La Colonne de Feu

Date: 53-0509 | La durée est de: 1 heure 36 minutes | La traduction: SHP
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1.         Assistez à la réunion de votre église. Et puis, après–après, le lundi soir, revenez encore auprès de nous. Amenez vos pasteurs, dites-leur de venir. Nous apporterons un petit enseignement dans le Livre de Genèse ou d’Exode, l’un ou l’autre, le Seigneur voulant, pendant quelques soirées. 

            Puis, le mercredi soir, nous aurons encore un service de guérison ; et puis le jeudi soir, nous commencerons à… là à Shreveport, en Louisiane. Et le dimanche soir, nous serons à (à ce que je sache maintenant)–à l’Auditorium Municipal là, à Shreveport. Puis, de là, nous retournerons chez nous. Ensuite, nous irons là dans l’Indiana où nous tiendrons une série de réunions parrainées par quarante-trois églises du Plein Evangile dans le district. Et, à ce que je sache, la prochaine série de réunions sera donc à Johannesburg, en Afrique du Sud. Je compte donc sur vos prières en ma faveur.

2.         Souvent, mes amis, quand les tempêtes faisaient rage et que les épreuves surgissaient de tous côtés, je me souvenais de l’Arkansas, et, ici, des chrétiens qui avaient levé leurs mains cette nuit-là, quand vous chantiez ce cantique pour moi, alors que je partais, promettant de prier pour moi pendant que je serai absent. Je–je croyais que vous étiez en train de prier. Dieu n’a jamais manqué d’exaucer vos prières, car Il s’est tenu à mes côtés aux moments difficiles, quand les batailles faisaient rage, dans toutes sortes de situations où nous avons eu à combattre. 

            Vous ne comprendriez peut-être pas très bien. Ça ne sert à rien de chercher à expliquer ces choses. Elles sont inexplicables. Dieu seul sait. Vous pouvez penser que la vie n’est qu’un lit fleuri d’aisance. Mais si seulement vous connaissiez la bataille, les épreuves et les choses qui accompagnent ceci, vous serez surpris.

3.         Vous savez, la plupart des prophètes, des poètes sont considérés comme des névrosés. Vous le saviez. Je pense que c’était Stephen Foster, frère, qui était considéré comme l’un des meilleurs... Eh bien, il a donné à l’Amérique certaines de ses meilleures chansons populaires. Combien ont déjà entendu les chansons de Stephen Foster ? Assurément, beaucoup parmi vous : The Old Folks at Home, Swance River, et Old Kentucky Home. 

            Il n’y a pas longtemps, je me tenais devant la vieille patrie du Kentucky. C’est à une courte distance du petit lotissement où je vis maintenant. Alors, je regardais sa photo là, il était censé être entré en contact avec les séraphins pour recevoir cette inspiration. Je me suis dit : « M. Foster, vous aviez ça dans la tête, pas dans le cœur. » Quand il... Il en est sorti… il avait été inspiré à composer une chanson. Et après avoir composé une chanson, il s’était soulé. Et finalement, quand l’inspiration pour composer la chanson l’avait quitté, il a appelé un domestique, il a pris une lame de rasoir et s’est suicidé. Stephen Foster.

4.         Il n’y a pas longtemps, je me tenais près de la tombe de William Cowper à Londres, en Angleterre ; il était considéré comme un névrosé. Il a composé cette célèbre chanson que j’ai pratiquement chantée toute ma vie comme chant lors du service de Communion : 

Il y a une fontaine remplie de Sang,

Tiré des veines d’Emmanuel,

Une fois plongés dans ce flot,

Les pécheurs perdent toutes les taches de leur culpabilité. 

            Et après avoir composé cette chanson, il était sous l’inspiration, comme toujours, et quand l’inspiration l’a quitté, il a cherché à se noyer à la rivière Seine, pour se suicider. Il était considéré comme un peu dérangé, un peu détraqué. 

            Cette célèbre chanson qu’on vient de chanter : « Ô l’amour de Dieu, combien riche et pur. » Savez-vous où son dernier couplet a été trouvé ? Cloué sur le mur d’un asile des fous. Le saviez-vous ? C’est vrai. Cela était cloué dans un asile des fous, sur les murs. Les gens ne se rendent pas compte de ce que cela veut dire.

5.         Eh bien, vous direz : « Là, ce sont des paroliers. Qu’en est-il des prophètes ? » Jonas, alors qu’il était en route, et que Dieu lui avait donné une inspiration et l’avait approvisionné en oxygène pour le maintenir en vie trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson... Et quand il est sorti à Ninive, après avoir été gardé en vie trois jours et trois nuits, il a prêché avec une grande force. Il a annoncé sa prophétie à une ville de la dimension de Saint Louis, dans le Missouri : les gens se sont repentis. Ils ont même fait porter le sac à leurs animaux. 

            Et alors, après que l’inspiration l’avait quitté, il s’est assis sous un arbre et a prié du fait qu’une petite gourde avait dû être coupée et abattue, il a prié Dieu de lui ôter la vie. Est-ce vrai ? Voyez, il était sous inspiration. Vous ne comprenez pas, mon ami. Et quand il en est sorti...

6.         Quelqu’un en a parlé. Une fois, je sortais d’une salle, je me suis écroulé avant de quitter l’estrade. Vous dites : « Bien, c’est absurde. Cet homme devrait marcher... » Oh ! si seulement il savait ! Si seulement vous saviez ! Vous dites : « Ô Frère Branham, si Dieu me donne des visions... » Vous ne savez pas ce que vous demandez, mon ami. Vous ne comprenez pas. 

            Daniel, le prophète eut une vision et dit qu’il a eu des troubles dans sa tête pendant beaucoup de jours. Vous êtes dans un autre monde. Vous devenez un cobaye. Vous êtes un sacrifice pour l’humanité. C’est un peu dur quand les gens ne veulent pas croire le Message, mais cela a été ainsi à travers l’âge. Nous avons toujours eu des incrédules. Nous devons toujours com–combattre cela.

7.         Considérez le prophète Elie. Elie était l’un des prophètes majeurs. Cet homme est monté, s’est tenu sur la montagne et a ordonné que le feu descende du ciel et consume le sacrifice, et ça s’est fait. Il a fait descendre la pluie du ciel, alors qu’il n’y en avait pas eu depuis trois ans et six mois. Est-ce vrai ? 

            Et après, quand l’inspiration l’a quitté, il a erré dans le désert pendant quarante jours, ne sachant où il était. Et Dieu l’a retrouvé en retrait, quelque part dans une caverne. Est-ce vrai ? Et il fuyait une femme qui avait proféré des menaces contre sa vie, après qu’il avait, lui seul, tué par l’épée quatre cents prêtres ce jour-là ; il les avait décapités, Elie le prophète. Est-ce vrai ? 

            Il s’est tenu là, devant toutes les nations, et les a défiées en consultant Dieu, et il s’est moqué de tous ces prêtres et prophètes pendant que... de Balaam alors qu’ils prophétisaient, se faisaient des entailles et tout. Il a dit : « Appelez un peu plus fort. Peut-être qu’il est occupé. » 

            Et tant que l’inspiration était sur lui, il–il défiait bien tout ce qui était impie. Mais après, quand l’inspiration l’a quitté, il a fui devant la menace d’une femme, il a fui dans le désert; et Dieu l’a nourri, l’a réveillé et l’a nourri de nouveau. Et l’homme était inconscient, pour autant que je sache, errant dans le désert pendant quarante jours et quarante nuits, et Dieu l’a retrouvé là dans une caverne. Est-ce vrai ? 

            Vous voyez donc, vous ne comprenez pas, mon ami. Les hommes demandent dans leurs prières des choses et ils ne savent pas pourquoi ils les demandent. Par ailleurs, les dons et les appels sont sans repentir.

8.         Mais je crois que nous vivons dans les jours qui précèdent la Venue du Seigneur. Eh bien, si le fait de croire cela, c’est du fanatisme, alors je suis un fanatique. Mais je... Mes amis, je sais ceci, je crois que Dieu est sur le point d’accomplir une œuvre très rapide.

9.         Le monde entier, avez-vous déjà vu pareille nervosité ? Laissez-moi simplement vous dire que c’est le cas même chaque soir, depuis que je suis ici et que je regarde l’audience. Maintenant, tout le monde, je veux que chaque homme et chaque femme soient sincères envers moi. Je sens une pression quand des gens nerveux viennent à cette estrade. Il y a au moins, maintenant même dans cette salle, quatre-vingts pour cent de ceux qui sont assis ici qui sont nerveux, affligés avec des problèmes nerveux. C’est tout à fait vrai. 

            Soyez sincères envers moi. Chaque homme et chaque femme, chaque garçon ou chaque fille ici qui souffre de nervosité, qu’il lève la main. Levez la main. Qu’est-ce que je vous ai dit ? Qu’y a-t-il ? La Bible le dit, le cœur des hommes défaille, il y a plus de maladie de cœur, c’est la maladie numéro un. Est-ce vrai ? Et, des choses horribles sur la terre, le temps de perplexité, la détresse parmi les nations; la mer qui mugit, de grands raz-de-marée emportant des parties de villes et qui se brisent sur les rivages, juste avant la Venue. 

            Cela a... Cela sert de décor au plus grand drame qui ait jamais été joué dans tous les âges, la Venue du Seigneur Jésus-Christ. Pouvez-vous vous représenter un petit agneau là, dans le champ, en train de brouter ? Il devient nerveux. Pourquoi devient-il nerveux ? Il ne voit rien, mais là derrière, dans les joncs, il y a quelque chose en mouvement. C’est un lion, se ramassant, s’apprêtant à bondir. C’est ce qu’est la nervosité. 

10.       La fin est là. Je ne sais pas quand ça sera; personne d’autre ne le sait. Celui qui dit qu’il le sait, il–il ne le sait pas. Car même Jésus Lui-même ne le savait pas. Mais nous savons que quand ces choses commenceront à se passer, Il a dit : « Levons la tête, la rédemption est proche. » 

            Maintenant, nous sommes à la fin de l’âge, et je ne veux pas essayer de mal présenter quoi que ce soit. Je n’ai jamais été coupable de cela. J’ai toujours essayé d’être honnête et véridique, et tout aussi que je… intègre que possible, d’abord envers Dieu. Et si je suis intègre envers Dieu, je le serai envers Ses enfants. Et je sais que, comme je sers Son peuple, je sers Dieu. Jésus a dit : « Toutes les fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits, c’est à Moi que vous l’avez fait. » 

            Mais ce soir, je–je dis, mes amis, la raison pour laquelle je suis... Dieu m’a permis par Sa grâce d’être compté parmi vous, c’est à cause de quelque chose qu’Il vous a envoyé. Eh bien, je voudrais que vous receviez cela.

11.       Eh bien, je crois que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et je crois qu’au commencement, Dieu a créé l’homme à Sa propre image, et Dieu est Esprit. Et l’homme que Dieu a créé est un homme-esprit. Puis, Il l’a formé de la poussière de la terre. Maintenant, je crois que l’homme au commencement, eh bien, conduisait les animaux de la terre comme le Saint-Esprit devrait quitter le… conduire l’Eglise aujourd’hui. 

            Il n’y avait pas d’homme pour cultiver la terre ; ainsi donc, Il lui a donné cinq sens. Les cinq sens n’étaient pas pour entrer en contact avec Dieu. C’étaient la vue, le goût, le toucher, l’odorât et l’ouïe. C’était pour entrer en contact avec sa demeure terrestre. Mais par son esprit, il entre en contact avec Dieu. 

            L’homme a perdu son origine et il... là-bas, et il a été déchu de la grâce. Et alors, Dieu est donc descendu et a été fait à l’image de l’homme pour racheter l’homme et le ramener à Dieu. Et Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Et le Dieu de l’Ancien Testament, Jésus-Christ du Nouveau, et le Saint-Esprit de ce jour-ci, c’est le même Jéhovah Dieu qui vit à travers l’âge. Voyez ?

12.       Maintenant, du temps où Il conduisit Israël à travers le désert... J’aimerais lire une Ecriture. Je veux que vous fassiez attention : ça, c’est Dieu qui donne une commission à Moïse, Il l’envoie, là. Dans Exode au chapitre 23 et au verset 20. Écoutez attentivement maintenant. 

         Voici, j’envoie un ange devant toi, pour te protéger en chemin, et pour te faire arriver au lieu que j’ai préparé. (Voyez qui est cet Ange.)

