Pourquoi Crier? Parle!
1 Restons debout un rament, alors que nous inclinons
nos têtes. Y a-t-il une requête spéciale? Si vous le désirez, faites-la
connaître en levant vos mains vers Dieu, disant par cela: «Seigneur, Tu
connais mon besoin.»
2 Père céleste, nous sommes vraiment des gens
privilégiés, ce matin, d'être rassemblés dans la maison de Dieu,
sachant qu'il y en a tellement qui voudraient être dans la maison de
Dieu, ce matin, et qui sont dans des hôpitaux, sur un lit de maladie,
alors que Toi, Tu nous as donné ce privilège de venir ici, aujourd'hui.
Nous ne venons jamais, Seigneur, pour être vus des
autres, bien que nous aimions fraterniser les uns avec les autres; mais
nous pouvons le faire dans nos demeures. Nous sommes venus ici pour
communier avec Celui qui nous a rassemblés comme des enfants bien-aimés
et des frères.
3 Nous Te remercions, maintenant. Et la seule
manière que nous connaissons pour communier correctement avec Toi,
c'est d'être autour de Ta Parole. Ta Parole est la Vérité. Nous nous
rassemblons ici pour recevoir une force spirituelle; nous en avons
besoin, Seigneur. Nous devons être fortifiés pour porter notre croix.
Nous Te prions d'envoyer, aujourd'hui, le glorieux Saint-Esprit, et de
nous fortifier tous. Réponds aux requêtes de Ton peuple, alors qu'il
s'est rassemblé et a levé les mains vers Toi, montrant par-là qu'il
avait besoin de ces choses-là. Exauce chacune d'elles, Seigneur!
4 Nous Te remercions d'avoir épargné la vie de notre
soeur Ungren, hier soir, dans l'accident qu'elle a eu là-bas, sur la
route. Tu as été bienveillant envers elles, Seigneur, et nous T'en
remercions.
5 Et maintenant, nous Te prions, Père céleste, de
continuer d'être avec nous et de nous aider dans notre voyage ici-bas.
Fais-le pour chacun d'entre nous. Revêts-nous de Ta puissance et
donne-nous la foi pour savoir que Ta présence infaillible sera avec
nous. A l'heure où nous ne pouvons pas nous en sortir par nous-mêmes,
nous savons que les anges de Dieu campent autour de ceux qui Le
craignent et qu'ils nous porteront, de peur que notre pied ne heurte
contre une pierre. Nous Te prions maintenant de bénir pour nous Ta
Parole, et de parler au travers de nous et en nous, au Nom de
Jésus-Christ. Amen.
6 Je suis reconnaissant que le soleil brille dehors,
maintenant. Il faisait très vilain, ce matin, et je pense que,
spécialement dans cette région où le temps est si sombre et maussade,
il est réjouissant de voir le soleil se montrer et briller.
7 Concernant le petite réunion de famille
aujourd'hui, je rencontre mes frères à la maison de ma soeur, et
certains de nos parents qui vivent dans la région. La grande équipe des
Branham, s'ils venaient tous du Kentucky ici, je crois que nous
devrions louer la ville entière. Il y en a tellement. Mais c'est
simplement un petit retour à la maison... Nous avions l'habitude de
nous rencontrer à la maison de maman et elle était le vieux poteau
d'attache qui nous a, en quelque sorte, gardés ensemble. Mais Dieu a
repris au ciel le poteau d'attache, et j'espère que nous nous
rencontrerons tous un jour, là-bas.
8 En parlant l'autre jour, j'ai dit: «Vous savez, je
crois que je ramènerai mes messages du dimanche à environ 20 ou 30
minutes et ensuite je prierai pour les malades.» Et je pensais à cela
ce matin, et j'y pensais aussi hier soir, lorsque soeur Downing m'a
appelé et dit que... a appelé Billy et dit qu'elle et soeur Ungren
avaient dérapé sur la route et avaient eu un accident. Et alors que
Billy était toujours à la fenêtre... (je ne sais pas quelle heure il
était, c'était peut-être ce matin; j'avais déjà dormi pendant un bon
moment.) J'ai regardé du côté de chez frère Wood et les lumières
étaient éteintes. Et je me suis simplement agenouillé pour prier et,
quand je l'ai fait, quelque chose m'a dit: «Tout va bien.» J'ai donc
dit à Billy: «Dis-lui que je pense que tout ira bien.»
9 Je suis si content de les voir ici, ce matin,
assises dans la maison du Seigneur, après... sur la route. Dire qu'il y
a des gens qui vous aiment à tel point qu'ils parcourent des centaines
de kilomètres pour entendre l'Évangile. Alors, j'ai pensé qu'un message
de 20 minutes, vu que je suis si lent, ne serait pas bon. Ainsi, j'ai
pensé que simplement je... de cette longueur.
10 Alors, d'entendre ce matin frère Ungren, son
fils, chanter: «Que Tu es grand!»... Il a... Cela veut dire plus pour
lui ce matin qu'hier après-midi, parce que le grand Dieu du ciel a
épargné sa chère et précieuse mère, et aussi sa soeur.
11 Aujourd'hui, nous comptons avoir un temps très
béni dans le Seigneur. J'avais ici deux ou trois textes différents que
je regardais, et je ne pouvais pas me fixer sur celui dont je parlerais
ce matin. L'un d'entre eux était: Déposez vos soucie sur Lui, car Il se
soucie de vous. Maintenant, s'Il se soucie de vous, alors pourquoi pas
vous? Et l'autre, c'est Billy Paul, non pas Billy Paul, mais mon autre
fils, Joseph, qui m'a apporté ce texte, il y a longtemps. Un jour,
j'étais assis dans la chambre et, levant les yeux vers le tableau, il
m'a dit (Billy... Joseph aime beaucoup les bateaux, comme les autres
petits garçons, les bateaux et les chevaux, vous savez), et il m'a dit:
«Papa, Jésus a-t-Il un bateau?»
Je lui ai répondu: «Je ne sais pas.»
Alors, après qu'il se soit levé et soit sorti, je me
suis mis à réfléchir: «A-t-il un bateau?» Et j'ai pris un texte de
cela, que j'ai noté ici sur mon carnet: Jésus a-t-Il un bateau?
12 J'ai pensé: Lorsqu'Il était ici, sur la terre, Il
dut emprunter un sein pour y naître, une tombe pour y être enterré, un
bateau duquel prêcher, mais Il est le Pilote du vieux bateau de Sion.
Certainement. J'ai pensé que je pourrais peut-être prendre ces textes
plus tard, avant notre départ pour rentrer.
13 Vous savez, j'aime parler ici, au Tabernacle,
parce que c'est notre église à nous. Nous nous sentons libres
d'apporter tout ce que le Saint-Esprit dit. A d'autres endroits, même
si on vous souhaite la bienvenue, vous vous sentez un peu comprimé,
parce que vous êtes dans l'église de quelqu'un d'autre; aussi vous
désirez être assez gentleman pour respecter leurs pensées et leur
doctrine...
14 J'ai eu un moment merveilleux, cette semaine,
chez frère Burcham. Je suis allé dans la fabrique où ils font le
fromage. (Je vois que lui, sa femme et son fils, sont présents ce
matin.) J’ai toujours pensé qu'une fabrique de fromage devait
ressembler à d'autres endroits où j'ai été: oh, assez sales,
malpropres. Eh bien, je peux vous dire une chose – et vous pouvez en
être assurés – ce n'est pas le cas ici, bien au contraire: c'est
l'endroit le plus propre où j'aie jamais pénétré, spécialement dans une
fabrique. Je ne réalisais pas... Je pensais: «Oh! peut-être qu'ils font
une centaine de livres de fromage par jour.» Mais ils en font six
tonnes par jour! Il y a trois fabriques qui marchent. J’ai pensé: «Oh!
mais, qui mange tout ce fromage?» Le Seigneur a vraiment béni cet homme
et j'ai eu le privilège d'aller chez lui; c'est un milieu charmant, et
il a une bonne épouse très consacrée. Et ils n'auraient aucune raison
de ne pas vivre chaque jour pour Christ comme ils le font. J’ai aussi
rencontré ses fils, et ce sont de très braves enfants. Nous sommes si
reconnaissants de cette communion que nous avons les uns avec les
autres.
15 J'ai découvert que leur ancien pasteur était un
homme que je connaissais: frère Gurley, un homme très bien, de foi
pentecôtiste unie. Je l'ai rencontré il y a plusieurs années, à
Jonesboro dans l’Arkansas, mais je ne savais pas qu'ils étaient... que
c'était leur pasteur.
16 Souvenez-vous des réunions ce soir et, si le
Seigneur le veut, nous espérons parler de nouveau dimanche prochain. Je
pense que le dimanche suivant, je devrai aller à Chicago; ensuite, je
serai loin pendant un certain temps. Je dois ramener ma famille chez
nous en Arizona, afin que les enfants puissent s'inscrire de nouveau à
l'école; alors, nous arrêterons d'importuner le pasteur en prenant ses
services. Ainsi, nous sommes très reconnaissants à frère Neville pour
son hospitalité. Comme vous le savez, j'ai été invité et il est
tellement... J'aime frère... un homme comme cela, dans lequel il n'y a
pas de fraude; il n'y a pas trace d'égoïsme, mais seulement un
véritable christianisme. J’aime cela.
17 Nous allons lire un passage de l'Écriture et,
ensuite, nous passerons au commentaire. Je ne sais pas à quelle heure
nous sortirons, après ces longs messages, mais je pense... Je parlais,
l'autre jour, du fait que je parlais si longtemps, et quelqu'un m'a
dit: «Mais, si vous ne parlez que quelques minutes alors que vous
prêchez d'une façon un peu mystérieuse, nous ne pourrons jamais
comprendre.» Il a encore dit: «Continuez seulement à parler et, après
un moment, cela sort.» Alors, peut-être que le Seigneur désire que nous
fassions ainsi.
18 Inclinons de nouveau nos têtes. Seigneur, Ta
Parole est là ouverte sur la chaire, et nous réalisons qu'un jour, Elle
se fermera pour la dernière fois; alors, la Parole sera chair. Nous Te
sommes reconnaissants pour ce moment que nous avons ce matin, et, par
Ton Saint-Esprit, ouvre pour nous le contenu de cette Parole que nous
allons lire. Puisse le Saint-Esprit nous enseigner, aujourd'hui, les
choses que nous devrions connaître, et qu'alors, en retour, nous
écoutions attentivement et pesions profondément chaque mot. Que ceux
qui écoutent au moyen de la bande soient aussi attentifs.
Puissions-nous saisir ce que le Saint-Esprit essaie de nous révéler,
car nous réalisons que, si Tu nous oins, alors l'onction n'est pas
vaine; c'est dans un but – que cela puisse concourir au bien pour le
Seigneur. Et puissent nos coeurs et notre entendement être ouverts,
Seigneur.
19 Puissions-nous avoir la liberté de parler et la
liberté d'écouter, et puissions-nous aussi accéder à la foi, pour
croire ce que nous avons entendu – comme cela vient de la Parole de
Dieu – afin que cela nous amène à la Vie éternelle, au grand jour qui
doit venir. Bénis-nous aujourd'hui. Réprimande-nous quand nous sommes
dans l'erreur. Fais-nous connaître les défauts que nous avons et
bénis-nous dans la voie qui est juste, afin que nous puissions savoir
dans quelle direction aller et comment agir dans le monde présent pour
que, par nos vies, nous puissions honorer Jésus-Christ, qui mourut pour
nous donner la Vie dans le glorieux Au-delà. Nous Te demandons cela au
Nom de Jésus. Amen!
20 Je désire juste lire, ce matin, deux passages des
Écritures; l'un d'eux se trouve dans le Livre de l'Exode. En fait, les
deux se trouvent dans le Livre de l'Exode, l'un au chapitre 13, versets
21 et 22, et l'autre au chapitre 14, les versets 10, 11 et 12. Je vais
lire, maintenant, dans Exode 13:21.
L'Éternel allait devant eux, le jour dans une
colonne de nuée pour les guider dans leur chemin, et la nuit dans une
colonne de feu pour les éclairer, afin qu'ils marchassent jour et nuit.
La colonne de nuée ne se retirait point de devant le
peuple pendant le jour, ni la colonne de feu pendant la nuit.
Maintenant, dans Exode 14, le verset 10
Pharaon approchait. Les enfants d'Israël levèrent
les yeux, et voici, les Égyptiens étaient en marche derrière eux. Et
les enfants d'Israël eurent une grande frayeur, et crièrent à l’Éternel.
Moïse dit alors: N'y avait-il... (je vous demande
pardon.) Ils dirent à Moïse: N'y avait-il pas des sépulcres en Égypte,
sans qu'il fût besoin de nous mener mourir au désert? Que nous as-tu
fait en nous faisant sortir d’Égypte?
N'est-ce pas là ce que nous te disions en Égypte:
Laisse-nous servir les Égyptiens, car nous aimons mieux servir tes
Égyptiens que de mourir au désert?
Je vais encore lire quelques versets.
Moïse répondit au peuple: Ne craignez rien...
(Maintenant, écoutez attentivement.) ...Moïse répondit au peuple: Ne
craignez rien, restez en place, et regardez la délivrance que 1'Éternel
va vous accorder en ce jour; car les Égyptiens que vous voyez
aujourd'hui, vous ne les verrez plus jamais.
L'Éternel combattra pour vous; et vous, gardez le
silence.
L’Éternel dit à Moïse: Pourquoi ces cris? Parte aux
enfants d'Israël, et qu'ils marchent.
Toi, lève ta verge, étends ta main sur la mer, et
fends-la; et les enfants d'Israël entreront au milieu de la mer à sec.
Et moi, je vais endurcir le coeur des Égyptiens,
pour qu'ils y entrent après eux; et Pharaon et toute son armée, ses
chars et ses cavaliers, feront éclater ma gloire.
Et les Égyptiens sauront que je suis 1'Eternel,
quand Pharaon, ces chars et ses cavaliers, auront fait éclater ma
gloire.
L'ange de Dieu, qui allait devant le camp d'Israël,
partit et alla derrière eux; et la colonne de nuée qui les précédait,
partit et se tint derrière eux.
Elle se plaça entre le camp des Égyptiens et le camp
d'Israël. Cette nuée était ténébreuse d'un côté, et de l'autre elle
éclairait la nuit. Et les deux camps n'approchèrent point l'un de
l'autre pendant toute la nuit.
Moïse étendit sa main sur ta mer. Et 1'Eternel
refoula la mer par un vent d'orient, qui souffla avec impétuosité toute
la nuit; il mit la mer à sec, et les eaux se fendirent.
Les enfants d'Israël entrèrent au milieu de la mer à
sec, et les eaux formaient comme une muraille à leur droite et à leur
gauche.
Les Égyptiens les poursuivirent; et tous les chevaux
de Pharaon, ses chars et ses cavaliers entrèrent après eux au milieu de
la mer.
A la veille du matin, 1'Éternel, de la colonne de
feu et de la nuée, regarda le camp des Égyptiens, et mit en désordre le
camp des Égyptiens.
Il ôta les roues de leurs chars et en rendit la
marche difficile. Les Égyptiens dirent alors: Fuyons devant Israël, car
l'Éternel combat pour lui contre les Égyptiens.
21 La Parole du Seigneur est si merveilleuse, si
bonne, qu'il n'y a pas moyen de s'arrêter de La lire. Elle devient
vivante, alors que nous La lisons. Je pense que, dans ce texte ce
matin, bien que cela soit enregistré, je désire dire ceci pour
commencer: ... Je me retrouve... et la raison pour laquelle je... Hier,
alors que j'étudiais, je suis arrivé sur ce sujet et j'ai alors pensé:
«Je vais, si le Seigneur le veut, parler sur ça, parce que cela
m'abaisse.» Et j'espère que cela nous abaissera tous, afin que nous
puissions voir... que cela nous fasse regarder en haut et étudier un
peu, en comparant le jour d'alors avec aujourd'hui.
22 Je désire prendre trois mots, comme texte, et
c'est «Pourquoi crier? Parle!» Dieu dit à Moïse, ici, au verset 15:
«Pourquoi ces cris? Parle au peuple, et qu'il marche.» Donc, Pourquoi
crier? Parle!
23 Nous avons là un bon sujet, et j'essaierai de le
traiter aussi rapidement que possible, selon la conduite du
Saint-Esprit. Je désire, avec ce texte, penser à Moïse, qui criait à
Dieu dans un moment d'adversité; et Dieu réprimanda Moïse juste au
moment de l'épreuve. Il semble que ce soit naturel pour une personne de
crier... Alors, quelle réprimande, lorsque Dieu la reprend pour avoir
dit cela, pour avoir crié à Lui! Cela semble très dur.
24 Souvent, lorsque nous regardons dans les
Écritures selon notre propre façon de voir, cela semble très dur, mais
si nous étudions un peu, nous découvrons que le Dieu infiniment sage
sait ce qu'Il fait. Et Il sait comment faire ces choses et comment
traiter avec les hommes. Il sait ce qui est dans l'homme. Il le
connaît, mais pas nous. Nous savons cela seulement d'une façon
intellectuelle. Il sait ce qui est réellement dans l'homme.
25 Lorsque Moïse vint au monde, c'était un garçon
doué. Il naquit pour être un prophète, un libérateur. Il naquit avec
l'équipement déjà en lui, de même que chaque homme qui vient au monde
naît avec cet équipement. Je crois fermement dans la prescience de Dieu
et dans la prédestination; ce n'est pas que Dieu veuille qu'il y en ait
qui périssent, mais, au contraire, que tous puissent arriver à la
repentance. Mais, étant Dieu, il devait connaître et Il connaît
effectivement la fin, dès le commencement. Voyez-vous? S'Il ne connaît
pas cela, alors Il n'est pas infini; et s'Il n'est pas infini, Il n'est
pas Dieu. Ainsi, Il ne voulait certainement pas qu'il y en ait qui
périssent, mais Il–Il savait qui périrait, et qui ne périrait pas.
26 La raison, le but même pour lequel Jésus vint sur
la terre, était de sauver ceux dont Dieu, au travers de Sa prescience,
avait vu le désir d'être sauvés, parce que le monde entier était
condamné. Je ne vois pas comment nous pourrions enseigner cela d'une
autre façon qu'en parlant de la prescience de Dieu. Et la Bible dit
clairement qu'Il connaît la fin, dès le commencement, et qu'Il peut le
dire. C'est pourquoi, lorsqu'une personne essaie d'être quelque chose
qu'elle n'est pas, elle en fait simplement une imitation et, tôt ou
tard, vous serez démasqué. Vos péchés vous atteindront. Vous ne pouvez
pas les couvrir. Il n'y a qu'une chose qui couvre le péché, c'est le
Sang de Jésus-Christ; et Il ne peut pas être appliqué, à moins que Dieu
ne vous ait appelé dès la fondation du monde.
27 C'est pour cela que le Sang fut répandu, pas pour
qu'on Le foule aux pieds, qu'on se moque de Lui, qu'on Le tripote,
qu'on parle mal de Lui, et tout le reste, mais c'était dans un but
précis. C'est vrai. Pas pour qu'on S'en serve comme d'un jouet, pas
pour qu'on L'imite, en disant que les péchés sont couverts, quand ils
ne le sont pas; et aucun homme ne peut avoir ses péchés couverts, à
moins que son nom n'ait été mis sur le Livre de Vie de l'Agneau, avant
la fondation du monde. Jésus, Lui-même, a dit: «Nul ne peut venir à
Moi, si Mon Père ne l'attire, et tout ce que le Père M'a donné (au
passé) viendra à Moi.» C'est juste. Vous ne pouvez pas faire mentir ces
mots, ils sont là pour témoigner de la Vérité et pour corriger.
28 Moïse naquit avec un don de foi. Moïse avait une
grande foi, nous voyons cela se manifester en lui au bout de quelque
temps. Il naquit dans une famille remarquable, car nous savons que son
père et sa mère étaient issus de la famille de Lévi. Le récit figurant
avant ceci dans le Livre de l'Exode, relate si magnifiquement la vie de
ce grand personnage. Il était l'un des plus grands personnages de la
Bible, car il était exactement un type du Seigneur Jésus.
29 Il eut une naissance très étrange, comme le
Seigneur Jésus. Il naquit dans un temps de persécution, comme le
Seigneur Jésus. Il naquit pour être un libérateur, comme le Seigneur
Jésus. Ses parents le cachèrent pour le protéger de l'ennemi, comme le
Seigneur Jésus. Il commença son ministère, comme le Seigneur Jésus. Il
était un leader, comme le Seigneur Jésus. Il était un prophète, comme
le Seigneur Jésus, et il était un législateur, comme le Seigneur Jésus.
30 Et nous découvrons qu'il mourut sur le rocher et
doit avoir ressuscité... car huit cents ans plus tard, il se tenait sur
le Mont de la Transfiguration, parlant au Seigneur Jésus. Voyez-vous?
Les anges l'emportèrent. Personne ne sait où il fut enseveli; même le
diable ne le savait pas. Franchement, je ne crois pas qu'il ait été
enterré. Je crois que Dieu l'emporta, et qu'il mourut sur le Rocher
qu'il avait suivi tous les jours de sa vie. Il était un type parfait de
Christ. Il était roi pour le peuple; il était un législateur; il était
un–il était un soutien pour le peuple; il était en tout le type de
Christ.
31 Nous voyons donc qu'il vint au monde avec ce
grand don et cette qualité en lui. Il a seulement fallu que quelque
chose luise sur son chemin, pour amener cela à la Vie. En fait, vous
voyez, la semence de Dieu est placée en nous dès la fondation du monde.
Et, quand cette Lumière frappe pour la première fois cette semence.
Cela l'amène à la Vie, mais la Lumière doit premièrement venir sur la
semence.
32 J'ai souvent parlé de la petite femme au puits et
de sa condition. Bien qu'elle fût une personne de mauvaise vie, dont la
vie était corrompue, et qu'elle fût dans cette condition... – parce que
la tradition ne l'avait jamais touchée. Mais, lorsque cette Lumière la
frappa pour la première fois, elle La reconnut rapidement, parce qu'il
y avait quelque chose là pour y répondre.
33 Quand la profondeur appelle la profondeur, il
doit y avoir une profondeur quelque part pour répondre à cet appel.
Moïse était né prophète, mais il fut élevé dans une école
intellectuelle et dans le palais du pharaon. Le pharaon Séti, sous le
règne duquel il fut élevé, était un homme qui avait encore de
l'honneur, et qui croyait que Joseph était le prophète du Seigneur.
Mais Ramsès vint après Séti, et Ramsès ne se soucia pas de Joseph. Ce
fut le commencement des difficultés, lorsqu'il y eut un pharaon qui ne
connaissait pas Joseph.
34 Mais ces grandes qualités... Parlons d'elles
pendant un petit moment, avant d'arriver à la partie principale du
texte. J'ai une façon étrange de choisir un texte et, ensuite, de
construire à partir de là. Que le Seigneur nous aide ce matin, alors
que nous construisons là-dessus.
35 Moïse vint au monde avec ce grand don de foi;
ensuite, il fut oint et commissionné au buisson ardent, pour délivrer
le peuple de Dieu. Maintenant, voyez quelles étaient les grandes
qualités de cet homme! Il vint au monde pour une certaine chose; Dieu
avait un dessein dans cela. De même, Dieu a un dessein pour vous dans
le fait que vous soyez ici. Alors... si vous pouvez seulement être...
arriver à cette place, combien de difficultés vous épargnez à Dieu et
aussi à vous-même.
36 Moïse est né, et plus tard il fut amené à
l'endroit où il fut oint. Et remarquez: La semence se trouvait là, avec
une conception intellectuelle et toute la foi dans le fait qu'il était
né pour délivrer ce peuple... Pourtant cette semence n'est jamais venue
à la Vie, avant que la Lumière du buisson ardent ne l'illumine, et
avant qu'il ne voie... non pas comme quelque chose qu'il aurait lu,
mais quelque Chose qu'il voyait de ses yeux, quelque Chose qui lui
parla et à quoi il répondit! Oh! combien cela amena certainement les
choses à la Vie.
37 Je pense qu'un homme ou une femme, un garçon ou
une fille, avec une conception intellectuelle de la Parole, ne peuvent
jamais avoir un parfait fondement, avant d'avoir rencontré cette
Lumière, qui amène cette Parole à une réalité. Je pense qu'aucune
église, avec sa pratique, peu importe combien elle est intellectuelle
et fondamentaliste, cette église ne peut jamais prospérer avant que le
surnaturel ne se soit fait connaître parmi ces gens-là, et qu'ils
l'aient vu – quelque Chose avec lequel ils peuvent parler et qui leur
répondra et confirmera cette Parole écrite.
38 Maintenant, souvenez-vous que, lorsque Moïse
rencontra ce buisson ardent, cette Parole fut confirmée exactement.
C'était la Parole. Moïse n'avait pas à S'inquiéter: «Qu'est-ce que
cette Voix? Qui est cet Être ici?» Parce que Dieu avait déjà annoncé
dans l'Écriture, dans la Genèse, ceci: «Ton peuple séjournera dans un
pays étranger, mais il sera ramené après 400 ans; il reviendra de
nouveau dans ce pays, car l'iniquité des Amoréens n'est pas encore à
son comble.»
39 Des centaines et des centaines d'années avant
cela, Dieu avait dit qu'Israël séjournerait et serait maltraité dans un
pays étranger, et qu'il resterait là pendant 400 ans, mais que Dieu,
par une main puissante, les en ferait sortir. Ainsi, vous voyez, avec
ce buisson ardent... Moïse savait ceci intellectuellement, et la
semence qui était née en lui reposait dans son coeur. Et il essaya, par
son expérience intellectuelle de la Parole, de les en faire sortir, de
les délivrer, parce qu'il savait qu'il était né dans ce but-là. Il
savait, d'après le temps que les Écritures avaient mentionné, que cela
faisait déjà 400 ans qu'ils se trouvaient là.
40 De même, nous savons maintenant, comme me 1'a
demandé un homme, il y a quelques instants, ce qui en est de Sa venue
et de l'enlèvement. Nous savons que nous avons vécu tout le temps qui
nous était attribué. Le temps de l'enlèvement est proche. Et nous
recherchons une «foi de l'enlèvement», qui puisse rassembler l’Église
et Lui donner une force surnaturelle, capable de changer ces corps dans
lesquels nous vivons. Lorsque nous voyons un Dieu qui peut relever les
morts, qu'ils soient étendus sur le plancher ou dans la cour, les
ramener à la vie et les présenter devant nous... Quand nous voyons un
Dieu qui peut prendre un homme rongé par le cancer, qui n'est plus que
l'ombre de lui-même, le relever et faire de lui un homme fort et en
bonne santé, cela devrait donner aux gens «la foi de l'enlèvement»
Lorsque cette Lumière brillera du ciel et que la trompette sonnera, le
Corps de Christ sera rapidement rassemblé et changé en un instant, pour
être enlevé dans les cieux.
41 Oui, quelque chose comme cela doit arriver, et
nos écoles de théologie ne peuvent jamais produire cela; pourtant,
elles vont bien, intellectuellement. Mais, vous devez rencontrer cette
Lumière! Vous devez trouver cette certaine chose.
42 Ici, Moïse avait basé son glorieux appel sur la
Parole (et c'était bien), jusqu'au jour où il rencontra cette Lumière,
et la Parole Elle-même lui répondit. Alors, il reçut son onction. Cela
oignit ce qu'il avait en lui, ce qui était à l'intérieur, l'intellect
qui croyait cela, la foi qui était basée sur sa croyance en Dieu qui
l'avait séparé de sa mère. Et, maintenant, lorsqu'il entra dans la
présence de cette Lumière, Celle-ci oignit ce qu'il croyait. Voyez-vous?
43 Quelle onction! Et il fut commissionné. Nous
savons qu'intellectuellement, il avait entendu sa mère. Il savait ce
qui allait arriver et il savait qu'il vivait dans ce jour-là. Mais,
ici, il découvrit qu'il était un raté, et il se peut que sa foi soit
redescendue un peu. Mais, lorsqu'il arriva au buisson, Dieu dit: «J'ai
entendu les cris de Mon peuple et Je me souviens de la promesse que
J'ai faite à leurs pères, Abraham, Isaac et Jacob, et Je suis descendu.»
44 Je, le pronom personnel. «Je suis descendu pour
les délivrer.» Et maintenant, puis-je juste ajouter ceci, et que Dieu
me pardonne si cela parait sacrilège: «Je ne fais rien sur la terre, si
ce n'est au travers d'hommes. Je suis le Cep, vous êtes les sarments,
et je me manifeste seulement lorsque je peux trouver un homme. Et Je
t'ai choisi et je t'envoie là-bas pour les faire sortir.» Voyez-vous?
Notez cela: «Je serai avec ta bouche et Je... Prends ce bâton.»
Et Moïse dit: «Puis-je voir l'évidence que Tu m'as
envoyé, et que Tu m'as oint, et que Tu vas faire ces choses?»
Il dit: «Qu'as-tu dans la main?»
Il répondit: «Un bâton.»
Il dit: «Jette-le par terre» – et il se changea en
serpent; et Moïse s'enfuit.
Il dit: «Ramasse-le» – et il se changea de nouveau
en un bâton. Il dit: «Mets ta main dans ton sein.» Il la retira – et
elle était couverte de lèpre; il la remit – et elle fut guérie. Il vit
la Gloire de Dieu.
45 Moïse n'avait plus de questions. Avez-vous
remarqué qu'il ne s'est plus jamais enfui au désert? Il savait qu'il
était oint. Il savait que toutes ces choses qui avaient été dans son
coeur, ces grandes qualités, il savait qu'elles étaient ointes à
présent. Il... il est prêt. Il est prêt à partir; il s'en va donc vers
l'Égypte – Dieu avait dit: «Je serai avec toi», – ainsi, cela était
réglé. Ce: «Je serai avec toi» était tout ce que Moïse devait savoir
pour ce glorieux appel dans son coeur. Et Dieu avait dit: «Je serai
avec toi.»
46 Dieu avait aussi confirmé les prétentions de
Moïse. Moïse déclarait: «J'ai rencontré le Seigneur.» Et Dieu lui dit:
«Dis-leur Je suis m'a envoyé.» Voyez-vous?
47 Ils dirent: «Voici un homme, un autre juif, c'est
probablement un de ces fanatiques, qui vient, comme nous en avons eus
tout le temps, avec toutes sortes de projets pour nous libérer de
l'esclavage.» Et vous savez comment sont les gens, lorsqu'ils sont des
esclaves ou en esclavage pour une certaine raison, on leur présente
toujours une espèce de truc pour faire cela. Donc Moïse... Dieu avait
fait la promesse suivante à Moïse: «Je serai avec toi; Je serai en toi.
