Le Second Miracle
1. C’est avec un grand plaisir que j’entends quelque chose comme cela de la part de vous tous, avec la lettre que notre frère a lue, et l’attitude de nos frères prédicateurs qui sont ici avec nous, avec cet auditoire-ci, vos applaudissements, avec ça, nous nous sentons deux fois le bienvenu pour revenir encore. Et si le Bon Seigneur le veut, aussitôt que nous en aurons l’occasion, nous reviendrons dans cette ville pour y rester plus longtemps, jusqu’à ce que la chose soit terminée, jusqu’à ce que Dieu nous dise que c’est assez, que c’est le temps de rentrer chez nous. A ce… [L’assistance applaudit. – N.D.E.] Tous mes remerciements.
J’espère que cette série de réunions a été autant une bénédiction pour vous que pour–pour nous. Je dis ceci, je ne suis pas obligé de le dire, mais je le dis parce que c’est la vérité. J’ai évidemment eu des foules plus grandes et des endroits plus spacieux, et nous aurions eu des foules plus grandes par ici si nous avions eu un lieu où les recevoir, mais jamais je n’ai rencontré, ou jamais je n’ai été dans une réunion plus belle et rencontre... n’ai rencontré des gens plus gentils, nulle part dans le monde, que ceux que j’ai rencontrés en ce lieu-ci. C’est vrai. Et avec le… [L’assistance applaudit. – N.D.E.] Merci.
2. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… de mon cœur. Et j’espère que – que cette série de réunions ne connaîtra jamais de fin, qu’elle continuera directement dans chaque église et parmi les gens jusqu’à la Venue de Jésus. C’est le but de notre présence ici, en tenant ces réunions. Et tout le monde a été très gentil, et vous avez été si braves en vous asseyant dans cette salle où il fait chaud, et il fait vraiment chaud comme ceci, et – et vous tenir simplement debout tout au long des côtés, et on ouvre les portes, vous entrez tôt; et, oh! c’est très gentil de votre part. Et nous apprécions cela.
Nous remercions ce frère, je ne me rappelle pas du tout son nom, ce frère ici, frère Banner, et tous les ministres qui ont collaboré. Nous sommes vraiment reconnaissants à Dieu pour vous, frères. Vous avez été très gentils à notre égard. Et nous avons une ferme assurance que Dieu déversera vraiment Ses bénédictions partout, sur vous tous…?…
3. Et à vous tous là, on vient de me dire qu’on a prélevé une offrande d’amour pour moi, il y a quelques instants. J’en suis reconnaissant. Je ne le mérite pas; c’est vrai. Je – je ne le mérite pas. Mais frère Baxter a dit que toutes les dettes ont été payées et tout le reste. Et puis, après ça, on prélève ensuite l’offrande d’amour. Et nous en sommes reconnaissants. Et je – et au mieux de ma connaissance, et à ce que je sache, je dépenserai chaque sou de cela pour la gloire de Dieu, selon que je sais le faire.
Il n’y aura pas une seule chose insensée qui sera faite avec cet argent. En effet, en ce jour-là, nous aimerions être trouvés un bon, véritable et fidèle économe de Ses biens.
Et certains parmi vous ont payé, peut-être ont donné une partie de leur subsistance; je – j’aurais souhaité que vous n’ayez pas à le faire. Juste quelqu’un, lorsqu’on prélève une offrande d’amour, met un cent ou quelque chose comme cela, que je – je pourrais, vous savez, juste quelque chose comme cela… J’ai – j’ai des enfants, vous savez comment les choses se passent. Mais j’aurais souhaité ne pas devoir recevoir cela, mais en recevoir une, mais j’en reçois de temps en temps, parce que je... on n’arrive pas à nouer les deux bouts. Mais nous vous remercions pour cela. Et que Dieu vous bénisse vous tous.
4. Eh bien, j’espère que… Je me souviens que dans une réunion, j’ai l’habitude de raconter une petite histoire… étant donné que mon vieux frère est assis ici, j’aimerais lui serrer la main avant de commencer la prédication, ou de prêcher à… la Parole.
Une fois, j’allais prélever une offrande dans mon église. J’avais dit à ma femme, je lui avais dit : «Il nous faut vraiment avoir…» Jamais de ma vie je n’ai moi-même prélevé une offrande. Alors j’ai dit : «Il nous faut vraiment avoir un peu d’argent.» J’ai dit : «Je vais te dire quoi, je vais prélever…» Nous avions une dette et il nous fallait la payer. Et alors, c’était ma première femme, c’était… J’étais… Elle est morte ça fait des années et des années, il y a environ quatorze ans. Et je suis resté célibataire pendant environ cinq ou six ans. Mon petit garçon commençait à fréquenter l’école, alors je me suis remarié. Dieu m’a redonné une image parfaite de la fillette qu’Il m’avait arrachée. Ainsi donc, j’en suis si heureux.
5. Et alors, je me rappelle un soir, il y a de cela huit ans, je pense, nous en étions arrivés à ne pas nous tirer d’affaires. Et j’ai dit : «Je vais prélever une offrande là.»
Elle a dit : «Je vais m’asseoir pour t’observer.»
