Débat sur le parler en langues

Date: 60-0807 | La durée est de: 37 minutes | La traduction: SHP
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1                   La question du - du parler en langues fait l'objet de tiraillement parmi les pentecôtistes; et ç'a été toute une - une affaire pour moi. Je ne - je n'engage pas de discussions sur l'estrade, car maintenant, je suis - je suis parrainé par différents groupes. Et en tant - en tant que gentleman chrétien, je n'aimerais certainement pas blesser les sentiments de qui que ce soit. Je... S'ils sont assez chrétiens pour me recevoir chez eux, avec leurs gens assis là, je - je désire être assez frère pour ne rien dire là-dessus. Voyez-vous? Et je ne fais que prêcher le baptême du Saint-Esprit, et - et ensuite, quand ils... Lorsque... les laisser faire ce qu'ils veulent là.
Eh bien, je crois vraiment que les gens remplis de l'Esprit (Voyez-vous?), parfois ils sont si remplis du Saint-Esprit qu'ils n'ont pas de - de contrôle sur leur propre langue. Je - je crois cela. Ça arrive de temps en temps; en effet, cela m'est arrivé, et c'est arrivé aux autres et... Mais, voyez-vous, le problème est que le Saint-Esprit doit d'abord être à l'intérieur. Voyez-vous ce que je veux dire? Il doit d'abord être à l'intérieur. Voyez-vous? C'est juste comme si... le parler en langues est un don du Saint-Esprit.
2                   Maintenant, si j'étais un - un jeune garçon et que je sois dans un - dans ma - sous la tutelle de mon père et de ma mère, et que vous, vous vouliez m'adopter, et que je vous donnais mon couteau, bon, vous auriez reçu un don de ma part et non pas moi. Voyez-vous? Or, les langues, c'est un don du Saint- Esprit. Il n'y a aucune Ecriture dans la Bible qui dit que c'est le Saint-Esprit. C'est un don du Saint-Esprit. Suivez donc. Dans Actes 2.38 : «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» En effet, ils étaient dans l'étonnement parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue, dans sa langue maternelle. Voyez-vous? Et il a dit : «Repentez-vous, vous recevrez ce don du Saint-Esprit.»
Or, le don de William Branham n'est pas William Branham. Voyez-vous? Eh bien, si vous remarquez bien, vous direz : «Eh bien, le don de Dieu, c'est le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit, c'est Dieu.» Voyez comment vous pourriez... On ne peut pas l'appliquer là. Eh bien, tout ce que je dis doit s'accorder avec les Ecritures... je - je ne l'accepterais pas. Eh bien, je n'accepte cela que quand II me le dit, et puis, Il l'explique toujours par les Ecritures. S'il ne le faisait pas, je ne croirais pas ça; malgré tout ce qu'il m'a dit tout ce temps, cependant, si jamais II me disait quelque chose qui n'est pas Scripturaire, cela ne serait pas en ordre, parce que notre fondement demeure absolument les Ecritures. Nous ne pouvons fonder notre - notre salut sur des sensations, ni sur les expériences des autres, ni sur notre propre expérience. Ça doit être sur la Parole de Dieu, voyez-vous; en effet, c'est ça le - c'est ça le vrai signe.
3                   Eh bien, quand j'ai engagé ce débat que frère Léo était impatient d'enregistrer sur bande ici, je suppose... Je la vois bouger. Je crois qu'il la fait tourner maintenant. Frère Léo, je ne voudrais pas que vous utilisiez cela pour faire du mal ou n'importe quoi de ce genre, mais seulement... Je sais que vous ne le ferez pas.
Et je ne vous dirais pas, frères, que si un homme parle en langues, tout marche, mais s'il ne parle pas en langues, ce n'est toujours pas le signe qu'il n'a pas la Chose. Et s'il... J'ai vu des gens parler en langues comme une pluie de pois sur une peau de vache séchée, vraiment de toute leur force, et puis vivre avec la femme d'autrui. Voyez?
J'ai vu des sorcières boire du sang dans un crâne humain, invoquer le diable et parler en langues. J'ai vu des sorcières et des magiciens indiens, lors de la danse du taureau, ils s'asseyaient en un grand cercle, puis ils se présentaient, faisaient tous leurs enchantements et le sorcier venait. Alors ils tournaient continuellement et sautillaient, et ils criaient et battaient ces tam-tams, et - et ensuite le sorcier venait, parlait en langues et leur en donnait l'interprétation. Voyez-vous? Et j'ai été dans des camps de sorciers que j'ai parcourus personnellement, et c'est tellement... vous... C'est...
Il ne vous est pas conseillé d'y aller, mais en tant que ministre, je dois être sûr de ce que je dis, et non accepter ce que quelqu'un d'autre dit, parce que c'est... Je - je dois en être sûr moi-même, personnellement. Voyez-vous? En effet, je ne peux pas dire que c'est frère Dupond qui a dit telle chose ou que j'ai lu telle chose dans un livre. Il me faut être sûr de ce que je dis, car beaucoup de gens m'écoutent; et je ne voudrais certainement pas arriver à la fin, en ce dernier jour, avec un groupe de gens perdus. Je dois absolument être sûr, avant que je dise quoi que ce soit, que cela est vrai.
Et je pense que tout ministre doit cela à l'assemblée à laquelle il prêche, sur n'importe quel sujet, il doit être sûr qu'il sait de quoi il parle avant de dire quoi que ce soit.
