LA VOIE POURVUE PAR DIEU POUR TRAITER LE PECHE
1. Bonsoir, mes amis. Je suis très content d’être ici ce soir au service du Seigneur Jésus, pour faire ce que je peux pour Son peuple. Je venais de recevoir un–un message ici me demandant quand je serai à Des Moines, dans l’Iowa.
Ce sera en juin, et je pense que ça sera le 16, le 17 et le 18, je pense, ou quelque chose comme cela. Le 16, le 17 et le 18 juin de cette année, à Des Moines, dans l’Iowa, à la convention nationale d’une église. Je–je ne connais même pas ceux qui la parrainent. Mais on doit être à Des Moines, et à une convention. Alors, le… Tout celui qui devra y être, eh bien, j’espère vous voir là. Que le Seigneur vous bénisse. Maintenant, c’est très bien d’être ici à Phoenix, une fois de plus ce soir, pour essayer de faire tout mon possible pour la gloire de Dieu. Je prie que Dieu bénisse et accorde infiniment, abondamment au-delà de toute mesure, au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser.
2. Ce soir, je suis très content de savoir que j’ai le privilège de prêcher et de parler encore à nos amis indiens. Je voulais venir… Peut-être que certains parmi eux peuvent comprendre l’anglais, ça, je ne sais pas. Mais je ne pouvais pas… Si certains parmi vous le peuvent, ou leur interprète, je voulais venir à–à San Carlos cette fois-ci si possible.
Mais il s’est fait que le programme de mes réunions était si serré qu’il me faudra bien prendre cinq jours pour rentrer chez moi. Et le sixième jour, je dois commencer au Colisée, dans l’Ohio. Je dois donc conduire sur une distance d’environ 300 miles [482,8 km] le jour suivant pour commencer ce soir-là dans le même auditorium où monsieur Billy Graham venait de terminer une série de réunions.
Je voulais arriver chez vous absolument, et j’espère que ce sera possible pour moi un jour. Je vous avais promis que je reviendrais, et je le ferai certainement avec l’aide de Dieu quand ça me sera possible.
3. Beaucoup de choses sont arrivées depuis que j’étais dans la réserve indienne, à San Carlos. Y a-t-il des Indiens qui peuvent comprendre l’anglais ? Si vous le pouvez, voudriez-vous lever la main ? Y a-t-il des Indiens qui comprennent l’anglais ? Je pense que non. Peut-être qu’alors… J’en ai vu un lever la main. Oui.
Beaucoup de choses sont arrivées en ce moment-là, depuis ce temps-là. Mais je n’ai presque jamais tenu une réunion, dans toutes les régions du monde, sans parler de cette merveilleuse foi que j’avais trouvée parmi vous à San Carlos. Je n’oublierai jamais cette réunion tant que je vivrai, concernant la foi…
4. Les Indiens ne sont pas tout à fait comme beaucoup parmi nous autres. Nous avons… Comme des êtres, nous descendons tous du même arbre, d’Adam et Eve. Et après tout, je me souviens de mon sujet, ce soir-là, chez les Indiens ; j’avais beaucoup de sympathie pour eux. Je sais ce qu’ils ressentent, je pense.
Je me demande ce qui arriverait si notre pays nous était arraché et qu’on nous traitait comme beaucoup d’entre eux sont traités. Et je pense que si nous avons tant d’argent à envoyer à travers le monde… Eh bien, vous pouvez me condamner pour cela, pourquoi… La charité bien ordonnée commence par soi-même. Pourquoi ne pas prendre soin de nos Indiens américains au lieu d’envoyer cet argent ailleurs et laisser ces gens-là nous faire exploser cela en retour sous forme d’un grand tas de bombes et autres ? C’est vrai.
5. Après tout, nous sommes arrivés… Les Indiens ont beaucoup de bonnes choses que–que l’homme blanc n’a pas, et une chose surtout, une chose favorite pour moi, c’est la chasse et la pêche. L’Indien est naturellement né partisan de la conservation de la nature, le meilleur au monde.
Un homme blanc, de par sa propre nature, est un meurtrier. Il tirera tant qu’il y aura quelque chose sur quoi tirer. Il détruira ; il fera tout ce qu’il peut. Ne me dites pas le contraire. J’ai été garde-chasse pendant des années. Et je sais ce que c’est… Même certains membres des clubs de grands protecteurs de la nature et autres sont tout aussi méchants et mauvais que les autres.
Mais un Indien prend ce qu’il lui faut. Dieu le lui donne ; tout est son pâturage. C’est comme ses brebis ou son bétail. Et j’ai certainement beaucoup de respect pour de telles gens.
6. Ils ne parlent pas beaucoup, mais ils pensent profondément. Cependant, il y a une chose que je peux dire, ils ne sont peut-être pas bien traités suivant le système de cette nation, mais je connais Quelqu’Un qui les traite très bien : c’est Jésus-Christ. Il le fait certainement. Ils sont Son peuple, et Il les aime. Et ça s’est prouvé la dernière fois que j’étais à San Carlos. Et je crois certainement que chacun d’eux…
Cela m’a un peu brisé quand j’ai rencontré mon jeune garçon et qu’il m’a dit… Je l’avais envoyé leur distribuer des cartes de prière. Il a dit : « Papa, il n’y en avait même pas assez pour qu’on distribue nécessairement toutes les cartes de prière. »
J’ai dit : « Quel est le problème ? »
On leur a facturé environ 200 dollars pour affréter un bus afin de venir ici, de pauvres gens avec une toute petite pension comme cela. Alors, ils ont simplement pris leurs malades et leurs affligés, au mieux de leur possibilité, et ils les ont envoyés là comme ça.
7. On ne sait trop comment, je me sens petit à ce sujet. C’est vrai. Et si j’avais à reprendre cela, j’annulerais une soirée ici pour me rendre là, certainement, si j’avais à reprendre cela, pour être sûr qu’ils recevront, ou qu’ils méritent cela. Et puisse le Seigneur les bénir.
Maintenant, ils ne m’entendent pas. Leur interprète entend cela, mais pas eux. Mais… J’aimerais parler un peu sur l’Evangile aux–aux blancs qui sont dans la salle. Et ensuite, j’aimerais parler un peu, par l’interprète, aux Indiens juste avant que je m’apprête à prier pour eux.
Et j’aimerais que vous qui appréciez nos amis indiens… Et, rappelez-vous que c’est lui le véritable Américain. C’est lui le véritable Américain. C’est l’authentique Américain. Dieu l’a placé ici ; nous, nous sommes simplement venus ici et nous les avons repoussés. C’est vrai. Ce sont eux les authentiques Américains. Nous, nous sommes des étrangers. C’est vrai.
8. Maintenant, j’aimerais que chacun de vous, par appréciation pour ce beau pays où nous habitons et que Dieu avait donné aux Indiens, j’aimerais que chacun de vous, pendant qu’ils sont assis, frappés de maladies et tout, j’aimerais que chacun de vous offre une prière spéciale afin que Dieu bénisse et guérisse chaque Indien qui est ici, et qu’il n’y en ait pas un qui retourne faible ce soir, mais que chacun d’eux retourne rétabli. Que le Seigneur bénisse. Je suis sûr que la foi le fera.
Maintenant, priez donc. Et j’aimerais vous parler juste un peu, à vous qui comprenez l’anglais. J’aimerais lire un passage des Ecritures et leur parler un peu, pour ceux qui parlent l’anglais, de la sorte, les autres pourront suivre par l’interprète. Mais ceci est juste un sermon, juste un très court sermon de quelques instants.
Pensez-y donc. Nous avons encore deux soirées : le samedi et le dimanche. Et quand ce grand moment que je redoute arrivera, moment où, dans chaque réunion où j’aie jamais été, je pense, je dois dire au revoir aux gens pour les quitter et aller ailleurs. Mais il viendra un temps où nous ne dirons plus au revoir, où nous nous rencontrerons et nous ne dirons jamais : « Au revoir. »
9. Ce soir, j’aimerais lire un passage des Ecritures. Prenons le Livre d’Esaïe, juste pour un très court sermon, ou plutôt un texte.
Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? Il s’est élevé devant lui, comme une faible plante, comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée ; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire.
Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.
Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié.
Mais Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.
Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie ; et l’Eternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous.