Et alors, je suis allé là, j’ai dit au vieux frère Wiseheart : «Va prendre mon chapeau, je vais prélever une offrande.» Il m’a regardé d’une façon vraiment étrange et s’est mis… J’ai baissé le regard et… Je ne sais pas, Frère Ryan, si jamais vous avez connu sœur Weber, si vous vous souvenez d’elle ou pas, la mère de Frankie. Elle a fouillé dans un vieux et petit tablier à carreaux, et en a fait sortir un portefeuille, vous savez, qui avait de petits boutons-pression dessus, et elle s’est mise à en faire sortir ces pièces de cinq cents. Oh! je ne pouvais pas faire cela.
J’ai dit : «Je vous taquinais tout simplement, ce n’était pas mon intention là-dessus.»
Et alors, frère Wiseheart m’a regardé d’une façon vraiment étrange, il est allé et a suspendu mon chapeau. Et savez-vous quoi? Frère Ryan a roulé à bicyclette jusque chez moi et il m’a offert cette bicyclette. Beaucoup parmi vous qui ont été dans mes réunions m’ont entendu parler de cela. Frère Ryan a roulé à bicyclette jusque-là, il l’a tout simplement abandonnée là et me l’a offerte. Alors, je l’ai peinte, je l’ai vendue, et j’ai eu de l’argent pour payer la dette…?… Je n’en ai pas eu besoin après tout…?…
6. Oh! la la! pauvre frère, il m’avait donné cette bicyclette-là, et en réalité, je ne pouvais pas monter sur cette bicyclette, ainsi ah! ah! ah! J’avais une dette. Il avait accompli une bonne œuvre. Eh bien, béni soit le Seigneur. C’est très gentil. Ainsi, tous mes remerciements à vous tous. Et vraiment, en toute sincérité, j’espère pouvoir revenir à Toledo aussitôt que possible.
Eh bien, lorsque je quitterai l’Afrique, que je serai rentré chez moi, le Seigneur voulant, j’irai chercher Sa face pour savoir quel sera le prochain voyage. Je pense que vous tous, vous appréciez davantage cela, le fait de savoir le lieu exact où aller. S’Il m’envoie à Toledo, nous allons rester à Toledo jusqu’à ce qu’Il dise : «Va ailleurs.» Et rester simplement là jusqu’à ce que ça soit fini.
Maintenant même, les réunions sont vraiment dans un état tel que nous pouvons réellement avoir un vrai réveil en ce moment même. Voyez-vous? Tous les – les sentiments étranges que les gens éprouvaient, en disant : «Eh bien, il se peut que ce soit telle chose, il se peut que ce soit telle autre.» Mais tout cela a disparu maintenant, et il y a partout une atmosphère de très bon accueil. Voyez-vous? Eh bien, c’est ce qu’il faut pour avoir un réveil, pour vraiment en commencer un. Eh bien, que pensez-vous que ferait un réveil de ce genre, un réveil d’environ quatre à six semaines? Oh! la la! nous passerions un glorieux moment. Je vous assure, je – je crois que tout dans le – tout pourrait être guéri par ici, si seulement nous pouvions l’un après l’autre…
7. Bon, le Seigneur nous a bénis cette semaine. Les estropiés ont marché; les boiteux ont été guéris; les sourds ont entendu, et des maladies, vous savez, ont été guéries. Le Seigneur… Et maintenant, j’aimerais que vous vous souveniez de ceci, surtout vous les pasteurs, que des semaines après ceci, vous entendrez des gens dans vos églises dire : «Eh bien, je... cette – cette gastrite que j’avais m’a quitté; je ne sais pas.» Vous, les femmes et les autres qui avez différentes maladies, il y a – il y a au moins, je dirais ceci, non pas pour essayer de – de dire quelque chose de faux ; en effet, je – je ne voudrais pas faire cela, Dieu m’en tiendra responsable. Mais il y a au moins cinq cents personnes, je dirais, pour avancer un nombre plus bas, qui sont assises dans cet auditoire, qui n’ont point dit un mot à ce sujet, qui sont guéries maintenant même. Eh bien, c’est vrai.
8. L’autre soir, quand… Il y a deux soirées, je n’avais jamais, de toute ma vie, senti une telle attraction être exercée sur moi. Eh bien, le sentiment que… Venez ici juste une minute, frère.
Quand les gens sont guéris… Eh bien, j’aimerais juste prendre ce moment pour expliquer ceci. Si – si… quand je parle à une personne, je me retourne et je capte son attention. C’est comme là dans cet auditoire, je peux regarder quelqu’un et voir, peut-être qu’apparemment ça marche, eh bien, je pourrais me mettre à lui parler. Et lorsque je me mets à lui parler, j’entre alors en contact avec son esprit. Et alors, on dirait qu’il y a quelque chose qui commence à attirer, juste comme ceci. Et alors, lorsque cette attraction s’arrête, je deviens très faible. Cette personne-là est guérie. Eh bien, c’est tout. Merci, frère. Et cette – cette personne-là est guérie.
La personne peut ne pas se rendre compte de cela sur-le-champ, mais elle s’en rendra compte plus tard, elle s’en rendra compte. Elle reconnaîtra que cela a été accompli. Eh bien, puisse le Bon Seigneur bénir chacun de vous. Et qu’Il vous remplisse de Sa bonté et de Sa miséricorde. Et vous tous qui êtes assis ici tout du long, je vois ici trois ou quatre fauteuils avec des estropiés assis ici, et des gens qui ont diverses maladies, qui souffrent et tout. Eh bien, ayez tout simplement bon courage et croyez de tout votre cœur, et Dieu va vous guérir tous.
