Le Second Miracle
1. C’est avec un grand plaisir que j’entends quelque chose comme cela de la part de vous tous, avec la lettre que notre frère a lue, et l’attitude de nos frères prédicateurs qui sont ici avec nous, avec cet auditoire-ci, vos applaudissements, avec ça, nous nous sentons deux fois le bienvenu pour revenir encore. Et si le Bon Seigneur le veut, aussitôt que nous en aurons l’occasion, nous reviendrons dans cette ville pour y rester plus longtemps, jusqu’à ce que la chose soit terminée, jusqu’à ce que Dieu nous dise que c’est assez, que c’est le temps de rentrer chez nous. A ce… [L’assistance applaudit. – N.D.E.] Tous mes remerciements.
J’espère que cette série de réunions a été autant une bénédiction pour vous que pour–pour nous. Je dis ceci, je ne suis pas obligé de le dire, mais je le dis parce que c’est la vérité. J’ai évidemment eu des foules plus grandes et des endroits plus spacieux, et nous aurions eu des foules plus grandes par ici si nous avions eu un lieu où les recevoir, mais jamais je n’ai rencontré, ou jamais je n’ai été dans une réunion plus belle et rencontre... n’ai rencontré des gens plus gentils, nulle part dans le monde, que ceux que j’ai rencontrés en ce lieu-ci. C’est vrai. Et avec le… [L’assistance applaudit. – N.D.E.] Merci.
2. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… de mon cœur. Et j’espère que – que cette série de réunions ne connaîtra jamais de fin, qu’elle continuera directement dans chaque église et parmi les gens jusqu’à la Venue de Jésus. C’est le but de notre présence ici, en tenant ces réunions. Et tout le monde a été très gentil, et vous avez été si braves en vous asseyant dans cette salle où il fait chaud, et il fait vraiment chaud comme ceci, et – et vous tenir simplement debout tout au long des côtés, et on ouvre les portes, vous entrez tôt; et, oh! c’est très gentil de votre part. Et nous apprécions cela.
Nous remercions ce frère, je ne me rappelle pas du tout son nom, ce frère ici, frère Banner, et tous les ministres qui ont collaboré. Nous sommes vraiment reconnaissants à Dieu pour vous, frères. Vous avez été très gentils à notre égard. Et nous avons une ferme assurance que Dieu déversera vraiment Ses bénédictions partout, sur vous tous…?…
3. Et à vous tous là, on vient de me dire qu’on a prélevé une offrande d’amour pour moi, il y a quelques instants. J’en suis reconnaissant. Je ne le mérite pas; c’est vrai. Je – je ne le mérite pas. Mais frère Baxter a dit que toutes les dettes ont été payées et tout le reste. Et puis, après ça, on prélève ensuite l’offrande d’amour. Et nous en sommes reconnaissants. Et je – et au mieux de ma connaissance, et à ce que je sache, je dépenserai chaque sou de cela pour la gloire de Dieu, selon que je sais le faire.
Il n’y aura pas une seule chose insensée qui sera faite avec cet argent. En effet, en ce jour-là, nous aimerions être trouvés un bon, véritable et fidèle économe de Ses biens.
Et certains parmi vous ont payé, peut-être ont donné une partie de leur subsistance; je – j’aurais souhaité que vous n’ayez pas à le faire. Juste quelqu’un, lorsqu’on prélève une offrande d’amour, met un cent ou quelque chose comme cela, que je – je pourrais, vous savez, juste quelque chose comme cela… J’ai – j’ai des enfants, vous savez comment les choses se passent. Mais j’aurais souhaité ne pas devoir recevoir cela, mais en recevoir une, mais j’en reçois de temps en temps, parce que je... on n’arrive pas à nouer les deux bouts. Mais nous vous remercions pour cela. Et que Dieu vous bénisse vous tous.
4. Eh bien, j’espère que… Je me souviens que dans une réunion, j’ai l’habitude de raconter une petite histoire… étant donné que mon vieux frère est assis ici, j’aimerais lui serrer la main avant de commencer la prédication, ou de prêcher à… la Parole.