4                   Ainsi donc, j'ai été dans des camps où étaient des spirites, et où apparaissait un piano d'une demi-tonne, qui se soulevait de la terre, et une guitare qui se trouvait dans la salle se déplaçait en jouant de la musique et tout comme ça; et une veste suspendue au mur survolait et se posait sur une chaise à vos côtés, des couteaux et des fourchettes survolaient, et vous voyez ces - le sorcier poser un - poser un papier, prendre un crayon, le poser dessus, et on voit cet esprit venir et parcourir le tuyau de poêle, puis revenir là, jouant «Shave and Haircut Two Bits» [C'est le titre d'une chanson. - N.D.T.] et écrire en langues inconnues; et ce médium s'allonge et s'étire de tout son long, comme cela, et interprète cela - d'un bout à l'autre comme ça et dit cela, et - et interprète ces langues et communique ce qui était dit. Vous ne pouvez donc pas dire que, parce que vous avez le parler en langues, vous avez le Saint-Esprit. Voyez-vous? Car je - je suis mieux avisé que ça.
5                   Bon, si vous remarquez bien, faisons-en une application logique, voyez- vous, afin que vous puissiez comprendre; et c'est ainsi que j'aimerais m'y prendre, car je me rends compte que je parle à des hommes intelligents. Alors, dans les Ecritures, I Corinthiens 12, il est dit qu'il y a - qu'il y a neuf dons spirituels. Eh bien, alors, les langues sont l'un de ces dons qui sont dans le Corps de Christ.
Disons, illustrons bien cela pour le rendre simple. Je sais que vous saisissez cela, mais rassurons-nous que vous le comprenez. Cette - cette salle est le Corps de Christ et nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former une seule salle. Et dans cette salle, il y a un don de chaise pour se détendre, il y a un don de lampe, il y a un don de contrôle de chaleur, il y a un don de chaise à bascule, il y a un don de salon, un don de petit tapis, il y a un don de tableau. Voyez-vous ce que je veux dire?
6                   Il y a des dons, mais comment entre-t-on dans ce corps? Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps, et alors, nous pouvons avoir chacun de ces dons. Voyez-vous? Si donc le parler en langues est une évidence du Saint-Esprit, alors toutes ces autres choses aussi doivent être une évidence du Saint-Esprit. Il vous faut produire toutes ces autres choses, ces autres choses : prophétiser, interpréter, avoir la sagesse et la connaissance. Mais après, Paul continue à mettre cela en ordre, voyez. Il dit : «Tous parlent-ils en langues?» Non. « Tous ont-ils le don d'interprétation? Mais Dieu a établi dans l'église une diversité...» Voyez-vous? Il avait bien mis cela en ordre de cette manière-là.
7                   Puis au chapitre 12... Maintenant, si vous continuez jusque-là où j'ai engagé mon débat pour prendre mon... l'évidence initiale du Saint-Esprit, je considérais que c'était l'amour. Et l'autre considérait que c'était le parler en langues, voyez-vous, considérer les langues comme l'évidence.
Or, Paul dit dans I Corinthiens 13, le chapitre suivant, il dit donc ceci :
«Quand je parlerais les langues des hommes et des anges (toutes les deux sortes) et que je n'ai pas l'amour, je ne suis rien. Quand j'aurais la sagesse...»
 Maintenant, il parle de ces dons qui sont dans le corps (voyez-vous, voyez-vous), avoir des dons sans le Donateur. Voyez-vous? L'amour. Voyez? Quand j'aurais la sagesse et que j'aurais toute la connaissance sur Dieu, sur toutes les Ecritures, je sais les mettre ensemble comme un grand théologien, mais si je n'ai pas l'amour qui est le Saint-Esprit, je ne suis rien.
Maintenant, nous savons que le Saint-Esprit est Dieu. Nous devons admettre cela. Voyez-vous? C'est Dieu. Eh bien, alors, Dieu est amour. Voyez- vous? Ainsi, vous pouvez avoir l'un des dons de Dieu sans avoir Dieu. Dieu est amour et Satan peut imiter chacun de ces dons. Voyez? Voyez, il peut pratiquement tout imiter parce qu'il pervertit. Le péché, c'est la justice pervertie.
8                   Ainsi, dans ce débat, mon aimable frère, il... étant visiteur, j'ai dit : «Bon, je suis disposé à discuter sur ce sujet avec vous si vous restez strictement avec les Ecritures, et que vous ne vous écartiez pas des Ecritures.» Ensuite, j'ai ajouté : «Et qu'à la fin de la discussion, vous soyez à même de me serrer la main et que nous ayons l'un envers l'autre des sentiments fraternels, car, si vous ne le faites pas, alors je ne discuterai pas, voyez-vous, parce que...» J'ai dit : «En effet, peut- être qu'à la fin vous allez garder les mêmes sentiments et moi aussi.»
«Mais comme nous avons ici des modérateurs qui ont prêté serment, des hommes d'affaires, vous savez, et tout, comme quoi ils sont juste - ils sont juste... Ils n'ont pas de parti pris, ils ne prennent que des faits. Peu importe leur décision, il n'y a que cinq ou six hommes qui présentent une certaine Ecriture telle qu'Elle est donnée; qui accepte cela? Celui qui jette vraiment de la lumière là-dessus, c'est celui qui connaît. Voyez-vous?
9                   Il a donc commencé comme d'habitude avec Actes 2.4 (vous savez) : «Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit et se mirent à parler en langues selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer.» Eh bien, je... Et ensuite, de là, il est allé dans - dans - dans Actes 10.49 [Actes 10.44 - N.D.T.] où il est dit : «Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur ceux qui écoutaient la Parole.» Eh bien, alors... Et ensuite, il est allé dans Actes 19.5 [Actes 19.6 - N.D.T.] : «Et Paul leur eut imposé les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, et ils parlaient en langues.»
