LA VOIE POURVUE PAR DIEU POUR TRAITER LE PECHE

Date: 54-0305 | La durée est de: 1 heure 18 minutes | La traduction: Shp
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1.         Bonsoir, mes amis. Je suis très content d’être ici ce soir au service du Seigneur Jésus, pour faire ce que je peux pour Son peuple. Je venais de recevoir un–un message ici me demandant quand je serai à Des Moines, dans l’Iowa.

            Ce sera en juin, et je pense que ça sera le 16, le 17 et le 18, je pense, ou quelque chose comme cela. Le 16, le 17 et le 18 juin de cette année, à Des Moines, dans l’Iowa, à la convention nationale d’une église. Je–je ne connais même pas ceux qui la parrainent. Mais on doit être à Des Moines, et à une convention. Alors, le… Tout celui qui devra y être, eh bien, j’espère vous voir là. Que le Seigneur vous bénisse. Maintenant, c’est très bien d’être ici à Phoenix, une fois de plus ce soir, pour essayer de faire tout mon possible pour la gloire de Dieu. Je prie que  Dieu bénisse et accorde infiniment, abondamment au-delà de toute mesure, au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser.

2.         Ce soir, je suis très content de  savoir que j’ai le privilège de prêcher et de parler encore à nos amis indiens. Je voulais venir… Peut-être que certains parmi eux peuvent comprendre l’anglais, ça, je ne sais pas. Mais je ne pouvais pas… Si certains parmi vous le peuvent, ou leur interprète, je voulais venir à–à San Carlos cette fois-ci si possible.

            Mais il s’est fait que le programme de mes réunions était si serré qu’il me faudra bien prendre cinq jours pour rentrer chez moi. Et le sixième jour, je dois commencer au Colisée, dans l’Ohio. Je dois donc conduire sur une distance d’environ 300 miles [482,8 km] le jour suivant pour commencer ce soir-là dans le même auditorium où monsieur Billy Graham venait de terminer une série de réunions.

            Je voulais arriver chez vous absolument, et j’espère que ce sera possible pour moi un jour. Je vous avais promis que je reviendrais, et je le ferai certainement avec l’aide de Dieu quand ça me sera possible.

3.         Beaucoup de choses sont arrivées depuis que j’étais dans la réserve indienne, à San Carlos. Y a-t-il des Indiens qui peuvent comprendre l’anglais ? Si vous le pouvez, voudriez-vous lever la main ? Y a-t-il des Indiens qui comprennent l’anglais ? Je pense que non. Peut-être qu’alors… J’en ai vu un lever la main. Oui.

Beaucoup de choses sont arrivées en ce moment-là, depuis ce temps-là. Mais je n’ai presque jamais tenu une réunion, dans toutes les régions du monde, sans parler de cette merveilleuse foi que j’avais trouvée parmi vous à San Carlos. Je n’oublierai jamais cette réunion tant que je vivrai, concernant la foi…

4.         Les Indiens ne sont pas tout à fait comme beaucoup parmi nous autres. Nous avons… Comme des êtres, nous descendons tous du même arbre, d’Adam et Eve. Et après tout, je me souviens de mon sujet, ce soir-là, chez les Indiens ; j’avais beaucoup de sympathie pour eux. Je sais ce qu’ils ressentent, je pense.

            Je me demande ce qui arriverait si notre pays nous était arraché et qu’on nous traitait comme beaucoup d’entre eux sont traités. Et je pense que si nous avons tant d’argent à envoyer à travers le monde… Eh bien, vous pouvez me condamner pour cela, pourquoi… La charité bien ordonnée commence par soi-même. Pourquoi ne pas prendre soin de nos Indiens américains au lieu d’envoyer cet argent ailleurs et laisser ces gens-là nous faire exploser cela en retour sous forme d’un grand tas de bombes et autres ? C’est vrai.

5.         Après tout, nous sommes arrivés… Les Indiens ont beaucoup de bonnes choses que–que l’homme blanc n’a pas, et une chose surtout, une chose favorite pour moi, c’est la chasse et la pêche. L’Indien est naturellement né partisan de la conservation de la nature, le meilleur au monde.

            Un homme blanc, de par sa propre nature, est un meurtrier. Il tirera tant qu’il y aura quelque chose sur quoi tirer. Il détruira ; il fera tout ce qu’il peut. Ne me dites pas le contraire. J’ai été garde-chasse pendant des années. Et je sais ce que c’est… Même certains membres des clubs de grands protecteurs de la nature et autres sont tout aussi méchants et mauvais que les autres.

            Mais un Indien prend ce qu’il lui faut. Dieu le lui donne ; tout est son pâturage. C’est comme ses brebis ou son bétail. Et j’ai certainement beaucoup de respect pour de telles gens.

6.         Ils ne parlent pas beaucoup, mais ils pensent profondément. Cependant, il y a une chose que je peux dire, ils ne sont peut-être pas bien traités suivant le système de cette nation, mais je connais Quelqu’Un qui les traite très bien : c’est Jésus-Christ. Il le fait certainement. Ils sont Son peuple, et Il les aime. Et ça s’est prouvé la dernière fois que j’étais à San Carlos. Et je crois certainement que chacun d’eux…

            Cela m’a un peu brisé quand j’ai rencontré mon jeune garçon et qu’il m’a dit… Je l’avais envoyé leur distribuer des cartes de prière. Il a dit : « Papa, il n’y en avait même pas assez pour qu’on distribue nécessairement toutes les cartes de prière. »

            J’ai dit : « Quel est le problème ? »

            On leur a facturé environ 200 dollars pour affréter un bus afin de venir ici, de pauvres gens avec une toute petite pension comme cela. Alors, ils ont simplement pris leurs malades et leurs affligés, au mieux de leur possibilité, et ils les ont envoyés là comme ça.

7.         On ne sait trop comment, je me sens petit à ce sujet. C’est vrai. Et si j’avais à reprendre cela, j’annulerais une soirée ici pour me rendre là, certainement, si j’avais à reprendre cela, pour être sûr qu’ils recevront, ou qu’ils méritent cela. Et puisse le Seigneur les bénir.

            Maintenant, ils ne m’entendent pas. Leur interprète entend cela, mais pas eux. Mais… J’aimerais parler un peu sur l’Evangile aux–aux blancs qui sont dans la salle. Et ensuite, j’aimerais parler un peu, par l’interprète, aux Indiens juste avant que je m’apprête à prier pour eux.

Et j’aimerais que vous qui appréciez nos amis indiens… Et, rappelez-vous que c’est lui le véritable Américain. C’est lui le véritable Américain. C’est l’authentique Américain. Dieu l’a placé ici ; nous, nous sommes simplement venus ici et nous les avons repoussés. C’est vrai. Ce sont eux les authentiques Américains. Nous, nous sommes des étrangers. C’est vrai.

8.         Maintenant, j’aimerais que chacun de vous, par appréciation pour ce beau pays où nous habitons et que Dieu avait donné aux Indiens, j’aimerais que chacun de vous, pendant qu’ils sont assis, frappés de maladies et tout, j’aimerais que chacun de vous offre une prière spéciale afin que Dieu bénisse et guérisse chaque Indien qui est ici, et qu’il n’y en ait pas un qui retourne faible ce soir, mais que chacun d’eux retourne rétabli. Que le Seigneur bénisse. Je suis sûr que la foi le fera.

            Maintenant, priez donc. Et j’aimerais vous parler juste un peu, à vous qui comprenez l’anglais. J’aimerais lire un passage des Ecritures et leur parler un peu, pour ceux qui parlent l’anglais, de la sorte, les autres pourront suivre par l’interprète. Mais ceci est juste un sermon, juste un très court sermon de quelques instants.

            Pensez-y donc. Nous avons encore deux soirées : le samedi et le dimanche. Et quand ce grand moment que je redoute arrivera, moment où, dans chaque réunion où j’aie jamais été, je pense, je dois dire au revoir aux gens pour les quitter et aller ailleurs. Mais il viendra un temps où nous ne dirons plus au revoir, où nous nous rencontrerons et nous ne dirons jamais : « Au revoir. »

9.         Ce soir, j’aimerais lire un passage des Ecritures. Prenons le Livre d’Esaïe, juste pour un très court sermon, ou plutôt un texte.

            Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? Il s’est élevé devant lui, comme une faible plante, comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée ; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire.

            Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.

            Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié.

            Mais Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.

            Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie ; et l’Eternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous.

            Inclinons la tête juste un instant. J’aimerais annoncer le sujet  de ce soir, c’est : La Voie pourvue par Dieu pour traiter le péché.

10.       Notre Père céleste, nous Te remercions, Toi, le Grand Auteur de ce passage des Ecritures, Toi qui, par la bouche de Ton serviteur Esaïe le prophète, nous as annoncé Sa Venue et Ses bénédictions, qu’Il serait une Lumière pour les Gentils, qu’en Son Nom les Gentils chercheraient, espéreraient. Et nous Te remercions ce soir de ce que Tes Paroles sont toutes sûres. Elles ne peuvent pas faillir.

            Et nous prions ce soir que, comme cette soirée est consacrée à nos frères et nos sœurs indiens, je Te prie, Père, de les bénir abondamment, au-delà de toute mesure. Que de grands signes et de grands prodiges soient accomplis parmi eux, de sorte que sur le chemin de retour, le Saint-Esprit soit dans ce bus, ou cette voiture, ou tout autre moyen qu’ils emprunteront. Que la gloire de Dieu soit sur eux, et qu’un réveil à l’ancienne mode éclate là à San Carlos, et que chaque Indien dans la réserve reçoive le baptême du Saint-Esprit.

11.       Que les signes et les prodiges soient accomplis là dans ces collines, et que le monde sache que Tu es Dieu, que Tu habites dans les collines ou dans les vallées. Et partout où Tu peux trouver un cœur humain dans lequel Tu peux habiter, Tu viens frayer Ta voie dans ce cœur-là.

            Père, nous Te prions maintenant de circoncire les lèvres de l’orateur, les cœurs des auditeurs, afin que nous puissions proclamer l’Evangile et L’entendre. Et puisse le Saint-Esprit prendre les choses de Dieu et les placer dans chaque cœur, selon que nous en avons besoin. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

J’étais juste un peu en avance, et nous n’aimerions pas parler longtemps, parce qu’il nous faut juste un peu de temps pour l’interprète des amis indiens.

12.       Dernier… Je l’ai annoncé il y a quelques instants : La Voie pourvue par Dieu pour traiter le péché. Dieu a une voie. Nous, nous avons une voie, mais nos voies ne sont pas celles de Dieu. Et nous ne pouvons pas suivre notre voie et celle de Dieu au même moment.

            C’est juste comme une carte routière, si je… Quand je serai comme sur le point de rentrer chez moi, je ne dirai pas : « Eh bien, alors, je place une boussole comme, peut-être… j’habite au nord-est par rapport à ici. » Eh bien, si seulement je m’engageais dans cette direction-là, je ne sortirais pas de la ville. Je… Mais il y a une voie pourvue pour moi.

            Je prends une carte routière, je vois comment les routes sont décrites, les repères, là où je dois prendre un virage à gauche, ou à droite, et ainsi de suite, suivre cette carte de près. J’atteindrai la maison par la grâce de Dieu. Eh bien, Dieu a une carte. Il a pourvu à une voie pour que nous rentrions à la Maison, dans la Gloire. Il a une voie pourvue pour le salut. Il a une voie pourvue pour la guérison divine. Il a une voie pourvue pour faire tourner le monde. Il a une voie pourvue pour l’Eglise.

13.       L’Eglise doit fonctionner avec les neuf dons spirituels, par le Saint-Esprit. Il a des dons, des signes et des prodiges dans l’Eglise. C’est ça la voie pourvue par Dieu pour perfectionner Son Eglise. Si nous essayons tout le reste (théologie, enseignement, tout le reste), cela ne marchera jamais. Cela n’a jamais marché, et cela ne marchera jamais.

Il nous faut revenir à la voie de Dieu. Dieu a une voie pour financer une église, ce n’est pas en confectionnant des couvertures et en offrant des soupers de bienfaisance, mais c’est que chaque homme paie ses dîmes et ses offrandes dans l’église, suivant la voie ordonnée par Dieu. C’est ça la voie pourvue par Dieu pour cela.

            Dieu a une voie pourvue pour qu’un homme entre dans l’église. Aujourd’hui, le moyen par lequel nous faisons entrer un homme dans l’église, c’est en lui remettant une lettre de recommandation ; on le fait entrer dans l’église par une main d’association, en lui aspergeant la tête avec une petite salière pleine d’eau, et on le fait entrer dans l’église.

14.       Ce n’est pas ça que Dieu a dit. Dieu a une voie différente de celle-là pour faire entrer les gens dans Son Eglise. Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps, par le Saint-Esprit. C’est la voie pourvue par Dieu pour faire entrer les hommes, les chrétiens dans l’Eglise, les croyants.

            La Bible dit… Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit : « Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »

            Cela doit continuer sans cesse ; tant que le Seigneur appelle, la promesse du Saint-Esprit subsiste. C’est vrai. C’est la voie pourvue par Dieu pour entrer dans l’Eglise. Et il est écrit : « Dieu ajoutait chaque jour à l’Eglise. Le Seigneur Lui-même ajoutait chaque jour à l’Eglise ceux qui étaient sauvés. »

Eh bien, le pasteur n’ajoutait jamais chaque jour, le conseil n’ajoute jamais chaque jour, mais Dieu ajoutait chaque jour ceux qui étaient sauvés. C’est la voie pourvue par Dieu. C’est ce qui a mis notre église en difficulté aujourd’hui, c’est parce que nous y avons ajouté chaque jour. Mais aujourd’hui, c’est Dieu qui doit ajouter chaque jour. Amen.