Mes paroles seront tes paroles. Tu prononceras Mes paroles, et tu diras
simplement ce que Je dis.»
48 Lorsque Moïse descendit et leur fit entendre cet
appel et se tint devant Pharaon, lui disant que l’Éternel, le Dieu des
Hébreux, avait dit: «Fais sortir les enfants d'Israël», il ne voulut
pas les laisser partir. Alors, Moïse accomplit un signe devant les
anciens et devant Pharaon; et les signes que Dieu accomplit...
49 Il dit: «Demain, vers cette heure-ci, le soleil
descendra. Il y aura des ténèbres sur toute l’Égypte» – et cela arriva
exactement. Ensuite, il dit: «Des mouches viendront sur le pays.» Et il
étendit son bâton et il réclama des mouches – et les mouches
arrivèrent. Et il prophétisa – et tout ce qu'il avait prophétisé arriva
exactement, car c'était Dieu. Voyez-vous?
50 Dieu l'avait appelé dès sa naissance et Il avait
mis en lui les qualités d'une grande foi; ensuite, Il descendit avec Sa
présence et oignit cette grande chose qui était en lui et l'envoya avec
Sa Parole. Et il fut correctement justifié de ses prétentions. Peu
importait combien il y avait eu de charlatans et combien d'autres
choses étaient arrivées, Dieu parlait et Moïse était identifié.
Moïse... Ce que Moïse disait, Dieu l'honorait! Je veux que vous
n'oubliiez jamais cette parole: Ce que Moïse disait, Dieu l'honorait,
parce que la Parole de Dieu était en Moïse. «Je serai avec ta bouche.
Elle dira les choses justes.»
Ce que Dieu disait... Ce que Dieu disait, Il le
disait à travers Moïse, et cela confirmait et justifiait ses
prétentions.
51 Sa mère lui parla aussi de sa naissance
mystérieuse et du temps devenu proche où il devait y avoir une
délivrance. Amram et Jokébed, le fils et la fille de Lévi, commencèrent
à prier Dieu d'envoyer un libérateur. Et cela prend... Lorsque vous
voyez que le temps de la promesse est proche, cela pousse les gens à
prier et à avoir soif de cela. Et sans doute, Jokébed lui avait dit
souvent (c'était sa mère, et elle était aussi sa préceptrice, d'après
le récit), elle lui avait raconté comment elle avait prié. «Et, Moïse,
mon fils, lorsque tu es venu au monde, tu étais le fils attendu. Tu
étais différent. Quelque chose est arrivé à ta naissance.»
52 J'ai donné à ce sujet une illustration pour les
enfants, il n'y a pas longtemps, et j'ai dit que, pendant qu'Amram
était dans sa chambre et priait, il vit un ange tirer son épée et la
diriger vers le nord, et dire: «Tu auras un enfant, et il emmènera les
enfants d'Israël en direction du nord, vers la Terre promise.» J'ai
donné ainsi une illustration pour que les petits enfants comprennent
cela. Leur intelligence n'est pas arrivée au stade où, comme vous les
adultes, elle peut saisir les choses telles que le Saint-Esprit vous
les révèle.
53 Bien que sa mère lui ait dit ces choses et qu'il
ait su cela, il avait cependant besoin d'un autre contact.
L'enseignement était bon, mais il avait besoin d'un contact personnel.
54 C'est ce dont le monde a besoin aujourd'hui.
C'est ce dont l'église a besoin aujourd'hui. C'est ce dont chacun a
besoin, en tant que fils et filles de Dieu. Afin d'être cela, vous avez
besoin d'un contact personnel. Voyez-vous? Quelque chose... Peu
importe... Vous savez que la Parole est vraie; vous savez qu'Elle est
juste, mais, lorsqu'il y a ce contact et que vous voyez la chose se
faire, alors, vous savez que vous êtes sur la bonne route. Voyez-vous?
Et regardez, cela sera toujours scripturaire. Cela s'accordera tout à
fait avec l’Écriture, parce que ceci l'a fait.
55 La prière d'Amram s'accordait exactement avec
l’Écriture. Leurs prières étaient en accord avec la Parole promise.
Dieu avait promis de faire cela, à ce moment-là. Ils prièrent pour
cela, et l'enfant attendu vint au monde. Et ils...
56 Regardez bien! Oh! comme j'aime ceci! Voyez. A
l'heure où Pharaon mettait à mort tous les enfants... voyez-vous? Ils
ont passé ces petits enfants au fil de l'épée, l'épée «guardenian»
[anglais – N.D.T.] , et jeté leurs petits corps aux crocodiles, si bien
que ceux-ci sont peut-être devenus gras à manger ces enfants hébreux.
57 Mais la Bible dit que les parents ne craignirent
pas l'ordre qu'avait donné Pharaon de tuer les enfants. Ils n'avaient
pas peur, parce qu'ils avaient vu, dès le commencement, quelque chose
dans ce bébé. Ils avaient vu là, une réponse à leurs prières.
58 Moïse avait donc tout ce passé derrière lui, par
conséquent, il sut qu'il était envoyé dans le but même de délivrer les
enfants d'Israël. Vous voyez, tous les faits du passé s'accumulent.
Lorsque vous recevez quelque chose et que vous pouvez le confirmer par
la Bible et dire: «Ceci va arriver» – le voici qui arrive. «Il y aura
cela à tel moment» – et le voilà qui arrive. «Cela va arriver à tel
moment» – et le voilà qui arrive. Alors, tout s'accumule et dessine
pour nous une image.
59 Oh! combien ce Tabernacle, ce matin... combien
nous, gens de cette heure... Frère Neville, alors que nous voyons nos
cheveux qui deviennent gris et nos épaules qui s'arrondissent, et quand
nous voyons le monde tituber et vaciller... Combien nous pouvons
regarder autour de nous et voir que la promesse est près de se
réaliser! Cela... J'ai souvent pensé que, si quelqu'un pouvait sauter
là-dedans d'un seul coup et comprendre cela, entrer là-dedans d'un seul
coup, cela l'enverrait presque jusque dans l'éternité, avec
simplement... – tellement cette chose pourrait vous enlever – et cela,
sans même le réaliser. Oh! juste pénétrer dans les choses que nous
avons vues, que nous connaissons et que nous comprenons, et sauter
là-dedans d'un seul coup. Cet homme ou cette femme, ce garçon ou cette
fille, lèverait probablement les mains et dirait: «Allons-y, Seigneur
Jésus!» Voyez-vous? Oh! l'heure est si proche!
60 Moïse, sachant qu'il était né dans ce but-là,
regarda dehors par les fenêtres et observa ces Hébreux qui
travaillaient durement. Il regarda ensuite dans l'Écriture qui disait:
«Et ils séjourneront là-bas 400 ans; mais je les ferai sortir avec une
main puissante.» Après que Moïse eut reçu sa commission et son onction,
il revint; il savait qu'il était né... et sa foi..» et, par la foi, il
vit ces gens et il sut qu'ils étaient les enfants de Dieu, parce que la
Parole le disait. Ils n'étaient pas du monde et ils n'étaient pas comme
les autres. Ils étaient différents. Ils étaient des excentriques et des
fanatiques, face au grand prestige de l’Égypte. Lui devait être le fils
de Pharaon et ensuite reprendre le royaume, mais il...
61 Il y avait quelque chose au fond de lui, une foi
réelle, qui ne regardait pas à ces choses et au prestige qu'il allait
hériter. Il regarda à la promesse de Dieu, et il sut que le temps
approchait. Et ce qui a bien pu traverser sa pensée... Je veux en
parler un jour avec lui, lorsque je le rencontrerai de l'autre côté.
Vous dites: «Ah, c'est insensé!»
Mais non! Je vais le rencontrer, par la grâce de
Dieu. Oui, monsieur. Un jour, je parlerai à Moïse lui-même. Comme
j'aimerais lui demander combien il a eu de frustrations lorsque le
diable, voyant sa préparation, lui dit: «Ah, les gens ne vont pas te
croire. Ah, il n'y a rien de valable dans tout cela.» Mais, lorsque
cette semence vint à la Vie, là en haut, quelque chose le frappa et il
sut que quelque chose allait arriver. Il sut... Il regarda son horloge
et il vit l'heure qu'il était. Et il sut cela. Combien il dut
réfléchir, alors qu'il observait.
62 Quand il eut rassemblé tout cela et toutes ces
grandes choses qu'il avait vues, le temps indiqué par l’Écriture, les
prières de sa mère et de son père, sa naissance particulière, son
enfance étrange... Tout le temps, il y avait eu quelque chose là, tout
au fond de lui, et, un jour, il s'esquiva et pensa qu'il pourrait
utiliser sa formation militaire reçue à l'école, pour délivrer les
enfants d'Israël, et ce fut un échec. Ensuite, il alla dans le désert
et, là, il épousa une charmante jeune fille éthiopienne, et ils eurent
un petit garçon, qu'ils appelèrent Guerschom.
63 Un jour qu'il surveillait le troupeau, il vit
tout à coup un buisson au sommet de la montagne, qui brûlait. Il y
monta et ce n'était pas une chose intellectuelle ou une imagination,
une hallucination ou une illusion d'optique, mais là se trouvait le
Dieu d'Abraham dans une Lumière, une Colonne de Feu dans un buisson. Et
le feu s'en dégageait sous forme d'ondulations sans toutefois affecter
le buisson. Et la Voix de l’Écriture, la Voix de Dieu lui parla à
travers cela, et lui dit: «Je t'ai choisi. C'est toi l'homme. Je t'ai
suscité dans ce dessein. Je te prouve ici, par des signes, que tu vas
aller délivrer les enfants d'Israël, parce que Ma Parole doit
s'accomplir.»
64 Oh! Sa Parole pour ce jour-ci doit s'accomplir!
Nous vivons dans cette heure-là. Peu importe ce qu'on dit, la Parole
doit s'accomplir. Les cieux et la terre passeront, mais pas Sa Parole.
65 Quand Moïse eut réuni tous ces éléments pour
obtenir une vue d'ensemble, cela oignit sa foi. Amen! Oh! là là! Quelle
pensée! Le fait de voir ceci dans l’Écriture, qui indiquait exactement
ce que c'était, le fait que Dieu ait parlé, l'évidence de cela qui se
trouvait là, tout cela oignit la foi qu'il avait en lui et le poussa à
se mettre au travail. Qu'est-ce que cela devrait nous faire!
66 Nous avons besoin d'une repentance. Nous avons
besoin d'un réveil. Je parle de moi. J'ai besoin d'être secoué. J'ai
besoin de quelque chose. J'ai dit que je parlais de moi, ce matin, ou à
mon sujet... J'ai besoin d'être réveillé. Quand je pense à cette grande
évidence... tout est si parfaitement disposé. Et cela oignit la foi de
Moïse et, oh! il vit qu'il n'y avait rien...
67 Le voici qui s'enfuit d'Égypte, alors qu'en fait
il aurait pu commencer une révolte ou quelque chose ainsi; il aurait pu
se lever et commencer une révolution en Égypte, et prendre une armée et
se battre, mais, voyez-vous... et en avoir des milliers de son côté.
Mais il craignit de le faire, bien qu'ayant des armées de son côté.
Mais, maintenant, il revient, quarante ans plus tard, âgé de
quatre-vingts ans, avec seulement un bâton à la main. Pourquoi? Parce
que ce qui brûlait au fond de son coeur était devenu une réalité. Il
était alors oint, et il savait qu'il avait le AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Rien ne pouvait maintenant l'arrêter. Il n'avait pas besoin d'armée.
Dieu était avec lui; c'est tout ce dont il avait besoin: avoir Dieu
avec lui.
68 Oh! quand vous savez que Dieu vous a envoyé faire
une certaine chose et que vous voyez cela se mouvoir dans cette
direction, il n'y a rien qui puisse le remplacer. C'est tout.
69 Je me souviens de fois où le Seigneur m'a dit que
certaines choses allaient arriver; lorsque j'y suis allé et que j'ai vu
que cela se trouvait là... oh! quelle impression! La situation est déjà
sous contrôle. C'est tout, voyez-vous? Parce que Dieu l'a dit.
70 Je me souviens... Beaucoup parmi vous se
souviennent de ce petit garçon qui fut ressuscité des morts, en
Finlande, après avoir été tué par une automobile. Je me tenais là, au
bord de la route, et je commençai à M'éloigner de cet enfant; je me
tournai et je regardai en arrière, et quelqu'un mit sa main sur mon
épaule. Je pensai que c'était frère Moore, mais personne n'était près
de moi.
71 Et je regardai en arrière et, ensuite, je
regardai vers la montagne. Je vis... Je pensai: «Mais j'ai vu cette
colline quelque part; pourtant, nous ne sommes pas venus par-là, nous
sommes venus d'une autre direction. Où est cette colline?» Et je
regardai cette voiture, là-bas en bas, qui était démolie, et ce petit
garçon, qui était étendu là, avec ses cheveux coupés courts, les yeux
révulsés, comme ceux de frère Way, l'autre jour, lorsqu'il s'est
affaissé; et le petit pied qui sortait de la chaussette, laissant voir
ses petits membres brisés; et le sang qui sortait de ses yeux, de son
nez et de ses oreilles... Et je voyais ses petits pantalons courts,
retenus par des boutons sur le côté à la hauteur de sa taille, et ses
petites chaussettes montantes, comme nous en portions, il y a bien des
années. Et je regardai tout autour de moi, et c'était là, exactement...
exactement comme le Saint-Esprit me l'avait dit deux ans auparavant, et
que vous tous, dans tout le pays, aviez inscrit dans vos Bibles, disant
que cela arriverait.
Oh! ... alors la situation est bien en main! Peu
importe s'il est tout à fait mort; peu importe ce que n'importe qui
peut dire; tout est terminé. Il doit revenir à la vie.
Je dis alors: «Si cet enfant ne ressuscite pas des
morts, je suis un faux prophète; je suis une fausse représentation de
Dieu, car, dans mon pays, il y a deux ans, Il m'a dit que ceci
arriverait.» Et, tenez, ces prédicateurs et tous... c'est écrit sur la
feuille de garde de notre Bible, et le voici exactement. Lisez sur
cette page de garde où il est dit que ce serait dans un pays où il y a
un amoncellement de rochers, et qu'il serait tué, et qu'il se
trouverait sur le côté droit de la route. Je dis: «Le voilà; rien ne
peut l'arrêter.» La situation est déjà sous contrôle.
72 La foi qui était dans mon coeur fut ointe. Oh! si
seulement je pouvais expliquer cela! La foi que Dieu... que j'avais en
Dieu, qui m'avait dit qu'Il ne faillirait jamais, me dit: «La situation
est maintenant sous contrôle. Voilà exactement ce que je t'avais
montré, il y a deux ans, et tout se trouve là, exactement dans l'ordre.
La seule chose que tu dois faire, c'est de prononcer la Parole!» Et le
petit garçon ressuscita des morts. Voyez-vous?
73 En regardant là, et en voyant frère Fred
Sothmann, frère Banks Wood et les autres, cela me fait penser à ce qui
arriva l'autre jour sur la route de l'Alaska, alors qu'ici à l'église,
je vous avais parlé à tous d'un animal qui devait ressembler à un cerf,
avec des bois de 42 pouces [ 105 cm – N.D.T.] de long, et d'un ours
grizzly ayant une partie argentée. Je n'étais jamais allé là-bas
auparavant, mais je vous avais dit que j'allais l'attraper, et comment
il serait, et combien de personnes il y aurait avec moi, et comment
elles seraient vêtues. Vous le savez, chacun d'entre vous... des
semaines et des semaines avant que cela arrive.
74 Et comme j'arrivais à l'endroit en question, sans
le savoir, voilà cet animal qui était couché. Je me suis approché et
il... C'était impossible... Si un chasseur écoutait cette bande, il
saurait que vous ne pouvez pas approcher un animal de face, sans qu'il
bondisse et se mette à courir. Mais celui-ci ne le fit pas.
75 Il est suspendu dans mon bureau, et l'ours qui a
une partie argentée s'y trouve aussi; et il y a à côté une règle, un
mètre à ruban, pour attester la longueur de ses bois. Or, un bois se
rétrécit d'au moins 5 centimètres [2 pouces – N.D.T.] entre le moment
où il est vert sur l'animal et le moment où il est sec, mais celui-ci
ne s'est jamais rétréci. Il mesure toujours exactement 42 pouces [105
cm]. Et cet ours argenté est étendu là, et il mesure exactement 2 m 10
[7 pieds] de long, et tout est encore exactement comme c'était alors.
76 Mais, lorsque cet homme me dit: «Maintenant,
regardez, frère Branham, nous avons cet animal dont vous parliez, mais
vous m'avez dit que vous attraperiez un grizzly avec une partie
argentée, avant que vous n'arriviez au bas de la colline, où il y a ces
garçons et celui à la chemise verte.» Je lui dis: «C'est AINSI DIT LE
SEIGNEUR. Dieu l'a dit.»
«Mais, frère Branham, dit-il, je peux voir sur des
kilomètres ici tout autour, mais il n'y a rien. D'où viendra-t-il?» Je
répondis: «Ce n'est pas à moi de demander. Dieu l'a dit, et Il est
Jéhovah-Jiré. Il peut amener là un ours. Il peut en mettre un là.» Et
Il le fit, et le voilà.
77 C'est une situation sous contrôle. Et lorsque
Moïse vit qu'il avait été suscité dans ce but et qu'il avait rencontré
face à face ce grand Dieu qui l'avait appelé, oint et identifié, et qui
lui avait dit: «C'est ton appel, Moïse, Je t'envoie. Je vais te montrer
Ma Gloire et Je suis ici dans le buisson ardent. Va là-bas! Je serai
avec toi.» Il n'avait même pas besoin d'un bâton. Il avait la Parole,
la Parole confirmée. Et il s'en alla.
78 Cela oignit la foi qui était en lui. Et cela nous
oint, lorsque nous voyons que nous vivons dans les derniers jours et
que nous découvrons que tous ces signes arrivent. L’Écriture dit qu'ils
arriveraient dans les derniers jours, allant du ciel aux puissances
politiques, à la nature des gens, la démoralisation du monde et le
comportement des femmes. Ce qu'elles feraient dans les derniers jours,
ce que les hommes feraient, ce que les églises feraient, ce que les
nations feraient, et ce que Dieu ferait. Et nous voyons tout cela
devant nous.
79 Oh! cela oint notre foi. Cela nous amène dans de
grands cycles, voyez-vous? Cela nous sépare des autres choses du monde.
Peu importe combien nous sommes petits, combien nous sommes une
minorité, combien l'on se rit de nous et l'on se moque de nous, cela ne
fait aucune différence. C'est tout. Nous le voyons; il y a quelque
chose au-dedans de nous. Nous étions prédestinés à voir cette heure et
rien ne nous empêchera de la voir. Amen! Assurément, Dieu l'a prononcé.
Cela est déjà arrivé. Nous le voyons. Oh! combien nous remercions Dieu
pour ceci! Oh! cela fait ressortir votre foi, lorsque nous voyons ces
choses arriver ici.
80 Nous lisons ici, de nouveau, que Moïse regarda
l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de
l’Égypte. Il regarda l'opprobre de Christ... Maintenant, souvenez-vous:
l'opprobre de Christ. Voyez-vous?
Il y a de l'opprobre à servir Christ. Si vous êtes
très populaire pour le monde, alors vous ne pouvez pas servir... vous
ne servez pas Christ. Non. Vous ne le pouvez pas, parce que,
voyez-vous, il y a de l'opprobre qui va avec cela. Le monde a toujours
jeté l'opprobre.
81 Il y a des milliers d'années, il y avait de
l'opprobre qui allait avec cela. Et Moïse, le futur pharaon, – il
devait succéder à Pharaon, étant son fils–... allait devenir le nouveau
pharaon, ayant la faveur des gens, et, cependant, il regarda ou estima
l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que tout ce que
l’Égypte pouvait bien lui donner. L’Égypte était entre ses mains.
Pourtant, il savait qu'il y avait de l'opprobre à prendre la voie de
Christ. Mais il était si heureux de savoir qu'il y avait quelque chose
en lui, qui le faisait regarder l'opprobre de Christ comme quelque
chose de plus grand que tout le prestige qu'il avait hérité. Il avait
un héritage au-dedans de lui, qui était infiniment plus grand que ce
que l'héritage extérieur lui avait donné.
Oh! si nous pouvions être comme cela, aujourd'hui,
et laisser le Saint-Esprit oindre ce que nous avons en nous, cette foi,
pour produire une vie pieuse et consacrée à Christ.
Avec une foi telle que celle qu'il avait, il regarda
et considéra cet opprobre comme un honneur.
Aujourd'hui, lorsque quelqu'un dit: «Hé!, êtes-vous
l'un de ceux-là? Ces...»
«Eh bien! euh, euh...»
Vous avez un peu honte de cela. Mais il regarda cela
comme un trésor plus grand que le monde entier, parce qu'il y avait
quelque chose en lui, dont il pouvait parler et dire: «Oui, je regarde
à ceci. Ceci est hautement honoré. Je suis content d'être l'un d'eux.»
Voyez-vous? «Je suis content d'être compté au nombre des Hébreux plutôt
que des Égyptiens.»
82 Les chrétiens, aujourd'hui, devraient dire la
même chose: «Je suis content de me considérer comme chrétien, et de
m'abstenir des choses du monde et de l'ordre du monde» – pas simplement
comme un membre d'église – mais comme un chrétien né de nouveau qui vit
en accord avec l’Écriture. Bien que je sois appelé même par les membres
de l'église «un fanatique», je–je–je regarde néanmoins cela comme une
chose plus grande–plus grande que si j'étais la personne la plus
populaire de la ville ou de la nation. Je préfère être cela que d'être
président des États-Unis ou roi sur la terre. (Voyez-vous?) Je regarde
cela avec une très haute estime, parce que Dieu, dans Sa miséricorde,
m'a vu avant la fondation du monde et a placé une petite semence
là-dedans, afin que ma foi s'élève au-dessus de ces choses du monde. Et
maintenant, Il m'a appelé et je considère ma place, comme Paul disait
qu'il considérait sa fonction avec une haute... Oh! que Dieu l'ait
appelé et l'ait empêché d'être un grand docteur comme Gamaliel! Mais
Paul avait été appelé à être un sacrifice pour Christ.
83 Et là, c'est la même chose. Remarquez, avec une
telle foi, il ne se fia jamais à sa vue, à ce qu'il pouvait voir. Il ne
voyait là-bas rien qu'un tas de travailleurs manipulant la boue, des
esclaves, en prison, que l'on tuait chaque jour, que l'on battait avec
des fouets, et qui subissaient la moquerie. Leur croyance religieuse
était fanatique. Et il y avait un pharaon, qui était assis sur le
trône, qui ne connaissait ni n'avait aucune estime pour leur religion.
Il ne savait rien à ce sujet. Il était un païen, ainsi il...
84 Comme c'est l'image d'aujourd'hui... Et c'est
cela, une religion différente! Et alors si ce Moïse, qui était pourtant
assis avec le président, – ou le grand homme, Pharaon – et qui allait
prendre sa place à sa mort, car il était âgé... Et, cependant, Moïse
pensait que cet appel... Il regarda dehors par la même fenêtre que
Pharaon, parce qu'il était dans sa maison... Et Pharaon regarda dehors,
et vit ces gens qui levaient les mains, à qui on infligeait le fouet,
jusqu'à ce que mort s'en suive, parce qu'ils priaient. On les
transperçait avec une épée, parce qu'une fois, ils n'avaient pas obéi,
et on les faisait travailler jusqu'à ce que leurs corps usés tombent
d'épuisement, et on leur donnait à moitié à manger. Ce n'était rien
d'autre qu'un tas de fanatiques, à peine des humains; et pourtant,
Moïse, ayant cette foi en lui, les regarda et dit: «Ils sont le peuple
béni de Dieu.» Amen! J’aime cela.
85 Avec une telle foi... Ses yeux ne se posèrent pas
sur le prestige de l’Égypte; ils se posèrent sur la promesse de Dieu.
Son oeil d'aigle de la foi vit au-delà du prestige de l’Égypte.
Souvenez-vous qu'il devient maintenant «un aigle»; il est prophète, et
son oeil d'aigle voit au-dessus de ces choses. Oh! combien j'aime cela!
86 Oh! combien de fois aujourd'hui–aujourd'hui, les
chrétiens se fient à leurs sens et à ce qu'ils peuvent voir ou ce
qu'ils peuvent comprendre, plutôt qu'à leur foi. Vous vous fiez à ce
que vous voyez de vos yeux et au prestige. C'est comme vous, les
femmes, je vous répète toujours que vous devez laisser croître vos
cheveux et que vous ne devez pas porter de maquillage, et que vous
devez agir comme des dames et comme des chrétiennes. Vous regardez dans
la rue et vous voyez les femmes aujourd'hui, habillées d'une façon
immorale. Vous pensez alors: «Eh bien, elle appartient à l'église;
pourquoi est-ce que moi je ne pourrais pas le faire?» Voyez-vous? «Elle
se coupe les cheveux; pourquoi–pourquoi est-ce que moi je ne pourrais
pas le faire? Elle semble aussi douce et aussi intelligente que les
autres, et elle a même plus de personnalité que moi. Oh! pourquoi
est-ce que moi, je ne pourrais pas faire cela? Je devrais le faire.»
Lorsque vous faites cela, vous paralysez votre foi. Voyez-vous? Vous ne
donnez pas à votre foi une chance de grandir. Commencez par cela.
87 Comme je l'ai dit... Quelqu'un m'a dit: «Frère
Branham, le pays... les gens vous considèrent comme un prophète. Vous
ne devriez pas crier contre les femmes, comme vous le faites, et contre
les hommes pour ces choses. Vous devriez leur enseigner comment
prophétiser et recevoir des dons.»
88 J'ai répondu: «Comment puis-je leur enseigner
l'algèbre, alors qu'ils ne connaissent même pas leur ABC?» Voyez-vous?
Maintenant, commencez donc par-là. Purifiez-vous, afin que, lorsque
vous marchez dans la rue, vous ressembliez au moins à une chrétienne,
voyez-vous? Et ensuite, agissez comme l'une d'elles. Et vous ne pouvez
pas le faire vous-même, c'est Christ qui doit venir en vous; et, si
cette semence se trouve là et que cette Lumière la frappe, elle viendra
à la Vie. Si elle ne vient pas à la Vie, c'est qu'il n'y a rien là qui
puisse venir à la Vie, car cela a été assurément démontré sur d'autres.
Vous voyez? Elle vient à la Vie immédiatement, aussitôt que la Lumière
la frappe.
89 C'est une réprimande pour les femmes, je le sais,
qui écoutent cette bande ou qui écouteront cela. C'est une réprimande
pour vous, soeur. Cela devrait l'être! Cela devrait l'être, parce que
cela montre... Peu m'importe ce que vous avez fait. Vous pouvez avoir
été religieuse toute votre vie. Vous pouvez avoir vécu dans l'église.
Votre père peut être prédicateur, ou votre mari peut être prédicateur,
mais aussi longtemps que vous désobéissez à la Parole de Dieu, cela
montre qu'il n'y a là pas de Vie. Lorsque vous voyez la chose mise en
évidence et la Vie du Saint-Esprit... observez lorsque cela en frappe
d'autres. Regardez ce qu'elles font. Si ceci amène cela sur elles, ce
n'est pas étonnant...
90 Quelle réprimande pour ces pharisiens qui
appelèrent Jésus Béelzébul, lorsqu'ils virent qu'Il pouvait percevoir
leurs pensées, tandis que cette petite prostituée déclara: «Mais, cet
homme est le Messie! Les Écritures disent qu'Il fera ceci.» Voyez-vous?
Cette semence prédestinée se trouvait là et, quand la Lumière la
frappa, elle vint à la Vie.
91 Vous ne pouvez la garder au fond; vous ne pouvez
cacher la vie. Vous pouvez prendre... verser du ciment sur de l'herbe,
et la tuer pendant l'hiver. Le printemps suivant, où est la majeure
partie de cette herbe? Tout autour du bloc de ciment, parce que,
lorsque le soleil commence à briller et que cette semence fécondée est
sous cette pierre, vous ne pouvez la retenir. Elle va se frayer un
chemin en se tortillant là-dessous et ressortira au bord de cette
chose, levant la tête à la gloire du Dieu. Voyez-vous? Vous ne pouvez
pas cacher la vie.
92 Quand le soleil frappe la vie botanique, elle
doit vivre. Et quand le Saint-Esprit frappe la Vie scripturaire qui est
dans un homme, elle produit son fruit, à ce moment-là. Ainsi, malgré
votre fidélité, votre honnêteté et vos déclarations disant que vous
n'êtes pas cela – lorsqu'on dit que ces femmes qui portent ces
vêtements indécents font simplement du vulgaire strip-tease dans la rue
– bien que vous ne croyiez pas que ce soit votre cas, que vous ne
puissiez pas le croire et puissiez prouver que vous n'êtes pas coupable
d'adultère, d'après le Livre de Dieu, vous commettez quand même
adultère. Jésus a dit: «Quiconque regarde une femme pour la convoiter a
déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.» Et vous vous êtes
présentée de cette manière. Voyez-vous, vous ne pouvez pas le voir, à
moins que cette Vie ne s'y trouve.
93 Vous regardez quelqu'un d'autre et vous dites:
«Je connais soeur Jones... Frère Jones est prédicateur, et sa femme
fait ceci et elle fait cela.» Peu m'importe ce qu'elle fait, ceci est
la Parole.
Jésus a dit: «Que toute parole d'un homme soit un
mensonge, et que la Mienne soit vraie.» C'est la Bible, et quand cette
Lumière la frappe vraiment, elle doit venir à la Vie. Elle doit tout
simplement venir à la Vie.
94 Les grands yeux de Moïse, son oeil d'aigle
regarda au-delà du prestige de l’Égypte. Pour les véritables croyants
chrétiens aujourd'hui, peu leur importe ce que l'église dit, ce que
quiconque dit, lorsque cette Lumière frappe la semence – qu'ils voient
la confirmation de Dieu, cette Colonne de Feu se tenant là et les
signes et miracles promis, l’Écriture jointe à cela – elle vient à la
Vie. Peu importe si c'est petit et s'ils ne sont qu'une minorité... Le
groupe de Dieu a toujours été une minorité. Voyez-vous?
