Un Homme Qui Fuit La Face De l’Eternel

Date: 65-0217 | La durée est de: 1 heure et 31 minutes | La traduction: MS
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1     Courbons la tête. Dieu bien-aimé, cet après-midi nous sommes heureux d'avoir le privilège de nous assembler encore une fois. Et Toi seul, Seigneur, Tu sais combien nos cœurs ont soupiré après cette heure où nous pourrions être de nouveau ici devant Ton peuple, pour apporter ce Message dont nous sentons de façon si vitale qu'il est si urgent en cette heure. Tu nous as accordé ces quelques jours maintenant, et nous prions, Dieu bien-aimé, que Ta main miséricordieuse soit sur nous, pour nous guider et nous diriger. Et donne-nous ces choses dont nous avons besoin, Seigneur, car nos cœurs désirent ardemment mieux Te connaître.

2     Nous voyons le grand champ de la moisson, blanc, mûr, et nous savons que le blé est prêt maintenant pour cette glorieuse époque du battage. Dieu bien-aimé, nous prions que Tu fasses s'ouvrir la balle autour de nous, puissions-nous reposer dans la Présence du Fils ces quelques jours qui viennent, et mûrir pour le Royaume de Dieu.

3     Bénis chaque chant qui sera chanté. Bénis chaque prière, et réponds à chacune qui sera priée, Seigneur. Sauve tous les perdus. Rappelle à la maison du Dieu vivant, et à la communion fraternelle, ceux qui se sont éloignés.

4     Nous Te prions, ô Dieu, de guérir tous les malades qui viendront sous notre toit. Accorde-le, Seigneur. Qu'il n'y ait plus personne de faible parmi nous à la fin de ces réunions.

5     Et, Dieu bien-aimé, aussi pour nous-mêmes, nous qui nous disons l'Église aujourd'hui, les Appelés à sortir, ceux tout autour du monde qui sont sortis de Babylone pour être participants de cette merveilleuse communion en ce dernier jour, nous Te prions, ô Dieu, de vraiment bénir nos cœurs. Nous sommes véritablement affamés, Seigneur, et complètement vidés de toutes les choses du monde, pour autant que nous le sachions. Seigneur, nous avons déposé tous les fardeaux qui nous enveloppent si facilement, et maintenant courons avec patience dans la carrière qui nous est ouverte. Accorde-le, Père. Et qu'à la fin de cette réunion nous soyons des chrétiens plus entiers, plus forts, meilleurs que ce que nous étions en entrant. Que Dieu reçoive toute la gloire, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

6     Je pense que c'est un grand privilège, ce soir, que j'attends depuis assez longtemps. L'autre jour, je disais à ma femme, je disais: «Je deviens tellement impatient, à attendre d'arriver au Tabernacle.» Je... J'ai d'autres amis, bien sûr que j'en ai, dans le monde entier, mais il y a quelque chose de spécial au sujet de ce Tabernacle ici.
    J'ai été pris de la poussière de ce coin-ci, quand Dieu m'a donné la vie sur terre, et je pense que, s'Il tarde, je serai enterré ici quelque part. Quand Il viendra, I1 me trouvera quelque part par ici.

7     Mais on dirait qu'il y a quelque chose, quand je pense à Jeffersonville. L'autre jour, je me sentais tellement seul, j'ai dit à ma femme, j'ai dit: «J'ai la nostalgie, et je ne sais pas de quoi j'ai la nostalgie, à moins que ce soient ces gens qui prient pour moi.» J'ai dit: «Eh bien, je vais... Tout ce que je peux faire, c'est de retourner faire quelques jours de réunions, voir si on ne peut pas apprendre quelque chose du Seigneur, peut-être qu'Il veut que nous sachions quelque chose.»
    Et le grand sujet vital qu'on a devant nous maintenant, c'est le Mariage et le Divorce. Et s'il y a une question, il doit y avoir une réponse. Il ne peut pas y avoir de question sans qu'il y ait une réponse. Peu importe ce que c'est, il doit y avoir une réponse. Et, si le Seigneur le veut, j'essaierai d'en parler dimanche matin.

8     Et alors, demain soir, je pense qu'on sera là-bas à la... Elle s'appelle comment déjà, cette école? [Frère Neville dit: «Parkview.» – N.D.É.] La salle Parkview. Comment? [«L'école secondaire Parkview.»] L'école secondaire Parkview. Combien savent où c'est? Bien, je pense qu'ils vont mettre des panneaux, n'est-ce pas, Frère Neville? [«Oui.»] Il y aura... C'est un peu plus haut, à peu près–à peu près trois quarts de mille, et il y aura un panneau. Vous tournez pour quitter la route. C'est un beau bâtiment, en pente, et il y a de quoi appuyer vos bras et prendre des notes de ce que vous voulez écrire, et–et–et tout. Et je suis sûr que vous aimerez ça un peu mieux que comme vous seriez, plutôt serrés aux réunions ici au–au Tabernacle. Il y aura beaucoup de place, beaucoup de places de stationnement.

9     Et je pense qu'il y a une petite consigne qu'on a promis de respecter, c'est qu'on ne doit pas arriver sur le terrain avant six heures et demie. [Frère Neville dit: «Pas avant cinq heures et demie, il ne faut pas arriver avant cinq heures et demie.» – N.D.É.] Et à quelle heure... [«L'ouverture des portes est à six heures et demie.»] Je pense que ce serait une bonne idée qu'on arrive là–bas à six heures et demie.
    Maintenant, ils ont une autre salle, ici en ville, de six mille places. Si ça va vraiment bien cette fois-ci, peut-être qu'ils nous laisseront avoir l'autre une fois, pour une grande réunion, peut-être dans le courant de l'été, quand je rentrerai d'outre-mer.

10     Et je pense que des places, il y en a... Combien est-ce qu'il y a de places là-bas? [Frère Neville dit: «Il y a à peu près quatre mille places.» – N.D.É.] Quatre mille. Alors, vous voyez, on ne manquera pas de place. Il n'y aura pas besoin de se presser. Alors, venez à six heures et demie. Comme ça tout le monde pourra entrer à l'heure juste, tout le monde ensemble, et je suis sûr que vous–vous aurez une bonne place. C'est en pente comme ceci, et–et il y a des choses, là, sur lesquelles vous pouvez écrire et prendre des notes, et tout. Et ça commencera, si le Seigneur le veut...

11     Maintenant je pense, ce soir, comme c'est la réunion de prière du mercredi soir, on a... La salle est à peu près pleine, alors je pense qu'il vaudrait peut-être mieux aller là-bas demain soir. On l'a louée au cas où il n'y aurait pas assez de place pour tout le monde, on pourrait aller là-bas. Mais je crois que c'est... ce serait mieux d'aller là-bas, vous ne trouvez pas, Frère Neville, d'aller directement là-bas demain soir? Combien trouvent que c'est une bonne idée? Et là vous aurez beaucoup de–de place. C'est–c'est déjà loué. C'est payé par des frères de l'assemblée ici. Ça ne coûte que cinquante dollars par soir, ce qui est très très... J'aimerais avoir ça partout, pouvoir avoir autant de place pour cinquante dollars par soir, un bâtiment tout neuf, une belle estrade. Et, mais on...

12     Bien sûr, je pense bien qu'on va ramasser l'offrande. On ne veut pas que ces frères paient ça de leur poche, on va payer... les rembourser. Mais quand les frais, et tout, seront couverts, alors bien sûr, on pourra arrêter de ramasser l'offrande. On ne...

13     S'il y a des étrangers avec nous, c'est un principe chez nous de ne jamais quêter, quémander, soutirer l'argent des gens. On fait passer le plateau à offrandes, et c'est seulement... C'est un geste religieux. J'ai souvent essayé de ne même pas du tout faire passer le plateau à offrandes, mais ça ne marche pas. Voyez? C'est que donner, ça fait partie de notre religion. C'est une partie de notre devoir. Peu importe si c'est juste une pièce de dix cents, ou quoi que ce soit, ou une pièce d'un cent, c'est...

14     Vous vous souvenez, un jour Jésus a vu une veuve qui passait, quand les riches mettaient beaucoup de leur trésor dans le tronc. Et cette veuve est passée, avec peut–être quelques enfants affamés à côté d'elle, et elle a donné tout ce qu'elle avait: trois pièces d'un cent. Et Jésus a dit: «Qui a payé le plus?»

15     Maintenant, si moi, j'avais été là, j'aurais dit: «Ne faites pas ça, sœur. On–on, écoutez, on a assez d'argent.» Mais Lui, Il ne l'a pas arrêtée. Voyez? Il–Il savait qu'Il lui réservait quelque chose de mieux au bout du chemin. Alors, vous voyez, après tout, elle avait une maison dans la Gloire, vers laquelle elle allait. Et Il ne l'a pas arrêtée. Il l'a laissée mettre ses trois cents, parce qu'elle tenait à le faire. Et il fallait qu'elle y tienne, alors qu'elle avait des enfants, qu'elle était veuve, et qu'elle n'avait que trois cents pour vivre. Elle–elle devait vraiment y tenir. Alors, vous voyez, quand les gens veulent donner, il faut leur donner l'occasion de le faire.

16     Mais je pense à ceux qui se tiennent là, et les gens qui disent: «Qui veut donner cinquante dollars? Qui veut donner vingt dollars?» Je–je pense que c'est dégradant pour votre–pour votre intelligence. Je–je pense que les gens comprennent qu'il faut de l'argent pour–pour organiser des–des réunions. Et je ne leur ai jamais laissé faire une chose pareille, les administrateurs. J'ai dit: «Quand vous devrez faire ça, alors il sera temps que je retourne au Tabernacle. Alors on n'aura pas besoin de le faire.» Mais je–je crois vraiment qu'il faut faire passer le plateau à offrandes pour–pour que le culte soit complet.

17     Alors, ils feront probablement passer un petit plateau à offrandes, chaque soir, et ils diront quelque chose comme: «Eh bien, maintenant nous allons ramasser l'offrande.» Et ils feront passer le plateau à offrandes, et ce sera–ce sera tout.

18     Et chaque soir, si le Seigneur le veut, je pense que le Seigneur m'a mis à cœur un Message bien précis pour l'Église. J'ai passé plusieurs jours à prier. Et je ne vais pas commencer à en parler maintenant. C'est que l'autre jour, il s'est produit quelque chose de vraiment phénoménal, de vraiment merveilleux. Et j'ai bien hâte de vous en parler. Et maintenant, le sujet principal, je pense, pour lequel Billy disait que la plupart avaient appelé, c'était sur le Mariage et le Divorce. Ce qui est un sujet très–très important, et je–je ne savais pas comment l'aborder. Alors je suis allé prier à ce sujet, et le Seigneur m'a rencontré. Et je sais que j'ai... moi, je ne l'ai pas, mais Dieu me l'a donnée, maintenant je l'ai. Dieu m'a donné la réponse juste, voyez, voyez, et je–je sais que c'est vrai.

19     Et alors, je ne sais pas encore exactement, peut–être, dimanche il se peut que je demande à nos sœurs de ne pas venir à la réunion de dimanche, elles, mais je–je ne sais pas. Ça dépendra si les femmes mariées veulent venir avec leurs maris. II y a–il y a des choses vraiment capitales qui doivent être dites, la vérité là-dessus, et comment... Alors, nous voulons l'exposer entièrement comme il faut, par l'AINSI DIT LE SEIGNEUR, alors vous l'aurez. Alors, vous connaîtrez exactement la Vérité. Et je compte sur Lui pour le faire.

20     Et, maintenant, j'étais là-bas au restaurant l'autre jour, en train de manger, et–et Jerry et les autres vous cherchaient. Ils disaient, ils disaient: «Eh bien, on...» Quelqu'un, un des gars était là, il disait qu'un type avait dit: «Je vais m'en tirer pas mal cette semaine,» il disait, «ils ont... Ou ces deux prochaines semaines.» I1 disait: «Il y a une–une réunion ici, du basket-ball, ou quelque chose comme ça.» Il a dit, puis il a dit: «Branham là-bas, va avoir une réunion.» Il a dit: «J'aurai beaucoup de monde à nourrir.» Au Ranch House, un de ces restaurants là-bas. Et ils ont été... ils étaient très gentils.

21     Et je suis très content de vous, parce qu'ils ont dit tout plein de bonnes choses à votre sujet.

22     Là-bas au Ranch House, le gérant m'a rencontré l'autre jour; j'arrivais vers les deux heures et demie du matin, de l'Arizona. Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, j'ai entendu dire que vous alliez encore faire une série de réunions.» Il a dit: «J'ai embauché de la main-d’œuvre supplémentaire», qu'il a dit. Et il a dit: «Et puis je veux dire une chose, c'est que ces gens qui viennent de là-bas, ce sont vraiment des gens bien.» Là, j'étais vraiment fier de vous, voyez.
    Parce qu'après tout, pour moi, vous êtes un peu comme mes chevreaux, et je–je... ou, mes enfants plutôt. [Le mot anglais kid (chevreau) signifie également «gamin». – N.D.T.] Alors... Un chevreau, c'est un bouc, et vous n'êtes pas des boucs. Vous êtes mes agneaux. Qu'est-ce que vous dites de ça? Vous êtes les agneaux du Seigneur, qu'Il m'a chargé de nourrir. Et j'ai confiance que ça–ça... qu'Il me permettra de le faire. On continue notre chemin.

23     Et là, en ce qui concerne le Mariage et le Divorce, j'ai toujours voulu en parler, depuis que ces Sept Sceaux. Vous savez, les myst-... Tous les mystères devaient être révélés là-dedans, dans l'ouverture de ces Sept Sceaux, tous les mystères de la Bible. Et je me dis que maintenant, comme je commence à me faire vieux, je–je me dis que je... je pense que je ferais mieux au moins de le mettre sur bande, au cas où il m'arriverait quelque chose, alors l'Église se demanderait: «On se demande ce qu'il avait à l'esprit. Qu'est-ce qu'il aurait dit?» Et tous ces sujets qui ont l'air d'être si difficiles, je pense que le, qu'avec l'aide du Seigneur, je vais tâcher de vous les apporter. Comme ça–comme ça, s'il arrivait quelque chose, et que je doive m'en aller avant qu'Il revienne, alors vous–vous aurez l'information.

24     Je pense qu'on a des nouveaux livres qui sont parus. Je vois Sœur Vayle. Je ne sais pas si le docteur est ici ou pas. Est-ce qu'il est ici, Sœur Vayle? Il doit être dans la réunion. Je ne le vois pas. Mais, oh oui, tout au fond. Et Frère Vayle a écrit un livre, et c'est... Je pensais, je crois qu'aujourd'hui on m'a dit deux. Frère Vayle, est-ce que c'est juste, vous en avez deux, là, maintenant? Deux livres. Maintenant je ne sais pas, je... d'après ce que j'ai compris, chaque personne peut en avoir un exemplaire. Alors je... Si vous... C'est ce que j'ai compris. Je peux me tromper.

25     Il y a aussi les Sept Âges de l'Église qui sont terminés (c'est bien ça, Frère Vayle?), et ils sont sous presse maintenant. Et je suis sûr que vous voudrez vous les procurer, parce qu'ils apportent la réponse à une foule de questions qui vous tenaient à cœur. Et après ça, on va essayer d'avoir les Sept Sceaux ouverts, vous savez, en livre, pour que chacun puisse le lire sous une forme qu'ils–qu'ils veulent, qu'ils peuvent comprendre, et qu'ils puissent l'étudier. Je trouve que, quand c'est écrit, si ça...

26     D'abord, on l'a pris directement de la bande, comme c'était écrit, ou dit. Vous savez, on peut apporter une prédication, c'est une chose, mais rédiger un livre, c'en est une autre. Voyez, comme s'il m'arrivait d'effleurer un sujet, comme je vous dirais à vous, vous comprendriez, je dirais: «Maintenant, la semence du serpent,» vous voyez.
    Eh bien, maintenant, celui qui lirait ce livre, si on transcrivait ça, il se demanderait: «Qu'est-ce que c'est que la semence du serpent?» Vous voyez? Et ils ne sauraient pas. Si ça arrivait dans un endroit comme Princeton ou quelque part, alors ils–ils penseraient qu'on est des gens sans intelligence.
    Alors j'ai demandé à Frère Vayle de m'aider un peu avec ça et de garder la même idée, et d'arranger la grammaire là-dedans. Et je suis certain que ma grammaire à moi, ils... ce serait un mystère pour eux, sûrement. Alors le... Frère Vayle est vraiment fort là-dedans, alors il est comme un...

27     Et puis, en faisant ça, je pense que notre précieux frère a dû y trouver un peu d'inspiration en plus, d'une certaine manière, et il a dit qu'il allait lui-même écrire quelques livres en s'inspirant de ceux-là. Alors il en a écrit un qui s'appelle, je crois, le Prophète du vingtième siècle, et un autre, l'Église de Laodicée, je crois, ou quelque chose comme ça.

28     Et Billy m'a dit ça ce soir, que je crois qu'il en est arrivé plusieurs milliers aujourd'hui; quelqu'un les a apportés du Texas. Et comme ça, ils seront ici. Et ils vont annoncer ça, je pense, à combien ils sont. Je pense qu'ils sont déjà payés. Je ne suis pas sûr. Et s'ils le sont, ils vous seront donnés, vous voyez, pour... gratuitement. Et nous espérons qu'ils vous plairont. Si oui, serrez la main à Frère Vayle là-derrière et dites-lui combien vous appréciez. Pour moi, je n'ai jamais lu ça. Si je les lisais, je pourrais changer d'avis là-dessus, alors je vais essayer de les lire cette semaine, pendant que j'en ai l'occasion, si je peux.

29     Maintenant, comme on est mercredi soir, notre série de réunions commencera officiellement demain soir. Mais je trouvais que, vu que je suis ici parmi vous, je–je–je ne pouvais simplement pas rester là-bas à la maison en–en sachant que vous étiez tous ici. Je... Vous savez, c'est comme quand on a de la famille qui arrive et qu'on se dépêche d'aller les accueillir au bout de l'allée, vous savez. Et–et je–j'ai pensé que j'allais tout de suite venir vous–vous souhaiter la bienvenue à Jeffersonville. Et alors, la semaine dernière je...
    Non, excusez-moi, c'était il y a à peu près trois semaines, je suis rentré. J'étais parti essayer de... j'avais été à des réunions dans tout l'Arizona, là-bas, et j'étais rentré pour essayer de me détendre. Alors je suis parti à la chasse, et j'ai eu le record de l'Arizona pour le plus gros puma! Je l'ai poursuivi sur vingt milles à travers la forêt pour l'attraper.

30     Mais pourtant, quand j'y pense, que je n'aurais jamais cru, quand j'étais un jeune garçon... Juste pour montrer comment ces choses arrivent, une petite maison que le Seigneur nous a donnée là-bas, pour les mois qu'on passe là-bas, et l'école pour les enfants.
    J'étais un jeune garçon. Je pense que Jimmy Poole est ici ce soir, peut-être que son père est ici, Jim le baraqué. On allait à l'école ensemble, et je me souviens que j'étais assis là, un petit garçon en guenilles, et j'avais des chaussures, des chaussures de tennis avec les orteils qui sortaient; j'empruntais une feuille à l'un, un crayon à l'autre.

31     À l'époque, j'écrivais des poèmes. Et Madame Woods, qui est ici, m'a fait réciter ça, cet après-midi, ça a été enregistré, celui sur ma vieille Ford, vous savez, et il n'est–il n'est pas mal. Maintenant, elle a dit: «Eh bien, vous devriez envoyer ça à M. Ford!»
    J'ai dit: «Il y a trop de vérité, je crois», sur l'avant qui vibre, la boîte de vitesses qui grince et le volant qui ressemble à un casse-tête chinois. Mais je... C'est–c'est un... Mais j'ai toujours dit que la seule chose que j'avais à faire, c'était de compter les quatre pneus et de la secouer assez pour qu'elle démarre, et puis de monter dedans. Je disais: «Ce n'était pas mal quand je la démarrais dans une côte. Elle commençait à tirer très lentement, et elle faisait: ‘Je pense que j'y arrive, je pense que j'y arrive, je pense que j'y arrive.’ Et puis, de l'autre côté, elle reprenait en faisant: ‘Je pensais bien que j'y arriverais, je pensais bien que j'y arriverais.’» Voyez?
    C'est comme ça qu'on monte cette côte, comme le Voyage du pèlerin. Alors on...

32     J'avais un petit poème que j'ai écrit, quelque chose comme ceci. Et il disait... Maintenant, pensez donc, j'avais seulement une douzaine d'années. Et l'autre jour j'étais là, je regardais vers le canyon; et j'étais en train de penser que ce puma serait exposé ici dans mon bureau, derrière une vitrine, dans une vitrine de verre. Je pensais à ce petit poème. Je suis retourné le chercher, quelque chose comme ceci. Pensez seulement comment Dieu...

33     Est-ce que vous croyez que Dieu est dans tout ce qui est inspiré? [L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Dieu doit écrire un chant. Est-ce que vous croyez que Dieu est dans les chants? [«Amen.»]
    Jésus l'a dit. Il s'est reporté à David: «Ne savez-vous pas ce que David a dit dans les Psaumes?», vous savez.. .