15.       Voici ce que je pense : Nous, nous ajoutons chaque jour à notre dénomination, mais Dieu ajoute chaque jour à l’Eglise des nés de nouveau. Là, c’est l’Eglise pourvue par Dieu, la voie pourvue par Dieu, le peuple pourvu par Dieu. Dieu a toujours pourvu à une voie.

Au commencement, quand Dieu dans Son… Oh ! Comme nous pouvons jeter le fondement pour ceci, si Dieu le voulait et si nous en avions le temps, que quand le soleil allait se coucher le soir, Dieu pourvoyait à la lune pour donner une lumière d’une intensité plus faible. Eh bien, la lune et le soleil, c’est parfaitement le mari et la femme (c’est vrai.), le mari et la femme.

16.       Et le… quand le soleil se couche, il va loin derrière le monde et reflète sa lumière sur la lune afin que la lune donne une lumière de faible intensité pendant la nuit. C’est juste comme Jésus, quand Il était ici sur terre ; Il est parti, Il est retourné au Ciel et Il a renvoyé le Saint-Esprit à l’Eglise qui est la Lumière, à Sa place, aujourd’hui : C’est parfait.

            Mais, rappelez-vous, la lune n’émet pas du tout de lumière. La lune ne le fait pas. C’est toujours la lumière du soleil sur la lune. Amen. C’est ce qui se passe aujourd’hui. Ce n’est pas l’Eglise. C’est le Saint-Esprit sur l’Eglise qui fait cela, non pas l’Eglise. C’est la voie pourvue par Dieu. Ce n’est pas de voir si nous pouvons avoir un million de plus en 54, ce n’est pas là notre programme. Si Dieu va ajouter chaque jour à l’Eglise ceux qui sont sauvés jusqu’à… C’est–c’est ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui. C’est ce dont nous avons besoin, retourner dans la voie de Dieu.

            C’est juste comme l’étoile du matin. Si je sors ce soir et que je reste éveillé jusqu’à l’apparition de la grande étoile du matin … Elle brillera dans le ciel un peu avant l’aurore, le matin. Je dirais : « Grande étoile du matin, qu’est-ce qui te fait briller ? Et qu’est-ce qui vous fait briller, vous toutes les étoiles ? »

            Eh bien, si elle pouvait me répondre, elle dirait : « Eh bien, Frère Branham, ce n’est pas moi qui brille ; c’est le soleil qui brille sur moi. C’est ce qui me fait briller. »

17.       Il n’y a pas longtemps, quelqu’un m’a dit–a dit : « Ne pensez-vous pas que ces gens qui crient Amen et Alléluia, et tout comme cela dans des réunions, ne pensez-vous pas qu’ils sont juste un peu emballés ? »

            J’ai dit : « Non, ils ne font que briller. C’est exact. Ce n’est pas moi qui brille ; ce n’est pas vous qui brillez ; c’est Dieu qui brille sur nous par le Saint-Esprit, vous donnant la naissance. »

            De même que l’étoile du matin reflète la lumière en l’absence de Christ, par la démonstration de Sa puissance, l’Eglise répand la Lumière dans ce temps sombre. Bientôt, l’aurore se lèvera et le Fils de la Justice se lèvera avec la guérison sous Ses ailes. Ce corps mortel revêtira l’immortalité. Nous Le verrons tel qu’Il est, et nous serons rendus semblables à  Son propre corps glorieux, et nous ne serons plus jamais malades, ou nous n’aurons plus de chagrin, ni de déception. C’est… Nous attendons le Fils.

18.       Et si vous remarquez bien, l’enseignement même de la nature… Observez la nature si vous voulez voir Dieu. Dieu dans Sa glorieuse nature. Observez, juste avant le lever du soleil, le matin… Esaïe, je pense, c’était un prophète qui, une fois, a dit : « Sentinelle, qu’en est-il de la nuit ? » Il a dit : « La–la nuit vient, le matin vient, et la nuit aussi. »

            Si vous remarquez bien, il a bien suivi l’ordre des Ecritures. Observez la première chose qui apparaît avant que la nuit tombe… Chaque fois, avant la–l’aube, il fait très sombre. Il fait toujours plus sombre juste avant l’aube. C’est parce que la lumière fait pression et condense les ténèbres. Et c’est en ce moment-là que l’étoile du matin apparaît.

            Il n’y a que ceux qui  se lèvent tôt qui voient donc l’étoile du matin. Et je pense que dans cette grande heure des ténèbres, juste avant l’aube, l’Etoile du matin a une fois de plus brillé, répandant Sa Lumière. Ceux qui se lèvent tôt, non pas ceux qui restent assis là : « Je serai sauvé l’année prochaine. Je serai sauvé la semaine prochaine. », ceux qui se lèvent et sortent, ceux-là voient l’Etoile du matin ; ils se réveillent de leur déchéance et de leur sommeil dans ce monde moderne de la théologie, et ils entrent dans les puissances du Saint-Esprit. Les richesses immuables de Dieu répandues dans notre cœur, accomplissant des signes et des prodiges. Eh bien, assurément que nous nous levons et nous Lui rendons gloire. La Glorieuse Etoile du matin, j’y pense. Et puis, quand Il viendra, nous Le verrons alors tel qu’Il est, nous aurons un corps semblable au Sien,  nous serons quittes de la maladie, de toute culpabilité, et nous serons avec Lui éternellement.

19.       Bon, nous pensions jadis à quelque chose de ce genre, l’étoile du matin reflétant la lumière. Autrefois, j’aimais me rendre à une certaine rivière, un petit… là dans les montagnes, là où on va des fois faire la pêche et la chasse.

            Je me souviens avoir été là il n’y a pas longtemps. Quand je pêchais un matin, j’avais dressé ma petite vieille tente, j’attrapais des truites. Oh ! comme j’aime faire ça ! Et un matin, je pêchais, et je–je suis arrivé, je suis revenu à ma tente, et ma tente était détruite.

            Il y avait un grand troupeau de petits ours noirs dans cette contrée. Et une  vieille mère ourse et ses petits oursons étaient entrés dans cette tente-là et l’avaient taillée en pièces. Le problème, ce n’était pas ce qu’ils mangeaient, c’était ce qu’ils détruisaient. Et alors, je–j’ai remarqué en m’approchant… Je tenais juste une petite hache en main, j’étais allé couper des buissons afin que je puisse descendre jeter ma…pêcher.

            Et j’ai remarqué la vieille mère  ourse, elle s’est un peu enfuie et elle a roucoulé. Et l’un des oursons a bondi et a fui avec elle. L’autre petit ourson, je me demandais quoi diantre il faisait. Il était simplement installé là, sa petite tête penchée comme ça. Eh bien, je me suis dit : « Eh bien, c’est un très bon gibier, ce petit animal. »

20.       Eh bien, j’ai entendu la vieille mère ourse roucouler à l’autre petit. Je me suis dit : « Eh bien, je n’aimerais pas trop m’approcher, parce qu’elle peut grimper à l’arbre aussi vite que moi. Je ne voudrais donc pas trop m’approcher d’elle. » Et… Elle était là, dehors, elle se relevait et roucoulait un peu.

            J’avais un vieux fusil déglingué qui était déposé là, mais je pensais que c’était donc mis en pièces à force d’être martelé par de pattes. Alors, je me suis dit : « Elle peut courir plus vite que moi. » Et je–je ne voulais pas qu’elle me griffe. Alors, je–j’ai continué à observer le petit ourson, et j’ai vu qu’il faisait quelque chose. Et je–je me suis demandé ce que faisait ce petit ourson. Et quand je me suis approché de là pour regarder tout autour comme ça, je me suis davantage approché tout en surveillant la mère ourse, pour voir ce que faisait ce petit ourson.

21.       Vous savez, je–j’aime les crêpes. Je ne sais pas si vous les aimez ou pas. Là dans le Sud, nous les appelons les flapjacks [les crêpes]. Et c’est très bon. Et je–j’aime mettre le miel dessus, et j’en avais tout un seau. Et je… ce petit animal aime des choses sucrées ; vous savez combien les ours aiment les choses sucrées. Il avait donc enlevé le seau, le couvercle du seau. Et j’en avais un très grand seau bien plein, car j’aime beaucoup le miel. Vous savez, je suis baptiste ; je ne les asperge pas ; je les baptise. Je déverse une bonne couche compacte dessus.

            Ainsi donc, en fait, sur… ce drôle d’ourson avait déplacé le seau de là. Il y avait flanqué sa petite patte, et puis, il léchait cela comme ça. Il était couvert de miel de la tête aux pattes. Je n’avais jamais vu tant… Et il m’a regardé, et le petit ourson, ses yeux étaient tout refermés, vous savez ; il m’a regardé. Il s’est retourné et a de nouveau enfoncé sa petite patte ; il a simplement continué à lécher le miel.

            Je me suis dit : « Il n’y a pas de condamnation pour celui qui est en Jésus-Christ. Peu importe combien c’est dangereux là, si vous léchez cela, vous ne remarquez pas cela. » C’est tout.

22.       Cela me rappelle une bonne réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, il n’y a pas de condamnation, pas du tout, les mains sont plongées dans les… jusqu’aux coudes, dans le miel de Dieu, dans la puissance de Dieu. Ce qui se passe vous importe peu. Vous continuez simplement. Ils disent : « Eh bien, je ne crois pas dans la guérison divine. » Cela ne change rien pour vous, si vous léchez du miel ou de la mélasse, continuez simplement à lécher. C’est tout. C’est ce dont nous avons besoin.

            Alors, j’ai remarqué, après qu’il en avait eu assez, que ce petit animal est parti. Et ce qu’il y avait de drôle, c’était qu’il était totalement couvert de miel, et quand il est allé là, sa maman et l’autre ourson l’ont léché. Cela m’a rappelé une réunion. Quelqu’un va à une réunion, il passe un bon moment et rentre chez lui, et les autres veulent le lécher le reste de la nuit. C’est vrai. Observez Dieu en action par Sa grande puissance dans Sa nature.

23.       Autrefois, je me rendais à une vieille source là pour boire. Et chaque fois que je buvais à cette vieille source, je remarquais que… Un jour, je me suis assis, je lui ai simplement parlé. Et, oh ! elle était tellement heureuse, elle bondissait, bouillonnait.

            J’ai dit : « Je me demande ce qui  rend cette source si heureuse tout le temps. » Je l’ai regardée et je me suis dit : « Eh bien, si tu pouvais parler, j’aurais aimé te poser quelques questions : Pourquoi es-tu si heureuse ? Es-Tu si heureuse parce que je bois de toi ? »

            Si elle pouvait parler, elle dirait : « Non. »

            Je disais : « Peut-être que tu es heureuse parce que les biches et les ours boivent de toi. »

            Elle dirait : « Non. »

            « Eh bien, qu’est-ce qui te fait bouillonner tout le  temps ? »

24.       Et si elle pouvait parler, elle dirait : « Eh bien, Frère Branham, ce n’est pas moi qui bouillonne. C’est quelque chose derrière moi qui me prêche, qui me fait bouillonner. »

            Et c’est ce qui se passe dans une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Ce ne sont pas ces cris ; c’est la puissance de Dieu qui agit en eux qui bouillonne, qui manifeste les puissances du Dieu vivant, la voie pourvue par Dieu pour fournir de l’eau, le puits artésien, jaillissant… les joies…

            Les procédés de Dieu, Il a toujours une voie pour traiter. Il a une voie aujourd’hui pour traiter avec des individus. Parfois, si vous ne voulez pas L’écouter, Il permettra au diable de vous faire quelque chose, de telle manière qu’Il peut vous prendre, vous étendre sur le dos, parfois, afin que vous soyez obligé de lever les yeux. C’est souvent là la voie pourvue par Dieu pour accomplir cela.

25.       La voie pourvue par Dieu dans le jardin d’Eden, quand l’homme avait péché… Et quand Dieu a vu que cet homme avait péché, quel horrible tableau c’était, quand l’homme s’était lui-même séparé de son Créateur ! C’est bien là la nature même de l’homme, aussitôt qu’il s’était rendu compte qu’il avait perdu sa communion avec son Créateur, au lieu de venir confesser lui-même ses torts, il a fui et s’est caché. C’est comme ça que l’homme agit toujours : au lieu de venir confesser qu’il a tort, il fuit se cacher. Et c’est ce qu’il fait toujours. L’homme, c’est simplement dans l’homme de faire ça.

            Eh bien, alors Dieu a parcouru le jardin, craint : « Adam, Adam, où es-tu ? » Ça devrait être Adam en train de crier : « Père, Père, où es-Tu ? J’aimerais venir auprès de Toi pour mettre les choses en ordre. »

26.       Mais il tenait à se cacher. Alors, il s’est confectionné un tablier en feuille de figuier, Eve et lui. Et ils se sont dit que ça marcherait. Mais quand ils en sont arrivés à la véritable confrontation… Voilà donc, quand ils ont eu à se tenir dans la Présence de Dieu, leur propre religion n’a pas marché. C’est vrai.

Ce soir, mon ami, tu peux être membre de l’une de ces belles églises d’ici, si c’est ça le genre de religion que Tu as ce soir… que toi-même tu as fabriquée. « J’observe la règle d’or. Je ne fais du mal à personne. » Cela ne subsistera pas du tout. Absolument pas. Dieu a une voie pourvue pour vous. Dieu a une voie pourvue ce soir.

            Alors, Dieu est allé tuer quelque chose, peut-être une brebis, et Il a ramené des peaux ensanglantées de brebis et Il les a jetées dans le buisson. Alors, Adam et Eve se sont enveloppés dans ces buissons–dans ces buissons et se sont eux-mêmes couverts et ils sont entrés dans la Présence de Dieu.