«Ne crains point petit–petit troupeau, car votre
Père a trouvé bon de vous donner le Royaume.» Voyez-vous? Ils
saisissent cela. Dieu est obligé de les faire venir de toutes les
dénominations, de tous les ordres, de partout, pour voir cela – s'ils
sont ordonnés à la Vie.
95 Regardez le vieux Siméon, qui était ordonné à la
Vie. Lorsque le Messie entra dans le temple, sous la forme d'un bébé
dans les bras de sa mère, Siméon, qui était quelque part dans une
pièce, qui lisait, le Saint-Esprit le fit se lever, car il attendait.
Cette Vie était en lui. Il dit: «Je ne mourrai point avant d'avoir vu
le Christ du Seigneur.» Et le Christ du Seigneur était dans le temple.
Le Saint-Esprit le conduisit hors de l'endroit où il travaillait, il
marcha jusque là-bas et prit ce bébé dans ses bras, disant: «Laisse Ton
serviteur s'en aller en paix, car mes yeux ont vu Ton salut.»
96 Il y avait une vieille femme aveugle, dans le
coin, qui s'appelait Anne, qui servait le Seigneur jour et nuit. Elle
aussi prédisait, disant: «Le Messie vient. Je peux Le voir venir.»
Pourtant, elle était aveugle; mais, au moment même de Sa venue, cette
petite Vie qui était en elle, qui prédisait que cela serait là, que
cela serait là, que cela serait là... Cette même Vie, la Lumière, vint
dans le bâtiment sous la forme d'un bébé, d'un enfant illégitime,
emmailloté dans ses langes, traversant le bâtiment. Le Saint-Esprit
frappa alors cette vieille femme aveugle, et elle vint vers les gens,
conduite par l'Esprit, et se tint au-dessus de ce bébé. Elle bénit la
mère et l'enfant, et lui prédit son avenir. Voyez-vous? – ordonnée à la
Vie. Voyez-vous? Regardez... ils n'étaient pas une douzaine.
97 Seulement huit âmes furent sauvées au jour de
Noé. A peine quelques-unes, mais toutes celles qui étaient ordonnées à
la Vie entrèrent à ce moment-là. Voyez-vous comment le Saint-Esprit
opère dans chaque âge? – attirant les gens.
98 Maintenant, nous découvrons que la foi de Moïse
le conduisit à considérer ce qui serait, pas ce qui était. Regarder à
demain plutôt qu'à aujourd'hui. Regarder à la promesse plutôt qu'au
prestige. Regarder aux gens plutôt qu'à l'organisation. Voyez-vous?
Dieu fit cela.
99 Lot pouvait voir le prestige de la prospérité
dans Sodome. Lot pouvait voir les possibilités d'avoir beaucoup
d'argent. Lot pouvait voir, en regardant vers Sodome, la possibilité
pour lui de devenir peut-être, étant Hébreu, un homme important là-bas,
parce qu'il était une grande figure intellectuelle et le neveu
d'Abraham. Il choisit donc d'aller vers Sodome.
L'intelligence de Lot le conduisit à voir le
prestige de la prospérité. L'intelligence de Lot le conduisit à voir
les bénédictions du prestige. Mais sa foi était si paralysée par cela,
qu'il ne vit pas le feu qui allait détruire ce genre de vie. Et c'est
ainsi que sont les gens aujourd'hui. Ils voient les possibilités qui
leur sont offertes en appartenant à une grande organisation, ou en
ayant une position sociale dans la ville, mais ils ne voient pas la
possibi... ils ne voient pas que leur foi est paralysée.
100 Laissez-moi répéter cela, afin que cela ne soit
pas mal compris. Les femmes, aujourd'hui, comme je l'ai dit, veulent
agir comme les stars de cinéma. Les hommes, aujourd'hui, veulent agir
comme les comédiens à la télévision. Les prédicateurs, aujourd'hui,
semblent vouloir transformer leurs églises en une sorte de loge
moderniste, avec des membres. Ils voient la possibilité de devenir
peut-être évêque ou surveillant général ou quelque chose comme cela,
s'ils continuent à s'accorder avec l'église, abandonnant les Écritures
alors qu'Elles se trouvent devant eux, pleinement confirmées par la
puissance de Dieu et par la Parole vivante de Dieu, vivant dans les
gens. Cependant, ils ne veulent pas cela. Ils disent: «Nous ne voulons
pas être mêlés à quelque chose comme cela.» Cela leur enlèverait leur
carte d'associé. Cela leur enlèverait leur ordre dénominationnel.
Pourtant, ce sont des hommes honnêtes comme Lot, qui était assis dans
Sodome et qui savait que cela était faux. Voyez-vous? Voyez-vous ce
qu'ils font, lorsqu'ils font cela? Ils paralysent le peu de foi qu'ils
avaient. Elle ne peut pas opérer.
101 Moïse abandonna cela, et il... sa foi paralysa
le monde. Ou votre foi paralysera le prestige, ou le prestige
paralysera votre foi. Vous devez choisir l'un ou l’autre. Et vous
voyez, la Bible ne change pas; Dieu ne change pas. Il est le Dieu qui
ne change pas.
102 Nous voyons qu'aujourd'hui les gens de ce jour
regardent aux grandes choses, aux grandes organisations. «J'appartiens
à telle église.» Voyez-vous? Et ils vont là-bas et ils regardent, et il
n'y a pas de différence avec les gens de la rue. Il n'y a pas autre
chose... Ils ont un petit quelque chose d'intellectuel... Quand vous
parlez de la guérison divine, de la Colonne de Feu, de la Lumière de
Dieu, ils disent: «C'est idiot.»
Un homme a pris cette photo de l'Ange du Seigneur,
l'autre jour; c'était un prédicateur baptiste, et il s'est moqué de
cela. Voyez-vous? C'est... c'est un blasphème, et il n'y a pas de
pardon pour cela.
103 C'est ce que Jésus a dit. Vous voyez? C'est un
blasphème. Lorsque vous Le voyez faire les mêmes oeuvres que Christ
et... Il a dit... Lorsqu'ils virent ces oeuvres en Christ, qui était le
sacrifice, ils L'appelèrent «Béelzébul», un démon, parce qu'Il faisait
cela. Et maintenant ils disent... Il a dit: «Je vous pardonne pour
cela, mais lorsque le Saint-Esprit viendra et fera la même chose, si
vous prononcez un mot contre Lui, cela ne vous sera jamais pardonné, ni
dans ce monde, ni dans le monde à venir.»
104 Juste un mot, c'est tout ce que vous avez à dire
contre cela. Voyez-vous? Et alors... Parce que, si cette Vie... si vous
aviez été ordonnés à la Vie éternelle, alors cette Vie jaillirait,
quand vous verriez cela. Vous le reconnaîtriez, comme la petite femme
au puits et différents autres; mais, si elle n'est pas là, elle ne peut
pas venir à la Vie, car il n'y a là rien qui puisse venir à la Vie.
Comme ma vieille mère avait l'habitude de dire: «Vous ne pouvez pas
faire sortir du sang d'un navet», parce qu'il n'y a pas de sang en lui.
Maintenant, c'est la même chose, et cela paralyse le peu de foi que
vous avez.
105 Lot put voir le prestige, mais il n'avait pas
assez de foi pour voir le feu qui détruirait un tel prestige. Je me
demande si nous en avons assez, aujourd'hui? Je me demande si nous...
les femmes qui veulent être populaires, qui désirent agir comme le
reste des femmes de l'église, si elles voient qu'elles veulent agir
comme le reste... Elles peuvent voir la possibilité d'être plus jolies
en étant fardées; ou paraître plus jeunes en se coupant les cheveux et
en agissant comme certaines stars de cinéma, mais je me demande si cela
n'a pas paralysé leur foi, sachant que la Bible dit qu'une femme qui
fait cela n'est pas une femme honorable. Et une femme qui met un
vêtement d'homme est une abomination devant Dieu... les pantalons,
etc., et les shorts qu'elles portent. Les gens sont devenus si endurcis
que cela devient normal pour eux. Voyez-vous? Je me demande s'il ne
paralysent pas le très peu de foi qu'ils avaient même pour aller à
l'église. Voyez-vous? C'est la chose que cela produit.
106 Lot fit cela, et cela le paralysa et paralysa
aussi son entourage là-bas en bas. Ils ne pouvaient pas voir cela, mais
Abraham, son oncle, ayant une foi confirmée, ne regarda pas au
prestige, il ne voulait rien avoir à faire avec cela, bien que lui et
Sarah eussent une vie difficile dans la solitude de ces endroits
déserts. C'était un chemin rude, sur une terre desséchée, mais ils ne
regardèrent pas au prestige, ni à la possibilité de devenir populaires.
Sarah était la plus belle femme du pays, la Bible le dit; elle était
belle, la plus belle de toutes les femmes. Elle resta et obéit à son
mari, jusqu'à l'appeler son seigneur. La Bible se réfère à elle jusque
dans le Nouveau Testament, en disant: «... dont vous êtes les filles,
aussi longtemps que vous obéissez à la foi.» Voyez-vous? Elle appela
son mari son seigneur.
107 L'Ange du Seigneur visita leur temple, ou leur
petite tente là-bas, et leur dit: ... – ils n'avaient même pas une
maison où habiter, ils vivaient sur des terres arides. Eh bien, voilà!
Vous voyez, ce jour reproduisant exactement ce qui existait alors.
108 Bien. Moïse, avec sa grande foi, put dire: «Non»
aux choses du monde présent, et faire un choix juste. Il choisit de
supporter les afflictions avec le peuple de Dieu. Il choisit d'aller
avec lui. Pourquoi? – Sa foi. Il vit la promesse; il vit les temps de
la fin; il vit le lendemain et laissa libre cours à sa foi. Il ne fit
pas attention à ce que ses yeux voyaient et aux possibilités qu'il
avait d'être le pharaon, ou de devenir le pharaon, mais il regarda
jusque dans le lendemain.
109 Oh! si seulement les gens pouvaient faire cela!
Il ne vit pas le monde présent. Si vous regardez le monde présent,
c'est lui que vous choisirez. Détournez vos yeux de cela, et regardez
la promesse de Dieu pour le lendemain. Par la foi, il put choisir. Il
choisit donc d'être appelé le fils d'Abraham, et refusa d'être appelé
le fils de Pharaon. Comment put-il le faire, alors que le royaume
entier... L’Égypte avait vaincu le monde. Il était roi du monde; il
était un jeune homme de 40 ans, prêt à prendre le trône, mais il ne
regarda jamais à son...
110 Regardez les femmes qui seraient restées autour
de lui continuellement, ces harems de femmes. Regardez un moment le
prestige: lui, pouvant s'asseoir et boire du vin, et observer le
strip-tease devant lui, pendant qu'elles dansaient et l'éventaient ...
des femmes venant du monde entier, et les joyaux et les trésors et son
armée. La seule chose qu'il aurait eu à faire, c'eut été de s'asseoir
et de manger les meilleurs mets présentés, et de dire: «Envoyez...
Envoyez la garnison numéro tant à tel endroit et prenez ce pays. Je
crois que je le veux pour moi.» C'est tout ce qu'il aurait eu à faire:
s'asseoir là, les laisser l'éventer et garder la bouche ouverte pour
laisser les belles et charmantes strip-teaseuses de ce jour-là y verser
du vin, et lui donner sa nourriture, l'enlassant de leurs bras...
toutes parmi les plus jolies femmes du monde.
111 Tout le prestige possible se trouvait là, près
de lui, mais, que fit-il? Il détourna les yeux de cela. Il savait que
le feu était prêt à détruire cela. Il savait que la mort se trouvait
dans cette ligne-là. Voyez-vous? Il le savait et regarda plutôt vers un
groupe de gens méprisés et rejetés; par la foi, il choisit de subir
l'opprobre de Christ, et il dit: «Je suis un fils d'Abraham; je ne suis
pas le fils de ce pharaon. Même si vous faites de moi un évêque ou un
diacre ou un archevêque ou un pape, je ne suis pas le fils de cette
chose. Je suis un fils d'Abraham! Et je me suis séparé des choses du
monde.» Amen, amen et amen!
112 Par la foi, il fit cela. Il refusa le prestige.
Il refusa la possibilité d'être le prochain évêque. Il déclina l'offre
d'être élu archevêque ou surveillant général à la prochaine élection;
quoi que cela fut, il refusa. Il refusa de regarder cela.
«Si je deviens l'évêque, quand j'entrerai les gens
diront: 'Saint père, ou docteur Untel, ou ancien Untel...' Tous les
prédicateurs à la réunion me taperont sur l'épaule et diront: 'Dites,
ce gars-là a quelque chose, laissez-moi vous dire.' 'Oh! Chut! ...
restez tranquilles, voici l'évêque.' 'Ce qu'il dit a force de loi.’
'Voici Monsieur Untel.'» Les gens prendront l'avion pour aller voir le
pape et lui baiser le pied, les bagues, etc. Une possibilité s'offre à
vous, catholiques et protestants, de devenir évêque ou surveillant
général, un homme important dans une organisation.
113 Oh! mais, voyez-vous, l'oeil de la foi regarde
par-dessus cela. Vous en voyez la fin et vous savez que Dieu a dit que
le tout serait détruit. La foi, cet oeil d'aigle, vous élève au-dessus
de cela, et vous voyez le lendemain, pas le jour même, et choisissez
d'être appelé un fils d'Abraham.
Pharaon, n'ayant pas de foi, considéra les enfants
de Dieu comme des fanatiques. N'ayant pas de foi, il en a fait des
esclaves, parce qu'il n'avait pas peur de ce qu'il disait. Il n'avait
pas peur de Dieu. Il pensait qu'il était Dieu. Il pensait que les dieux
qu'il servait – lui étant un évêque, le principal surveillant général
il pensait que c'était son dieu qui avait fait cela, et que cette
chose-là ne valait rien. C'est pourquoi il en a fait des esclaves. Il
s'est moqué d'eux, les a tourné en ridicule, tout comme l'ont fait les
gens aujourd'hui, c'est exactement pareil.
La foi de Moïse les vit dans la Terre promise, comme
un peuple béni. Cela pouvait être un dur combat pour les amener à la
promesse, mais Moïse choisit d'aller avec eux. (Combien je pourrais
rester là-dessus, mais le temps passe.)
114 Notez que c'est peut-être une chose difficile de
faire changer d'idée ces gens. «Tu dois aller vivre avec eux. Tu dois
être l'un d'entre eux; et ils sont déjà si intellectuels que tu ne peux
pas les remuer. (Voyez-vous?) Mais, quelque chose doit arriver là-bas.
Le surnaturel doit être démontré devant eux. Cela sera une chose
difficile: les organisations te rejetteront et toutes ces choses
arriveront. C'est terrible, ce que tu dois faire, mais fais quand même
ton choix.»
«Je suis l'un d'entre eux.» Oui, sa foi fit cela. Sa
foi produisit des étincelles. Oui, monsieur. Il vit cela. C'était une
chose difficile de les amener à cette promesse. Mais il choisit d'aller
de toute façon avec eux. Sans se soucier de leur comportement à son
égard et combien ils le rejetaient, il alla malgré tout et sortit avec
eux.
115 J'espère que vous comprenez ce que je veux dire!
Bon. Va quand même avec eux. «Faites de moi l'un d'entre eux!» C'est
juste, parce que c'est ton devoir. Il se peut que cela soit un dur
combat et qu'il y ait beaucoup de difficultés à traverser, mais vas-y
quand même. Mais sa foi le conduisit à choisir la Parole plutôt que le
prestige. Il prit la Parole. C'est ce que fit la foi de Moïse.
116 Lorsque la foi regarde au pire côté de ce que
Dieu offre... Souvenez-vous qu'il y avait là le prestige, le monde, ce
qu'il y avait de plus élevé, roi du monde. Et, où était la promesse de
Dieu? Dans le bourbier, des tripoteurs de boue; mais, quand la foi,
quand la foi regarde au pire côté de ce que Dieu offre, elle le
considère comme étant plus grand et plus précieux que ce que le monde
peut montrer de meilleur! Oui, monsieur! – quand la foi regarde cela,
quand la foi peut voir cela.
117 Quand la foi dans la Parole peut voir Celle-ci
rendue manifeste, cela représente bien davantage pour eux que tout le
prestige, la position d'archevêque, tout ce que vous pouvez imaginer.
La foi fait cela. Vous pouvez voir ce qu'il y a de pire, ce qui est
méprisé et rejeté, quoi que ce soit, que ce soit dans sa pire
condition, et pourtant la foi le considérera comme étant un million de
kilomètres plus haut que ce que le monde peut produire de meilleur.
Amen!
C'est ainsi que nous chantons ce cantique: «Je
prendrai le chemin, avec le petit nombre des méprisés appartenant au
Seigneur...» Voyez-vous? Oh! là là! Car, voyez-vous, la foi voit ce que
Dieu veut qui soit fait.
118 Oh! j'espère que cela entre! La foi ne regarde
pas au temps présent. La foi ne voit pas ce qui est ici. La foi regarde
pour voir ce que Dieu veut, et agit en conséquence. C'est ce que fait
la foi. Elle voit ce que Dieu veut et ce que Dieu veut qui soit fait,
et la foi opère au travers de cela.
119 La foi est une vision à longue portée. Elle ne
baisse pas son viseur, elle reste sur la cible. Amen! N'importe quel
bon tireur sait cela, voyez-vous? C'est une longue vue; c'est un
télescope; ce ne sont pas des jumelles pour regarder tout près. Vous
n'utilisez pas des jumelles pour regarder l'heure qu'il est. Vous ne
les utilisez pas pour cela, mais vous utilisez des jumelles pour
regarder au loin, et la foi fait cela. La foi prend les jumelles de
Dieu, les deux, les deux côtés, l'Ancien et le Nouveau Testament, et
elle voit chaque promesse qu'Il a faite, et la foi voit cela là-bas. La
foi choisit cela, sans se soucier de ce que le temps présent dit à ce
sujet. Elle regarde la fin.
Elle n'abaisse pas sa vision pour regarder dans
cette direction... elle regarde là-bas. Elle garde le réticule centré
exactement sur la Parole. C'est ce que fait la foi. C'est la foi qui
est dans un homme, qui fait ces choses.
120 Maintenant, observez! Ce que Pharaon appela...
Ce que Pharaon appela grand, Dieu l'appela une abomination. Pharaon
aurait pu dire: «Regarde, Moïse... tu es le futur pharaon; je te
tendrai ce sceptre quand je partirai d'ici. Je te tends ce sceptre; il
est à toi.» Voyez-vous? Cela est grand. «Tu seras un grand homme,
Moïse. Tu seras l'évêque. Tu seras ceci et cela... Ne nous quitte pas.
Reste ici.» Mais, voyez-vous, il appela cela grand, mais, Dieu dit que
c'était une abomination.
121 Maintenant, vous les femmes, pensez à cela une
minute, et vous les hommes aussi. Ce que le monde appelle grand, Dieu
l'appelle saleté. La Bible ne dit-Elle pas que c'est une abomination,
pour une femme de porter un vêtement qui appartient à un homme? Et vous
vous croyez intelligentes en faisant cela. Voyez-vous? Vous ne faites
qu'exposer votre chair de femelle pour le diable, c'est tout. Ainsi, ne
le faites pas!
122 Et vous, les hommes, qui vivez selon le train de
ce monde, et qui courez après ces choses et les affectionnez... Et
vous, les hommes, qui n'avez pas assez de courage pour faire que vos
femmes cessent de faire cela: Honte à vous! Vous vous appelez des fils
de Dieu, mais, pour moi, cela ressemble à des Sodomites. Voyez-vous? Ce
n'est pas pour blesser vos sentiments, mais pour vous dire la Vérité.
L'amour est correctif. Il l'est toujours.
Une mère qui ne prend pas soin de son enfant, qui ne
le corrige pas, qui ne le fesse pas, et qui ne le fait pas obéir, n'est
pas une vraie mère pour lui. C'est vrai.
123 Maintenant, regardez ce qui arrive. Moïse vit
ceci dans sa vision, mais Pharaon dit: «Ceci est grand.»
Dieu dit: «C'est une abomination.» Ainsi, Dieu...
Moïse choisit ce que Dieu avait dit.
124 Maintenant, remarquez: La foi voit ce que Dieu
désire que vous voyiez. Voyez-vous? La foi voit ce que Dieu voit, mais
le raisonnement et les sens voient ce que le monde veut que vous
voyiez. Remarquez, le raisonnement... «Mais, c'est seulement du bon
sens humain; la seule raison est que... Ceci n'est-il pas bien aussi?»
Voyez-vous? C'est exactement ce qui arrive, lorsque vous utilisez ces
sens qui sont contraires à la Parole, voyez-vous, c'est alors ce que le
monde désire que vous voyiez. Mais la foi ne regarde pas cela; la foi
regarde ce que Dieu a dit, voyez-vous? Vous... vous renversez les
raisonnements. Le sens du raisonnement voit ce que le monde désire que
vous voyiez, c'est-à-dire de grandes dénominations.
«Êtes-vous chrétien?»
«Oh! je suis presbytérien... méthodiste...
luthérien... pentecôtiste»... et quoi d'autre. «Je suis ceci, cela et
cela encore...» – ce sont les sens. «J'appartiens à la Première
Église.» Voyez-vous? «Oh! je suis catholique.» «Je suis... Je suis ceci
ou cela.» Voyez-vous?
125 Vous dites cela. Mais, ce sont les sens. Vous
aimez dire cela, parce que c’est une dénomination, quelque chose de
grand: «Nous avons plus de membres que n'importe quelle église dans le
monde.» Mais il y a seulement une véritable Église et vous ne vous y
joignez pas, vous y naissez. Et si vous y naissez, le Dieu vivant
oeuvre au travers de vous pour se faire connaître. C'est là que Dieu
habite – dans Son Église.
126 Dieu va à l'église chaque jour, Il vit dans
l'Église. Il vit en vous. Vous êtes Son Église. Vous êtes Son Église.
Vous êtes le tabernacle dans lequel Dieu habite. Vous êtes vous-même
l’Église du Dieu vivant. Et, si le Dieu vivant vit dans Ses créatures
vivantes, alors vos actions sont de Dieu. Si elles ne le sont pas,
alors Dieu n'est pas là. Il ne vous ferait pas agir comme cela, alors
qu'Il nous dit, dans la Parole, Son plan: «Ne faites pas cela», et vous
le faites quand même, voyez-vous, c'est faux. Quand vous niez cela,
cela montre que la Vie n'est même pas en vous. Vous voyez? C'est juste.
127 La foi conduisit Moïse sur le chemin de
l'obéissance. Remarquez: Moïse fit... Il y a le jeune Pharaon; il y a
le jeune Moïse. Les deux avec cette perspective.
Moïse vit l'opprobre du peuple, et regarda cela
comme un trésor plus grand que tout ce que l’Égypte possédait, et il
conduisit par la foi... Il suivit ce que la foi lui dictait dans la
Parole, et elle le conduisit sur le chemin de l'obéissance et
finalement à la gloire... immortel – ne devant jamais mourir – dans la
présence de Dieu.
La vue, les sens et le prestige conduisirent Pharaon
à sa mort, à la destruction de l’Égypte, sa nation, et elle ne s'est
jamais relevée depuis.
Vous y êtes. Si vous regardez ceci, vous mourrez. Si
vous regardez cela, vous vivrez. Maintenant, faites votre choix.
128 Dieu plaça la même chose devant Adam et Ève,
dans le jardin d’Éden. Voyez-vous? Par la foi, vous devez faire votre
choix. Maintenant, remarquez: La vue conduisit Pharaon à sa mort et à
la destruction de sa ville. Moïse, avec sa foi, ne craignit jamais
Pharaon. Il ne se soucia même pas de ce que Pharaon disait. Il ne se
soucia pas plus de Pharaon que sa mère et son père ne le firent au
sujet de la menace. Lorsque Moïse reçut la confirmation qu'il était la
personne qui devait délivrer Israël et le conduire hors de l’Égypte, il
ne se soucia jamais de ce que Pharaon disait. Il n'eut pas peur de lui.
Amen, amen, amen! Vous voyez ce que je veux dire?
Il n'y a pas de crainte dans la foi. La foi sait ce
qui en est. La foi, comme je l'ai souvent dit, a de gros muscles et des
poils sur la poitrine. La foi dit: «Taisez-vous!» et tout le monde se
tait. C'est tout. «Je connais ma position!»
Les autres disent: «Bon. Peut-être bien.» Mais vous
devez vous lever et montrer vos muscles. C'est tout; la foi fait cela.
129 Remarquez que Moïse ne craignit jamais Pharaon,
après que Dieu eut confirmé son appel. Moïse croyait qu'il était appelé
pour cela, mais, après que Dieu lui ait dit là-haut: «C'est ainsi» et
soit descendu et ait montré devant Pharaon et tous les autres qu'il
était envoyé dans ce but, Moïse ne craignit jamais Pharaon.
130 Remarquez que Pharaon utilisa néanmoins sa
sagesse contre Moïse. Observez! Il lui dit: «Laisse-moi te dire, je
ferai un contrat avec toi.» Après que les plaies l'eurent frappé, il
dit: «Je ferai un pacte avec toi. Va simplement adorer un petit peu
pendant trois jours. Va jusque là, mais ne va pas plus loin.» Mais,
vous savez, ce sont les sens de Pharaon, qui lui dirent cela.
Voyez-vous? «Va jusque là, mais ne va pas plus loin.»
N'avons-nous pas ce genre de personnes aujourd'hui?
«Si vous vous joignez à l'église, tout est bien.» Mais, vous savez, la
foi que Moïse possédait ne croyait pas dans une «religion qui va
seulement jusque là.»
131 Il dit: «Nous y allons tous, nous allons
jusqu'au bout. C'est vrai. Nous allons dans la Terre promise. Nous
n'allons pas simplement quelque part pour créer une dénomination et
nous arrêter là, nous allons jusqu'au bout.» Amen. «Je vais jusqu'à la
Terre promise que Dieu nous a promise.»
132 Combien de pharaons avons-nous à la chaire
aujourd'hui? – des chefs d'organisations: «Maintenant, si vous faites
juste ceci et cela, c'est tout...» Eh bien, voyez-vous, «seulement
jusque là».
Mais, Moïse dit: «Oh! non! Non, non; non, non.»
Voyez-vous?
Pharaon dit: «Eh bien, pourquoi pas... Si tu veux
avoir cette espèce de religion, je te dis ce qu'il faut faire: Que toi
seul et les anciens alliez adorer, vois-tu? Seulement toi et les
anciens allez adorer, puisque c'est là votre religion, mais ne l'amenez
pas parmi le peuple.»
133 Savez-vous ce que Moïse répondit? «Il ne restera
même pas un ongle... nous allons tous jusqu'au bout. Nous y allons
tous! Je ne vais pas, à moins qu'ils aillent, et aussi longtemps que je
suis ici, tu m'as sur les bras. (Amen!) Je ne pars pas, à moins qu'ils
ne viennent aussi. C'est tout.»
134 Oh! quel vaillant serviteur! Amen: «Je veux les
prendre avec moi. Juste parce que moi je l'ai, je m'assiérais en
disant: 'Tout va bien.' Non, monsieur! Nous voulons aussi les gens.
Chacun de nous s'en va!» Amen. Il dit: «Et nous n'allons même pas
laisser derrière nous un seul de nos moutons. Il ne restera même pas un
ongle. Nous allons tous dans la Terre promise (amen), chacun de nous.
Que vous soyez une ménagère, une petite bonne, une femme âgée, un jeune
homme, un homme âgé, qui que vous soyez, nous y allons quand même. Pas
un seul de nous ne restera. (Amen!) Chacun de nous s'en va. Rien ne
nous arrêtera.» C'est vrai.
Ces religions étaient en pleine argumentation à ce
moment-là, n'est-ce pas? Oh! là là! Non, Moïse ne croyait pas dans
cette «religion qui va seulement jusque là». Non, il n'y croyait pas.
Oui, monsieur. Oh! là là! Nous pourrions rester là-dessus tout le jour,
mais je dois arriver, finalement, à mon texte et commencer à prêcher.
135 Remarquez ceci. Comme c'est merveilleux... Oh!
comme j'aime ceci. Vous savez que, finalement, Pharaon leur dit:
«Sortez!» Dieu le tourmenta à travers la voix de Moïse, Il frappa tout.
Il fit tout ce qui devait être fait. Il arrêta le... Il fit descendre
le soleil au milieu du jour; il fit tout le reste. Il assombrit le
jour, il amena des grenouilles, des mouches, des poux, et tout le
reste; du feu, de la fumée et la mort, pour ses familles, et tout le
reste. Il fit tout, jusqu'à ce que, finalement, Pharaon dût dire:
«Sortez! Prenez toutes vos affaires et partez.» Oh! là là! Que Dieu
soit loué!
136 Je suis si content qu'un homme puisse servir
Dieu si parfaitement que le diable ne sache plus que faire avec lui. Il
obéit à Dieu si parfaitement que le diable dit à la fin: «Oh! là là!
Va-t'en! Je ne veux plus entendre cela.» C'est vrai. Vous pouvez le
faire... si parfaitement.
137 Si Dieu n'avait pas soutenu Moïse, il serait
alors devenu un objet de risée, mais Dieu était là qui confirmait cela.
Tout ce qu'il disait arrivait.
138 Pharaon devait garder ses positions, parce qu'il
était un évêque, vous savez; ainsi il devait rester là. Il ne pouvait
pas dire: «Non», parce que cela était déjà en train d'arriver. Il ne
pouvait pas nier cela, parce que c'était déjà en train d'arriver.
Ainsi, il dit finalement: «Oh! sortez! Je ne veux plus vous entendre.
Sortez d'ici! Prenez toutes vos affaires et partez.» Oh! là là!
139 Bien. Nous voyons ici Moïse, après que Dieu eut
fait tellement pour lui et qu'Il lui eut montré autant de signes et de
miracles...
Maintenant, pendant les quinze prochaines minutes,
parlons de ceci. observez très attentivement.
140 Moïse arriva au point où il... Dieu lui avait
dit: «Je suis avec toi. Tes paroles sont Ma Parole. Je te l'ai prouvé,
Moïse. Tu... Il n'y avait pas de mouches dans le pays, ce n'était pas
la saison. Et tu as dit: 'Que les mouches viennent.' – et les mouches
sont venues.» C'est une création. Qui peut amener des ténèbres sur la
terre, si ce n'est Dieu? «Tu as dit: 'Qu'il y ait des ténèbres!' – et
il y eut des ténèbres. Tu as dit: 'Qu'il y ait des grenouilles!' – et
les grenouilles entrèrent même dans la maison de Pharaon, dans les
lits, et ils en firent de grands tas...» Créateur!... «J'ai parlé à
travers toi, Moïse, et J'ai fait que Ma Parole crée par tes lèvres.
