a dit… Le médecin lui a
dit qu’il avait un cancer des poumons. Il se meurt.»
309 Il dit: «Si tous parlent en langues, et qu’un
homme du peuple vienne parmi vous, il dira… il dira donc: ‘N’êtes-vous
pas tous des fous ou des toqués?’ Mais si quelqu’un prophétise ou
révèle les secrets du cœur, alors, ils se prosterneront et diront:
‘Dieu est réellement avec vous!’» Voyez, c’est…
310 Eh bien, maintenant tenez. Maintenant, vous
parlez en langues, et quelqu’un en donne l’interprétation, en disant:
«AINSI DIT LE SEIGNEUR (en interprétant): ‘Il y a un homme assis parmi
nous, qui a laissé sa femme, c’était aujourd’hui à Nashville (ou à
Memphis, ou où que ce soit) et il a un cancer des poumons. Il est venu
ici et c’est monsieur Dupont’», et ainsi de suite. Voyez?
311 «A moins que ça soit interprété.» Voyez, à ce
moment-là il édifie. Voyez? Alors, ils diront… Alors, cet homme s’en
ira dire: «Laissez-moi vous dire une chose; ne me dites pas que Dieu
n’est pas avec ces gens-là. Assurément! Ces gens ne me connaissent pas
du tout.» Voyez?
312 Ainsi, cherchons les dons de prophétie en plus
des dons de parler en langues. Mais quand on parle en langues, vous
voyez, il doit y avoir l’interprétation. Et alors, quand cela est
interprété, c’est la prophétie. Voyez? C’est la prophétie. Eh bien,
j’ai cette question-ci pour une minute, ainsi je – j’y arriverai aussi
vite que possible. [Espace vide sur la bande – N.D.É.]
117. Matthieu 18.10
[Un frère lit Matthieu 18.10 – N.D.É.]:
…de mépriser un seul de ces petits; car, je vous dis
que leurs anges – anges dans les cieux voient continuellement la face
de mon Père qui est dans les cieux.
313 Très bien. Maintenant, frère, qui que vous soyez,
qui avez dit ceci (bien sûr, il n’y a pas de nom, simplement de petites
notes. Vous voyez?), je suis sûr que je…
314 Maintenant, vous pouvez considérer cela de deux
façons, vous voyez. Mais je pense que pour ce qui est de
l’interprétation, comme vous m’avez juste demandé, «Expliquez ceci»,
voici comment j’interprète ceci.
315 Maintenant, que quelqu’un prenne II Corinthiens
5.1; il est dit ceci: «Si ce tabernacle terrestre est détruit…» Vous
savez ce que c’est, voyez-vous, «Si ce tabernacle terrestre est
détruit, nous en avons déjà un autre», vous le savez «qui attend». Très
bien.
316 Bien, bien, il voulait… Si vous avez bien
remarqué, dans Matthieu 18.10, Il parlait de considérer les petits
«enfants». Il y avait de petits enfants, de petits gamins, âgés de
trois ou quatre ans, Il les prit. «On lui amena des enfants
(enfant)». «Enfants» [children en anglais.] vient du mot «enfant»
[child en anglais.]. Un enfant, c’est juste un petit – petit être, non
pas un nourrisson, mais c’est entre cela et un adolescent. Voyez? Il
n’est pas encore responsable de lui-même.
317 Eh bien, Il a dit: «Gardez-vous de les mépriser.»
Si vous prenez la vraie interprétation de ce mot, c’est «maltraiter».
Voyez? «Maltraiter l’un d’eux.» Vous ne devriez jamais maltraiter un
enfant. Ce sont des enfants, ils sont ignorants. Voyez-vous?
318 Et remarquez maintenant; Il a dit: «Car ils…
leurs anges voient continuellement la face de Mon Père qui est dans les
Cieux.» Vous voyez? En d’autres termes: «Leurs anges, leurs – leurs
messagers, leurs corps, leurs corps angéliques vers lesquels ils vont
quand ils meurent, sont continuellement devant la face de Mon Père qui
est dans les Cieux.» Voyez?
319 Eh bien, si ce tabernacle terrestre est détruit,
nous en avons déjà un autre qui attend. Est-ce juste? C’est un corps.
320 Regardez ici. Si seulement j’avais le temps d’en
parler! Bien sûr, je sais que je – je n’en aurai pas. Mais, ici,
permettez-moi de vous dire cela afin que ce soit enregistré, et vous le
comprendrez de toute façon.
321 Regardez, une nuit, Pierre était en prison. On
tenait une réunion de prière là chez Jean Marc, vous voyez. Et ainsi,
l’Ange du Seigneur entra, cette Colonne de Feu, une Lumière descendit,
et Pierre crut rêver quand il vit cette Lumière S’approcher de lui.
Cela… La Bible dit: «C’était une Lumière.» Voyez? Et je crois que c’est
la Même qui est avec nous, voyez-vous. Elle descendit. Et si nous avons
les mêmes problèmes, peut-être que la même chose arrivera. Voyez? Et Il
entra là et dit alors: «Viens, allons.»
322 Ainsi, Pierre pensa: «Je rêve maintenant, ainsi,
je verrai ce que signifie ce songe.» Ainsi, il passa juste à côté des
gardes et se dit: «Oui, oui. Eh bien, nous passons, la porte s’est
ouverte toute seule!» Ils franchirent la porte suivante, qui s’ouvrit
toute seule. Ils arrivèrent à la porte de la ville et elle s’ouvrit
toute seule. Et il continuait à croire qu’il rêvait. Alors, quand il
fut là dehors, il se dit: «Bien, je suis libre, ainsi je vais
simplement chez Jean Marc communier.»
323 Les autres étaient là et disaient: «Ô Seigneur,
envoie Ton Ange délivrer Pierre.»
324 Et presqu’à ce moment-là, quelque chose fit
[Frère Branham frappe sur le pupitre. – N.D.É.]. La petite demoiselle
se dirigea vers la porte et dit: «Qui est là?» Et ayant soulevé le
petit treillis, elle dit: «Tiens, c’est Pierre!» Alors elle retourna et
dit : «Hé, vous – vous pouvez arrêter de prier maintenant, Pierre est
là.»
Quelqu’un dit: «Oh! la la! Continuez, dit-il, tu es
– tu es – tu es…» Voyez? [Frère Branham frappe encore. – N.D.É.]
325 Il dit: «Ouvrez! Je veux entrer», voyez. Et
ainsi, il dit… Ainsi elle rentra et dit: «Non, ce – c’est Pierre qui
est à la porte.»
326 «Oh, dirent-ils, on l’a déjà décapité, c’est son
ange qui est à la porte. Voyez-vous, son tabernacle céleste, il l’a
effectivement reçu, parce que ce tabernacle terrestre a été détruit;
car cela l’attendait au Ciel pour qu’il aille y entrer.»
327 C’est ce que j’ai vu l’autre jour en vision, vous
savez, quand je suis allé de l’autre côté. «Si ce tabernacle terrestre
est détruit, nous en avons un autre.»
328 Et ces petits amis qui n’ont pas encore péché,
vous voyez… Voyez?
329 Quand un bébé se – un bébé se forme dans le sein
d’une mère, aussitôt qu’il y est… Voyez? Voyez? Mais d’abord, c’est un
esprit. Et comme cet esprit commence à revêtir la chair, un petit germe
de vie commence à revêtir la chair, et aussitôt sorti de son… eh bien,
dans le sein, ce ne sont que de petits muscles qui palpitent et qui
bougent. Nous savons cela. Ce sont des cellules. C’est juste comme
lorsque vous prenez le poil d’un cheval et que vous le plongez dans
l’eau, il se tordra et se déplacera, et si vous le touchez, il saute.
C’est ainsi qu’est le bébé.
330 Et dès qu’il vient au monde et aspire son premier
souffle, il devient une âme vivante. Voyez? Parce qu’aussitôt que le
corps terrestre vient au monde, il y a un corps céleste ou un corps
spirituel qui s’en empare. Et aussitôt que ce corps naturel tombe, il y
a un tabernacle céleste qui l’attend. «Si ce tabernacle terrestre est
détruit, il y a un tabernacle céleste qui attend.» Aussitôt que le bébé
vient sur la terre, dans la chair, il y a un corps spirituel qui attend
pour le recevoir. Et aussitôt que le corps spirituel… le corps naturel
est détruit, il y a un corps spirituel qui attend là-bas. Voyez-vous?
Une «théophanie» comme on l’appelle, voyez-vous, une théophanie.
[Un frère demande: «Bien, maintenant, est-il un –
est-il temporaire, en attendant la résurrection de ce corps? – N.D.É.]
Oui, voyez-vous. Oui, oh, oui. [«Est-ce cela la condition dans laquelle
nous allons vivre jusqu’à la résurrection?»] C’est juste.
Voyez-vous? Voyez-vous?
331 Ce n’est pas encore révélé aux fils des hommes.
Je crois… Je – je sais que j’ai vu cela. Voyez-vous? Mais je ne sais
pas quel genre de corps c’est, mais je pouvais palper ces gens-là
exactement comme j’ai palpé vos mains ou quoi que ce soit d’autre. Bien
entendu, ceci est sur bande et vous pourrez l’écouter des années après
ma mort. Voyez-vous? Mais… Et cela, quoi que c’était, voyez-vous, je –
je tenais ces gens-là et je les saisissais, et c’était aussi réel que –
que vous l’êtes, et pourtant ce n’était pas… Ils ne mangeaient ni ne
buvaient. Il n’y avait pas d’ «hier» ni de «demain». Voyez-vous,
c’était l’éternité.
332 Et maintenant, quand ce tabernacle… Ils sont
allés là étant dans ce corps, ils reviennent sur la terre, et ce genre
de corps qu’ils avaient a revêtu l’immortalité. Dans un sens, la – la
poussière de la terre s’est rassemblée dans cette théophanie et ils
sont redevenus des humains, ils devaient manger comme on le faisait
dans le jardin d’Eden. Voyez? «Mais si ce tabernacle terrestre est
détruit, nous en avons un autre qui attend.»
333 Ainsi, ces petits enfants qui n’ont encore aucun
péché, voyez-vous, aucun péché, leurs anges, leurs «corps» (celui dans
lequel Pierre était revenu…), voyez-vous, attendaient. «Ils voient la
face du Père dans les Cieux.» Ils sont continuellement devant Lui; ils
le savent, c’est ça. [Un frère dit: «Mais c’est un peu difficile là où
Jésus a dit, dans la première partie de Sa résurrection, Il a dit: ‘Ne
me touchez pas.’ Il n’était pas encore monté. Et ensuite, quand Il
entra dans la pièce où Thomas était, Il a dit: ‘Viens ici, et met ta
main dans Mon côté.’» – N.D.É.]
334 C’est juste, Il n’était pas encore monté. [«Et la
– la différence entre les deux, là où Il – Il leur a dit de ne pas Le
toucher, et là où Il a dit à Thomas de venir là.»] Il n’était pas
encore monté, vous voyez. Il… [«Car Je ne suis pas encore monté vers
Mon Père.»]
335 C’est juste, voyez-vous. On ne devait pas Le
toucher jusqu’à ce qu’Il… après Sa résurrection. Il devait sortir de la
terre, vous voyez. Il sortit de la terre et marcha au milieu des
hommes, mais Il n’était pas encore monté. Il dit… Il dit à Marie, Il
dit: «Ne me touche pas.»
Elle dit: «Rabbouni.»
336 Il dit: «Touche… Ne me touche pas, car Je ne suis
pas encore monté vers le Père. Mais Je monte vers Mon Dieu, et votre
Dieu, vers Mon Père et votre Père.»
337 Et alors, cette nuit-là, après qu’Il fut monté
dans la Présence de Dieu, qu’Il fut ressuscité des morts, qu’Il eut
été dans la Présence de Dieu, Il revint, Il invita Thomas à venir
toucher Son côté. Voyez-vous? Il était monté dans la Présence de Dieu;
c’est juste. Très bien.
118. Maintenant, dans I
Corinthiens 14: «Recherchez – Recherchez l’amour. Aspirez aussi aux
dons spirituels, mais surtout à celui de prophétie.» Webster dit:
«Prophétiser c’est prédire les événements futurs, spécialement par
inspiration divine.» Un message peut-il… Eh bien, ils… ce – c’est ce
que Webster a dit et c’est ce que le – le frère a demandé. Un message
peut-il être considéré comme une prophétie quand il ne prédit pas les
événements futurs?
Non, monsieur. Prophétiser, c’est «prédire».
Voyez-vous? Très bien.
119. Maintenant, I Corinthiens
14.27: Je crois que tous les messages devraient être interprétés et
qu’on ne devrait pas donner plus de trois messages en langues au cours
d’une seule réunion.
338 C’est l’Écriture. Je l’ai notée ici. Bien sûr,
nous ne sommes pas… Cela nous est familier, nous savons cela.
Voyez-vous? C’est… Oui, monsieur. C’est… Il doit y en avoir seulement
trois, chacun à son tour. Cela se trouve aussi dans I Corinthiens 14.
Voyez-vous? C’est juste, «trois, chacun à son tour». Maintenant,
surveillez cela dans vos réunions, frères. Eh bien, vous – vous verrez
donc cela se faire, vous verrez beaucoup de gens s’enthousiasmer. Mais
ne dites donc pas qu’ils n’ont pas le Saint-Esprit. Mais, voyez-vous,
Paul est allé mettre l’église de Corinthe en ordre. Nous savons tous
cela, n’est-ce pas? Il devait la mettre en ordre. Et il dit: «Que tout
se fasse avec bienséance et avec ordre.»