27.       Alors, quand Dieu a prononcé le jugement : « Puisque tu as écouté ta femme et non Dieu, Je t’ai tiré de la poussière de la terre, tu retourneras à la poussière de la terre. Eve, puisque tu as écouté le serpent plutôt que ton mari… » Ce qu’Il ferait à elle, au serpent et tout. Je peux alors voir Adam et Eve partir, la longue chevelure noire et touffue d’Adam, des larmes leur coulant sur les joues ; il s’est avancé vers Eve, le corps le plus beau ; les bras et les épaules très solides d’Adam, le sang coulait sur ses jambes en dessous de ces peaux de brebis. Et alors qu’ils étaient sur le point de partir, je peux entendre quelque chose faire [Frère Branham imite le bruit de claquement. – N.D.E.], on dirait claquer. Qu’est-ce ? C’étaient ces vieilles peaux de brebis ensanglantées qui claquaient sur la jambe d’Adam.

28.       Puis, je vois le tableau le plus dramatique de toute la Bible. Je peux voir ce Grand Dieu Jéhovah, qui remplissait tout l’espace et tout le temps. Même si le regard pouvait parcourir des siècles et des siècles, on ne verrait jamais Son commencement ni Sa fin.

            Je peux voir tout cela descendre sous la forme d’un entonnoir et former quatre petites lettres : love [l’amour]. Il ne pouvait pas supporter de voir Son fils et Sa fille s’en aller dans la disgrâce. Alors, Il a dit : « Je mettrai inimitié entre ta semence et la semence du serpent. »

            Changeons de tableau pendant quelques instants et voyons cela 4.000 ans plus tard. Tenons-nous dans la ville de Jérusalem, Dieu traite maintenant avec le péché, Sa façon de juger. Et alors, dans la ville de Jérusalem, je peux entendre quelque chose descendre, traîné dans les rues pavées,  une foule agitée criant comme une meute de loups, réclamant le sang de l’agneau. Je vois, descendant la rue, je vois un petit Homme mince et frêle, une couronne d’épines à la tête et le sang Lui coulant au visage, le sang sur toutes Ses traces…

29.       J’ai regardé, et j’ai vu partout sur Son petit habit, confectionné sans défaut, sans couture plutôt. Il y avait de petites taches sur tout Son vêtement, de petites taches rouges. Alors que jefixe le regard sur les petites taches, je vois qu’elles s’agrandissent de plus en plus. C’est quoi, ces taches ? Peu après, elles forment toutes une seule grande tache. J’entends encore quelque chose [Frère Branham fait un bruit de claquement. – N.D.E.] claquer sur la jambe du deuxième Adam.

            C’était l’Agneau pourvu par Dieu, la voie par laquelle Dieu traitait pour les pécheurs. Il s’est revêtu de la nature du corps de péché, Il est descendu ici, Il a été créé à l’image de l’homme, et Il gravissait la colline de Golgotha, là, saignant, bêlant… Oh ! Quand Il était suspendu là, entre les cieux et la terre…

30.       Quel beau tableau nous retrouvons en Eden, vite ! Quand je vois Abel chercher à trouver comment il peut trouver faveur devant Dieu… Caïn, un grand homme, un homme religieux. Il est descendu, s’est bâti une église aussi belle que votre église. Il a bâti un autel ; il a offert un sacrifice ; il a rendu hommage à Dieu.  Si tout ce que Dieu exige, c’est que vous ayez foi en Lui… Caïn n’était pas un incroyant. Caïn était un croyant. Certainement qu’il l’était.

            Caïn n’était pas seulement cela, mais il était un adorateur. Et Caïn était un authentique membre d’église. Alors, il a bâti un autel pour le Seigneur,  il s’est agenouillé devant le Seigneur et a prié. Si Dieu est juste, ce qu’en fait nous savons qu’Il est, alors, un autel, une église, un sacrifice, la foi en Dieu, si c’est tout ce que Dieu exige, Il serait injuste d’avoir condamné Caïn.

31.       Mais  Dieu a une voie à laquelle Il a pourvu, et chaque homme doit suivre cette voie qui a été pourvue. Dieu a pourvu à une voie ce soir, et vous devez la suivre. Abel l’avait suivie. Et, tenez, peut-être Caïn avait bâti l’église la plus grande et la plus jolie. Et il a placé ses lys et autres.

On approche de Pâques. Vous de Phoenix, vous irez aux services de Pâques. Tout le monde va au service de Pâques et montre son nouveau chapeau. C’est en ordre. Et ils vont là… Autrefois, je disais à l’assemblée, quand j’étais un prédicateur baptiste, je disais : « Joyeux Noël à vous. Je ne vous verrai plus jusqu’à la Noël. » A chaque Pâques… On les revoit à la Noël.

            Très bien, on change un peu les habits et on revient. C’est en ordre. Les voici venir là, c’est une disgrâce. C’est vrai. Assurément.

32.       Et les voici venir. Regardez-les. Probablement que Caïn avait placé des fleurs, des fleurs de Pâques, sur l’autel, comme vous allez le faire sur l’autel. Il y aura des dizaines de milliers de dollars, oui, jusqu’à des millions de dollars dépensés en Amérique pour des fleurs de Pâques, à mettre sur l’autel de l’église. Dieu n’a pas besoin de fleurs sur l’autel ; Il vous veut, vous, sur l’autel. L’autel n’a pas été fait pour des fleurs, il a été fait pour l’homme. C’est vrai.

            Mais vous envoyez des fleurs au lieu de vous y retrouver. C’est ce que Caïn a fait. Voyez d’où ça vient. Et voici venir Abel, sans rien de beau, rien de joli. Eh bien, je pense qu’à l’époque on n’avait pas de chanvre, probablement qu’il enroulait une branche de vigne autour du cou du petit agneau.

33.       Le voilà venir, tirant le petit agneau ; et comme cet agneau pressentait la mort, il résistait. Je me demande à quel genre de mort s’attendait ce petit agneau en venant. Il l’a placé sur une pierre, a renvoyé sa tête en arrière ; peut-être qu’il n’avait ni couteau ni lance à l’époque. Alors, il a pris juste une pierre tranchante et s’est mis à lui couper le petit cou.

Avez-vous déjà entendu un agneau mourir ? Vous entendez le cri le plus pathétique que vous ayez jamais entendu quand vous entendez un agneau mourir. De toute façon, on lui a donné un coup aux petites veines jugulaires avec cette pierre, et le sang a giclé sur sa petite laine, y a baigné ; Dieu a baissé le regard et a dit : « C’est ça. »

34.       Qu’est-ce que cela annonçait ? Cela annonçait que 4.000 ans plus tard, l’Agneau de Dieu serait suspendu au Rocher des Ages, jugé par Dieu pour l’homme pécheur, Il était suspendu là, et Sa chevelure ensanglantée faisait couler le sang sur Ses épaules, annonçant…

            Abel ne pouvait pas comprendre ce que cet agneau disait. Et Jésus, quand Il mourait, Il a parlé dans une langue inconnue : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné ? » Il était l’Agneau de Dieu mourant sur l’autel, l’Innocent pour les coupables, c’est ainsi que Dieu a traité le péché.

            Il n’y avait rien du tout que l’on puisse faire, c’est tout… Dieu avait déjà fait cela ; il vous faut l’accepter, et par la grâce du Père, croire cela. Et Dieu confirmera votre  foi en vous donnant le baptême du Saint-Esprit. C’est exact.

35.       Si vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru, il y a quelque chose qui cloche quelque part. Dieu donne le baptême du Saint-Esprit à tout le monde, à chaque croyant. C’est exact. C’est la confirmation de votre foi.

            Abraham avait cru en Dieu par la foi, exact. Mais Dieu lui a donné le sceau de la circoncision comme confirmation de sa foi. Et Ephésiens 4:30 dit : « N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption. »

            Donc, le sceau de la confirmation de votre foi, c’est le baptême du Saint-Esprit. Amen. Là, Dieu traite, Il pourvoit à une voie pour les pécheurs. Esaïe a dit qu’il était… « Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? » Il s’est élevé comme une faible plante, semblable à une brebis muette qu’on mène devant ceux qui la tondent, Il n’a point ouvert la bouche, cependant nous L’avons considéré comme puni, frappé de Dieu.

36.       Comment Dieu a dû déverser tout le jugement divin : C’était le jugement contre le péché que Jésus-Christ portait vers le Calvaire. C’était le jugement contre la maladie qui Lui avait meurtri le dos. Et là, pour payer le prix de la culpabilité, pour une race des mortels, là, Jésus-Christ est allé au Calvaire et Il a payé le prix. Et quand Son Sang a jailli de Ses veines, pendant que la terre…?... embaumé Son corps de Son Sang de juste… Et là, Il s’est écrié : « Tout est accompli. » Quoi ? Le prix du jugement a été payé. Tout ce que Dieu exigeait était entièrement payé au Calvaire. Quelle foi !

            « Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » Cela a été accompli au Calvaire pour chaque croyant qui l’acceptera comme ça, qui acceptera Christ.

37.       Je le dis souvent, Jésus-Christ, quand Il a été amené au Calvaire, je vois un artiste Le peindre sur un tableau, revêtu des habits. Frère, on Lui avait fait tout ce qu’on Lui pouvait de déshonorant. Je pense qu’on L’avait déshabillé, on L’avait battu, et on Lui avait fait tout ce qu’on pouvait faire.

            Pourquoi ? Il devait payer tout le prix pour vos péchés. Il devait payer tout le prix pour mes péchés. Mais c’est là qu’Il a vaincu la mort. C’est là qu’Il a vaincu le séjour des morts. C’est là qu’Il a vaincu la tombe. C’est là qu’Il a vaincu pour votre paix. Alléluia ! C’est là qu’Il a vaincu vos sentiments. C’est là qu’Il a en payé le prix. C’est ce que Dieu exigeait. Il a fait disparaître la bosse et–et la tache du péché. Il est souvent dit…

38.       Aujourd’hui, je me tenais là, observant un ouvrage des abeilles. Et j’observais ces abeilles, je me suis dit : « Eh bien, si jamais une abeille pique une personne, son aiguillon reste donc dans cette personne, et elle ne peut plus piquer. L’aiguillon de l’abeille est perdu. Chaque insecte qui vous pique une fois, c’en est fini pour lui, parce qu’il laisse là son aiguillon. »

            Et je vous assure, Jésus-Christ, au Calvaire, a arraché l’aiguillon de la mort et du péché, et là, nous… La maladie n’a plus de contrôle. Dieu en a déjà enduré la souffrance lors du jugement. Jésus a arraché l’aiguillon du péché. Jésus a arraché l’aiguillon de la maladie. Jésus a arraché l’aiguillon de Satan. Jésus a arraché l’aiguillon du péché, et ce soir, il est impuissant. Alléluia ! Il ne peut que bourdonner et faire beaucoup de bruit, mais il n’a plus d’aiguillon.

39.       Paul a dit : « Ô mort, où est ton aiguillon ? Ô mort, où est ta victoire ? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. » Amen.

            Prions.

            Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour avoir arraché l’aiguillon de la mort. Toi et Tes heures... Seigneur, comment l’aiguillon de la mort T’avait mordu, comment l’aiguillon de la maladie était resté dans  Ton corps. Et là, Tu as porté nos infirmités, cet aiguillon de chagrin, cet aiguillon de cancer, cet aiguillon de maladie qui T’avait piqué dans le corps… Mais Tu l’as paralysé. Alléluia ! Cela ne peut plus piquer. Quand nous entrons en Toi, Seigneur, là, nous sommes sans péché, pas par nous-mêmes, nous sommes tous des pécheurs ; mais en Toi, nous ne sommes pas des pécheurs ; nous sommes des fils et des filles de Dieu. Cet homme agité qui n’a pas de repos ni de paix ce soir, Tu as été blessé pour ses péchés et brisé pour son iniquité, et le châtiment qui lui donne la paix est tombé sur Toi. Et un homme et une femme ici ce soir qui sont si chargés de maladie, c’est par Tes meurtrissures que Tu les as guéris.

40.       Ô Eternel Fils ressuscité du Dieu vivant, viens briller sur nous ce soir avec Tes bénédictions. Et puisses-Tu confirmer Ta Présence ici, afin que tout  Ton peuple puisse, d’un commun accord, être guéri et sauvé ce soir, car nous le demandons au Nom de Jésus.

            Et, Père, ces mouchoirs qui sont ici dans cette boîte, ils vont traverser diverses régions du pays, ils iront aux malades et aux nécessiteux. Et je prie, ô Seigneur, alors que j’impose les mains sur ces mouchoirs, que Tu guérisses chacun d’eux et que Tu en tires gloire ce soir. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Excusez-moi. Il n’est pas étonnant que le poète, ainsi que chaque homme qui ait jamais abouti à quelque chose, aient chanté les louanges de Dieu. Je peux me souvenir du poète qui a dit :

Au milieu des rochers qui se fendaient et des cieux assombris ;

Mon Sauveur inclina la tête et mourut ;

Le voile déchiré révéla le chemin

Vers les célestes joies et un jour sans fin.

41.       Comment pouvez-vous vous détourner du Calvaire ? Si vous êtes malade, regardez au Calvaire. « Tournez les regards vers Moi, vous toutes les extrémités de la terre. »

Regarde et vis, mon frère, vis.

Regarde Jésus maintenant et vis.

C’est écrit dans Sa Parole, Alléluia !

Il n’y a pas que ça à regarder pour vivre.

            Si regarder au type… Le mot serpent d’airain, le serpent… Vous direz : « Le serpent représentait-il Jésus ? » Oui, le serpent représentait Jésus. Le serpent, l’airain représentait le jugement divin. L’airain était transformé en serpent, cela représentait le serpent déjà jugé. Et si regarder au type guérissait les gens, combien plus efficace sera l’antitype aujourd’hui.

            Vous pouvez regarder, comme ces gens qui regardaient le serpent d’airain et qui vivaient, à combien plus forte raison vous pouvez regarder Jésus-Christ et vivre après que tout le prix a été payé.

42.       Y a-t-il un interprète pour les amis indiens ? S’il y en a un qui peut interpréter, j’aimerais qu’il vienne à l’estrade juste un instant. J’aimerais leur parler juste un instant. S’il vous plaît, quelqu’un qui peut interpréter dans la langue des Apaches. Très bien, quelqu’un vient.