         Tiens-toi sur tes gardes en sa présence, et écoute sa voix; ne lui résiste point, parce qu’il ne pardonnera pas vos péchés, car mon nom est en lui.

         Mais si tu écoutes sa voix, et si tu fais tout ce que je te dirai, je serai l’ennemi de tes ennemis et l’adversaire de tes adversaires.

         Mon ange marchera devant toi.

         Voyons à qui s’identifiait cet Ange. Voici ce que nous lisons dans Exode chapitre 13, aux versets 21 et 22 :

         L’Éternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider dans une colonne, une nuée, dans–dans leur chemin… et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu’ils marchassent… nuit.

         La colonne de nuée ne se retirait point de devant le peuple pendant le jour, ni la colonne de feu pendant la nuit.

13.       Ça, c’est la Parole de Dieu. Eh bien, qu’était l’Ange ? C’était l’Ange de l’alliance. Et Il a conduit... Et toutes les choses des temps anciens étaient un type de nouvelles choses à venir. Croyez-vous cela ? C’est ce que déclarent les Ecritures, c’était une ombre, dans Hébreux. 

            Maintenant, de même que Dieu a conduit l’Église dans le naturel en ce jour-là, Il conduit l’Église dans le spirituel en ce jour-ci. Croyez-vous cela ? Ils étaient le peuple de Dieu avant qu’ils soient appelés à sortir de l’Egypte, et ensuite, ils sont devenus l’église de Dieu; car, le mot église signifie les appelés à sortir. Ils ont été appelés à sortir de l’Egypte, et nous sommes appelés à sortir du monde, un peuple particulier pour servir Dieu. 

            Et le même Ange, si Jésus est le même, le même Ange, l’Ange de l’alliance, c’était Jésus-Christ; en effet, la Bible dit que Moïse a regardé l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Egypte. Il a donc abandonné l’Egypte, laissant tout pour suivre et servir Christ. Christ est évidemment le Logos, qui sortit de Dieu au commencement, lequel était la Colonne...

14.       Aimeriez-vous entendre ce que je pense sur comment Dieu est devenu... ? Aimeriez-vous effectuer un petit voyage avec moi pendant quelques minutes ? Ai-je le temps ? Maintenant, soyez respectueux juste une minute. Permettez-moi de redresser ceci pour vous. 

            Effectuons maintenant un petit voyage dans un petit espace, une vision mentale dans votre esprit, et retournons à cent millions d’années avant qu’il y ait eu même une étoile dans le ciel. Il y avait–il y avait Dieu. Il a toujours été Dieu. Et alors, nous nous mettons sur–tenons ici en train de voir la création venir à l’existence. Il n’y a aucune étoile; il n’y a rien. 

            Et voyons donc, là. Je parcours donc du regard tout cet espace, tout cela, c’est Dieu, sans forme, aux siècles des siècles, pour les éternités, sans commencement, ni fin. Tout est Dieu. Avant même qu’il y ait de l’air, Dieu existait. Le commencement même de la nature de la création était Dieu.

15.       Et maintenant, la Bible nous apprend que le Logos est sorti de Dieu, ou je pourrais dire, c’était Sa toute première forme corporelle, quand le Logos est sorti de Dieu. Voyons ce à quoi Cela ressemblait. Personne n’a jamais vu le Père à aucun moment, nulle part, ça ne s’est jamais fait et ça ne se fera jamais. 

            Mais alors, le Logos qui est sorti de Lui est devenu comme un petit halo de Lumière. Observons-le jouer là, comme un enfant devant le seuil du père. Et maintenant, je peux Le voir alors qu’Il se déplace ici, et Il trace dans Sa–Sa mémoire ou Sa pensée une image de ce que le monde devrait être. Là, il n’y a pas d’étoile ni rien. 

            Je L’entends dire : « Qu’il y ait. » Et un atome apparut là. Et alors, le soleil est venu à l’existence et s’est mis à tourbillonner. Elle a flambé pendant des millions d’années, des millions et des millions d’années. Peu après, je vois une scorie s’en détachait en volant. [Frère Branham produit un bruit.–N.D.E.] Qu’est-ce ? La première étoile qui s’est détachée du soleil en volant. Il la regarde tomber pendant quelques millions d’années, puis Il l’arrête. Alors, une autre se détache en volant et Il la laisse tomber quelques millions d’années, puis l’arrête. Qu’est-Il en train de faire ? Ecrire Sa première Bible, le Zodiaque.

16.       Dieu a écrit trois Bibles : l’Une, le Zodiaque ; l’Autre dans les pyramides, l’Autre sur du papier. Là, Il écrit Sa première, le Zodiaque. Cela commence avec une vierge, et ça se termine avec Leo, le Lion : la Première et la seconde Venues de Jésus. Si nous avions le temps d’examiner cela, vous le verriez. 

            Mais Il écrit cela parce qu’Il... l’homme doit lever les yeux. Dieu est en haut. Et alors, après qu’Il eut pris tout le... tout ce qui est dans le ciel, que le système solaire eut été écrit, alors je Le vois se mouvoir au-dessus d’ici, au-dessus d’une scorie, qu’était ce monde. Ce n’était qu’un iceberg suspendu sur cela. Il fait tourner cela autour du soleil. Et comme Il commence à le faire tourner, Il fond toute l’eau, la glace qui était sur cela. Les icebergs s’envolent. Le Texas est formé, la Louisiane, jusque là où ça s’est..., comme les chronologistes nous disent que les icebergs sont devenus le Golfe et tout.

17.       Eh bien, le monde est sans forme et vide, et l’eau était sur l’abîme. Nous sommes maintenant dans Genèse 1. Voyez ? Alors, Il a créé toute la vie végétale. Puis, peu après, Il a créé l’homme à Sa propre image. Et s’Il a créé l’homme à Sa propre image, Il a dû faire de lui quelque chose relevant du rang de l’Être surnaturel. C’est vrai. 

            Il n’y avait alors aucun homme pour cultiver le sol, (Genèse 2). Alors, Il a formé l’homme de la poussière de la terre, non pas à Son image, mais de la poussière de la terre. Il lui a peut-être donné une main comme celle d’un singe et un pied comme celui d’un ours. Je ne sais pas ce qu’Il lui a donné. Mais Il l’a doté de cinq sens pour qu’il entre en contact avec sa demeure terrestre.

18.       Et ensuite, Il a formé une–une femme pour lui. Et l’homme est tombé. J’ai ma conception de ce que c’était. Vous pouvez avoir la vôtre. Mais–mais, il est déchu, de toute façon, de la grâce. Et au lieu que–que ce soit Adam qui parcourt le jardin dans tous les sens en criant : « Ô Dieu, ô Dieu, notre Père, Père, où es-Tu ? » Adam se cachait et Dieu criait : « Adam, Adam, où es-tu ? » C’est toujours la même nature de l’homme : se cacher, s’éloigner de Dieu. 

            Et il a cherché à se confectionner un voile en feuilles de figuier. Aujourd’hui, l’homme cherche à se fabriquer une religion, il cherche toujours à faire quelque chose pour se sauver. Vous ne pouvez rien faire pour vous sauver. Vous êtes tout aussi désespéré que possible. C’est vrai. C’est Dieu qui doit vous sauver. 

            Jésus a dit : « Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire. » Et vous ne pouvez être une fille si Dieu ne vous a pas prédestinée à l’être. « Et s’il vient, Je ne le rejetterai en aucun cas. Je lui donnerai la Vie Eternelle, Je le ressusciterai aux derniers jours. »

19.       Le plus grand problème dans l’église aujourd’hui, c’est une grande peur. Les gens ont toujours peur, et cela vient du diable. N’ayez pas peur. Soyez courageux. Vous n’avez pas de quoi avoir... Il n’y a rien à craindre. Nous aborderons cela cette semaine, voyez, là-dedans et nous examinerons Dieu et verrons ce qu’Il était. 

            Vous pouvez donc voir que quand l’homme s’est corrompu, il a péché. Et alors, le seul moyen qu’il y avait, c’était que Dieu se manifeste ici sur terre dans un corps de chair, pour débarrasser cet homme-là du péché et le ramener dans la communion avec Dieu, faire de nouveau de lui un fils de Dieu. C’est par ce seul moyen qu’il peut le devenir.

20.       Eh bien, quand Il a fait sortir les enfants d’Israël du désert, qu’Il les a fait entrer dans le désert, Il les a conduits par une Colonne de Feu. Est-ce vrai ? C’est ce que la Bible dit qu’Il avait fait, et Il marchait devant eux. Ça, c’était l’Onction, le Saint-Esprit, le Christ qui marchait devant les enfants d’Israël. 

            Eh bien, s’Il est le même qu’Il l’était alors, Il est le même Homme, la même Personne; Il est tout ce qu’Il était alors, Il–Il l’est aujourd’hui. Et de même qu’Il conduisit alors l’Eglise dans le naturel, Il conduit l’Eglise aujourd’hui dans le spirituel. Est-ce vrai ? Croyez-vous que nous sommes dans le désert ? Nous y sommes. Sommes-nous en route vers la Terre promise ? 

            Maintenant, le... Quand ils sont entrés là à Canaan, cela ne représentait pas le Ciel. Ils avaient des guerres et tout à Canaan. Cela représentait le Millénium. Voyez ? C’est donc là que nous nous dirigeons. Nous sommes maintenant en route vers le Millénium. Je le crois. Et je crois que le même Jésus-Christ qui a conduit jadis là, dans le passé, conduit aujourd’hui. Il est sous une forme spirituelle. « Je suis venu de Dieu; Je vais à Dieu. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. » Est-ce vrai ? « Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Eh bien, s’Il l’est donc, Il va alors se manifester et se faire connaître. 

21.       Eh bien, il y a quelque temps, en venant ici... Eh bien, vous connaissez tous cette histoire. Eh bien, s’il vous plaît, chers amis chrétiens, Dieu qui est mon Juge souverain, avec cette Bible sur mon cœur, savait que je... il se peut qu’avant le matin je doive me tenir devant Lui pour être jugé. Voyez ? Je le dis avec humilité uniquement afin que vous puissiez parfaitement comprendre que nous sommes... l’Eglise, on ne cherche à séduire personne. Nous savons ce qu’est la Vérité et nous essayons de vous L’apporter. La seule chose qui peut vous dérober cela, c’est le diable. Voyez ? C’est tout. Maintenant, juste pour confirmer votre foi, je vais me servir de ceci comme preuve pour vous montrer que c’est la Vérité.

22.       Eh bien, Dieu conduit Son Eglise aujourd’hui... eh bien, sur le chemin. Eh bien, à ma naissance, alors que j’étais un tout petit garçon, ma mère m’a dit que quand j’avais environ trois minutes... Je suis né dans une famille qui ne fréquentait pas l’église, elle a des origines catholiques. Mais ils ne fréquentaient jamais l’église.

            Ce matin-là, quand ils ont ouvert la porte de la cabane là, dans les montagnes, la vieille petite porte... Ce n’était pas une fenêtre; c’était une petite porte qu’on poussait. Elle n’avait pas du tout de vitre, on la poussait. Une Lumière, environ grande comme ça, entra en tourbillonnant et descendit sur le lit où ma mère me portait dans ses bras.

23.       Ça, c’est pur; c’est une grâce imméritée; c’était Dieu. Voyez ? Il n’y a rien que vous puissiez faire ou que je puisse faire. C’est le plan de Dieu. Ça doit être exactement ce qu’Il a dit. Voyez ? C’est déterminé. Si vous remarquez, les dons et les appels sont sans repentir. Croyez-vous cela ? 

            Tenez... Jésus-Christ était la semence de la femme qui avait été promise depuis le jardin d’Eden. Croyez-vous cela ? C’était ça. « Ta semence écrasera le serpent... » 

            Moïse ne pouvait rien au fait qu’il était Moïse. Il était né Moïse. Est-ce vrai ? Jean Baptiste, sept cent et douze ans avant sa naissance, était la voix de celui qui crie dans le désert, annoncée par le prophète Esaïe. Est-ce vrai ? Jérémie, Dieu a parlé à Jérémie, disant : « Avant que tu sois né, Je te connaissais, Je t’avais consacré et Je t’avais établi prophète des nations, avant même que tu sortes du ventre de ta mère. Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? » Voyez ? Il vous faut revenir au fait que c’est la grâce souveraine de Dieu.