339 Eh bien, si vous faites attention, Paul, en y
allant, avait toujours eu des problèmes avec l’église de Corinthe. On
ne le voyait jamais agir ainsi dans… Il n’a jamais rien dit de tel à
l’église d’Ephèse; il pouvait leur enseigner la sécurité éternelle. On
ne faisait pas allusion à la sécurité éternelle dans la – l’église de
Corinthe. C’étaient toujours des bébés, agaçants; «l’un a une langue,
l’autre a un cantique.» N’est-ce pas vrai? Et si vous laissez votre
congrégation commencer avec cela…
340 C’est comme Martin Luther, il était tellement
rempli de l’Esprit qu’il parlait en langues. Il dit dans son journal,
il dit: «J’ai parlé en langues, dit-il, mais si j’enseigne cela aux
miens, dit-il, ils rechercheront le don au lieu du Donateur.» C’était
juste, voyez, ils rechercheront le don au lieu du Donateur.
341 Et c’est ce que les gens obtiennent, et alors ils
sont tout agités et gonflés quand on les laisse parler en langues
ou quelque chose comme cela. Et si – si cela ne vient pas de Dieu,
alors cela ne pourra pas… n’aboutira à rien. Mais nous…
342 Maintenant, les églises modernes transforment
tout, mais ce n’est pas ce que nous faisons. Nous croyons que c’est le
don de Dieu et que cela ne peut être mis là-dedans que par l’Esprit de
Dieu. Qu’en pensez-vous, Frère Roy? C’est juste; oui, monsieur. Cela
est placé dans l’église! Cela revient à l’église. Le don de parler en
langues a une place, voyez, dans l’Église de Dieu.
343 Bon, voyons exactement maintenant ce qu’était sa
question. Il est dit ceci:
Je crois que tous les messages… (c’est juste)…
devraient être interprétés, et cela par trois, chacun à son tour.
344 C’est juste, voyez, parce que si vous laissez le…
Bon, disons, par exemple, que si vous teniez une réunion et que nous
étions assis ici et – et… Maintenant, quel bien cela ferait-il de
laisser celui-ci parler en langues, celui-là parler en langues,
celui-là parler en langues et celui-là? Eh bien, on serait tous dans
une telle confusion qu’on ne saurait même plus ce qu’on fait. Voyez?
Trois personnes, chacun à son tour, que… C’est comme Hollin, il parle
en langues, s’il parle en langues…
345 Et il doit aussi y avoir un interprète. Il doit
donc y avoir un interprète, à moins que vous-même interprétiez votre
propre langue. Bon, vous… «Que celui qui parle dans des langues
inconnues prie aussi pour interpréter.» Il peut interpréter ses propres
langues, ce qui est aussi – aussi légal que pour un interprète. Mais il
doit y avoir un interprète avant que les langues puissent être… Si vous
avez un groupe de gens qui parlent en langues et qu’il n’y a pas
d’interprète, alors, priez afin que vous-mêmes vous puissiez
interpréter ce que vous – ce que vous dites.
346 Ne le faites donc pas pour vous gonfler, parce
que vous ne vous édifierez que vous-même dans ce cas-là. Voyez? Ne
faites pas cela. Mais parlez en langues pour édifier Dieu, pour édifier
l’église. Voyez-vous, tout cela c’est pour une seule raison importante,
frère. Ces dons sont donnés pour édifier Dieu, pour édifier l’Église,
pour amener les gens à Dieu, pour leur montrer que Dieu est avec nous.
Il n’est pas un Dieu mort, Il est un Dieu vivant oeuvrant parmi nous.
Voyez?
347 Et nous devons simplement surveiller cela de très
près, parce que, frère, le diable déteste comme tout, voyez-vous, de
voir les dons véritables et authentiques. En effet, les dons sont
faibles, et il peut réellement agir sur ces dons. Frère, oh, frère, il
peut réellement imiter chacun d’eux. C’est donc la raison pour laquelle…
348 Maintenant, regardez, il y a une différence entre
un don de prophétie et un prophète, il y a un million de km de
différence. Avant qu’une prophétie… que la prophétie de celui qui a un
don ne soit communiquée à l’église, deux ou trois personnes doivent
discerner cela et dire: «Elle est vraie.» C’est vrai. Mais pas pour un
prophète, voyez-vous? Un prophète, c’est un office. Le don de prophétie
est un don. Un prophète est né prophète, il a le AINSI DIT LE SEIGNEUR,
frère, constamment. C’est simple comme tout, vous voyez. C’est ça un
prophète. Mais un don de prophétie, c’est un don, voyez-vous. L’un est
un office de Dieu, l’autre est un don de Dieu. Voyez? Et c’est cela la
différence.
349 Maintenant, les messages… bon, disons par exemple
– voici comment ça devrait se passer. Eh bien, ce soir, disons, par
exemple, que frère Junie interprète. Nous savons qu’il est un
interprète. Frère Neville est un interprète, voyez-vous, il interprète
les langues. Bien, nous savons cela. Maintenant, que se passerait-il
si, pendant que nous sommes assis ici ce soir, oh, l’Esprit de Dieu se
mettait brusquement à parler? Mon Dieu! Et nous sommes… nous avons
ceci. Nous avons… Attendez, le culte va débuter dans quelques minutes,
voyez. Nous nous – nous nous réunissons juste avant le culte. Je mets
cela dans l’ordre tel que nous l’avons ici.
350 Bien, alors, la chose suivante, vous savez, c’est
que frère Ruddell se lève et parle en langues. Attendez une minute.
Voyez? Junie ou quelqu’un ici se lève d’un bond et dit: «AINSI DIT LE
SEIGNEUR, ‘il y aura telle et telle chose.’» Les scribes notent cette
chose ici, voyez, tout ce qui a été dit; notons cela rapidement, parce
que cela… notez cela immédiatement, juste ce qu’il a dit. Très bien,
ils… si – si c’est rejeté, alors vous – vous ferez mieux de l’oublier,
voyez, de déchirer cela. Mais si ce n’est pas rejeté et que c’est
accepté par deux personnes, alors, on note cela ici, et on y appose la
signature. Voyez? Ce – ce – c’est pour votre église. C’est… Je vous le
dis, à vous tous, pour votre bien, voyez, j’ignore si cela a été fait
au début.
351 Et ce qui arrive en premier, vous savez, Hollin
se lève d’un bond, et parle en langues. Maintenant, l’interprète peut
proclamer le même message, vous voyez. Cela pourrait dire la même
chose, à savoir qu’une certaine chose doit arriver, une prophétie,
voyez-vous, quelque chose qui est sur le point d’arriver ou quelque
chose que vous devez faire. Frère Roberson se lève d’un bond, derrière,
et parle en langues. Très bien. Cela peut être toujours le même
message, la même interprétation qui est donnée, voyez, ou bien cela
peut faire trois messages.
352 Maintenant, Dieu ne donnera pas cinquante
messages en une seule soirée. Nous savons cela, parce que vous – vous
ne pourriez pas les saisir. Vous voyez? Mais tout ce qui accable
l’église, par exemple… ou quelque chose qu’elle fait, c’est pour
l’édification de l’église. Voyez? Alors, je – je – je ne permettrais
rien de plus, voyez, parce qu’il est dit: «Que trois parlent, chacun à
son tour.» Voyez-vous?
353 Juste trois, chacun à son tour, alors – alors, je
dirais: «Allez-y et notez cela, et déposez cela sur le pupitre.» Voyez?
Alors, le lendemain soir, nous nous réunissons encore. Voyez? Et si
quelque chose est censé arriver entre maintenant et demain soir, Dieu
le dira dans l’un de ces messages. Voyez-vous ce que je veux dire? Que
trois parlent, chacun à son tour. Et je pense donc que Webster dit
qu’une prophétie peut…
Une ques–… un message peut-il être considéré comme
une prophétie quand il ne prédit pas le futur?
354 Non. Si c’est une prophétie, il prophétise, il
prédit quelque chose qui arrivera, qui est vrai, en effet.
355 Très bien, et je pense… Maintenant, ceci est la
dernière question avant que nous en arrivions à celles-ci.
120. Frère Branham, quelques-unes
de ces… peuvent – peuvent-elles… Frère Branham, quelques-unes de ces
questions… C’est écrit à la machine et c’est presque effacé.
Quelques-unes de ces ques–… peuvent-elles… Frère Branham, si vous ne
vous sentez pas conduit à répondre à l’une de ces questions ou à
confier… ou plutôt à faire des observations là-dessus, (oui) à faire
des observations là-dessus, mettez-les de côté, je ne me sentirai pas
du tout froissé. Quels sont tous les devoirs d’un diacre selon les
Écritures?
356 Bien, je – je crois que ça se trouve là. Si
c’est… je sais que c’est l’un des diacres de notre église. Ainsi, je
crois qu’on a là un ordre qui en parle. Nous devons avoir davantage de
copies afin d’en donner à chacun de nos diacres si on n’en a pas. Je ne
sais pas si nous en avons une copie. Gene, un… soit vous, soit frère
Léo, soit certains d’entre eux, sur… prenez six ou huit copies et
donnez-les à nos diacres. Cela parle des devoirs, ce que doit faire un
diacre selon les Écritures.
121. Au cas où on aurait une
prophétie ou un message en langues en dehors de l’ordre, comment
devrait-on corriger cela?
357 Eh bien, ça c’est un bon cas d’urgence,
voyez-vous. Voyez-vous? Eh bien, que Dieu vous bénisse, vous le diacre
qui avez écrit ceci, parce que c’est une bonne chose. Il vous faut y
aller avec délicatesse et prudence. Bon, si vous donnez un… Si
quelqu’un vient ici dans – dans notre assemblée, ici, et qu’il donne un
message ou une prophétie en dehors de l’ordre, il n’y a absolument rien
à faire à ce sujet s’il a déjà la parole. Voyez? Seulement vous… On
sait qu’ils sont en dehors de l’ordre et cela va – cela va… peut gâcher
la réunion. Voyez? Mais si tel est le cas, la meilleure chose à faire
pour les diacres, c’est simplement de rester calmes. Voyez? Car le
prophète à l’estrade c’est lui qui, en réalité, est… Vous, vous êtes –
vous êtes sa sécurité, vous êtes ses policiers. Voyez? Vous êtes sa
garde. Voyez?
358 Maintenant, s’il s’agit de quelqu’un de notre
ass–… s’il n’est pas de notre assemblée, c’est que la personne n’est
pas enseignée, voyez-vous, elle n’est pas enseignée. C’est à cela que
nous essayons de parvenir ici, voyez, pour que nous – nous sachions ce
qu’il faut faire. Nous savons comment nous enseignons nos fidèles. Mais
si c’est – si c’est une personne qui n’est pas de notre assemblée, eh
bien, nous ne savons pas comment cette pauvre personne a été enseignée.
359 Par exemple, comme… Billy se souvient de ceci, de
Costa Mesa, en Californie. Chaque fois que je m’apprêtais à faire un
appel à l’autel, une femme se levait d’un bond, montait et descendait
les allées en courant, en parlant en langues, et elle gâchait tout
simplement cet appel à l’autel. Et je n’avais plus qu’à sortir. On
pouvait voir que l’Esprit était vraiment – vraiment attristé, vous
voyez. Tout ce qui est en ordre ne peut attrister l’Esprit de Dieu.
Voyez? [Espace vide sur la bande – N.D.É.]… juste avant qu’elle passe à
l’action, comme elle s’apprêtait, car je la surveillais. Tout ministre
fait cela quand il voit quelque chose en dehors de l’ordre. Alors,
cette femme qui était là-derrière parla à Billy, et Billy m’en parla
quand j’arrivai ce soir-là; il dit: «Papa, tu connais la femme qui a
interrompu les – les appels à l’autel, ces deux soirées?»
– Oui.
360 Il dit: «Elle était assise là, (il dit); elle a
dit: ‘Gloire à Dieu, Billy, j’ai un autre message pour ce soir!.»
361 Bien, maintenant, vous voyez, je la surveillais
dans l’audience. Il y avait là des milliers de gens. C’est quand le
Reader’s Digest a écrit l’élogieux article sur Le miracle de Donny
Morton, sur la guérison de Donny Morton, vous le savez. Ainsi, je
surveillais cette femme, et presqu’au moment où j’ai commencé à faire
l’appel à l’autel, elle… Eh bien, elle n’était pas enseignée; c’était
sans doute une bonne femme. Elle regarda autour d’elle et elle se mit à
arranger ses cheveux. Elle avait les cheveux coupés courts. Voyez?
Ainsi, voyez, elle était membre des Assemblées ou d’une de ces églises
qui – qui permettaient cela. Elle arrangea ses cheveux. Elle se baissa
et fit monter ses bas, elle s’apprêtait comme cela. Et juste au moment
où j’ai commencé à faire… à l’autel… Je dis: «Maintenant, combien ici…
Combien y en a-t-il ici maintenant qui voudraient s’avancer pour – pour
donner leur cœur au Seigneur Jésus.»
362 Elle se leva d’un bond. Je dis: «Asseyez-vous.»
Elle continua. Je dis: «Asseyez-vous!» Voyez, et frère, tout le monde…
j’arrêtai simplement. Elle fit comme si elle ne m’avait pas entendu, et
j’ai encore crié cela. Cette fois-là, elle m’entendit, parce que c’est
comme si je secouais le bâtiment par ce puissant microphone qu’il y
avait juste là. Et elle s’assit.
363 J’ai dit: «Eh bien, comme je le disais, combien
veulent venir à l’autel et donner leurs cœurs à Dieu?» Et j’ai
simplement continué la réunion. Voyez-vous?
364 Et ce soir-là, quand je démarrais le véhicule, je
fus entouré. Et voilà qu’un groupe de femmes se tenait là, tel un
groupe de poules, vous savez, disant: «Vous avez blasphémé le
Saint-Esprit.»