            Maintenant, combien de pécheurs ici, ce soir, veulent regarder et vivre ? Faites voir la main, ceux qui veulent dire : « Souvenez-vous de moi, frère prédicateur. Je suis un pécheur. J’ai besoin de Jésus-Christ. » Je vais prier pour vous maintenant. N’importe où aux balcons. N’importe où. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est la vérité de… Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre ? Là au balcon vers la droite : « Souvenez-vous de moi, Frère Branham, je ne suis pas encore chrétien. » Levez la main.

            Aux balcons derrière, quelque part dans la salle, levez la main pour dire : « Souvenez-vous de moi. » Que Dieu vous bénisse. Je vous vois, madame, là-bas.

43.       Ô Père céleste, Tu as vu ces mains. Je prie maintenant, alors qu’ils se rendent compte que les jugements de Dieu étaient sur Christ et que celui-ci a porté dans Son corps l’iniquité de nous tous, qu’ils puissent venir humblement et doucement maintenant même vers Lui, et qu’ils disent dans leurs cœurs : « A partir de ce soir, je servirai le Seigneur. » Accorde-le. Je Te prie de le leur accorder et de confirmer leur foi avant la fin de la réunion, par le baptême du Saint-Esprit. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ. Amen.

            Est-ce l’interprète ? Bonsoir. Parlez-vous très bien anglais ? Très bien. J’aimerais que vous vous teniez à côté de ce micro et que vous disiez exactement ce que je dis aux–aux gens, s’il vous plaît. Est-ce un autre micro ? Très bien. C’est très bien. Celui-ci suffira pour ça, c’est juste pour que nous saisissions sa voix.

44.       [Frère Branham parle et un homme interprète ses paroles aux Indiens dans l’assemblée. – N.D.E.] Mes bien-aimés amis Indiens, c’est avec un cœur plein d’amour que je viens vers vous. J’ai souvent pensé à vous, depuis que j’étais avec vous à San Carlos. J’ai parlé de votre foi à travers le monde.

Je regrette de ne pas avoir une occasion cette fois-ci d’aller à la réserve. J’ai demandé aux gens si on pouvait consacrer cette soirée pour vous tous. Que le Seigneur vous bénisse. Vous êtes les enfants de Dieu. Je suis votre frère.

            Maintenant, si vous avez lu la Bible et que vous avez entendu parler de Jésus-Christ ce soir, si Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, alors, Il est le même aujourd’hui qu’Il était autrefois. Nous avons lu à Son sujet dans la Bible, un Homme de chagrin, habitué à la souffrance. Il ne prétendait pas être un grand homme. Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il disait : « C’est Mon Père qui habite en Moi qui fait les œuvres. »

45.       Quand Il est passé près de la piscine de Béthesda, dans Jean 5, il y avait beaucoup de gens aux membres tordus et des affligés couchés là. Et Il est passé à côté d’eux. Il a trouvé un homme couché sur un–un grabat, Il lui a demandé : « Veux-tu être guéri ? » En effet, Jésus savait qu’il était  couché là et qu’il était malade depuis longtemps. Et il… Cet homme a été guéri. Et puis, Il a dépassé les autres.

            Au verset 19 du même chapitre, Il a été interrogé par les Juifs. Il a dit : « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, car ce que le Père fait, Il le montre au Fils. Le Père agit jusqu’à présent, Moi aussi J’agis. » Ainsi, Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait en vision.

46.       Nous Le voyons avec la femme au puits. Il l’a regardée, Il a dit : « Donne-moi à boire. »

            Et elle a répondu : « Le puits est profond. » La conversation a continué.

            Puis, finalement, Il a dit : « Va chercher ton mari. »

            Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »

            Il a dit : « Tu en as eu cinq. »

            Elle a dit : « Je vois que Tu es Prophète. » Et elle est entrée dans la ville en courant, disant : « Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai donc fait. » Il ne lui avait point dit tout ce qu’elle avait fait, mais Il lui a dit quel était son problème.

47.       Quand Philippe a  trouvé Nathanaël, il a dit : « Viens voir qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph. »

            Il a dit : « Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »

            Il a dit : « Viens, et vois. »

            Et quand il est entré dans la ligne de prière (Maintenant, écoutez.), Jésus a dit : « Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude. » Cela l’a étonné.

            Il a dit : « D’où me connais-Tu, Rabbi ? »

            Il a répondu : « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre. »

            Il a dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »

48.       Eh bien, si Jésus… Puis, avant de quitter la terre, Jésus a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais. »

            Eh bien, si Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il fera donc ce soir les mêmes œuvres qu’Il faisait quand Il était ici sur terre. Eh bien, Il ne guérissait pas. Il avait seulement des visions et Il faisait ce que le Père Lui montrait de faire.

            Eh bien, donc, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il accomplira la même chose ce soir, cela fera de Lui le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai ? Eh bien, s’Il vient ce soir et qu’Il reproduit cette Vie ici devant vous, Son peuple, allez-vous L’accepter comme votre Guérisseur ? Que le Seigneur vous bénisse.

49.       [Frère Branham parle sans interprète. – N.D.E.] Maintenant, nous allons appeler un certain nombre d’Indiens et leur dire d’avoir foi. Et si Jésus-Christ veut–veut parler… Je ne parle même pas votre langue, mais si Jésus-Christ montre en vision (vous pouvez le dire en vos propres termes, afin qu’ils le comprennent), si Jésus-Christ se manifeste ici dans Son serviteur et qu’Il montre des visions comme Il l’avait fait dans…?... comme Il l’avait fait devant la femme au puits, ou devant Nathanaël, ou ces œuvres, cela prouvera qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit parmi Son peuple. (Maintenant, vous savez comment mettre cela ensemble. » [L’interprète indien parle aux Indiens. – N.D.E.]

            Et vous voyez que vous ne pouvez pas comprendre la langue, mais vous sentez l’Esprit de Cela se répandre. C’est le même Saint-Esprit.

50.       Maintenant, cette photo, cette photo qui a été prise, cette Lumière qui était sur cette photo est, à mon avis, la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Trois minutes après ma naissance, Elle est entrée dans la chambre où j’étais né, dans une petite cabane en rondins. Et ce même Ange de Dieu qui avait conduit les enfants d’Israël conduit l’Eglise ce soir, le même Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voyez, vous avez vu cela arriver. Comprenez-vous cela, monsieur ? Elle a été prise… Très bien. [L’interprète parle encore. – N.D.E.] Que Dieu vous bénisse. J’aimerais qu’en partant vous emportiez ceci à votre réserve. Vous pouvez bien l’amener là et prier pour…?... Très bien.

51.       Maintenant, vous… Maintenant, je dois faire venir un certain nombre. (Voyez-vous ce que je veux dire ?), à partir de là et en prendre quelques-uns, ensuite je pourrais voir par où commencer cela, comme nous le faisons régulièrement avec une assistance régulière. Vous comprenez, la ligne de prière. Et… Maintenant, je crois qu’il leur a distribué des cartes de prière. C’est une toute petite carte et ça porte un numéro. Voyez-vous ? Faisons donc… Où est-il ? 1 à 100. Commençons vers… Eh bien, voyons, commençons par 35.

Demandez qui a… Dites-leur de regarder leurs cartes de prière pour voir qui a le numéro 35, au verso, numéro 35. [L’interprète parle. – N.D.E.] Dites-leur de lever la main. Eh bien, dites à cette femme de venir ici. Maintenant, dites-leur : 36, 37, 38, 39, 40. Ce sont les mêmes mots ? Les mêmes mots que…?... 40… Très bien. 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50.

52.       Bon, combien dans la salle n’ont pas de cartes de prière ? Je veux dire parmi ceux–ceux qui parlent anglais ici. Combien parmi vous n’ont pas reçu des cartes de prière et veulent cependant que Dieu les guérisse ? Faites voir vos mains partout. Voyez, voyez ? Très bien. (Demandez aux Indiens ici, s’il vous plaît, frère, demandez-leur combien ici aimeraient être guéris ? Pas avec… Là même où ils sont, demandez-leur s’ils veulent être guéris. Dites, si vous voulez être guéris, levez simplement la main). [L’interprète parle. – N.D.E.]

            Vous pouvez éprouver le sentiment des gens. Voyez ? Nous sommes tous… Ce n’est pas nous qui constituons notre gouvernement ; nous en sommes juste une partie comme vous. Mais nous avons tous de l’amour et de la sympathie. Vous comprenez ce que je dis, car vous parlez anglais.

53.       Maintenant, j’aimerais que tout le monde soit aussi respectueux que possible. Et sœur, doucement, s’il vous plaît, Crois seulement, juste pendant quelques instants, s’il vous plaît. J’ai… Combien pouvez-vous en prendre encore ? Ils sont bien alignés là maintenant. Maintenant, tous les–les Blancs qui sont ici comprennent que nous sommes–que nous sommes… comment nous conduisons nos réunions.

            Eh bien, évidemment, je suis… ne peux pas dire… nous Consacrons cela aux amis indiens. Mais l’Ange du Seigneur, quand Il viendra, Il viendra sur n’importe qui. Voyez-vous ? Alors, vous–vous… simplement–simplement n’importe où que ça se trouve. Maintenant, soyez en prière et ayez foi ; et croyez de tout votre cœur que le Seigneur Jésus vous accordera les bénédictions de Dieu ce soir. Maintenant, doucement, s’il vous plaît, là.

Crois seulement (A ce micro…?... Très bien.)

Tout est possible…

Crois seulement,

Tout est possible,

… seulement.

            Est-ce vous là frère ? Enchanté de faire votre connaissance, frère.

54.       Maintenant, ce soir, faisons… que tout le monde soit donc calme. Et maintenant, laissez le Saint-Esprit se mouvoir. Et gardez vos enfants près de vous, parce que des maladies sont parmi les Indiens tout autant que parmi les autres peuples. Et ce sont les mêmes maladies ; les mêmes démons qui possèdent les Indiens possèdent les autres. Et nous trouvons cela dans toutes les nations, partout où nous trouvons la même action.

            Ici même, quelqu’un… ces gens, cet homme qui parlait, vous pouvez dire que c’était un chrétien et que le Saint-Esprit se mouvait. Vous ne pouvez pas comprendre (voyez ?), mais vous saviez que c’était un chrétien. Il est votre frère. Voyez ? Cela nous unit. Voyez ?

55.       Eh bien, je ne suis pas responsable des critiqueurs. Je ne suis pas… Je ne serai pas responsable, car les maladies vont d’une personne à l’autre. Et beaucoup parmi vous ici savent ce qui se passe souvent dans des réunions. Et beaucoup de gens ne sont plus ici sur terre ce soir à cause du manque de respect, beaucoup parmi eux sont dans des asiles de fous et tout à cause du manque de respect.

            Eh bien, vous comprenez que je–je ne parle pas un seul mot de leur dialecte. Et le seul moyen au monde pour moi de le savoir, c’est par une vision. Maintenant, la vision, peut-être, je ne parle pas leur langue, mais par la vision, on voit exactement la même chose. Voyez ? Peu importe ce que c’était, si ce sont des êtres, quoi que ce soit, c’est une vision. Cela montre exactement la même chose. Cela ira vers eux tout comme ça le fait pour n’importe qui.

56.       Maintenant, je… Frère Brown, veuillez venir ici, j’aimerais que vous… Utilisez ce microphone et je parlerai juste… vous… Voyons, maintenant, peut-être que je ferais mieux… Peut-être que je ferais mieux d’utiliser ce micro ici et laisser le frère avoir… Non, ça ne marchera toujours pas. Comment avions-nous procédé en Afrique ? Je pense que c’est comme ça que nous nous étions pris. Oui.

            Eh bien, dites-lui de me regarder maintenant, à cette–cette femme ici. Maintenant, interprétez mes paroles. [Le frère interprète frère Branham pendant qu’il parle à la patiente. – N.D.E.] Bonsoir. Evidemment, je ne parle pas votre langue, mais cependant le Seigneur comprend toute langue. Je vois que vous êtes une croyante. Ceci est un tableau typique de la Bible, une fois de plus. Jésus avait rencontré une femme de Samarie, et Il avait su quel était son problème.

            Aussi, évidemment, nous ne nous connaissons pas. Mais Dieu nous connaît tous deux. Dieu peut me révéler ce qui cloche chez vous. Croyez-vous cela ? Si–si Jésus de Nazareth me faisait savoir ce qui cloche chez vous, L’accepteriez-vous comme votre Guérisseur ? Maintenant, regardez-moi.

57.       Maintenant, j’aimerais que les chrétiens qui sont ici, que tout le monde prie. C’est juste un peu l’inverse. Voyez ? Et je suis un peu dérangé à ce sujet, en effet, je peux voir que c’est–c’est différent. Je suis dérangé, il y a un… il y a des esprits partout. Voyez-vous ? Mais c’est en ordre maintenant, que tout le monde soit simplement–simplement en prière. Voyez, c’est tout ce que je vous demande, pendant que je regarde cette femme. C’est une vision, ça doit devenir une vision, vous savez cela, car je ne sais rien au sujet de la femme ; vous le savez. Et il n’y a rien que je puisse faire, je ne fais que regarder et je vois ce qu’Il peut me dire.

            Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. L’Ange du Seigneur est ici maintenant. C’est pour ses yeux et aussi pour son estomac, en effet, c’est… Dites-lui que quand elle mange, je vois qu’elle souffre après avoir mangé. C’est vrai, n’est-ce pas ?