24.       Maintenant, remarquez. J’étais alors un tout petit enfant, quand le Saint-Esprit a parlé et a dit : « Ne fume jamais, ne chique jamais du tabac, ne bois jamais, ne souille ton corps en aucune façon. Tu auras une oeuvre à faire quand tu seras plus âgé. » 

            Et alors, plusieurs fois au cours de ma vie, j’ai essayé de parler aux gens d’un cœur sincère, mais ils le comprenaient mal. Ils taxaient cela de tout au monde. 

            Une nuit là, à Green’s Mill, en Indiana, à une caverne, j’étais là à un endroit ; l’Ange du Seigneur est apparu et a dit : « Tu dois aller prier pour les malades. » Et Il m’a dit ce qui arriverait. Il a dit : « Ne crains pas. Je serai avec toi. » Je suis parti, et j’ai parcouru la contrée, et jusqu’à Jonesboro, disant ce qu’Il a dit que cela était et ce qui arriverait. Et c’est ainsi, et c’est maintenant prouvé partout au monde.

25.       Et Il... Quand j’étais–j’étais un jeune pasteur baptiste, je baptisais mes premiers convertis, cinq cents d’entre eux, dans la rivière, mon premier réveil... J’avais environ trois mille personnes qui assistaient au réveil. Et mon instruction était si pauvre que ma petite amie lisait la Bible pendant que je prêchais. C’est vrai. Ce n’est pas mieux ce soir. Mais on ne connaît pas Dieu par l’instruction. On connaît Dieu par la foi. On ne connaît pas Dieu par la connaissance. 

            Il y avait deux arbres dans le jardin d’Eden. L’un d’eux était l’arbre de la connaissance, l’autre, l’Arbre de la Vie. L’homme a laissé l’Arbre de la Vie pour manger l’arbre de la connaissance, et il s’est séparé de Dieu. Et depuis lors, il s’est éloigné de Dieu par la connaissance. On ne connaît pas Dieu par la connaissance; on Le connaît par la foi. C’est vrai.

26.       Eh bien, j’aimerais que vous remarquiez. Puis, par la suite, j’étais au Texas. Et il y avait un homme du nom de M. Best, Dr Best. Je tenais un bon réveil. Environ huit mille personnes y assistaient. Et le Dr Best a écrit un article dans un journal, disant : « Ce fanatique religieux, William Branham, se faisant passer pour un homme de Dieu, devrait être chassé de cette ville, et c’est moi qui le ferai, absolument. » 

            Eh bien, frère Bosworth est venu vers moi, un des organisateurs, et a dit : « Ecoutez ça, Frère Branham. » Et il m’a encouragé, exhorté et tout, à tenir un débat sur le sujet. Eh bien, je n’allais pas faire des histoires avec lui. Je ne crois pas dans le fait de faire des histoires. Dieu m’a envoyé pour prier pour les malades, pour prêcher l’Evangile. Il y en a des milliers qui Le croiront. Pourquoi Le gaspiller chez un fanatique qui ne Le croit pas ? C’est vrai. Laissez-le tranquille. Il est dit que ce sont des aveugles conduisant des aveugles. Laissez-les continuer. Voyez ?

27.       Certains ont été prédestinés à cette condamnation. C’est la Bible qui le dit. Ils ne peuvent pas être sauvés, ils sont aveuglés depuis le commencement, ils sont nés pour être aveugles. Nous aborderons cela la semaine prochaine. Cela n’a pas été très bien reçu, mais je vais vous le prouver par les Ecritures; c’est la vérité. Et il y aura des docteurs religieux, absolument, fondamentalistes au possible. C’est tout à fait vrai. Mais, ils ne savent pas plus au sujet de Dieu qu’un Hottentot en sait au sujet d’un chevalier égyptien. 

            Maintenant... Mais ils connaissent tous les principes, les notes clés et tout, mais ils ne connaissent rien au sujet de Dieu : « Ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force », la guérison Divine, et la puissance du Saint-Esprit et tout. Eglise, vous avez quelque chose, mais vous ne savez simplement pas quoi faire avec. C’est tout. C’est vrai.

28.       Maintenant, remarquez ceci. Et alors, Frère... Le deuxième jour, il a dit : « Cela montre que... de quoi ils sont faits, ils payaient des annonces dans le journal, cela montrait de quoi ils sont faits. Ils ont peur de–d’examiner leur guérison divine à la Lumière de la Parole de Dieu. » 

            Et alors, M. Bosworth est venu, il a dit : « Frère Branham, pour notre prestige devant les gens, il vous faut relever cela. » 

            J’ai dit : « Frère Bosworth, il y a environ huit mille personnes là. Il y en a environ sept mille d’entre eux pour qui on doit prier. » J’ai dit : « J’ai encore deux jours de plus ici à Houston. Pourquoi perdre du temps avec ce fanatique alors que nous pouvons aller là prier pour les malades ? » J’ai dit : « Je ne perds pas du temps pour ça. » 

            Il a dit : « Frère Branham, laissez-moi le faire. » 

            Et je me suis dit : « A soixante-quinze ans ! » J’ai pensé à Caleb quand il avait dit : « J’ai quatre-vingts ans aujourd’hui, et je suis tout autant homme que je l’étais quand Josué avait placé l’épée dans ma main. » Je–j’ai admiré le vieil homme. 

            J’ai dit : « Bien, Frère Bosworth, je vous admire, frère. » 

            Il a dit : « Cet homme n’a ni fondement, ni un seul passage des Ecritures. » Il a dit : « Laissez-moi le lui prouver. » 

            Et j’ai dit : « Si vous me promettez que vous ne ferez pas de problèmes. » 

            Il a dit : « Je vous le promets, je ne ferai pas de problèmes. »

            J’ai dit : « D’accord. »

29.       Il est alors parti. On ne permettait pas aux journalistes de rester à l’hôtel Rice. On ne leur permettait pas de venir à la porte. Il est donc parti voir les journalistes. Il a dit : « Frère Branham ne discutera pas avec lui. » J’ai dit... Mais il a dit : « Je vais–je vais m’en occuper. » 

            Ainsi donc, bien sûr, le Houston Chronicle publia de gros titres: « Ça va barder chez les ecclésiastiques », vous savez. Cela a donc ouvert le débat. Et c’est là que j’ai vu que vous tous, les groupes pentecôtistes, qui discutez sur vos petites doctrines et autres, l’un de ces jours, vous en serez débarassés par une secousse. C’est vrai. Vous êtes une seule grande église, frère. C’est vrai. Vos petits points ne représentent rien devant Dieu. Vous êtes une seule grande église de Dieu.

30.       Remarquez. A l’époque, on ne se faisait pas de soucis, qu’on soit monté sur un chameau à une bosse, à deux bosses, à trois bosses, ou que l’on soit de quatrième pluie, de la cinquième pluie, de la dernière pluie, de la pluie du milieu de l’année ou n’importe quelle pluie que ça soit. Ils étaient un. Ils croyaient dans la guérison divine, alors ils se sont rassemblés dans ce grand colisée, environ trente mille entassés. Ils étaient venus de partout par avion et tout, ils affluaient en voitures, et ça leur prenait de fois toute la nuit. Qu’était-ce ? Ce que leur Seigneur avait enseigné était mis en jeu et ils étaient prêts à tenir bon. 

            C’était ça. Cela a été publié par Associated Press. Et les gens sont venus par avion de loin, à l’est et à l’ouest, et de partout. Ils ont rempli ce grand colisée. 

31.       Et cette nuit-là, mon frère a dit : « Eh bien, tu n’iras pas. » 

            J’ai dit : « Je le sais. Je ne veux pas aller là. » C’était alors Sire Ramsar qui conduisait les chants. Mais quand il était temps de partir, Quelque Chose m’a dit d’y aller quand même. J’ai donc pris mon manteau et l’ai tiré sur mes épaules comme ceci, au-dessus de ma tête; nous sommes allés, ma femme et moi, et nous sommes montés là-haut. Je suis monté au balcon trente, si jamais vous avez été au Colisée de San Houston. J’étais là-haut comme ceci. Personne ne savait que j’étais là-bas sauf les deux agents de police qui m’avaient fait monter, moi, ma femme et mon–mon frère. Et nous étions assis là-haut.

32.       Et M. Bosworth... Et on avait aligné tous les ministres. Et donc, M. Ramsar conduisait les chants. Il a dit : « Eh bien, le suivant, c’est l’événement principal de la soirée. » Il a dit : « Je comprends, j’ai vu ici dans le journal local qu’un certain homme voulait chasser William Branham de la ville. » Il a dit : « Je pense que si vous, les habitants de Houston, vous consacrez beaucoup plus de temps à bouter hors de la ville les bootleggers que vous n’en consacrez à en expulser l’homme de Dieu, votre ville serait meilleure. » Et un cri a retenti dans toute la salle, j’ai su que M. Best s’était lancé. Alors, je suis resté bien assis là. 

            Dr Bosworth est monté sur l’estrade. On l’a fait venir en premier. Il a dit : « M. Best, j’ai six cents points bibliques établis ici, écrits sur ce morceau de papier, qui prouvent que l’attitude que Christ a présentement envers les malades est exactement la même que celle qu’Il avait au commencement, quand Il était ici sur terre. » Il a dit : « Si vous pouvez prendre l’un de ces six cents points et le réfuter par la Parole de Dieu, je quitterai l’estrade. » Six cents. 

            Et il a dit : « Si vous pouvez me donner un seul passage des Ecritures dans toute la Bible qui dit que Son–Son–Son attitude envers les malades n’est pas exactement la même aujourd’hui, alors je quitterai l’estrade. » C’est bien brave, ça. Il a donc remis cela à plus tard.

33.       M. Best a dit : « Je m’en occuperai une fois monté là. » 

            Et il a dit : « Bien, a-t-il dit, montrez-moi juste–montrez-moi juste un seul passage des Ecritures. » Et–et il ne le pouvait donc pas. Il a dit : « Bien. Alors, Frère Best, je vais vous poser une question. » Et voici ce qu’il lui a demandé. Il a demandé : « Est-ce que les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient à Jésus, oui ou non ? Répondez-y par oui ou non et je quitterai l’estrade. » M. Best n’a pas voulu lui répondre, parce qu’il ne le pouvait pas. Est-ce que les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient à Jésus, oui ou non ? » 

            S’Il était Jéhovah–s’Il était Jéhovah Jiré... S’Il n’était pas Jéhovah Jiré, alors Il n’est pas le Sacrifice pourvu par Dieu et Il n’était pas le Fils de Dieu. Et s’Il était Jéhovah Jiré, Il est aussi Jéhovah Rapha, le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Cela réglait la question. Cela la réglait pour de bon.

34.       Il a bavé, il s’est levé et a marché de long en large sur l’estrade à quatre ou cinq reprises, il a giflé un pasteur à la bouche et a suscité un peu d’agitation. Et alors, il a dit : « Faites venir ce guérisseur divin. » Il a dit : « Laissez-moi le voir guérir quelqu’un. » 

            Et M. Bosworth a dit : « Honte à vous, M. Best. » 

            Il a dit : « Si le fait que frère Branham prêche la guérison Divine fait de lui un guérisseur divin, si vous prêchez le salut, cela fait de vous un sauveur divin. » Il a dit : « Vous ne voudriez pas être appelé un sauveur divin. » Il a dit : « Et vous ne l’êtes pas. » Il a dit : « Et il n’est point un guérisseur divin du seul fait qu’il prêche la guérison divine. » Il a dit : « C’est Christ qui est le Guérisseur et c’est Christ qui est le Sauveur. Nous ne faisons que montrer cela dans la Parole, et c’est ce pour quoi vous et moi sommes ici ce soir, pour voir si c’est dans la Parole ou pas. » Il a dit : « Alors, je voudrais que vous me montriez que cela ne se trouve pas dans la Parole. »

35.       Il pensait que nous étions bien une bande de saints exaltés ou de fanatiques, mais il s’est rendu compte que nous n’étions pas perdus dans le brouillard. Nous savons où nous allons. 

            Ainsi donc, il a arpenté le parquet. Et Raymond Richey a dit... a demandé au modérateur : « Puis-je parler ? » Il a dit : « Il m’est arrivé de voir environ une douzaine de ministres baptistes assis là. » Il a dit : « Et je connais le président de–de la–de la conférence du–du... pas une conférence, mais ce que... la convention qui se tient ici. Il l’a appelé par son nom. Il a dit : « Est-ce là la position de la Convention baptiste du Sud envers la guérison divine ? » Ils ne voulaient donc pas lui répondre. 