Inclinons la tête juste un instant. J’aimerais annoncer le sujet de ce soir, c’est : La Voie pourvue par Dieu pour traiter le péché.
10. Notre Père céleste, nous Te remercions, Toi, le Grand Auteur de ce passage des Ecritures, Toi qui, par la bouche de Ton serviteur Esaïe le prophète, nous as annoncé Sa Venue et Ses bénédictions, qu’Il serait une Lumière pour les Gentils, qu’en Son Nom les Gentils chercheraient, espéreraient. Et nous Te remercions ce soir de ce que Tes Paroles sont toutes sûres. Elles ne peuvent pas faillir.
Et nous prions ce soir que, comme cette soirée est consacrée à nos frères et nos sœurs indiens, je Te prie, Père, de les bénir abondamment, au-delà de toute mesure. Que de grands signes et de grands prodiges soient accomplis parmi eux, de sorte que sur le chemin de retour, le Saint-Esprit soit dans ce bus, ou cette voiture, ou tout autre moyen qu’ils emprunteront. Que la gloire de Dieu soit sur eux, et qu’un réveil à l’ancienne mode éclate là à San Carlos, et que chaque Indien dans la réserve reçoive le baptême du Saint-Esprit.
11. Que les signes et les prodiges soient accomplis là dans ces collines, et que le monde sache que Tu es Dieu, que Tu habites dans les collines ou dans les vallées. Et partout où Tu peux trouver un cœur humain dans lequel Tu peux habiter, Tu viens frayer Ta voie dans ce cœur-là.
Père, nous Te prions maintenant de circoncire les lèvres de l’orateur, les cœurs des auditeurs, afin que nous puissions proclamer l’Evangile et L’entendre. Et puisse le Saint-Esprit prendre les choses de Dieu et les placer dans chaque cœur, selon que nous en avons besoin. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
J’étais juste un peu en avance, et nous n’aimerions pas parler longtemps, parce qu’il nous faut juste un peu de temps pour l’interprète des amis indiens.
12. Dernier… Je l’ai annoncé il y a quelques instants : La Voie pourvue par Dieu pour traiter le péché. Dieu a une voie. Nous, nous avons une voie, mais nos voies ne sont pas celles de Dieu. Et nous ne pouvons pas suivre notre voie et celle de Dieu au même moment.
C’est juste comme une carte routière, si je… Quand je serai comme sur le point de rentrer chez moi, je ne dirai pas : « Eh bien, alors, je place une boussole comme, peut-être… j’habite au nord-est par rapport à ici. » Eh bien, si seulement je m’engageais dans cette direction-là, je ne sortirais pas de la ville. Je… Mais il y a une voie pourvue pour moi.
Je prends une carte routière, je vois comment les routes sont décrites, les repères, là où je dois prendre un virage à gauche, ou à droite, et ainsi de suite, suivre cette carte de près. J’atteindrai la maison par la grâce de Dieu. Eh bien, Dieu a une carte. Il a pourvu à une voie pour que nous rentrions à la Maison, dans la Gloire. Il a une voie pourvue pour le salut. Il a une voie pourvue pour la guérison divine. Il a une voie pourvue pour faire tourner le monde. Il a une voie pourvue pour l’Eglise.
13. L’Eglise doit fonctionner avec les neuf dons spirituels, par le Saint-Esprit. Il a des dons, des signes et des prodiges dans l’Eglise. C’est ça la voie pourvue par Dieu pour perfectionner Son Eglise. Si nous essayons tout le reste (théologie, enseignement, tout le reste), cela ne marchera jamais. Cela n’a jamais marché, et cela ne marchera jamais.
Il nous faut revenir à la voie de Dieu. Dieu a une voie pour financer une église, ce n’est pas en confectionnant des couvertures et en offrant des soupers de bienfaisance, mais c’est que chaque homme paie ses dîmes et ses offrandes dans l’église, suivant la voie ordonnée par Dieu. C’est ça la voie pourvue par Dieu pour cela.
Dieu a une voie pourvue pour qu’un homme entre dans l’église. Aujourd’hui, le moyen par lequel nous faisons entrer un homme dans l’église, c’est en lui remettant une lettre de recommandation ; on le fait entrer dans l’église par une main d’association, en lui aspergeant la tête avec une petite salière pleine d’eau, et on le fait entrer dans l’église.
14. Ce n’est pas ça que Dieu a dit. Dieu a une voie différente de celle-là pour faire entrer les gens dans Son Eglise. Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps, par le Saint-Esprit. C’est la voie pourvue par Dieu pour faire entrer les hommes, les chrétiens dans l’Eglise, les croyants.
La Bible dit… Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit : « Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
Cela doit continuer sans cesse ; tant que le Seigneur appelle, la promesse du Saint-Esprit subsiste. C’est vrai. C’est la voie pourvue par Dieu pour entrer dans l’Eglise. Et il est écrit : « Dieu ajoutait chaque jour à l’Eglise. Le Seigneur Lui-même ajoutait chaque jour à l’Eglise ceux qui étaient sauvés. »
Eh bien, le pasteur n’ajoutait jamais chaque jour, le conseil n’ajoute jamais chaque jour, mais Dieu ajoutait chaque jour ceux qui étaient sauvés. C’est la voie pourvue par Dieu. C’est ce qui a mis notre église en difficulté aujourd’hui, c’est parce que nous y avons ajouté chaque jour. Mais aujourd’hui, c’est Dieu qui doit ajouter chaque jour. Amen.
15. Voici ce que je pense : Nous, nous ajoutons chaque jour à notre dénomination, mais Dieu ajoute chaque jour à l’Eglise des nés de nouveau. Là, c’est l’Eglise pourvue par Dieu, la voie pourvue par Dieu, le peuple pourvu par Dieu. Dieu a toujours pourvu à une voie.
Au commencement, quand Dieu dans Son… Oh ! Comme nous pouvons jeter le fondement pour ceci, si Dieu le voulait et si nous en avions le temps, que quand le soleil allait se coucher le soir, Dieu pourvoyait à la lune pour donner une lumière d’une intensité plus faible. Eh bien, la lune et le soleil, c’est parfaitement le mari et la femme (c’est vrai.), le mari et la femme.
16. Et le… quand le soleil se couche, il va loin derrière le monde et reflète sa lumière sur la lune afin que la lune donne une lumière de faible intensité pendant la nuit. C’est juste comme Jésus, quand Il était ici sur terre ; Il est parti, Il est retourné au Ciel et Il a renvoyé le Saint-Esprit à l’Eglise qui est la Lumière, à Sa place, aujourd’hui : C’est parfait.
Mais, rappelez-vous, la lune n’émet pas du tout de lumière. La lune ne le fait pas. C’est toujours la lumière du soleil sur la lune. Amen. C’est ce qui se passe aujourd’hui. Ce n’est pas l’Eglise. C’est le Saint-Esprit sur l’Eglise qui fait cela, non pas l’Eglise. C’est la voie pourvue par Dieu. Ce n’est pas de voir si nous pouvons avoir un million de plus en 54, ce n’est pas là notre programme. Si Dieu va ajouter chaque jour à l’Eglise ceux qui sont sauvés jusqu’à… C’est–c’est ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui. C’est ce dont nous avons besoin, retourner dans la voie de Dieu.
C’est juste comme l’étoile du matin. Si je sors ce soir et que je reste éveillé jusqu’à l’apparition de la grande étoile du matin … Elle brillera dans le ciel un peu avant l’aurore, le matin. Je dirais : « Grande étoile du matin, qu’est-ce qui te fait briller ? Et qu’est-ce qui vous fait briller, vous toutes les étoiles ? »
Eh bien, si elle pouvait me répondre, elle dirait : « Eh bien, Frère Branham, ce n’est pas moi qui brille ; c’est le soleil qui brille sur moi. C’est ce qui me fait briller. »
17. Il n’y a pas longtemps, quelqu’un m’a dit–a dit : « Ne pensez-vous pas que ces gens qui crient Amen et Alléluia, et tout comme cela dans des réunions, ne pensez-vous pas qu’ils sont juste un peu emballés ? »
J’ai dit : « Non, ils ne font que briller. C’est exact. Ce n’est pas moi qui brille ; ce n’est pas vous qui brillez ; c’est Dieu qui brille sur nous par le Saint-Esprit, vous donnant la naissance. »
De même que l’étoile du matin reflète la lumière en l’absence de Christ, par la démonstration de Sa puissance, l’Eglise répand la Lumière dans ce temps sombre. Bientôt, l’aurore se lèvera et le Fils de la Justice se lèvera avec la guérison sous Ses ailes. Ce corps mortel revêtira l’immortalité. Nous Le verrons tel qu’Il est, et nous serons rendus semblables à Son propre corps glorieux, et nous ne serons plus jamais malades, ou nous n’aurons plus de chagrin, ni de déception. C’est… Nous attendons le Fils.