Cela avait pris la plus grande partie de son temps, et ensuite ce fut mon tour. Nous sommes allés là d'environ 19 heures jusque vers 2 heures du matin. Voyez-vous? Cela avait donc traîné. Et ensuite, quand il est revenu, il a pris environ trente ou trente-cinq minutes là-dessus. Puis on a laissé les gens se reposer, après ils m'ont de nouveau laissé parler, ils m'ont laissé parler. Je n'ai donc pas quitté les passages des Ecritures qu'il avait utilisés, je me suis bien accroché aux passages des Ecritures qu'il avait utilisés. C'est le seul moyen pour vous de pouvoir correctement et raisonnablement... Je suis tout à fait disposé à apprendre la vérité autant que n'importe qui d'autre.
10              Je ne veux certainement pas être dans l'erreur et je ferais mieux d'être dans le vrai ici, parce que ça sera trop tard une fois arrivé là, vous voyez. Vous voulez... Comme le dit le vieux frère de couleur : «Je ne veux pas avoir des ennuis à la rivière.» C'est donc vrai. Je - je veux... Ce sera un matin brumeux et donc, un temps affreux, et je veux vraiment avoir mon ticket en main, correctement poinçonné, parce que je - je ne veux pas... Il sera alors trop tard. Voyez-vous?
Ainsi, et je... Quand je discute sur un sujet quelconque, j'aborde cela pour apprendre quelque chose. Je veux apprendre, et si je suis dans l'erreur, je désire certainement savoir que je suis dans l'erreur, voyez, afin que je sois dans le vrai. J'aurais souhaité pouvoir m'accorder sur ces choses et en faire une opinion générale, mais je - je - je suis simplement... Si c'est faux, c'est simplement faux. Vous... Il n'existe pas un oiseau à la fois blanc et noir, ni un homme à la fois sobre et ivre, vous voyez. C'est soit vrai, soit faux. Cela - cela - cela... Vous ne pouvez pas avoir l'erreur et la vérité ensemble. C'est soit la vérité, soit l'erreur. Voyez-vous? Vous croyez cela, n'est-ce pas, frère? Et certainement, si - si - si l'Ecriture est véridique, alors accrochons-nous à l'Ecriture. Et si c'est l'église qui est dans le vrai, alors... C'est ce que j'avais dit à ces prêtres. J'ai dit: «Si l'église est dans le vrai, accrochez-vous à l'église.»
Il a dit : «Assurément, l'église est dans le vrai.»
J'ai dit : «Alors, vous avez dit que l'église... que la - que cette Bible-ci est l'histoire de l'église primitive. Eh bien, si c'est le cas, c'est qu'alors l'église est infaillible, pourquoi avez-vous tant changé, vous voyez...?...»
11              Cela a donc écarté son argument, là. Vous voyez? J'ai dit : «Vous avez dit que Christ avait organisé l'Eglise catholique.» Voyez-vous? S'il avait organisé l'Eglise catholique et que l'apôtre Pierre et tous les autres étaient les premiers catholiques, eh bien alors, moi aussi, je suis catholique. Je dis exactement ce qu'ils avaient dit. «Eh bien, vous vous en êtes si éloignés, comme ça, voyez- vous?» J'ai dit : «Vous n'avez rien de ce qu'ils soutenaient.» Voyez-vous? Ma foi, Pierre a dit, le premier pape, il a dit qu'il n'y a pas d'autres médiateurs entre Dieu et les hommes, sinon Jésus-Christ. Il est le seul Médiateur, mais aujourd'hui, vous, vous en avez des dizaines de milliers. J'ai dit : «Maintenant, lequel... Est-ce le premier pape qui est dans le vrai ou l'actuel pape? Lequel est dans le vrai?» Voyez?
Il a dit : «Bon, vous voyez, l'autorité a été confiée à l'Eglise catholique.»
J'ai dit : «Alors quand les premiers Catholiques ont dit, par - par écrit, ils ont dit que si un ange du ciel venait prêcher un autre Evangile, qu'il soit anathème; qu'il soit pape ou prêtre, qui qu'il soit, et quiconque retranche ou ajoute à ce Livre, il lui sera de même retranché. » J'ai dit : «Vous êtes tout embrouillé quelque part, monsieur. Soit c'est votre église primitive qui est dans le vrai, soit c'est l'église d'aujourd'hui qui est dans le vrai. Et si c'est votre église primitive qui est dans le vrai, l'actuelle est dans l'erreur.» Voyez-vous? Et j'ai dit : «Moi, je resterai avec les premiers Catholiques (Voyez-vous?), tel que ces Catholiques-là étaient. Ainsi, voyez-vous, il vous faut être dans le vrai.»
12              Nous... seulement... Pour tenir dans une - une - une discussion, il vous faut vous référer à un fondement sur lequel vous pouvez poser vos mains; en effet, vous avez le droit d'avoir vos propres croyances (comme vous le croyez) tout autant que quelqu ' un d'autre. Mais il nous faut avoir des références. Il doit y avoir un point de départ, dont on peut dire : «Voilà la chose. » Sinon vous ne pouvez pas avoir de débat, en d'autres termes. Voyez-vous? Si tous deux nous... J'ai dit : «Eh bien, le Branham Tabernacle est dans le vrai. » Et vous, vous dites... Il dit que la - la - la - la... Vous dites: «L'Eglise anglicane d'Angleterre est dans le vrai et - et...»
Vous dites? [Un frère dans l'auditoire parle à frère Branham. - N.D.E.] Oui, qu'il soit Arménien et tout, vous savez, et vous, vous prenez le «Dutch Reform» [Eglise réformée d'origine hollandaise - N.D.E.]. Eh bien, alors, où allons-nous? Maintenant, il doit y avoir une référence. Eh bien, vous pouvez vous référer, et citer vos catéchismes et tous les autres et tout. Nous, nous ne nous référons qu'à l'église, à nos - nos fond-,.. fondateurs, d'où nous tirons notre origine, et où nous basons ceci. Voyez-vous, il doit y avoir une référence qui est vraie.