            Il a donc dit : « Monsieur Best est-il venu ici de son propre chef ou a-t-il été envoyé par cette Convention des baptistes du Sud ici ? » Il a dit : « Je... » Et le modérateur lui a dit de s’asseoir. Il a dit : « Monsieur, vous m’avez donné la parole, et j’ai posé une question à laquelle on n’a pas répondue. » Il n’a donc pas lâché pied. Et il a dit : « Eh bien... »

36.       Ils ont dit : « Nous ne l’avons pas envoyé là. » M. Best est venu de son propre chef. Il était mieux avisé, trente mille personnes étaient assises là. Voyez ? Il a donc dit : « Non, ils ne m’ont pas envoyé. » M. Best a dit qu’il était venu de son propre chef. Très bien. C’était alors en ordre. 

            Il a dit : « Je voulais juste savoir. » Il s’est alors assis. 

            Et alors, M. Best a sauté et a dit : « Laissez-moi voir ce guérisseur divin. » 

            M. Bosworth a dit : « Eh bien, il n’est pas un guérisseur divin. » Il a dit : « Ses–ses livres sont traduits dans environ dix-sept différentes langues. Il n’a jamais dit qu’il était un guérisseur divin. Il prie simplement pour les malades. C’est Christ qui est le Guérisseur. »

            Il a dit : « Eh bien, vous brandissez des signes, des miracles chaque soir. » 

            Et frère Bosworth a dit : « Bien sûr. En effet, un miracle, c’est quelque chose que l’esprit humain ne peut pas comprendre. » Et il a dit : « Dans le domaine surnaturel, a-t-il dit, il a–a un don qui connaît et prédit, et nous annonce des choses même des semaines et des mois et tout en avance. » Et il a dit : « Cela ne manque jamais d’être juste tel quel. » Il a dit : « C’est un miracle. » Eh bien, il ne pouvait rien dire à ce sujet. 

            Il a dit : « C’est ça, d’après M. Webster... Si vous voulez discuter à ce sujet, discutez avec lui. » 

37.       Il a alors dit : « Faites-le venir, que je le voie accomplir un miracle, et que je voie cela durer une année. » Il a dit : « Votre esprit est ému. » Il a dit : « Vous n’êtes qu’un tas de saints exaltés comme... qui par ici, a-t-il dit, tous ceux qui croient dans la guérison divine. » Il a dit : « Les vrais baptistes n’y croient pas. » 

            Il a dit : « Je vous demande pardon. Il se fait que frère Branham a maintenant même une carte de membre dans sa poche. Il est membre de l’Eglise baptiste Missionnaire. » (Une Eglise baptiste est souveraine. Tout ce que votre assemblée supporte pour votre sermon, c’est en ordre pour la con... pour la convention.) 

            Il a alors dit... « Bien, a-t-il dit, il n’y a qu’un tas de rétrogrades, et tout, ce sont les seuls qui croient cela. » Il a dit : « Un tas de saints exaltés. » Il a dit : « Les vrais baptistes ne croient pas cela. »

38.       M. Bosworth a dit : « Un instant. » Il a dit : « Combien dans cet auditoire qui sont membres de ces églises baptistes, qui collaborent bien avec l’église, qui ont un bon rang, ont été guéris ces dix derniers jours depuis que frère Branham est ici, peuvent se lever et témoigner, se présenter devant un médecin et tout, pour montrer que vous êtes bien disposés à aller devant un médecin pour montrer que vous êtes guéris ? Combien ici ont été guéris dans les réunions de frère Branham, et qui sont membres de ces églises, parmi ces hommes qui sont assis ici ? Levez-vous. » Et trois cents se sont levés. Il a dit : « Qu’en dites-vous ? » 

            Il a dit : « N’importe qui peut témoigner n’importe quoi ; cela ne fait pas que ça soit vrai pour autant. » Il a quitté l’estrade. Il a dit : « Amenez-moi ce guérisseur divin ici, que je le voie. » Il a bien continué à dire cela, juste !

            Il avait bien parlé ce jour-là; il a dit : « Je vais prendre ce vieil homme et je vais l’écorcher, lui ôter la peau et y frotter du sel, puis la placer sur la porte de mon bureau en commémoration de la guérison divine. » Pouvez-vous vous imaginer un frère tenir de tels propos au sujet d’un autre ? Cela montre d’où ça vient. Voyez ? Un homme qui dit qu’il va écorcher ce frère. Eh bien, c’est bien.

39.       Remarquez, il vient de sortir d’un cimetière ou, eh bien, sémi...[L’assemblée rit.–N.D.E.] C’est vrai. Séminaire. Très bien. De toute façon, il connaissait tous les angles, il ne savait rien au sujet de Dieu. Et alors–alors, quand il a fait cela... Il s’était assuré les services des Studios Douglas de Houston, au Texas, qui est membre d’American Bible, ou plutôt d’American Photographer Association, pour qu’il viennent lui tirer six photos sur papier brillant pendant qu’il écorcherait le vieil homme ; ainsi, il pourrait mettre cela dans le... Donc, l’homme qui allait prendre les photos était aussi un critiqueur. Il s’est donc avancé là et a posé comme ceci, avec son doigt pointé au visage de frère Bosworth : « Et maintenant, prenez-moi une photo comme ceci. » Frère Bosworth se tenait simplement là. 

            Il lui a pointé le doigt au visage, il a dit... Puis, il a encore posé comme ceci, vous savez, et il lui a pointé le doigt au visage comme cela, comme il l’écorchait. Eh bien, le photographe a pris ses photos et tout. Quand il… tout... est descendu et tout comme cela, il y avait là Look, Life et Times, aussi, les–les magazines et les journalistes tout autour, là.

40.       Juste en ce moment-là donc, quand on était sur le point de clôturer la réunion, il a dit : « Maintenant, écoutez. » Il a dit : « Je sais ceci. » Il a dit que frère Branham est dans la salle. » Il a dit : « S’il veut venir et congédier l’auditoire, c’est en ordre. Mais je ne l’exposerai pas s’il ne le veut pas. » 

            Et mon frère a dit : « Eh bien, tiens-toi tranquille. » J’ai dit : « Je suis tranquille, n’est-ce pas ? » Je suis donc resté bien assis là. 

            Et il a dit : « Eh bien, s’il ne le veut pas, a-t-il dit, je sais qu’il est dans la salle, mais s’il veut venir... » 

            Et j’étais assis là. Je me suis dit : « Eh bien, je suis tranquille. » Et la police a regardé vers moi, j’étais assis. J’étais bien assis là et j’ai entendu Quelque Chose faire : Whirr, whirr, whirr. [Frère Branham produit un bruit de soufflement.    – N.D.E.] Je–j’ai su que je ne pouvais plus rester tranquille. Quelque Chose a simplement a dit : « Lève-toi. » Cela a encore dit : « Lève-toi. » Je me suis levé.

            Howard a dit : « Assieds-toi. » 

            Ma femme a dit : « Laisse, Howard. Regarde. » Mon aspect avait changé. Elle a dit : « Laisse. » 

41.       Et les gens ont levé les yeux dans cette direction, ils se sont mis à crier et pleurer. Environ trois ou quatre cents huissiers ont joint leurs mains pour former une ligne à cause des pauvres gens qui cherchaient à toucher mes vêtements. Je suis descendu en longeant la rampe de l’escalier dans cette direction-ci, et je suis monté sur l’estrade. 

            J’ai dit : « Je suis désolé que de telles choses doivent se passer. Que personne ne soit dur envers M. Best. » J’ai dit : « Il a certainement le droit d’avoir ses idées tout comme moi. C’est pourquoi les jeunes gens combattent en Corée. » J’ai dit : « Pour la liberté d’expression des Américains. » J’ai dit : « Je ne crois pas qu’il soit sincère comme il l’a dit, car, il a dit à ces gens qu’il regrettait pour eux, et il y en a de leur genre qui sont assis là et ces... Les médecins ont fait tout leur possible pour ces gens; ils vont mourir dans quelques jours; et les voilà, certains parmi eux qui étaient ici la semaine dernière sont là de retour bien portants aujourd’hui. Et maintenant, lui essaie de leur dérober le seul espoir qu’ils ont d’être jamais rétablis en disant donc qu’il est sincère. Je ne peux vraiment pas croire cela. »

42.       Mais j’ai dit : « Cependant, je rends simplement témoignage à la Vérité. Je ne suis pas un guérisseur. » Et j’ai dit : « Je dis la vérité. Et si je dis la Vérité, Dieu confirmera la Vérité. Il ne confirmera jamais un mensonge. » J’ai dit : « Dieu soutiendra toujours la vérité. Et si je dis... Si je dis la vérité, alors Dieu va... » 

            Et à ce moment-là, Quelque Chose a fait : whhhirrrr. [Frère Branham produit le bruit d’un soufflement.–Ed.] Voici venir l’Ange du Seigneur, descendant dans la salle, Il est descendu. Un silence s’abattit sur l’auditoire. Le photographe n’était pas censé prendre des photos, mais un… normal... ?... conforme, il accourut et prit une photo. J’ai dit : « Le Seigneur a parlé. Je n’aurai plus à parler. » Je suis sorti de la salle, la police m’a amené. Je suis monté à bord de la voiture et je suis parti.

43.       M. Kipperman, un studio, ils sont rentrés chez eux, ils ont ramené leurs photos chez eux, ils sont allés au studio, aux Studios Douglas. Ils sont donc allés là pour–pour développer les photos. Et l’un d’eux était un catholique, et il a dit : « Vous savez, peut-être que je… » Et le jour… journal auparavant, oh ! la la ! Il a dit que j’étais un hypnotiseur et tout, M. Ayers. Et il a dit : « Vous savez, peut-être que j’ai tort. » Il a dit : « Les aïeux de ce jeune homme étaient catholiques. C’est peut-être un don divin. Si c’est le cas, ce jeune homme finira dans l’Eglise catholique. » Il a dit... En fait, ils croient que tous les dons viennent à l’église, mais, vous savez…

            Ainsi donc, il a dit : « Peut-être que je–j’ai émis un mauvais jugement sur le jeune homme. » Et il est rentré chez lui et il... M. Kipperman est monté à l’étage, au studio, et M. Ayers a installé les pellicules à développer. Il a dit : « M. Best aura besoin de ces photos demain, nous allons donc les plonger dans l’acide et lui faire des épreuves, pour demain. » Il les a alors plongés là-dedans, et il s’est assis là, fumant une cigarette; il réfléchissait là-dessus.

44.       Quand il est allé... M. Kipperman est descendu, et quand il est entré dans la chambre noire pour faire sortir les photos, la première qu’il a prise, M. Best, rien ; la deuxième, rien ; la troisième, rien ; la quatrième, la cinquième, la sixième, il n’y avait rien sur toutes. Aucune de celles où il avait pris des poses avec son doigt pointé au visage de ce vieil homme saint, M. Bosworth, aucune d’elles. Et quand il a fait sortir la suivante, il a eu une crise cardiaque. L’Ange du Seigneur était là sur la photo. Ils m’ont appelé; mais je ne pouvais pas l’atteindre. 

            A 11h précises, ils l’ont vite envoyée à–à Washington DC pour être protégée d’un copyright, ils l’ont ramenée et l’ont envoyée à–à … en–en Californie, chez George J. Lacy. Si quelqu’un sait quelque chose sur la photographie, il sait que George J. Lacy est le chef du département de FBI chargé des empruntes digitales et tout, c’est le meilleur du monde. Il l’a placée pendant trois jours au Shell Building. Le troisième jour, il a dit–il a dit qu’il nous le montrerait et qu’il donnerait son… son avis là-dessus. Ils sont entrés dans la pièce ; ils ont tout fait. Ils ont pris l’appareil photo, le négatif, et tout. Il a soumis cela à toutes sortes de lumières.