365 J’ai dit: «Moi?» J’ai dit: «Comment puis-je
blasphémer le Saint-Esprit en suivant la… Son… ce que disent les
Écritures?» Voyez?
366 Et cette femme a dit: «J’avais un message venant
directement de Dieu.»
367 J’ai dit: «Mais vous le donniez au moment
inopportun, sœur.»
J’ai dit: «Je ne suis pas…»
– Vous dites que cela n’était pas – n’était pas de
Dieu?
368 J’ai dit: «Je ne saurais vous le dire, Madame.»
J’ai dit: «Je – je – je crois que ça l’était, voyez.» J’ai dit: «Je dis
ceci pour votre bien, au fait je crois que ça l’était; et je crois que
vous êtes une brave femme, mais vous étiez en dehors de l’ordre.»
369 Et son pasteur se tenait là. Je savais qu’il
était son pasteur. Voyez-vous? Et j’ai dit… Je – j’ai dit: «Il n’y a
qu’une chose que je puisse dire: soit vous étiez charnelle, soit vous
avez été enseignée par un pasteur qui ne connaît rien des Écritures.»
J’ai dit: «Il devrait venir nous parler un peu sur les Écritures. C’est
une erreur, vous étiez en dehors de l’ordre. Vous avez fait perdre
beaucoup d’âmes avant hier soir et hier soir aussi, et vous auriez fait
la même chose ce soir.»
370 Et cet homme a dit: «Frère Branham, ( il a dit),
excusez-moi.»
J’ai dit: «Que voulez-vous dire?»
371 Il a dit: «Elle avait le droit de donner ce
message, vous aviez déjà fini.»
372 J’ai dit: «J’étais sur l’estrade, et l’esprit des
prophètes est soumis au prophète. J’étais encore sur l’estrade.»
Et il a dit: «Bien,…»
373 J’ai dit: «J’apportais encore le Message. Je
faisais mon appel à l’autel, c’était pour la récolte. J’avais jeté mon
filet, j’étais donc en train de le tirer. Ne jetez pas là des fils
barbelés ou quelque chose de ce genre pour déranger cela. Voyez?» J’ai
dit: «J’étais encore en train de tirer mon filet.» Et – et j’ai dit:
«Elle a empêché la – l’entrée des âmes. Le… A quoi cela vous
avancera-t-il de prêcher ou de faire quelque chose d’autre si vous
n’invitez pas les pécheurs à s’approcher?» Voyez?
374 Et il a dit: «Eh bien, son message venait après
le vôtre. Le sien ne venait pas de l’estrade… Le sien venait
directement de Dieu.»
375 J’ai dit: «Si un homme pense qu’il est spirituel
ou prophète, qu’il reconnaisse que ce que je dis, ce sont des
commandements du Seigneur. Mais si quelqu’un l’ignore, qu’il l’ignore
simplement. Nous n’avons pas de telles habitudes, l’Église de Dieu non
plus», citant Paul, vous savez. J’ai dit: «Non, monsieur, il n’y a rien
de nouveau! Il… Jésus a dit: ‘Que chaque parole d’homme soit un
mensonge et que la Mienne la Vérité.’ Paul a dit: ‘Si un Ange du Ciel
vient avec quelque chose d’autre que ce qui est ici, qu’il soit
anathème.’» J’ai dit: «Monsieur, vous êtes absolument en dehors de la
ligne.» J’ai dit: «Quel genre d’église avez-vous? Je parie que c’est un
gros tas de confusion. Voyez-vous? Si vous laissez ces gens faire cela,
comment faites-vous votre appel à l’autel? Elle a un ministère, ils ont
tous un ministère, mais un temps vous est accordé, voyez-vous, pour
votre ministère.»
376 Ainsi, c’est juste. Non, et maintenant, si cela
se passe de cette manière dans notre église, que cela vienne ainsi de
la part de quelques-uns de nos frères ou sœurs de cette église qui
parlent en langues, eh bien, après le service, que les diacres, le
conseil des diacres les réunissent et leur disent: «Permettez que l’on
fasse passer la bande qui vous concerne juste quelques minutes, vous
voyez, vous voyez. Vous êtes simplement… Ou le pasteur…» Ou bien,
dites: «Je – je suis certain que le pasteur veut vous parler.
Voudriez-vous nous voir ici dans le bureau un petit moment, voyez,
frère.» Allez-y, allez-y et parlez-lui très gentiment. Voyez-vous? Et
dites…
377 Mais, alors, s’il sort tout à fait de l’ordre et
dérange votre pasteur, voyez-vous, si – s’il dérange votre pasteur,
dans ce cas, vous les anciens, vous devriez aller vers lui et lui dire:
«Un instant!» Et si le pasteur vous fait signe de l’interrompre, alors
là il a bien discerné cet esprit-là, que cela est… qu’il est en train
d’enfreindre l’esprit de la réunion. Vous voyez?
378 Ainsi, si le pasteur s’arrête et incline la tête
avec révérence, ne dites simplement rien. Voyez-vous? Ne dites rien;
laissez faire le pasteur. Et vous, observez votre pasteur. S’il vous
fait tel signe, que vous devriez arrêter cela, alors, approchez-vous
avec un amour chrétien, et dites: «Mon frère, ma sœur (qui que ce
soit), je crois que vous êtes en dehors de l’ordre, car vous dérangez
le prophète, vous voyez. Il a un message venant de Dieu. Quand il aura
terminé avec son message, alors, nous nous occuperons de cela un peu
plus tard.» Voyez-vous, puisque cela le dérange.
379 Mais si c’est quelqu’un du dehors, et que le
pasteur s’arrête simplement avec respect et attend une minute, alors
il… probablement il reprendra, vous voyez. Voyez? Ainsi… Et si vous
remarquez, quatre-vingt-dix pourcent de fois comme cela, les
interprétations sont toujours des citations de l’Écriture ou quelque
chose de ce genre, ce qui est probablement charnel d’un bout à l’autre.
Vous comprenez ce que je veux dire par là. Voyez-vous? Très bien.
122. Est-il permis à plus d’une
personne de donner un message en langues sans interprétation?
380 Non. Ce devrait être l’un après l’autre.
Voyez-vous? Un donne… Un parle, puis donne l’interprétation. Voyez? Et
ensuite si un autre parle, qu’il y ait une interprétation, car dans le
cas contraire l’interprète ne saura quoi faire, du fait qu’il y a deux
ou trois messages ici qui lui tombent bruyamment dessus. Vous voyez, et
ça le plongera dans la confusion. Et Dieu n’est pas l’auteur de la
confusion. Voyez? Ainsi, qu’une personne parle et qu’une autre
interprète. Voyez-vous? Alors… Donnez trois messages, mais que chaque
message soit interprété.
381 Ensuite nous aurons… Par exemple, si frère
Ruddell parlait et que frère Neville donnait l’interprétation, frère
Fred se tairait tout simplement. Voyez-vous, saisissez cette
interprétation. Premièrement, elle doit d’abord être jugée, pour voir
si cela vient de Dieu ou pas, pour commencer. Vous voyez? Très bien.
Maintenant, si frère Ruddell, frère Beeler parlent ainsi que frère
Neville, le pauvre interprète aura trois messages d’un trait; quel –
quel… comment s’y prendra-t-il? Voyez? Laissez-le tranquille. Donnez le
message et ensuite, taisez-vous, attendez simplement. Que quelque chose
soit révélé à celui qui est assis à côté de lui; qu’il se taise, qu’il
reste silencieux. Voyez? Et alors, laissez venir l’interprétation.
382 Ensuite, quand vous le faites, notez cela,
ensuite voyez ce que diront ceux qui discernent. Voyez? S’ils disent:
«Bien, cela vient – cela vient de Dieu.» Très bien, il y a un message,
vous voyez, écrivez cela. Ensuite, attendez une minute. Et ensuite vous
savez, eh bien, l’Esprit va alors se mouvoir sur lui, et il parlera.
Alors, l’interprète attendra une minute pour voir ce que le
Saint-Esprit va dire. Ensuite il viendra avec ce message, vous voyez.
Et alors, il notera cela. Voyez? Et que trois parlent, chacun à son
tour.
123. Frère Branham, nous savons
que vous êtes un messager envoyé de Dieu à cet âge de l’Église. Les
signes mêmes qui ont suivi Jésus, nous les voyons vous suivre, et nous
sommes… nous comprenons pourquoi certaines personnes qui vous
connaissent mieux pensent que vous êtes le Messie. Voudriez-vous
expliquer la différence de relation que vous avez avec Dieu et celle
que vous avez avec Christ?
383 Bien, je le sais, frères, c’est vrai. Vous voyez,
mais attendons, j’ai noté quelque chose ici sur cela, juste un instant.
Voyez-vous, bien des fois, c’est mal compris. Vous voyez? Mais, alors,
quelquefois chez la personne… Et je voudrais que certains d’entre vous
prennent avec moi Luc chapitre 3, verset 15. Pendant que vous le
faites, je pourrai vous dire, quand vous l’aurez, c’est… Luc 3, c’est…
pourrait… C’est dans… Permettez-moi juste… Je ne vais pas fermer la
porte, parce qu’il n’y a personne là. Permettez – permettez-moi de vous
dire ceci, frères. Vous en avez entendu parler, c’est partout. Mais
permettez-moi de vous le dire, voyez, il doit en être ainsi. Il doit en
être ainsi. S’il n’en était pas ainsi, je me repentirai de mon Message.
384 Écoutez, frères, je vous adjure devant Christ de
vous – vous – vous tenir un peu tranquille, mais si vous étiez
spirituel, vous comprendriez. Vous voyez? Ne connaissez-vous pas la
toute première chose qu’il avait dite là à la rivière? Ne vous
souvenez-vous pas de ce qu’Il a dit? «De même que Jean Baptiste fut
envoyé comme précurseur de la Première Venue de Christ, ton Message…»
C’est le Message qui préparera la Seconde Venue de Christ. C’est ce
qu’a dit l’Ange du Seigneur.
385 Bon, remarquez maintenant. Maintenant, «De même
que Jean-Baptiste…» Eh bien, vous en avez tous entendu parler. Vous
l’avez lu dans les livres, et avez entendu parler ceux qui étaient là
et qui ont entendu cela, et tout le reste, quand cet Ange Lui-même
donna ce message, disant: «De même que Jean-Baptiste a été envoyé pour
préparer la Première Venue de Christ, tu es envoyé avec ce Message qui
préparera la Seconde Venue de Christ.» Eh bien, «le Message».
386 Eh bien, si vous remarquez, et je… Le petit
Willie qui est là a mis mon nom sous cette étoile-là, et c’est
pourquoi, j’ai passé cela sous silence, voyez, parce que je – je ne
pense pas… Maintenant, je vais être aussi honnête que possible, je ne
pense pas que j’ai quelque chose à avoir avec ce messager, vous
voyez. C’est juste. Je crois que je suis peut-être envoyé pour jouer un
rôle dans cette église, pour aider à établir ce Message là où il doit
être quand ce précurseur viendra, car il viendra.
387 Mais, je crois qu’étant ce que je suis, je suis…
Je crois que j’ai le Message de ce jour! Je crois que Ceci est la
Lumière de ce jour, et je crois que cela annonce ce temps qui vient,
vous voyez, je crois que le Message qu’Il a donné là, «le Message que
tu as»… Maintenant, si vous l’avez remarqué, cette Étoile qui s’est
levée là était une…
388 Permettez-moi de rendre cela… Je sais que je – je
ronge mon temps ici, et j’ai ces autres questions qui sont très bonnes.
Je ne veux pas… Il est – il est dix heures passées maintenant, donc… et
je sais que vous voulez rentrer chez vous. Voyez? Mais écoutez donc.
Permettez-moi de vous montrer quelque chose. Voudriez-vous m’accorder
juste – juste quelques minutes de plus? Très bien, très bien.
389 Maintenant, tenez, permettez-moi donc de vous
dire quelque chose. Eh bien, frères, que ceci reste entre vous. Vous
voyez? Eh bien, que ceci reste entre vous. Je dois vous redresser à ce
sujet, parce que vous êtes mon pasteur… vous êtes mes pasteurs et tout.
Voyez? Et je – je dois faire ceci. Et vous êtes mes frères avec qui je
travaille dans ce Message. Voyez-vous?
390 Maintenant, pour ce qui me concerne, moi, en tant
qu’homme, je suis comme vous, et pire que vous. Je – je – je… La
plupart d’entre vous tous, vous êtes venus avec un passé chrétien et
tout. «Je suis le premier des pécheurs», comme cela fut dit autrefois,
«parmi vous». Je crois que j’ai vécu la pire des vies, en tant
qu’incroyant et sceptique.
391 Mais depuis mon enfance, j’ai toujours su qu’il y
avait un Dieu, je savais que quelque chose se passait dans ma vie. Et
c’est – c’est hors de tout doute, mon frère. Voyez? Mais, laissez-moi
vous dire ceci, qu’un Message viendra – viendra et qu’un messager
viendra. Je crois que si cela doit être un homme, il – il viendra après
moi. Voyez? Ce sera… Mais ce Message que je prêche est le vrai Message
de ce jour, et c’est le dernier Message. Vous voyez ce que je fais, mes
frères? Je vous mets tous dans la même situation que moi, parce que
vous êtes, autant que moi, concernés par Cela. Vous êtes les messagers
de ce même Message.
392 Que… Tenez, j’ai une illustration. Je – je pense
que je peux mieux rendre cela par une illustration. Permettez-moi de
clôturer ceci en partie juste pour un instant. Voici Jésus, et voilà
Jésus; eh bien, si je mets ceci ici, Gethsémané, et ça ici et là. Eh
bien, vous ne pouvez pas… Je n’ai même jamais dit ceci devant cette
église. Maintenant, souvenez-vous, quel genre de lumière (étoile) a
conduit l’homme qui cherchait la sagesse, «pour nous guider vers Ta
parfaite Lumière»?