J'ai véritablement fait de toi un dieu devant Pharaon.» Oui, monsieur.
«J'ai fait tout cela.» Et les voilà qui arrivent à un endroit où
survient une petite épreuve, et Moïse se met à crier: «Que faire?»
141 Je désire que vous remarquiez ceci. C'est une
grande leçon, maintenant. J'aime ceci, voyez-vous? Moïse... Si nous
lisons ici, nous voyons que les enfants d'Israël commencèrent à avoir
peur, lorsqu'ils virent Pharaon les poursuivre, alors qu'ils faisaient
leur devoir...
142 Dieu avait tout accompli parfaitement.
Maintenant, Il leur fit entreprendre ce voyage. Il rassembla l'église.
Ils avaient été appelés à sortir. Venant de chaque dénomination, ils se
rassemblèrent tous. Moïse alla là-bas et dit: «Seigneur, que dois-je
faire?»
Dieu avait dit: «Eh bien, va faire ceci. Très bien,
va de l'avant. Maintenant, Moïse, tu sais que Je t'ai appelé pour faire
ceci.»
«Oui, Seigneur.»
«Très bien, va prononcer ceci, et cela arrivera»
voici les mouches. «Prononce ceci» – le voici. «Fais ceci» – le voici.
Tout était AINSI DIT LE SEIGNEUR, AINSI DIT LE SEIGNEUR, AINSI DIT LE
SEIGNEUR!
143 Maintenant, il commence à avoir des difficultés,
et Dieu dit: «Maintenant, je leur ai fait entreprendre ce voyage; ils
ont tous été appelés à sortir. L'église est rassemblée, Je les ai mis
en marche. Maintenant, Moïse, conduis-les là-bas. Je te l'ai dit. Je
vais M'asseoir et Me reposer un moment.»
Moïse dit: «Oh! Seigneur, regarde qui vient ici!
Voici Pharaon! Les gens sont tous.. «Que dois-je faire? Que dois-je
faire?» Voyez-vous cela, n'est-ce pas là une réaction humaine?
Certainement. Il commence à crier: «Que dois-je faire?»
144 Nous voyons ici Moïse, exprimant pleinement la
nature humaine qui veut toujours que Dieu soit derrière, et vous pousse
dans quelque chose. Cela, c'est nous aujourd'hui. Vous vous attendez à
ce que Dieu, malgré tout ce que vous avez vu jusqu'ici, vous pousse à
l'action. Voyez-vous? Moïse s'était relâché et il dit: «Ô Dieu, je vais
Te demander et voir ce que Tu dis.»
«Oui, oui,» dites-vous. «Bon, très bien, je le dirai
aussi.» Voyez-vous?
Mais, ici, Dieu l'avait établi pour ce travail, et
Il avait prouvé qu'Il était avec lui, et voilà qu'un événement arrive,
il se met alors à crier: «Que puis-je faire? Seigneur, que puis-je
faire?»
145 Maintenant, souvenez-vous qu'il avait déjà
prophétisé, car il dit: «Les Égyptiens que vous voyez aujourd'hui, vous
ne les verrez plus jamais.» Et, ensuite, immédiatement après, il s'est
mis à crier: «Ô Dieu, que pouvons-nous faire?» Cela, après qu'il eut
fait un assez bon travail en prophétisant. Voyez-vous, il leur avait
déjà dit ce qui allait arriver. Si la Parole de Dieu était en lui...
Elle était en lui. Ce qu'il disait arrivait effectivement. Ce qu'il
avait dit, allait arriver, et il était là qui criait
«Que vais-je faire?»
146 Oh! si les êtres humains ne sont pas ainsi! Si
je ne suis pas ainsi! Si je ne suis pas ainsi! Il l'avait déjà prouvé:
«Ce que tu dis arrivera. Je suis avec toi.» Et, ici, une difficulté
arrive subitement. «Que dois-je faire? Que dois-je faire, Seigneur? Hé!
–, Seigneur, où es-Tu? Hé!, m'entends-Tu? Que dois-je faire?» Pourtant,
Il l'avait déjà ordonné, confirmé, lui en avait donné la preuve et
avait oeuvré en tout à travers lui, et ici... «Ô Dieu!» Oh! là là!
pleinement exprimé.
147 L'homme désire se reposer et laisser à Dieu le
soin de pousser. Et, pourtant, il savait que Dieu l'avait oint pour
faire ce travail, et Dieu avait clairement confirmé ses prétentions.
C'était le moment pour que le peuple soit délivré. Dieu, à travers ses
miracles et ses prodiges, les avait tous rassemblés dans un seul
groupe. (Me suivez-vous?) Il les avait tous rassemblés en un groupe...
et avait confirmé ses prétentions. L’Écriture le dit. Un signe était
là, l'évidence était là. Tout ce qu'il disait... Ensuite, il vint parmi
eux comme prophète. Quoi qu'il dise, Dieu l'honorait, même jusqu'à
créer des mouches et d'autres choses. Tout ce qu'Il lui avait promis,
Il le fit. Mais il voulait attendre le AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Voyez-vous?
148 Il aurait dû savoir que la confirmation même de
son appel était AINSI DIT LE SEIGNEUR. Le travail auquel il avait été
ordonné était AINSI DIT LE SEIGNEUR. Pouvez-vous saisir cela? Pourquoi
attendait-il le AINSI DIT LE SEIGNEUR?
149 Il disait: «Seigneur, que puis-je faire? J'ai
amené les enfants d'Israël jusqu'ici. Voilà la situation: Pharaon
arrive; ils vont tous mourir. Que dois-je faire? Que dois-je faire?»
150 Il avait déjà prédit ce qu'ils allaient faire.
Il avait déjà dit exactement ce qu'il fallait faire. Il avait prédit la
fin de la nation dans laquelle il grandit. J'espère que vous comprenez.
Moïse avait déjà dit: «Vous ne les verrez plus jamais. Dieu va les
détruire. Ils se sont moqués de vous assez longtemps, Dieu les
détruira.» Il avait déjà prédit ce qui leur arriverait, et il dit:
«Seigneur, que dois-je faire?» Voyez-vous là, la nature humaine? «Que
dois-je faire? Je vais attendre le AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Oui,
monsieur. «Je verrai ce que le Seigneur dit, et ensuite je le ferai.»
Souvenez-vous qu'il y avait un pharaon, en ce temps-là, qui ne
connaissait pas Joseph – juste à ce moment-là. Et Moïse s'était levé et
avait prédit la fin de la nation. Et il était exactement à l'endroit où
cela devait arriver, et il cria: «Que dois-je faire, Seigneur? Que
dois-je faire?» Voyez-vous?
151 Les êtres humains ne sont-ils pas ainsi? La
nature humaine n'est-elle pas tout à fait ainsi? «Que ferai-je?» Il
avait déjà prophétisé. Dieu avait honoré tout ce qu'il disait et il
était appelé pour cette tâche, ainsi pourquoi devait-il dire: «Que
dois-je faire?» S'il y avait un besoin, il ne tenait qu'à lui de parler
à ce sujet – Dieu voulait que Moïse mette ce don de foi qu'Il lui avait
donné en action. Dieu l'avait confirmé – c'était la Vérité – et Dieu
voulait que Moïse... que le peuple voie qu'Il était avec Moïse. Et lui
était là-bas, qui attendait et disait: «Seigneur, je ne suis qu'un
bébé. J'attends que Tu me dises... et, après, j'irai faire ceci. J'ai
le AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
«Frère, est-ce AINSI DIT LE SEIGNEUR?»
«Oui, oui, frère Moïse, c'est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
«Oui, d'accord. Nous l'avons maintenant, AINSI DIT
LE SEIGNEUR», et cela arriva. Cela ne faillit pas une seule fois. Cela
ne faillit jamais.
152 Et, ici, dans ces circonstances, cela revient de
nouveau. Maintenant, Il leur a fait commencer le voyage. L’Église est
déjà appelée. Ils ont commencé le voyage et ils avancent. Et Moïse se
mit à crier: «Seigneur, est-ce AINSI DIT LE SEIGNEUR? Que dois-je
faire?»
153 Bon, Dieu voulait que Moïse mette la foi, qu'Il
lui avait donnée, dans ce don qu'Il avait clairement confirmé. Dieu
avait prouvé clairement à Moïse et au peuple que c'était bien Lui, par
la Parole et par l'accomplissement des choses annoncées. Cela était
clairement identifié. Il n'avait pas besoin de s'inquiéter encore à ce
sujet. Voyez-vous? Il n'avait plus besoin de penser à cela, parce que
c'était déjà tiré au clair. Il avait déjà fait ces choses. Il avait
déjà prouvé par des mouches et des poux qu'à sa parole, des choses
étaient créées, et que la Parole de Dieu était en lui. Ici, il va Lui
demander ce qu'il faut faire, parce qu'il se trouve confronté à
certaines circonstances. Voyez-vous? Oh! là là!
154 J'espère que ceci va profondément en nous, et
que nous pouvons voir où nous en sommes. Voyez-vous? Cela ne vous
fait-il pas vous sentir à peu près grand comme ça? – alors que nous
pensons à Moïse et que nous relevons ses fautes, et regardez les nôtres!
Il se tenait là, voyez-vous? Il savait que les
Écritures disaient que c'était l'heure et le jour où cela devait
arriver, et il savait que Dieu l'avait rencontré dans une Colonne de
Feu. Il alla devant les gens, et il accomplit ces miracles; et tout ce
qu'il disait arrivait, même jusqu'à créer des choses, jusqu'à faire ce
que Dieu seul pouvait faire, démontrant ainsi que sa voix était la Voix
de Dieu. Et ici, en face de ces circonstances, alors qu'il conduisait
ce peuple vers la Terre promise, on le voit debout, qui crie: «Que
dois-je faire?»
155 C'est un être humain voulant simplement ...
Comme frère Roy Slaughter (je croîs qu'il est assis là, derrière la
porte) m'a dit une fois au sujet de quelqu'un, qui me faisait quelque
chose... Je lui ai dit: «Eh bien, j'ai fait ceci, et maintenant
cette...»
156 Il m'a dit: «Frère Branham, si vous les laissez
s'appuyer sur votre épaule aujourd'hui, demain, vous devrez les porter.»
C'est ainsi que sont les êtres humains. Ils
s’appuient sur votre épaule aujourd'hui, et, demain, vous devez les
porter. C'est ce que Moïse faisait. Dieu dut le porter, après l'avoir
ordonné et lui avoir prouvé qu'il devait faire cela! Les gens auraient
dû dire: «Moïse, prononce la Parole, je t'ai vu le faire là-bas, Dieu
t'a honoré; et tu es le même aujourd'hui.» Amen. Voyez-vous? «Fais-le!»
Amen! Il aurait dû savoir cela, mais il ne le savait pas. Bien.
157 C'est maintenant comme c'était alors. Nous
découvrons que... Il dit donc... Dieu dut en avoir assez. Dieu dut
finir par en être excédé. Il dit: «Pourquoi cries-tu à Moi? N'ai-je pas
déjà prouvé Mon identification? Ne t'ai-Je pas dit que Je t'envoyais
pour faire ce travail? Ne t'ai-Je pas dit d'aller faire ceci? N'ai-Je
pas promis que Je ferais ceci, que Je serais avec ta bouche et que Je
parlerais à travers toi, que Je ferais ceci, et que tu accomplirais des
signes et des prodiges... N'ai-Je pas promis de faire cela? N'ai-Je pas
fait cela exactement, et n'ai-Je pas détruit tous les ennemis qui
étaient autour de toi? Et tu es là, maintenant, au bord de la mer
Rouge, précisément dans l'exercice de tes fonctions, faisant ce que Je
t'avais dit de faire, et tu es encore en train d'hurler et de crier à
Moi! Ne Me crois-tu pas? Ne peux-tu pas voir que Je t'ai envoyé pour
faire ceci?»
158 Oh! si cela n'est pas l'être humain, oh! là là!
Ainsi, Dieu dut en avoir assez. Il dit: «Tu sais que tu as besoin de
cela. Tu sais que, si tu veux emmener ces enfants à la Terre promise...
c'est exactement... Tu es confiné ici à cet endroit. Tu ne peux rien
faire d'autre. Il y a donc un besoin! Pourquoi cries-tu à Moi? Pourquoi
Me regardes-tu? Pourquoi M'appelles-tu? N'ai-Je pas prouvé cela aux
gens? Ne te l'ai-Je pas prouvé? N'ai-Je pas appelé cela? Cela n'est-il
pas scripturaire? N'ai-Je pas promis d'emmener ce peuple vers ce pays?
Ne t'ai-Je pas appelé, et ne t'ai-Je pas dit que Je le ferais? Ne
t'ai-Je pas appelé, et n'ai-Je pas dit que Je t'envoyais pour le faire
et que ce n'était pas toi, mais Moi? Et que Je descendrais, et que Je
serais avec tes lèvres. Quoi que tu dises, Je le confirmerais et Je le
prouverais. Ne l'ai-Je pas fait? Alors, quand n'importe quelle petite
chose survient, pourquoi agis-tu comme un bébé? Tu devrais être un
homme. Parle au peuple!» Amen! «Ensuite, avancez!
Amen! Voilà, c'est ça! «Ne crie pas, parle!»
Amen!
Oh! j'aime cela. «Pourquoi cries-tu à Moi? Parle
simplement au peuple, et va de l'avant vers ton objectif.» Quoi que ce
soit, que ce soit la maladie ou autre chose, comme ressusciter les
morts ou quoi que ce soit, parle! Je l'ai prouvé. Parle au peuple!
159 Quelle leçon! Quelle leçon! Oh! là là! A cette
époque du voyage où nous sommes... Regardez où nous en sommes
maintenant – oui, monsieur! – au troisième «Pull» [traction, action de
tirer vers soi – N.D.T.]. Remarquez, nous sommes juste là, à la porte
de la venue du Seigneur.
Il était oint pour ce travail, et il attendait
toujours le AINSI DIT LE SEIGNEUR. Dieu doit en avoir eu assez. Il dit:
«Ne crie plus, parle! Je t'ai envoyé.»
160 Oh! Dieu! Que devrait être cette église, ce
matin! La parfaite confirmation de Dieu, avec la Colonne de Feu, les
signes et les prodiges... Tout est comme au temps de Sodome. Il a dit
que cela reviendrait. Le monde est dans cette condition; la nation est
dans cette condition. Les femmes sont dans cette condition. Les hommes
sont dans cette condition. L'église est dans cette condition. Tout en
est là: les éléments, les signes, les soucoupes volantes et tout ce
qu'il y a dans le ciel, toutes sortes de choses mystérieuses; le
mugissement de la mer, les raz de marée, le coeur des hommes qui
défaille, la peur, la perplexité de ce temps, la détresse parmi les
nations, l'apostasie de l'église et l'apparition de l'homme de péché
qui s'élève au-dessus de tout et qui est appelé dieu – celui qui est
assis dans le temple de Dieu s'exhibant... Oh! là là! Et c'est arrivé à
cette nation!
161 L'église s'est organisée, et toutes se sont
rassemblées comme des prostituées autour de la grande prostituée, et
tout est absolument dans la ligne de la prostitution. La prostitution!
Qu’est-ce? C'est dire aux femmes qu'elles peuvent se couper les
cheveux, dire aux femmes qu'elles peuvent porter des shorts, dire aux
hommes qu'ils peuvent faire ceci et cela. Et un prédicateur qui dit:
«Faites ceci»... et l'évangile social, et toutes ces choses. Ne
voyez-vous pas que c'est commettre adultère envers la véritable Parole
de Dieu? Dieu nous a envoyé Sa véritable Parole, non dénominationnelle,
aucune ficelle n'y est attachée. Il nous a donné une Colonne de Feu, le
Saint-Esprit, qui est avec nous depuis 30 ans, et tout ce qu'Il a dit
et prédit est arrivé exactement comme annoncé.
162 «Parle au peuple, et allons de l'avant.» Amen!
Nous avons un objectif, c'est la Gloire. Avançons vers cela. Nous nous
dirigeons vers la Terre promise: «Tout est possible à ceux qui croient.»
163 «Parle au peuple. N'ai-Je pas prouvé cela? Ne
suis-Je pas allé jusqu'à vous laisser prendre Ma photographie parmi
vous, et tout le reste, et n'ai-Je pas fait tout ce qui pouvait être
fait pour prouver que J'étais avec toi? N'y a-t-il pas eu un article à
ce sujet dans les revues, il y a quelques semaines, alors que tu avais
dit à la chaire, trois mois auparavant, ce qui arriverait, et cela est
arrivé et a été confirmé, même la science est au courant de cela. Après
tout ce que J'ai fait, tu attends encore. Parle aux gens, et avancez
vers l'objectif.» Amen!
164 Nathan, Nathan, le prophète, n'a-t-il pas dit
une fois à David, le roi oint: «Fais tout ce qui est dans ton coeur,
car Dieu est avec toi»? Il dit à David: «Fais tout ce qui est dans ton
coeur, car Dieu est avec toi.»
165 Josué était oint pour conquérir le pays pour
Dieu et son peuple. Le jour était court; il avait besoin de plus de
temps pour accomplir le travail pour lequel il avait été oint et
commissionné. Josué, un homme. Il était oint – Dieu lui avait dit:
«Comme J'ai été avec Moïse, Je serai avec toi.» Amen! «Ce pays, Je vais
le leur donner. Je veux que tu ailles là-bas et que tu le nettoies des
Amalécites et–et de tous les autres, des Philistins et des Phérésiens,
et ainsi de suite. Chassez-les complètement. Je suis avec toi. Nul ne
tiendra devant toi, tant que tu vivras. Nul ne peut t'importuner. Va
là-bas.»
166 Et Josué sortit son épée et dit: «Suivez-moi.»
Et il alla là-bas et les combattit. Et que fit-il? Il mit l'ennemi en
déroute. Ils n'étaient plus que de petits groupes ici et là. (Lorsque
le soir viendrait, ils se rassembleraient tous, se mettraient en
garnison et viendraient avec force contre lui.) Le soleil était en
train de se coucher. Il avait besoin de plus de lumière. Le soleil
était en train de se coucher! Il n'est pas tombé sur ses genoux, et n'a
pas dit: «Éternel Dieu, que ferai-je, que ferai-je?» Il parla! Il avait
un besoin, et il dit: «Soleil, arrête-toi!» Il ne poussa pas des cris,
il commanda: «Soleil, arrête-toi; j'ai besoin de ceci. Je suis le
serviteur de l’Éternel, oint pour ce travail, et j'ai un besoin.
Arrête-toi et ne... Brille! Et toi, lune, reste où tu es.» Et cela fut
ainsi, jusqu'à ce qu'il eût terminé la bataille et qu'il les eût
entièrement vaincus.
167 Et le soleil lui obéit. Il ne poussa pas des
cris, il parla au soleil. Il dit: «Arrête-toi. Soleil, reste là; et
toi, lune, reste où tu es.» Il ne s'écria pas: «Seigneur, maintenant,
que puis-je faire? Donne-moi plus de soleil.» Il avait besoin de
lumière, ainsi, il commanda, et le soleil lui obéit. Oh! Il commanda au
soleil de s'arrêter.
168 Samson, un homme oint, suscité et ordonné de
Dieu, avec un don de puissance... Il était établi pour détruire la
nation des Philistins... ordonné, né sur la terre, et oint de Dieu pour
détruire les Philistins. Un jour, ils l'attrapèrent dans les champs,
sans son épée et sans lance, et un millier de ces Philistins cuirassés
lui sautèrent dessus d'un seul coup. S'est-il agenouillé et a-t-il dit:
«Oh! Seigneur, j'attends une vision? Oh! Seigneur, que dois-je faire?
Indique-moi ce qu'il faut faire.» Il savait qu'il avait un besoin. Il
ne découvrit rien d'autre qu'une vieille mâchoire d'âne, et, avec elle,
il tua un millier de Philistins. Amen! Il ne cria pas à Dieu. Il
utilisa son don oint. Il savait qu'il était envoyé pour ce travail. Il
savait qu'il était né pour cela. il savait qu'il était oint d'un don,
et il battit un millier de Philistins. Il ne cria pas à Dieu; Dieu
l'avait ordonné, et avait confirmé cela par les autres choses qu'il
avait faites; il était un serviteur de Dieu confirmé et oint pour
détruire les Philistins, et il le fit! Peu importe ce qu'étaient les
circonstances, il le fit. Il ne demanda jamais rien. C'était son
travail. Dieu traitait à travers lui. Il ramassa cette mâchoire d’âne,
et se mit à taper sur les Philistins.
169 Un coup avec cette mâchoire sur un de ces
casques d'airain de trois centimètres [un pouce et demi – N.D.T.]
d'épaisseur aurait dû briser cet os en un million d'éclats, mais il en
battit un millier et les tua, et elle était encore là, intacte dans sa
main. Il ne posa pas de question. Il ne cria pas, il parla. Il les mit
en déroute.
170 Oh! là là! Prendre les Philistins. «Puis-je
prendre les Philistins, Seigneur? Je sais que Tu m'as envoyé pour le
faire, Seigneur. Oui, Seigneur, je sais que Tu m'as envoyé pour
détruire cette nation des Philistins. Maintenant, ici, il y en a un
millier autour de moi; je n'ai rien... Maintenant, que vais-je faire,
Seigneur?» Oh! là là! Rien ne va le déranger. Il est oint pour ce
travail. Rien ne peut vous faire du tort, non, pas une seule chose.
Alléluia!
171 Il prit simplement ce qu'il avait, et il les
battit. C'est juste. Lorsque l'ennemi l'encercla et dit: «Maintenant,
nous l'avons dans nos murs, nous l'avons maintenant. Nous l'avons à
l'intérieur, avec cette femme. Nous avons fermé les portes tout autour,
et il ne peut pas sortir. Nous l'avons...»
172 Samson ne cria pas: «Oh! Seigneur, ils m'ont
encerclé avec cette dénomination. Que vais-je faire? Je me suis joint à
eux, que vais-je faire?» Il ne fit jamais cela. Il sortit simplement,
arracha les portes et, les mettant sur son épaule, les emporta. Amen!
173 Il était oint pour ce travail. Dieu l'avait
appelé... ils ne réussirent pas à le garder enfermé à l'intérieur. Non,
certes non! Il emporta les portes avec lui. Il ne pria pas à ce sujet.
Il ne demanda pas à Dieu s'il fallait le faire ou pas. C'était
précisément dans l'exercice de ses fonctions. Amen! Amen! Amen!
Précisément dans l'exercice de ses fonctions.
174 «Pourquoi crier à Moi? Parle, et continue.»
Amen. «Ne crie pas, parle.» Il a fini maintenant de geindre et de
pleurnicher. Il devrait être assez âgé pour parler, c'est vrai. Il
savait que son don de puissance oint pouvait détruire n'importe quel
Philistin qui se tenait devant lui. Amen! Mais, nous ne savons pas
cela, vous voyez. Nous sommes encore des petits bébés, le biberon à la
bouche... Il le savait! Il savait que Dieu l'avait suscité dans ce
but-là, et qu'il n'y avait rien qui allait pouvoir tenir devant lui,
tous les jours de sa vie. Rien ne pouvait le détruire. Il était suscité
dans ce dessein, comme Moïse l'était, et rien n'allait l'arrêter, ni
Amalécites, ni aucun autre ne pouvait l'arrêter. Il était sur la route
pour la Terre promise. Samson savait qu'il était sur la route.
175 Josué savait qu'il prendrait le pays. Il était
confirmé. La Parole de Dieu l'avait promis, et le Saint-Esprit était
là, confirmant cela. il était en route, et rien n'allait se mettre en
travers de son chemin. Non, monsieur! Il était précisément dans
l'exercice de ses fonctions avec Dieu. Rien n'allait se mettre en
travers de son chemin. Ainsi, il prit simplement les portes, et les mit
sur ses épaules – elles pesaient environ 4 à 5 tonnes – et il marcha
jusqu'au sommet de la colline et il s'assit sur elles; rien n'allait se
mettre en travers de son chemin. Il avait un don oint de Dieu.
176 Il n'avait pas besoin de crier: «Seigneur, que
dois-je faire, maintenant?» Il était déjà oint pour le faire. C'était
AINSI DIT LE SEIGNEUR. «Débarrasse-toi d'eux!» Alléluia!
«Débarrasse-toi d'eux! Je t'ai suscité dans ce dessein.» Amen!
«Que dois-je faire, Seigneur? Que vais-je faire,
ici, à la mer Rouge?»
177 «Ne t'ai-je pas dit que je t'avais donné une
montagne, là, comme signe? Tu es en train de revenir à cette montagne,
et tu vas emmener ces enfants d'Israël dans le Pays. Ne t'ai-Je pas
appelé dans ce dessein-là? Pourquoi t'inquiètes-tu à propos de quelque
chose d'autre qui se mettrait en travers du chemin? Parle, et commence
à avancer.» Amen et amen! «Je t'ai appelé dans ce but.»
178 David savait qu'il était oint et avait été
confirmé comme bon tireur. Il savait qu'ils savaient qu'il était un bon
tireur. David était oint; il le savait. Et, lorsqu'il se tint devant
Goliath, – il ne cria jamais: «Ô Dieu, que dois-je faire maintenant?
Mais, mais, mais, dois-je... Je... je sais ce que Tu as fait dans le
passé; Tu... Tu m'as laissé tuer un ours et Tu m'as laissé tuer un
lion, mais, qu'en sera-t-il de ce Goliath par ici?» Il ne fit jamais
cela; il parla simplement. Que dit-il? «Tu seras comme l'un deux.» Il
parla, et alla de l'avant.
179 Il ne pria pas; il n'offrit rien. Il savait
qu'il était oint. Amen! Il était oint, et cette fronde avait prouvé
être ce qu'il fallait. Il avait foi dans son onction. Il avait la foi
que Dieu pouvait diriger cette pierre directement au milieu de ce
casque, où se trouvait le seul endroit vulnérable. Il se tenait là. Il
savait qu'il était un bon tireur. Amen! Il savait que Dieu avait fait
cela de lui. Amen! Il savait qu'il avait tué un lion. Il savait qu'il
avait tué un ours, mais cela, c'était en rapport avec la possession de
son père terrestre. Cette fois-ci – il s’agissait de la possession de
son Père céleste. Amen!
Il ne s'agenouilla pas pour dire: «Que dois-je
faire, Seigneur?» Il parla et dit: «Tu seras comme le lion et l'ours,
et me voici!» Amen! Gloire à Dieu! Oui, monsieur!
180 Il parla et s'avança pour rencontrer ce Goliath
(oh! là là!) sans regarder à sa grandeur. Il était un petit jeune homme
au teint coloré. Il n'était pas très grand, pas très beau à regarder.
Il avait l'air chétif. La Bible dit qu'il avait des couleurs. Sans
regarder à sa taille et à sa soi-disant capacité de faire...
181 Vous savez, l'évêque lui dit: «Maintenant,
fiston, regarde un peu. Cet homme est un théologien. C'est un
combattant, né combattant, et il a combattu dès sa jeunesse. Tu ne peux
rivaliser avec lui.»
182 Ses frères lui dirent: «Oh! espèce de polisson,
tu viens ici pour faire une chose pareille; retourne à la maison!» Cela
ne le gêna pas. Pourquoi? Il savait qu'il était oint.
183 «Le Dieu qui m'a délivré de ce lion, le Dieu qui
m'a délivré des pattes de cet ours, est plus que capable de me délivrer
des mains de ce Philistin. Me voici! je te rencontre au nom de
l’Éternel, le Dieu d’Israël.» Amen!
184 Il ne pria pas jusqu'à l'exaucement. On avait
déjà prié ainsi pour lui. Avant la fondation du monde, Dieu avait prié
pour qu'il réussisse à tout traverser. Il était oint pour ce travail.
Il devait parler, et aller de l'avant. C'est tout ce qu'il y avait à
faire, seulement parler, et aller de l'avant.
185 Oh! c'était aussi simple que ça! Ses frères
dénominationnels, ces moqueurs, se tenaient aussi là. Oh! oui! Ils se
tenaient là, en se moquant, en rigolant et disant (ses frères, vous
savez): «Ah, ah, ah, tu n'es qu'un polisson.» Cela ne l'ébranla pas du
tout. «Tu veux être différent des autres; tu cherches simplement à te
faire valoir.»
186 Si cela avait été le cas, cela aurait été ainsi;
mais, ils regardaient seulement le côté intellectuel. David savait que
l'huile de l'onction était sur lui. Amen. Cela ne fit aucune différence
pour lui. Il dit: «Ce Philistin sera comme l'ours et le lion, car me
voici.» Il prédit cela, avant que cela arrive. Que fit-il? – il tua
l'ours, il tua le lion. Il assomma le lion, avec quoi? Avec une fronde,
et, ensuite, il prit un couteau et tua le lion. Il fit la même chose
avec Goliath. Il l'assomma avec une pierre, et il sortit son épée et
lui coupa la tête juste là devant... qu'avait-il prédit avant que cela
arrive? – «Tu seras comme l'un d'eux.» Pourquoi? Il prononça la Parole,
disant que cela arriverait, et, ensuite, il alla de l'avant pour
l'accomplir. Amen. Oh! frère! Il parla et prit le contrôle de la
situation ce jour-là.
187 S'il y a jamais eu un temps où l'homme devrait
parler, c'est bien maintenant. (Je vais m'arrêter dans quelques
minutes, si vous pouvez patienter encore quelques minutes... J'ai là
encore quelques points que j'ai inscrits, quelques passages de
l’Écriture auxquels je veux arriver.)
188 Pierre ne cria pas, lorsqu'il trouva un homme
qui avait assez de foi pour être guéri et qui était couché à la porte
appelée la Belle. Il ne s'est jamais agenouillé, et il n'a pas prié
toute la nuit ou tout le jour, ou fait une très longue prière, disant:
«Seigneur, je Te prie maintenant d'aider ce pauvre infirme. Je vois
qu'il a la foi. Je sais qu'il est un croyant, je le lui ai demandé., et
il m'a dit qu'il avait la foi, et qu'il croyait ce que je lui avais
dit. Je lui ai dit ce que Tu avais fait, et je pense maintenant,
Seigneur, ... Peux-Tu me donner un AINSI DIT LE SEIGNEUR pour lui?»