58.       Elle ne peut pas me comprendre, elle ne saura donc pas. Elle a le cancer d’estomac. Voyez ? Elle ne comprendra donc pas cela. Croyez-vous maintenant qu’elle va… Dieu la guérira ? Elle se plaint beaucoup (Voyez ?), elle se plaint de… Ce que c’est, c’est–c’est le gaz qui fomente, qui remonte comme ceci et ça l’étouffe au niveau du cœur. Elle doit se relever ; souvent, elle doit se relever comme ça après avoir mangé. Voyez ? Donc, c’est–c’est là sa maladie. Voyez-vous ? Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Cette femme ne peut pas vivre longtemps si Dieu ne lui vient en aide. Soyez donc respectueux.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, baisse Ton regard cet après-midi, Père, Toi qui as pitié de nous tous. Et cette pauvre vieille mère grisonnante se tient ici, liée par cet ennemi ; j’implore la miséricorde divine pour elle, Seigneur, que Tu sois bienveillant envers elle et que l’ennemi la quitte. Je réprimande cet ennemi, le diable, qui cherche à lui ôter la vie ; au Nom de Jésus-Christ, sors d’elle. Allez manger tout ce que vous voulez. Que Dieu vous bénisse. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

59.       Elle souffre des nerfs… Vous voyez, j’ai oublié ce que c’était. Voyez-vous ? (Maintenant, je vais essayer de la reprendre ; dites-lui de continuer à me regarder. Maintenant, saisissez ma voix. Dites-lui de me regarder, si elle)…?...

            Nerveuse et vous êtes… Vous… C’est un mauvais esprit qui vous dérange, et s’il y a… Vous avez besoin du Seigneur Jésus-Christ comme votre Sauveur. Un mauvais esprit… Est-ce vrai ? (Demandez si c’est vrai.) Vous êtes tourmentée. Vous avez senti quelque chose de démoniaque autour de vous, vous éprouvez un sentiment très bizarre par moment. Elle me comprend maintenant.

            Vous êtes toute bouleversée. Parfois, elle pense qu’elle perd la tête. La voyez-vous secouer la tête à mon intention ? Sous l’inspiration, j’ai vu cela une fois auparavant, dans ma vie. Vous êtes guérie, madame…?... Vous pouvez rentrer chez vous maintenant, rétablie. Que Dieu vous bénisse… Que Dieu vous bénisse. Jésus-Christ vous a sauvée et vous a aussi guérie. Au Nom de Jésus. Gloire au Seigneur.

            Une femme qui parle l’indien m’a entendu parler en anglais. Elle m’a fait signe de la tête. Une fois… C’était arrivé ailleur. Il y avait une petite Espagnole qui était venue sur l’estrade, elle devait avoir un interprète. Et quand il y a eu la vision et que je lui disais ce qui n’allait pas, elle m’a compris en espagnol alors qu’elle ne connaissait même pas un seul mot anglais, et que moi, je parlais anglais, mais elle m’a compris en espagnol. Mais quand l’inspiration s’était arrêtée, elle n’entendait rien. C’est ce qui s’est passé avec cette dame-là. Elle me comprenait dans son dialecte indien, alors que moi, je parlais en anglais.

60.       Eh bien,  peu importe ce qui n’allait pas, évidemment, c’était une vision. Je ne me rappelle pas cela. Mais quoi que ce fût, cela l’a quittée. En effet, tout était devenu blanc autour d’elle, comme ça. Il n’y avait que cette lumière qui brillait autour d’elle, et elle était dans un…

            Venez. Très bien, regardez-moi maintenant, et répétez mes paroles. Voyez, quand la vision est là, dites exactement ce que je dis, dites-le aussi vite que je–je le dis parce que, quand elle me quitte, alors je… c’est quelque chose que je dois regarder. Voyez-vous ? Et alors, dites-le à haute voix, aussi haut que vous le pouvez à son intention, ou dites simplement les paroles. Répétez-moi tout le temps. Soyez juste ma voix là-dessus. Voyez ?

61.       Bonsoir. [L’interprète interprète frère Branham. – N.D.E.] Nous sommes inconnus. Vous êtes chrétien. Elle aussi m’entend. Oh ! Comprenez-vous anglais ? Oh ! eh bien, c’est… (Vous n’avez pas à répéter cela donc, à moins que ça soit pour les autres.) Très bien. Alors, si vous parlez anglais, alors c’est beaucoup plus facile pour moi. Voyez ?

            Très bien. Nous sommes… Vous êtes chrétien ; en effet, votre esprit est accueillant. Maintenant, je ne sais rien à votre sujet, monsieur. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache. Et si je vous ai vu, je ne m’en souviens pas. Nous sommes deux hommes, nous nous rencontrons ici sur terre, deux chrétiens sauvés par le même Seigneur. Physiquement, il n’y a rien qui cloche en vous. Ce que vous voulez faire, vous avez un appel au ministère pour prêcher l’Evangile, et vous voulez que je vous impose vos mains… mes mains. Ô Dieu…?... bénis mon frère…?... Mon frère, alors qu’il se tient… Gloire au Dieu vivant.

62.       Maintenant, le Seigneur connaît toutes choses. Il n’y a rien devant Lui qu’Il ignore en fait. Maintenant (au micro), au reste des Indiens [L’interprète interprète frère Branham une fois de plus. – N.D.E.], regardez et croyez. Vous n’avez pas à être ici sur l’estrade. Ayez simplement foi en Dieu. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Alors, regardez dans cette direction et croyez. (Faites venir cette dame.)

            Bonsoir. Nous sommes… Comprenez-vous ? (Est-ce qu’elle comprend l’anglais ?) Eh bien, c’est bien gentil. Très bien. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Vous êtes chrétienne. Vous savez que vous êtes dans la Présence de Quelque Chose qui n’est pas votre frère, mais c’est quelque chose d’autre. Vous souffrez d’une–d’une maladie. N’est-ce pas vrai ? Dans le flanc. Et c’est à un endroit sur votre pied. Et c’est au pied gauche qu’il y a une tumeur. Est-ce vrai ? Allez, Jésus-Christ vous rétablira.

63.       Venez. Regardez. Parlez-vous anglais ? Alors, je pourrais vous aider en tant que votre frère. Oh ! Voici celui qui a quelque chose dans le flanc. Ça fait mal, c’est une affection de rein dans le flanc. Vous avez un bien-aimé qui est aussi malade, un mari ou quelque chose comme cela, un homme souffrant de gastrite qui est assis là même. Retournez tous deux dans votre réserve, vous allez être guéris. Jésus-Christ vous guérit. Vous aussi, mon frère.

Disons : « Grâces soient rendues à Dieu. » [L’assemblée dit : « Grâces soient rendues à Dieu. » – N.D.E.] Parlez-vous anglais ?  Si le Saint-Esprit parle et me dit ce qu’est votre maladie, accepterez-vous Jésus comme votre Guérisseur ? Il s’agit de votre dos. Amen. Maintenant, partez, vous êtes guéri. Jésus-Christ vous guérit. Très bien.

64.       Croyez-vous le Seigneur Jésus ? Vous… Peut-être qu’elle ne parle pas anglais. Parlez-vous anglais ? Oui. Très bien. Si Jésus me dit ce qu’est votre maladie, croiriez-vous alors pour votre guérison ? Nous sommes inconnus l’un à l’autre, évidemment. Vous souffrez du cœur. N’est-ce pas vrai ?

Mais c’est… Vous pensez que c’est la maladie du cœur. Ce n’est pas la maladie du cœur. Vous souffrez le plus quand, je vois, quand vous vous couchez. C’est un étouffement ; c’est une maladie de nerfs, ça arrive à cette période de la vie où vous êtes, ça transforme la nourriture en gaz et ça fait pression sur votre cœur. Vous allez cependant vous rétablir. Jésus-Christ vous guérit. Que Dieu vous bénisse. Allez…?...

65.       Très bien. Venez, madame. Nous sommes inconnus. Parlez-vous anglais ? Eh bien, très bien. Si le Seigneur Jésus va… Soyez respectueux. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Quelque chose d’étrange… Il y a une femme blanche différente d’elle, qui se tenait là à côté d’elle.

            Maintenant, il y a un esprit ici, un démon qui appelle au secours. C’est ce qui se passe. C’est–c’est sur une–une femme blanche, un peu âgée, et c’est la même chose que cette femme a…?... se tient ici…?... là… Oh ! Elle est ici. Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas ? Absolument pas. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu ?

            Regardez dans cette direction, madame. Toutes les deux, vous souffrez de la tuberculose. Vous souffrez de la tuberculose. Vous souffrez de la tuberculose. Ce sont ces démons qui s’appellent l’un et l’autre. Oui, madame, c’est vrai. Vous avez été amenée ici ce soir par votre fille. Et votre fille n’habite pas cette ville-ci ; elle vient du sud, et elle se dirige vers le nord à partir d’une ville qui a une grande colline avec beaucoup de cactus, c’est Tucson. Elle est venue et vous a amenée ici. Est-ce vrai ? Levez-vous et sortez de votre fauteuil roulant, de votre brancard là, et rentrez chez…?... au Nom du Seigneur Jésus. Très bien.

            Parlez-vous anglais ? Vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas ? Levez la main…?... guérie… Descendez de l’estrade en vous réjouissant.

66.       Venez, madame. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Parlez-vous anglais ? Parlez-vous anglais ? Croyez-vous que je suis Son serviteur ? [L’interprète interprète frère Branham. – N.D.E.] Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Elle est émue. C’est le Saint-Esprit sur elle. Ce–ce Feu est suspendu juste au-dessus d’elle. Dites-lui de rentrer chez elle, prendre son souper, la gastrite l’a quittée. Amen. Ayez foi en Dieu.

            Pourquoi priez-vous, madame ? Vous venez d’accepter le Seigneur Jésus comme votre Sauveur. Vous souffrez donc des nerfs, est-ce vrai, la nervosité ? Mettez-vous debout. Jésus-Christ vous guérit.

67.       Très bien, vous, assise à côté d’elle là, qu’en est-il de vous avec la main levée, la dame assise à côté d’elle, l’Indienne ? Dorothy, tenez-vous debout, Dorothy. Vous avez mal dans le flanc. Est-ce vrai ? Vous êtes guérie.

            Qu’en est-il de vous à côté d’elle ? Là, mettez-vous debout. Vous avez des douleurs au cou. Est-ce vrai ? Vous êtes guéri. Rentrez chez vous, rétabli, au Nom de Jésus-Christ.

            Qu’en est-il de vous, qui faites signe de main là derrière ? Croyez-vous avec votre main levée ? Vous avez une maladie à l’intérieur. Est-ce vrai ? Mettez-vous debout. Jésus-Christ vous guérit. Croyez-vous ?

            Vous, assis là, vous souffrez de sinusite. Mettez-vous debout, vous assis là…?... Cette dame assise là, vous souffrez de sinusite. Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous rétablit.

            Vous assise là, vous souffrez d’une maladie de femme, vous avez un désordre féminin, Jésus-Christ vous rétablit…?... Dieu vous a guéries toutes les deux. Que tout celui qui veut être guéri se lève. Le Saint-Esprit est ici. Au Nom de Jésus-Christ…

E-1 Good evening, friends. Very happy to be here tonight in the service of the Lord Jesus, to do what I can for His people. I've just received a--a message here, said, "When will I be in Des Moines, Iowa?
That's in June, and I think it's the sixteenth, seventeenth, and eighteenth, I believe it is, or something like that. Sixteenth, seventeenth, and eighteenth of June, this year in Des Moines, Iowa, in the national convention of some church. I--I don't even know what sponsors is behind it. But it's to be in Des Moines and at some convention. So the... Ever who is to be there, why, I hope to get to see you there. The Lord bless you.
Now, it's very good to here in Phoenix again tonight, to try to do all that I know how to do for God's glory, praying that God will bless and give the exceedingly, abundantly above all that we could do or think.

E-2 I'm so happy tonight to know that I have the privilege of preaching, and talking again, to our Indian friends. I wanted to come... Maybe some of them can understand English, that I do not know. But I could not... If any of you can, or the interpreter for them, I wanted to come to--to San Carlos this time if I possible could.
But it was so that my meetings were so scheduled so close together, I'm just going to have to take me five days to get back home. And on the sixth day I have to begin at the coliseum in Ohio. So I have to drive round three hundred miles the next day and begin that night in the same auditorium where Mr. Billy Graham just left in a meeting there.
So I would love to have got with you, and I hope that I can sometime. I promised you that I would return, and I certainly will do it by God's help, when I possibly can.

E-3 Many things has happened since I was on the reservation at San Carlos. Is there any of the Indians can understand English? If you would, would you raise your hand? Do any of the Indians that understand English? I suppose not. Maybe then... I seen one raise. Yes.
Many things has happened at that time, since that time. But there hardly hasn't been a meeting that I've ever had, that is of all parts of the world, of what I've spoke of the fine faith that I found in San Carlos among you people. I shall never forget that meeting as long as I live, of the faith...

E-4 The Indian people are not exactly like many of us other people. We've... As far as beings, we're all off the same tree, Adam and Eve. And after all, I remember my subject that night to the Indians, that I was very much in sympathy with them. I know how they feel, I think I do.
I think what if our country was taken, and we was treated the way that many of them's been treated... And I think if we got so much money to send around over the world... Now, you may condemn me for this of why... Charity begins at home. Why not take care of our American Indians, instead of sending it over somewhere, and letting them blow it back at us with a big bunch of bombs and things. That's right.

E-5 After all, we come in... There's many fine things about the Indian that--that the white man doesn't have, and especially one thing, my favorite thing, in hunting and fishing. He's a natural born conservationist, the best in the world.
A white man in his own nature's a murder. He will shoot as long as there's something to shoot at. He will destroy; he will do everything he can. Don't tell me. I've been a game warden for years. And I know what it is... Even some of the very in the conservationist clubs and things are just as wicked and bad as the rest of them.
But a Indian takes what he has to have. God give it to him; the whole thing's his pasture. That's like his sheep or his cattle. And I certainly have a great respect for those people.