393 Je m’en vais donc m’arrêter ici juste une minute
et vous dire quelque chose. Secouons cette chose de… que Willie a faite
là, et alors, supposons donc que ce soit juste. Supposons simplement
que ce soit juste. Je ne peux pas dire cela, frères. Ce serait
prétentieux. Cela, je ne pourrais pas… Même si je croyais cela, je ne
le dirais pas. Voyez? Si quelqu’un d’autre le dit, là c’est lui.
394 Mais, ici, c’est comme me le demandaient quelques
personnes, puisqu’elles pouvaient un peu témoigner de certaines choses
qui sont arrivées. Je n’aime pas me tenir à la chaire et témoigner de
quelque chose qui s’est passé dans la réunion. Que l’organisateur ou
quelqu’un d’autre le fasse, que quelqu’un d’autre le fasse. Moi, je
n’aime pas le faire. [Un frère dit: «Les gens sont même venus vers Jean
et ont demandé: ‘Es-tu le Christ?’» – N.D.É.]
395 Oui. C’est cela, c’est à cela que j’essaie d’en
arriver. [«Es-tu le Prophète?»] Il le nia. [Il n’a pas dit qu’il était
l’un ou l’autre, il a dit: «Je suis seulement celui qui crie dans le
désert.»] «La voix de celui qui crie dans le désert.» Il se situa quant
à sa position. [Un autre frère dit: «On lui demanda s’il était le
Prophète, il dit: ‘Je ne le suis pas.’» – N.D.É.]
396 Oui, maintenant… Car le Prophète, c’était Celui
dont Moïse avait parlé. Voyez? C’est Celui-là le Prophète. Voyez-vous?
Voyez-vous? Mais il savait qui il était. Voyez? Mais alors, il dit
effectivement que… Il le leur dit effectivement, voyez, et il leur dit
effectivement: «Je suis la voix de celui…» C’était lui. Il – il dit ce
qu’il était. Voyez? Mais il était un…
397 Allez-y. [Un frère dit: «Alors quand Christ est
venu, ceux qui suivaient Jean sont venus à Lui et Il a dit… Ils
croyaient et il leur a enseigné qu’Élie devait précéder le Messie. Il
dit: ‘Si vous pouvez le comprendre.’» – N.D.É.] C’était lui. C’est
juste. C’est juste. Et Jean continua à dire: «Je ne suis rien! Je ne
suis rien! Je ne suis pas digne de délier la courroie de Ses souliers.»
398 Mais qu’arriva-t-il quand Jésus parla de lui? Il
dit: «Qui êtes-vous allés voir?» Oui. Oui. «Êtes-vous allés voir un
roseau agité par le vent? Ou plutôt «qu’êtes-vous allés voir, un homme
vêtu d’habits somptueux, luxueux et tout?» Il dit: «Ceux-là sont dans
les palais des rois. Mais êtes-vous allés voir un prophète? dit-il. Je
vous dis oui, et plus qu’un prophète.» Il était plus qu’un prophète, il
était le messager de l’alliance. C’est ce qu’il était. Il était plus
qu’un prophète. Il dit: «Parmi ceux qui sont nés des femmes il n’en est
point paru d’aussi grand que lui jusqu’à présent.» Voyez?
399 C’est ce qu’il était, voyez, il était le messager
de l’alliance. Il était celui qui L’introduisit et qui dit: «C’est
Lui.» Tous les autres prophètes ont parlé de Lui, mais Jean dit: «Le
voici.» Voyez?
400 Maintenant, observez. Maintenant, faites
attention. Les mages ont suivi une étoile. Je vais reprendre cela de
façon un peu plus simple. Voyez? Les mages ont suivi une étoile et ont
demandé: «Où est le Roi des Juifs qui vient de naître?» Vous avez
entendu le chant: «Nous avons vu Son étoile à l’est, et nous sommes
venus L’adorer.» Vous avez entendu parler de cela, lisez-le dans les
Écritures. Très bien.
Conduisant vers l’ouest, continuant à avancer
Guide-nous vers Ta parfaite Lumière.
401 Voyez-vous? L’étoile les conduisait vers la
parfaite Lumière, parce que l’étoile ne reflétait que la Lumière. C’est
là que nous sommes arrivés l’autre jour. Voyez? Combien étaient ici
dimanche pour voir cela? Vous voyez? Je venais de terminer de prêcher
là-dessus. La Gloire de la Shekinah se refléta dans l’étoile, et
l’étoile La refléta. L’Ange du Seigneur s’est tenu ici sur l’estrade,
La reflétant là à partir de la Gloire de la Shekinah. Exactement la
même chose. C’était exactement là quand on regardait ici la vraie
lumière, quand on regardait là, Elle se reflétait juste sur le côté
comme cela. Voyez?
402 Bon, notez ceci, cette étoile s’est donc levée à
l’est. Est-ce juste? C’était une grande étoile. Très bien. Et qui était
la véritable étoile terrestre lors de la Venue de Jésus? Eh bien, Jean.
Il était celui qui les conduisait à cette Lumière parfaite. Est-ce
juste? C’était à l’est, à la première apparition de Jésus. Et
maintenant, il y a beaucoup de petites étoiles qui traversent
l’horizon, jusqu’à ce qu’on en arrive à l’étoile du soir.
403 Et l’étoile du soir brille le soir. L’étoile du
matin brille le matin. Et toutes deux ont une même dimension et elles
sont du même type. Maintenant, faites le rapprochement, et vous
comprendrez. Voyez-vous? Voyez-vous, vous y êtes. Ainsi, ce n’est pas…
L’étoile n’est pas le Messie, elle reflète simplement le Messie.
404 Maintenant, l’étoile ne reflète pas sa propre
lumière. L’étoile reflète la lumière du soleil. Est-ce juste? [Un frère
dit: «Non.» – N.D.É.] Hein? [«Dans un sens. La lune reflète la lumière
du soleil; les étoiles reflètent leur propre lumière.»] Oui, la lune,…
Oui, effectivement… Effectivement, je veux dire que la lune ne fait que
refléter la lumière. Oui, maintenant, si une – si une étoile reflète sa
lumière, alors sa lumière viendrait du… de Dieu, parce que c’est
en quelque sorte un glacier. N’est-ce pas? [Le frère dit: «Un
luminaire.» – N.D.É.] Hein? Un luminaire en soi, venant du soleil.
[«Les luminaires sont plus éloignés que notre soleil.»] Oui. Et ils… on
nous dit que ces luminaires proviennent du grand luminaire. Le soleil
lançait ces missiles, et ce sont de petits projectiles brûlants comme
le soleil. Ainsi, pour nous ce sont des petits soleils. Est-ce juste?
Des petites lumières. [«Certains sont… La plupart d’entre eux sont plus
grands que notre soleil.»] Je veux dire, pour nous, pour nous,
voyez-vous. Ici nous parlons de nous. Très bien.
405 Maintenant, si pour nous ce sont des luminaires,
ou des donateurs de lumière, ils font partie du donateur principal.
Voyez? Le grand soleil nous donne la grande lumière, la lumière
parfaite. Les petits luminaires ou les petites étoiles, que nous
pouvons voir en masse, elles peuvent être loin au-delà du – du soleil
qui brille, mais ce qu’elles nous reflètent est une lumière plus
petite. Mais ils rendent simplement témoignage d’une lumière. Est-ce
juste? Alors quand le grand luminaire se lève, les petits
disparaissent. Est-ce juste? Pour nous, ce n’est pas le – le soleil, ce
sont des réflecteurs comme le soleil. Comprenez-vous ce que je veux
dire?
406 Maintenant, la plus grande parmi ces étoiles (le
matin) qui annoncent la venue du soleil, le coucher du soleil et la
venue du soleil, c’est l’étoile du matin et l’étoile du soir. Est-ce
juste? Deux des plus grandes étoiles, l’étoile de l’est et l’étoile de
l’ouest.
407 Bon, maintenant, voyez-vous où nous en sommes?
Élie était le messager qui devait saluer, annoncer la venue de l’Étoile
de l’est, et il était prédit qu’il serait le messager de la – l’Étoile
de l’ouest, ou du retour du nouveau jour, après que ce jour-ci soit
passé. Maintenant, voyez-vous ce que c’est?
408 L’Est, «il y aura de la lumière au…» Voyez? Juste
avant qu’on annonce l’arrivée du soleil sur la terre, l’étoile du matin
rend témoignage que «le Soleil vient». Est-ce juste? Voyez, c’est cela
qui amène l’étoile du matin. Bien, alors, l’étoile du matin et l’étoile
du soir sont un même type d’étoiles, et il y a de petites étoiles de
part et d’autre. Ne comprenez-vous pas ce que je veux dire? Les
messagers.
409 Bien, alors, on devrait Le considérer comme
l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, la Pierre de Jaspe et de
Sardoine. Voyez-vous ce que je veux dire? Maintenant, la venue de – de
Christ est très proche, alors le Message qu’Élie était censé prêcher
dans les derniers jours, si l’histoire se répète… De même que l’étoile
du matin a annoncé cette venue-là, l’étoile du soir annonce la venue
d’un nouveau jour, d’un autre jour. C’est alors la venue du soleil qui
annonce le – le départ du – du soleil que nous avons eu et la venue
d’un nouveau soleil, voyez, d’un nouvel âge, d’un nouveau temps qui
doit commencer.
410 Eh bien, écoutez. Si donc Jean a apporté son
message et a annoncé la Première Venue de Christ, et qu’Élie vient au
dernier jour, le prophète a dit: «Il y aura de la lumière au temps du
soir.» En d’autres termes, il y aura une lumière au temps du soir.
411 La lumière du soir, la plus grande lumière du
soir que nous avons, c’est l’étoile du soir, c’est la plus grande
lumière que nous avons. Bien, elle devrait alors annoncer le même
message que cette autre étoile. Elle annonce l’arrivée du soleil, elle
parle du soleil.
412 Or, nous sommes maintenant au temps du soir, les
lumières du soir sont ici. Cet âge est terminé. Voyez-vous ce que je
veux dire? Ce jour est passé, et on annoncera la venue d’un autre Jour.
413 Car, voyez, c’est réellement… Si quelqu’un se
tenait à l’ouest, et qu’il regardait en arrière à cette étoile-là, elle
serait à l’est. Et ainsi, vous voyez, «nous avons vu son étoile à
l’est», mais en fait ils étaient… ils étaient – ils étaient à
l’est regardant vers l’ouest, en direction de cette étoile. Est-ce
juste? Les mages étaient là à l’ouest… là à l’est, regardant en arrière
vers l’étoile de l’ouest. Voyez-vous ce que je veux dire? Mais c’était
une étoile de l’est pour ceux qui étaient à l’ouest.
414 Voyez-vous, c’est comme si nous disions… j’ai
toujours dit: «Le bas, c’est le haut.» Comment ne savez-vous pas que
c’est juste? Nous sommes dans l’Éternité, ainsi le Pôle Sud peut être
en haut et le Pôle Nord en bas. Nous ne le savons pas. Voyez-vous, le
haut c’est le bas. Voyez? Nous sommes… Nous laisserons ceci; après
ceci, nous entrerons dans l’Éternité. Elle salue, elle annonce la venue
d’une Éternité, d’un autre jour, d’un autre temps, absolument.
415 Maintenant, nous sommes au temps du soir. Nous
croyons cela. Nous croyons que la Venue du Seigneur est proche. Très
bien. Maintenant, s’il en est ainsi, alors, il doit y avoir une Lumière
du soir. Et la Lumière du soir, selon Malachie 4, devrait
«ramener les cœurs des enfants à leurs pères», au commencement.
416 Mais quand il vint la première fois, il ramena
les cœurs des pères aux enfants. Les enfants étaient ceux qu’il avait
réunis autour de lui. Il devait amener les enfants… les cœurs des pères
(les anciens, les anciens pères orthodoxes) à cette lumière qu’il
annonçait ici.
417 Mais quand il revient, il doit ramener
immédiatement (l’avez-vous remarqué, avant que le monde soit détruit,
avant «le grand et terrible jour de l’Éternel»), ramener les cœurs des
enfants aux pères, l’étoile du soir – du soir qui était l’étoile du
matin en ce temps-là. Amen.
418 J’espère – j’espère que je l’ai bien expliqué,
voyez-vous. L’étoile du soir qui était l’étoile du matin, parce que
c’est la même étoile. Nous sommes à l’ouest, regardant à l’est. Eux,
ils étaient à l’est regardant à l’ouest. C’est exactement la même
étoile. Voyez-vous ce que je veux dire? Qu’il s’agisse de l’étoile de
l’est ou de l’étoile de l’ouest, cela dépend de l’endroit où vous vous
trouvez, voyez-vous. Voyez-vous ce que je veux dire? Cela dépend de
l’endroit où vous vous tenez, voyez-vous, qu’il s’agisse de l’étoile de
l’est ou de l’étoile de l’ouest. Voyez-vous ce que je veux dire? Très
bien.
419 Maintenant, cela apporte… quelqu’un apporte la
foi des pères aux enfants; et aujourd’hui, c’est la foi des enfants qui
est ramenée à celle des pères. Vous étiez dispersés et vous êtes en
train de revenir. Ne voyez-vous pas ce que vous voulez dire? Voyez-vous
ce que je veux dire? C’est toujours la même étoile. La même chose, le
même Message, la même chose est revenue. C’est passé inaperçu.