189 Non, il savait qu'il était oint comme apôtre. Il
savait que Jésus-Christ l'avait commissionné, en disant: «Guéris les
malades, ressuscite les morts, purifie les lépreux, chasse les démons;
tu as reçu gratuitement, donne gratuitement.» Il dit: «Pierre, va faire
cela!» Il n'avait pas besoin de prier jusqu'à l'exaucement, il était
commissionné.
190 Qu'a-t-il dit? Il dit: «Au Nom de
Jésus-Christ...» Il prononça le Nom de Jésus-Christ, et l’homme était
simplement étendu là. Il le prit par la main et dit: «Lève-toi!» Il le
tint jusqu'à ce que ses chevilles reçoivent la force, et il commença à
marcher.
Pourquoi? Il n'eut jamais de réunion de prière
pendant toute une nuit. Il ne cria jamais à Dieu. Il savait d'une
manière positive, des lèvres de Jésus-Christ, qu'il était oint pour ce
travail. Il parla et le releva, parce qu'il savait qu'il était un
disciple oint dans ce but-là.
191 Les gens qui étaient couchés dans son ombre ne
dirent jamais: «Oh! viens, apôtre Pierre, et pleure sur nous et offre à
Dieu pour nous la prière de la foi. « Non, non, ils ne dirent jamais
cela. Ils savaient qu'il était un apôtre de Dieu, oint et confirmé. Il
dirent donc: «Laissez-nous juste être couchés dans son ombre. Tu n'as
pas un mot à dire. Nous savons cela; nous croyons cela.» La Vie était
en eux... L'apôtre ne pouvait pas aller vers eux tous, mais ils étaient
eux-mêmes une partie de cela.
192 Moïse dit: «Je ne suis pas seul à partir, nous
partons tous. Nous avons tous quelque chose à faire. Nous devons tous
être oints.» Ils virent cet apôtre guérir ce malade et faire toutes ces
choses, mais ils savaient qu'il ne pouvait pas aller vers eux, ainsi,
ils ne dirent jamais: «Pierre, viens offrir une prière, et attends
jusqu'à ce que tu aies le AINSI DIT LE SEIGNEUR, et ensuite, viens me
dire, vois ce que le Seigneur dit.» Ils dirent: «Si nous pouvons
seulement nous coucher dans son ombre... parce que le Dieu qui était en
Jésus-Christ est en lui, et nous voyons la même chose se passer.» Ils
touchèrent le bord du vêtement de Jésus et ils se couchèrent dans Son
ombre, et Jésus était dans cet homme.» Si cette ombre peut nous
toucher, nous serons guéris.» Et la Bible dit qu'ils furent tous
guéris. Il n'y eut pas de réunions de prière durant toute la nuit. Ils
ne dirent pas: «Seigneur, si je vais me coucher dans l'ombre de cet
apôtre...» Non, ils le savaient. La Lumière les avait frappés. Leurs
coeurs étaient pleins, leur foi était libérée. Amen! Ils le croyaient,
ils L'avaient vue. C'était la même chose au sujet des mouchoirs de
Paul. (Maintenant, pour terminer:)
193 Jésus ne cria pas, lorsqu'ils Lui amenèrent ce
garçon maniaque, qui était atteint d'épilepsie et qui tombait dans le
feu. Il ne dit jamais: «Père, Je suis Ton Fils, et Tu M'as envoyé
maintenant, ici, pour faire telle ou telle chose; alors, puis-Je guérir
ce garçon?» Il ne dit jamais cela. Il dit: «Sors de lui, Satan!
Il parla, et le garçon fut guéri.
Lorsqu'Il rencontra «Légion», qui avait deux mille
démons en lui, ce n'était pas Jésus qui criait, c'étaient les démons
qui criaient: «Si Tu nous chasses (oh! là là!) permets-nous d'aller
dans ce troupeau de pourceaux.»
Jésus ne dit pas: «Maintenant, Père, suis-Je capable
de faire ceci?» Il dit: «Sortez de lui» – et les démons sortirent
précipitamment. Assurément, Il savait qu'Il était le Messie.
Au tombeau de Lazare (celui-ci était mort depuis
quatre jours), ils Lui dirent: «Si Tu avais été ici, Seigneur, il ne
serait pas mort.»
194 Il dit: «Je suis la Résurrection et la Vie...»
Amen. Pas où, quand, ou comment. «Celui qui croit en Moi vivra, quand
même il serait mort.» Amen! Il savait qui Il était. Il savait ce qu'Il
était. Il savait qu'Il était Emmanuel. Il savait qu'Il était la
Résurrection. Il savait qu'Il était la Vie. Il savait qu'en Lui
habitait corporellement la plénitude de la Divinité. Il vit ces gens
là-bas, et Il vit ce que Dieu Lui avait dit... avait dit de faire, et
Il était là – Il alla là-bas.
Il ne dit pas: «Maintenant, attendez, Je vais
m'agenouiller ici, et agenouillez-vous tous et priez.» Il dit:
«Croyez-vous que Je peux faire ceci?» Amen. «Oui, Seigneur.» Ce n'était
pas Lui, c'était eux.
«Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Fils de Dieu,
qui devait venir dans le monde. « Oh! là là! Là, Il est identifié.
Quelque chose doit arriver.
«Lazare! sors!» Il parla, et un mort sortit. Pas
Puis-je? Il parla simplement. Lorsque la foi fut satisfaite, la chose
arriva.
195 Il parle–Il parla, et l'aveugle vit; le boiteux
marcha; le sourd entendit; les démons crièrent et sortirent; les morts
ressuscitèrent – tout. Pourquoi? Il ne pria pas jusqu'à l'exaucement;
Il était oint le Messie. Il était ce Messie. Il savait qu'Il l'était.
Il connaissait Sa position. Il savait pourquoi Il avait été envoyé. Il
savait que le Père L'avait identifié pour être le Messie pour les
croyants; et lorsqu'Il rencontra ce croyant ayant la foi, Il prononça
simplement la Parole. Les démons se dispersèrent. Oui, monsieur. Parle;
ne crie pas, parle! Amen.
Il connaissait Ses droits donnés par Dieu, mais,
nous pas. Il savait ce qu'Il était, nous pas.
196 Moïse l'avait oublié. Samson le comprit.
D'autres le comprirent. Josué le comprit. Moïse l'oublia. Dieu dut
attirer son attention sur cela. Il dit: «Pourquoi cries-tu à Moi? Je
t'ai envoyé pour faire ce travail; parle! et continue à avancer vers
ton objectif. Je t'ai dit que tu viendrais à cette montagne; prends ces
enfants et conduis-les plus loin. Parle simplement, peu M'importe ce
qu'il y a en travers de ton chemin, enlève-le. Je t'ai donné l'autorité
pour le faire. J'ai parlé, tu as créé par ta parole des mouches, des
poux et des choses comme cela. Maintenant, pourquoi pousses-tu des cris
vers Moi? Pourquoi viens-tu vers Moi en criant ces paroles? Parle
simplement et regarde-le agir, c'est tout.» Oh! là là! Oh! comme j'aime
cela.
197 Ici, Jésus, tout ce qu'Il disait... Il
prononçait simplement la Parole, et c'était ainsi. Dieu avait
correctement confirmé qu'Il était Son Fils. Celui-ci est mon fils
bien-aimé, en qui j'ai trouvé mon plaisir; écoutez-le. [Darby]
198 Observez-Le. (J’aime ceci.) Regardez avec quel
courage et quelle majesté Il se tint devant Ses critiques. Il dit:
«Détruisez ce temple... Je prierai le Père, et je verrai ce qu'Il fera
à ce sujet»? «Détruisez ce temple, et Je le relèverai.» Non pas:
J'espère le faire, Je vais essayer... Je le ferai! Pourquoi? –
l'Écriture l'a dit. La même Écriture qui a dit qu'Il relèverait Son
corps, nous donne l'autorité, la puissance. Amen! «En Mon Nom, ils
chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils
saisiront des serpents; s'ils boivent quelque breuvage mortel, il ne
leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les
malades seront guéris.»
«Pourquoi crier à Moi? Parle, et va de l'avant.» Oh!
courageusement... «Détruisez ce temple, Je le relèverai.»
199 Oh! Et souvenez-vous maintenant (nous terminons)
que c'était le même que Celui qui dit, dans Jean 14:12: «Celui qui
croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce vrai? C'est
Lui qui l'a dit. C'est Jésus qui, dans Marc 11:24, a dit: «Si tu dis à
cette montagne...» (non pas, «si tu pries pour que cette montagne»)
«...si tu dis à cette montagne: Ôte-toi de là, et si tu ne doutes pas
en ton coeur, mais crois que ce que tu dis arrive, tu peux avoir ce que
tu as dit.» Si tu le dis présomptueusement, cela n'arrivera pas, mais,
si quelque chose en toi... que tu es oint pour ce travail, et que tu
sais que c'est la volonté de Dieu de faire cela, et que tu le dises,
cela doit arriver.
«Si vous ...» C'est Lui qui a dit ceci: «Si vous
demeurez en Moi, et que Mes paroles demeurent en vous, demandez ce que
vous voudrez, et cela vous sera accordé.» Oh! là là! Oh! là là! Vous
voyez ce que je veux dire?
200 Pardonnez ceci, mais cela vient en moi, je dois
le dire. C'est Lui qui a dit, ce jour-là, là-bas dans les bois: «Tu
n'as pas de gibier.» Et Il créa trois écureuils devant nous. Qu'est-ce?
Simplement prononcer la Parole, dire qu'ils seront là, là et là, et ils
étaient là. C'est Lui qui fit cela. Charlie, Rodney, c'était Lui,
là-bas au Kentucky. Nellie, Margie, et vous autres, c'était Lui, ce
même Dieu qui était là-bas et qui parla à Moïse, et qui dit: «Pourquoi
cries-tu à Moi? Prononce la Parole.» C'est Lui qui les créa. C'est Lui.
C'est Lui. Oh! là là!
201 C'est Lui qui donna la vision, il y a environ
une année, qui disait que nous irions là-bas, et ces 7 Sceaux... et
qu'il y aurait, pour commencer cela, un grand tonnerre, et que cela
serait en forme de pyramide. Et le magazine Look, ou plutôt Life, l'a
relaté; c'est affiché là-bas, à la paroi. C'est Lui qui a dit cela.
202 C'est Lui, ce soir-là, alors que je descendais
cette route, et que j'ai vu ce grand serpent mumba près d'atteindre mon
frère, c'est Lui qui a dit: «Il t'a été donné la puissance de le lier,
lui ou n'importe quel autre ...
203 C'est Lui qui a dit cela à ma petite femme
grisonnante, assise là au fond... C'est Lui qui m'a réveillé ce
matin-là, là-bas dans la chambre; Il était debout dans le coin et a
dit: «Ne crains pas de faire quelque chose ou d'aller quelque part, ou
de parler, car l'infaillible présence de Jésus-Christ est avec toi, où
que tu ailles.»
204 C'est Lui qui a dit là-bas, au «Sabino Canyon»,
il y a environ trois mois, alors que je priais et que je me demandais
ce qui allait arriver... Et comme je me tenais là, une épée est tombée
dans ma main, et Il a dit: «C'est l’Épée du Roi.» – C'était Lui.
C'est Lui qui m'a dit: «Comme J'étais avec Moïse, Je
t'enverrai.»
205 C'est Lui qui m'a dit, il y a trente ans, là-bas
au fleuve, alors que je n'étais qu'un jeune homme, un petit
prédicateur, debout dans l'eau... Je me tenais là, lorsque cette
Lumière, cette même Colonne de Feu descendit des cieux, s'arrêta là et
dit: «De même que J'ai envoyé Jean-Baptiste pour annoncer et préparer
la première venue de Christ, ton Message annoncera et préparera Sa
seconde venue»... au monde entier. Comment cela se pouvait-il, alors
que mon propre pasteur rit et se moqua de cela? Mais, c'est arrivé
exactement ainsi. C'est Lui qui a dit cela. Oui, monsieur!
206 Oh! c'est Lui qui a dit, sous forme de prophétie
reliée à la vision, «Cela arrivera.» C'est Lui qui a dit: «S'il y en a
un parmi vous, qui prophétise ou qui reçoit une vision et qui la fait
connaître, et que cela arrive, souvenez-vous alors que ce n'est pas
lui, c'est Moi. Je suis avec lui.» Oh! là là! Combien je pourrais
continuer et dire: c'est Lui, c'est Lui, c'est Lui.
207 C'est Lui qui descendit... Lorsque je leur dis
qu'il y avait une Colonne de Feu, qui était là-bas sur le fleuve, ils
ne pouvaient pas croire cela. C'était Lui, là-bas, parmi... avec ce
prédicateur baptiste devant 30 000 personnes, ce soir-là, dans le «Sam
Houston Colosseum»... lorsqu'on prit la photographie de cet Ange du
Seigneur. C'était Lui, le même hier, aujourd'hui et éternellement.
C'est Lui qui a prédit où ces choses seraient. C'est Lui qui a dit
ceci. C'est Lui qui a fait ces choses. Il est le même hier, aujourd'hui
et éternellement. Il a fait toutes choses exactement comme Il l'a dit.
Amen.
208 Pourquoi devrais-je attendre? Dieu a confirmé la
Parole. C'est la Vérité. Voyageons. Marchons. Continuons sur les traces
du Seigneur, écartant tous les doutes, tous les péchés. Nettoyez la
maison; frottez-la bien. Comme la vision, ou le songe de Junior Jackson
le disait (s'il est assis ici), il ne restait plus que des lampes. Il
ne restait plus que des lampes et elles avaient des bandes dorées
autour d'elles, dans le songe qu'il m'a donné l'autre soir. Oh! là là!
209 Frère Collins, ne vous inquiétez pas au sujet de
ce poisson. Il était blanc; vous ne saviez simplement pas comment le
manipuler. Mettez de côté tout ce qui est contraire à cela.
Souvenez-vous que ceci est la Vérité, peu importe combien cela paraît
fanatique, et tout le reste, parfois... Allez de l'avant.
210 C'est le Saint-Esprit, le même Dieu qui
ressuscita Jésus-Christ d'entre les morts, le Même qui peut créer des
choses par Sa Parole. Celui qui vécut aux jours de Moïse est le même
aujourd'hui. Son appel, en ce dernier jour... Il a confirmé que: «Ce
qui arriva aux jours de Sodome, arrivera de même à l'avènement du Fils
de l'homme.» Il a fait... Sodome est là! Il y a un Billy Graham et un
Oral Roberts là-bas, et l'église avance par les mêmes signes qu'Il a
promis aux deux endroits, et les voilà. C'est Lui qui a dit cela. Oh!
Seigneur, donne-moi du courage, je Te prie. Aide-moi, ô Seigneur Dieu!
Je dois arrêter ici. Il se fait tard.
211 «Pourquoi crier à Moi? Pourquoi criez-vous à
Moi, alors que J'ai prouvé que J'étais avec vous? N'ai-Je pas guéri vos
malades?» pourrait-Il dire. «Ne vous ai-Je pas dit des choses qui sont
arrivées exactement? Votre pasteur ne peut pas faire cela, il ne le
peut pas. C'est un homme. C'est Moi, le Seigneur, dirait-Il. Je suis
Celui qui a fait cela. Je suis Celui qui lui a dit ces choses. Ce n'est
pas lui, c'est Ma Voix. Je suis Celui qui ressuscite les morts,
lorsqu'ils s'effondrent. Je suis Celui qui guérit les malades. Je suis
Celui qui prédit ces choses. Je suis Celui qui sauve. Je suis Celui qui
donne la promesse.»
212 Que Dieu me donne du courage pour prendre cette
Épée de la Parole qu'Il a mise dans ma main, il y a environ
trente-trois ans, et la tenir en marchant en avant vers ce troisième
«Pull», c'est ma prière. Inclinons nos têtes.
213 Père céleste, l'heure devient tardive, mais la
Parole devient précieuse. Nous voyons, Seigneur, fois après fois, que
l'infaillible présence de Christ est toujours au rendez-vous. Combien
je Te remercie de Ta bonté et de nous avoir épargnés et bénis; combien
nous T'en remercions.
214 Alors que je tiens ces mouchoirs dans ma main,
Seigneur... Ce sont des gens qui ont la foi, et qui croient ceci.
Puisse chaque démon, chaque maladie, quitter ces gens. Et j'ordonne à
chaque esprit, qui est ici venant du malin et non de Dieu, que chaque
esprit de maladie, toutes les infirmités et les afflictions... Nous ne
sommes pas couchés dans l'ombre d'un homme, ce qui serait bien, mais
nous sommes dans l'ombre de l’Évangile, l’Évangile confirmé...
215 Alors que la glorieuse Colonne de Feu se déplace
ici et là, à travers ce bâtiment, la même que Celle à travers Laquelle
Dieu regarda, et la mer Rouge s'ouvrit et Israël la traversa... Mais,
maintenant, alors qu'Il regarde, c'est aspergé du Sang de Son propre
Fils... Quand la miséricorde et la grâce... Puissions-nous être
obéissants; puissions-nous, aujourd'hui, arrêter de dire... arrêter de
crier. Puissions-nous réaliser que Tu nous as appelés à ce travail.
C'est maintenant l'heure. Je prononce cela au Nom de Jésus-Christ. Que
toute maladie quitte cet endroit.
216 Puisse chaque homme, et chaque femme, qui
invoque le Nom du Seigneur Jésus-Christ, consacrer sa vie à nouveau
aujourd'hui. Je consacre la mienne, Seigneur, sur l'autel de la prière.
Je m'incline et je me couvre de honte, en tournant ma tête vers le sol,
d'où Tu m'as pris.
217 Seigneur Dieu, je suis honteux de ma faiblesse
et de mon incrédulité. Pardonne cela, Seigneur; donne-moi du courage.
Donne-nous à tous du courage. Je sens, comme Moïse, que nous sommes
tous sur la route qui conduit dehors. Nous ne voulons pas en laisser un
seul. Nous voulons les prendre tous, Seigneur. Ils sont à Toi. Je les
réclame pour Toi. Bénis ces gens aujourd'hui, Seigneur; accorde-le.
Bénis-moi avec eux, Père, et Ton Nom sera loué, la gloire Te reviendra.
Donne-nous cette foi éternelle, Seigneur, alors que nous nous
consacrons à Toi, maintenant. Me tenant au-dessus de cette Bible, sur
ce pupitre, je Te donne ma vie, Seigneur. Je compte sur chaque promesse
que Tu donnes. Je sais qu'elles seront confirmées. Je sais qu'elles
sont la Vérité. Donne-moi le courage de prononcer ces paroles.
Donne-moi du courage, Seigneur. Dirige-moi dans ce que je ferai et
dirai. Je me donne à Toi avec cette église, Seigneur, au Nom de
Jésus-Christ. Amen.
Ma foi regarde à Toi
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur divin!
Écoute maintenant ma prière,
Efface tous mes péchés,
Oh! que dès aujourd'hui
Je sois tout à Toi!
Maintenant, levons-nous silencieusement, pendant que
nous le fredonnons.
...à Toi, Toi, Agneau... (Levons simplement nos mains vers Lui.)
Ô Sauveur... (Consacrez-vous maintenant à Dieu.)
Écoute maintenant ma prière,
Enlève tous mes doutes,
Oh! que dès aujourd'hui
Je sois tout à Toi!
218 Maintenant, disons ensemble, avec nos mains
levées: [L'assemblée répète cette prière – N.D.T.]
«Seigneur Jésus, – maintenant – je me consacre à Toi. – Que ce soit une
vie de service, – plus pure encore. – J'implore plus de foi, – afin que
je – puisse être un serviteur plus convenable – dans ma vie future, –
que je ne l'ai été – dans ma vie passée. – Pardonne mon incrédulité et
redonne-nous – la foi – qui a été une fois transmise aux saints. – Je
me donne à Toi, – au Nom de Jésus-Christ.»
Maintenant, alors que nous inclinons nos têtes...
Comme je marche
Dans le sombre labyrinthe de la vie,
Et que les chagrins
Autour de moi se multiplient,
Toi, sois mon Guide.
Ordonne que les ténèbres
Se changent en jour,
Enlève toutes mes craintes,
Que je ne m'égare plus jamais
Loin de toi.
219 Alors que nous inclinons nos têtes maintenant:
Avez-vous l'impression que le message de ce matin vous a fait du bien?
... vous a donné du courage? Si vous le voulez, levez simplement vos
mains vers Dieu et dites: «Ô Dieu, je Te remercie.» J'ai levé mes deux
mains, parce que je sens que cela m'a aidé; cela m'a donné du courage.
220 Certaines des choses que j'ai dites, je ne
pensais pas les dire, mais c'est déjà fait. C'est une réprimande pour
moi. Je ne me suis pas trouvé dans l'état que je pensais, mais j'ai
découvert que j'étais coupable de crier tout le temps, plutôt que de
parler. Ô Dieu, aide-moi depuis cette heure-ci, afin que je sois un
serviteur plus consacré. Je ne prie pas seulement pour moi, je prie
aussi pour vous, afin qu'ensemble, en tant que Corps de Christ appelé
hors du monde, nous nous préparions pour la Terre promise. Et puisse
Dieu me donner le courage de parler et vous montrer clairement le
chemin, afin que vous ne le manquiez pas. Je vous dirai, par la grâce
de Dieu, que je suivrai les empreintes ensanglantées de Celui qui nous
a précédés, et...
Cette croix consacrée je porterai,
Jusqu'à ce que la mort me libère.
Et ensuite j'irai à la maison
Pour recevoir une couronne,
Il y a une couronne pour moi.
Nous Te donnons ceci, Père, en signe de
consécration, au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.
221 Nous remercions le Seigneur pour ceci. Que votre
marche reflète une vie consacrée. Abandonnez-vous. Soyez remplis de
douceur et d'humilité; marchez dans l'Esprit: marchez, parlez,
habillez-vous, agissez comme des chrétiens, humbles et doux;
maintenant, ne laissez pas ceci faillir. La Voix de Dieu parle à
travers la Parole; Elle parle à travers les dons. Comme un don vient,
un autre l'exprime. Un autre don vient et exprime la même chose.
Voyez-vous? C'est certainement juste avec la Parole et juste avec
l'heure. Dieu est avec nous. Combien nous L'en remercions. Maintenant,
avec nos têtes inclinées... si notre soeur veut bien nous donner un
accord sur...
Prends le Nom de Jésus avec toi,
Comme un bouclier contre tous les pièges;
Lorsque les tentations t'entourent,
Murmure simplement ce saint Nom en prière.
Faites simplement cela, prononcez la Parole.
Prononcez Son Nom. Chantons-le maintenant, en nous séparant
Prends le Nom de Jésus avec toi,
Enfant de tristesse et de malheur;
Cela te donnera la joie et le réconfort
Prends-le partout où tu vas.
Précieux Nom...
Maintenant, serrons-nous la main les uns les autres
et disons: je prierai pour vous, frère; priez pour moi.
...ciel;
Précieux Nom,
Oh! combien il est doux!
Espoir de la terre et joie du ciel.
Maintenant, avec nos têtes inclinées, chantons le
verset suivant.
Prends le Nom de Jésus avec toi,
Comme un bouclier contre tous les pièges;
Lorsque les tentations t'entourent,
Murmure ce saint Nom en prière.
Précieux Nom,
Oh! combien il est doux!
Espoir de la terre et joie du Ciel;
Précieux Nom,
Oh! combien il est doux!
Espoir de la terre et joie du ciel.
222 Avec nos têtes inclinées, maintenant, et nos
coeurs avec elles, réalisons que Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes
Paroles, et qui croit à Celui qui M'a envoyé, a la Vie éternelle et ne
vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»
223 Nous savons que nous possédons cela, par la
grâce de Dieu, dans notre sein, nous étant consacrés à Lui, ce matin,
pour que nos vies changent depuis aujourd'hui, et que nous soyons plus
positifs dans notre pensée. Nous essayerons de vivre en toute douceur
et humilité, en croyant que ce que nous demandons à Dieu, Il le donnera
à chacun d'entre nous. Nous ne dirons pas de mal les uns des autres, ni
de personne. Nous prierons pour nos ennemis et nous les aimerons; nous
ferons du bien à ceux qui nous font du mal . Dieu est le juge de qui
est juste et de qui est faux. Mais, sur la base de ceci et avec nos
têtes inclinées, je vais demander à notre cher ami, frère Lee Vayle, de
congédier l'auditoire par un mot de prière. Frère Vayle.
1-1 Lord bless you...?... Let's just remain standing a moment as we bow our heads. Is there a special request? If you would, let it be known as you lift your hands to God and say by that, "Lord, You know my need."
1-2 Heavenly Father, we are
indeed a privileged people this morning to be assembled in the house of
God, when we know that there's so many that would want to be in the
house of God this morning and is in hospitals and on beds of sickness,
and Thou has given us this privilege to be out here today. And we never
come, Lord, to be seen of each other, though we love our fellowship one
with another; but we could do that at our homes; but we have come here
to fellowship with He Who has brought us together as beloved children
and brethren.
We thank Thee now. And the only way that we know to correctly
fellowship with Thee is around Thy Word; Thy Word is the Truth. We
gather here for spiritual strength; we need it, Lord. We must have
strength to endure the crosses that we bear. And we pray that You'll
send the great Holy Spirit today, and will strengthen us all. Grant the
requests of Your people as they have assembled and raised their hands
to You that they have need of such things. Answer each one, Lord.
1-4 We thank Thee for sparing
the life of our Sister Ungren last night in the accident on the road up
here. Thou was gracious to them, Lord, and we thank Thee for that.
And now, we pray, heavenly Father, that You will continue to be with
us, and help us as we journey on, each and every one of us. Give us Thy
undergirding power and the--the faith of knowing that Thy never-failing
Presence will be with us. That hour when we cannot help ourself, we
know the Angels of God are encamped about those who fear Him, and
they'll bear us up lest anytime we dash our foot against a stone. We
pray now that You'll give us of Thy blessings for the Word, and speak
through us and in us, in Jesus Christ's Name. Amen.
2-1 I am grateful that the
sunshine of the outside, the solar sun, is shining. It was very bad
this morning, and I think in this country especially, we have so much
gloomy, weary weather; and to see the sun shining, coming out, it's
very good.
The little family reunion today, I meet my brothers up at my sister's
house and some of our relation around the city and round about... The
big bunch of the Branhams, if they'd all come together from Kentucky
and here, I guess we'd have to rent the city; there's so many of them.
But just a little homecoming... We used to all meet at mama's house and
she was the old tie-post that held us together, kinda. But God taken
the tie-post to heaven, and I hope that we'll all meet there someday.
2-3 And now I spoke the other
day; I said, "You know I believe that I will--will cut my Sunday
messages down to about twenty minutes and--and thirty, and then pray
for the sick." And I thought of that this morning, and I thought last
night when Sister Downing called me and said that--called Billy and
said that she and Sister Ungren on the road up had slid across the road
and had a wreck. And while Billy was still at the window, along... I
don't know what time it was, maybe this morning sometime; I'd been
asleep for quite a little bit. I looked down at Brother Wood's; the
lights was out. And I just knelt to pray, and when I did something just
said to me, "It's all right." So then I told Billy, "Tell her
everything, I thought, would be all right."
I'm so glad to see them in this morning, setting in the house of the
Lord back here after on the road... A people that love you that much to
come for hundreds of miles to hear the Gospel, then I thought, a twenty
minutes message and as slow as I am, they would be no good. So I
thought I would just... that long...
So then here Brother Ungren, her son, this morning was singing, "How
Great Thou Art." He has--He means more to him this morning than it did
yesterday afternoon, because the great God of heaven spared his
precious, darling mother and sister.
2-6 Now, today we are expecting
a great time in the Lord, and I had two or three different texts here
that I was looking at, and did--I couldn't figure just which one I
would talk on this morning. One of them was cast your cares on Him, for
He cares for you. Now, if He cares, why not you? So then, another
one... Billy Paul, or not Billy Paul, my other son, Joseph, brought me
this text a long time ago. He was setting in the room one day, and he
said, looking up toward the picture (Billy--or Joseph is very fond of
boats like little boys: boats and horses, you know.), and he said to
me, "Daddy, has Jesus got a boat?"
And I said, "I don't know."
So then after he got up and went out, I happened to think, "Has He got
a boat?" and I took a text from that, and just marked it down here on
my book: Has Jesus Got a Boat?
3-1 I happened to think when He
was here on earth He had to borrow a womb to be borned in, a grave to
be buried in, a boat to preach from, but He's the Pilot of the old ship
of Zion...?... But in those texts that I was thinking, think maybe I
could get them later, before we leave to go back...
You know, I like to speak from the Tabernacle here, because it's our
own church. We feel at liberty to say whatever the Holy Spirit says. At
other places, even though the men wants to make you welcome, you feel
kind of a little cramped because that--that you're in somebody else's
church, and you want to be a gentleman enough to respect their--their
thoughts and their doctrine.
3-3 Had a wonderful time this
week down at Brother Burcham's place there. I went into the factory
where they made the cheese. (I see he, and his wife, and son, and them
are present this morning.) And always thought that a cheese factory
would be something like other places I've been in, oh, kind of sloppy
and dirty. My, I can say one thing, you can sure rest assured that
place is not dirty. That was the cleanest place I ever went into,
especially in a factory. And I didn't realize; I thought, oh, maybe
they make a hundred pound of cheese a day, and they make six tons each
day, and three of the factories going. I thought, "Oh, my, who eats all
those cheese." But the Lord has blessed this man. I've had the
privilege of being in his home, a very lovely home, a fine consecrated
wife. And there's no reason why they shouldn't live for Christ each day
as they're doing. Met his son, and they're very fine children. We're so
grateful for this fellowship that we have one with another.
Found out their former pastor was a man that I know: Brother Gurley, a
very fine man of the United Pentecostal faith that I met years ago,
Jonesboro, Arkansas. And I didn't know that they were--that was his
pastor, though.
4-2 Now, remember the services this evening, and then the Lord willing, next Sunday again we hope to speak. And then I think the following Sunday then I have to go to Chicago; then I'll be gone for a while. I have to take the family back home back--or back to Arizona so that they--the children can enroll in school again, and then we quit pestering the pastor, taking his services up. So we are very grateful to Brother Neville for his hospitality. You know, of him inviting me, and he's so... I like Brother--a man like that where there's no guile; there's no selfishness; it's just genuine Christianity. I like that.
4-3 Now, we're going to read some of the Scripture and then pass the comments, and I don't know just what time that we'll get out on these long messages, but I think... I was talking the other day about speaking so long, and someone said, "Well now, if you--if you just spoke a few minutes, and you speak kind of in mysteries anyhow," said, "we'd--we'd never be able to understand it." Said, "Just keep on talking, and after while it comes out." He said... So maybe the Lord wants us to do it that way.