E-6 Don't say much, but think deep. But there's one thing that I can say, they may not have get--got a good deal in this settling up of the nation, but I know Somebody Who gives them the right deal: that's Jesus Christ. He certainly does. They're His people, and He loves them. And that was proven the last time that I was at San Carlos. And I certainly trust that every one of them...
Kinda broke me down when I met my boy, and he said... I sent him down to give them out prayer cards. He said, "Daddy, there wasn't even enough to have to give out all the prayer cards to."
I said, "What was the matter?"
They charged them about two hundred dollars to charter a bus to come down here, poor people with a little bitty pension like that. So they just got up their sick and afflicted, best they could and sent them down like that.

E-7 Somehow or another I feel little about that. True. If I had it to do over again, I'd cancel out one night here and go up there, certainly would, if I had it to do over again, and to be sure that they got, or the deserving of it. And may the Lord bless them.
Now, they're not hearing me. Their interpreter is hearing it, but they're not. But... And I want to speak a little bit from the Gospel to the--the white people in the building. And then I want to talk just a little bit by the interpreter to the Indians just before I get ready to pray for them.
And I want you people who's appreciative of our Indian friends... And remember, that that is the real American. That's the real American. That's the God-given American. God put them here; we just come in and pushed them back. That's right. They are the God-given people of America. We are the aliens. That's right.

E-8 Now, I want every one of you in appreciate of this beautiful land that we live in, that God gave to the Indians... I want every one of you, while they're sitting with sickness and everything. I want each one of you to especially pray tonight, that God will bless and heal every Indian that's here, and may not one feeble one go back tonight, but every one of them go back and be made well. Lord bless. I'm sure faith will do that.
Now, you just pray. And I want to speak just a little bit to you who understand English. I want to read some of the Scripture and speak a little bit for them, for the--the English speaking people, so that the others can hear by the interpreter. But this is just a sermon, just a little sermonette for a few moments.
Think of it now. We got two more nights: Saturday and Sunday. And when that great time comes that I hate to see in every meeting that I've ever had, I believe, is the thing I have to say farewell to the people to leave for somewhere else. But there's coming a time where we won't say farewell no more, where we'll meet and never say, "good bye."

E-9 In the Book of Isaiah tonight, for just a little short sermonette, or text, rather, I want to read some of the Scriptures.
Who has believed our report?... to whom is the arm of the LORD revealed?
For he shall grow up before Him as a tender plant, and as a root out of dry ground: He has no form or comeliness; and when we shall see Him, there's no beauty that we should desire Him.
He is despised and rejected of men; a man of sorrow acquainted with grief: and we hid as it were our faces from Him; and He was despised, and we esteemed Him not.
Surely He has born our griefs, and carried our sorrows: yet we did esteem Him stricken, smitten of God and afflicted.
But He was wounded for our transgressions,... bruised for our iniquity: the chastisement of our peace was upon Him; and with His stripes we were healed.
All we like sheep have gone astray; and we have turned every one to his own way; and the LORD laid on Him the iniquity of us all.
Shall we bow our heads just a moment. Like to say for a text tonight is: God's Provided Way Of Dealing With Sin.

E-10 Our heavenly Father, we thank Thee, the great Author of this Scripture, Who by the mouth of Thy servant Isaiah, the prophet, foretold us of His coming and of His blessings, and how He would be a Light to the Gentiles, and how that in His Name would the Gentiles seek, trust. And we thank Thee tonight, that Thy Words are all sure. They cannot fail.
And we pray tonight, that as this being a night set aside for our Indian brothers and sisters, I pray, Father, that You'll bless them exceedingly, abundantly. May great signs and wonders be wrought among them, that when they go back across that trail tonight, may the Holy Spirit be in that bus, or car, or whatever they're in. May the glory of God be upon them, and may an old- fashion revival break out up there at San Carlos, and every Indian on the reservation receive the baptism of the Holy Spirit.

E-11 May signs and wonders be done there in those hills, and let the world know that You're a God Who dwells in the hills or in the valleys. And wherever You can find the human heart that You can dwell in, You come pressing Your way into that heart.
Father, we pray now that You'll circumcise the lips of the speaker, the hearts of the hearer, that we might speak and hear the Gospel. And may the Holy Spirit take the things of God and place them into every heart, just where we have need of them. For we ask it in Jesus' Name. Amen.
I was just a little early, and we don't want to speak long because we want just a little time for the interpreter for the Indian friends.

E-12 Last... I announced a few moments ago: "God's Provided Way Of Dealing With Sin." God has a way. We have a way, but our ways are not God's ways. And we can't be in our way and God's way at the same time.
Just like a road map if I... When I get ready to go home, I don't say, "Well, now, I set a compass that, perhaps, I live directly east, and north, from here." Well, if I just took out in that direction, I wouldn't get out of the city. I... But there's been a provided way made for me.
I get a road map, see which way the road turns, the mark, where I turn to the left, or to the right, and so forth, and follow that map closely. I'll make my way home by the grace of God. Well, God has a map. He has a provided way for us to go home to glory. He has a provided way for salvation. He has a provided way for Divine healing. He has a provided way for the world to be operated. He has a provided way for the Church.

E-13 The Church is to be operated by nine spiritual gifts, by the Holy Spirit. He has gifts, signs, and wonders in the Church. That's God's provided way of perfecting His Church. We try anything else: theology, teaching, anything else, it'll never work. It never did, and it never will.
We've got to come back to God's way. God has a way to support a Church, not making blankets and having soup suppers, but every man paying his tithes and offerings into the church, doing the way God said do. That's God's provided way for that.
God's got a provided way for a man to come into the Church. Today the way we bring men into the church, is give him a letter, bring him into the church, the right hand of fellowship, sprinkle a little salt shaker full of water on top of his head, and bring him into the church.

E-14 That's not what God said. God's got a different way from that to bring the people into His Church. By one Spirit, we're all baptized into one Body, by the Holy Spirit. God's provided way of bringing men, Christians into the Church, believers.
The Bible said... Peter said on the day of Pentecost, "Repent, every one of one and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost. For the promise is unto you, and your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call."
That must continue on; as long as the Lord was calling, God still promised the Holy Ghost. That's right. That's God's provided way of coming into the Church. And he said, "God added to the church daily. The Lord, Himself, added to the church daily, such as would be saved."
Now, the pastor never added daily; the board never add daily; but God added daily such as would be saved. That's God's provided way. That's what's got our church in trouble today, is because we've been adding daily. But now, God has to add daily. Amen.

E-15 I think this: We add daily to our denomination, but God adds daily to the Church of the new born. That's God's provided Church, God's provided way, God's provided people. God has always provided a way.
In the beginning, when God in His... Oh, how we could base this back, if God was willing, and we had the time, of when the sun went down at night, God provided a moon to give a lesser light. Now, the moon and the sun are perfectly husband and wife (That's right.), husband and wife.

E-16 And the--when the sun goes down, it goes a way behind the world, and reflects its light over on the moon that the moon gives a lesser light by night. Just as Jesus when He was here on earth, He went away, went back up into the heavens, and reflects back the Holy Ghost on the Church which is the Light in His place today: perfectly.
But remember, the moon don't give any light at all. The moon doesn't. That's still the sunlight on the moon. Amen. That's what it is today. It's not the Church. It's the Holy Ghost on the Church that does it, not the Church. That's God's provided way. Not to see if we can have a million more in fifty-four, that isn't our program. If God will add daily to the Church such as will be saved until. That's--that's what the Church needs today. That's what we need today. That's what we need to get back in God's way.
It's just as a morning star. If I go out tonight, and would stay up till the great morning star is... Will be shining in the skies a little before day in the morning. I'd say, "Great morning star, what makes you shine? And what makes all you stars shine?"
Well, if he could speak back to me he'd say, "Why, Brother Branham, it's not me shining; it's the sun shining on me. That's what makes me shine."

E-17 Someone said to me not long ago, said, "Don't you think those people that holler, 'Amen,' and 'Hallelujah,' and all like that in the meeting, don't you think they're just a little excited?"
I said, "No, they're just shining. That's right. It's not me that's shining; it's not you that's shining; it's God shining on us in the Holy Spirit, giving you birth."
As the morning star's reflecting the light of the absent Christ by His power and demonstration, the Church sheds forth the Light in this dark time. Soon daylight will come and the Son of Righteous will rise with healing in His wings. This mortal will take on immortality. We'll see Him as He is, and be made like unto His own glorious body, and shall never be sick, or a heartache, or a disappointment. That's... We're waiting for the Son.

E-18 And if you notice, the very teaching of nature... Watch nature if you want to see God. God in His great nature. You watch, just before the sun come up of the morning... Isaiah, I believe it was the prophet one time; he said, "Watchmen, what of the night?" He said, "The--the night cometh, and the morning cometh, and the night also."
If you notice he was just Scripturally in order. Watch. The first thing come, before the night come... Always before the--the daylight it's the darkest. It's always darkest just before the break of day. It's because the light is a pressing, and condensing the darkness. And that is at that time that the morning star comes out.
It's only the early risers that ever sees the morning star. And I think in this great hour of darkness just before the break of day, the Morning Star has shined again, spreading forth itself. The early risers who are rising, not setting back, "I'll get saved next year. I'll get saved next week."
Them who rises and comes out sees the morning star, rising out of your stoop and sleep of this modern world, theology, and moving into the powers of the Holy Ghost, the unchangeable riches of God spread forth in our heart, showing signs and wonders. Why, sure we rise and give Him glory. The great morning star, I think of that. And then when He comes, then we shall see Him as He is, have a body like His, be free from sickness, and all guilt, and be with Him forever.

E-19 Now, we one time was thinking about something on the order, the morning star reflecting the light. I used to like to go to a certain stream, a little--up in the mountains, where you go sometimes to fish and to hunt.
I remember being up there, here not long ago, when I was fishing one morning, had my little old tent set up, was catching trout. How I love to do that. And I was fishing one morning, and I--I come along and come back to my tent, and my tent was tore down.
There was a big bunch of little old black bears in that country. And an old mother bear, and her little cubs, had got into that tent, and they had tore it to pieces. It wasn't what they eat; it was what they tore up. And so I--I noticed when I come up... I just had a little chopping axe in my hand; I'd been cutting some bushes so I could get down and throw my... to fish.
And I noticed the old mother bear; she run off a little piece, and cooed. One of the cubs jumped up and run with her. The other little fellow, I wondered what in the world he was doing. He was just sitting there with his little head down like that. Now, I thought, "Well, he's a pretty game little fellow."

E-20 Well, I heard the old mother bear cooing to the other one. I thought, "Well, I don't want to get too close, because she can climb a tree as good as I can. So I don't want to get too close on her." And... She was out there, and she'd raise up and coo a little bit.
I had an old beat up rifle laying in there, but I guess it was stomped to pieces by that time. So I thought, "She could outrun me." And I--I didn't want to get scratched by her. So I--I kept watching the little cub, and I was noticing he was doing something. And I--I wondered what that little fellow was doing. And when I got over there, to find out around like this, moved around closely, and watching the old mother, and to notice what the little bear was doing...

E-21 You know, I--I like pancakes. I don't know whether you do or not. Down in the south, we call them flapjacks. And they're really good. And I--I like to put molasses on them. And I had me a bucket of molasses. And I... That little fellow liking sweets, you know how bears like sweets. So he'd got the bucket, the lid off the bucket. I had a nice big full bucket, 'cause I like plenty molasses. You know, I'm a Baptist; I don't sprinkle them; I baptize them. I pour it on good and heavy.
So then, really on... This little old bear got the bucket off of there. He'd sock his little foot down in, and then lick it like that. He was molasses from the top of his head to the bottom of his feet. I never seen so much... And he looked around at me, and the little fellows, his eyes all stuck together, you know; he looked at me. He turned back around, stuck his little paw down again, just kept licking molasses.
I thought, "There's no condemnation to them that's in Christ Jesus. No matter how much danger is around, if you're licking it, you don't notice it." That's all.

E-22 Put me in the mind of a good old fashion Holy Ghost meeting, no condemnation at all, hands plumb down to the--up to your elbows in the honey of God, in the power of God. You don't care what's going on. You just keep on. They say, "Well, I don't believe in Divine healing." Don't make any difference to you, if you're licking honey or 'lasses just keep licking. That's all. That's what we need.
Then I noticed after he got enough of it, the little fellow went off. And the funny part about it, he was so full of molasses, and when he got over there, his mammy and the other little cub, licked him. That's puts me in the mind of a meeting. Somebody go up to meeting and have a big time, come home, and the rest of them wants to lick on him the rest of the night. That's right. Watch God when He's moving in His great power in His nature.

E-23 I used to go to an old spring there and drink. And every time I'd drink from that old spring, I noticed that... I set down one day, just talked to it. And oh, it was just so happy, and jumping, and bubbling.
I said, "Wonder what makes that spring so happy all of the time?"
I looked at it, and I thought, "Now, if you could talk, I want to ask you a few questions. 'Why are you so happy? Are you so happy because I drink from you?'"
If he could speak, he'd say, "No."
I said, "Maybe you're happy because deers and bears drink from you."
Say, "No."
"Well what makes you bubble all the time?"

E-24 And if he could speak, he'd say, "Well, Brother Branham, it isn't me bubbling. It's something behind me preaching me, making me bubble."
And that's what it is in an old fashion Holy Ghost meeting. It's not them shouting; it's the power of God moving in them, bubbling up, pushing outside the powers of the living God, God's provided way of providing water, the artesian well, springing up... joys...
God's dealings, He's always had a way to deal. He's got a way today of dealing with individuals. Sometimes if you won't listen to Him, He will permit the Devil to do something to you, so that He can bring you, lay you on your back sometimes so you have to look up. That's God's provided way many times of doing that.