420 Et comment reconnaissez-vous votre chemin? Je
crois que l’heure viendra où les gens découvriront réellement que la
terre ne tourne même pas. Je le crois de tout mon cœur. Je ne crois
pas… combien ils prouvent cela scientifiquement ou quoi que ce soit
d’autre. Ils ont donné beaucoup de preuves scientifiques qu’ils ont dû
rectifier, voyez-vous. Dieu a dit que la terre s’était arrêtée… le
soleil. Je veux dire que le soleil s’était arrêté, et non la terre.
Voyez-vous, le soleil. En fait, je ne crois pas que le soleil… Je – je
– je ne crois pas que le soleil fasse ce qu’ils disent qu’il fait. Je
sais que la lune se déplace et je crois aussi que le – le soleil
tourne. Voyez-vous?
421 Mais certains d’entre eux disent: «Il comprit
l’ignorance de Josué, voyez-vous, et disent-ils, Il arrêta le… dit que
c’était…» Bien, il dit: «Il arrêta la terre.»
422 Je dis: «Et puis, vous m’avez dit que si jamais
le – si la terre s’arrêtait, elle se précipiterait comme une comète
dans l’espace. Voyez-vous?» Je dis: «Alors, qu’est-il donc arrivé?»
423 Je parlais à M. Thiess ici, l’enseignant de la
Bible du Collège; vous savez qui c’était, mais c’est ce qu’il a dit. Je
dis: «Je crois que c’est ce que dit la Bible, que la terre s’arrêta…»
Je dis: «Je veux dire que le soleil s’arrêta. Josué dit au soleil:
‘Arrête-toi!’ et il s’arrêta là.»
424 Il dit: «Bien, Il arrêta simplement la terre, Il
comprit l’ignorance de Josué.»
Je dis: «Alors, vous faites la même chose par votre
intelligence.» Voyez-vous? [Un frère dit: «Je pense qu’ils peuvent
prouver scientifiquement pendant combien de temps le soleil s’était
arrêté.» – N.D.É.]
425 Oui, et là ils… J’ai aussi entendu parler de
cela. Oui, ils prétendent… J’ai entendu un astrologue ici, il y a
quelque temps, parler de cela, disant qu’ils pouvaient prouver cela. Et
au même moment où ils… quelque chose se passa dans l’atmosphère
puisqu’ils pouvaient voir où quelque chose avait eu lieu au ciel et
avait ouvert la mer Rouge en ce temps-là, et tout. Ils ont prouvé tout
cela. Bien, frère, je vous assure, des étoiles venant de quelque part
au loin ont fait quelque chose de ce genre en ce temps-là. De toute
manière, c’est trop profond pour nous.
426 Ainsi donc, la raison pour laquelle ce Message –
ce Message devra être considéré à cet égard, pour prouver que c’est un
Message. Eh bien, nous savons, frères, que l’homme ne peut pas être
Dieu. Pourtant, l’homme est un dieu, chacun de vous est un dieu. Vous
avez été créé pour être un dieu, mais pas pendant que vous êtes dans
cette vie. Voyez-vous? Jésus était un homme exactement comme nous, mais
Dieu était en Lui. La plénitude de Dieu était en Lui; nous, nous avons
l’Esprit avec mesure.
427 Mais comme cette Lumière est venue, si Elle est
la véritable Lumière qui doit annoncer le Message que Jean-Baptiste a
annoncé, comme Il l’a dit là-bas à la rivière… Et voyez un peu, comment
cela pourrait-il être – comment cela pourrait-il être autre chose?
Considérez ma personne, voyez-vous, je n’ai même pas l’instruction de
l’école primaire. Quand Il me disait les choses qui arriveraient,
aucune d’elles n’a failli. Aucune d’elles n’a failli. Regardez ce qu’Il
a fait. Regardez, Il a même…
428 Et j’ai dit aux frères, là-bas, il y a des
années, je ne sais pas qui était le plus âgé parmi nous, mais je leur
ai dit ces choses, que j’ai vu cette Lumière et quelle couleur Elle
avait, et tout. Maintenant, la photo montre que c’est vrai. Toutes ces
différentes choses prouvent que c’est la vérité. Est-ce juste? Eh bien,
alors, si c’est vrai… Et c’est la Lumière.
429 Eh bien, commencez au quat–… [Espace vide sur la
bande – N.D.É.]… C’est là avant ce 3e jusqu’au 5e versets, je veux
plutôt dire le… Commençons vers le verset 14, frère. Qui l’a? Très
bien. Commencez là aux environs du verset 14 du chapitre 3 de St. Luc.
[Un frère lit Luc 3.14-16 – N.D.É.]
Des soldats aussi lui demandèrent: Et nous, que
devons-nous faire? Il leur répondit: Ne commettez ni extorsion ni
fraude envers personne, et contentez-vous de votre solde.
Comme le peuple était dans l’attente, et que tous se
demandaient en eux-mêmes si Jean n’était pas le Christ, il leur
dit à tous: Moi, je vous baptise d’eau; mais il vient, celui qui est
plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de
ses souliers. Lui, Il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu.
430 Très bien. Qu’était-ce? Les gens étaient dans une
grande attente de l’apparition du Messie, quand ils virent ce grand
ministère oint, le ministère d’un homme venant du désert, qui tenait
ses campagnes et retournait dans le désert, bien de gens qui étaient
ses disciples dirent: «Il est le Messie.» Ils étaient dans l’attente de
cela, voyez-vous.
431 Alors, si ceci est le véritable Message de Dieu
qui prépare la Venue, celui de Jean-Baptiste, le même… par exemple la
même chose, le Message d’Élie, on devrait le considérer de la même
manière. Voyez-vous? Ainsi, je pense que c’est exactement cela la
réponse à cette question. Voyez-vous? On devrait le considérer de la
même manière. Voyez-vous? [Un frère demande: «Y a-t-il quelque chose
que nous devons faire pour essayer d’aider quelqu’un qui serait –
serait pris dans un – dans un tel conflit? Ou alors, que pourrions-nous
faire? – N.D.É.]
432 Il n’y a rien, il n’y a rien à faire. [«Un esprit
réprouvé… cela pourrait-il aboutir à un esprit réprouvé?»] Bien, cela
pourrait devenir un esprit réprouvé, si on en arrive à ceci: si l’homme
dont il est parlé témoignait qu’il était le Messie, alors nous saurions
qu’il est un faux christ. Voyez-vous?
433 Voyez-vous, tant que l’homme lui garde sa
position… Voyez-vous? Par exemple, ils ont dit à Jean, Jean n’avait
pas… Il n’y est pas mentionné qu’il aurait dit quelque chose à leur
sujet. C’étaient – c’étaient des – des gens, de – d’aimables chrétiens
qui… ou de croyants qui croyaient en Jean.
434 Et ils disaient: «Il n’y a pas de doute, cet
homme est réellement un prophète de Dieu.» Ils disaient: «N’es – n’es –
n’es – n’es – n’es-tu pas ce Prophète-là?»
Il disait: «Non.»
435 Ils disaient: «Eh bien, n’es – n’es – n’es-tu pas
le Messie?» Voyez-vous, ils – ils pensaient qu’il l’était réellement.
Voyez-vous?
Il disait: «Non.» Voyez-vous?
– N’es – n’es – ne L’es-tu pas? Qui – qui es-tu?
Il disait: «Je suis la voix de celui qui crie dans
le désert.»
436 Et puis, la Bible dit: «Les gens étaient dans
l’attente.» Qui était-ce? Ses auditeurs, ceux qui l’écoutaient, ses
disciples, ses frères. Voyez-vous? Eh bien, ils n’avaient pas
l’intention de le blesser, ils ne cherchaient pas à le blesser. Mais,
voyez, ils – ils pensaient réellement dans leurs cœurs qu’il était le
Messie.
437 Bien, maintenant, l’histoire doit se répéter en
toutes circonstances. Nous le savons. Elle doit se répéter.
438 C’est comme quand vous allez là dans Matthieu 3,
il est dit: «Afin que s’accomplisse ce que le prophète a dit: ‘J’ai
appelé mon fils hors d’Égypte.’» Eh bien, ce n’était pas… Il s’agissait
de Jésus, le Fils; mais lisez la référence; le fils, c’était aussi
Jacob. Voyez-vous? Voyez-vous? Tout cela a une double signification.
439 Ainsi, donc, si cela… si c’est… si cette chose-là
n’était pas arrivée, j’aurai toujours dit que cela devait arriver dans
le futur, parce que je sais que ce Message vient de Dieu et qu’il
annonce Christ, et c’est l’Esprit et la puissance d’Elie, car cela doit
restaurer les cœurs des enfants. Tout confirme exactement cela, ainsi,
cela doit aboutir à quelque chose de semblable à cela, avec le
véritable peuple qui – qui croit absolument, ainsi que vos frères et
vos amis.
440 Eh bien, j’ai eu… J’ai un médecin ici même en
ville. Je peux vous parler d’un médecin… Je ne vais pas vous dire qui
c’est, c’est un de mes amis qui m’a entouré de ses bras et qui a dit:
«Billy, il me serait facile de te dire: ‘Tu es le Messie de Dieu du
dernier jour.’» Voyez?
J’ai dit: «Doc, ne dis pas cela.»
441 Il a dit: «Bien, je ne vois personne au monde qui
ait eu des choses, qui ait dit des choses et qui ait fait des choses
que toi, tu fais, Billy.» Cela l’a beaucoup aidé, voyez-vous. Il a dit:
«Je vais à ces églises et je vois ces prédicateurs et tout», il a dit:
«Tu es différent d’eux et je sais que tu n’as pas d’instruction.»
Voyez-vous? «Et je sais que tu n’es pas un psychologue, car tu… la
psychologie ne ferait pas ces choses.» Voyez-vous?
Et j’ai dit: «C’est vrai, Doc.»
442 Ce n’est pas nécessaire de lui parler car il n’en
sait rien; vous ne pourriez faire le moindre progrès avec lui, voyez,
car il ne sait quoi faire. Mais, c’est cela, voyez-vous.
443 Je connais une femme de couleur qui habite à une
rue de chez moi, et elle travaille pour un autre homme que je connais,
et la femme de ce dernier a téléphoné, elle a dit: «Cette femme vous
adorerait certainement comme un dieu, parce qu’elle mourait de cancer,
vous avez imposé les mains à cette femme et vous avez dit qu’elle
était…» Cette femme pour qui elle travaille, son mari et un certain
médecin (pas celui dont je parlais, un autre médecin) jouent ensemble
au golf et tout, et il l’avait abandonnée. Et elle était la bonne de
son copain, et il la croyait morte, mais elle fut complètement guérie.
Et le médecin ne pouvait même pas trouver une trace de cela, du cancer.
Et, voyez, elle disait…
444 Maintenant, ce n’est pas ce qu’ils veulent dire,
je pense, ou tel que nous considérons la chose. Voyez? Ils veulent dire
qu’ils – ils… Ils veulent dire qu’ils croient que Dieu est avec nous,
en nous, oeuvrant à travers nous; non pas qu’un individu soit Dieu,
vous voyez. Ainsi, ils savaient que Jean n’était qu’un homme.
445 Et ainsi, Jésus n’était qu’un homme. Jésus
n’était qu’un homme, Il était simplement né d’une femme, et Il devait
mourir. Est-ce juste? Il était un homme, Il devait manger et boire, Il
avait faim, Il pleurait et Il avait soif, et tout, Il était tout aussi
humain que vous l’êtes, aussi humain que je le suis. Mais l’Esprit de
Dieu était en Lui avec plénitude, sans mesure. Quant à la puissance, Il
était omnipotent.
446 Élie par contre n’avait qu’une portion de cet
Esprit; il était peut-être oint un peu plus que ses frères, mais il
n’avait qu’une portion de l’Esprit. Mais les gens cherchaient le
Messie. Et en voyant cette portion qui dépassait celle de leurs frères,
ils dirent: «Oh! la la! ce doit être Lui!»
447 Mais quand Lui commença à briller, la petite
lumière de Jean s’éteignit. Voyez?
448 Et ces petites lumières s’éteindront quand Il
viendra; ce glorieux Christ oint du Ciel viendra de l’est et ira à
l’ouest. Et le… et… Voyez-vous? Mais Il ne sera pas sur la terre à ce
moment-là, le Messie ne sera pas sur la terre avant le début du
Millénium. Voyez? Voyez? Parce que l’Église, «nous serons ensemble
enlevés pour rencontrer le Seigneur dans les airs». Il ne viendra
jamais sur la terre. Il enlèvera Son Épouse.
449 Il a une échelle, vous savez, comme… quelle était
cette pièce, Léo, dans laquelle cet homme a mis une échelle contre la
maison? Roméo – Roméo et Juliette. C’est ça, il posa son échelle et
enleva son épouse.
450 Maintenant, Il descend de l’échelle de Jacob, et
dit: «Psst, chérie, viens ici. Psst, psst.» Voyez-vous, nous allons
monter pour Le rencontrer. [Un frère demande: «Frère Branham, serait-ce
alors correct malgré cela? Ces gens sont venus vers Jean-Baptiste et
ils voulurent le prendre pour le Messie. Et je vous ai entendu dire une
fois que les Juifs croient que le Messie était Dieu.» – N.D.É.]
451 Vous dites? [Je dis que ces gens qui sont venus
vers Jean-Baptiste pensaient qu’il était le Messie, le Christ. Je vous
ai entendu dire une fois que pour les Juifs le Messie était Dieu.»]
Oui, monsieur. C’est juste, le «Rabbi». [Un frère dit: «Eh bien, Jean
les réprimanda, disant qu’il ne l’était pas, que Christ allait venir.»
– N.D.É.]