9. Je ne sais pas s’il y a quelqu’un qui est couché là derrière, plus loin, c’est bien par ici. Parfois, il m’arrive de ne pas voir ces gens, je regarde par-dessus la tête de ceux-ci, je regarde là. Eh bien, eh bien, je ne sais quoi d’autre dire, si ce n’est que vous dire que je suis – je suis très heureux d’être avec vous, et j’espère que peut-être si vous avez une occasion, une fois, lorsque votre propre église n’aura pas de réunion, la semaine prochaine, faites juste un saut à Erie avec nous, et nous serons heureux de vous avoir. Et écrivez-moi des fois. Ecrivez-moi à la maison. Je serai content d’entendre de vos nouvelles.
Et parfois, en envoyant ces tissus oints et tout le reste… Combien croient dans le fait d’envoyer ces choses-là, ces…? Oh! c’est merveilleux. Eh bien, tenez, si vous entrez dans mon bureau et que vous voyez des milliers de guérisons qui s’opèrent rien que par les tissus qu’on envoie, vraiment des milliers…
10. Tout récemment, j’en ai envoyé en Allemagne à une femme qui avait souffert de l’arthrite pendant des années. Et cela avait été traduit au verso pour elle en allemand par écr – par écrit. Elle a pris ce tissu-là, elle l’a épinglé sur elle, elle a suivi les instructions, et a dit : «Maintenant, démon, sors.» Elle s’est levée et a marché dans la pièce; elle était… Voyez-vous? «Maintenant, démon, sors.» Eh bien, elle a tout simplement cru cela.
Une petite chose, je – j’espère que si j’ai raconté ce témoignage devant cet auditoire il n’y a pas longtemps, vous me pardonnerez pour cela; en effet, parfois je dis cela à différents endroits, je ne connais pas les gens qui ont été dans les réunions.
11. Le miracle extraordinaire, c’est ce qui s’est produit un soir lorsque j’étais dans une réunion; on venait de commencer dans une petite église à Corning, en Arkansas. Et j’avais l’habitude de prendre et d’envoyer, de donner des mouchoirs aux gens dans des réunions, comme ici ; voici une boîte de ces mouchoirs. Je n’ai pas l’occasion de m’occuper de ça, juste comme ça; en effet, je suis toujours, quand des réunions se déroulent, profondément en prière.
Alors, quand je suis rentré chez moi, frère Baxter était avec moi l’autre jour, j’ai une caverne là, au fin fond des collines, où je vais. Je lui ai montré l’endroit où j’avais rencontré l’Ange sur le chemin. J’allais là tout déchiré, et je L’ai rencontré en chemin. Et Il m’a parlé, disant : «Retourne à ton véhicule, car Je t’ai appelé pour être avec Ern Baxter.» Et je suis allé auprès de lui et nous voici ensemble.
12. Alors, juste à cet endroit-là, j’y retourne et je prie des heures et des heures sur chaque morceau de tissu que j’envoie aux gens. Eh bien, je n’envoie pas des mouchoirs, parce qu’ils coûtent environ dix cents la pièce, et nous en envoyons partout, oh! partout, à partir de cinq, six, sept mille par semaine. Je n’ai pas d’argent pour faire cela. Mais j’achète des centaines et des centaines de mètres de ruban, je découpe ça en petits morceaux comme ceci, afin que les gens puissent épingler cela sur leurs habits. Je serai content de vous en envoyer un. Si vous n’en avez pas besoin maintenant même, placez-le dans la Bible, dans Actes 19, et gardez-le simplement là. Et si une urgence se présente, prenez-le et placez-le sur votre enfant qui souffre du croup… ou n’importe quoi qui se produit, et croyez en Dieu. C’est juste un petit signe de Son amour dans cette réunion-ci. Et beaucoup de choses ont été accomplies. Et c’est gratuit, j’envoie simplement cela ; et nous serons heureux de vous l’envoyer.
13. Eh bien, je… cette dame-là, je lui avais donné un mouchoir, elle voulait que je lui en donne un, elle a dit : «Bénis ce mouchoir.» Eh bien, beaucoup de gens oignent ces mouchoirs. C’est tout à fait en ordre. Tout ce que Dieu bénit, je le soutiens. Mais si vous observez les Ecritures, Paul n’oignait pas les mouchoirs, on retirait les mouchoirs qui avaient touché son corps (Voyez-vous?), on les retirait directement de son corps. Je pense que c’est vrai, n’est-ce pas, vous les frères? Et Paul savait que…
Vous savez où, à mon avis, il a tiré cela, frère? Je pense que c’est là où Elisée a pris les… a parlé, disant : «Prends mon bâton et va le déposer sur cet enfant.» Voyez-vous? Elisée savait que tout ce qu’il touchait était béni. Mais que la femme croie cela ou pas… Et on retirait du corps de Paul des mouchoirs et des linges, et on les posait sur les malades, et les esprits impurs quittaient les malades, et des maladies étaient guéries.
Eh bien, ce n’était pas Paul, c’était Dieu. C’est Dieu honorant la foi des gens en Son serviteur. Eh bien, alors, le même Dieu qui était là, moi, je ne suis pas saint Paul, personne parmi nous ne l’est, mais Il est toujours le même Jésus. Voyez-vous? Ce n’était pas – ce n’était pas saint Paul après tout, mais c’était Jésus.