C'est juste comme un principe dont vous parlez au - au Parlement. Il vous faut avoir quelque chose de vrai. Vous devez - vous devez le présenter là et le démontrer au peuple. Il vous faut avoir un point de départ. Eh bien, c'est ainsi qu'il nous faut procéder avec la Bible.
13              Je suis donc revenu à la - la question d'Actes 2 avec lui. J'ai dit : «Eh bien, vous - vous dites que - que c'est Actes 2 qui vous servira de base pour cela.» J'ai donc dû lui donner quelque chose pour le désarçonner - le désarçonner pour qu'il puisse être - pour qu'il puisse - que je puisse lui parler, vous savez, une fois qu'il avait quitté sa position.
J'ai dit : «Bon, nous allons - nous allons, quant au fondement... si vous le voulez. Merci, frère. Si vous voulez bien - vous voulez vous accrocher aux Ecritures...» J'ai dit : «Maintenant, frère, je -j'apprécie votre position.»Voyez- vous? Et j'ai dit : «Vous êtes... vous avez dit ici qu'ils étaient tous remplis du Saint-Esprit et qu'ils s'étaient mis à parler en d'autres langues selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer. Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes pieux, de toutes les nations qui sont sous le ciel; au bruit qui eut lieu, ils se rassemblèrent et ils furent confondus parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue, dans sa langue maternelle.»
J'ai dû le désarçonner un peu là. J'ai dit : «Maintenant, frère, voici la question que j'aimerais vous poser.» Bon, rappelez-vous, la Bible dit que ces incroyants... Elle ne dit donc pas que ces gens (voyez-vous) ici, qui étaient descendus de la tour, de la chambre haute dans le bâtiment, Elle dit qu'ils étaient tous remplis du Saint-Esprit, et que ceux qui étaient là dehors les ont entendus chacun dans sa propre langue, dans sa langue maternelle. Voyez-vous? Ils les ont entendus dans leurs langues maternelles, chacun. Voyez-vous? Les pécheurs les entendaient dans leurs propres langues, dans leurs langues maternelles, les incroyants.» Alors, j'ai dit : «Si donc l'interprétation que vous avez de la Pentecôte est vraie, voyez, tel que vous y allez... » Alors j'ai dit : «Il y a donc quelque chose qui cloche soit dans Actes 2, soit dans votre interprétation.»
14              J'ai dit : «Maintenant, j'aimerais vous poser une question, frère : 'Où avez-vous reçu le Saint-Esprit?'» Il me donna la minute, l'heure et le moment; un brave homme. Mais il était un peu arrogant, vous savez, il était un peu excité; en effet, il était agité. Il n'y avait pas de quoi. Voyez?
Si j'enfermais un lapin dans un champ et qu'il n'ait pas du tout moyen de s'en échapper, et que je me tienne à la porte, il devra rentrer, parce qu'il ne pourra pas sortir. Vous n'avez donc pas à vous agiter. Voyez-vous? Vous savez exactement... vous savez qu'il n'a d'issue nulle part. Ainsi, vous vous accrochez bien à une Ecriture à Laquelle vous voulez vous accrocher. Il devra retourner à cela. Ainsi, il - il n'ira nulle part. Vous n'avez pas à le pourchasser partout dans le champ. Tenez-vous simplement là et laissez-le revenir vers vous.
15              Ainsi donc, j'ai dit : «Monsieur, ai-je dit, maintenant, comment avez-vous agi quand vous avez reçu le Saint-Esprit?»
«Gloire à Dieu, j'ai parlé en d'autres langues selon que l'Esprit me donnait de m'exprimer.»
J'ai dit : «D'accord, qui était là?»
Il a répondu : «Environ cent cinquante personnes.»
«Vous étiez dans une église?»
«Oui, oui.»
«Et étaient-ils tous des anglophones?» «Oui.»
J'ai dit : «Comment avez-vous donc parlé?» Et il répondit : «J'avais parlé en langues.»
J'ai dit : «Quand vous avez parlé, vous avez rendu témoignage au Saint- Esprit?»
«Oui, Oui.»
«... que vous avez reçu le Saint-Esprit?» «Oui.»
«L'assemblée vous a-t-elle compris?» Il répondit : «Eh bien, non.»
J'ai dit : «Alors, ce n'était donc pas selon Actes 2.4», voyez-vous? J'ai dit : «Parce que chacun entendait dans sa propre langue, dans sa langue maternelle. Il n'y avait pas du tout de balbutiement. Chacun entendait dans sa propre langue, sa langue maternelle.» J'ai dit : «Alors, vous ne L'avez certainement jamais reçu selon Actes 2.4.» Cela le désarçonna de cette Ecriture là même, le modérateur m'attribua un point (Voyez?) là même.
16              J'ai dit : «Or, le jour de la Pentecôte, ils entendaient chacun dans sa propre langue. Il n'y avait pas du tout de balbutiement.»
Il a répondu : «Oh, je vois où vous vous êtes embrouillé, Frère Branham.» Il a dit : «Vous voyez, là, le Saint-Esprit, quand Il est venu au début, dit-il, il y a... Nous, nous parlons les langues des Anges, vous voyez?» Il a dit : «Il n'y a - il n'y a pas d'interprétation pour cela. Mais après, quand on a l'interprétation, dit-il, c'est qu'il y a alors une langue qui peut être interprétée dans l'une d'elles, comme Paul l'a dit.»
J'ai dit : «Oui, oui, je comprends cela.» J'ai dit : «Alors, vous voulez donc me dire, monsieur, que - que lorsque nous recevons le Saint-Esprit, il y a une langue que personne ne comprend (voyez), lorsque nous parlons en langues, en recevant le Saint-Esprit?»
Il répondit : «C'est ça.»
«Et puis, après que nous sommes baptisés dans le Corps, nous recevons alors une langue qui - qui peut être interprétée. Voyez-vous? Est-ce cela?»