452 C’est juste. [«Mais n’est-ce pas vrai que les
disciples appelaient Jésus ‘Seigneur’? Et Jésus a accepté, disant:
‘Vous M’appelez «Seigneur», et Je le suis.’] Oui. [«Dans – dans Jean
13, là où Il a lavé…?…»] Oui, Il l’admettait. [Comme Seigneur, oui, Il
l’admettait.] Il l’admettait [«Il l’acceptait.»] Oui, oui. Mais,
voyez-vous, Jésus, étant le Seigneur, quand on Lui demanda s’Il
l’était, Il dit: «Oui, monsieur. Je suis votre Seigneur et votre
Maître. Vous M’appelez ainsi, et vous dites bien, car Je le suis.»
Mais… [«Mais il n’y a jamais eu un autre être qui pouvait, qui…»]
pouvait dire cela. Non.
453 Par exemple si cela… Si quelqu’un disait que
j’étais Dieu, eh bien, laissez-moi vous le dire au Nom du Seigneur
Jésus que ce serait une erreur! Voyez? Je suis un pécheur sauvé par
grâce, j’ai un Message venant de Dieu. Voyez-vous? Voyez-vous?
124. Une église locale
devrait-elle ou non s’occuper de ses propres – de ses – ses propres
responsabilités locales avant de s’occuper des besoins de l’extérieur,
d’ailleurs? Toutefois, après qu’elle… sa… Après qu’elle a satisfait à
ses besoins, est-ce – est-ce scripturaire pour une église locale de
soutenir l’œuvre missionnaire selon ses possibilités?
454 Oui, c’est juste. Charité bien ordonnée commence
par soi-même, vous voyez. Nous – nous – nous occupons de nos propres
besoins ici, parce que nous avons… Cette église appartient à Dieu, ou
votre petite église, elle est toujours l’église de Dieu. Eh bien, si
vous ne pouvez même pas payer votre pasteur, et ne pouvez même pas vous
procurer des livres de chants et d’autres choses, vous ne devez pas en
envoyer ailleurs. Voyez? Mais alors, après que vous aurez tout payé
pour votre église, et tout, toutes vos dettes et tout, que vous aurez
arrangé et apprêté tout et que tout marche, alors, aidez cet autre
frère là-bas qui a besoin d’une petite aide, voyez-vous. Prenez une
petite…
455 Je crois, pendant… si vous effectuez un versement
à votre église, je pourrais aussi faire ouvrir un petit fond là quelque
part pour l’offrande missionnaire, si les gens sentent qu’ils
voudraient offrir aux missions. Parce que beaucoup de gens donnent des
offrandes aux missions quand ils n’en donnent pas à leurs églises et
tout. Ainsi, s’ils n’en donnent pas aux missions, ils les dépensent
pour autre chose. Ainsi, j’ai dit simplement qu’on ait une petite
caisse de mission, et je pourrais… Voilà comment nous essayons de le
faire.
125. Luc 1:17; veuillez expliquer
la venue de Jean avec «l’esprit d’Élie».
456 Bien, je pense que nous venons d’aborder Luc –
Luc 1:17, oui, oui, venant avec «l’esprit d’Élie». [Un frère demande:
«Est-ce de là que les réincarnationistes tirent leur doctrine? – N.D.É.]
457 Pardon? [Est-ce de là que les gens qui croient en
la réincarnation tirent leur théorie?»] Ça doit être ça. [«Voyez-vous,
ils croient qu’il revient dans…»] Oui. [«…il revient dans… ou dans un
autre corps.»] Oui, voyez-vous, c’est qu’un esprit ne meurt jamais.
C’est vrai. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. [«Ils
disent: ‘Si vous étiez bon, vous reviendrez étant changé en – changé en
une belle créature!’»] Oui. Oui. [«‘Si vous étiez méchant, vous pourrez
revenir sous la forme d’un chien.’»] Oui, ils ont… Oui.
458 Eh bien, maintenant, par exemple là en – en – là
en Inde, nous nous sommes retrouvés dans un groupe d’hommes comme ceci;
et les gens – les gens balayaient même le plancher, parce que marcher
sur de petites fourmis ou quelque chose comme cela, qui pourrait être
un parent ou quelqu’un d’autre, voyez-vous, ça, ils ne pouvaient pas
faire. Mais, voyez, c’est – c’est du paganisme. Voyez? C’est du
paganisme. C’est vrai.
126. Paul a dit au… Paul a dit:
«Aspirez aux dons les meilleurs, et je vais vous montrer une voie par
excellence.» Veuillez expliquer, ce qu’est «la voie par excellence».
459 L’amour, I Corinthiens 13. Voyez? «Aspirez…»
Prenez d’abord… Maintenant, prenez là I Corinthiens 13, frère. I
Corinthiens, chapitre 13, et lisez-en donc les trois ou les quatre
derniers versets. I Corinthiens 13, les derniers… à peu près, les trois
derniers versets du chapitre – du chap–… [Un frère lit I Corinthiens
13:11-13. – N.D.É.]
Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant,
je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant; lorsque je
suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant.
Aujourd’hui, nous voyons au moyen d’un miroir, d’une
manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd’hui, je
connais en partie, mais alors je connaîtrai comme je… j’ai été connu.
Maintenant, donc, ces trois choses demeurent: la
foi, l’espérance et la charité; mais la plus grande de ces choses,
c’est la charité.
Oui, oui, la charité.
127. Comment devrait-on condamner
un frère dont la faiblesse est de s’emparer d’un office dans l’église
sans qu’on le lui ait demandé? Oh! la la! Eh bien, il faut le
supporter, je pense, voyez-vous. Comment devrait-on condamner un frère
(Il ne devrait pas être condamné!) dont – dont la faiblesse est de
s’emparer d’un office dans l’église sans qu’on le lui ait demandé?
460 Par exemple, s’il voulait être diacre. Voyez? Et
on ne lui a pas demandé de faire cela, cependant il veut de toute façon
être un diacre, voyez-vous. Bien, si une personne est comme cela, vous
savez qu’il y a un petit quelque chose, vous savez, il y a toutefois
une petite faiblesse quelque part, et ainsi, j’essaierais d’agir avec
amour envers lui.
461 Et naturellement, vous ne devez jamais faire une
telle chose à moins d’être réellement sûr. Ainsi, mettez dans votre
conseil le meilleur homme que vous pouvez avoir. Voyez? C’est comme ça.
Frère, n’y mettez jamais une personne qui soit… Éprouvez d’abord cet
homme. Un diacre a plus de responsabilité qu’un pasteur. Il doit être
irréprochable, le diacre. Voyez-vous?
128. Au cours d’un service de
communion, un homme est venu à l’autel pour la prière. Frère Branham
était debout derrière les – les éléments de la communion pendant qu’on
les distribuait, il dit qu’il «ne pouvait pas les laisser pour prier
avec cet homme à l’autel». Veuillez expliquer cela.
462 J’ai envoyé mon associé, voyez-vous, frère
Neville. Je me rappelle le soir où cela s’est passé. Je suis censé
rester à cette table de la communion, voyez, même quand… Tenez. Bon, je
n’ai pas le temps d’approfondir ceci. C’est quelqu’un qui est assis ici
qui l’a demandé, naturellement. Voici ce qu’il en est, frère. Quand –
quand vous prenez la communion, cela est une représentation du corps de
Jésus-Christ. Cela pourrait être… Cela devrait être constamment sous
surveillance.
463 Regardez, quand Élie dit à – à Guéhazi: «Prends
mon bâton» (il avait béni ce bâton), il dit: «Pars. Et si quelqu’un te
parle, ne lui réponds pas. Si quelqu’un te salue, ne réponds pas en
retour. Vas-y, et pose ce bâton sur l’enfant.» Est-ce juste? «Reste
avec ce bâton!» Voyez? Et c’est ce que je faisais.
464 Maintenant, s’il n’y avait pas un pasteur associé
ici, se tenant debout là… J’avais fini de prêcher. Je me rappelle quand
cela s’est passé. Et je… S’ils… Si frère Neville ne s’était pas tenu
là, ou quelqu’un pour aider cet homme-là à l’autel… Je venais de finir
la prédication, ainsi j’étais debout à la table de la communion. Et
pendant qu’on se préparait à prendre la communion… et j’étais déjà en
train de – en train de donner la communion. Frère Neville se tenait
juste à côté, et je servais la communion. Eh bien, frère Neville se
tenait là.
465 Qu’en serait-il s’il était venu à l’autel,
pendant que frère Neville donnait encore son sermon, et prêchait? Je
serais allé à l’autel avec cet homme, s’il s’était levé dans la réunion
pendant qu’on prêchait, s’il était allé à l’autel. J’aurais vu que mon
frère était… qu’il était sous l’onction de l’Esprit. Il exerçait son
ministère. Il était un ministre dans le… il était en plein exercice de
ses fonctions, un ministre en plein exercice de ses fonctions.
466 Vous ne devrez donc jamais laisser les gens
parler en langues, interrompre, de n’importe quelle manière, un
ministre en plein exercice de ses fonctions. Oui, si le Saint-Esprit
parle à quelqu’un et que celui-ci coure à l’autel pour être sauvé, que
le ministre continue à exercer ses fonctions; qu’un pasteur, un diacre,
un associé, s’il y a un associé ou n’importe quel autre ministre, qu’il
aille très vite vers cette personne-là. Ne dérangez donc pas un
ministre en plein exercice de ses fonctions. Voyez-vous?
467 Et je me tenais derrière la chaire en train
d’exercer mes fonctions, servant la communion. Et mon associé, frère
Neville, se tenait à côté de moi. Et un homme a couru à l’autel, j’ai
dit: «Allez, allez vers lui, Frère Neville.» Et frère Neville est allé
vers lui. Voilà pourquoi, je n’y suis pas allé.
468 Eh bien, s’il n’y avait pas d’associé ici ou
personne d’autre pour aller vers cet homme, je me serais hâté d’arrêter
la communion, et je serais allé pour – pour veiller à ce que cette âme
soit sauvée. Voyez-vous? Comme il y avait quelqu’un à envoyer, cela
m’aurait sorti de l’exercice de mes fonctions, vous voyez, alors que je
servais la communion.
129. En tout et pour tout, que
peut faire – en tout et pour tout, que peut faire une personne telle
qu’un prédicateur indépendant pour s’occuper de quelqu’un qui cherche
le Saint-Esprit, tout en restant scripturaire?
469 Très bien. La meilleure chose à faire c’est
simplement de continuer à lui citer la Parole. La Parole a la Lumière.
Dites simplement: «Frère, Jésus L’a promis. Rappelez-vous, c’est Sa
Promesse.»
470 Ne le secouez pas, ne le bousculez pas, ou ne le
remuez pas, ou quelque chose de ce genre. N’essayez pas d’entraîner…
Non, n’essayez pas de Le lui donner, car vous n’y arriverez pas. Voyez?
Voyez? Vous… C’est Dieu qui Le lui donnera. Continuez simplement à
citer les promesses. Voyez? Restez là, citant la promesse. «Dieu du
Ciel, je prie pour mon frère. Ta promesse dit que Tu lui donneras le
Saint-Esprit.»
471 Ensuite, si vous essayez de l’encourager… Il
dira: «Oh, frère, pasteur, frère (qui que ce soit qui est à ses côtés),
je – je désire le Saint-Esprit.»
472 «Frère, c’est une promesse. Dieu a fait la
promesse. Croyez-vous qu’Il a été promis? Eh bien, ne doutez pas de
Cela. Si vous croyez la promesse, le Saint-Esprit viendra donc en vous
à n’importe quel moment. Attendez-Le. Abandonnez-Lui tout ce que vous
avez, et dites: ‘Seigneur, je me tiens sur Ta promesse.’»
473 Eh bien, continuez à la citer. Maintenant, amenez
votre – votre – votre – votre fidèle, voyez, amenez-le à cesser de… à
continuer à la citer. Dites alors: «Dites-le à Dieu. Eh bien, vous
êtes-vous repenti?»
– Oui.
474 «Maintenant, dites: ‘Seigneur, Tu as dit que si
je me repentais, Tu es juste pour me pardonner. Tu as dit que si je me
repens et que je suis baptisé au Nom de Jésus-Christ pour la rémission
de mes péchés, je recevrais le Saint-Esprit. Eh bien, Seigneur, j’ai
fait cela. Je l’ai fait, Seigneur. Je l’ai fait. J’attends, Seigneur.
Tu l’as promis.’»
475 Voyez-vous? C’est comme ça, continuez simplement
à l’encourager. Gardez-le juste dans la Parole. Si jamais Il doit
venir, alors Il viendra.
130. Un prédicateur ou un chrétien
fait-il bien en refusant de croire à… Non. Un prédicateur ou un
chrétien fait-il bien en refusant de croire à la sécurité éternelle?
476 Eh bien, voyons. J’imagine le «… fait…» Voyez si
vous lisez cela comme moi. Lisez cela. [Un frère lit la question: «Un
prédicateur ou un chrétien fait-il bien en refusant de croire à la
sécurité éternelle?» – N.D.É.] Je me disais que je devais l’avoir bien
saisi. Maintenant, bien, je…
Un prédicateur fait-il bien en refusant de croire à
la sécurité éternelle?
477 Je croirais que le prédicateur était… s’il ne
savait rien au sujet de la sécurité éternelle. Mais s’il savait
effectivement la chose et savait que c’est la vérité et qu’ensuite il
ne la prêchait pas, il devrait avoir honte de lui-même, c’est vrai, ou
un chrétien. Eh bien, le chrétien, eh bien, je dirai au chrétien qui ne
comprend pas très bien cela… [Un frère demande: «Ce n’est pas une
doctrine accessible, n’est-ce pas, Frère Branham, pour être prêchée aux
gens qui n’ont jamais…?» – N.D.É.]
478 Non, non, non. Eh bien, c’est à cela que j’allais
en arriver. Oui. Voyez-vous? Voyez-vous?