E-25 God's provided way in the garden of Eden when man had sinned... And when God seen that man had sinned, what a horrible picture it was, when man had separated himself from his Creator. And just the very strain of man, just as soon as man realized that he had lost his fellowship with His Creator, instead of coming out and confessing himself to be wrong, he run off and hid. That's the way men still do: instead of coming out and confessing you're wrong, run off and hide. And they still do that. Mankind, it's just in man to do that.
Now, then God went up and down the garden crying, "Adam, Adam, where art thou?"
It ought to have been Adam crying, "Father, Father, where art Thou? I want to get to You and make things right."

E-26 But he wanted to hide. And he made himself a fig leaf apron, him and Eve. And they thought that would just be all right. But when they really come to the showdown... Here it is now, when they had to stand in the Presence of God their own made religion wouldn't work. That's right.
My friend tonight, you may belong to some of these fine churches around here, but if that's the kind of religion you got tonight, your own made... "I keep the golden rule. I don't do anybody any harm." That won't stand at all. No, sir. God had a provided way for you. God's got a provided way tonight.
So God went out and killed something, perhaps, sheep, brought the old bloody sheepskins back and throwed them into the bushes. And Adam and Eve wrapped theirselves in them bushes--in them bushes and covered theirselves and come out in the Presence of God.

E-27 Then when God pronounced a judgment, "Because you listen to your wife and not to God, I took you from the dust, dust thou shalt return. Eve, because you listened to the serpent instead of your husband..." what He would do for her, and the serpent and so forth. Then I can see Adam and Eve starting, his big black shaggy hair, tears running down their cheeks, walked over Eve, most beautiful body, Adam's big strong arms and shoulders, down across his legs the blood running beneath those sheepskins. And as they started walking away, I can hear something going like[Brother Branham makes a slapping noise--Ed.] slapping. What is it? It's those old bloody sheepskins slapping around Adam's leg.

E-28 Then I can see the most dramatic picture of all the Bible. I can see that great Jehovah God, Who covered all of space and all of time, where you could look forever and forever, and never see the beginning of His being or the ending of Him.
I can see it all coming down like a funnel in the four little letters, love. He could not bear to see His son and daughter going away in disgrace. Then he said, "I'll put enmity between thy seed and the serpent seed."
Let's change our picture for a few moments and take it four thousand years later. Let's stand in the city of Jerusalem, God dealing with sin now, His way of judgment. And then in the city of Jerusalem I can hear coming down the streets something dragging across the cobble stones, a howling mob like a bunch of wolves crying for a lamb's blood. I look coming down the street, I see a frail little thin Fellow, a crown of thorns on His head and the blood running down His face, blood all over His tracks...

E-29 I looked, I noticed all over His little garment, wove through out without a blemish, without a seam, rather. There's little spots all over His garment, little red spots. As I keep watching them spots, I see that they getting bigger and bigger. What are those spots? After while they all run into one big spot. I hear something again [Brother Branham makes a slapping noise--Ed.] slapping against the second Adam's leg.
It was God's provided Lamb, the way God was dealing for sinners. He taken on Himself the form of sinful flesh, came down here and made in the likeness of a man, and there He was going up Golgotha's hill bleeding, bleating... Oh, when He hung there between the heavens and earth...

E-30 What a beautiful picture we pick up in Eden again, quickly. When I see Abel trying to find out how he could find favor before God...
Cain a great man, a religious man. He came down and built a church, just as good as your church. He built an altar; he offered a sacrifice; he paid tribute to God. If God only requires you to have faith in Him... Cain was not an infidel. Cain was a believer. Certainly he was.
Cain was not only that, but he was a worshipper. And Cain was a genuine church member. And he built an altar to the Lord, knelt before the Lord and prayed. If God is just, which we know He is, and a altar, a church, a sacrifice, a faith in God, is all that God requires, He was unrighteous to condemn Cain.

E-31 But God has a provided way, and every man must meet that provided way. God's got a provided way tonight, and you must walk in that way. Abel did. And here how beautiful Cain, perhaps made the biggest, prettiest church. And he put his lilies and so forth out.
It's coming Easter. You people around Phoenix here will be going to Easter services. Everybody goes out to Easter service, show your new hat. All right. And they go out there... And I used to tell the congregation, when I was a Baptist preacher, I said, "Merry Christmas to you. I won't see you any more now till Christmas." Every Easter... See them again Christmas. All right, get a new change of clothes and come back. All right. Here they come; it's a disgrace. That's right. Sure is.

E-32 And here they come; look at them. Cain probably put their flowers, Easter flowers, on the altar like you'll put on the altar. There'll be tens of thousands of dollars, yes, up in the millions of dollars, spent in America for Easter flowers to put on the altar of the church. God don't want the flower on the altar; He wants you on the altar. Altar wasn't made for flowers; it was made for man. That's right.
But you send the flower in your stead. Cain did the same thing. See where it comes from. And here comes Abel, nothing pretty, nothing beautiful. Well, I guess they didn't have any hemp in that day, so he probably had a grape vine wrapped around the little lamb's neck.

E-33 Here he come pulling the little lamb, the lamb knowing that death laid near him, pulling back. I wonder what kind of a death that was when this little fellow knowed he was coming. And he laid him upon the rock, pulled back his head; he perhaps didn't have any knives or lances then. So they just took a sharp rock and begin to chop on his little neck.
Did you ever hear a lamb die? You hear the most pathetic cry you ever heard when you hear a lamb dying. Anyways they beat him across his little jugular veins with this rock, and the blood spurting out bathing his little wool, God looked down and said, "That's it."

E-34 What did it speak of? It spoke of some four thousand years later, when the Lamb of God was hanging on the Rock of Ages and the judgments of God of the sinner man was hanging there, and His bloody locks dripping around His shoulder, speaking...
Abel couldn't understand what the lamb was saying. And Jesus when He died spoke in an unknown tongue, "My God, My God why hast Thou forsaken Me?" He was God's lamb dying on the altar, the Innocent for the guilty, God dealing with sin in that manner.
Nothing at all you can do, it's all... God has already did it; you have to accept it, and by Father's grace believe it. And God will vindicate your faith by giving you the baptism of the Holy Spirit. That's right.

E-35 If you haven't received the Holy Spirit since you believed, there's something wrong somewhere. God gives everybody, every believer the baptism of the Holy Spirit. That's right. That's the confirmation of your faith.
Abraham believed God by faith, true. But God give him the seal of circumcision as a confirmation of his faith. And Ephesians 4:30 says, "Grieve not the holy Spirit of God, whereby ye are sealed until the day of your redemption."
So the seal of the confirmation of your faith is the baptism of the Holy Spirit. Amen. There God dealing, making a provided way for sinners... Isaiah said that he was... "Who has believed our report? and whom has the arm of the Lord been revealed?" How He would grow up like a tender branch, how He was be taken as a sheep before her shearers is dumb, opened not His mouth, and yet we did esteem Him smitten and afflicted of God.

E-36 How God had to pour all of the Divine judgment: it was the judgment of sin that drove Jesus Christ to Calvary. It was the judgment of sickness that striped His back. And there to pay the price of a guilty, dying generation of people, there Jesus Christ went to Calvary and paid the price. And when His Blood had bled from His veins, while the earth...?... embalmed His body from His righteous Blood... And there He cried, "It is finished." What? The judgment is paid. All God required is fully paid on Calvary. What faith.
"He was wounded for our transgressions, bruised for our iniquity: the chastisement of our peace upon Him; and with His stripes we were healed." It was finished at Calvary for every believer that'll accept it in that manner, accept Christ.

E-37 Many times I say, Jesus Christ when He was taken up Calvary. I see the artist paint His picture with a bunch of clothes wrapped around Him. Brother, they did every disgraceful thing they could do to Him. I believe they stripped Him off, and beat Him, and just done everything to Him they could.
Why? He had to pay the full penalty for your sins. He had to pay the full penalty for my sins. But there's where He conquered death. There's where He conquered hell. There's where He conquered the grave. There's where He conquered for your peace. Hallelujah. There's where He conquered your feelings. There's where He paid the price. That's what God's requirement was. How He taken the blister and--and stain out of sin. It's often said...

E-38 I was standing out today watching some honey bees work. And I watched those honey bees; I thought, "Well, when a honey bee ever stings a person, then the stinger is left in the person, and it cannot sting no more. The honey bee stinging is done. Any insect that stings you one time, that finishes it, because he leaves the stinger there."
And I tell you. Jesus Christ, on Calvary, pulled the stinger out of death and sin, and there we... Sickness has no control anymore. God's done suffered it in judgment. Jesus took the stinger out of sin. Jesus took the stinger out of sickness. Jesus took the stinger off of Satan. Jesus took the stinger out of sin, and tonight he's helpless. Hallelujah. He can only buzz and make a lot of fuss, but he's got no stinger.

E-39 Paul said, "O death, where is your sting? Grave, where is your victory? But thanks be to God He gives us the victory through our Lord Jesus Christ." Amen.
Let's pray. Our heavenly Father, we thank Thee tonight for taking the sting of death away. Thou and Thy hours, Lord, how the sting of death did bite on Your body, how the sting of sickness dwelled in Your body. And there You bore our infirmity, that stings of headaches, that sting of cancer, that sting of disease which stung You in the body... But You paralyzed it. Hallelujah. It can't sting no more. When we come into You, Lord, there we are with no sin, and not in our own selves, we're all sinners; but in You we are not sinners; we are sons and daughters of God. That restless man who has no rest or peace tonight, You was wounded for his transgressions and bruised for his iniquity, and the chastisement of his peace was upon You. And a man and woman here tonight that's so ladened down with sickness, by the stripes You healed them.

E-40 O eternal resurrected Son of the living God, come shine upon us tonight with Your blessings. And may You a vindicate Your Presence of being here, that all Your people might, with one accord, be healed and saved tonight, for we ask it in Jesus' Name.
And, Father, these handkerchiefs that's here in this box, they're going to cross different parts of the country, going to the sick and the needy. And I pray, Lord, as I lay hands upon these handkerchiefs, that You'll heal every one of them and get glory tonight. in Jesus Christ's Name we ask it. Amen.
Excuse me. No wonder the poets and every man that ever amounted to anything, sung the praises of God. I can think of the poet said:
Mid rendering rocks and darkening sky
My Saviour bowed his head and died;
The opening veil revealed the way
To heavens joy and endless day.

E-41 How can you turn from Calvary? If you're sick, look to Calvary. "Look to Me, all ye ends of the earth."
Look and live, my brother, live.
Look to Jesus now and live.
It's recorded in His Word, Hallelujah.
It's only that you look and live.
If looking at the type... The brass serpent word, the serpent... You say, "The serpent meant Jesus?" Yes, the serpent was Jesus. The serpent, brass spoke of Divine judgment. The brass made into a serpent, spoke of the serpent already judged. And if looking at the type would heal the people, what more will the antetype now do?
You can look, as those people looked at the brass serpent and lived, how much more can you look to Jesus Christ and live where the full penalty's paid.

E-42 Is there an interpreter to the Indian friends? If there was one let them interpret. I would like to have them come to the platform just for a moment. I want to speak to them just for a moment. If you would, someone who can interpret the Apache language. All right, someone is coming.
Now, how many sinners in here tonight wants to look and live? Let's see your hands will say, "Remember me, brother preacher. I'm a sinner. I want Jesus Christ." I'll have prayer for you now. Anywhere in the balconies? Anywhere? God bless you, sir. That's truth of... God bless you, lady. Somebody else? God bless you. Someone else? Up through the balcony to the right, "Remember me Brother Branham, I am not yet a Christian," raise your hands.
The balconies to the rear, over on the floor anywhere, raise your hand say, "Remember me." God bless you. I see you, lady, over there.

E-43 O heavenly Father, You seen those hands. And I pray now as they realize that the judgment of God was upon Christ, and He bore in His body the iniquity of us all, may they come humbly and sweetly just now to Him, and in their hearts say, "From this night henceforth, I will serve the Lord." Grant it. I pray that You'll give them and confirm their faith before this meeting's over with the baptism of the Holy Ghost. For we ask it in the Name of Thy own dear Child, Jesus Christ. Amen.
Is this the interpreter? How do you do? You speak English all right? All right, I want you to stand by this microphone and just speak as I say to the--to the people, if you will. Is this another mike? All right. That's all right. This will be all right for it, just so we catch his voice.

E-44 [Brother Branham speaks and a man interprets his words to the Indian people in the congregation--Ed.] My dear Indian friends, with a heart full of love I come to you. I have many times thought of you, since I was with you at San Carlos. I have spoken of your faith all over the world.
I am sorry that I didn't get a chance this time to come to the reservation. I asked the people if they would give this night for you all. May the Lord bless you. You are God's children. I am your brother.
Now, if you have read the Bible, and you have heard tonight of Jesus Christ, if Jesus Christ raised from the dead, then He is the same today that He was then. We read of Him in the Bible, a Man of sorrow acquainted with grief. He did not claim to be a great person. He did not claim to be a healer. He said, "It is My Father that dwelleth in Me, He doeth the work."

E-45 When He passed through pool of Bethesda in John 5, many twisted and afflicted people lay there. And He passed them by. And He found a man laying on a--a pallet. And He said, "Will thou be made whole?" For Jesus knew that he was laying there and had been sick a long time. And he... The man was made well. And then He passed the others by.
In the 19th verse of the same chapter, He was questioned by the Jews. He said, "Verily, verily, I say unto you, The Son can do nothing of Himself, but what He sees the Father doing: for what the Father doeth, He showeth the Son. The Father worketh, and I worketh hitherto." So He only did what the Father showed Him by vision.

E-46 We notice Him with the woman at the well. He looked on her, and He said, "Bring Me a drink."
And she said, "The well is deep." The conversation went on.
Then finally He said, "Go, get your husband."
She said, "I have none."
He said, "You have five."
She said, "I perceive You are a Prophet." And she ran into the city, said, "Come, see a Man Who has told me all things I ever done." He never told her all she did. But He told her where her trouble was.