«Oui.»
J'ai dit : «Vous avez donc mis la charrue devant les bœufs.» Voyez-vous? J'ai dit : «Alors, ici vous devez...» Voyez-vous? J'ai dit : «Alors le jour de la Pentecôte, quand ils ont reçu le Saint-Esprit, ils L'ont reçu différemment de vous tous.» J'ai dit : «Vous tous, vous Le recevez, mais personne ne comprend cela. Quand eux L'avaient reçu, tout le monde avait compris cela.» J'ai ajouté : «Ou bien ces gens-ci avaient là le don pour interpréter...» Voyez-vous?
17              Et j'ai dit : «Si donc vous reconnaissez qu'ils avaient le don d'interprétation, c'est qu'ils avaient donc aussi le Saint-Esprit, parce qu'ils avaient l'interprétation, tout comme vous, vous avez le don de parler, mais ils se moquaient des autres et les raillaient.» Voyez-vous? Voyez-vous, ce n'est pas sensé. Et j'ai donc dit : «Et si je vous disais que Dieu avait fait quelque chose pour ces gens-là qui fit qu'ils... ces... que chacun les a alors entendus dans sa propre langue.»
Il a dit : «Mais ils parlaient en langues.»
J'ai dit : «Une minute, frère. L'incroyant qui était là a dit : 'Voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens? Et comment les entendons-nous donc dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle? Ceux qui parlent sont Galiléens et parlent galiléen, mais nous les entendons dans notre propre langue, dans notre langue maternelle. ' » Voyez-vous? Il ne savait alors pas où se tenir. Voyez-vous? Voyez? J'ai dit : «Maintenant...» Il a dit... Alors, j'ai dit : «Je suis... Il se peut qu'il en ait été ainsi.» J'ai dit : «J'ai vu cela se produire.»
18              Il y avait une fois une petite fille espagnole, je vous en avais parlé; je pense que les gens ont entendu cela là sur la bande. Et alors, j'ai dit : «Maintenant, nous...» Je parlais juste comme je parle maintenant, et elle m'entendait, et juste alors... Et elle a dit à l'interprète : «Je pensais qu'il ne parlait pas espagnol.» Eh bien, nous avions rejoué la bande et c'était de l'anglais, mais lorsque l'inspiration était là, elle entendait cela en espagnol, alors qu'elle ne pouvait donc pas entendre un seul, ou plutôt comprendre un seul mot en anglais. Voyez-vous?
C'était donc pour elle : il lui fut dit tout ce qu'elle avait, une épilepsie. Et elle était assise près d'un foyer et mangeait du maïs jaune. Elle en avait tellement mangé qu'elle tomba terriblement malade et elle alla au lit. Et elle piqua une crise d'épilepsie à cause de cela. Depuis lors, elle en a souffert (Voyez?), jusqu'à ce qu'elle fût alors guérie. Il a alors dit : «Eh bien, un instant donc.» Il a dit : «Ils étaient... Je vois où vous... »
19              Et j'ai dit : «Frère, je me demande simplement pourquoi, lorsqu'on vous a posé cette question...» J'ai dit : «Vous parliez de Actes 2.4, et puis vous êtes passé à Actes 10.49...» J'ai dit : «Comment avez-vous laissé tomber Actes 8, là où les Samaritains avaient reçu le Saint-Esprit? Il n'y a pas d'Ecriture qui dise qu'ils aient parlé en langues.» Voyez-vous? Eh bien, j'ai dit - j'ai dit : «Si vous remarquez bien, à Jérusalem, ils étaient rassemblés... [Je défends votre point de vue là-dessus maintenant, Voyez-vous?]» Et j'ai dit : «Les hommes de toutes les nations étaient rassemblés là. Plus loin, il est parlé des Mèdes, des Perses, des prosélytes, des étrangers et des Macédoniens, oh, vous savez, et des gens semblables étaient là.» J'ai dit : «Maintenant, ils étaient tous... ils étaient tous là et ils les entendaient, chacun, dans sa propre langue.»
Et j'ai dit : «Eh bien, et chez Corneille...» Eh bien, j'ai dit : «Là quand ils ont parlé en langues, les autres ont entendu dans leur propre langue la même chose qu'ils avaient entendue là-bas.» J'ai dit : «En effet, Pierre a dit : 'Peut-on leur refuser l'eau, étant donné que ceux-ci ont reçu le Saint-Esprit comme nous au commencement?» J'ai ajouté : «Dieu ne changera jamais Son programme. Si - si vous vous en tenez juste à ceci, Actes 2, juste ici où le Saint-Esprit descendit pour la première fois, cela va - cela va s'accorder avec le reste.»
20              J'ai dit : «Maintenant, si cela était si capital, pourquoi les Samaritains n'ont-ils pas parlé en langues quand ils ont reçu le Saint-Esprit?» J'ai dit : «En effet, ils parlaient tous l'hébreu. Voyez? Voyez, tous parlaient l'hébreu. Il n'était pas nécessaire pour eux d'avoir une autre langue, parce qu'ils témoignaient simplement que le Saint-Esprit était venu. Ils parlaient tous dans leur langue et - et chacun... » Et - et j'ai dit : «Et il n'y avait aucune raison pour ça.» J'ai continué : «Voilà les trois tribus, voyez, les Juifs, les Samaritains et les Gentils.» Et j'ai dit : «Or, les Gentils, si vous vous en souvenez, Corneille était un centurion, à la tête de cent hommes, une cohorte d'Italiens. Et il y avait là des circoncis ainsi que les Romains et les Italiens, et - et tous - tous ensemble étaient là, et peu importe ce que c'était, il parlait, en effet, c'était juste comme au commencement, donc...