479 Eh bien, vous souvenez-vous de ce que j’ai dit
dimanche dernier? Si vous êtes prédicateur, trouvez-vous une chaire. Si
vous ne l’êtes pas, vivez votre sermon. Voyez? C’est la meilleure chose
à faire, vivez votre sermon. Si vous êtes prédicateur, trouvez-vous une
chaire, voyez-vous, et mettez-vous à prêcher. Si vous ne l’êtes pas,
vivez simplement votre sermon, que votre vie soit votre chaire.
Voyez-vous? Je pense que cela va arranger beaucoup de choses, n’est-ce
pas? Voyez-vous? Voyez-vous? Car bien des fois, nous découvrons… Et
vous, frères, faites-le dans vos églises.
480 Souvenez-vous, quelquefois, vos laïcs essaient
d’expliquer des choses et de faire des choses; il serait mieux que vous
leur enseigniez à ne pas le faire. Et si quelqu’un veut savoir quelque
chose, qu’il vienne voir l’un de – de ceux qui ont appris à le faire.
Voyez-vous?
481 Disons, eh bien, maintenant, supposons que
quelqu’un dise: «Hé, je dis… J’ai appris que vous, dans votre église,
vous croyez à la sécurité éternelle.»
482 Eh bien, il serait mieux que vous fassiez
attention. Vous vous retrouverez probablement dans une confusion plus
grande qu’auparavant, vous voyez, et vous rendrez la personne
pire que jamais. Dites: «Mais, je vais vous dire quoi, venez demander à
notre pasteur, voyez-vous. Vous, allez lui parler, voyez-vous. Nous…
C’est vrai, je sais que notre pasteur croit cela. Je le crois aussi,
mais je ne suis pas capable de soutenir… Je ne suis pas un prédicateur.
J’y crois simplement, c’est tout ce que je sais. Je le crois, parce que
je l’ai entendu expliquer cela ainsi par la Bible, au point que pour
moi c’était sans l’ombre d’un doute.» Voyez-vous?
483 Mais c’est mieux que le – c’est mieux que le laïc
en parle au pasteur. Et le pasteur, soyez aussi certain qu’il sait
comment y répondre. Ainsi, étudiez cela très bien, car bien des fois,
ils vous coinceront là-dessus. Vous voyez? Quel… [Un frère dit: «Frère
Branham?» – N.D.É.]
484 Excusez-moi. [«C’est comme une conviction…?… Mais
je – je suis sûr de mon appel et je suis sûr de mon élection.»] Oui,
oui. [«Vous venez de dire que si on est un prédicateur, on doit avoir
une chaire.»] Oui, monsieur. C’est juste. [«Je ne suis pas prédicateur,
je suis évangéliste.»] Oui, monsieur. [«Et la chaire de tout le monde
m’appartient.»] C’est juste. [«Mais pour le moment, je fais un travail
manuel. Ce n’est pas un travail difficile, mais je travaille, et je
n’ai pas de chaire. Et je crois que c’est la volonté du Seigneur que je
travaille en ce moment. Il m’a dit de le faire, à travers la Parole et
le témoignage de l’Esprit. Et je crois que plus tard, des chaires
seront ouvertes.»] Certainement, c’est juste. [«Est-ce juste?»] C’est
juste, frère.
485 Frère, eh bien, si vous revenez ici et que vous
preniez l’ancien registre de cette église, vous découvrirez que j’ai
été pasteur de cette église pendant 17 ans, et je prêchais chaque jour,
je prêchais chaque jour et je travaillais chaque jour. Voyez-vous? [«Un
frère dit: «Si vous travaillez, c’est un bon signe que vous avez un
appel.» – N.D.É.] Oui. Paul l’a fait, n’est-ce pas? Paul fabriquait des
tentes. [«J’allais me décourager, parce que comme vous l’avez dit,
chaque prédicateur devrait avoir une chaire. Je suis… J’allais me
décourager, mais je suis sûr que Dieu m’a appelé à travailler pour un
temps.»] Certainement. Paul allait fabriquer des tentes, n’est-ce pas?
Il travaillait de ses propres mains afin de ne pas… C’est exact.
Certainement. [«C’est là où j’en suis.»] Voyez? C’est vrai. Voyez-vous?
John Wesley a dit: «Le monde est ma paroisse.» Ainsi, une chaire vous
est toujours ouverte, frère. Les évangélistes vont dans le monde
entier. N’est-ce pas vrai? «Allez dans le monde entier.» Ainsi, votre
chaire, c’est le monde entier. Oui, monsieur.
Question:
131. Est-il de règle – r-è-g-l–…
Est-il de règle qu’un diacre ou un administrateur demeure dans la
doctrine de son église? Oui. C’est vrai. Est-il légal de leur part
d’ajouter ou de retrancher quelque chose aux enseignements à cause de
leurs propres opinions ou révélations?
Non, monsieur. Non.
486 Un diacre ou un administrateur doit être en
parfaite harmonie avec la – avec la doctrine de son église. Ils
devraient s’en tenir absolument à l’interprétation des Écritures de
leur église, car autrement ils combattent la chose même. Ils – ils se
feront du mal. Voyez-vous? Vous luttez…
487 En d’autres termes, c’est comme si – si – si je
disais que j’aime ma famille et que j’essayais de lui donner du poison.
Voyez-vous, c’est la même chose. Vous voyez, vous ne devez pas faire
cela, vous…
488 Un – un administrateur ou un diacre, en exerçant
sa fonction, ou quiconque exerce une fonction dans une église,
représente un certain corps ecclésiastique, vous voyez, il représente
une église.
489 C’est la raison pour laquelle je suis sorti de
l’église baptiste, vous voyez, pour la toute première fois. J’y étais
resté un petit temps et ils – ils m’ont demandé d’ordonner des femmes
prédicateurs. Bien, je ne pouvais absolument pas rester là. J’ai dit:
«Je – je – je ne peux pas le faire.»
490 Et le pasteur me dit rudement: «Qu’est-ce que
c’est? Vous êtes un ancien.»
491 Je dis: «Docteur Davis, avec tout le respect que
je dois à la foi baptiste ainsi qu’à tout ce à quoi j’ai été ordonné,
je ne savais pas qu’ordonner des femmes se trouvait dans la doctrine de
l’Église baptiste. C’était une chose qui en était exclue.»
Et il dit: «C’est la doctrine de cette église.»
492 Je dis: «Monsieur, puis-je être excusé pour ce
soir, ou bien voudriez-vous répondre à certaines de mes questions?»
Voyez-vous?
493 Il dit: «Je répondrai à vos questions, dit-il,
c’est votre devoir d’être là.»
494 Je dis: «C’est mon devoir, monsieur. C’est vrai.
Je suis censé savoir à l’avance tout ce que cette église fait. Je suis
dans l’exercice de mes fonctions, un des anciens locaux.» Et il dit: …
Je dis: «Pourriez-vous m’expliquer pourquoi là, dans I Corinthiens 14
ou 15, Paul dit là: ‘Que vos femmes se taisent dans les assemblées, il
ne leur est pas permis de parler.’»
495 Et il dit: «En effet, certainement!» Il dit: «Si…
Je peux répondre à cela.» Il dit: «Vous voyez, ce qu’il en était,
dit-il, c’est que Paul dit… Toutes – toutes les femmes s’asseyaient
dans les coins, faisant du bruit comme elles le font souvent. Il dit:
‘Ne leur permettez pas de faire cela!’» Voyez-vous?
496 Et je dis: «Alors, expliquez-moi II Timothée, là
où Paul l’a dit aussi, là où le même écrivain, le même apôtre a dit:
‘Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre une quelconque
autorité, voyez, mais de – d’être soumise. Car Adam fut créé le premier
et Ève ensuite, et ce n’est pas Adam qui fut séduit, mais c’est la
femme qui fut séduite. Elle est séduite. Eh bien, je ne dis pas qu’elle
cherche à faire quelque chose de faux, mais elle est réellement séduite
en faisant cela. Elle ne devrait pas enseigner.’»
497 Il dit: «Est-ce votre opinion personnelle?»
Je dis: «C’est l’opinion des Écritures selon ma
façon de voir cela. C’est ce que la Bible dit.»
498 Il dit: «Jeune homme, on pourrait vous retirer
votre licence pour cela.»
499 Je dis: «Je leur épargnerai cet ennui. Je la
remettrai simplement, Docteur Davis.»
Je dis: «Ce n’est pas pour manquer d’égards envers
vous…» Et de toute façon, il ne pouvait pas faire cela. Il laissa
passer cela, il le laissa passer comme cela.
500 Alors, il me dit qu’il aurait un débat ouvert
avec moi là-dessus. Et je dis: «Très bien, n’importe quand.» Mais il –
il ne le fit pas.
501 Ainsi, un – un peu plus tard, quand le Seigneur
me parla, et quand le – l’Ange du Seigneur vint, alors – alors, il s’En
moqua, vous voyez. Et alors, je – je lui ai parlé, j’ai dit: «Eh bien,
Docteur Davis, il vaut mieux que je me débarrasse de ceci maintenant
même, voyez, ai-je dit, parce que ce serait un fardeau. J’ai été
ordonné il y a quelque temps, de toute façon, ce serait donc un fardeau
pour moi, aussi ferais-je mieux de m’en débarrasser maintenant même.»
502 C’est pourquoi, si je ne pouvais pas rester dans
l’Église baptiste pour enseigner la doctrine baptiste et prendre
position pour la foi baptiste… si je l’avais fait – si je l’avais fait
parce que c’était une église, alors, j’aurais été fautif, voyez-vous,
j’aurais caché quelque chose. Et si je – si je – si je suis honnête
avec moi-même, j’irai chez les baptistes (mon pasteur ou n’importe qui
pourrait me l’expliquer) pour leur demander une – une parole de Vie;
s’il peut me montrer exactement là où cela se trouve dans les
Écritures, et satisfaire mon désir, alors, j’en parlerai exactement
comme ils le font, voyez-vous, et je serais un baptiste.
503 C’est la raison pour laquelle je suis un
indépendant. La raison pour laquelle je n’étais pas membre des
organisations, c’est parce que je ne crois pas aux organisations. Et je
crois qu’une organisation, ce n’est pas scripturaire.
504 C’est pourquoi, je ne pourrais pas me faire
membre d’une organisation et me sentir justifié en faisant cela. Voyez?
C’est pourquoi, je n’accepte pas les gens pour en faire des membres ou
des choses comme cela, parce que je crois que nous sommes nés pour être
des membres, nous sommes nés dans l’Église du Dieu vivant. Voyez-vous?
505 Nous n’enlevons pas les noms des gens du registre
pour les excommunier et des choses comme cela, parce que je crois qu’il
n’est pas de notre – notre devoir de le faire. Je crois que c’est Dieu
qui excommunie. Voyez? Mais je crois que l’église, s’il y a un frère
qui se comporte mal…
506 Par exemple, si – si l’on surprenait frère
Neville, ou frère Junior, ou frère… un frère d’ici, un des diacres ou
un des administrateurs, ou quelqu’un d’autre en train de mal se
comporter, je crois que ce que l’église devrait faire, c’est de se
réunir pour prier pour ce frère. S’il ne se met toujours pas en ordre,
alors que deux personnes aillent auprès de lui, aillent chez le frère
pour qu’il soit réconcilié. Et si, ensuite, il n’accepte pas cela,
alors, dites-le devant l’église. Et s’il n’accepte pas cela, c’est
alors à l’église entière, voyez, au pasteur, aux anciens et à toute
autre personne de le faire. Je ne crois pas qu’un comité des diacres
ait le droit de chasser quelqu’un de l’église ou qu’un conseil
d’administration ou un pasteur ait le droit de faire cela.
507 Je pense que si quelqu’un devait être chassé de
la communauté, ce devrait être à cause d’une vie immorale, ou de
quelque chose de ce genre, qui ferait qu’il était indigne; par exemple
un homme qui viendrait ici pour souiller nos filles ou – ou pour
insulter nos femmes, et des choses comme cela, et qui continuerait à
confesser qu’il est l’un des nôtres ici. Voyez? Maintenant, si c’est
quelqu’un de l’extérieur, qui vient ici, eh bien, nous devons nous en
occuper, mais quand on a affaire à une personne comme celle-là, une
personne immorale qui essaie de faire l’amour avec nos femmes ou – ou
d’insulter nos filles, ou, vous savez, l’une ou l’autre chose de ce
genre, ou de faire quelque chose d’immoral avec elles, ou de faire
sortir nos petits garçons et de les pervertir, ou quelque chose comme
cela.
508 On devrait parler de ces choses, et ensuite cette
personne devrait être excommuniée; et on ne devrait pas lui permettre
d’avoir communion avec la communauté, parce que nous ne sommes pas
censés faire cela. Pas du tout. «Si quelqu’un mange indignement, il est
coupable envers le Sang et le Corps du Seigneur», cela concerne cette
personne-là.
509 Mais je crois, comme l’a dit quelqu’un: «Bien,
maintenant, il – il est ceci cela.» Priez pour lui.
510 Je n’oublierai jamais, frère Lewi Pethrus, ce
grand homme de Dieu à Stockholm, en Suède. Nous étions assis à table,
juste quelques heures avant de rentrer en Amérique. Nous avons eu de
glorieuses réunions là-bas. Et il a dit, Gordon Lindsay a dit: «Qui est
le surveillant de ce grand Corps?» Frère, cela dépasse les Assemblées
de Dieu à des centaines de km. Voyez? Il a dit: «Qui en est le
surveillant?»
Et Lewi Pethrus est de nature un gentleman, et il a
dit: «Jésus.»
Il dit: «Qui est votre pasteur?»
Il dit: «Jésus.»