4-4 Let's just bow again. Lord,
Thy Word lays open on the pulpit, and realizing that someday It'll be
closed for Its last time, then the Word will be flesh. And then we
are--we're grateful for this time this morning. And open to us by Thy
Holy Spirit, the contents of this Word that we shall read. May the Holy
Spirit teach us today the things that we ought to know, and may we then
in return listen closely to every word, weigh it deeply, and then may
those who are listening by the way of tape, may they listen close, and
may we be able to catch what the Holy Spirit's trying to reveal to us;
for we realize if You should anoint us, then the anointing is not in
vain; it's for a purpose--that it might work to the good to the Lord.
And may our hearts and understanding be open, Lord.
May we have freedom to speak, and freedom to hear, and access to faith
to believe what we have heard as it comes from God's Word, that it
might count up to us Eternal Life in the great day that is to come.
Bless us today; condemn us when we're wrong. Let us know the faults
that we have, and bless us in the way that is right, that we might know
which way to go and how to act in this present world, that we might
bring honor in our living here to Jesus Christ, Who died to give us
Life in the great hereafter. We ask this in Jesus' Name. Amen.
5-2 Now, I want to read just
out of two places out of the Scriptures this morning, and one of them
is just found over in the Book of Exodus; frankly, both of them are out
of the Book of Exodus: one, the 13th chapter and 21st and 22nd verse,
and the next one is the 14th chapter, the 10th, 11th, and 12th verses.
Now, I'll read from Exodus 13:21.
And the LORD went
before them by day in a pillar of a cloud, to lead them the way; and by
night... a Pillar of Fire, to give them light; to go by day and night:
He took not away the
pillar of the cloud by day, nor the Pillar of Fire by night, from
before the people.
Now, in Exodus 14 and the 10th verse,
And when Pharaoh
drew nigh, the children of Israel lifted up their eyes, and, behold,
the Egyptians marched after them; and they were sore afraid: and the
children of Israel cried out unto the LORD.
And then said...
Moses, Because there... (Beg
your pardon)... And they said unto Moses, Because there were no
graves in Egypt, hast thou taken us away to die in the wilderness?
wherefore hast thou dealt thus with us, to carry us forth out of Egypt?
Is not this the word
that we did tell thee in Egypt, saying, Let us alone, that we may serve
the Egyptians? For it had been better for us to serve the Egyptians
than that we should die in the wilderness.
I'm going to read a couple more verses.
And Moses said unto
the people, Fear... not... (Now,
listen close here.)... Moses said unto the people, Fear ye not,
stand still, and see the salvation of the LORD, which he will shew...
you to day: for the Egyptians whom ye have seen to day, ye shall see
them again no more for ever.
The LORD shall fight
for you, and ye shall hold your peace.
... the LORD said
unto Moses, Wherefore criest thou unto me? speak to the children of
Israel, that they go forward:
But lift thou up thy
rod, and stretch out thine hand over the sea, and divide it: and the
children of Israel shall go on dry ground through the midst of the sea.
And I, behold, I
will harden the heart of the Egyptians, that they shall follow them:
and I will get me honor upon Pharaoh, and upon all of his host, and
upon his chariots, and upon his horsemen.
And the Egyptians
shall know that I am the LORD, when I have gotten me honour upon
Pharaoh, and upon his chariots, and upon his horsemen.
And the angel of
God, which went before the camp of Israel, removed and went behind
them; and the Pillar of the cloud went... before their face, and stood
behind them:
And it became
between the camp of the Egyptians and the camp of Israel;... it was a
cloud of darkness to them, but it gave light by night to these: so that
the one come not near the other all the night.
And Moses stretched
out his hand over the sea; and the LORD caused the sea to go back by a
strong east wind all that night, and made the sea dry land, and the
waters were divided.
And the children of
Israel went into the midst of the sea upon the dry ground: and the
waters were a wall unto them on the right hand, and on the left.
And the Egyptians
pursued, and went in after them in the midst of the sea, even all
Pharaoh's horses, his chariots, and his horsemen.
And it came to pass,
that in the morning watch the LORD looked down unto the host of the
Egyptians through the Pillar of Fire and... the cloud, and troubled the
host of the Egyptians,
And took off their
chariot wheels, that they drave them heavily: so that the Egyptians
said, Let us flee from the face of Israel; for the LORD fights for them
and against the Egyptians.
7-1 The Word of the Lord is so great, so good, there's just no way to stop reading It. It just becomes Life as we read It. I think in this text this morning, though it's being taped, I want to say this in beginning: It finds... I find myself... And the reason that I... Yesterday while in study--and I come upon this subject, and then I thought, "I'm just going, if the Lord willing, to speak upon that because it drives me down." And I hope it drives us all down that we might see, and cause us to look up, and to study a little bit in comparing the day that was then the--and to the day that is now.
7-2 I want to take three words
for a text, and that is: "Why Cry? Speak!" God said to Moses here in
the 15th verse, "Why criest thou unto Me? Speak to the people that they
go forward." And, "Why Cry? Speak!"
Now, we've got quite a subject, and I'll try to hurry through as quick
as possible as the Holy Spirit leads. And I want to think of the--of
this text of Moses crying out to God in the time of trouble, and God
rebuking Moses back, right when trouble was in--in session. And it's
just nature, seeming like for a person to cry out, and then what a
rebuke it is for God to turn around and rebuke him for saying it--for
crying out to Him. It looks like it's a very hard thing.
7-4 Many times when we look at
the Scriptures in our own way of looking, it seems very hard, but if we
It study a little while, we find out that the all-wise God knows just
what He's doing. And He knows how to do these things and how to deal
with men. He knows what's in man. He--He knows him. We don't. We only
know from the intellectual side. He knows what's really in the man.
Moses was born in this world as a gifted boy; He was born to be a
prophet, a deliverer. He was born with the equipment born in him, as
every man that comes into the world is born with this equipment.
As I firmly believe in the--in the foreknowledge of God, the
predestination, not that God is willing that any would perish, but all
might come to repentance; but being God, He had to know, and does know
the end from the beginning. See? If He doesn't, then He isn't infinite;
and if He is not infinite, He isn't God. So He wasn't willing,
certainly, that any should perish, but He--He, knowing who would perish
and who would not perish...
8-1 That's the reason, the very
purpose that Jesus came to the earth was to save those that God through
His foreknowledge seen that wanted to be saved, because the whole world
was condemned. And I don't see how we could teach it any other way than
the foreknowledge of God. And the Bible plainly says that He knows the
end from the beginning and could tell it. Therefore, when a person
tries to be something that they are not, they're only making it an
impersonation; and sooner or later it'll find you out. Your sins finds
you out. You cannot cover them. There's only one covering for sin;
that's the Blood of Jesus Christ, and it cannot be applied unless God
has called you from the foundation of the world.
That's what that Blood was shed for--not to be tramped upon, and made
fun of, and--and jobbed at, and--and evilly spoke of, and--and so
forth; it was for a direct purpose (That's right.), not to be played
with, not to be impersonated by saying that the sins are covered when
they're not, and no man can have his sins covered 'less his name was
put on the Lamb's Book of Life before the foundation of the world.
Jesus said Himself, "No man can come to Me except My Father draws him,
and all that the Father hath (past tense) given Me will come to Me."
That's right. So you can't make the words lie. They are there for Truth
and for a correction.
8-3 And Moses was born with a
gift of faith: great faith Moses had. We see it after while coming out
in him. And he was born in a great family, as we know how that his
father and his mother and come from a family of Levi, which the story
here previously to this in the Book of--of Exodus, so beautifully gives
the life of this great character. And he was one of the greatest
characters of the Bible, for he was strictly a type of the Lord Jesus.
He was borned in a very odd birth like the Lord Jesus; he was born in a
time of persecution like the Lord Jesus; he was born to be a deliverer
like the Lord Jesus; he was hid of his parents away from the enemy like
the Lord Jesus; and he come to his time of service like the Lord Jesus.
He was a leader like the Lord Jesus; he was a prophet like the Lord
Jesus; and he was a law-giver like the Lord Jesus.
And we find out that he died on the rock, and he must've rose again,
and everything, because eight hundred years later he was standing on
Mount Transfiguration, talking to the Lord Jesus. See? Angels packed
him away. No one knows where he's buried; even the devil didn't know
that. Frankly, I don't believe he ever was buried. I--I believe that
the God packed him away in--and he died on the Rock that he'd followed
all the days of his life. And he was a perfect type of Christ. He was a
king over the people; he was a law-giver; he was a--he was a--a
sustainer to the people; he was everything in--in type that Christ was.
9-3 Now, then, see that he was
born with this great gift and quality within him. Then it only taken
something to flash across that to bring that thing to Life. See, the
seed of God is actually placed in us from the foundation of the world.
And when that Light first strikes that seed, it brings it to Life, but
the Light first has to come upon the seed.
Like the--I've taught many times of the little woman at the well, her
in that condition. Though she be an ill-famed person, though her--her
life was degraded, and she was in that condition, because that
traditions had never touched her. But though when that Light first
struck her, quickly she recognized It, 'cause there was something there
to respond to It.
When the deep calls to the deep, there must be a deep somewhere to
respond to that call.
And Moses here was born this prophet, but he was raised in an
intellectual school in Pharaoh's palace. The Pharaoh Seti, that he was
raised up under, was a man that still had honor and believed Joseph
being the prophet of the Lord. But there come Rameses after Seti, and
Rameses did not care about Joseph. And so therefore, there's when the
trouble started, now when there raised up a Pharaoh who did not know
Joseph.
But these great qualities, let's speak of them just a little while and
before we get to the main part of the text. I have an odd way of
setting a text and then building to it, and the Lord help us this
morning as we build to it.
10-2 Moses, being born with this
great gift of faith, then he was anointed and commissioned at the
burning bush to deliver God's people. Now, see what great qualities
this man had. He was born for a certain thing. God had a purpose in it.
God's got a purpose of you being here. See? If you can only be--get to
that place, how much trouble you save God and yourself too.
Moses borned and then he was... Afterwards he was brought to the--the
place where he was anointed. And notice the seed laying there with the
intellectual conception, with all the faith that he was born to deliver
this people, and yet it never come to Life until that Light from the
burning bush flashed across it, until he seen, not something he read
about, but something he'd seen with his eyes, something that spoke to
him, and he spoke back to It. Oh, how that did bring things to Life.
10-4 I think any man with a--or
woman, boy or girl... And I think in the intellectual conception of
what they think the Word is and so forth, never can have a full
foundation stand until they have met that Light that brings that Word
to a reality.
I think no church in its practice, no matter how intellectual and
fundamental it might be, that church cannot thrive until the
supernatural is made known among that people, and they see it,
something that they can talk to that'll talk back to them that
a-vindicates this written Word.
Now, remember, when Moses met this burning bush that Word was
a-vindicated exactly. It was the Word. Moses didn't have to worry,
"What's this voice all about? What is this Being here?" Because God had
already wrote on the Scripture in Genesis that, "Your people will
sojourn in this strange land, but they'll be brought back after four
hundred years--will come back into this country again, for the iniquity
of the--the Amorites is not yet fulfilled."
10-7 Now, hundreds and hundreds
of years before God had said that Israel would sojourn and be
mistreated in a strange country and would stay there four hundred
years, but God, with a mighty hand, would bring them out. So you see
with this burning bush, Moses knowed this intellectually, and the seed
that was born in him was laying in his heart. And he tried through his
intellectual experience with the Word to try to--to--to bring them out,
to deliver them, because he knowed he was born for that purpose. He
knowed that the time the Scriptures all said that they'd already been
there four hundred years...
Just as we know now, as a man asked me a few moments ago about the
coming and the rapture. We know we've lived the time out. The time of
the rapture is at hand. And we're looking for a rapturing faith that
can pull the churches together and give it some supernatural strength
that can change these bodies that we live in. We see a God that can
raise the dead off the floor, or out in the yard, and bring him back to
life again, and present him before us. When we see a God who can take a
cancer that's eat a man to a shadow, and raise him up to a strong
healthy man, that ought to give rapturing faith to the people. That
when that Light flashes from the sky, and the trumpet sounds, the Body
of Christ will be quickly gathered together, and changed in a moment,
and taken into the heavens.
Yes, there's got to be something like that happen, and our schools of
theology can never produce that, yet they intellectually are all right;
but you've got to meet that Light. You've got to find that something.
11-3 And here Moses basing his
great call upon the Word (and it was great), until one day he met this
Light, and the very Word Itself spoke back to him. Then he got his
anointing. That anointed what he had in him, that on the inside, the
intellects that believed it, the faith that was based upon his belief
in God that separated him from his mother. And now, when he strikes in
the presence of this Light, It anointed that that he believed. See?
What an anointing, and he was commissioned. Now, we know intellectually
he'd heard his mother. He knew what was going to take place, and he
knew he was living in that day. But here he found out that he was a
failure, so he might've--his--his faith might've dropped back a little
bit. But then when he comes to the bush, God said, "I have heard the
cries of My people, and I remember My promise to their fathers,
Abraham, Isaac, and Jacob, and I have come down." 'I,' there the--the
personal pronoun, "I have come down to deliver them."
12-1 And now, and may I just add
this if it... God forgive me if it sounds sacrilegious: "I do not work
upon the earth only through man. I--I am the Vine; ye are the branches,
and I only declare Myself when I can find a man, and I've chose you,
and I'm sending you down to take them out." See? Now, notice, "I'll be
with your mouth and I... You take this rod."
And Moses said, "Can I see an evidence that You'll send me and You've
anointed me and You're going to do these things?"
Said, "What you got in your hand?"
He said, "A stick."
Said, "Throw it down." It turned to a serpent; he fled.
He said, "Take it up." It turned back to a stick. Said, "Put your hands
in your bosom," took it out, and it was leprosy; put it back, and it
was healed. Said he saw the glory of God.
12-3 There was no more question
to Moses. Did you ever notice, he never run to the wilderness again? He
knew he was anointed. He knew where all these things that had been in
his heart, these great fine qualities; and he--they were anointed. Now,
he--he's ready. He's ready to go; so down towards Egypt he goes. God
had said, "I'll be with you," so that--that settles it. If "I'll be
with you," that's all Moses had to know for this great call in his
heart. And now, God said, "I'll be with you."
Now, God also had vindicated his--Moses' claim. Moses claimed, "I met
the Lord." And He said, "Tell you I AM sent me." See?
Now, they said, "Here's a man, another Jew, probably some of these
fanatics that's been coming along all the time with all kind of scheme
to take us out of bondage." And you know how people are when they're
slaves or in bondage for something, there's always some kind of a
gimmick coming around, you know, to do it. So Moses... God promised
Moses, "I'll be with you; I'll be in you. My Words will be your word.
You speak My Words, and just say what I say."
13-1 And now, when Moses went
down and give them this call and stood before Pharaoh and told him the
Lord God of the Hebrews said, "Bring the children out."... And he
wouldn't let them go. So he performed a sign before the elders and
before Pharaoh. And the signs that God did...
He said, "Now, tomorrow about this time the sun will go down. It'll be
darkness all over Egypt." And it come to pass just exactly. And then he
said, "There--there's coming flies upon the--upon the land," and he
stretched forth his rod and called for flies, and flies come. And he
prophesied, and everything that he prophesied happened just exactly the
way. It was God. See?
13-3 God had called him from his
birth, put qualities in him of great faith, and then come down with His
Presence and anointed that great something in him, and sent him down
with His Word; and he was properly a-vindicated of his claims. No
matter how many quacks had raised up, how many these other things had
happened; God was speaking at... Moses was identified. Moses... What
Moses said, God honored. I want you to never to forget that Word. What
Moses said, God honored, because God's Word was in Moses. "I'll be with
your mouth. It'll speak the right things."
Now, what God says--what God says, He speaks it through Moses, and it
confirmed and a-vindicated his claim.
13-4 Also, he was told by his
mother of his mysterious birth, and how that the time of hand come
close to the hour that there was to be a deliverance. Amram and--and
Jochebed, the son and daughter of Levi, begin to pray to God to send a
deliverer. And it take... When you see the time of the promise drawing
nigh, it sets people to praying and to hungering. And no doubt
that--that Jochebed had told him many times (his mother--she was his
tutor also as we know the story)--and had told him how that she'd
prayed. "And, Moses, when you were born, son, you were a proper child.
You were different. There was something taken place at your birth."
"I gave a drama on it for the children not long ago and said while
Amram was in the room praying, he saw an Angel pull his sword and point
it towards the north and said, 'You'll have a child, and he'll take the
children north to the promised land.'" Giving a drama for the little
fellows so they'd understand it... That their intellect hasn't come up
to the place that you adults, and can grasp the thing as the Holy
Spirit reveals it to you.
14-1 Now, though his mother told
him these things and he knowed this, yet he needed another touch.
The--the teaching was fine, but he needed a personal contact.
That's what the world needs today. That's what the church needs today.
That's what everyone needs, as sons and daughters of God. In order to
be that, you need a personal contact (See?), something. No matter...
You know the Word's true; you know It's right. But then when It
contacts, and then you see the thing done, then you know you're on the
right road. See? And watch, it'll always be Scriptural. It'll stand
right with the Scripture 'cause this did.
Amram's prayer was just exactly with the Scripture. Their prayers is
with the promised Word. God promised at that time to do it. They prayed
for it, and here was a proper child born. And they...
14-4 Watch. Oh, how I love this.
See? In the hour that Pharaoh was putting to death all the children
(See?), putting them to the--to the sword--the "guardenian sword";
they--they--they stabbed these little children to death, fed them to
the crocodiles, the little bodies, until the crocodiles were perhaps
fat upon the bodies of Hebrew children.
But the Bible said that the parents did not fear Pharaoh's command to
kill the children. They didn't--they wasn't a-scared because they seen
something in this baby to begin with. They saw it, that this was a
answer of prayer.
And now Moses had all this as a background, so Moses knew he was sent
for the very purpose to deliver the children of Israel. See, all the
background just heaps up. When you get anything and can bring the Bible
saying, "This is going to happen," and here it happens, "This is going
to be at that time"; here it happens. "This is going to be at a certain
time," there it happens, then it all accumulates together and draws a
picture for us.
15-1 Oh, how this Tabernacle this morning, how we people of this hour, Brother Neville, as we see the gray striking our hair and our shoulders stooping, when we see the world weaving and rocking as it is, and how we can look around and see the promise is drawing nigh. It's--it--it... I think many times if someone could just bounce into it at once and wouldn't understand it--or would understand it, rather, come into it at once, it would almost send you to eternity, just with a--such a rapturing thing and never knowed it. Just, oh, break through the things that we've seen, and know, and understand, and all bounce in at one time. The man or the woman, boy or girl will just probably lift up their hands and say, "Let's go, Lord Jesus." You see? Oh, how the hour is so close.
15-2 Moses knowing that he was born for that purpose, and looked out of the windows and watched them Hebrews as they toiled, looked back here in the Scripture, and it said, "And they shall sojourn four hundred years (See?), but I will bring them out with a mighty hand." Then when he comes back after a commission, anointed, knowed that he was born, and his faith, look--by faith he saw those people and knowed they were the children of God 'cause the world--the Word said so. They wasn't of the world, wasn't like the rest of them. They were different. And they were cranks and fanatics to the--the high glamour of Egypt, and he was to be the son of Pharaoh, taking the kingdom over and next, but he...
15-3 There was something down in
him, a real faith that looked not at those things--the glamour that he
was to inherit. He looked at the promise of God, and he knowed that the
time was drawing nigh. And what that man must've thought of... I want
to talk it over with him someday when I meet him on the other side.
You say, "That's crazy, brother..."
No, it isn't. I'm going to meet him by the grace of God. Yes, sir. I'll
talk to him someday, Moses himself. And how I would like to ask him
just how when he seen his preparation, how the flusteration the devil
saying, "Aw, the people ain't going to believe you. Aw, the--there's
nothing to that," but when that seed come to life up there, something
struck him, and he knew there was something going to take place. He
knew--looked at his clock and seen what time it was. And he knew. And
how he must've thought as he watched.
16-1 Now, when he got all this
together, all this great thing that he seen: the Scripture time, the
prayer of his mother and his father, and he was born a peculiar birth,
an odd child... And all along there'd been something way down in him,
and now he slips off and tries to think he'd take his military training
from his school and deliver the children, and that failed. Then he goes
up into the wilderness and marries a lovely Ethiopian girl, and they
had a little boy named Gershom.
One day while tending the flock, all at once he seen a burn--bush up on
top of the mountain, burning. And he went up there and not an
intellectual, not an imagination, not a delusion, a optical illusion;
but in him there was the God of Abraham in a Light, a Pillar of Fire
back in a bush, that fire, like waves going out, but it didn't bother
the bush. And the voice of the Scripture, the voice of God spoke
through there and said, "I have chosen you. You are the man. I raised
you up for this purpose. I'm proving to you here by signs; you're going
down to deliver the children because that My Word's got to be
fulfilled."
Oh, His Word of this day's got to be fulfilled. We're living in the
hour. No matter what anyone else says, the Word has to be fulfilled.
Heavens and earth will pass away but not His Word.
16-4 Now, when Moses got all
this together and seen by every direction, it anointed his faith. Amen.
Oh, my, what a thought. This, itself, seen in the Scripture pointing
right straight to what it was, and the speaking of God, and the
evidence of it there, it anointed what faith he had in him to go to
work. What ought it to do to us.
We need a repentance. We need a revival. I'm saying myself. I need a
shaking. I need something. I said I was speaking to myself this
morning, or about myself. I--I--I need a wakening up. And when I think
of that great evidence, everything's so perfectly laid out there. And
it anointed the faith of Moses, and my, he seen there was nothing.
16-6 Here he run from Egypt with
actually he could've start a mutiny or--or something, and he
could've--could've rose up and started a revolutionary in Egypt and
could've took an army and fought, but you see--and had many thousands
on his side. But instead of that he was a-scared to even do that with
armies on his side. But now here he comes back forty years later,
eighty years old with only a stick in his hand. Why? What was burning
down in his heart had become a reality. He was anointed then, and he
knowed he had THUS SAITH THE LORD. There was nothing going to stop him
now. He needed no army; God was with him; that's all he needed: God
with him.
Oh, when you know God has sent you to do a certain something, and you
see it moving up there, there--there just isn't nothing can take its
place. That's all.
17-2 I remember times when the
Lord has told me about certain things was going to happen, and then I
move up and see it laying right there, oh, what a feeling. The
situation's already under control. That's all. See? Because God said so.
I remember... Many of you remember about the little boy being raised up
in Finland, and then--from the dead, been killed by an automobile. And
I stood there on the side of the road and started to walk away from
that child, and turned, and looked back, and something put its hand on
my shoulder, and I thought it was Brother Moore; and nobody was around
me.
And I looked back, and then I looked up the mountain, I saw... I said,
"Well, I've seen that hill somewhere, but we didn't come up this way.
We come another way. Where is that hill?" And I looked and seen that
car down there wrecked, seen that little boy there with his--laying
there with the crock like haircut (as we call it here); the eyes turned
back like brother Way's was the other day when he fell; and the little
foot run through the sock where his little limbs was broke; and blood
out of his eyes, and nose, and ears; and seen his little short trousers
and tied up by buttons as--here along the side of his little waist, and
his little stockings up, like long stockings like we wore many years
ago. And I looked around, and there it was exactly, exactly the way the
Holy Spirit had told me two years before, when all of you wrote it in
your Bibles across the nation that it would happen.
17-5 Oh there... Then the
situation is in hand. No matter how dead he is, no matter what anybody
else says; it's all over. He's got to come back.
I said, "If this child doesn't raise up from this dead, then I'm a
false prophet; I'm a misrepresentation of God; for in the homeland two
years ago He told me this would happen." And there these ministers and
all; it's wrote on the flyleaf of our Bible, and here it is exactly.
Read it off the flyleaf how it would be in a country lapping rocks, and
so forth, be killed on--be on the right hand side of the road. I said,
"There it is; nothing can stop it." The situation's already under
control.
The faith that was within my heart was anointed. Oh, if I could only
explain that, the faith that God--I had in God that told me, and had
never failed, told me, "The situation is under control now. Here's
exactly what I showed you two years ago, and here it is laying just
exactly in order. The only thing you have to do is speak the Word." And
the little boy rose up from the dead. See?
18-3 I was thinking and looking
back here. Brother Fred Sothmann's setting there, Brother Banks Wood,
and them... The other day up on the Alaskan Highway, how I stood here
at the church and told you all of an animal that looked like deer horns
forty-two inches and a silver tip grizzly bear. I'd never been there
before and how that the--that I was going to get this, and how it would
be, and how many would be with me, and how they'd be dressed. You know
it, everyone of you, weeks and weeks before it happened.
And there, when I moved in there, not knowing it, there laid that
animal. And I went and--and he... It was impossibility, if a hunter
would know or be listening to this tape, how you can't walk up in the
face of an animal; it'd jump up and run. But he didn't.
18-5 And there he hangs in my
den room. There hangs the silver tip just exactly the way, and a--and a
rule laying there, a tape measure to show his exact... And a horn will
at least shrink two inches or more when it's green on the animal and
when it dries, but this never shrank. It's still exactly on the nose
forty-two inches. See? There lays the silver tip; it's seven foot long
just exactly and everything exactly the way it was, laying there now.
But when this man said to me, "Now, look Brother Branham, we got this
animal that you talked about, but you told me you'd get a silver tip
grizzly before you got to the bottom of the hill, back over to where
them boys are, that with the green shirt." I said, "It's THUS SAITH THE
LORD. God said so."
"But Brother Branham," He said, "I can see all over everything here for
miles; there's nothing. Where's he coming from?"
I said, "That's not for me to question. God said so, and He's
Jehovah-Jireh. He can bring a bear there. He could put one there." And
He did, and there he is.
19-4 It's a situation under
control. And when Moses saw that he was raised up for this purpose and
that he had met face to face this great God Who had made the call, and
had anointed him, and identified him, and said, "This is your call,
Moses. I'm sending you. And I'm going to show you My glory, and here I
am in the bush, burning. Go down there; I'll be with you." He didn't
even need a stick. He had the Word, the vindicated Word. There he went.
It anointed the faith that was in him. And it anoints us when we see
that we're living in the last days, to find out that all these signs
that we see being taken place that's spoke of in the Scripture would
take place in the last days: all the way from heaven to the political
powers, and the nature of the people, and the demoralization of the
world and among the women, and how they would do in the last days, and
how the men would do, and how the churches would do, how the nations
would do, and how God would do. And we see it all laying right here on
us.
Oh, it anoints our faith. It moves us out in the great cycles. See?
It--it--it separates us from other things of the world. See? No matter
how little we are, how much a minority we are, how much we're laughed
at, made fun of, it don't make a bit of difference. That's all. We see
it. There's something within us. We were predestinated to see this
hour; there's nothing going to stop us from seeing it. Amen. Sure, God
has spoke it. It's--it's already happened. We see it. Oh, how we thank
God for this. Oh. Then it brings out your faith when we see these
things happening here.
20-1 Now, here again we read
that Moses esteemed the reproach of Christ greater riches than the
treasures of Egypt. Now, he esteemed the--the reproach of Christ. Now,
remember: the reproach of Christ. See?
There's a reproach in serving Christ. If you're very popular with the
world, then you cannot serve--you're not serving Christ. No. You
cannot, because (See?), there's a reproach that goes with It. The world
always has reproached.
Way back there thousands of years ago, there was a reproach that went
with it. And Moses, to--be Pharaoh (he was the next coming Pharaoh,
Pharaoh's son), and he was coming the next Pharaoh with favor amongst
the people, and yet he regarded... ("Esteem" means "to--to regard.") He
regarded the reproach of Christ greater things than all that Egypt
could afford to give him. Egypt was in his hand. But yet he knew to
take the way of Christ was a reproach, but he was so happy to know that
there was something within him that made him regard this approach of
Christ--reproach of Christ, rather, greater than all the glamour that
he--he inherited. He had an inheritance inside of him that was far
greater than what the outside inheritance had given him.
20-4 Oh, if we could be like
that today and let the Holy Spirit anoint that that we have within us,
that faith, to a godly life, consecrated to Christ.
Now, with such faith as this that he had, he noticed and he regarded
that reproach a honor.
Today somebody say, "Hey, are you one of those people? Those ah...?"
"Well, ah,..."
You're just a little ashamed of it. But he regarded it a greater
treasure than all the world, because that there was something in him
that he could speak out and say, "Yes, I--I regard this. This is highly
honored. I'm glad to be one of them." See? "I'm glad to number myself
as a Hebrew and not an Egyptian."
20-6 The Christians today should say the same thing: "I'm glad to regard myself a Christian, to abstain from the things of the world and the order of the world" not just as a church member, but as a born again Christian who lives according to the Scripture. Though I be called even by the members of the church a fanatic, yet I esteem that a greater, greater thing than what if I was the most popular person in the city or in the nation. I'd rather be that than President of the United States or the king over the earth. (You see?) I--I esteem that so highly, because God in His mercy before the foundation of the world saw me and--and placed a little seed in there that my faith would fly above these things of the world, and now He's called me, and I--I regard my place, as Paul said he regarded his office with highness. Oh, that God had called him from being a great teacher like Gamaliel, but Paul had been called to be a sacrifice for Christ. See?
21-1 Now, the same thing.
Notice, with such faith he never relied on his sight, what he could
see. Now, he seen nothing out there but a bunch of mud-handling people,
slaves, in prison, being killed everyday, beat with whips, made fun of.
Their religious beliefs was fanatic. And there was a Pharaoh setting on
the throne that didn't know or regard anything about their religion. He
knowed nothing about it; he was a heathen, and so he just...
What a picture of today. And there it is, a different religion and how
that if--if this Moses, yet in the very seat with the President or
the--or the great man Pharaoh, to take his place at his death, and he
was an old man. And yet Moses thought that that call... He looked out
there. And the same window that Pharaoh looked out of, 'cause he was in
his home... And Pharaoh looked out and seen those people that were
lifting up their hands, and they'd take a whip and beat them to death
because they were praying. They'd run a sword through them because they
even failed to disobey at anytime and making them work till their
little old bodies would fall out and give them half enough to eat.
Well, there wasn't nothing but a bunch of fanatics, not hardly human;
and yet Moses, that faith in him looked upon them, and he said,
"They're God's blessed people." Amen. I like that.
21-3 With such faith... His eyes
didn't fall on the glamour of Egypt; it fell on the promise of God. His
eagle eye of faith seen beyond the glamour of Egypt. He... Remember
he's becoming an eagle now; he's a prophet, and his eagle eye raises
above those things. Oh, how I like that. Oh, my.