18. Et si vous remarquez bien, l’enseignement même de la nature… Observez la nature si vous voulez voir Dieu. Dieu dans Sa glorieuse nature. Observez, juste avant le lever du soleil, le matin… Esaïe, je pense, c’était un prophète qui, une fois, a dit : « Sentinelle, qu’en est-il de la nuit ? » Il a dit : « La–la nuit vient, le matin vient, et la nuit aussi. »
Si vous remarquez bien, il a bien suivi l’ordre des Ecritures. Observez la première chose qui apparaît avant que la nuit tombe… Chaque fois, avant la–l’aube, il fait très sombre. Il fait toujours plus sombre juste avant l’aube. C’est parce que la lumière fait pression et condense les ténèbres. Et c’est en ce moment-là que l’étoile du matin apparaît.
Il n’y a que ceux qui se lèvent tôt qui voient donc l’étoile du matin. Et je pense que dans cette grande heure des ténèbres, juste avant l’aube, l’Etoile du matin a une fois de plus brillé, répandant Sa Lumière. Ceux qui se lèvent tôt, non pas ceux qui restent assis là : « Je serai sauvé l’année prochaine. Je serai sauvé la semaine prochaine. », ceux qui se lèvent et sortent, ceux-là voient l’Etoile du matin ; ils se réveillent de leur déchéance et de leur sommeil dans ce monde moderne de la théologie, et ils entrent dans les puissances du Saint-Esprit. Les richesses immuables de Dieu répandues dans notre cœur, accomplissant des signes et des prodiges. Eh bien, assurément que nous nous levons et nous Lui rendons gloire. La Glorieuse Etoile du matin, j’y pense. Et puis, quand Il viendra, nous Le verrons alors tel qu’Il est, nous aurons un corps semblable au Sien, nous serons quittes de la maladie, de toute culpabilité, et nous serons avec Lui éternellement.
19. Bon, nous pensions jadis à quelque chose de ce genre, l’étoile du matin reflétant la lumière. Autrefois, j’aimais me rendre à une certaine rivière, un petit… là dans les montagnes, là où on va des fois faire la pêche et la chasse.
Je me souviens avoir été là il n’y a pas longtemps. Quand je pêchais un matin, j’avais dressé ma petite vieille tente, j’attrapais des truites. Oh ! comme j’aime faire ça ! Et un matin, je pêchais, et je–je suis arrivé, je suis revenu à ma tente, et ma tente était détruite.
Il y avait un grand troupeau de petits ours noirs dans cette contrée. Et une vieille mère ourse et ses petits oursons étaient entrés dans cette tente-là et l’avaient taillée en pièces. Le problème, ce n’était pas ce qu’ils mangeaient, c’était ce qu’ils détruisaient. Et alors, je–j’ai remarqué en m’approchant… Je tenais juste une petite hache en main, j’étais allé couper des buissons afin que je puisse descendre jeter ma…pêcher.
Et j’ai remarqué la vieille mère ourse, elle s’est un peu enfuie et elle a roucoulé. Et l’un des oursons a bondi et a fui avec elle. L’autre petit ourson, je me demandais quoi diantre il faisait. Il était simplement installé là, sa petite tête penchée comme ça. Eh bien, je me suis dit : « Eh bien, c’est un très bon gibier, ce petit animal. »
20. Eh bien, j’ai entendu la vieille mère ourse roucouler à l’autre petit. Je me suis dit : « Eh bien, je n’aimerais pas trop m’approcher, parce qu’elle peut grimper à l’arbre aussi vite que moi. Je ne voudrais donc pas trop m’approcher d’elle. » Et… Elle était là, dehors, elle se relevait et roucoulait un peu.
J’avais un vieux fusil déglingué qui était déposé là, mais je pensais que c’était donc mis en pièces à force d’être martelé par de pattes. Alors, je me suis dit : « Elle peut courir plus vite que moi. » Et je–je ne voulais pas qu’elle me griffe. Alors, je–j’ai continué à observer le petit ourson, et j’ai vu qu’il faisait quelque chose. Et je–je me suis demandé ce que faisait ce petit ourson. Et quand je me suis approché de là pour regarder tout autour comme ça, je me suis davantage approché tout en surveillant la mère ourse, pour voir ce que faisait ce petit ourson.
21. Vous savez, je–j’aime les crêpes. Je ne sais pas si vous les aimez ou pas. Là dans le Sud, nous les appelons les flapjacks [les crêpes]. Et c’est très bon. Et je–j’aime mettre le miel dessus, et j’en avais tout un seau. Et je… ce petit animal aime des choses sucrées ; vous savez combien les ours aiment les choses sucrées. Il avait donc enlevé le seau, le couvercle du seau. Et j’en avais un très grand seau bien plein, car j’aime beaucoup le miel. Vous savez, je suis baptiste ; je ne les asperge pas ; je les baptise. Je déverse une bonne couche compacte dessus.
Ainsi donc, en fait, sur… ce drôle d’ourson avait déplacé le seau de là. Il y avait flanqué sa petite patte, et puis, il léchait cela comme ça. Il était couvert de miel de la tête aux pattes. Je n’avais jamais vu tant… Et il m’a regardé, et le petit ourson, ses yeux étaient tout refermés, vous savez ; il m’a regardé. Il s’est retourné et a de nouveau enfoncé sa petite patte ; il a simplement continué à lécher le miel.
Je me suis dit : « Il n’y a pas de condamnation pour celui qui est en Jésus-Christ. Peu importe combien c’est dangereux là, si vous léchez cela, vous ne remarquez pas cela. » C’est tout.
22. Cela me rappelle une bonne réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, il n’y a pas de condamnation, pas du tout, les mains sont plongées dans les… jusqu’aux coudes, dans le miel de Dieu, dans la puissance de Dieu. Ce qui se passe vous importe peu. Vous continuez simplement. Ils disent : « Eh bien, je ne crois pas dans la guérison divine. » Cela ne change rien pour vous, si vous léchez du miel ou de la mélasse, continuez simplement à lécher. C’est tout. C’est ce dont nous avons besoin.
Alors, j’ai remarqué, après qu’il en avait eu assez, que ce petit animal est parti. Et ce qu’il y avait de drôle, c’était qu’il était totalement couvert de miel, et quand il est allé là, sa maman et l’autre ourson l’ont léché. Cela m’a rappelé une réunion. Quelqu’un va à une réunion, il passe un bon moment et rentre chez lui, et les autres veulent le lécher le reste de la nuit. C’est vrai. Observez Dieu en action par Sa grande puissance dans Sa nature.
23. Autrefois, je me rendais à une vieille source là pour boire. Et chaque fois que je buvais à cette vieille source, je remarquais que… Un jour, je me suis assis, je lui ai simplement parlé. Et, oh ! elle était tellement heureuse, elle bondissait, bouillonnait.
J’ai dit : « Je me demande ce qui rend cette source si heureuse tout le temps. » Je l’ai regardée et je me suis dit : « Eh bien, si tu pouvais parler, j’aurais aimé te poser quelques questions : Pourquoi es-tu si heureuse ? Es-Tu si heureuse parce que je bois de toi ? »
Si elle pouvait parler, elle dirait : « Non. »
Je disais : « Peut-être que tu es heureuse parce que les biches et les ours boivent de toi. »
Elle dirait : « Non. »
« Eh bien, qu’est-ce qui te fait bouillonner tout le temps ? »
24. Et si elle pouvait parler, elle dirait : « Eh bien, Frère Branham, ce n’est pas moi qui bouillonne. C’est quelque chose derrière moi qui me prêche, qui me fait bouillonner. »
Et c’est ce qui se passe dans une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Ce ne sont pas ces cris ; c’est la puissance de Dieu qui agit en eux qui bouillonne, qui manifeste les puissances du Dieu vivant, la voie pourvue par Dieu pour fournir de l’eau, le puits artésien, jaillissant… les joies…
Les procédés de Dieu, Il a toujours une voie pour traiter. Il a une voie aujourd’hui pour traiter avec des individus. Parfois, si vous ne voulez pas L’écouter, Il permettra au diable de vous faire quelque chose, de telle manière qu’Il peut vous prendre, vous étendre sur le dos, parfois, afin que vous soyez obligé de lever les yeux. C’est souvent là la voie pourvue par Dieu pour accomplir cela.