14. Eh bien, cette femme-là a pris ce mouchoir et l’a placé dans sa Bible. Et quelques semaines après, elle nettoyait le verre d’une lampe, là loin, dans ces régions cotonnières de l’Arkansas, et le vieux verre de la lampe s’est brisé et lui a tranché une artère au bras. Eh bien, voici le récit de la femme elle-même. Elle a pris une taie d’oreiller et l’a placée dessus, et cela s’est bien mouillé de sang. Elle a pris un drap. Son voisin le plus proche restait à deux miles [3,218 km – N.D.T.], son mari était en ville. Et elle saignait, elle s’affaiblissait davantage, elle savait qu’elle allait aussitôt mourir si rien n’était fait.
Alors, elle a pensé au mouchoir; elle est allée prendre le mouchoir et l’a posé dessus. Eh bien, voici le témoignage de la femme. Lorsque son mari est rentré le soir…Elle avait pataugé sur une distance d’environ deux miles ou plus dans la boue avec ses bottes, et elle avait suspendu une lanterne à un arbre, elle a attrapé un bus Greyhound, elle est allée à Little Rock où je tenais une série de réunions, elle est entrée avec ses bottes, tenant ce mouchoir, louant Dieu. Le mouchoir n’était même pas taché, vraiment un miracle. Cela avait directement arrêté la saignée simplement comme ça. La femme se mourait, c’était tout ce qui était à sa portée, comme ça, tout ce qu’elle savait, et Dieu a honoré sa foi, en faisant cela.
15. Eh bien, nous, nous tous, nous croyons cela. J’envoie cela avec un petit texte qui vous donne des instructions, comment aller auprès de votre pasteur et le faire venir ; et – et confesser vos fautes et vous débarrasser de tout, et puis poser cela là ; qu’il n’y ait aucun obstacle, Dieu accomplira cela. Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, que Dieu soit avec vous. Et merci une fois de plus, depuis les pasteurs jusqu’aux collaborateurs, les étrangers qui sont dans nos murs, les concierges ici dans l’auditorium, tous les huissiers, vous avez tous été merveilleux, et que les plus riches bénédictions de Dieu reposent sur vous tous. Priez pour moi, pendant que je vais là prier pour quelqu’un d’autre.
J’aimerais lire juste une petite portion des Ecritures avant de commencer la réunion. En effet, nous aimerions consacrer beaucoup de temps à la ligne de prière ce soir, rester aussi longtemps que possible. Puis, immédiatement après cela, je dois attraper un bus Greyhound et… Je me suis cogné la tête toute la matinée, je n’ai pas pu faire une réservation. Je dois rentrer chez moi; ma femme a cherché à venir ici, elle n’a pas pu, il n’y avait personne pour l’amener. Ainsi, je dois rentrer ce soir la prendre, revenir demain, et – et être à Erie. Priez donc pour moi maintenant, pendant que je lis cette Ecriture qui se trouve dans Saint Jean 4.46; on commence :
Il retourna donc à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin. Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.
Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.
Jésus lui dit : (Maintenant, écoutez attentivement)… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point.
(Suivez la réponse de ce brave homme à notre Maître) L’officier du roi lui dit : Seigneur, descends avant que mon enfant ne meure.
Va, lui dit Jésus, ton fils vit.( Eh bien, cet homme voulait que Jésus aille prier pour son fils, mais Jésus lui a dit… Il n’est pas allé prier pour lui, Il a dit : Va, ton fils vit.) Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite, et il s’en alla.
Comme il descendait déjà, ses serviteurs, venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle : Ton enfant vit.
Il leur demanda à quelle heure (il demanda) disant… (Excusez-moi) il s’était trouvé mieux; et ils lui dirent : hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté. (Voyez-vous, il était en voie de guérison, il allait un peu mieux.)
Le père reconnut que c’était à cette heure-là que Jésus lui avait dit : Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.
Jésus fit encore ce second miracle lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.
16. Inclinons la tête. Seigneur, on est pratiquement maintenant sur le point de commencer le service une fois de plus; c’est la soirée de clôture, ici parmi ces gens aimables. Ô Dieu! comme Tu m’as donc beaucoup béni en m’amenant ici et en me permettant de me tenir debout ici et parler à une telle assistance, des chrétiens aimables et nés de nouveau. Ô Dieu! je T’aime vraiment pour ça. Il n’y a pas de mots que je puisse trouver pour exprimer ma reconnaissance, pour m’avoir laissé rencontrer ces prédicateurs et ces gens ici, des gens aimables, Ton peuple, la crème même de la moisson, la moisson de la terre.
Et non seulement cela, les rencontrer et faire leur connaissance, mais d’avoir communion avec eux autour de Ton Fils, Jésus-Christ ; et de savoir que je suis leur compatriote, un héritier du même Royaume de Dieu, que nous sommes des pèlerins sur la terre, allant au Ciel, où nous nous associerons ensemble dans les âges sans fin. Pendant des aeons de temps, nous serons à jamais ensemble là où nous ne tomberons plus malades; là-bas, nous n’habiterons plus dans des bâtiments et nous n’aurons plus à traverser péniblement le pays pour prier les uns pour les autres, mais là, il n’y aura plus de maladies, il n’y aura plus de vieillesse, et il n’y aura plus de boiteux, plus d’aveugles, mais nous serons des jeunes pour toujours. Et nous serons comme Lui. Et quel moment glorieux ça sera !
17. Ô Père! je sens vraiment que je dois lever les mains, crier simplement à tue-tête, et donner libre cours aux sentiments qui sont en moi, ma gratitude pour tout ce que Tu as fait.