How ought today... Today Christians rely on their senses of what they
can see or what they can understand, instead of their faith, to rely on
what you see with your eye and the glamour. Like you women, I'm always
call to you about you must let your hair grow out; you mustn't wear
makeup; you must act like ladies and Christians. You look out upon the
street and see the women today dressed immorally. Well, you think,
"Well, the--she belongs to the church; why can't I do that?" See? "And
she cuts her hair; why--why can't I do that? Well, she seems to be just
as sweet and as much intellectual, and a personality that I haven't
even got. Well, why can't I do that? I ought to do it." When you do
that, you paralyze your faith. See? You don't give your faith a chance
to grow. Start on that.
22-2 As I said... someone said,
"Brother Branham, the country--the people regard you as a prophet. You
oughtn't not to be bawling women out like that and men out for these
things. You--you ought to be teaching them how to--to prophesy and
receive gifts."
I said, "How can I teach them algebra, when they don't even know their
abc's?" See? Now, just start from that. Clean yourself up, so that when
you walk out on the street you look like a Christian anyhow. See? And
then go to acting like one. See? And you can't do it within yourself.
It's got to have Christ come within you. And if that seed's laying in
there, and that Light hits it, it's going to come to Life. If it
doesn't come to Life, there's nothing there to come to Life, because it
sure proved it on others. See? It comes to Life immediately as soon as
the Light hits it.
22-4 That's a rebuke to women, I
know, that's listening in to this tape or will listen in to it. It's a
rebuke to you, sister. It should be. It should be, because it shows...
I don't care what you've done. You might've been religious all your
life. You might've lived in the church. Your father may be a minister,
or your husband might be a minister; but as long as you disobey
the--the Word of God, it shows there's no Light there. When you see the
thing brought out and the Life of the Holy Spirit, watch It when it
strikes others. See what they do. If It brings it on them... no
wonder...
Why would a... What a rebuke to those Pharisees that called Jesus, when
He could perceive their thoughts, he called Him Beelzebub, and that
little prostitute said, "Why, this Fellow is the Messiah. The
Scriptures says He'll do this." See? That predestinated seed was laying
there, and when the Light struck it, it come to Life. See?
You can't keep it down, you can't hide Life. You can take a... Pour
concrete upon a bunch of grass and kill it in the wintertime. The next
spring where is your most grass at? Right around the edge of the
concrete, 'cause that germitized seed under that stone, when the sun
begins to shine, you can't hold it. It'll wiggle its way around through
there and come right out at the edge of that and stick its head up to
the glory of God. See, you can't hide life.
23-2 When sun strikes botany
life, it's got to live. And when the Holy Spirit strikes the Scriptural
Life that's in a man, it brings forth its fruit right there. So
regardless of how true and honest you are, how you say you're not
speaking... Saying they were... These women wearing these--these bad
clothes and things out there, just a common striptease for the street,
though you don't believe you are, you can't make you believe. You can
prove that your innocent of an adultery, but in the Book of God you're
committing adultery. Jesus said, "Whosoever looketh upon a woman to
lust after her has committed adultery with her in his heart already.
And you presented yourself in that manner. See? You can't see it unless
that Life is laying there.
You look at somebody else, you look and say, "Well, I know Sister
Jones--Brother Jones is a--he's a minister, his wife does this and does
that." I don't care what that does; this is the Word.
Jesus said, "Let every man's word be a lie, and Mine be true." It's the
Bible, and when that Light really strikes it, it's got to come to Life.
It just has to come to Life.
23-5 Now, Moses' great eye, his
eagle eye looked beyond the glamour of Egypt. The real Christian
believer today, no matter what the church says, what anybody else says,
when that Light strikes it, they see the very vindication of God, that
Pillar of Fire hanging there, and the signs and wonders that promised,
the Scripture being laid in it, it comes to Life. No matter how little
it is and how many in the minority; God's group has always been the
minority. See?
"Fear not little, little flock, it's your Father's good will to give
you the Kingdom." See? They catch it. God is obligated to send them in
from every denomination, every order, everywhere, to see it, if they
are ordained to Life.
24-2 Look at old Simeon,
ordained to Life. When the Messiah come in the temple in the form of a
Baby in His mother's arms, Simeon, back in a room somewhere reading,
the Holy Spirit raised him up, for he was waiting. That Life was in
him. He said, "I'll not die until I see the Lord's Christ." And there
was the Lord's Christ in the temple. The Holy Spirit led him from his
duty out, and walked down through there, and picked that baby up, and
said, "Let the... Let Thy servant depart in peace, for my eyes see Thy
salvation."
There was an old blind woman in the corner by the name of Anna who
served the Lord day and night. She also was predicting and saying, "The
Messiah is coming. I can see Him coming." Yet she was blind, and that
same time when He was there, that little Life that was in her that was
predicted it would be there; it would be there; it would be there. Then
that same Life, the Light, came in the building in the form of a Baby
as an illegitimate child, wrapped in His swaddling clothes, coming up
through the building; and the Holy Spirit struck that old blind woman,
and she come by the Spirit, led to the people, and stood over this
Baby, and blessed the mother and blessed the Baby, and told what would
be the future for it. See? Ordained to Life. See? Look at them. There
wasn't a dozen of them.
There was only eight souls saved in the day of Noah. Hardly very many,
but all that was ordained to Life come in at that time. See how the
Holy Spirit works in each age, drawing the people?
24-5 Now, we find out that
Moses' faith led him to watch what would be, not what was. Look at
tomorrow, instead of today. Look at the promise instead of the glamour.
Look at the people instead of the organization. See? God did that.
Lot could see the glamour of prosperity down in Egypt--or down in
Sodom. Lot could see the possibilities of a--of a--of a lot of--of
money. Lot could see the possibilities of when he looked over to Sodom
and he could maybe become... Being that he was a Hebrew, he might
become a great man there because he was a great intellectual figure and
the nephew of Abraham. So he chose to go towards Sodom.
Lot's intellects led him to see the glamour of--of prosperity. Lot's
intellects led him to see the blessings of glamour. But his faith was
so paralyzed by it, he didn't see the fire that was going to destroy
that sort of a life. And that's the way people are today. They see the
possibilities of belonging to a great organization. They see the
possibilities of having social standing with the people of the city,
but they don't see the possible... They don't see their faith is
paralyzed.
25-2 Let me repeat that so it won't be misunderstood. Women today, they, as I say, they want to--they want to act like the movie stars. The men today want to act like the television comedians. The preachers today seem to want to make their churches like some modernistic lodge of some sort: membership and so forth. They see the possibilities of maybe becoming a bishop, or a general overseer, or something like that if they go along with the church, forsaking the Scriptures when it's laying right before them with thoroughly vindicated by the power of God and by the Living Word of God, living in the people. Yet they don't want it. They say, "We don't want to get mixed up with something like that." It would take their fellowship card. It would take their denominational order. Yet honest men like Lot, setting down in Sodom, knowing that that's wrong... See? See, what do they do when they do that? They paralyze the little faith that they did have. It can't work.
25-3 Now, Moses give away to
that, and he set his faith paralyzed the world. Either your faith will
paralyze glamour, or either the glamour will paralyze your faith. Now,
you have to take one or the other. And you see the Bible don't change;
God don't change. He's the unchangeable God.
And now we find today that people of this day (See?), they look to the
big things, the big organizations. "I belong to the So--and--so," See?
And they go down there and look; there's no difference from the street
people. There's no other things... They have a little intellectual
something he want... When you talk about Divine healing, the Pillar of
Fire, the Light of God; they say, "That's mental."
25-5 A man picked up that
picture of The Angel of The Lord the other day, a Baptist minister, and
laughed at it. See? That's--that's blasphemy. See? There's no
forgiveness for that.
That's what Jesus said. It's blasphemy when you see it doing the very
works that Christ did, and He said when they seen that works in Christ.
He was the Sacrifice, and they called Him Beelzebub, a devil,
for--'cause he was doing it. And now they say... He said, "I forgive
you for that, but when the Holy Ghost comes to do the same thing, you
speak a word against It, it'll never be forgiven you in this world or
the world to come." See?
Just one word's all you have to say against It. See? And then...
Because if that Life... If you've been ordained to Eternal Life, then
that Life would burst forth when you seen It. You'd recognize, just
like the little woman at the well and the different ones; but if it's
not there, it can't come to Life, for there's nothing there to come to
Life with. As my old mother used to say, "You can't get blood from a
turnip," because there's no blood in it. Now, that's the same thing,
and it paralyzes what little faith you have got.
26-3 Lot could see the glamour, but he didn't have enough faith to see the fire that would destroy such glamour. I wonder if we have today? I wonder if us--the women that wants to be popular, that wants to act like the--the rest of the women in the church, if they see that they want to act like the rest, they--they can see the possibilities of being a prettier woman by being painted; they can see a prettier woman by having a younger appearance by cutting their hair, and--and acting like some of the others of the movie stars, but I wonder if that hasn't paralyzed their faith to know that the Bible says that a woman does that is a unhonorable woman. And a woman that puts on a garment pertains to a man is an abomination before God: slacks and so forth and shorts that they're wearing. It just becomes so callused till it becomes a regular routine of the people doing it. I wonder if they don't paralyze the very little faith that you had even to go to church. You see? That's the thing it does.
26-4 Lot did that and it
paralyzed him and it paralyzed his people down there. They couldn't see
it, but Abraham with an a-vindicated faith (his uncle), he looked not
upon the glamour, he wanted nothing to do with it, though he had to
live hard and live to himself and Sarah: lived out in the wilderness
where it was hard goings on the barren ground, but they seen not the
glamour or the possibilities of becoming popular. Sarah, the most
beautiful woman in the land, Bible said so. She's fair, the fairest of
all the women. And now she even stayed and obeyed her husband to even
she called him her lord, who the Bible refers to plumb over in the New
Testament said, "Whose daughter you are as long as you obey the faith."
See? Called her husband her lord...
And the Angel of the Lord visited their temple or their little tent out
there and told them; they didn't even have a house to live in, living
out in the barren lands, and there you are. You see the day patterned
back again just exactly like it was then.
27-2 Now, Moses with his great
faith again could say "No" to the present things of the present world
and make a righteous choice. He chose to suffer the afflictions with
the people of God. He chose to go with it. Why? His faith. He saw the
promise; he saw the end time; he saw over in tomorrow, and he let his
faith loose. And he didn't pay no attention to what his eyes saw in the
possibilities here that he was the Pharaoh and was going to be the
Pharaoh, he looked plumb over in tomorrow.
Oh, if people could only do that. Didn't see the present world. If you
look at the present world, you make a choice with it. Hide your eyes
from that and look at the promise of God, way over in tomorrow. By his
faith he could choose. He did choose to be called the son of Abraham
and refused to be called the son of Pharaoh. How could he, when all the
whole kingdom... Egypt had the world whipped. He was king of the world,
and was a young man of forty years old here ready to take the throne,
but he never looked at his inter...
27-4 Look at the women would've
laid around him day by day, harems of them. Look at the glamour, set
and drink wine and watch the striptease before him as they danced and
fanned him with the--and the women from all over the world, and the
jewels and treasures and his army out there. The only thing he had to
do is set and eat his fine food and say, "Send an--send army garrison
number so-and-so down to so-and-so; take that nation. I believe I just
want it." That's all he had to do: set there, and them fan him, and
hold his mouth open, let the--the lovely, beautiful stripteases of that
day pour wine into his mouth, feed him his food with their arms around
him, all the prettiest women in the world.
All the glamour that there was, was laying right there by him, but what
did he do? He looked away from that. He knowed fire was ready for that.
He knowed death laid in that line. See? He knowed that it was, and he
looked over to a bunch of despised and rejected people, and by faith he
chose to suffer the reproach of Christ and called himself, "I'm a son
of Abraham; I'm no son of this Pharaoh. Though you make me a bishop, or
a deacon, or an archbishop, or a pope, I'm no son of this thing. I'm a
son of Abraham, and separate myself from the things of the world."
Amen, amen, and amen.
28-2 By faith, did that. He took
the glamour away. He took the possibilities of being the next bishop;
he took the--the possibilities of being the next archbishop, or the
next general overseer at the next election or whatever it was; he took
that away. He refused to look at it.
Now, "If I become the bishop, I'll walk in. The people will say, 'Holy
father' or 'Doctor So-and-so' or--or--or--or 'Elder So-and--so.' How
they'll... All the ministers at the gathering, they'll pat me on the
back and say, 'Say, boy, that guy's got something. I'm telling you.'
Oh! 'Sh-sh-sh, keep still; here comes the bishop.' See? What he says,
that's law. See? 'Here comes the So--and-so.'"
People will fly over the world to be the--see the pope, and kiss the
foot and the rings and so forth. How... What a possibility to the
Catholic, what a possibility to the Protestant to be bishop or general
overseer or something, some great man in an organization.
Looking... Oh, but you see the eye of faith looks over the top of that.
And you see the end of it down there where God says the whole thing
will be destroyed. Faith, that eagle eye lifts you up above that and
you see tomorrow, not today, and choose to be called a son of Abraham.
28-5 Pharaoh, with no faith seen
God's children as fanatics. No faith, he made them slaves because he
wasn't scared what he said. He wasn't afraid of God. He thought he was
God. He thought his--his gods that he served, that he was a bishop, he
was the head general overseer; his god is the one that did it; nothing
to this thing here. So he made them slaves. He laughed at them, made
fun of them just as the people did today, the same thing exactly.
Moses' faith seen them in the promised land, a blessed people. It might
be a hard fight to get them to the promise, but Moses chose to go with
them. (How I could lay on that, but my time's getting away. See?)
29-2 Notice, it might be a hard
thing to turn those people around. You have to go live with them. You
have to be one of them, and they're already so intellectual that you
can't move them. See? But there's got to be something happen out there.
There's got to be the supernatural demonstrated before them. It's going
to be a hard thing. The organizations will turn you down, and all these
things will happen. It's--it's terrible what you have to do, but yet,
make your choice. "I'm one of them." Yeah, his faith did that. His
faith sparked. Yes, sir. He saw it.
It was a hard thing to get them to that promise, but he took his choice
to go with them anyhow. Regardless of what they did to him, and what
they turned him down, he went anyhow, and was going out with them. I
hope you're reading. All right.
Go with them anyhow. May... Be one of them (That's right.), because
it's your duty. Might be a hard fight and lot to go through, but go
anyhow. But his faith led him to take the choice of the Word and not
the glamour. He took the Word. That's what Moses' faith did.
29-5 When faith looks on God's
worst... Remember, here was the glamour now, the world, oh, the
highest, king of the world. And where was God's promised? In the mud
hole, a mud daubers, but when faith, when faith looks at God's worst,
it esteems it greater and more valuable than the best the world can
show (Yes, sir.), when faith looks at it, when faith can see it.
When faith in the Word can see the Word made manifest, it's more than
all the glamour and archbishopry and everything else you can speak of.
Faith does it. See? You can see the worst, the despised, the rejected,
the whatever it might be; let it be at its worst, and yet faith will
esteem that a million miles higher than the best the world can produce.
Amen.
30-1 That's the way we sing that
song, "I'll take the way with the Lord's despised few..." See? Oh, my.
For, you see, faith sees what God wants done.
Oh I hope this goes in. Faith doesn't look at the present time. Faith
doesn't see this here. Faith looks to see what God wants, and works
accordingly. That's what faith does. It sees what God wants, and what
God wants done, and faith operates through that.
Faith is a long range vision. It don't lower its sights. It holds to
the target. Amen. Any good shooter knows that (See?), that it's long
range; it's a--it's a telescope; it's a binocular that you don't look
around here; you don't use binoculars to look to see what time it is.
See? You don't use that, but you use binoculars to look away off, and
faith does that. Faith picks up God's Binoculars, both of them, both
sides, the New and Old Testament and sees every promise that He made,
and faith sees it out yonder. And faith chooses that, regardless of
what the present tense says here.
He looks at the end. He don't drop his sights down to look this way; he
looks out yonder. He keeps the crosshair dead center on the Word.
That's what faith does. That's the faith that's in a man that does
those things.
30-5 Now, watch. What Pharaoh
called--called... What Pharaoh called great, God called abomination.
Pharaoh could said, "Look, Moses, here... Why, you're next Pharaoh; I
hand this scepter to you when I leave here. I hand this scepter; it's
yours." See? Now, this is great. "You're going to be a great man,
Moses. You're going to be the bishop. You're going to be this, that, or
other. Don't leave us. You stay here." But you see, he called that
great, and God said it was an abomination.
Now, you women think a minute, so you men. What the world calls great,
God calls filth. Don't the Bible say it's an abomination for a woman to
wear a garment that pertains to a man? And you think you're smart in
doing it. See? You're just displaying female flesh for the devil;
that's all. So don't do it.
And you men who live after the things of the world and huddle and
cuddle after this, and you men with not enough audacity about you to
make your wives and things quit doing that: Shame on you. Call yourself
sons of God, looks like Sodomites to me. See? Not to hurt your
feelings, but to tell you the truth. Love is corrective. It always is.
A mother won't take care of her child, or correct it, and spank it, and
make it mind, is not much of a mother for it. That's right.
31-2 Now, watch what takes place
now. Moses saw this by his vision and Pharaoh said that, "This is
great."
God said, "It's an abomination." So God... Moses chose what God said.
Now, notice, faith sees what God wants you to see. See? Faith sees what
God sees, and reasoning and senses see what the world wants you to see.
Notice, reasoning. "Why, it's only human sense; it's only--only reason
it's this. This is... Well, ain't this just as good." See? That's just
exactly when you use those senses which is contrary to the Word (See?),
then that's what the world wants you to see. But faith don't look at
that; faith looks what God said. See, see? You don't... You cast down
reasons. Reasons... Reasoning sense sees what the world wants you to
see: big denominations.
"Well, are you a Christian?"
"Oh, I'm--I'm Presbyterian, Methodist, Lutheran, Pentecostal, whatmore.
I'm this, that, or the other. See, that's--that's senses. "I belong to
the First church," (See?) "Oh, I'm Catholic." "I'm--I'm this, that."
See? You say that.
31-5 Now, that--that's senses.
You like to say it because it's a denomination, something big. "Well,
we--we got more members nearly than any church in the world." See?
"We..." But there's only one real church, and you don't join it; you're
born in it. See? And if you're born in it, the living God works Himself
through you, and make Himself known. See? That's where God dwells: in
His church.
God goes to church everyday: just lives in church; He lives in you.
You're His church. You are His church. You're the tabernacle that God
dwells in. You are the church of the living God yourself. And if the
living God lives in His living being, then your action is of God. If it
isn't, then God isn't in there. He wouldn't make you act like that when
He says in the Word here, His blueprint, "Don't do it," and you go do
it. See, that's wrong. When you deny it, that shows the Life isn't even
in you. See? That's right.
32-1 Faith led Moses to the path
of obedience. Notice, Moses make... There's young Pharaoh; there is
young Moses: both of them with the opportunity.
Moses seen the reproach of the people and counted it greater treasures
than all Egypt had, and he led... By faith he followed what his faith
said in the Word and it led him to the path of obedience and finally to
glory, immortal, never to die in the presence of God.
Sight and senses led--and glamour led Pharaoh to his death and the
destruction of Egypt, his nation, and it's never come back since.
There you are. Look at this, you die. Look at that, you live. Now, make
your choice.
32-4 That's the same thing God
put before Adam and Eve in the garden of Eden. See? By faith you must
make your choice. Now, notice, sight led Pharaoh to his death, and to
destruction of his city. Moses, with his faith, never did fear Pharaoh.
See? He didn't care what Pharaoh said. He cared not about Pharaoh no
more than his mother and his daddy cared about the threat. When Moses
was confirmed to him that he was that person that was to deliver the
Egypt--to lead Israel out of Egypt, he never cared what Pharaoh said.
He wasn't scared of him. Amen, amen, amen. You see what I mean?
There's no fear in faith. Faith knows about it. Faith as I've always
said, has got great big muscles and hairs on the chest. Faith said,
"Shut up." And everybody shuts up. That's all. "I know where I'm at."
Rest of them say, "Well, maybe he does." See? But you've got to stand
up and show your muscles. That's all; faith does it.
32-6 Notice, Moses never feared
Pharaoh after God a-vindicated his call. When... Moses believed he was
called for that, but when God told him up there, "It's so," and come
down and showed before Pharaoh and all the rest of them that he was
sent to do it, Moses never was scared of Pharaoh.
Notice, Pharaoh used his wisdom on Moses though. Watch. He said, "I'll
tell you what; I'll make an agreement with you (after the plagues done
eat him up)," he said, "I'll make an agreement with you. You just go
for a little worship for three days. Just go so far, and don't go no
farther." But you know that was Pharaoh's senses told him that. See?
"You just go so far and don't go no farther."
Haven't we got that kind today? "If you'll just join church, that's all
right."
But, you know the faith that Moses had didn't believe in a so-far
religion.
33-3 He said, "We're all going.
We're going all the way. That's right. We're going to the promised
land. We just don't go out here and make a denomination and stop; we go
on through." Amen. "I'm going on to the promised land. God promised us."
How many Pharaohs have we got today standing in the pulpit, heads of
organizations? "Now, if you just do this and do that, that's all...
Well, see, just so far."
But Moses said, "Oh, no. No, no, no, no." See?
Pharaoh said, "Well, why not--if you're going to have that kind of
religion, I'll tell you what you do. Just you and the elders go
worship. See? Just you and the elders go worship, 'cause you all can
have that kind of religion, but don't get it among the people."
You know what Moses said? "There won't even be a hoof left behind.
We're going all the way. We're all going. I'm not going 'less they go;
and as long as I'm here, I'm on your hands. Amen. I'm not going unless
they can go too. That's all."
33-7 Oh, what a gallant servant.
Amen, "I want to take them with me. Just because I've got it, and I set
down and say, 'Well, now, this is all right.' No, sir; we want the
people too. Every one of us is going." Amen. He said, "The land...
Don't even leave every sheep or anything behind. There's not going to
be a hoof left back. We're all going to the promised land (Amen.) every
one of us. Whether you're a housewife, or whether you're a little maid,
or whether you're an old woman, or a young man, or an old man, or
whatever you are; we're going anyhow. There isn't going to be one of us
left. Amen. Every one of us is going. And we ain't going to stop at
nothing else." That's right.
My, them religions is really in a debate there, wasn't it? Oh, my. No,
Moses did not believe in this here just so far religion. No, he didn't
believe in that. Yes, sir. Oh, my.
We could stay all day on that but I got to get to my text after while
and start preaching.
34-2 Notice, notice this. How
beautiful. Oh, I love this. You know, finally Pharaoh said, "Get out."
God just plagued him with the voice of Moses. And he struck everything.
He done everything there was to be done. He stopped the... He put the
sun down in the middle of the day; He done everything else. He--he
blackened the days; he brought frogs, fleas, lice, everything else;
fire, smoke and death to his families and everything else. He done
everything till finally Pharaoh had to say, "Get out. Take all you got
and go." Oh, my. Praise be to God.
I'm so glad that a man can so completely serve God till he--the devil
don't know what to do with him. Just obey God so completely till the
devil said, "Oh, my. Get away. I--I don't want to hear it no more."
That's right. You can do it--so completely.
34-4 See now, if--if God
wouldn't have backed up Moses, then he'd become a laughingstock; but
God was right there confirming. Everything he said come to pass.
And Pharaoh had to hold his positions 'cause he was a bishop you know,
so he--he had to stay there. He couldn't...?... He couldn't say "No,"
because it was already happening. See? He couldn't--he couldn't deny it
'cause it was already happening. So finally he said, "Oh, just get out;
I don't want to hear you no more. Get out of here; take all you got and
go." Oh, my.
Now, we find Moses, here, after God had done so much for him and had
showed him so many signs and wonders...
Now, for the next fifteen minutes let's lay this down here. Watch real
close.
34-6 Moses come to this spot where he... God had said, "I'm with you. Your words is My Word. I proved it to you, Moses. You are the one called flies in the land. It was out of season. And you said, 'Let there come flies,' and there come flies." That's creation. Who can bring darkness over the earth but God? "You said, 'Let there be darkness,' and there was darkness. You said, 'Let there be frogs,' and the frogs even got in Pharaoh's house, in the beds, and when they piled them up, in--in great heaps..." Creator... "And I have spoke through you, Moses, and made My Word create through your lips. I'll made you actually a god before Pharaoh." Yes, sir. "I've done all this." And here they come to a place, a little trial come up, and Moses begin to cry, "What shall I do?"
35-1 I want you to notice. This
is a great lesson here now. I love this. See? See, Moses, if we read
here right, that when the children begin to get scared, they seen
Pharaoh coming after them in the line of duty...
God had performed everything perfectly; now He started them on their
journey. He got the church together. They'd been called out; they come
from every denomination; they all got together. Moses had went back
there and said, "Lord, what must I do?"
He'd say, "Well, go do this." All right, go ahead. "Now, Moses, you
know I've called you to do this."
"Yes, Lord."
"All right, you go speak this; it'll be." Here come the flies. "Speak
for this." Here it come. "Do this." Here it come. Everything was THUS
SAITH THE LORD, THUS SAITH THE LORD, THUS SAITH THE LORD.
35-4 Now, he gets into a
trouble, and God said, "Now, I've got them started on the journey;
they're all done called out. The church is together, so I've got them
on their journey. Now, Moses, take them on over. I told you. See, I'm
going and set down and rest awhile."
Moses said, "Oh, Lord, look coming here. Here comes Pharaoh. The people
are all... What must I do? What must I do?" See there, isn't that just
human being. Yes, sir. Begin to cry, "What must I do?"
Here we see Moses expressingly fully human nature--always wants God to
get behind you and push you into something. Now, that's us today. You
want God after we seen all we seen, yet you want God to push you to do
something. See? Moses had just laxed around, said, "God, I'm going to
ask You, and see what You say."
"Yeah, yeah," you say, "Well, all right. I'll say it too." See?
But here God had ordained him for the job, proved that He was with him;
and here he is the circumstance comes up, and then he begins to cry,
"What can I do? Lord, what can I do?"
36-2 Now, remember, he'd already
prophesied here, for he said, "These Egyptians that you see today,
you'll see no more," and then immediately begin to cry out, "God, what
can we do?" See, after he'd done done a pretty good job in prophesying
there. See, he had done told them what would happen. If the Word of God
was in him, It was in him. And when he was telling that, it actually
come to pass; what he said was already going to come to pass, and here
he was crying out, "What am I going to do?"
Oh, if that isn't human beings. If that isn't me... If that isn't me...
See? He'd already proved, "What you say will happen. I'm with you. And
here a circumstance rose in a moment. "What must I do? What must I do,
Lord? Hey, Lord, where are You at? Hey, do You hear me? What must I
do?" And He'd already ordained him, and a-vindicated him, and proved
and worked everything through him, and here, "God..." Oh, my, fully
express it.
36-4 Man wants to rest and let
God do the pushing. And yet he knew that God had anointed him for this
job, to do this, and God had clearly a-vindicated his claims. It was
time for the people to be delivered. God through his miracles and
wonders had drawed them all together in one group (You follow me?),
drawed them all together in one group, vindicated his claims. Scripture
said so. Here was a sign; here was the evidence. Here everything that
he said... Then he come among them as a prophet. Well, whatever he
said, God honored it, even to create and bring up flies and put things
in existence. And everything that He'd promised him, here He done it.
But he wanted to wait on THUS SAITH THE LORD. See?
He should've known that the very vindication of his call was THUS SAITH
THE LORD. His job that he was ordained to was THUS SAITH THE LORD. Can
you get it? Why did he wait on THUS SAITH THE LORD?
36-6 He wanted, "Lord, what can
I do? Here I've brought these children out here this far. Here's the
circumstance: Pharaoh's coming; they're all going to die. What must I
do? What must I do?"
He had already predicted what they was going to do. He'd already told
just exactly what to do. He predicted the end of the very nation he was
brought up in. I hope you understand. See? Moses had already said,
"You'll not see them anymore. God's going to destroy them. They made
fun of you long enough. God will destroy them." He'd already predicted
what would happen to them, then, "Lord, what must I do?" See the human
nature there? See? "What must I do? I'm going to wait for THUS SAITH
THE LORD." Yes, sir. "I'll see what the Lord says, and then I'll do
it." Remember, there was a Pharaoh had raised up that didn't know
Joseph, you know, in that time, right at that time. See, see? And Moses
stood right up and predicted the end of the nation. And here he was
right to the place where it was to be happening, and then he cries out,
"What must I do, Lord? What must I do?" See?
37-2 Isn't that human beings?
Isn't that just human nature? "What shall I do?" He was--already
prophesied. God had honored everything he said, and he was called for
the job, so why did he have to say, "What must I do?" There was a need;
it was just up to him to speak for it. God wanted Moses to put that
gift of faith that He had given him to work. God had vindicated it. It
was the Truth, and God wanted Moses--wanted the people to see that He
was with Moses. And he, back there he waited, say "Now, Lord, I'm just
a baby. Let You tell me now. Yeah, I'll go do this. I got THUS SAITH
THE LORD."
"Brother, is that THUS SAITH THE LORD?"
"Yes, yes, Brother Moses, that's THUS SAITH THE LORD."
"Yeah, okay. We got it now, THUS SAITH THE LORD," and it happened,
never failed one time, never did fail.
And here it is under circumstances, comes up again. Now, He's got them
on the journey. The church is already called out. Got them on the
journey, and they're moving up. And Moses started crying out, "Lord, is
it THUS SAITH THE LORD? What must I do?"
37-4 All right, God wanted Moses
to have faith that He'd put in that gift that He'd clearly
a-vindicated. God had clearly proved to Moses and the people that it
was Him by the Word and by the things that was said come to pass. It
was clearly identified. There was no need of him worrying anymore about
it. See? There was no more of him to think anything about it 'cause it
was already cleared up. He'd already done these things. He'd already
proved by flies and fleas that he spoke things into creation, that the
Word of God was in him. So here he is going to ask now what to do when
the circumstances lays right before him. See? Oh, my.
I hope this goes way down to us, and we can see where we're at. See?
Don't it make you feel about that big? Thinking about Moses, telling
his faults, and look at ours.
38-2 Here he was standing there.
See? Knowed that the Scriptures said that that was the hour and day for
that to happen, and knowed that God had met him in a Pillar of Fire.
And it went right down before the people and performed these miracles,
and everything he said, it come to pass, even to bring things into
creation, doing the things that only God could do, showing that his
voice was God's voice. And here was the circumstances with that people
that he was raising up, bringing on to the promised land, and then was
standing crying, "What must I do?"