34     Pensez à la crucifixion elle-même. David l'a chantée, dans le Psaume 22: «Mon Dieu! mon Dieu! pourquoi m'as-Tu abandonné? Tous Mes os ils Me regardent. Ils percent Mes mains et Mes pieds.» Vous savez, et c'était un chant. Les Psaumes, c'est un–c'est un chant.

35     Et cette poésie, regardez bien comme elle s'est accomplie. J'étais assis là, un pauvre gamin avec une feuille de papier empruntée, je disais:
Je m'ennuie, oh! je m'ennuie de ce lointain sud-ouest,
Où les ombres tombent au plus bas derrière la montagneuse crête.
Je vois un coyote aux aguets. Tout autour, la brume mauve.
J'entends hurler le loup gris dans le pâturage des bœufs.
Quelque part dans un canyon, j'entends gémir un puma
Dans les lointains monts Catalina, au bord de l'Arizona.

36     Quarante ans plus tard, je me retrouve dans ce même canyon, face à face avec ce puma.
    Ô Dieu, il y a un Pays de l'autre côté du fleuve, quelque part, mes amis. Il est là, c'est tout, c'est certain. Voyez? Il y a–il y a trop de choses qui en témoignent. Toutes ces choses ne sont pas que des mythes; elles sont... Elles sont réelles. Ce sont des réalités. Je suis si heureux d'être ici ce soir, d'être avec ces gens avec lesquels je m'attends à vivre pour toujours Là-bas, où il n'y aura plus ni maladie, ni mort, ni séparations. Et voyager ne sera plus rien pour nous à ce moment-là.

37     Maintenant, je trouve qu'aucune réunion n'est complète sans qu'on lise la Parole et qu'on fasse un petit...
    Frère Neville, je me suis avancé tout bonnement. Billy m'avait dit que vous vouliez que je prêche. C'est bien ça, Frère Neville? [Frère Neville dit: «Amen! Oui, bien sûr.» – N.D.É.] Je prends peut-être un peu trop de libertés, mais ça... ça m'a fait tellement plaisir. [«C'est bien, amen! Bien sûr!»]
    Alors maintenant, vous qui avez des chants et tout, allez voir Frère Neville, quand vous allez chanter, et on pourra faire ça, là-bas. Il y aura à peu près une demi-heure d'introduction, et qu'on entre tout de suite dans ces Messages vraiment profonds et voir ce qu'on verra le Seigneur faire. Et j'ai bien confiance que...

38     Je–je crois que nous avons la Vérité! J'en suis convaincu. Et je crois que le blé est, tout à fait, que la balle est en train de s'en écarter. Vous savez. Et, vous voyez, je donnerai peut-être un petit prélude là-dessus demain soir, vous voyez, sur la balle qui est en train de s'écarter du blé. Mais le blé doit reposer dans la Présence du Fils pour mûrir. Et c'est pour ça qu'on est ici, mes amis, pour rester dans la Présence du Fils, jusqu'à ce que notre petit groupe de gens ici, jusqu'à ce qu'il soit tellement mûr pour Christ qu'il devienne du pain sur Sa table. Voilà ce que je veux.

39     Et maintenant, avant d'aborder la Parole, après avoir récité des poèmes, et tout, prions encore. Ensuite nous prendrons notre sujet.

40     Bien-aimé Jésus, aide-nous maintenant ce soir, pour ces quelques mots, comme nous nous attendons à Toi. Et nous prions que Ta grâce et Ta miséricorde soient avec nous, Seigneur. Et attendris nos cœurs, enlève toute la balle, les épines, les chardons, que les rayons bénis du soleil de Dieu viennent sur la Parole, Seigneur. Et que nous ayons une réunion si glorieuse qu'il n'y ait plus personne parmi nous qui ne soit pas sauvé, tous les enfants seront dans le Royaume de Dieu. Ceux qui n'ont pas le baptême de l'Esprit, qu'ils Le reçoivent, Père. Que tous les grands mystères que nous devons connaître dans cet âge, Seigneur, nous soient dévoilés; et nous verrons Dieu clairement, ainsi nous saurons comment nous comporter et comment agir, en nous corrigeant et en soumettant les membres de nos corps par la discipline de la Parole, afin que nous sachions comment nous devons vivre en ce jour-ci alors que le Seigneur Jésus est proche.

41     Alors que je lirai de Ta Parole ce soir, Seigneur, il se peut qu'à cause de mon peu d'instruction, je réussisse à lire certains mots, et peut-être que j'en prononce mal d'autres. Mais, Seigneur Dieu, Toi seul peux en faire sortir le contexte. Tu es le Seul qui puisse le faire. Il n'y a aucun–aucun moyen pour qu'un être humain puisse jamais y arriver; c'est entre Tes mains, Seigneur. Alors donne-nous, chaque soir, ces choses qui sont cachées dans Ta Parole, afin que nous soyons de meilleurs chrétiens et que nous vivions comme il faut à l'heure où nous sommes, comme des chrétiens modèles. Nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

42     Maintenant, beaucoup d'entre vous, dans vos Bibles, j'aimerais que vous preniez le Livre de Jonas. C'est un... On parle tellement souvent de ce que Jonas était rétrograde et tout. J'ai toujours pris le parti de Jonas. Je ne crois pas que Jonas était rétrograde. Je–je ne crois pas ça. Je crois simplement que... Des fois, on l'utilise pour dire de quelqu'un: «C'est un Jonas.» Mais si on... J'en ai déjà parlé, d'une autre manière, j'ai dit ce que je pensais là-dessus, Jonas, ce qui était arrivé.
    La parole de l'Éternel fut adressée à Jonas, fils d'Amitthaï, en ces mots:
    Lève-toi, va à Ninive, la grande ville, et crie contre elle! car sa méchanceté est montée jusqu'à moi.
    Et Jonas se leva pour s'enfuir à Tarsis, loin de la face de l'Éternel. Il descendit à Japho, et il trouva un navire qui allait à Tarsis; il paya le prix du transport, et s'embarqua pour aller avec les passagers à Tarsis, loin de la face de l'Éternel.

43     Quelle triste fin. Un homme qui fuit la face de l'Éternel, et c'est mon sujet.

44     Maintenant, d'abord nous voulons penser à ceci: Jonas était... La raison, la principale raison, je crois, pour laquelle il a fait cette chose extraordinaire, là, c'est parce que Jonas était Juif. Et il lui a été demandé d'aller dans une ville des nations, pour crier contre elle, et il pensait qu'il ne serait pas reçu. En effet, les Gentils se diraient: «Qu'est-ce que ce Juif a à faire avec nous?» Mais, vous voyez, autre chose, ça nous fait voir quelque chose de glorieux ici, c'est que Dieu n'est pas seulement le Dieu des Juifs, mais Il est aussi le Dieu des Gentils. I1 est le Dieu de tous les peuples.

45     Il avait choisi les Juifs, c'est tout. Les Juifs étaient appelés le peuple choisi de Dieu. Ils avaient été choisis dans un but particulier, et ce but. c'était de leur donner la loi, et ils n'arrivaient pas à s'y conformer. Et Il s'est simplement servi de ce peuple-là pour montrer qu'il était impossible de se conformer à la loi, qu'Il était un–un–un Dieu de justice. Et que la loi exigeait une vie droite, mais il n'y avait pas de grâce dans la loi pour qu'un homme puisse s'en sortir. La loi n'avait pas expié de peine, mais il a fallu la grâce pour expier la peine que la loi nous avait imposée.

46     Et ici, Jonas, un des petits prophètes de la Bible, a été appelé à descendre dans cette ville.
    Et là, on voit un exemple de nous tous. Chacun d'entre nous, on fuit toujours quelque chose. On fuit les difficultés. On fuit les responsabilités. On–on a tous tendance à faire ça. On–on est, on est plus portés à fuir qu'à rester là et à faire face. Vous voyez, c'est simplement qu'on... on–on–on se met à fuir.
    Des fois, on est portés à fuir le travail. On ne veut pas, on ne veut pas travailler. Il y a des gens qui s'imaginent simplement qu'ils peuvent gagner leur vie sans travailler. Mais, je pense, c'est Salomon qui a dit que c'est là qu'on peut trouver la réponse, en observant une fourmi.

47     Vous savez, une petite fourmi, on m'a dit que si cette fourmi (chacune), si elle ne travaille pas pour faire des provisions, cette fourmi ne mange pas non plus, cet hiver-là. Alors chacun doit-doit travailler.

48     On a tellement de choses qu'on doit faire, tellement de responsabilités auxquelles on doit faire face. Tout le monde doit faire face à une certaine responsabilité.

49     Quand vous–quand vous allez pour–pour choisir votre épouse, pour vous marier, ou choisir votre mari, vous–vous devez prendre une responsabilité. Et alors vous devez vous souvenir... Peut-être que vous construisez une maison; une belle maison, jolie. Et alors, souvenez-vous, en tant que femme mariée, vous devez penser à la responsabilité d'élever des enfants. Et vous devez penser que ces beaux murs bien lisses seront pleins de traces de petites mains sales. Ensuite vous avez la responsabilité d'éduquer vos enfants. Vous avez la responsabilité de les vêtir et de les nourrir.

50     Tout est une responsabilité. Et c'est si facile, quand les responsabilités sont devant nous, de les esquiver. Et on découvre que le mariage est une responsabilité, à tous les points de vue.

51     Même, très souvent, on trouve... Ce n'est pas facile à dire, mais c'est vrai, que des serviteurs de Dieu, souvent, esquivent une responsabilité de prendre position pour la vraie Parole de Dieu quand ils Y sont confrontés. Ils esquivent cette responsabilité. Quand nous, les êtres humains, on est confrontés à la Vérité de la Parole de Dieu, on a... on a tendance à reculer jusqu'à la dernière limite.

52     Je viens juste d'avoir une conversation avec mon petit neveu, là-bas. I1 est catholique, et il... Et j'ai baptisé ce garçon, au Nom de Jésus-Christ, ici il y a quelques années, et il s'est mis à sortir avec une fille et il s'est fait catholique. Et j'ai tenu la main de sa mère quand elle était en train de mourir là-bas. Elle m'a dit, les derniers mots: «Prends soin de Melvin.» Et dernièrement, il a eu des songes. Il ne peut simplement pas... Chaque, chaque jour, la semaine passée, il a eu des songes. Il a dit: «J'entrais dans ton église, oncle Bill, et tu étais là, debout en train de prêcher. J'accourais pour me mettre à faire une confession. Je me réveillais.» Il a dit: «J'ai–j'ai eu tort.»
    Je lui ai dit: «Melvin, tu n'as pas besoin d'interprétation pour ça. Ta place, c'est là-bas, c'est là que tu dois être.» C'est ça. Voyez?

53     Mais d'assumer des responsabilités, parfois, ça nous écorche, de faire ça. Et comme père, d'assumer la responsabilité de donner une correction à votre enfant. Ces petits enfants, vous ne voulez pas faire ça. Mais en tant que père ou que mère, vous devez assumer la responsabilité d'élever cet enfant, parce que la Bible a dit: «Ménage la verge et tu gâteras ton fils.» Et ça tient encore bon aux yeux de chaque psychologue qu'il y a dans le monde. Ça reste toujours la Vérité de Dieu. S'il y avait eu plus de ça mis en pratique, on n'aurait pas eu tant de délinquance juvénile et tout ça, et la pourriture qu'on a dans le monde aujourd'hui. Mais la vieille règle d'or du foyer a été transgressée, il y a longtemps, et ils laissent les enfants faire tout ce qu'ils veulent.

54     Mais, comme je disais, même des prédicateurs, ils vont être confrontés à la Vérité, et ils vont s'En détourner. Voyez, ils ont-ils ont juste... Il semble qu'il y a quelque chose, qu'ils–ils ne veulent pas l'assumer.

55     Souvent des gens sont venus me voir en disant: «Je sais que c'est vrai, Frère Branham, mais si je faisais ça, ils me mettraient à la porte de l'église.» Et alors? Si vous ne le faites pas, c'est Là-haut que vous serez mis à la porte. De toute façon, vous devez être mis à la porte quelque part, voyez. Alors, vous faites mieux d'y faire face, au lieu de fuir et de dire: «Eh bien, je vais aller ici, je n'y retournerai pas.» Retournez-y, c'est sûr, écoutez-En encore.
    Sondez les Écritures. Jésus a dit: «Sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Éternelle: Ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.» Mais on découvre que les gens ne veulent pas faire face à ça.

56     En étant amenés, dans la Présence de Dieu, et de voir quand Dieu a fait une promesse, et Dieu est tenu par cette promesse. Et quand Il fait s'accomplir cette promesse, alors les gens ont peur de faire face à la responsabilité d'assumer le Message de l'heure. On trouve ça partout.

57     Qu'en est-il de vous les luthériens? Combien de luthériens ont eu peur, de gens ont eu peur d'assumer la Vérité de Luther quand il est venu avec la justification? Regardez ce que ça vous a coûté, peut-être votre propre vie, de sortir et de confesser ouvertement Jésus-Christ et–et de devenir un–un luthérien.

58     Regardez, vous les méthodistes, comment c'était autrefois, on vous appelait des exaltés. Je pense que vous saviez ça. Et ils entraient dans l'Esprit, et ils étaient secoués par des spasmes. Et on disait qu'ils–qu'ils avaient «la danse de Saint-Guy». Les métho... Ça, non, ce n'est pas des pentecôtistes, c'étaient des méthodistes, il y a bien des années. Et ils étaient secoués, et ils tremblaient, et tombaient sous la puissance de Dieu. Et on leur versait de l'eau sur la figure, et on les éventait avec des éventails, on pensait qu'ils s'étaient évanouis. Et, maintenant, on vous considérait comme une bande d'exaltés. Mais vous avez dû, vos mères et vos pères, ont dû soit L'accepter, faire face à la Vérité et aux faits, soit la rejeter.

59     Et vous les pentecôtistes, qui avez reçu la restauration des dons, quand le baptême du Saint-Esprit est sorti, avec le parler en langues, et les dons de l'Esprit qui revenaient dans l'église? Eh bien, les méthodistes ont voulu vous mettre à la porte, et ils l'ont fait. Mais vous avez dû y faire face. C'est quelque chose que vous deviez faire.
    Qu'est-ce qu'il en est de la question, quand elle est sortie, du baptême au Nom de Jésus-Christ, et vous avez vu que c'était la Vérité? Vous avez dû y faire face, ou en faire quelque chose.
    Vous avez une responsabilité, tout le monde en a, et vous devez faire face à ces choses. Très bien.

60     Et puis, quand vous voyez, en ce jour maintenant, quand la Parole de Dieu a fait ces promesses de choses que nous voyons arriver maintenant, alors nous avons la responsabilité soit d'Y faire face, soit de nous En éloigner. Vous avez... Vous ne pouvez simplement pas rester neutre. Vous devez Y faire quelque chose. Dit... Quelque chose doit être fait.
    Vous ne pouvez pas entrer par la porte de cette église et ressortir la même personne que quand vous étiez entré. Vous êtes soit plus loin, soit plus près de Dieu, chaque fois que vous entrez ou que vous sortez.

61     Oh, comme c'est facile pour les gens d'esquiver ces choses. Et je veux qu'on pense à celles-ci, quand on commencera la série de réunions officielles demain soir, c'est que, je veux que vous remarquiez que, quand on se trouve devant quelque chose, si on... s'il y a une question à ce sujet. S'il y a une question à ce sujet, il doit y avoir une réponse.

62     Disons, par exemple, si je disais que je veux aller vers l'ouest, et que vous m'indiquiez par là. Eh bien, avant longtemps, je manquerais complètement mon but, et je vais trop... je vais vers le nord-ouest. Bon, et si quelqu'un m'indiquait par ici, et que j'y aille? Je manquerais encore mon but; je serais allé vers le sud-ouest. Eh bien, tant qu'il y a une question, où se trouve l'ouest, il doit y avoir une réponse directe quelque part.
    Et quand ces questions se trouvent devant nous, sur les Vérités Bibliques, il doit y avoir la bonne réponse quelque part. C'est vrai. Elle doit y être.

63     Et quand on voit Quelque Chose présenté. Je pense qu'au lieu de fuir, de dire: «Oh, c'est absurde. Je ne peux pas croire une chose comme Celle-là! Je ne pourrais pas croire Ça.» Pourquoi ne pas prendre la Bible, et s'asseoir et Y faire face? Étudiez-Le! En ce moment vous êtes ici à la réunion, examinez-Le. Vérifiez-Le, vous-mêmes, avec la Parole. Vérifiez la Parole, par la Parole. C'est la seule manière de Lui faire dire la Vérité. Et Elle doit dire la Vérité, de la Genèse à l'Apocalypse.

64     Christ est la révélation de toute la Bible. En Lui, Christ, toute (la plénitude) l'accomplissement de toutes les prophéties de la Bible est réalisé sans condition en Christ Jésus, parce qu'Il était Dieu manifesté dans la chair.

65     Maintenant quand on découvre ces choses, toutefois, qu'on y est confronté et qu'on entre dans une réunion, et qu'on voit la Puissance de Dieu en train d'agir et de faire des choses, et de faire des oeuvres surnaturelles, qu'on les voit s'accomplir, qu'on regarde dans la Bible et qu'on voit que c'est promis pour cette heure; alors quand on voit ces choses-là, alors on se trouve devant la responsabilité soit de l'accepter, je veux dire, pour nous-mêmes.

66     Maintenant, beaucoup de gens sympathisent, beaucoup de gens disent que c'est vrai. Mais ça ne–ça n'en fait pas ce que... Ce n'est pas de ça que vous êtes responsable. Comme j'ai dit, et si...

67     Si j'étais un jeune homme, et que je cherchais une épouse, pour me marier, et qu'il y avait ici une jeune fille qui ait toutes les qualités que je trouve nécessaires à une femme. Eh bien, côté moral, c'est une reine, et charmante, et–et un bon caractère, une vraie chrétienne, tout ce que je peux espérer, pour me faire une bonne épouse. Peu importe combien je dis qu'elle est parfaite, qu'elle est juste comme il faut, elle n'est pas à moi tant que je ne l'ai pas acceptée et que je n'ai pas pris la responsabilité de l'avoir comme femme.

68     C'est la même chose avec le Message. Vous pourriez dire: «C'est vrai, ou ceci, cela ou autre chose». Et dire: «Je sympathise avec. Je crois que C'est la Vérité.» Mais vous devez L'accepter; et Il doit devenir une partie de vous, et vous une partie de Lui. Vous devez... Alors, Il est à vous.

69     Quand vous épousez cette femme que vous avez choisie, c'est là que vous–que vous devenez un.
    Et c'est comme ça que vous êtes avec Christ. Quand vous Le voyez manifesté et rendu réel, alors vous êtes une partie de Lui, et Il est une partie de vous. Et, ensemble, vous êtes une partie du Message.

70     Oh, combien on a de navires dénominationnels qui vont à Tarsis, pour les Jonas de ces jours-ci, il y en a neuf cents et quelques, de navires qui prennent le chemin de la facilité. Ils ne veulent pas y faire face.
    Jonas ne voulait pas faire face, le fait d'aller vers les non-Juifs. Il ne voulait pas leur apporter ce Message cruel là-bas: «Dans quarante jours, vous périrez si vous ne vous repentez pas.» Ça le rebutait. Et il se disait: «Ces non-Juifs, on ne sait pas à quoi s'attendre de leur part.» Mais il devait y faire face. Voyez? Seulement il a pris le bateau de la facilité et il est allé à Tarsis, il est descendu au fond du bateau et il s'est endormi; Il a choisi le chemin de la facilité.

71     C'est un chemin facile, c'est un chemin qui a du succès auprès des gens. C'est facile de prendre le chemin où tout le monde vous passe la main dans le dos et dit que vous êtes un brave type, et: «Voici Untel, le...», et où le monde vous tient en haute estime. C'est facile de suivre le chemin du plus grand nombre.
    Mais quand–quand vous devez faire quelque chose de différent, quand vous devez vous tenir à votre conviction de ce que vous savez être la Vérité, c'est là qu'il y a la partie difficile, c'est là que les frictions arrivent, c'est en plein là.

72     Oh, comme on a souvent chanté ce vieux cantique:
Qu'il est facile, quand on navigue sur une mer calme,
De se confier dans la force du grand bras de Jéhovah.
    Mais, oh, que les vagues se mettent à souffler, que–que le vent souffle et soulève les vagues, alors qu'est-ce que vous faites?

73     Quelque chose comme on m'avait raconté, une fois, qu'une dame avait dit. À l'époque des voitures à cheval, elle a dit que le cheval s'était emballé avec elle, en rentrant de l'église. On a dit: «Qu'est-ce que vous avez fait?»

74     Elle a dit: «J'ai fait confiance au Seigneur jusqu'à ce que les rênes lâchent.» Eh bien, c'est là le moment de faire confiance au Seigneur, après que tout... après que les rênes ont lâché. Vous faites confiance aux rênes jusqu'à ce qu'elles aient lâché. Oui.

75     Et alors, on découvre qu'il y a beaucoup de chemins faciles, de bateaux qui vont à Tarsis, c'est que c'est facile, pas de responsabilités. Ça va tout seul, vous avez tout qui vient, tout le monde vous aime bien. Et, tout le monde, vous êtes un... Personne n'est en désaccord avec vous, vous n'êtes en désaccord avec personne. Maintenant, ça, c'est une vraie lavette! C'est ça. Aucune personnalité, tout passe! Oh, n'importe qui, peu importe qui vous êtes, ni ce que vous défendez... En fait, des gens qui ont l'esprit normalement tourné auront plus d'estime pour vous si vous tenez ferme sur votre conviction de ce qui est juste. C'est vrai. Peu importe...