Bénis cette ville, Seigneur, bénis les gens, bénis les – les législateurs de cette ville. Et, ô Dieu, accorde qu’il y ait un réveil à l’ancienne mode qui balayera cette ville, Seigneur. Et que ces gens oints qui sont assis ici ce soir, que ces prédicateurs de Dieu ont représentés ici sur cette estrade, et là dans cet auditoire, ô Dieu, charge leur vie d’une nouvelle vision, et avec une nouvelle puissance. Et qu’il y ait vraiment une pluie abondante venant de partout, Seigneur, entrant dans les églises. Exauce maintenant la prière de Ton serviteur. Et maintenant, garde-nous toujours dans Ta volonté; accorde-nous un grand service ce soir, car nous le demandons au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.
18. Je crois que Billy est sorti, Frère Baxter, juste un moment, jusqu’à ce qu’il rentre. Eh bien, ayez foi, ne doutez pas. Croyez de tout votre cœur. Et attendons ce soir l’apogée de toute la série de réunions, n’est-ce pas? Je crois que si Dieu nous visite cette troisième fois, comme Il l’a fait les deux dernières soirées, je crois que cela tranchera la question, n’est-ce pas? Oh! les lettres affluent tellement que je… Des endroits, comment les gens ont été guéris, les gens rentrent chez eux, quittent des réunions et rentrent chez eux, et puis être là peut-être quelques heures, et la chose suivante, vous savez, ils se réveillent le lendemain matin, peut-être que l’aveugle voit, et le… Oh! tout arrive. Comme je suis reconnaissant ! La chose, les gens ici, vous ne – vous n’en entendez pas le tiers. C’est après un ou deux jours.
19. Avez-vous remarqué Jésus ici, quand Il a dit : «Ton fils vit» ? Eh bien, c’était arrivé un jour, puis le lendemain cet homme partait et son fils était en voie de guérison. Il est dit : «C’est le second miracle que Jésus a fait.» Apparemment, nous n’appellerons pas cela un miracle. Mais c’était un miracle, parce que tout ce qui est extraordinaire est un miracle. Jésus a dit à cet homme que son fils allait vivre, et cet homme a cru ce que Jésus avait dit. Est-ce vrai?
Peut-être qu’il y a une centaine de cartes de prière ici ce soir. Dans quelques instants, je vais appeler à partir d’un certain niveau ces cartes de prière. Eh bien, alors vous direz : «Frère Branham, qu’arrivera-t-il alors si ma carte de prière n’est pas appelée? »
20. Ça ne signifie pas que vous êtes... que vous ne pouvez pas être guéri. Vous pouvez être guéri où que vous soyez, du moment que vous croyez que Jésus-Christ vous guérit (Voyez-vous?), où que vous soyez. Allez-vous toujours vous souvenir de cela? Souvenez-vous-en toujours, que la guérison… Tout ce que Christ peut faire pour vous est déjà fait. Amen. Voyez-vous? Tout ce que Christ et Dieu peuvent faire pour vous, c’est déjà fait. Eh bien, la chose suivante dépend de vous. Si vous êtes un pécheur, Jésus vous a déjà sauvé, mais vous… quand Il mourut pour ôter le péché du monde, mais vous devez accepter cela. Si vous disiez : «J’ai payé pour vous le trajet de retour à la maison, Frère Branham»...
Eh bien, ça ne me ferait aucun bien si je n’acceptais pas cela. Et la mort de Christ ne vous servira pas si vous n’acceptez pas cela. Or, c’est par Ses meurtrissures que vous aviez été guéri. Il vous avait guéri lorsqu’Il avait fait l’expiation pour vous. Et maintenant, cela ne vous fera aucun bien jusqu’à ce que vous acceptiez cela. Et lorsque vous acceptez cela, que vous croyez cela, alors ça vous appartient. Maintenant, voyez-vous, ça dépend de vous. Maintenant, les œuvres qu’Il fait… Il envoie des signes et des prodiges pour – pour confirmer ces choses, que cela – que cela peut être accompli.
Tenez… J’aimerais que vous écriviez à cette personne-là, ou pour n’importe lesquels de ces témoignages que je vous – vous donne, écrivez-lui, si vous le désirez. Y a-t-il quelqu’un ici qui vient de Jeffersonville? Faites voir la main, quelqu’un des alentours de Jeffersonville?…
E-1 Feel real good to hear
something like that of all of you, for the letter that our brother has
read, and for the attitude of our ministering brethren here with us,
and for the audience around, and your applauding, makes us feel double
welcome to come back again. And if the good Lord is willing, and as
soon as we get the opportunity, we'll return to this city to stay
longer, until the thing is over. Until God tells us it's enough, time
to go home. At that... [Audience
claps--Ed.] Thank
you kindly.
I trust that the meeting has been as much blessing to you as it has
to--to us. I say this, where I don't have to say it, but I say it
because it's the truth. I've had larger crowds of course, and bigger
places, and we've had larger crowds here if we'd had the place to take
care of them. But I never met, or was in a nicer meeting, and meet--met
nicer people anywhere in the world, than I have in this place. That's
right. And with the... [Audience
claps--Ed.] thank
you.
E-2 [Blank.spot.on.tape--Ed.] of my heart. And I trust
that--that the meeting will never die, that it'll live right on in each
church and among the people until Jesus comes. That's our purpose of
being here to bring these meetings. And everybody's been so kind, and
you've been so nice to set in this hot building, and it very hot like
this, and--and just stand along the sides, and drooping around the
doors, and come in early; and oh, that's so nice of you. And we
appreciate it.