25. La voie pourvue par Dieu dans le jardin d’Eden, quand l’homme avait péché… Et quand Dieu a vu que cet homme avait péché, quel horrible tableau c’était, quand l’homme s’était lui-même séparé de son Créateur ! C’est bien là la nature même de l’homme, aussitôt qu’il s’était rendu compte qu’il avait perdu sa communion avec son Créateur, au lieu de venir confesser lui-même ses torts, il a fui et s’est caché. C’est comme ça que l’homme agit toujours : au lieu de venir confesser qu’il a tort, il fuit se cacher. Et c’est ce qu’il fait toujours. L’homme, c’est simplement dans l’homme de faire ça.
Eh bien, alors Dieu a parcouru le jardin, craint : « Adam, Adam, où es-tu ? » Ça devrait être Adam en train de crier : « Père, Père, où es-Tu ? J’aimerais venir auprès de Toi pour mettre les choses en ordre. »
26. Mais il tenait à se cacher. Alors, il s’est confectionné un tablier en feuille de figuier, Eve et lui. Et ils se sont dit que ça marcherait. Mais quand ils en sont arrivés à la véritable confrontation… Voilà donc, quand ils ont eu à se tenir dans la Présence de Dieu, leur propre religion n’a pas marché. C’est vrai.
Ce soir, mon ami, tu peux être membre de l’une de ces belles églises d’ici, si c’est ça le genre de religion que Tu as ce soir… que toi-même tu as fabriquée. « J’observe la règle d’or. Je ne fais du mal à personne. » Cela ne subsistera pas du tout. Absolument pas. Dieu a une voie pourvue pour vous. Dieu a une voie pourvue ce soir.
Alors, Dieu est allé tuer quelque chose, peut-être une brebis, et Il a ramené des peaux ensanglantées de brebis et Il les a jetées dans le buisson. Alors, Adam et Eve se sont enveloppés dans ces buissons–dans ces buissons et se sont eux-mêmes couverts et ils sont entrés dans la Présence de Dieu.
27. Alors, quand Dieu a prononcé le jugement : « Puisque tu as écouté ta femme et non Dieu, Je t’ai tiré de la poussière de la terre, tu retourneras à la poussière de la terre. Eve, puisque tu as écouté le serpent plutôt que ton mari… » Ce qu’Il ferait à elle, au serpent et tout. Je peux alors voir Adam et Eve partir, la longue chevelure noire et touffue d’Adam, des larmes leur coulant sur les joues ; il s’est avancé vers Eve, le corps le plus beau ; les bras et les épaules très solides d’Adam, le sang coulait sur ses jambes en dessous de ces peaux de brebis. Et alors qu’ils étaient sur le point de partir, je peux entendre quelque chose faire [Frère Branham imite le bruit de claquement. – N.D.E.], on dirait claquer. Qu’est-ce ? C’étaient ces vieilles peaux de brebis ensanglantées qui claquaient sur la jambe d’Adam.
28. Puis, je vois le tableau le plus dramatique de toute la Bible. Je peux voir ce Grand Dieu Jéhovah, qui remplissait tout l’espace et tout le temps. Même si le regard pouvait parcourir des siècles et des siècles, on ne verrait jamais Son commencement ni Sa fin.
Je peux voir tout cela descendre sous la forme d’un entonnoir et former quatre petites lettres : love [l’amour]. Il ne pouvait pas supporter de voir Son fils et Sa fille s’en aller dans la disgrâce. Alors, Il a dit : « Je mettrai inimitié entre ta semence et la semence du serpent. »
Changeons de tableau pendant quelques instants et voyons cela 4.000 ans plus tard. Tenons-nous dans la ville de Jérusalem, Dieu traite maintenant avec le péché, Sa façon de juger. Et alors, dans la ville de Jérusalem, je peux entendre quelque chose descendre, traîné dans les rues pavées, une foule agitée criant comme une meute de loups, réclamant le sang de l’agneau. Je vois, descendant la rue, je vois un petit Homme mince et frêle, une couronne d’épines à la tête et le sang Lui coulant au visage, le sang sur toutes Ses traces…
29. J’ai regardé, et j’ai vu partout sur Son petit habit, confectionné sans défaut, sans couture plutôt. Il y avait de petites taches sur tout Son vêtement, de petites taches rouges. Alors que jefixe le regard sur les petites taches, je vois qu’elles s’agrandissent de plus en plus. C’est quoi, ces taches ? Peu après, elles forment toutes une seule grande tache. J’entends encore quelque chose [Frère Branham fait un bruit de claquement. – N.D.E.] claquer sur la jambe du deuxième Adam.
C’était l’Agneau pourvu par Dieu, la voie par laquelle Dieu traitait pour les pécheurs. Il s’est revêtu de la nature du corps de péché, Il est descendu ici, Il a été créé à l’image de l’homme, et Il gravissait la colline de Golgotha, là, saignant, bêlant… Oh ! Quand Il était suspendu là, entre les cieux et la terre…
30. Quel beau tableau nous retrouvons en Eden, vite ! Quand je vois Abel chercher à trouver comment il peut trouver faveur devant Dieu… Caïn, un grand homme, un homme religieux. Il est descendu, s’est bâti une église aussi belle que votre église. Il a bâti un autel ; il a offert un sacrifice ; il a rendu hommage à Dieu. Si tout ce que Dieu exige, c’est que vous ayez foi en Lui… Caïn n’était pas un incroyant. Caïn était un croyant. Certainement qu’il l’était.
Caïn n’était pas seulement cela, mais il était un adorateur. Et Caïn était un authentique membre d’église. Alors, il a bâti un autel pour le Seigneur, il s’est agenouillé devant le Seigneur et a prié. Si Dieu est juste, ce qu’en fait nous savons qu’Il est, alors, un autel, une église, un sacrifice, la foi en Dieu, si c’est tout ce que Dieu exige, Il serait injuste d’avoir condamné Caïn.
31. Mais Dieu a une voie à laquelle Il a pourvu, et chaque homme doit suivre cette voie qui a été pourvue. Dieu a pourvu à une voie ce soir, et vous devez la suivre. Abel l’avait suivie. Et, tenez, peut-être Caïn avait bâti l’église la plus grande et la plus jolie. Et il a placé ses lys et autres.
On approche de Pâques. Vous de Phoenix, vous irez aux services de Pâques. Tout le monde va au service de Pâques et montre son nouveau chapeau. C’est en ordre. Et ils vont là… Autrefois, je disais à l’assemblée, quand j’étais un prédicateur baptiste, je disais : « Joyeux Noël à vous. Je ne vous verrai plus jusqu’à la Noël. » A chaque Pâques… On les revoit à la Noël.
Très bien, on change un peu les habits et on revient. C’est en ordre. Les voici venir là, c’est une disgrâce. C’est vrai. Assurément.
32. Et les voici venir. Regardez-les. Probablement que Caïn avait placé des fleurs, des fleurs de Pâques, sur l’autel, comme vous allez le faire sur l’autel. Il y aura des dizaines de milliers de dollars, oui, jusqu’à des millions de dollars dépensés en Amérique pour des fleurs de Pâques, à mettre sur l’autel de l’église. Dieu n’a pas besoin de fleurs sur l’autel ; Il vous veut, vous, sur l’autel. L’autel n’a pas été fait pour des fleurs, il a été fait pour l’homme. C’est vrai.
Mais vous envoyez des fleurs au lieu de vous y retrouver. C’est ce que Caïn a fait. Voyez d’où ça vient. Et voici venir Abel, sans rien de beau, rien de joli. Eh bien, je pense qu’à l’époque on n’avait pas de chanvre, probablement qu’il enroulait une branche de vigne autour du cou du petit agneau.