45.       Il est sorti. C’est un gars du genre un peu roux, très dur. Il s’est avancé. Il a dit : « Qui s’appelle Branham ? » Il y avait pratiquement autant de gens assis là qu’il y en a ici dans cette allée centrale ici. J’étais tout au fond. J’ai dit : « C’est moi. » 

            Il a dit : « Levez-vous. » Je me suis levé. Il a dit : « M. Branham, a-t-il dit, vous     mourrez comme tout mortel. » 

            J’ai dit : « J’en suis conscient, monsieur, mais je rends grâce à Dieu de ce que Jésus-Christ a pris ma place dans la mort. » 

            Il a dit : « Présentez-vous. » Et je suis monté. Il a dit : « Révérend Branham, j’ai entendu parler de vos réunions et je disais que c’était de la psychologie, que les gens s’imaginaient cette Lumière. » Il a dit : « je disais les mêmes choses, mais, a-t-il dit, ma mère était une ancienne chrétienne. » Il a dit : « Mais permettez-moi de vous dire, Révérend Branham, que l’oeil mécanique de cet appareil-photo ne prendra pas de la psychologie. » Il a dit : « C’est un Etre surnaturel authentique. C’est l’unique fois, dans toute l’histoire du monde, qu’une telle photo ait jamais été prise. » Il a dit : « Le vieil hypocrite ne peut plus dire qu’il n’existe aucune preuve scientifique d’un Etre surnaturel, car ceci a été soumis à tous les tests. » Et il a dit : « Je vous le soumets. »

46.       Et il me l’a donné, et je l’ai remis à l’American Photographer Association, et ils ont pris des dispositions pour que cela ne soit pas vendu trop cher. Il a dit : « Révérend Branham, avant que vous partiez... » Tout le monde pleurait. Il a dit : « Avant que vous partiez, un jour, quand vous quitterez cette vie, a-t-il dit, cette photo sera sur les étagères du bazar et tout. » Il a dit : « Parce que c’est la seule chose que nous ayons jamais eue entre nos mains et dont nous pouvons prouver que c’était un Etre surnaturel réel. » Il a dit : « Tout autour du Sauveur et des saints, il y a une auréole peinte. » Il a dit : « Et on disait que c’était de la psychologie, les incrédules. » Mais il a dit : « Je crois que c’était là. » Il a dit : « Ceci n’est pas de la psychologie. L’oeil mécanique de cet appareil-photo ne l’aurait pas pris de cette façon-là, et moi... » Il a dit : « Car... dirais-je, à cause du caractère sacré de la photo, je vous écrirai une petite déclaration et je ferai une déclaration sur ce sujet. » Et je leur ai soumis cela, et voici la photo. 

            C’est un Feu tourbillonnant de cette grandeur. Eh bien, vous… J’aimerais que vous veniez voir cela ici après la réunion. Je souhaite… J’en ai tout un tas. Si vous écrivez simplement à mon bureau, à la maison, je pense qu’on les vend à environ cinquante cents la pièce. On vous l’enverra avec son écriture à ce sujet ou je ne sais quoi.  

47.       Eh bien, il n’y a rien dans ces… Nous ne… Il n’y a rien dans la photo. En effet, si Jésus-Christ a eu assez de considération pour moi, pour descendre et se faire photographier à mes côtés pour la première fois, dans toute l’histoire du monde, je L’aime trop pour commercialiser Sa photo. Vous le savez. C’est vrai. Voyez ? 

            Eh bien, c’est ça. J’ai juste emprunté celle-ci auprès de M. Shebley et les autres, le Révérend que voici et–et je la lui ai donnée l’autre jour, et j’aimerais que vous voyiez cela. Regardez Cela, C’est un Feu tourbillonnant. Maintenant, qu’est-ce ? Une Colonne de Feu avait conduit les enfants d’Israël. Et la même Colonne de Feu qui était parmi ces gens est maintenant parmi ce peuple : Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai ? 

48.       Et quand Christ était ici sur terre, Il ne prétendait pas guérir les gens. Il connaissait les secrets de leurs coeurs et tout. Est-ce vrai ? Et Il accomplit la même œuvre ici même à Jonesboro, en Arkansas, juste dans ce petit groupe de gens tel qu’Il l’avait accompli là dans le passé. C’est ça, le même Dieu de l’Ancien Testament est le même Dieu du Nouveau Testament. Jésus-Christ qui avait conduit les enfants d’Israël conduit l’Eglise pentecôtiste. C’est ça, en voici la preuve scientifique, par les signes et les prodiges. 

            Oh ! pourquoi craignez-vous encore ? Pourquoi vous posez-vous des questions ? Levez-vous et soyez guéris. Croyez au Seigneur. Ne soyez pas étouffés. Satan gardera des oeillères devant vous tant qu’il le pourra. Ne vous endormez pas, mes amis. La chose la plus glorieuse au monde est ici même avec nous en ce dernier jour. Cela est confirmé ici par des signes et des prodiges; c’est confirmé ici par la science. Et si je meurs ce soir, mon témoignage est clair dans le monde scientifique et dans le monde chrétien ce soir, que j’ai dit la vérité par la Parole de Dieu. C’est vrai.

49.       Des milliers et des milliers et des dizaines de milliers et, oui, des millions de saints se sont levés. Cet Ange est venu ici sur l’estrade hier soir et Il s’est tenu ici même, et une femme dans cet auditoire L’a vu venir avant même que je le mentionne. Et en ce moment même, Il n’est pas à dix pieds [3 m] de cette estrade, le même Ange de Dieu. C’est vrai. 

            Maintenant, mes amis, écoutez. Regardez où cela est parti. Regardez où cela est parti dans le monde, ce que c’est. Voyez, débarrassez-vous de la peur et tout. Aimez simplement le Seigneur de tout votre cœur, servez-Le et croyez en Lui, et Dieu fera s’accomplir la chose. C’est Sa conduite. Croyez-vous que ceux qui sont fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu ? Croyez-vous cela ? 

50.       Il y a juste un petit incident qui est arrivé ici même dans votre voisinage... Je vais raconter ceci avant de terminer. Ecoutez. Un jour, je revenais de Dallas, au Texas (J’étais sur le point d’atteindre Jonesboro), et une grande tempête a forcé l’avion à atterrir, et j’ai débarqué à–à Memphis, dans le Tennessee. Je rentrais chez moi. Ainsi, on nous a logés là dans ce très bel hôtel, Peabody. C’est ça, Peabody. Je... (Oh ! je vois qui vous êtes.) Je–je ne savais pas qui était cette dame. Très bien, l’Hôtel Peabody. Eh bien, je ne disposerais pas de moyens pour rester dans un tel hôtel. On m’a logé là-bas, la compagnie aérienne. 

            Et ils m’ont dit qu’ils m’appelleraient le lendemain matin. Et le lendemain matin, tôt, je me suis levé, et le soleil était sur le point de se lever. Et je–j’avais écrit des lettres, et je m’étais dit que j’irai vite au bureau de poste ou que je trouverai un endroit pour les poster. Alors, je suis sorti de l’hôtel et je me suis mis à descendre la rue. Et je descendais la rue en chantant ce petit cantique pentecôtiste que vous chantez tous : 

Il y a presque partout des gens dont les coeurs sont enflammés,

Par le feu qui est descendu à la Pentecôte,

Qui les a purifiés et nettoyés ;

Il brûle maintenant dans mon coeur.

Oh! gloire à Son Nom !

Je suis heureux de dire que je suis l’un d’entre eux.

51.       Vous souvenez-vous de ce petit cantique ? Et alors, j’avançais en fredonnant ce petit cantique. Je me suis dit : « Eh bien, je l’ai bien reçu. » Je me suis dit : 

Ils étaient rassemblés dans la chambre haute,

Ils priaient tous en Son Nom,

Ils étaient tous baptisés du Saint-Esprit,

Et la puissance pour le service est venue :

Ce qu’Il a fait pour eux en ce jour-là, Il fera de même pour toi,

Je suis si heureux de dire que je suis l’un d’entre eux. 

            Je tenais mes lettres en main, ne faisant que descendre la rue. Je me suis mis à traverser la rue, et alors, Quelque Chose a dit : « Arrête-toi. » Je commençais… « Arrête-toi. » C’était Lui. Je me suis dit : « Eh bien,… » [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et j’ai marché et marché. J’allais demander à quelqu’un où se trouvait le bureau de poste. Et j’ai simplement continué à marcher, je suis passé à côté de l’hôtel. Je ne faisais que–je ne faisais que marcher. Je ne savais où j’allais, j’ai simplement continué à marcher, à marcher, à marcher, à marcher.

52.       Peu après, je me suis directement retrouvé dans un quartier de gens de couleur. Eh bien, le soleil était bien haut. L’avion allait décoller vers 8h. Je savais donc que j’étais en retard, et je regardais continuellement ma montre. Lui continuait simplement à dire : « Avance. » Je continuais simplement à marcher, et j’ai continué jusqu’à atteindre un petit endroit près d’une rivière, ou quelque chose comme ça. Il y avait là beaucoup de cabanes colorées, plutôt les gens de couleur vivaient dans des cabanes. 

            Et j’allais là. Et il y avait un beau... C’était au début du printemps. Le–le soleil brillait. Il y avait une odeur suave de roses autour de la porte, vous savez, elles fleurissaient. Et je marchais là, chantant, et je fredonnais dans mon cœur en marchant, [Frère Branham fredonne Crois seulement –N.D.E.] Crois seulement, tout est possible. » J’ai dit : « Seigneur, mon avion va décoller. Crois seulement. Crois seulement, crois seulement... » Et je ne faisais que continuer à marcher. Et je me suis dit : « Tout est possible, crois seulement. » Je me suis dit : « Où veut-Il que j’aille ? » [Frère Branham fredonne le cantique.] Je marchais depuis, oh ! quinze, vingt minutes. Et j’ai simplement continué à marcher. « Crois seulement... ?... »

53.       Alors, j’ai regardé, et il y avait là une vieille petite porte, un vieux et minable endroit où il y avait une vieille petite hutte. J’ai vu un prototype de Tante Jemima, elle s’appuyait contre la porte, avec une chemise d’homme nouée à la tête, appuyée contre la porte, les larmes lui coulant sur les joues. La distance me séparant d’elle était comme d’ici jusqu’au bout de la salle. J’ai arrêté de chanter, vous savez, avant… Je ne chantais pas, je fredonnais. [Frère Branham fredonne : Crois seulement. –N.D.E.] J’ai simplement continué à avancer. 

            Elle a dit : « Bonjour, pasteur. » 

            J’ai dit : « Bonjour, tantine. » J’ai pensé : « Pasteur ? » Je me suis retourné. J’ai demandé : « Comment avez-vous su que j’étais pasteur ? » 

            Elle a dit : « Je savais qui vous êtes. » 

            J’ai dit : « Je ne comprends pas. » J’ai dit : « Me connaissez-vous ? » 

            Elle a dit : « Non, non. » Elle dit : « Mais le... Je vais vous raconter mon histoire. » 

            J’ai dit : « Très bien. » Et je me suis arrêté. 

            Et elle a dit : « Avez-vous déjà lu dans la Bible l’histoire de la femme sunamite qui avait reçu un enfant dans sa vieillesse, et Elie, le prophète lui a dit… ? » 

            Je–j’ai dit : « Oui, madame. » 

            Elle a dit : « Je suis ce genre de femme. » 

            « Oui. »

54.       Elle a dit : « J’ai promis au Seigneur que s’Il me donnait un enfant, je l’élèverais pour Sa gloire. » Et elle a dit : « Le Seigneur m’a donné un enfant. » Et elle a dit–elle a dit : « Pasteur, a-t-elle dit, Je–je–je–j’ai élevé cet enfant. » Elle a dit : « J’ai toujours été chrétienne, et j’ai servi le Seigneur toute ma… » [Espace vide sur la bande–N.D.E.] « Le Dieu du Ciel qui avait aveu... faire atterrir un avion pour une lavandière ignorante là, la grâce souveraine. » J’ai continué à avancer… 

            J’ai dit : « Quoi ? » 

            Elle a dit : « Pasteur, voudriez-vous entrer dans ma maison ? » Et écoutez, il y avait une vieille plaque de fer suspendue sur la porte qui la retenait. J’ai traversé cette petite vieille clôture peinte en chaux, jusqu’à une porte sans paillasson par terre. Il y avait à la porte un petit insigne où il était écrit : « Que Dieu bénisse notre maison. » Je suis entré là. Je suis allé dans les palais des rois, de trois rois. J’ai été dans les maisons des gens les plus riches d’Amérique, mais je n’ai jamais été aussi bien accueilli, à aucun endroit, que je l’ai été dans la hutte de cette femme de couleur ce matin-là. On ne pouvait jamais se sentir plus à la maison.