We appreciate this brother, I can't think of his name half the time,
here, Brother Banner, and all the cooperating ministers. We just thank
God for you brethren. And you've been so good to us. We just trust that
God will just pour out His blessings everywhere upon all of you...?...
E-3 And to all you people
there, they just tell me they taken up a love offering for me, a few
moments ago. I appreciate that. I don't deserve it; that's true. I--I
don't deserve it. But Brother Baxter said all the debts were paid and
everything. And then when they do that, then they get a love offering.
And we appreciate it. And I--and to the best of my knowledge, and all
that I know, every penny of it I shall spend for the glory of God, the
best that I know how. There won't be one foolish thing that that money
will go for. Because at that day we want to be found a good and true
faithful steward of His welfare.
And some of you paid, maybe a portion of your living; I--I wish you
wouldn't do that. Just someone, when they're taking up a love offering,
throw in a nickel or something, that I--I could, you know, just
something. I have, got some children, you know how it is. But I wish I
didn't have to do that, but, to take one, but I do once in a while,
because I just, you can't make ends meet. But we thank you for it. And
God bless you, everyone.
E-4 Now I trust that... I
remember in a meeting I used to tell of a little story, being that my
old brother's setting here, I want to shake his hand before I start
into the ministry, or ministering to... of the Word.
One time I was going to take up an offering in my church. I told my
wife, I said, "We just got to have..." I never took an offering myself
in my life. And I said, "We got to have just a little money." I said,
"I'll tell you, I'll take up..." We owed a debt and just had to pay it.
And so that was my former wife, it was... I was... She died years and
years ago, about fourteen years ago. And I was single for about five or
six years. My little boy started in school, and I remarried again. God
gave me back a perfect image of the little girl that He just taken from
me. And so I'm so happy about that.
E-5 And then, I remember one
night, been about eight years ago, I guess, we got to a place where we
just couldn't make the things go. And I said, "I'm going over take up
an offering."
She said, "I'm going to set down and watch you."
And so, I went over, and I told old Brother Wiseheart, "Go get my hat;
I was going to take up an offering."
And he looked at me real strange, and he started... And I looked down
and... I don't know Brother Ryan whether you ever knowed Sister Weber,
remember her or not, Frankie's mother. And she went down under that
little old checkered apron, got out one little pocketbooks, you know,
the little snaps on the top, begin to pull out them nickels. Oh, I
couldn't do that. I said, "I was just teasing you, I didn't mean it."
And so, Brother Wiseheart looked at me real strange and went and hung
my hat up. And you know what? Brother Ryan had rode a bicycle down to
my house and give it to me. Many of you's been to meeting heard me
refer to that. Brother Ryan rode a bicycle down there, and he just left
it there and give it to me. And I painted the bicycle, and sold it, and
got the money to pay the debt off...?... I didn't need it after
all...?...
E-6 My, poor brother, he gave
me the bicycle, and really, I couldn't ride the bicycle, so ha-ha-ha. I
did owe the debt. He done a good deed. Well, bless the Lord. That's
very nice. So I thank you kindly. And it is indeed, with all sincerity,
my trust that I can come back to Toledo just as soon as possible.
Now, when I leave Africa, come home, the Lord willing, I'm going out to
seek His face to find out which move next. I believe you all appreciate
that more, if you know just exactly where to go. If He sends me to
Toledo, we're going to stay to Toledo until He says, "You go somewhere
else." And just stay there until it's over.
Right now, the meeting's just in condition now to where we could really
have a real revival, just right now. You see? All the--the spooky
feelings that people saying, "Well, it might be this, it might be
that." But that's all gone now; it's just a great big welcome feeling
everywhere. You see? Now, that's just the way to have a revival, to
really start it. Now, what do you think about four to six weeks of this
would do? Oh, my, we'd have a glorious time. I tell you, I--I believe
every thing in the, around would be healed if we could just one by
one...
E-7 Now, the Lord has blessed us this week. The lame has walked; the cripples has been healed; and the deaf has heard, and diseases, you know, healed, the Lord... And now, I want you to remember this, especially to the pastors, there'll be weeks after this that you'll hear people in your churches say, "Well, I--that--that stomach trouble I had left me; I don't know." And women and so forth with different troubles that you have, there's--there's been at least, I would say this, not trying to--to say anything wrong, because I--I don't want to do that, God hold me responsible. But there's been at least five hundred people, I'd say, lowly estimating, that's set in the audience that's never said a word about it, that's healed right now. Now, that's right.
E-8 The other night when... The
last two nights I have never felt such a pull on me in all my life.
Now, the way that feels... Come here just a minute, brother. When
people are being healed... Now, I just want to take this moment to
explain this. If--if when I'm talking to a person, I turn and get their
attention. Like out in the audience, I'll look at somebody and see,
maybe it looks kindly, well, I'll go to talking to that person. And
when I go to talking, then I get in contact with their spirit. And then
it seems like there's something starts pulling, just like this. And
then when it lets up I get real weak. That person's healed. Now, that's
all. Thank you, brother. And that--that person is healed. They may not
recognize it right then, but they will later on, they'll recognize it.
They'll recognize that it's been done.