Une fois, j’allais prélever une offrande dans mon église. J’avais dit à ma femme, je lui avais dit : «Il nous faut vraiment avoir…» Jamais de ma vie je n’ai moi-même prélevé une offrande. Alors j’ai dit : «Il nous faut vraiment avoir un peu d’argent.» J’ai dit : «Je vais te dire quoi, je vais prélever…» Nous avions une dette et il nous fallait la payer. Et alors, c’était ma première femme, c’était… J’étais… Elle est morte ça fait des années et des années, il y a environ quatorze ans. Et je suis resté célibataire pendant environ cinq ou six ans. Mon petit garçon commençait à fréquenter l’école, alors je me suis remarié. Dieu m’a redonné une image parfaite de la fillette qu’Il m’avait arrachée. Ainsi donc, j’en suis si heureux.
5. Et alors, je me rappelle un soir, il y a de cela huit ans, je pense, nous en étions arrivés à ne pas nous tirer d’affaires. Et j’ai dit : «Je vais prélever une offrande là.»
Elle a dit : «Je vais m’asseoir pour t’observer.»
Et alors, je suis allé là, j’ai dit au vieux frère Wiseheart : «Va prendre mon chapeau, je vais prélever une offrande.» Il m’a regardé d’une façon vraiment étrange et s’est mis… J’ai baissé le regard et… Je ne sais pas, Frère Ryan, si jamais vous avez connu sœur Weber, si vous vous souvenez d’elle ou pas, la mère de Frankie. Elle a fouillé dans un vieux et petit tablier à carreaux, et en a fait sortir un portefeuille, vous savez, qui avait de petits boutons-pression dessus, et elle s’est mise à en faire sortir ces pièces de cinq cents. Oh! je ne pouvais pas faire cela.
J’ai dit : «Je vous taquinais tout simplement, ce n’était pas mon intention là-dessus.»
Et alors, frère Wiseheart m’a regardé d’une façon vraiment étrange, il est allé et a suspendu mon chapeau. Et savez-vous quoi? Frère Ryan a roulé à bicyclette jusque chez moi et il m’a offert cette bicyclette. Beaucoup parmi vous qui ont été dans mes réunions m’ont entendu parler de cela. Frère Ryan a roulé à bicyclette jusque-là, il l’a tout simplement abandonnée là et me l’a offerte. Alors, je l’ai peinte, je l’ai vendue, et j’ai eu de l’argent pour payer la dette…?… Je n’en ai pas eu besoin après tout…?…
6. Oh! la la! pauvre frère, il m’avait donné cette bicyclette-là, et en réalité, je ne pouvais pas monter sur cette bicyclette, ainsi ah! ah! ah! J’avais une dette. Il avait accompli une bonne œuvre. Eh bien, béni soit le Seigneur. C’est très gentil. Ainsi, tous mes remerciements à vous tous. Et vraiment, en toute sincérité, j’espère pouvoir revenir à Toledo aussitôt que possible.
Eh bien, lorsque je quitterai l’Afrique, que je serai rentré chez moi, le Seigneur voulant, j’irai chercher Sa face pour savoir quel sera le prochain voyage. Je pense que vous tous, vous appréciez davantage cela, le fait de savoir le lieu exact où aller. S’Il m’envoie à Toledo, nous allons rester à Toledo jusqu’à ce qu’Il dise : «Va ailleurs.» Et rester simplement là jusqu’à ce que ça soit fini.
Maintenant même, les réunions sont vraiment dans un état tel que nous pouvons réellement avoir un vrai réveil en ce moment même. Voyez-vous? Tous les – les sentiments étranges que les gens éprouvaient, en disant : «Eh bien, il se peut que ce soit telle chose, il se peut que ce soit telle autre.» Mais tout cela a disparu maintenant, et il y a partout une atmosphère de très bon accueil. Voyez-vous? Eh bien, c’est ce qu’il faut pour avoir un réveil, pour vraiment en commencer un. Eh bien, que pensez-vous que ferait un réveil de ce genre, un réveil d’environ quatre à six semaines? Oh! la la! nous passerions un glorieux moment. Je vous assure, je – je crois que tout dans le – tout pourrait être guéri par ici, si seulement nous pouvions l’un après l’autre…
7. Bon, le Seigneur nous a bénis cette semaine. Les estropiés ont marché; les boiteux ont été guéris; les sourds ont entendu, et des maladies, vous savez, ont été guéries. Le Seigneur… Et maintenant, j’aimerais que vous vous souveniez de ceci, surtout vous les pasteurs, que des semaines après ceci, vous entendrez des gens dans vos églises dire : «Eh bien, je... cette – cette gastrite que j’avais m’a quitté; je ne sais pas.» Vous, les femmes et les autres qui avez différentes maladies, il y a – il y a au moins, je dirais ceci, non pas pour essayer de – de dire quelque chose de faux ; en effet, je – je ne voudrais pas faire cela, Dieu m’en tiendra responsable. Mais il y a au moins cinq cents personnes, je dirais, pour avancer un nombre plus bas, qui sont assises dans cet auditoire, qui n’ont point dit un mot à ce sujet, qui sont guéries maintenant même. Eh bien, c’est vrai.