Peut-on refuser l'eau, voyant que ceux-ci ont reçu le Saint-Esprit comme nous au commencement? Vous voyez donc, cela a dû être de la même manière qu'au commencement, et chacun a dû entendre dans sa propre langue.»
21              J'ai dit : «Je conviendrai qu'il y a eu dans la Bible une fois où tout le monde avait parlé en langues.» Mais il était très bouleversé, vous savez. Et il a dit : «Alléluia! Vous êtes maintenant sur la voie!» J'ai dit : «Oui, oui, c'était à Babel. Personne ne comprenait ce que l'autre disait.» J'ai dit - j'ai dit - j'ai dit : «A la Pentecôte, ils comprenaient tous ce que chacun disait, ai-je dit. C'était l'effusion du Saint-Esprit.» Voyez-vous? J'ai dit : «A Babel, ils parlaient tous dans des langues inconnues comme le font les Pentecôtistes aujourd'hui. Personne ne comprend ce que dit l'autre. L'un balbutiant ceci, l'autre balbutiant cela, et ils ne comprenaient rien, mais ça, c'était à Babel.» Voyez-vous? «Mais, ai-je dit, à la Pentecôte, chacun entendait dans sa propre langue, sa langue maternelle.»
Et il a dit : «Eh bien, je - je... vous êtes... Je crois toujours.» Il a dit : «Gloire à Dieu, je L'ai reçu. Alléluia! Ça fortifie davantage l'Eglise.» Et j'ai dit: «Attendez donc, nous ne parlons pas de cela. Nous parlons de la doctrine bibli­que.» Voyez-vous? Restons avec cette Ecriture. Voyez-vous?
22              Et - et ainsi, alors que nous poursuivons, il a dit : «Eh bien, dit-il, oh, je crois qu'ils étaient tous sous l'inspiration, quand ils parlaient en langues.» Il a dit : «Je ne crois pas que les autres les aient écoutés par un interprète. Je crois qu'ils étaient inspirés, quand ils parlaient en langues.»
J'ai dit : «Je serai d'accord avec vous et nous allons clôturer notre débat sur cela, voyez, qu'ils étaient tous inspirés, quand ils parlaient en langues.» Et j'ai dit : «Bon, voyez, c'est juste comme ceci, ai-je dit, nous sommes tous rassemblés ici à Jeffersonville.» Ici, c'est à Yakima que nous sommes tous rassemblés. «C'est la fête de la Pentecôte.» Et j'ai dit : «Maintenant, disons que vous, vous êtes Suisses; vous, Allemands; et vous, Français. Voyez-vous? Et nous sommes tous ici à l'intérieur, et chacun de vous constitue un groupe de gens.»
23              Maintenant, disons que moi-même, frère Borders et frère Gene assis ici, nous sommes tous Américains. Voyez-vous? Et vous, vous formez un groupe; vous, vous formez un groupe; vous, vous formez un groupe. En effet, c'est ainsi qu'ils étaient. Il y avait des Mèdes, des Perses et d'autres rassemblés là.
Et j'ai dit : «Maintenant, nous sommes - nous sommes tous ici, et tout d'un coup survient du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux qui remplit la maison ici dedans, et non là dehors où vous êtes tous. Et ici à l'intérieur, nous sommes tous remplis du Saint-Esprit et nous sortons. Et pour commencer, vous savez, ici je - je suis Anglais et je me mets à parler en anglais comme d'habitude, voyez-vous, et vous, vous comprenez cela en suisse.»
«Oh! non. Non, non, dit-il, non, vous parliez en - en - en, pardonnez-moi, en 'européen'.»
J'ai dit : «Si c'était donc le cas, alors, qu'est-ce que je lui dis concernant la résurrection de Jésus-Christ, la venue du Saint-Esprit?» Voyez-vous? J'ai dit : «Je - je vous parle en suisse pendant que Gene vous parle en allemand et que Roy vous parle en français.» Voyez-vous? Et il a dit... J'ai dit : «Alors un... »
Il a dit : «Maintenant - maintenant, vous êtes - vous êtes très près de la chose.»
J'ai dit : «Très près de la chose?» J'ai dit : «C'est ce que dit l'Ecriture : 'Nous les entendons chacun dans sa propre langue, dans sa langue maternelle'.» Voyez?
Il a dit : «Oh!» Et les modérateurs... «J'avais déjà vu cela. J'ai déjà attribué des points à chacun au tableau, jusque-là, vous savez.» Alors j'ai dit : «Nous allons clôturer ceci.» Et il - il a dit... Et - et j'ai dit : «Ainsi, ils étaient - étaient tous en train de parler, de se comprendre mutuellement. J'avais déjà expliqué cela au départ; ils ont dû comprendre leur langue. Voyez? Babel, c'était l'unique fois où on ne se comprenait pas. A la Pentecôte, on comprenait tout le monde.»
24              Cela - l'Evangile devait aller dans le monde entier, en commençant par Jérusalem, et II avait atteint le monde entier de l'époque, le monde connu, juste là. Voyez-vous? Il devait venir comme cela, parce que, voyez-vous, toutes les nations sous le ciel étaient rassemblées là, les nations religieuses; c'était la Pentecôte. Voyez-vous? Et il a atteint le monde entier. Mais, allez par tout le monde, en commençant par Jérusalem. Voyez-vous? On devait donc rendre témoignage de la résurrection de Christ en langues. Ainsi, il devait aussitôt aller dans le monde entier. Voyez-vous? Et ces porteurs-là, ces gens-là, les adorateurs, retournaient dans leurs pays respectifs.
C'est comme l'Ethiopien qui, quelques jours plus tard, s'en allait, vous savez. Et Philippe se trouvait là en Samarie, alors que - alors que l'Ethiopien, l'eunuque, était sur son chemin de retour vers l'Afrique. Et le Saint-Esprit appela Philippe de cette grande réunion et le plaça dans le désert. L'Ethiopien lisait Esaïe. Philippe lui demanda : «Que lisez-vous?»