Now, may the good Lord bless every one of you. And just fill you with
His goodness and mercy. And all you setting along here, and here I see
these three or four crippled chairs setting here, and people with
different ailments, that's suffering and everything. Now, you just be
of a good courage, and believe with all your heart, and God's going to
make you every one well.
E-9 I don't know whether
there's any laying back yonder there so far that, it's just right down
here. Sometimes I miss seeing these people looking over the top of them
watching out there. Now, well, I don't know what else to say, but to
tell you I'm--I'm so happy to be with you, and I trust that maybe if
you get a chance sometime when your own church hasn't got service, next
week just slip up to Erie with us, we'd be happy to have you. And write
me sometime. Write me down home. I'd be glad to hear from you.
And sometimes in sending out these anointed cloths and so forth... How
many believes in sending those out, those...? Oh, that's wonderful.
Well, I'll tell you, if you'd just go into my office and see the
thousands of healings takes place just by sending those cloths, just
thousands...
E-10 Here recently I sent one to
Germany to a woman that had arthritis for years. And it was translated
on the back of her German wri--writing. She got a hold of that cloth,
and she pinned it on her and followed the instructions, and she said,
"Now, devil, you get out." She got up and walked across the floor; she
was... See? "Now, devil, you get out." Now, she just believed it.
And a little something I--I hope if I told this testimony just a moment
before the audience, you forgive me for it, 'cause I sometimes telling
around different places, I don't know people that's been in the
meetings.
E-11 An outstanding one was one
night when I was in a little church meeting at Corning, Arkansas, just
starting. And I used to take and send, give the people handkerchiefs,
and in the meetings; like here, here's a box of them. I don't get a
chance to minister to those, just like this, because I'm always, when
the meetings going on, in deep prayer.
Then when I go home, Brother Baxter was with me the other day, I've got
a cave way back in the hills where I go to. I showed him where I met
the Angel on the path. I was going back there all torn up, and I met
Him on the path. And He told me, said, "You return back to your car,
for I called you to be with Ern Baxter." And I went to him, as we been
together.
E-12 So, right on that place, I go back there and pray hours after hours over every piece of goods that I send to the people. Now, I don't send handkerchiefs, because they cost about ten cents apiece, and we send out around, oh, anywhere from five, six, seven thousand a week. I don't have the money to do that. But I buy hundreds and hundreds of yards of ribbon and cut it off in little strips like this so the people can pin it on their clothes. I'll be glad to send you one. If you don't need it right now, put it in the Bible on Acts 19, and just keep it there. And if an emergency rises, take it and lay it on your child that's got the croup, or whatever takes place, and believe God. Just as a little token of His love in this meeting. And many things has been done. And it's free of charge, just send, we'd be happy to send it to you.
E-13 Now, I, this lady, I gave
her a handkerchief, she wanted me to, she said, "Bless the
handkerchief." Now, a lot of people anoint them. That's all right.
Anything that God blesses, I'm for it. But if you watch the Scripture,
Paul didn't anoint them, he taken them off of his body (See?), just off
of his body. I believe that's right, isn't it, you brothers? And Paul
knew that...
You know where I think he got that, brother? I think when Elijah taken
the, told, said, "Take my staff and go lay it on the child." You see?
Elijah knew that everything that he touched was blessed. But whether
the woman would believe it or not... And Paul taken from his body,
handkerchiefs and aprons and lay it on the sick, and unclean spirits
went out of them, and diseases were healed.
Now, it wasn't Paul, it was God. That is God, in honoring the people's
faith in His servant. Well now, the same God was there, I'm not the
Saint Paul, none of us are, but He's still the same Jesus. You see? It
wasn't--it wasn't the Saint Paul anyhow, but it was Jesus.
E-14 Now, this woman taken it and put it in her Bible. And a few weeks after that, she was cleaning a lamp chimney, way back there in the cotton country of Arkansas, and the old lamp chimney broken and cut the artery in her arm. Now, this is her story. She got a pillow slip and put over it, and it just got wet with blood. She got a sheet. Closest neighbor was two miles; her husband was in the city. And she was bleeding, getting weaker, she knew she was going to die shortly if something didn't happen. And she thought of the handkerchief; she went got the handkerchief and laid it on there. Now, here's her testimony. When her husband came in that evening... She waded, about two mile or better, through the mud with her boots on, hung a lantern in the tree, caught the Greyhound bus, and come to Little Rock where I was holding the meeting, and walked in with these boots on, holding this handkerchief, praising God. The handkerchief wasn't even stained, just a miracle, just stopped it right like that. The woman was dying; that's the only thing that she could get to like that, that she knew of, and God honored her faith in doing so.
E-15 Now, we, all we, us believe
that. I sent a little thing with it; it tells you how you get to your
pastor and get him to come. And--and confess your faults and get rid of
everything, and then lay it on there. There's nothing in the way; God
will do it. Don't you believe that? Now, God be with you. And thank you
again, from the pastors to the co-workers, the strangers in our gates,
the custodians here at the auditorium, all the ushers, you've all been
wonderful, and may God's richest of blessings be upon you all. Pray for
me while I'm going yonder to pray for someone else.
I want to read just a little bit of Scripture before we start the
meeting. Cause we want to get plenty of time in the prayer line
tonight, just as long as we can. Then immediately after this, I got to
catch a Greyhound bus and... Bump my head all morning, I couldn't get a
reservation. I've got to go home, the wife is going to try to get here,
and she couldn't get here, no one to bring her. So, I have to go in
tonight to get her, to come back tomorrow, and--and be in Erie. So pray
for me now while I read this Scripture found in Saint John 4:46,
beginning:
So Jesus came again
into Cana of Galilee, where he made the water wine. And there was a
certain nobleman, whose son was sick at Capernaum.