8. L’autre soir, quand… Il y a deux soirées, je n’avais jamais, de toute ma vie, senti une telle attraction être exercée sur moi. Eh bien, le sentiment que… Venez ici juste une minute, frère.
Quand les gens sont guéris… Eh bien, j’aimerais juste prendre ce moment pour expliquer ceci. Si – si… quand je parle à une personne, je me retourne et je capte son attention. C’est comme là dans cet auditoire, je peux regarder quelqu’un et voir, peut-être qu’apparemment ça marche, eh bien, je pourrais me mettre à lui parler. Et lorsque je me mets à lui parler, j’entre alors en contact avec son esprit. Et alors, on dirait qu’il y a quelque chose qui commence à attirer, juste comme ceci. Et alors, lorsque cette attraction s’arrête, je deviens très faible. Cette personne-là est guérie. Eh bien, c’est tout. Merci, frère. Et cette – cette personne-là est guérie.
La personne peut ne pas se rendre compte de cela sur-le-champ, mais elle s’en rendra compte plus tard, elle s’en rendra compte. Elle reconnaîtra que cela a été accompli. Eh bien, puisse le Bon Seigneur bénir chacun de vous. Et qu’Il vous remplisse de Sa bonté et de Sa miséricorde. Et vous tous qui êtes assis ici tout du long, je vois ici trois ou quatre fauteuils avec des estropiés assis ici, et des gens qui ont diverses maladies, qui souffrent et tout. Eh bien, ayez tout simplement bon courage et croyez de tout votre cœur, et Dieu va vous guérir tous.
9. Je ne sais pas s’il y a quelqu’un qui est couché là derrière, plus loin, c’est bien par ici. Parfois, il m’arrive de ne pas voir ces gens, je regarde par-dessus la tête de ceux-ci, je regarde là. Eh bien, eh bien, je ne sais quoi d’autre dire, si ce n’est que vous dire que je suis – je suis très heureux d’être avec vous, et j’espère que peut-être si vous avez une occasion, une fois, lorsque votre propre église n’aura pas de réunion, la semaine prochaine, faites juste un saut à Erie avec nous, et nous serons heureux de vous avoir. Et écrivez-moi des fois. Ecrivez-moi à la maison. Je serai content d’entendre de vos nouvelles.
Et parfois, en envoyant ces tissus oints et tout le reste… Combien croient dans le fait d’envoyer ces choses-là, ces…? Oh! c’est merveilleux. Eh bien, tenez, si vous entrez dans mon bureau et que vous voyez des milliers de guérisons qui s’opèrent rien que par les tissus qu’on envoie, vraiment des milliers…
10. Tout récemment, j’en ai envoyé en Allemagne à une femme qui avait souffert de l’arthrite pendant des années. Et cela avait été traduit au verso pour elle en allemand par écr – par écrit. Elle a pris ce tissu-là, elle l’a épinglé sur elle, elle a suivi les instructions, et a dit : «Maintenant, démon, sors.» Elle s’est levée et a marché dans la pièce; elle était… Voyez-vous? «Maintenant, démon, sors.» Eh bien, elle a tout simplement cru cela.
Une petite chose, je – j’espère que si j’ai raconté ce témoignage devant cet auditoire il n’y a pas longtemps, vous me pardonnerez pour cela; en effet, parfois je dis cela à différents endroits, je ne connais pas les gens qui ont été dans les réunions.
11. Le miracle extraordinaire, c’est ce qui s’est produit un soir lorsque j’étais dans une réunion; on venait de commencer dans une petite église à Corning, en Arkansas. Et j’avais l’habitude de prendre et d’envoyer, de donner des mouchoirs aux gens dans des réunions, comme ici ; voici une boîte de ces mouchoirs. Je n’ai pas l’occasion de m’occuper de ça, juste comme ça; en effet, je suis toujours, quand des réunions se déroulent, profondément en prière.