55.       Je suis entré là et il y avait un jeune homme de couleur vraiment robuste d’environ dix-huit ans, couché là, avec des couvertures aux mains, faisant «hum! hum! hum! [Frère Branham produit un gémissement.–N.D.E.] Il a dit : « Il fait très sombre. Il fait très sombre. » [Frère Branham gémit encore.–N.D.E.] « Très sombre. » 

            Je me suis dit : « Qu’y a-t-il ? » 

            « Il fait très sombre. » 

            Elle a dit : « Il dit cela depuis plusieurs jours. » Elle a dit : « Il est dans un... inconscient. » Et elle a dit : « Il dit qu’il est en mer, et il y fait si sombre qu’il ne sait où il va. » Elle a dit : « Pasteur, je ne veux pas voir mon enfant mourir comme ça. » Alors, elle a tendu le bras et l’a embrassé sur la tête, elle l’a tapoté à la joue et a dit : « Le bébé de maman. » 

            Vous y êtes, l’amour maternel. Peu importe ce qu’il avait fait, c’est... cet amour maternel se manifeste pour son enfant. Et si l’amour maternel peut faire cela, que fera l’amour de Dieu ? Voyez ? Elle l’a tapoté.

56.       Et j’ai dit : « Tantine, pouvons-nous prier ? » Et cette vieille sainte de Dieu s’est agenouillée là, elle qui gagnait sa vie sur une planche à laver. Elle a offert une prière, frère, à vous donner une chair de poule. 

            Elle a dit : « Seigneur, ne laisse pas mon enfant mourir. » Elle a dit : « Je ne comprends pas ça, rien au sujet de Ton pasteur ici. » Elle a dit : « J’ai prié; Tu m’as dit... pour qu’il vienne. Peut-être pour qu’il prie, et alors tu vas sauver mon enfant. » Elle a dit : « Je ne veux pas qu’il meure comme cela, bien-aimé Seigneur. Je Te remercie. Je sais que Tu es ici. »   

            Et quand elle a fini de prier, je me tenais là, pleurant en l’écoutant. Je me suis alors avancé et j’ai posé ma main sur le pied du jeune garçon, c’était aussi froid que possible. La mort était sur le jeune homme, si jamais j’avais vu la mort. Et j’ai un peu reculé. J’ai dit : « Prions encore, tantine. »

57.       Et je me suis agenouillé et j’ai dit : « Bien-aimé Seigneur, je ne sais pas pourquoi Tu m’as envoyé ici, mais Toi qui as fait atterrir cet avion hier soir et qui m’as envoyé… J’allais au bureau de poste ce matin et Tu m’as envoyé ici. Je me suis arrêté ici. Je ne sais pourquoi. Mais, Seigneur, je Te demande d’être miséricordieux maintenant, si c’est Toi qui m’as envoyé ici pour accomplir Ta mission. J’impose mes mains sur ses jambes comme ceci et Te demande, Dieu bien-aimé, de bien vouloir épargner sa vie, veuille l’accorder. » 

            Et j’ai demandé cela, et après, il allait faisant hum! hum! hum! [Frère Branham gémit. – N.D.E.] Il a dit : « Maman, maman ! Oh ! maman ! » 

            Elle a dit : « C’est la première fois qu’il m’appelle. » Elle s’est relevée, elle s’est mise a essuyer son œil. 

            Il a dit : « Maman, il fait clair dans la pièce. Il fait clair dans la pièce. » Cinq minutes après, le jeune homme était assis au bord du lit. 

58.       Environ deux ou trois mois après, un peu plus tard, j’étais à bord d’un train, allant à Phoenix, en Arizona. Et je me suis arrêté, vous savez comment les trains entrent en gare. Alors, je me suis rendu dans un petit restaurant pour chercher quelque chose à manger. J’ai entendu quelqu’un crier : « Pasteur Branham ! » Et j’ai regardé, et il était là; il était devenu un porteur là. Il a dit : « Vous souvenez-vous de moi ? » 

                        J’ai dit : « Non, non. » 

Il a dit : « C’est moi le jeune homme qui se mourait là ce matin-là, quand le Seigneur vous avait envoyé là, pour exaucer la prière de ma mère. » Il a dit : « Je… Non seulement Il m’a guéri, mais Il m’a sauvé. » Il a dit : « Je suis rempli du Saint-Esprit maintenant, pasteur. » Alléluia !

59.       Qu’est-ce ? Le même Saint-Esprit, frère, soeur. Des milliers de ces choses... Je souhaiterais avoir du temps d’aborder cela pour vous raconter ce qui s’est passé à travers le pays sous la conduite du Saint-Esprit : Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ce même Ange de Dieu est ici même dans cette salle ce soir. Croyez-vous cela ? 

            Inclinons la tête, parlons-Lui juste un instant.

60.       Père, ça prendrait des heures, oui, et des semaines pour raconter des choses semblables que Tu as faites pendant ces dernières cinq ou six années. Le temps passe. Bientôt, je dois descendre à la rivière. Aide-moi donc, Seigneur. Je ne veux pas avoir des ennuis à la rivière. Je veux être prêt ce matin, alors que toutes ces foules seront là à attendre le bateau pour traverser. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]... « Moi et Ma Parole en vous, vous pouvez demander ce que vous voudrez et cela vous sera accordé. » Ce sont Tes promesses, Seigneur. 

            Et je me tiens simplement ici ce soir, devant cet auditoire. Je Te remercie, ô Dieu, je Te remercie de ce qu’il T’a plu de prendre les choses viles de ce monde, des hommes pauvres, indignes, des pécheurs coupables et de les laver dans le Sang du Saint. Tu les présentes ici comme les rachetés de Ton Sang. Tu nous donnes l’Etoile du Matin, la Colonne de Feu, pour nous conduire, bien que nous soyons les rejetés, bien qu’on nous taxe de fanatiques. « Et tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés. » Nous sommes heureux ce soir de ce que nous pouvons être ainsi considérés à cause du Royaume de Dieu. 

61.       Ô Dieu, ce soir, ôtes toute la peur du coeur de ces gens malades. Qu’ils sachent que Tu es ici. Tu fais ces choses uniquement pour prouver que Tu es avec eux. Le monde scientifique le sait ce soir ; l’Eglise le sait ce soir. Ô Seigneur, ce serait un péché pour nous de douter de Ta Parole. Viens-nous en aide, Seigneur. 

            Pardonne notre péché d’incrédulité, qui est le péché originel et l’unique péché. Ô Dieu, aide-nous ce soir à être fidèle et à croire. Guéris chaque personne malade. Sauve les perdus ce soir, Seigneur. Peut-être qu’il peut y en avoir ici qui ne Te connaissent pas, des étrangers pour Dieu, séparés de Christ, sans Dieu. Je Te prie de les sauver maintenant même. Que chaque rétrograde revienne à Dieu à travers Christ.

62.       Pendant que nous avons la tête inclinée, que Dieu veuille exaucer ma prière, donner des visions. Il m’a arrêté tout de suite, dans ma prière, et Il m’a dit de demander quelque chose. Pendant que vous priez, tous les chrétiens, y a-t-il ici un homme ou une femme qui ne connaît pas encore Christ et qui n’est pas encore né de nouveau ? Voudriez-vous lever la main et dire : « Frère Branham, priez pour moi. Je veux que Dieu me donne l’expérience de nouvelle naissance. » Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous. Partout... dans l’aile ? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Au fond, dans la deuxième aile, que Dieu vous bénisse, vous, vous. Tout au fond de la salle, que Dieu vous bénisse, vous. Je vois vos mains là, oui. 

            Quelqu’un d’autre qui dirait : « Frère Branham, j’ai besoin de Christ. Je–je le savais. » Le Saint-Esprit m’a dit de faire ceci. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, frère. Je vois votre main. Au fond à ma droite, cette rangée à droite, n’importe qui là derrière qui dirait : « Frère Branham, priez pour moi. » Que Dieu vous bénisse, madame. Je vous vois. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Je vous vois. Et vous là derrière, jeune fille, je vous vois. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Vous soeur, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse et vous, vous, vous. 

            C’est... Le même Ange de Dieu dont j’ai montré la photo ici même, c’est Lui qui vous parle maintenant. Voyez-vous ce qu’Il fait ? Je prie Dieu de vous l’accorder maintenant.

63.       Maintenant, Père céleste, leurs coeurs ont faim. Puissent-ils T’accepter maintenant même comme leur Sauveur personnel. Que quelque chose soit fait en ce moment même. A la fin de cette réunion, puissent-ils entrer dans la pièce ici et recevoir le baptême du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Nous Te remercions de ce qu’ils ont levé la main, pour leur sincérité, et nous Te prions de bénir chacun d’eux. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen. Comme c’est merveilleux ! 

            C’est comme ça que j’aime sentir l’Esprit de Dieu, quand on en arrive au service du soir, c’est doux. Je suis simplement un gars à l’ancienne mode. J’aime pleurer à l’ancienne mode, m’agenouiller à l’ancienne mode, être brisé à l’ancienne mode, de sorte que Dieu puisse nous modeler de nouveau. J’aime ça. 

64.       La pauvre vieille femme assise là en train de pleurer, elle essuie ses larmes. Que Dieu vous bénisse, madame. Elle a un petit châle sur les épaules, à la manière d’une petite mère… Il y a aussi quelque chose au sujet de cette petite créature. Regardez dans cette direction-ci juste une minute, madame. Elle est en train de prier là. Voudriez-vous lui faire signe ? 

            Oh ! votre problème, c’est cet endroit sur votre nez, n’est-ce pas ? Cet endroit sur votre nez… Je vais vous dire ce qui s’est passé. Vous vous faites beaucoup de soucis, n’est-ce pas vrai ? Vous en avez été guérie autrefois. Est-ce vrai ? Oui, oui. Et vous avez fréquenté un groupe d’incroyants. Est-ce vrai ? Cela vous a fait rétrograder et cette chose est revenue. Oui, oui. [La femme parle à frère Branham.–N.D.E.] Ayez simplement foi en Dieu et cela vous quittera. 

Regardez. Il y a quelque chose qui vous tracasse aussi, je l’ai remarqué. Vous faites tomber des choses et vous oubliez ce que vous faites, un peu comme si vous perdez la mémoire, n’est-ce pas vrai ? Si c’est vrai, levez la main afin que les gens… C’est vrai. Je vous vois déposer des choses, et ne plus les retrouver, n’est-ce pas vrai ? C’est vrai. Je ne lis pas votre pensée, mais vous ne pouvez pas cacher votre vie maintenant. Voyez ? Maintenant, ayez simplement foi en Dieu. Je vais surveiller pendant que nous prions pour les malades, peut-être que le Seigneur me donnera un mot pour vous. 

            Il est ici. L’Ange du Seigneur est ici maintenant même.

65.       Où est Billy ? Quelles–quelles cartes de prière as-tu distribuées, Billy ? T-1 à 50. Prenons-en les quinze premières, faites-les se tenir debout très vite, s’il vous plait. T, carte de prière série T. Est-ce que... ? Regardez sur… Vous verrez ma photo et votre nom d’un côté. Au verso, il y a un numéro et une lettre–il y a T 1 ; qui a T-1 ? La carte de prière T-1 ? T-2, 3, 4, 5, 6, jusqu’aux quinze premières, environ si possible, ou prenez-en dix. Voyez ce que vous prenez, les dix premières et voyez comment... [Un frère fait une annonce.–N.D.E.]

66.       Je souhaiterais que cette audience voie cela. Toute la salle devient laiteuse, exactement comme du lait. Oh ! mes amis, je–je vous dis la vérité. Dieu confirme cela par Son Esprit. Et c’est le même Ange de Dieu, la même Colonne de Feu qui se tenait au-dessus du Seigneur Jésus-Christ, en Sa Personne, et qui connaissait les pensées des gens et accomplissait ces choses. La voici, le même Jésus-Christ. Ayez foi, ce soir. 

            Je me demande si nous pouvons juste nous lever un instant, doucement, avec nos têtes inclinées, et chanter Crois seulement juste pour changer de position, si vous le voulez bien. 

Crois seulement, crois seulement (Que tout le monde soit     respectueux)

Tout est possible, crois seulement;

Crois seulement, crois seulement,

Tout est possible, crois seulement.

67.       Inclinons maintenant la tête, juste un instant. Maintenant, fredonnez avec moi pendant que les jeunes gens forment la ligne de prière. [Frère Branham se met à fredonner le même cantique.–N.D.E.] J’aimerais que vous regardiez dans cette direction-ci. Levez la main. Maintenant, chantez cela comme ceci avec moi. « Eh bien, je ne vais plus prier, Seigneur, mais maintenant je crois. » 

Maintenant, je crois (pas je vais croire d’ici peu, je crois maintenant.)

Maintenant, je crois,

Tout est possible, maintenant, je crois;

Maintenant, je crois, maintenant, je crois,

Tout est possible, maintenant, je crois. 