76     Prenez une femme, elle aura beau ne pas être très attrayante, et quoi qu'elle soit; mais que cette femme prenne position pour les principes de la féminité, qu'elle se tienne comme une dame; et si n'importe quel homme a un tant soit peu de virilité en lui, il la défendra. Absolument. On apprécie quelque chose que–que quelqu'un a, qu'il croit être la vérité, et qu'il tient ferme pour ce qu'il pense être juste.

77     Tellement mous, voilà comment trop de chrétiens sont aujourd'hui, ils sont si ramollis et tout, qu'ils pensent que tout ce qu'il y a à faire, c'est de se joindre à une église, entrer quelque part, mettre leur nom sur un registre, ou faire un petit quelque chose, sauter, crier, ou–ou quelque chose comme ça, et appeler ça être chrétien.
    Être chrétien, c'est une vie de tous les jours, rude, vivre pour Dieu dans le... dans ce monde présence. C'est avoir le Feu et l'amour de Dieu qui brûlent constamment, dans le cœur, qui vous enflamment et qui vous font aller là-dehors avec les gens, et faire des convertis à Christ. Des responsabilités.

78     Mais c'est facile de suivre le train du monde. C'est facile de suivre le courant.
    Allez là-bas vous asseoir dans votre bateau, sur la rivière. Prenez vos rames et mettez-vous à ramer à contre-courant; vous n'allez pas bien vite, et c'est dur. Mais lâchez seulement les rames et regardez à quelle vitesse vous passez devant les arbres, en descendant, mais regardez où vous allez!
    Quand les choses flottent facilement, souvenez-vous, vous allez vers une–une grande cataracte là-bas, en quelque sorte. Vous allez vers les chutes, et avant longtemps vous allez être précipité dans ces chutes. De flotter simplement avec le monde, facilement, comme ça va, vous ne voulez pas ça. Non monsieur. Mais vous devez res-... accepter votre responsabilité.

79     Maintenant, vous Le croyez, et vous avez... Vous pensez que C'est la Vérité.

80     Et la responsabilité que Dieu nous a donnée aujourd'hui, d'apporter ce Message! Et, comme je prends de l'âge, et je sais que mes jours raccourcissent, je ressens cette responsabilité plus que jamais. Avancer, sans relâche, nous devons le faire! Nous devons nous y mettre, partout où nous allons, et annoncer le Message; et–et dire aux gens que Jésus-Christ revient, qu'Il est Dieu et qu'Il vient bientôt. Il ne reste aucun–aucun autre espoir pour le monde que la Venue du Seigneur.

81     Là-bas au fond, je vois des amis qui étaient avec moi là-haut quand l'Ange du Seigneur... Ces gars, qui sont assis ici, je pense qu'ils ont trouvé l'endroit où ça s'est passé là-haut. Et souvenez-vous simplement de ce que le Seigneur a dit ce jour-là, à Frère Woods. Il montait la colline. Et–et il était en quelque sorte en train de pleurer, parce que sa femme était malade. Et le Seigneur a dit: «Ramasse ce caillou et lance-le en l'air, et dis: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR.’» Et j'ai fait ça. Et Frère Woods est assis comme témoin.

82     Et j'ai dit: «Frère Woods, il ne se passera pas longtemps avant que tu voies arriver quelque chose.» Et le lendemain, pendant qu'on était debout là, nous tous ensemble... Et beaucoup de ces hommes sont ici même ce soir.

83     Un jeune prédicateur était là, et il était un... J'ai remarqué... Je venais de le rencontrer le soir d'avant. Il était dans notre camp. Il était monté pour être avec nous. Et il m'a dit, il a dit: «Frère Branham, est-ce qu'il vous arrive d'avoir des visions, dehors comme ceci?»

84     J'ai dit: «Oui, monsieur. Mais je viens ici pour m'en éloigner, en quelque sorte pour me reposer un petit peu.» Il a dit... J'ai dit: «Eh bien, je–je... Bien sûr, Il me montre des choses ici.» Et j'ai dit: «Juste de l'autre côté de la colline ici, c'est là que les sept Anges sont apparus, là-bas.»
    Il a dit: «Oui, je comprends.» Il a dit: «J'étais un des commanditaires de vos réunions là-bas en Californie.»
    J'ai dit: «Eh bien, je suis bien content d'apprendre ça.»

85     Et pendant que je me tenais là, j'ai regardé autour, et j'ai vu un docteur assez corpulent qui lui examinait les yeux, et je l'ai entendu dire: «Vous allez perdre cet oeil, parce qu'il y a une allergie là-dedans. Et je l'ai soigné pendant deux ans, et vous allez perdre cet oeil.»
    J'ai dit: «La raison pour laquelle vous m'avez demandé ça, c'est que votre docteur vous a dit l'autre jour que vous alliez perdre cet oeil.»
    Et il a dit: «C'est vrai», et il a regardé autour comme ça.

86     Et j'ai vu sa mère enlever un de ses bas et tenir son pied sorti, avec des petites tumeurs qui pendaient entre ses orteils, un peu partout sur sa jambe; et elle a dit: «Si tu vois Frère Branham, dis-lui de prier pour ça.»
    Et je lui ai dit: «Votre mère a tendu son... a sorti son pied comme ça, et elle a dit qu'elle avait... elle a plein de petites tumeurs partout sur ses–ses orteils, et comme ça; et elle a dit: ‘Fais prier Frère Branham.’»
    Il a dit: «Frère Branham, c'est la vérité.»

87     J'ai regardé en arrière. Quand je l'ai fait, je l'ai vu qui se tenait là en me regardant, comme ça, les yeux tout ce qu'il y a de plus clairs. Je l'ai rencontré cet automne; il avait de meilleurs yeux que n'importe qui dans le camp. Le Seigneur l'a guéri, et lui a redonné la santé.

88     Pendant que j'étais debout là, le Seigneur a dit, Il m'a montré ce qui allait arriver. «Le jugement va bientôt frapper la Côte Ouest.» Et Il a dit: «Va là-bas, à côté de ce foyer.»

89     Et j'avais une pelle à la main; j'ai marché pour aller par là. Et Frère Roy Roberson, on le connaît tous ici. Il n'est pas ici ce soir, pour autant que je sache; il est là-bas en Arizona. Il est le président des administrateurs ici, et je savais que c'était un ancien combattant. Et quelque chose allait se passer; une belle matinée calme, vers les dix heures du matin. Et les gars étaient tous là autour, on était dix ou douze, en train de démonter les tentes, de dépouiller des sangliers, et tout. Alors on... J'ai marché autour, j'ai dit: «Roy, cache-toi, vite. Quelque chose est sur le point d'arriver.» Je n'ai pas pu lui en dire plus. Mais j'étais à peine arrivé là-bas...
    Et le tourbillon de Dieu est descendu du ciel, et il a claqué, comme, il a fait trembler les collines, il est entré dans cette montagne, il a ouvert une tranchée tout autour, à environ cinq pieds au-dessus de ma tête, et il a arraché la cime de tous ces arbres, pendant que les pierres sortaient. Il est monté en l'air et il est redescendu, avec un autre grand baptême, et il a frappé la montagne d'un bout à l'autre, et il a projeté les pierres comme ça. Il l'a fait trois fois, et puis il est monté en l'air.
    Et Frère Banks est venu vers moi, il a dit: «C'est ça que tu disais hier?»
    J'ai dit: «Oui, monsieur, c'est exactement ça.» Voyez?

90     Et deux jours après, l'Alaska a failli être englouti, là-haut. Et cette Côte Ouest n'a pas arrêté d'être secouée, les tonnerres et les poussées, et tout ce qui se passe. Et un de ces jours, elle va glisser sous l'océan. C'est vrai. Qu'est-ce que c'est? Nous vivons à l'heure de la Venue du Seigneur.

91     Quand on voit s'élever des ismes et tout, et toutes ces différentes choses, on sait qu'il doit y avoir une bonne réponse à ça.
    Il y a des gens là dans le pays maintenant, qui vont dans des cavernes et tout, «Et le 16 mars,» vous l'avez lu dans le journal, «le Seigneur va revenir.» Vous savez que c'est faux.
    Jésus a dit: «Aucun homme ne connaît la minute ou l'heure.»

92     Quand on voit toutes ces choses, et les choses qui se produisent comme elles le font, et il y a forcément la vraie réponse quelque part. Il doit y avoir une Vérité. Il y a un est; et un ouest; mais il y a un sud-est, et nord-ouest, ou quelque chose. Mais il y a forcément la vraie réponse, quelque part, au problème. [espace non enregistré sur la bande – N.D.É.]

93     Esquiver ça? Nous devons dire aux gens que nous vivons aux heures de la Venue du Fils de Dieu. Nous voulons–voulons veiller, et (Dieu) être en marche, tout le temps, prêts à donner à un homme une réponse juste.

94     Ça a toujours été comme ça. C'est–c'est dans l'homme, il s'est esquivé et il s'est éloigné de Dieu, depuis Adam, dans le jardin d'Éden. Quand Adam était dans le jardin d'Éden, quand il s'est trouvé devant la responsabilité de faire son choix: est-ce qu'il resterait avec Dieu ou est-ce qu'il irait avec sa femme? Il a dû faire cette res-... il a dû faire ça, la–la responsabilité lui revenait. Il devait prendre soit ce que sa femme disait, soit ce que Dieu disait. Et quand il a choisi de suivre la voie de sa femme, et quand il a fait ça, alors il a perdu sa condition originelle. Et il a soumis le monde entier à la mort, quand il a dû prendre la responsabilité, ou soit d'accepter une lumière nouvelle que sa femme avait trouvée, qui était contraire.
    Ô Dieu! Pensez-y. Dieu leur avait seulement donné environ huit ou dix Mots à garder: «Mais de cet arbre-là, tu n'en mangeras pas.» C'est tout ce qu'ils avaient à garder. Et même avec... [espace non enregistré sur la bande – N.D.É.]... de Parole, ils L'ont transgressée.
    Alors Adam a dû faire face: «Est-ce que, est-ce que je vais faire ce que ma femme m'a dit de faire, ou est-ce que je vais faire ce que Dieu m'a dit de faire?» Et il s'est éloigné les yeux ouverts. Il devait prendre la responsabilité. Ça a précipité la race humaine tout entière dans la mort.

95     Alors cet autre Adam est venu, qui était Christ, il n'y a jamais eu Quelqu'un comme Lui! Quelqu'un dire qu'Il n'était pas Dieu? Son caractère unique a prouvé qu'Il était Dieu. Il n'y a jamais eu une créature qui a vécu comme Lui. Il vivait dans un monde à Lui. Il est né en dehors du domaine ...?... naturel. Alléluia! Il est le Créateur Lui-même fait chair.
    Qui aurait jamais pu se tenir où Il s'est tenu? Qui a jamais parlé comme Lui? Qui aurait jamais pu dire les choses qu'Il a dites? Qui aurait jamais pu faire les choses qu'Il a faites? Son caractère unique a prouvé qu'Il était Dieu. Il n'y a aucun prophète ou quoi que ce soit d'autre qui aurait pu faire ce qu'Il a fait, qui aurait pu appeler les morts à sortir de la tombe, qui aurait pu arrêter le ciel et faire tout ce qu'il voulait? Il était Dieu. Qui aurait jamais pu prendre Sa place? Qui? Qui pouvait-Il être d'autre que ce Dieu parfait, immortel, qui a été fait chair et qui a habité parmi nous!

96     I1 n'y a jamais rien eu qui Lui soit comparable. Il vivait dans un monde à Lui. Aucun homme n'a jamais parlé comme Lui. Dès qu'Il ouvrait la bouche, il y avait quelque chose là, qui était différent de n'importe qui d'autre. Quelqu'un a dit qu'il était seulement un homme ordinaire. Je proteste. Il était Dieu. Voilà ce qu'Il était. Car aucun homme n'a jamais parlé comme Lui, aucun homme n'aurait pu parler comme Lui, parce qu'Il était la Parole vivante Elle-même, faite chair, la manifestation de la plénitude de Dieu.

97     Je l'admets, les prophètes avaient leur message. Ils l'avaient à l'époque; ils l'ont aujourd'hui. Mais là, il y avait, dans un corps, la plénitude de la Divinité, manifestée là. Il était l'Unique, et c'est Lui qui a dû affronter la question. Avec toute la puissance qu'Il avait, Il aurait tout à fait pu être le roi du monde. Il le sera; et Il, pour Ses saints, Il l'est déjà.

98     Il s'est tenu là. Quel homme aurait été pauvre, n'aurait pas eu d'endroit où reposer Sa tête, alors qu'Il savait même où se trouvait un poisson qui avait avalé une pièce de monnaie? Qui, quel homme aurait pu prendre ces grandes cruches d'eau et les transformer en vin, et ne pas avoir d'endroit où reposer Sa tête? Il a dû assumer les responsabilités qui Lui avaient été confiées. Quel homme aurait pu ressusciter de la tombe un homme qui était mort depuis quatre jours et qui était en train de pourrir?
    Est-ce qu'Il n'aurait pas pu Se sauver Lui-même? Bien sûr qu'Il aurait pu; mais s'Il l'avait fait, Il ne nous aurait pas sauvés. Il a dû assumer les responsabilités, et à cause de Son obéissance à la Parole! Alors que la désobéissance d'Adam, qui, lui, avait pris le raccourci, le–le chemin de Tarsis. Mais Jésus a pris le chemin de Ninive, vers les nations, pour Se chercher une Épouse. Je suis heureux ce soir qu'Il l'ait fait. Alors on devrait se rendre à l'évidence qu'on Lui appartient, et renoncer au monde. Amen!

99     Chaque homme a dû l'assumer, qui a une responsabilité devant Dieu. Prenons, par exemple, Noé. I1 a dû le faire. Noé, Moïse, Élie, et tous les autres, chaque âge, ils ont dû assumer la responsabilité. Et ils ont dû le faire. Et c'est justement pour ça qu'ils ont été envoyés, chacun dans son temps.

100     Regardez Noé dans son âge de science, et comme il a dû affronter quelque chose qui était tellement contraire à la science. Oh, il n'y avait aucune–aucune–aucune raison que ce ne soit pas contraire à la science... Vous voyez, c'était–c'était contraire à la science, plutôt. Oh, on leur disait qu'il allait pleuvoir du ciel. Il n'y avait jamais eu de pluie qui était tombée du ciel. Maintenant, il a dû l'assumer. Dieu avait dit qu'il allait pleuvoir. Et alors il...

101     Alors la foi sans les oeuvres est morte; si vous dites: «Je le crois», et que vous n'agissez pas. Comme le Message, si vous dites: «Je le crois», et que vous n'agissez pas, ça vous avance à quoi? Voyez? Noé s'est mis au travail avec son marteau et il a construit une arche, pour confirmer ce dont il parlait. C'est ça que nous devons faire, nous aussi. Nous devons nous mettre au travail et prouver notre foi, par nos oeuvres. Nos oeuvres prouvent notre foi.

102     Moïse a dû le faire, et Élie a dû le faire. Chaque prophète dans son âge a dû se tenir debout et faire face à ses responsabilités. Mais il y en a beaucoup qui n'ont pas fait comme Jonas. Il a fui; eux, non.

103     Remarquez. «Crie contre elle.» Oh! la la! C'est ça. Voilà ce que c'est: «Crie contre elle.» C'est là qu'on peut vérifier.
    Rien qu'aller là-bas dire à ces gens: «Dites, je suis venu me joindre à vous, les gars. Vous savez, je crois que je vais vous dire ce que je vais faire. J'ai une petite chose ici, je pense que je peux en faire un... tous nous rassembler, et on fera ceci, cela ou autre chose.»
    Mais c'était: «Crie contre elle», quand vous devez crier contre quelque chose. Maintenant, il a dû crier contre tout ce qu'il y avait là-bas; crier contre la ville, crier contre leur travail, crier contre leur Église, crier contre leurs prophètes, crier contre leurs prédicateurs, crier contre leurs prêtres. «Crie contre elle, contre tout! Crie contre elle!»

104     Noé a crié contre son âge. Bien sûr, il l'a fait, contre les Églises de son âge.
    Moïse a très certainement crié contre son–son âge; contre les gens, les prêtres, et ainsi de suite. Il a crié d'un bout à l'autre du désert. À chaque croisement, il criait, il criait sans arrêt après le peuple.
    Élie était très mal vu dans son jour, parce qu'il criait contre cet âge-là. Il l'était certainement.

105     Jean-Baptiste était très mal vu dans son âge. Il a crié contre son âge. Il a dit au roi, le–le potentat du–du pays; il–il avait, il avait épousé la femme de son frère. Il a dû prêcher sur le mariage et le divorce, un matin. Alors il a crié contre ça, il a dit: «Il ne t'est pas permis de l'avoir.» Ça lui a coûté d'avoir la tête tranchée plus tard, mais il a crié et il est resté à son poste.
    Il n'a jamais pris le bateau pour Tarsis en disant: «Eh bien, je veux bien être d'accord avec toi, Hérode. C'est bon. Puisque tu trouves qu'elle est gentille, qu'elle est une bonne épouse pour toi, vas-y.» Oh, miséricorde. Ces lavettes, vous voyez, oui, n'importe quelle petite chose... Ça, ce n'est bon rien qu'à nettoyer des assiettes sales.

106     Mais, remarquez, Jean n'était pas comme ça. Il a pris le taureau par les cornes. II a dit: «Il ne t'est pas permis de l'avoir.» Oui monsieur. Et il s'est élevé contre ça.

107     Ils n'ont pas fui. Jean ne l'a pas fait. Ils sont restés là et ils ont regardé les choses en face. Une fois, Moïse a essayé de fuir comme Jonas, mais Dieu l'a ramené. Beaucoup d'entre eux ont essayé d'y échapper; ils se mettaient à...
    Mais, écoutez, si Dieu vous a appelé, et que vous êtes sûr que Dieu est dans le Message, rien ne pourra vous faire reculer. Ça n'a pas fait reculer Jonas. Non monsieur.

108     Amos, il y a bien longtemps, s'est écrié, il a dit: «Le lion a rugi: qui ne serait effrayé? Dieu a parlé: qui ne prophétiserait?» Qui ne prophétiserait, quand on voit Dieu parler et dire qu'une certaine chose va arriver, et la voilà qui arrive?

109     Un lion rugit, tout le monde a peur, oui monsieur, si vous en avez déjà entendu un rugir dans la jungle. Vous pouvez entendre ceux-là qui miaulent dans les cages, par ici, de ces lions apprivoisés, mais vous devriez une fois en entendre rugir un vrai, un sauvage. Ça fait tomber les pierres de la montagne à cinq cents verges de là. Je ne comprends pas comment tant de vacarme peut sortir de ces poumons. Et il baisse la tête, sa crinière s'ébouriffe; je n'ai jamais rien entendu... C'est comme un–un coup de canon, quand il fait sortir ce grand rugissement de ses poumons. Qui pourrait ne pas avoir peur?
    On dit que si jamais vous êtes tué par un lion, c'est sans douleur. Il vous fait mourir de peur avant de vous attraper. Vous voyez, vous ne le sentez pas. I1 vous épouvante par ce gros rugissement féroce, et le voilà sur vous en une fraction de seconde.

110     I1 a dit: «Le lion a rugi: qui ne serait effrayé? Dieu a parlé qui ne prophétiserait?» Quand vous voyez Dieu faire quelque chose, vous dites...» II se peut que je ne sois pas prophète...» Jonas a dit...» Il se peut que je ne sois pas prophète, ni fils de prophète. Mais Dieu a parlé: qui ne prophétiserait?»

111     Il se peut que je ne sois pas prophète, il se peut que je ne sois pas ceci, cela ou autre chose. Quand je vois Dieu faire quelque chose, et que je le vois ici dans la Parole, et qu'Il l'a promis, qui peut se taire et rester tranquille? Bien sûr, Il l'a fait.

112     On ne peut pas non plus se cacher derrière des credo, et tous ces groupes, ici, et descendre à–à Tarsis. On ne veut pas aller avec ces groupes.

113     Mais il y en a beaucoup, comme Adam, qui font la même chose, ils essaient de se faire un substitut en quelque sorte, ils cherchent un moyen de s'en sortir, et–et ils se font un substitut pour affronter Dieu. Une fois qu'ils savent qu'ils ont tort, quand ils ont été confrontés à la Vérité, il a suivi sa femme et il a fait exactement ce que Dieu lui avait dit de ne pas faire. Il a avancé tout droit et il l'a fait, quand même. Alors il s'est retrouvé nu, elle et lui, tous les deux, dans le jardin d'Éden. Leurs yeux se sont ouverts. Ils savaient ce qui était bien et ce qui était mal, à ce moment-là. Et là, il a essayé de trouver un substitut, pour se couvrir avec ça.
    Maintenant, c'est à peu près comme ça qu'on fait aujourd'hui, une excuse, on dit: «Eh bien, je vais te dire, si c'était ici, ou si ceci.» Ou: «Si, si, si», c'est comme... Voyez? Mais vous devez faire face à la chose. Ou bien c'est juste, ou bien c'est faux. Et si c'est juste, qu'on s'en tienne à ça. Si c'est faux, qu'on s'en éloigne. C'est tout. Prenez ce qui... Trouvez ce qui est juste. Pas question d'attendre plus longtemps. Trouvons tout de suite ce qui est la Vérité et ce qui est juste, et qu'on s'en tienne à ça. Nous savons que c'est vrai.