Alors, quand je suis rentré chez moi, frère Baxter était avec moi l’autre jour, j’ai une caverne là, au fin fond des collines, où je vais. Je lui ai montré l’endroit où j’avais rencontré l’Ange sur le chemin. J’allais là tout déchiré, et je L’ai rencontré en chemin. Et Il m’a parlé, disant : «Retourne à ton véhicule, car Je t’ai appelé pour être avec Ern Baxter.» Et je suis allé auprès de lui et nous voici ensemble.
12. Alors, juste à cet endroit-là, j’y retourne et je prie des heures et des heures sur chaque morceau de tissu que j’envoie aux gens. Eh bien, je n’envoie pas des mouchoirs, parce qu’ils coûtent environ dix cents la pièce, et nous en envoyons partout, oh! partout, à partir de cinq, six, sept mille par semaine. Je n’ai pas d’argent pour faire cela. Mais j’achète des centaines et des centaines de mètres de ruban, je découpe ça en petits morceaux comme ceci, afin que les gens puissent épingler cela sur leurs habits. Je serai content de vous en envoyer un. Si vous n’en avez pas besoin maintenant même, placez-le dans la Bible, dans Actes 19, et gardez-le simplement là. Et si une urgence se présente, prenez-le et placez-le sur votre enfant qui souffre du croup… ou n’importe quoi qui se produit, et croyez en Dieu. C’est juste un petit signe de Son amour dans cette réunion-ci. Et beaucoup de choses ont été accomplies. Et c’est gratuit, j’envoie simplement cela ; et nous serons heureux de vous l’envoyer.
13. Eh bien, je… cette dame-là, je lui avais donné un mouchoir, elle voulait que je lui en donne un, elle a dit : «Bénis ce mouchoir.» Eh bien, beaucoup de gens oignent ces mouchoirs. C’est tout à fait en ordre. Tout ce que Dieu bénit, je le soutiens. Mais si vous observez les Ecritures, Paul n’oignait pas les mouchoirs, on retirait les mouchoirs qui avaient touché son corps (Voyez-vous?), on les retirait directement de son corps. Je pense que c’est vrai, n’est-ce pas, vous les frères? Et Paul savait que…
Vous savez où, à mon avis, il a tiré cela, frère? Je pense que c’est là où Elisée a pris les… a parlé, disant : «Prends mon bâton et va le déposer sur cet enfant.» Voyez-vous? Elisée savait que tout ce qu’il touchait était béni. Mais que la femme croie cela ou pas… Et on retirait du corps de Paul des mouchoirs et des linges, et on les posait sur les malades, et les esprits impurs quittaient les malades, et des maladies étaient guéries.
Eh bien, ce n’était pas Paul, c’était Dieu. C’est Dieu honorant la foi des gens en Son serviteur. Eh bien, alors, le même Dieu qui était là, moi, je ne suis pas saint Paul, personne parmi nous ne l’est, mais Il est toujours le même Jésus. Voyez-vous? Ce n’était pas – ce n’était pas saint Paul après tout, mais c’était Jésus.
14. Eh bien, cette femme-là a pris ce mouchoir et l’a placé dans sa Bible. Et quelques semaines après, elle nettoyait le verre d’une lampe, là loin, dans ces régions cotonnières de l’Arkansas, et le vieux verre de la lampe s’est brisé et lui a tranché une artère au bras. Eh bien, voici le récit de la femme elle-même. Elle a pris une taie d’oreiller et l’a placée dessus, et cela s’est bien mouillé de sang. Elle a pris un drap. Son voisin le plus proche restait à deux miles [3,218 km – N.D.T.], son mari était en ville. Et elle saignait, elle s’affaiblissait davantage, elle savait qu’elle allait aussitôt mourir si rien n’était fait.
Alors, elle a pensé au mouchoir; elle est allée prendre le mouchoir et l’a posé dessus. Eh bien, voici le témoignage de la femme. Lorsque son mari est rentré le soir…Elle avait pataugé sur une distance d’environ deux miles ou plus dans la boue avec ses bottes, et elle avait suspendu une lanterne à un arbre, elle a attrapé un bus Greyhound, elle est allée à Little Rock où je tenais une série de réunions, elle est entrée avec ses bottes, tenant ce mouchoir, louant Dieu. Le mouchoir n’était même pas taché, vraiment un miracle. Cela avait directement arrêté la saignée simplement comme ça. La femme se mourait, c’était tout ce qui était à sa portée, comme ça, tout ce qu’elle savait, et Dieu a honoré sa foi, en faisant cela.