E-47 When Philip found Nathanael, he said, "Come, see Who we have found, Jesus of Nazareth the Son of Joseph."
He said, "Could anything good come out of Nazareth?"
Said, "Come, see."
And when he came into the prayer line (Now, listen.), Jesus said, "Behold, an Israelite in whom there is no guile." It astonished him.
He said, "Whence knowest Thou me, Rabbi?"
Said, "Before Philip called you, when you were under the tree."
He said, "Thou art the Christ the Son of the living God."

E-48 Now, if Jesus... Then Jesus said before leaving the earth, "The things that I do, you shall also."
Now, if Jesus has risen from the dead, then He will do the same things tonight that He did when He was here on earth. Now, He did not heal. He only saw visions and done what the Father told Him to do.
Now, then if He has risen from the dead, He does the same thing tonight, makes Him the same yesterday, today, and forever. Is that right?
Now, if He will come tonight and reproduce that Life here before you, His people, will you accept Him as your Healer? Lord bless you.

E-49 [Brother Branham speaks without the interpreter--Ed.] Now, we're going to call for a number of the Indian people and tell them to have faith. And if Jesus Christ will--will speak... I can't even speak their language, but if Jesus Christ will show vision (You can put it in your own words, so they'll understand it), if Jesus Christ will reproduce Himself here in His servant, and will show visions like He did in...?... like He did to the woman at the well, or to Nathanael, or those things, that will show that He's risen from the dead and living with His people. (Now, you know about how to put it together.)
[The Indian interpreter speaks to the Indian people--Ed.]
And you notice that you can't understand the language, but you feel the Spirit of it given out. It's the same Holy Spirit.

E-50 Now, this picture--this picture which was taken, this Light that was on this picture is, to my opinion, the same Pillar of Fire that led the children of Israel. When I was just about three minutes old, It come into the room where I was born in a little log cabin. And that same Angel of God that led the children of Israel is leading the Church tonight, the same Jesus the same yesterday, today, and forever. See, you seen it happen. You understand it, sir? It was taken... All right. [The interpreter speaks again--Ed.] God bless you. I want you when you go, to take this to your reservation. You can just pack it up there and come pray for...?... All right.

E-51 Now, you... Now, I have to call just a certain number, see what I mean, from in there and get just a few, then I can see where it starts as we regular do with the regular audience. You understand the line of prayer. And... Now, I believe he give them prayer cards. And it's just a little card and it's just got a number on it. You see? So let's... Where is he at? 1 to a 100. Let's begin about at... Well, let's see, start about 35.
Ask who has... Tell them to look at their prayer cards and see who has the number on the back of it 35, N-35. [Interpreter speaks--Ed.] Tell them to raise up their hands. Now, tell her to come here. Now, tell them 36, 37, 38, 39, 40. Is it the same? For the words the same as that...?... Forty... All right. 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50.

E-52 Now, how many in the building here that does not have prayer cards? I mean of the--of the--the English speaking people here. How many of you do not have prayer cards and yet want God to heal you? Let's see your hands everywhere. See, see? All right. (Ask the Indians here if you will, brother, just ask them, how many here wants to be healed? Not with... Just right where they're at, just ask them if they want to be healed. Say, if you want to be healed just raise up your hand). [The interpreter speaks--Ed.]
You can see the feeling of the people. See? We're all... We don't make our government; we're just a part of it as you are. But we all have love and sympathy. You understand what I say, 'cause you understand English.

E-53 Now, I want every one just as reverent as you can. And sister quietly if you will, "Only Believe," just for a few moments, if you will. I got... How many more, can you take anymore? Pretty well lined up there now. Now, all the--the white people in here understand that we are--that we are--how we'll conduct our services.
Now, of course, I'm can't say... We give it out for the Indian friends. But the Angel of the Lord when He comes, He will come over anyone. You see? So you--you just--just wherever it is. Now, you be in prayer, and have faith, and believe with all your heart that the Lord Jesus will grant the blessings of God to you this night. Now, softly if you will now.
Only believe (at that mike...?... All right.)
All things are possible...
Only believe,
All things are possible,
Only...
Is that you...?... up there, brother, I'm glad to see you, brother.

E-54 Now, let's tonight, just everybody now just be quietly. And now, just let the Holy Spirit move. And keep your children near, 'cause diseases dwell among the Indian people, as same as it does among all other people. And it's the same sickness, the same demon that possess the Indians, possess the other people. And we find it in all nations everywhere that we find the same action.
Right here one this people, this man was speaking, you could tell he was a Christian man and the Holy Spirit moving. You couldn't understand (See?), but you knew he was a Christian. He's your brother. See? That puts us together. See?

E-55 Now, I'm not responsible for critics. I'm not... I won't be responsible, 'cause diseases goes from one to another. And many of you here are aware of what takes place in the meetings many times. And many people are not here on earth tonight because of irreverence, many of them in institutions and everything because of irreverence.
Now, you understand that I--I can't speak one word of their dialect. And the only way in the world that I ever be able to know is by a vision. Now, the vision, I might not be able to speak their language, but the vision, it just sees the same thing. See? No matter what it was, if it's beings, whatever it is, it's a vision. It shows just the same. It'll come to them just the same as it does to any.

E-56 Now, I--Brother Brown, if you'll come here, I want you to--to... You use that microphone and I'll speak just... You just... Let's see, now, maybe I'd better--maybe I better take this mike here and let the brother have... No, that still won't. How'd we do that in Africa? I believe we got it like this. Yes.
Now, tell her to look to me now, to this--this woman here. (Now, you interpret my words.) Good evening. Of course I cannot speak your language.[The man interprets Brother Branham speaking to the patient--Ed.], but yet the Lord understands all language. I perceive that you are a believer. This is a perfect picture of the Bible again. Jesus met a woman of Samaria, and He knew where her trouble was.
Then of course, we don't know each other. But God knows both of us. God can tell me what's wrong with you. You believe that? If--if Jesus of Nazareth would let me know what is wrong with you, would you accept Him as your Healer? Now, look at me.

E-57 Now, I want the Christian people in here, everybody to pray. This is just a little vice versa. See? And I'm just a bit disturbed about it, because I can tell there's--it's different. I'm twisted around, and it's a--it's a spirit everywhere. You see? But that's all right now, just--just everybody be in prayer. See, that's all I ask you, while I look on the woman. It's a vision has to come vision, you know that, 'cause I know nothing about her; you know that. And there's nothing I could do, only just look and see what He would tell me.
Now, in the Name of Jesus Christ, the Son of the living God, I take every spirit in here under my control for the glory of God. The Angel of the Lord is now here. It's her eyes, and it's her stomach also, 'cause it's... Tell her when she eats, I notice she has suffering after eating. That's right, isn't it?

E-58 She can't understand me, so she won't know. She's got cancer of the stomach. See? So she won't understand, you believe now that she'll--God will heal her? She does a lot of complaining (See?), complaining with... What it is, it's--it's fomenting gas, presses up like this it and smothers her around the heart. She has to raise up; lots of time she has to raise up like that after eating. See? So that's--that's her condition. You see? Now, every one be reverent. This woman can't live long without God's help. So be reverent.
Almighty God, the Author of Life, look down this afternoon, Father, Who has pity upon all. And this poor old gray headed mother standing here bound by this enemy, I pray for Divine mercy for her, Lord, that You'll be kind to her and may the enemy leave her. I rebuke this enemy, the Devil, that's trying to take her life; in the Name of Jesus Christ come out from her. Go eat what you want to. God bless you. [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-59 Suffering with a nervous... See, I forgot what it was. See? (Now, I'll try to catch her again; tell her just to keep looking at me. Now, you catch voice. Tell her to look at me if she)...?... Nervous and you are--you... It's a evil spirit that bothers you, and if there's... You want the Lord Jesus Christ as your Saviour. You need Jesus as Saviour. An evil spirit... Is that true? (Ask if that's true.) You are tormented. You have something evil around you, feel real funny at times. She catching my word now.
You get all upset...?... She sometimes thinks she's losing her mind. See her nod her head to me? Under the inspiration, I seen that once before in my life. You're healed, lady...?... You can go home now and be well. God bless you... God bless you. Jesus Christ saved you and healed you too. Praise the Lord.
A woman speaking Indian heard me in English. She nodded back to me. One time... It's somewhere else, there was a little Spanish girl who come to the platform who had to have an interpreter. And when the vision come down and I told her what was wrong, she understood me in Spanish. And she didn't even know one word of English, and I spoke English and she understood in Spanish. But when the inspiration left, she didn't hear nothing. That same thing take place with that lady there. She was understanding me in her Indian dialect, though me speaking English.

E-60 Well, whatever was wrong, 'course it's a vision. I don't remember it. But whatever it is, it's gone from her, 'cause it just got real white around her, like that. Just that light flashed all around her, and she was in a...
Come. All right, watch me now, and speak my words. See, when the vision strikes, just what I'm saying, you say it, just as fast as I--I'm saying it, 'cause when it breaks from me, then I... It's something I have to look at. You see? And then just speak it out, kinda as loud as you can to him, or just say the words. You just quote me all the time. Just be my voice on that. You see?

E-61 How do you do? [The interpreter interprets Brother Branham--Ed.] We are strangers. You are a Christian. She hears me too. Oh, you understand English? Oh, well, that's... (You don't have to quote it, then unless it be to them.) All right, then if you can speak English, then much--be easier for me. See?
All right. We are... You are a Christian, 'cause your spirit is welcome. Now, I don't know nothing about you, sir. I never seen you in my life, as far as I know. If I did, I don't remember it. We're two men just met here on earth, two Christians saved by the same Lord. There's nothing physically wrong with you. What you're wanting to do, you got a call to the ministry to preach the Gospel, and you want me to lay your hands--my hands on you. O God...?... bless my brother...?... My brother, as he stands...
Praise be to the living God.

E-62 Now, the Lord knows all things. There's nothing before Him but what the Lord does know. Now (to the mike), the rest of you Indians [The interpreter interprets Brother Branham again--Ed.], look and believe. You don't have to be here on the platform. You just have faith in God. Do you believe me to be God's servant? Then look this way and believe. (Bring the lady.)
How do you do. We are... Do you understand? (She understand English?) Well, that's very nice. All right. Do you believe me to be his servant? You are a Christian. You realize that you're standing in the Presence of Something not your brother, but it's something different. You have a--a trouble. Isn't that right? In the side? And it's a place on your foot. And it's the left foot that's got a growth on it. Is that right? Go, Jesus Christ will make you well.

E-63 Come. Look. You speak English? Then I'll be able to help you as your brother. Oh, here's the one that's got something in his side. It's a--a hurting that's a kidney trouble in the side. You have a loved one that's sick too, a husband or something: man with stomach trouble setting right out there. Both of you go up to your reservation; you're going to be well. Jesus Christ makes you whole. You too, my brother.
Let us say, "Thanks be to God." [Congregation says, "Thanks be to God."--Ed.]
Speak English? If the Holy Spirit will speak and tell me what is your trouble, you accept Jesus as your Healer? It's your back. Amen. Now, you go; you're healed. Jesus Christ makes you well. All right.

E-64 Do you believe the Lord Jesus? You... Maybe she doesn't speak English. You speak English? Yes. All right. If Jesus will tell me what your trouble is, you believe for your healing then. We are strangers to one another, of course. You have heart trouble. Isn't that right?
But it's... You think it's heart trouble; it isn't heart trouble. Your most of your suffering is when I see when you lay down. It's a smother; it's a nervous condition, coming to the time of life that you are, which causes the food to form in a gas and presses against your heart. You're going to be well though. Jesus Christ make you whole. God bless you. Go...?...

E-65 All right. Come, lady. We be strangers. You speak English? Well, very good. If the Lord Jesus will... Be reverent. You believe me to be His servant? Something strange... There's a white woman different from her, stood there by her.
Now, there's a spirit in here, a demon calling for help. That's what it is. It's--it's on a--a white woman, a little kinda aged, and it's the same thing that this woman has...?... stand here...?... out there... Oh, here she is. You don't have a prayer card, do you? No, sir. Do you believe me to be God's prophet? Do you believe me to be God's servant?
Look this way, lady. Both of you have TB. You have TB; you have TB. It's them demons calling one to another. Yes, lady, that is right. You was brought here tonight by your daughter. And your daughter doesn't live in this town; she come from the south, coming north from a place where it's got a big hill a lot of cactus, it's Tucson. She come and brought you here. Is that right? Get up out of your wheelchair, your cot there, go on back to...?... in the Name of the Lord Jesus. All right.
You speak English? You got arthritis haven't you? Raise up your hands...?... healed... Go off the platform rejoicing.

E-66 Come, lady. You believe me to be God's prophet? You speak English? You speak English? You believe me to be His servant? [The interpreter interprets for Brother Branham--Ed.] Do you believe me to be God's servant? She's responded. It's the Holy Spirit on her. That--that Fire is hanging right around above her. Tell her to go home and eat her supper; the stomach trouble's left her. Amen.
Have faith in God.
What you praying about, lady? You've just accepted the Lord Jesus to be your Saviour. So you suffer with a nervous trouble. Is that right, nervousness? Stand up on your feet. Jesus Christ makes you well.

E-67 All right, you setting next to her there, what about you with your hand up, the lady sitting next to her, the Indian woman? Dorothy, stand upon your feet, Dorothy. You been having trouble in your side. Is that right? You're healed.
What about you next to her? There, you stand up. You have pains through your neck. Is that right? You're healed. Go home and be made well in the Name of Jesus Christ.
What about you, waving your hand back there? Do you believe with your hand up. You got inward trouble. Is that right? Stand upon your feet; Jesus Christ makes you whole. Do you believe?
You setting there, you have sinus. Stand up, setting there...?... That lady sitting there, you've got sinus trouble. You're healed. Jesus Christ makes you whole.
You setting there with that female trouble, you with a female disorder, Jesus Christ makes you whole...?... God has healed you both.
Everybody wants to be healed, stand to your feet. The Holy Ghost is here. In the Name of Jesus Christ...

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