114     Maintenant, nous trouvons aujourd'hui que les gens sont tellement... On dirait qu'il n'y a plus aucune sincérité dans les Églises. Je... Dans la...

115     Là-bas, on habite dans la maison d'une précieuse sœur qui vient à l'église ici. Elle est probablement assise ici ce soir. Et elle la loue à ses... aux gens. Et elle a été vraiment très gentille avec nous pour cette maison, de nous laisser avoir la maison. Alors je mentionnerais bien son nom, mais elle ne voudrait peut-être pas que je le fasse. Et elle a été si gentille avec nous, et on ne voudrait-on ne voudrait surtout pas la dénoncer. Mais elle a été une femme très, très gentille. Et, dans la maison, il y avait une télévision, là dans un coin. On a une petite, deux, des maisons jumelées.
    J'ai une grande famille, et pas mal d'enfants, et on... et, vous–vous savez, il leur faut des lits, il y en a plein, et des tas d'affaires dessus, alors on doit enjamber ceci et cela, quand on entre et quand on sort.

116     Et alors là-bas il y avait une télévision. Et sur cette télé, le dimanche matin, ces enfants se sont mis à regarder un genre d'émission où on chante des cantiques. Vous savez, il–il y aurait presque eu de quoi vous faire honte; s'il n'y avait pas un vrai christianisme quelque part, sur lequel vous puissiez mettre la main, de voir ce que les gens appellent le christianisme. Oh, on dirait qu'il n'y a plus aucune sincérité là-dedans. Oh, ils ne, on dirait qu'ils ne... Oh, c'est affreux de les voir brandir le poing et se battre, à l'écran, tout en essayant de chanter des cantiques et tout ça; ils font des blagues que même un marin ne ferait pas, ils disent tout ce qui leur passe par la tête, ils plaisantent et ils font n'importe quoi. Vous savez, on dirait que le caractère sacré du–du–du christianisme a perdu sa place.

117     Maintenant, je vais à l'église et–et je vois le pasteur monter sur l'estrade et annoncer qu'il–il va y avoir un–un concours de natation. Toutes les femmes vont mettre leur maillot de bain, elles vont toutes aller là-bas. Il va y avoir un concours de natation pour les femmes. Et il va y avoir un–un genre de fête, on va faire plein de–de poulet frit, et jouer au loto, et–et des tas de choses comme ça. À mon avis, ça, ça enlève la vraie sincérité du christianisme; on se permet n'importe quoi.

118     En venant ici, j'ai remarqué, on voit... Vous savez, on voit plus de nos sœurs porter des shorts, ici où il fait froid, qu'on n'en voit là-bas où il fait chaud. Voyez, c'est vrai. Là-bas, où il fait vraiment chaud, il n'y en a pas tellement qui en portent. Mais ici, où–où il fait froid, elles–elles le font. Vous voyez, c'est, elles ne se rendent pas compte que c'est le diable qui fait ça. Voyez? Maintenant, si c'était pour être bien, pour être plus à l'aise, ce serait autre chose. Sur un homme, je trouve que c'est affreux à voir sur un homme, mais–mais on–on ne ferait-on ne ferait pas attention à un homme. Mais la femme, son–son corps est sacré, et elle doit le garder sacré. Et de voir des vieux...

119     On peut voir, les gens aujourd'hui. Il y a deux esprits. Et l'un d'eux, c'est le Saint-Esprit; l'autre, c'est un esprit malsain. Et c'est par ça qu'on est gouverné. Et ils sont tous les deux religieux. Eh oui, c'est ça qui est étonnant, ils sont tous les deux religieux. Comme Jacob et Esaü, tous les deux religieux; comme Caïn et Abel, tous les deux religieux; comme Judas et Jésus, tous les deux religion, tous les deux religieux. Et on le voit aujourd'hui, religieux des deux côtés. Vous voyez, c'est le même esprit. Les gens meurent, mais l'esprit ne meurt pas, il continue. Tous les deux religieux.
    Il y a un côté qui possède le Saint-Esprit, ceux-là vivent la vie qu'ils doivent vivre, et ils marchent dans la piété et l'honnêteté. Ils ne vous rouleraient pas d'un centime, et ils–ils font tout aussi honnêtement qu'ils peuvent, pour vous aider. Et les autres vont... Aussi gentils qu'on peut l'être.
    Et les autres, on voit, c'est tout à fait l'inverse. Et pourtant, tous les deux sont des esprits religieux, les deux; l'un, le Saint-Esprit, et l'autre, un esprit malsain. Et, si vous remarquez, même s'ils se disent religieux, ils vont se moquer de vous, ils vont vous traiter d'exalté; ils font tout ce qu'ils peuvent.

120     Ils ne tiennent pas compte de la–l'immuable Parole de Dieu, comme si Elle n'avait jamais été écrite.
    – Voyez, vous avez beau dire: «Bon, écoutez, si–si le baptême...
    – Mais, j'ai le Saint-Esprit!
    – Et vous êtes là, un cigare à la main, en train de fumer?
    Oui, j'ai le Saint-Esprit! Moi, je ne pense pas que ce soit mal de prendre un petit verre. Moi, je ne pense pas que...» Voyez?
    Et vous avez remarqué: «Moi, je ne pense pas»? Mais Dieu, Lui, Il pense autrement, vous voyez, d'après Sa Parole. Voyez? Voyez, ils... Et ce qu'ils–ils font, en fait, c'est que–qu'ils crachent dessus. C'est tout à fait ça.

121     Tout comme ce type, là, cet infirme qui est arrivé en rampant cette fois-là, quand David était excommunié de son trône. Il montait la montagne des Oliviers, il s'en allait en pleurant alors qu'il montait, il regardait en arrière. Et ce type-là est sorti en se traînant, là, et il lui crachait dessus. Et le garde, là, a dit: «Je laisserais la... la tête de ce chien sur lui, qui crache sur mon roi?»
    David a dit: «Laisse-le.» Voyez? Ils lui ont craché dessus.

122     À peu près huit cents ans plus tard, ils ont aussi craché sur son Fils, Jésus-Christ.
    Et aujourd'hui, ils crachent encore dessus, comme si Ce n'était... Ils n'ont aucun respect, ils s'en fichent, ils haussent les épaules et ils s'en vont, et ils vous rient au nez. Pourquoi? Ils sont sur un bateau pour Tarsis. C'est...
    Cet appel à Dieu, vous devez crier contre le mal, crier contre le péché, crier contre ce qui est faux. Maintenant, souvenez-vous, ce sera.
    Eh, dites donc, l'heure. Vous savez, j'ai deux heures de décalage. À Tucson, il est seulement sept heures dix. Et–et je commence à ne plus trop–à ne plus trop être à ma place ici. Bon.

123     Maintenant, souvenez-vous qu'on devra en répondre. Souvenez-vous, ceux qui crachent sur Christ vont en répondre.
    Quand David est revenu de son exil, quand il avait fui, quand il est revenu, souvenez-vous que ce type-là s'est jeté face contre terre, et il a imploré sa miséricorde. Il avait craché sur David quand il sortait, mais il aurait été prêt à baigner ses pieds de larmes quand il est revenu.
    Et un jour, ceux qui ont percé Jésus le verront.
    Et ceux qui Le percent aujourd'hui le verront aussi. Un jour, ça les rattrapera. Souvenez-vous, Apocalypse 22, Il exige de nous que nous gardions chaque Parole qu'Il a écrite; chaque Parole.

124     Maintenant nous savons que Sa Présence est ici. C'est confirmé, nous l'avons. Et nous sommes confiants que ce sera encore confirmé parmi nous cette semaine; que les malades seront guéris, et que de grandes choses vont se passer.
    Nous ne voulons pas l'opinion populaire. Nous voulons la Vérité. Et nous ne... nous (voulons) ne voulons pas–nous ne voulons pas accepter autre chose que ce que Dieu a dit qui est la Vérité. Mais: «Sachez que vos péchés vous atteindront toujours.» S'ils ne le font pas ici, ils vous auront au Jugement. Alors, vous–vous... Quelque part, ça vous rattrapera. Oh oui!

125     Mais si vous êtes un vrai chrétien, vraiment appelé, comme Jonas, alors Dieu a déjà payé le prix de votre voyage. Descendez donc de ce bateau pour Tarsis. Dieu vous a prédestiné à cette vie. Oui monsieur. Si vous êtes un vrai enfant de Dieu, appelé, venez à Christ. Entrez dans Sa plénitude. Votre voyage est payé vers où? Il est payé vers Ninive, pas vers Tarsis. Vous êtes prédestiné. Votre bateau... Il y a un bateau qui part à l'instant même, il se met en route. Alors la seule chose à faire, c'est d'embarquer. Et si vous étiez comme Dieu, vous ne pourrez jamais trouver la paix...

126     C'est comme mon neveu, tout à l'heure. Ça fait à peu près dix ans maintenant qu'il erre à droite et à gauche. Des fois, le matin, il va à cette église, cette église catholique, là-bas, et il prend celle-là à cause de ce que dit un saint père là-bas, et puis un autre par-ci, et un autre par-là. Et qu'est-ce qu'il y gagne au bout du compte? Voyez? Et maintenant il a encore faim et soif. Je lui ai dit: «Mon garçon, ta place, c'est là-bas à l'autel.» Voyez?
    Il n'y a pas moyen d'y échapper. Quand Dieu est à vos trousses, vous faites mieux d'abandonner la partie et d'y aller. C'est tout.

127     Souvenez-vous, Dieu! Eh bien, Dieu était dans le bateau. Dieu était dans la tempête. Dieu était dans le poisson. Partout où il allait, Dieu était là.
    Voyez, Dieu est là. Et ça n'arrêtera pas de vous poursuivre. Alors pourquoi attendre plus longtemps? Commençons ce réveil comme il faut. C'est ça. Qu'est-ce que vous attendez? Nous croyons que la Venue du Seigneur est proche, et qu'Il aura une Épouse, et qu'Elle sera prête. Nous ne voulons pas de bateaux pour des Tarsis. Nous allons à Ninive. Nous allons dans la Gloire. Amen. C'est vrai. Nous allons là où Dieu va bénir, et c'est ce que nous voulons faire.

128     Rester dans la Présence de Dieu, alors, avec nos cœurs, pas tellement nos mains, mais nos cœurs devant Dieu, jusqu'à ce qu'Il nous ait imprégnés et réimprégnés, comme ça, des rayons de Sa gloire, et qu'Il ait cuit en nous Sa–Sa bonté, et qu'Il ait fait mûrir ce que nous avons, pour que ça devienne une réalité, voyez-vous, et qu'alors nous puissions montrer à d'autres que Jésus-Christ est vivant. Oh! la la! Nous voulons croire ça.

129     Et souvenez-vous, partout où Jonas allait, Dieu était dans le bateau; Dieu était dans la tempête; Dieu était dans le poisson. Il a continué à suivre Jonas jusqu'à ce que Sa volonté parfaite se fasse. C'est vrai.
    Et si jamais Il est à vos trousses, vous pouvez vous esquiver par-ci, et vous esquiver par-Là, mais vous serez malheureux tant que vous ne reviendrez pas faire la chose que vous aviez commencé à faire pour Lui au départ. Voyez? N'allez pas fuir la Présence de Dieu. Regardez les choses en face. Si vous croyez que c'est la Vérité, alors... Si c'est la Vérité, ça vaut la peine de vivre pour Elle, de mourir pour Elle, et tout le reste. Et si jamais Il vous a confirmé que c'est la Vérité, alors pas moyen de fuir, nulle part. Il sera là de toute façon. Vous ne pouvez pas le faire.

130     Par le prophète auquel Il avait pourvu, celui qu'Il avait établi pour aller là-bas apporter ce message. Bon, on pourrait penser qu'Il aurait pu envoyer un autre prophète, mais c'est Jonas qu'Il avait établi pour ça; et même Élie n'aurait pas fait l'affaire; Jérémie n'aurait pas fait l'affaire, Moïse n'aurait pas fait l'affaire. C'est Jonas qui devait aller à Ninive, un point, c'est tout. Il l'a commissionné et Il lui a dit d'y aller. Et quand Il dit: «Va là-bas, Jonas, va à Ninive», personne d'autre que Jonas ne peut y aller.
    Et quand Dieu vous dit quelque chose, il faut que vous le fassiez; et personne d'autre que vous. Voyez, on n'a qu'à l'accepter, et, et aller le faire.

131     Nous croyons que nous vivons à l'heure où Dieu est en train de faire quelque chose. Nous croyons que nous vivons maintenant parmi eux maintenant. Je crois que je prêche ce soir à cette assemblée qui–qui est là, en train d'attendre là pour mûrir. Je–je le crois vraiment, de tout mon cœur. Je dirais que c'est maintenant comme ça a toujours été.

132     Maintenant, nous croyons que l'heure est venue où Jean 14:12 doit s'accomplir. Nous–nous croyons que Malachie 4 doit s'accomplir. Nous croyons que Luc 17:30 doit s'accomplir. Nous croyons que toutes les prophéties qu'Il a annoncées comme devant s'accomplir en ce jour, nous croyons qu'elles doivent s'accomplir; et nous croyons que nous les voyons s'accomplir maintenant même. C'est tout à fait vrai.

133     Arrêtez de fuir. Ne sortez pas de Sa Présence, mais entrez dans Sa Présence. C'est vrai. Et je sais que c'est ce que vous désirez, parce que là-dehors j'ai vu des plaques d'immatriculation du Texas, de la Louisiane, et de partout. C'est pour ça que nous sommes ici, non pas pour fuir Sa Présence, mais pour accourir dans Sa Présence.
    Revenez, descendez de... [espace non enregistré sur la bande – N.D.É.]... été un Jonas, si vous vous êtes demandé vers où aller, ou que faire, venez, embarquez avec nous sur le bateau ce soir. Nous allons à Tarsis, pour crier... ou à Ninive, pour crier. Nous laissons ce bateau pour Tarsis y aller s'ils le veulent. Nous, nous avons un devoir envers Dieu, un Message dont nous sommes responsables.

134     Alors, pendant la semaine qui vient; ce soir, c'est juste un petit préliminaire, pour que vous sachiez. Si je crie, frères, c'est que je suis seul responsable d'un Message. Vous, les prédicateurs qui êtes assis ici, je ne suis pas ici pour vous blesser. Et vous, les femmes et les hommes, quand nous en viendrons à cette affaire du mariage et du divorce, je veux que vous vous souveniez de ce soir. J'ai dit tout ça pour vous faire comprendre ceci: je ne suis responsable qu'envers Dieu.
    Et puis, je suis responsable envers vous aussi, responsable de vous dire la Vérité. Et je ne vous dirai rien d'autre que la Vérité, à condition que Dieu me fasse connaître la Vérité. Tant que je ne connaîtrai pas la Vérité, je ne dirai rien à ce sujet, voyez-vous, je ne dirai rien là-dessus. Mais je crois vraiment que Dieu me montre la Vérité sur le Mariage et le Divorce, et j'ai confiance qu'Il me permettra de le faire ressortir.

135     Et d'autres Messages que j'ai l'intention d'apporter cette semaine, ce sont: Qui est ce Melchisédek?, Où Dieu a-t-Il choisi de mettre Son Nom? et certaines choses comme ça, qui sont des Messages à venir, et les Douleurs de l'enfantement. Et–et certains autres dans–dans le même ordre d'idées, et pour compléter le Choix d'une épouse. Et certaines choses, ces Messages-là, je voudrais en parler cette semaine. Mais je voudrais seulement que l'assemblée.

136     Eh bien, s'il y avait un prédicateur ici; mes frères, je ne suis pas ici... Je ne veux pas que vous ou certains de vos membres retourniez dans votre église en disant: «Frère Branham a dit ceci et cela.»
    Je suis lié par un Message qui m'a été donné par le Dieu Tout-Puissant. Comme je me tiens ici ce soir, et Dieu sait que c'est vrai, que tout près d'ici, au bord de la rivière... Il y a peut-être ici des gens qui étaient là, quand l'Ange du Seigneur est descendu là et qu'Il m'a dit ce qu'Il m'a dit, en 1933, tout près d'ici, en descendant la rue Spring. Si vous n'êtes pas d'ici, suivez la rue tout droit. C'est au coin de la rue Spring, là où vous arrivez à la rivière, c'est là que c'est arrivé. C'était en 1933. Ce qui fait qu'il doit y avoir dans les trente-deux ans de ça. Oh, ça fait trente-... ça fait trente-... trente-deux ans, trente-deux ans.
    Et de voir comment, depuis ce jour-là, Il a fait arriver ça, chaque chose. On est sortis, pour apporter le Message, et on a vu les malades guéris, les aveugles, et les infirmes, et les boiteux, et les estropiés, et tout. Et on a même vu des morts, dont le décès avait été constaté, être ressuscités d'entre les morts. Des gens mourir, et être ramenés à la vie, et toutes ces choses. Si un Message est proclamé, il y a des signes et des prodiges.

137     Et on verrait encore cette même école de pensée, là, qu'on avait? Ça ne venait pas de Dieu. Dieu n'a pas besoin de...
    Dieu cherche à attirer votre attention sur Quelque Chose.

138     Et alors quand Jésus est sorti, Il s'est mis à guérir les malades, à faire des grandes oeuvres, et tout. Il a toujours, Il... Jésus l'a fait. Et Moïse et Jésus l'ont fait, et les autres aussi. Et quand Il était ici, Il l'a fait.
    Et Il fait la même chose aujourd'hui. Quand Il envoie une réunion comme ça, des réveils, qu'Il entreprend une réunion sur la terre, et qu'Il se met à faire de grands signes et des prodiges. Et puis que vous voyez revenir ce même enseignement d'avant, il y a–il y a quelque chose qui cloche quelque part. Il y a quelque chose de nouveau qui vient! Quand Jésus est venu, après, quand...

139     «C'est un bon rabbin.» Il pouvait aller à n'importe quelle chaire et prêcher, quand Il guérissait les malades. Quand, oh, ils aimaient bien L'avoir là.
    Mais un jour quand Il s'est assis, et qu'Il a dit: «Moi et Mon Père, nous sommes Un», oh, frère, I1 n'a plus été tellement populaire après ça. Quand Il a dit: «Si vous ne mangez Ma chair et ne buvez Mon Sang, vous n'avez pas la Vie en vous-mêmes. Mais celui qui mange Ma chair et qui boit Mon Sang a la Vie Éternelle; et Je le ressusciterai au dernier jour», à partir de ce moment-là, II n'a plus été tellement populaire.

140     Ils disaient: «Cet Homme est un vampire. Cet Homme est un Béelzébul. C'est pour ça qu'Il a pu faire ces choses-là. Il peut dire la bonne aventure. Il regarde dans leur–leur esprit et Il perçoit leurs pensées. C'est un diseur de bonne aventure.»
    Mais ce que c'était, c'est qu'Il–Il était la Parole de Dieu manifestée pour cette heure-là. Et Il était lié par le devoir. Il a dit: «Je fais toujours ce qui est agréable à Mon Père.» Que Dieu nous aide à faire la même chose, à faire ce qui est agréable au Père.

141     Et j'espère que vous comprendrez. Et si vous n'êtes pas d'accord avec moi sur ces Messages, et ces choses, j'espère que vous n'oublierez pas, et que vous aurez au moins assez de respect pour voir que j'ai une responsabilité, et que je ne vais pas à Tarsis. Je suis en route vers Ninive, et je–je dois crier. Que Dieu vous bénisse tous.
    Maintenant, courbons la tête un instant.

142     Il est presque neuf heures et demie. Je ne veux pas vous retenir, mais j'aimerais savoir une chose, si possible, ce soir. Est-ce qu'il y en a ici qui–qui ne sont pas exactement où ils devraient être en Christ, mais vous–vous voudriez y être, et vous désirez y être? Alors est-ce que vous voulez juste lever la main, pour dire: «Frère Branham, priez pour moi.» Que Dieu vous bénisse, regardez-moi toutes ces mains. «Je–je veux... je suis ici, Frère Branham, pour me rapprocher de Dieu.»
    Et si vous aviez la tête levée, moi–moi aussi, j'ai la main levée. C'est pour ça que je suis ici. J'ai soif, tout comme vous.

143     Mais, oh, l'autre jour, une chose des plus glorieuses est arrivée, et maintenant je–je sais ce que je dois faire. Et je–je prie Dieu de vous donner cette compréhension claire. Elle est là. La... Si une question se pose à votre esprit, il faut qu'il y ait une réponse quelque part, pour répondre à cette question. Ma prière, c'est que Dieu vous fasse voir la réponse à cette question pendant ces moments.

144     Si vous êtes malade, puisse Dieu vous guérir. Nous allons avoir des services de guérison pratiquement chaque soir, je pense, et nous allons prier pour les malades. Nous ferons tout ce que nous pouvons pour vous aider, et vous, faites tout ce que vous pouvez pour nous aider. On travaillera ensemble, confiants que Dieu nous donnera de glorieuses réunions.