And when he heard
that Jesus was come out of Judaea into Galilee, he went unto him, and
besought him that he would come down, and heal his son: for he was at
the point of death.
Then said Jesus unto
him... (Now,
listen close.)... [Blank.spot.on.tape--Ed.] Except ye see signs and
wonders, ye will not believe.
(But
listen to this gallant man answer our Master.) And the nobleman said unto
him, Sir, come down ere my child die...
Jesus said unto him,
Go thy way; thy son liveth.
Now, the man wanted Jesus to come pray for his son, but Jesus told
him... He didn't go pray for him, He said, Go thy way; thy son liveth.
... And the man
believed the Word that Jesus spoke unto him, and he went his way.
And when he was now
going down, his servant met him, and told him, saying, Thy son liveth.
Then enquired he (required him) saying... (Beg your pardon.)...
Then enquired he of them the hour he begin to amend... then said he
unto him, Yesterday at the seventh hour the fever left him... (See, he was just
mending, getting a little better.)
So the father knew
that it was the same hour that Jesus said, Thy son liveth: and himself
believed, and his whole household.
This is again the
second miracle that Jesus did when he came out of Judaea into Galilee.
E-16 Let's bow our heads. Lord,
now the service is almost ready to begin again, a closing night here
among this lovely people. God, how did You ever bless me in such a way
to bring me up and let me be able to stand and talk to such an audience
of people, lovely, borned again Christians. O God, I just love You for
it. And there's no words that I can find to express my thanks, that You
let me meet these ministers and these people out here, lovely people,
Your people, the very cream of the crop, of the earth's harvest.
And not only that, to meet them and to know them, but to have
fellowship with them through Thy Son Christ Jesus. And to know that I'm
a fellow citizen with them, an heir of the same Kingdom of God, we're
journeying through earth, going to heaven, where we'll associate
together throughout ceaseless ages. Through eons of time, we'll be
together forever, not where we'll be sick again, or not where we'll be
in buildings and have to crawl across the country to pray for each
other, but where there'll be no sickness, and there'll be no old age,
or there'll be no cripples, or no blinds, but we'll be young there
forever. And we'll be in His likeness. And what a glorious time that'll
be.
E-17 O Father, I just feel like
just raising my hands up and just screaming as loud as I can, to give
vent to the feeling that's within me, of the appreciations of all that
You've done.
Bless this city Lord, bless the people, bless the--the law makers of
the city. And God, grant that there'll be an old fashion revival to
sweep this city, Lord. And these anointed ones that's setting here in
the presence tonight, these ministers of God represented here on this
platform, and out there in that audience, O God, charge their life with
new vision, with new power. And may there just be abundance of rain
from everywhere, Lord, coming into the churches. Hear the prayer of
Your servant now. And now, keep us ever in Your will; give us a great
service tonight. For we ask it in the Name of Thy Child, Jesus. Amen.
E-18 I believe Billy has stepped out, Brother Baxter, just a moment, just till they come in. Now, have faith, don't doubt. Believe with all your heart. And let's look tonight for--for the climax of all the meeting, will you do that? I believe if God will visit us this third time, like He has the last two nights, I believe it'll settle the question, don't you? Oh, the letters are pouring in so I just... From places, about how they're being healed, and people going home and leaving the meeting going home, and then be there maybe a few hours, and the first thing you know, wake up the next morning maybe blind seeing, and the... Oh, just everything's taking place. How thankful. The thing, the people here, you don't--you don't get to hear a third of it. It's after a day or two.
E-19 Did you notice, Jesus here?
When he said, "Thy son liveth." Well, that was one day, and the next
day he was going down and his son had begin to amend. He said, "This is
the second miracle that Jesus did." Seemingly we wouldn't call that a
miracle. But it was a miracle, because anything that's out of the
ordinary, it's a miracle. Jesus told the man that his son was going to
live, and the man believed what Jesus said. Is that right?
Perhaps there's a hundred prayer cards in here tonight. In a few
moments, I'll call from somewhere in those prayer cards. Well then, you
say, "Brother Branham, then if my prayer card's not called, what about
it?"
E-20 That don't mean that
you're--you can't get healed. You can be healed anywhere that you'll
believe that Jesus Christ heals you (See?), anywhere. Will you always
remember that? Always remember, that healing... Everything that Christ
can do for you is already done. Amen. See? Everything that Christ and
God can do for you, is already done. Now, the next thing lays within
you. If you're sinner, Jesus has already saved you, but you--when He
died to take away the sin of the world, but you have to accept it. If
you'd say, "I paid your way, Brother Branham, home."
Well, it wouldn't do me no good 'less I accepted it. And Christ's death
won't help you until you accept it. Now, "By His stripes you were
healed." He healed you when He made the atonement for you. But now,
it'll never do you no good till you accept it. And when you accept it,
and believe it, then it is yours. Now, see, it's up to you. Now, the
things that He does, He sends signs and wonders to--to prove those
things, that it--that it can be done.
Here... I'd like for you to write to this person, or any of these
testimonies I give you, you--you write to them, if you wish. Is there
anybody here from Jeffersonville? Let's see your hands, around anywhere
from Jeffersonville?...