Il répondit : «Comment puis-je le savoir si quelqu'un ne m'enseigne?» Il lisait et il demanda à Philippe : «De qui s'agit-il? De qui le prophète parle-t-il?
Est-ce de lui-même ou... » Il avait été là à la Pentecôte pour adorer, voyez-vous? Alors, Philippe le baptisa là même au Nom de Jésus et ce dernier poursuivit son chemin vers l'Ethiopie, se réjouissant, amenant le Message en Ethiopie. C'est là qu'il était censé être - aller. Bon, voici venir le... La chose était là - là, voyez- vous?
25              J'ai dit : «Maintenant...» Ainsi, j'ai dit : «Vous voyez, monsieur, quemême les modérateurs ont déjà donné des points là, comme quoi ils - ils parlaient en des langues que chacun comprenait. Il n'y avait pas un seul balbutiement. Voyez- vous? Ainsi, votre version de la Pentecôte a déjà été condamnée, voyez-vous, parce que vous aurez à l'identifier à Babel, car vous ne pouvez pas placer cela dans Actes 2.4. Voyez-vous? Parce qu'ils entendaient chacun dans sa propre langue, dans sa langue maternelle, alors qu'à Babel personne ne comprenait quelque chose. Vous voyez donc, votre version de la Pentecôte se retrouve déjà là dans Genèse, à Babel, en plus. Voyez-vous? Vous n'êtes donc plus ici à la Pentecôte.» Et j'ai dit : «Mais progressons un peu plus loin là-dessus. Voyez- vous? Parce qu'il nous est déjà attribué un point là, vous voyez. Ainsi, où que vous alliez dans la Bible, cela doit de nouveau arriver comme c'était au commencement. Dieu est infini et II ne peut changer.»
26              Il a dit : «Eh bien, ils...» Ensuite, il poursuivit avec le reste. Il dit : «Maintenant, vous conviendrez, malgré cela, Frère Branham, que ces gens qui sortaient ici n'étaient pas juste comme des Méthodistes ou des Baptistes.» Voyez- vous, cela... Il s'en prenait à mes Baptistes, vous voyez? Il dit : «Ils n'avaient pas... Ils avaient reçu l'inspiration et ils parlaient sous l'inspiration.»
J'ai dit : «Oui, oui. Je suis d'accord là-dessus.» Alors, ils lui attribuèrent un point là-dessus. «J'accepte que c'était sous l'inspiration qu'ils disaient ce qu'ils disaient.» J'ai dit : «Chaque fois que je prêche, je prêche de la même manière, pas vous? En anglais, vous savez, sous l'inspiration.» Cela règle ce...?... Cela m'a mis dans le... J'ai dit : «Chaque fois que je prêche ou que je prophétise, ce n'est pas en langues inconnues. Paul a dit que s'il n'y a pas d'interprète pour ça, c'est rien, c'est comme de la barbarie. Cela doit être pour l'édification et ainsi de suite. Voyez-vous?» Ainsi, il était mis K.O. sur ce point. Voyez-vous?
27              J'ai dit... Bien, il a dit... Et j ' ai dit : «Eh bien, j ' admettrai que tout était entièrement sous l'inspiration.» J'ai dit : «Maintenant - maintenant, c'est comme ceci...» J'ai dit : «Certains parmi eux là...» J'ai dit : «C'est comme si nous étions... » J'ai dit : «Ceux qui parlaient alors en galiléen aux Galiléens, ils étaient sous l'inspiration, n'est-ce pas? Voyez-vous? C'est comme nous, par exemple, sommes tous Anglais... »
Il a dit : «Personne parmi eux n'était Gali... »
J'ai dit : «C'était en Galilée et tous ceux qui parlaient étaient des Galiléens. Il y avait là des Galiléens qui les écoutaient, parce qu ' ils étaient en Galilée. C ' était la - la langue nationale.» J'ai dit : «Puis, un homme s'est présenté et a parlé aux Galiléens dans leur langue maternelle et il était Galiléen, tout comme moi je suis Anglais, parlant aux Anglais en anglais. Voyez-vous? Ce n'est pas ce qu'il avait.» Voyez-vous?
Eh bien, il a dit : «Cela était descendu peut-être sur l'un et puis sur l'autre. Ils s'étaient simplement partagé cela. Peut-être que l'un est venu leur parler pendant un moment.»
J'ai dit : «Alors après, ces pauvres Galiléens n'y comprenaient rien.» J'ai dit : «C'est qu'il n'était alors pas inspiré quand il leur parlait de la résurrection. C'est la même chose.» Vous voyez, il n'y avait vraiment pas de base, vous savez.
Et nous avons continué comme ça jusqu'à ce que nous avons passé les Ecritures au peigne fin, jusqu'au bout, comme ça. Voyez-vous? Cela devra retourner à l'original, au début, voyez-vous?
Vous voyez donc, ça... Là... Il - il - il ne s'agit pas de parler en une langue inconnue; il s'agit de parler sous l'inspiration. Voyez? C'est comme moi, par exemple, je reçois le Saint-Esprit ici ce matin parmi vous tous; je serais sous l'inspiration, en vous parlant de la résurrection du Saint-Esprit; cela me viendra par l'inspiration.
28              Maintenant, voyez-vous, les langues, ce n'est pas cela le Saint-Esprit. Voyez-vous? Alors, il a dit : «Vous ne croyez donc pas au parler en langues?»