15. Eh bien, nous, nous tous, nous croyons cela. J’envoie cela avec un petit texte qui vous donne des instructions, comment aller auprès de votre pasteur et le faire venir ; et – et confesser vos fautes et vous débarrasser de tout, et puis poser cela là ; qu’il n’y ait aucun obstacle, Dieu accomplira cela. Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, que Dieu soit avec vous. Et merci une fois de plus, depuis les pasteurs jusqu’aux collaborateurs, les étrangers qui sont dans nos murs, les concierges ici dans l’auditorium, tous les huissiers, vous avez tous été merveilleux, et que les plus riches bénédictions de Dieu reposent sur vous tous. Priez pour moi, pendant que je vais là prier pour quelqu’un d’autre.
J’aimerais lire juste une petite portion des Ecritures avant de commencer la réunion. En effet, nous aimerions consacrer beaucoup de temps à la ligne de prière ce soir, rester aussi longtemps que possible. Puis, immédiatement après cela, je dois attraper un bus Greyhound et… Je me suis cogné la tête toute la matinée, je n’ai pas pu faire une réservation. Je dois rentrer chez moi; ma femme a cherché à venir ici, elle n’a pas pu, il n’y avait personne pour l’amener. Ainsi, je dois rentrer ce soir la prendre, revenir demain, et – et être à Erie. Priez donc pour moi maintenant, pendant que je lis cette Ecriture qui se trouve dans Saint Jean 4.46; on commence :
Il retourna donc à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin. Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.
Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.
Jésus lui dit : (Maintenant, écoutez attentivement)… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point.
(Suivez la réponse de ce brave homme à notre Maître) L’officier du roi lui dit : Seigneur, descends avant que mon enfant ne meure.
Va, lui dit Jésus, ton fils vit.( Eh bien, cet homme voulait que Jésus aille prier pour son fils, mais Jésus lui a dit… Il n’est pas allé prier pour lui, Il a dit : Va, ton fils vit.) Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite, et il s’en alla.
Comme il descendait déjà, ses serviteurs, venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle : Ton enfant vit.
Il leur demanda à quelle heure (il demanda) disant… (Excusez-moi) il s’était trouvé mieux; et ils lui dirent : hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté. (Voyez-vous, il était en voie de guérison, il allait un peu mieux.)
Le père reconnut que c’était à cette heure-là que Jésus lui avait dit : Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.
Jésus fit encore ce second miracle lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.
16. Inclinons la tête. Seigneur, on est pratiquement maintenant sur le point de commencer le service une fois de plus; c’est la soirée de clôture, ici parmi ces gens aimables. Ô Dieu! comme Tu m’as donc beaucoup béni en m’amenant ici et en me permettant de me tenir debout ici et parler à une telle assistance, des chrétiens aimables et nés de nouveau. Ô Dieu! je T’aime vraiment pour ça. Il n’y a pas de mots que je puisse trouver pour exprimer ma reconnaissance, pour m’avoir laissé rencontrer ces prédicateurs et ces gens ici, des gens aimables, Ton peuple, la crème même de la moisson, la moisson de la terre.
Et non seulement cela, les rencontrer et faire leur connaissance, mais d’avoir communion avec eux autour de Ton Fils, Jésus-Christ ; et de savoir que je suis leur compatriote, un héritier du même Royaume de Dieu, que nous sommes des pèlerins sur la terre, allant au Ciel, où nous nous associerons ensemble dans les âges sans fin. Pendant des aeons de temps, nous serons à jamais ensemble là où nous ne tomberons plus malades; là-bas, nous n’habiterons plus dans des bâtiments et nous n’aurons plus à traverser péniblement le pays pour prier les uns pour les autres, mais là, il n’y aura plus de maladies, il n’y aura plus de vieillesse, et il n’y aura plus de boiteux, plus d’aveugles, mais nous serons des jeunes pour toujours. Et nous serons comme Lui. Et quel moment glorieux ça sera !
17. Ô Père! je sens vraiment que je dois lever les mains, crier simplement à tue-tête, et donner libre cours aux sentiments qui sont en moi, ma gratitude pour tout ce que Tu as fait.