33. Le voilà venir, tirant le petit agneau ; et comme cet agneau pressentait la mort, il résistait. Je me demande à quel genre de mort s’attendait ce petit agneau en venant. Il l’a placé sur une pierre, a renvoyé sa tête en arrière ; peut-être qu’il n’avait ni couteau ni lance à l’époque. Alors, il a pris juste une pierre tranchante et s’est mis à lui couper le petit cou.
Avez-vous déjà entendu un agneau mourir ? Vous entendez le cri le plus pathétique que vous ayez jamais entendu quand vous entendez un agneau mourir. De toute façon, on lui a donné un coup aux petites veines jugulaires avec cette pierre, et le sang a giclé sur sa petite laine, y a baigné ; Dieu a baissé le regard et a dit : « C’est ça. »
34. Qu’est-ce que cela annonçait ? Cela annonçait que 4.000 ans plus tard, l’Agneau de Dieu serait suspendu au Rocher des Ages, jugé par Dieu pour l’homme pécheur, Il était suspendu là, et Sa chevelure ensanglantée faisait couler le sang sur Ses épaules, annonçant…
Abel ne pouvait pas comprendre ce que cet agneau disait. Et Jésus, quand Il mourait, Il a parlé dans une langue inconnue : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné ? » Il était l’Agneau de Dieu mourant sur l’autel, l’Innocent pour les coupables, c’est ainsi que Dieu a traité le péché.
Il n’y avait rien du tout que l’on puisse faire, c’est tout… Dieu avait déjà fait cela ; il vous faut l’accepter, et par la grâce du Père, croire cela. Et Dieu confirmera votre foi en vous donnant le baptême du Saint-Esprit. C’est exact.
35. Si vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru, il y a quelque chose qui cloche quelque part. Dieu donne le baptême du Saint-Esprit à tout le monde, à chaque croyant. C’est exact. C’est la confirmation de votre foi.
Abraham avait cru en Dieu par la foi, exact. Mais Dieu lui a donné le sceau de la circoncision comme confirmation de sa foi. Et Ephésiens 4:30 dit : « N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption. »
Donc, le sceau de la confirmation de votre foi, c’est le baptême du Saint-Esprit. Amen. Là, Dieu traite, Il pourvoit à une voie pour les pécheurs. Esaïe a dit qu’il était… « Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? » Il s’est élevé comme une faible plante, semblable à une brebis muette qu’on mène devant ceux qui la tondent, Il n’a point ouvert la bouche, cependant nous L’avons considéré comme puni, frappé de Dieu.
36. Comment Dieu a dû déverser tout le jugement divin : C’était le jugement contre le péché que Jésus-Christ portait vers le Calvaire. C’était le jugement contre la maladie qui Lui avait meurtri le dos. Et là, pour payer le prix de la culpabilité, pour une race des mortels, là, Jésus-Christ est allé au Calvaire et Il a payé le prix. Et quand Son Sang a jailli de Ses veines, pendant que la terre…?... embaumé Son corps de Son Sang de juste… Et là, Il s’est écrié : « Tout est accompli. » Quoi ? Le prix du jugement a été payé. Tout ce que Dieu exigeait était entièrement payé au Calvaire. Quelle foi !
« Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » Cela a été accompli au Calvaire pour chaque croyant qui l’acceptera comme ça, qui acceptera Christ.
37. Je le dis souvent, Jésus-Christ, quand Il a été amené au Calvaire, je vois un artiste Le peindre sur un tableau, revêtu des habits. Frère, on Lui avait fait tout ce qu’on Lui pouvait de déshonorant. Je pense qu’on L’avait déshabillé, on L’avait battu, et on Lui avait fait tout ce qu’on pouvait faire.
Pourquoi ? Il devait payer tout le prix pour vos péchés. Il devait payer tout le prix pour mes péchés. Mais c’est là qu’Il a vaincu la mort. C’est là qu’Il a vaincu le séjour des morts. C’est là qu’Il a vaincu la tombe. C’est là qu’Il a vaincu pour votre paix. Alléluia ! C’est là qu’Il a vaincu vos sentiments. C’est là qu’Il a en payé le prix. C’est ce que Dieu exigeait. Il a fait disparaître la bosse et–et la tache du péché. Il est souvent dit…
38. Aujourd’hui, je me tenais là, observant un ouvrage des abeilles. Et j’observais ces abeilles, je me suis dit : « Eh bien, si jamais une abeille pique une personne, son aiguillon reste donc dans cette personne, et elle ne peut plus piquer. L’aiguillon de l’abeille est perdu. Chaque insecte qui vous pique une fois, c’en est fini pour lui, parce qu’il laisse là son aiguillon. »
Et je vous assure, Jésus-Christ, au Calvaire, a arraché l’aiguillon de la mort et du péché, et là, nous… La maladie n’a plus de contrôle. Dieu en a déjà enduré la souffrance lors du jugement. Jésus a arraché l’aiguillon du péché. Jésus a arraché l’aiguillon de la maladie. Jésus a arraché l’aiguillon de Satan. Jésus a arraché l’aiguillon du péché, et ce soir, il est impuissant. Alléluia ! Il ne peut que bourdonner et faire beaucoup de bruit, mais il n’a plus d’aiguillon.
39. Paul a dit : « Ô mort, où est ton aiguillon ? Ô mort, où est ta victoire ? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. » Amen.
Prions.
Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour avoir arraché l’aiguillon de la mort. Toi et Tes heures... Seigneur, comment l’aiguillon de la mort T’avait mordu, comment l’aiguillon de la maladie était resté dans Ton corps. Et là, Tu as porté nos infirmités, cet aiguillon de chagrin, cet aiguillon de cancer, cet aiguillon de maladie qui T’avait piqué dans le corps… Mais Tu l’as paralysé. Alléluia ! Cela ne peut plus piquer. Quand nous entrons en Toi, Seigneur, là, nous sommes sans péché, pas par nous-mêmes, nous sommes tous des pécheurs ; mais en Toi, nous ne sommes pas des pécheurs ; nous sommes des fils et des filles de Dieu. Cet homme agité qui n’a pas de repos ni de paix ce soir, Tu as été blessé pour ses péchés et brisé pour son iniquité, et le châtiment qui lui donne la paix est tombé sur Toi. Et un homme et une femme ici ce soir qui sont si chargés de maladie, c’est par Tes meurtrissures que Tu les as guéris.
40. Ô Eternel Fils ressuscité du Dieu vivant, viens briller sur nous ce soir avec Tes bénédictions. Et puisses-Tu confirmer Ta Présence ici, afin que tout Ton peuple puisse, d’un commun accord, être guéri et sauvé ce soir, car nous le demandons au Nom de Jésus.
Et, Père, ces mouchoirs qui sont ici dans cette boîte, ils vont traverser diverses régions du pays, ils iront aux malades et aux nécessiteux. Et je prie, ô Seigneur, alors que j’impose les mains sur ces mouchoirs, que Tu guérisses chacun d’eux et que Tu en tires gloire ce soir. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Excusez-moi. Il n’est pas étonnant que le poète, ainsi que chaque homme qui ait jamais abouti à quelque chose, aient chanté les louanges de Dieu. Je peux me souvenir du poète qui a dit :
Au milieu des rochers qui se fendaient et des cieux assombris ;
Mon Sauveur inclina la tête et mourut ;
Le voile déchiré révéla le chemin
Vers les célestes joies et un jour sans fin.
41. Comment pouvez-vous vous détourner du Calvaire ? Si vous êtes malade, regardez au Calvaire. « Tournez les regards vers Moi, vous toutes les extrémités de la terre. »
Regarde et vis, mon frère, vis.
Regarde Jésus maintenant et vis.
C’est écrit dans Sa Parole, Alléluia !
Il n’y a pas que ça à regarder pour vivre.
Si regarder au type… Le mot serpent d’airain, le serpent… Vous direz : « Le serpent représentait-il Jésus ? » Oui, le serpent représentait Jésus. Le serpent, l’airain représentait le jugement divin. L’airain était transformé en serpent, cela représentait le serpent déjà jugé. Et si regarder au type guérissait les gens, combien plus efficace sera l’antitype aujourd’hui.
Vous pouvez regarder, comme ces gens qui regardaient le serpent d’airain et qui vivaient, à combien plus forte raison vous pouvez regarder Jésus-Christ et vivre après que tout le prix a été payé.