145     Maintenant, Dieu notre Père, ces quelques paroles entrecoupées, mais elles sont entre Tes mains maintenant. Seigneur, elles ont été prononcées. Je devrai en répondre. C'est comme... Ces mots ne pourront jamais s'éteindre; ils continuent à tourner autour de la terre, ils sont enregistrés, et un jour j'y serai confronté de nouveau. J'en suis conscient, Seigneur, et je le dis avec une profonde sincérité.

146     Dieu bien-aimé, ce soir, je prie pour chacun de ceux-ci, Tes enfants. Et, ô Dieu, je veux croire qu'avant la fin de cette semaine, ils–ils comprendront, que la question qui les préoccupe tant ce soir sera réglée. Accorde-le, Seigneur.

147     I1 y en a ici qui ne Te connaissent pas encore comme leur Sauveur, Père, ou qui n'ont peut-être jamais été remplis du Saint-Esprit. Que ce soit fait ce soir.

148     Seigneur, je ne peux remplir personne du Saint-Esprit, pas plus que je ne peux sauver qui que ce soit. Je peux seulement leur dire ce que Tu as dit: «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.» Et je Te prie, ô Dieu, de créer une telle soif dans leur cœur.
    Beaucoup, Seigneur, forcément qu'ils ont soif, sinon pourquoi est-ce qu'ils feraient des centaines de milles, sur des routes verglacées, et tout, et à travers la pluie dans les montagnes, et à travers les déserts, pour venir dans un petit bâtiment, là, au coin de la rue! Et alors je repense à ce que Tu as dit: «En quelque lieu que soit le Cadavre, là s'assembleront les aigles.» Nourris-nous, Seigneur, de Ta Manne Divine. Donne à nos âmes ce dont nous avons vraiment besoin. Nous avons soif de Toi, Père. Nous sommes entre Tes mains maintenant.

149     Et que le glorieux Saint-Esprit qui est descendu sur la montagne là-bas l'autre jour, qu'Il sature, je Te prie, chaque cœur qui est ici de Sa bonté, de Sa miséricorde, et de compréhension. Père, nous sommes conscients que c'est de ça que nous avons besoin, c'est de comprendre. Car, si nous ne savons pas ce que nous faisons, comment pouvons-nous savoir le faire? Mais il nous faut de la compréhension. Comme Daniel le disait, il avait «compris par les Écrits du prophète Jérémie». Et, Père, nous, nous comprenons par l'Écriture du Saint-Esprit, comme I1 veut nous La révéler dans cette heure-ci. Exauce, Seigneur, les désirs de Toi que nous avons. C'est avec un cœur rempli de tendresse que nous Te le demandons, Père, pour Ta gloire, au Nom de Jésus-Christ.

150     Maintenant, gardons la tête inclinée. Et pendant que notre sœur joue ça, «I1 me donnera grâce et gloire, et m'accompagnera jusqu'au bout», je voudrais que vous priiez en silence, maintenant, et que vous demandiez au Père Céleste de vous accorder ce soir ce dont vous avez besoin.

151     Mon cher frère, ma chère sœur, Il est aussi proche de vous que votre bras. Vous–vous m'avez cru pour–pour d'autres choses, alors croyez-moi pour ça. Il est ici pour vous donner tout ce dont vous avez besoin.

152     Oh, ces dernières semaines, j'étais tellement affamé, tellement assoiffé, j'avais tellement envie de vous revoir. C'est pour ça que j'ai dit: «Billy, rentrons chez nous.»
    Meda a dit: «Pourquoi veux-tu retourner là-bas, où il fait froid, Bill? Tu attrapes toujours un mal de gorge, et tout. Tu te retrouves toujours avec un rhume de cerveau, enroué, et tu n'arrives presque plus à parler.»

153     J'ai dit: «Eh bien, je ne sais pas.» Je lui ai dit... Je vois mon ami, Charlie Cox, assis là-bas. Je lui ai dit: «Je suis impatient d'entendre Charlie dire: ‘Le petit écureuil a grimpé sur cet arbre là-bas.’ J'ai tellement envie d'entendre ça.» Je–je veux–je veux être avec vous, c'est tout.

154     Je sais que mon Frère Banks a été très malade. Je l'ai vu en vision, ici il n'y a pas longtemps, il était allongé sur le dos. Et je sais qu'il a bien failli nous quitter dernièrement. Quand je vous regarde, chacun de vous...

155     L'autre soir, j'entrais à la réunion des Hommes d'Affaires Chrétiens, l'internationale. Le vieux «Pop» Shakarian, le père de Demos, d'habitude, il était assis là, et il regardait jusqu'à ce que j'entre, alors il souriait et me saluait avec ce petit signe de la main qu'il me faisait. Là, il n'y était pas. Il est parti.
    Et puis j'ai dû aller vers cette famille avec un AINSI DIT LE SEIGNEUR: leur fille aussi va mourir. Florence. Je l'ai vue en vision, je l'ai vue partir. Je sais qu'elle s'en va. Et j'ai dit: «Priez, priez. Vous savez, il y a... Un prophète, une fois, avait été chargé d'aller dire à un roi de mettre sa maison en ordre. Alors il a prié, et Il lui a prêté vie, pour quinze ans de plus.» J'ai dit: «Priez.»

156     Mais de voir, et je–je reviens... L'autre jour j'étais assis là dans un restaurant, en train de manger. Un homme s'est avancé vers moi, il m'a dit: «Tu es bien Billy Branham, n'est-ce pas?»
    J'ai dit: «Oui.»

157     Il n'a pas dû me reconnaître, à cause de ça, là, que je porte pour couvrir l'endroit chauve sur ma tête. Je portais ce petit postiche, pour éviter d'attraper un mal de gorge pendant cette série de réunions.
    Il s'est approché de moi, et il a dit: «Je pensais bien que c'était toi, Billy.»
    J'ai dit: «Oui.» J'ai dit: «Et toi, qui es-tu?»
    Il a dit: «Je suis John Warman.»
    J'ai dit: «Comment va Zip?»
    Il a dit: «Billy, il est mort.» Aïe!

158     Je passais dans le palais de justice; j'étais allé payer ma taxe d'habitation. Et, comme je passais dans le palais de justice, une femme m'a interpellé, et elle a dit: «Savez-vous que John est mort?» Ou un autre nom. Ce n'était peut-être pas John; peut-être Ed ou quelque chose. Et j'ai dit... Je ne reconnaissais pas la dame, je me sentais gêné. Et elle s'est rendu compte que je ne savais pas qui elle était.
    Elle a dit: «Est-ce que vous vous souvenez de cette nuit sombre où la rivière en crue emportait les maisons, dans la rue Chestnut, quand vous avez risqué votre vie pour entrer dans une maison et en faire sortir une femme et des jeunes enfants?»
    J'ai dit: «C'était vous?»

159     Elle a dit: «Cette femme, c'était–c'était moi.» Elle s'était mise à hurler pour son bébé; vous connaissez mon histoire. Elle a dit: «Celui que j'appelais ‘mon bébé’, il est marié et il a une famille.» Voyez? Et la voilà âgée, les cheveux gris; et moi aussi.

160     Comme si, une par une, nos cartes étaient retirées du fichier. Quand on a des réunions, je vois que celui-ci n'est plus là, et que celui-là n'est plus là. Il nous faut tous partir un jour ou l'autre.
    Mais, frère, sœur, il y a un Lieu de rassemblement. Assurons-nous bien d'être en règle. Voulez-vous le faire? Que toute notre compréhension de Dieu, et tout, que tout ça ne soit pas en vain. Croyons.

161     Père, ils sont entre Tes mains. Je suis entre Tes mains, Seigneur. Si nous sommes ici maintenant, c'est seulement pour nous consacrer, avant cette série de réunions qui va commencer demain soir. Veux-Tu nous aider, Seigneur? Que nos-que nos conversations soient constamment centrées sur Toi! Que nos cœurs et nos esprits soient toujours fixés sur Toi, et alors, Tu as dit que Tu nous garderais dans une paix parfaite. II est également écrit dans la Bible: «Ne t'appuie pas sur ta propre compréhension des choses.» Ô Dieu, nous ne voulons pas notre compréhension, nous voulons Ta compréhension des choses. Donne-nous cela, ô Dieu. Et qu'un réveil vienne dans nos âmes, à tel point que ce groupe de gens sera d'un seul cœur et d'un même accord. Accorde-le, Père. Accorde ces choses, puisque nous prions dans le Nom de Jésus-Christ.
Jusqu'à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au delà de la rivière.
Dans la croix, dans la croix,
Est ma gloi-... (Levons les mains.)... à jamais;
Jusqu'à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au delà de la rivière.
Jésus, garde-moi près de la croix,
Là une précieuse fontaine,
Gratuite... (Oui, Seigneur, gratuite.)... flot qui guérit,
Coule de la fontaine du Calvaire.
Dans la croix, dans la croix,
Est ma gloire à jamais;
Jusqu'à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au delà de la rivière.
    [Frère Branham se met à fredonner Près de la croix – N.D.É.]

162     Ô Dieu! S'il y en a parmi vous qui auraient à cœur de venir s'agenouiller autour de l'autel, si vous avez envie de venir, pour dire: «Je ne suis pas où je devrais être, Seigneur. Je–je veux me reconsacrer. Je veux le faire ce soir, Seigneur», alors je vous invite à venir. Nous serons ici pour prier avec vous. [Frère Branham continue à fredonner Près de la croix.]
Dans la croix, dans la croix,
Oh, est ma gloire à jamais;
Jusqu'à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au delà de la rivière.
Jésus, garde-moi près de la croix,
Là une précieuse fontaine,
Gratuite pour tous, un flot qui guérit,
Coule de la montagne du Calvaire.
Dans la croix, dans la croix,
Est ma gloire à jamais;
Jusqu'à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au delà de la rivière.

163     Prions, chacun à sa façon, maintenant. Oubliez–oubliez donc l'heure. Courbons simplement la tête dans Sa Présence. Il y a cette petite dame ici, qui crie: «Jésus, je T'aime!» Vous vous souvenez, quand vous avez été sauvé, il y a bien des années, vous vous souvenez comme c'était doux pour vous? Il est tout aussi doux ce soir. Prions, chacun à sa façon maintenant. Consacrons-nous–consacrons-nous donc tous à Dieu, consacrons nous entièrement au Seigneur.

164     Bien-aimé Seigneur Jésus... [espace non enregistré sur la bande – N.D.É.]
Mon unique Source de réconfort,
Plus que la vie pour moi,
Qui ai-je sur terre d'autre que Toi?
Ou qui d'autre au Ciel que Toi?
    Dieu bien-aimé, nous prions maintenant que Ta miséricorde et Ta grâce soient envoyées sur chacun d'entre nous, Seigneur. Nous sommes ici autour de l'autel. Beaucoup n'ont pas pu venir jusqu'ici; Tu les rencontreras à leur place. Quoi que nous offrions, Seigneur, Tu es prêt à l'accepter. Si nous T'offrons seulement notre temps, Tu l'accepteras; du talent, Tu l'accepteras. Mais, Seigneur Dieu, ce soir nous allons plus loin que ça, nous offrons tout ce que nous sommes. Tout ce que je suis, tout ce que je peux m'attendre à être, tout est en Toi, Seigneur. Nous Te prions de prendre nos prières, que voici, dans Ton cœur Seigneur, et de nous donner de la grande profondeur du Saint-Esprit, afin que nos vies soient changées. Car nous voyons que nous approchons de la fin maintenant. Ça ne peut plus être très long. Comme nous voyons jour après jour nos bien-aimés qui s'en vont, les jeunes comme les vieux, nous savons bien que ça devra bientôt frapper à notre porte aussi. Et ce soir, Seigneur, pendant que nous sommes en possession de toutes nos facultés, assis ici, ou à genoux ici, ou debout ici, dans quelque position que nous soyons, reçois-nous, Seigneur Dieu.

165     Prends-moi, Seigneur. Je ne suis rien, mais quoi que je sois, Seigneur, si Tu peux arriver à te servir de moi, je me consacre à Toi.

166     Je prie, Dieu bien-aimé, pour chacun de ceux-ci. Ces braves gens pour lesquels j'ai pleuré quand je me tenais là-bas dans les montagnes de l'Arizona, voilà qu'ils sont ici, à genoux autour de l'autel ce soir avec nous, en train de prier, de consacrer nos vies. Nous T'aimons, Père, plus que notre propre vie. Nous T'aimons plus que notre famille. Nous T'aimons plus que femme, enfants, père, mère, sœur, frère, mari, femme. Nous T'aimons, Seigneur Jésus. Fais en sorte que ça devienne une telle réalité dans nos cœurs, Seigneur. Répands une huile de joie dans nos âmes cette semaine, Seigneur. Donne-nous un bain, un lavage de la Parole, par l'eau de la Parole, en distribuant à chacun de nous la Vérité.

167     Il y en beaucoup ici ce soir, Seigneur, et beaucoup aussi qui viendront, qui sont dans la confusion sur ces sujets vitaux. Ô Dieu, ouvre dans la maison de Dieu cette source qui–qui est là pour nous purifier. Je Te prie, ô Dieu, de nous laver et de nous purifier dans Ton Sang, et de faire de nous de nouvelles créatures. Et donne-nous la grâce et la force d'apporter la Parole de Vérité dans Sa révélation Divine de l'Être de Jésus-Christ.
    Qu'Il apparaisse devant nous, Seigneur. Qu'Il vienne guérir nos maladies, pardonner nos péchés, remplir nos cœurs assoiffés de la bonne nouvelle qui sera le sujet d'une grande joie, l'Évangile manifesté dans nos vies.
    Bénis chaque pasteur, chaque conducteur de chants, chaque moniteur de l'école du dimanche. Bénis-nous tous, ensemble, Seigneur, car nous T'aimons vraiment. Et maintenant, nous sommes à Toi, Seigneur, dans cette consécration. Dans le Nom de Jésus-Christ, utilise-nous maintenant selon Ta propre volonté.
Ma foi regarde vers Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Ô Sauveur divin;
Exauce ma prière,
Enlève tout mon péché,
Oh, qu'à partir de ce jour, Je sois tout à Toi!
Vous aimez ça? Chantons-le encore.
Comme je marche dans le sombre labyrinthe de la vie,
Et que les chagrins autour de moi se multiplient,
Toi, sois mon Guide;
Ordonne que les ténèbres se changent en jour,
Essuie mes larmes de tristesse,
Et que jamais je ne m'égare
Loin de Toi.
    Est-ce que vous ne vous sentez pas bien avec ça? [L'assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Combien aiment chanter ces vieux chants? [«Amen.»] Moi, je les aime beaucoup. Pas vous?
Nous marchons vers Sion,
Magnifique, magnifique Sion;
Nous montons toujours vers Sion,
La magnifique Cité de Dieu.
Nous marchons vers Sion,
Oh, magnifique, magnifique Sion;
Nous montons toujours vers Sion,
La magnifique Cité de Dieu.
Venons, nous qui aimons le Seigneur,
Faisons connaître nos joies.
Chantons ensemble d'un même cœur,
Chantons ensemble d'un même cœur,
Et entourons le Trône,
Entourons...
    Maintenant, levons-nous pour le chanter. Serrez-vous la main les uns les autres.
Marchons vers Sion,
    Dieu vous bénisse, sœur! Dieu vous bénisse, sœur! Dieu vous bénisse, frère! Dieu vous bénisse, sœur! [Frère Branham continue à saluer les gens. – N.D.É.]
La magnifique Cité de Dieu.
Levons les mains vers Dieu maintenant.
Oh, nous marchons vers Sion,
Magnifique, magnifique Sion;
Nous montons toujours vers Sion,
La magnifique Cité de Dieu.
Nous marchons vers Sion,
Magnifique, magnifique Sion;
Nous montons toujours vers Sion,
La magnifique Cité de Dieu.
    Est-ce que vous ne vous sentez pas merveilleusement bien, avec ça? [L'assemblée se réjouit. – N.D.É.] Oh! la la! Oh, levons les mains, et louons-Le chacun à sa façon.

168     Seigneur Jésus, Toi, la Rose de Saron, le Lis de la Vallée, l'Étoile Brillante du Matin, le Plus Beau entre dix mille pour mon âme. Toi, mon unique Source de réconfort, plus que la vie pour moi! Comme nous T'aimons! Prête l'oreille maintenant, Seigneur. Comme nous Te remercions! Oh! [espace non enregistré sur la bande – N.D.É.] Comme nous Te louons! Bénis-les, ô notre précieux Seigneur et Sauveur! Accorde ces choses, Seigneur. Accorde-le. [Frère Branham et l'assemblée continuent à prier et à louer Dieu. – N.D.É.]
Près de la croix,
Est ma gloire à jamais;
Jusqu'à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au delà de la rivière.

169     Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression qu'on va... Il y a quelque chose pour nous qui est juste devant nous. Maintenant, souvenez-vous, je crois que je suis en train de prophétiser. De grandes joies nous attendent. Croyez-le. C'est vrai. Beaucoup de cœurs attristés seront... De grands mystères seront éclaircis, et la tristesse des gens se changera en joie. [L'assemblée se réjouit. – N.D.É.]
Près de la croix, dans la croix,
Est ma gloire à jamais;
Jusqu'à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au delà de la rivière.

170     Comme Jean, il y a bien longtemps, quand il était devenu trop vieux pour prêcher, on m'a dit qu'il restait assis et qu'il criait de toutes ses forces: «Petits enfants, aimez-vous les uns les autres!» Aimez-vous les uns les autres. Ne laissez rien se mettre entre vous, voyez. Ne laissez rien de tel s'approcher de... Oui, peu importe de quoi il peut s'agir, assumez-le. Nous sommes en route vers Ninive. Voyez? N'embarquez pas sur ce vieux bateau pour Tarsis, où vous n'êtes plus en communion. Avançons vers le flot des bénédictions de Dieu. Je crois que nous en aurons. Je crois notre Père.

171     Vous vous sentez mieux maintenant, sœur? C'est bien. C'est comme ça que j'aime voir naître les enfants, les voir percer. [La sœur continue de prier et de se réjouir. – N.D.É.]
    Je me souviens, il y a bien des années, à cet endroit même, quand je pense que des milliers sont nés, sont entrés dans le Royaume de Dieu, ici même. On était bien loin de se douter, quand on était là, avec seulement quatre-vingts cents en poche pour construire l'église! Oh, Il a dit: «Moi, l'Éternel, J'ai planté; Je l'arroserai jour et nuit.» Et Il l'a fait. Il l'a fait.
    Que Dieu vous bénisse! Maintenant, comme nous courbons la tête...

172     Maintenant, demain soir, souvenez-vous, les réunions auront lieu là-bas à la salle de l'école. Et si... Il y aura quelqu'un pour indiquer le chemin, parce qu'il y aura des nouveaux qui viendront.

173     Si vous L'aimez, dites: «Amen.» [L'assemblée dit «Amen.» – N.D.É.] Oh, n'est-Il pas merveilleux? [«Amen.»]

174     Je me tenais ici au bord de la rivière, et je chantais ce vieux cantique
Au bord du Jourdain je me tiens,
Pensez donc, il y a trente ans de ça, trente-trois, trente-trois ans de ça.
Mes yeux se portent au loin;
Je vois là-bas mon Canaan,
Terre de mon trésor.
    Et beaucoup de ceux que j'ai baptisés ce soir-là, sont là-bas maintenant. Ils se tenaient là et ils ont vu de leurs yeux cette Étoile du Matin, quand elle est descendue des cieux en tournoyant comme ça, et qu'il a été dit: «Comme Jean-Baptiste a été envoyé pour apporter, comme précurseur de la première venue de Christ, ton Message sera le précurseur de la seconde Venue.» Comment est-ce qu'on aurait pu l'imaginer? Mais toutes les Paroles de Dieu sont vraies, toutes les Paroles de Dieu. Nous vivons dans la Présence du grand Roi. Que Dieu vous bénisse.

175     Pendant que nous courbons la tête, je vais demander à notre Frère Neville, notre précieux pasteur, de s'avancer pour terminer la réunion par un mot de prière. Que Dieu vous bénisse, Frère Neville.

1 Let's bow our heads. Dear God, we are happy this afternoon for this privilege that we have of assembling ourselves together once more. And You alone, Lord, knows how our hearts has yearned for this hour that when we could stand before Thy people again here and bring this message that we so vitally feel that it's so urgent in this hour. And Thou has 'lotted us these few days now, and we pray, dear God, that Your hand of mercy will be upon us to guide us and direct us. And give us those things which we have need of, Lord, for our hearts yearn to know You better.
We see the great harvest field, white, ripe, and know the grain is ready now for the great threshing time. Dear God, we pray that You'll open back the shucks from around us; let us lay in the Presence of the Son now these next few days and ripen to the Kingdom of God.

3 Bless every song that'll be sang; bless every prayer; and answer every one that'll be prayed, Lord. Save all the lost. Call back to the house of the living God and to fellowship those who've wandered away.
We pray, God, that You'll heal every sick person that comes under our roof. Grant it, Lord. May there not be a feeble person among us at the end of these meetings.
And dear God, then for ourselves, we who claim in this hour to be the church, the Called-out, those around the world who has come from out of Babylon and to be partakers of this wonderful fellowship in this last day, we pray God that You'll bless our hearts in such a way. We're truly hungry, Lord, and emptied out from all the things of the world that we know of, Lord. We've laid aside every weight that so easily beset us, and now let us run this race with patience, that's set before us. Grant it, Father. And may we be fuller, stronger, better Christians at the end of this service than we were when we entered. May God get all the glory, for we ask it in Jesus' Name. Amen.