511 Il dit: «Je sais que c’est vrai, dit-il, nous
croyons la même chose au sujet de nos Assemblées de Dieu.» Il dit:
«C’est juste, mais, dit-il, par exemple, si un – un frère sort de la
ligne, dit-il, qui décide qu’on le mette dehors?»
Il dit: «Nous ne le mettons pas dehors.»
Il dit: «Bien, que faites-vous?»
512 Il dit: «Nous prions pour lui.» J’ai pensé que
c’était vraiment doux! Cela semblait chrétien pour moi: «Nous prions
pour lui.» Personne ne l’expulse, eux ils prient pour lui.
513 Il dit: «Bien, alors qu’arriverait-il si quelques
frères sont d’accord de communier avec lui, dit-il, et que d’autres ne
veulent plus? Vous le faites entrer, par exemple si c’est un pasteur,
vous voyez, qu’il commence à faire le don juan parmi les… vous
comprenez ce que je veux dire, et des choses comme cela, et que
certains pasteurs ne veuillent pas de lui dans leurs églises, que
ferez-vous, vous tous, l’expulserez-vous de votre organisation?»
514 «Non, dit-il, nous le laisserons simplement
tranquille et nous prierons pour lui, dit-il. Nous n’en avons pas
encore perdu un seul. Ils reviennent toujours d’une manière ou d’une
autre.»
515 Il dit: «Bien, dit-il, maintenant,
qu’arriverait-il si… dit-il, qu’arriverait-il si certains d’entre eux
disent qu’ils veulent le garder et que d’autres n’en veulent pas. Eh
bien, qu’en dites-vous?»
516 Il dit: «Bien, ceux qui veulent le garder le
prennent; ceux qui ne veulent pas de lui ne sont pas obligés de le
faire.»
517 Ainsi – ainsi, je pense que c’est une bonne façon
de procéder, n’est-ce pas, frères? Et de cette façon-là, nous sommes
«frères».
518 Bien, frères, j’espère que ces choses ont en
quelque sorte donné un petit semblant de réponse ou quelque chose de ce
genre, et que notre réunion ici ce soir nous aura été – nous aura été
bénéfique en quelque chose. Je suis sur le point de partir maintenant
pour un temps, je vais m’embarquer dans des réunions là dans l’Ouest.
Humblement, je désire ardemment que vous priiez pour nous.
519 Quelques-unes des réponses que j’ai données ici
étaient peut-être exactes; peut-être que la plupart d’entre elles
l’étaient, peut-être qu’aucune ne l’était. Je n’en sais rien. Mais ce
sont les meilleures que j’ai pu rassembler selon mon propre
entendement; vous voyez, pour essayer d’expliquer cela. Peut-être les
dernières, en particulier celles qui sont arrivées en dernier; je n’ai
pas eu le temps d’y jeter un coup d’œil. Et je n’en avais simplement
pas; elles étaient… Je veux dire que c’étaient des Écritures dont nous
parlons tout le temps ici, chaque jour à l’église. Je me disais que ce
serait peut-être quelque chose de très difficile qui pourrait nous
amener à devoir aborder quelque chose d’important, mais c’étaient des
questions qui semblaient porter plus sur les églises.
520 Je suis content de vous voir tenir bon ainsi, il
n’y a pas de désordre, pas de mécontentement, pas de confusion. Il n’y
a pas eu de débat autour d’une question où l’on a dit: «C’est faux,
ceci est faux, nous n’en voulons pas.» C’était juste des frères qui
voulaient apprendre quelque chose pour affermir leur position, c’est
tout. Cela… renforcer, resserrer – resserrer un peu plus l’armure,
resserrer d’un cran. J’espère que nous allons nous rencontrer à
davantage d’occasions comme celle-ci pour resserrer l’armure.
521 Et rappelez-vous, frères, mon armure aussi a
besoin d’être resserrée. Priez donc Dieu pour moi afin qu’Il m’aide à
resserrer un peu plus mon armure, afin que je puisse… ne me relâche pas
autant à cause des histoires. Et la vie que je mène ainsi que les
choses que je fais, puissé-je faire cela avec davantage d’esprit
d’humilité, avec davantage de ferveur. Et que Dieu me donne un cœur
pour le faire plus que jamais auparavant. Je fais la même prière pour
vous tous. Dieu vous bénisse.
522 Je vous ai retenus ici pendant longtemps, et il
est maintenant 23h00 moins cinq.
523 Et maintenant, Frère Neville, je – je peux… Bien,
j’ai découvert que ce n’est qu’à 1440 km et quelques; je ne partirai
pas avant lundi matin. Mais je veux être là dimanche pour l’école du
dimanche, je viendrai vous écouter prêcher en tant qu’invité, vous
voyez, dimanche. Voyez-vous? Mais… Eh bien, frère, oui, frère. Frère
Neville, en voici la raison, frère: Je suis… Je vous aime et vous avez
toujours été si aimable en me cédant la chaire juste comme si – comme
si j’étais pour vous le doyen des anciens, ou quelque chose comme ça.
Mais moi, je ne me suis jamais considéré ainsi, Frère Neville. Je
considère que nous sommes frères.
524 Frère Ruddell et Frère Junie, et, oh! vous tous
frères ainsi que tout le monde, nous nous sommes – nous nous sommes
réunis juste en tant que frères, vous voyez.
525 Mais ce que… la raison en est que je suis
maintenant un tout petit peu enroué, vous voyez, et j’ai eu six
semaines d’affilée d’une bataille constante, vous voyez. Et je – je
désire simplement commencer peut-être, si possible, après la réunion de
ce soir, ce qui permettra de me reposer vendredi, samedi et dimanche,
avant de commencer les réunions là-bas.
526 Frère Junie, dès mon retour, je viendrai à une
occasion, je dois venir vous revoir, je désire venir. Je crois que
c’est hier que je suis passé devant votre petite église là-bas. Ma
femme a dit: «Je pense que…» Est-elle située à côté du chemin de fer,
juste à côté de Glenellen Park? J’aimerais y aller pour parler à ces
gens de Sellersburg. Bien.
527 Frère Ruddell, soyez béni! J’aimerais venir, vous
avez un aimable groupe de gens. Ce soir, vous êtes assis là, écoutant,
comme si vous étiez un vieil ancien, comprenant ces choses.
528 Frère Beeler, là-bas, est l’un de nos frères
évangélistes. J’espère qu’un jour je pourrai tomber sur l’une de vos
réunions quelque part, frère, j’espère que je pourrai exercer une
influence, avoir quelque chose à dire d’une manière ou d’une autre pour
vous encourager. J’ai toujours eu un mot approprié pour vous,
pour tout le monde, vous et frère Stricker qui est ici, et pour les
évangélistes.
529 Frère Collins, ici présent, je crois qu’un jour,
il sera un ministre à plein temps dans l’œuvre.
530 Ce sont de braves hommes, de braves hommes, de
vrais hommes de foi, que Dieu soit avec vous tous, ainsi que vous les
diacres, vous les administrateurs, vous les frères.
531 Je crois que vous êtes… Ce frère, son nom
m’échappe. Vous êtes… [Le frère dit: «Frère Caldwell.» – N.D.É.]
Caldwell. Vous êtes un… Vous êtes l’un des anciens ou quelque chose
comme ça, n’est-ce pas, ou juste un… [«Ministre.»] ministre. [Je suis
un ministre. J’étais membre de l’Église de Dieu, je ne pouvais pas
prêcher le Plein Évangile tout en restant avec eux. Je ne pouvais pas
prêcher le baptême au Nom du Seigneur Jésus et rester avec eux. J’avais
la licence de ministre la plus élevée qu’ils délivrent, mais je les ai
simplement laissés tomber. Depuis que je vous ai entendu prêcher ces
glorieux Messages, je les ai laissés tomber et je suis sorti de
l’organisation. Maintenant, je désire être l’un de vous.»]
532 Merci, frère. Nous sommes heureux que vous
participiez à notre communion. Et notre – notre identification est d’en
haut. C’est notre vie qui constitue notre identification, vous voyez.
C’est ça notre identification. «Si je ne fais pas les oeuvres de Mon
Père, alors ne Me croyez pas.» Voyez-vous? C’est vrai. C’est ça notre
identification. Et comme un vieux… Comme le disait Howard Cadle: «Nous
n’avons pas de loi si ce n’est l’Amour, pas de livre si ce n’est la
Bible, et – et pas – pas de credo si ce n’est Christ.» C’est vrai. «Pas
de loi si ce n’est l’Amour, pas de credo si ce n’est Christ, pas de
livre si ce n’est la Bible.»
533 Et nous sommes – nous sommes, Frère Caldwell,
nous sommes heureux de vous avoir parmi nous. Vous êtes sorti d’une
grande organisation. Je crois que c’est l’Église de Dieu d’Anderson.
[Frère Caldwell dit: «De Cleveland» – N.D.É.] Plutôt l’Église de
Cleveland, l’Église pentecôtiste de Dieu. [«Et j’étais pasteur là à…?…»
– N.D.É.] Oh, oui. Oh, oui, j’étais là-bas. Je crois que j’y étais une
fois avec frère Neville… ou plutôt avec frère Wood; une fois, on nous a
donné un chien ou un chien courant par quelqu’un qui fréquentait votre
église là-bas. Et j’ai dû me tenir là sur les marches et je parlais, et
on parlait de vous. Bien, je suis sûr… [«Dans mon église.»] Oh?
[«Burns»] C’est vrai, frère Burns. C’est vrai. [Frère Caldwell raconte
un incident. – N.D.É.] Oh? Oui. Oh, Bertha, c’est vrai. Oh, c’est
merveilleux.
534 Frère Rook qui est là, il est maintenant devenu
pasteur ou évangéliste, je crois. Est-ce juste? Ou plutôt êtes-vous
pasteur? [Frère Rook dit: «Juste un évangéliste.» – N.D.É.]
Évangéliste. Je voudrais faire un commentaire sur vous, Frère Rook.
J’ai appris que vous faites une grande oeuvre pour le Seigneur. Vous…
J’ai appris que vous êtes allé à Indianapolis ou que vous alliez partir
à Indianapolis et que vous y avez tenu des réunions et gagné des âmes à
Christ. Que Dieu soit avec vous, Frère Rook. Je suis vraiment content
de vous voir. Je vous ai vu là sur ce vieux tracteur, là, parcourant
cet endroit, fertilisant votre jardin là-bas. Eh bien, je vous vois là,
essayant de faire quelque chose pour le Seigneur. Je suis content qu’Il
vous ait appelé au ministère; tenez-Le toujours devant vous, frère.
Dieu vous bénisse. N’acceptez de compromis sur rien; mais faites-le
avec l’esprit le plus doux. Que votre – que votre message soit toujours
assaisonné de la douceur du Saint-Esprit.
535 Et Frère Stricker… [Un frère dit: «Nous avons
besoin de vos prières à tous. Nous – nous essayons de commencer une
église là à North Vernon.» – N.D.É.] Oh! j’espère que vous y arriverez.
Nous prierons pour vous. [«Jusqu’ici, nous nous débrouillons très
bien.»] C’est bien.
Billy, quand vas-tu être pasteur?
536 Le docteur Goad et le docteur Mercier ici
présents, je – je – j’espère… comme nous nous appelons. Et frère Goad
est arrivé au point où je… Il mérite vraiment un titre, il peut charger
des cartouches maintenant. Oui. Eh bien, il est… Et – et frère Leo, je
crois que nous pouvons ainsi le laisser s’y mettre, et l’appeler… le
laisser garder son titre de – de «docteur».
537 Bien, «docteur» Branham, là derrière, continuez à
très bien la soigner, et les lumières brilleront très bien. Et – et je
vous dirai quoi, quand nous aurons une réunion spéciale, je parlerai au
comité et je verrai si on peut vous donner quelque chose de plus pour
cela [Frère Branham rit. – N.D.É.], pour une oeuvre spéciale alors que
vous avez tellement de nettoyage à faire et des allées et venues, et
cela vous rendra heureux.
538 Docteur Wood. Je l’ai appelé «docteur», je crois
que vous vous demandez pourquoi. Ce n’est pas à tort que je l’appelle
ainsi, il coupe du bois en morceau, vous savez. Le Seigneur fait
pousser un bel arbre, et lui, il l’abat et fait une maison avec. Je
n’en ai encore jamais vu de pareil, aussi dois-je l’appeler «docteur».
539 Frère Taylor; vous êtes toujours fidèle là à la
porte pour donner un siège à quelqu’un. Voici ce que je pense de vous:
«Je préférerais être un paillasson à la maison du Seigneur que
d’habiter dans les tentes avec le méchant.» C’est vrai. Certainement.
540 Frère Hickerson, vous venez de vous engager sur
la Voie et vous avancez. J’ai voulu que votre… Je… Vous vous êtes
engagé sur la Voie et vous avancez; j’admire certainement votre
sincérité et tout ce que vous faites pour le Seigneur Jésus. Que Dieu
vous bénisse toujours et fasse de vous un vrai diacre, frère, je crois
que vous l’êtes, qu’Il garde votre maison soumise et tout, tel que vous
êtes.
541 Frère Fred, vous n’êtes pas resté très longtemps
avec nous, vous venez du Canada. Nous ne sentons plus que vous êtes
canadien, nous sentons que vous êtes un pèlerin et un étranger avec
nous, venant de… en tant que – en tant qu’administrateur. Vous et frère
Wood, et vous qui exercez bien vos fonctions avec frère Roberson et les
autres; frère Egan, il n’est pas là ce soir.
542 Et Frère Roberson, vous m’avez été d’un – d’un
grand secours, Frère Roberson ainsi que les autres, au sujet de
l’enquête qui a été ouverte sur cette affaire d’impôt.