42. Y a-t-il un interprète pour les amis indiens ? S’il y en a un qui peut interpréter, j’aimerais qu’il vienne à l’estrade juste un instant. J’aimerais leur parler juste un instant. S’il vous plaît, quelqu’un qui peut interpréter dans la langue des Apaches. Très bien, quelqu’un vient.
Maintenant, combien de pécheurs ici, ce soir, veulent regarder et vivre ? Faites voir la main, ceux qui veulent dire : « Souvenez-vous de moi, frère prédicateur. Je suis un pécheur. J’ai besoin de Jésus-Christ. » Je vais prier pour vous maintenant. N’importe où aux balcons. N’importe où. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est la vérité de… Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre ? Là au balcon vers la droite : « Souvenez-vous de moi, Frère Branham, je ne suis pas encore chrétien. » Levez la main.
Aux balcons derrière, quelque part dans la salle, levez la main pour dire : « Souvenez-vous de moi. » Que Dieu vous bénisse. Je vous vois, madame, là-bas.
43. Ô Père céleste, Tu as vu ces mains. Je prie maintenant, alors qu’ils se rendent compte que les jugements de Dieu étaient sur Christ et que celui-ci a porté dans Son corps l’iniquité de nous tous, qu’ils puissent venir humblement et doucement maintenant même vers Lui, et qu’ils disent dans leurs cœurs : « A partir de ce soir, je servirai le Seigneur. » Accorde-le. Je Te prie de le leur accorder et de confirmer leur foi avant la fin de la réunion, par le baptême du Saint-Esprit. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ. Amen.
Est-ce l’interprète ? Bonsoir. Parlez-vous très bien anglais ? Très bien. J’aimerais que vous vous teniez à côté de ce micro et que vous disiez exactement ce que je dis aux–aux gens, s’il vous plaît. Est-ce un autre micro ? Très bien. C’est très bien. Celui-ci suffira pour ça, c’est juste pour que nous saisissions sa voix.
44. [Frère Branham parle et un homme interprète ses paroles aux Indiens dans l’assemblée. – N.D.E.] Mes bien-aimés amis Indiens, c’est avec un cœur plein d’amour que je viens vers vous. J’ai souvent pensé à vous, depuis que j’étais avec vous à San Carlos. J’ai parlé de votre foi à travers le monde.
Je regrette de ne pas avoir une occasion cette fois-ci d’aller à la réserve. J’ai demandé aux gens si on pouvait consacrer cette soirée pour vous tous. Que le Seigneur vous bénisse. Vous êtes les enfants de Dieu. Je suis votre frère.
Maintenant, si vous avez lu la Bible et que vous avez entendu parler de Jésus-Christ ce soir, si Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, alors, Il est le même aujourd’hui qu’Il était autrefois. Nous avons lu à Son sujet dans la Bible, un Homme de chagrin, habitué à la souffrance. Il ne prétendait pas être un grand homme. Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il disait : « C’est Mon Père qui habite en Moi qui fait les œuvres. »
45. Quand Il est passé près de la piscine de Béthesda, dans Jean 5, il y avait beaucoup de gens aux membres tordus et des affligés couchés là. Et Il est passé à côté d’eux. Il a trouvé un homme couché sur un–un grabat, Il lui a demandé : « Veux-tu être guéri ? » En effet, Jésus savait qu’il était couché là et qu’il était malade depuis longtemps. Et il… Cet homme a été guéri. Et puis, Il a dépassé les autres.
Au verset 19 du même chapitre, Il a été interrogé par les Juifs. Il a dit : « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, car ce que le Père fait, Il le montre au Fils. Le Père agit jusqu’à présent, Moi aussi J’agis. » Ainsi, Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait en vision.
46. Nous Le voyons avec la femme au puits. Il l’a regardée, Il a dit : « Donne-moi à boire. »
Et elle a répondu : « Le puits est profond. » La conversation a continué.
Puis, finalement, Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « Tu en as eu cinq. »
Elle a dit : « Je vois que Tu es Prophète. » Et elle est entrée dans la ville en courant, disant : « Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai donc fait. » Il ne lui avait point dit tout ce qu’elle avait fait, mais Il lui a dit quel était son problème.
47. Quand Philippe a trouvé Nathanaël, il a dit : « Viens voir qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph. »
Il a dit : « Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »
Il a dit : « Viens, et vois. »
Et quand il est entré dans la ligne de prière (Maintenant, écoutez.), Jésus a dit : « Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude. » Cela l’a étonné.
Il a dit : « D’où me connais-Tu, Rabbi ? »
Il a répondu : « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre. »
Il a dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »
48. Eh bien, si Jésus… Puis, avant de quitter la terre, Jésus a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais. »
Eh bien, si Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il fera donc ce soir les mêmes œuvres qu’Il faisait quand Il était ici sur terre. Eh bien, Il ne guérissait pas. Il avait seulement des visions et Il faisait ce que le Père Lui montrait de faire.
Eh bien, donc, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il accomplira la même chose ce soir, cela fera de Lui le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai ? Eh bien, s’Il vient ce soir et qu’Il reproduit cette Vie ici devant vous, Son peuple, allez-vous L’accepter comme votre Guérisseur ? Que le Seigneur vous bénisse.
49. [Frère Branham parle sans interprète. – N.D.E.] Maintenant, nous allons appeler un certain nombre d’Indiens et leur dire d’avoir foi. Et si Jésus-Christ veut–veut parler… Je ne parle même pas votre langue, mais si Jésus-Christ montre en vision (vous pouvez le dire en vos propres termes, afin qu’ils le comprennent), si Jésus-Christ se manifeste ici dans Son serviteur et qu’Il montre des visions comme Il l’avait fait dans…?... comme Il l’avait fait devant la femme au puits, ou devant Nathanaël, ou ces œuvres, cela prouvera qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit parmi Son peuple. (Maintenant, vous savez comment mettre cela ensemble. » [L’interprète indien parle aux Indiens. – N.D.E.]
Et vous voyez que vous ne pouvez pas comprendre la langue, mais vous sentez l’Esprit de Cela se répandre. C’est le même Saint-Esprit.
50. Maintenant, cette photo, cette photo qui a été prise, cette Lumière qui était sur cette photo est, à mon avis, la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Trois minutes après ma naissance, Elle est entrée dans la chambre où j’étais né, dans une petite cabane en rondins. Et ce même Ange de Dieu qui avait conduit les enfants d’Israël conduit l’Eglise ce soir, le même Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voyez, vous avez vu cela arriver. Comprenez-vous cela, monsieur ? Elle a été prise… Très bien. [L’interprète parle encore. – N.D.E.] Que Dieu vous bénisse. J’aimerais qu’en partant vous emportiez ceci à votre réserve. Vous pouvez bien l’amener là et prier pour…?... Très bien.
51. Maintenant, vous… Maintenant, je dois faire venir un certain nombre. (Voyez-vous ce que je veux dire ?), à partir de là et en prendre quelques-uns, ensuite je pourrais voir par où commencer cela, comme nous le faisons régulièrement avec une assistance régulière. Vous comprenez, la ligne de prière. Et… Maintenant, je crois qu’il leur a distribué des cartes de prière. C’est une toute petite carte et ça porte un numéro. Voyez-vous ? Faisons donc… Où est-il ? 1 à 100. Commençons vers… Eh bien, voyons, commençons par 35.
Demandez qui a… Dites-leur de regarder leurs cartes de prière pour voir qui a le numéro 35, au verso, numéro 35. [L’interprète parle. – N.D.E.] Dites-leur de lever la main. Eh bien, dites à cette femme de venir ici. Maintenant, dites-leur : 36, 37, 38, 39, 40. Ce sont les mêmes mots ? Les mêmes mots que…?... 40… Très bien. 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50.
52. Bon, combien dans la salle n’ont pas de cartes de prière ? Je veux dire parmi ceux–ceux qui parlent anglais ici. Combien parmi vous n’ont pas reçu des cartes de prière et veulent cependant que Dieu les guérisse ? Faites voir vos mains partout. Voyez, voyez ? Très bien. (Demandez aux Indiens ici, s’il vous plaît, frère, demandez-leur combien ici aimeraient être guéris ? Pas avec… Là même où ils sont, demandez-leur s’ils veulent être guéris. Dites, si vous voulez être guéris, levez simplement la main). [L’interprète parle. – N.D.E.]