6 I think this is a grand privilege tonight that I've waited on for some time. The other day I was telling my wife; I said, "I get so nervous waiting to get to the tabernacle." I just... I have other friends, of course I do, around the world, but there's something or other about this tabernacle here. I was took out of this dust around here when God gave me life here on the earth, and I guess if He tarries, I'll be buried here somewhere. When He comes, He'll find me here somewhere.
But look like there's something when I go to thinking about Jeffersonville. The other day I got so lonesome; I said to my wife; I said, "I'm homesick, and I don't know what I'm homesick about, unless it's those people praying for me." I said, "Well, I'll... Only thing I know to do is go back and have a few days of meeting, see if we can't find something from the Lord, maybe He wants us to know something." And the great, vital subject that we got before us now is "Marriage and Divorce." And if there is a question, there's got to be an answer. There can't be a question 'less there's an answer. No matter what it is, there's got to be an answer. And if the Lord willing, I want to try to speak on that Sunday morning.

8 And then tomorrow night I think we're to be up here at the... What is that school called? Parkview auditorium. What, sir? [Brother Neville says, "Parkview Junior High."--Ed.] Parkview Junior High. How many knows where it's at? Well, I guess they'll have signs out, won't they, Brother Neville? Be... It's just above here about--about three quarters of a mile. There'll be a sign. You turn back off the road. It's a nice, elevated building; it's got places where you can lay your arm out and take notes of what you want to write and--and--and things. And I'm sure you'll enjoy it a little more than you will be kinda crumped up in the meetings here in the--in the tabernacle. There'll be plenty of room, plenty of parking room.
Now, I think they had a little regulation we had to promise to abide by; that was not to come on the ground until about six-thirty?[Brother Neville relates they are not to be on the grounds before 5:30--Ed.] And what time is the... I believe it'd be a good idea for us to get there at six-thirty. Now, they got another auditorium here in town that seats six thousand. If we be real good, we may--someday they might let us have the other one sometime for a big meeting, maybe sometime this summer when I get back from overseas.

10 And so I think we can seat up to... How many can we seat up there? [Brother Neville says, "Four thousand"--Ed.] Four thousand. So you see, we'll have plenty of room; there'll be no rush. And so come up at six-thirty. And then everybody can come in at the right time, everybody together. And I'm sure you--you have a good seat. And it's elevated like this, and--and a place here where you can write, and take notes down, and so forth. And that'll begin, if the Lord willing...
I think now tonight, this being Wednesday night prayer meeting, we got... The place is just about filled up, so I think maybe we'd better start tomorrow night. We rented it just in hopes that maybe that if we would be enough to have an overflow here we could go up there. But I believe it'd be best to go on up, don't you think so, Brother Neville, to go on up tomorrow night? And how many thinks that'd be a good idea? And then you can have plenty of--of room. It's--it's already rented; it's paid for by some brethren here in the church. It just cost us fifty dollars a night, which is very, very... Wished I had that everywhere, could seat that many for fifty dollars a night, a brand new building, fine stage, and... but we're...

12 'Course we will take up offerings, I suppose. And we don't want them men to pay for that themselves; we'll pay for--pay them back. But when we get our expenses and things, well then, of course, we stop taking offerings. We don't...
If there's any strangers with us, we've made that a policy to never beg, bum, push people for money. We pass the collection plate, which is just a... That's a religious act. I've tried it many times not even to pass the collection plate at all, but it don't work. See? Because giving is a part of our religion. It's a part of our duty. No matter if it's just a dime or whatever it is, or a penny, it's all...
So you remember Jesus seen a widow passing by one day where the rich men was putting in much of their treasure in the treasury. And this widow passed by, maybe a couple little, hungry children walking by her side and gave everything she had, three pennies. And Jesus said, "Who paid the most?"

15 Now, if I'd been standing there, I'd said, "Don't do that, sister. We--we... Look, we got plenty of money." But He never stopped her. See? He--He knew He had something greater for her down the road. So see, after all, she had a home in glory that she was going to. And He never stopped her. He let her put three pennies in, because it was just--she wanted to do it. And it was... She'd had to want to do it with children, and a widow, and only three pennies to live on. She--she had to want to do that. So you see, when people want to give, you've got to give them the opportunity to do so.

16 But I think of these standing, and people saying, "Who'll give fifty dollars? Who'll give twenty dollars?" I think that's detrimental to your--to your intelligence. I--I think if the people realizes that it takes money to--to run a--a meeting... And I never would let them do it, the managers. I said, "Whenever you have to do that, then it's time for me to return back to the Tabernacle. So we won't have to do that." But I--I do think that we have to pass the offering plate in--in order to make it a complete religious service.
And so they probably will pass a little offering plate each night, say something like, "Well, we're take up the offering now." And they'll pass the offering plate, and that'll--that'll be the end of it.

18 And each night, if the Lord willing, I think the Lord has laid upon my heart a very definite message for the church. I've been several days in prayer. And I won't go into that, because a great phenomena happened the other day that was really great. And I'm anxious to tell you about it. And now, the main subject, I suppose, which most all of them, Billy said, had been calling, was on the "Marriage and Divorce.' Which it is a great--a great subject. And I--I didn't know how to approach it. And I went up to pray about it, and the Lord met me. And I know that I by... I don't have it, but God has given to me... I have it now. God has given me the correct answer (See, see?), and I--I know that it's true.
And so I don't know just exactly yet, maybe Sunday I might ask our sisters just to omit the meeting themselves, but I--I don't know. It'd be--depend on if the married women wants to come with their husbands. There--there's some real vital things has to be told the truth about and how... And so we want to absolutely lay it out as THUS SAITH THE LORD, and then you got it then... You know just what is Truth then. And I'm trusting Him to do that.

20 And now, I was up here at the restaurant the other day eating, and--and Jerry and all of them's looking for you all. They--they said--said, "Well, we..." Some--one of the boys was up, said, "This fellow said, 'I'm going to come out pretty good this week,'" Said, "they got... These next two weeks..." Said, "They got a--a meeting here, Basketball or something or other," said, then said, "Branham's down there going to have a meeting." He said, "I'll feed a whole lot of people." At the Ranch House, one of those places up there, and they were--been really nice.
And I appreciate you all, for they certainly didn't brag and say nice things about you...
The manager up there at the Ranch House met me the other morning. I got in about two-thirty from Arizona, and he said, "Well, Brother Branham," said, "I hear you're going to have another meeting." Said, "I got some extra help," he said. And said, "Then I want to say one thing, that those people that come from down there," said, "they really are nice people." Now, that made me feel real good about it (You see?), 'cause after all, I kinda feel that you're my kids, and I--I--or children, rather. And so, I... Kid refers to a goat, and you're not a goat. You're my lambs. How's that? You're the Lord's lambs that He's let me feed. And I trust that it'll--it'll--that He'll let me do that. We're going on down the road...

23 And about this "Marriage and Divorce," I've wanted to speak on it ever since the time of those Seven Seals. You know, the--all mysteries was supposed to be made known in them--opening them Seven Seals, all mysteries of the Bible. And I'm thinking now, I... Getting kinda old, I--I think I... I thought I'd better at least put it on tape, whether if something would happen to me, then the church might wonder, "Wonder what He had on His mind, what would He say?" And all those subjects that seems to be so hard, I think the--by the Lord's help I'm going to try to bring them to you. And then--then if something happens, and if I happen to go before He comes, why, you--you'll have it on record then.

24 I think we got some new books out. I see Sister Vayle; I don't know whether Doctor is here or not. Is he here, Sister Vayle? He's probably in the meeting; I don't see him, but... Oh yes, way in the back. And Brother Vayle has wrote a book, and it's a... I thought, I believe they said today, two. Brother Vayle, is that right? You have two here now? Two books. Now, I don't know, I--the way I understand, that each person gets a copy. So I... If you... That's the way I understand it. I may be wrong in that.
And then the "Seven Church Ages" has been finished (Is that right Brother Vayle?), and on print now. And I know you'll want to get them, 'cause they answer a lot of questions that's been in your heart. And then after that, well, we're going to try to get the Seven Seals opened, you know, in the book so that each one can read in form that they--that they want to--can understand and study it.

26 I think when it's wrote out, if it... First we took it right off of the tape the way it was written or spoke. And you know, you can preach a sermon is one thing. And then write a book is another. See, like I'd happen to touch on a subject, like I'd say to you, you'd understand. I'd say, "Now, the serpent's seed..." See? Well now, the reader of that book, if you took it off, would wonder, "What is the serpent's seed?" See? And they wouldn't know. If that happened to go into such a place like Princeton or somewhere, and they'd--they'd think we were unintelligent people. So I got Brother Vayle to kinda help me with this and keep the line of the same thought and give it grammar. And I'm sure my grammar, they--would--it would be a mystery to them, sure enough. So the--Brother Vayle's really good on that, so he's as a...

27 And then in that, I think our precious brother must've picked up a little extra inspiration somehow, and he said he was going to write a couple books of his own off of them like. And so he wrote one called, I believe, "The Twentieth Century Prophet" and another one, "Laodicean Church," I believe, or something like that.
And Billy told me tonight that I believe several thousand of them arrived today; somebody brought them from Texas. And so they--they'll be here. And they'll announce it I think whatever they are. I think they're sponsored; I'm not sure. And if they are, they'd be given away to you (You see?) to--free. And we hope you enjoy it. And if you do, shake Brother Vayle's hand back there and tell him how much you appreciate. I've never read them myself. If I'd read them I might change my mind about that, so I--I'll try to read them this week while I've got a chance if I can.

29 Now, being Wednesday night, our meeting officially begins tomorrow night. But I think in being here among you, I--I just couldn't stay up there at the house and--and know that you all were down here. I... Just like, you know, like some of your kinfolks come in, you know, and you run down to the end of the lane to meet them, you know. And--and I--I thought I'd just run down and--and welcome you to Jeffersonville. And so this last week I was... About... No, I beg your pardon it's been about three weeks ago, I come home; I'd been out trying to... Been on some meetings through Arizona there. And I come back to try to relax, and I went on a hunting trip, and--and I got the Arizona state record lion. I run him through twenty miles of timber to get him.

30 But then to think though that I never thought when I was a little boy... Just to show how these things happen, a little place that the Lord has given us up there for the months that we're out there, and school for the kids. I was a little boy... I guess Jimmy Poole's here tonight; maybe his dad's here, Big Jim. We went to school together, and I remember setting there, was a little old ragged kid and shoes, tennis shoes on, toes out of them, borrow a piece of paper from one, and a pencil from another...
I used to write poetry. Mrs. Wood here had me recite that this afternoon on tape about my old Ford, you know, and it's--it's a good one. Now... She said, "Well, you ought to send that to Mr. Ford." I said, "There's too much truth of it, he..." About a rattle in the front and a grind in the rear and a Chinese puzzle for a steering gear. But I... It's--it's a... But I always said, only thing I had to do is count four tires and shake it enough to get it to--started and then get in it. I said, "It was good when I'd start up the hill with it, just go pulling real slow, saying, 'I think I can, I-think-I-can, I--think--I--can,' then start at the other side saying, 'I thought I could; I thought I could.'" That's the way we pull this hill like "Pilgrim's Progress." So we...

32 I had a little poem I wrote something like this. It said... Now, just think; I was only about twelve years old. And standing up the other day looking up that canyon, and thinking that lion will be setting right here in this den room looking out the window in a glass window, I was thinking of a little poem. I went back and picked it up, something like this.
Just think how God... Do you believe God's in all inspiration? God has to write a song. You believe God's in songs? Jesus said so. He referred back to David. Don't you know what David said in the Psalms, you know? "Has not it..."
Look at the very crucifixion. David sang it in the 22nd Psalm. "My God, my God, why has Thou forsaken Me? All My bones they stare at Me. They pierced My hands and My feet." You know. And that was a song. Psalms is a--is a song.

35 And in this poetry just watch how it come to pass. Standing there a little old kid with a borrowed sheet of paper, I said:
I am lonesome, oh, so lonesome for that far away southwest,
Where the shadows fall the deepest over the mountain crest.
I can see a lurking coyote all around the purple haze;
I can hear a lobo hollering down where the longhorns graze.
And somewhere up a canyon I can hear a lion whine,
In that far off Catalina Mountains at the Arizona line.

36 Forty years later I'm setting right there at that canyon, that lion looking me in the face. Oh, God, there's a land beyond the river somewhere, friends. It's just--it's got to be there. See? There's--there's too much speaking of it. All these things are not just myths; they are--they're real. They're realities. I'm so glad to be here tonight to be with these people that I'm expecting to live over there forever with, where there'll be no more sickness, or death, or separations. And travel will be nothing to us then.

37 Now, I think no meeting is complete without reading the Word and having a little... Brother Neville, I just walked up here. Billy said you wanted me to speak. Was that right, Brother Neville? I maybe taken a little too much for granted, but I--I just felt so good about it. You know...?... So now, you that's got songs and things, you see Brother Neville when you're going to sing, and then just have it up there, and have just about a half hour preliminary, and let's get right into these real deep messages and see what we can see the Lord will do. And I just trust...

38 I--I believe we have Truth. I'm satisfied with that. And I believe the wheat is absolutely, the shucks pulling away from it. You know? And to see... I may give a little prelude on that tomorrow night (See?), how the shuck's pulling away from the wheat. But the wheat has to lay in the presence of the sun to ripen. And that's what we're here for, friends. Stay in the Presence of the Son till our little group of people here, till it becomes so ripe to Christ, that it becomes bread on His table. That's what I want it to do.
And now, before we approach the Word after reciting poems and so forth, let's pray again. Then we're going to take a text.

40 Dear Jesus, help us tonight now in these few words as we wait upon Thee. And we pray that Your grace and mercy will be with us, Lord. And tender our hearts; move back all the shucks, the thorns, the thistles; let the blessed sunshine of God fall in upon the Word, Lord. And may we have such a great meeting till there'll not be an unsaved person among us, all the children will be in the Kingdom of God. Those without the baptism of Spirit, may they receive it, Father. May all the great mysteries that we are supposed to know at this age, Lord, be unveiled to us and we'll see the plainness of God, so that we'll know how to behave ourselves and act, correcting ourselves and bringing the members of our body into discipline to the Word, that we might know how to live in this present day at the approaching of the Lord Jesus.
As I read of Thy Word tonight, Lord, I might by a partial education be able to read and some of the words and maybe mispronounce others, but, Lord God, You alone can pull the context out of there. You're the only One that can do it. There's no--no way for a human being to ever do it; it lays in Your hands, Lord. So give to us each night them things that's hid in Thy Word, that we might be better Christians and live according to the time that we're living in, as examples of Christianity. We ask in the Name of the Lord Jesus. Amen.

42 Now, many of you, in your Bibles I want you to turn to the Book of Jonah. It's a... We always talk so much about Jonah being a backslidden and everything. I've always took up for Jonah. I do not believe that Jonah was backslid. I--I do not believe that. I believe it's just that we just sometimes use it, say, "He's a Jonah." But if we... I've already spoke on it in another way, in telling how that I thought Jonah, what took place.
Now, the word of the LORD came to Jonah the son of Amittai, saying,
Arise, and go to Nineveh, that great city, and cry out against it; for their wickedness is come up before me.
But Jonah rose up to flee unto Tarshish from the presence of the LORD, and went down to Joppa; and he found a ship going to Tarshish: so he paid the fare thereof, and went down into it, to go with them unto Tarshish from the presence of the LORD.
Isn't that a sad ending? "A Man Running from the Presence of the Lord," and that's my subject.

44 Now, first we want to think of this. Jonah was... The reason, the principal reason that I believe that he did this great thing here was because Jonah was a Jew, and he was asked to go to a Gentile city to cry out against it, thinking that he would not be received; because the Gentiles would think, "What's this Jew got to do with us?" But you see, another thing, it gives us a great thing here to see, that God not only is God of the Jew, but He's God also of the Gentile. He's God of all people. He just chose the Jews.

45 The Jews was called God's chosen people. They were chosen for a specific cause. And that cause was to give to them the law. And they could not keep it. And He just showed by that people, that the law could not be kept. And if He was a--a--a God of righteousness... And the law demanded righteousness, but there was no grace in law to bring a man out; no penalty was paid by the law. But it taken grace to pay that penalty unto where the law put us under.

46 And Jonah here was called on--as this, one of the minor prophets of the Bible, to go down to this city. And here we find an example of all of us. Every one of us, we always are running from something. We run from troubles; we run from responsibilities. We--we're all prone to do that. We--we are--we're more prone to run than we are to stand and face it out. See? We just--we--we find ourselves running. Sometimes we find ourself prone to run from work. We don't want to--we don't want to work. Some people just think they can make their living without working. But I think Solomon, it was, that said we could find here the answer in watching an ant.
You know a little ant, they tell me if that--every ant doesn't work and lay in, that ant doesn't eat that winter either. So everybody has to--to work.

48 We got so many things we have to do, so much responsibility that we have to face. Everybody's got to face a certain responsibility.
When you--when you come to--to choose your wife, to get married, or choose your husband, you--you've got to take a responsibility. And then you must remember... Maybe you build a home; it's a nice pretty home. And then remember, as a married woman you got to think of the responsibility of raising children. And you got to think that them pretty slick walls is going to have little, dirty hand prints all over them. Then you got the responsibility of educating your children. You got the responsibility of clothing and feeding. Everything is a responsibility. And so easy when responsibilities face us to shirk from them. And we find out that marriage is a responsibility in all manners.
Even many times we find--this is hard to say, but it's true--that ministers many time shirk a responsibility for standing for the true Word of God when they're confronted with It. They'll shirk that responsibility. When Truth of the Word of God is brought face to face with we human beings, we have--we're prone to shirk back until the last resource.

52 I just got through talking to my little nephew up there. He's a Catholic, and he... And I baptized that boy in the Name of Jesus Christ here a few years ago, and he got with some little girl and turned Catholic. And I held his mother's hand while she was dying over there. She said to me, the last words, "Take care of Melvin." And he's just been dreaming dreams. He just can't... Every--everyday the last week he's been dreaming dreams. Said, "I'd walk into your church, Uncle Bill; you was standing there preaching; I'd run up to start to make a confession; I'd wake up." He said, "I--I been wrong."
I said, "Melvin, you don't need no interpretation for that. Your place is down there where you belong." And that's right. See?

53 But to face up to responsibility, sometimes it takes the very hide off of us to do that. As a father to face up the responsibility to give your child a whipping. Them little fellows, you don't want to do that. But as a father or mother you've got to face the responsibility of raising that child, because the Bible said, "Spare the rod and you'll spoil your son." And that still stands good in the sight of every psychologist there is in the world. That still remains God's Truth. If there'd been more of that practiced, we wouldn't have had so much juvenile delinquency and stuff, and the rot that we got in the world today. But the old golden rule of the home's been broken long time ago, and they let the kids do whatever they want to.

54 But even as I said, ministers, they'll come face to face with Truth, and then walk away from it. See, they're--they're just have--just seems like there's something that they--they don't want to face up to it.
Many time out there people come, say, "I know that's right, Brother Branham, but if I did that, they'd kick me out of the church." What of it? If you don't, they're going to kick you out up there, so you--you got to be kicked out somewhere. See? So you might as well face up to it. Instead of running from it and say, "Well, I'll go over here; I won't go back." Go back, sure, listen to some more of it. Search the Scriptures. Jesus said, "Search the Scripture for in Them you think you have Eternal Life, and They are They that testify of Me." But we find that people won't face up with that.
Being brought to--into the Presence of God and see when God made a promise, and God is obligated to that promise, and when He brings that promise to pass, then people are afraid to face up to the responsibility of coping with the Message of the hour. We find that everywhere.

57 How about you Lutherans? How many Lutherans was afraid to--people was afraid to face up to Luther's truth when he come forth with justification? Look what it cost you, maybe your own life to come out and confess Jesus Christ and--and become a--a Lutheran.
Looked at you Methodists, how it used to be you all were called holy-rollers; I guess you knowed that. And they'd get under the Spirit and jerk back and forth. And they said they--they had the jerks. The Meth... That... No, that ain't Pentecostals; that was Methodists longs years ago. And they jerked, and shook, and fell under the power of God. And they throwed water in their faces and fanned them with fans, thought they'd passed out. And now, you were considered a bunch of holy-rollers. But you had... Your mothers and fathers had to either accept it, face up to the truth and facts, or turned her down.

59 What about you Pentecostals that received the restoration of the gifts? When the baptism of the Holy Ghost come out with speaking in tongues and the gifts of the Spirit coming back in the church, why the Methodists wanted to kick you out, and they did do it. But you had to face up to it. It's something you had to do.
What about the issue when it come out about the baptism in the Name of Jesus Christ and you saw it was the truth? You have to face up to it or do something about it. You've got a responsibility; everybody has. And you must face up to these things. All right.

60 And when you see then in this day now when the Word of God has made these promises of things that we see happening now, then we've got the responsibility to either face up to it or get away from it. You have... You just can't stay neutral; you've got to do something about it. Said... Some move's got to be made. You can't come in that church door and go out the same person you come in. You're either further away or closer to God every time you come in or go out there.
Oh, how easy it is for people to shirk these things. And I want us to think of these when we start into the official services tomorrow night, that I want you to notice when something is confronted, if you--if there's a question about it... If there's a question about it, there's got to be an answer.