Bénis cette ville, Seigneur, bénis les gens, bénis les – les législateurs de cette ville. Et, ô Dieu, accorde qu’il y ait un réveil à l’ancienne mode qui balayera cette ville, Seigneur. Et que ces gens oints qui sont assis ici ce soir, que ces prédicateurs de Dieu ont représentés ici sur cette estrade, et là dans cet auditoire, ô Dieu, charge leur vie d’une nouvelle vision, et avec une nouvelle puissance. Et qu’il y ait vraiment une pluie abondante venant de partout, Seigneur, entrant dans les églises. Exauce maintenant la prière de Ton serviteur. Et maintenant, garde-nous toujours dans Ta volonté; accorde-nous un grand service ce soir, car nous le demandons au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.
18. Je crois que Billy est sorti, Frère Baxter, juste un moment, jusqu’à ce qu’il rentre. Eh bien, ayez foi, ne doutez pas. Croyez de tout votre cœur. Et attendons ce soir l’apogée de toute la série de réunions, n’est-ce pas? Je crois que si Dieu nous visite cette troisième fois, comme Il l’a fait les deux dernières soirées, je crois que cela tranchera la question, n’est-ce pas? Oh! les lettres affluent tellement que je… Des endroits, comment les gens ont été guéris, les gens rentrent chez eux, quittent des réunions et rentrent chez eux, et puis être là peut-être quelques heures, et la chose suivante, vous savez, ils se réveillent le lendemain matin, peut-être que l’aveugle voit, et le… Oh! tout arrive. Comme je suis reconnaissant ! La chose, les gens ici, vous ne – vous n’en entendez pas le tiers. C’est après un ou deux jours.
19. Avez-vous remarqué Jésus ici, quand Il a dit : «Ton fils vit» ? Eh bien, c’était arrivé un jour, puis le lendemain cet homme partait et son fils était en voie de guérison. Il est dit : «C’est le second miracle que Jésus a fait.» Apparemment, nous n’appellerons pas cela un miracle. Mais c’était un miracle, parce que tout ce qui est extraordinaire est un miracle. Jésus a dit à cet homme que son fils allait vivre, et cet homme a cru ce que Jésus avait dit. Est-ce vrai?
Peut-être qu’il y a une centaine de cartes de prière ici ce soir. Dans quelques instants, je vais appeler à partir d’un certain niveau ces cartes de prière. Eh bien, alors vous direz : «Frère Branham, qu’arrivera-t-il alors si ma carte de prière n’est pas appelée? »
20. Ça ne signifie pas que vous êtes... que vous ne pouvez pas être guéri. Vous pouvez être guéri où que vous soyez, du moment que vous croyez que Jésus-Christ vous guérit (Voyez-vous?), où que vous soyez. Allez-vous toujours vous souvenir de cela? Souvenez-vous-en toujours, que la guérison… Tout ce que Christ peut faire pour vous est déjà fait. Amen. Voyez-vous? Tout ce que Christ et Dieu peuvent faire pour vous, c’est déjà fait. Eh bien, la chose suivante dépend de vous. Si vous êtes un pécheur, Jésus vous a déjà sauvé, mais vous… quand Il mourut pour ôter le péché du monde, mais vous devez accepter cela. Si vous disiez : «J’ai payé pour vous le trajet de retour à la maison, Frère Branham»...
Eh bien, ça ne me ferait aucun bien si je n’acceptais pas cela. Et la mort de Christ ne vous servira pas si vous n’acceptez pas cela. Or, c’est par Ses meurtrissures que vous aviez été guéri. Il vous avait guéri lorsqu’Il avait fait l’expiation pour vous. Et maintenant, cela ne vous fera aucun bien jusqu’à ce que vous acceptiez cela. Et lorsque vous acceptez cela, que vous croyez cela, alors ça vous appartient. Maintenant, voyez-vous, ça dépend de vous. Maintenant, les œuvres qu’Il fait… Il envoie des signes et des prodiges pour – pour confirmer ces choses, que cela – que cela peut être accompli.
Tenez… J’aimerais que vous écriviez à cette personne-là, ou pour n’importe lesquels de ces témoignages que je vous – vous donne, écrivez-lui, si vous le désirez. Y a-t-il quelqu’un ici qui vient de Jeffersonville? Faites voir la main, quelqu’un des alentours de Jeffersonville?…