Vous pouvez éprouver le sentiment des gens. Voyez ? Nous sommes tous… Ce n’est pas nous qui constituons notre gouvernement ; nous en sommes juste une partie comme vous. Mais nous avons tous de l’amour et de la sympathie. Vous comprenez ce que je dis, car vous parlez anglais.
53. Maintenant, j’aimerais que tout le monde soit aussi respectueux que possible. Et sœur, doucement, s’il vous plaît, Crois seulement, juste pendant quelques instants, s’il vous plaît. J’ai… Combien pouvez-vous en prendre encore ? Ils sont bien alignés là maintenant. Maintenant, tous les–les Blancs qui sont ici comprennent que nous sommes–que nous sommes… comment nous conduisons nos réunions.
Eh bien, évidemment, je suis… ne peux pas dire… nous Consacrons cela aux amis indiens. Mais l’Ange du Seigneur, quand Il viendra, Il viendra sur n’importe qui. Voyez-vous ? Alors, vous–vous… simplement–simplement n’importe où que ça se trouve. Maintenant, soyez en prière et ayez foi ; et croyez de tout votre cœur que le Seigneur Jésus vous accordera les bénédictions de Dieu ce soir. Maintenant, doucement, s’il vous plaît, là.
Crois seulement (A ce micro…?... Très bien.)
Tout est possible…
Crois seulement,
Tout est possible,
… seulement.
Est-ce vous là frère ? Enchanté de faire votre connaissance, frère.
54. Maintenant, ce soir, faisons… que tout le monde soit donc calme. Et maintenant, laissez le Saint-Esprit se mouvoir. Et gardez vos enfants près de vous, parce que des maladies sont parmi les Indiens tout autant que parmi les autres peuples. Et ce sont les mêmes maladies ; les mêmes démons qui possèdent les Indiens possèdent les autres. Et nous trouvons cela dans toutes les nations, partout où nous trouvons la même action.
Ici même, quelqu’un… ces gens, cet homme qui parlait, vous pouvez dire que c’était un chrétien et que le Saint-Esprit se mouvait. Vous ne pouvez pas comprendre (voyez ?), mais vous saviez que c’était un chrétien. Il est votre frère. Voyez ? Cela nous unit. Voyez ?
55. Eh bien, je ne suis pas responsable des critiqueurs. Je ne suis pas… Je ne serai pas responsable, car les maladies vont d’une personne à l’autre. Et beaucoup parmi vous ici savent ce qui se passe souvent dans des réunions. Et beaucoup de gens ne sont plus ici sur terre ce soir à cause du manque de respect, beaucoup parmi eux sont dans des asiles de fous et tout à cause du manque de respect.
Eh bien, vous comprenez que je–je ne parle pas un seul mot de leur dialecte. Et le seul moyen au monde pour moi de le savoir, c’est par une vision. Maintenant, la vision, peut-être, je ne parle pas leur langue, mais par la vision, on voit exactement la même chose. Voyez ? Peu importe ce que c’était, si ce sont des êtres, quoi que ce soit, c’est une vision. Cela montre exactement la même chose. Cela ira vers eux tout comme ça le fait pour n’importe qui.
56. Maintenant, je… Frère Brown, veuillez venir ici, j’aimerais que vous… Utilisez ce microphone et je parlerai juste… vous… Voyons, maintenant, peut-être que je ferais mieux… Peut-être que je ferais mieux d’utiliser ce micro ici et laisser le frère avoir… Non, ça ne marchera toujours pas. Comment avions-nous procédé en Afrique ? Je pense que c’est comme ça que nous nous étions pris. Oui.
Eh bien, dites-lui de me regarder maintenant, à cette–cette femme ici. Maintenant, interprétez mes paroles. [Le frère interprète frère Branham pendant qu’il parle à la patiente. – N.D.E.] Bonsoir. Evidemment, je ne parle pas votre langue, mais cependant le Seigneur comprend toute langue. Je vois que vous êtes une croyante. Ceci est un tableau typique de la Bible, une fois de plus. Jésus avait rencontré une femme de Samarie, et Il avait su quel était son problème.
Aussi, évidemment, nous ne nous connaissons pas. Mais Dieu nous connaît tous deux. Dieu peut me révéler ce qui cloche chez vous. Croyez-vous cela ? Si–si Jésus de Nazareth me faisait savoir ce qui cloche chez vous, L’accepteriez-vous comme votre Guérisseur ? Maintenant, regardez-moi.
57. Maintenant, j’aimerais que les chrétiens qui sont ici, que tout le monde prie. C’est juste un peu l’inverse. Voyez ? Et je suis un peu dérangé à ce sujet, en effet, je peux voir que c’est–c’est différent. Je suis dérangé, il y a un… il y a des esprits partout. Voyez-vous ? Mais c’est en ordre maintenant, que tout le monde soit simplement–simplement en prière. Voyez, c’est tout ce que je vous demande, pendant que je regarde cette femme. C’est une vision, ça doit devenir une vision, vous savez cela, car je ne sais rien au sujet de la femme ; vous le savez. Et il n’y a rien que je puisse faire, je ne fais que regarder et je vois ce qu’Il peut me dire.
Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. L’Ange du Seigneur est ici maintenant. C’est pour ses yeux et aussi pour son estomac, en effet, c’est… Dites-lui que quand elle mange, je vois qu’elle souffre après avoir mangé. C’est vrai, n’est-ce pas ?
58. Elle ne peut pas me comprendre, elle ne saura donc pas. Elle a le cancer d’estomac. Voyez ? Elle ne comprendra donc pas cela. Croyez-vous maintenant qu’elle va… Dieu la guérira ? Elle se plaint beaucoup (Voyez ?), elle se plaint de… Ce que c’est, c’est–c’est le gaz qui fomente, qui remonte comme ceci et ça l’étouffe au niveau du cœur. Elle doit se relever ; souvent, elle doit se relever comme ça après avoir mangé. Voyez ? Donc, c’est–c’est là sa maladie. Voyez-vous ? Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Cette femme ne peut pas vivre longtemps si Dieu ne lui vient en aide. Soyez donc respectueux.
Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, baisse Ton regard cet après-midi, Père, Toi qui as pitié de nous tous. Et cette pauvre vieille mère grisonnante se tient ici, liée par cet ennemi ; j’implore la miséricorde divine pour elle, Seigneur, que Tu sois bienveillant envers elle et que l’ennemi la quitte. Je réprimande cet ennemi, le diable, qui cherche à lui ôter la vie ; au Nom de Jésus-Christ, sors d’elle. Allez manger tout ce que vous voulez. Que Dieu vous bénisse. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
59. Elle souffre des nerfs… Vous voyez, j’ai oublié ce que c’était. Voyez-vous ? (Maintenant, je vais essayer de la reprendre ; dites-lui de continuer à me regarder. Maintenant, saisissez ma voix. Dites-lui de me regarder, si elle)…?...
Nerveuse et vous êtes… Vous… C’est un mauvais esprit qui vous dérange, et s’il y a… Vous avez besoin du Seigneur Jésus-Christ comme votre Sauveur. Un mauvais esprit… Est-ce vrai ? (Demandez si c’est vrai.) Vous êtes tourmentée. Vous avez senti quelque chose de démoniaque autour de vous, vous éprouvez un sentiment très bizarre par moment. Elle me comprend maintenant.
Vous êtes toute bouleversée. Parfois, elle pense qu’elle perd la tête. La voyez-vous secouer la tête à mon intention ? Sous l’inspiration, j’ai vu cela une fois auparavant, dans ma vie. Vous êtes guérie, madame…?... Vous pouvez rentrer chez vous maintenant, rétablie. Que Dieu vous bénisse… Que Dieu vous bénisse. Jésus-Christ vous a sauvée et vous a aussi guérie. Au Nom de Jésus. Gloire au Seigneur.
Une femme qui parle l’indien m’a entendu parler en anglais. Elle m’a fait signe de la tête. Une fois… C’était arrivé ailleur. Il y avait une petite Espagnole qui était venue sur l’estrade, elle devait avoir un interprète. Et quand il y a eu la vision et que je lui disais ce qui n’allait pas, elle m’a compris en espagnol alors qu’elle ne connaissait même pas un seul mot anglais, et que moi, je parlais anglais, mais elle m’a compris en espagnol. Mais quand l’inspiration s’était arrêtée, elle n’entendait rien. C’est ce qui s’est passé avec cette dame-là. Elle me comprenait dans son dialecte indien, alors que moi, je parlais en anglais.