62 Say for instance I said I was going west, and you pointed me this a-way. Well, the first thing you know, I run plumb a-passed my target. And I'm too--I'm northwest. Well, what if somebody points me down this way, and I go that way. I'll pass my target again; I went southwest. Well, as long as there's a question of which was is west, there's got to be a direct answer somewhere. And when these questions confront us about the Bible truths, there's got to be the right answer somewhere. That's right; it's got to be there.
And when we see something presented, I think instead of just running away, say, "Oh, nonsense, I couldn't believe a thing like that; I couldn't believe that," why don't you take the Bible and set down and face up to it. Study It. You're here in the meeting now; just look it over. Check it out yourself with the Word; check the Word by the Word. That's the only way to make It tell the Truth. And It must tell the Truth from Genesis to Revelation.
Christ is the revelation of the whole Bible. In Him, Christ, all the Fullness--fulfilling of all the prophecies of the Bible is met unconditionally in Christ Jesus, 'cause He was God manifested in the flesh.

65 Now, when we find these things though, when we're confronted and come into a meeting, and see the power of God moving and doing things, and doing supernatural works, and see it performed, and look in the Bible and see that it's promised for this hour; then when we see those things, then we are confronted with a responsibility to either accept it, I mean, as for ourselves...
Now, many people sympathize; many people say it's right. But that don't--that don't make it what--that ain't the thing that you're responsible for.

67 As I've said... What if I--if I was a young man and looking for a wife, to be married, and here stood a girl that met every qualification that I thought it took to make a woman, why, morally she was a queen, and lovely, and--and a fine personality, a real Christian, everything that I could think of to make me a good wife; no matter how much I think she's perfect, she's exactly right, she isn't mine till I accept her and the responsibility of her being my wife.
That's the same thing the Message is. You might say it's right or this, that, or the other, and say, "I sympathize with it; I believe it's the Truth," but you've got to accept it; and it's got to become a part of you and you a part of it. You've got... Then it's yours.
When you marry this certain woman that you have chosen you are--you are one then. And that's the way you are with Christ. When you see Him manifested and made real, then you are part of Him, and He's part of you; and together you're part of the Message.

70 Oh, how many denominational ships have we got going down to Tarshish for the Jonahs of these days: nine hundred of them, something, a ship that takes the easy route. Don't want to face up to it. Jonah didn't want to face up the thing of going to the Gentiles. He didn't want to take that cruel message over there: "Within forty days you'll perish if you don't repent." He hated to do that, and he thought, "Them Gentiles, it's hard to tell what they'll do to me." But he had to face up to it. See? But he took a easy ship and went down to Tarshish, went down in the hull of the ship and went to sleep: took the easy route, the easy way.

71 It's a popular way with the people. It's easy to take the way where everybody can pat you on the back and say you're a good fellow, and, "This is So-and-so, and certain..." and the world will look upon you. It's easy to go the popular way. But when--when you have to do something different, when you have to stand to your conviction of what you know to be the Truth, there's where the hard part; that's the rub comes, right there.
Oh, as we've often sang that old song:
How easy while sailing this sea and its calm,
To trust in the strength of Jehovah's great arm;
But, oh, let the waves begin to blow; let--let the wind blow and whip up the waves, then what do you do?
Something like I was told one time that the lady said back in the horse and buggy days that--that said. The horse run away with her going from church. Said, "What'd did you do?"
Said, "I trusted the Lord until the lines broke." Well, that's the time to trust the Lord, after every--after the lines is broke. You're trusting in the lines until they're broke. Yes.

75 And so we find out that we have many easy ways to go, ships going down to Tarshish, for it's easy. The unresponsibilities, it just flows in; you have everything coming, everybody likes you, and everybody--nobody disagree with you, you disagree with nobody; now, if that ain't a dishrag (That's right. Yes.), push over, flop over. Why, anybody, I don't care who you are and what you're standing for... Actually, decent thinking people will think more of you if you'll stand for your conviction of what's right. That's right.

76 Don't care... You take a woman, she might be ever, not very attractive and whatever she is, but you let that woman stand for principles of womanhood, let her stand like a lady, and if a man's got a ounce of man about him, he'll take up for her. Absolutely, we appreciate something that--that somebody's got that they believe that it's the truth and will stand for what they think is right.
How wishy-washy, that's what. Too many Christians today are so soft-soaped and everything until they think all they do is join a church, go in somewhere, put their name on a book, or do a little something, jump up-and-down, shout or--or something like that and call it Christianity. Christianity's a everyday, rugged life living for God in the--this present world. It's a constant burning of the fire and love of God in the heart that sets you afire and puts you out yonder with the people and making converts to Christ.

78 Responsibility... But it's easy to go the way the world goes. It's easy to flow down the stream. Go out there and set down in the river with your boat. You get your oars and start pulling up against the current; you don't make much time and it goes hard, but you just once let loose the oars and watch how fast you pass trees going down. But look where you're going. When things are floating easy, remember, you're going towards a--a great cataract down there of some sort; you're going towards the falls. And it won't be long till you'll be going over that falls, just floating with the world, easy, the way it goes. You don't want that. No, sir. But you must accept your responsibility.
Now, you believe it and you--you think it's the Truth...

80 And the responsibility that God has given us in this day to bring this Message... And as I get older and I know my days are shortening up, I feel the responsibility greater than I ever felt: press it on. We must do it. We must get down to it in our--everywhere we go and tell the Message and--and tell the people that Jesus Christ is coming, that He's God and He's coming soon. There's not a--not a hope left in the world but the coming of the Lord.

81 Looking back there at some friends that was with me up there when the Angel of the Lord... These boys setting here, I believe they found the place where it happened up there. And just remember what the Lord said that day to Brother Wood when we was walking up the hill. And--and he was kinda weeping because of his wife being sick. And the Lord said, "Pick up that rock, and throw it up in the air, and say THUS SAITH THE LORD." And I did that. And Brother Wood is setting as a witness.
And I said, "Brother Wood, it won't be long till you're going to see something happen." And the next day when we were standing there, all of us together... And a bunch of the men standing right here tonight...

83 A young preacher was there, and he was a... I noticed... I just met him the night before; he was in our camp. He come up to be with us. And he said to me; he said, "Brother Branham, do you ever see visions out like this?"
I said, "Yes, sir. But I come out here to get away from it, to kinda rest a little bit." He said... "Well," I said, "of course He shows me things out here." And I said, "Just over the hill here where the Seven Angels appeared down in there."
He said, "Yeah, I understand." Said, "I was one of the sponsors on your meeting over in California."
I said, "Well, I'm certainly glad to know that."
And while standing there, just then I looked around and I seen kind of a heavy-set doctor looking into his eyes, and I heard him say, "You're going to lose that eye, because there's a allergy in there. And I've doctored it for two years, and you're going to lose that eye." I said," Reason you ask me that, because your doctor told you the other day you was going to lose that eye."
And he said, "That's right."
And he looked around like that, and I seen his mother take off one of her stockings and hold her foot out with little tumors hanging down between her toes, up-and-down her leg and said, "If you see Brother Branham, tell him to pray for this." And I said, "Your mother hand her--stuck her foot out like that and said she had--she's got little tumors all over her--her toes and like that, and said, 'Have Brother Branham pray.'"
He said, "Brother Branham, that's the truth."
And I looked back, and when I did, I seen him standing there looking at me like that with his eyes just as bright. I met him this fall; he had better eyes than anybody in the camp. The Lord had healed him and made him well.

88 While I was standing there the Lord said--showed me what was going to happen: "Judgment's fixing to strike the west coast." And He said, "Get over there beside that fireplace."
And I had a shovel in my hand, walked over there... Brother Roy Roberson, all of us know him here; he's not here tonight as I know of; he's in Arizona out there. He's the chairman of the trustees here. And I knowed him being a veteran. And something was going to happen. A real, pretty, still morning about ten o'clock in the morning, and the boys all around there, ten or twelve of us, letting down tents, and skinning out pigs, and things. So we, I walked around, said, "Roy, hide quick. Something is fixing to happen." I couldn't tell him no more. And just the time I got over there...
And coming down from the heavens come the whirlwind of God and clapped like, shook the hill, run inside of that mountain, cut a streak plumb around it about five feet above my head, and cut all the tops of them trees off as the rocks went out, went up in the air and come down again with another big baptism, and struck across the mountain, and throwed the rocks out like that. Did it three times, then went up in the air.
And Brother Banks come over to me and, "Is that what you said yesterday?"
I said, "Yes, sir; that's exactly it." See? And then two days after that Alaska sunk almost up there. And up and down that west coast has been thunders and pushings and everything happening. And one of these days she's going to slide beneath the ocean. That's right. What is it? We're living in the hour of the coming of the Lord.

91 And we see isms and things rising up and all these different things; we know there's got to be a true answer to this. There's people out yonder in the country now going into caves and things. "On the 16th of March (you've read it in the paper) the Lord's coming." You know that isn't so. Jesus said, "No man knows the minute or hour."
When we see all of these things and things taking place the way they are, there's got to be a true answer somewhere. There's got to be a Truth. There's one east and one west, but there's--one southeast and northwest or something, but there's got to be a true answer somewhere to the problem.

93 Shirk this? We must tell the people that we're living in the hours of the coming of the Son of God. We want--want to watch and God... Be on the move all the time, ready to give a man a correct answer.
It's always been that way. It's--it's been men has shirked and went away from God every since Adam in the garden of Eden. When Adam was in the garden of Eden, when he come to the responsibility to make his choice: Would he stay with God or go with his wife? He had to make that--he made to make that... The responsibility was up to him. He either had to take what his wife said or what God said. And when he chose to go the way of his wife... And when he did that, then he lost his original condition and brought the whole world subject to death. When he had to take the responsibility of either accepting a new light that his wife had found which was contrary... Oh, God. Think of it. God only give them about eight or ten words to keep: "But of that tree thou shall not eat." That's all they had to keep. And even with just that much word, they broke it. Then Adam had to face up, "Will I--will I do as my wife has said do, or shall I do what God said do?" Then he walked out with his eyes open. He'd had to take the responsibility. That throwed the whole human race unto death.

95 Then there come that other Adam which was Christ, not a One like Him. Somebody say He wasn't God. His uniqueness proved He was God. There never was a creature lived like Him. He lived in a world to Himself. He was borned outside of the realm of the natural...?... Hallelujah. He was the Creator Himself made flesh. Who could ever stand where He stood? Who ever talked like Him? Who could ever say the things that He said? Who could ever do the things that He done? His uniqueness proved He was God. There wasn't a prophet or nothing else could do what He done, Who could call the dead back from the grave, and Who could stop the skies, and do anything He wanted to do. He was God. Who could ever stand in His place? Who--what could He be but that perfect, immortal God made flesh and dwelt among us.

96 Nothing ever compared with Him. He lived in a world to Himself. No man ever spake like Him. When He just opened His mouth, there was something about it. Something was different from anybody else. Somebody said He was just an ordinary man. I defy that. He was God; that's what He was. For no man ever spoke like Him; no man could speak like Him; because He was the living Word Itself made flesh, the manifestation of the Fullness of God.
I will admit them prophets had their message. They had them then; they have them now. But there was the Fullness of the Godhead bodily manifested there. He was the unique One, and He was the One that had to face the issue with all of His great powers that He had. And He could've absolutely been the King of the world. He will be and He--to His saints He is now.

98 He stood there. What man would be poor, didn't have a place to lay His head, that even knowed where a fish swallowed a coin. Who, what man could take them big jugs of water and turn them to wine and not have a place to lay His head? He had to face up to the responsibilities that had been given into His hands. What man that--could raise a man out of the grave after he'd been dead four days and rotten? Could He not have saved Hisself? Sure He could, but if He did He'd have not saved us. He had to face up to the responsibilities. And because of His obedience to the Word, where Adam's disobedience, and he took the short cut, the way down to Tarshish, but Jesus took the way to Nineveh to the Gentiles to get Hisself a Bride. I'm glad that He did it tonight. And we ought to face up to the facts that we belong to Him and take the world away. Amen.

99 Every man had to face up to that, has got a responsibility before God. We just take for instance Noah, he had... Noah, Moses, Elijah, and all the rest of them of every age, had to face up to the responsibility. And they had to do it. But that's the reason they were sent in the hour...
Look at Noah in his scientific age, how he had to face up to a thing that was so unscientific. Why, there wasn't a--a reason why it couldn't be unscientific. See? It--it was unscientific, rather. Why, they said it's going to rain out of the skies. They... Never had rained a drop out of the heavens. Well now, he had to face up to it. God said it was going to rain.

101 And then he... Then faith without works is dead. If you say, "I believe it," and don't make no act... Just like the Message. If you say, "I believe it," don't make no act, what good does it do? See? Noah went to work with his hammer and built an ark to confirm what he was talking about. That's what we have to do too. We have to go to work and prove our faith by our works. Our works proves our faith.
Moses had to do it, and Elijah had to do it. Every prophet in his age had to stand up and face these responsibilities. But many of them didn't do like Jonah. He run; they didn't.

103 Notice. Cry out against it. Oh, my. There it is; that's the subject. Cry out against it. There's the check part. He was going to have and tell those fellows, "Say, I come to join up with you guys. You know, I believe, I'll tell you what I'll do; I've got just a little thing here I believe I can make it a--bring us all together, and do this, that, or the other," but it was cry out against it. When you have to cry out against something... Now, he had to cry out against everything that was down there, cry out against the city, cry out against their work, cry out against their church, cry out against their prophet, cry out against their ministers, cry out against their priests; cry against it, the whole thing, cry out against it.
Noah cried out against his age (Sure he did.), up against the churches of his age. Moses must--certainly did cry out against his--his age--the people, the priests, and so forth. He cried all the way through the wilderness. And every junction he cried, continually crying to the people. Elijah was very unpopular in his day because he cried out against that age. Certainly was.

105 John the Baptist was very unpopular in his age. He cried out against his age. He said to the king, the--the potentate of the--of the land... He--he had--he married his brother's wife. He had to preach on marriage and divorce one morning. So he cried out against it; he said, "It's not lawful for you to have her." It cost him his head to be cut off later, but he cried out, and he stood to his post of duty. He never took a ship to Tarshish and said, "Well, I'll agree with you, Herod. It's all right. As long as you think she's a nice woman, she's making you a nice wife, go ahead." Oh, mercy. Them dishrags. You see? Just--just every little thing... Why, it's nothing but to clean dirty plates with.

106 But notice. John wasn't that way. He faced right up to it. He said, "It is not lawful for you to have her." Yes, sir. And he stood out against it.
They never run; John didn't; they stood and faced the fact. Moses tried to run one time like Jonah, but God brought him back. Many of them tried to get away from it; they'd start... But look, if God has called you and you are sure that God's in the Message, there's nothing going to turn you back. It didn't turn Jonah. No, sir.

108 Amos of old cried out, said, "The lion has roared; who can but fear? And God has spake; who can but prophesy? Who can but prophesy?" When you see God speaks and said a certain thing will happen, and there it is...
A lion roars, everybody's scared. Yes, sir. If you ever heard one roar in the jungle... You hear these meowing around these cages out here, them tame lions, but you ought to hear a real wild one roar one time. The rocks will fall off the hill five hundred yards away. I don't see where all that belch comes out of them lungs that... He throws his head down, throws that fur up; I never heard anything... Like a--a cannon going off when he belches out that big roar in his lungs. Who couldn't be scared? They say if you're ever killed by a lion, it's painless. He scares you to death 'fore he gets to you. See, you--you don't notice it. He scares you with that great ferocious roar, and here he is on you in a split second.

110 He said, "The lion has roared; who can but fear? And God has spoke; who can but prophesy? When you see God doing something... You say, I might not be a prophet... Jonah said... "I might not be a prophet or the son of a prophet; but God has spoke, who can but prophesy?"
I might not be a prophet; I might not be this, that, or the other; when I see God doing anything and I see in here in the Word, and He promised it, who can hold their peace and keep still. Sure, He's done it.
Neither can we hide behind creeds, and all these here fellowships, and--down to--to Tarshish; we don't want to go them fellowships.

113 But many like Adam, do the same thing, try to make a substitute in some way, try to find a way out, and--and make a substitute to face God after they know in the wrong, faced up to the truth, went on with his wife and did exactly what God told him not to do. He went right ahead and did it anyhow. And then he found hisself naked, she and he both in the garden of Eden. Their eyes come open; they knowed what was right and wrong then. And then he tried to find a substitute to kinda cover himself up with it. Now, that's just about the way we do today, an excuse, say, "Well, I tell you; if it was here or if this..." or, "If, if, if;" that's just it. See, but you must face up to it. It's either right or wrong. And if it's right, let's stay by it. If it's wrong, get away from it. That's all. Get what--find out what is right. You don't want to wait any longer. Let's find out now what's Truth and what's right and stay with it. We know that's truth.

114 Now, we find today that our people are so... It seems like all the sincerity has gone out of the churches.
I... In the... We're living in the house there of a precious sister that comes to this church; she's probably setting here tonight. And she rents it out to her--the people; and she's just been so sweet to us about that place, about letting us have that place. And so I'd call her name, but she might not want me to do it. And she's been so sweet to us, well, we certainly wouldn't--wouldn't want to expose her. But she's been a very, very dear woman. And in the house there was a television over in one side. We got a little--two duplex. I got a big family, a bunch of youngin's, and we--and you--you know, and they have beds and plenty of them. And everything piled up on top, and we have to walk through this and through that to get in and out.

116 And then over there they had a television. And in this television these kids got to watching on Sunday morning some kind of hymn singing that come on. And you know, it--it would almost make you ashamed if there wasn't a genuine Christianity somewhere that you could put your hands on, to see what's called Christianity. Why, it seems like all the sincerity's gone out of it. Why, they don't--they don't seem to... Why, it's just terrible the way they stand there and draw their fist and fight one another on there, and try to sing hymns and everything like that, and pull jokes that hardly would--a sailor would pull, and then say all kinds of things, and kid and go on. You know the sacredness of--of--of Christianity has seemed to lose its place.

117 Now, I go to church and--and see the pastor get up there and announce that the--there's going to be a--a swimming bee. All the women in these bathing suits, they're all going out there. They're going to have a contest, these women, swimming. And they're going to have a--a party of some sort, and they're going to fry up a lot of--of chicken, and play bunco, and--and all these things like that. To me that takes the genuine sincerity out of Christianity. Just get by with anything.

118 I seen... Coming up here... We find out... You know, we find more of our sisters wearing shorts up here in this cold country than you find out there in that hot country. See? It's true. Out there where it's really hot there's not too many of them that wear them. But here where--where it's cold they--they do it. See, it's... They don't realize it's the devil doing that. See? Now, if it was to be comfortable, if it was to help yourself, it'd be different. Be men. I think it looks sickly on a man. But it--but... Yeah, yeah, You... You'd wouldn't pay no attention to a man. But the lady, her--her body is sacred, and she must keep it that way. And to see old...

119 If you can see people today... There's two spirits; and One of them is the Holy Spirit; the other one's a unholy spirit, and one's governed by that. And both of them religious, now, that's the strange part; they're both religious. And just like Esau and Jacob was, both religious; like Cain and Abel was, both religious; like Judas and Jesus was, both religion--both religious... And we see it today, both sides religious. See, it's the same spirit. The people die, but the spirit doesn't die; it goes right on. Both religious, one of them is possessed with the Holy Spirit that lives the kind of life that they should live and walk godly and honest. They wouldn't beat you out of a penny, and they'd--they'd do everything honest that they could to help you, and the others just will--just as nice as they can be. And the others we find out it's just vice versa, and yet both of them are religious spirits. Two of them, one Holy Spirit and the other a unholy spirit. And we--if you notice it'll... Even though claiming religion, they'll make fun of you and call you a holy-roller; they do anything they can. A...

120 They ignoring the--the unchanging Word of God as though It never had been written. See, you can say, "Now, looky here, if--if the baptism... I have the Holy Spirit." And stand there with that cigar in your hand smoking? "Yes, I have the Holy Spirit. I don't think it's wrong to take a little drink. I don't think it..." See? And did you notice, "I don't think?" But God thinks different, you see, of course, to His Word. See? See, they--and they--they just simply as much as--as spit on It. That's exactly right.

121 Just as much as this little, old, crippled guy that crawled out that time when David was being excommunicated from his throne... He was going up on the Mount of Olives, going out weeping as he went up, looking back. And this little, old fellow crawled out there and was spitting on him. And that guard said, "I'll let the--that dog's head stay on him and spit on my king."
David said, "Let him alone." See, they spit on him. About eight hundred years later they spit on his Son Jesus Christ too. And today they spit on Him again as if there wasn't even...?... irreverent, unconcerned, just turn up their head, and walk away from it, and laugh in your face. Why is it? They're on a ship to Tarshish that's exactly.
Because of God you cry out against evil, cry out against sin, cry against the things that's wrong.
Now, remember, it'll be... Say, you know, this time, you know, I'm two hours difference. In Tucson it's just ten minutes after seven. I... That... I'm getting kinda--kinda out of my place here. All right.