            Nous pouvons nous asseoir juste un instant. Quelque chose vient de se passer tout à l’heure dans l’église; j’en ai parlé à frère Reed. Eh bien, soyez… Ayez foi maintenant. Croyez de tout votre cœur maintenant pendant que je prie pour les malades. Si je suis serviteur de Dieu, Dieu confirmera maintenant que j’ai dit la vérité. Si je dis la vérité, Dieu confirmera que c’est la vérité. Si je ne dis pas la vérité à Son sujet, Dieu ne confirmera pas cela; car Dieu confirmera seulement la vérité. Ayez foi en Dieu.

68.       Ceci… ? J’aimerais juste vous parler une minute, monsieur. Je vois que vous êtes chrétien, et–et pourtant, nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas, à ce que je sache. Je ne vous ai jamais vu, je ne vous connais pas. Non, nous sommes inconnus. Le… J’aimerais que vous… Vous êtes conscient que quelque chose se passe. Voyez ? Vous êtes conscient que Quelque chose est proche. Eh bien, je… Voici ce que c’est, monsieur. 

            J’aimerais que vous croyiez de tout votre cœur. Maintenant, voyez, il se fait donc–donc que je disais la vérité. C’est pourquoi Il était ici. Il est avec l’église partout, partout. Mais… Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Je crois que c’est la Vérité. Si je suis Son serviteur, s’il y a quoi que ce soit que je puisse faire pour vous venir en aide, frère, je–je le ferai. Je m’empresserai de le faire, mais je ne le peux pas. Vous voyez, je ne suis qu’un homme. 

            Mais être Son serviteur, c’est juste comme être cette lampe-là. Eh bien, si les lampes peuvent s’éteindre ici, ou si vous pouvez venir demain soir et allumer les lumières et qu’elles ne s’allumaient pas, vous ne diriez pas que l’électricité n’existait pas. Vous diriez qu’il y a un court-circuit quelque part, c’est pourquoi vous ne pouvez pas avoir de la lumière. Bien, maintenant, c’est peut-être pareil ici. Voyez ? Peut-être que quelque chose ne marche pas, c’est pourquoi je n’arrive pas à entrer en contact avec Dieu pour vous. Mais si la lampe s’allume, c’est Dieu qui doit l’avoir allumée. Voyez ? Je ne peux pas le faire. Je ne peux pas le faire. Mais Il ne m’a jamais déçu, et je ne crois pas qu’Il me décevra maintenant.

69.       Eh bien, si–si Dieu me révèle quelque chose sur votre vie, avant que je prie pour vous, pour vous faire savoir qu’Il est présent ici… Voici Sa photo. Dans Sa Présence, et vous êtes conscient que Quelque Chose est près de vous, un certain sentiment, comme de la révérence. N’est-ce pas vrai ? Eh bien, si c’est vrai, levez la main afin que les gens puissent savoir que c’est la vérité. Eh bien–eh bien, c’est la seule chose qui peut vous aider. Voyez ? 

            Si vous êtes... Vous souffrez de quelque chose, une maladie de rein, n’est-ce pas ? Une maladie de rein ? Et vous avez été chez un médecin. Et, oh ! il y a aussi la vessie. Et il vous a dit une chose ou une autre et il a secoué un peu la tête. Il se doute de quelque chose. N’est-ce pas vrai ? Et ça peut être le cancer, je pense. N’est-ce pas vrai ? Vous souffrez aussi du coeur. Est-ce vrai ?  

            Ce... Cela a donc disparu de devant moi. Etait-ce la vérité ? Si ce que j’ai dit était la vérité, levez la main. Et croyez-vous qu’Il est ici ? Qu’Il connaît tout à votre sujet ? Que vos péchés sont sous le Sang, qu’il n’y a donc rien contre vous ? Avez-vous la foi pour croire maintenant ? Venez ici. 

            Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, j’impose les mains à Ton enfant que voici, Seigneur, il se meurt, et je réprimande ce démon qui cherche à lui ôter la vie et à l’envoyer prématurément à la tombe, qu’il le quitte. Et puisse-t-il se rétablir, Seigneur. Je le bénis pour sa guérison. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi. Amen. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Maintenant, réjouissez-vous. Faites-nous savoir comment vous vous portez. 

70.       Maintenant, soyez vraiment–vraiment respectueux. Ne doutez pas. Ayez foi. Très bien. Eh bien, ne pensez pas que je–je ne connais pas où je me trouve, mais cela se déplace dans toute la salle ce soir. Voyez ? Oh ! quelle soirée ! Comme les gens pourraient être bien bénis, s’ils le voulaient ! 

71.       Venez ici, juste une minute. Croyez-vous ? De tout votre cœur ? Je ne vous connais pas…?... ici. Comment vous appelez-vous ? Young. Enchanté de faire votre connaissance, sœur. Mais, croyez-vous que vous vous tenez dans la Présence de Son Etre ? Ce que vous ressentez, ce n’est pas parce que votre frère se tient ici, c’est parce que Lui se tient ici. Croyez-vous cela ? 

            Eh bien, je vous suis inconnu. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Mais s’il y a quelque chose dans votre vie, cela doit venir de Dieu. Est-ce vrai ? Et s’Il me révèle cela, aussi, si je suis Son prophète, Il peut me révéler tout ce qu’Il veut me révéler. Est-ce vrai ? 

            Vous–vous êtes vraiment plus malade que vous ne le pensez. Vous avez des tumeurs dans les ovaires. Vous avez été examinée à cause de cela et c’est ce qu’il a dit. Est-ce vrai ? Cela vient de me quitter. Je veux... Quelque chose se passait et je n’arrivais pas à saisir cela tout à l’heure. Il y a quelqu’un là même qui a aussi une tumeur, vous voyez. Quand j’ai mentionné cela, cela est allé de l’une à l’autre.

72.       J’aimerais vous parler encore juste un instant. Vous–vous souffrez aussi des nerfs. Est-ce vrai ? Les maux d’estomac–d’estomac, et votre nervosité, c’est ce qui cause votre mal d’estomac. Et vous êtes le genre de personne qui se fait beaucoup de soucis. Bien, regardez. Des fois, vous devenez vraiment nerveuse, n’est-ce pas ? Il y a quelque temps, vous étiez en train de faire la vaisselle et vous avez failli faire tomber un plat. Vous en souvenez-vous ? Et puis, vous priiez à côté... quand vous avez entendu dire que j’étais ici. Vous avez demandé à Dieu que si vous arriviez à entrer dans la ligne, vous avez cru qu’Il vous guérirait. Est-ce vrai ? Vous le Lui avez dit à côté du… Est-ce vrai ? Eh bien, croyez-vous cela ? Personne d’autre au monde ne pouvait entendre cette prière, à part Dieu seul. Est-ce vrai ? Croyez-vous maintenant ? Ma soeur, je vous bénis pour votre guérison. Croyante en Christ, recevez votre guérison. Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, puissiez-vous partir d’ici et être rétablie. Amen. 

            Maintenant, si vous croyez... Maintenant, tout votre problème a été… cela vous est arrivé récemment. En effet, c’est une étape de la vie qui fait que vous soyez nerveuse et bouleversée. Eh bien, partez d’ici. Si Dieu peut me révéler ce qu’a été votre passé... Je ne me souviens pas maintenant même de ce que c’était. C’est une vision. Voyez-vous ? Et s’Il peut vous dire ce que vous avez été dans le passé, ne peut-Il pas connaître ce que sera votre avenir ? S’Il peut me faire savoir cela, ne peut-Il pas me faire savoir ce qu’il y aura ? Si vous pouvez partir d’ici ce soir heureuse, vous réjouissant et remerciant Dieu, et étant tout aussi heureuse et que vous vous débarrassiez de la chose, vous allez vous rétablir. Que Dieu vous bénisse. Partez, au Nom de Jésus…?... 

73.       Bonsoir. Sommes-nous inconnus ? [La soeur parle à frère Branham–N.D.E.] Oui. Bien, vous me voyez depuis je suis ici cette fois-ci. C’est vous la pianiste, dites-vous ? La pianiste. Je vois. Et vous... Mais je veux parler d’être... Je ne vous connais pas personnellement, je ne connais rien à votre sujet. Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu ? La raison pour laquelle j’ai demandé cela, Il a demandé… m’a dit de le faire, de le demander aux gens. Eh bien, maintenant, pour ce qui est de vous guérir, sœur, je–je ne le peux pas, car je ne suis qu’un homme. Mais pour ce qui est de votre vie, Dieu la connaît. Bien sûr, je vois que vous portez des lunettes. Tout le monde le sait, c’est juste comme si je disais que l’homme qui est assis là est estropié, tout le monde le saurait en le regardant. Mais quelqu’un qui paraît en bonne santé comme vous, mais qu’il y ait quelque chose qui cloche, alors là, c’est différent. Ça, c’est la partie invisible. 

            Mais vous souffrez de l’astigmatisme à l’oeil et votre... Ça vous cause des maux de tête et autres tout le temps. N’est-ce pas vrai ? Vous avez tout le temps des maux de tête aigus. Et vous vous inquiétez aussi pour cet enfant. Vous avez failli perdre cet enfant, n’est-ce pas ? Et l’enfant… Son problème, c’est ce qui est… Je ne lis pas votre pensée, mais cet enfant n’arrive pas à marcher, il en a déjà dépassé l’âge, mais il n’arrive pas à marcher. Est-ce vrai ? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Croyez-vous que si je demande donc à Dieu de vous bénir, la malédiction quittera et les bénédictions viendront ? Avancez.  

            Dieu Tout-Puissant, j’impose les mains à cette femme, à cet enfant. Bénis-la et accorde-lui la guérison, Seigneur. Puisse cet enfant et elle-même être bénis…?... Que Dieu les bénisse au Nom de Jésus-Christ. Amen…?...

74.       Est-ce la malade ? Est-ce la malade ? Bonsoir, sœur. [Frère Branham se racle la gorge.–N.D.E.] Excusez-moi. Je–j’aimerais juste vous parler. Croyez–vous que ces choses que vous voyez s’accomplir viennent de Dieu ? Vous le croyez. Elles ne peuvent pas venir de l’homme. De nulle part que de Dieu. Que le Seigneur vous bénisse et vous récompense pour votre foi.  

            Eh bien, si je suis le prophète de Dieu et que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, cette même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël dans le désert, qui vint sur le Fils de Dieu et Le conduisit, et Il disait qu’Il ne pouvait faire que ce que le Père Lui montrait, alors Il est le même aujourd’hui. Est-ce vrai ? Si je ne vous connais pas, et Il est ici, et vous et moi nous parlons, ce sera juste comme pour la femme au puits qui parlait avec le Maître. Il ne pouvait pas la guérir, mais Il a découvert comment… quel était son problème. Est-ce vrai ? 

            Bien, je déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, qu’Il m’a amené dans ce monde dans un but, qu’Il m’a suscité pour bénir les gens par un don divin qui m’a été donné par un Ange. Croyez-vous que c’est vrai ? Vous croyez que c’est vrai. 

75.       Il y a quelque chose de particulier dans votre vie. Je–je n’arrive pas encore à découvrir cela. Ça continue à bouger, puis, ça devient sombre et ça s’éloigne de moi. J’aimerais juste parler à… Oui, je vois. Oui, madame. Vous avez une maladie du rectum ; ça, c’est une chose. N’est-ce pas vrai ? En effet, c’est vraiment ça. Une espèce de mal… de rein, une affection, quelque chose là dans les glands. Et puis, autre chose, voici quelque chose que… je pourrais tout aussi bien dire cela. Vous avez une habitude que vous cherchez à abandonner. N’est-ce pas vrai ? Fumer la cigarette. Est-ce vrai ? C’est vrai. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. Venez ici. 

            Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Éternelle, en voyant cette pauvre femme là, cette vision, déposant ces choses et essayant de s’en éloigner, elle pleure et revient les prendre, j’implore la miséricorde pour cette pauvre âme. Oh ! toi, esprit impur qui lies cette femme, sous forme de l’habitude de fumer, sors d’elle au Nom de Jésus-Christ. Quitte cette femme. Eh bien, sœur, vous en êtes libre maintenant. Ne fumez plus. Ces autres choses disparaîtront. Vous êtes bien portante maintenant. Partez et que le Seigneur vous bénisse.