60. Eh bien, peu importe ce qui n’allait pas, évidemment, c’était une vision. Je ne me rappelle pas cela. Mais quoi que ce fût, cela l’a quittée. En effet, tout était devenu blanc autour d’elle, comme ça. Il n’y avait que cette lumière qui brillait autour d’elle, et elle était dans un…
Venez. Très bien, regardez-moi maintenant, et répétez mes paroles. Voyez, quand la vision est là, dites exactement ce que je dis, dites-le aussi vite que je–je le dis parce que, quand elle me quitte, alors je… c’est quelque chose que je dois regarder. Voyez-vous ? Et alors, dites-le à haute voix, aussi haut que vous le pouvez à son intention, ou dites simplement les paroles. Répétez-moi tout le temps. Soyez juste ma voix là-dessus. Voyez ?
61. Bonsoir. [L’interprète interprète frère Branham. – N.D.E.] Nous sommes inconnus. Vous êtes chrétien. Elle aussi m’entend. Oh ! Comprenez-vous anglais ? Oh ! eh bien, c’est… (Vous n’avez pas à répéter cela donc, à moins que ça soit pour les autres.) Très bien. Alors, si vous parlez anglais, alors c’est beaucoup plus facile pour moi. Voyez ?
Très bien. Nous sommes… Vous êtes chrétien ; en effet, votre esprit est accueillant. Maintenant, je ne sais rien à votre sujet, monsieur. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache. Et si je vous ai vu, je ne m’en souviens pas. Nous sommes deux hommes, nous nous rencontrons ici sur terre, deux chrétiens sauvés par le même Seigneur. Physiquement, il n’y a rien qui cloche en vous. Ce que vous voulez faire, vous avez un appel au ministère pour prêcher l’Evangile, et vous voulez que je vous impose vos mains… mes mains. Ô Dieu…?... bénis mon frère…?... Mon frère, alors qu’il se tient… Gloire au Dieu vivant.
62. Maintenant, le Seigneur connaît toutes choses. Il n’y a rien devant Lui qu’Il ignore en fait. Maintenant (au micro), au reste des Indiens [L’interprète interprète frère Branham une fois de plus. – N.D.E.], regardez et croyez. Vous n’avez pas à être ici sur l’estrade. Ayez simplement foi en Dieu. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Alors, regardez dans cette direction et croyez. (Faites venir cette dame.)
Bonsoir. Nous sommes… Comprenez-vous ? (Est-ce qu’elle comprend l’anglais ?) Eh bien, c’est bien gentil. Très bien. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Vous êtes chrétienne. Vous savez que vous êtes dans la Présence de Quelque Chose qui n’est pas votre frère, mais c’est quelque chose d’autre. Vous souffrez d’une–d’une maladie. N’est-ce pas vrai ? Dans le flanc. Et c’est à un endroit sur votre pied. Et c’est au pied gauche qu’il y a une tumeur. Est-ce vrai ? Allez, Jésus-Christ vous rétablira.
63. Venez. Regardez. Parlez-vous anglais ? Alors, je pourrais vous aider en tant que votre frère. Oh ! Voici celui qui a quelque chose dans le flanc. Ça fait mal, c’est une affection de rein dans le flanc. Vous avez un bien-aimé qui est aussi malade, un mari ou quelque chose comme cela, un homme souffrant de gastrite qui est assis là même. Retournez tous deux dans votre réserve, vous allez être guéris. Jésus-Christ vous guérit. Vous aussi, mon frère.
Disons : « Grâces soient rendues à Dieu. » [L’assemblée dit : « Grâces soient rendues à Dieu. » – N.D.E.] Parlez-vous anglais ? Si le Saint-Esprit parle et me dit ce qu’est votre maladie, accepterez-vous Jésus comme votre Guérisseur ? Il s’agit de votre dos. Amen. Maintenant, partez, vous êtes guéri. Jésus-Christ vous guérit. Très bien.
64. Croyez-vous le Seigneur Jésus ? Vous… Peut-être qu’elle ne parle pas anglais. Parlez-vous anglais ? Oui. Très bien. Si Jésus me dit ce qu’est votre maladie, croiriez-vous alors pour votre guérison ? Nous sommes inconnus l’un à l’autre, évidemment. Vous souffrez du cœur. N’est-ce pas vrai ?
Mais c’est… Vous pensez que c’est la maladie du cœur. Ce n’est pas la maladie du cœur. Vous souffrez le plus quand, je vois, quand vous vous couchez. C’est un étouffement ; c’est une maladie de nerfs, ça arrive à cette période de la vie où vous êtes, ça transforme la nourriture en gaz et ça fait pression sur votre cœur. Vous allez cependant vous rétablir. Jésus-Christ vous guérit. Que Dieu vous bénisse. Allez…?...
65. Très bien. Venez, madame. Nous sommes inconnus. Parlez-vous anglais ? Eh bien, très bien. Si le Seigneur Jésus va… Soyez respectueux. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Quelque chose d’étrange… Il y a une femme blanche différente d’elle, qui se tenait là à côté d’elle.
Maintenant, il y a un esprit ici, un démon qui appelle au secours. C’est ce qui se passe. C’est–c’est sur une–une femme blanche, un peu âgée, et c’est la même chose que cette femme a…?... se tient ici…?... là… Oh ! Elle est ici. Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas ? Absolument pas. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu ?
Regardez dans cette direction, madame. Toutes les deux, vous souffrez de la tuberculose. Vous souffrez de la tuberculose. Vous souffrez de la tuberculose. Ce sont ces démons qui s’appellent l’un et l’autre. Oui, madame, c’est vrai. Vous avez été amenée ici ce soir par votre fille. Et votre fille n’habite pas cette ville-ci ; elle vient du sud, et elle se dirige vers le nord à partir d’une ville qui a une grande colline avec beaucoup de cactus, c’est Tucson. Elle est venue et vous a amenée ici. Est-ce vrai ? Levez-vous et sortez de votre fauteuil roulant, de votre brancard là, et rentrez chez…?... au Nom du Seigneur Jésus. Très bien.
Parlez-vous anglais ? Vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas ? Levez la main…?... guérie… Descendez de l’estrade en vous réjouissant.
66. Venez, madame. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Parlez-vous anglais ? Parlez-vous anglais ? Croyez-vous que je suis Son serviteur ? [L’interprète interprète frère Branham. – N.D.E.] Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Elle est émue. C’est le Saint-Esprit sur elle. Ce–ce Feu est suspendu juste au-dessus d’elle. Dites-lui de rentrer chez elle, prendre son souper, la gastrite l’a quittée. Amen. Ayez foi en Dieu.
Pourquoi priez-vous, madame ? Vous venez d’accepter le Seigneur Jésus comme votre Sauveur. Vous souffrez donc des nerfs, est-ce vrai, la nervosité ? Mettez-vous debout. Jésus-Christ vous guérit.
67. Très bien, vous, assise à côté d’elle là, qu’en est-il de vous avec la main levée, la dame assise à côté d’elle, l’Indienne ? Dorothy, tenez-vous debout, Dorothy. Vous avez mal dans le flanc. Est-ce vrai ? Vous êtes guérie.
Qu’en est-il de vous à côté d’elle ? Là, mettez-vous debout. Vous avez des douleurs au cou. Est-ce vrai ? Vous êtes guéri. Rentrez chez vous, rétabli, au Nom de Jésus-Christ.
Qu’en est-il de vous, qui faites signe de main là derrière ? Croyez-vous avec votre main levée ? Vous avez une maladie à l’intérieur. Est-ce vrai ? Mettez-vous debout. Jésus-Christ vous guérit. Croyez-vous ?
Vous, assis là, vous souffrez de sinusite. Mettez-vous debout, vous assis là…?... Cette dame assise là, vous souffrez de sinusite. Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous rétablit.
Vous assise là, vous souffrez d’une maladie de femme, vous avez un désordre féminin, Jésus-Christ vous rétablit…?... Dieu vous a guéries toutes les deux. Que tout celui qui veut être guéri se lève. Le Saint-Esprit est ici. Au Nom de Jésus-Christ…