123 Now, remember, we're going to have to answer for it. Remember those who spit on Christ answered for it. When David returned back from his exile--when he was a fugitive--and when he returned back, remember this fellow fell on his face and cried out for mercy. He spit on David going out, but he was almost ready to bathe his feet with tears and--when he returned back. And someday those who pierced Jesus will see it, and those who are piercing Him today will see it also. They... Someday it'll come back. Remember Revelations 22, He requires us to keep every word that He has written, every word.

124 Now, we know His Presence are here. It's vindicated. We are having it. We're trusting in this coming week it'll continue to be vindicated among us, the sick will be healed and great things will be taking place. We don't want the popular idea; we want the Truth. And we don't--we want--don't want to... We don't want to face up to nothing but what God has said is the Truth. But be sure that your sins will always find you out. If it doesn't here, it'll get you at the judgment. So you're--you're... It's going to catch you somewhere. Now, that's true.
But if--if you are a true Christian, truly called like Jonah was, God's already got your fare paid. Get off of that ship going to Tarshish anyhow. God predestinated you to this life. Yes, sir. If you're a true, called child of God, come to Christ. Come into the fullness of Him. Your way's paid to where? It's paid to Nineveh, not to Tarshish. You're predestinated. Your ship... There's a ship leaving right now on its road. So there's only one thing to do is get on it. And if you was like God... You'll never have no peace.

126 Like my little nephew awhile ago, about ten years now he's went from pillar to post, some morning he goes to this church, this Catholic church down here and take this one because what some holy father he talks about over here, and somebody over here, and some over here. What does it all amount to? See? And now he's still hungering and thirsting. I said, "Your place is at the altar down there, son." See? There's no way of getting out of it. When God ever takes out after you, you just might as well give up and go on; that's all.

127 Remember God--God was in the boat; God was in the storm; God was in the fish; everywhere he turned, God was there. See? God's there. And He'll just keep haunting at you. So why do we wait any longer? Let's just start this revival right. That's right. What you waiting on? We believe that the coming of the Lord is at hand, and He's going to have a Bride, and it ready. And we don't want no ships to any Tarshish. We're going to Nineveh; we're going to glory. Amen. That's right. We're going where God's going to bless, and that's what we want to do.

128 Lay out in the Presence of God then with our hearts, not our--our hands so much, but our hearts before God until He's seasoned us through and through like that with the rays of His glory and baked into us His--His goodness, and ripened that which we have got into reality (See?) to where we can show others that Jesus Christ lives. Oh, my. We want to be that.

129 And remember, where Jonah went, God was in the boat; and God was in the storm; God was in the fish. He went on being right along with Jonah until His perfect will was done. That's right. And if He's ever after you, you might dodge over here and dodge over there, but you'll be miserable until you come back and do the thing you started out for Him to do at the first place. See? Don't go run from the Presence of God. Face up to it. You believe it's the Truth; then let... If it is the Truth, it's worth living for, dying for, anything else. And if He's ever vindicated it to you that it is the Truth, then we can't run from it nowhere; He'll be right there just the same. You can't do it.

130 By His provided prophet, the one that He ordained to go down there and call that message... Now, looked like He could've sent another prophet, but He ordained Jonah. And even Elijah wouldn't have done. Jeremiah wouldn't have done. Moses wouldn't have done. It was Jonah had to go to Nineveh. That's all there was to it. He commissioned him and told him to go. And when He says go there, "Jonah, go to Nineveh," nobody else can go do that but Jonah. And when God tells you something, you've got to do it. Nobody else... See, we just have to face up to it and--and go do it.
We believe that we're living in the hour that when God is a-doing something. We believe that we're living among them now. I believe tonight I'm preaching to that congregation that's--that's laying, waiting out there just to get ripe. I--I really believe that with all my heart. I would say it's the same now as it's always been.

132 Now, we believe that the hour has come that St. John 14:12 must be fulfilled. We--we believe that Malachi 4 must be fulfilled. We believe that Luke 17:30 must be fulfilled. We believe that all these prophecies that He said would come to pass in this day, we believe they must be fulfilled. And we believe we're seeing them fulfilled right now. That's exactly right.
Stop running; don't get out of His Presence; just move up into His Presence. That's right. And I know that's what you're desiring to do, 'cause I seen license out there from Texas, and Louisiana, and everywhere. That's what we're here for, is not to run from His Presence, but to run into His Presence. Come back; get off the... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... been a Jonah, if you've been wondering which way to go or what to do, come on, get on the ship with us tonight. We're going down to Tarshish to cry out--Nineveh to cry out. We'll let that Tarshish ship go on down if they want to. We've got a duty before God; that's a Message that we're responsible for.

134 So in this coming week, just a little prelude tonight to let you know what I'm crying out. I'm solely responsible for a Message brethren. You ministers setting here, I'm not here to hurt your feelings. And you women and men on this marriage and divorce case coming up, I want you to remember tonight--I've said all this to get this to you--that I am responsible only to God. And then again, I'm responsible to you to tell you the Truth. And I'm not going to tell you nothing but the Truth as long as God lets me know what Truth is. Until I know the Truth, I won't say nothing about it. And I won't say nothing about it. But I do believe that God shows me the truth on marriage and divorce. And I--I trust that He'll let me bring it out.

135 And other messages I aim to have this week is, "Who is this Melchisedec?" "Where Did God Choose to Put His Name?," and few of those things like that, which are messages coming up. And "Birth Pains," and--and a few things that's on--on that order. And complementary to a man choosing his wife, and a few things of them messages I want to bring up this week. But I just want the congregation, where if there'd be a minister here... I'm not here, my brethren... I don't want you to... Or some of you members go back to your church and say, "Brother Branham said thus and thus."
I am duty-bound to a Message that's been given to me from Almighty God. And as I stand here tonight, and God knows that's true, that right down on this river... There's people perhaps setting here when that Angel of the Lord come down there and told me what He did right there in 1933, right there on this Spring Street here. If you're a stranger here, drive right out corner of Spring Street there where you hit the river; and there's where it happened. That's been in 1933. It's probably been about thirty-two years ago then. Oh, it's been thirty--been thirty--thirty-two years ago--thirty-two years ago. And how that He's brought that right down, everything. And we've went out, and bringing the Message, and seen the sick healed, the blind, and--and the crippled, and lame, and halt, and everything, and then see even the dead that we know that's been verified raised up from the dead. There's people die and raise right back to life again, and all these things.

137 If a Message goes forth, there's signs and wonders, and you still see that same old school of thought that you come up with, that didn't come from God. God don't just have to do... And God is trying to get your attention attracted to something.
And then, when Jesus went down there, He started healing the sick and doing great works and things. He always--He... Jesus did it. And Moses and Jesus done it, and the rest of them. And when He was here He did it, and He's doing it, the same thing today. When He sends forth a meeting like that revivals and starts a meeting in the earth, and starts a moving along with these great signs and wonders, and then you see come back that same old school of teaching, there--there's something wrong there somewhere. There's something new coming forth.

139 When Jesus came out after when... "He's a fine rabbi." He could go to any pulpit and preach when He was healing the sick. When... Oh, they liked to have Him over there. But one day when He set down and said, "I and My Father are One," brother, He wasn't so popular after that. When He said, "Except you eat My flesh and drink My blood, you have no Life in you; but he that eats My flesh and drinks My blood has Everlasting Life; and I'll raise him up at the last day." then He wasn't so popular from then.
Said, "This man's a vampire. This man's a Beelzebub. That's the way he done them things. He could tell fortunes. He looked through the--their minds and perceived their thoughts. He's a fortuneteller." But what was, He--He was the Word of God made manifest for that hour. And He was duty-bound.
He said, "I do always that which is pleasing to My Father." God help us to do the same thing: do that which is pleasing to the Father.
And I hope you all will understand. If you disagree with me on these messages and things, that--you'll remember, at least have this respect, that I have a responsibility, and I'm not going to Tarshish. I'm on my road to Nineveh. And I--I got to cry out. The Lord bless you all.

142 Let us bow our heads now just a moment. It's almost nine-thirty; I don't want to keep you, but I want to find this if I can tonight: Is there some here that--that just isn't exactly where you should be in Christ, but you--you'd want to be and you desire to be, would you just raise up your hand, say, "Brother Branham, pray for me." God bless you, just look at the hands." I--I want--I'm here, Brother Branham, to get closer to God." If your head was raised, my--my hand's up to. That's what I'm here for. I'm hungering like you are.
But, oh, the other day one of the most grandest things happened, and I--I know now what to do. And I--I pray that God will give you that clear understanding. It's there; they... If there's a question in your mind, there's got to be an answer somewhere to answer back to that question. My prayer is, God, let you see that question answered during this time.
If you're sick, may God heal you. We're going to have healing services, I guess, practically every night, and we are going to pray for the sick. We're going to do anything that we can to help you. And you do everything you can to help us. And we'll work together, trusting God will give us a great meeting.

145 Now, Father God, these few little cut-up words, but they're in Your hands now, Lord; they've been said. I'll have to meet it. Just like them words can never die, they're going around and around the earth on a record; someday I'll have to face it right back again. I realize this, Lord, and I say it with deepness of sincerity.
I pray, dear God, tonight for each one of these, Your children. And O God, I trust before the week is over they'll--they'll understand that the question that's so great in their mind tonight will be settled. Grant it, Lord.
There's some here who doesn't know You, Father, as Saviour yet, or maybe has never been filled with the Holy Spirit. May this be that night.
Lord, I cannot fill nobody with the Holy Ghost; neither can I save anybody. I can only tell them what You said: "Blessed are they that do hunger and thirst for righteousness, for they shall be filled." And I pray, God, that You'll create such a hunger in their heart. Many, Lord, they've got to be hungry. How would they drive these hundreds of miles through ice and everything, and over rainy mountains, and across deserts to come to a little old place setting here on the corner. Then I think again You said, "Where the Carcass is the eagles would be gathered." Feed us, Lord, upon Thy Divine Manna. Give to our souls that what we really need. We're thirsting for You, Father. We're in Your hands now.
And let the great Holy Spirit that come down on the mountain the other day up there, I pray that He'll saturate every heart in here with His goodness and mercy, with understanding. We realize, Father, that's what we need, is to understand. For if we do not know what we're doing, then how do we know how to do it? But we must have understanding. As Daniel said he had understanding by the prophet Jeremiah's Writing, and, Father, we have understanding by the Holy Spirit's Writings as He will reveal It to us in this hour. Give to us, Lord, the desires that we have for Thee. Tenderly we ask this, Father, for Your glory in the Name of Jesus Christ.

150 And now with our heads bowed, as our sister is chording then, "He will give me grace and glory, and go with me all the way," I want you just to silently pray now and ask the heavenly Father that He will grant to you tonight that what you have...
Brother dear, sister dear, He's just as close as your arm is to you. You--you believe me in--in other things; believe me in this. He's here to give you whatever you have need of.
Oh, for the last few weeks I've been so hungry, so thirsty, so homesick to see you. That's the reason I said, "Billy, let's go home."
Meda said, "What do you want to go back there, that cold country again for, Bill? You always get a sore throat and everything. You always come out and head cold, and you're hoarse, and you can't hardly talk."
I said, "Well, I don't know." I said to her... I see my friend Charlie Cox setting back there; and I said, "I'm just anxious to hear Charlie say, 'That little squirrel "clim" that tree over there.' I just get so hungry to hear it." I--I just want to--want to be around you.

154 I know my Brother Banks got real sick. And I saw a vision of him here not long ago. And he was laying on his back, and I know he come pretty near going from us recently. And I look at the different ones of you...
I come in the other night to the Christian Business Men's meeting, and--international; old "Pop" Shakarian, Demos' father, he used to set there and just keep looking till I come in; then he'd smile, and that little wave, he'd wave at me. He wasn't there; he's gone. Then I had to come to that family with THUS SAITH THE LORD, their daughter's going to die too: Florence. I saw her in a vision, saw her go. And I know she's going. And I said, "Pray, just pray. You know, there's a prophet one time was told to go tell a king to put his house in order. And he prayed, and He spared his life fifteen years longer." I said, "Pray, but...?..."

156 You look... And I--I come back... I stood over here in a restaurant the other day eating. A man walked up to me and said, "Aren't you Billy Branham?"
I said, "Yes." He probably didn't know me, 'cause this--over this bald spot on my head I was wearing this little piece of hair to keep from getting a sore throat during this meeting. And he walked up to me; he said, "I thought I knew you, Billy."
I said, "Yes." I said, "Who are you?"
He said, "I'm John Warman."
I said, "How's Ziff?'"
He said, "Billy, he died." Umm.

158 I was coming down though the courthouse, went down to pay my taxes. Coming down through the courthouse, and a lady hollered at me, and she said, "Did you know John's gone?" or some name. It might not have been John--Ed or something. And I said... I didn't know the woman; I felt embarrassed. And come to find out, I didn't know who she was. She said, "Do you remember one dark night when the river was up over the banks out here and houses washing away over on Chestnut street, and you risked your life to go into a place to get a woman and some little children out?"
I said, "You her?"
She said, "I--I'm the lady." She begin to scream for her baby; you know my story. She said, "That one that I called my baby is married and got a family." See? And here she is old and gray, and here I am too. One by one our cards go out of the rack, as it was.
And we have meetings; and I miss this one, miss that one. We all got to come up missing one of these days, but, brother, sister, there's a gathering place. Let's be sure now that we're right. Will you? Don't let all our understanding of God and so forth go in vain. Let's believe.

161 Father, they're in Your hands. I'm in Your hands, Lord. We're only here in dedication now, prior to the coming meeting beginning tomorrow night. Will You help us, Lord? May our--may our conversation be constantly upon Thee; may our hearts and minds be stayed upon Thee. And you said You'd keep us in perfect peace. It's also written in the Bible, "Lean not to your own understandings." O God, we don't want our understandings; we want Your understanding. Give them to us, O God, and may the revival come within our souls till this pack of people will be just one heart and one accord. Grant it, Father. Grant this things while we pray in Jesus Christ's Name.

162 Till my raptured soul shall find
Rest beyond the river.
In the cross, in the cross,
Be my glory (Let's raise our hands.) ever;
Till my raptured soul shall find
Rest beyond the river.
Jesus keep me near the cross,
There's a precious fountain
Free to (Yes, Lord, free.) healing stream,
Flows from Calv'ry's mountain.
In the cross, in the cross,
Be my glory ever;
Till my raptured soul shall find
Rest beyond the river.
[Brother Branham begins humming the chorus--Ed.] O God. If there's any of you feels like you'd like to come up and kneel down around the altar, if you'd just like to come, say, "I'm not where I should be, Lord; I--I want to make a reconsecration. I want to do it tonight, Lord," you're welcome to come. We'd be here to pray with you.
In the cross, in the cross,
Oh, be my glory ever;
Till my raptured soul shall find
Rest beyond the river.
Jesus keep me near the cross,
There's a precious fountain
Free to all a healing stream,
Flows from Calv'ry's mountain.
In the cross, in the cross,
Be my glory ever;
Till my raptured soul shall find
Rest beyond the river.

163 Let's just pray, each one in your own way now. Just--just forget time. Let's just bow our heads in His Presence. This little lady here crying out, "I love You, Jesus." You remember when you got saved many years ago, you remember how sweet that was to you? He's just as sweet tonight. Let's pray. Everybody in your own way now, let's just--let's just all consecrate ourselves to God, just dedicate ourselves over to the Lord.

164 Dear Lord Jesus, [Blank.spot.on.tape--Ed.] "Thou the Stream of all my comfort, more than life to me, Whom have I on earth besides Thee? Or Whom in heaven but Thee?" Dear God, we pray now that Your mercy and grace will be sent upon each and every one of us, Lord. We're here around the altar. Many could not come up; You'll meet them at their seat. Whatever we offer, Lord, You're willing to receive. If we just offer You our time, You will receive it, talent, You will receive it. But, Lord God, tonight we're going beyond that; we're offering all we are. All that I am, all that I ever expect to be, all is in You, Lord. We pray that You'll take this, our prayers, into Thy heart, Lord, and give us of the great deepness of the Holy Spirit, that our lives will be changed; for we see that we're near the end now. Can't be too much longer. And as we see our loved ones dropping day by day, young and old, we know soon it must knock at our door. And tonight, Lord, while we're in our right mind, setting here, or kneeling here, standing here, whichever position we're in, receive us, Lord God.
Take me, Lord. I ain't nothing, but whatever I am, Lord, if You can get any use out of me, I dedicate myself to You.

166 I pray, dear God, for each one of these, these dear people that I stood yonder Lord, in the mountains in Arizona and cried about. And here they are, knelt around the altar with us tonight, praying, consecrating our lives. We love You, Father, more than our own lives. We love You more than our families. We love You more than wife, children, father, mother, sister, brother, husband, wife. We love You, Lord Jesus. Make that so real in our hearts, Lord. Pour in the oil of gladness this week, Lord, in our souls. Give us a bathing, a washing of the Word, by the water of the Word, dividing unto us Truth.
Many here tonight, Lord, and will be here, that's confused on these subjects that's vital. O God, open that fountain in the house of God that's--that's for cleansing us. I pray, God, that You'll wash us and cleanse us in Thy Blood and make us new creatures, and give us grace and strength to bring forth the Word of Truth in its Divine revelation of the Being of Jesus Christ. May He appear before us, Lord. May He come and heal our sickness, forgive our sins, fill our hungry hearts with good tidings of great joy, the Gospel made manifest in our life. Bless every pastor, every song leader, every Sunday school teacher. Bless us all together, Lord, for truly we love You. And now, we're Yours, Lord, in this dedication. In the Name of Jesus Christ use us now according to Thy own will...?...

167a My faith looks up to Thee,
Thou Lamb of Calvary, O Saviour Divine!
Now, hear me while I pray,
Take all my sins away,
O let me from this day
Be wholly Thine!
You love that? Let's sing again.
While life's dark maze I tread,
And grief around me spread,
O be Thou my Guide;
Bid darkness turn to day,
Wipe sorrow's tears away,
Nor let me ever stray
From Thee aside.
Does that make you feel good? How many likes to sing them old songs? I--I just love them, don't you?
We're marching to Zion,
Beautiful, beautiful Zion;
We're marching upward to Zion,
That beautiful city of God.
Oh, we're marching to Zion
Oh, beautiful, beautiful Zion;
We're marching upward to Zion,
That beautiful city of God.
Come, we that love the Lord,
And let our joys be known,
Join in the song with sweet accord,
Join in the song with sweet accord,
And thus surround the throne,
And thus surround...
Now, let's stand up now as we sing it, shake hands... one another.
We're marching to Zion, (Bless you, sister.)
We're marching upward to Zion,
That beautiful city of...
Let's raise our hands up now to God.
Oh, we're marching to Zion,
Beautiful, beautiful Zion;
We're marching upward to Zion,
That beautiful city of God.
Oh, we're marching to Zion,
Oh, beautiful, beautiful Zion;
We're marching upward to Zion,
That beautiful city of God.
Doesn't that make you feel wonderful? My, my. Oh, let's just raise our hands and just praise Him in our own way.

168 Lord Jesus, Thou Rose of Sharon, Lily of the Valley, the Bright and Morning Star, Fairest of ten thousands, Thou the Stream of all my life, more than life to me, how we love You. Dear Father, oh, how we praise Thee. Bless these, Lord, bless Your...?... Grant these things, Lord. Grant it...?... [Brother Branham continues praising and worshipping God--Ed.]
... Near the cross,
Be my glory ever;
Till my raptured soul shall find
Rest beyond the river.
Somehow or another I just feel we're going; there's something laying right ahead for us. I go to...?... I believe I'm prophesying. Great joy...?... leave...?... many sad in heart will be made... Great mysteries will be made clear, and people who are sad will be turned into joy.
Near the cross, in the cross,
Be my glory ever;
Till my raptured soul shall find
Rest beyond the river.

170 As John of old, when he got too old to preach, he would just set and scream, they tell me, with all of his might, "Little children, love one another." Love one another. Don't let nothing come among you. See? Keep all, everything away from... You don't... No matter what it is, face up to it. We're on our road to Nineveh. See? Don't get on that old ship of Tarshish that takes you out of the company. Let's move right on up the stream of God's blessing. I believe we're going to have it; I believe our Father.

171 Feel better now, sister? That's fine; that's the way I like to see children borned, that's...?... I can just think of years ago right on these grounds how many thousands has been borned into the Kingdom of God right on this ground. How little did we know when we was standing with a--eighty cents in our pocket to build the church with... Oh, He said, "I the Lord hath planted it; I'll water it day and night." And He's done it; He's done it. God bless you.

172 Now, when we bow our heads... Now, tomorrow night, remember, the services will be held up at the school auditorium here, and if... We will have somebody posted here now to show the people how to get there, 'cause new ones would be coming in.
You love Him say, "Amen." [Congregation says, "Amen"--Ed.] Oh, isn't He wonderful?
I stand down here on the bank and sing that old song:
On Jordan's stormy banks I stand (Think, that's been thirty years ago, thirty--thirty-three years ago.)
And cast a wishful eye
To Canaan's fair and happy land,
Where my possessions lie.
And many I baptized that evening are over there now. When they stood there and witnessed that Morning Star coming down out of the heavens, circling around like that, said, "As John the Baptist was sent forth to bring the--to forerun the first coming of Christ, your Message will forerun the second coming." How could it be thought? But all God's words are true. All God's words... We're living in the Presence of the great King. God bless you.
While we bow our heads, I'm going to ask Brother Neville, our precious pastor, to come here, dismiss us in prayer. God bless you, Brother Neville.

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