76.       Louez le Seigneur de qui proviennent toutes les bénédictions. Bonsoir, monsieur. Je pense que nous sommes inconnus, monsieur. Nous sommes inconnus, oui, monsieur. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Je ne dis pas cela pour… Je–j’essaie seulement de–de vous aider, vous voyez, frère. Comprenez-vous? Avez-vous lu ce petit livre que vous avez en poche ? Alors, vous comprenez ce qui se passe maintenant, n’est-ce pas ? Ne voudriez-vous pas manger de nouveau, avoir un bon estomac et manger comme d’habitude ? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Alors, allez faire ce que je vous ai dit de faire, mangez tout ce que vous voulez, vous êtes…?...  

            Venez ici. Quand j’ai dit cela à cet homme, un frémissement vous a parcouru, n’est-ce pas ? En effet, vous aviez la même chose. Allez de l’avant, prenez votre souper. Juste…?... Ayez foi en Dieu.

77.       Très bien, venez, madame. Ayez foi. Le Dieu même du Ciel est devant vous. Vous êtes dans Sa Présence, le Même qui avait dit à cette femme : « Tes péchés te sont pardonnés. »  

            Bonsoir, madame. Sommes-nous inconnus ? Quand vous aviez… il y a cinq ans, quand nous étions ici, je–je vous avais vue, vous étiez  passée par une ligne ou quelque chose comme ça. Vous aviez alors été guérie. Entre vous et moi passe une ombre noire. Ça bouge et ça tressaute. Cela ne peut représenter qu’une chose. C’est un démon, et c’est un démon de nervosité. Est-ce vrai ? Vous pensez quelquefois que vous avez perdu la tête, n’est-ce pas vrai ? Mais c’est un menteur. Vous ne l’avez pas perdue. Vous êtes tout aussi saine que n’importe qui d’autre. Mais il essaie de vous démoraliser, madame. Ne faites pas attention à cela. 

            Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Regardez. Permettez-moi de vous dire quelque chose. Vous avez essayé pendant longtemps d’avoir même une place, vous vous disiez que si vous… aussitôt que vous avancez votre pied, vous pouvez commencer à partir de là. N’est-ce pas vrai ? Je ne lis pas votre pensée, mais vous priiez à ce sujet. C’est vrai. Vous vous êtes dit là plusieurs fois : « Si seulement je peux avoir un point de départ. » Est-ce… C’est ça votre point du départ, ici même…?... serviteur de Dieu. Toi, démon, au Nom de Jésus-Christ, tu es dévoilé. Sors de cette femme. Quitte-la. Partez en vous réjouissant, sœur. Vous êtes libre maintenant…?... Puisse le Seigneur vous bénir…?... cette chose. 

78.       Venez, madame. Bonsoir, madame. Vous avez été guérie au même moment qu’elle. Vous souffriez de la même chose, la nervosité. N’est-ce pas vrai ? Vous êtes guérie. Vous pouvez poursuivre votre chemin et que Dieu vous bénisse. Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur. 

            Cette Lumière est toujours suspendue dans ce coin-là dans un but. Chaque fois qu’Elle quitte un malade, Elle va dans ce coin-là. Il y a juste un instant, Elle est passée au-dessus de l’auditoire, Elle est revenue et s’est arrêtée juste là, dans ce coin. Et chaque fois qu’Elle quitte un malade ici, Elle semble partir dans ce coin-là, mais je n’arrive pas à voir ce que c’est. Soyez donc en prière. Je ne sais pas. Maintenant, soyez respectueux. Vous n’avez plus le droit de ne pas croire en Dieu. Vous n’avez aucun droit. 

            Cette femme assise là est triste, n’est-ce pas ? Quelque chose s’est passé là où ce… La connaissez-vous ? Est-il arrivé quelque chose à la maison ou quelque chose comme ça, la mort ou quelque chose comme ça ? Courage, madame. Prenez courage. Jésus vit et règne.

79.       Ayez foi en Dieu. Amenez cet enfant…?... Qui ose dire… Tous les démons de l’enfer sont vaincus. Tous les esprits me sont soumis maintenant par Jésus-Christ. La chose est maintenant sous contrôle. Qu’est-ce qui pourrait se passer ? 

            Ma petite soeur, aimez-vous le Seigneur Jésus ? Venez ici, ma chérie. Si Jésus de Nazareth était ici, Il vous imposerait–imposerait les mains et vous bénirez, et Il saurait ce qui cloche en vous, et vous vous rétablirez. Est-ce vrai ? Croyez-vous que Jésus révélera à frère Branham ce qui cloche en vous ? Vous avez l’air d’une belle et douce jeune fille en bonne santé, mais vous ne l’êtes pas. Vous souffrez de l’asthme, n’est-ce pas, chérie ? Vous passez des temps affreux avec ça. Vous ne faites que tousser, et la nuit, votre mère est obligée de vous réveiller, des fois, pour vous faire asseoir afin de tousser. N’est-ce pas vrai ? Je vois votre mère en train de travailler. Mais vous allez vous rétablir, n’est-ce pas ? 

            Venez ici. Mes mains sont un pauvre substitut des Siennes, chérie, mais ce grand Ange de Dieu qui se tient tout près maintenant honorera ma prière, croyez-vous cela ? En fait, je le réclame en votre faveur comme pour ma propre fillette, voyez-vous? Maintenant, vous êtes venue ici devant frère Branham. Bien-aimé Père céleste, cette pauvre petite créature, je Te prie d’éloigner cette malédiction d’elle, et puisse la petite créature être rétablie. Je la bénis au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse...?...

80.       Qui a le droit de douter ? Personne, que… Reviens ici, chérie, chérie. Viens un instant ici. Regarde, juste ici, ici même. Non, va de l’avant. C’est très bien. 

            Le voilà. Elle souffre de la même chose. Est-ce vrai, monsieur ? Madame, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Avez-vous une carte de prière ? Vous n’avez pas de carte de prière. [La femme parle à frère Branham.–N.D.E.] Guérie d’un goitre ici il y a sept ans. 

            Ô Dieu, sois miséricordieux. Quand j’ai senti cette petite fille passer, j’ai senti cet asthme se contracter une fois de plus. Je me suis dit : « D’où cela vient-il ? C’est sur cette enfant. Cela a rebondi sur elle une fois de plus. » C’est revenu là et je me suis dit… J’ai fait revenir cette enfant, mais cette enfant est libérée. Je suis revenu et j’ai senti cela, et le voilà. Il peut se cacher devant un médecin, mais il ne peut pas se cacher aux yeux de Dieu. Il est exposé; c’est un démon horrible, surtout il hiberne dans des régions comme celles-ci, qui sont basses et marécageuses. Ayez foi en Dieu. Je surveillais pour voir ce qui se passerait. 

81.       Voulez-vous guérir de ces hémorroïdes, vous assis là en train de prier ? Le voulez-vous ? Eh bien, levez-vous et acceptez votre guérison maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. C’est ce dont vous souffriez. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez maintenant vous asseoir.  

            Quelque chose cloche avec vos yeux, n’est-ce pas, monsieur ? Votre femme assise là a des varices aussi, n’est-ce pas ? Est-ce vrai ? Je pensais qu’Il était suspendu dans ce coin-là dans un but. Eh bien, c’est ce que vous sentez maintenant, cette sensation vient du Seigneur. Imposez-vous les mains. Que Dieu vous bénisse, tous les deux. 

82.       Satan est exposé. Très bien. Venez, madame. Voulez-vous guérir de cette maladie du cœur ? Veuillez simplement partir et acceptez votre guérison, disant : « Seigneur Jésus, je Te remercie. » Que Dieu la bénisse, au Nom de Jésus-Christ. 

            Voulez-vous guérir de la vôtre, madame ? Partez simplement et acceptez cela. Dites : « Ô Dieu, merci pour ma guérison », et suivez-Le encore. Que Dieu vous bénisse, sœur.  

C’est…?... état de nervosité que tout autre chose. Vous vous emportez…?... Vous pensez des fois…?... juste parce que vous êtes tout… Quand vous vous couchez, c’est pire que jamais. Ce n’est pas la lecture de votre pensée, mais j’ai simplement pensé quand vous passiez par là, pour vous le dire. Voyez ? Partez donc maintenant ; vous allez vous rétablir. Poursuivez votre chemin en remerciant Dieu pour…?...

83.       Disons : « Gloire à Dieu ! » [L’assemblée dit : « Gloire à Dieu ! » – N.D.E.] Venez...?... Vous pouvez penser que je lisais les pensées de la personne. Je n’ai point regardé cette femme droit en face. Mettez votre main sur mon épaule, madame, la malade ici. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Croyez-vous que Dieu peut me montrer ici, dans cette audience, ce qui cloche en vous ? Si je vous disais au Nom du Seigneur ce qui cloche en vous, vous le croirez assurément, n’est-ce pas ? C’est seulement le diabète. Est-ce vrai ? Si c’est le cas, levez la main. Maintenant, partez et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus. Ayez foi. Croyez-Le de tout votre coeur. Ayez foi en Dieu. 

            Croyez-vous, madame, assise là ? Venez ici. Mère, le stress, la maladie du cœur… Est-ce vrai ? Vous avez eu une vie difficile, vous avez eu beaucoup de chagrin. Maintenant, partez, croyez maintenant au Seigneur et soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ. 

            Ayez foi en Dieu. Croyez-vous de tout votre coeur ?

84.       Voulez-vous être guérie de ce goitre, madame ? Croyez-vous que ça peut être guéri ? Bien sûr, je vois cela à votre gorge à partir d’ici. C’est vrai. Regardez-moi et croyez que je suis le prophète de Dieu. Vous étiez assise là, priant pour que je vous appelle. Est-ce vrai ? Alors, si vous pouviez maintenant savoir… Est-ce votre mari qui est assis à côté de vous là ? Regardez-moi donc, monsieur. Qu’en pensez-vous ? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Vous souffrez des hémorroïdes, n’est-ce pas ? Est-ce vrai ? Alors, imposez-vous les mains et acceptez Jésus-Christ comme votre Guérisseur. 

            Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez. 

            Continuez à me regarder, monsieur. Continuez à me regarder. Vous avez des maux d’estomac, n’est-ce pas ? Oui. Vous avez des maux d’estomac. Quelque chose cloche dans votre tête, n’est-ce pas ? Oui, oui. Mais la seule chose qu’il y a, c’est que vous n’avez simplement pas été capable d’appr... On a plusieurs fois prié pour vous. Est-ce vrai ? Vous avez essayé la radio, vous posiez votre main sur la radio. Vous avez tout essayé au monde, vous avez mis les toisons. Est-ce vrai ? Eh bien, alors, pourquoi ne vous levez-vous pas et n’acceptez-vous pas votre guérison au Nom du Seigneur Jésus-Christ ? Amen.  

            Pourquoi ne faites-vous pas de même, madame ? Pourquoi ne vous levez-vous pas de là pour dire : « Seigneur, je suis rétablie. Si je reste couchée ici, je vais mourir. » Pourquoi ne vous levez-vous pas pour croire maintenant, accepter votre guérison et être rétablie ?

85.       Y a-t-il quelqu’un ici qui croit qu’il peut être guéri à l’instant même ? Imposez-vous les mains et laissez-moi prier. Imposez la main à cette dame. Madame, cet asthme peut aller à…?... à la gorge. Vous recevez votre appel. Soyez respectueuse. 

            Maintenant, si Dieu fait entendre des démons, Dieu peut se tenir ici, et par une seule prière, amener chaque démon à quitter cette salle. Croyez-vous cela ? Si–si l’apôtre Pierre, agréé par Dieu, son ombre passait sur les gens parce que les gens savaient que Dieu était avec lui, il s’est tenu sur le toit et a eu des visions et tout, et les gens croyaient cela, ne croyez-vous pas que le même Dieu est ici avec nous ce soir ? Chaque preuve scientifique…

86.       Je sens ma force diminuer. Quelqu’un a mis sa main sur mon dos. C’est quelqu’un, et je sais que c’est juste un signe que je dois partir. Mais croyez de tout votre cœur, le diable est dévoilé. Il n’y a personne ici maintenant, pas un esprit qui ne se soumettrait à cette prière. Si seulement je peux vous amener à croire cela, et quoi de plus. Nous pouvons vous amener à cette estrade un à un, un à un, un à un, un à un, et ce sera la même chose. Vous ne pourrez pas cacher votre vie s’il vous le fallait. 

            Mais regardez, frère, il faudra votre foi pour vous guérir. Regardez au Calvaire maintenant et dites : « Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, je crois en Toi maintenant même. » Ayez foi maintenant pendant que je prie pour vous.

87.       Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur Ton peuple. Toi démon, Satan, sors des gens. Je t’adjure de quitter ces gens au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Sors des gens.

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