That's a human being just wanting to... As Brother Roy Slaughter (I
believe he's setting outside the door there.) told me one time about
somebody doing something to me, and I said, "Well, I did this and now
that..."
And he said, "Brother Branham, let them lean on your shoulder today,
and tomorrow you pack them."
And that's just the way human beings is. Lean on your shoulder today,
and tomorrow you pack them. That's what Moses was doing. God had to
pack him along after He'd ordained him and proved it to do it. And the
people ought to have said, "Moses, say the Word. I seen you do it
there. God honored you there. And you're the same one today." Amen.
See? "Do it." Amen. He ought to have knowed it, but he didn't. All
right.
38-5 Just as it was then, so is it now. We find out that... So he said... God must've just got enough of it. God must've got fed up on it. He said, "What are you crying to Me about? Haven't I already proved My identification? Haven't I told you that I sent you for the job? Didn't I tell you to go do this? Didn't I promise that I'd do this, that I'd be with your mouth, and I'd speak through you, and I'd do this, and you'd show signs and wonders; didn't I promise to do it? Have not I did just exactly and destroyed every enemy from around you? And here you are standing out here now at the Red Sea right in the line of duty, what I told you to do and then still hollering and crying to Me. Don't you believe Me? Can't you see that I sent you to do this?"
39-1 Oh, if that isn't human
being, my. So He just must've got pretty well fed up on it. And He
said, "You know you have need of it. You know if you're going to take
these children over there to the promised land... That's exactly.
You're penned up here in a corner. There ain't nothing else you can do.
So there's a need. What are you crying to Me about? (Amen.) What you
looking at Me for? What you calling on Me about? Haven't I proven it to
the people? Haven't I proven it to you? Haven't I called it? Isn't it
Scriptural? Didn't I promise to take this people to that land? Didn't I
call you and tell you I would do it? Didn't I call and say I sent you
to do it, and it wasn't you, it was Me? And I go down, and I'd be with
your lips. Whatever you said, I'd vindicate it and prove it. Haven't I
done it? Then when any little thing comes up, why do you act like a
baby? You ought to be a man. Speak to the people. (Amen.) Then move
forward." Amen. There you are. "Don't cry, speak!" Amen.
Oh, I like that. "What are you crying to Me about? Just speak to the
people and go forward to your objective." Whatever it is, if it's
sickness, or whatever, whether it's to raise the dead or whatever it
is, speak. I proved it. Speak to the people."
39-3 What a lesson. What a
lesson. Oh, my. At this stage of the journey where we're standing, look
where we're at now (Yes, sir.), at the third pull. Notice, we're right
here at the door of the coming of the Lord.
He was anointed for the job and still waiting for THUS SAITH THE LORD.
God must've just got enough of it. He said, "Don't cry anymore; speak.
I sent you."
Oh, God. What this church ought to be this morning. God's perfect
a-vindication with the Pillar of Fire and the signs and the wonders,
everything just like it was in the days of Sodom. He said it would
return back. Here's the world in its condition; there's the nation in
its condition. There's the women in the condition. There's the men in
the condition. There's the church in the condition, There's everything.
The elements, the signs, flying saucers and everything in the skies and
all kind of mysterious things, and the sea a-roaring, tidal waves,
man's heart failing, fear, perplexed of time, distress between nations,
the church falling away, and the man of sin rising up who upholds
himself above all that's is called god, he that setteth in a temple of
God showing himself. Oh, my. And it has come to this nation.
40-2 And the church has organized, and all of them gathered together as harlots to the whore, and everything exactly in the way of whoredom. Whoredom, what is it? Telling women they can cut their hair, telling women they can wear shorts, tell men they can do this and they can do that, and a preacher saying, "Do this," and the social gospel and things. Don't you see it's committing adultery with the true Word of God. And God has sent us His true Word undenominational, no strings tied to It, and give us a Pillar of Fire, the Holy Ghost that's been with us now for thirty years, and everything that He's predicted and said come to pass exactly the way He said it.
40-3 "Speak to the people; and
let's go forward." Amen. We got an objective, that's glory. Let's move
to it. We're heading to the promised land. All things are possible to
them that believe."
"Speak to the people. Haven't I proved it? Haven't I even had My
picture made among you and everything else, and done everything that
could be done to prove that I'm with you? Doesn't the magazines just a
few weeks ago pack the article, when you said here at the pulpit what
would take place out here three months beforehand, and there it went
taking place and vindicating; even the science knows about it. And
everything that I've done, and you're still waiting. Speak to the
people and go forward to your objective." Amen.
Didn't Nathan tell David... Nathan, the prophet, one time setting
seeing David the anointed king, he said, "Do all that's in your heart,
for God is with you." Told David, "Do all that's in your heart; God's
with you."
41-1 Joshua was anointed to take
the land for God and for his people. The day was short; he needed more
time for the job that he was anointed and commissioned to do. Joshua, a
man, he was anointed. God told him, "As I was with Moses, I'll be with
you." Amen. "That land, I'm going to give it to them. I want you to go
over there and clean out the Amalekites and--and the Hitt--all--all the
others, the Philistines, and--and Perizzites, and all the different
ones; clean them out. I'm with you. I'll... No man will stand before
you all the days of your life. No man can bother you. Go on in there."
And Joshua drawed that sword and said, "Follow me." And he got over
there, and here he was fighting. And what was it? He routed the enemy.
They were little bunches here and little bunches there. When nighttime
come they'd all get together and garrison together and come with a big
force against him. And the sun was going down; he needed more light.
The sun was going down; he didn't fall on his knees and say, "Lord God,
what shall I do? What shall I do?" He spoke. He had a need. He said,
"Sun, stand still." And he cried at nothing; he commanded: "Sun, stand
still; I've got a need of this. I'm the servant of the Lord, anointed
for this job, and I got a need. Stand still and don't you shine, and
moon, you hang where you're at," till he fought the battle through and
whipped the whole thing out.
41-3 And the sun obeyed him. No
crying out, he spoke to the sun; said, "You stand still. Sun, hang
there, and moon, you stay where you're at." He didn't cry out, "Lord,
now what can I do? Give me some more sunlight." He had need of
sunlight, so he commanded it, and the sun obeyed him. Oh, my. He
commanded the sun to stand still.
Samson, anointed, raised up, ordained of God, given a gift of power,
was ordained to destroy the nation of the Philistines: ordained, born
on the earth, anointed of God to destroy the Philistines. One day they
caught him out in the field without his sword, without a spear, and a
thousand of those armored Philistines run upon him at one time. Did he
get down and say, "Oh, Lord, I'm waiting for a vision? Oh, Lord, what
must I do? Direct me now what to do." He knowed he had a need. He found
nothing but an old jawbone of a mule, and he beat down a thousand
Philistines. Amen. He never cried to God. He used his anointed gift. He
knowed that he was sent for the job. He knowed he was born for that. He
knowed he was anointed with a gift, and he beat down a thousand
Philistines. He didn't cry to God. God ordained him and vindicated that
he was by other things that he had done, and he was a vindicated,
anointed servant of God to destroy the Philistines, and he did it. No
matter what the circumstances was, he did it. He never asked nothing.
That was his job. That... God was dealing through... He picked up that
mule bone and go to beating Philistines.
42-1 How the... Why, one lick
with that thing across one of them inch and a half brass skulls like
that would've shattered that bone into a million pieces, and he beat a
thousand of them down and killed them, and still stood with it in his
hand. Didn't ask no questions. He didn't cry out; he spoke. He routed
them.
Oh, my. Take the Philistines. "Can I take the Philistines, Lord? I--I
know You sent me to do it, Lord. Yes, Lord, I know You sent me to
destroy this nation of the Philistines. Now, here a thousand of them
around me. I ain't got nothing. What--what am I going to do now, Lord."
Oh, my. Nothing going to bother him. He's anointed for the work.
There's nothing can harm you. No, not one thing. Hallelujah. He just
took what he had and beat into them. That's right.
42-3 When the enemy fenced him
in and said, "Now, we got him in the walls; we got him now. We got him
on the inside here with this woman. Now, we got this good door shut all
around everywhere, and he can't get out. We got him."
Samson didn't cry, "Oh, Lord, they got me all fenced in with this
denomination. What am I going to do? I've joined up with them. What am
I going to do?" He never did that. He just walked out, and pulled down
the gates, put it on his shoulder, and walked away with it. Amen.
He was anointed for the job. He was called of God: didn't fence him in.
No, indeedy. He took the gates with him. He didn't pray about it. He
didn't ask God whether to do it or not. It's right in the line of duty.
Amen and amen, amen. Right in the line of duty...
43-1 "Why cry to Me? Speak, and
go on." Amen. "Don't cry, speak." He done quit whining and whimpering
now: ought to be old enough to speak. That's right. He knew his
anointed gift of power could destroy any Philistine that stood before
him. Amen. But we don't know that. You see? We're still little babies
with the bottle in our mouth and--and... He know it. He knowed that God
raised him up for that purpose, and there was nothing going to stand
before him all the days of his life. Nothing could destroy him. He was
raised for that purpose like Moses was: nothing going to stop him. No
Amalekites or nothing else can stop him. He's on the road to the
promised land. Samson knowed he was on the road.
Joshua know he was taking the land. He was a-vindicated. God's Word
promised it, and the Holy Ghost was there vindicating it. He was on his
road, so there's nothing going to stand in his way. No, sir.
43-2 Right in the line of duty
with God, there was nothing going to stand in his way, so he just
picked up the gates, and put them on his shoulders (weighed about four
or five tons), and walked up on top of the hill and set down on them:
nothing going to stand in his way. He had an anointed gift from God.
He didn't have to cry out, "Lord, what must I do now." He's already
anointed to do it. That was THUS SAITH THE LORD, "Get rid of them."
Hallelujah. "Get rid of them. I've raised you up for that purpose."
Amen.
"What must I do, Lord? Oh...?... What am I going to do here at the Red
Sea?"
"Didn't I tell you that I gave you a mountain for a sign right here?
You're coming back to that mountain, and you're going to take these
children into the land. Didn't I call you for that purpose? What are
you worried about anything else standing in the way. Speak and start
moving." Amen and amen. "I--I called you for this purpose."
43-5 David, he knowed he was
anointed, and was a-vindicated to be a good shot. He knowed that they
knowed he was a good shot. David was anointed; he know it. And when he
stood before Goliath, he never cried, "Oh, God, what must I do now? But
what--what must I... I--I know what You did in times past; You--You let
me kill a bear, and You let me kill a lion, but what about this Goliath
out here?" He never did that; he just spoke. What did he say? "You'll
be like they were."...?... He spoke and went forward.
He never prayed a prayer; he never offered nothing. He knowed he was
anointed. Amen. He was anointed, and that slingshot had proved the
right kind of a thing. He had faith in his anointing. He had faith that
God could direct that rock right straight in the middle of that helmet
there where the only place to be hit. He was standing there. He knowed
he was a good shot. Amen. He knowed God made him that. Amen. He knowed
he'd killed a lion. He knowed he'd killed a bear, but that was with his
earthly father's possession. Here's his heavenly Father's possession.
Amen.
44-2 He didn't get down, "Look,
what must I do now, Lord?" He spoke and said, "You'll be like the lion
and the bear, and here I come." Glory to God. Yes, sir.
He spoke and went forward to meet this Goliath (Oh, my.) regardless of
his size. He was a little ruddy looking fellow, you know. He wasn't
very big, wasn't very handsome to look at, little bitty drawed-up sort
of a fellow. The Bible said he was ruddy. Now, regardless of his size
and his so-called ability to do so...
You know, the Bishop told him, said, "Now, look here, son, that man's a
theologian. See? He is a fighter. He was borned a fighter and he's
a--he's been a fighter from his youth; and you're no match for him."
And his brothers said, "Oh, you naughty thing, come out here to do such
a thing as that; get on back home." That didn't bother him. Why? He
knew he was anointed.
"The God that delivered me from that lion, the God that delivered me
from the paws of that bear, He'll more than that deliver me from that
Philistine. Here I come. I meet you in the Name of the Lord God of
Israel." Amen.
Didn't pray through; he was already prayed through; God prayed him
through before the foundation of the world. He was anointed for the
job. He had to speak and go forward. That's all there was to do about
it. Just speak and go forward.
44-8 Oh, that's all there was to
it. He didn't... About his denominational brothers, them scoffers
standing there too, you know... Oh, yes. They was standing there
saying, scoffing, and making fun, and saying (his brothers you know)
and tell... "Aw, you--you--you're just naughty." That didn't move him a
bit. "You want to be different from somebody else; you just want to
show off."
If that'd been showing off, it'd been so. But they only looked at the
intellectual side. David knowed the anointing oil was on him. Amen.
Didn't make any difference to him. He said, "That Philistine will be
like the bear and lion, so here I come." He predicted it before it
happened. What did he do? He killed the bear; he killed the lion. He
knocked the lion down. What with? With the--with a slingshot, and took
a knife, and then the bear--lion, he killed the lion with the knife.
That's the same thing he done to Goliath. He knocked him down with a
rock, and pulled up his sword, and cut his own head off right there
before... What did he predict before it happened? "And you will be as
they are." Why? He spoke the word that it would be, and then went
forward to make it be fulfilled. Amen. Oh, brother. He spake and took
over the situation that day.
45-2 If there ever was a time
that man should speak, it's now. (Closing just the next few minutes if
you can just bear just a few minutes longer. I got some more things
wrote down here, some Scriptures I want to get to.)
Peter never cried when he found a man that had faith enough to be
healed, laying at the gate called Beautiful. He never got down and had
an all night's prayer, and or all day's prayer, or a big long prayer,
and said, "Lord, I pray, You now, that You'll help this poor lame man.
I see that he's got faith. I know he's a believer, and I've asked him,
and he--he--I--I--I... He said he had faith; he'd believe what I told
him. I told him about the--what You did, and I just think now, Lord,
that--that it... You... Can You give me a THUS SAITH THE LORD for him?"
No, he knew that he was anointed apostle. He knowed that Jesus Christ
commissioned him: "Heal the sick; raise the dead; cleanse the lepers;
cast out devils; freely as you receive, freely give." He said, "Peter,
go do that." He didn't have to pray through; he was commissioned.
45-5 What did he say? He said,
"In the Name of Jesus Christ..." He spoke the Name of Jesus Christ, and
the man just laid there. He picked him up by the hand and said, "Stand
up on your feet." He held him there till his ankle bones got strength,
and he started to walking.
Why? He never had an all night's prayer meeting. He never cried out to
God. He knew positive from the lips of Jesus Christ he was anointed for
this work. And he spake and raised him up for he knowed he was anointed
apostle for the purpose.
The people that laid in his shadow never said, "Oh, come, Apostle
Peter, and cry over us and pray the prayer of faith for us to God." No,
no, they never said that. They knew he was anointed and a-vindicated
apostle of God. So they said, "Just let us lay in his shadow. You don't
have to say a word. We know it; we believe it." Life was in them... The
apostle couldn't get to them all and they themselves, they are a part
of it.
46-3 Moses said, "It's just not me going; we're all going. We all got something to do. We've all got to be anointed." And they seen that apostle stand there, and seen him heal the sick man, and do the things he did, they knowed he couldn't get to them, so they never said, "Peter, come and--and offer prayer and wait now until you got THUS SAITH THE LORD and come tell me (See?), what the Lord said." They said, "If we can only lay in his shadow, because the very God that was in Jesus Christ is in him, and we see the same thing doing." So they touched the border of Jesus' garment and laid in his shadow, and Jesus was in this man. If that shadow can reflect upon them, they'd be healed. And the Bible said every one of them was healed. No all night prayer meetings. Said, "Lord, if I go lay in the shadows of this apostle..." Oh, no, they knew it. The Light had struck them. Their hearts was full; their faith was let loose. Amen. They believed it; they seen it. Paul's hankies, the same way. (Now, in closing.)
46-4 Jesus never cried when they
brought the maniac boy to Him that had epilepsy, falling into the fire.
He never said, "Father, I'm Your Son, and now You sent Me here to do
so-and-so and-so; can I heal this boy?" He never said... He said, "Come
out of him, Satan." He spoke and the boy was made well.
When He met Legion with two thousand devils in him, it wasn't Jesus
a-crying; it was the devils a-crying. "If you're going to cast us out
(Oh, my.), suffer us to go in that herd of swine."
Jesus never said, "Now, Father, am I able to do this?" He said, "Come
out of him," and the devils took their flight. Sure, He knowed He was
Messiah.
47-2 At the grave of Lazarus
(he'd been dead four days). They said, "If You would've been here,
Lord, he would've not have died."
He said, "I am the Resurrection and Life," not where, when, or how. "He
that believeth in Me though he were dead, yet shall he live." Amen. He
knowed Who He was. He knowed what He was. He knowed that He was
Emmanuel. He knowed He was the Resurrection. He knowed He was Life. He
knowed that in Him dwelt the Fullness of the Godhead bodily. He seen
them little people there, and He seen that what God had told Him, said
to do and there He was; He went down there.
He never said, "Now, wait, I will kneel down here and all of you kneel
down, pray." He said, "You believe that I'm able to do this?" Amen. He
asked for it. It wasn't Him; it was them.
"Yea, Lord, I believe that You're the Son of God that was to come in
the world." Oh, my. There He is identified. Something's got to happen.
"Lazarus, come forth." He spoke, and a dead man come forth. Not, can I?
He just spoke. When the faith was met, the thing happened.
47-6 He speaks--He spoke and the
blind saw; the lame walked; the deaf heard; devils screamed and come
out; the dead was raised up; everything. Why? He didn't pray through;
He was anointed the Messiah. He was that Messiah. He knew He was. He
knew His position; He knowed what He was sent to do. He knowed that the
Father had identified Him to be the Messiah to the believer; and when
he met that believer with faith, He just spoke the Word. Devils
scattered. Yes, sir. Speak; don't cry, speak. Amen.
And He knew His God-given rights, but we don't. He knew what He was; we
don't.
Moses had forgot. Samson understood. Others understood. Joshua
understood. Moses forgot. God had to call his attention to it. He said,
"Why are you crying to Me? I sent you to do the job; speak, and go on
to your objective. I told you you'd come to this mountain; take them
children and lead them on. Just speak; I don't care what's in your way;
move it out of the way. I give you authority to do it. I spoke; you
spoke flies and fleas, and creation and things like that. Now, what are
you hollering to Me about? Why are you coming to Me, hollering these
things? Just speak and watch it move; that's all." Oh, my. Oh, how I
love it.
48-1 Here Jesus, everything that
He said, He just spoke the Word, and it was so. God properly had
a-vindicated Him to be His Son. "This is My beloved Son, in whom I'm
well pleased. Hear ye Him."
Watch Him. (I like this) How bravely, how majestically He stood before
His critics. Amen. He said, "Destroy this temple, and I'll pray to the
Father, and see what He does about it." " Destroy this temple, and I'll
raise it up again." Not: "I hope to; I'm going to try to--I will do
it." Why? The Scripture said so.
The same Scripture that said He'd raise up His body, give us the
authority, the power. Amen. "In My Name they shall cast out devils;
they'll speak with new tongues; if they take up serpents or drink
deadly things; it won't harm them. If they lay their hands on the sick,
they shall recover."
"Why cry unto Me? Speak and go forward." Oh, bravely, "I... Destroy
this temple, I'll raise it up again."
48-3 Oh, and remember now (we're closing) it was that same He; it was He that said in John 14:12: "He that believeth on Me, the works that I do, shall he do also." Is that right? It was He that said so. It was Jesus in Mark 11:24 that said, "If you say to this mountain (not 'if you pray to this mountain')--if you say to this mountain 'Be moved,' and don't doubt in your heart, but believe that what you said will come to pass, you can have what you've said." Now, you--if you say it just presumptuously, it won't happen; but if something in you--that's you're--you're anointed for the job, and will know that it's the will of God to do it, and will say it, it's got to happen. "If ye..." It was He that said this: "If ye abide in Me and My Words abide in you, ask what you will, and it shall be done to you." Oh, my. Oh, my. You see what I mean?
49-1 Pardon this, but it's just
coming up in me. I've got to say it. It was He that said that day up
there on the side that woods, "You have no game," and He created three
squirrels standing there before us. What is it? Just speaking the word,
say they'll be there, and there, and there, and there they was. It was
He that did that. Charlie, Rodney, it was He down there in Kentucky.
Nellie, Margie, and the rest of you, it was He, that same God that was
back there and spoke to Moses, said, "Why do you cry to Me? Speak the
word." It was He that brought them into existence. It's He. It's Him.
Oh, my.
It was He that give the vision about a year ago that said we would go
over there, and these Seven Seals and how they would be a great thunder
that would start it off, and it'd be in the shape of the pyramid. And
there the "Look" mag--the "Life" magazine's packed it--hanging on the
wall there. It was He that said that.
49-3 It was He that night when I
was going down that road and seen that big mamba snake about to get my
brother. He said, "You've been given the power to bind him or any of
the rest of them."
It was He that said that. To my little gray headed wife setting back
there, it was He that morning that woke me up there in the room and
standing in the corner said, "Don't fear to do anything, or go
anywhere, or say anything, for the never failing Presence of Jesus
Christ is with you wherever you go."
It was He up yonder in Sabino Canyon about three months ago when I was
praying, wondering what was going to happen, and I was standing there
and a sword dropped in my hand, and said, "This is The King's Sword."
It was He.
It was He that said to me, "As I was with Moses, so I'll send you."
49-6 It was He that said to me
thirty years ago down on the river yonder as a little boy, standing
there as a little preacher on the river thirty years ago, standing
there when that Light and same Pillar of Fire come down from the
heavens and stood there and said, "As I sent John the Baptist to
forerun the first coming of Christ, your Message shall forerun the
second coming," to all the world. How could it be when my own pastor
laughed and made fun of it? But it's happened just exactly that way. It
was He that said it. Yes, sir.
Oh, how it was He that said in prophecy to the vision, "It shall come
to pass." It was He that said, "If one among you prophesies or sees a
vision and tells it, and it comes to pass, then remember it's not him;
it's Me. I am with him." Oh, my. What could I go on and say, it's He,
it's He, it's He.
50-2 It's He that come down...
When I told them that there was the Pillar of Fire that was down there
on the river, and they couldn't believe it. It was He down there
amongst, when that Baptist preacher before thirty thousand people that
night in the Sam Houston Coliseum when that Angel of the Lord had His
picture taken standing there. It was He, the same yesterday, today and
forever. It was He that foretold where these things would be. It was He
that said this. It was He that done these things. He's the same
yesterday, today, and forever. He's done everything just exactly like
He said He would do it. Amen.
Why should I wait? God's a-vindicated the Word. It's the Truth. Let's
journey. Let's walk. Let's go on the walk of the Lord, laying aside all
doubts, all sins. Clean up the house; scrub it up. As Junior Jackson's
vision said, there wasn't nothing left but lamps--or his dream (if he's
setting here). Nothing left but lamps, and they had gold bands around
them--in the dream that he give me the other night. Oh, my.
50-4 Brother Collins, don't
worry about that fish. It was white; you just didn't know how to handle
it. Lay aside everything else contrary to it. Remember this is truth
regardless of how fanatically it seems, and everything else sometimes.
Move right on.
It's the Holy Spirit, the same God that raised up Jesus Christ from the
dead. The same One that can speak things into existence, the same One
that lived in the days of Moses is the same today. His call in this
last day, He's a-vindicated, "As it was in the days of Sodom, so shall
it be in the coming of the Son of man." He's done... There's Sodom down
there. There's a Billy Graham and an Oral Roberts out there, and the
church is moving on by the same signs that He promised both places, and
there they are. It's He that said it. Oh, Lord, give me courage, is my
prayer. Help me, oh, Lord God. I have to quit here. It's getting late.
51-1 "Why cry to Me? Why are you
crying to Me when I proved to be with you? Haven't I healed your sick,"
He'd say? "Haven't I told you things that's happened just exactly? Your
pastor can't do that; Me. He can't. He's a man. It's Me, the Lord,"
that He would say. "I'm the One that did it. I'm the One that tells him
these things to say. It's not him; It's My Voice. I'm the One that
raises up your dead when they drop down. I'm the One that heals the
sick. I'm the One that foretells these things. I'm the One that does
the saving. I'm the One that give the promise."
God, give me courage to take that Sword of the Word that He put in my
hand about thirty-three years ago and hold it and march forward to the
third pull is my prayer. Let's bow our heads.
51-3 Heavenly Father, the hour's
growing late, but the Word is getting precious. As we see it, Lord,
time after time, never failing Presence of Christ always meets with us.
How I thank You for Your goodness, how You've spared us and been--and
blessed us; how we thank You for it.
As I hold these handkerchiefs in my hand, Lord, it's people that has
faith that believes this. May every devil, every sickness depart from
them people. And I charge every spirit in here that's foul and not of
God, every spirit of sickness, all diseases and afflictions, we're not
laying in the shadow of man, which would be all right, but we're in the
shadow of the Gospel: vindicated Gospel.
As the great Pillar of Fire moves back and forth through this building,
the same One that God looked down through, and the Red Sea give up its
course, and Israel passed through. But now, as He looks, it's sprinkled
with the Blood of His Own Son, when mercy and grace... May we be
obedient; may we today quit saying--crying out. May we realize that
You've called us for this work. This is the hour. I speak it in the
Name of Jesus Christ. Let every sickness depart from this place.
51-6 May every man and woman
that calls on the Name of Jesus Christ consecrate their life anew
today. I consecrate mine, Lord, upon the altar of prayer. I lay myself
down and shame my own self and turn my head towards the ground from
where You took me.
Lord God, I'm ashamed of my weakness and my unbelief. Forgive it, Lord;
give me courage. Give us all courage. I feel like Moses; we're all on
the road out. We don't want to leave one. We want to take everyone,
Lord. They're Yours. I claim them for You.
Bless this people today, Lord; grant it. And bless me with them,
Father, and Thy Name shall be praised; Thy glory shall be Thine. Give
us this eternal faith, Lord, as we consecrate ourselves to Thee now.
Me, over this Bible, over this stand, I give You my life, Lord. I'm
depending on every promise that You give. I know they will be
confirmed. I know they are Truth. Give me courage to speak these words.
Give me courage, Lord. Direct me in what I shall do and say. I give
myself to You with this church along with it, Lord, in the Name of
Jesus Christ. Amen.
52-1 My
faith looks up to Thee,
Thou
Lamb of Calvary,
Saviour
Divine!
Now,
hear me while I pray,
Take
all my sins away,
O let
me from this day
Be
wholly Thine!
Now, let's stand real quiet while we hum it. [Brother
Branham and congregation hums song--Ed.]
... to
Thee,
Thou
Lamb... (Let's
just raise our hands to Him.)
O
Saviour (Consecrate
yourselves to God now.)
Now,
hear me while I pray,
Take
all my doubts away,
O let
me from this day,
Be
wholly Thine!
52-3 [Congregation
repeats after Brother Branham this prayer--Ed.]
Now, together with our hands up: Lord Jesus, I now consecrate myself to
Thee, a life of service, more purely, more faith, I cry, that I might
be a more acceptable servant in my coming life, than I have been in the
life that's passed. Forgive my unbelief and restore to us the faith
that was once delivered to the saints. I give myself to Thee in the
Name of Jesus Christ. As we bow our heads...
While
life's dark maze I tread,
And
grief around me spread,
Be
Thou my Guide;
Bid
darkness turn to day,
Wash
all my fears away,
Nor
let me ever stray
From
Thee aside.
53-1 As we bow our heads now...
You feel like that the morning message has done you good, give you
courage? If you would, just raise your hands to God saying, "God, I
thank You." I got both my hands up because up I just feel so that
it's--it's helped me; it's give me courage.
Some things I said, I didn't think I was going to say it, but it's
already said. It's a rebuke to me. I found myself in a--in the way not
that I thought I did, but I found myself guilty of crying out all the
time instead of speaking. God, help me from this hour on that I'll be a
more consecrated servant. Not only me I pray for, I pray for you also,
that together as a Body of Christ, called out from the world, making
ready for the promised land, that God will give me courage to speak the
way--make the way clear that you won't miss the trail. I'll tell you by
the grace of God. I'll follow the bloody footprints of Him Who went on
before us, and...
This
consecrated cross I'll bear,
Till
death shall set me free.
And
then go home a crown to wear,
There's
a crown for me.
We give this to Thee, Father, our consecration, in the Name of Jesus
Christ, Thy Son. Amen.
53-3 How we thank the Lord for
this; walk a consecrated life. Give yourself over to sweetness,
humility, walk in the Spirit, walk, talk, dress, act like Christians,
humble and sweet; don't let this fail now. The voice of God speaks
through the Word, speaks through gifts. As one gift comes, another
expresses it. Another gift comes and expresses the same thing. See?
That's sure right with the Word and right with the hour. God is with
us. How we thank Him for it.
Now, if our... With our heads bowed, if our sister would give us a
chord on...
Take
the Name of Jesus with you,
As a
shield from every snare;
And
when temptations 'round you gather,
Just
breathe that holy Name in prayer.
Just--just do that; speak the Word. Speak His Name. Let's sing now as
we--as we being dismissed:
Take
the Name of Jesus with you,
As
a...?... and of woe;
It
will joy and comfort give you,
O take
it everywhere you go.
Precious
name... (Now,
let's shake one another's hands and say, "I'll pray for you, brother;
you pray for me.")
Hope
of earth and joy of heaven;
Precious
name, (Precious
Name) O how
sweet!
Hope
of earth and joy of...
Now, with our heads bowed, let's sing this next verse.
Take
the Name of Jesus with you,
As a
shield from every snare;
When
temptations 'round you gather,
Breathe
that holy name in prayer.
Precious... (Precious name)... (O how sweet!)
Hope
of earth and joy of heaven;
Precious
name, O how sweet!
Hope
of earth and joy of heaven.
54-4 With our heads bowed now and our hearts with it, with the realization that Jesus said, "He that heareth My Words and believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life and shall not come up in the judgment, but has passed from death unto Life..." knowing that we, by the grace of God possess that within our bosom, with a consecration to Him this morning that our lives shall change from this day on, that we'll be more positive in our thinking. We will try to live in such sweetness and humility, that believing in what we ask God, God will give it to each other. And we will not speak evil against each other or no man. We shall pray for our enemies and love them, do good to them that do bad to us. God is the Judge of who's right and wrong. With the... On the basis of this, and our heads bowed, I'm going to ask our good friend, Brother Lee Vayle, if he will dismiss the audience in a word of prayer: Brother Vayle. [Brother Vayle prays--Ed.]