J'ai dit : «Certainement, j'y crois. Je crois au parler en langues.» Et j'ai dit: «C'est le moindre des dons - des dons, tel que c'est mentionné dans la Bible, parce que c'est le dernier don.» Voyez-vous? J'ai dit : «Et un homme peut parler en langues, mais il lui faut d'abord avoir le Saint-Esprit avant qu'il - qu'il parle en langues. Si ce n'est pas le cas pour lui, c'est un imposteur.» J'ai dit : «Il peut donc parler en - en langues, celles des hommes et celles des anges, comme vous l'avez dit, sans pourtant avoir le Saint-Esprit.» J'ai dit : «En effet, Paul dit : 'Quand je parlerais (quand je parlerais) les langues des hommes et des anges et si je n'ai pas la charité, je ne suis rien. Quand j'aurais toute la science et que je pourrais interpréter les Ecritures avec exactitude, sans ce baptême, je ne suis ri - rien. Et quand je donnerais mes biens pour nourrir les pauvres et que je livrerais mon corps pour être brûlé comme sacrifice, et quand j'aurais la foi pour déplacer les montagnes, je ne suis rien.' Je n'ai même pas encore commencé. Voyez-vous? Or, j'ai toute cette foi.»
J'ai dit : «Maintenant, c'est comme la réponse que le Docteur Eggery avait reçue là, cette fois-là, vous savez, ce doyen luthérien, vous savez.» Et je lui avais dit... Vous rappelez-vous le débat que nous avions eu, vous savez, là sur le - sur... à propos de... Il me parlait de cette sorcière-là, vous savez, qui avait prié pour les malades et les malades étaient guéris, et il disait que Dieu ne pouvait pas guérir. Vous avez entendu parler de cette histoire, voyez-vous? Voulez-vous dire que...? Voyez? J'ai dit : «Assurément.»
29              Nous avons beaucoup de ces gens qui viennent ici et qui disent : «Frère, j'ai la guérison dans ma main.» Fiou! Sentir cela? Non, mais les gens sont guéris malgré tout, parce que c'est sur base de la foi, et cet homme pense qu'il approche Dieu par ce moyen-là? Et je crois que beaucoup de ces gens reçoivent le Saint- Esprit, voyez-vous, quand ils viennent de là, parlant en langues. Voyez-vous? Je crois que c'est le Saint-Esprit. Mais cela n'est en rien l'évidence qu'ils L'ont reçu. C'est leur vie qui le prouvera.
Certains parmi eux sortent de là et - et... Vous avez entendu parler de ma vision. Je crois que vous aviez suivi cela sur mes bandes, ce qui s'est passé quand j'étais parti à Mishawaka cette fois-là, ces gens se présentaient là, vous savez, et un jeune homme de couleur a dit : «Le voici. Le voici», vous savez. Eh bien, vous vous en souvenez, il y avait là un homme qui parlait en langues et un autre qui interprétait. Je n'avais jamais entendu cela de ma vie. Voyez-vous? Et maintenant, si je vous parlais - arrêtez-moi. Voyez-vous?
30              Ainsi donc... Mais, cet homme perdit le débat, vous savez. Bien sûr qu’il y a beaucoup plus de choses, mais vous voyez de quoi je parle là, voyez-vous? Retournez droit au commencement, voyez-vous, droit au commencement. [Un frère dans l'assemblée dit: «Il y a beaucoup de ces gens-là qui parlent en langues et qui pensent qu'ils ont le baptême, mais en réalité, ils - ils ne L'ont pas.» - N.D.E.]
Ils ne L'ont pas reçu. [Ils ont fait une confession... - N.D.E.] Oui! [De...N.D.E.] Ils ne L'ont pas reçu. Voyez-vous? Lorsque le véritable Saint-Esprit entre, c'est la Vie de Christ, voyez-vous, qui vit dans un être mortel, dans l'être humain. Voyez-vous? Et rien n'est dit au sujet de Jésus parlant en langues en recevant le Saint-Esprit.
Maintenant, qu'en est-il de Jean Baptiste? Il a reçu le Saint-Esprit dans le sein de sa mère, six mois avant sa naissance. Comment avait-il parlé en langues? [«Qu'en est-il du sourd-muet?»] Oui. Comment aurait-il pu parler en langues s'il ne pouvait même pas parler ou entendre? Qu'en est-il d'Elisabeth et de Marie quand elles... Elisabeth, la mère de Jean, était remplie du Saint-Esprit et elle a prophétisé; elle a parlé, ce n'était pas le parler en langues. Voyez-vous?
31              Ainsi, ils - ils n'avaient aucun argument... J'avais tout de même parlé à certains de leurs principaux dirigeants et au comité principal, des gens in - in - intelligents vont - vont admettre cela, vous voyez, mais ils... Mais tout ce qu'ils disaient, c'est... Bon, c'est une doctrine de l'église, vous voyez. C'est ce que... Qu'allez-vous faire à ce sujet? Eh bien, vous y êtes! Voyez-vous? Maintenant, ce que... S'ils essayaient de changer cela maintenant, on les chasserait de l'organisation. Voyez-vous? Eh bien, c'est exact.
32              Je suis libre. Je ne suis pas obligé d'avoir - d'avoir une organisation. Voyez-vous? Je suis un citoyen libre, et j'ai le droit de parler, et de - de dire ce que je veux; c'est la liberté d'expression. Et je suis un ministre qui a été ordonné, ainsi donc, on ne peut pas m'empêcher de marier, d'ensevelir, de baptiser ou de prêcher l'Evangile (vous voyez?) dans ma propre église. C'est la démocratie. Je ne suis pas obligé d'être membre d'une quelconque organisation. Voyez-vous? Et - et ainsi donc, nous - nous - nous disons ceci en tant que... ; en ce que - en ce que... Vous comprenez maintenant? Etes-vous tout à fait convaincus? [Un frère dit : «Oh, nous sommes convaincus depuis longtemps.» - N.D.E.] Oui, c'est un... Je...?... Je pense qu'il y a des choses qui peuvent - peuvent sembler être très - très bien, mais c'est juste...?... - dans l'ensemble...

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